Lisa et Simon s'amusent dans le métro (version de Lisa) (publié par Lisa le 20-05-2006)
Lisa et Simon s'amusent dans le métro (version de Simon) (publié par Simon le 26-05-2006)
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L'été dernier, Simon m'a proposée un petit jeu. Il me choisit une petite robe sexy et m'accompagna dans le métro. Vers dix-huit heure, c'est l'heure de pointe sur la ligne 5 direction Bobigny. La rame est bondée au point qu'on ne voit plus que des têtes. Les gens sont tous collés les uns aux autres et la chaleur moite du métro rend le voyage pénible. Heureusement, grâce à la robe que m'avait choisie Simon, le retour du travail allait être moins difficile pour certains d'entre eux. Une petite robe unie à fines bretelles avec un large décolleté et tellement courte que j'ai hésité un certain temps afin de savoir si j'allais mettre ou non un string. Mais devant la chaleur et avec la force de l'habitude, j'ai décidé de ne rien mettre.

Juste avant l'heure de pointe, nous sommes entrés dans un wagon presque vide, Simon restant debout au milieu accroché à une barre, moi assise sur un des strapontins à côté de la porte. En quelques stations, le wagon se remplissait et je surprenais déjà des regards appuyés qui m'étaient destinés. Il faut dire que j'avais tout de la salope : mon large décolleté dévoilait une bonne partie de mes seins et, ma robe étant légèrement retroussée de par ma position assise, il me suffisait de décroiser les jambes pour montrer à tout le monde que je n'avais pas de culotte. Simon était ravi. Devant son sourire engageant, je décidai de tester mon public. Je fis mine de vouloir détacher la boucle de ma chaussure pour me masser la cheville. Je comptais une bonne demi-douzaine de mecs qui écarquillait les yeux pour plonger dans mon décolleté où mes seins jouaient librement. Après une bonne minute de spectacle, je me redressai et remarquai quelques bosses parmi les pantalons de ces messieurs non équipés de jeans (les jeans ont ce défaut de ne pas se déformer sous la pression d'une érection). Simon se décala de la foule pour me montrer que, lui aussi, il bandait.

Je décidai de passer au cran du dessus et je repris mon manège du massage de cheville... en décroisant les jambes. Ma poitrine ballottant dans le décolleté, les cuisses suffisamment écartées pour révéler mon sexe nu, j'avais là des arguments de choix pour monopoliser l'attention de tous les hommes qui m'avaient dans leur champ de vision. je levai juste assez les yeux pour voir au-dessous de leur ceinture et je pus observer un des pantalons se déformer à vue d'oeil.

Puis arriva une station importante avec un échange de foule. La plupart des hommes présents ne sortirent pas et une vingtaine de personnes attendait devant la porte pour entrer. Je me suis donc levée pour rejoindre Simon au milieu, m'accrochant à une barre pendant que les portes s'ouvraient. L'homme qui bandait beaucoup vint se mettre derrière moi alors que la foule se déversait dans le wagon. Je fus cernée rapidement à ne plus pouvoir bouger. Tout autour de moi : des hommes. Je sentis l'érection du type contre mes fesses. Afin de l'exciter davantage, je fis d'incroyables efforts pour me retourner et lui offrir une vue imprenable sur ma poitrine. Dans la manoeuvre, j'avais senti que ma robe était remontée mais je ne me rendais pas compte à quel point. Toujours est-il que le type me regardait droit dans les yeux, béat, sans oser plonger dans le décolleté. Je dus lui faire un large sourire engageant pour qu'il daigne enfin baisser les yeux et se rincer l'oeil. Mes tétons pointaient d'excitation à travers le tissu, la sueur perlait légèrement dans le sillon de mes seins et leur galbe était accentué par une respiration haletante que je maîtrisais de moins en moins.

Simon choisit ce moment pour allumer son walkman et le mettre suffisamment fort pour couvrir ma respiration bruyante. Nouvelle station. Peu de gens descendirent, quelques-uns montèrent. On se tassa un peu plus. Le type devant moi ne décrochait plus de mes seins, mais il n'était pas le seul : tous mes voisins immédiats, que des mâles, en faisaient autant. Parmi les hommes à proximité, je pense que seuls deux ou trois avaient profité de l'exhibition de mon minou nu avant la cohue qui m'avait fait lever.
Ce qui suivit, je ne m'y attendais pas vraiment. Une main vint se plaquer sur mon sexe moite. Ma robe était donc plus relevée que je ne l'imaginais. L'homme devant moi releva la tête et ma regarda droit dans les yeux pour juger ma réaction. Je lui souris, il me sourit. Et je sentis un doigt se glisser entre les lèvres de ma chatte gonflées par l'excitation. Il ne bougea d'abord pas, le doigt immobile, profitant juste des vibrations du métro.

Mais le train ralentit et s'arrêta entre deux stations. On nous annonça un incident technique et que l'on s'efforçait de réparer la panne dans les plus brefs délais. Mon bienfaiteur commença donc à imprimer un léger mouvement en accentuant son passage sur mon clitoris. C'était divin ! Puis, il voulut m'explorer plus en profondeur et son doigt me pénétra de tout son long, noyé dans ma mouille. Son majeur allait et venait en moi lorsque je sentis une main me frôler les fesses puis se rétracter. Après un instant, la main timide revint se poser sur mes fesses nues. Au bout de quelques secondes, la main s'activa, me caressant et me malaxant les fesses.

L'homme devant moi continuant de me masturber sagement, tandis que la main de mon amant arrière s'éclipsait à nouveau. Sa nouvelle attaque fut osée : je sentis des doigts fouiller entre mes fesses jusqu'à trouver mon anus. Puis un doigt me pénétra et entama un va et vient régulier dans mon cul. Sentir ces deux doigts au fond de moi, au milieu de cette foule qui ignorait tout de ce qu'il se passait, fut absolument délicieux. Je pense que chacun de mes amants avait dû sentir le doigt de l'autre car ils se synchronisèrent et continuèrent ainsi jusqu'à la monté d'un orgasme, que je fis le plus discret possible. Les deux hommes avaient compris à mes soubresauts légers que j'avais joui et ils retirèrent leurs doigts. Je sentais ma mouille me couler le long des cuisses.
Le train se remit en branle. Simon avait l'air satisfait. Avait-il deviné ce qu'il m'était arrivé ? A la station suivante, il me fit signe de sortir. C'est seulement une fois sur le quai que je me suis rendu compte que ma robe était encore un peu retroussée et que j'offrais aux regards ma chatte et mon cul nus.

Simon rigola alors que je me rajustais en hâte. Nous sommes passés sur le quai d'en face pour rentrer à la maison. Le métro dans ce sens, était presque désert et nous étions quasiment seuls dans le wagon. Simon me donna un mouchoir et, assise sur un strapontin, je commençais à m'essuyer les cuisses couvertes de mouille. Alors que je me redressais, je remarquai au fond du wagon un jeune homme qui me matait. Il était caché par un siège et je ne voyais que son buste et son coude qui marquait un rythme comme s'il écoutait de la musique. Mais il n'avait pas de walkman. Un regard dans la vitre sur le côté et je découvris dans le reflet qu'il se masturbait ouvertement en me regardant. Simon me fit lever et nous allâmes nous asseoir en face de lui. Il s'arrêta, stupéfait. Simon releva ma robe et commença à me taquiner la moule. Le type reprit sa branlette. L'autre main de Simon fit glisser les bretelles de ma robe pour me dégager les seins et lui offrir en spectacle.

Le jeune homme accéléra le rythme. Soudain, alors que l'on venait de quitter une station, il ferma les yeux et contracta sa main sur son membre palpitant. Je me suis levée d'un bond et me suis mise entre ses cuisses, la bouche ouverte. Il comprit aussitôt et dirigea sa queue vers ma bouche. La première salve fut maladroite et me fouetta la joue. Les suivantes vinrent gentiment s'écraser sur ma langue.

La tempête passée, j'avalai le tout et je lui nettoyai méthodiquement le gland avec ma langue. Sitôt le train arrivé en station, il se leva et sortit en se rajustant sans même dire en mot. J'étais un peu déçue de ce manque de reconnaissance.
Lorsque je demandai à Simon un autre mouchoir pour m'essuyer la joue, il me répondit en souriant : "Laisse, ça te va très bien. Tu te laveras dès qu'on sera à la maison et après je m'occuperais de toi."

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Ce que j'adore avec Lisa, c'est qu'elle est toujours prête à essayer de réaliser mes fantasmes. Mais en général, que ce soit mes fantasmes ou pas, s'il s'agit de cul, elle est toujours prête. Cette fois-ci, je lui ai proposé d'aller dans le métro pour émoustiller la gente masculine à l'aide de ses voluptueux attributs. C'est un fantasme assez récurant chez moi : exhiber ma petite salope chérie et faire profiter de son corps sublime à d'autres hommes. Je veux que tout le monde sache à quel point j'ai de la chance d'être avec cette fille. L'idée du métro lui a plu aussitôt et elle est partie enfiler une robe très fine, légèrement transparente. Je lui indiquais que l'idéal n'était pas une robe à mater de quelques mètres d'elle mais plutôt une robe à mater de très près. Je lui choisis donc une robe très courte (très très courte même) avec un décolleté assez ouvert pour dévoiler ses magnifiques nichons.

C'était incroyable : Lisa a toujours les tétons raidis par l'excitation, en permanence. Je crois qu'il n'y a que quand elle dort qu'elle n'est pas excitée. Et encore ! Si elle ne fait pas de rêves érotiques... Je sais que je suis très chanceux car beaucoup d'hommes aimeraient vivre avec une pareille cochonne.
Nous sommes arrivés dans la rame un peu avant l'heure de pointe. Je suis resté debout, me tenant à une barre centrale, alors que Lisa s'asseyait sur un strapontin. J'aurais voulu qu'elle vienne debout à côté de moi afin que tous puisse admirer son corps si peu habillé. Mais rien qu'assise, elle captait déjà quelques regards et, en quelques stations, trois ou quatre mecs ne la quittaient plus des yeux. Je lui fis un sourire encourageant qu'elle sut interpréter aussitôt. Elle se pencha pour s'occuper de ses chaussures, offrant de cette manière une vue imprenable sur ses seins dans le décolleté.

C'était une magnifique salope et je sentis monter une érection. Quand elle se redressa, je lui montrai la bosse qui déformait mon pantalon, ce qui, apparemment, la rendit très fière. Elle se pencha à nouveau pour tripoter ses chaussures mais fit monter la tension (en partie dans mon pantalon) en écartant franchement les cuisses. Même d'où j'étais, je pouvais voir son minou épilé et c'est seulement à ce moment-là que je pris conscience qu'elle n'avait pas enfilé de culotte !

En voyant que nous arrivions à une station importante, elle se leva pour venir au milieu. Un type qui avait bien profité du spectacle vint se mettre entre elle et moi, derrière elle. J'avais repéré son pantalon déformé quand il s'était levé et je savais qu'il bandait franchement. Quand la nuée de gens entra dans le wagon, Lisa se retrouva encerclée de mecs qui, tous sans exceptions, avaient trouvé un grand intérêt à son décolleté. Je m'amusai à pousser un peu le type qui bandait afin que Lisa sente son érection contre ses fesses. Elle dut s'en rendre compte car elle commença à vouloir se tourner vers lui. J'eus le réflexe de plonger ma main entre deux mecs pour saisir discrètement le bas de la robe et le remonter peu à peu au fur et à mesure de la rotation de Lisa. Elle se retrouvait donc la chatte à l'air, contre un mec en érection. La connaissant, je me suis dit qu'elle allait sûrement lui sortir la queue pour se l'enfiler et j'allumai donc mon walkman assez fort pour couvrir le bruit d'un éventuel coït. Mais rien ne se passa. Peut-être ne s'était-elle pas rendu compte qu'elle avait la chatte et le cul à l'air. Le mec, comme les autres, se rinçait l'oeil sur ses nichons. Je dus prendre les choses en main et je poussai le bras du type afin que sa main aille, inopportunément au contact du sexe de ma femme. Cela marcha car je vis une expression de surprise sur le visage de Lisa, rapidement balayée par un sourire engageant. Le type lui mettait donc un doigt dans la chatte.

Le train s'immobilisa et un message sonore nous invita à patienter. J'en profitais pour me frayer un chemin sur le côté afin de me placer à côté du type qui se trouvait derrière ma femme. Comme pour le précédent, je lui poussai le coude pour que sa main entre en contact avec les fesses nues. Le type se rétracta aussitôt et baissa les yeux. Il fallait que je montre à ce benêt comment s'y prendre. Je tendis le bras et me mis à caresser franchement les fesses de Lisa. Le type sembla comprendre et je l'entrevis placer un doigt entre les fesses de Lisa. Elle devait être aux anges. Je voyais, dans le reflet de la vitre, sa bouche entrouverte et ses yeux mi-clos, comme à chaque fois qu'elle sent qu'elle va jouir. Des frissons parcoururent son corps et je sus qu'elle avait joui. Le train redémarra et quand, remise de ses émotions, elle me chercha du regard, je lui indiquai de sortir à la station suivante. Je la laissai sortir devant moi et je pus constater qu'elle avait oublié de rajuster sa robe, en voyant ses fesses dénudées. Un type devant elle, s'immobilisa en voyant le sexe nu. Lisa se rajusta aussitôt et nous prîmes le métro en sens inverse.

Dans le wagon, il n'y avait qu'un jeune homme, assis au fond. Il avait manifestement remarqué ma petite salope chérie. Lisa était assise sur un strapontin alors que j'étais debout dans l'allée derrière elle. Je lui donnai un kleenex pour qu'elle essuie la mouille qui dégoulinait le long de ses jambes. Elle écartait bien les cuisses pour se nettoyer également la moule. Le jeune garçon n'en perdait pas une miette et se tenait l'entrejambe, victime d'une érection manifeste. Je lui fis signe de ne pas se gêner et de se branler franchement. A ma grande surprise, il n'hésita pas et se sortit la bite pour se l'astiquer, dissimulé de Lisa par les dossiers des sièges. Mais quand Lisa eut terminé sa toilette, elle repéra le manège du garçon dans le reflet de la vitre. Je la fis lever pour aller rejoindre le branleur, qui s'arrêta net en nous voyant arriver. Il ne reprit sa masturbation que lorsque Lisa commença à se caresser la moule en regardant sa queue. J'en profitai pour faire glisser les bretelles de sa robe et dégager ses incroyables nichons. Entre deux stations, Lisa sentit qu'il allait jouir et s'agenouilla entre ses jambes pour essayer de recevoir sa semence dans la bouche. Le type fut surpris mais n'hésita pas à lui balancer sa crème épaisse sur la langue et un peu sur la joue. Lisa avala goulûment tout son jus et lui lapa consciencieusement le gland.

A peine eut-elle fini que nous arrivions dans une station. Le jeune garçon la repoussa vivement et prit à peine le temps de remballer son matériel avant de sortir. Nous sommes restés incrédules face à ce manque de politesse et, quand la rame repartit, je proposais à Lisa un autre kleenex pour qu'elle s'essuie la joue. Elle le refusa dans un sourire en me disant que ça allait certainement m'exciter de voir le regard des passants qui découvriraient le sperme maculant son visage. Et, effectivement, j'ai bandé pendant tout le retour vers la maison.
