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Ève est une nymphe 1 >>> Episode suivant

Evevincent
17 août 2016
Ève est une nymphe 1


Ève ne boit pas.

Je ne l'ai vue qu'une fois "ivre", si on peut appeler "ivre" quelqu'un avec si peu d'alcool dans le sang...
Malgré ses refus, des amis ont réussi à la faire trinquer plusieurs fois au moment où nous allions partir d'une soirée.

Parmi ces amis, Éric, un collègue d'Ève, et sa compagne, Maryline, étaient les plus insistants.


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Ève a bu environ trois verres de vin et la réaction a été quasi immédiate...

Dans le taxi, en rentrant à notre hôtel, je me suis retrouvé avec une Ève qui ne cessait de se frotter à moi.
Ses yeux brillaient.

Elle m'embrassait, ce qui est bien normal pour un couple, mais surtout, elle me disait à l'oreille qu'elle voulait faire l'amour, qu'elle était toute chaude.
Elle ne cessait de passer sa main sur ma braguette.

Comme j'essayais de résister, elle m'a quasiment intimé l'ordre de la lécher en me menaçant :
- Puisque c'est cela tu vas voir ce que tu vas voir...

Elle a alors fait glisser sa culotte de sous sa robe et a commencé à caresser ses seins dont les tétons surexcités jaillissaient de son débardeur échancré.


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La situation était dérangeante par le fait que, depuis le siège avant, le chauffeur pouvait voir ce qui se passait derrière.
Mais elle était aussi troublante car cette demande était si tentante et, surtout, si érotique...
J'ai donc plongé...




La voiture était assez grande et j'ai pu m'agenouiller entre les cuisses d'Ève.
J'ai découvert sa minette lisse et humide.
L'odeur était si sensuelle...
Sa fente ruisselait littéralement et j'ai compris combien elle avait envie.

J'aime la lécher et elle aime que je le fasse.


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Je la sentais si fébrile, si demandeuse, les cuisses écartées pour me laisser le chemin libre.
Je bandais comme un malade.

La voiture a fait une embardée et j'ai cru un instant que nous allions finir dans le fossé, mais tout s'est rétabli...
Il faut dire que dès que j'ai touché sa fente avec ma langue, Ève a poussé un cri qui a dû surprendre le chauffeur.


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Je ne voyais rien mais j'ai bien senti que la voiture ralentissait.
J'imaginais que le chauffeur regardait dans son rétroviseur pour chercher ce qui pouvait bien avoir produit ce cri.
Pas la peine d'être devin pour comprendre ce qui se passait derrière lui.

Si elle ne parlait pas, elle poussait des soupirs et des gémissements.
Ce soir-là elle était particulièrement volubile et, surtout, elle ne retenait pas sa voix.
Des "Oui", "Là", "Encore" sortaient de ses lèvres, entrecoupés de soupirs...


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Son petit bouton me semblait plus gros que d'habitude.
Ma langue ne cessait de le lécher pendant que j'essayais vainement de l'aspirer entre mes lèvres, tellement elle se trémoussait.




Ève a saisi ma tête pour me guider vers son plaisir.

Chaque jour, depuis, je salue le professionnalisme du chauffeur...
Moi, à sa place, je ne sais pas ce que j'aurais fait...
Malgré les hurlements de jouissance d'Ève, il nous conduisait à bon port.

Ève me noyait sous les flots de son éjaculation féminine que je n'avais jamais vue si prolifique.


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Mais Ève n'en avait pas fini...
La vue de ma queue tendue par l'excitation fit passer un voile dans son regard...


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Elle posa alors sa main sur ma queue, la caressant très lentement de haut en bas, en découvrant la taille et la dureté de mon sexe.
Elle approcha son visage, appréciant en premier mon odeur, posa le bout de sa langue sur mon gland et descendit lentement tout le long de mon vit jusque sous mes boules.

Je l'ai encouragée :
- Hum oui... comme çà ! ta langue est si douce et si chaude ! vas doucement, laisse-moi profiter de ces instants magiques...
- Tu aimes ?

Ses yeux dans les miens, elle a un sourire très coquin en coin...


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- Oui, lèche mes couilles... oh c'est bon ! tu es merveilleuse ! remonte lentement... regarde le plaisir que tu me donnes, comme tu fais vibrer ma queue... oh c'est trop bon !

Elle remonta alors doucement sa langue le long de ma grosse veine, comme le long d'un cornet de glace, plantant ses yeux dans les miens, me regardant prendre du plaisir sous ses caresses.


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En creusant les joues, elle aspirait mon gland.
- Oh oui, mange-moi, tu es divine ! c'est la meilleure pipe que tu m'aies jamais faite ! Oh mon dieu que c'est bon ne t'arrête pas, doucement... Fais encore durer le plaisir... Oui, comme çà ! Elle te plaît ma queue ?
- Oui elle est délicieuse ! Je me régale ! Moi qui aime lécher les bonnes glaces, je m'éclate et je ne vais pas pouvoir m'arrêter...!
- Oh oui, continue alors ! Ne t'arrête pas, je vais partir !


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Ma queue a encore grossi, juste avant de se vider en grands jets puissants dans sa bouche, l'inondant de mon sperme chaud et sucré qu'elle a avalé sans réfléchir.
Elle qui détestait çà, elle le bût jusqu'à la dernière goutte, aspirant de toutes ses forces les dernières gouttes.




C'est à ce moment que nous sommes arrivés à destination.

Le "Tout mon bonheur à vous deux" du chauffeur résonnait de sensualité lorsque nous sommes sortis de son taxi...

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Déjà Ève m'entraînait... me tirant par la main, comme si le ciel allait s'effondrer si nous n'allions pas rapidement dans la chambre de l'hôtel, dont le jeune gardien de nuit nous confia les clés avec un "Bonne Nuit" chargé d'envie.




Trois heures après j'étais sur les genoux.
J'avais craché ma sauce déjà quatre fois et j'aurais bien aimé faire une pause jusqu'au matin, mais Ève était insatiable.




Elle avait commencé à défaire ma braguette dans l'ascenseur et dès la porte de la chambre refermée je me suis retrouvé, comme un gigolo, assis sur le lit, la queue à l'air et une bouche gourmande qui s'en occupait.




C'était du grand art...
La fellation, ce n'est pas qu'une question de technique, de réflexe contrôlé, de salive abondante, c'est aussi et surtout une question d'envie...

Visiblement, Ève avait une envie incroyable !


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Et cet instant, qui faisait suite aux slows collés de la soirée, à la séance dans le taxi, aux caresses dans l'ascenseur, est arrivé plus vite que prévu...
J'ai balancé la sauce sans prévenir, maculant son visage et ses seins.




Elle a juste dit, tout en récupérant religieusement mon sperme sur son visage et ses seins, avant de le porter à sa bouche :
- J'adore.

J'ai été une seconde fois surpris de son attitude car en général, si elle ne me refuse pas de gicler dans sa gorge, Ève prend soin de s'en débarrasser dans une serviette.


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Mais ce n'était que le début...
J'ai eu droit à tout ce qu'un homme peut rêver.
La tendresse, l'amour mais aussi un strip-tease.




J'ai "honoré" ou, plus exactement, elle s'est "faite honorer" deux fois, me vidant les couilles de plus en plus.


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Mais je ne vais pas me plaindre.
C'était divin et exceptionnel.




Jamais nous n'avions baisé comme cela, même si Ève n'avait jamais craché sur la chose et en demandait même souvent.




Donc, je demandai grâce et essayai de la persuader que "demain matin, je lui montrerais le grand méchant loup bien reposé".

-----------------------------------------------------------------

Mais Ève en voulait encore.
- Non une bonne nuit, c'est au moins cinq fois. Moi j'ai encore envie. Si tu ne peux plus, je vais...

Elle ne continue pas sa phrase et se lève de notre couche, souillée de nos liqueurs, pour commencer à s'habiller.
Je demande :
- Mais que fais-tu ?
- Le gardien de nuit sera heureux de se faire une jolie blonde...




La remarque me sidère.
Je ne sais pas si c'est une provocation ou...
Je décide de jouer le jeu.
- Mais tu es une cochonne ! Je suis avec une salope qui ne rêve que de baise !?

Elle rétorque :
- Si l'homme n'est pas capable, alors la femme se doit de...
- Approche, dis-je d'un ton qui ne souffre pas la réplique.


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À moitié nue, à moitié habillée, elle revient vers le lit.
À moitié femme, à moitié pute.
À moitié compagne, à moitié salope.

Je ne sais pas si elle parlait sérieusement, mais sa remarque vient de me donner une idée...
- Une femme doit tout offrir à son homme, même son pucelage ! Non ?

Elle sourit.
- Ça va être difficile, mon chéri. Tu es bien placé pour le savoir. Il y a longtemps que j'ai connu le grand méchant loup.
- C'est vrai, mais à ma connaissance tu es encore vierge du...




Je ne termine pas ma phrase, mais mon regard parle pour moi.
Je parle de son cul.
Ève m'a toujours refusé ce chemin.

Elle a parfaitement compris.
Je m'attendais à son refus, mais j'entends :
- Tu as raison une femme doit tout à son homme !

Et, théâtrale, elle ouvre les bras en disant :
- Monsieur, faites de moi ce que bon vous semble.

Mais plus bas et avec un regard remplis de perversité :
- Surtout faites-moi jouir !




Je n'hésite pas.
Je la fais s'installer en levrette sur le lit, la tête en appui sur le drap, les reins cambrés.

J'ai tout le temps d'admirer ses fesses rebondies, ses cuisses musclées, la raie qui tire un trait dans le sens vertical.




Je couvre les lobes de baisers et puis mes mains caressent ses formes, découvrant comme une première fois le velouté de sa peau, la tache sombre de sa rondelle, perdue au fond de sa raie, le bombé de son pubis.
Je m'y aventure et caresse le réceptacle, déclenchant une réaction de mon hypersensible compagne.




Ses deux mains viennent se placer de part et d'autre de sa raie, écartant les lobes pour offrir à mon regard et à bien plus, son trou sombre, porte jusque-là fermée à mon désir.

Mais Ève, par ce geste, me l'apporte maintenant sur un plateau.
Elle glisse même un doigt sur son anus, ainsi offert, afin de le stimuler.




Comment résister ?
D'un doigt, je viens en vérifier le contour, testant la dureté du sphincter avant de le pointer au centre de cet anneau que je désire depuis si longtemps.

Mon doigt explorateur pénètre et entrouvre la porte et se glisse, tel un serpent, dans son repère.
Bientôt, sans forcer, le voici au plus profond qu'il puisse atteindre.


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Les reins d'Ève sont un appel au viol et, dès le début, dès notre première levrette, j'ai été obnubilé par ce chemin.

Mon doigt tourne, se vrille dans son cul, tel une petite bite.
Les mains d'Ève, qui écartaient ses fesses, abandonnent le champ de bataille pour aller vers d'autres combats...

Ève ne se plaint pas lorsque le majeur rejoint l'index, ouvrant le cul largement.
Le sphincter étrangle la troisième phalange alors que les deux autres l'explorent profondément.


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Elle voulait une cinquième fois mais la sodomie ne doit être que le bouquet final...

Ève gémit lorsque ma queue, redevenue une barre, entre dans son vagin encore rempli de mes œuvres et de ses jouissance.
Comme mes doigts dans son anus gênent ma progression, je les retire et les remplace par mon seul index, crochet que je tourne et active.

Ma cochonne retrouve tous ses réflexes.
Pendant que je la baise, le doigt dans le cul, je sens qu'elle se caresse le clitoris et j'imagine que son autre main caresse un de ses seins.


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Je pourrais la bourrer pendant des heures.
Ma queue est insensible et nage dans son vagin dilaté et gluant.

Mais Ève n'avait pas menti, elle avait encore envie...
Après un temps qui ne m'a pas paru si long et où je l'ai bourrée si fort que son corps tremblait, sa jouissance est venue.
Jouissance plus calme, moins extériorisée que les premières de la nuit.


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Peut-être un espoir que ma nymphomane de la nuit s'apaise ?
Je ne doute pas que l'alcool a eu une réaction qui l'a transformée en "bête de sexe", en femelle à remplir, en nymphomane.
Mais l'effet de l'alcool doit se dissiper...

Moi, j'ai mon envie à satisfaire.
Ma queue est toujours aussi raide et l'œillet qui ne se referme pas après le retrait de mon pouce, est un clin d'œil à ma perversité.
Je laisse tomber de la salive sur le trou qui m'attend.


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Mon gland est impatient.
Je pousse et je vois le muscle céder devant l'attaque.
C'est magique, merveilleux, divin.

Je brûle de sentir mes couilles buter contre cette fente.
- Ahhhh...




J'ai bien peur que ce ne soit pas un gémissement de plaisir mais plutôt la plainte d'Ève qui vient de perdre sa dernière virginité.
C'est serré et ma queue est littéralement massée de toute part par le boyau étroit.

En temps normal, j'aurais lâché ma purée rapidement, tellement je suis à l'étroit.
Mais grâce à Ève qui, devenue "salope éphémère", m'a déjà vidé les couilles plusieurs fois, je me sens inépuisable.


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Les gémissements qui s'échappent de sa bouche ne cessent pas, mais aucune protestation ne vient me demander d'arrêter.
C'est ma queue qui décide.

Elle libère mes derniers centilitres de foutre, juste assez pour baptiser le lieu et rendre mes derniers va-et-vient plus fluides.


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Après, je m'effondre sur le lit, le sexe douloureux de tant de frottements.
Le visage d'Ève est marqué, ses yeux sont cernés, son maquillage est défait...
Je m'endors.

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