Camping à la Réunion (épisode 1) (publié par Batta le 20-12-2006)
Camping à la Réunion (épisode 2) (publié par Batta le 20-12-2006)
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je m'appelle Samuel, j'ai 23 ans. Je suis grand et plutôt costaud (d'après mes amis). Cet hiver, je suis parti avec mes parents sur l'Ile de la Réunion (c'était donc l'été sur cette île). Nous logions dans un bungalow situé sur un terrain de camping, où il y avait aussi de nombreux campeurs. Mon truc à moi, c'est le voyeurisme. J'adore épier les gens sans être vu.
Ce jour-là, nous avions passé l'après-midi à la plage. Contempler toutes ces superbes nanas en maillot sur le sable m'avait légèrement excité.

De retour au camping, nous avons dîné, puis nous nous sommes couchés de bonne heure.
Mais ayant trop chaud, je décidai d'aller prendre une douche, dans le bloc sanitaire situé au milieu du camping. Cela me fit un bien immense.
Lorsque je sortis de ma cabine, je me rendis compte qu'une autre cabine était occupée, sans doute par une femme au vu des sandales restées à l'extérieur. Cela m'émoustillait de savoir qu'une femme était là, tout près de moi, nue, en train de se frotter. Mais pour ne pas me faire remarquer, je repris mon chemin vers le bungalow. Il faisait nuit, la lune brillait.
Tout à coup, passant près d'une tente, j'entendis des soupirs et des gémissements. Je tendis l'oreille et compris qu'un couple était en train de faire l'amour. Mon vice prit le dessus et je m'approchai de la tente. Les bruits étaient nets. M'étant habitué à l'obscurité, la lumière de la lune me permettait de distinguer les silhouettes des deux amants. La femme semblait avoir les cheveux longs, et elle était agenouillée devant l'homme, dont on voyait l'ombre du sexe tendu. Elle lui pratiquait une fellation qui lui procurait grand plaisir. Mon excitation grandissait. Ma verge se raidissait dans mon caleçon de plage. L'homme et la femme entreprirent un 69 endiablé.
Les bruits de succion laissaient vagabonder mon imagination. Ma main se dirigea dans mon vêtement vers ma queue maintenant bien bandée, et commença à la masturber doucement.

Soudain, mon sang ne fit qu'un tour. Une main venait de se poser sur mon épaule. Je n'avais pas entendu cette personne arriver. Ainsi tourné, je ne pouvais voir que ses pieds. Je reconnus les sandales de la fille de la douche. Je me tournai vers elle sans faire de bruit, très honteux de m'être fait surprendre. Mais elle me souriait calmement. Elle était vêtue d'un peignoir bleu, et ne semblait rien porter en-dessous. Elle était jeune, environ 25 ans, et sa peau était noire. Le décolleté de son peignoir laissait deviner une poitrine ferme de taille moyenne. Sa croupe était rebondie. Elle était probablement réunionnaise.
Je ne savais pas trop quoi faire. Elle se tapit à mes côtés et regarda la scène qui se déroulait dans la tente. Cela me mit à l'aise. Elle aperçut la bosse qui déformait mon caleçon, et commença elle-même à effleurer ses seins avec ses mains. La situation ne la laissait pas indifférente non plus. Dans la tente, la femme chevauchait maintenant l'homme, allant et venant sur son membre érigé. Je repris doucement mes caresses sur mon pénis. Ma voisine me fit alors un signe de la main, désignant l'entrée de la tente qui n'était pas fermée, ce qui m'avait échappé. Lentement, comme des chats, nous nous sommes dirigés vers cet endroit et nous passâmes en silence la tête par cet entrebâillement. De là, nous pouvions vraiment voir la scène qui se déroulait dans le compartiment « chambre » de la tente, lui non plus pas fermé. Par contre, le couple ne pouvait pas nous voir. L'homme était maintenant à genou, derrière la femme, et il la prenait en levrette.

Leurs gémissements de joie étaient très excitants. Ma compagne black avait passé sa main sous son peignoir et se caressait doucement le minou. J'avais quant à moi sorti ma bite de sa prison. Mon plaisir montait petit à petit, tout comme le sien. Les ébats du couple semblaient toucher à leur fin. La femme se mit à genou devant l'homme et recommença à le sucer profondément. L'homme ne put se retenir plus longtemps et il éjacula en longs jets saccadés sur le visage de sa compagne. Les deux criaient désormais leur plaisir sans aucune retenue. La femme passa sa langue sur se lèvres et dégusta le nectar de son homme.

C'est ce moment que nous avons choisi pour nous retirer et nous éloigner de la tente.
La fille black me prit par la main, et m'entraîna vers les douches où nous étions tout à l'heure. A peine arrivés, sans prononcer un mot, elle ôta mon caleçon et entreprit de me sucer. C'était divinement bon. Au bord de la jouissance, je la fis se relever et enlevai son peignoir. Elle était vraiment très belle. Son corps d'ébène luisait sous la faible lumière. Elle s'allongea et dirigea ma tête vers ses seins, que je léchai passionnément, puis vers sa chatte très velue. Ma langue titillait son clitoris.

Au bout de quelques minutes, elle eut une forte jouissance, ses jambes enserrant ma tête. Ensuite, elle se retourna et me présenta son arrière-train. Il était splendide, comme seules les femmes noires en ont. Je présentai mon sexe tendu à l'entrée de son vagin, et je la pénétrai d'un seul coup tellement elle était humide. Ses seins se balançaient sous elle. Nos soupirs se transformaient en cris. Mes hanches venaient buter avec force sur ses fesses. Mes aller-retours étaient de plus rapides et profonds.

Le plus excitant, c'est que quelqu'un pouvait très bien nous regarder comme nous avions nous même maté le couple dans la tente. Au bout d'un moment, je sentis que j'allais jouir. Des frissons énormes me parcouraient. Marielle venait de jouir pour la deuxième fois. Me retirant, elle se retourna face à moi et je pus cracher mon foutre dans sa bouche et sur son visage en râlant de bonheur. Mon sperme blanc maculait son visage noir.

C'était la première fois que je baisais avec une parfaite inconnue. Mais cela m'avait énormément plu.
Après quelques minutes de repos, elle se rhabilla et me dit en souriant qu'elle s'appelait Marielle. Puis elle me quitta en me disant qu'on se reverrait sans doute le lendemain sur le camping. Je n'eus donc plus qu'à rentrer me coucher, comblé.
Batta
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suite du camping...
La scène épiée dans la tente et la partie de jambes en l'air qui suivit avec Marielle, la petite black, hier soir, m'avait mis en appétit pour la suite des vacances.
Dès le matin, je croisai le couple que nous avions espionné en train de faire l'amour dans la tente. Ils avaient une trentaine d'années, et semblait venir de Finlande. Ils ne se doutaient de rien.
Je fis une longue randonnée avec mes parents durant cette journée. Le soir venu, je croisai Marielle. Nous avons échangé de grands sourires, avant de nous dire bonjour. La nuit précédente nous avait comblé tous les deux.
Marielle me demanda : « Quels sont tes projets pour ce soir ? ». Comme je lui répondis que je n'avais rien en vue, elle me proposa de m'emmener en boîte. J'acceptai de bonne grâce et nous fixâmes de nous retrouver vers 21h à la sortie du camping.
A l'heure dite, je retrouvai Marielle comme convenu. Elle portait une longue jupe fendue blanche à rayures rouges, et un cache-cour rouge au large décolleté. Pas de marques sous sa jupe ; elle devait donc porter un string, ce qui m'émoustilla déjà.

On prit sa voiture pour se rendre en ville.
Pendant le trajet, elle m'expliqua que c'était une boîte de nuit un peu spéciale. Mais elle n'en dit pas plus, me laissant sur ma faim.
En entrant, la boîte me parut tout à fait classique. Nous allâmes nous installer au bar pour boire un verre. La clientèle était essentiellement composée de Réunionnais. Quelques occidentaux complétaient la palette. Des gens dansaient sur la piste. Une fille attira mon attention. Elle était blanche au cheveux blonds. Deux grands blacks dansaient presque collés à elle. Elle portait une robe très moulante qui mettait en évidence ses formes généreuses. Elle caressait les torses de ses compagnons d'une façon très langoureuse. L'un des deux colla son sexe sur les fesses de la blonde. Cela devenait plutôt chaud et osé. Soudain, la fille tira ses deux partenaires derrière un des rideaux rouges qui bordaient la salle. Surpris, je demandai à Marielle si elle savait où menait ce rideau. Elle hocha la tête d'un air mutin et me dis que je devais aller vérifier par moi-même. Nous nous levâmes et allâmes vers cet endroit mystérieux. Je tirai doucement la toile rouge et jetai un regard derrière. Mon cour bondit. La femme blonde et les deux hommes noirs étaient là, dans un petit salon, assis sur un canapé. La femme était seins nus, les deux hommes les caressant fermement.

Ils sortirent ensuite leur sexe immense et raide de leur pantalon. La femme se mit à les sucer tour à tour. Ils nous avaient vus, mais ne nous firent aucune remarque. Cela m'excitait terriblement de pouvoir mater comme cela en toute impunité.

Mais Marielle me tira en arrière. Elle me dit que tous les rideau rouges situés autour de la pièce cachaient ce genre de salon. Nous étions en fait dans une boîte échangiste et libertine, ou chacun pouvait être acteur ou spectateur d'actes sexuels.
J'entrepris donc de faire le tour des salons, pour voir combien étaient occupés. De nombreux couples faisaient l'amour, sous les yeux d'un public souvent très excité. Dans l'un des salons, un homme noir et trois femmes noires également commençaient leurs ébats. Nous nous arrêtâmes alors, observant la scène. Les femmes s'embrassaient à pleine bouche alors que l'homme les caressait. Celui-ci nous vit et nous fit signe d'entrer.
Hésitants, nous avons tout de même pénétré dans ce salon. L'homme délaissa les trois femmes et se tourna vers Marielle. Il posa ses mains directement sur ses fesses, ce qui ne la gêna pas longtemps. Quant aux trois blacks, elles s'agenouillèrent devant moi et déboutonnèrent mon pantalon. Mon sexe jaillit. Je bandais comme un taureau. Elles commencèrent à me lécher le gland, descendant jusqu'à mes couilles.

L'homme avait lui relevé la robe de Marielle, et après avoir écarté son string, il titilla son clito suintant.
Mon amie gémissait de plaisir. Deux des femmes me déshabillèrent pendant que l'autre se masturbait, debout devant moi. Nous étions maintenant nus tous les cinq. Le membre du black était plus imposant que le mien. Marielle le léchait goulûment, l'enfonçant dans sa bouche le plus loin possible.

L'une des filles s'allongea sous Marielle et enfonça sa langue dans sa chatte.
Marielle semblait adorer cela, comme hier soir au camping. Je m'allongeai sur une de mes partenaires, la pénétrant profondément. Mon va-et-vient lui procurait un immense plaisir.

Elle criait. L'autre se mit à genoux sur son visage, pour qu'elle la lèche. Des spectateurs avaient passé la tête au rideau pour nous contempler. Ils étaient de plus en plus nombreux ; certains d'entre eux avaient sorti leur queue et se branlaient rapidement. Le grand black prenait maintenant Marielle par derrière. Il la pilonnait vivement, lui arrachant de longues plaintes jouissives. Je changeai d'amante, puis présentai mon membre durci à l'extrême sur l'anus de la troisième femme.
Elle m'encouragea : « Vas-y ! Défonce-moi d'un seul coup ! »

Je l'enculai alors d'un coup sec, ce qui lui arracha un long cri à elle aussi. Après 10 minutes de ce bourrage, mon voisin et moi-même étions prêts à jouir. Nous nous sommes donc retirés. Les trois femmes se sont agenouillées devant ma verge. Me branlant, j'ai joui violemment sur leurs visages, en hurlant de joie. Le black fut rejoint lui par une bonne dizaine de gars qui se masturbaient, le visage tordu de plaisir. Marielle s'était allongée sur le dos. Tous ces hommes éjaculèrent tour à tour sur ses seins, son ventre, son visage, ou dans sa bouche.

Lorsque tout fut terminé, Marielle était aussi blanche que noire. Elle venait littéralement de déguster une soupe de sperme chaud. Cela ne lui déplaisait pas, bien au contraire.
Après avoir repassé nos vêtements, nous sommes allés boire un verre bien mérité au bar.
Batta