Legul
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27 février 2023
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L'anti-stress - 5
Après des journées comme celles-ci, un rythme plus posé reprenait rapidement ses droits tandis que Julie revenait au bureau. Le quotidien était alors fait de journées de travail efficaces, de pauses pipes lorsque l'occasion se présentait et de moments conviviaux pendant lequel nous essayions de ne pas faire de gaffes, Emilie et moi. Julie, de son côté s'était rapidement faite à l'ambiance d'humour noir, de sarcasme et de blagues de cul décomplexées.
Elle y participait aussi, à sa façon et avec son propre franc parlé. Mais ces blagues à elle étaient beaucoup plus empreintes d'un fond de vérité : elle évoquait sa rupture, son célibat prolongé et son manque de sexe. D'abord un peu surpris par cette franchise, Emilie et moi étions rapidement rentrés dans le jeu de Julie et nous renchérissions sur l'autre salope qui lui avait piqué son mec, sur les hommes qui devaient baver et bander devant elle et sur le paradoxe que cela représentait à nos yeux qu'elle soit toujours seule.
- En fait, quand on est mère célibataire et qu'on garde seule un jeune enfant, on ne fait pas rentrer n'importe qui chez soi. Au départ, je pensais que je pourrais rapidement fréquenter d'autres hommes mais je ne veux pas découcher et laisser une occasion à l'autre con pour dire que je suis une trainée. Et je ne peux pas non plus inviter chez moi n'importe qui, nous avait un jour livré Julie lors d'une pause-café, avec un sourire un peu désespéré.

- Et tu n'as trouvé personne qui soit « un mec bien » ? demanda Emilie.
- Non... les mecs que je rencontre sont des connards et les mecs bien que je connais sont déjà pris, répondis Julie en me faisant un sourire et un clin d'œil volontairement visibles.
L'humour était évident dans sa phrase mais ce n'était pas la première fois que Julie me rentrait dedans. Déjà lors d'un repas à la maison quelques semaines après son arrivée au bureau, elle avait répondu à ma femme qui se demandait si le célibat n'était pas trop pesant : « Si, beaucoup ! Et d'ailleurs, si tu pouvais me prêter ton mari pour un petit coup vite fait, ça m'arrangerait !! ». Puis elles avaient ri toutes les deux de bon cœur et je fis celui qui n'avait pas compris tandis que je remmenais de la cuisine une nouvelle bouteille de vin.
J'ignorais donc toujours si ces allusions étaient purement humoristiques ou avaient un fond de vérité. Emilie, en tout cas, pris cela à la blague lorsque Julie avait fait cette allusion :
- Oh tu sais, le chef n'est pas si bien que ça... Ces blagues ne sont pas aussi drôles qu'il le pense ; physiquement, ça va mais c'est pas non plus Brad Pitt ; et sexuellement, il ne baise pas si bien que ça !!
- C'est ma fête, on dirait... répondis-je en souriant.
- Attendez... vous... vous couchez ensemble ? demanda Julie, soudain sérieuse.
Emilie eut alors un rictus mi-figue mi-raisin, ne sachant pas si Julie plaisantait et se disant qu'elle avait été trop loin dans le second degré.
- Mais non ! C'était juste une blague, Julie.
- Ah ? Ok... Mais du coup, excusez-moi cette question mais : comment vous faites pour résister ?
- Résister au fait de coucher ensemble ?? demandais-je, surpris par une question aussi franche.
- Oui ! Vous êtes hyper complices, vous avez travaillé des mois juste tous les deux, vous enchainez les soirées bières/boulot, vous avez galéré à redresser ce service... Bref, comment l'idée de tirer un coup pour décompresser ne vous est pas venue à l'esprit ?
Je vis alors Emilie rougir par l'évocation de ce que qui était, à quelques détails près, la vérité. Je décidai de venir à son secours :
- Bah déjà, on est en couple tous les deux, quand même...
- Oui alors ça, si ça empêchait d'aller voir ailleurs, ça se serait ! Je peux t'en parler si tu veux, de la notion de couple !
- D'accord, c'est triste que ça te soit arrivé, ajouta Emilie, mais heureusement qu'on ne couche pas tous entre collègues juste parce qu'on en a envie !
- Donc tu en as envie ! conclu Julie en rebondissant sur une phrase dont, à mon avis, Emilie n'avait pas correctement jugé la signification...
- Ce... n'est pas ce que j'ai voulu dire... et puis Julien est bien plus vieux que moi et mon mec est bien plus beau ! Donc même si c'est vrai qu'on est très proche et complice, non, je n'ai pas envie de coucher avec mon chef !
Je n'avais jamais vu Emilie être autant sur la défensive et dans l'embarras, elle qui arrivait toujours à retomber sur ses pattes par une bonne blague ou, selon l'ambiance, une réplique cinglante. Julie sourit et posa sa main sur celle d'Emilie :
- Excuse-moi Emilie, je ne voulais pas t'embêter ou insinuer que tu étais infidèle. Vraiment désolée. Si tu arrives à être amie avec un homme comme Julien sans être tentée sexuellement, alors c'est tout à ton honneur.
Puis Julie me lança un regard intense et poursuivit :
- En tout cas, moi, je ne suis pas sûre que j'y arriverais !
- Je te rassure, c'est dur pour moi aussi de travailler avec deux bombes comme vous, les filles. Littéralement très dur !! répondis-je de manière volontairement grossière pour clore cette discussion plus que gênante et trouver un prétexte pour me lever de la salle de pause et retourner travailler.
Derrière moi, Emilie rebondi sur la blague pour, elle aussi, sortir de cette discussion par une note moins sérieuse :
- Un autre point fort du chef : c'est poète fabuleux !
Cette discussion me chamboula sérieusement pour le reste de la journée. Emilie avait-elle réellement envie de coucher avez moi ou bien avait-elle simplement fait un lapsus ? Et Julie me draguait-elle réellement ou bien étais-ce juste un jeu ? Des questions qui allaient m'obséder de plus en plus durant les jours et semaines qui suivirent.
En effet, dans le cas de ma relation avec Emilie, cette conversation provoqua un froid entre nous. Emilie déclina à plusieurs reprises mes demandes de pipes « anti-stress », ce qu'elle n'avait jamais fait jusqu'ici, et elle repoussa également mes tentatives de caresses intimes en prétextant que c'était risqué avec Julie dans le coin.
Et, en parallèle, Julie se montrait de plus en plus dragueuse et aguicheuse avec moi. Précisons déjà que, du fait de la petitesse de nos locaux, je partageais mon bureau avec Julie (tout comme l'ancien directeur le partageait avec moi) et Emilie était également sensée cohabiter avec quelqu'un si seulement on nous avait accordé une embauche supplémentaire. La présence d'une bombe comme elle dans mon bureau était déjà source de tentation au quotidien. Mais quand cette bombe se mit à m'allumer alors que ma maîtresse me délaissait et que ma femme ne daignait toujours pas répondre à mes sollicitations, la situation commença à être compliquée.
Pour commencer, Julie s'habillait sexy, très sexy même. Contrairement à Emilie qui ne cherchait pas particulièrement à être provocante dans ses tenues mais simplement jolie (ce qui déjà avait suffi à me séduire), Julie était toujours vêtue de manière provocante, mais cependant jamais vulgaire, ce qui explique que ni mes supérieurs ni nos clients ne pouvaient lui reprocher quelque chose.
Julie était une femme qui plaisait et qui aimait plaire, c'était évident. Mais c'était aussi une professionnelle réputée. Ses robes étaient donc souvent courtes, mais jamais de trop.

Et ses décolletés étaient souvent très prononcés, mais jamais de trop.

Mais cette façon de se vêtir n'était pas le problème. Déjà à la fac, Julie était comme ça et même lors de nos soirées étudiantes puis entre couples, Julie s'habillait très sexy sans que cela ne dérange les autres femmes présentes, dont ma future épouse, qui la connaissaient bien.
Ce qui était plus difficile à vivre était la drague et l'exhibition de plus en plus insistantes que Julie faisait à mon égard. Autant dans la salle de pause, durant les cafés ou les repas, elle se comportait normalement en présence d'Emilie, autant lorsque nous étions seuls dans notre bureau, elle se lâchait de plus en plus. Elle se penchait parfois tellement en avant pour ranger ses affaires que je distinguais son string dépasser de sa mini-jupe...

... ou lorsqu'elle partait faire son footing du midi et qu'elle s'amusait à descendre la fermeture de son haut de sport au point de quasiment en faire sortir ses seins...

... ou encore lorsque nous partions en réunion ensemble et qu'une fois dans la voiture, elle arborait une robe aussi légère et courte en haut...

... qu'en bas !

La situation s'aggrava encore lorsqu'elle changea ses habitudes de travail sur le terrain. Julie était en effet amenée à se rendre sur des chantiers pour y mener des audits, ce qui constituait mon cœur de métier avant de devenir responsable. Et les conditions de travail sur place ne permettait pas d'y aller « en tenue de ville ». Moi-même j'avais au bureau des vêtements de terrain que je n'avais plus guère l'occasion de mettre et Julie avait également des tenues plus adaptées aux chantiers boueux que ses mini-jupes et talons aiguilles.
Avant chaque rendez-vous, elle se rendait aux toilettes de nos locaux, exiguës et situées à l'étage, pour se changer, faute de vestiaires. Mais un jour, manifestement très en retard pour son rendez-vous, Julie avait décidé de se changer directement dans mon bureau et, tandis que je lui proposais de sortir pour la laisser, elle m'avait simplement demandé de détourner le regard, ce que j'avais évidemment fait.
Ce devait être exceptionnel mais, après un autre retard qui justifia cela, le pli était pris. Plus jamais Julie ne se changea dans les toilettes, choisissant systématiquement de se changer à côté de moi, officiellement pour plus de simplicité. Je détournais toujours le regard mais la tentation était forte d'autant que j'imaginais bien que sous ses vêtements si affriolants, la lingerie devait être assortie ! Un jour je cédai à la tentation et jetai un œil sur Julie tandis qu'elle enlevait sa robe. Je la découvris de dos, avec un magnifique string et un soutien-gorge visiblement assez transparent. Je vis aussi Julie me prendre en flagrant délit de rinçage d'œil mais elle me sourit aussitôt sans me faire la moindre remarque.

Je détournai tout de même le regard, un peu honteux d'avoir été ainsi pris la main dans le sac. Heureusement, Julie ne m'en tint pas rigueur et continua de participer avec bonne humeur à la vie de notre petite équipe et de se changer dans mon bureau. Elle le fit si régulièrement qu'elle ne prenait plus la peine de m'avertir qu'elle allait se changer ni même me demander de détourner les yeux. Une fois, alors qu'elle était en sous-vêtements, simples mais tout de même terriblement sexy sur elle, elle me demanda :
- Ce n'est pas tous les chefs qui ont la chance d'avoir les collègues qui se changent à côté d'eux !
- C'est vrai que ce n'est pas désagréable ! lui répondis-je en la regardant à moitié nue de haut en bas, sans aucune gêne.

La tension sexuelle était palpable mais, heureusement, Emilie intervint au moment opportun pour éviter que cela n'explose. Un jour, en effet, elle sorti de sa boude qui avait duré environ deux semaines et vint me trouver dans la salle de pause, tandis que Julie était partie sur le terrain.
- Je suis désolée d'avoir été distante ces derniers jours, Julien. J'avais besoin de réfléchir.
- Ok, je comprends. Mais... de réfléchir à quoi ?
- Donc en fait tu ne comprends rien du tout ! De réfléchir à nous, idiot, à notre relation !
Je savais très bien à quoi ma collègue avait réfléchi. Mais, redoutant une prise de décision de sa part, j'usai de ma niaiserie légendaire pour retarder l'échéance. Mais les mots « nous » et « relation » étaient nouveaux dans la bouche d'Emilie et ils m'intriguèrent.
- Et du coup ?
- Et bien... j'en suis arrivée à me dire que je ne savais toujours pas exactement où tout cela allait nous mener ni où j'avais envie que cela nous mène.
- C'est pas clair ton truc...
- Je sais, pour moi non plus. Mais il y a une chose dont je suis sûr : c'est que j'ai envie de te sucer, là tout de suite, et que je ne veux pas renoncer à ça !
Emilie s'agenouilla alors et sorti sans attendre mon sexe de mon pantalon. Puis avec un air grave, elle me dit :
- J'aime ta bite, j'aime te sucer, j'aime quand tu te finis sur moi et j'aime quand tu me fais jouir. Je sais que c'était pour te détresser à la base mais je l'avoue, je fais ça aussi pour mon propre plaisir. Et je ne regrette rien de ce qu'on a fait jusqu'ici.

- Pas même lorsqu'on s'est embrassé ?
- Non, pas même nos baisers. Il faut bien l'admettre, nous sommes plus que des collègues maintenant. Et je te mentirais si je te disais que je ne ressens pour toi que des sentiments propres à une simple amitié...
- Et bin... tu as en effet beaucoup réfléchi à nous ! Je ne suis pas un grand poète comme tu le sais mais je t'avoue avoir aussi le béguin pour toi. Je pense que tu t'en doutais.
- Oui et c'est aussi pour ça que je voulais réfléchir. Pour savoir en j'en étais moi-même.
- Et est-ce que tu penses qu'on pourra un jour...
- Tututut, trop de questions ! D'autant que je sais où tu veux en venir. Pour l'heure, chef, je te propose une bonne pipe de réconciliation, si ça te convient.
- C'est parfait !
Emilie mit donc en application une de ses nombreuses compétences et m'offrit une pipe absolument divine. Elle me pompa d'abord le gland en me regardant (presque) amoureusement et embrassa mon sexe sur toute sa longueur.

Puis elle la tapota sur la langue sortie en commentant :
- Qu'est-ce qu'elle m'avait manqué ! Si j'avais encore un doute sur le fait que j'étais accro à ta bite, me voilà rassurée, si l'on peut dire !

Elle tenta également d'avaler le plus profondément possible ma bite...

... puis une fois bien empalée, elle me regarda avec son air de secrétaire salope et soumise qui me faisant tant fondre !

Mais je décidai, pour me venger un peu de la période d'abstinence qu'elle venait de m'imposer, de la provoquer :
- Alors, on cale à mi-chemin ? On manque d'entrainement, peut-être ?
Incapable de répondre, elle émit juste un grognement mécontent et fit semblant de me mordre la queue. Je décidai donc de m'excuser à ma manière :
- Allez, je suis dans un bon jour, je vais t'aider !
Je plaçai ma main derrière sa tête et l'invita amicalement à m'accueillir plus loin dans son gosier.

Je m'amusai ainsi à la faire progresser dans sa maîtrise de la gorge profonde sans jamais aller trop loin de peur de lui faire mal ou de lui donner la nausée. Mais même avec cette prudence, lorsqu'elle reprenait sa respiration, de longs fils de baves se créaient entre la bouche d'Emilie et mon sexe.

Pas gênée le moins du monde par ce détail, Emilie retournait à sa mission d'offrir à son chef la meilleure des pipes possibles. Son chef, cependant, se montra vite submergé par l'excitation et essayait de lutter contre l'orgasme approchant. Emilie, qui n'était pas le perdreau de l'année, finit par me dire, tout en léchant le sommet de mon gland :
- Tu n'es pas loin, je le sens !
- Oui, j'avoue...

- Tu veux jouir sur mon visage ? Histoire que je me fasse pardonner pleinement !
- Ça ne se refuse pas !
Emilie se redressa alors pour enlever son chemisier. Et comme je la regardais d'un air curieux, elle me dit :
- Pour éviter les taches de sperme ! Julie pourrait trouver cela étrange lorsqu'elle rentrera de sa réunion.
- Sans parler de ton mec, ajoutais-je en regrattant presque aussitôt d'avoir évoqué Fred.
- Qui te dit qu'il n'est pas au courant que je te suce régulièrement ?
- Rien, en effet... Et pour les faciales, il est au courant aussi ? répondis-je par provocation en me masturbant au-dessus de son visage.

- Tu joues avec le feu, Julien...
- Je sais, j'arrête. Désolé. Prête ?
- Mouai... Vas-y, envoie la sauce !

La bouche grande ouverte et la langue tirée, Emilie accueilli mon éjaculation avec sourire. Les jets l'atteignirent principalement autour et dans la bouche, si bien que la faciale fût particulièrement propre. Emilie aurait pu garder son chemisier, finalement !
Celle-ci avala, de plus, la totalité du sperme qui était dans sa bouche et récupéra le reste avec son doigt pour l'avaler également, si bien qu'en moins d'une minute, il n'y avait plus aucune trace de ma semence sur son beau visage.

Après cette réconciliation, la vie au travail repris une tournure plus classique, faite de pipes et autres cuni lorsque Julie n'était pas là et d'ambiance de plus en plus torride entre cette dernière et moi.
A suivre...
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