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Martine et Laurie, un soir d'été... >>> Episode suivant

Milan
7 avril 2011
Un soir d'été...

Nous sommes en juillet 2006 à Paris. Il fait très chaud. Les filles dans la rue sont belles, aguicheuses et habillées de manière très sexy.


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Beaucoup d'hommes, et moi le premier, sont en émoi. Et, pour être tout à fait honnête, en cette belle journée d'été j'ai très envie de sexe. Pas de faire l'amour, non, je veux du sexe, hard, sans amour.


Je contacte quelques copines, quelques ex, mais décidément, je n'ai pas de chance, elles sont toutes absentes.

J'appelle alors Martine. Martine est une jolie fille, de 27 ans, toute blonde, grande, dotée d'un très beau corps et d'une paire de seins très gros, quoiqu'un peu tombant. C'est la copine d'un mec que je n'ai jamais vraiment apprécié, un certain François.

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* Allo ? Martine ? C'est Olivier, comment vas-tu ?
* ah Olivier, bonjour. Ecoute, je vais plutôt moyen, moyen.
* ah bon ? Qu'est ce qui se passe ?
* et bien, je ne sais pas si tu le savais, mais je suis enceinte de 6 mois, et François m'a quitté depuis 1 mois

En disant ces mots elle s'effondre en larmes. Décidément, moi qui cherche quelqu'un avec qui baiser, ce n'est pas vraiment le bon plan.

* Martine, pourquoi ne m'as tu pas appelé ? Je serai venu te voir, te consoler.
* je n'avais envie de voir personne. En plus, tu m'as toujours dit que François n'était pas un mec pour moi, que c'était un con, et finalement, tu avais raison
* peut être qu'il va revenir, garde l'espoir
* revenir ? Cet enfoiré est parti avec sa secrétaire qui est canon alors que moi je suis comme une grosse vache. Il ne reviendra jamais
* ne dis pas ça. Tu es jolie Martine, tu l'as toujours été, et puis qu'y a t il de plus beau qu'une femme enceinte ?


* tu parles, j'ai pris 10 kg, mes seins ont pris 2 tailles de plus et je n'avais pas besoin de ça, je pleure à longueur de journée, je suis fatiguée. Heureusement, j'ai ma cousine qui est là en ce moment, Laurie.
* tu n'es pas seule, c'est l'essentiel. Tu veux que je vienne te voir.
* t'es gentil, mais ne te force pas.
* je ne me force pas, ça me fait plaisir. J'arrive dans 1/2 heure, ok ?
* oui merci. Mais je ne suis pas présentable, je suis en chemise de nuit, j'ai juste pris une douche, mais je n'ai même pas envie de m'habiller.
* ne t'inquiète pas pour moi, c'est pour te voir que je viens, pas pour assister à un défilé de mode. J'arrive ma chérie.
* a tout de suite Olivier, et merci pour tout.

J'avoue que ce n'était pas exactement ce que j'avais prévu de faire, mais Martine est une amie de longue date. Nous sommes sortis ensemble une fois, un soir où nous avions bu tous les deux, mais rien de plus. Elle m'avait branlé dans la voiture,

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je lui avais malaxé les seins, mais notre état d'ébriété très avancé nous a fait oublier cette aventure aussi rapidement qu'elle s'était produite.

Sa cousine Laurie me dit vaguement quelque chose, mais je n'arrive pas à me souvenir quoi.

Bon, je prends une douche, passe un pantalon blanc, un teeshirt blanc également qui m'avantage pas mal sachant que je suis très bronzé et je me mets en route.
Un quart d'heure plus tard, je sonne à la porte de Martine.

Elle ouvre. Elle porte une nuisette blanche totalement transparente qui laisse voir ses deux seins qui ont doublé de volume, son ventre tout rond et sa culotte, très jolie, en dentelle blanche.


Elle a beaucoup pleuré et présente ce visage un peu gonflé de quelqu'un qui a pleuré. Elle tombe dans mes bras, sa volumineuse poitrine touchant très fortement mon torse et m'embrasse chaleureusement en me remerciant d'être venu.

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Elle me sert très fort, et apparemment ne veux pas me lâcher. Je sens ses seins se coller à mon torse, et bien malgré moi, une érection apparaît immédiatement et avec mon pantalon blanc, non seulement elle va la sentir, mais elle va le voir. Je suis extrêmement mal à l'aise.

* Olivier, merci, merci à toi. Tu es vraiment un ami tu sais. Sers moi, sers moi fort mon chéri.
* Tout va bien Martine, je suis là
L'étreinte que m'impose Martine n'en finit plus. Sentir ses seins contre mon torse est un bien délicieux supplice qui me remet en mémoire qu'avant de l'appeler j'étais en train de chercher une fille pour baiser. Cette pensée me fait devenir encore plus dur. Mon sexe est collé à son ventre, elle ne peut pas ne pas le sentir. Elle relâche d'ailleurs un peu son étreinte et assez subrepticement, en se reculant, jette un coup d'œil très rapide vers la bosse de mon pantalon.

* Olivier, merci. Mais entre, viens t'installer.

Nous avançons et entrons dans son salon. Je m'assois sur le canapé et entre alors Laurie. Je bande encore très fort, et si la politesse élémentaire veut que je me lève, je suis très gêné de le faire tellement il est évident que je bande. Je reste donc assis, et Laurie vient me dire bonjour.

* salut Olivier. Tu te souviens de moi ? Tu étais venu chez mes parents avec Martine et un autre copain.
* ah oui dis je sans précisément m'en souvenir
* en tout cas je m'en souviens bien moi
* oui, moi aussi (je continue dans ce sens ne me souvenant pas du tout de quoi elle parle)

Laurie est une jeune femme d'environ 30 ans, brune, assez petite, ni belle ni moche, somme toute assez banale. Elle a de beaux yeux noisette, très expressifs et un très joli sourire.

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Mais à part ça, ce n'est pas le genre de fille qui me fait me retourner dans la rue. Je réfléchis, mais je ne parviens pas à me souvenir. Alors, je décide de le lui dire.

* Ecoute Laurie, tu vas me trouver très impoli, mais ton visage ne m'est pas inconnu, mais je ne me souviens pas d'être venu chez tes parents.
* et oui, à l'époque j'étais blonde avec de longs cheveux. Tiens regarde comme sur cette photo.

Elle me tend son permis de conduire, et là, ça y est, je me souviens. Et je comprends mieux qu'elle s'en souvienne aussi.

J'étais allé passer un weekend avec Martine et un ami à elle avant qu'elle ne soit avec son François chez les parents de Laurie en Bretagne. Dès notre arrivée, j'avais vu cette jeune fille, sur qui j'avais flashé. Sa blondeur, son sourire, sa bonne humeur permanente m'avait séduit. Nous étions sortis ensemble, et un soir, alors que nous nous apprêtions à faire l'amour dans sa chambre, elle m'avait avoué être vierge. J'avais donc été son premier mec.

* Oui Laurie, maintenant je me souviens, mais ça fait longtemps déjà, non ?
* 11 ans. J'avais pile 19 ans à l'époque
* Laurie, comment peux tu être aussi précise. Tu as une mémoire d'éléphant lui dit Martine
* oh c'est tout simple. J'ai perdu ma virginité avec Olivier, alors forcément je m'en souviens.
* ça alors. Vous avez couché ensemble tous les deux ? Et personne ne me l'a jamais dit.
* non, c'est vrai. Olivier et moi avons fait l'amour le deuxième soir, et nous ne nous sommes plus jamais vus. Mais je garde un souvenir ému de cette nuit. Ton ami Olivier m'a fait découvrir des tas de choses.
* oh oh. Il est un expert sexuel alors ?

Martine a retrouvé le sourire. Elle se délecte visiblement de l'histoire que lui raconte Laurie. Comment nous nous sommes embrassés alors que j'allais lui demander un livre à lire. Comment je suis entré dans sa chambre, à côté de celle de ses parents. Comment j'ai arraché ses vêtements, comment je lui ai fait le premier cunnilingus de sa vie en commençant à travers sa culotte en dentelle. Comment je lui ai montré que l'excitation pouvait être très forte en caressant, en léchant, en embrassant. Comment elle a joui lorsque moi aussi j'ai joui.



En écoutant tout ce récit que lui fait Laurie, Martine me jette des petits coups d'œil coquins, et regarde de temps en temps si la bosse qu'elle a aperçu tout à l'heure est toujours présente. Et, à entendre tout ça, j'avoue que mon érection ne me quitte pas.

Laurie n'est pas vraiment belle, mais maintenant qu'elle m'a rafraichi la mémoire je me souviens de ses très beaux seins, quoiqu'un peu petits, de sa grande sensibilité au cunni, et d'un véritable don pour la fellation. Elle est habillée de manière très neutre aujourd'hui. Jean taille basse, teeshirt blanc sans manche en dessous duquel on devine un soutien gorge. Bref rien de bien sexy, mais Martine que l'histoire semble exciter, commence à avoir le bout des seins qui se raidissent, et sous sa nuisette, c'est édifiant.

* Bon, voulez vous boire quelque chose demande t elle ?
* oui je veux bien
* apporte nous un truc bien fort, il nous faut ça pour penser à autre chose qu'à tes soucis Marinette lui dit Laurie.

Alors Martine part dans la cuisine chercher le nécessaire. Laurie pendant ce temps s'approche de moi, s'assoie à côté de moi sur le canapé et pose sa main sur mon sexe tout dur.

* tu sais, depuis ma première fois avec toi, j'ai fait beaucoup de progrès. Je crois même que je suis une véritable salope maintenant. Et toi tu es toujours aussi beau et sexy Olivier.
* c'est gentil Laurie. Personnellement, je te préférai en blonde.
* oui, mais ma vraie couleur c'est ça. Et puis, mieux vaut une brune bonne baiseuse qu'une blonde innocente non ?
* tu as raison
* tu es tout dur mon chou. C'est moi qui te fais ça ou c'est de voir Martine à moitié à poil ?
* je crois que c'est un peu les deux
* tu veux que je te dise un secret ?
* oui, dis moi
* Martine et moi, ça fait une semaine qu'on se fait du plaisir toutes les deux, et je crois qu'elle comme moi, on a envie d'une bonne grosse queue. Tu as déjà baisé une nana enceinte ?
* non jamais, mais Martine, je ne peux pas, c'est une amie d'enfance
* justement, on ne refuse rien à une amie en détresse
* de toute façon elle tient trop à son mec, elle voudra jamais
* laisse moi faire, mais tu vas voir que tu n'es pas venu pour rien Olivier.

Et là dessus, elle approche sa bouche de la mienne, force le passage de mes lèvres avec sa langue et me roule une gamelle à faire bander un eunuque.



* laisse moi faire me dit elle en me faisant un clin d'œil.

Martine revient avec un plateau, trois coupes et une bouteille de champagne. Elle pose le plateau, me tend la bouteille et me demande de l'ouvrir.

Je l'ouvre, sers le champagne dans chacune des coupes et tend une coupe aux deux filles.

Je suis sur le canapé, au milieu d'elles. Je ne peux m'empêcher d'admirer les énormes seins de Martine dont les tétons sont tendus à mort. Elle a cette position un peu indécente qu'ont souvent les femmes enceintes, assise, assez droite, avec les jambes assez largement écartées pour compenser le mal dans leur dos. Il n'y a rien de particulièrement érotique, mais voir ses cuisses écartées, ses gros seins gonflés sous sa nuisette transparente, j'avoue que c'est difficile de se contenir.

* il fait vraiment chaud aujourd'hui dit Laurie.
* oui, c'est pour ça que même si ma tenue n'est pas très convenable, j'ai préféré rester come ça lui répond Martine
* moi j'ai trop chaud. Ca vous ennuie si je me mets à l'aise demande Laurie ?
* non pas du tout dis je

Alors Laurie va dans sa chambre. Martine me glisse alors à l'oreille.

* je crois que tu lui fais toujours de l'effet, tu ne penses pas ?
* je ne sais pas dis je en mentant
* j'en suis sure. Tu sais ne te gène pas pour moi. Si tu veux aller plus loin avec elle, vous pouvez faire ce qu'il vous plait, elle a sa chambre, moi je regarderai un dvd au pire
* non, non, je n'ai pas envie
* tu sais, j'ai senti tout à l'heure.
* tu as senti ? Quoi donc ?
* quand on s'est dit bonjour. J'ai senti ton sexe contre moi
* oui, c'est vrai, je suis désolé
*il ne faut pas. Tu sais c'est très flatteur en fait. Moi qui me trouve énorme avec des seins comme une Mama italienne, sentir un mec qui bande, ça fait vraiment plaisir
* arrête de dire ça, tu n'as pas des seins si gros
* ah oui. Et bien habituellement je fais un 90D. Là en ce moment, je fais un 100F, tu imagines ?
* je vois et j'aime beaucoup personnellement
* c'est gentil mais moi je ne m'aime pas comme ça
* moi je te trouve très jolie, sexy et très désirable
* tu dis ça pour me faire plaisir, je te reconnais bien, tu as toujours été si gentil avec moi
* non je dis ça parce que je le pense
Laurie vient de revenir dans la pièce. Elle est porte maintenant un mini short très échancré qui dessine parfaitement ses fesses. Elle a passé un haut un peu plus ample, et sauf erreur de ma part, elle ne porte plus de soutien gorge.

* ah, je me sens mieux comme ça.

Elle s'assoit de nouveau à ma droite. J'ai du mal à enlever mon regard de son entrejambes. Son short est si court, si échancré que j'ai l'impression qu'elle n'a rien en dessous. Elle se rend compte de mon regard et comme pour répondre visuellement à mon interrogation, elle se lève, se met les fesses juste devant moi et nous ressert du champagne en se baissant légèrement.


En effet elle ne porte rien dessous. Sa position me permet de constater qu'en plus elle ne s'épile pas, puisque je distingue nettement des poils bruns le long des pans de son short.

Martine a très bien vu son jeu et dit

* Laurie, tu n'es vraiment qu'une chienne. Regarde comment tu mets mal à l'aise Olivier en montrant son petit cul. Il est tout rouge

Je dois effectivement être très rouge et moi aussi, j'ai tout d'un coup très chaud.

* j'ai très chaud en fait, et le champagne me donne encore plus chaud...

je ne sais plus quoi dire pour me justifier.

Alors Martine attrape mon teeshirt, et d'un geste précis et rapide me l'enlève. Je suis maintenant torse nu avec à ma gauche une fille en nuisette transparente les jambes écartées, et devant moi qui se trémousse une autre fille avec un short si court et si échancré que si je glisse un doigt j'ai un accès direct dans sa chatte.

Laurie arrête de tortiller et vient s'empaler sur moi. J'ai mon pantalon, elle son short, mais c'est presque comme si je la baisais tellement je sens nos deux sexes proches. Au travers de mon pantalon, je sens l'humidité de son sexe.

Elle se déhanche sur ma queue, pendant que Martine passe sa main sur mon torse. Elle s'approche de moi et m'embrasse goulument. Mon pantalon et mon caleçon m'empêchent de profiter pleinement de Laurie.

* Olivier, tu veux que j'enlève ton pantalon me demande Laurie
* oui vas y enlève tout, j'ai chaud, très chaud

Alors elle se relève, déboutonne mon pantalon et lentement, pendant que Martine m'embrasse et me caresse, le fait glisser à mes pieds. Mon sexe est encore emprisonné dans mon caleçon. Elle s'est accroupie, s'est mise entre mes jambes, et passe délicatement sa langue sur mon caleçon, de sorte que j'ai le sentiment qu'elle me suce sans sentir sa langue directement

* Martine, enlève ta culotte s'il te plait


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