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Lisa
21 mai 2020
La Cousine - 8. Corne d'abondance (Partie 2)


Laurine, enlacée à Camille, rigole de la réflexion de Raphaël qui compare ses testicules à des raisins secs tellement ils sont vides de sperme :
- Hihi, dans tes rêves ! En une heure, tu vas avoir le temps de recharger.
- Et comme on est sympa, Laurine et moi, on va s'occuper d'entretenir tes petits raisins jusqu'à notre départ.



Raphaël soupire en rigolant :
- Vous allez me tuer, les filles.
- Tu as raison. Reprenons un peu de forces.
Camille va à la cuisine et ouvre le frigo :
- Je peux te piquer un yaourt ?
Raphaël a les yeux exorbités à voir la croupe de sa cousine quand elle se penche devant le frigo.


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Le regard que porte Raphaël à sa cousine n'échappe pas à Laurine :
- Raphaël ?
- Hum, oui ?
- Je rêve ou bien tu as encore très envie du cul de ta cousine ?



Raphaël sourit :
- Ce n'est pas parce que j'ai les couilles vides que je n'éprouve pas de désir...
Camille a parfaitement entendu l'échange entre Laurine et Raphaël. Toutefois, elle fait semblant de n'avoir rien entendu et referme le frigo, équipée d'un yaourt nature. Après s'être armée d'une petite cuillère, elle se penche sur le plan de travail, sans doute plus cambrée que nécessaire, pour déguster son yaourt.



Laurine s'approche de lui :
- Il m'avait semblé que tu commençais à débander mais ça ne semble pas être le cas... Pas du tout.
- Et tu penses sérieusement qu'il me reste du sperme ?
- Tu es le seul à ne pas y croire ici.
Laurine saisit le sexe et commence à le masturber.


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Laurine appelle sa collègue :
- Camille, ton cousin a encore très envie de ton cul, tu sais ?
- Oui, mais mon cul a besoin d'un peu de repos après ce qu'il m'a mis...


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Laurine fait la moue,
- Dommage... Tu devrais au moins essayer de le branler entre tes fesses. J'ai trouvé très excitant de sentir sa queue glisser contre ma moule et mon anus et ses couilles effleurer mon clitoris...
Camille se tourne alors pour présenter sa croupe :
- Je pense que ça pourrait effectivement m'exciter.



- Ma chérie, dit Laurine, je crois bien que tu es déjà très excitée.
- Tu crois ?
- Oui, je vois comme une humidité entre tes cuisses. Raphaël, approche-toi et dis-moi ce que tu en penses ?
Le cousin s'exécute et s'accroupit derrière Camille pour constater.


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- Aucun doute. Ma cousine mouille déjà abondamment...
Camille le fait se redresser et tourne la tête vers lui :
- Et ta cousine a besoin d'un gros câlin...
Raphaël se relève aussi et vient embrasser sa cousine tandis qu'une main s'active entre ses cuisses et une autre sur sa poitrine.



Puis Raphaël se recule et, la faisant se pencher à nouveau sur le plan de travail, il lui caresse les fesses de sa cousine en les écartant pour bien exposer l'anus et la moule :
- Voilà un séant qui semble bien accueillant...
- Oui, mais pas de sodomie. Mon petit trou a besoin de repos. Par contre, je veux bien que tu te masturbes entre mes fesses puisque Laurine me dit que ça vaut le coup !


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- Tes désirs sont des ordres, Camille. Mais avant ça...
Il la laisse toujours cambrée et s'accroupit derrière elle pour commencer à lui lécher et sucer la moule. Camille feule de plaisir :
- Mmmm, tu es un élève très studieux, Raphy...



Quand sa cousine commence à gémir significativement, il se redresse. Il admire la sublime croupe et sourit :
- Si tu savais comme je suis tenté de plonger ma queue dans ta rondelle...
- J'ai dit non !
- Et si tu savais comme je me maudis d'être aussi fidèle et de ne pas te prendre en levrette...
- Là, c'est toi qui vois...
- Je m'en tiens au plan !
Résigné, il cale son sexe tendu entre les deux globes fessiers de sa cousine.



Camille s'amuse alors à monter et descendre sa croupe le long du membre dressé :
- Ooooh, c'est vrai que c'est délicieux de sentir ce puissant pieu coulisser contre mon anus et les bourses frôler ma moule.
Raphaël accompagne Camille par d'amples mouvements du bassin pour bien glisser sur toute la longueur de sa verge.



Quand il est en bas et elle en haut, Camille prend conscience qu'il n'aurait qu'un petit coup de rein à donner pour empaler sa tige dans sa moule :
- Gare à l'accident !
- Je suis tenté, mais vigilent...
Les mains sur les hanches de sa cousine, il continue à faire lentement coulisser son sexe dans la raie de ses fesses.


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Mais l'idée exposée par sa cousine a fait son chemin et, d'imaginer l'accident, sa queue pénétrant le sexe de sa cousine, Raphaël sent le plaisir monter irrémédiablement :
- Oh putain... je viens déjà...
Ses bourses se contractent, sa queue se tend et le sperme se met à gicler, maculant le dos et les fesses de Camille.



Camille tourne la tête :
- Laurine avait raison... tes couilles ne sont pas encore vides... loin de là.
- Je crois que vous m'excitez tellement, toutes les deux, que je produits du sperme de façon continue. Mais là je pense que c'est bon...
Raphaël s'astique la queue frénétiquement pour en faire sortir les dernières gouttes.



Raphaël vient se coller à nouveau à sa cousine, frottant son sexe contre ses fesses et son dos pour bien étaler le sperme :
- Et toi, ma belle, ça t'a plu ?
- Oui, Laurine avait raison, c'est très excitant de branler un homme comme ça. Il faudra que je fasse découvrir ça à Boris !
- Je suis certain qu'il va adorer.



- Je pense qu'il va éjaculer rien qu'à entendre le récit de mon séjour ici !
- Et il ne débandera pas une minute.
- Comme toi !
Camille masturbe son cousin et l'embrasse.



Puis, elle l'abandonne et s'appuie à nouveau au plan de travail de la cuisine pour se cambrer et présenter son cul. Raphaël écarquille les yeux :
- Ah non, là, il va me falloir quelques minutes de repos...
- Mais non idiot, je me mets en position pour que Laurine vienne me nettoyer.



Laurine sourit :
- Ah, je suis contente que tu me sollicite. J'en ai un peu marre de regarder, moi.
Laurine vient s'accroupir derrière la croupe de sa collègue et lui lèche délicatement le dos, puis les fesses, avant de descendre sur la moule humide où pourtant il n'y avait pas tant de sperme que ça.


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Camille se met à gémir :
- Oh putain, qu'est-ce que j'aime quand tu t'occupes de ma toilette, Laurine !
Laurine abandonne alors la moule pour se concentrer sur le petit trou de sa collègue, lui arrachant des gémissements encore plus intenses. Camille se laisse alors aller à un nouvel orgasme, pas aussi intense qu'elle l'aurait espéré, mais cependant terriblement agréable.


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Quand Camille a repris ses esprits, elle se lève et regarde, amusée, Raphaël qui observe, fasciné, les deux filles :
- Eh bien, cher Cousin, je constate que tu ne débandes toujours pas...
- Je dois avouer que voir cette petite toilette me donne beaucoup d'émotions.
Camille s'avance vers lui avec le regard un peu trouble, sans doute à peine remise de son orgasme :
- Et toi aussi tu as le droit à une petite toilette...
Sans lui laisser le temps de réagir, elle s'agenouille devant son cousin et engouffre son sexe en bouche pour le sucer en regardant Laurine.


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Laurine montre sa frustration :
- Hey ! Normalement, c'est mon job, le nettoyage et toi tu viens déjà de la faire éjaculer !
- Mais je ne veux pas le faire jouir, juste le nettoyer, voyons...
Camille se met alors à masser les couilles de son cousin en les lui léchant en même temps.


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Elle sent soudain que son cousin se raidi et que les couilles se contractent. Innocemment, elle serre la base du sexe et se tourne vers Laurine :
- Et puis, avec les couilles vides, il ne risque pas d'éjaculer.
Refaisant face au sexe turgescent, elle relâche alors la pression. Raphaël pousse un profond râle de contentement alors que deux giclées de sperme viennent s'écraser sur la bouche entrouverte de sa cousine.


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- Oups, je me suis laissée surprendre comme une débutante...
- Pffff, tu savais pertinemment que tu le ferais éjaculer en lui suçant les boules comme ça.
- N'empêche qu'il lui restait encore un peu de sperme.


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Camille se relève et se tourne vers Laurine :
- Tu viens me nettoyer ?
- Pas cette fois-ci.
- Je comprends...
Camille essuie le sperme sur son menton avec la paume de la main. Puis elle l'étale sur ses seins :
- ... tu en as un peu marre de tout ce sperme.



Laurine lui fait un clin d'œil :
- Pas du tout, ma chère. Juste que je dois m'occuper de quelqu'un d'autre.
Elle s'agenouille alors devant Raphaël qui commençait seulement à débander et se met à le sucer, lui redonnant une vigueur parfaite en moins de vingt secondes.


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Raphaël grogne, de plaisir et peut-être de douleur :
- Rhaaaa, j'ai les couilles en feu tellement vous me vider les filles...
Laurine se relève alors :
- J'ai pitié. C'est vrai qu'on ne t'a pas laissé beaucoup de répit et tu t'es montré exceptionnellement endurant.
En l'embrasse tout en continuant à le masturber.


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Dans le baiser terriblement érotique qu'il échange avec Laurine, il se rend compte que la bouche de la jolie blonde est pleine des parfums suaves de la cyprine de sa cousine, mélangée à son propre sperme. Cette prise de conscience l'excite terriblement et il sent qu'il va jouir encore. Laurine sent sa panique et, sans interrompre son baiser, elle le masturbe avec encore plus d'intensité. Quelques petites giclées de sperme s'échappent alors et atteignent Laurine haut sur le ventre, jusque sous les seins. La jeune fille se détache de Raphaël et admire :
- Oh, je crois qu'il en restait encore un peu finalement...


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Se tournant alors vers Camille, elle se rend compte que sa collègue n'est plus dans la pièce :
- Camille ? Mince, je voulais lui demander un retour de service et qu'elle me nettoie à mon tour... Tant pis.
Avec les doigts, elle récolte méticuleusement le sperme sur son ventre et le porte à sa bouche. Raphaël est fasciné et il est encore plus subjugué quand elle s'amuse à laisser sortir lentement de sa bouche le sperme qu'elle n'a volontairement pas avalé.



Laurine regarde Raphaël avec amusement :
- Que préfères-tu ? Quand j'avale ton sperme ou quand il coule sur mes seins ?
- Je... je trouve les deux tout aussi excitants.



Camille réapparaît alors, habillée d'un short et en train de renfiler son débardeur :
- Laurine, enfile tes fringues, on n'a pas fait gaffe à l'heure et on est à la bourre pour rejoindre la gare !
Laurine regarde l'heure et dit :
- Mince, effectivement.
- J'ai descendu les sacs, ils sont juste là.


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Laurine sort alors une petite robe bleue et s'apprête à l'enfiler. Raphaël semble surpris :
- Attends, je vais te chercher une serviette que tu t'essuies au moins avant de t'habiller.
- Non, c'est pas grave, laisse. Je vais faire comme Camille.
Elle essuie alors le sperme avec la paume de la main et l'étale sur sa poitrine et son ventre :
- Cela me fera un souvenir jusqu'à ma douche de ce soir.
La jeune blonde commence alors à s'habiller.



Raphaël voit que ni l'une ni l'autre ne mette de sous-vêtement :
- Mais vous allez prendre le train dans cette tenue, sans soutif ni culotte ?
Camille lui répond, très sérieusement ;
- Bah oui... et là on n'a vraiment pas le temps.
Raphaël trouve le débardeur de sa cousine particulièrement indécent avec sa poitrine aux tétons arrogants qui tendent le fin tissu blanc.



Laurine se tourne vers lui et ajoute :
- Et puis, je suis très excitée... je n'ai pas eu autant d'orgasmes que Camille donc ce sera plus pratique pour se donner discrètement du plaisir dans le train...
- Tu... tu comptes vraiment faire ça... dans le train ?
- Oui, pourquoi pas ?
Laurine retrousse sa petite robe et montre à Raphaël comme il lui est simple de se caresser la moule.




Raphaël, en train de se rhabiller, parait un peu honteux :
- C'est vrai que je me suis surtout occupé de Camille alors que toi aussi tu m'as beaucoup appris... Je suis désolé.
- Oh, je n'ai pas dit ça pour te faire culpabiliser ! Ne t'inquiète pas. C'était génial que tu nous accueilles. On s'est bien amusées.
Laurine termine d'ajuster sa robe en souriant à Raphaël.



Camille vient embrasser son cousin, ne se privant pas de frotter ses seins contre son torse nu :
- C'était vraiment super, Raphaël ! Tu remercieras aussi Pauline.
- Merci à vous les filles. Grâce à vous, je me sens prêt à aimer Pauline comme jamais et à lui faire découvrir des plaisirs qu'elle ne soupçonne même pas. Tout ça c'est grâce à vous !
Camille se dirige vers la porte et se retourne pour lui dire :
- Il fallait bien qu'on te déniaise un peu. J'espère qu'elle ne s'en plaindra pas...


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Raphaël les regarde sortir, un peu nostalgique :
- En tout cas, moi je ne vais pas me plaindre de cette formation. Je me sens gonflé à bloc !
Camille et Laurine se retournent sur le pas de la porte et rigolent :
- C'est ce qu'on voit !
Raphaël se rend compte que son sexe et toujours en érection et qu'il déforme outrageusement son jeans.


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ÉPILOGUE

Quand Pauline rentre de l'hôpital, Raphaël trouve amusant de voir qu'elle est presque habillée comme Camille, un minishort et un haut de coton blanc, à la différence qu'il s'agit d'un tee-shirt et non d'un débardeur :
- Salut Raph'. Alors, pas trop durs les adieux avec ta cousine ?
- Si un peu... Mais c'était très sympa de la revoir.
- Tu fantasmes beaucoup sur elle ?
- Je dois avouer que oui...
- Parce qu'elle ne porte pas de soutien-gorge ?



Alors qu'il s'apprête à répondre, Raphaël se rend compte que Pauline non plus ne semble pas en porter :
- Oui, ça joue. Mais j'ai l'impression qu'elle t'a inspirée, non ?
- Oui, je suis partie sans hier soir...
- Tu veux dire que tu as bossé sans soutif ?
- Oui... j'imagine que ça t'excite de te dire que des patients et des collègues ont pu se rincer l'œil sur mes nichons ?
En disant cela, Pauline soulève son tee-shirt, pour révéler sa poitrine nue.



Raphaël vient rejoindre Pauline et se colle derrière elle pour l'embrasser dans le cou :
- C'est clair que ça m'excite un max. Et toi ?
- Moi aussi... Mais je ne sais pas si ce sont les regards des autres sur ma poitrine ou bien de savoir que tu étais à la maison avec ta cousine sexy...
- Jalouse ?
- Un peu, mais surtout excitée...
- Fais voir...
Raphaël lui glisse une main dans la culotte et y découvre effectivement une humidité bien marquée.



Pauline ferme les yeux et murmure :
- Tu l'as baisée, Camille ? Ou sa copine ?
- Non. On a fait quelques petits jeux érotiques, des attouchements mais les filles voulaient surtout m'apprendre à m'occuper correctement d'une moule.
- Ah oui ?
- Oui... Sans doute qu'elles ont trouvé que j'étais trop obnubilé par les nichons...
Le jeune homme se place devant sa copine et empoigne ses seins pour en lécher un par un les mamelons durcis par le désir.



- Je ne trouve pas que ce soit un défaut, mais ça m'intéresse de savoir ce qu'elles ont pu t'apprendre sur la moule.
Raphaël fait glisser le short et la culotte de sa copine et les lui retire. Puis commençant à faire glisser ses doigts entre les cuisses de Pauline, il lui dit :
- Je pense qu'une démonstration sera plus éloquente que de longs discours...



- De longs discours sur le sexe peuvent aussi être très excitants.
Raphaël relève la tête. Il est surpris d'entendre ça dans la bouche de Pauline. De la part de Camille, ça ne l'aurait pas surpris, mais il semble découvrir une facette de sa copine qu'il ne connaissait pas encore. Ravi, il s'agenouille et, le visage entre ses cuisses, il commence à lui lécher la fente.


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Camille ferme les yeux et apprécie la caresse. Elle se met à gémir. Contrairement à la précédente fois, elle découvre un homme moins fougueux et plus attentif à son plaisir. Il ne lui bouffe pas la chatte, il la déguste ! Aussi elle le laisse volontiers continuer. De même qu'elle le laisse faire lorsqu'il la fait s'allonger sur le lit et qu'il plonge à nouveau son visage sur sa moule pour continuer son cunnilingus. Pauline gémit de plus en plus.



Quand il sent qu'il n'est pas loin de lui déclencher un orgasme, Raphaël s'interrompt et lui dit :
- Maintenant, mets-toi à quatre pattes, cuisses écartées.
Pauline s'exécute et le regarde se mettre nu, libérant une imposante érection :
- Mmmmm, j'ai hâte que tu me la mettes...


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Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ce n'est pas du tout l'intention de Raphaël. Quand il s'approche d'elle, il lui dit :
- Allons ma chérie, ne soit pas si impatiente. J'ai d'autres cordes à mon arc désormais...
Il s'allonge alors, la tête entre ses cuisses puis se tourne sur le dos pour se retrouver le visage sous le sexe de sa copine. Aussitôt, sa langue se met à parcourir tous les recoins de la vulve déjà dégoulinante de cyprine, arrachant à Pauline des gémissements de plaisir intense.



Camille et Laurine sont parvenues à monter dans le train juste une minute avant le départ. Épuisées d'avoir couru pour ne pas le rater, elles ne cherchent même pas à se mettre côte à côte et s'assoient où elles peuvent, le train étant bonder. Camille se glisse à côté d'un homme d'âge mûr qui ne fait pas trop d'effort pour la laisser passer, l'obligeant à frotter ses fesses contre son ventre... Il la laisse même s'installer avant de se rasseoir pour profiter de la vue dans le décolleté. Aux yeux écarquillés qu'il fait, Camille sait qu'il a découvert qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle l'ignore et sort son téléphone portable au moment où le train commence à démarrer.



Les petits sursauts du train pour se lancer font ballotter la poitrine de Camille. Elle sait que le gars en profite pour se rincer l'œil. Un autre jeune homme à lunettes l'espionne lui aussi en profitant du reflet renvoyé par la vitre du porte-bagages au-dessus d'elle. Son téléphone se met à vibrer. Un message de Raphaël "Merci" accompagné d'une pièce-jointe. Quand elle ouvre la pièce-jointe, elle découvre avec surprise qu'il s'agit d'un selfie réalisé par Pauline alors que Raphaël est allongé entre ses cuisses en train de lui déguster la moule.



Camille est ravie. Raphaël a mis en application ce qu'elles lui ont appris et le résultat est au-delà de ses espérances puisque c'est Pauline elle-même qui la remercie ! Elle reste à regarder la photo quelques minutes, fantasmant qu'elle se trouve avec eux et qu'elle participe aussi, s'occupant par exemple de la queue de son cousin. Camille a très envie de glisser une main dans son short pour se caresser. Elle se dit que Laurine n'avait pas tort de mettre une robe. Alors qu'elle sent son ventre la chatouiller et la mouille commencer à humidifier son entrecuisse, elle tourne les yeux vers les cuisses de son voisin et voit une proéminence peu discrète déformer l'entrejambe du jeans. Elle prend alors conscience que son voisin a toujours la tête tournée vers elle.



Elle écarte précipitamment l'écran du portable mais se rend compte qu'en réalité, c'est dans son décolleté qu'il plonge son regard depuis le début. Sans bouger, elle décide de fermer les yeux et de faire mine de dormir pour qu'il puisse se rincer l'œil en toute quiétude. Les petits mouvements et les petits bruissements qu'elle ressent lui laissent penser qu'il en a même profiter pour prendre des photos. Camille est très excitée par tout cela mais ce qu'elle veut surtout, c'est retrouver Boris pour lui raconter son séjour incroyable chez son cousin.


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