Malaurie et Lisa

Malaurie et Lisa (épisode 1) (publié par Lisa le 10-09-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 2) (publié par Lisa le 19-09-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 3) (publié par Lisa le 25-09-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 4) (publié par Lisa le 13-11-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 5) (publié par Lisa le 13-11-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 6) (publié par Lisa le 22-11-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 7) (publié par Lisa le 24-11-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 8) (publié par Lisa le 26-11-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 9) (publié par Lisa le 19-12-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 10) (publié par Lisa le 21-12-2007)
Malaurie et Lisa (épisode 11) (publié par Lisa le 12-01-2008)
Malaurie et Lisa (épisode 12) (publié par Lisa le 06-02-2008)
Malaurie et Lisa (épisode 13) (publié par Lisa le 06-02-2008)


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Voici une petite série d'histoires qui me sont arrivées quand je suis entrée à l'université. J'étais toute heureuse d'enfin prendre mon indépendance et de m'éloigner de mes parents. Majeure depuis peu, je savais que j'avais déjà un corps particulièrement sexy.



Quitte à prendre mon indépendance, j'avais décidé que ça allait être une grande aventure et je suis parti rejoindre ma nouvelle ville d'accueil en autostop. Pas trop habillée, je me disais que j'allais rapidement trouver quelqu'un qui m'emmènerait, avec mes sacs surchargés, jusqu'à ma location (une cousine qui finissait ses études en économie libérait justement un appartement, ce qui m'avait évité de chercher). A ma grande surprise, la première voiture à s'arrêter était conduite par une jolie jeune fille. Elle s'appelait Malaurie et était aussi blonde que j'étais brune. Elle aussi s'habillait très sexy et portait son débardeur sans soutien-gorge, ce qui dévoilait une poitrine ferme et gonflée.



Elle était en seconde année en Histoire de l'Art, comme moi, et m'expliqua succinctement comment se passait la vie étudiante. Elle me déposa juste en bas de mon nouveau chez moi et elle attendit avec moi une demi-heure, le temps que mon proprio arrive pour me laisser les clés. J'étais vraiment contente d'être tombée sur elle et on s'échangea nos numéros de portable avant qu'elle ne reparte.
Je ne revis pas Malaurie dès la première semaine. Ce fut la semaine suivante, lors d'un cours de dessin. Comme mon loyer n'était pas donné, il me fallait trouver de quoi compléter les allocations et j'avais trouvé une annonce pour être modèle dans des cours de dessin. Quand je suis arrivée dans le vestiaire, je fus un peu surprise d'y trouver un fort beau jeune homme intégralement nu, probablement modèle lui aussi. Je m'excusais platement (tout en admirant son membre au repos) et lui demandais où se trouvait le vestiaire pour dame. Il me répondit qu'il n'y avait qu'un unique vestiaire mais que cela ne posait pas de problème.



Puisqu'il me disait qu'il n'y avait pas de problème, je n'avais pas envie de faire ma mijaurée et je commençai à retirer ma robe. Intéressé, le garçon me regarda avec insistance. Quand la première bretelle glissa de mon épaule et libéra un sein, je vis un certain émoi dans son regard. L'émoi se remarqua également ailleurs que sur son visage : je vis son sexe gonfler et se dresser peu à peu au fur et à mesure que je retirais ma robe.



Il sembla un peu gêné mais ne détourna que très brièvement le regard. Il sembla surpris de constater que je n'avais aucun sous-vêtement. Voyant que je ne montrai aucune pudeur, exhibant totalement ma nudité, il se ressaisit et vint vers moi, le sexe bandé. Il me tendit la main et se présenta : "Valentin". Je lui serrai la main : "Lisa... Vous allez devoir attendre un peu avant de vous présenter devant les étudiants..."



J'étais très excitée par la situation (deux inconnus totalement nus et manifestement appréciant cet état de chose). Une envie folle me prit soudain d'attraper ce sexe et de le masturber, voire de le sucer. Mais ma pulsion fut heureusement interrompu par un appel : une voix féminine m'appelait dans la pièce à côté. Je laissai donc Valentin se remettre de ses émotions et je gagnai l'autre pièce. Une jeune femme m'attendait derrière une grande planche à dessin. Elle me fit signe de m'installer et de ne plus bouger. Elle commença à dessiner. J'étais finalement assez rassurée qu'il n'y ait pas plein de monde et surtout qu'il n'y ait pas d'homme... J'aurais eu peur d'avoir ensuite à gérer pleins de lubriques demandant à me revoir. La fille était très sympa et je vis soudain qu'elle ne dessinait plus, mais se caressait la poitrine en me regardant.



C'est seulement à ce moment-là que je reconnus, Malaurie. Il y eut un blanc... Puis elle me dit :
- Tu es magnifique ! Tu dois te faire plein de mecs !
- Pas spécialement, je ne suis là que depuis quelques jours et je ne suis pas encore beaucoup sortie...
- C'est vrai que ton appartement n'est vraiment dans le centre-ville. Tu ne paies pas trop cher, j'espère.
Quand je lui dis le prix, elle sembla surprise (trouvant manifestement ça trop élevé) et garda le silence quelques instants. Sa robe avait glissé un peu et révélait sa poitrine. J'étais un peu gênée par cette situation, et aussi surtout parce que je me rendis compte que j'éprouvais de l'attirance pour une fille.



Elle se rendit compte de mon trouble. Sans rien dire, elle vint se coller à moi et porta ses lèvres aux miennes, d'une manière si naturelle que je ne mis aucune opposition. C'était la première fois que j'embrassais une autre fille et je trouvais ça terriblement excitant.



Une fois notre doux baiser achevé, elle s'écarta, me regarda et demanda :
- Es-tu lesbienne ?
- Je ne pense pas... J'ai adoré t'embrasser, mais j'aime aussi beaucoup les hommes.
- Moi aussi. Ecoute, j'ai un truc à te proposer. Ton loyer est exorbitant et tu es trop loin du centre-ville pour pouvoir en profiter. J'ai un immense appartement qui appartient à ami de mon père. Viens en collocation chez moi, on partagera les frais et ce sera hyper sympa.
Je n'en revenais pas. J'avais une chance monstrueuse. Cette fille, sympa, sexy, intelligente, me proposait de vivre avec elle après m'avoir embrasser ! J'acceptai bien sûr aussitôt et une semaine plus tard, mon appartement était rendu et j'aménageais chez Malaurie.

J'avais peur qu'elle soit lesbienne et qu'elle me mette le grappin dessus, mais je me rendis vite compte qu'il n'en était rien. Elle aimait jouir, le plus souvent possible et n'importe comment, mais le plus souvent avec des garçons. Elle adorait les aguicher : à l'appartement, même en présence de garçon, elle n'hésitait pas à se mettre à l'aise, par exemple en ouvrant complètement sa chemise alors qu'elle ne portait jamais rien dessous.



Elle même se décrivait comme une "belle salope". Mais parfois, je me demandais si elle n'était pas aussi un peu innocente. Comme elle ne mettait jamais de soutien-gorge et qu'elle portait toujours des fringues sexy, il lui arrivait souvent des accidents. Une fois, nous faisions un jeu de société avec un ami à elle. Nous étions installés par terre dans le salon. Dès le début de la partie, les bretelles de son petit débardeur glissèrent de ses épaules. Une minute plus tard, le premier téton faisait son apparition. Elle semblait ne se rendre compte de rien. Elle resta ainsi, les seins à moitié à l'air, durant tout le jeu, empêchant son pauvre ami de se concentrer sur le jeu et d'élaborer la moindre stratégie gagnante.



Elle était pourtant plutôt sage car je ne la vis jamais conclure avec qui que ce soit dans l'appartement. J'en venais à me demander si ma présence ne la gênait pas pour inviter des hommes jusque dans son lit (nous avions les chambres côte à côte à l'étage avec une salle de bain et le rez-de-chaussée comprenait une cuisine et un grand salon). Une fois où je rentrai plus tôt que prévu, je la trouvais la jupe retroussée sur les cuisses, à se masturber allégrement. Trop prise par son plaisir, elle ne me vit pas. Je l'observais se donner ainsi du plaisir et ça commençait à m'exciter moi aussi.



Sans me voir, elle continua à fire aller et venir ses doigts dans son intimité. Elle retira même sa jupe et ouvrit son chemisier. Enfin, elle jouit, se mordant les lèvres, poussant de petits glapissements qu'elle étouffait comme elle pouvait. Quand elle commença à se remettre de ses émotions, elle me vit enfin, statufiée devant la porte, ma culotte toute trempée de mouille. Incapable de dire un mot. Elle se leva.



Elle s'approcha de moi et m'embrassa langoureusement. Nos langues se mêlèrent. C'était aussi doux que la première fois lors du cours de dessin. Puis, elle m'amena dans le salon et me fit asseoir sur le canapé. Elle fit glisser la bretelle de ma robe et dévoila un sein. Elle marqua une pause et s'éloigna pour admirer (ce n'était pourtant pas faute d'avoir déjà pu admirer ma nudité lorsque je posais pour elle).



Une fois qu'elle eut complètement retiré ma robe et ma culotte trempée, elle se pencha à nouveau sur moi. Elle posa une main sur ma nuque et attira ma bouche contre la sienne. Ce baiser fut particulièrement efficace car je sentis rapidement la mouille commencer à me couler le long des cuisses.



Quand je sentis sa main sur ma moule, je comprends qu'elle veut me faire jouir. Mais je voulais juste profiter de ses caresses sans forcément que cela aboutisse à un orgasme. Je la fis donc lever et je la fis s'appuyer au mur. Passant ma main entre ses cuisses, je découvris une fontaine : elle était encore plus excitée que moi. Je m'accroupis derrière elle et enfouis mon visage entre ses fesses écartées, cherchant sa moule avec ma langue. Au premier contact avec ses lèvres, elle tressaillit. Cela sembla lui procurer beaucoup de plaisir.



Remontant ma langue jusqu'à son anus, elle eut à nouveau un frémissement lorsque ma langue commença à s'insinuer dans sa rondelle. Elle était en sueur, prête à jouir. Elle marmonna : "Putain, il me faudrait une bonne bite !" N'ayant pas ça sous la main (!), je lui mis deux doigts dans la chatte. C'était la première fois que je donnais du plaisir à une autre femme et je dois avouer que j'étais assez fière de moi. En quelques minutes, elle se mit à gémir en balançant son bassin à la rencontre de mes doigts. Puis cela devint des cris et presque des hurlements au moment où l'orgasme la gagna totalement.



Une fois remise, elle m'embrassa, puis me dit, encore essoufflée :
- C'était terrible, tu es douée !
- C'était pourtant la première fois...
- C'est vrai ? J'espère que ce ne sera pas la dernière... Mais, dis-moi, tu n'as pas joui ?
- Ne t'inquiète pas, nous aurons sûrement d'autres occasions.
- J'espère ! En tout cas, tu m'as divinement léchée et masturbée.
- Désolé, je n'avais pas de bite à t'offrir...
- Tes doigts faisaient très bien l'affaire. Mais c'est qu'une bonne grosse queue de temps en temps, je ne suis pas contre...
- Tu ne fais jamais venir de mecs ici ?
- C'est que... je ne veux pas te gêner...
- Arrête, tu es chez toi ! Tu fais ce que tu veux, tu peux t'envoyer en l'air ici comme ça te chante que je sois là ou non. Ne t'inquiète pas pour moi...
- D'accord, mais promets-moi que, de ton côté, tu n'hésiteras pas non plus à ramener tes amis ici.
- Pour que tu en profites aussi, petite vicieuse ?!?
- Pourquoi pas ?...
Et nous partîmes dans un fou rire qui dura cinq bonnes minutes. Ce fut le début d'aventures particulièrement agréables. Mes premières semaines de fac commençaient terriblement bien.
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Malaurie et Lisa (épisode 2)

Dès le lendemain, une journée particulièrement chaude, je décidai de lui faire une surprise et d'inviter Guy, notre voisin de palier, célibataire, plutôt bien foutu et sur lequel Malaurie m'avait avoué avoir flashé. Je n'avais bien sûr rien dit à Malaurie pour lui laisser la surprise. Dix minutes avant que Guy n'arrive, Malaurie me donna l'opportunité de la piéger très simplement. Elle était dans la cuisine à préparer un dessert et m'appela :
"Lisa, tu peux me dire combien il fait, j'étouffe dans la cuisine".



Un plan très simple me vint soudainement. Je retirai ma petite robe et me présentai à la porte de la cuisine totalement nue en lui donnant pour toute réponse :
"Moi, quand il fait trop chaud et que j'étouffe, je ne mets rien. Je suis bien plus à l'aise. A moins que ça te gêne bien sûr..."



- Bien sûr que non ! On est chez nous et on fait ce qu'on veut.
- Et bien fait comme moi, alors !
- C'est que je n'ai rien dessous...
- Et moi ? Tu trouves que j'ai quelque chose ?



- Et si quelqu'un arrive ?
- Qui veux-tu qu'il vienne ? Un copain t'a dit qu'il passerait ?
- Non, mais au cas où...
- Dans ce cas, tu auras bien le temps de renfiler ta robe.



- Ouais t'as raison"
Malaurie commença à défaire le noeud dans le cou qui tenait sa robe. Elle avait finalement obtempéré assez rapidement et je pouvais lire dans ses yeux une sorte de malice. La situation l'excitait et elle devait s'imaginer qu'on allait s'envoyer en l'air toutes les deux.



Ne voulant pas me trahir, j'évitai son regard en continuant à lui parler.
"Tu verras tu seras plus à l'aise, et pas de risque de taches en cuisinant..."
Elle rigola à ma blague. Puis, alors que sa robe tombait à ses pieds, elle me regarda, comme si elle me découvrait. Je fus un peu gênée par ce regard.



Elle sentit ma gène et dit :
"C'est la première fois que tu te balades à poil dans l'appartement.
- Oui, peut-être... Mais il fait tellement chaud.
- Je te trouvais très réservée, mais finalement tu es très impudique.
- La pudeur, ça dépend de qui est en face. Être nue devant une copine comme toi, ça ne me dérange pas.
- N'empêche, j'espère que personne ne va débouler à l'improviste, quoique j'aurais bien besoin d'aide pour terminer ma recette".



Je laissai Malaurie à sa cuisine et retournai au salon me rhabiller rapidement avant que Guy n'arrive. Puis je me mis contre la porte d'entrée afin de guetter l'arrivée de Guy pour éviter qu'il ne sonne. Dès que j'entendis des pas s'approcher de l'entrée, j'entrouvris la porte et fit entrer le jeune homme en lui indiquant de ne pas faire de bruit. Malaurie, affairée à sa cuisine n'entendit pas le bruit de la porte.



Tout bas, j'expliquai la situation à Guy :
"Malaurie prépare un dessert dans la cuisine...
- Tu ne veux pas qu'elle sache que je suis là ?
- Si mais pas tout de suite, car figure-toi qu'elle cuisine toujours nue !
- Tu plaisantes ?!
- Je te jure ! Si elle t'entend, elle va se rhabiller et elle ne finira pas le dessert. Tu peux essayer de jouer les voyeurs, mais soit discret."
Je me mis dans l'embrasure de la porte de la cuisine et demandai à Malaurie :
"Tu veux de l'aide ?"



"Non, je te remercie, j'ai presque fini. Là, comme je suis excitée, ce qu'il me faudrait, c'est une bonne grosse bite !"
Manifestement, elle ignorait que Guy était juste derrière moi et admirait son superbe corps nu.
M'apercevant du coin de l'oeil, Malaurie me demanda :
"Tu t'es rhabillée ?
- Evidemment, pour ouvrir à Guy...
- ???"
Guy entra dans la cuisine. Malaurie, bien que surprise, comprit aussitôt que je l'avais piégée et garda son sang froid.
"Bonjour Guy. Aide-moi à terminer...



Guy était très gêné. Mais, Malaurie ne manifestant aucune pudeur, il en profitait pour se rincer l'oeil allégrement. Rapidement, Guy réagit à la vue des seins gonflés aux tétons dardants, des fesses rebondies et musclées, de l'entrejambe épilé et humide. Son pantalon se déforma outrageusement.
"Tu bandes ?"



"Avoue qu'il y a de quoi...
- C'est vrai qu'il fait super chaud.
- Ils ont dit aux infos que c'était la journée la plus chaude du mois de septembre.
- Si tu veux, tu peux te mettre à l'aise aussi.
- Mhhh..."
Voyant sa réticence, Malaurie commença à le déshabiller.



Elle déboutonna la chemise, la retira, puis défit la ceinture et laissa le pantalon tomber. Guy ne portait rien dessous et une belle érection se dressa alors sous les yeux de Malaurie. Un regard gourmand traversa les yeux de Malaurie lorsqu'elle se saisit du membre turgescent. Elle s'agenouilla devant sans le quitter des yeux et l'introduisit dans sa bouche.



Guy ferma les yeux. Malaurie semblait faire cela merveilleusement bien et ne devait sûrement pas être novice en la matière. D'une main posée sur la tête, Guy lui imprima un petit va et vient, tandis que l'autre main caressait la poitrine de la demoiselle.



Guy était aux anges et sa queue entre les lèvres expertes de ma colocataire était devenue dure comme de l'ébène. Elle lui pompait tant et si bien le gland qu'en quelques minutes elle l'amena au bord de l'éjaculation. Le sentant venir, elle le sortit de sa bouche et le masturba vigoureusement jusqu'à ce qu'il se répande sur son visage, la maculant d'un sperme épais et collant.



Malaurie termina sa prestation en lui nettoyant méticuleusement le gland du bout de la langue. Puis, le menton dégoulinant de sperme, elle se releva et, lui souriant, demanda : "Au fait pourquoi tu es venu ?"



"Lisa m'avait dit de passer prendre un café, mais elle ne m'avait pas dit que tu serais en tenue d'Eve..."
J'étais dans le salon et Malaurie m'interpella :
"Dis donc, Lisa ?! Qu'est-ce que tu as manigancé ?
- Moi ? Mais rien du tout, voyons. C'est un regrettable concours de circonstance...
- Pas si regrettable que ça...
- Tu as terminé ton dessert ?
- Presque, je me suis surtout occupée de la crème...
- Dans ce cas, tu peux dire à Guy de venir me rejoindre au salon, j'ai besoin de ses services."
Malaurie poussa Guy hors de la cuisine le faisant débouler le sexe débandé à l'air au salon.

(à suivre)
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Malaurie et Lisa (épisode 3)

Guy ne prit pas la peine de cacher sa nudité. D'ailleurs, il n'en voyait pas l'utilité puisque j'étais moi aussi totalement nue, allongée sur le canapé. Mes seins étaient écrasés contre le canapé et je tendais mon cul vers le plafond, position qui ne laissait aucun doute sur ce que j'espérais obtenir de Guy.



Guy, gardant son sang froid, me dit :
"Je vois que, comme Malaurie, tu souffres de la chaleur...
- Oui et mes vêtements me sont insupportables.
- Je vois ça...
- Mais ce n'est pas le pire.
- C'est quoi le pire ?
- C'est que la chaleur se concentre ici..."
Tout en parlant, je m'étais redressée et assise sur le canapé, je me caressais désormais la moule, laissant deux doigts plonger dans mon sexe trempée de mouille.



Je vis le sexe de Guy reprendre peu à peu du service au fur et à mesure. Il me regardait opérer, appuyé au mur, bras croisés et le sexe se gonflant et se dressant lentement.
"Et toi, Guy ? La chaleur ne t'incommode pas ?
- Si bien sûr, ça me donne des érections...
- Oui, c'est impressionnant ! C'est douloureux ?
- Si ça dure longtemps oui...
- J'ai peut-être une solution !"
Je me levai et m'étirai pour bien faire saillir mes seins.



Le sexe de Guy avait retrouvé tout son aplomb. Je lui fis signe de s'allonger sur le canapé et il s'y installa sans attendre, impatient de savoir quelle solution j'allais lui proposer. Une fois qu'il fut bien mis, je le rejoignis et je me saisis de son engin avant de le gober.



"Tu es bien gros... Je te propose de combattre la chaleur par la chaleur.
- Excellente idée ! Je te laisse opérer, tu as l'air de t'y connaître."
Dès qu'il fut parfaitement raide entre mes lèvres, je pris sa place et attrapai sa bite pour la guider entre mes cuisses grandes ouvertes.



Guy me besogne ainsi pendant de longues et délicieuses minutes faisant aller et venir son énorme pieu en moi. Au bout d'un certain temps, le sentant prêt à exploser, je lui dis :
"Maintenant, désaltère-moi !"
Il sortit donc sa longue tige et vint se branler devant mon visage. Bien qu'il en était à sa deuxième éjaculation, le jeune homme me cracha une belle quantité de son foutre au visage.



Quand la source fut tarie, je me redressai pour lui pomper le gland afin d'en extraire les dernières gouttes. Le sperme me coulait du visage, gouttait de mon menton sur mes seins. Du coin de l'oeil, je vis que Malaurie nous observait.



"Dites donc, moi j'ai fini ma cuisine et je m'ennuie un peu. Le spectacle n'était pas déplaisant, mais j'ai bien envie d'en profiter un peu.
- Tu plaisantes ? Tu en as déjà bien profité, pour preuve le sperme que tu as encore sur le menton !
- Tu peux parler, tu en as autant que moi ! Guy, tu ne refuserais pas une petite faveur ?
- Faut voir, mais pourquoi pas...
- Tu te sens d'attaque pour remettre ça une troisième fois ?
- Et davantage si cela doit vous satisfaire mesdemoiselles...
- Ne fais pas trop de promesses où tu ne rentreras jamais chez toi..."



Je me relevai et rejoignis Malaurie, à quatre pattes sur le canapé. Nous nous léchâmes mutuellement le sperme sur nos visage. Du coin de l'oeil, je voyais Guy qui semblait ne plus pouvoir débander. Quand nos visages furent propres, je fis signe à notre étalon de s'approcher et, sans demander l'avis de qui que ce soit, j'attrapai le sexe turgescent et le guidai en Malaurie, inondée de mouille.



Guy commença aussitôt ses va-et-viens dans ce fourreau si accueillant. Malaurie semblait s'amuser beaucoup de constater que l'on faisait ce que l'on voulait de cet homme. Quand on pense qu'une demi-heure avant, nous ne le connaissions que de vue, pour l'avoir juste croisé quelques fois dans l'escalier. Et il était là, en train de baiser ma colocataire. Il la fit basculer et lui releva une jambe pour s'enfoncer encore davantage.



Malaurie, le regard hagard, se concentrait sur le plaisir que lui procurait cette tige qui lui limait le sexe. Mais elle voulait essayer d'autres positions et soudain, elle se leva et attendit que Guy fut assis pour s'empaler sur son gros mât.



Elle montait et descendait de plus en plus vite. Au bord de l'orgasme, elle ralentit le rythme et me regarda en souriant : elle voulait encore en profiter avant de jouir et faire durer le plaisir. Elle s'immobilisa presque et apprécia la sensation de cette bite immobile en elle.



Une fois un peu calmée, elle reprit peu à peu son rythme jusqu'à arriver à une cadence effrénée. Je pensais que Guy allait jouir avant elle, mais ce ne fut pas le cas. Malaurie ferma les yeux et, la bouche entrouverte, laissa monter l'orgasme. Elle poussa de petits cris discrets alors que Guy continuait de la pistonner. Sa jouissance ne semblait pas très intense et pourtant elle dura plusieurs minutes.



Guy était lui aussi au bord de l'orgasme. Le sentant venir, Malaurie se mit à genou devant lui et attrapa l'érection pour qu'il lui éjacule à nouveau au visage. Guy lui reprit son engin des mains et s'astiqua vigoureusement.



Moins de vingt minutes après sa précédente éjaculation, Guy m'étonna encore par la quantité de sperme qu'il envoya dans la bouche de Malaurie. Elle reçu tout, jusqu'à la dernière goutte, mais n'avala pas, laissant le liquide épais couler de sa bouche. Le menton couvert de sperme, elle me dit :
"Tu as vu Lisa ? Il lui en restait encore pas mal !



- C'est quelqu'un plein de ressources, notre jeune voisin de palier...
- Mesdemoiselles, ce sera un plaisir de vous faire profiter de mes compétences à chaque fois que vous le désirez.
- Mmmmh, il n'est effectivement pas exclu que je te demande à nouveau de l'aide pour la cuisine.



- Je suis certaine que nous te reverrons souvent...
- Je serais idiot de ne pas accepter votre invitation. Mais...
- Mais ?
- Si vous le voulez, je peux vous présenter quelques amis.
- Ce n'est pas de refus !



Malaurie était ravie de ce remier contact, il me sembla que Guy aussi. Il ne fut d'ailleurs pas long à venir nous rendre visite : nous le vîmes presque chaque jour des semaines qui suivirent.

Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 4)

Guy devint rapidement un habitué de l'appartement de Malaurie. Il nous appréciait tellement qu'un jour il proposa à Malaurie les clés de la maison de ses parents, absents pendant un week-end. Malaurie accepta d'autant plus facilement que cette maison disposait d'une piscine.
Nous nous sommes donc retrouvées toutes les deux à profiter de la piscine. Surtout Malaurie d'ailleurs, car j'avais stupidement oublié d'emporter mon maillot de bain. Malaurie ne se priva donc pas de se moquer de moi. Elle avait un superbe bikini jaune qui mettait bien en valeur ses courbes parfaites.



- Pourquoi tu ne te baignerais pas nue ?
- Tu plaisantes ?
- Non, nous ne sommes que toutes les deux.
- Quand même !
- Tiens, d'ailleurs, moi je vais me mettre à l'aise.
A ma grande surprise, Malaurie retira son soutien-gorge et exhiba fièrement sa superbe poitrine. Elle commença même à se mettre une main dans le maillot.



- Moi, la nudité, ça m'excite toujours et comme on n'a pas de mec sous la main, faut bien se débrouiller.
- Tu exagères ! On ne va pas faire du nudisme quand même ?
- Et pourquoi pas ! Cela résoudrait ton problème. Si tu veux, je retire aussi mon string comme ça on sera toutes les deux à poil.



Elle joignit les gestes à la parole et, sans attendre ma réponse, fit glisser son string et s'afficha intégralement nue.



- Tu devrais en faire autant ! Tu ne vas pas rester comme une potiche à côté de la piscine alors qu'elle te tend les bras.
- Non, mais j'ai un minimum de pudeur.
- Pour qui ? Pour moi ? Moi aussi, je suis pudique, mais comme on n'est que toutes les deux, ça ne me dérange pas.
- ...
- Et je me sens super à l'aise.



Allongée sur le bord de la piscine, elle semblait effectivement profiter de sa nudité sans aucune gêne. Je me décidai donc à l'imiter, convaincue que personne n'allait arriver à l'improviste et que le voisinage ne pouvait nous voir.



Je fis donc passer mon débardeur par dessus mes seins nus. Malaurie m'observait, amusée de me voir m'effeuiller enfin, après avoir fait tant d'histoires. Puis je quittai aussi ma petite jupe et hésitai un instant avant de retirer aussi ma culotte.



Effectivement, la nudité était grisante. Sentir le soleil caresser ma peau à des endroits qui n'en avaient pas forcément l'habitude était délicieux. Je voulais profiter davantage de ces rayons caressants et je m'allongeai donc sur un transat en écartant légèrement les cuisses.
- Alors ? N'est-ce pas le bonheur d'être totalement nue, ici, toutes les deux ?
- Si, c'est vrai que c'est agréable.



- Tu t'es déjà exhibé ainsi ?
- Comment ça ?
- Tu t'es déjà mise nue devant quelqu'un que tu ne connais pas ?
- Oui...
- C'est vrai ?
- Au cours de dessin, quand je t'ai servi de modèle, il y avait un modèle masculin dans le vestiaire. Il a bandé comme âne quand il m'a vu me mettre à poil.
- Tu n'étais pas gênée ?
- Un peu si, mais l'excitation a pris le pas.
- Je comprends...



Malaurie, allongée sur le ventre semblait être très excitée justement. Je sentais à sa voix que notre petite conversation lui donnait des envies. Je vis peu à peu ses cuisses s'écarter pour dévoiler sa moule.
- Et mais tu mouilles ?
- Oui, un peu. J'adore avoir la moule à l'air et ce que tu viens de me raconter m'excite carrément.



- Moi aussi, ça m'excite.
- Tu veux te masturber ?
- Arrêtes, tu déconnes ?
- Non, pas du tout. Y'a pas de gêne à avoir à se donner du plaisir.



Malaurie se redressa et se tourna pour me présenter son cul. Je voyais les lèvres de son sexe qui commençaient à luire légèrement de mouille. Elle écarta complètement les jambes et, à quatre pattes, commença à sa doigter la moule.



Entre deux feulements, Malaurie me dit :
- Franchement, Lisa, ne te prive pas, c'est divin.
Elle n'avait pas beaucoup à faire pour me convaincre car je dois avouer que j'en avais très envie. Ma main trouva rapidement ma chatte et je m'abandonnais à ces caresses intimes qui commencèrent à me faire mouiller.



Après quelques minutes où nous nous branlions chacune dans notre coin, nos orgasmes nous firent crier notre plaisir en même temps. Dès qu'elle fut remise, Malaurie se retourna sur son transat et écarta franchement les cuisses comme pour se faire pénétrer par les rayons du soleil.



Puis elle se releva et me proposa d'aller nous rafraîchir un peu. C'est vrai que la chaleur était étouffante et que nous plonger dans l'eau allait nous faire le plus grand bien. Je ne sais d'ailleurs pas comment nous aurions pu supporter un maillot de bain avec une telle chaleur.



Elle entra dans l'eau et resta un moment sur le bord, gardant le buste à la surface, comme pour laisser ses seins flotter.
- Mmmh, vient me rejoindre Lisa, c'est délicieux.



Je ne pouvais pas résister et je m'accroupis sur le bord de la piscine. L'eau était à peine tiède, presque fraîche, mais cela me semblait parfait. Après m'être assise sur le bord, je me laissai glisser dans l'eau.



J'entrepris de nager pour rejoindre Malaurie. Je me mis sur le dos en commençais à battre des jambes pour avancer. Mes seins semblaient flotter à la surface de l'eau et même cette sensation me donnait du plaisir.



Alors qu'à mi-chemin je me redressais, je crus entendre un bruit derrière la baie vitrée de la maison. Je me mis debout pour essayer de voir, mais rien ne semblait bouger.



Je me rapprochai du bord pour mieux voir.
- Malaurie, j'ai cru entendre quelqu'un à l'intérieur.
- Mais non, nous sommes seules. J'ai fermée derrière moi. Ce doit être chez les voisins.
- Peut-être...
Je n'en étais pas bien sûr.



Je scrutais une nouvelle fois, mais les reflets du soleil m'empêchaient de voir à l'intérieur. Alors que je me retournais vers Malaurie, je la vis avec un doigt devant la bouche, tournée vers la baie vitrée, comme si elle demandait à quelqu'un de ne pas faire de bruit. La seconde d'après, elle se mettait à nager.



Que manigançait-elle ? Avait-elle fait venir quelqu'un dans la maison ? Le jeu consistait-il juste à m'exhiber aux yeux d'un inconnu ? Si c'était le cas on lui avait sans doute donné le grand spectacle tout à l'heure en se masturbant. Et, s'il y avait quelqu'un, il y a fort à parier qu'il s'était branlé aussi.
Je sortis de l'eau.



Assise au bord de la piscine, j'interrogeai Malaurie.
- Dis donc, quand tu parlais d'exhibition tout à l'heure et que tu m'as fait me toucher jusqu'à jouir, ce n'était pas pour en faire profiter à un voyeur caché dans la maison ?
- Tu te fais des idées... Et même si c'était le cas, tu as pris du plaisir en te caressant. Quel aurait été le mal à ce que quelqu'un d'autre en prenne en te regardant ?



Malaurie me rejoignit et commença à me caresser les seins. Ses mains étaient incroyablement douces. Ce contact me fit frémir de plaisir. Un doute m'envahit et je regardai une nouvelle fois vers la baie vitrée, espérant voir à l'intérieur. Mais le soleil reflété sur la vitre m'empêchait de voir quoi que ce soit.



Malaurie me demanda alors d'écarter les cuisses et commença à me doigter la moule. Puis, son doigt commença des allées et venues en moi alors qu'elle se penchait pour me darder le clitoris du bout de la langue.



De mon initiative, je me mis à quatre pattes et lui demandait de continuer. C'était délicieux. Elle me branlait la chatte avec deux doigts et je sentais ma cyprine s'écouler. Mon orgasme ne tarda pas et elle sembla satisfaite d'avoir pu me faire jouir aussi vite.



Je proposai à Malaurie d'échanger les rôles. Elle sortit donc de l'eau se mit à son tour à quatre pattes, me présentant sa moule. Mon doigt glissa d'abord sur son joli petit anus, puis vint s'insérer entre les lèvres gonflées de sa moule.



Alors que mon doigt allait et venait en elle, elle semblait déchaînée. J'entrepris alors de m'occuper en plus de son petit trou du cul. Ma langue décrivit de petits cercles autour et tenta parfois de la pénétrer comme s'il s'agissait d'un sexe.



L'orgasme de Malaurie fut particulièrement violent, son cul battant d'avant en arrière, comme pour désarçonner mes doigts immiscés en elle. Une fois remise, elle me rejoignit dans l'eau pour m'embrasse puis sortie.



Malaurie fila nue vers la maison, s'appuya quelques instants aux vitres et regarda à l'intérieur.
- Il n'y a personne là-dedans. Tu as dû rêver tout à l'heure.



Malaurie retournant s'allonger, je crus percevoir des rires à l'intérieur. Cette fois je préférai sortir de l'eau et j'attrapai ma serviette pour me sécher. Je ne voyais plus mes fringues.
- Malaurie ? Où sont mes vêtements ?
- Je les ai mis à l'intérieur



- Et pourquoi ça ?
- Juste au cas où nous aurions un peu éclaboussé sur les bords, pour éviter qu'ils soient mouillés. Tu veux déjà te rhabiller ?
- Non, je vais lézarder un peu.



Malgré les doutes que j'avais sur la présence de quelqu'un dans la maison, je m'installai complètement nue sur mon transat et me laissai gagner par le sommeil, épuisée par mes deux orgasmes de la dernière heure.



Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 5)

Je m'étais endormie... Combien de temps ? Je l'ignorais. Toujours est-il que j'avais été réveillée par des grognements en provenance de la piscine. J'ouvris les yeux et découvrit Malaurie, toujours nue dans la piscine, en train de branler la bite de Guy lui aussi à poil. Il semblait bien aimer ce simple geste.



Malaurie, bien que très occupée, remarqua que j'étais réveillée.
- Tu as dormi ? me demanda-t-elle.
- Effectivement... Et je n'avais pas rêvé tout à l'heure ! C'est Guy qui jouait le voyeur derrière la baie vitrée et tu le savais parfaitement.
Guy me regardait lui aussi, alors que je m'asseyais sur le transat pour admirer leurs petits jeux.



-Bonjour. Dit une voix derrière moi.
Je me retournai mais, avec le soleil dans les yeux je ne distinguai pas trop d'où la voix venait. Il me semblait quand même que c'était une voix masculine. Après m'être habituée à la lumière du soleil, je vis qu'il s'agissait d'un copain de Guy qu'on avait croisé une ou deux fois chez notre cher voisin. Il était assis sur un transat juste derrière moi. Il était nu, lui aussi, et me souriait, manifestement pas gêné du tout par une érection galopante.



Je me levai et admirai la belle queue qu'il exhibait.
- Mmmh, c'est moi qui te fait cet effet la ?
Malaurie me répondit depuis la piscine :
- Pascal t'admire depuis plus demi-heure, ce n'est pas étonnant qu'il soit dans tous ses états !
- Tu t'es branlé un peu, pendant que je dormais ?
- C'était difficile de résister...



Je me remis sur mon transat et en écartant les cuisses.
- Moi aussi, ça m'excite de voir ta queue bandée pour moi.
- Si tu veux tu peux venir la toucher.
- Pas encore, je veux juste regarder pour le moment.



Il me regardait, amusé. Je lui proposai de reprendre sa branlette. Il ne se fit pas prier et sa main s'activa rapidement le long de sa hampe de chair. Je commençais à mouiller, rien qu'à le regarder faire. Cette queue me faisait très envie et je ne pus m'empêcher de me toucher à mon tour.



Me voyant faire, il lâcha sa queue et s'approcha. Je continuais à faire entrer et sortir mes doigts de ma moule. Il s'accroupit entre mes cuisses et commença à me lécher le clitoris. Un vrai prince charmant ! Mes doigts s'arrêtèrent alors pour profiter de ce contact exquis. Il me retira doucement la main et me remplaça, faisant pénétrer deux doigts dans ma chatte.



Il faillit me donner un orgasme, rien que comme ça. Mais je l'arrêtai avant qu'il ne soit trop tard. Je me levai et le fis s'allonger sur le transat. Sa queue était dressée fièrement vers le ciel. Impossible de résister. Je me mis à genou entre ses jambes écartées et je gobai son membre turgescent.



J'étais à quatre pattes en train de sucer Pascal en y mettant tout mon coeur. Et j'entendis Guy qui commentait derrière moi : "Si ma queue n'était pas entre tes mains, Malaurie, je sais où elle serait en ce moment". Je compris qu'il admirait mon postérieur et probablement ma moule qui devait se révélée, puisque j'étais assez cambrée.



J'entendis Malaurie lui répondre : "Oui mais pour le moment, c'est moi qui m'occupe de ta queue et je ne compte pas la lâcher de si tôt !" Cet état de fait ne semblait pas gêner beaucoup Guy et il se pencha sur sa branleuse pour l'embrasser à pleine bouche.



Alors que je le pompais allégrement, Pascal me demanda de venir me mettre en soixante-neuf. C'était effectivement une bonne idée. Je suis donc venue me mettre tête-bêche sur lui, reprenant sa bite en bouche, alors que je sentais déjà sa langue me travailler la moule avec dextérité.



Je crus à nouveau qu'il allait me faire jouir. Le bougre, lui, semblait tenir bon. Et c'était tant mieux car je n'avais pas vraiment envie que ça s'arrête trop tôt. Je me relevais et, lui faisant face, je me rassis sur lui, m'empalant sur son grand mât palpitant.



Alors que je le chevauchais, Malaurie m'interpella :
- Elle te plaît ma surprise ?
- C'est toi qui a organisé ce piège ?
- Avec Guy oui. Il a demandé à Pascal qui s'est gentiment porté volontaire.
Je me tournai vers Pascal qui me souriait :
- Quel sacrifice ! Quel don de soi ! J'espère que tu ne regrettes pas...
- Pas un seul instant !



Pascal me souleva pour m'extraire de ma position, pourtant bien confortable. Il me demanda de me mettre à quatre pattes. J'eus peur qu'il ne veuille me sodomiser, mais quand je sentis sa queue contre ma chatte béante, je fus rassurée. D'une traite, il s'y enfonça jusqu'à la garde. Je pouvais sentir ses couilles contre moi.



Cette position me convenait encore mieux que la précédente. Je le sentais me pistonner, son sexe parfaitement ajusté au mieux. En un rien de temps, l'orgasme arriva et ne s'arrêta pas tant qu'il continuait à me prendre ainsi.
Malaurie qui commençait à se lasser de masturber Guy (qui, semblait-il, passait beaucoup de temps à admirer nos ébats à Pascal et moi) lui proposa de nous imiter. Elle sortit de l'eau aussitôt et se mit à quatre pattes, tendant son cul vers lui.



En sortant de la piscine à son tour, Guy passa près de nous. Il s'arrêta pour me caresser un sein. Je crus qu'il allait abandonner Malaurie et me fourrer son sexe dans la bouche, mais il n'en fit rien, se contentant de jouer avec mes tétons. Malaurie l'appela. Voyant qu'elle s'introduisait déjà deux doigts dans la chatte, il ne voulu pas la faire trop attendre et la rejoignit.



Aussitôt Guy arrivé, Malaurie retira ses doigts pour lui céder la place. Elle n'eut pas besoin de la guider, il trouva le chemin tout seul, enfonçant aussi loin que possible sa longue tige. Malaurie me regarda. Nous nous faisions défoncer en même temps et de la même manière par nos deux amants.



Guy s'en donnait à coeur joie et ne ménageait pas sa peine. Il la prenait en levrette aussi bien que me prenait Pascal. Malaurie jouit sous ses coups de buttoir en quelques minutes. J'étais très étonnée que les garçons, eux, réussissent à se retenir aussi longtemps.



Dès qu'elle fut remise de son orgasme, Malaurie se redressa et s'agenouilla devant lui. Elle pris son membre en bouche et le suça avec passion. Elle semblait décidée à en finir. Guy se laissa aller. Il ne résista pas et la laissa faire.



Au bout de quelques minutes, Guy ferma les yeux. Son corps se raidit. Alors que j'étais toujours prise en levrette par Pascal, je vis Malaurie sortir le sexe de sa bouche et Guy s'en saisir pour l'astiquer vigoureusement jusqu'à ce qu'il se mette à cracher son jus. Le sperme coula en jet saccadé, lui inondant le visage et la poitrine.



Guy tenta ce qu'il put pour lui en mettre le maximum dans la bouche. Malaurie garda la bouche ouverte, sans avaler, mais devant la profusion de sperme, une partie du précieux liquide s'échappa et lui dégoulina dans le cou.



Pascal n'avait pas lâché des yeux Guy et Malaurie pendant la fin de leurs ébats et me demanda si j'acceptais de lui administrer le même traitement. Vu que j'en avais autant envie que lui, ce ne me fut pas difficile d'accepter. Je m'accroupis donc devant lui et me saisis du membre turgescent.



Je le pompais allégrement, y mettant tout mon coeur pour prouver que je pouvais aussi bien faire que Malaurie. Je sentis que sa queue palpitante atteignait sa tension maximale et je sus qu'il allait bientôt m'envoyer sa purée. Je le sortis donc de ma bouche et laissai son gland sur ma langue tendue.



Il éjacula dans ma bouche, m'envoyant un flot de sperme incessant que je tentais d'avaler au fur et à mesure mais sans succès, laissant échapper quelques giclées qui s'écrasèrent sur ma joue et mon menton.



Quand il eut terminé de se répandre dans ma bouche, je le repris pour le sucer et finir de le nettoyer avec ma langue, comme s'il s'agissait d'une glace. Je m'affalai ensuite par terre. Je vis Malaurie se pencher sur moi et lécher le sperme qui avait coulé dans mon cou. Puis elle m'embrassa à pleine bouche. Je lui rendis son baisé et nous partageâmes ainsi les spermes de nos deux amants.



Malaurie avait réussi à me piéger à mon tour. Comme je l'avais piégée lors de notre premier contact avec Guy, elle avait réussi à bien se venger. J'avouai que la surprise était totale et que j'en avais pleinement profité. Mais je ne comptais pas en rester là...

Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 6)

Le dimanche de la semaine suivante, Guy nous proposa une balade en forêt. Avec Malaurie, on n'avait pas hésité une seule seconde. Nous y voyions l'une comme l'autre une nouvelle opportunité de profiter de la bite de Guy. Nous nous habillâmes donc très légèrement, passant chacune une petite robe légère à même la peau, c'est-à-dire sans rien dessous. Ma robe avait un large décolleté qui dévoilait une bonne partie de mon opulente poitrine.



Dans la voiture ce détail n'échappa bien sûr pas à Guy qui matait régulièrement dans le rétro en direction de mes nibards. Malaurie n'était pas en reste car sa robe était boutonnée sur le devant, ou plutôt, devrais-je dire, déboutonnée. Tous les boutons jusque sous le niveau de ses seins avaient sauté, formant un large décolleté sur le sillon profond de sa poitrine.



Une fois arrivée en forêt, Guy dit à Malaurie :
- Les filles, vous êtes terriblement sexy aujourd'hui...
- Avec Lisa, on a décidé que tu allais bander tout l'après-midi.
A ces mots, Malaurie fit glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Celle-ci commença à tomber et libéra mes seins gonflés.



Aussitôt après, Malaurie plongea sur la braguette de Guy et lui sortit sa queue. Il ne bandait pas encore et cela sembla la décevoir.
J'étais, là en pleine nature, les seins à l'air, et Guy avait sa queue sortie de sa braguette, mais ni l'un ni l'autre ne bougions. Cela sembla satisfaire Malaurie qui fit jaillir ses seins de sa robe et remonta celle-ci pour dévoiler son sexe nu.



Guy souriait, alors que sa queue gonflait peu à peu. Je décidai de ne pas rester inactive et je retirai complètement ma robe, apparaissant totalement nue, sans même me soucier qu'il puisse y avoir des promeneurs dans les environs. Guy m'observait avec avidité et son sexe était désormais dressé horizontalement.



Malaurie ne tarda pas à m'imiter et retira elle aussi sa petite robe se dévoilant complètement nue, sans aucune pudeur. Guy, toujours statufié, nous regardait l'une après l'autre sans rien dire, avec un simple sourire de contentement. Sa bite était désormais dressée verticalement hors de son pantalon.



Voulant l'exciter au maximum, je me retournai et me penchai en avant pour lui présenter mon cul et dévoiler par la même occasion ma moule qui commençait à s'humidifier par l'excitation. Je vis que Guy hésita à prendre sa queue à la main et à se branler, mais il n'en fit rien se limitant à observer.



Voyant ma position, Malaurie prit ça pour un concours :
- Dis donc salope ! Tu crois que j'ai pas compris que tu voulais me le baiser.
- Ma chérie, je lui montre juste à quel point je suis excitée.
- Et bien tu n'as qu'à te toucher si tu es si excitée !



Je ne me fis pas prier, car j'en avait réellement très envie. Aussitôt, sans me soucier de la jalousie de Malaurie, une main s'activa sur ma moule et mon clitoris pendant que l'autre massait mes seins et titillait mes tétons. Ceci eut pour effet d'exciter encore plus Guy qui ne me lâcha alors pas des yeux.



Malaurie semblait s'agacer et je préférai m'arrêter et la rejoindre pour qu'elle ne voit pas là une tentative d'attirer l'attention plus qu'elle.
- Ma chérie, nous ne sommes en compétition, c'est juste que je suis hyper excitée de me retrouver ici à poil avec toi et Guy.
- Mouais...
- Et puis il pourra très bien nous prendre toutes les deux s'il le désire.



- Sauf que tu oublies qu'il n'a qu'une bite et que nous sommes deux !
- Ce n'est pas un problème !
- Bien sûr que si, l'une d'entre nous devra forcément attendre.
Je ne savais pas trop si c'était du cinéma de la part de Malaurie ou si elle était réellement jalouse.



Je tentai de la rassurer :
- Peut-être mais nous pouvons aussi nous donner du plaisir toutes les deux ?
Pour illustrer mes dires, je me mis à genoux devant elle et commençai à lui lécher les lèvres de la chatte.



Un instant, je la sentis se détendre et s'abandonner à la minette que je lui administrais. Mais l'instant suivant, elle me repoussa en disant :
- Je ne suis pas lesbienne. Je ne baise avec toi que quand je n'ai pas de mec sous la main. Mais là, je ne veux pas qu'on se partage Guy !
- Et tu ne penses pas qu'il a son mot à dire ?
- Bien sûr que si !
Elle se mit à quatre pattes devant lui et s'écarta les lèvres en lui disant :
- Viens me prendre, bel étalon !



Là je sus qu'elle jouait la comédie : elle en faisait beaucoup trop. Mais Guy ne savait pas trop comment réagir. Mais avait qu'il est eu le temps de prendre une décision, Malaurie glissa en avant et tomba dans une flaque boueuse. Des éclaboussures brunes lui maculaient le corps à divers endroits. Guy et moi riions de bon coeur mais Malaurie prit un air fâché.



Elle se redressa, vexée et salie de terre humide.
- C'est pas drôle... je suis toute sale. Forcément maintenant, tu vas plus vouloir de moi Guy...
- Dis pas de bêtise, tu vas te nettoyer un peu et tu seras tout à faut baisable. Lisa, tu n'as pas une bouteille d'eau dans ton sac ?
- si effectivement...



Je pris mon sac et en sortis une bouteille d'eau que j'apportai à Malaurie. Elle la déboucha et commença à se verser quelques gouttes aux endroits souillés. Peu à peu, la terre disparut et elle luisait de l'eau dont elle s'était couverte. Ce spectacle de douche ouverte en pleine nature avait capté toute l'attention de Guy et il bandait toujours très fort.



Je me tournai vers lui, admirant sa belle queue dressée.
- Je crois qu'on est tous prêts...
- Prêts à quoi ? demanda-t-il innocemment.
- A s'occuper de ton problème. Dans ton état actuel tu ne pourras pas remettre ta bite dans ton pantalon. Si quelqu'un arrivait, cela serait très gênant pour toi... Il faut résoudre ça au plus vite avant que quelqu'un n'arrive.



Malaurie se rapprocha :
- Moi aussi, j'ai problème : j'ai le feu au cul et si personne ne me l'éteint, je risque de me livrer à la première personne que je rencontrerai, même si c'est un petit vieux moche et grassouillet.
- Un petit vieux te contentera difficilement... lui répondis-je ironiquement.
- Dans ce cas je me branlerais.
- Le problème ne se pose pas, puisque nous avons Guy.



Malaurie nous rejoignit et nous fîmes assoire notre victime en lui baissant son pantalon. La main de Malaurie et la mienne se retrouvèrent sur la hampe turgescente. Elle recommença son cinéma :
- Laisse-la moi !
- Il y a bien la place pour deux mains quand même ?



Malaurie, vexée, faisant mine d'être vexée, se redressa :
- Bon puisque c'est ça, j'attendrai mon tour. Prenez votre temps, je ne suis pas pressée.
Et elle resta à quelques mètres de nous à nous observer. Je continuais à masturber Guy, qui regardait Malaurie sans trop comprendre à quoi elle jouait.



(à suivre)

Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 7)

Je savais bien que Malaurie n'était pas jalouse mais je ne comprenais pas vraiment où elle voulait en venir. Pourquoi ne pas vouloir participer ? C'est vrai qu'elle avait fait la fête jusque très tard dans la nuit et elle était particulièrement fatiguée, mais ce n'est généralement pas ce qui pouvait lui faire refuser une petite partie de jambes en l'air.
Toujours est-il qu'elle restait à côté à nous regarder. Je n'avais pas envie de perdre du temps à essayer de la raisonner et je décidai d'attaquer sans attendre. Je me levai, tournant le dos à Guy et lui présentant mon cul pour qu'il n'ait aucun doute sur mes intentions.



Guy me rejoignit, la queue dressée. Cela semblait ne plus du tout amuser Malaurie. Elle nous regardait, le regard presque vide, sans être triste, mais sans motivation. Elle semblait ne plus être excitée comme cinq minutes auparavant. Elle s'éloigna un peu du chemin et s'assit par terre.



Guy ne s'en formalisa pas et il appuya sa longue tige contre ma moule. Il la laissa quelques instants, posée contre mes lèvres trempées. Il s'amusa à y faire glisser son gland comme pour étaler ma mouille. Cela m'excita follement et je lui demandai de ne pas me faire trop attendre. Aussi il se positionna et fit une légère pression pour me pénétrer.



Il ne me pénétra pas d'une traite. Il fit d'abord entrer lentement son gland, me laissant le temps d'apprécier cette intrusion progressive, puis il continua, lentement, à faire avancer sa tige raide en moi. Le fait de le faire aussi lentement me fit prendre conscience de la longueur de sa bite. Je la sentais palpiter en moi, cette sensation était délicieuse.
De son côté, Malaurie ne nous regardait même plus. Elle s'allongea, faisant mine de s'endormir, comme désintéressée.



Je l'appelais :
- Malaurie, tu te prives d'un sacré spectacle. Guy me baise royalement. C'est un vrai étalon !
- Ce n'est pas une nouveauté... répondit-elle sans nous regarder.
- Tu es fatiguée ?
- Un peu, oui...
Malaurie n'en dit pas plus. De mon côté, je profitais de la tige qui entrait et sortait de ma moule toujours avec la même lenteur. C'était extraordinaire.



Alors que Guy conservait ce rythme léger, je commençai à remuer du cul et à contracter l'intérieur de mes cuisses pour opérer un massage de sa queue avec mes parties intimes. Cela sembla faire effet et il commença à accélérer le rythme.
J'appelais à nouveau Malaurie :
- Ma chérie, quand se sera ton tour, tu vas prendre un pied terrible : Guy est dans une super forme.
- C'est ça, en attendant, laisse-moi dormir. Réveillez-moi quand vous aurez fini...



Guy me baisa formidablement bien. Son rythme s'était accéléré et s'était un plaisir infini que de le sentir aller et venir en moi, surtout dans cette position. Il me fallut peu de temps pour sentir l'orgasme monter. Je ne fis rien pour le retarder et le laissai venir. Tout mon corps fut parcouru de frisson, comme si mon cerveau était soudainement au ralenti, mes pensées interrompues, ma vie restreinte au seul plaisir que je prenais en cet instant. Je ne sais pas combien de temps j'ai joui, mais je me suis entendue crier sans retenue pendant assez longtemps. Une fois remise, je me rendis compte que Guy n'avait toujours pas joui. Je me mis à genou devant lui et lui offris ma bouche.



Il ne devait pas être très loin de jouir lui aussi car quelques minutes à peine après avoir commencé ma fellation. Je le sentis se tendre. Sa queue palpitait comme si elle avait son propre coeur et je ressentis l'ultime gonflement de la chair quelques secondes avant de recevoir dans ma bouche le premier jet de sperme. Sa crème était tiède et épaisse. J'adorais ce parfum très mâle. Il continua à jouir abondamment dans ma bouche, inondant également ma bouche et mon menton.



Une fois que son sexe se calma un peu, j'entrepris de le nettoyer en lui aspirant le gland et en léchant méticuleusement chaque partie de sa hampe. Je voulais également être sûre qu'il serait toujours opérationnel pour Malaurie et qu'il n'allait pas débander. Jetant un coup d'oeil vers ma colocataire, je vis qu'elle dormait pour de bon. Même mes cris ne l'avaient pas réveillée.



En revanche mes cris avaient dû être entendus par d'autres car on entendit des voix au loin, mais qui semblaient se rapprocher. Guy attrapa ses affaires et s'avança vers Malaurie pour la réveiller. Je le pris par le bras et l'arrêtai :
- Attends, laisse-là.
- Tu plaisantes ?
- Non, je voudrais bien voir comment elle va se débrouiller...
- Mais si ces types l'agressent ?
- On reste à côté et on observe...
Je le pris par le bras et le poussait derrière les buissons. Je pris la robe de Malaurie et rejoignis Guy, jetant un dernier regard à la pauvre Malaurie qui dormait toujours.



Cachés dans les buissons, on voyait parfaitement Malaurie. Guy n'avait pas eu le temps de remettre se fringue et je vis qu'il avait complètement débandé. Moi-même, je n'avais pas remis ma robe et restais nue à côté de lui. Les voix se rapprochèrent. Trois chasseurs apparurent et s'avancèrent vers Malaurie.
- Putain, j'y crois pas ! Vous croyez que c'est cette salope qu'on a entendue ?
- On aurait plutôt dit une nana qui se faisait mettre...
- A moins qu'elle se soit tripotée toute seule...
- Eh bien ! J'aurais jamais cru voir ça un jour !
- Moi non plus, en plus elle est hyper bien gaulée.
- Elle dort ?
Elle avait gardé les cuisses légèrement écartées. L'un d'eux lui mit la crosse de son fusil contre la moule. Elle se réveilla doucement. Se leva sans montrer aucune pudeur et s'étira même généreusement, faisant saillir ses seins, comme si sa nudité était tout à fait naturelle.



Elle regarda alentour, nous cherchant, Guy et moi. Puis elle scruta le sol, se demandant manifestement où était sa robe.
- Qu'est-ce que vous foutez dans cette tenue ?
- On m'a piqué mes fringues,
- Qui ça ?
- Une salope qui m'a aussi piqué mon mec.



Un des gars devait avoir la cinquantaine, l'autre semblait un peu plus jeune et le dernier devait avoir à peine plus de vingt ans.
Malaurie constata très vite qu'ils bandaient tous les trois :
- Eh bien, ça à l'air de vous exciter un peu...
- C'est qu't'as l'air d'être bien chaude, ma cocotte !
- Vous voulez passer un peu de bon temps ?
En disant cela elle s'était penchée en avant en leur montrant ses fesses et sa moule gonflée.



Les mecs prirent cela pour un signal (et c'en était effectivement un). En même temps, ils retirèrent leurs frocs et commencèrent à se masturber. Cela semblait surréaliste d'être ainsi à poil à côté de mon voisin, lui aussi tout nu, à regarder trois chasseurs qui se branlaient en regardant ma colocataire qui s'exhibait sans aucune retenue. Un type s'approcha d'elle, l'empoigna et la poussa vers ses deux compagnons.



L'un d'eux était déjà assis. Malaurie fut attrapée par les deux autres qui, sans aucun ménagement, l'empalèrent sur le membre raidi de leur compagnon, en lui tournant le dos. Malaurie se laissa tomber sur la tige raide jusqu'à la garde. Le type la fit basculer en arrière sur lui pour lui attraper les seins à pleines mains. Malaurie se laissait faire malgré la brutalité de l'action.



Elle commença à monter et descendre sur la hampe qu'elle sentait continuer de grossir en elle pendant que les deux autres continuaient de s'astiquer en admirant la scène. L'un d'eux s'approcha, la souleva et lui fit changer de trou : libérant sa chatte, il plaça l'anus de Malaurie sur l'énorme gland du type en dessous, puis appuya sur ses épaules pour la faire descendre dessus. Elle cria au moment où le gland la pénétra, mais dès qu'il fut passé, elle sembla se détendre et apprécier pleinement cette fantastique tige dans son cul. Le jeune homme qui avait procédé au changement profita que le sexe de Malaurie, encore béant, était libre pour s'y engouffrer. Le troisième vint lui fourrer son sexe dans la bouche.



Ainsi prise par tous les orifices, Malaurie ne semblait pas se plaindre, bien au contraire : elle avait l'air déchaîné. Rapidement, le gars qu'elle suçait jouit dans sa bouche. Elle avala le tout rapidement. Les deux autres décidèrent de se redresser et continuèrent la double pénétration debout. Prise ainsi, Malaurie eut un orgasme violent et hurla son plaisir. Les deux types la besognèrent avec encore plus d'ardeur, stimulés par ses cris, jusqu'à se répandre dans ses entrailles.



Me tournant vers Guy, à quatre pattes à côté de moi, je vis qu'il bandait à nouveau. De voir Malaurie se faire défoncer ainsi par des inconnus en pleine forêt semblait l'avoir bien excité. Moi-même, je ressentais des picotements me chatouiller à nouveau le sexe. J'avais bien envie de remettre ça, mais il nous fallait rester discret. Je repoussai Guy pour qu'il se mette sur le dos à côté de moi.



Je vins me placer entre ses cuisses et j'admirai ce pieux qui m'avait pénétré une heure auparavant, ce sexe encore luisant de ma mouille que j'avais aussi accueilli dans ma bouche et qui avait craché son foutre entre mes lèvres. Sans bruit, j'attrapai ce membre dur comme du bois et chaud comme la braise et le portai à mes lèvres.



Ma langue virevolta autour du gland, mes lèvres glissant autour de la hampe. Je le sentais comme s'il était vivant dans ma bouche. Pas très à l'aise allongé sur le dos, Guy se releva et me fit mettre à genou devant lui. Je repris sans attendre ma fellation, jouant avec son sexe comme s'il s'agissait d'une glace. Comme la première fois, je le sentis se tendre au moment de jouir. Il éjacula rapidement et, cette fois-ci, je gardai les lèvres serrées autour de son gland pour essayer de garder tout le sperme dans ma bouche.



Il se vida entièrement dans ma bouche, jusqu'à la dernière goutte, se mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper un râle de plaisir qui aurait pu nous trahir. Une fois qu'il eut fini, je le sentis se détendre et son sexe commença à perdre de sa vigueur. Je me relevai et, en le regardant droit dans les yeux, j'entrouvris ma bouche et laissai échapper le sperme qui se répandit sur mon menton, dans mon cou et sur ma poitrine. Ce spectacle sembla le refaire bander à nouveau.



Quand nous reportâmes notre attention sur Malaurie, les trois chasseurs étaient repartis, l'abandonnant comme un simple objet dont on ne veut plus. Elle était à quatre pattes par terre, les cuisses écartées. Nous nous approchâmes. Elle tourna la tête vers nous et dit à Guy :
- Tu as vu comment ils m'ont fourrée ?
- Oui, tu as été formidable !
- ils m'ont vraiment traité comme une pute...
Du sperme s'échappait encore de son anus et de sa chatte, s'écoulant le long de ses cuisses.



- Tu ne les en as pas empêché un seul instant.
- Non, car je crois que j'adore qu'on me traite comme ça.
- Ah oui ? Et bien je vais réfléchir à ce que je peux faire pour toi...
Antoine s'amusait de la voir ainsi. Toujours un peu excitée et me sentant aussi un peu responsable de ce qui était arrivé à Malaurie, je vins m'accroupir derrière elle, et méticuleusement, je lui nettoyai tout le sperme qu'elle avait sur les cuisses, remontant jusqu'à ses lèvres rougies par la pénétration et jusqu'à son anus encore dilaté.



Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 8)

La colocation avec Malaurie était un vrai plaisir. Nous nous amusions beaucoup avec nos mecs. Nous n'avions pour ainsi dire pas de mec attitré, car nous nous les échangions sans état d'âme (et ces obsédés n'en étaient pas dérangés, bien au contraire). Guy, notre voisin, était bien sûr le plus souvent présent et, dès qu'il avait un moment de libre, il venait le passer en notre compagnie. Il savait que, nymphomanes que nous étions l'une comme l'autre, Malaurie et moi nous occuperions toujours de lui à chaque fois qu'il le voudrait. Nous étions ce qu'on appelle aujourd'hui des "fuck-friends".
Un jour où Malaurie était en cours, Guy était passé à l'appartement. Je l'accueillis habillée, pour une fois, avec un jean et un petit débardeur dont le décolleté révélait mes seins libres de tout soutien-gorge. Dois-je préciser d'ailleurs que je ne portais rien non plus sous mon jean ?



Après avoir échangé les nouvelles du jour, nous nous embrassâmes fougueusement et je lui massai l'entrejambe où son membre devint bien vite opérationnel. Il me retira mon jean et mon débardeur, m'appuya au mur et me faisant me cambrer, se mit à genou derrière moi pour me lécher la rondelle. Il savait que j'adorais ça le bougre ! Quand il me sentit bien excitée, il sortit enfin son sexe dressé et me l'enfila tout doucement.



Comme d'habitude, je prenais mon pied. Soudain, la porte s'ouvrit en grand sur Malaurie qui rentrait.
- Merde ! T'es vraiment une salope, t'aurais pu m'attendre !
- Désolée... je ne savais pas... quand tu rentrerais...
Guy me besognait comme si l'arrivée de ma colocataire ne changeait rien. Avant que Malaurie ne ferme la porte, deux jeunes garçons descendaient dans la cage d'escalier et restèrent médusés en me voyant me faire prendre par guy. Malaurie referma la porte et entreprit aussitôt de se mettre à l'aise. Elle fit glisser sa culotte de sous sa robe.



Je fus surprise qu'elle en ait mise une...
- Tu mets des sous-vêtements maintenant ???
- Cas de force majeure : j'avais un exposé à présenter et je ne suis pas sûre que la prof aurait été très sensible à ma foufounette...
Elle retira ensuite sa robe et s'approcha. Guy continuait à me prendre tranquillement. Il semblait bien aimer cette position. Malaurie s'agenouilla derrière lui et lui caressa les fesses. Guy accéléra le rythme. Soudain, Malaurie lui inséra un doigt dans le cul. Je sentis sa bite se tendre en moi. Il était sur le point de jouir et Malaurie le sentit. Elle le tira en arrière pour l'obliger à sortir et le fit tourner pour lui gober la bite. Après seulement quelques pompages en règle, Guy sortit sa queue et, se plaçant au-dessus de sa bouche grande ouverte, éjacula abondamment sur sa langue.



Quand il eut terminé, Malaurie se releva et vint m'embrasser pour me faire partager sa crème. Guy commença à se branler à nouveau en nous voyant faire. Une fois que nous eûmes avalé tout son jus, Malaurie me fit mettre à genou et me demanda de finir de nettoyer la queue de Guy. Je trouvais ses méthodes assez peu respectueuse à mon égard, mais de toute façon, je n'aurais pas laissé Guy repartir comme ça.
Une fois sa bite bien nettoyée, Guy se rhabilla, nous remercia et prit congé. Je me tournais vers Malaurie :
- Tu t'emmerdes pas, quand même ! Tu débarques alors qu'il me fait l'amour et tu le fais jouir dans ta bouche avant même qu'il m'ait fait jouir ?
- Tu avais qu'à te dépêcher ! Et puis vous m'auriez attendue...
- Mais on ne savait même pas quand tu reviendrais !
- De toute façon, moi non plus je n'ai pas joui...
- Ça se payera...

Dès le lendemain, quand je rentrai à l'appartement après avoir été fait quelques courses de vêtements, je surpris Malaurie en train de se faire défoncer sur le canapé par un type que je n'avais encore jamais vu. Il s'arrêta net en me voyant entrer.



Malaurie rigola en voyant ma tête et celle de son partenaire :
- Bonjour Lisa. Fais pas cette tête, ma belle : voici Willy, un collègue de fac.
- Bonjour Willy. Ne te dérange pas pour moi, continue ce que tu faisais...
- Tu viens nous embrasser ?
Je crois qu'elle voulait simplement me mettre mal à l'aise ou peut-être exciter Willy en nous voyant nous rouler une pelle. Je m'approchai donc et posai mes lèvres sur celle de Malaurie. Notre baiser dura un certain temps et Willy ne bougea pas d'un pouce pendant que nos langues s'enroulaient l'une autour de l'autre. Quand je me redressai, Malaurie me dit de dire aussi bonjour à Willy, espérant que je lui roule une pelle aussi. J'eus alors l'idée de me venger de la veille. Je fis se redresser Willy, l'obligeant à sortir sa longue queue de la chatte de Malaurie. Sa tige se redressa, bien raide. J'avais décidé que ce ne serait pas sa bouche que j'allais embrasser mais son gland. Je me penchai donc sur la hampe de chaire palpitante.



Je le pris entre mes lèvres et fis virevolter ma langue autour. Cela lui arracha un râle de plaisir. Je me reculai et replaçai sa tige entre les cuisses de Malaurie. Il reprit aussitôt son ramonage, sans me quitter des yeux. J'étais très excitée et je décidai de quitter ma robe. Voyant que je portais des dessous, Malaurie me dit :
- C'était bien la peine de s'étonner que j'ai mis une culotte hier si toi tu en mets aujourd'hui... Tu es allée à la messe ?
- Non, pour une fois, j'ai fait une boutique de lingerie et j'ai trouvé ça pour presque rien.
- C'est vrai que c'est mignon. Mais vire-la, c'est pas l'ambiance...
Willy me regardait toujours. J'entrepris de quitter également mes sous-vêtements en me caressant généreusement.



Willy n'en perdait pas une miette et semblait me trouver à son goût. Bien qu'il était en train de fourrer Malaurie sans retenue, ses yeux m'étaient entièrement dédiés. Je m'allongeai dans le fauteuil face à eux et, écartant largement les cuisses, je me mis aussitôt un doigt dans la moule pour me masturber. Malaurie semblant ne pas vraiment apprécier que je lui vole le mec qui était en train de lui faire l'amour, mais ça ne m'empêchait pas de prendre du plaisir sous mes propres caresses.



Je sentais l'orgasme monter, excitée par cette situation où j'avais l'impression d'être baisée par un mec qui était en train de baiser une autre fille tout en me regardant. Malaurie n'avait même plus l'air de participer. Je me concentrai pour ne pas jouir tout de suite et lançai un appel :
- Willy, je vais jouir, je vais jouir ! Viens m'arroser de ton foutre !
Malaurie en resta bouche bée. Willy se retira et vint à moi en se masturbant à deux mains (sa queue était très très longue). Il vint se placer au-dessus de ma poitrine alors que je continuais à me caresser le clitoris et la moule.



A sa respiration, je savais qu'il n'en avait plus pour longtemps. Et effectivement, il se mit à pousser des râles très masculins quelques secondes avant de m'envoyer les premières rasades de sperme. Son sperme, chaud et très liquide, arriva par saccade et m'inonda le cou, la poitrine et le ventre. J'eus mon orgasme juste quand il eut terminé de se répandre sur moi. Je criais de plaisir, et j'étais incapable de me contôler, laissant mon corps avoir des secousses qui me faisaient me cambrer.



Dès que je pus reprendre mes esprits, je constatai que Malaurie se consolait en nettoyant proprement la bite de Willy avec de savants petits coups de langues. Quand elle se releva, elle me fusilla du regard. Willy nous quitta, visiblement totalement comblé, mais dès que Malaurie eut refermé la porte, elle se tourna vers moi :
- Espèce de salope !
- La vengeance est un plat que je mange chaud, ma chère...
- J'en reviens pas que tu aies fait ça !!!
- A vrai dire moi non plus...
- T'es au moins aussi salope que moi !
- Je te remercie...
Et nous partîmes d'un fou rire qui nous tînt près de dix minutes sans relâche.

Le lendemain soir, je rentrais assez rassurée de mes cours, n'ayant invité aucun mec de peur de devoir subir une nouvelle vengeance de Malaurie. Je pensais la retrouver à poil dans le salon, comme à son habitude, et lui faire l'honneur de lui fourrer ma langue dans sa moule avant de lui raconter ma journée.



Ma surprise fut de taille. Malaurie n'était pas dans le salon, mais s'y trouvaient quatre garçons, dont notre cher Willy qui me souhaita le bonsoir, le sourire jusqu'aux oreilles. Le plus inattendu n'était pas la présence des garçons, mais plus le fait qu'ils avaient tous la bite sortie du pantalon et qu'ils affichaient d'incroyables érections. Malaurie apparut à la porte de la chambre avec un chemiser blanc déboutonné, qu'elle tenait fermé sur ses gros lolos.



Elle me dit :
- Bonsoir. Nous t'attendions.
- Nous ?
- Excuse-moi : Willy est passé nous voir pour nous présenter ses trois meilleurs amis. Ils avaient tous envie de nous connaître toutes les deux. A peine arrivés, ils bandaient déjà tous, mais il m'a fallu entretenir ces belles queues en t'attendant.
- Comment ça ?
- Je suce ces magnifiques tiges à tour de rôle depuis maintenant près de trois quart d'heure...
- Waouh ! Tu es formidable !
- Et aucun n'a encore éjaculé !
Elle relâcha les pans de sa chemise ouverte, laissant ses seins déborder.



- Mais je t'en prie, ma chérie, mets-toi à l'aise. Tu ne vas pas risquer de tâcher cette belle robe...
Effectivement, si cela terminait en déluge de sperme comme je l'espérais, il valait mieux ne pas garder de vêtement. J'entrepris donc de retirer ma petite robe, mais en profitai pour en faire un petit strip-tease, en me déhanchant et en me cambrant sensuellement.



A peine ma robe tombée au sol, les garçons se levèrent tous pour me rejoindre. Leurs huit mains se mirent à courir partout sur mon corps et se concentrèrent essentiellement sur mes seins, mon ventre, mes fesses, mes cuisses et bien sûr mon sexe. J'hésitai à me mettre à genou pour les sucer tout de suite, mais le décidai de faire durer le plaisir. A force de passage contre et dans mon sexe, leurs doigts devenaient trempés par ma mouille. Je pensais que j'allais jouir comme ça, sans même avoir touché une queue, mais Malaurie me gâcha mon plaisir.
- Dis donc, Lisa ! Tu vas peut-être m'en prêter deux et te mettre un peu à l'ouvrage...
Deux des gars rejoignirent Malaurie et commencèrent à peloter ses deux gros nichons alors qu'elle avait déjà attrapé une bite dans chaque main. Je décidai de l'imiter et me mis à genou entre les deux gars qui étaient restés. Leurs bites avaient des proportions vraiment impressionnantes.



Alors que je les suçais avec application, je voyais Malaurie qui s'en donnait elle aussi à coeur joie. Elle s'était penchée sur la bite du premier et semblait le déguster comme s'il s'agissait d'un met délicat. Le type avait les yeux fermés, appréciant la fellation qui semblait être faite de manière professionnelle. L'autre attendait son tour à côté faisant aller et venir sa main le long de sa hampe pour entretenir la parfaite rigidité de son membre.



Malaurie alterna ainsi, passant d'une bite à l'autre, et je procédais de même avec mes deux amants. Il semble qu'elle fut plus douée que moi car elle mena ses deux amants au bord de l'éjaculation avant moi. En même temps, je les vis se masturber frénétiquement au-dessus de la bouche grande ouverte de Malaurie. Mais leur sperme se répandit un peu partout sur le joli visage de ma colocataire sans toujours atteindre parfaitement sa bouche.



Une fois que les deux types eurent fini de jouir sur elle, elle attrapa leurs pines et les suça jusqu'à ce qu'elles soient bien propres. Elle se redressa, les seins à l'air, couverte de sperme. Elle pouvait à peine ouvrir les yeux, car du sperme lui coulait sur les paupières. Ses seins eux aussi étaient maculés par la délicieuse semence.



De la voir ainsi me remotiva et sembla pousser à bout mes deux amants. Je sentis leurs bites se raidir et je les pris en main pour les masturber du mieux que je pouvais afin de les faire éjaculer rapidement. Ils ne perdirent pas de temps et je reçus les premières giclées des deux bites en même temps, m'arrosant l'un le visage, l'autre la poitrine. Je continuai à les branler en tournant la tête de part et d'autre pour tenter d'en recevoir le maximum dans ma bouche. Quand enfin les dernières gouttes me coulèrent sur les poignets, je les lâchai et les repris en bouche pour les nettoyer l'un après l'autre.



Malaurie me rejoignit et me fit asseoir. Elle se mit à côté de moi et commença à lécher le sperme sur mes seins, remontant ensuite à mon visage. Quand elle s'approcha de ma bouche, nous échangeâmes un long baiser dans lequel nous goûtâmes le jus de mélangé de tous nos amants. Puis j'entrepris à mon tour de la nettoyer de se sperme gluant qu'elle avait surtout sur son visage. Une nouvelle fois, nos lèvres se trouvèrent pour partager le suave liquide.



Les quatre garçons nous regardaient, la queue toujours dressée. Cela nous fit rire de voir nos quatre mâles ainsi intimidés. Malaurie leur indiqua de remettre leurs vêtements et de s'en aller. A ma grande surprise, ils n'insistèrent pas, bien qu'il était évident qu'ils souhaitaient apprendre à nous connaître davantage... Ils se rhabillèrent et sortirent simplement, sans dire un mot. En leur ouvrant la porte, toujours nue, Malaurie leur dit :
- Messieurs, ça a été un plaisir. J'espère que nous aurons l'occasion de nous revoir.
- J'en suis certain, dit l'un d'eux.
Et effectivement, nous eûmes par la suite l'occasion de revoir Willy et ses trois camarades dont je ne connaissais même pas le nom.

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Malaurie et Lisa (épisode 9)

Cette nuit là, la chaleur du mois de mai m'avait conduite à dormir nue. Je l'avais fait sans trop de scrupule, Malaurie et moi ayant chacune notre chambre. Mais au matin, au réveil, j'eus une irrésistible envie de me toucher. Allongée sur le ventre, je fis passer mon bras droit sous mon ventre et, cambrant mes fesses, je laissais mes doigts s'agiter contre les lèvres de ma chatte déjà moite.



Je n'entendis pas Malaurie rentrer dans la chambre. Elle se tenait devant ma porte, bras croisés et me souriant, s'amusant de me voir me satisfaire. Il est vrai que nous baisions souvent avec des mecs (souvent les mêmes d'ailleurs), mais nous faisions rarement l'amour toutes les deux. Elle quitta sa nuisette et, ainsi nue, vint me rejoindre. Elle me demanda de me mettre à genou et commença à m'embrasser les fesses tandis que je continuais à me masturber.



Ses lèvres étaient très douces contre ma peau et je savais qu'elle allait bien s'occuper de moi. Je me concentrai sur l'action de mes doigts sur mon clitoris. Elle en profita pour se pencher et déposer un baiser sur les lèvres de ma chatte. Puis elle y ajouta un délicieux petit coup de langue qui m'envoya une décharge électrique. Elle dut sentir que j'appréciais car elle se mit à me sucer les lèvres comme s'il s'agissait d'une gourmandise. Elle s'arrêta soudain mais remplaça bien vite sa bouche par un doigt qu'elle enfonça profondément en moi.



Cette sensation était exquise et m'arracha un cri de plaisir. Pour la laisser pleinement conquérir mon intimité, je décidai d'abandonner mon clitoris et de profiter de ce doigt qui me fouillait. Elle l'entrait et le sortait lentement, s'amusant à le tourner, à le bouger à l'intérieur, comme pour me visiter dans les moindres détails. Je me cambrais au mieux pour accueillir ce doigt.



Malaurie semblait vouloir faire jouir rapidement. Elle sortit lentement son majeur, puis, tout aussi lentement, elle commença à insérer son majeur et son index. Ses deux doigts me ramonaient tranquillement. Elle savait y faire. En peu de temps, je sentis un orgasme m'envahir et me parcourir tout le corps, des pieds à la tête. Malaurie garda ses deux doigts fichés en moi, alors que je me remettais peu à peu.



J'avais décidé de lui montrer qu'elle n'était pas la seule à être habile de ses doigts. Je me levai et vins me mettre à genou devant elle. D'une main, j'attrapai les lèvres de sa moule pour les écarter et ainsi dégager son clitoris. Malaurie me regardait faire, avec un léger sourire et le regard trouble. J'approchai mon visage et commençai à lui taquiner le clitoris par de petits coups de langue.



Manifestement, elle adorait. Elle avait les yeux fermés et se mordait le bord de la lèvre inférieur, apparemment très concentrée sur son plaisir. Pas très à l'aise dans cette position, je lui proposai de s'alloner sur le bord du lit. Elle s'exécuta et écarta largement les jambes, me rappelant inutilement ce qu'elle attendait de moi. Me plaçant entre ses cuisses, je lui mis directement deux doigts dans la fente.



Elle n'en pouvait déjà plus, l'orgasme commençant à se concrétiser. Je ne m'arrêtais pourtant pas, faisant aller et venir mes deux doigts à un rythme régulier. Malaurie semblait se concentrer autant que possible pour ne pas jouir aussitôt. J'entrepris de faire en sorte qu'elle n'y arrive pas. Elle se tortilla un peu comme pour tenter de déloger les deux doigts étrangers qui la pénétraient. L'orgasme arriva, puissant. Elle se laissa envahir complètement. Son corps se tordit en tout sens et mes deux doigts furent contraints d'abandonner leurs chaudes investigations sous la violence des soubresauts. Mais je réussis toutefois à lui remettre mon majeur dans la chatte, inondée de mouille avant que son orgasme ne s'achève. Elle jouit de plus belle, comme si un nouvel orgasme venait se cumuler au premier.



Après quelques minutes affalées l'une à côté de l'autre sur mon lit, Malaurie se tourna vers moi :
- C'est bien les bites, mais faire ça entre nana, c'est génial aussi !
- Tu m'étonnes...
Encore essoufflée, je vins me placer tête-bêche sur Malaurie. Elle ne me repoussa pas et j'entamai donc avec elle un petit soixante-neuf destiné à montrer à quel point j'approuvais son propos. Elle se mit elle aussi rapidement à l'ouvrage et je sentis sa langue fouiner entre mes lèvres.



Nous eûmes notre second orgasme ensemble. Je la laissais se remettre et remarquai que la matinée était déjà assez avancée.
- On n'a rien fait de notre matinée...
- C'est de ta faute tu n'avais qu'à pas te toucher !
- Si tu n'étais pas venu ça n'aurait pas dégénéré...



- Heureusement que je suis venue alors !
- C'est clair. Et toi, ça t'arrive aussi de te toucher ?
- Oui, ça m'arrive... surtout si je n'ai pas baisé la veille.
- Et ça arrive souvent ?
Malaurie ne répondit pas elle se rendormait déjà...



Je restais un certain temps à l'observer dormir, une demi-heure peut-être. Alors que j'allais aller me préparer, elle sembla se réveiller. Elle avait repoussé les couvertures à ses pieds et, les yeux toujours fermés, je vis ses mains malaxer ses seins. Elle semblait toujours à demi endormie. Ses mains descendirent jusqu'à son ventre et, écartant légèrement les cuisses, je vis ses doigts se perdre sur son sexe.



Soudain, elle ouvrit les yeux et me regarda en se moquant de moi :
- La tronche que tu fais ! Tu croyais que je me branlais en dormant ?
- Un peu oui, et ça m'a d'ailleurs bien excité. tu faisais semblant ?
- Evidemment ! Après la partie qu'on vient d'avoir, je suis bien calmée. Je vais prendre une douche.
Elle me laissa seule dans ma chambre. Pour ma part, j'avais encore bien envie de ma toucher, mais j'étais aussi un peu exténuée par nos multiples galipettes. Je m'allongeais donc sur le lit en me disant que je me lèverais quand j'entendrais Malaurie sortir de sa douche. Je m'endormis sur le ventre, les cuisses écartées et le moule dégoulinante de cyprine.



Je me réveillai près d'une heure plus tard, réveillée par un bruit étrange : une respiration. Je m'attendais à voir Malaurie, mais il n'en était rien, c'était un des copains de Willy que j'avais déjà eu l'occasion de sucer. Il était assis et me mâtait le cul comme s'il s'agissait d'une oeuvre d'art. Mon premier réflexe fut de tenter de dissimuler ma nudité.



Puis, je me dis qu'il était peut-être là depuis une demi-heure et que me cacher maintenant serait ridicule. Je l'interrogeai :
- Tu es là depuis longtemps ?
- Depuis dix minutes. C'est Malaurie qui m'a dit de monter...
- Rappelle-moi ton nom ?
- Luc. On est passé vous dire bonjour avec Willy, Marco et Tad.



Je me mis assise sur le lit, ne cherchant pas à montrer la moindre pudeur.
- Et Malaurie t'a dit de monter me voir ?
- Oui, pour t'aider à t'habiller...
- Pour m'aider à m'habiller ?
- Oui...
Cela semblait beaucoup l'amuser.



- Bon... Et bien, passe-moi mes fringues alors !
- Où sont-elles ?
Effectivement, je ne voyais pas mes vêtements. Je le vis se lever pour faire le tour de la chambre. C'est à ce moment-là que je remarquais la formidable bosse qui déformait sont pantalon.
- Hey ! Tu bandes à mort ?
- ...c'est bien normal, non ?
- Approche...
Il s'approcha et vint s'asseoir sur le bord du lit à côté de moi.
- T'as vraiment des nichons incroyables !
- Caresse-les si tu veux...
Il ne se fit pas prier et se mit à me palper les seins avec enthousiasme.



Une voix se fit entendre en bas : "Tu as besoin d'aide, Luc ?" Luc répondit aussitôt par la négative. Je l'abandonnai pour me lever.
- Tu es sensé m'aider à m'habiller.
Ne voyant pas mes vêtements ni au pied du lit, ni à côté, je décidais d'en prendre de nouveaux dans l'armoire.



Mais à ma grande surprise, l'armoire était verrouillée. Fermée à clé et, bien sûr, pas de clé en vue.
- Cette salope m'a planqué mes fringues pour m'obliger à descendre à poil devant tout le monde.
Luc me souriait, manifestement ravi de cette situation.

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Malaurie et Lisa (épisode 10)

J'étais là, complètement nue sous les yeux de Luc qui ne se gênait pas pour se rincer l'oeil. Et pas moyen d'ouvrir cette fichue armoire. Je ne voulais vraiment pas descendre toute nue alors que les copains de Willy étaient en bas. Je pris l'oreiller et retirai la tait pour voir si le tissu était suffisamment grand pour dissimuler à la fois mes seins et mon sexe. Mais ce n'était pas assez large et j'aurais été bien en peine de le maintenir sur moi.



Je me dis que peut-être Malaurie avait juste caché mes fringues sous le lit. Je me penchai donc sur le lit et regardai en dessous. J'avais bien conscience que cette position dévoilait le spectacle de ma moule et de mon cul, mais je m'attachais pour l'instant à retrouver mes fringues. Malheureusement, ils n'étaient pas non plus sous le lit.



Avant de me relever, je voulais quand même vérifier que Luc était normal. Ses yeux ne lâchaient pas mon arrière train : il était donc tout à fait normal. Et comble de normalité, il bandait. Mais il bandait tellement que je faillis lui proposer de se libérer de son pantalon qui devait devenir douloureux.



- Tu pourrais peut-être m'aider, Luc ?
- C'est que je ne suis pas trop en état de faire quoi que ce soit...
- Oui, manifestement... Tu aimes reluquer les culs ?
- Pas spécialement que les culs, mais sûrement le tien en particulier.



Il était si mignon que je me dis qu'il serait dommage de ne pas le laisser profiter encore un peu. Avant de chercher ailleurs, je voulais vérifier aussi que la clé de l'armoire n'était pas simplement tomber par terre, sous l'armoire. Je me penchai en avant pour essayer de voir, mais sans succès.



Le succès fut ailleurs : Luc avait mis une main dans son pantalon et se masturbait tranquillement. Je décidai d'essayer de trouver des vêtements dans la chambre de Malaurie, face à la mienne. J'y allai d'un pas assez lent pour laisser le temps à Luc de me regarder marcher et aussi de m'emboîter le pas. Chose étrange, aucun vêtement ne traînait par terre dans la chambre, ce qui n'était pas dans les habitudes de ma colocataire. Une tentative d'ouverture de son armoire me montra que celle-ci était également verrouillée. Cette salope de Malaurie avait bien prévu son coup.



Il me restait une dernière chance. Peut-être avait-elle laissé une culotte, une nuisette ou un pyjama sous son oreiller. Je me mis à quatre pattes sur le lit pour vérifier, mais il n'y avait rien. Ce faisant, j'offrais encore une vue d'exception sur mon cul et ma moule trempée par l'excitation.
- Bon ben je crois que je vais rester comme ça...



Luc continuait à se branler en se marrant :
- C'est pas grave, t'es très bien comme ça !
- Peut-être, mais si je descends à poil, ça va mal finir...
- Mal ?
- Oui, c'est vrai qu'on vous a déjà sucé tous les quatre, mais ce n'est pas une obligation pour nous de vous faire éjaculer à chaque fois qu'on se voit.
Luc était déjà sur moi, une main sur mon ventre. Je n'eus pas la force de résister et je ne pus le repousser. Aussi, très rapidement, sa main descendit pour me caresser la moule. Il était un peu maladroit, mais ses caresses étaient loin d'être désagréables. Sa langue se posa sur mon anus et, là, j'eus une petite contraction, à la fois de surprise et de plaisir. L'ayant remarqué, Luc m'enfonça sans prévenir deux doigts dans le cul !



Je crus que j'allais jouir sur le champ. Mais je me retins et surtout je pris soin de le repousser gentiment pour lui désigner une autre activité. Toujours à quatre pattes, j'écartai bien les cuisses et, avec deux doigts, je lui ouvris la vois de ma chatte trempée. Il comprit vite et ouvrit sa ceinture et les boutons de son jean. Sa queue, libérée, se dressait fièrement, d'une longueur assez rare. Il vint à moi et me pénétra sans la moindre difficulté.



Il me pistonnait tranquillement, sans effort. Sa longue queue allait bien loin en moi. C'était tout simplement délicieux. Au bout d'un certain temps, il décida de changer de position. Sans se retirer de moi, enfoncé jusqu'à la garde, il me bascula sur le lit et me souleva une jambe pour continuer à me faire l'amour.



En peu de temps, il me mena à l'orgasme et me fit jouir. Il ne s'arrêta que lorsque j'arrêtai de crier. Il avait l'air d'être assez fier de m'avoir fait jouir en si peu de temps. Il se retira et resta assis à côté de moi, la queue toujours dressée. Je n'avais bien sûr pas l'intention de le laisser comme ça et je me saisis rapidement de cette magnifique tige pour la branler.



Cette masturbation était bien inutile car il bandait déjà parfaitement. Aussi je remplaçai bien vite ma main par ma bouche, gobant le gland palpitant et faisant tourner ma langue sur sa petite fente. Cela sembla lui convenir tout à fait car il ne manifesta pas l'envie d'un autre traitement.



Quand il sentit qu'il allait jouir, il se leva rapidement et se masturba jusqu'à ce que sa crème gicle. Il me mit tout son jus dans la bouche, un sperme épais et gluant, très parfumé. Il laissa sa queue devant ma bouche jusqu'à ce que les dernières gouttes s'en échappent.



La bouche pleine de son sperme, je dus tout avalé avant de m'attaquer au nettoyage de sa longue bite. Une fois bien propre, je me rendis compte aux bruits que les autres garçons montaient. Quand Willy rentra, il s'exclama :
- Putain, Luc ! T'aurais pu nous appeler !
- Désolé les gars, ça a été très vite...
La bouche encore pleine de sperme, je leur dis :
- Les gars, il n'est pas trop tard pour en profiter.



Ils se débarrassèrent de leurs fringues en quelques secondes et s'approchèrent de moi. Je me mis à quatre pattes et attrapai la première queue qui passait pour la masturber. Rapidement, je sentis une bite se placer entre mes fesses. Willy se branlait entre mes fesses. Dès qu'il fut bien raide, il plaça son gland contre ma moule et me pénétra d'une traite. Le troisième se branlait en regardant cela.



Ils échangèrent les positions et visitèrent tous alternativement ma bouche et ma chatte. Même Luc retrouva une fière érection qu'il offrit à nouveau à ma bouche. Willy fut le premier à jouir, il vint se placer au-dessus de moi pour éjaculer et me couvrir le visage de sperme. Les autres suivirent aussitôt.



A tour de rôle, ils éjaculèrent tous sur mon visage. Une fois la douche de sperme achevée, je m'attelai à nettoyer jusqu'à la dernière goutte de sperme de cette quatre bites. J'en étais là quand Malaurie entra dans la chambre (la sienne en fait), vêtue d'une robe rouge très sexy.
- Alors, Lisa ? Ils ont été gentils avec toi ?
- Très...



- Mais aucun de ces messieurs n'a accepté de t'aider à t'habiller ?
- Et pour cause ! Tu as fermé à clé tous les placards...
- Met au moins un string.
- Que je trouve où ?
- Je te prête le mien si tu veux...
Elle glissa ses mains sous sa robe et se pencha pour faire glisser son string, offrant à la vue de tous un magnifique décolleté révélant ses globes mammaires.



Luc vint lui-même prendre le petit morceau de tissu pour me l'apporter. Alors que j'allais l'enfiler, Willy me le prit des mains et me proposa de me le mettre lui-même. Je ne pouvais pas refuser. Je le laissai donc me passer le string à chaque pied et le faire remonter pour l'ajuster sur mon sexe et entre mes fesses.



- En tout cas merci, Malaurie, c'est gentil de prendre soin de moi.
- Tu parles du string ou des quatre mecs ?
- Du petit déj' que ces messieurs m'ont apporté au lit !



Tout le monde rigola. Nous descendîmes prendre un petit déjeuné, un vrai cette fois-ci, mais je restai en string et les mecs complètement à poil. Malaurie me demanda de ne pas me nettoyer le visage et de garder le sperme jusqu'à la fin du petit déj'. L'ambiance fut très sympa et aucun des garçons ne débanda.

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Malaurie et Lisa (épisode 11)

Le week-end suivant, j'eus l'opportunité de rendre à Malaurie la monnaie de sa pièce. Elle avait invité Luc, Willy, Marco et Tad à venir passer la soirée. Elle m'avait dit avant qu'ils arrivent qu'elle voulait les exciter jusqu'à ce qu'ils jouissent dans leur froc sans même avoir pu la toucher. Pour ce faire, elle mit un petit débardeur blanc assez fin à travers lequel jouaient ses seins libres. Une minijupe très courte devenait absolument indécente à chaque fois qu'elle écartait les cuisses et révélait aux quatre garçons assis face à elle qu'elle ne portait rien dessous. Je dois dire que ses genoux restaient très rarement collés l'un à l'autre.



Elle était ainsi le centre d'intérêt des quatre garçons qui ne me voyaient plus du tout malgré ma robe un peu décolleté. Mais comme je ne leur montrais pas ma chatte, je ne faisais pas partie de leur principale préoccupation. Ils bandaient tous les quatre outrageusement. Malaurie se leva très lentement et proposa de leur servir à boire. Chacun réclama une bière et, comme j'étais plus proche de la cuisine que Malaurie, je me levai pour y aller avant elle. Quand je revins avec les bières, Malaurie était toujours debout et les quatre garçons, toujours assis, ne la quittaient pas des yeux.



Je décapsulai les bières des garçons et tendis la sienne à Malaurie. Ce qu'elle ignorait, c'est que je l'avais abondamment agitée avant de l'amener. Au moment où la capsule sauta, le liquide explosa de la bouteille et lui trempa complètement son débardeur. Des sourires ravis se formèrent sur les visages des garçons car le tissu était devenu vraiment transparent et ils pouvaient admirer la magnifique poitrine.



"C'est pas vrai ! Lisa ! Est-ce un hasard ? Ou dois-je y voir une manigance de ta part ?"
Me pinçant les lèvres pour ne pas rire, je ne pus répondre mais Tad le fit pour moi :
- Ecoute, tu es parfaite comme ça. Et puis je suis sûr que tu as moins chaud comme ça...
- Super ! Et je vais sentir la bière à plein nez.
- Pas grave, on peut faire abstraction de cet aspect, ajouta Marco.
- Vous sûrement, mais moi pas ! Je vais prendre une douche.



A peine était-elle montée, je demandai à Luc d'aller la rejoindre pour lui demander si elle souhaitait que je lui sorte une autre bière. Luc, bien sûr, s'empressa de monter. Il entrouvrit la porte de la salle de bain. Malaurie se préparait son gel douche et une serviette. Elle ne le remarqua pas. Ne faisant aucun bruit, Luc se dit qu'il pouvait bien attendre quelques minutes avant de la déranger pour lui poser la question. Il avait bien envie de jouer les voyeurs et de la voir se mettre toute nue. Elle attrapa le bas du débardeur pour le retirer.



Derrière la porte, à la voir libérer ainsi sa formidable poitrine, Luc eut envie de se masturber et ne s'en priva pas. Il continua à la regarder retirer sa minijupe et révéler sa moule imberbe. Il avait sorti sa bite et se l'astiquait lentement, plus pour ne pas faire de bruit que pour faire durer le plaisir. Malaurie devait être un peu excitée car il la vit porter ses mains à son entrejambe et se caresser.



Quand Malaurie entra dans la douche, Luc, ne la voyant plus, dut rentrer dans la salle de bain pour pouvoir continuer à l'admirer. Elle n'entendit manifestement pas la porte, mais, dès qu'il fut au niveau de l'ouverture de la douche, elle remarqua sa présence et tourna la tête.
- Tu t'emmerdes pas, dis donc !
- Quoi ?
- Tu viens te branler pendant que je me douche ?
Luc avait effectivement oublié qu'il tenait son membre turgescent dans sa main droite.
- Merde, non... je venais juste pour te demander si...
- Dégage ! Je prends ma douche ! Va attendre en bas !



Luc ne posa pas de question. Il sortit de la salle de bain et se rajusta. Il redescendit avec un grand sourire :
- Elle m'a jeté...
- Tu lui as quand même demandé si elle voulait une bière ?
- Bah non, j'ai pas eu le temps, elle m'a jeté...
- Mais ça fait cinq minutes que tu es là-haut !
- Je sais... mais je n'ai pas voulu la déranger au début...
- Je vois... Marco, tu ne veux pas aller lui demander ?
- Si bien sûr.
Marco fut dans les escaliers en quelques secondes. Il entra sans ménagement dans la salle de bain.
- Dis donc, Malaurie, Luc a oublié de te demander si tu voulais une autre bière ?
Malaurie, surprise, cacha son sexe d'une main et tenta de cacher sa poitrine de l'autre bras, mais tenant le pommeau de douche, elle pouvait difficilement cacher ses gros seins.



- Ok, j'ai compris, Lisa vous envoie un par un pour que vous vous rinciez l'oeil ?
- Possible...
- Et bien profite, alors...
Malaurie laissa le pommeau de douche et se mit à se toucher la moule d'une main alors que l'autre caressait ses mamelons.



Marco eut une érection immédiate et entreprit de sortir sa queue pour se masturber. Malaurie le regarda faire quelques secondes en se pinçant les lèvres. Puis, soudainement, elle s'arrêta.
- Maintenant, c'est bien, tu t'es branlé, mais tu te tires.
- Allez, je te dérange pas, promis !
- S'il te plaît, sors et dis aux autres de ne pas monter sans une bonne raison.
Marco sortit et ferma la porte derrière lui. Il faillit oublier de se rajuster avant de descendre rejoindre les autres. Nous le laissâmes raconter comment ça s'était passé.
J'eus alors une idée de génie.
- Willy, tu veux bien prendre cette clé et aller fermer les placards qui se trouvent dans nos deux chambres à l'étage.
- Bien sûr...
- Et en passant, tu peux récupérer les fringues de Malaurie dans la salle de bain et les redescendre pour les mettre dans la machine à laver.
- Pas de soucis !
Willy monta à son tour et ferma consciencieusement les deux chambres à clés sachant certainement pourquoi je le lui avais demandé. Il alla ensuite dans la salle de bain. Malaurie se séchait les cheveux avec une petite serviette.



Elle ne montrait aucune pudeur face à Willy, qui ne put bien sûr pas retenir une érection fulgurante que Malaurie remarqua.
- Vous êtes vraiment incapables de vous retenir, les garçons ? Un bout de nichon, une chatte, une fesse et hop ! la quequette se transforme en portemanteau !
- C'est exactement ça !
- Tu vois pas une grande serviette ? Celle pour mes cheveux est déjà trempée et j'ai pas pris de grande...
- Lisa m'a demandé de descendre tes fringues pour les mettre à laver.
- Quelle délicate attention... Et bien prend aussi cette serviette-là alors.
Elle lui tendit la petite serviette humide.



Alors que Willy sortait de la pièce, elle l'interpella :
- Et demande à Lisa si elle sait où sont les grandes serviettes...
Willy se retourna et la vit penchée en avant à chercher dans les étagères sous le lavabo. Dans cette position, elle dévoilait complètement son superbe cul et sa moule imberbe.



Willy hésita à revenir et à se jeter sur elle. Mais il estima qu'il était plus amusant de jouer le jeu des deux filles. Willy descendit avec les vêtements de Malaurie, les tenant comme s'il s'agissait d'un trophée. Je mis aussitôt le tout dans la machine à laver.
- Ah, et elle demande si tu sais où sont les grandes serviettes, Lisa ?
- Ah ? Tad, tu veux bien monter lui dire qu'elles sont toutes dans l'armoire de ma chambre.
Tad monta à la salle de bain et dit à Malaurie ce que je lui avais indiqué pour les serviettes.
Elle fila dans ma chambre et essaya d'ouvrir l'armoire sans succès. Elle sauta sur mon lit pour atteindre ma table de chevet et vérifier si je n'y avais pas mis la clé. Dans cette position, elle était très excitante.



Tad en profita pour détailler ses fesses musclées et sa moule gonflée. A quatre pattes sur le lit, elle ne pouvait ignorer l'effet qu'elle produisait sur le pauvre Tad. Celui-ci essaya pourtant de se concentrer.
- Et dans ta chambre ?
- Tant pis pour les serviettes, je suis quasiment sèche maintenant, je vais m'habiller.
Elle fila dans sa chambre, mais son armoire aussi était fermée à clé. Elle fila à son lit et regarda sous l'oreiller.



Dans cette position encore, elle était superbe et la bite de Tad devenait douloureuse dans son pantalon.
- La salope, elle a même pris ma nuisette !
- On ferait peut-être mieux de descendre.
- Vas-y, je te rejoints tout de suite.
Tad ne discuta pas et descendit nous rejoindre.
Sachant la situation, je demandai aux quatre gars de se mettre à poil et de se rasseoir en attendant. Il n'y eut aucune protestation. Ils bandaient tous formidablement et j'eus égoïstement l'envie de faire jouir ces quatre bites avant que Malaurie ne revienne.
Elle se présenta en haut de l'escalier, intégralement nue.



Elle rigola en voyant les quatre mecs à poil. Elle resta même bouche bée en voyant les tiges se dresser au fur et à mesure qu'elle descendait les marches de l'escalier. Arrivée en bas, par jeu, elle se retourna et pointa son cul vers eux. Willy et Marco ne purent résister à cette vision et se mirent à se masturber frénétiquement. Elle en rajouta en portant ses mains à sa moule pour se caresser. Un doigt se perdit dans son sexe. Elle le fit aller et venir, le doigt devenant de plus en plus luisant par la mouille.



Elle se redressa :
- Lisa, rends-moi la clé que je puisse m'habiller.
- Tu plaisantes, tu te rends compte dans quel état sont les garçons ? Tu ne peux pas tout arrêter maintenant !
- Ecoute, s'ils veulent se branler, libre à eux. Mais ils ne me toucheront pas ce soir.
Tad et Luc prirent ça comme une invite et se mirent eux aussi à se masturber en observant la jeune fille nue en colère.
Je savais que Malaurie ne tiendrait pas longtemps à voir ces jolies queues dressées pour elle.
- Malaurie, aide-les un peu, quand même... Touches-toi !
Elle ne discuta pas et se vautra dans le canapé pour admirer les mecs qui se branlaient pour elle. Sa main s'activa rapidement sur son entrejambe.



La scène était incroyable et j'en étais l'instigatrice ! Malaurie se masturbait dans le salon en regardant quatre types qui se masturbaient eux aussi en la regardant. Comme je l'avais prédit, Malaurie ne tint pas longtemps. Au bout de quelques minutes, elle se leva et se dirigea vers Marco. Elle lui saisit la bite et se pencha sur lui alors qu'il en profitait pour se saisir de ses seins et les embrasser.



Poursuivant son mouvement, elle se positionna au-dessus du membre tendu et s'empala dessus. Marco était aux anges. Sa queue plongeait au plus profond de Malaurie et il pouvait lui caresser librement les seins. Il laissait la jeune fille monter et descendre sur sa queue, bougeant lui-même le moins possible pour ne pas jouir trop vite. Malaurie ne tarda pas à recevoir la visite de Willy qui n'en pouvait plus de se masturber. Il vint se placer derrière elle et lui enfila sa bite dans le cul d'une seule traite.



Malaurie ne cria même pas, à la fois surprise par la rapidité de cette pénétration, mais surtout elle était tellement excitée que son anus s'était déjà préparé malgré la taille imposante de l'engin de Willy. Sentant que tous les deux allaient jouir sous peu, elle s'avança pour s'extraire des deux tiges qui l'investissaient. Elle fit mettre les garçons debout et se mit à genou entre eux pour les masturber. Il ne lui fallut que quelques minutes pour les mener au bord de l'éjaculation. Les deux garçons explosèrent en râlant, libérant en même temps leurs flots de sperme sur les gros seins de Malaurie.



Malaurie ne prit même pas la peine de le prendre en bouche pour les nettoyer un peu. Elle les laissa en plan, sitôt qu'ils eurent terminé de jouir, et se dirigea vers Tad. Celui-ci se leva. Elle le fit s'allonger par terre et s'empala directement sur la longue tige. Luc se leva à son tour et vint lui fourrer sa bite dans la bouche. Malaurie se mit à le pomper vigoureusement.



Alors que je m'aprêtait à aller rejoindre Marco et Willy pour leur faire une fellation afin de les nettoyer un peu (et aussi surtout parce que j'en avais une folle envie), Malaurie les invita à la rejoindre et à se branler au-dessus de son visage. Ils y allèrent aussitôt et même Tad se retira pour se masturber lui aussi au-dessus de sa bouche.



Voyant que Tad allait jouir, Malaurie le prit en bouche et fit virevolter sa langue autour de son gland tout en continuant à le masturber d'une main. Il cria son plaisir rapidement et laissa échapper sa semence dans la bouche de la jeune fille qui, ne pouvant tout avaler, laissa le liquide s'échapper de sa bouche et se répandre sur sa main.



Dès qu'elle eut abandonné Tad, Willy, qui avait pourtant déjà généreusement arrosé de son jus les seins de Malaurie, vint se placer devant elle en s'astiquant la queue avec des petits coups de poignet secs. Il éjacula rapidement et ses jets de sperme s'écrasèrent presque tous sur la langue de la jeune fille, même si la première salve, plus puissante, s'écrasa plus haut sur son visage.



Une fois la bite de Willy parfaitement nettoyé, Luc et Marco s'approchèrent pour jouir à leur tour, mais Marco, moins bien placé, préféra attendre son tour et laissa Luc se branler devant le visage de Malaurie. Rapidement son jus partit en longs jets épais dans le fond de la gorge de la jeune fille. Il sembla ne pas pouvoir s'arrêter et c'est près d'une dizaine de jets qui finirent dans la bouche grande ouverte. Ne pouvant avaler une telle quantité, elle en laissa échapper une bonne partie.



Avalant ce qu'elle put, elle n'eut pas le temps d'entreprendre le nettoyage de la bite de Luc car Marco, qui n'en pouvait plus d'attendre, vint mettre sa queue prête à exploser devant son visage. Elle eut beau ouvrir la bouche, le jet de sperme épais, trop puissant, termina sa course sur son menton et les suivants sur sa joue.



Elle nettoya ensuite consciencieusement les bites de Luc et Marco en prenant son temps, comme si elle les dégustait. Quand elle se releva, je la rejoignis et j'entrepris de lui lécher tout le sperme qui couvrait son visage, sa gorge et sa poitrine.
- Merci Lisa...
- Tu devras quand même retourner prendre une douche.
- Non, je te dis merci pour avoir manigancé tout ça...
Il est vrai que je lui avais servi les quatre garçons sur un plateau et que je n'en avais pas du tout profité (même si j'avais mouillé comme jamais).
Malaurie remonta prendre une douche. Marco monta pour l'aider à s'essuyer (de sa propre initiative). Willy alla lui-même choisir des vêtements dans l'armoire qui referma à clé ensuite. Il avait pris un petit haut très sexy révélant les trois quarts de la poitrine et une minijupe extrêmement courte (sans rien d'autre bien évidemment).



Malaurie n'avait pas su tenir sa promesse car les garçons l'avaient plus que touchée... mais elle n'en fut pas déçue du tout, bien au contraire puisqu'elle eut à nouveau l'occasion de ne pas tenir sa promesse plusieurs fois dans la soirée. Le reste de la soirée fut d'ailleurs beaucoup plus profitable pour mes propres intérêts...

Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 12)

Dans cette course aux blagues coquines que nous menions entre nous, Malaurie et moi, il devenait difficile de savoir qui devait se venger de qui... Un week-end, nous somme parties toutes les deux au bord de la mer. Nous sommes allées en milieu d'après-midi offrir nos corps aux rayons ardants du soleil. Comme c'était une plage familiale et pas du tout une plage nudiste, nous étions arrivées l'une comme l'autre en bikini.



Il faut bien avouer que Malaurie avec ses gros nénés et son corps de salope ne passait pas inaperçue même si elle n'était pas nue. Elle s'amusait bien sûr à se trémousser, à se cambrer, à se pencher pour bien émoustiller les quelques messieurs qui lorgnaient dans notre direction. Pour ma part, je pense que j'étais tout aussi sexy que Malaurie et, même si je prenais pas des positions osées, cela ne m'empêchait pas de faire ma salope moi aussi : je m'enduisis de crème solaire en transformant cela en séance de caresses très chaudes...



Alors que j'étais déjà étendue sur ma serviette, un homme s'approcha de Malaurie qui était debout à observer la mer.
- Excuse-moi, on se connait, non ?
Malaurie, l'observa des pieds à la tête. Son regard s'attarda quelques secondes sur le maillot de bain fort bien rempli.
- J'ai bien peur que non, mais on peut arranger cela. Je m'appelle Malaurie.
- Et moi Maurice, je suis avec trois autres amis juste-là.
Je jetai un oeil aux trois hommes étendus sur leur serviette. Ils étaient plus vieux que nous, probablement la trentaine, mais étaient plutôt bien gaulés. Malaurie se montrait très engageante avec Maurice.



- Ma copine s'est déjà mise de la crème. Moi pas encore, je n'aime pas trop car ça colle aux mains après.
- Je veux bien t'en mettre, si tu veux, ça ne me dérange pas...
- T'es adorable. Propose à tes copains aussi : si vous êtes plus nombreux, ça ira plus vite.
- Ok.
- Et rassure-toi, vous pourrez aussi m'en mettre sur les seins !
Je fus éberluée par son culot : elle était en train de retirer son soutien-gorge et lui montrait carrément ses nibards !



- Tu as une poitrine somptueuse...
- Merci.
- Tu as bien raison d'en faire profiter à tout le monde.
- Oh, c'est surtout qu'avec la chaleur qu'il fait, le moindre but de tissu devient insupportable.
- Il faut quand même garder ton string...
- Tu crois ? Moi je pense que le peu de monde qu'il y a autour ne dirait rien si je l'enlevais. Les gens seraient intéressés ou, au pire, s'en moqueraient.
L'homme, amusé, repartit raconter à ses amis l'échange qu'il venait d'avoir avec Malaurie. Celle-ci revint vers moi manifestement avec l'envie de se débarrasser de son string.



- Tu vas quand même pas faire du nudisme ici !
- Pourquoi pas ? Il fait hyper chaud et ça évitera les marques de bronzage disgracieuses.
- Et tu ne crois pas que les gens autour vont réagir ?
- Regarde autour de toi ! Il n'y a presque plus personne à cette heure-là. Pas d'enfant, pas de couples, des groupes de mecs, des gars seuls, les trois filles là-bas et la dame plus loin. Qui veux-tu qui réagisse à part les mecs qui vont éventuellement avoir une érection ?
Sur ces mots elle s'installa sur sa serviette.



- D'ailleurs ma chère Lisa, si tu ne veux pas avoir de marques de maillots, tu devrais retirer ce soutien-gorge...
- Je ne suis pas spécialement exhibitionniste...
- C'est parce que tu ne connais pas le plaisir de sentir le regard des hommes sur toi et de pouvoir constater dans quel émoi tu peux les mettre.
Elle se tenait assise, le buste droit, affichant fièrement sa poitrine pleine.



Sur le coup des marques de bronzage, elle n'avait pas tord. Et sur l'exhibitionnisme non plus d'ailleurs... La simple idée de me mettre seins nus m'excitait. Le groupe des quatre hommes n'arrêtait pas de nous mater. Je finis par céder et je retirai mon soutien-gorge. C'est vrai que mes seins n'avaient rien à envier à ceux de Malaurie.



Les quatre hommes arrivèrent. Malaurie leur demanda :
- Vous en avez mis du temps !
- On voyait que tu étais en négociation avec ta copine et on s'est dit qu'il valait mieux attendre que tu finisses de la convaincre de retirer son maillot...
- Fins calculateurs !
- Et d'ailleurs, si elle le souhaite, on peut lui mettre de la crème sur le buste vu qu'elle n'a pas dû s'en mettre.
Bien que qu'ils ne s'adressaient pas à moi, je leur répondis un peu sèchement :
- Je peux me débrouiller, merci...



Ils n'insistèrent pas et reportèrent leur attention sur Malaurie qui était en train de retirer son string. Ils en eurent le souffle coupé ! Elle s'allongea à plat ventre sur sa serviette et écarta franchement les cuisses pour bien montrer sa moule impeccablement épilée. Elle commença à se masser les fesses et se caressa même la moule.
- Alors, faut-il que je m'enduise moi-même de crème ou une âme charitable aura pitié de moi ?



Les quatre hommes la rejoignirent aussitôt et se passèrent la bouteille de crème solaire pour s'en mettre dans les mains. Un premier s'attaqua à son dos, un deuxième à ses épaules, un troisième à ses jambes et le dernier à ses fesses. Ils n'en profitèrent même pas pour tenter de lui caresser la chatte. Elle se retourna et laissa les huit mains la parcourir intégralement : les seins, le ventre, les épaules et les cuisses. Mais, même s'ils faisaient attention à ne pas lui toucher son mont de vénus, les hommes n'en avaient pas moins développé de formidables érections. Rapidement le tartinage bascula : Malaurie, en voyant tous ces sexes tendant les maillots, décida de ne pas perde davantage de temps. Elle se mit sur le côté et libéra l'érection du type devant elle. Il avait une très belle bite à laquelle Malaurie offrit aussitôt sa bouche. Les autres n'étaient pas en reste et s'occupaient à lui caresser le dos, les seins et la moule.



Les hommes échangeaient de position pour venir lui présenter à tour de rôle leur sexe qu'elle engoufrait sans rien dire et qu'elle pompait jusqu'à ce qu'ils soient durs comme du bois. J'étais scotchée à voir cette scène incroyablement torride à moins de deux mètres de moi. Je sentais la cyprine commencer à mouiller mon string. J'avais une folle envie de me masturber. Je regardai autour de moi comment nos voisins de plages réagissaient. Les trois jeunes filles regardaient, médusées, sans rien oser dire, comme si elle apprenait un nouveau truc. La dame seule se tenait allongée sur le côté et n'avait pas hésitée à glisser une main dans sa culotte pour se taquiner le clitoris. Un homme seul se tenait à plat ventre sur sa serviette et semblait se tortiller, manifestement très excité. Le dernier jeune homme, lui, regardait la mer et n'avait pas remarqué la scène. Je résolus de ne pas me gêner et me mis une main dans la culotte pour me caresser un peu.
Malaurie en était à la fin : elle était à genou entre les quatre hommes qui se masturbaient au-dessus de son visage.



Elle les aidait, les suçant et les masturbant à tour de rôle se tournant comme une girouette. A ce rythme effréné, ils ne furent pas longs à venir. L'un après l'autre, ils vinrent éjaculer sur son visage la couvrant de leur semence. Elle en semblait ravie.



Une des hommes prit son soutien-gorge et s'essuya la bite avec. J'étais un peu offusquée de ce sans gène, mais Malaurie semblait trouver cela tout à fait naturel. Elle revint s'asseoir sur sa serviette.
- Tu veux un kleenex pour t'essuyer le visage ?
- Je te remercie, ça ira.
- Ça ne te gêne pas ?
- Non, j'adore...



Le mecs regagnent leur serviette, semblant chacun plus exténué que Malaurie qui venait de les faire jouir tous les quatre. Elle s'allongea sur le dos et remit ses lunettes de soleil.
- Tu vas garder le visage plein de sperme toute l'après-midi ?
- Non, je pense que ça risque de me tirer un peu sur la peau si ça sèche...
- Tu devrais aller te laver dans l'eau.
- Tu crois ?



- Ouais, t'as raison... Passe-moi quand même un kleenex que j'enlève le plus gros.
Je lui sortis un mouchoir. Malaurie retira ses lunettes et elle s'essuya le visage en se léchant les lèvres. Une fois cela fait, elle se releva.
- On va se baigner ?
Elle était tout excitée.



J'aurais préféré rester à bronzer, mais je ne voulais pas la laisser seule. Une fois dans l'eau, elle me dit :
- Tu aurais dû me rejoindre toute à l'heure, je t'en aurais prêté un ou deux.
- En public, c'est pas trop mon truc...
- Fait pas ta mijaurée, je t'ai vue te toucher.
- C'était juste parce que ça m'excitait. Je n'ai pas joui.
- Moi non plus, qu'est-ce que tu crois, ça a duré moins de vingt minutes ! Même à quatre, ces mecs ne m'ont pas pénétrée une seule fois.
Elle se tenait le buste hors de l'eau. Le jeune garçon qui n'avait pas remarqué sa prestation précédente n'avait d'yeux que pour nous. Assis sur sa serviette, il ne se cachait pas de nous détailler. Je crus discerner que son maillot se tendait d'une légère érection. Je l'indiquai à Malaurie qui s'en amusa.



- Il n' rien remarqué tout à l'heure quand tu as sucé les quatre mecs, mais maintenant il n'arrive plus à se décrocher de nos seins.
- Viens, on va sortir et passer devant lui en se tortillant le cul pour voir si on peut lui faire gagner davantage en vigueur.
Nous commençâmes à sortir de l'eau. Je remarquai que le noeud gauche du string de Malaurie était défait et pendait joliment sur sa cuisse.



Comme elle ne l'avait pas remarqué, je m'apprêtais à lui dire mais je me ravisai et optai pour une solution plus radicale. Je passais à droite d'elle en courant et attrapai fermement son string. Celui-ci vint sans mal et je pus partir avec en courant. Elle ne réagit pas aussitôt et me laissa quelques mètre d'avance avant de sortir de l'eau pour partir à ma poursuite.



Elle ne courut que quelques mètres puis s'arrêta. Je l'attendis assis sur ma serviette. Elle se dirigeait vers le jeune homme. De côté, je le voyais, il était blême. Sans doute que son érection avait dû gagner en volume. Malaurie se planta devant lui sans aucune pudeur et je l'entendis lui demander s'il n'avait pas une seconde serviette car elle ne voulait pas traverser la plage ainsi.



Comme le jeune homme balbutiait, elle repartit complètement nue et me rejoignit.
- T'aurais pu attendre, je te l'aurai ramené, espèce de nympho !
- J'ai pas honte de mon corps. Et c'est pas moi qui me suis mise dans cette situation.
- C'est pas la question... Le gars, tu l'as fait bander ?
- Et pas qu'un peu ! Il avait le gland qui lui sortait du maillot.
- Tiens ! Remets ton string.
- Non merci, je reste comme ça.
Je m'en doutais un peu, qu'elle ferait sa nymphomane jusqu'au bout...



- Et tu devrais le retirer toi aussi, ça t'éviterait des marques de bronzage...
- Et si tu choppes un coup de soleil sur le minou ?
- Je vais me mettre de la crème et je vais faire attention. De toute façon, vu comment je suis blanche, j'ai intérêt à ne pas m'exposer trop longtemps.
- Au soleil, pas aux regards des mecs ?
- Bien sûr !



Elle s'installa sur sa serviette, nue, faisant saillir sa généreuse poitrine, comme à l'accoutumer. Les quatre hommes nous mangeaient encore du regard. Ils n'avaient sûrement rien perdu de cette scène de salope que Malaurie offrait sans retenue. Deux d'entre eux n'avaient pas remis leur maillot et affichait leur sexe toujours bandé qu'ils flattaient tranquillement en nous regardant, assis sur leur serviette. Malaurie regarda dans leur direction. Les mecs hésitèrent à se lever. Elle leur fit un petit "non" de la tête, leur signifiant que ça suffisait pour le moment.



Cela ne l'empêcha pas de s'allonger sur le dos en écartant complètement les cuisses, livrant son sexe épilé aux regards de tous. Les quatre hommes n'étaient pas bien placer pour observer la chose, mais le jeune homme lui n'en manquait pas une miette. Placé devant nous, il se tenait sur le côté une jambe replié devant lui, probablement pour dissimuler son érection galopante. Il avait le regard perdu entre les jambes ouvertes de Malaurie.



Après quelques minutes ainsi, elle décida d'offrir un autre spectacle. Elle se retourna lentement sur le ventre et prit soin de garder les cuisses toujours écartées. Le jeune homme voyait maintenant ses belles fesses fermes, son petit anus et toujours sa moule. C'en fut trop pour lui, il abandonna le spectacle pour aller dans l'eau se rafraîchir de ses émotions. Malaurie sembla s'endormir sur sa serviette.



Malgré l'excitation de tout ce manège, le soleil étouffant me fit m'endormir moi aussi. Je sentais les rayons brûlants du soleil faire effet sur ma peau. Je me donnai quelques dizaines de minutes pour sommeiller et bronzer. Après quoi, il faudrait que je me remette de la crème si je ne voulais pas attraper de coups de soleil.



Lisa^ ---------oOo---------

Malaurie et Lisa (épisode 13)

Je dormais, ma peau livrée aux rayons du soleil. Malaurie ne dormait plus... Après s'être assurée que mon sommeil était suffisamment profond, elle s'approcha et dénoua mon string. Je ne sais pas comment elle a pu me le retirer sans me réveiller, mais toujours est-il que je me retrouvais dans la même tenue qu'elle sans m'en rendre compte. Elle alla trouver le jeune homme, toujours totalement nue, et lui glissa quelques mots avant de revenir.



En s'asseyant, elle me réveilla. J'avais dormi à peine un quart d'heure. Je me tournai sur le ventre et me redressai, innocemment, sans me rendre compte de l'indécence de ma tenue. Je me tenais à quatre pattes, les cuisses légèrement écartées, position un peu osée si j'avais toujours eu mon string, mais totalement impudique dans la situation actuelle dont je n'avais pas encore conscience.



- Tu as bien dormi, ma chérie ?
Je m'étonnais un peu de son ton mielleux auquel elle ne m'avait pas habituée. Elle se tenait toujours assise sur sa serviette, exhibant fièrement sa poitrine, et n'avait pas remis son string.
- Pas trop mal... Et toi ?
- Un peu moins que toi, mais ça va mieux maintenant.



Je laissai échapper un bâillement et je m'étendis, faisant saillir mes seins. Les quatre gars à côté roulaient des yeux éberlués comme s'ils découvraient seulement ma poitrine. Je ne savais pas alors que ce n'était pas seulement ça...



Le jeune homme devant avait disparu, mais ses affaires étaient toujours là. Voyant comme les quatre hommes me mangeaient du regard, je fus un peu mal à l'aise.
- Bon je vais quand même remettre mon soutif...
- tu déconnes ?
- Les mecs là-bas n'arrêtent pas de reluquer...
- Et alors ?
- Y'en a même un qui se branle carrément !
- Moi ça me rendrait fière...
- Peut-être, mais là, ça commence à me gêner qu'ils matent mes nichons comme ça.



Je me levai pour atteindre mon sac et prendre mon soutien-gorge. En me levant, je me passai les mains sur les fesses pour faire tomber les grains de sable qui s'y étaient collés. Je sentis qu'il y avait quelque chose qui clochait mais je n'arrivais pas à déterminer exactement ce pourquoi j'étais mal à l'aise.



C'est en baissant la tête sur mes hanches que je compris ce qu'il se passait. J'étais cul nu ! En fait, j'étais intégralement nue ! Je compris rapidement à qui je devais cette situation et comment cela avait dû se passer. Malaurie rigolait de me voir faire des yeux incrédules.



J'hurlai sur Malaurie :
- Putain, mais t'es vraiment une salope !
- On est dans la même tenue toi et moi...
- Rends-moi mon string !
- Je ne peux pas...
- Je veux pas rester comme ça !



- Va falloir que tu ailles toi-même chercher ton string...
- Qu'est-ce que tu en as fait ?
- Devine...
- Tu l'as filé aux quatre mecs ?
- Même pas !



- Alors ?
- Je l'ai donné au jeune homme qui m'a dit qu'il t'attendrait dans les dunes, juste derrière...
Je partis donc dans les dunes, totalement nue. Les gens autour étaient plutôt amusés que choqués de me voir ainsi. Bien sûr, les quatre hommes étaient tous en train de se masturber, certains la main dans le maillot, d'autres la queue complètement sortie. Je tentai de cacher mes courbes tentatrices du mieux possible en regagnant les dunes.



Le jeune homme m'y attendait effectivement. Il était nu lui aussi. Cela m'excita. Au fur et à mesure que j'avançais vers lui, je voyais son sexe de redresser et se gonfler.
- Ta copine m'a dit que tu viendrais...



Il était très bien foutu et j'étais très attiré par ce membre dont j'avais suscité l'érection.
- J'imagine que tu veux quelque chose en échange.
- Un baiser ?
- Seulement ? Je suis beaucoup plus généreuse. Je m'approchai de lui et lui attrapai la bite. Il était en mon pouvoir. Je le fis s'allonger et, comme je mouillais déjà abondamment, je m'empalai sur sa tige d'un seul coup. Il en fut surpris et mis quelques secondes à se rendre compte que nous étions déjà en train de faire l'amour.



Je montais et descendais lentement sur la queue alors qu'il semblait prendre un immense plaisir à jouer avec mes seins. Au bout d'un moment, il décida de changer de position et me repoussa. Il m'indiqua de me mettre à quatre pattes et vint se mettre derrière moi pour me prendre en levrette. Ce n'était pas un novice. Il me baisait très très bien !



Il me fit rouler sur le côté et entreprit de me mettre deux doigts dans le cul tout en continuant à me prendre par derrière. Je voyais très bien ce qu'il préparait et le laissait faire car j'en avais vraiment envie. Quand je fus prête, il extirpa sa longue tige et commença à faire pression sur mon anus. Je résistai un peu, pour la forme, mais finis par le laisser m'envahir complètement. Une fois bien en moi, sa main s'activa devant sur mon clitoris.



Mon orgasme fut rapide et provoqua probablement le sien. Au moment de jouir, il se leva et lui posa son gland sur ma langue. Son jus sortit en longues salves épaisses qui s'écrasèrent dans ma bouche, me dégoulinant partout. Son sperme était salé et plaisait assez.



Quand il eut fini d'éjaculer, je lui nettoyai toute la queue avec ma langue. Il n'en revenait toujours pas. Alors qu'il remettait son maillot, je lui demandai :
- Alors, il est où mon string ?
- Je ne l'ai pas...
- Quoi ?
- Je pense que c'est ta copine qui l'a...



La salope, elle s'était bien foutue de ma gueule ! Je retournai à poil sur la plage. Malaurie, toujours intégralement nue, se marrait : elle tenait dans sa main un petit bout de tissu qui ressemblait beaucoup à mon string. Je lui pris des mains comme si j'étais en colère. Mais elle n'était pas dupe, elle savait parfaitement que je ne regrettais pas ma petite escapade dans les dunes...



Lisa