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Émilie, directrice et traînée de lycée - 5 Le lendemain, comme promis, je me suis arrangée pour surveiller les collés à la place du pion. Six élèves seulement sont présents cet après-midi, cinq garçons et une fille. Ils vaquent à leurs occupations, certains écrivant des textos, d'autres révisant leurs cours, un autre effectuant le devoir qu'il n'avait pas fait, justifiant qu'il se retrouve ici. ![]() images similaires Habillée de manière sexy comme à mon habitude (un tailleur violet très moulant sans soutien-gorge, une minijupe fendue sur le côté, des bas et un string), je déambule dans la salle pour surveiller tout ce petit monde. Mis à part celui de la fille, très jolie au demeurant, tous les regards sont sur moi. Mon dieu que cela m'excite de me savoir observée et désirée ainsi... ![]() A quinze heures, après 2h de colle, tous les élèves partent sauf ceux ayant eu 4h, en l'occurrence Florian et un autre. Il fait chaud cet après-midi et je me sens excitée. Les clins d'œil de Florian à mon égard ne sont pas étrangers à cela. Mais il y a aussi le fait que depuis qu'ils ne sont plus que deux dans la salle, je les imagine se levant pour me violer sur le bureau... Ils me baiseraient à tour de rôle, abuseraient de ma bouche, de mon sexe et de mon cul, peut-être même qu'ils me prendraient en double pénétration, avides de porno qu'ils sont. Et ils finiraient en me recouvrant de leur sperme abondant. Ces actes que je refusais évidement dans mes précédentes relations et que je trouvais dégradant m'excitaient maintenant au plus haut point... pourquoi ?? Quelque chose changeait en moi. En tout cas, mon string était trempé et j'avais une furieuse envie de me caresser devant eux. D'autant que, assise à mon bureau (en fait, une simple table sur une estrade) ou appuyée sur des tables près d'eux, je m'amusais à croiser et décroiser mes jambes pour exposer furtivement mon entrejambe. ![]() images similaires ![]() images similaires ![]() images similaires Les deux compères n'en loupaient pas une miette, tandis que je faisais semblant de ne rien voir, occupée à remplir de la paperasse. J'ai croisé ainsi de nombreuses fois mes jambes pour allumer les garçons et je suis même restée plusieurs secondes d'affilées jambes légèrement écartées pour les inciter à me mater imprudemment et les prendre sur le fait. Lorsque je sentais que j'abusais un peu en terme de jeu de jambes ou que je captais leur regard un certain nombre de fois, je me levais, l'air contrariée et m'approchais des garçons pour voir ce qu'ils faisaient. Une fois à côté d'eux, je m'amusais à me pencher vers eux en leur exposant mon décolleté ou je m'assoyais sur le rebord de leur table en le montrant mes cuisses. ![]() images similaires Je les rendais dingues et même Florian qui savait pourtant qu'il pouvait me baiser quand il voulait prenait beaucoup de plaisir à ce petit jeu. Il devenait même entreprenant et, alors que j'étais penchée vers lui, dos à l'autre élève, il ouvre un peu plus mon chemisier et contemple mes gros seins et mes tétons bien durs. Puis, décidément coquin, il se saisi du crayon que j'ai dans la bouche (et avec lequel je n'hésite pas jouer les allumeuses), le loge entre mes seins et le laisse ainsi bloqué. ![]() Je reste un peu dans cette position plus que provocante en tendant encore un peu plus mon cul en direction de l'autre élève qui, je le sens, à les yeux rivés sur mes fesses et mes bas dont on voit probablement la dentelle. Puis je retire le crayon d'entre mes seins et le remet dans ma bouche pour jouer avec en me retournant vers l'autre élève. Je me dirige vers lui et me penche sur son bureau. Lui ne se permet évidemment pas d'agrandir mon décolleté, qui n'en a d'ailleurs pas besoin puisque je l'ai laissé tel que Florian l'avait ouvert, mais à tout de même le regard plongé dans ma poitrine. ![]() images similaires Je sais pertinemment qu'ainsi penchée, il voit quasiment mes seins nus. Mais cela ne me gêne pas, au contraire. Je sens également qu'un de mes tétons est au bord de l'évasion et que l'on voit déjà moitié de mon auréole dépasser de mon chemisier. Mais je continue de faire comme si je ne voyais rien, ce qui est encore ma meilleure défense en cas de reproche pour mon comportement. ![]() images similaires En effet, la seule chose qui me différencie d'une exhibitionniste, c'est le caractère sois disant « accidentel » ou « non voulu » de mes provocations. L'essentiel est que, collectivement, les gens considèrent que je ne le fait pas exprès même si certains, individuellement, en doute et pensent que c'est volontaire. Si j'enlevais mon chemisier pour montrer mes gros seins en leur demandant si ça leur plaisait, ce doute, même léger, serait levé, je serais vue comme une perverse et donc foutue. ![]() images similaires La frontière était mince entre simple allumeuse ou salope assumée et je parvenais jusqu'ici à la maintenir en place. Tout cela allait bientôt voler en éclats... Revenons à la surveillance. Les quatre heures touchaient à leur fin et les deux élèves s'apprêtent à sortir. J'étais très excitée, légèrement frustrée de ne pas avoir pu aller plus loin même si, assise sur le coin de mon bureau, j'ai réussi à me donner un peu de plaisir en frottant mon sexe contre le bord. ![]() De la même manière, je n'ai pas résisté à l'envie de me caresser sous mon bureau en profitant des moments où les garçons étaient réellement plongés dans leur punition. ![]() J'ai dû faire preuve de prudence et je me suis malgré ça fait surprendre la main entre les cuisses au moins une fois par Florian et sans doute une fois également par l'autre élève. Mais c'était tellement bon... La sonnerie retenti dans les couloirs, me ramenant à la réalité et me faisant cesser toute tentatives de me masturber en classe. Florian traîne un peu à ranger ses affaires, alors que son collègue quitte la salle en me saluant chaleureusement, si bien que nous pouvons échanger quelques mots en privés. - Tu as encore du temps avant l'heure de retour des autres ? - Une petite heure, à peine... - Alors retrouve-moi à la sortie du parking des profs. On va faire une petite balade en voiture... - Vous ne me ferez pas le coup de la panne au moins ? - Pour tout ce qui est « panne », c'est plutôt à toi d'assurer. Là, il va plutôt falloir être rapide. Ok ? - Ok ! Cinq minutes plus tard nous étions dans ma voiture ; cinq minutes et trois seconde plus tard, il avait sa main dans mon string et me doigtait alors que je le conduisais vers un petit bosquet où je connaissais un coin tranquille. J'y allais souvent manger à l'époque où ça n'allait pas fort pour moi dans ce lycée et je n'y avais jamais rencontré quiconque. ![]() images similaires J'étais tellement excitée par ces 4h de colle, que les 7 ou 8 minutes de trajet ont suffis à ce petit pervers pour me faire jouir avec juste un doigt dans ma chatte et sa langue sur mes tétons. Arrivé au bosquet, nous sortons immédiatement de la voiture et je me précipite sur lui pour le sucer goulument. ![]() images similaires Il apprécie mes caresses buccales mais, contrairement à moi qui viens de jouir dans la voiture, lui est toujours aussi terriblement excité par les 4h de colle durant lesquelles je n'ai cessé de l'allumer. Il me relève donc précipitamment, retire mon string et me prend sans ménagement par derrière sur le capot de ma voiture. ![]() images similaires Très excité, il me bourre comme un fou et me donne des claques sur les fesses. Il ne lui faut que quelques minutes pour m'annoncer : - Je vais jouir, je peux venir sur vous ? Anticipant ma réponse et maintenant habitué à cette façon de finir, il commence aussitôt à se retirer. ![]() Mais alors que je sens son sexe sortir de ma chatte, un vif sentiment de frustration et de vide me saisit. J'ai envie de le sentir finir en moi. De sentir son sperme en moi. - NON, te retire pas ! Jouis en moi ! Remplis-moi... - Vous... Vous êtes sûre ? Votre histoire de pilule... - T'occupe ! Continue de me baiser et viens en moi ! Oui... Encore.... Continue je viens aussi... ENCORE !!! Et alors qu'il donne le dernier coup de boutoir libérant sa semence, il me déclenche un délicieux orgasme, le premier que nous aillions de manière synchronisée. Je sens ses jets de foutre me remplir de vagin alors que des spasmes me secouent de plaisir. ![]() - Oh oui, putain, soupirais-je alors, que c'est bon de sentir ton foutre en moi... Putain, ça m'avait manqué, tu peux pas savoir ! Il reste calé en moi quelques instants pour que je profite de cette agréable sensation, puis il se retire et laisse échapper un flot impressionnant de sperme épais. ![]() Je m'empresse de descendre du capot pour que le liquide tombe au sol et non sur mon ma voiture. Accroupie au pied de ma voiture, je joue avec ma chatte et ce liquide épais qui en sort et qui, décidément, ne me dégoûte plus du tout. ![]() images similaires Je me surprends même à porter un doigt à ma bouche et à y goûter encore une fois. Et à nouveau, le goût ne me parait pas si dégueu... Après, de là à dire que c'est bon, quand même pas ! ![]() - Vous... vous n'allez pas tomber enceinte ? - C'est possible... Mais, tu sais, j'ai toujours voulu un enfant d'un de mes élèves. - Hein ? Quoi ? Mais... - Je déconne ! La tête que tu as faite, haha ! Ce soir, je passe à la pharmacie prendre une pilule du lendemain et je me fais prescrire une pilule contraceptive. Je ne voulais juste pas franchir ce pas car cela devait rester exceptionnel mais il faut bien admettre que, finalement, on baise aussi souvent que possible. - Ca veut dire que je ne serais plus obligé de me retirer à chaque fois ? - Oui, et du coup, terminé les faciales ! - Ha ? Mais... - Je déconne encore ! T'es naïf, toi ? Allez, on rentre. Soulagée, apaisée, je ramène Florian à l'internat avec l'agréable sensation d'avoir du sperme qui suinte de moi. La sensation de me sentir revivre. |