Miss Camping

Miss Camping (épisode 1) (publié par Simon le 19-09-2006)
Miss Camping (épisode 2) (publié par Simon le 19-09-2006)
Miss Camping (épisode 3) (publié par Simon le 21-12-2006)
Miss Camping (épisode 4) (publié par Simon le 12-01-2007)
Miss Camping (épisode 5) (publié par Simon le 14-02-2007)
Miss Camping (épisode 6) (publié par Simon le 12-03-2007)
Miss Camping (épisode 7) (publié par Simon le 03-04-2007)
Miss Camping (épisode 8) (publié par Simon le 04-05-2007)
Miss Camping (épisode 9) (publié par Simon le 12-05-2007)
Miss Camping (épisode 10) (publié par Simon le 17-05-2007)
Miss Camping (épisode 11) (publié par Simon le 02-06-2007)
Miss Camping (épisode 12) (publié par Simon le 19-06-2007)
Miss Camping (épisode 13) (publié par Simon le 27-07-2007)
Miss Camping (épisode 14 - fin) (publié par Simon le 27-07-2007)


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Miss camping - chapitre 1
[http://ideescoquines.free.fr/Histoires_cochonnes/histoiresHtml/H2fou_10.htm]
Auteur : Marie3

C'est en me retrouvant sur l'estrade avec les 9 autres concurrentes que j'ai réalisé que je n'aurais jamais dû accepter ce concours de " Miss camping juillet 2001 "... Trop tard ! Mais mon époux avait tant insisté, et moi, amoureuse éperdue, je désirais tant lui faire plaisir !

N'est-il pas naturel d'être amoureuse de son mari lorsqu'on a seulement quatre mois de mariage ? Si, bien sûr. Et c'est pour cela que j'ai accepté de passer nos premières vacances (notre " voyage de noce ") dans ce camping de la côte d'azur ou il revient chaque année depuis trois ans...

Moi qui n'avais jamais campé, j'aurais préféré une ambiance plus intime et surtout plus de confort... Mais il a argué que nous étions jeunes (23 ans pour lui, 20 pour moi) et que cela constituerait une nouvelle expérience pour moi. Bien sûr, j'ai plongé ! Je l'avais déjà fait quelques mois plus tôt en me fiançant et me mariant en un temps record tout simplement parce que j'étais amoureuse (nous ne nous connaissons que depuis janvier 2001). Ah l'amour !

Toujours est-il que trois jours seulement après notre arrivé dans ce camping en bord de mer (" tout confort avec accès plage direct, piscine et supérette "), Jean m'a annoncé qu'il m'avait inscrite au concours de beauté du camping ! Moi qui suis timide et introvertie, j'étais tout simplement furieuse. Tout d'abord, je ne me trouvais pas très belle, en tout cas indigne de me présenter. Ensuite, je n'avais aucune envie de me présenter devant tout le camping en maillot de bain pour être jugée de mes qualités physiques ! De quel droit, d'ailleurs, allaient-ils choisir la plus belle ? Selon moi, la beauté est trop subjective pour faire l'objet d'une récompense...

Bref, j'ai tenté de toutes mes forces de m'opposer à ma participation. Mais, encore une fois, j'ai cédé. Et pour cela, qu'a-t-il eu à faire ? Pas grand chose hormis me caresser doucement les cheveux et les fesses en répétant " je veux que tu participes, et en plus, je veux que tu gagnes ". Doucement, oui, mais avec tendresse, persuasion et surtout avec une farouche détermination. Et moi, comme d'habitude, j'ai fondu...

J'étais donc là, le soir même, montant les marches de l'estrade à l'appel de mon nom par l'animateur (le directeur du camping), morte de peur et de trac. Cependant, au moment déterminant, mon stress s'est mué en une assurance dont je ne me croyais pas capable. Je suis venue au centre de la scène, habillée de ma plus jolie robe rouge.



Un vêtement ordinaire (je n'avais rien apporté de très habillé au camping !) mais néanmoins suffisant dans ce cadre décontracté. J'ai souris au public qui était vraiment très nombreux (on dit que j'ai un beau sourire et un visage harmonieux : tant mieux, c'est utile dans ce genre d'occasion !). J'ai répondu à quelques questions, mais je n'ai pu m'empêcher de rougir à l'énoncé de mes mensurations (que l'on s'accorde habituellement à donner comme " idéales "). Le speaker en a profité pour dire que j'étais toute intimidée (ce que je m'efforçais justement de cacher). Puis il termina ma présentation par une phrase un peu énigmatique pour moi : " C'est souvent les plus timides qui vont le plus loin, peut-être pourront-nous le vérifier tout à l'heure ".

Je suis allée ensuite rejoindre mes concurrentes en ligne au fond de l'estrade tandis qu'une autre était appelée à son tour. J'en profitais pour jeter un coup d'oeil aux autres : certaines étaient plus jeunes que moi, mais la plupart un peu plus âgées. Elles étaient toutes mignonnes dans leurs genres, mais aucune véritablement très belles. " Ouf, me suis-je dit, j'ai peut-être une chance ! Jean a tellement envie que je gagne, je dois y arriver pour lui faire plaisir ! ". Sur le côté du public, mon mari me faisait justement un signe de la victoire ! Je gonflai alors ma poitrine et me cambrai au maximum pour mettre en avant mes atouts. Bien sûr, je n'oubliais pas de sourire généreusement...

Une fois les dix participantes présentées, chacune dû faire un tour d'estrade à l'appel de son nom afin de permettre au public de se faire une première opinion (les votes étant effectués à mains levés). Celles qui passaient devant moi adoptaient toutes une attitude très aguicheuse, ce qui me fit penser que la lutte allait sans doute être rude.



Lorsque ce fût à moi, je ne parvins pas à adopter la même attitude. Je me rendis compte rapidement que j'étais en retrait par rapport à mes compétitrices. Jean me fit d'ailleurs un signe en ce sens... Heureusement, nous avions toute un deuxième passage : celui ou nous devons retirer nos robes pour apparaître en maillot de bain deux pièces.

Là, je n'avais plus le droit à l'erreur. Aussi, lorsque ce fut à moi, je mis immédiatement " le paquet " : oeillade vers le public, passage suggestif de mes mains sur mon corps... Je fis glisser langoureusement ma robe à mes pieds et l'envoyai dans le public d'un coup de pied, en espérant que Jean pourrait tout de même la récupérer ( !). Je fis ensuite le tour de l'estrade en me cambrant au maximum avec un air un peu mutin qui me sembla être du meilleur effet. Je retournais ensuite satisfaite à ma place. Un coup d'oeil à Jean : il était aux anges !



Les autres candidates, débarrassées de leurs principaux vêtement, ne disposaient pas toutes d'un corps aussi équilibré que le mien. Certaines avaient de grosses poitrines, mais aussi, la plupart du temps un gros popotin. D'autres, moins callipyge me semblaient un peu plates au niveau de la poitrine... Cependant, quelques concurrentes (les plus " sérieuses ") avaient elles aussi à la fois une belle silhouette et un corps harmonieux...



On passa ensuite au vote. Il en ressortit le nom de 5 d'entres-nous. Citée en second, j'avais des raisons d'être contente, mais en fait, j'étais déçue de ne pas être première... Je commençais à m'orienter vers l'escalier, pensant l'épreuve finie.

Mais je m'étais trompée : les cinq encore en lices devaient continuer afin qu'il n'en reste plus que trois, puis qu'ensuite soit choisie la " reine de beauté " du camping.

Jean vint me rejoindre pendant la pause et s'ingénia à me " mettre la pression " pour que je fasse " absolument tout " pour gagner. Il y tenait tellement que je ne le reconnaissais plus : lui si calme d'habitude, pourquoi ce concours le mettait-il dans un tel état ? Je lui promis de tout faire ce qui était en mon pouvoir, mais en même temps, je m'inquiétais des autres épreuves. Il ne voulut rien me dévoiler en arguant que les règles changeaient d'année en année. Mais il ne voulut rien me dire sur les épreuves des années passées...

A nouveau sur l'estrade pour le second round, nous étions appelées vers le devant de la scène par l'animateur une par une. Autres questions anodines, vites expédiées. Puis l'animateur commença, à ma grande stupeur, par réaliser un " tour du propriétaire " de chacune d'entre nous. La première candidate, une grand blonde bouclée assez élégante, se nommait Julie. Il la tutoya rapidement et en joignant le geste à la parole, il décrit son physique de haut en bas :
" Julie a de belles jambes soyeuses (il lui caresse les jambes), de belles cuisses pleines et puissantes (il lui caresse les cuisses), des fesses bien rebondies (il l'a fait tourner sur elle-même et lui caresse les lobes avec insistance)... ". Enfin, remontant le dos, il lui dégrafa le soutien-gorge et lui fit enlever pour le jeter dans le public.



Elle dut ensuite se mettre de face et de profil pour que chacun apprécie les rondeurs juvéniles - elle devait avoir une vingtaine d'années comme moi - de ses obus en forme de pomme dont il caressa aussi les mamelons avec insistance afin que ceux-ci s'érigent, ce qu'ils firent d'ailleurs !



Julie se laissa faire, puis Christelle, une jolie brune aux yeux clairs, subit le même sort.

Désespérée, je regardais Jean avec des larmes dans les yeux pour lui demander d'abandonner. Mais celui-ci, inflexible, me fit signe que non seulement je devais continuer, mais aussi gagner !

Je passai en troisième position. L'animateur avait lui-aussi gagné de l'assurance. Manifestement, j'étais à son goût, car il flatta longuement toutes les parties de mon corps, sous prétexte de mieux les montrer au public. Il souleva même un peu mon slip vers l'arrière afin d'y glisser une main que je sentis à peine, tellement j'avais le trac. Bien entendu, il me dégrafa aussi le soutien gorge et décrit avec flamme mes seins qu'il pétrissait avec empressement.



Lorsque je fus bien ravalée au rang d'un animal de foire dont on fait l'article pour mieux le vendre, je retournai à ma place, touchée dans mon amour-propre et honteuse de moi. Seul Jean me félicita à distance, et je fut rassérénée d'être soutenue par la seule personne que j'aimais. Les deux autres candidates eurent droit au même traitement...

Un autre vote eu lieu. J'étais cette fois-ci troisième des trois finalistes. Les deux filles écartées par le vote du public descendirent de l'estrade en pleurs, accueillies l'une par son petit ami, l'autre par ses parents.

Celles qui restaient se regardaient en " chien de faïence ". Nous appréhendions toute, ce qui allait venir. L'animateur prit alors la parole : " Cette année, nous allons donner aux filles elle-même le choix des armes pour recueillir le plus de votes. Voyons jusqu'ou elles sont prêtes à aller pour gagner ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, je rappelle que la lauréate gagne la gratuité totale de son séjour chez nous pour elle et sa famille pour le mois entier. Que la plus appétissante gagne !

Ce fût l'effet d'une bombe. Simultanément, je devinai bien des choses :
- Jean voulait que je gagne pour faire une économie. En effet, j'ai immédiatement compris après notre mariage que son pire défaut est l'avarice. J'en veux pour preuve cette " lune de miel " dans un camping...
- Ce concours de reine de beauté tournait en un combat de séduction à la limite ( ?) de l'érotique, sans doute au grand plaisir du public venu en masse ce soir. Effectivement, il y avait bien là plus de 500 personnes et surtout des hommes.
- La troisième position me permettait de jouer ma carte en dernier, au vu de ce qu'avaient fait mes compétitrices ! Il me suffisait d'aller un peu plus " fort " pour gagner !

Mes sentiments étaient donc très mitigés. Cependant j'avais le coeur gros de savoir que Jean me laissait me traîner dans la boue pour gagner quelques milliers de francs... Cependant, toujours amoureuse, je ne voulais pas le décevoir...



La première candidate s'avançait. Elle commença à danser de manière très érotique. Manifestement, elle avait compris que sa première place pouvait se retourner contre elle. Aussi, elle n'hésita pas à pousser le bouchon très loin : avec stupéfaction, je la vis baisser langoureusement son slip pour découvrir d'abord son fessier (qu'elle avait très beau).



Ensuite, lorsqu'elle se fut débarrassée de tout vêtement, elle se retourna puis ôta l'une après l'autre les mains qui cachaient sa toison brune et bien découpée. Elle continuait à danser alors que la foule l'applaudissait à tout rompre. Mais son final était encore plus éblouissant : elle termina sa danse les jambes totalement écartées face au public et les seins en avant (soutenus par ses mains), offerte à la foule ! J'étais désespérée.

Ensuite interrogée par l'incontournable animateur, elle en profita pour " remercier le public avec lequel elle venait en quelque sorte de faire l'amour ". Puis, à la question, " Et si vous gagnez, que proposez-vous ? ", elle répondit : " Je propose de ne pas me rhabiller pour la soirée qui va suivre afin que chacun puisse me voir de près lorsque je danserais sur la piste ! ". Elle fût bien entendue acclamée...



J'en restais bouche bée ! Mais, comme si de rien n'était, Jean, de loin, continuait à m'encourager. Il me criait " tu peux faire mieux " !

Déjà, la seconde candidate s'avançait. C'était la blonde Julie. Elle ne se mit pas à danser. Elle hésitait, ne savais quoi faire... Enfin, elle se décida. Elle prit la parole et dit : " Je ne danse pas très bien, mais par contre, si vous votez pour moi, sachez que je prends l'engagement de rester totalement nue dans le camping et sur la plage à partir de maintenant et pendant la totalité des vacances, jusqu'à fin juillet. Je vous promets de ne rien vous cacher de mon anatomie et de rester souriante et avenante pour chacun. Maintenant, je vous montre tout de suite ce que je vous offre ". Elle joignit le geste à la parole et retira sa culotte avec une certaine maladresse.



Chacun put alors voir qu'il s'agissait d'une vraie blonde. Dont les poils, peu touffus, ne cachait pas la fente, longue et ourlée. Quelques sifflements d'admirations vinrent saluer cette mise à nu, suivie d'applaudissements appuyés. L'impétrante rougie violemment, puis après avoir montré ses fesses, retourna à l'arrière scène.



Enfin, ce fût à moi. Comment faire mieux ? Mue par mon stress, je ne tergiversai pas longtemps : je choisis tout simplement de reprendre à mon compte le meilleur des deux propositions avec un petit bonus supplémentaire. Je fis donc un petit show au terme duquel ma culotte s'envola dans le public.



J'exposai donc à la fois ma croupe, mes mamelles et ma chatte au regard et à la concupiscence de chacun, sans toutefois écarter trop les jambes (un zest de pudeur, peut-être !). Je ne me reconnaissais plus moi-même, d'ordinaire si calme et si réservée ! La honte de me montrer nue devant une foule d'inconnus ne me tarauda pas un instant : il fallait que je le fasse, je le faisais !

Puis, j'annonçai à tous que moi aussi, resterais nue en toute occasion jusqu'à la fin du mois en cas de victoire. Mais, en plus de ce que proposait Julie, chacun aurait le droit de me toucher et de me caresser, à la demande !

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Quelques jours plus tard, je me réveille avec l'aube avec mon envie matinale habituelle d'uriner. Jean dors encore à mon côté. Délicatement, je descend la fermeture à glissière de notre sac de couchage commun. Je me glisse silencieusement hors du sac. J'en profite pour jeter un regard sur son beau corps endormis et nu (nous avons fait l'amour hier soir avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre). Son petit sexe rose est recroquevillés sur ses cuisses musclés. J'en suis toute attendrie... Je referme enfin le sac de couchage et me glisse toujours silencieusement hors de la tente. Ouf, il ne s'est pas réveillé ! Aujourd'hui, je veux lui faire une surprise...



Tout d'abord, je me dirige vers les toilettes à côté des douches. Le camping est encore tout endormi. Seul quelques matinaux sont réveillés et s'activent en silence, soit pour confectionner un petit-déjeuner, soit pour préparer leurs sacs à dos, en vue d'une randonnée. Sur le chemin, plusieurs me sourient et la plupart m'appelle par mon prénom. Il faut dire que je suis célèbre dans tout le camping désormais ! De plus, je suis très visible, car ma tenue détonne beaucoup par rapport à celle des autres : je suis intégralement nue en permanence, depuis que j'ai gagné le concours de " Miss Camping " du début du mois...



La plupart des résidents ont été très gentils avec moi, et m'ont rendus la tâche aisée. Mais quelques uns et surtout quelques unes n'ont pas du tout apprécié soit le concours, soit ma méthode pour gagner... Mais j'ai décidé de ne pas y prêter attention. Après tout, je suis en congé à plus de 1000 km de mon domicile, et je pense que je ne verrais plus jamais ces gens. Bref, pour moi, c'est une parenthèse originale dans ma vie, qui doit reprendre son cours normalement après les vacances...

Arrivée aux toilettes, je tombe sur un homme que je ne connais pas encore : un nouveau venu au camping. Surpris par ma tenue, il m'en demande les raisons. Je lui explique alors mon engagement et ses raisons. Amusé, il profite sur-le-champ de l'aubaine par un petit tapotis sur mon postérieur, puis encouragé par mon sourire, il continue par une longue caresse sur le dos, le ventre et les cuisses. Enfin, il s'empare de mes seins qu'il malaxe sans ménagement.



Bien entendu, je m'offre sans réticence à ce traitement désormais habituel, que j'ai maintes fois subie depuis quelques jours. Bref, c'est le train-train !

Je ne suis pas inquiète malgré notre relative solitude et je goûte sans bouder mon plaisir les caresses de plus intimes prodigué par ce bel homme d'une trentaine d'année. Cependant, l'envie d'uriner me taraude toujours. Je lui fais part de ce besoin naturel afin qu'il me laisse entrer dans les toilettes toutes proches. Il me dit alors : " Allons derrière l'arbre, tu pourras uriner pendant que je te caresse ". D'abord surprise par cette proposition inattendue, je tente de refuser, mais les caresses de cet inconnu m'électrisent et je souhaite qu'elles continuent encore. J'accepte donc.



Me voici donc debout, les jambes écartés et penchée en avant me tenant à une branche basse, en train d'uriner sans honte devant un illustre inconnu qui me pétrie fesses et poitrine comme du bon pain, tout en faisant passer la pointe de ses doigts sur mon dos et mes hanches... Au début, l'urine a du mal à venir : l'inconfort de la position me bloque. Mais, petit à petit, aidé de mon inconnu, je me laisse aller. Quelques gouttes perle tout d'abord sur toison, puis soudain un jet dru arrive. L'homme se place en face de moi pour admirer ma fontaine et me féliciter pour cette " production ". Avec ses doigts, il s'amuse à orienter le jet en tirant gentiment sur mes muqueuses. Puis, tout à coup, il bloque mon urine en appuyant à la base de mon urètre, il me dit " Retiens-toi maintenant". Ce que je parviens à faire. Il me dit alors : " C'est le matin, tu dois faire un peu de gymnastique. Montre-moi comment tu fait le poirier ".

Sous le charme, je m'exécute. Je suis fière de montrer ma souplesse (10 ans de gymnastique, ça laisse des traces !). Je m'appuie sur un arbre et fais monter mes jambes bien serrés tout en maintenant mes hanches avec mes mains. Lorsque je suis en position, mon inconnu se place tout à côté de moi, et enserre chacune de mes chevilles dans ses mains. Il écarte ensuite ses bras, ce qui automatiquement me fait écarter les jambes. Je suis alors bien mal à l'aise, les cuisses ouverte et le sexe offert bien malgré moi. En silence, il observe mon anatomie pendant que je le supplie de me laisser. Mais il a une autre idée : " Maintenant, continue à pisser ". Je proteste que le jeu a maintenant trop duré, et que je suis mariée... mais il ne laisse pas sa prise et répète " Pisse ". Je me concentre alors pour satisfaire son désir, d'autant que j'ai aussi encore bien envie. Mais l'urine ne veux pas sortir... Il me dit " Concentre-toi, j'attendrais aussi longtemps qu'il faudra ".



Plusieurs minutes s'écoulent alors. J'en profite pour lui dire que j'ai peur de me pisser dessus. Mais cette objection le laisse de marbre. Enfin, je parviens à me laisser aller. Ma fontaine ne s'écoule plus en jet, mais telle une vasque qui déborde. L'urine coule d'abord sur mon sexe, puis traversant la toison, elle s'écoule doucement sur mon ventre et mes seins avant de glisser de part et d'autre de mon cou. Je me couvre littéralement d'urine ! Cependant, la sensation qui en découle n'étais pas désagréable. Au contraire, je me sent bien, apaisée, ce liquide chaud me ruisselant sur la peau. Lorsque j'ai finit, il pose mes pieds délicatement par terre et me dit : " Je crois qu'il y a des douches là derrière. Vas-y, tu l'as bien mérité ! Merci et bonne journée surtout ! ". Puis il s'en va, non sans avoir tapoté une dernière fois mon fessier.

Je ne me le fais pas dire deux fois : je cours aux douches, encore vides à cet heure. Mais l'eau chaude n'est pas encore en marche : c'est une douche froide qui me remet de mes émotions !



Ensuite, trempée car je n'ai pas de serviette, je m'oriente vers la supérette pour prendre des croissants pour le petit déjeuner (c'est la " surprise " que je veux faire à mon homme).



C'est le gérant qui m'accueille. Dès la soirée d'élection, il avait marqué une nette préférence pour moi, et continuait à me montrer son intérêt par des caresses que je ne pouvais bien sûr pas refuser... Encore une fois, il profita de la situation... Me voyant mouillée, il me propose de me sécher (la supérette était vide à cet heure), ce que j'accepte avec plaisir car j'ai froid (il est encore assez tôt). Il prend une serviette et me frictionne pour me réchauffer. Il insiste sur les jambes, le sexe, les fesses, le ventre, les seins... Lorsque je suis sèche, et un peu échauffée par la douce serviette qu'il a utilisée, il me demande de monter à quatre pattes sur le tapis de sa caisse. Puis il prend un plumeau en vente dans le magasin, et entreprend de me caresser méthodiquement avec cet instrument.

Je me cambre au maximum pour recevoir ses douces caresses au creux des reins, sur la poitrine, et de temps en temps entre les cuisses. Au début, je redoute l'arrivé d'autres clients. Mais au bout de cinq minutes de ce traitement, toutes mes inhibitions ont sauté : je ne pense plus qu'au plaisir que je reçois, les yeux fermés et le sexe humide... Mes seins pendent, dur comme de l'acier, les pointes érigées. Les cuisses légèrement écartés, j'attends avec impatience l'arrivé du plumeau dans cette zone particulièrement sensible. Mais le gérant sait y faire : il titille ma peau en maints endroit et passe de manière fugace entre mes jambes écartés. Ainsi, je demeure folle de désir inassouvie, offerte sur le comptoir...



Lorsque je rouvre mes yeux, plusieurs clients sont là et m'observent. Honteuse, je bredouille en commençant à descendre du meuble. Mais la main ferme du gérant m'y maintient. Il s'écrie : " Elle est bien chaude, qui veut la caresser ? " . Plusieurs mains viennent alors remplacer le plumeau. Un petit homme ventripotent glisse son bras sur ma chatte et récupère un peu de mon liquide intime. Honteuse, je dois endurer des remarques du type " C'est vraiment une pute, elle aime ça ! " pendant que d'autres glissent leurs mains sur ma poitrine (douloureuse, tellement elle est tendue). Enfin, j'ai le droit de redescendre. Je m'empare alors des croissants que j'étais venu chercher et part sans demander mon reste...



En chemin vers la tente, trois autres campeurs me caressent copieusement et le dernier me pince les tétons tellement fort que je pousse un petit cris de douleur.



Les larmes aux yeux, je regagne la tente.

Jean est réveillé. Je lui tends mes croissant et l'embrasse avec fougue car mes divers périples de la matinée m'ont échauffée...

Lui aussi est de bonne humeur. Il m'enfourche donc immédiatement, ainsi qu'il le fait habituellement (il faut dire que mon Jean ne connaît absolument pas les préliminaires...). Il s'enfonce en moi avec facilité et me couvre de baiser dans le cou et sur le visage.



Puis il entreprend deux au trois mouvement de piston, au termes desquels il se vide en une saccade courte mais intense. Puis il débande rapidement, se retourne et se rendort. Je l'admire encore un petit peu dans la lumière du matin (à travers la tente, cela donne une teinte orangé du meilleur effet), lui caresse le front puis le dos jusqu'aux fesses. Je suis heureuse de lui avoir donné de la joie et de m'être offerte à lui. En quelque sorte, c'est une vengeance sur les autres, qui, s'ils m'ont caressée, n'ont pas eu droit de se déverser en moi. Je ne suis le réceptacle que du sperme de mon mari ! Seul lui a le droit de me posséder complètement. Les autres n'ont qu'en ersatz ! Cette pensée me réconforte !

Je me laisse aussi aller à une légère somnolence, lorsqu'un la fermeture à glissière de la tente s'ouvre tirée par une main extérieure. Un visage d'un garçon que j'avais déjà vu apparaît. Il me fait " Pssssit, psitt ! ". Je lui fait signe de ne pas faire de bruit car mon mari dort. Toujours par signe, il me fait comprendre que je dois sortir de la tente. Pour ne pas entrer en conversation et risquer de réveiller Jean, j'obtempère rapidement.

Lorsque je suis dehors, debout, je me rends compte que le sperme de Jean coule un peu sur mes cuisses.



Mais je ne peux pas les essuyer, car un groupe de trois adolescents m'observe. Je leur demande la raison de leur appel. Il me répondent qu'ils veulent profiter du sommeil de leurs parents pour me " connaître " mieux. Doux euphémisme pour dire " caresser ". Mais mon engagement est ferme : je dois leurs donner satisfaction. Ils m'entraînent alors dans la forêt toute proche pour " être tranquilles ". Je les suis sans discuter, mais je suis toujours gênée par le sperme de Jean qui continue à couler à chaque pas. Lorsque nous sommes arrivés dans une petite clairière, un des garçons voit le liquide qui me maculer les jambes. Il me demande ce que c'est. Je lui dit la vérité sans ambages. Ils me répondent alors qu'eux aussi auraient aimé me " farcir " de leurs propres jus. Mais je ne leurs laisse pas d'espoir : " Vous pouvez me caresser autant que vous voulez, mais je refuse d'être pénétrée par un autre que mon mari " !

Déçus de ce demi-échec, ils se rattrapent rapidement sur les caresses, y compris intimes, qu'il me prodiguent avec d'ailleurs fort peu de délicatesse.



Leurs manques d'expériences est flagrants. D'ailleurs ils m'avouent être tous puceaux, ce qui ne m'étonne pas. Avec gentillesse, je tente alors de les éduquer un petit peu. Ils acceptent de bonne grâce ce cours de travaux pratiques improvisés. Chacun à leur tour, ils apprennent à m'effleurer le creux des reins avec le bout de leurs doigts. Lorsqu'ils commencent à éveiller en moi quelques pulsions, je les fais passer à d'autres parties : le contours des seins, les mamelons, l'intérieur des cuisses... Ils apprennent vite. Au bout d'une bonne heure, je me laisse aller, sous leurs doigts et commence à mouiller abondamment (et pourtant je ne leurs ai pas fait " travailler " mon sexe, de peur de ne plus pouvoir me contrôler). Je me tortille sur un lit de mousse et d'herbe, les yeux mi-clos, à la recherche des meilleurs sensations...



A trois, ils ne me laisse pas beaucoup de répit : lorsque le premier effleure mes mamelon, un autre travaille l'intérieur de mes cuisses, et le troisième fait descendre quelques brins d'herbe le long de ma colonne vertébrale...

Malheureusement, je ne suis pas seule à m'échauffer : mes trois puceaux, ne souhaitant plus le rester, ont ôtés leurs habits, sans que je m'en rendent compte... Trois magnifiques érections me font maintenant face.



Lorsque je rouvre les yeux, je sens le danger de cette situation. Que faire ? Si je leurs dis d'arrêter maintenant, ils sont capables, dans leurs déceptions, de s'attribuer ce qu'ils peuvent légitimement prendre pour leurs dus : moi. Or, même nue et échauffée, je me refuse d'offrir mon orifice reproducteur à quiconque hormis mon mari... Il me reste la possibilité de les sucer à tour de rôle. Mais si je connais théoriquement cette pratique, je ne l'ai jamais réalisée dans les fait. De plus, j'ai peur de devoir avaler tous ce sperme accumulé... Il me restait aussi la possibilité de me retourner et d'offrir ma " voie étroite ", elle aussi pucelle. Je me refuse également à cette éventualité. J'ai alors l'idée de les faire se masturber ensemble, afin que les bourses vides, ils me laissent enfin m'échapper.

Je prends alors l'initiative et dit : " Maintenant que vous avez caressé une femme, montrez moi ce que vous savez faire sur vos propres queues ". Tout excités, ils ne se le font pas dire deux fois : chacun entoure sa hampe de sa main, et un ballet d'aller retour se met en marche. Le plus âgé (que je trouve aussi le plus mignon : brun avec des yeux verts, musclé mais sans plus...) me dit cependant : " puis-je m'enfoncer en toi une fois uniquement pour voir ce que cela fait, et je continuerais à me masturber après ? ". Je refuse, bien sûr. Mais l'idée fait son chemin dans sa tête. Comprenant encore une fois le danger, je tente de me dégager en refermant mes cuisses, qui involontairement se sont ouvertes à la vue de leurs tiges en érections.



Mais mon beau brun s'est subrepticement placé à genou entre mes jambes et je ne peux pas me reculer car un autre est placé à genou aussi entre ma tête et mes épaules. Réalisant la situation, je bredouille des mots inintelligibles. Il en profite pour s'allonger sur moi, présentant son bâton de joie au garde à vous à l'entrée de ma grotte. La situation est presque désespérée (ou espérée ?) mais heureusement pour moi, son inexpérience lui joue un tour : se présentant trop bas, il ne trouve pas mon trou. Et son excitation étant au comble, il ne peut se retenir plus longtemps : il éjacule sur ma toison, et se relevant, un second jet atterri sur mon ventre, suivi d'un troisième sur mon visage et dans mes cheveux. La déception se peint sur son visage, que je trouve très beau. Je le console aussitôt : " Ce n'est pas grave, tu sais. Tu ne m'a pas pénétrée, mais tu m'as éjaculé dessus, et de quelle manière ! Je n'avais jamais vu autant de sperme à la fois. Toutes mes félicitations ! " A ses mots, son visage s'éclaire. Il me remercie de ma gentillesse. Pendant ce temps, ses deux compères continuent leurs va et vient. Soudain, leurs liquides sortirent, presque simultanément. L'un m'asperge les jambes et le sexe, l'autre, les seins, le cou et les épaules. Je suis vraiment couverte de sperme !



Ils m'aident à me relever et se rhabillent tout en me remerciant et s'éloignent. Ils veulent bien sûr renouveler l'opération plus tard, ce qui me fait un peu envie, mais m'effraye tout de même un peu car comment leurs refuser l'entrée de mon sexe maintenant ?

Mais l'urgent est pour moi de me laver : comment faire pour aller jusqu'aux douches discrètement, ou comment me débarrasser de ce sperme qui me recouvre sans attirer l'attention ? Je décide de faire le tour du camping par la lisière du bois pour arriver aux douches par l'arrière. Ce que je fait, soulagée de n'avoir rencontré personne... jusqu'aux douches ! En effet, il est maintenant 10 h du matin, et les douches fonctionnent à plein régime... J'attends donc patiemment que le lieu soit plus calme.



A un moment, je m'aperçois qu'une cabine est libre. Je prends donc mon courage à deux mains et sort du couvert pour me précipiter vers elle. Mais au moment de fermer le loquet, je comprends pourquoi elle n'intéresse personne : elle ne ferme plus de l'intérieur ! Je devrais ressortir, mais les autres cabines sont toutes prises et après tout, tout le camping m'a déjà vu nue : me cacher ne rime donc à rien. Je me coule donc tout de même sous une douche bienfaisante. Un savon, oublié là, me sert pour me nettoyer soigneusement.



Alors que je me frotte énergiquement, la porte s'ouvre brusquement : l'homme " à tout faire " du camping vient avec sa trousse à outil effectuer la réparation ! Tout d'abord, par habitude, il s'excuse et esquisse un mouvement vers la sortie. Mais m'ayant reconnue, il se retourne et me dit bonjour. Puis il ajoute " Je viens réparer le loquet. Comme de toute façon, vous êtes comme ça tout le temps, je ne pense pas que cela vous gêne si je fais le travail pendant votre douche ? ". Puis, sans attendre la réponse, il commence à sortir ses outils et à dévisser la serrure...

Ne pouvant faire autrement, j'en prends donc mon parti. Mais pendant qu'il s'affaire, il bloque la sortie... Je restais donc sous la douche. Heureusement pour moi, il a rapidement terminé. Il me montre la réparation en faisant fonctionner la serrure après avoir rangé ses outils. De mon côté, j'ai arrêté l'eau et j'attends qu'il me laisse passer. Mais il ne se décide pas à sortir : il ferme le loquet et me fait face en me disant : " Après l'effort, le réconfort ! Approche-toi, ma belle ! ". Encore une fois, les caresses reprennent ! Il ne me reste plus qu'à me laisser faire, ce que je fais non sans répugnance car l'homme n'est absolument pas à mon goût : la soixantaine, un peu sale, avec des dents noires et une haleine horrible !



Tout d'abord, il m'empoigne la poitrine et martyrise mes seins en me disant " tu aime ça, hein ? ". Je préfère ne pas répondre. Cependant, je lâche plusieurs fois des petits cris de douleurs, qui manifestement le réjouissent. Puis il met sa main sur mon sexe et me malaxe à nouveau. Lorsqu'il a repéré mes grande lèvres, il les pince jusqu'à que je crie, puis relâche et recommence une bonne dizaine de fois, cependant que de son autre main, il balade son index autour de ma rondelle. Je ne sais pas quoi faire : d'un côté, il est de mon devoir de remplir mes engagements, mais d'un autre côté, jamais je n'ai subi pareil outrage et j'aurait donné une grosse somme pour qu'il s'arrête. Je tente tout de même de la calmer par quelques paroles " Doucement, vous n'êtes pas obligé de me faire mal ! " Dit dans un sourire, cette phrase fait un peu d'effet, puisqu'il relâche son pincement. Mais ces " caresses " se font de plus en plus précises : l'index de sa main gauche commence à tester l'élasticité de mon anus cependant que les pincements de mes lèvres deviennent moins longues, mais plus régulières. Résultat : des picotements de début de plaisir commencent à monter malgré la répugnance que l'homme m'inspire. Bien sûr , il s'en rend compte, et commence avec ses mains à donner à mon bassin un mouvement de va et vient lent et suggestif au rythme de ses singulières caresses. Au bout d'une dizaine de minutes de ce traitement, mon sexe n'est plus douloureux et coule doucement de mon liquide intime. De mes yeux mi-clos, je vois le va et vient de ma poitrine vers celle de l'homme. A chaque fois, mes tétons frappent le tissu de sa chemise et s'érigent encore davantage. Les jambes écartées pour goûter encore plus aux caresses, je m'offre sans retenue.

Soudain, son index gauche force mon anneau.



Après le travail préparatoire réalisé depuis plusieurs minutes, l'introduction est aisée, et son doigt me pénétre les fesses jusqu'à la garde en une seule poussée. C'était la première fois. La sensation est unique : un sanglot de joie me fait tressaillir. Je connais désormais de nouveaux horizons... Mais côté pile, les choses évoluent aussi : son index de la main droite est également à la porte de ma vulve...

Je ne sais pas jusqu'où il m'aurait conduite si nous n'avions pas été dérangés par le gérant du camping, à la recherche de son employé pour une autre tâche urgente. L'homme se retire brusquement, rince ses mains sous l'eau, puis sort de la douche en laissant la porte ouverte, comme si de rien n'était. Cette sortie n'échappe évidemment pas à plusieurs estivants et j'ai droit à plusieurs remarques assez blessantes sur le fait que je suis sans cesse en chaleur et prête à tout pour me " faire sauter ". Les pauvres, s'ils savaient que c'est justement le contraire que je recherche... Je pars donc sous les quolibet et cours vers la tente. Jean n'y est plus. Il m'a laissé un mot : " je suis à la plage ". Il ne me reste plus qu'à l'y rejoindre...


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(suite de Miss Camping)

Je sais assez bien où trouver Jean sur la plage même si le mot qu'il m'a laissé ne le précise pas. Depuis une semaine que nous sommes au camping, nous allons toujours au même endroit. La plage jouxte le camping et il y a majoritairement des clients du camping. J'ai remarqué que Jean passe pas mal de temps à admirer les filles qui se baladent seins nus. Il faut dire que la plupart des vacanciers sont des jeunes et que je ne suis pas la seule jolie fille sur la plage. Seulement, depuis quelques jours, je sais que je suis considérée comme la plus jolie et que je suis la plus regardée : pour gagner le concours de "miss camping 2001" et offrir à mon mari la gratuité du séjour, j'ai du promettre de rester intégralement nue dans le camping.



Et comme la compétition a été rude, j'ai poussé le jeu jusqu'à promettre que je laisserai quiconque le souhaite me tripoter. Bien sûr, j'ai gagné le concours... mais j'ai aussi découvert de nouvelles sensations. Jean me fait très bien l'amour, aime me caresser (je pense être tout à fait à son goût) mais nos jeux sexuels sont pour le moins conventionnels. Et cela surtout à cause de moi qui, d'un naturel assez introverti et plutôt farouche, ne lui accorde que très rarement de fellation et, jusqu'à présent, jamais de sodomie. Pourtant, le début de journée m'a fait découvrir que je pouvais trouver un plaisir insoupçonné par la voie anale. Cette découverte m'avait beaucoup émoustillée et, restée sur ma faim, je n'ai désormais qu'une envie, c'est de faire l'amour à Jean et de lui proposer de me sodomiser pour la première fois.



Fière de cette décision, je décide donc de le rejoindre à la plage et de l'entraîner dans les dunes pour nos jeux amoureux. Alors que je m'apprête à sortir du camping et à traverser la route, je me rends comptes que je suis toujours nue. Je me dis que je suis obligée de rester nue au camping mais pas sur la plage. Et s'il y a des gens sur la plage qui ne sont pas du camping, je risque de les choquer. Je suis tellement habituée maintenant à me promener toute nue dans le camping que j'en oublie presque que cela peut être gênant à l'extérieur de l'enceinte. Je ne peux quand même pas aller me baigner en tenue d'Eve à cette heure. Même le fait de m'exhiber seins nus sur la plage serait une première et me met mal à l'aise.



Je décide donc de partir mettre mon bikini. Je retourne à la tente. En chemin je croise un nouvel arrivant qui n'en croit pas ses yeux. Je lui explique donc mes engagements envers les clients du camping. Curieusement, il ne demande pas à me tripoter mais se contente d'admirer mes formes avec un petit sourire. Je ne sais pas trop quoi faire, surprise qu'il n'en profite pas, et je rejoins ma tente. En entrant dans la tente, je jette un petit coup d'oeil en arrière pour voir si l'homme me regarde toujours, mais il n'est plus sur le chemin.



Je m'allonge sur le matelas à l'entrée de la tente pour fouiller dans mon sac de voyage. Après deux bonnes minutes de recherche infructueuse. Je dois me rendre à l'évidence que mon bikini n'est pas là. Il est vrai que je ne l'ai pas mis que les trois premiers jours où nous étions ici. Cependant, je ne vois pas où il peut être à part dans la tente. Je ne l'ai sûrement pas rangé dans la voiture et ça m'étonnerait que quelqu'un se soit permis de venir voler quoi que ce soit dans la tente. Je vais sortir quand je sens une présence derrière moi. Je tourne la tête et découvre le voyeur en pleine admiration de mon popotin (il faut dire qu'il est à l'extérieur de la tente et que, cuisses écartées, j'offre aussi une vue exceptionnelle sur mon sexe).



Alors que je commence à reculer. L'homme s'agenouille derrière moi et me dit "Attends ! Ne bouge pas...". Ses mains viennent se poser sur mes fesses et il semble en apprécier le contact. Ses doigts commencent à danser autour de mon clitoris. Il semble plus vouloir me donner du plaisir qu'en prendre, ce que je trouve rassurant. Il parcourt de ses caresses les lèvres de mon sexe pour finalement se concentrer sur mon anus. Je meure d'envie de lui dire qu'il peut y enfoncer son sexe s'il le souhaite, mais je me dis qu'il est quand même préférable que j'offre cette virginité à mon mari plutôt qu'à un inconnu. Pourtant, il me mène avec facilité au bord de la jouissance rien qu'en me caressant le tour de la rondelle. Lorsque ses doigts abandonnent mon cul, je me retourne de peur que cela soit terminé, mais je sens aussitôt sa langue se poser sur mon anus et tenter de s'y insérer.



Puis il reprend ses caresses sur mon sexe. Je deviens une vraie fontaine et je devine que ses doigts sont trempés de mon jus. Les lèvres de mon sexe sont gonflées de désir et écartée, prête à accueillir un sexe. Au bord de l'orgasme, j'ai peur de ne pas me contrôler et de ne pas pouvoir refuser à cet homme de me baiser s'il me le demande. Heureusement, il n'en fait rien et ce sont deux de ses doigts que je sens pénétrer dans ma chatte. Un plaisir immense m'envahit et, alors que l'inconnu me masturbe avec douceur, je laisse venir la jouissance et je m'effondre devant la tente.



Je me remets de mes émotions après quelques minutes et quand j'ouvre les yeux. Mon amant est accroupi devant moi et semble toujours en admiration de mon corps. "Tu es superbe" me dit-il, "Et très sensible aux caresses, c'est un vrai plaisir de rencontrer des filles comme toi." Je souris sous le flot de compliments qui confirment que ses yeux ne mentaient pas. Je lui réponds que j'aurais bien voulu lui faire l'amour mais que, étant fidèle à mon mari, je réserve mon sexe à lui seul. "Il a bien de la chance, ton mari." Ne pouvant le laisser repartir comme ça, je me lève et je lui fais une proposition qui me surprend moi-même au moment où la phrase sort de ma bouche : "Si tu veux, je peux te faire une fellation".



Il semble surpris mais répond aussitôt qu'il ne faut pas que je me sente obligée, que je ne lui dois rien et que s'il m'a fait jouir c'est aussi pour son plaisir. Devant tant de galanterie, je m'approche de lui et lui retire son bermuda sans autre forme de procès. Je lâche un petit cri de surprise non feint à la découverte de son membre turgescent. J'en tire d'ailleurs une certaine fierté puisque j'ai obtenu cette érection sans même y toucher. Je le préviens que je ne suis pas une professionnelle avant d'enfourner l'immense sexe dans ma bouche. Au fur et à mesure, je sens le sang palpiter de plus en plus vite dans la hampe de chaire. Au moment de jouir, je le laisse s'extraire de ma bouche et se masturber au-dessus de mon visage. Le sperme jaillit à flot, emplissant ma bouche, coulant sur mon menton, jusque sur ma poitrine.



Jamais je n'avais laissé Jean me faire ça : la fellation entrait plus dans les préliminaires de nos jeux érotiques que comme un aboutissement. Malgré la répugnance que cela aurait dû m'inspirer, je trouve enivrant de considérer que l'ensemble de mon corps, et pas seulement mon sexe, puisse servir pour faire éjaculer un homme. L'inconnu essuye les dernières gouttes de sperme contre ma joue et je garde la bouche ouverte pour laisser s'échapper la crème, ne voulant pas avaler.



L'homme me remercie en enfilant son bermuda et s'éloigne tranquillement en se retournant régulièrement pour me regarder. Maculée de sperme, je décide de prendre une douche avant de repartir en quête de mon bikini. Quand je rentre dans le bâtiment des douches, un jeune homme en sort. Me voyant, il m'emboîte aussitôt le pas. J'ai peur qu'il veuille me tripoter mais il me demande juste si ça me dérange s'il me regarde me doucher. Je lui réponds que non et nous entrons dans la première cabine. Il ne s'est manifestement pas rendu compte que j'étais couverte de sperme et je me dépêche de me savonner pour faire disparaître les traces du forfait.



Alors que je commence à me rincer, je me rends compte que le garçon s'est mis nu et qu'il se masturbe. Je m'apprête à lui dire de sortir mais il me demande : "Est-ce que je peux caresser tes fesses ?" Vu ma promesse, il m'était impossible de refuser "Oui...". Mais il ajoute "Avec ma bite ?" Je reste perplexe. Il ajoute "Je mets juste ma queue entre tes fesses pour te caresser et c'est tout, je promets d'être sage." Je lui dis d'accord.



Il vient donc placer son érection entre mes fesses qu'il écarte avec soin et entame un mouvement de bassin de bas en haut. Je me dis que je me suis faite avoir car c'est finalement plus moi qui le caresse que l'inverse. Son sexe est assez court mais avec un gland assez allongé. Je me rends compte qu'à chaque passage sur mon anus, son gland me fait des picotements très agréables. Encore une fois, j'hésite à l'autoriser à me sodomiser mais je me ravise. Il en profite pour ms malaxer les seins, ce que je ne peux lui refuser.



Soudain, il s'écarte et se place face à moi. "Il me semblait bien" dit-il. J'ai remarqué en te croisant que tu avais quelque chose sur le visage et il se trouve qu'il t'en reste un peu... C'est ton mari qui t'a offert ça ?" J'ai bien été forcée de lui avouer que non. Il me demande alors s'il peut lui aussi faire pareil. Les conditions sont très différentes d'avec l'inconnu de tout à l'heure, mais, voulant rejoindre Jean à la plage au plus vite, je préfère accepter plutôt que d'argumenter pendant trois heures. Aussitôt, il me fait mettre à genou et se branle avec énergie devant mon visage. Au bout de deux minutes, il éjacule sur ma langue, me souillant de sa crème.



A peine a-t-il jouit qu'il sort de la douche et me laisse dans le même état que quand j'y étais entrée un quart d'heure plus tôt. Je n'ai donc plus qu'à me savonner à nouveau et à me laver méticuleusement (pas question que quelqu'un d'autre remarque que j'accepte de faire des fellations).



Une fois séchée, je sors de la douche en m'enroulant la serviette autour de la taille. A peine sortie du bâtiment des douches que j'entends une voix derrière moi : "Eh ! C'est pas autorisé ça !!!" Je me retourne et découvre un des trois jeunes que j'avais vus plus tôt dans la journée. Il désigne du doigt la serviette autour de ma taille et me fait remarquer que ça ne correspond pas au "intégralement nue" que j'avais promis.




Je suis donc obligée de retirer la serviette et de me présenter toute nue. Il s'approche et me caresse la moule. Je garde les cuisses serrées pour ne pas lui permettre d'aller trop loin. Un peu déçu, il s'intéresse alors à mes seins et se met à les peloter généreusement. Malgré son inexpérience, ses caresses commencent à m'exciter et il le remarque : "Ouaiiis... T'aimes ça, hein ? T'as les tétons qui pointent". Effectivement, il a raison et, comme prise en faute, je me recule et me cache les seins par réflexe.



Il vient alors se coller à moi et me malaxe les fesses. Je sens son érection gonfler contre mon ventre. Je crains qu'il ne veuille encore une fois se masturber sur moi, considérant avoir déjà eu ma dose de sperme pour le moment et voulant rejoindre Jean à la plage. Curieusement, il se contente de me caresser les fesses.



Au bout d'une minute, il me laisse enfin et me dit "Ne bouge pas de là ! Y'a des gars qui voulaient te voir tout à l'heure, je vais les chercher, attends nous là". J'étais à la fois soulagée qu'il s'en aille et stupéfiée qu'il puisse me considérer comme un objet de plaisir que l'on prête à ses copains. Je m'appuie au mur de la douche pour réfléchir. Il faut que j'aille à la plage avant que les autres reviennent mais je ne peux pas y aller sans mon bikini... et je n'ai pas réussi à mettre la main dessus.



Je me souviens alors qu'il existe une laverie pour les campeurs dans un bâtiment derrière les douches. Peut-être Jean y a-t-il emmené mon bikini... Je fais rapidement le tour pour voir. Par la fenêtre ouverte, j'aperçois mon petit soutien-gorge et mon string qui sèche sur un fil au côté d'un tee-shirt à Jean. Je vais à la porte mais celle-ci semble fermée. Je m'arc-boute contre mais sans résultat : elle est fermée à clé.



Je dois pourtant absolument récupérer mon petit bikini. Pourquoi ne pas passer par la fenêtre ? Je retourne à la fenêtre et constate qu'un banc a judicieusement été placé dessous, ce qui me facilitera la tâche. Seulement, il est hors de question que quelqu'un me voit entrer par la fenêtre car il risquerait de croire à un vol. Je fais donc mine de rien devant la fenêtre et attends que les environs soient calmes.



Dès que je sens le moment opportun, je monte sur le banc et enjambe la fenêtre.



Une fois à l'intérieur, j'attrape mon bikini et ressors le plus vite et le plus discrètement possible. Avec ma chance habituelle, je m'attends à trouver quelqu'un qui vient pour me tripoter, mais les alentours sont déserts. Contente de moi, je me dirige vers la sortie du camping. J'attends d'être à l'extérieur, sur le chemin, pour enfiler le bikini et regagner la plage.



(à suivre)^ ---------oOo---------

(suite de Miss Camping)

Un sentier de sable permet de traverser la large bande de dunes qui sépare la route de la plage. Je n'y rencontre personne. Pourtant, il y a pas mal de monde sur la plage au moment où j'y arrive. Et, même si je reconnais des gens du camping, je remarque quelques têtes qui ne me disent rien, ce qui me conforte dans mon choix d'avoir mis mon petit bikini. Je me sens malgré tout mal à l'aise, car je ne suis plus très habituée à porter quoique ce soit et mon maillot me fait bizarre, même si le soutien-gorge est assez étroit et le string à la limite de la décence.



Autour de moi, la plupart des gens bronzent ou vont se baigner. Je remarque que la plupart des nanas sont topless. Certaines ont d'ailleurs des poitrines magnifiques et je ne peux m'empêcher de comparer leurs seins aux miens. Il est vrai que je suis généreusement dotée de ce côté. Mes seins sont gros, sans être lourd et sans tomber, ils sont ronds, bien fermes, avec de larges aréoles placées assez haut et des tétons plutôt longs. Les femmes présentes ont parfois de gros seins mais souvent un peu lourds, d'autres se tiennent bien mais sont plus petits. Jean me dit souvent que j'ai les plus beaux nichons du monde et que je n'ai rien à envier aux filles siliconées, mais je pense qu'il préférerait qu'ils soient encore plus gros. Du coup, au milieu de tous ces seins nus, je me demande si je ne vais pas me faire remarquer avec mon maillot deux pièces...



Quelques garçons que je reconnais comme étant du camping s'approchent de moi avec un grand sourire. Je me doute un peu de ce qu'ils vont me dire : "Tu ne joues pas le jeu, tu avais promis de rester à poil et tu te permets de mettre un maillot de bain." Je leur explique donc que j'avais promis d'être nue au camping mais que, là, c'est la plage et il y a aussi des gens qui ne sont pas du camping. L'un d'eux rétorque à raison que je suis plus vêtue que la plupart des filles qui sont sur la plage. Pour couper court à cet argument, je dénoue mon soutien-gorge et je le retire.



Comme d'habitude, les garçons sont subjugués par ma poitrine et quelques personnes qui passaient s'arrêtent pour profiter aussi du spectacle. Un des gars du camping repart à la charge : "C'est mieux, mais pour une fille qui ne tient pas ses promesses, ce n'est pas suffisant... En plus, vu le peu de tissu qu'il te reste, tu ne feras pas la différence". Je lui retourne le fait que des gens ici ne sont pas du camping et pourraient me faire des histoires si je me mets complètement nue. Un monsieur, un peu derrière le petit groupe, prend la parole : "Je ne suis pas du camping et je ne comprends pas trop pourquoi vous devriez vous mettre complètement nue, mais je vous promets que ça ne me dérange pas du tout, bien au contraire". Deux ou trois autres personnes abondent dans son sens. Je sens tous leurs yeux sur moi, avides de découvrir ma nudité complète.



La situation me semble assez tendue et je discerne nettement la plupart des caleçons de bain très franchement déformés par des érections fulgurantes. J'en suis à la fois apeurée et à la fois très fière. Toutes ces queues se dressent pour moi. Voyant que personne ne me laissera ainsi, je n'ai pas d'autre choix que d'obtempérer. Je fais donc glisser mon string, lentement en lançant des oeillades coquines à chacun, par jeu.



Je me retrouve donc dans la nudité la plus totale, sur une plage publique, entourée d'une dizaine de mecs qui doivent tous penser à la même chose. Manifestement, maintenant que j'ai retiré mon string, les garçons sont encore moins disposés à me laisser partir retrouver Jean. J'ai envie d'appeler à l'aide, mais je me rends bien compte que ça ne fera qu'attirer d'avantage de monde. Mon désir de sodomie était retombé : il est hors de question que je me fasse défoncer par tous ces mecs. J'essaye d'évaluer la situation. "Bon, maintenant que je suis à poil, vous me laissez passer ?" Personne ne répond, mais personne ne bouge. Je suis coincée...



Je tente de sortir du cercle, mais, aussitôt, des mains m'accrochent et me ramènent au milieu du groupe de voyeurs. Dans la manoeuvre, le cercle s'est rétréci et je suis à portée de main de chacun. En peu de temps, mon corps devient le champs de bataille de dizaines de mains : on se dispute mes seins, on me pince les tétons, on me malaxe les fesses, on me met des doigts dans le cul, on me fouille l'entrejambe. Je tente vainement de les repousser, mais, malgré la violence de l'assaut, je sens bien que je suis en train de céder : je laisse échapper des gémissements suggestifs et je mouille abondamment.



Je sais que ces gars-là ne me laisseront pas tant qu'ils n'auront pas vidé leurs couilles. Je décide donc de reprendre le contrôle de la situation : "Ecoutez les gars, j'ai une proposition à vous faire". La plupart des mains s'arrêtent et les garçons m'écoutent. "Vous allez tous décharger votre foutre sur moi et après vous me laisser partir". Ils semblent à peu près tous d'accord et je commence à me diriger vers les dunes pour que ce soit plus discret. Les garçons m'arrêtent. "On ne va pas faire ça, ici, sur la plage ! On sera plus tranquille dans les dunes." Une voix me répond : "On est nombreux. On fera un cercle autour de toi pour te cacher et on se relayera." Le ton pris ne laisse aucune discussion. Je n'ai pas le choix. Je m'agenouille donc et je les vois sortir leurs érections et se masturber.



Je veux que cela se fasse vite. Pour les motiver un peu et gagner du temps, je prends des poses suggestives et je me caresse les seins et l'entrejambe, en tournant de temps en temps pour que tout le monde puisse en profiter. Certains sont monstrueusement bien montés et la taille de leur engin redéclenche mon envie d'être prise par derrière. Toutefois, j'arrive à me contrôler et à me raisonner pour ne pas m'offrir ainsi à autant d'inconnus et me réserver à mon mari.



Un premier gars quitte le cercle et s'approche de moi, le sexe à la main. Il donne quelques petits coups de poignet comme pour amorcer une pompe et au bout de quelques secondes il éjacule sur mon visage d'un jus épais et crémeux.



Cela semble être le signale de départ pour les autres qui se relayent alors à un rythme effrené devant moi pour m'envoyer leur sperme au visage ou sur les seins. Je prends garde à bien fermer la bouche pour ne pas risquer d'avaler de sperme. Une fois qu'ils sont tous venus éjaculer sur moi, je remarque que le premier garçon, celui qui a ouvert le bal, se masturbe à nouveau devant moi. Je ne veux pas y passer l'après-midi et je n'ai pas envie qu'ils se relayent ainsi jusqu'au soir. Je me relève donc mais, avant que j'ai le temps de sortir du cercle, le garçon jouit et m'envoie plusieurs jets qui viennent s'écraser sur mon ventre.



Couverte de sperme gluant et tiède, je cherche du regard mon bikini. Impossible de le trouver, un gars a déjà du partir avec. Tant pis ! Je quitte le groupe et me dirige vers la mer avec l'idée de nettoyer tout cela avant de retrouver Jean. Je ne suis pas sûre qu'il apprécierait de savoir ce qui vient de se passer. Le contact de l'eau fraîche me fait du bien et me calme un peu. Je m'asperge d'eau, mais cela ne suffit bien sûr pas à nettoyer tout le sperme gluant qui me recouvre. Je sens que les cheveux sont collés, que mon visage est poisseux. D'abord, le fait de me frotter avec l'eau de mer a pour résultat d'étaler le sperme sans le retirer (il aurait fallu du savon ou moins de l'eau chaude).



Peu à peu, à force de me frotter dans l'eau, je finis par m'en débarrasser et j'arrive petit à petit à éliminer toute trace de sperme sur moi. Contente d'être à nouveau pure, je regarde autour de moi. Sur la plage, les garçons se sont dispersés. Personne ne semble faire attention à moi.



Je profite donc de ce moment de détente pour apprécier la situation. Nue dans l'eau, le clapoti des vagues venant me fouetter l'entrejambe et les fesses commence à m'exciter à nouveau.



Je décide de me calmer un peu avant de retrouver Jean et je m'allonge dans l'eau sur le dos pour me laisser bercer par la marée. Je ferme les yeux quelques minutes. Les vagues viennent lécher mon sexe nu. J'écarte un peu les cuisses pour profiter de cette sensation exquise. Mes seins semblent flotter à la surface de l'eau. J'oublie quelques instants que je suis sur une plage avec pas mal de monde.



Quand je rouvre les yeux, je découvre un type à trois mètres de moi qui, les mains dans le dos, me sourit. "Vous êtes une sirène ?" Manifestement, il n'est pas du camping. "Si vous voulez..." je lui réponds en souriant. "Vous êtes vraiment très belle !" "Merci..." "Je peux vous prendre en photo ?" Il dégaine alors un petit appareil qu'il tenait dans son dos. Je ne suis pas dupe et je me doute qu'il m'a déjà photographiée avant que je ne rouvre les yeux. Lui refuser ne servira donc à rien : "Comme vous voulez...".



Il ne perd pas de temps et me mitraille de photos sous tous les angles. Je bouge, m'amuse avec les vagues, prends des poses. Cela semble le ravir.



Sa pellicule terminée, il me remercie comme si je venais de lui vendre un pain et regagne la plage. Je me dis que c'est aussi le moment de retrouver mon mari. Je cherche sur la plage quelqu'un qui puisse ressembler à Jean. Je préfère rester dans l'eau pour le trouver plutôt que de parcourir la plage complètement nue. Je le repère : il est en admiration totale devant deux jeunes filles topless assise au bord de l'eau.



Pas franchement discret, il est totalement absorbé par les deux nymphes. Ce salaud ne m'a pas encore vu et ne semble pas me chercher. Je sors de l'eau pour le rejoindre quand les deux filles se lèvent pour aller se baigner.



En me croisant, les deux filles écarquillent les yeux lorsqu'elles constatent que je suis totalement nue. Je lis sur leur visage comme une espèce de regret de ne pas oser faire de même. L'une est brune avec une poitrine très imposante et un peu lourde (je pense que c'est surtout celle-ci qui a attiré le regard de Jean), l'autre est blonde avec une poitrine moins grosse mais un peu ballotante.



Je regarde à nouveau Jean. Cette fois-ci, il m'a repéré. Il est tout sourir, il semble vraiment content de me voir en tenue d'Eve. Et il n'est pas le seul, la plupart des gens qui sont sur mon passage sont des gens du camping. Les hommes ont l'air satisfait que je sois ainsi, leurs femmes en revanche me regardent comme si j'étais la dernière des salopes. Je ne peux pas vraiment leur en vouloir car, depuis que je reste tout le temps nue au camping, j'éveille forcément chez certain des pulsions sexuelles que leurs femmes ne peuvent pas toujours satisfaire.



Je retrouve Jean qui se lève pour m'embrasser d'une manière un peu trop du genre "regardez, elle est à moi"... Puis il me laisse sa serviette pour que je m'installe.



Je m'apprête à lui faire part du désir qui me taraude depuis tout à l'heure, mais ce malotru ne me regarde même pas : il reluque encore les deux filles qui jouent dans l'eau. Les deux nanas discutent, rigolent et s'amusent, mais semblent faire attention à laisser leur poitrine hors de l'eau pour que tout le monde puisse en profiter.



Je me rends compte que je suis jalouse de ces deux filles qui attirent l'attention de mon mari alors que moi, même si je suis totalement nue, même si j'attire la convoitise de tous les hommes sur la plage, je n'arrive pas à obtenir la moindre attention de la part de mon mari. J'use alors de ruse : je me cambre, j'écarte les cuisses. Bien sûr, ce sont d'abord les gens qui passent devant nous qui en profitent, mais Jean finit par le remarquer à force de voir des visages déconfits passer devant lui.



- ça va, ma chérie ?
- Très bien, même si je n'arrête pas de me faire tripoter depuis ce matin par des dizaines d'autre que toi...
- Tu sais, le jeu en vaut la chandelle et je suis très content que tu le prennes aussi bien.
- Je n'ai pas vraiment le choix, puisque j'ai promis...
- C'est vrai, mais en plus, je suis très fier de pouvoir montrer à tout le monde à quel point j'ai de la chance d'avoir une femme aussi splendide !
- ça ne t'empêche pas de matter les deux nanas là-bas !
Il tourne la tête et les regarde : elles marchent désormais au bord de l'eau.



- Excuse-moi, je ne pense pas à mal...
- C'est juste un peu vexant pour moi : je suis totalement nue à côté de toi et tu n'as d'yeux que pour ces filles.
- Ne le prend pas mal mais ces filles, je ne les reverrais jamais alors j'en profite maintenant pour me rincer l'oeil. Toi, tu seras toujours à mes côtés : je peux profiter de toi dès que j'en ai envie.
- Ce n'était pas exactement ma vision du mariage, mais c'est vrai qu'il n'y a rien de mal à considérer la chose comme ça.
- Tu ne m'en veux pas ?
- Pas si, moi aussi, je peux profiter de toi quand j'en ai envie.
- Je suis à toi, quand tu veux, où tu veux !
- Alors, je voudrais que tu me caresses.



Mon Jean ne se fait pas prier. Il me fait m'allonger et commence par se pencher sur mes seins. Tendrement, il joue avec mes mamelons. Je sens l'excitation m'envahir à nouveau.



Machinalement, j'ai écarté les cuisses. Jean prend ça comme une invitation et abandonne mes seins pour faire descendre ses mains sur mon ventre. Je mouille déjà beaucoup. Lorsqu'il passe les doigts sur les lèvres de mon sexe, il remarque ma cyprine qui s'en écoule. Il plonge un doigt entre mes lèvres et est stupéfait de la fontaine qu'il y découvre.



- C'est incroyable ! Tu n'as jamais mouillé comme ça !!!
Je lui explique que les diverses caresses des gens du camping m'ont extrêmement excitée. Je lui raconte également la découverte que j'avais faite, plus tôt dans la journée, du plaisir que m'a procuré la pénétration d'un doigt dans mon anus. A ces mots, il me demande de me mettre sur le ventre et d'écarter les cuisses. Je m'exécute. Il me caresse d'abord gentiment les fesses, mais en vient rapidement à ma rondelle.



Un plaisir immense m'envahit. J'ai peur de me laisser aller et de jouir, là, sur la plage, devant tout le monde. Je demande à Jean d'arrêter et je lui propose de continuer ça dans les dunes. Aussitôt dit, aussitôt fait. Jean m'aide à me relever, ramasse la serviette et m'entraîne d'un pas décidé dans les dunes.



(à suivre)^ ---------oOo---------

Miss camping (épisode 5)

Bien que mariée à Jean depuis quatre mois seulement, j'étais en train de découvrir tout un panel de nouveaux jeux sexuels. Jean m'avait inscrite au "concours de miss" du camping où nous passions notre lune de miel dans l'espoir d'obtenir la gratuité du séjour et les événements s'étaient enchaînés jusqu'à ce que je promette de rester nue dans le camping et de me laisser tripoter. Cela ne semblait pas déplaire à Jean, au contraire... Seulement, aujourd'hui, j'avais découvert que je pouvais prendre beaucoup de plaisir à être sodomisée. J'avais donc décidé d'offrir cette virginité anale à mon Jean au grand regret de tous les garçons qui m'avaient tripoté la rondelle. Nous voilà donc Jean et moi, nous installant dans le creux d'une dune à l'abri des regards. Jean s'est installé sur la serviette et a retiré son short. Son sexe est déjà légèrement gonflé par le désir. Je me suis assise à côté et j'ai commencé à le masturber en surveillant les alentours.



Rapidement, j'obtins une belle érection et ma main continua de monter et descendre lentement sur la hampe de chair de mon mari. Je sentais que Jean commençait à se laisser aller et mes caresses sur son sexe ne le laissaient pas indifférent.



Je me suis ensuite décalée entre ses cuisses et je me suis penchée sur son sexe pour le prendre en bouche. Je repensai alors à l'homme que j'avais sucé plus tôt dans la journée au camping et qui avait éjaculé dans ma bouche. Jamais Jean ne me l'avait fait et je ne savais pas trop si je devais lui dire ce qu'il s'était passé et que cela m'avait assez plu.



Je me mis plus à l'aise pour le sucer en me mettant à quatre pattes et je repris ma fellation avec attention. Je n'étais pas très experte en la matière mais je sentais que la caresse buccale que je lui offrais lui convenait tout à fait. Il me regardait en souriant, se délectant de voir ma bouche monter et descendre sur sa queue.



Puis, me voyant le cul en l'air, Jean se rappela que je lui avais dit que je voulais qu'il me sodomise. Se sentant suffisamment bandé, il me demanda de rester à quatre pattes et vint se placer derrière moi. J'eus peur qu'il ne décide de pénétrer mon anus directement, mais il commença par se lubrifier la queue à ma fontaine en me prenant en levrette.



Tout en me baisant, il commença à m'asticoter la rondelle avec ses doigts et j'avoue ne pas avoir su résister longtemps. Au bout de quelques minutes seulement je m'entendis lui dire "Prends-moi comme une chienne ! Encule-moi ! Défonce-moi le cul !" Jean marqua quelques secondes de surprise devant mon vocabulaire plutôt cru auquel je ne l'avais pas habitué. Mais, ne pouvant résister à l'invitation, je le sentis sortir lentement sa queue de mon sexe et venir appuyer son gland contre mon anneau. Celui-ci, comme animé par une vie propre, sembla se dilater pour faciliter le passage. Jean appuya doucement sa bite et celle-ci commença à pénétrer en moi. Je me mordis les lèvres. La sensation était formidable. Je n'avais rien connu de tel. Il entrait lentement en moi jusqu'à la garde, il m'emplissait complètement, mon cul semblant s'ajuster parfaitement à la taille de sa queue.



Lentement, il commença à ressortir, puis il revint avec la même lenteur. Ce glissement, millimètre par millimètre était absolument délicieux. Cette divine sensation fit monter en moi un orgasme puissant. Quelques instants après, je ne pus réfréner l'expression de mon plaisir et je jouis avec des cris retentissants de plaisir. A peine remise de cet incroyable plaisir, Jean me proposa de changer de position. Il s'allongea à nouveau sur la serviette et me demanda de le chevaucher. Machinalement, je vins au-dessus de sa hampe dressée et je m'empalai dessus.



Mais, bien que la position était très agréable, je sentis que ce n'était pas ce que je voulais vraiment. De petits picotements dans mon anus me décidèrent à changer le mode de pénétration. Je me soulevai donc suffisamment pour extraire la bite de Jean et, à sa surprise, je la guidai entre mes fesses. Le passage ayant déjà été fait, sa queue s'enfonça en moi avec facilité et je sentis aussitôt monter en moi un nouvel orgasme. Je me mis à psalmodier des choses incompréhensibles en poussant de petits cris. Je me rendis alors compte que deux autres gars étaient derrière nous à se masturber.



Deux magnifiques tiges dressées sur lesquelles des mains opéraient au même rythme que Jean et moi. Quand Jean leur fit signe d'approcher, je ne sus que penser. Voulait-il m'offrir à ces deux inconnus ? Voyant mon regard interrogateur, il me dit "Je veux qu'ils soient plus près pour admirer ton corps magnifique. Et même s'ils ne te baisent pas, tu leur permets sûrement de te caresser" "Bien sûr" répondis-je déjà avide de voir la bite de ces deux mecs de plus près. Alors que mon orgasme se faisait de plus en plus proche, j'implorais Jean "Ce sont des super bites, Jean... Je peux les sucer ?" Je ne me reconnaissais plus. Pourtant, là, à ce moment précis, c'est ce que je voulais : sucer ces deux inconnus pendant que mon mari me défonçait le cul. Jean me fit un sourire qui donna le coup d'envoi : les deux mecs se mirent juste devant moi, de chaque côté de Jean et je pus attraper leur queue pour les sucer alternativement.



J'étais sur une autre planète, mon orgasme me prit au plus profond de moi et me parcouru tout le corps. Je ne m'en souviens plus, mais il me semble avoir hurlé. Jean n'arriva pas à résister davantage et jouit dans mon cul avec violence lui aussi. Les deux éjaculèrent en même temps en se branlant vigoureusement devant mon visage. Leur crème me fouetta avec force et je la sentis couler sur mon menton et sur ma joue.



Toujours empalée sur Jean, je reprenais mes esprits. Un des gars se pencha sur moi m'essuya le visage avec sa serviette personnelle. L'autre me malaxa un sein avant d'aller remettre son short. Puis les deux s'éloignèrent en nous remerciant. Jean me souriait. Il était manifestement heureux de m'avoir donnée en pâture à ces deux hommes. Je ne savais pas trop quoi penser. Je tentais, tant bien que mal de rester fidèle à Jean et on aurait dit qu'il cherchait à ce que je me tape d'autres types... Finalement, je compris que c'était son côté voyeur qui devait faire cela. Participer est une chose, mais Jean, sûr de notre amour, aime peut-être aussi me regarder avec d'autres hommes.

"Je rentre au camping prendre une douche, mais tu peux rester un peu si tu veux. Profite un peu de la plage tant que le soleil n'est pas couché..." J'étais crevée. Mon corps était comme libéré et j'avais envie de m'étendre pour dormir. En retournant sur la plage, je cherchai désespérément mon bikini du regard mais sans succès. Il y avait moins de monde et essentiellement des gens du camping. "Tant pis pour le nudisme !" pensais-je "Tous les gens ici sont habitués à me voir à poil depuis quelques jours". Je m'allongeai donc sur le sable afin de profiter des derniers rayons du soleil.



Allongée sur le dos, je m'assoupis tranquillement. Je sentais la chaleur du soleil commencer à me caresser la peau. Cette douce chaleur accompagnée d'un léger vent tiède me procura un bien être incomparable qui me fit machinalement écarter les jambes pour que cette tendre caresse vienne jusqu'à mon sexe.



C'est dans un demi sommeil que je pris conscience qu'il n'y avait pas que le vent et le soleil qui me caressaient la chatte. Un homme était agenouillé à côté de moi et passait gentiment un doigt le long de ma fente. Je n'osai pas ouvrir les yeux et fis mine de continuer à dormir.



Probablement satisfait que je ne me réveille pas, il s'aventura un peu plus loin. Son doigt s'immisça entre les lèvres de mon sexe et commença à me pénétrer. Je ne pus réprimer un léger feulement de plaisir mais je réussis à faire mine de continuer à dormir. Je l'entendis s'installer autrement. Il passa une main sous ma jambe et ce sont deux mains qui vinrent à l'assaut de mes parties intimes. Un doigt plongeait toujours dans ma chatte et l'autre main se frayait un passage jusqu'à mon anus. Je ne pus m'empêcher de me redresser un peu pour lui faciliter l'accès.



Soudain, il retira ses mains, se releva et s'éloigna sans rien dire. La soudaineté de son départ me fut d'abord incompréhensible, puis je compris qu'il avait dû sentir du sperme couler de mon anus sur sa main et qu'il en avait probablement été dégoûté... Je décidais donc de me retourner pour me mettre sur le ventre.



Je m'endormis à nouveau quelques minutes et fus réveillée par une présence à mes côtés. Je me redressais un peu pour regarder autour de moi et je vis que c'était une fille qui était agenouillée là et qui me regardait.



Je me redressais sur ma serviette et je me tournai vers elle.



Elle était seins nus elle aussi mais portait quand même un petit string. Elle me regardait, comme admirative, sans rien dire. Elle me dévorait des yeux. J'étais un peu gênée. Habituée à ce que ce soit des hommes qui me regardent comme ça, je ne savais pas trop quoi faire face à une femme qui manifestement me désirait. Un peu engourdie, je me levai pour m'étirer.



Alors que je me réinstallais sur ma serviette, elle m'adressa enfin la parole. "Tu sais, je suis au camping, je sais pourquoi tu es à poil. Tu es vraiment superbe. Tu as un corps de rêve, les mecs doivent tous vouloir te baiser. Ils doivent être tous dingues de ne pouvoir que te tripoter." Je pensais "Si ils se contentaient de me tripoter..." et je lui répondis que je trouvais qu'elle avait aussi de jolis seins. "Oui, mais ce que je voudrais, c'est pouvoir faire comme toi, me mettre à poil, sans qu'il ait de raison, sans passer pour une salope." Je lui dis que j'étais certaine que tous les mecs qui me voyaient me considéraient comme une salope. Pour toute réponse, elle dénoua les noeuds de son string et le retira en disant "Dans ce cas, je serais aussi une salope".



Puis elle se pencha vers moi et commença à me caresser les seins. Ses mains étaient douces et ce contact me plu. Je n'avais jamais été caressée par une fille auparavant. C'était mon premier contact lesbien et je dois dire que ça me plaisait assez de goûter à la tendresse d'une fille, contact moins violent que celui d'un mec. Je la laissais donc me caresser.



Je n'avais pas envie de lui laisser l'initiative. Je voulais qu'elle croit que ce n'était pas ma première expérience avec une fille. Me suis donc mise à quatre pattes entre ses cuisses et j'ai approché mon visage de son sexe pour lui faire un cunnilingus.



Je ne l'avais jamais fait, mais je savais ce qui moi me faisait de l'effet. Ma langue commença donc à chercher son clitoris et je le trouvai très rapidement. Elle avait la chatte toute humide et sa mouille avait un petit goût salé, pas déplaisant du tout. A mon grand étonnement, elle eut un orgasme en seulement quelques minutes. En me poussa ensuite en arrière pour que l'on échange les rôles.



Elle n'en était manifestement pas à sa première fois car sa langue sur ma chatte fut experte. Elle améliora même le traitement en me glissant un doigt dans la moule. Vue que j'étais complètement trempée et que j'avais été excitée toute la journée, elle y entra son doigt très facilement.



Puis, elle me demanda de me retourner. Tout en continuant à me doigter la moule, elle fit danser sa langue autour de mon anus. Ce fut absolument exquis. Un orgasme monta aussitôt et je le laissai m'envahir totalement.



Quand je repris le contrôle de moi-même, la fille était debout à côté et m'admirait encore. Elle dit : "J'étais sûr que ce serait par le cul que je te ferais jouir. Tu es le genre de fille qui prend son pied avec une sodomie. Bon et bien à plus tard..." Et elle partit, me laissant là sur la plage. Je décidai de retourner au camping pour rejoindre Jean. Je me levai et m'étirai à nouveau.



Seulement, je ne m'étais pas rendu compte qu'à passer dans les dunes et faire des allers-retours sur la plage, je ne savais plus vraiment par où passer pour rentrer. Je décidai donc de suivre d'abord la plage jusqu'à ce que je reconnaisse la configuration des lieux.



Mais je ne reconnaissais rien. J'étais peut-être partie dans la mauvaise direction... Et j'arpentais la plage, totalement nue, sous les regards lubriques des quelques hommes qui restaient. Je reconnus certains gars du camping mais je ne voulais pas aller leur demander mon chemin de peur qu'ils ne réclament un paiement en nature... Je décidai donc de tenter ma chance dans les dunes.



Mais je ne reconnaissais pas plus mon chemin dans les dunes. Je décidai donc de les traverser pour regagner la route. J'aurais sans doute plus d'éléments de repère de ce côté. Et j'avais aussi l'avantage d'être seule et d'éviter les regards de satyres. La maigre végétation m'obligea à faire quelques détours.



J'aperçu soudain des morceaux de tissus familier : mon bikini ! Le type qui l'avait pris l'avait abandonné ici (peut-être que sa femme n'appréciait pas trop qu'il conserve ce genre de trophée). Je le ramassai et me dis que je pouvais bien le renfiler pour regagner la route. Quelle ne fut pas ma surprise de reconnaître le chemin : j'étais à une centaine de mètres de l'entrée du camping. Et plus surprenant, Jean venait vers moi, accompagné d'un autre garçon du camping. "On venait à ta recherche." Jean avait lui-même eut du mal à retrouver son chemin. Jean regarda mon bikini : "C'est quoi ça ? Tu vas avoir des ennuis dans le camping si tu gardes ça". Je lui expliquais qu'on n'était pas encore dans le camping et que je comptais l'enlever une fois arrivée à l'entrée. Il me dit que ça ne serait pas très bien vu, qu'il valait mieux commencer à l'enlever maintenant. Amusée par le regard qu'il portait à mes seins lui et son nouveau copain, j'obtempérai.



Quand le soutien-gorge révéla ma poitrine, les deux garçons retinrent leur souffle. Même si Jean était habitué à mes seins, il semblait toujours apprécier de les découvrir aussi souvent que possible. Il me présenta son nouvel ami. "Thomas vient juste d'arriver. Il a entendu parler de toi, bien sûr et il voulait en savoir un peu plus". "Et bien, maintenant il connaît aussi mes seins et quand on sera à l'entrée du camping, il connaîtra mes fesses". Jean me dit que je ne suis pas sympa de le faire attendre, d'autant qu'il lui avait juré, en venant me chercher, que je me promenais intégralement nue. Manifestement, il avait un fort désir de m'exhiber. Je retirai donc mon string et me présentai nue devant Thomas et Jean.



Thomas admirait alternativement mon entrejambe et ma poitrine. Jean s'approcha de moi et commença à me peloter comme si il me découvrait. Cela me fit rire. Il ajouta à l'attention de Thomas "Elle est donc superbe, toujours nue et toujours d'accord pour se faire caresser".



"Dis-moi chérie" (je devinais ce qui allait suivre) "ça t'embêterai qu'on se prenne un peu de bon temps avant de retourner au camping ? J'ai très envie de toi et Thomas ne sera sûrement pas contre une petite pipe". Le caleçon de Thomas était outrageusement déformé par un sexe manifestement très long. Avant d'avoir eu le temps de répondre, Jean s'était déjà mis à poil et s'astiquait le membre. Il s'allongea par terre et me fit venir au-dessus de sa tige je m'y empalais, mais par la chatte et pas par le cul, estimant que mon cul avait été assez sollicité pour la journée. Thomas avait bien compris qu'il n'allait pas se contenter de regarder et il approcha son sexe tendu de mon visage pour que je le suce.



Me baiser pendant que je suçais un type que je ne connaissais pas cinq minutes plus tôt, excitait incroyablement Jean. Il éjacula en moi rapidement sans même me prévenir. Thomas mit plus de temps à venir, mais quand il éjacula, il m'arrosa le visage d'une pluie de sperme telle que je pris conscience qu'il devait avoir des couilles de taureau !



Après que Thomas m'ait prêté un mouchoir pour que je m'essuie le visage, nous sommes retournés au camping. En y réfléchissant, j'étais très heureuse de cette journée, car j'avais fait plein de découverte sur ma sexualité. Cette journée était riche en premières fois : mon premier attouchement anal, ma première sodomie, mes premières fellations allant jusqu'à l'éjaculation faciale (que à des inconnus !) et ma première expérience avec une autre fille. J'étais très fière de tout ce que j'avais fait car tout m'avais énormément plu. Je me sentais sans tabou, très salope certes, mais très femme. Et je me doutais que les journées suivantes allaient peut-être m'apporter leurs lots de découvertes.
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Miss camping (épisode 6)

Pour gagner le concours de miss camping auquel m'avait inscrit Jean, mon mari, j'ai dû promettre de rester intégralement nue jusqu'à la fin de mon séjour. Etant plutôt bien faite, cette promesse aurait dû me faire gagner facilement le concours mais, l'autre finaliste qui concourait avec moi ayant déjà fait cette promesse, j'ai été contrainte d'aller un peu plus loin et de permettre à tous les membres du camping de me caresser à chaque fois qu'ils le désiraient.



La première journée fut assez calme, mais beaucoup de mecs commençaient à me tourner autour et plusieurs femmes montraient une nette animosité à mon égard. Je pense que le soir venu, presque tous les mecs m'avaient pris en photo sous toutes les coutures et c'est vrai que je ne pouvais pas grand chose contre...



Dès les jours suivants, les garçons se sont montrés entreprenants. Beaucoup plus entreprenants. Certains se contentaient de me tripoter, timidement, d'autres essayaient plus franchement d'assouvir leur désir et prenaient tout leur temps pour me tripoter les fesses, me peloter les seins ou même me caresser l'entrejambe. Certains le faisaient gentiment, avec délicatesse, me procurant parfois du plaisir, d'autres ne montraient aucun respect et n'hésitaient pas à me pincer pour m'arracher des cris qu'ils interprétaient comme des orgasmes...



Ne pouvant refuser aucun contact avec une quelconque partie de mon corps, j'étais obligée d'éviter les heures chargées au camping et même sur la plage. Je profitai donc ce matin-là d'être réveillée dès 6 heures pour aller à la plage sans devoir subir trop d'attouchement. Bien sûr, Jean resta dormir dans la tente, mais j'aimais autant rester seule et en profiter cette fois-ci.



La plage était déserte et je cherchai un endroit un peu à l'écart pour poser ma serviette. Je m'y étendis et la délicieuse sensation du soleil du matin sur ma peau nue me remémora les plaisirs nouveaux que j'avais découverts la veille. Et la plus forte, je crois, était l'incroyable plaisir que me procurait mon anus. Je n'avais jusqu'alors jamais pu imaginer pouvoir avoir un orgasme en me faisant sodomiser ou même simplement en me faisant doigter l'anus. Une irrésistible envie me reprit alors et je dû lutter pour ne pas me fourrer un doigt dans la rondelle. Je décidais d'aller me calmer avec une petite baignade dans l'eau fraîche. A peine levée de ma serviette, j'entendis une voix derrière moi : "Vous êtes bien matinale".



Un jeune homme admirait mes formes généreuses et semblait s'adresser à mes fesses. "Vous avez un cul absolument divin". Je le remerciai pour son compliment et il ajouta : "Je vous ai prise pas mal de fois en photo mais je n'ai jamais osé vous caresser..." Je sentais qu'il attendait une invitation, qu'il n'allait pas oser demander à prendre ce qu'il était en droit d'exiger. Avec un grand sourire, je lui proposais donc d'en profiter s'il le souhaitait. Et il le souhaitait manifestement. Il s'agenouilla à côté de moi et me caressa les fesses avec douceur, cherchant autant à me donner du plaisir qu'à s'en procurer lui-même.



Ces mains sur mes fesses me firent rapidement de l'effet et je sentis que je commençais à ne plus me contrôler. Mes jambes s'écartèrent, mes fesses s'ouvrir pour révéler mon anneau secret et ma cyprine commença à m'inonder la chatte. J'avais une folle envie qu'il me sodomise et il aurait sûrement accepté de me rendre ce service si je lui avais demandé. Mais c'était un inconnu et tromper Jean me rebutait. Je me dégageais donc tranquillement et lui dit "Vous êtes très délicat, peut-être même le plus délicat de tous ceux qui m'ont tripotée jusqu'à présent. Mais, je vais aller à me baigner. A plus tard peut-être..."



Le contact de l'eau me fit le plus grand bien. La mer était calme et il n'y avait presque aucune vague. Le soleil commençait à me chauffer un peu la peau. Un petit bruit me fit me retourner : derrière moi, le jeune homme m'avait suivi. Il se tenait dans l'eau à quelques mètres de moi sans rien dire. Il m'admirait en souriant. Il ne semblait pas gêné non plus de l'érection qui déformait outrageusement son caleçon de bain. Rien que cette vision et d'imaginer la taille de son sexe, dur, palpitant, je sentis que je commençai à mouiller.



Quand il s'approcha de moi, je n'eus pas le courage de le repousser. Son corps vint au contact du mien. Sa peau était plus fraîche que la mienne. Il avança une main pour me caresser un sein. Mon téton s'érigea instantanément sous la douceur de sa paume. Cela sembla le ravir. Sa main vint se poser sur mon épaule et il pencha la tête pour m'embrasser. L'instant était magique et je ne montrai aucune résistance. Ce garçon dont je ne connaissais même pas le nom embrassait avec une douceur infinie, caressant ma langue de sa langue. L'excitation me gagna et je ne pus attendre davantage pour lui retirer son caleçon et libérer son membre raide.



Quand ma main commença une lente masturbation sur sa hampe, il s'arrêta de m'embrasser et se recula un peu pour me regarder droit dans les yeux. Sous mes caresses, son sexe prit des proportions phénoménales et mes doigts ne pouvaient plus faire le tour de sa tige. Son gland était tout lisse, rond et luisant. La première idée qui me vint en voyant cette bite fut le plaisir qu'elle pourrait m'offrir si elle s'enfonçait dans mon cul. Mais je réussis à me contrôler et je décidais de plutôt lui offrir ma bouche.



Les lèvres serrées autour de sa queue, je sentais le sang battre dans sa hampe. Il était aussi raide qu'une barre de métal mais avait la chaleur de la braise. Je dégustais sa bite avec délectation, comme une glace, parfois lui léchant le gland, parfois l'engouffrant le plus loin possible dans ma bouche et l'enserrant le mieux possible entre mes lèvres. Malgré mon manque d'expérience en fellation, il sembla que je ne me débrouillais pas trop mal car en quelques minutes, il éjacula dans ma bouche sans crier gare. Ne voulant pas avaler sa crème, je la laissai couler de ma bouche sur ma poitrine.



Une fois qu'il eut terminé, je lui ai lavé la queue dans l'océan à deux mains. Il me remercia et s'éloigna, me laissant me baigner tranquillement. Mais, après m'être lavée le visage et la poitrine, je n'avais plus vraiment envie de me baigner. Je ne pensais plus qu'à une chose : jouir. Ce que je venais de faire m'avait terriblement excitée et j'avais une véritable fontaine entre les cuisses. Je décidai donc de sortir de l'eau et de retrouver Jean pour lui demander de me faire une gâterie.



Mais pendant que je me séchais, obnubilée par le plaisir qu'allait pouvoir m'offrir mon mari, je me rendis compte que j'étais comme en chaleur et que j'allais difficilement pouvoir tenir jusqu'au camping sans me toucher. Et si on me surprenait dans l'enceinte du camping à me masturber, il était évident que l'affaire risquait de tourner à la partouze. Je décidai donc de trouver un petit creux de dune discret pour me caresser en toute tranquillité. Je m'allongeai ainsi sur ma serviette et, cuisses écartées, je commençai à me tripoter la moule.



Le plaisir vint immédiatement. Je sentis ma cyprine couler abondamment. Mon clitoris était presque douloureux à force d'excitation. Alors que je me masturbais le clitoris d'une main, mon autre main s'activait sur mes seins. Je sais que je suis capable d'avoir un orgasme rien qu'en me caressant les seins pendant suffisamment longtemps. Mais là, même si je voulais en profiter un peu, je voulais aussi ne perdre trop de temps pour ne pas risquer de me faire surprendre. Les yeux fermés, je me remémorai la queue que je venais de sucer. Soudain, je sentis quelque chose pénétrer entre les lèvres de ma chatte.



Sans arrêter mes caresses, j'ouvris les yeux pour découvrir, le jeune homme que j'avais sucé quelques minutes auparavant. Deux doigts de sa main allaient et venaient lentement dans mon sexe. La sensation était délicieuse et j'étais trop bien partie pour l'arrêter. Puis, aussi soudainement qu'il était arrivé, il retira ses doigts et se releva pour me dire : "Je ne voudrais pas donner l'impression que je profite de la situation, mais vous avez été si gentille tout à l'heure... Je suis parti sans vous rendre le service alors que vous deviez être très excitée... Et à vous voir là vous soulager toute seule, je me suis dit que je vous devais bien ça."



Je fus assez surprise par la sincérité de ses paroles, mais quand même très frustrée qu'il se soit arrêté pour se justifier. Le dos un peu endolori par la position, je me mis sur le ventre. Je me remarquais alors qu'il avait les yeux rivés sur mon cul. "Vous êtes vraiment incroyablement belle. Je crois que vous avez le corps le plus parfait qu'il m'ait été donné de contempler. J'adore vos fesses". Par jeu, à la fois pour illustrer son propos, mais aussi en espérant qu'il allait cesser de me dévoiler ses pensées pour passer aux actes, je me mis à quatre pattes et je me cambrais pour mettre ma croupe en sailli.



Je ne savais pas trop ce qui allait suivre. J'étais une vraie chatte en chaleur. J'avais une envie folle que quelqu'un pénètre mon cul. N'importe qui. Mais cela me posait quand même un problème de conscience car j'avais le sentiment de tromper Jean, d'abuser de sa confiance. Mais la chair est faible et je me trouvai pleins de bonnes raisons d'inviter cet inconnu à une partie de jambes en l'air : "C'est Jean qui m'a mise dans cette situation" ; "Il a bien voulu que d'autres hommes profitent de mon corps, hier" ; "Si ça se trouve, ça l'excitera que je lui raconte mes écarts de conduite".



Pour mon plus grand plaisir, le jeune homme réagit effectivement au quart de tour et il s'approcha, les yeux fixés sur mon postérieur. Sans un mot cette fois, il attrapa une fesse dans chaque main et les caressa tranquillement. Puis il s'amusa à les enserrer, à les écarter pour faire s'ouvrir mon anus et s'écarter les lèvres de ma moule.



Mais je n'y tenais plus. Malgré la douceur de ses caresses, je ne pensais plus qu'à une chose, qu'il me sodomise. Je me tournai donc vers lui et, le regardant droit dans les yeux d'une façon très déterminée, je lui dis : "Prends-moi par derrière".



Je ne sais pas si le message était assez clair car il commença par investir mon sexe. Son sexe coulissa dans le mien, trempé de mouille, et me déclencha un orgasme qui menaçait depuis longtemps. Il continua de me besogner avec un peu plus de fougue qu'il n'en avait montré jusqu'à présent.



Il me baisa très bien. Je sentais un autre orgasme monter mais je ne voulais pas qu'il me fasse jouir comme ça, je voulais qu'il me prenne par le cul. Mais trop prise à gémir mon plaisir, je ne pus articuler quoique ce soit. Il attrapa mes seins et me caressa mes mamelons, ce qui déclencha le second orgasme, impossible à contrôler.



Je savais que je pouvais jouir encore longtemps comme ça, mais j'avais peur que mon amant ne puisse se contenir très longtemps. Et ce que je voulais, c'est qu'il m'encule. Je pris donc une profonde respiration pour me calmer un peu et me retournant vers lui, je réussis à articuler : "Sodomise-moi, s'il te plaît"...



Sans rien répondre, il sortit lentement son énorme tige de mon sexe et commença à l'appuyer sur mon anus. Lubrifié par ma mouille abondante, son sexe me pénétra sans trop de problème. Comme il était gros, j'eus la sensation d'être prise complètement, qu'il était parfaitement en moi.



Au début, c'était à la limite de la douleur, mais rapidement, un plaisir immense m'envahit et un orgasme phénoménal et continu me parcourut. Ce fut absolument divin. Il me défonçait. Je criais. La douceur n'était plus de mise mais il me faisait un bien immense.



Je ne tins plus à quatre pattes et je me laissai tomber en avant, les épaules au sol. Les sensations en furent décuplées : mon cul était maintenant tendu vers lui et il pouvait l'investir avec encore plus de facilité.



Mon orgasme me permettait à peine de prendre conscience de ce qu'il se passait autour. Pourtant, je sentis quand il commença à éjaculer en moi. Dès qu'il commença à cracher son sperme, il se retira et laissa les derniers jets s'écraser sur mes fesses. Son retrait m'arracha un ultime orgasme très puissant qui dû s'entendre jusqu'au camping...



Je me relevais, en sueur, le cul souillé, mais pleinement satisfaite des sensations nouvelles que je venais de découvrir. Car, si Jean m'avait donné beaucoup de plaisir la veille, la bite de cet homme, étonnamment grosse, m'avait fait connaître les plus délicieux plaisirs que j'avais jusqu'alors connus.



Mais un sentiment de culpabilité me taraudait aussi... J'avais vraiment trompé Jean. J'avais offert mon cul à un inconnu. Je n'avais pas été assez forte pour empêcher que cela arrive et maintenant, je m'en voulais un peu.


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Alors que je longeais la plage pour regagner le camping, je reconnus la voix de Jean. Je tentai de me cacher pour lui faire une surprise. Quelle meilleure surprise faire à son homme que d'apparaître totalement nue sous ses yeux ? Depuis que j'étais nue en permanence dans le camping et sur la plage, il est vrai que Jean passait plus de temps à m'admirer. Et il n'était pas le seul, d'ailleurs !



En m'approchant un peu, je repèrai Jean en pleine discussion avec une jolie demoiselle en bikini. Elle était plutôt jolie et bien faite et, à ses gloussements, il me semblait qu'elle se laissait honteusement draguer par mon mari. C'était une fille que j'avais déjà croisée dans le camping et qui devait probablement savoir que Jean était mon mari. Sans doute se disait-elle que si mon mari m'incitait à exhiber ma nudité en permanence, c'est qu'il devait avoir des jeux sexuels très originaux. Ou peut-être qu'elle me considérait comme une salope et qu'elle voulait juste se venger de moi.



Toujours est-il que cette garce gloussait comme une dinde devant mon Jean qui semblait ravi de l'intérêt que lui portait cette fille. J'entendis Jean la complimenter sur son "physique impeccable" et elle se tourna pour lui faire admirer le string qui lui dévoilait des fesses magnifiques.



Jean lui dit "Tu es une vraie bombe, si tu continues à te pavaner comme ça devant moi, je vais finir par avoir une érection". La fille rigola et répondit "Et encore, tu n'as pas tout vu !" Elle retira son soutien-gorge et se cacha la poitrine. Jean ne disait plus rien.



J'entendis cette pute dire "Je suis très sensible des seins. J'aime bien ne pas mettre de soutien-gorge pour sentir le tissu glisser sur ma peau". Cette phrase et ces gestes étaient certainement suffisant pour déclencher une belle érection chez mon mari : Jean me demandait souvent de ne pas mettre de soutien-gorge car ça l'excitait énormément de deviner mes seins libres. Je n'acceptais qu'en plein été, lorsqu'il faisait vraiment très chaud et que le soutien-gorge devenait insupportable.
La fille commença à se caresser les seins.



Elle disait : "Il faut que je fasse attention à ne pas les exposer trop longtemps au soleil". Elle s'allongea sur le sable devant Jean. Mon mari était en arrêt, comme subjugué par l'étonnante poitrine et la désinvolture de la demoiselle. Quand je pense que ça faisait plusieurs jours que j'étais à faire du nudisme intégral et qu'il ne m'avait jamais montré cet intérêt. Cette fille était sûrement plus intéressante, car elle n'était pas sa femme.



J'entendis Jean la complimenter sur sa poitrine. Elle lui sourit. Il s'allongea à côté d'elle, ne quittant pas sa poitrine des yeux. Il faut dire que même allongée, ses seins, malgré leur poids, restaient fermes et se dressaient avec arrogance.



Je n'entendis pas ce qu'elle dit à Jean mais je pense qu'elle lui proposa de caresser ses seins. Je vis Jean lui malaxer les seins à pleines mains, les yeux brillants. D'où j'étais, je voyais aussi le short de bain de mon mari déformé à l'extrême par sa bite au garde-à-vous. Elle semblait apprécier ces attouchements.



Quand Jean s'arrêta (ce n'est même pas elle qui lui demanda), elle se leva, lui montra les dunes et commença à s'y diriger. Elle voulait manifestement aller encore plus loin.



Vu qu'ils venaient dans ma direction, je dus me dissimuler derrière un parasol pour ne pas être découverte. Un vieux monsieur qui lisait là fut ravi de me voir penchée, les cuisses écartées juste au-dessus de sa tête. Jean demanda à la fille "Tu as encore des choses à me montrer ?" A ma grande stupéfaction, elle hocha la tête et commença à faire glisser son string.



Tout en marchant avec Jean derrière elle, elle fit glisser petit à petit le string et se retrouva totalement nue avant d'être arrivée dans les dunes. Jean la suivait comme un petit chien. Ils disparurent derrière des buissons, dans le creux d'une dune. Je ne pouvais plus les voir, il me fallait me rapprocher. Aux bruits que j'entendais, je savais à peu près ce que j'allais découvrir...



Jean était allongé sur le dos et sa bite était enfoncée dans la chatte de cette pute. Elle descendait lentement sur sa tige et laissait Jean s'amuser avec ses seins. Tous les deux poussaient des petits glapissements de plaisir. Alors que je m'approchai pour mieux voir, je marchai par inadvertance sur une petite branche morte. Ce bruit attira l'attention de la fille qui se tourna et me sourit.



Jean ne m'avait pas vu et il était beaucoup trop occupé. Cette salope baisait consciencieusement mon mari en toute connaissance de cause, sachant même que je les épiais. Je préférai m'éloigner et regagner le camping. J'étais déçu du comportement du Jean. Quelques minutes avant, je culpabilisais de l'avoir trompé et, maintenant, je comprenais à quel point la volonté d'un homme ou d'une femme est faible devant l'opportunité d'un plaisir charnel quel qu'il soit.



Un peu attristée, je pris la direction du camping et je pris la décision de ne pas me miner le moral avec cette histoire. Après tout, c'est à cause de Jean si je dois rester tout le temps nue. Ce n'est pas ma faute si cette situation occasionne quelques dérapages sexuels. Lui n'a pas besoin d'être nu pour se taper la première fille venue, je ne vois pas pourquoi je devrais me sentir coupable de prendre du plaisir avec d'autres garçons que mon mari. Le plaisir sexuel ne remet pas du tout en cause l'amour que je lui porte. J'arrivais au camping dans cet état d'esprit, et j'avais maintenant plutôt envie d'en profiter.



Simon^ ---------oOo---------

(miss camping - épisode 8)

A chaque fois que je revenais de la plage, en entrant dans le camping, totalement nue, tous les regards se tournaient vers moi. Les gens avaient beau s'habituer, ma présence attirait toujours l'oeil. Les hommes me regardaient avec un sourire gourmand et les filles plutôt avec jalousie. Toutefois, certaines, plus compréhensives, m'avaient témoignée de la sympathie, au début en me plaignant de me voir dans cette situation, puis, au fur et à mesure que je m'habituais, en s'amusant de mes réactions de moins en moins farouches.



En passant devant le "coin détente" du camping (un espace couvert avec un grand canapé), deux filles, une brune et une blonde, me firent signe de m'approcher. Elles portaient toutes les deux une jupe et un débardeur.
- Salut, on voulait te dire que nous sommes très admiratives de ce que tu fais. Il faut du courage pour assumer d'être nue toute la journée et de se laisser tripoter.
- Au début c'est sûr, oui. Mais peu à peu, j'ai pris confiance en moi et j'avoue que maintenant je m'amuse beaucoup.
- Tu n'en as pas marre que des mecs te tripotent toute la journée ?
- Non, ça va... c'est parfois très agréable !
- Et tu t'es fais tripotée par des filles ?
- Oui, juste une fois sur la plage, c'était ma première expérience lesbienne...
- Tu as aimé ?
- Assez, oui...
- Tu serais d'accord pour qu'on te caresse nous aussi ?
- J'ai promis à tous les gens du camping, garçon comme fille !
Les deux filles se sont levées et ont commencé à me caresser.



Leurs mains étaient douces et je m'abandonnai rapidement à leurs caresses. Mes mains caressèrent leur corps à travers leur vêtement, essayant de titiller les mamelons. La blonde se releva et commença à déshabiller sa copine, lui retirant sa jupe, son débardeur, puis son soutien-gorge et son string.



Puis la brune lui rendit le service et elles se trouvèrent nues toutes les deux sous les regards ahuris des campeurs. Il est vrai que ma nudité était la seule à laquelle s'étaient habitués les gens du camping. Les deux filles étaient très jolies : fines avec de belles fesses fermes et de seins arrogants, bien qu'un peu petits. Elles me firent mettre à quatre pattes et me demandèrent de me cambrer. Elles voulaient voir mon cul et ma moule, déjà gonflée par l'excitation. Elle se sont agenouillées derrière moi et ont commencé à me caresser les fesses et à me lécher la moule.



La sensation de cette langue parcourant mon intimité fut délicieuse et la surprise fut encore plus grande quand cette même langue remonta pour venir décrire de petits cercles autour de mon anus. Je crus que j'allais avoir un orgasme aussitôt. Mais je me suis concentrée pour faire durer le plaisir et profiter plus longuement de ces deux filles très entreprenantes.



Puis la langue abandonna mon anus pour replonger entre les lèvres de ma chatte. Au comble du plaisir, je gardais les yeux fermés et je ne savais même pas à qui je devais ce traitement si agréable. D'ailleurs, je ne connaissais même pas leurs noms... Puis, je découvris que ce pouvait être encore mieux quand une seconde langue s'occupa de mon anus, alors que la première continuait à me fouiller la moule.



Difficile de ne pas succomber. L'orgasme monta et me parcourut tout le corps en seulement quelques secondes. Je m'abandonnai et je crois que j'ai crié mon plaisir de manière assez peu discrète. Une langue dans chacun de mes trous avait eu raison de ma résistance. Et voilà que les filles changeaient de méthode : elles continuèrent à me lécher les fesses mais commencèrent à insérer des doigts dans ma chatte et dans mon cul.



Leurs doigts me fouillèrent avec facilité. Il faut dire que je mouillais comme une véritable fontaine et que cette pénétration digitale n'allait pas arranger les choses. L'une repassa entre mes jambes pour se délecter à nouveau de ma moule. Elle devait apprécier le goût de ma cyprine car je sentais mon jus couler sur sa langue. L'autre me doigtait franchement l'anus. Elle avait dû se rendre compte que cette caresse me faisait beaucoup d'effets.



Puis soudain, doigts et langues m'ont abandonnée. Les deux filles étaient de part et d'autres et se contentaient de m'écarter les fesses. J'étais frustrée car quelques minutes de plus et j'aurais joui à nouveau. Je compris pourquoi elles s'étaient arrêtées : deux garçons étaient là, juste à côté, à m'observer, bien plus proches que les quelques badauds qui restaient à distance. Les filles m'écartaient les fesses pour montrer aux mecs ma moule et l'anneau de mon cul.



Les filles se sont écartées et les deux gars sont venus m'encadrer. Leurs mains froides se posèrent sur moi et me firent frissonner. Mes tétons se dressèrent aussitôt, autant par la douceur de leurs caresses que par la fraîcheur de leurs doigts. Je sentais même l'érection naissante du garçon derrière moi entre mes fesses.



Leurs caresses se firent de plus en plus pressantes. Les mains me couvrirent les seins, les doigts me pincèrent tendrement les tétons et les deux garçons approchèrent ensuite leur visage pour s'attaquer à ma poitrine. La dextérité avec laquelle ils firent tourner leur langue autour de mes mamelons commença à me chauffer le bas du ventre et j'espérais qu'ils n'allaient pas s'arrêter là.



Sans doute ont-ils senti mon excitation et, voyant que j'étais bien loin de les repousser, ils se sont mis accroupis devant moi et ont continuer à me prodiguer leurs caresses, mais cette fois-ci en se concentrant sur mon sexe trempé de mouille. Je sentais ma cyprine me couler sur l'intérieur des cuisses et je pense que ça n'avait pas échappé aux garçons.



Encore une fois, très excitée, j'avais très envie qu'ils me caressent aussi l'anus. Aussi, je me retournai et je leur offris mon cul en me penchant en avant. Le message devait être suffisamment limpide car, rapidement, leurs doigts me fouillèrent l'anus et la moule en même temps. Un orgasme monta en moi que je sentais difficilement contrôlable.



Puis, l'un d'eux vint se placer devant moi et me fit mettre à quatre pattes. C'est seulement à ce moment que je découvris qu'ils avaient tous les deux retiré leurs fringues et qu'ils exhibaient de belles érections que je me surpris à contempler comme une fillette devant des gourmandises. Sans attendre, je pris le sexe tendu devant mon visage et commençais une fellation à laquelle je mis beaucoup d'attention. L'autre derrière m'empoigna la croupe et je sentis sa tige raide glisser jusqu'au fond de ma chatte.



C'était délicieux. Mais je voulais autre chose et je leur dis. Le gars que je suçais ne dû pas comprendre ce que je voulais car il s'allongea et vint me guider sur son braquemart. L'autre, pas en reste, s'allongea à côté et je n'eus qu'à me pencher un peu pour pouvoir déguster sa bite à pleine bouche pendant que son copain me baisait sans ménagement.



Ce n'était pas encore ce que je voulais mais je savais que je finirais par obtenir l'objet de mon désir. Quand la queue que je suçais fut suffisamment raide à mon goût, je demandai au mec de venir se placer derrière moi "Il reste une place". Cette fois-ci, il comprit facilement ma demande. Il se leva et présenta sa queue raide à l'entrée de mon cul.



Quand il appuya le gland contre ma rondelle, celle-ci, de désir, s'élargit naturellement et mon homme n'eut qu'à appuyer un peu pour commencer à s'enfoncer dans mon cul. Son sexe était long, raide et je pouvais sentir ses palpitations contre ma chair. Je subissais ma première double pénétration et je trouvais cela absolument divin. L'orgasme monta si vite que je me perdis dans un concert sonore incroyable qui exprimait tout le plaisir que je ressentais.



Cette jouissance fut fabuleuse. Elle était continue, puissante et terriblement intense. Les deux gars se déchaînaient et je criais de plus belle. Jamais je n'avais joui ainsi. Et cela ne s'arrêtait pas ! je ne voulais pas que ça s'arrête ! Je voulais jouir ainsi jusqu'à mes dernières heures, toute ma vie, en permanence.



Mes cris et les mouvements de mon bassin finirent cependant à arracher l'ultime plaisir à mes bienfaiteurs. Ils jouirent en moi, en même temps, inondant mon cul et ma chatte de leur foutre. Lorsqu'ils se retirèrent, je finissais moi-même de jouir et mon orgasme commençait à s'atténuer. Leur sperme me dégoulinait littéralement sur les jambes.



L'un d'eux eut la gentillesse de m'essuyer avec sa serviette. Les deux filles, toujours là, applaudirent, manifestement satisfaites de la prestation que j'avais offert à leurs mecs. Les garçons vinrent l'un après l'autre me rouler une pelle pour me remercier et ils me laissèrent en partant, souriants, chacun avec sa copine.

Simon^ ---------oOo---------

Miss Camping - épisode 9

C'était notre avant dernier jour au camping et ce fut une des journées les plus riches en expériences pour moi. Ce matin-là, je m'étais réveillée assez tôt et Jean dormait encore. J'avais envie d'une bonne douche. Je sortis de la tente sans faire de bruit pour ne pas réveiller Jean et je m'étirai à l'extérieur.



Quelques lèves-tôt étaient déjà dehors et profitaient du semblant de fraîcheur qu'offrait cette matinée avant que le soleil ne vienne plomber le camping. Bien sûr, tous les hommes (et à cette heure-là c'était surtout des hommes) me souriaient, ravis de pouvoir contempler ma nudité intégrale. Savoir que nous partions le lendemain me faisait bizarre. J'étais restée nue et offerte à tous pendant plusieurs semaines et, après-demain, j'allais retrouver ma vie d'avant : une vie habillée, avec juste Jean, mon travail, mes amis, mais une vie qui risquait de me sembler bien fade en comparaison de ce que j'avais découvert ici.



Sous les regards de ces quelques campeurs, je me dirigeai vers les douches. Celles-ci étaient vides mise à part une cabine dans laquelle quelqu'un terminait manifestement de se doucher. En passant devant le grand miroir face aux douches, je m'arrêtai quelques secondes pour m'admirer un peu. Il est vrai que je suis assez bien proportionnée : un ventre plat des fesses rondes mais assez musclées, une poitrine pleine et un visage plutôt sympathique. J'étais encore à m'observer dans le miroir quand je vis dans le reflet l'homme qui sortait de la cabine de douche. C'était Thomas et il semblait ravi de me voir (il faut dire que je l'avais laissé éjaculer sur mon visage la semaine précédente).



Je lui fis un sourire et je passais devant lui pour prendre une cabine. Au passage, il me caressa gentiment les fesses. Je me mis sous la douche et j'ouvris le robinet : l'eau était tiède et ce fut un vrai plaisir de sentir ce jet sur ma peau. Je me sentais délassée en un rien de temps. Je restais sous le jet sans rien faire une bonne minute, les yeux fermés.



Quand je les rouvris, Thomas était à côté de moi, le caleçon déformé par une érection galopante. Il était entré dans la cabine (j'avais pris l'habitude de ne pas fermer...) et restait dans l'ouverture de la porte à m'observer. Je voyais ses yeux parcourir tout mon corps, de haut en bas et de bas en haut, s'attardant sur mon entrejambe et sur mes seins. Cela me faisait presque l'effet de caresses et me fit frissonner.



Une fois la douche terminée, il attrapa la serviette et me proposa de me sècher. Je ne pouvais évidemment pas refuser. Il insista bien sûr particulièrement sur mes seins, mes fesses, mon ventre, mais aussi mes cuisses et ma nuque. Je commençais à être très excitée et je fis des efforts surhumains pour n'en rien montrer à Thomas.



Ce n'est que quand Thomas me laissa avec la serviette que je me rendis compte qu'il avait quitté son caleçon et qu'il affichait son membre turgescent avec fierté. D'une main, il se saisit la hampe et commença de lents va-et-vients tout en me regardant. Je fis semblant d'être offusquée, mais je pense qu'il n'était pas dupe et qu'il s'était rendu compte que j'avais une folle envie de toucher son engin.



Il continua sa masturbation et me demanda d'en faire autant. Je fus d'abord surprise : depuis quelques semaines on demandait beaucoup à me toucher mais personne encore ne m'avait demandé de le faire moi-même. Tout en admirant la belle tige que Thomas semblait façonner d'un mouvement de poignet précis et régulier, ma main descendit sur mon ventre et gagna mon clitoris. Mon majeur s'activa dessus et me procura aussitôt beaucoup de plaisir. Un frisson me parcourut et me fit fermer les yeux. Thomas semblait apprécier le spectacle et je le vis accélérer le rythme. Il me fit signe de me retourner, sans doute pour admirer mon cul. Je m'exécutai et me cambrai pour que la vue soit plus belle encore.



Quand je tournai la tête vers lui pour voir l'effet que cela lui faisait, Thomas venait déjà vers moi, se tenant la bite d'une main comme si elle était sauvage et il peinait à la contrôler. Il fut sur moi en quelques secondes et il colla aussitôt son corps contre le mien. Je sentais sa queue palpiter entre mes fesses et j'eus à nouveau cette envie folle de sodomie. Mais ce n'était pas encore le moment pour lui : seuls mes seins l'intéressaient pour l'instant. Une main me tenait au ventre tandis que l'autre me palpait un sein comme pour en apprécier le poids, la texture.



Sentant que je ne m'opposais à aucune de ses caresses, il fut mis en confiance et s'attaqua à mes seins à deux mains en jouant avec mes mamelons. Je sentais son souffle haletant dans mes oreilles. Il était passablement excité et il savait sûrement qu'il allait obtenir entière satisfaction. Je n'avais pas besoin de me dire qu'il fallait que je fasse des efforts pour l'ami de jean car c'était un très bel homme et j'avais vraiment envie de lui.



Il m'embrassa dans le cou. J'eus envie de sa bouche et je me retournai pour l'embrasser. Nos langues se trouvèrent rapidement. Je sentis son sexe appuyer contre mon ventre. Baissant le regard, je découvris la formidable érection. Une tige étonnamment longue avec une grosse paire de couilles bien pleine. Je me saisis de cette incroyable bite et commençai à la branler fougueusement. Alors qu'une main me pelotait toujours, l'autre descendit sur mes fesses et je sentis bientôt un doigt fouiller dans mon anus.



C'était trop ! Je ne pouvais plus me contrôler. Mais je pensais alors que sa queue était trop grosse pour moi et qu'il allait me déchirer l'anus. Je pris donc le parti de reporter mon violent désir de sodomie à plus tard et je décidais de lui offrir une petite fellation.



Je me suis agenouillée devant lui et, après avoir admirer l'objet de mes désirs pendant quelques secondes, je pris enfin le gland entre mes lèvres. Ma langue tourbillonna autour et rien que cela lui arracha déjà quelques gémissements de satisfaction. Puis je fis glisser mes lèvres plus loin, ma langue restant sous sa hampe, comme un doux matelas. Enfoncée au fond de ma bouche, sa bite était loin d'être entièrement rentrée : il en restait près de la moitié ! Je pris une cadence d'abord lente puis plus soutenue pour déguster ce magnifique sexe.



Plus rapidement que je ne l'aurais cru, j'amenai Thomas au bord de l'éjaculation. Vu la quantité de sperme qu'il m'avait envoyé au visage la fois précédente, je savais que je ne pourrais pas le garder en bouche pour tout avaler, même si c'était ce que je voulais. Je sortis donc sa bite et me penchai en arrière en gardant la bouche bien ouverte. Les jets ne furent pas puissants, mais la crème était bien épaisse et Thomas me macula le visage autant qu'il m'en mit dans la bouche.



Dès que Thomas eut terminé d'exprimer son plaisir, j'entrepris de lui lécher consciencieusement la bite et de lui sucer le gland pour le nettoyer parfaitement. Il en sembla ravi. Puis, je le vis ramasser son caleçon, le remettre malgré sa tige toujours raide et sortir après m'avoir fait un petit clin d'oeil. Ce n'est qu'après qu'il soit sorti que je remarquai que trois hommes étaient entrés aux douches et nous avaient probablement vus à l'ouvrage. L'un d'eux souriait. C'était Jean... Il s'approcha et me dit sur le ton de la plaisanterie "Te laisser tripoter est une chose, te livrer au premier inconnu qui passe en est une autre. Je ne peux pas laisser cet affront impuni. Prend une douche, je vais réfléchir à la punition que tu devras subir." J'étais finalement assez contente qu'il en plaisante et je ne pouvais de toute façon rien y répondre : j'étais prise sur le faite, avec du sperme plein le visage.



Je me suis donc levée et j'ai regagné la cabine de douche. Alors que je fermais la porte, la main de Jean repoussa le battant. "Le temps que je réfléchisse à ta punition, ces messieurs voudraient se rincer un peu l'oeil". Puis, Jean s'éloigna. Les deux types restèrent dans l'embrasure de la porte et furent vite rejoints par quatre autres gars. J'ouvris le jet d'eau et commençai à me nettoyer le visage. Un peu frustrée de n'avoir pu jouir avec Thomas, l'idée me traversa l'esprit d'inviter les six types à me rejoindre sous la douche, mais je me dis que la situation risquait de devenir très vite incontrôlable. Je me suis donc contentée de me frotter sous l'eau tiède, non sans insister particulièrement sur ma poitrine et sur mon sexe, pour le plus grand plaisir de mes spectateurs.



Alors que je finissais de me doucher et que je pouvais déjà constater des caleçons et des bas de jogging déformés par les érections, Jean déboula et dispersa les voyeurs. "J'ai trouvé ta punition, j'espère que ça te plaira".


Simon^ ---------oOo---------

(Miss Camping - épisode 10)

Jean m'avait donné comme punition de laver notre voiture au milieu du camping. Certes, il nous fallait une voiture propre pour partir le lendemain et c'est le prétexte qu'il avait donné. Mais je savais que la véritable raison était qu'il voulait profiter de cette dernière journée pour m'exhiber aux yeux du plus de campeurs possible. Depuis que j'avais gagné ce concours stupide, mon mari n'avait manifesté aucune gêne à ce que je sois toujours intégralement nue au milieu du camping, ni à ce que quiconque puisse me caresser quand il le souhaitait. Je suis même certaine qu'il prenait un vif plaisir à me partager et peut-être aussi avait-il une certaine fierté de se dire que tout le monde l'enviait d'avoir une femme au corps aussi somptueux.



Jean avait mis la voiture près des douches car c'était le lieu où il y avait le plus de passage. En y allant, deux mecs m'arrêtèrent : sachant que je partais le lendemain, il souhaitait garder un souvenir de moi. J'eus d'abord peur qu'il me demande quelque chose d'un peu spécial mais leur requête fut finalement très anodine : ils voulaient être pris en photo avec moi, à tour de rôle. Je ne pouvais pas refuser et je pris la pose avec le premier pendant que le second prenait la photo. Puis, ils échangèrent les rôles et le second, plus téméraire que son copain, osa poser une main sur mes fesses.



Après que son copain ait pris la photo, voyant que je lui souriais, il devint plus entreprenant et commença à me caresser le minou. Je vis que son copain avait rallumé l'appareil photo et qu'il faisait des gros plans sur le doigt qui fouillait entre les lèvres de ma chatte. Je ne voulais pas perdre trop de temps avec eux et les invitai poliment à m'accompagner vers les douches en leur expliquant que j'étais punie et que je devais nettoyer la voiture. Ils acceptèrent sans trop de difficulté et me demandèrent si ils pouvaient continuer à me prendre en photo pendant que je lavais la voiture. Mon sourire leur donna la réponse qu'ils attendaient.



Je savais qu'ils étaient déjà bien excités et je voulais voir jusqu'où je pouvais pousser la provocation pour les faire craquer. Je pris donc des poses suggestives le long de la voiture, faisant saillir ma croupe, mettant mon buste en avant, me caressant parfois. Je pouvais voir leur pantalon se déformer sous la pression des érections au fur et à mesure de l'évolution de ma prestation.



Je n'hésitais pas à me caresser les seins, me pinçant les mamelons pour en ériger les tétons. J'écartais bien les cuisses pour qu'ils puissent admirer mon sexe nu et déjà humide. Je pris même la peine de me retourner et de me pencher en avant pour leur offrir le spectacle de mon postérieur. Quelques autres badauds commençaient à s'agglutiner autour de la voiture. Quelques femmes venaient rechercher leur mari et les reconduisaient fermement à la caravane ou à la tente.



Puis, j'allai chercher un seau, une éponge, du savon et de l'eau dans le local des sanitaires et je revins avec de quoi laver la voiture. Je me mis aussitôt à la tâche avec application, mais je faisais attention à ce que chacun de mes mouvements puissent mettre en valeur une partie ou une autre de mon corps.



Mes poses devaient même être parfois beaucoup trop suggestives et assez peu en corrélation avec l'attitude de quelqu'un qui lave une voiture. Je me penchais sur le capot en faisant saillir mon cul, les cuisses écartés et mon sexe nu exhibé aux yeux de tous.



Dans cette position, je savais que je m'assurais un public fidèle et attentif. Je devinais les bites dressées dans les caleçons et j'en voyais même certain qui commençait à y porter la main pour se caresser discrètement. Cela me faisait plaisir de voir que je plaisais inconditionnellement à tous les mecs présents. Tous les yeux me détaillaient. Personne n'était insensible à mes gestes et je sentais tous les regards peser sur moi, et particulièrement sur mon cul et ma moule.



Reprenant mes esprits quelques instants, je me dis qu'il fallait quand même laver la voiture et que, de toute façon, je n'allais pas proposer à la douzaine de spectateurs présents de me passer dessus. Je reprends donc avec plus d'attention le savonnage en règle de la voiture, astiquant les vitres, les portières, le capot, les enjoliveurs.



Je sentais que la tension retombait un peu et j'entrevis même deux ou trois types s'éloigner. Puis un des gars restant partis en trombe vers les toilettes. Ma première réaction fut de penser qu'il était au bord de l'éjaculation et qu'il allait aller se branler dans les toilettes. Mais au bout de quelques secondes il ressortit avec un seau et une éponge et commença à m'aider. Ce n'est qu'à ce moment que je reconnu Thomas, le copain de mon mari. Je trouvai ça très sympa et lui dit "merci" avec un large sourire, bien que je n'étais pas dupe de ses intentions : il voulait certainement tenter de me tripoter ou moins en profiter pour me voir de plus près.



Après avoir bien avancé sur le nettoyage de la carrosserie, je me rendis compte qu'il ne restait que deux autres campeurs en plus de Thomas. Les autres, lassés et probablement déçus que je ne prenne plus de poses sensuelles, s'étaient éloignés et avaient repris leur occupation. Peut-être par défis, je me dis que je devais tout faire pour ne pas perdre mes derniers spectateurs. J'eus l'idée de transformer la corvée en jeu coquin et avec mon éponge j'envoyai de l'eau sur Thomas. Celui-ci répliqua rapidement et je me trouvai bientôt toute mouillée. L'eau savonneuse faisait avantageusement luire ma peau avec quelques tâches de mousse.



Aspergée d'eau par Thomas, mon corps luisant réveilla manifestement l'intérêt des deux derniers spectateurs. Vu qu'il restait à nettoyer le pare-brise, je me mis à quatre pattes sur le capot en prenant garde de bien garder les cuisses écartées et en me cambrant pour bien offrir aux regards mon cul et ma moule. Je pouvais constater d'un simple regard que les érections de mon maigre public reprenaient de la vigueur.



Thomas, lui-aussi, bandait comme un âne dans son caleçon et il ne semblait pas très à l'aise. De voir ça et de penser à ces trois bites qui se dressaient pour moi, je commençais moi aussi à être passablement excitée et je me sentais comme dans un état second. Je descendis du capot et, bien campée sur mes jambes, je commençai à me toucher l'entrejambe. Mes doigts glissaient sur les lèvres de ma fente, s'attardaient sur mon clitoris et parfois s'enfouissaient dans les profondeurs de mon sexe.



Bien excitée par cette situation, je sentis que je pouvais facilement continuer à me caresser ainsi jusqu'à jouissance. En entrouvrant les yeux, je m'aperçus que Thomas avait sorti sa queue et se l'astiquait en me regardant me tripoter la moule. Un coup d'oeil aux deux autres me permit de constater qu'ils l'avaient imité. De voir ses belles queues devant moi, pour moi, me mis au bord de l'orgasme.



Mes mains s'activèrent donc de plus belle sur mon sexe et, en quelques minutes, l'orgasme me parcourut tout le corps et je dus m'appuyer à la voiture pour ne pas tomber. Je me laissais quand même tomber à genou pour reprendre mes esprits. En rouvrant les yeux, je vis les trois mecs qui se masturbaient frénétiquement, manifestement motivés par mon exhibition de branlette en solitaire. Les mains montaient et descendaient de plus en plus rapidement sur les hampes de chaire. Me voyant me remettre, ils s'approchèrent et m'entourèrent. Ils ne furent pas longs à éjaculer et leur jus vint me couvrir tout le visage.



Une fois la douche de sperme terminée, je repris mes esprits et je me levai pour retourner prendre une douche. Le sperme encore chaud de mes trois branleurs coulait de mon visage et couvrait les seins. Jean avait assisté à la scène, de loin, et n'était pas intervenu. Il avait l'air content et j'étais moi-même assez satisfaite de la manière dont s'achevait cette punition. C'était la première fois que plusieurs hommes éjaculaient sur moi en même temps et, si cela m'eut répugné avant, je dois avouer que j'avais trouvé cela très excitant et je savais que j'étais prête à recommencer.



Simon^ ---------oOo---------

(Miss Camping - épisode 11)

Après cette matinée torride, le début d'après-midi s'annonçait plus maussade : des nuages assombrissaient le camping et un petit vent frais commençait à se lever. Avec ce temps triste, je me dis que j'aurais moins de regrets à rentrer à la maison, mais en même temps, j'avais un petit pincement au coeur à l'idée de quitter le lendemain ce lieu où j'avais fait tant de découvertes sur ma sexualité. Cela fait maintenant quelques semaines que je n'ai pas enfilé le moindre vêtement (au mieux une serviette pour me sécher sur la plage ou en sortant des douches) et je me demandais quel effet cela me ferait d'en remettre. Les autres, dans le camping, seraient sûrement surpris de me voir habillée tant ils étaient habitués à pouvoir contempler ma nudité en permanence.



En ce début d'après-midi, Jean m'avait demandé d'aller lui acheter quelques bières à la superette du camping. En passant devant le petit rayon des surgelés, je me surpris à frissonner. L'air ambiant était beaucoup plus frais et je pris conscience que je n'avais jusqu'à présent jamais eu froid même si j'étais tout le temps nue. La fraîcheur me donna la chaire de poule et les pointes de mes seins s'érigèrent illico. Je trouvais cela presque excitant.



Quand je sortis, je vis deux garçons s'approcher de moi avec un sourire béat. Je savais que j'allais devoir me soumettre à leurs caresses et je leur rendis leur sourire en signe d'approbation. Aussitôt arrivés sur moi, ils commencèrent à me peloter sans ménagement et sans m'avoir adressé la parole. Leurs mains étaient glacées et ils me pinçaient les tétons et les fesse d'une manière vraiment peu délicate. Je n'appréciais pas du tout ce qu'il me faisait et, machinalement, je me dégageai et me cachai la poitrine.



Aussitôt, ils m'adressèrent enfin la parole : "Eh ! Salope, t'as pas le droit de t'barrer. Tu dois nous laisser faire." "Je vous ai laissé faire, mais maintenant ça suffit ! Vous me faites mal !" "Oh ? Ben, j'vais t'montrer que j'peux aussi être délicat, moi." Le plus grand s'approcha de moi et posa ses mains, toujours froides, sur mes seins. Ce contact ne fut finalement pas si désagréable. Les pointes de mes seins s'érigèrent sous la paume de ses mains. Il sentit que j'appréciais et continua à me masser doucement la poitrine, tout en caressant mes mamelons excités.



J'eus le malheur de laisser échapper un feulement de plaisir. Le type devint odieux : "Ah, t'aime ça grosse pute ? Mais j'ai mieux à te proposer que mes mains. Je suis sûr que tu rêves de me sucer la queue. On a entendu dire avec mon pote que tu t'étais offerte une douche de sperme ce matin, ça te tente de recommencer ?" Certes, renouveler l'expérience du matin ne m'aurait pas déplu, mais il était hors de question que ce soit avec ces deux brutes qui ne pensaient qu'avec leur bite. A peine eut-il terminé sa phrase qu'il reçut une claque magistrale qui le repoussa à un bon mètre de moi. J'en profitai pour tourner les talons et, sous leurs insultes salaces, je filai aussi vite que possible (avec mon pack de bières) jusqu'à la tente.
Jean n'était pas là. J'entrai donc dans la tente histoire que les deux gars ne se doute pas que Jean n'était pas là. Manifestement, ils s'éloignèrent. J'avais eu un peu peur et là... j'avais froid. J'ai alors décidé de me rhabiller, juste le temps que la météo s'améliore. Je pris mon petit bikini rouge et le mis rapidement. Puis je passai un petit haut moulant et une minijupe. Puisque j'étais dans la tente personne n'étais sensé savoir que je n'étais pas nue.



Quelques minutes plus tard, j'entendis Jean m'appeler à l'extérieur. Je lui dis d'attendre une minute (je voulais me déshabiller), mais il me dit de sortir tout de suite. Je sortis donc habillée. Les deux types sont derrière lui, le sourire aux lèvres. "Ces gars m'ont dit que tu avais refusé de te laisser caresser... Franchement, on part demain, ce serait dommage qu'on doive payer le séjour alors que tu as réussi à tenir ta promesse jusque là..." J'étais comme une gamine qu'on gronde. Je n'osait pas répondre, pourtant sûre de mon bon droit. Puis, tout à coup, il me regarda de haut en bas : "Eh ! Mais tu es folle, tu veux vraiment annuler ta promesse ? Le patron du camping va nous tomber dessus si quelqu'un lui dit que tu t'es rhabillée !!! Enlève ça immédiatement !" Pendant que j'enlève mon haut, il me retire ma jupe.



J'apparais en bikini rouge et je vois que les deux gars derrières ont les yeux qui pétillent. Manifestement, ils avaient déjà contemplé ma nudité et m'avaient déjà tripotée, mais me voir faire un strip-tease les excitait au plus haut point. Je me dis que, au moins, si après ça ils me foutaient la paix, ce serait toujours ça de gagner. Je me pris donc au jeu et retirai mon soutien-gorge en me cambrant pour faire saillir mes nichons.



Puis, lentement, sans les quitter des yeux, je me tournai, leur permettant de contempler le profile plein de mes seins, ma chute de reins et mes fesses musclées. Un pouce de chaque côté du string, je le fis glisser tout doucement, tout en admirant l'effet sur Jean et les deux garçons. Jean souriait, il paraissait fier. Les deux mecs se caressaient carrément la bite à travers leur caleçon. L'un d'eux dit "Putain, le cul qu'elle a !" L'autre répondit "Et les nichons sont vraiment super !"



Entendant ces mots, Jean me demanda de me retourner pour qu'ils puissent voir à nouveau mes seins. Je continuais inexorablement à baisser mon string, révélant ma moule qui devait commencer à perler de mouille. Un des mecs n'avait pas hésité à se mettre une main dans le caleçon pour se masturber franchement. De temps en temps, son caleçon se baisse un peu et je peux voir que le gaillard est rudement bien monté. Dommage qu'il soit si con !



Une fois le string à mes chevilles, je les regarde, souriante : "Alors, personne n'ira cafter au patron du camping ?" Un des mecs répondit : "Pas si tu ne te fais pas la malle dès qu'on veut te tripoter". Jean intervint : "Si on l'attache pour la punir, vous promettez de ne pas aller vous plaindre ?" Les deux gars échangèrent des regards convenus et partirent dans une grasse rigolade. Je voyais très bien ce qu'ils avaient en tête et j'avais plus de mal à savoir pourquoi Jean voulait m'offrir en pâture à ces deux gars-là.
Jean me conduisit aux douches et, avec de la corde à linge, m'attacha les deux mains à un gros tuyau qui traversait le milieu du plafond de la pièce. je trouvais la punition un peu raide, mais je me dis que Jean n'allait sûrement pas faire durer ce petit jeu.



Mais Jean m'abandonna, me laissant avec les deux brutes. J'étais totalement offerte à eux, soumise aux moindre de leurs désirs. Je me rassurais juste en me disant que dans cette position, au moins, ils ne pourraient pas obtenir de fellation ni m'éjaculer au visage. Maigre consolation. Ils me tournaient déjà autour, comme des lions autour d'une proie. Sans me toucher, ils inspectaient mon corps, comme pour évaluer la marchandise. Ils restèrent un peu à admirer mon cul, ma position me faisait cambrer la croupe et leur offrait une vue imprenable.



Puis ils firent le tour, observant mon ventre et surtout mes seins. Mes bras, en l'air, faisaient saillir ma poitrine de manière à tendre mes tétons vers le haut. Je commençais à sentir la cyprine me couler des cuisses. La situation m'excitait au plus haut point. J'étais offerte, totalement soumise et cette nouvelle expérience commençait à me plaire aussi.



Puis ils repassèrent derrière et commencèrent à me caresser les fesses. Ils me firent écarter les jambes et je compris rapidement qu'ils voulaient accéder à mon sexe par derrière. Cambrée comme j'étais, il ne leur était pas difficile de voir et d'atteindre les lèvres de ma chatte. Ils m'écartèrent les fesses pour mieux la voir. Ils remarquèrent certainement la fontaine qui s'en échappait car l'un d'eux dit "Wah ! Regarde un peu ça ! Elle en veux cette chienne !!!"



Un doigt me pénétra sans peine tant je mouillais. Le type commença à faire des aller-et-venus en moi et commentait "Regarde, ça me coule sur la main ! Quelle salope ! C'est tout chaud là-dedans... Eh ! Regarde ! Quand j'arrête mon doigt, c'est elle qui se met à bouger du cul. Elle aime ça cette pute !"



Son copain le remplaça et me mit directement trois doigts. Ils me fouillaient à l'intérieur, c'était assez bizarre mais pas désagréable. Puis, je sentis qu'il se relevait. Quelques secondes plus tard, son gland était à l'entrée de ma moule et faisait pression. Il rentra sa tige d'une traite. Elle était longue et froide. Sans perdre de temps, il me ramona à un rythme effréné, soufflant comme un boeuf dans mes oreilles.



Soudain, il s'arrêta, se retira. "Essaye, elle est super". Et son copain le remplaça, avec une queue beaucoup plus imposante, qui me donna beaucoup plus de plaisir. Lui aussi me pistonna allégrement, comme s'il voulait en finir vite. L'autre passa devant. Il se mit à me caresser les seins et m'épargna toute tentative de baiser avec la langue. Je sentais sa bite contre ma cuisse. Son copain se retira quelques instants pour reprendre son souffle. Il en profita pour me prendre devant. Son copain ne fut pas frustré longtemps : sans me préparer, il appuya son large sexe sur mon anus et pressa. Ce sont les coups que m'assénaient mon partenaire frontal qui firent peu à peu rentrer la tige dans mon cul. La sensation de cette double pénétration était divine.



Sentir ces deux bites aller et venir en moi était absolument extraordinaire, mieux que les deux types qui m'avaient prise ainsi la veille. L'orgasme nous prit tous les trois dans un concert de râles et de cris. Dès qu'ils eurent fini de se répandre dans mes entrailles, les deux gars se retirèrent et filèrent chacun dans une douche pour se laver. Pendue par la corde à linge, je me remettais de cette fabuleuse expérience, même si j'étais déçu que cela se soit fait avec deux gros bourrins. Je me rendis compte que Jean était dans un coin de la pièce, un appareil photo à la main. Quel salaud !

Simon^ ---------oOo---------

Miss Camping - Episode 12

Jean profita que j'étais attachée pour prendre des photos. Il fit même quelques gros plans sur le sperme qui coulait de mon cul et de ma chatte le long de mes cuisses. J'étais trop exténuée pour réagir et de toute façon, grâce à lui finalement, j'avais pris beaucoup de plaisir. Jean me détacha et me laissa prendre une douche. A peine je fus sortie qu'il me proposa d'aller rejoindre Thomas qui m'attendait sur la plage. Il me dit de partir devant qu'il allait ranger l'appareil photo et me rejoindrait après.



Le soleil n'était plus très haut (c'était la fin d'après-midi) et je croisai beaucoup de gens qui revenaient de la plage. Arrivée sur place, il ne me fut pas très difficile de trouver Thomas tellement la plage commençait à se vider. Il me fit quand même signe de la main (mais davantage pour montrer à tout le monde que c'est lui que je venais voir plutôt que pour s'assurer que je l'avais bien vu). Je m'allongeai à côté de lui et il me proposa aussitôt de me mettre de la crème. Je n'étais pas dupe, mais j'avais bon espoir de prendre à nouveau beaucoup de plaisir. Je ne lui refusai donc pas.



Ses mains sur mon dos étaient une douce caresse. Puis ses caresses se firent plus sensuelles quand ses mains glissèrent sur mes fesses. Cela semblait lui plaire autant qu'à moi. Quand il fit passer ses mains contre mes cuisses, instinctivement, celles-ci s'écartèrent. Il s'arrêta queques secondes, fasciné par le spectacle de ma moule, juste là, sous ses yeux, accessible à son regard, accessible à ses caresses.



Je ne sais plus trop s'il avait encore de la crème sur les mains quand ses doigts commencèrent à palper les lèvres de ma chatte, mais c'était le dernier de mes soucis. Peu à peu, il me fit mouiller, rien qu'en faisant aller et venir ses doigts contre ma moule, l'effleurant... Entendant des gens qui s'approchaient, Thomas s'arrêta. Je me retournai et découvris sont caleçon de bain outrageusement déformé par une érection dont le gland se dessinait sous le tissu dressé.



Cinq garçons admiraient le spectacle, davantage de ma nudité que de l'érection de Thomas. Ils me souriaient pour m'indiquer qu'ils appréciaient. En retour, je me cambrai sur ma serviette, faisant saillir mes seins et tentant tout de même, en resserrant les cuisses, de dissimuler l'émoi que Thomas avait suscité.



Voyant que les garçons ne se décidaient pas à partir, je décidai de ne pas perdre de temps et demandai à Thomas de s'approcher. Il vint s'accroupir à côté de moi et commença à me caresser la poitrine. Mais ce n'était pas ce que j'attendais, je voulais offrir ma bouche à Thomas et laisser les voyeurs se rincer l'oeil. Je fis relever Thomas et, sa bite à hauteur de mon visage, je lui retirai son caleçon. Sa queue était grosse et longue. Je la considérai comme une grosse friandise et commençai par lui lécher les couilles.



Il avait l'air d'apprécier. Les spectateurs aussi d'ailleurs, car ils ne disaient plus rien et se contentaient de profiter de la scène. Je me mis à genou pour prendre le sexe de Thomas dans ma bouche et commencer à le pomper. Sa queue était si grosse que j'avais du mal à la mettre entièrement dans ma bouche. Mais je devais m'en tirer plutôt pas mal car il semblait aux anges.



Les autres gars avaient tous la gaule dans leur maillot et étaient trop occupés à admirer ma prestation pour s'en trouver gênés. Après quelques minutes de fellation endiablée, Thomas explosa enfin, m'envoyant plusieurs jets puissants de sperme épais au visage et au fond de ma bouche.



Les garçons à côté étaient médusés. Deux d'entre eux filèrent dans les dunes en courant, probablement pour se branler. Les pauvres, s'ils avaient voulu, je les aurais laissés se répandre sur moi, eux aussi. Thomas me fit lâcher prise pour achever lui-même son orgasme, astiquant son membre devant ma bouche pour y guider les dernières gouttes. Je le laissai se répandre ainsi jusqu'à ce que son sexe commence à perdre de sa vigueur.



Une fois Thomas remis de son orgasme, je remarquais que les spectateurs étaient déjà tous partis. J'étais un peu frustrée et très excitée car je n'avais pas joui depuis presque une heure (depuis la double pénétration dans les douches). Thomas pris son portable et composa un numéro. Quand il prononça le nom de mon mari, je compris que tout cela faisait encore partie d'un plan à la con orchestré par Jean. J'entendis Thomas lui dire "Je crois qu'elle est prête, on arrive". Et il me proposa de regagner le camping, le visage toujours maculé de sa semence.



Arrivé, au camping, Thomas me conduisit au coin détente où je retrouvai Jean en compagnie d'un autre gars du camping, assis dans le canapé. Il me fit signe de venir m'asseoir entre eux. Tout en m'essuyant le visage avec un mouchoir, il me dit "Je vois que tu es devenue insatiable de sexe et que tu en veux toujours plus. Tu as eu l'air d'adorer te faire prendre par deux queues dans les douches toute à l'heure. Que dirais-tu de faire l'expérience de trois bites rien que pour toi ?" Je n'eus pas à répondre. Mon sourire en disait long et je commençais déjà à leur retirer leur caleçon.



Après s'être mis en condition tous les trois en venant les uns après les autres me peloter les nichons, ils me demandèrent de m'allonger sur le ventre et m'écartèrent les cuisses. Je n'eus pas long à attendre avant de sentir des mains sur mes fesses, puis contre ma moule et enfin je sentis avec plaisir des doigts se glisser dans mon anus et dans ma moule liquéfiée de plaisir.



M'estimant prête, Jean me fit mettre à quatre pattes et me prit en levrette très simplement. Thomas s'agenouilla devant moi et me fourra son énorme sexe dans la bouche une fois de plus. L'inconnu, ne sachant où se placer, se contenta de me caresser la poitrine tout en se masturbant.



L'inconnu décida de s'allonger à côté de moi. La vue de son sexe épais me fit quitter la queue de Tomas pour goutter à cette nouvelle bite encore non essayée. Jean se retira et demanda à Thomas de me lécher le cul. Celui-ci ne se fit pas prier et vint aussi me darder la rondelle avec la pointe de sa langue.



Toutes ses bites pour moi, ça commençait à me tourner la tête. Je me redressai et vint m'empaler sur la tige de l'inconnu (qui commençait à ne plus être si inconnu que ça). Thomas resta en arrière, comme frustré. J'entendis Jean lui dire "Vas-y, il reste une place derrière et elle ne sera sûrement pas contre". Effectivement, je fis un signe de tête à Thomas et il vint aussitôt me rejoindre. Son énorme bite contre mon anus me fit un peu peur, mais ses jeux de langue m'avaient bien préparée et il s'inséra sans problème dans mon cul.



Les deux me pistonnaient en cadence. C'était formidable. J'adorai être prise ainsi. Un violent orgasme me prit très rapidement. Les gars ne s'arrêtaient pas, accélérant même le rythme peu à peu. L'orgasme ne s'arrêtait plus. C'était fabuleux.



Puis vint enfin la troisième bite, celle de Jean. Il vint me la présenter dans la bouche. Je la gobai tant bien que mal, déstabilisée par les assauts de la double pénétration. Mais cela semblait ne pas déranger Jean, plus content de me voir jouir sous les assauts de deux autres mecs plutôt que je lui fasse une fellation.



Après plusieurs minutes d'orgasme, je crus devenir folle et je les implorais d'arrêter. Ils vinrent tous les trois m'entourer pour que je les suce à tour de rôle. J'avais ces trois queues pour moi toute seule. C'était magnifique.



Je passais de l'une à l'autre, prenant à peine le temps de me remettre de ce formidable orgasme qui m'avait parcouru tout le corps. Je n'en avais jamais connus d'aussi forts et d'aussi longs. Et je sentais que je pouvais encore en avoir un, rien qu'à sucer ces trois superbes bites. J'alternais les queues à un rythme frénétique.



Voyant qu'ils allaient bientôt jouir, je m'allongeai sur le canapé et termine en les masturbant l'un après l'autre au-dessus de moi, jusqu'à ce qu'ils jouissent, me couvrant de leur foutre.



C'étaient une vrai douche de sperme : les trois gars me giclaient dessus en même temps. Je dus fermer les yeux pour ne pas en recevoir dans l'oeil. Quand la douche enfin se calma. Thomas me fit redresser. J'étais couverte de foutre chaud. Cette sensation n'était pas désagréable du tout, même si je n'avais pas réussi à avoir un autre orgasme.



Jean, toujours à l'affût d'un souvenir ne manqua pas de me prendre en photo avant que j'aille me doucher.
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Miss Camping (épisode 13)

Nous devions repartir dans l'après-midi de cette dernière journée au camping. C'était donc pour moi la dernière journée où je pouvais me promener intégralement nue. J'espérais que je n'allais pas avoir trop de difficulté à remettre des vêtements. Je savais que, à la maison, Jean ne ferait pas trop d'histoires pour que je reste nue, mais il était évident que je n'allais pas retourner travailler sans m'habiller. Toujours est-il, qu'au camping j'avais beaucoup de succès.



Les gens avaient fini par s'habituer à ma nudité. Je pense surtout aux femmes qui se montraient souvent agressives au début du séjour quand elles surprenaient leur mari en train de m'admirer. Vu que j'étais nue en permanence, cela était facile pour eux. Même à la piscine, je remarquais la différence : celle-ci était souvent vide à mon arrivée, et bondée de garçons quelques minutes après que j'y sois arrivée.



Comme en plus j'avais promis que je laisserais tous ceux qui le désiraient me caresser, il n'était pas rare que je sois suivie à la trace quand je me déplaçais. Le seul endroit où j'arrivais à trouver un peu de tranquillité, c'était la plage. Plus vaste, avec plus de monde, je pouvais plus facilement passer inaperçue, car seuls les gens vraiment proches de moi pouvaient se rendre compte que je n'avais pas de maillot.



Mais je dois bien reconnaître que même sur la plage, il m'est arrivé de me retrouver coincée par quelques mecs qui souhaitaient me tripoter. Bien sûr, je laissais faire, car même si certains étaient des grosses brutes, d'autres me procuraient énormément de plaisir (car la plupart aimait à investir mes parties intimes) et il n'était pas rare que le jeu des caresses tourne à l'orgie, quand, perdant le contrôle de moi-même, je me retrouvais à passer à l'acte sexuel.



Jean ne montrait pas de jalousie vis à vis de ces écarts. Il faut dire que me situation était en grande partie de sa faute et que, me trouvant tout à fait à son goût, il adorait m'exhiber, voire me prêter, pour montrer à tous la chance qu'il avait d'être marié avec une fille comme moi.



Cependant, Jean regardait souvent les autres filles et il n'hésitait pas à les draguer, même en ma présence. Je ne partageais pas toujours son goût pour l'échangisme et ce n'était pas parce qu'il me livrait à d'autres mecs que je devais accepter qu'il couche avec d'autres filles. Lorsqu'il jouait les voyeurs sur la plage alors que j'étais nue à ses côtés, cela me mettait hors de moi.



Quand ça arrivait, je n'hésitais donc pas à m'exposer à tous pour le rendre jaloux. Enfin, disons que c'est la réaction que j'attendais... Car Jean s'amusait beaucoup de voir les autres admirer ma nudité exposée et je me demande même s'il ne s'amusait pas à me rendre jalouse pour que je me livre en spectacle moi-même sans qu'il ait à intervenir.



J'en venais à prendre des poses plus que suggestives, faisant saillir mes seins et écartant largement les jambes pour dévoiler mon sexe nu. Beaucoup de garçons passaient alors devant moi, lentement, tentant de ne pas montrer qu'ils me regardaient derrière leurs lunettes de soleil.



Cette fois-ci, personne ne vint m'importuner. Sans doute que tout le monde au camping et sur la plage avait déjà goûté à mes charmes et que les parties de mon corps les plus intimes n'avaient de secret pour personne. En sortant de ma baignade, je pus me sécher tranquillement, sans que personne ne vienne me proposer son aide.



Je rejoignis Jean, encore occupé à admirer une jeune fille avec de jolis petits seins qui bronzait topless juste à côté de nous. Me voyant arriver, il daigna quitter tes yeux la demoiselle pour m'offrir un sourire un regard quand même un peu lubrique.
"Alors, ma chérie, l'eau était bonne ?"



"Pas mauvaise, tu aurais dû venir te baigner au lieu de rester ici à reluquer les minettes". Il ne répondit rien, ne sachant visiblement pas si j'étais véritable jalouse ou si c'était une boutade. "Installe-toi, je vais te mettre un peu de crème..." Je m'allongeai donc le ventre sur ma serviette en lui offrant mon cul.



"Attend deux secondes, je reviens" Qu'allait-il faire ? Je le vis rejoindre la jeune fille à côté de nous et lui demander "Excusez-moi, si vous avez terminé avec la crème solaire, je peux la reprendre ?" Je ne revenais pas. Etendue sur ma serviette, je ne réagis pas immédiatement, mais quand Jean fut de retour sur sa serviette avec le tube de crème, je lui demandai :"Tu lui prêté notre crème ?
- Oui, pendant que tu te baignais, elle m'a demandé très gentiment.
- Tu ne lui a pas proposé de lui en mettre, quand même ?
- C'est elle qui m'a demandé, elle avait du sable sur les mains et préférait que je lui fasse.
- Tu veux dire que tu ne lui en as pas mis que sur le dos ?
- Bah... non. Partout...
- Béh, tu t'emmerdes pas mon salaud !
- Tu sais, je lui ai juste mis de la crème...
- Et tu l'as pelotée et tu as sûrement bandé comme un âne.
- C'est humain... Tu veux que je te mette de la crème ?
- Laisse tomber, je vais le faire moi-même."
Je pris le tube de crème et commençais à m'enduire les fesses.



J'en avais rajouté un peu pour le mettre mal à l'aise et ça fonctionnait à merveille. Il était tout penaud et je le trouvais touchant à le voir ainsi gêné. En réalité, je m'en fichais bien, mais je voulais qu'il comprenne qu'il fallait quand même qu'il tienne compte de moi. Je lui demandai finalement de m'aider pour les cuisses. Tout sourire, il attrapa le tube de crème et commença par mes fesses. Puis il descendit sur mes cuisses et me les fit écarter pour en atteindre l'intérieur (il exhibait ainsi à nos voisins de plage ma moule qui commençait à frétiller sous ses caresses.



Soudain, il me mit un doigt dans l'anus. Je poussai un petit cri qui montrait autant ma surprise que le plaisir que j'y trouvais. Il commença un lent va et vient avec son doigt et je sentis que j'allais me laisser aller jusqu'à l'orgasme. Il se pencha sur moi et me demanda au creux de l'oreille : "ça te dirait de faire un strip-tease public au camping en fin de matinée, avant de partir." " Quoi ?" je me redressais, stupéfaite.



"Tu veux dire que tu me doigtais le cul, juste pour me faire accepter que tu allais encore m'exhiber devant tout le monde ?!!" Il devint rouge et ne répondit rien. J'adorais ce rôle sainte-nitouche qui m'allait si mal à moi, à poil depuis plusieurs jours, livrée aux caresses de n'importe qui. Jean ne savait plus où se mettre. Je partis dans un éclat de rire qui lui fit comprendre que je le menais en bateau : "Mais bien sûr, mon chéri. Ce spectacle fera à tout le monde un souvenir mémorable de notre passage ici et ce qui pourrait me gêner le plus à l'heure qu'il est, c'est de me rhabiller pour ce strip-tease".

L'annonce du spectacle fit le tour du camping et de la plage en moins de dix minutes. Tout le monde se regroupa près de l'accueil du camping où se trouvait une petite estrade et l'on pouvait voir presque tous les gens du camping et presque autant qui n'y avait jamais mis les pieds et profitaient de l'occasion.

Jean me choisit lui-même les vêtements. Il avait pris un string et un petit tee-shirt très étroit qui me moulait franchement la poitrine. Avec la moiteur et l'étroitesse du haut, j'avais l'impression d'être à un concours de miss tee-shirt mouillé.



Une fois au milieu de cette foule surexcitée où la gente féminine était fort peu représentée, je commençais à me trémousser sur la musique reggae qui fit passer le gérant. En un rien de temps, peut-être trop vite, je fis glisser le string et je m'attaquais au petit haut qui m'étouffait un peu.



Le passant sur mes seins, j'exhibais déjà ainsi tous mes atouts à cette foule en délire. Jean, à proximité dans la foule, me cria "Tu es excitée ?" Je lui fis signe que oui (et effectivement je commençais à bien m'échauffer avec tous ces mecs autour de moi). Il me cria "Montre-nous !" J'écartai les cuisses pour que tous puissent constater que je commençais à mouiller. Ma cyprine me coulait le long des cuisses.



Jean me cria "Tourne-toi !". Il voulait manifestement que l'on puisse aussi admirer mon cul. Je m'exécutai donc et offrit mon postérieur aux regards plus qu'humides qui parcouraient l'ensemble de mon corps.



Me retournant ensuite pour voir l'état de la foule, je compris que tous les mâles présents étaient mûrs et que, d'un claquement de doigts, tous viendraient me manger dans la main. Juste sous moi, Jean me montrait en rigolant que son voisin avait sorti une érection impressionnante et se l'astiquait en me regardant me trémousser, profitant d'une vue en contre-plongée sur mon anatomie.



Peu à peu, plusieurs mecs l'imitèrent et se branlèrent ouvertement, sans aucune pudeur en me regardant. Jean s'approcha et me tendit une bouteille d'huile solaire, je m'en enduisis le corps, faisant luire ma peau et lui donnant de beaux reflets.



Les quelques filles qui étaient présentes désertent peu à peu les lieux et je me retrouvais en présence d'une bonne soixantaine de mecs en rut autour de moi, la plupart en train de se masturber. Jean hurla "Vas-y ! Pousse-les à bout ! Donne-toi au maximum ! Y'a des bites qui sont pas encore sortie !!!" Et je constatai que Jean lui aussi se branlait vigoureusement. Je sentis comme une euphorie me gagner à la vue de ces dizaines de queues dressées pour moi seule. Je ne prenais pas vraiment conscience de l'issue certaine qu'allait devoir prendre le spectacle et, suivant les injonctions de Jean, je me cambrai pour faire saillir mes seins.



Les mecs voulurent tous me tripoter, ils se pressèrent autour de l'estrade, tendant leur main pour pouvoir me caresser. La plupart n'atteignirent que mes cuisses. Certains, plus grands, arrivèrent à me caresser les fesses. Seuls deux ou trois parvinrent à me toucher l'anus ou la moule. Je ne pouvais qu'à peine bouger, au comble de l'excitation.



J'étais si excitée que je décidai de me masturber devant tout le monde. Avec des gestes doux, j'éloignais les mains qui tentaient de m'atteindre. Après quelques tentatives infructueuses, les garçons finirent par comprendre qu'ils n'y perdraient pas au change et ils arrêtèrent de tenter de me toucher. A genou, ma main gauche s'activa sur les lèvres de ma chatte tandis que l'autre, passée par derrière, s'occupa de mon petit trou.



J'étais comme en transe. Personne ne parlait plus et me regardait opérer. Je n'entendais plus que le bruit des mains qui astiquaient les érections en cadence. Je ne m'aperçus même pas que Jean était monté sur scène et, se tenant debout à côté de moi, se masturbait énergiquement au-dessus de mon visage jusqu'à éjaculer.



Je pris à peine conscience de ce qu'il m'arrivait, toujours occuper à me masturber, le visage parsemé du sperme de mon mari, dans un état d'orgasme permanent. Tout le monde voulut imiter Jean et les gens montèrent à plusieurs sur l'estrade pour venir me couvrir de leur foutre.



Je dus bien voir défiler une bonne cinquantaine de bites, si ce n'est plus et, pendant vingt minutes, je recevais sur moi des jets de sperme presque constamment, au visage, dans la bouche, dans les cheveux, sur le dos, sur ma poitrine, le ventre, les cuisses, les bras, bref absolument partout.



Chacun venait à tour de rôle se vider les couilles sur moi. J'empoignais des queues sans même regarder à qui elles appartenaient et je les masturbais frénétiquement jusqu'à l'explosion. Le visage complètement couvert de sperme, je ne pouvais presque pas ouvrir les yeux. Mes partenaires ne mettaient pas trop de temps à jouir et je pus les enchaîner à un rythme effréné.



Une fois la tempête calmée. Jean passa derrière moi et me doigta l'anus pendant que les derniers venaient m'éjaculer dessus. Je jouis comme jamais avec une puissance que je ne me connaissais pas, achevant ainsi mon orgasme ininterrompu depuis plusieurs dizaines de minutes. Les derniers quittèrent l'estrade et Jean me demanda de me lever et de saluer. Je lui souris en me relevant, dégoulinante de plusieurs litres de sperme déversés sur moi en quelques minutes seulement.



En saluant la foule, je vis que quelques filles étaient quand même rester (peut-être pour voir les prouesses de leurs hommes). Tout le monde m'applaudit, même les quelques femmes dans les yeux desquelles je pus lire une certaine admiration et une pointe de jalousie (jamais aucune d'entre elles n'auraient osé ce que j'ai accepté de faire). J'étais tout à fait ravie de mon expérience et du plaisir que j'en avais tiré, et aussi extrêmement fière de mon exploit.


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Miss Camping (épisode 14 - fin)

L'après-midi, pour le retour, j'avais le droit de m'habiller. J'avais beau avoir pris une longue douche, je sentais le sperme à plein nez. J'ai passé un débardeur et une jupe sans rien dessous, mais je n'étais pas très à l'aise. Remettre à nouveau du tissu sur ma peau me sembla comme une expérience nouvelle. J'étais bien consciente que, même si j'adhérais maintenant totalement au nudisme, il allait me falloir remettre des vêtements en société, mais cela me semblait alors comme une épreuve, autant que j'avais ressenti comme une épreuve de devoir me mettre nue au début du séjour au camping.



J'ai passé beaucoup de temps à dire au revoir à pas mal de monde. Presque tous les mecs du camping avaient profité de mes charmes et la plupart avait joui sur moi, il était compréhensible que certains tiennent à assister au départ. Beaucoup m'ont fait la bise, sagement. Certains ont laissé une main se promener sur mon postérieur ou sur les seins. Quelques-uns se sont autorisés à glisser une main sous ma jupe pour me doigter une dernière fois la moule.

Les adieux durèrent près d'une heure et nous reprîmes ensuite la route avec Jean.
"Alors, ma chérie, comment as-tu trouvé cette lune de miel ?
- Extraordinaire. Je pense que ça va être difficile de revenir à la vie normale.
- Ça s'est sûr... Et qu'as-tu préféré parmi tout ce que tu as découvert ?
- Mmmm... sans doute le plaisir que je pouvais prendre par mon cul.
- Ça j'avais remarqué !
- Mais aussi le fait de m'exhiber. J'étais hyper mal à l'aise au début et maintenant je me sens totalement exhibitionniste, aucune gêne à m'exposer.
- J'avoue que ce n'est pas pour me déplaire... Tu supportes tes vêtements ?
- Non !
- Moi non plus..."
Et sur ces mots, il baissa son pantalon et exhiba fièrement son érection. Je m'en saisis aussitôt.



Je relevai mon haut pour dégager mes seins. Jean profitait de la branlette dont je le gratifiais. On dépassa un autocar et on vit les yeux exorbités des touristes collés aux fenêtres. Le sexe de Jean gonflait à vue d'oeil.



On roulait depuis environ deux heures et je masturbais mon mari depuis quelques minutes quand le moteur commença à cahoter. J'arrêtais aussitôt de branler Jean et, voyant que de la fumée commençait à sortir de sous le capot, je me garai sur le bas-côté. Nous étions en rase campagne, pas la moindre habitation à proximité. Nous rajustâmes notre tenue avant de sortir. Quelle poisse ! Il nous restait moins d'une heure de route avant d'arriver à la maison. Jean regarda le moteur, mais s'y connaissant aussi peu que moi en mécanique, il referma le capot, dépité, et commença à faire du stop pour arrêter une voiture. Il y avait très peu de passage sur cette route (une ou deux voitures toutes les cinq minutes) et les trois premières qui passèrent ne s'arrêtèrent même pas ! Jean commençait à s'énerver et j'eus l'idée de lui donner un petit coup de pouce pour faire s'arrêter quelqu'un. Je retirai mon débardeur et ma jupe en quelques secondes et me mis au bord de la route.



Par malchance, deux voitures passèrent en sens inverse, lentement, profitant du spectacle que j'offrais. Puis enfin arriva une voiture qui allait dans la même direction que nous. Elle s'arrêta juste devant moi et, surprise ! ce fut Thomas qui en sorti !!!
"Et bien ! C'est difficile de se débarrasser des habitudes, à ce que je vois !"
Jean lui expliqua qu'on était en panne et que j'avais trouvé cette astuce pour faire arrêter quelqu'un. Il se trouva fort chanceux d'avoir été le premier à passer dans ce sens et proposa de nous reconduire chez nous. Nous nous sommes rendu compte seulement à ce moment-là que nous habitions dans la même ville. Jean expliqua à Thomas la route à prendre pour nous reconduire, mais celui-ci, trop occupé à m'admirer pendant que je me rhabillais, ne comprit rien aux explications de mon mari. Jean proposa donc de prendre le volant et de nous laisser nous "reposer à l'arrière". Thomas et moi ne nous fîmes pas prier, trop contents de cette proposition. Nous savions tous ce que Jean entendait pas "se reposer à l'arrière". Aussitôt reparti, Jean régla le rétroviseur pour voir ce qu'il se passait derrière. Thomas retira son pantalon et afficha une magnifique érection, longue et bien raide. Je m'en saisis avec gourmandise.



Thomas trouva ma branlette tout à fait à son goût et se laissa aller sur la banquette. Son sexe palpitait entre mes doigts et je tenais bien à le remercier de sa gentillesse. Au bout de plusieurs minutes, je le sentis prêt à jouir. J'accélérai donc la masturbation jusqu'à ce qu'il éjacule avec de grands râles, laissant un flot de sperme s'échapper et me couler sur les mains.



Après cela, Jean proposa à Thomas de prendre un verre à la maison quand nous y serions. Il accepta de bon coeur et je fus ravie de savoir que Thomas allait venir chez moi.
Quand nous fûmes à la maison, Jean nous laissa monter avec les bagages et décida de trouver un garagiste pour aller chercher la voiture et la ramener.
Un peu fatiguée par le voyage, je proposai à Thomas de s'installer au salon en attendant le retour de Jean.
"Sers-toi quelque chose à boire dans le bar, je vais prendre une douche rapide."
Je rejoignis la chambre et retirai mes vêtements, avant de regagner la salle de bain. En traversant le couloir, je vis Thomas debout dans le salon qui ne pouvait manquer de me voir passer, nue. Il me souriait. Je n'avais aucune gêne : il connaissait déjà très bien mon corps et m'avais quand même sodomisée au camping, sans compter le nombre de fois où il m'avait balancé son foutre au visage.
J'entrai donc aussitôt dans la douche et fis couler l'eau tiède.



L'eau coulant sur ma peau nue me lava autant de la sueur que de la fatigue du voyage. Je sentais que l'énergie me revenait. Je fus soudain surprise de sentir des mains sur mes fesses : Thomas était entré discrètement et se tenait à côté, en dehors de la douche.



"Tu me laisse finir ma douche ?" Il me répondit d'un signe de tête. Pendant que je me rinçais, il resta là à m'observer, passant parfois une main dans la douche pour attraper un sein, caresser une fesse ou laisser un doigt glisser sur les lèvres de ma moule.



Dès que j'eus coupé l'eau, il m'attendait déjà avec une serviette pour me sécher. "Sécher" n'était pas exactement ce qu'il faisait. En réalité, il me caressait d'avantage avec la serviette (ou sans !) qu'il ne me séchait. Il semblait toujours fasciné par mes seins et, eux, furent vite secs.



J'étais passablement excitée et je voyais que lui aussi. J'allais m'accroupir pour le débarrasser de son pantalon quand il me devança et s'accroupit devant moi. En une seconde, sa langue était sur ma moule et il commençait à me sucer le clitoris. Je crus avoir un orgasme aussitôt et pris le parti de me concentrer pour faire durer le plaisir.



Mais comme le bougre s'y prenait très bien, je sentis qu'il allait me faire jouir un peu rapidement à mon goût. Je le fis donc lever et nous échangeâmes les rôles. Je pris une chaise et, tout en m'installant, je sortis son membre turgescent et le pris en bouche. J'adorait sucer ce sexe long au gland palpitant sous ma langue.



En entendant la porte de l'entrée, Thomas préféra que nous nous arrêtâmes là et se rajusta avant de regagner le salon. J'étais extrêmement frustrée et je me demandais si je n'allais pas me masturber avant de les rejoindre au salon. Jean déboula dans la salle de bain en disant :
"Mets un peignoir et viens au salon. Thomas bande comme un âne rien qu'à penser à toi.
- Ah oui ? (je n'osai pas lui dire que sa bite était dans ma bouche quelques minutes auparavant).
- Ce serait sympa qu'on lui offre un peu plus qu'un apéro pour le remercier...
- Tout à fait d'accord !"
J'enfilai un peignoir et les retrouvai au salon.



Mon peignoir baillait nonchalamment sur mon opulente poitrine. Thomas et mon mari ne me quittaient pas des yeux. Le pantalon de Thomas était tendu comme un chapiteau : il ne semblait pas vouloir débander. Il me semblait que Jean bandait nettement moins. Je me levais.



"Dis donc, Thomas, je t'excite comme ça ?
- Il faudrait être aveugle pour rester insensible à une telle beauté.
- Charmeur ! Et toi, Jean, tu ne bandes pas ?
- Pas trop, c'est ton peignoir qui me fait drôle. Je suis tellement habitué à pouvoir te contempler sans vêtement que le moindre bout de tissu me gêne.
- Je dois avouer que moi aussi."



A la vue de mes seins, Jean sembla suffisamment excité pour nous exhiber sa fière érection. Il déballa tout et commença à s'astiquer. Je me trémoussai pour le motiver encore un peu plus. Je vis que Thomas n'osait pas se masturber comme Jean.



"Thomas, si tu veux te mettre à l'aise, n'hésite pas. Tu vois bien que mon mari ne se pose pas de question de pudeur." Il s'exécuta enfin, sortant sous mes yeux cet incroyable sexe qui me faisait mouiller instantanément à chaque fois que je le regardais. Je laissai tomber mon peignoir et je m'approchai de Thomas.



Dès que je fus devant lui, il se leva, me retourna et s'empara aussitôt de mes seins. Il les malaxa, les pressa, les enserra et joua avec mes tétons, les faisant tourner entre ses doigts ou les pinçant gentiment. Je sentais la cyprine couler le long de mes cuisses.



Jean se leva et demanda à Thomas :
"Tu veux la prendre au cul comme l'autre fois ou tu veux essayer autre chose ?"
Thomas, un peu troublé par la brutalité de la question en arrêta ses jeux sur ma poitrine. J'en profitai pour aller m'asseoir.



Jean sentis le léger malaise de Thomas :
"Excuse-moi, la question est peut-être un peu abrupte... Je n'aurais pas dû t'interrompre.
- C'est pas grave... Mais c'est vrai que j'aimerai bien refaire comme l'autre fois...
- Et moi ? intervins-je, cambrée sur le canapé. On ne me demande jamais ce que je veux ?



- Oh si, ma chérie, dis-nous ce que tu veux !
- Je veux que vous fassiez tous les deux un soixante-neuf."
Devant leurs mines déconfites, je partis dans un grand fou rire et ils comprirent que je disais cela pour plaisanter (même si ça m'aurait drôlement excité de voir ça !!!).
"Moi je suis d'accord pour que vous me preniez tous les deux en même temps. Un dans ma chatte et un dans mon cul, comme l'autre fois."
Jean vint s'asseoir sur le canapé et m'attrapa pour m'empaler sur sa bite dressée. Thomas s'approcha aussitôt pour appuyer son gland contre mon anus.



Il s'enfonça peu à peu, malgré l'étroitesse et la longueur de son engin. Arrivé au bout, il commença à aller et venir en moi lentement. Jean se mit au même rythme que lui et je sentis leurs deux queues me pénétrer en même temps. J'étais complètement prise et ne pouvais contrôler la montée de mon orgasme.



Ils me firent hurler de plaisir. L'orgasme dura une éternité. C'était divin. J'avais l'impression qu'ils se concentraient pour retarder au maximum leur éjaculation afin de me faire jouir le plus longtemps possible. C'était encore mieux que la précédente fois.



Ils finirent par exploser tous les deux en moi, l'éjaculation de Thomas provoquant celle de Jean dans la foulée et me procurant un dernier orgasme extrêmement puissant. Nous nous affalâmes tous les trois dans le canapé, exténués.

Depuis, Thomas passe souvent à la maison (même quand Jean n'est pas là)...
Jean m'oblige à mettre uniquement des fringues sexy : des nuisettes transparentes en journée (j'ai accueilli Thomas dans cette tenue la première fois qu'il est revenu à la maison).



Quand j'ai le malheur de mettre un soutif, il me le fait enlever aussitôt (même si on est dans un lieu public ou chez des amis) et si je rechigne ne serait-ce que quelques secondes, il me l'arrache lui-même (ce qui m'amuse souvent beaucoup).



Les robes qu'il me fait mettre sont parfois beaucoup trop courte pour ne pas mettre de culotte. Mais comme Jean me l'interdit (pour mon plus grand plaisir), il suffit de très peu de chose pour que les gens voient ma moule : qu'il y ait un peu de vent, que je sois en hauteur, que je me penche, que je m'accroupisse ou même simplement quand je marche...



Et quand je porte des minijupes, je sais que, si je me penche, tout le monde verra mon cul et ma moule. je ne me prive alors pas de me pencher souvent !



Au boulot, c'est un vrai plaisir (d'autant que, dans mon service, je suis la seule nana avec une trentaine de mecs). Tout le monde se bat pour venir déjeuner avec moi et j'ai la visite de nombreux collègues toute la journée. Ma plus grande surprise fut de découvrir qu'un des stagiaires pris dans la boîte en octobre avait été au même camping que nous l'été précédent. Il eut la délicatesse de ne pas raconter mes exploits à mes collègues mais me demanda quelques faveurs en contrepartie. Nous passâmes de très bons moments ensemble mais, ça, c'est une autre histoire...

FIN