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Boris
1er décembre 2015
Le fétiche : 8. Préoccupations


J'avais en mémoire la mise en garde de Siro concernant la statuette : il avait écrit que si Fabienne tombait dessus, cela serait une catastrophe. Pour ne pas éveiller les soupçons de ma petite femme, j'essayais de ne pas trop abuser de l'utilisation du fétiche, le cachant sous les coussins du canapé et ne l'utilisant que très occasionnellement. Je n'avais d'ailleurs plus vraiment besoin des "services" du fétiche puisque Fabienne était devenue grâce à cela une vraie cochonne et réclamait de temps en temps que j'invite Pierre pour une soirée à trois. La veille au soir, Pierre étant indisponible, j'avais dû la contenter en la sodomisant avec son godemiché pendant que je lui faisais l'amour. Pierre se doutait bien qu'il avait manqué quelque chose et je ne fus pas étonné de le voir sonner le lendemain soir. Mais cette soirée était prévue depuis longtemps puisqu'il s'agissait de la finale de la coupe de la ligue opposant le PSG à Bastia. Aussi Fabienne fut-elle extrêmement déçue de voir le peu d'intérêt que nous lui portions quand elle arriva dans le salon, malgré une petite robe au décolleté plongeant particulièrement sexy sous laquelle ses seins jouaient librement.


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Mais nous étions si absorbés par le match que nous lui prêtâmes à peine attention. Elle s'assit sur la canapé d'en face et nous regarda en soupirant :
- Dites les gars, ça ne vous branche pas qu'on s'amuse un peu ?
- Attends, après le match...
- Après le match, je dormirais...
Pas de réponse.


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La connaissant un peu, je pris conscience qu'elle commençait à s'agacer. Quand je tournai les yeux vers elle, elle me regardait droit dans les yeux et écartai lentement les cuisses. Je découvris alors que, encore une fois, ma petite coquine ne portait pas de culotte. En écartant, un peu son décolleté pour dégager un sein nu, elle me dit :
- J'ai un peu chaud, là...



Pierre se leva d'un bond :
- But !!!
Le PSG venait de marquer son deuxième but face à Bastia qui était très nettement dominé depuis le début de la partie. Mon attention se reporta aussitôt sur l'écran où le but était rediffusé au ralenti. Fabienne était furieuse. Je dois avouer que j'avais très envie de la rejoindre ma cela m'amusait de lui laisser croire que le foot puisse passer avant elle. Elle mit les bouchées doubles et, se positionnant sur les coussins, elle se mit à quatre pattes sur le canapé en relevant sa robe pour exhiber son magnifique cul nu.


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Une main de Fabienne glissa entre deux coussins et elle dit :
- C'est quoi ce truc ?
Et là, il se passa un truc incroyable. Pierre et moi ne pûmes continuer à regarder le match. Je bandais soudain comme un âne et mon attention toute entière venait de se concentrer sur le cul de ma femme. Pierre quitta son pantalon, exhibant une incroyable érection lui-aussi.


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Fabienne ne s'occupa pas de ce que sa main avait rencontré entre les coussins : l'érection prometteuse de Pierre l'intéressait beaucoup plus, même si elle était vraiment surprise qu'on puisse tous les deux abandonner notre match pour nous occuper enfin d'elle après tous les efforts qu'elle avait fait pour nous aguicher. Je me dépêchais moi-aussi de quitter mes vêtements.


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Pierre avançait déjà sur elle. Elle gardait le cul tendu vers lui. Nul besoin de le sucer pour le mettre en condition, comme moi, il avait une érection phénoménale et elle sen contenta de garder son cul bien tendu vers lui. Je finissais de me débarrasser de mon pantalon quand je vis la queue de mon meilleur amis s'enfoncer dans la chatte trempée de cyprine de Fabienne.


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Sans préliminaire, il la besogna aussitôt, lui arrachant très vite quelques gémissements de plaisir. Extrêmement excité, j'avais très envie de la prendre moi aussi et ne fus pas détourné de mon objectif par la sonnette de la porte. M'approchant de ma femme, j'admirais son petit trou qui semblait attendre ma bite. Me mettant debout sur le canapé au-dessus de son cul, je guidai mon sexe dans anus sans la moindre préparation.


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Elle se mit à crier, d'abord sans doute de douleur car il est vrai que je ne la ménageais pas du tout. On tambourina à la porte, sans doute un voisin qui voulait se plaindre du bruit. Peu importe. Fabienne gémissait maintenant de plaisir mais se redressa, nous échappant, en disant :
- On change.
Elle me fit asseoir et vint s'empaler sur ma tige. Pierre qui montait sur la canapé avait manifestement envie de se faire sucer et vint guider sa queue dans la bouche de Fabienne.



Après quelques minutes, il décida de venir à son tour investir son petit trou. A peine engagea-t-il son gland dans l'anus de ma femme que celle-ci l'encouragea :
- Oh oui, vas-y !
Il donna un coup de reins et s'enfonça de tout son long en elle, lui arrachant un grognement étonnant.


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Il se mit lui aussi à aller et venir en elle à un rythme effréné en me disant :
- Oh putain Cédric ! C'est bon ! Tu m'as bien préparé le passage !
Deux queues coulissaient en elle mais je ne parvenais pas à tenir le rythme soutenu de Pierre qui la sodomisait sans ménagement.


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Le voisin essaya de rentrer, tentant de tourner la poignée, heureusement condamnée par le verrou. Fabienne se mit à jouir. Cela déclencha mon éjaculation et je me vidais en elle tandis que son corps tout entier se libérait dans un formidable orgasme. Pierre sortit sa queue et son sperme se mit à jaillir, éclaboussant de trois ou quatre jets l'anus dilaté de ma femme.


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Dès qu'il eut fini, Pierre se leva et enfila son pantalon précipitamment. Fabienne demanda :
- Qu'est-ce que tu fous ?
- Je vais m'excuser auprès du voisin, pour le bruit...
Mais quand il ouvrit la porte, le voisin n'était plus là. Il allait refermer la porte quand quelque chose attira son attention sur la porte. Je me dégageai de Fabienne et elle me demanda :
- Vous étiez déchaînés, les garçons ! C'est le but qui vous a transformé en bêtes sauvages ?


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J'étais un peu honteux et Pierre semblait tout aussi gêné que moi. Il dit :
- Je suis désolé, Fabienne, je ne sais pas ce qu'il m'a pris... Ceci dit, on n'est pas les seuls à s'être comporté comme des bêtes !
Il sourit en refermant la porte. Je demandai :
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Le voisin, n'était pas gêné par le bruit... Il voulait participer !
- Qu'est-ce qui te fait croire ça ?
- Il s'est branlé derrière la porte en écoutant nos ébats. Il y a du sperme plein votre porte !
J'étais scié que le voisin, habituellement très discret, puisse faire cela. Fabienne se releva et dit :
- C'était bestial mais vous m'avez bien fait jouir quand même...


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Je ne repensai plus à cette histoire et j'étais surtout préoccupé par cette histoire de sperme sur la porte, plus que notre comportement inhabituel à Pierre et moi.
Le lendemain, Fabienne me proposa une promenade. En sortant, nous croisâmes notre voisin qui se dépêcha de fermer sa porte et de descendre en nous esquissant un "Bonjour" timide et en fuyant notre regard. Etrange...
Pendant la promenade, Fabienne s'arrêta soudain et me sourit :
- Cédric, tu n'as pas un truc à me dire à propos d'hier soir ?
- Heu, si, je suis désolé de m'être comporté comme une brute en manque de sexe...
- Je ne te parle pas de ça...


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Je ne voyais pas ce qu'elle voulait me dire :
- Tu veux parler du voisin ?
Soudain, elle releva son débardeur, exhibant ses seins nus alors que n'importe qui aurait pu surgir dans la rue.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Tu n'as pas envie de me faire l'amour ?


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- Heu si, bien sûr mais pas là en pleine rue ?
- Quand on était en vacances, tu le faisais n'importe où, non ?
- C'était pas pareil...
- Parce que j'étais totalement nue ?
Elle commença à déboutonner son pantalon.


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- Mais arrête ! Quelqu'un peut venir !
- Et alors ? En vacances, tu m'as bien partagée avec Enrico et Siro.
Elle était totalement nue, je la poussais par une grande porte ouverte qui menait à un grand entrepôt. Elle s'appuya à un poteau et dit :
- Alors ? Pourquoi tu ne veux pas me partager avec des inconnus maintenant ?


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- Là-bas, c'était différent. On était tous nus et il y avait quelque chose de magique qui nous poussait au sexe !
- Nous y voilà !
- Quoi ???
En posant la question, je compris où elle voulait en venir. Elle tendit son cul vers moi :
- Est-ce que tu crois que j'aurais accepté de laisser Pierre profiter à nouveau de ma croupe si nous n'étions pas allé en vacances là-bas ?


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- Tu... tu as trouvé la statuette ?
- Oui et j'ai compris que tu me donnais envie de baiser à chaque fois que tu la touchais. Tu l'as fait souvent ?
- Pas mal quand on est revenu... Mais de moins en moins depuis quelques temps !
- Espèce de pervers !
Elle me disait cela en souriant, ne semblant pas m'en vouloir. Plongeant sa main dans son sac à main, elle continua :
- Et tu sais ce qu'il se passe quand c'est moi qui touche à cette figurine ?
Je ne pus pas répondre, mais je compris. Je fus pris d'un désir sexuel intense et une érection formidable se dressa immédiatement. Me débarrassant de mon pantalon, je soulevai une cuisse de ma femme et plongeait ma queue dans son sexe.


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Après quelques secondes d'assauts dans cette position, elle se retrouvera déstabilisée et tomba par terre à quatre pattes. Pris d'une pulsion incontrôlable, je ne perdis pas un instant et plongeai à nouveau mon sexe dans sa moule béante.


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J'étais tellement occupé à la baiser que je ne me rendis pas compte tout de suite qu'un type était entré dans le hangar. Quand je pris conscience qu'il s'approchait de nous, je constatai qu'il s'était débarrassé de ses vêtements et qui proposait à la bouche de ma femme un sexe parfaitement bandé.



Après quelques petits coups de langues, Fabienne engouffra la queue du type dans sa bouche. Une part de moi voulait se révolter que ma femme puisse offrir ainsi sa bouche à un inconnu qui sortait de nul part, mais l'autre part de moi qui désirait avec ferveur atteindre l'orgasme occultait la première.


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Et puis j'eus également cet autre sentiment d'intense excitation, de fierté à partager ma magnifique épouse. Tandis qu'elle continuait à sucer le type, je passai une main sous son ventre pour lui caresser le clitoris.


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Je la sentis vibrer autour de mon sexe. L'orgasme était atteint. Quelques secondes après, le mien arriva et je déversai tout mon foutre en elle. Le type éjacula également et badigeonna la joue de ma femme avec quelques jets de son foutre épais.



A peine eut-il finit qu'il se rhabilla et repartit comme il était venu. Reprenant mes esprits, je commentai :
- En voilà un que la gratitude ne va pas étouffer !
- Ne lui en veux pas. C'était contre son gré...
- Contre son gré ?
- Oui. La statuette, si c'est moi qui la touche, j'ai l'impression que ça déclenche chez tous les mecs des environs l'envie irrésistible de me baiser.
- Tu crois ???
- Oui, regarde comme tu m'as baisée, comme un animal ! Ceci dit, je ne vais pas me plaindre. Encore une fois, vous avez été bons et généreux.
Elle se léchait les doigts où coulait encore un peu du sperme de l'inconnu.


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Je compris à quel danger Siro avait fait allusion en me demandant de faire en sorte que Fabienne ne touche jamais à la statuette. Dans un lieu public, ça aurait été une orgie innommable ! En tout cas, Fabienne savait désormais pour la statuette et je savais à quel risque cela pouvait l'exposer désormais.



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