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Lisa
15 février 2021
Weekend sportif - 3 : Premier match

Samedi, 13h59

Après le repas, Cédric et Pauline reprenne le chemin du cours de tennis. Cédric garde une demi érection permanente, dans un état second et sait qu'il ne va pas en mener large durant cette partie de tennis. Pauline rigole en voyant son short déformé :
- Tout va bien, mon chéri ?
- Oui... mais je me dis que j'aurais dû te laisser m'achever tout à l'heure dans les douches. Là, je suis tellement fébrile que tu vas pouvoir marquer tous les points que tu veux.
- Je sais... En plus, tu vas être confronté à mon arme secrète...
Cédric fronce les sourcils alors qu'ils entrent pas le petit bâtiment des vestiaires. Il s'apprête à lui demander la nature de cette arme secrète mais la jeune fille s'enferme à ce moment là dans les toilettes :
- Je te rejoins tout de suite.
Cédric laisse donc le sac de change dans les vestiaires et emmène les raquettes et les balles. Quand il la voit arriver, il comprend quelle arme secrète elle parlait en voyant balloter sa poitrine sous le débardeur, de toute évidence désormais libérée de la brassière. Elle se met en position, attendant le service de son fiancé, suffisamment penchée pour qu'il n'ait aucun doute en observant les seins libres dans le décolleté.


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Cédric soupire mais se demande bien comment il va bien pouvoir se concentrer. Il sert. Bien sûr la balle atterrit dans le filet. Pauline rigole :
- Eh bien ? Mon arme secrète te trouble à ce point ?
Elle s'approche du filet et se penche à nouveau dessus pour atteindre la balle. Cédric se plaint :
- Tu ne me laisses aucune chance...
- Et encore, tu n'as pas tout vu !
Pauline, ne parvenant pas à atteindre la balle, appuie sur le filet pour enjamber celui-ci. Dans ce mouvement, la jupette remonte sur sa taille, découvrant ses magnifiques fesses.



Cédric proteste :
- Ah non ! La culotte aussi ?
Ayant attrapée la balle, Pauline se redresse et lui sourit :
- Oui, je n'ai pas mis de culotte, mais j'ai quand même mis un string.
Elle soulève la jupette pour que son fiancé se rende compte de son erreur.



Pauline reprend position pour servir :
- Ok. On commence un match et on compte les points.
- Je n'ai aucune chance.
- Mais si, tu es meilleur que moi. Il te suffit de te concentrer.
- Pffff... aucune chance.
- Attention, j'y vais.



Le service est tiré et le match commence. Selon ses mouvements, Pauline sent que ses fesses, à peine cachées par la ficelle du string, se donnent en spectacle. Pas très à l'aise, elle se dit que heureusement son petit abricot est bien recouvert du triangle en coton. Cédric, attentif, le devine malgré tout fort bien. Pauline sent, quand elle court, l'air lui caresser entre les jambes, ce qu'elle trouve très agréable. Malgré cela. elle parvient à rester concentrée sur le match. Pour son fiancé, le match est une succession presque systématique de balles dans le filet ou en dehors du cours. Il ne parvient pas à se concentrer sur le match mais ne semble pas affecté par cette défaite annoncée. Cédric profite du spectacle merveilleux que lui offre sa fiancée. Il est content : il éructe un "Yes !" les rares fois où il marque un point mais surtout aussi à chaque fois que les mouvements de Pauline lui permettent de voir sous sa jupe.



Après plus d'une demi-heure de jeu, ils voient que les deux italiens sont de retour pour les regarder jouer. Cédric voit que Pauline ne s'attendait pas à cela et qu'elle est gênée de cette arrivée imprévue. Assez vite, les deux spectateurs s'aperçoivent de la tenue de Pauline, plus sexy que le matin. Ils ne perdent pas un de ses gestes. Pauline est d'abord un peu gênée par cette présence et les regards qui scrutent ses cuisses et ses fesses en permanence mais elle finit par s'en moquer, même si elle laisse passer quelques points par déconcentration. Puis, quand elle mène largement au score avec une sérieuse avance, elle en rajoute un peu en allant chercher des balles au fond du court et en se penchant au mieux pour offrir ses fesses au regard de Cédric mais aussi à celui des deux spectateurs.



La jeune fille les entend soupirer et chuchoter entre eux. Elle se sent en confiance puisqu'elle gagne, et qu'en plus on l'admire. Pauline finit par les regarder de plus en plus souvent, leur faisant de beaux sourires et même un clin d'œil à la fin du match. Sans venir l'embêter quand ils la voient rejoindre Cédric, ils décident de repartir, sans doute assez satisfait d'avoir pu profiter de mater les jolies jambes et les jolies fesses de la jeune fille qui n'a manifestement rien fait pour les en empêcher, au contraire. Quand les deux gars sont partis, elle interpelle Cédric :
- Je m'occupe des balles.
A chaque balle qu'elle ramasse, Pauline s'arrange pour tourner le dos à son fiancé et se penche bien plus que de raison.



Elle le voit même se passer la langue sur les lèvres d'un air gourmand, signe qu'il a apprécié le match et sa petite exhibition. Elle lui retourne un beau sourire pour lui faire comprendre que c'est en fait un plaisir partagé. Elle s'approche de lui :
- Je vois que tu apprécies mieux le string que la culotte.
- Evidemment. C'est plus agréable.
- Mais ça te déconcentre...
- C'était déloyal... Et absolument magnifique. Nos amis italiens semblent avoir profité eux aussi...
- Oui et ils étaient si concentrés sur mes fesses que je me demande s'ils ont remarqué que je n'avais pas de soutif.



Cédric sourit :
- Moi je l'ai remarqué et ça m'a valu une défaite cuisante.
Pauline se hausse sur la pointe des pieds pour lui chuchoter à l'oreille :
- Je serais capable de jouer sans rien sous ma jupe, tu sais...
Son regard s'illumine aussitôt :
- Chiche !
La jeune fille lui sourit et lui fait un clin d'œil.
- On verra au prochain match, demain demain matin... En attendant, passe-moi la bouteille, tout ça m'a donnée hyper chaud.
Elle prend la bouteille et, sous le regard ahuri de Cédric, se verse directement l'eau sur le visage et dans le cou.



Cédric, qui avait gardé son sexe gentiment gonflé dans son short, sent soudain celui-ci s'éveiller et se tendre comme un arc. Trempé par l'eau, le débardeur de Pauline devient rapidement transparent, épousant avec précision les courbes de ses seins et révélant avec précision ses mamelons tendus.
- Tu es folle... mais tu es magnifique !
- Folle ? Pourquoi donc ?



- Parce qu'on pourrait te voir !
- Et alors ? Les italiens sont partis et ils déjà bien aperçu mes fesses. Je suis presque vexée qu'ils n'aient pas remarqué que je n'avais pas de soutif.
- Tu sais, ça c'est mon fantasme. Beaucoup d'hommes trouvent qu'une fille en sous-vêtements est beaucoup plus sexy.
- Oui, le goût du mystère... Toi, tu veux que je sois accessible à tes caresses.
- Surtout à mes yeux.
- Et à ceux des autres, non ?
Après s'être aussi un peu aspergé les cheveux et le visage, Pauline repose la bouteille. Son débardeur est devenu positivement indécent.



Alors qu'ils ramassent leurs affaires pour regagner les vestiaires, ils tombent nez à nez avec Rodolphe. Celui-ci, le soleil dans le visage, ne voit pas encore Pauline et s'adresse à Cédric :
- Alors ce terrain ? Il n'est pas trop mauvais ?
- Non, il est parfait.
Cédric s'amuse de voir qu'il vient de passer devant Pauline sans remarquer sa tenue. Celle-ci s'adresse au jeune gérant :
- C'est une chance de pourvoir bénéficier de ces infrastructures dans le camping.
Rodolphe se tourne alors vers elle et en perd la voix.



- Heu, je oui... je... c'est chouette.
Cédric et Pauline ne peuvent réprimer leurs sourires devant la gêne du jeune homme. Cédric note même que les mamelons de sa fiancée se tendent encore plus en sentant les regards sur ses seins. Car Rodolphe, bien que gêné, laisse son regard revenir régulièrement sur la splendide poitrine que l'eau dévoile avec tant d'audace. Pauline reprend son sérieux et ajoute :
- Par contre, ça manque d'ombre. Il fait une chaleur à crever. Je suis obligée de me mouiller pour me rafraîchir.



- Je oui...
Rodolphe se tourne vers Cédric avec un air résolu. Il prend une profonde inspiration et dit :
- Il y avait des grands peupliers avant mais le précédent gérant trouvait trop compliquer à entretenir et il a préféré les faire couper par la Mairie. Trop tard pour rattraper le coup, maintenant. Vous n'êtes pas les premier à vous plaindre...
- Oh, on ne se plaint pas, c'est déjà super de pouvoir jouer. On fait attention à beaucoup boire et à se rafraîchir. Mais regardez, je me suis aspergée il y a quelques minutes et c'est déjà en train de sécher.
Pauline bombe le torse faisant gonfler sa poitrine.



Cédric constate effectivement que le débardeur est déjà nettement moins transparent. Il se demande même si sa remarque n'était pas innocente. Mais en voyant le regard pétillant qu'elle porte au jeune homme, il sait qu'elle joue juste de ses charmes. Il s'adresse à elle :
- Ma chérie, tu vas pouvoir prendre une douche pour te rafraîchir.
Rodolphe intervient :
- L'eau n'est pas très chaude dans les vestiaires, je vous conseille de la prendre dans votre bungalow.
Pauline et se dirige vers le vestiaire, passant devant Rodolphe :
- Si elle est plus fraîche, ça m'ira. Mon corps est brûlant et réclame d'être apaisé.



Rodolphe admire fugitivement une dernière fois la jolie poitrine que le débardeur qui sèche peu à peu révèle de moins en moins. Cédric tape sur l'épaule de Rodolphe en passant derrière lui :
- Vous aussi, il ne faut pas oublier de vous rafraîchir !
Le jeune gérant repart en prenant la porte sur le côté du cours :
- Je referme à clé cette porte. Vous fermerez en sortant par le vestiaire.
- Ok.
Cédric rejoint sa fiancé qui l'attend en souriant :
- Tu crois qu'on en a fait un peu trop ?
- Non, toi et tes seins vous avez été parfaits !
Cédric admire tranquillement la jolie poitrine encore moulée par le débardeur.


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Ils décident d'aller tous les deux dans le vestiaire côté femme. Alors qu'ils commencent à se déshabiller, Pauline demande :
- Tu crois qu'il bandait ?
- Je n'ai pas pu voir, mais il n'est pas de bois. Je suis presque sûr que oui. C'est important ?
- Non mais ça m'excite...



Cédric baisse son short, libérant une splendide érection qu'il exhibe à sa fiancée avec fierté. Celle-ci se mord les lèvres en la voyant :
- Mmmm, appétissant.
- Elle aussi, t'excite ?



- Oui, mais cette bite j'y ai le droit, donc elle m'excite un peu moins que celles de Rodolphe ou des italiens.
- Je comprends. Mais tu ne les as pas encore vues, les leurs.
- Non, je les imagine. Rodolphe est retourné dans sa cabane et je l'imagine en train de se branler en pensant à moi...
- Ou bien, il t'a parfaitement entendu quand tu as dit que tu allais prendre une douche et il va pousser cette porte pour se rincer l'œil encore.
Pauline se met sous la douche :
- Tu crois ?



- Si tu lui plait autant que je pense, il a interprété ta phrase comme une invitation...
- Tu plaisantes ? Je n'ai pas fait ça.
Cédric s'amuse à imiter Pauline avec une petite voix féminines :
- "Mon corps est brûlant et réclame d'être apaisé." Moi, rien qu'à t'entendre prononcer ces mots, ça ma donne la gaule !



- Pfffff... t'es con. Viens ici qu'on se douche ensemble.
- Juste se doucher ?
- Non... j'ai envie de toi...
Pauline se plaque contre Cédric, appuyant son ventre contre son sexe dressé, ses seins contre sa poitrine musclée. Leurs lèvres se trouvent.



Leurs langues s'enroulent. A la tournure que prend le baiser, Cédric sait que sa fiancée ne compte pas rester sage. Elle ondule contre lui, se frottant à son sexe, faisant prendre aussi conscience à Cédric à quel point les pointes de ses seins sont dures. Puis, elle s'écarte un peu saisit la prodigieuse érection pour commencer à faire coulisser sa main dessus. Cédric profite de ce petit écart entre leur deux corps pour empoigner les seins arrogants et pour les caresser avec passion.



Quand Cédric abandonne sa poitrine pour faire glisser sa main conte son ventre et effleurer son bouton d'amour, Pauline pousse un petit gémissement de plaisir et lui murmure à l'oreille :
- Prends-moi... Je n'en peux plus...
Alors qu'elle passe les bras autour du coup de son fiancé, celui-ci la saisit sous les fesses et la hisse haut contre lui jusqu'à ce que son sexe tendu se retrouve au contact de la fente trempée de cyprine. Alors, lentement, il la fait redescendre, la faisant s'empaler doucement sur son mandrin palpitant. Pauline soupire :
- Ooooooh... Je n'en pouvais plus...
- Tu ne voulais pas attendre jusqu'en fin de journée ?
- Non... trop envie... Sinon j'aurais sauté sur Rodolphe ou sur un Italien.



- Heureusement que je suis là alors...
- Ouiiiii.... Je t'aime.
- Moi aussi ma puce.
Cédric la fait coulisser doucement sur son pieux, la hissant, la rabaissant, la faisant surtout gémir de plus en plus.



Après seulement quelques minutes, Cédric sent sa fiancée se tendre entre ses bras. Il sait ce que cela signifie. Elle se contracte pour tenter de retarder l'orgasme mais, comme toujours, c'est déjà trop tard. Le sort en est jeté. Il sent Pauline se mettre à vibrer. Ses gémissements deviennent des cris de plaisir. Elle contracte ses cuisses autour de ses hanches. Son ventre est submergé de délicieuses petites convulsions qui manquent de peu de déclencher l'éjaculation de Cédric. Mais le jeune homme tient bon. Pauline se love contre lui quelques minutes, sans bouger, juste sous l'eau tiède. Quand elle a repris ses esprits, Cédric la soulève pour la dégager :
- Tu as eu un bel orgasme ma chérie ?
- Oui, c'était délicieux... merci.



- Peut-être que ça aurait pu être plus intense encore si tu étais parvenue à attendre un peu plus ?
- Non, je n'en pouvais plus. Si tu ne m'avais pas prise, je me serais masturbée... Mais toi, tu n'as pas joui ?
- Pas encore.
- Tu veux attendre ?
- Pas sûr que j'y parvienne. Je crains que la moindre de tes caresses ne déclenche le déluge...
- Mmmmh, je veux voir ça.
Pauline s'agenouille devant lui et commence à lécher la queue dressée.



- Doucement, ça peut venir à tout moment !
- Tant mieux !
Ne prenant pas en compte l'avertissement de son fiancé, Pauline engouffre le sexe turgescent et le suce doucement, faisant tourner sa langue autour du gland énorme.



Cédric se met à râler :
- Rhaaaa ! Tu m'as eu...
Pauline sans les testicules se tendre et tout les muscles du corps de son homme qui sont comme en suspend. Puis l'explosion arrive. Dès qu'elle sent la sève monter dans la colonne de chair, Pauline s'écarte et ouvre la bouche. Elle l'avait dit : elle veut le voir gicler. Le sperme jaillit, abondant et vient éclabousser tout le visage de Pauline. La coquine ne cherche pas à tout recevoir dans la bouche. Seul un peu de la liqueur passe entre ses lèvres. Le reste coule sur ses joues, dans son cou.



Quand Cédric rouvre les yeux, Pauline lui sourit et lui dit doucement :
- Effectivement, tu n'aurais pas tenu longtemps. Tu étais au bord de l'explosion et on a frôlé l'accident.
- Ma chérie, tu es sublime.
Pauline replonge sur le sexe encore tendu et le pompe pour lui arracher les dernières gouttes de la précieuse liqueur.



Après une bonne minute, Cédric la repousse gentiment :
- Merci ma douce, mais je ne vais pas débander si tu me suces comme ça...
- Mmmm. J'adore sucer ta queue, mon chéri.
Pauline se relève et Cédric l'embrasse à pleine bouche même si ce baiser a des relents du parfum acre du sperme. Chacun se douche ensuite, en admirant l'autre. Cédric, plus rapide, quitte a douche et se rhabille :
- Je vais préparer les affaires pour la piscine. Tu es d'accord ?
- Evidemment ! On l'a bien mérité.
Pauline reste seule sous la douche tiède et termine de faire disparaître les traces de sperme qu'elle a dans le cou et sur la poitrine.


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Alors que le jet d'eau s'arrête et qu'elle s'apprête à sortir, elle se rend compte que la porte des douches est restée ouverte et que Rodolphe se trouve dans l'encadrure à l'observer, subjugué. Pauline cache aussitôt ses parties intimes :
- Hey ! Rodolphe, ça ne se fait pas de jouer au voyeur dans les douches des filles !



Rodolphe semble moins gêné que les précédentes fois, sans doute encouragé par l'absence de Cédric. S'avançant dans les douches, il dit :
- J'étais venu voir si vous aviez bien fermé et comme j'ai croisé Cédric, il m'a dit que vous vous apprêtiez à sortir que vous étiez déjà rhabillée. Mais il s'est trompé de toute évidence...
- Oui. Ou bien il voulait que vous me surpreniez...
- Pardon.
- Peu importe. Passez-moi la serviette.
Rodolphe prend la serviette et la tend à la jeune fille qui, s'avançant vers lui, ne dissimule plus sa nudité.



- Merci.
Rodolphe s'apprête à ressortir quand Pauline lui demande :
- C'est cher d'entretenir toutes ces infrastructures pour un camping avec si peu de vacanciers ?
Le jeune homme se retourne, souriant. Il est indéniable que cette jeune fille ne montre que peu de pudeur puisque, par sa question, elle l'invite à rester pendant qu'elle se sèche. Rodolphe fait volte-face et répond à Pauline sans se priver de l'admirer :
- Je ne sais pas. Je suis juste le gérant pour l'accueil mais c'est la mairie qui tient les comptes. S'ils maintiennent le camping, c'est que ce n'est pas un problème financièrement.
- Tant mieux pour nous.
Pauline se sèche sans se préoccuper des yeux de Rodolphe qui accompagnent la serviette sur sa peau nue.


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S'étant séchée, elle s'enroule dans la serviette et lève les yeux vers le jeune gérant :
- Vous comptez m'aider à m'habiller ?
- Heu, non. Excusez-moi, je vous laisse.
- Merci. A plus tard, Rodolphe.



Pauline sourit en le regardant partir. Elle est heureuse. Rodolphe est un gentil garçon qui accepte de jouer les voyeurs mais qui ne demande rien, ni un baiser, ni même une caresse, se contentant de ce qu'on lui offre. Satisfaite, Pauline se rhabille et va rejoindre Cédric au bungalow.



Avec un passage librement inspiré du texte de Julia Bleau "Mes découvertes" (18 mars 2010) :
http://revebebe.free.fr/histoires/rvb137/reve13763.html

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