Camille

Camille : le retour de la plage (publié par Boris le 07-02-2008)
Camille : le magasin de vêtements (publié par Boris le 22-02-2008)
Camille : un après-midi d'exhibition (publié par Boris le 25-02-2008)
Camille : le rendez-vous chez une collègue de travail (publié par Boris le 01-03-2008)
Camille : le magasin de lingerie (publié par Boris le 04-03-2008)
Camille : Les essayages entre copines (publié par Boris le 01-04-2008)
Camille : La piscine de Laurine et Pascal (publié par Boris le 01-05-2008)
Camille : La soirée entre couples (publié par Boris le 13-06-2008)
Camille : La boutique de maillot de bain (publié par Boris le 17-09-2008)
Camille : L'inconnu (publié par Boris le 07-11-2008)
Camille : L'invitation sur le parking (publié par Boris le 12-01-2009)
Camille : Après-midi à la piscine (publié par Boris le 24-01-2009)
Camille : Les douches de la piscine (publié par Boris le 05-02-2009)
Camille : Le cours de dessin (publié par Boris le 01-04-2009)
Camille : Le club de foot (publié par Boris le 22-05-2009)


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1. Le retour de la plage


C'était le dernier jour des vacances de Camille et Boris. Il faisait très beau, un peu chaud et ils avaient passé leur temps entre la plage et faire du shopping. Des vacances assez classiques sans événements majeurs. Pourtant, ce dernier jour, Camille voulait qu'il reste gravé dans la mémoire de Boris. Elle refusait toujours de se mettre seins nus sur la plage au grand désespoir de son mari et préférait garder son soutien-gorge. Boris ne manquait pourtant pas d'argument pour la convaincre de faire du topless : elle avait des seins superbes, elle éviterait ainsi les marques de bronzage, les hommes l'admireraient. Une seule fois, sous sa demande pressante, après avoir visité un site Internet assez sulfureux, elle avait accepté d'aller faire du shopping avec Boris en ne mettant aucun sous-vêtement sous une petite robe légère. Cela avait excité Boris à l'extrême et il avait adoré la voir se faire reluquer par tous les hommes qu'elle croisait. Mais depuis cette journée mémorable, Camille s'était montrée trop sage au grand regret de Boris qui trouvait sa femme magnifique. Camille était assez grande avec de belles jambes musclées, une taille fine, un ventre très légèrement arrondi, des fesses fermes, un minou épilé minutieusement et surtout une poitrine pleine et arrogante.
Après le repas du midi, elle rejoignit Boris dans le salon avec une petite robe blanche et un sourire jusqu'aux oreilles.
- On va à la plage ?
- Oui... Elle sympa cette petite robe !
- C'est la même qu'hier...
- Pourtant... Y'a un truc...
- Cherche, tu vas trouver.



Le visage de Boris s'illumina quand il découvrit ce qui avait changé : elle n'avait pas mis de soutien-gorge ! Il sentit son sexe se tendre dans son caleçon de bain. Il s'approcha de sa femme et lui caressa les seins à travers la robe. Elle s'amusa de ce soudain intérêt. Il se pencha et attrapa le bas de la robe pour regarder dessous. Il la relâcha, déçu.
- Tu croyais quoi ? Que j'allais me mettre complètement à poil sur la plage ?
- Tu vas rester topless sur la plage ?
- Bien sûr, tu me tannes depuis des jours ! Tu ne veux plus ?
- Oh si ! Bien sûr que oui !!!
Et il en fut ainsi. Arrivée sur la plage, Camille quitta sa robe et apparue seins nus aux yeux de tous.



Il y avait pas mal de monde et beaucoup n'avait pas manqué de remarquer la jolie femme qui s'exhibait à côté. Boris en était lui-même très excité et il dut s'asseoir rapidement sur sa serviette pour tenter de dissimuler l'érection naissante que sa femme avait déclenchée.
- Tu n'es pas gênée, ma chérie ?
- Pas du tout, finalement...
- Tant mieux !
- Je trouve même ça excitant : je n'imaginais pas que tous les mecs me dévoreraient des yeux comme ça.
- C'était pourtant plutôt prévisible...
Et elle semblait effectivement très à l'aise. Se tournant, se retournant, se baladant ici et là, sans montrer la moindre gène à exposer sa poitrine nue.



Boris la laissa aller se baigner seule. Il la regarda s'ébrouer dans l'eau à côté d'un groupe de cinq jeunes qui se lançaient un ballon. L'un d'eux lança le ballon sur elle, l'éclaboussant. Elle rigolait. Les garçons s'approchèrent d'elle et entamèrent la conversation. Ils semblaient très intéressés par ses seins. Camille s'amusa de voir les caleçons de bain se déformer malgré la fraîcheur de l'eau qui aurait dû les calmer un peu. Elle ressortit pour rejoindre Boris.



Elle s'allongea sur sa serviette et dit à Boris :
- T'as vu les gars dans l'eau ?
- Oui, tu les as fait bander... Tu t'attendais à quoi ?
- Mais j'ai rien fait, rien dit !
- Je sais, mais tu es hyper sexy, ma chérie. Tu n'y peux rien et ces garçons non plus...
- Qu'est-ce qu'il se serait passé si j'étais resté ?
- Ils auraient sans doute essayé de te caresser... Tu les aurais laissé faire.
- Je sais pas... ça dépend si ils font ça gentiment ou pas... Et toi tu n'aurais rien dit ?
- Non, je crois plutôt que ça m'exciterait de te voir avec d'autres hommes...
- Salaud !
- Tu n'aimerais pas toi ?
- Je sais pas.
- Tu sais, Annabelle, avec qui je suis sorti pendant 2 ans avant de te rencontrer, je l'ai regardée faire l'amour à un ami et j'ai même pris des photos. Elle avait adoré ça et ça ne m'a pas déplu. On avait une totale confiance l'un envers l'autre.
- Ouais, mais quand même... ils étaient cinq !!!



Après cette conversation que Boris jugea très constructive, ils décidèrent de rentrer. Camille se leva commença à baisser son string trempé et demanda à Boris de lui passer la culotte de rechange dans le sac. Elle commença à renfiler sa robe alors que Boris n'en finissait pas de fouiller dans le sac, sans succès.
- Ma chérie, je suis désolé, mais il n'y a pas de culotte dans le sac...
- Mince ! Je l'ai laissée à la maison...
- Va falloir te balader cul nu...
- Tu peux rêver !
Elle finit d'ajuster sa robe sur ses seins.



Ils quittèrent la plage et traversèrent un petit parc. Camille semblait gênée...
- Qu'est-ce qui ne va pas ma chérie ?
- Rien !
- C'est les mecs qui reluquent tes nichons en te croisant ?
- Oh non, ça c'est plutôt agréable...
- Alors ?
- Le string mouillé, c'est pas très confortable pour marcher.
- Enlève-le ! Tu n'es pas obligée de le garder...



Camille vérifia qu'il n'y avait personne autour. Des gens approchaient mais ils étaient assez loin. Elle se dit qu'en se dépêchant, elle arriverait certainement à retirer son string sans qu'ils s'en aperçoivent. Elle commença donc à faire glisser le bout de tissu et le laissa à ses chevilles. Comme Boris se penchait pour admirer son postérieur dénudé, elle lui sourit.



Mais voyant que les gens s'approchaient et qu'ils risquaient de la voir cul nu, elle se dépêcha de retirer le bout de tissu. Mais dans la précipitation, la ficelle s'accrocha au talon. En voulant lever l'autre jambe, elle tomba en avant, déchira le string et se rattrapa sur le sol avec les mains. Elle ne s'était pas fait mal, mais elle était désormais à quatre pattes et sa robe s'était un peu remontée dans la chute. Elle n'eut pas le temps de se relever. Les gens étaient là. Quatre messieurs et deux dames. Et tous admirèrent le magnifique postérieur de Camille, les fesses et le sexe, dévoilés quelques secondes sous leurs yeux.



Camille se releva. Boris rigolait. Camille ne savait plus où se mettre.
Boris lui demanda :
- Tu as vu si tu les as fait bander ou pas ?
- Non, j'ai pas vraiment pris le temps...
Camille se mit à rire elle-aussi. Elle ramassa le morceau de tissu déchiré et le porta à une poubelle juste à côté.
Boris la regarda :
- Tu as chaud comme ça ?
- Non pourquoi ?
- Parce que le bas de ta robe fait des plis et découvre un peu ton entrejambe...



Camille se rajusta rapidement. Elle s'accrocha aux bras de Boris et l'embrassa.
- Je t'aime.
- Moi aussi. Eh ! Si on allait boire un café au bar en bas de chez nous ?
Elle lui fit signe qu'elle était d'accord et ils partirent ensemble. Le café était presque vide. Ils s'installèrent en terrasse et commandèrent leur café. Boris dévorait sa femme des yeux.
- Tu es incroyablement belle.
- Tu bandes.
- Un peu oui...
- Juste un peu ?
Camille attrapa les deux premiers boutons de son décolleté et les fit sauter, dévoilant le sillon de sa poitrine pleine.



- Et là ?
- C'est mieux effectivement...
Boris sentait son sexe gonfler peu à peu. Sa femme se comportait comme la reine des salopes et, malgré la surprise car c'était extrêmement rare, il adorait ça. Les cafés furent apportés et le serveur ne manqua pas de plonger un regard insistant dans le décolleté de la belle. Il en fut si distrait qu'il laissa tomber les serviettes en papier. Camille se pencha pour les ramasser. En se redressant, Boris laissa échapper un "Magnifique !" : d'où il était, il entrevoyait l'entrecuisse dénudé de sa femme et un téton tentait une sortie par le bord du décolleté.



Camille ne comprit pas tout de suite pourquoi son mari avait dit ça. C'est en voyant le serveur toujours à côté d'elle, statufié, qu'elle regarda sa robe et se rajusta rapidement. Le serveur partit, tout rêveur. Camille fit mine de gronder Boris.
- "Magnifique" ? Tu aurais pu me prévenir au lieu de dire "Magnifique"...
- Désolé, ma chérie, mais c'était trop beau pour ne pas essayer de faire durer cet instant magique.
- Et tu bandes toujours ?
- Plus que jamais.
Elle regarda autour d'elle et voyant que personne ne faisait trop attention à eux, elle dégagea complètement un sein de la robe et commença à le caresser.



Boris en eut le souffle coupé, le garçon qui ressortait avec une nouvelle commande aussi : il manqua de renverser la totalité de son plateau. Camille ne s'en formalisa pas et continua tranquillement en regardant son mari droit dans les yeux.
- Tu n'as pas envie de me baiser, là ?
- C'est depuis qu'on est parti à la plage que j'ai envie de te faire l'amour...
Camille se rajusta. Dans la bagarre, deux autres boutons avaient sauté rendant son décolleté complètement indécent.



- Je pense qu'il vaudrait mieux qu'on rentre.
- Si tu ne veux pas que je te viole sur place, effectivement !
Camille se releva. Elle était tout aussi excitée que Boris et avait hâte d'être rentrée. Boris laissa l'argent pour les cafés. Camille regarda et dit :
- Tu laisses pas de pourboire ?
- Tu lui as déjà fournis bien plus qu'un pourboire...
D'ailleurs, le serveur n'était pas loin et profitait de la vue tant que sa cliente coquine était toujours là : par l'entrebâillement de la robe, il pouvait voir le profil d'un sein nu et en était très ému.



En montant chez eux, Camille et Boris s'échangèrent de longs baisers. Boris en profita pour laisser ses mains vagabonder dans le décolleté, parfois sur ses fesses et il s'amusa même à lui taquiner le clitoris. Camille de son côté avait plongé une main dans son caleçon et le masturbait tranquillement. Ils ne se décollèrent qu'une fois arrivés devant la porte. Boris n'avait pas encore glissé les clés dans la serrure que Camille avait déjà retiré sa robe. Le voisin de palier sortit de chez lui au moment où Boris ouvrait la porte. Camille s'y engouffra et Boris referma la porte derrière lui, laissant le pauvre voisin réfléchir à la réalité de ce qu'il venait de voir. Le temps de ranger ses affaires, Camille était déjà assise dans le salon à l'attendre, complètement nue.



Quand il arriva, elle lui dit :
- Comment se fait-il que tu aies encore des vêtements sur toi ?
Boris réagit au quart de tour et retira tous ses vêtements en quelques secondes, les laissant en bouchon dans un coin. Camille se leva et se mit à danser devant en lui en observant son membre gonflé.
- Je veux le voir tendu au maximum ! dit-elle.
Effectivement, bien qu'il était en érection, celle-ci pouvait être bien plus impressionnante. Il n'eut cependant pas besoin de se concentrer. La seule vision de sa femme dansant nue devant lui, exposant son corps aux courbes parfaites, aux rondeurs généreuses, suffisait à donner à son sexe sa vigueur maximale.



Quand Camille jugea que le résultat était satisfaisant, elle continua à onduler mais se dirigea vers le canapé. Elle s'y installa à quatre pattes et, les cuisses écartées, se cambra pour lui présenter son postérieur. Il était difficile de faire plus accueillant et elle n'eut rien à ajouter pour lui signifier la manière dont elle souhaitait être prise.



Boris ne la fit pas attendre. Il présenta son membre entre les lèvres du sexe de sa femme. Celles-ci étaient trempées de cyprine. Il y pénétra donc avec une facilité déconcertant. Jamais il n'avait trouvé sa femme si ouverte. De son côté Camille sentait la tige qui la pénétrait petit à petit. Elle aussi avait le sentiment qu'il était plus gros que d'habitude. Boris prenait Camille en levrette.



Ils gardèrent cette position pendant dix bonnes minutes. C'est Camille qui demanda à changer. Elle fit s'asseoir Boris sur le canapé et vint le chevaucher. Elle s'empala aisément sur la tige de chair et entama d'amples mouvements de bassin. Elle se cambra au maximum pour lui présenter ses seins devant le visage. Boris pencha un peu la tête pour pouvoir lécher un mamelon.



Camille alternait des phases tranquilles où elle bougeait à peine et d'autres où elle chevauchait le sexe de Boris avec une ardeur qu'il n'avait jamais soupçonné. Il voyait alors la poitrine de sa femme s'agiter sous ses yeux et cela lui plaisait beaucoup.



Epuisée et sentant qu'elle allait bientôt jouir, Camille demanda à changer une dernière fois. Elle s'allongea sur le canapé et attira Boris à elle. Il lui attrapa une jambe et la souleva par dessus son épaule pour ouvrir d'avantage l'accès à son entrejambe. Il posa ensuite son sexe sur celui de Camille et fit de petit mouvement circulaire. Son gland masturbait ainsi le clitoris de Camille. Elle sembla beaucoup apprécier le traitement.



Mais au bout de deux minutes, elle l'implora de la prendre. Il la pénétra donc de toute sa longueur. Il ressortait presque complètement, ne laissant que son gland dans le sexe de sa femme. Camille ne perdait pas son temps et se masturbait le clitoris du bout des doigts. En quelques minutes, ce traitement efficace l'amena à l'orgasme. Son corps fut secoué de spasme. Elle cria.



Boris allait jouir à son tour, mais Camille, bien qu'encore sous le coup de son orgasme, attrapa le sexe de son mari et l'attira au-dessus d'elle en le serrant à la base pour l'empêcher d'éjaculer. Une fois en position, elle relâcha la pression en le masturbant lentement. Boris cria aussi son plaisir, alors que les jets de sperme venaient s'écraser sur la poitrine et sur le visage de sa femme. Il jouit comme il n'avait jamais joui. Même Camille fut étonnée de voir la quantité de sperme qu'il avait répandue.



Camille resta un moment dans cette position, gardant le sexe de son mari en main. Celui-ci attrapa un mouchoir et essuya le visage de sa femme. C'était la première fois que Camille acceptait une éjaculation faciale. Boris ne la reconnaissait plus. Dans la même journée, elle avait fait du topless à la plage, elle s'était promenée sans culotte en ville, elle s'était exhibée dans un bar et elle avait finalement terminé la journée par un feu d'artifice sexuel inoubliable.
Ce que Boris ignorait alors, c'est que ces changements il allait maintenant en profiter régulièrement !

Boris^ ---------oOo---------

2. Le magasin de vêtements

La reprise du lundi fut assez difficile. Boris avait du mal à se concentrer à cause des souvenirs de la veille. De son côté, Camille semblait s'être assagie. Pourtant, ce que Boris ignorait, c'est qu'elle pensait déjà à d'autres jeux coquins. Le vendredi soir, après une semaine relativement calme, Camille demanda à Boris :
- On fait les boutiques de fringue demain ?
- Si tu veux...
- Pas plus motivé que ça ?
- Que veux-tu dire ?
- Si je m'exhibe un peu, ça te motivera ?
- Tout dépend jusqu'où tu es prête à aller...
- Hmmm... d'abord, pas de soutif !
- C'est un bon début.
- Ensuite j'essaie des robes sexy et j'abandonne ma culotte.
- Effectivement, ça me motive assez.
- Et comme tu m'as dit le week-end dernier à la plage que ça t'exciterait de me voir prise par un autre, je me tape un des clients de la boutique !
- Ah oui ???
- Ça t'embêterait ?
- Oh non ! Je m'étonne que ce soit toi qui le proposes...
- Ouais, enfin... on verra... c'est pas encore fait.

Le lendemain, elle avait mis une jupette noire et un débardeur blanc qui enserrait magnifiquement sa formidable poitrine. Ses tétons pointaient légèrement à travers le tissu, signe qu'elle était déjà excitée. Arrivée au magasin, elle dit à Boris de lui choisir ce qu'il voulait lui voir essayer et alla s'enfermer dans une cabine. Je trouvais une jolie petite robe noire avec un petit décolleté. Lorsque je tirai le rideau de sa cabine, elle finissait tout juste de tout retirer... y compris sa culotte !



- Déjà ? demanda Boris
- Quoi !
- Tu quittes déjà ta culotte ?
- Oui pourquoi ? Tu préfères que je la garde ?
- Il faut y aller progressivement. Tu peux toujours la garder avec la robe et la retirer une fois qu'on aura vu ce que ça donne.
Boris était soufflé : c'est lui qui demandait à sa femme de remettre sa culotte.
- Tu peux refermer le rideau s'il te plaît ?
- Pardon ?
Boris prit conscience un peu tard que le rideau était grand ouvert et que quelques personnes admiraient déjà les courbes parfaites de sa femme.



Camille referma donc le rideau. Boris se retourna et vit que trois ou quatre hommes ne s'occupaient plus du tout de leur compagne et reluquaient sans arrêt vers le rideau de la cabine devant laquelle il se tenait. Quand Camille rouvrit, elle avait passé la robe noire. Elle lui allait à merveille. Sexy en diable.



- Alors ? Comment tu me trouves ?
- Tu es superbe, même avec ce sage décolleté !
Elle regarda le décolleté et entreprit aussitôt de l'agrandir. Elle retira les premiers boutons et laissa l'ouverture s'évaser. Ce n'était déjà plus un décolleté... Ses seins débordaient presque. Boris sentit immédiatement son sexe se durcir. Il se retourna rapidement pour constater qu'un jeune vendeur se tenait juste derrière lui et admirait sa femme. Cela l'amusa beaucoup. Lui aussi devait probablement bander.



Le vendeur se permit d'intervenir :
- C'est un défaut de cette robe, les boutons tiennent assez mal et ont tendance à ouvrir un peu trop la robe.
L'hypocrite ! pensa Boris. Camille lui répondit :
- Les boutons tiennent assez bien. C'est moi qui les ai ouverts ainsi. C'est mieux non ?
Le vendeur était bouche bée et n'osait rien dire. Il repartit soudainement, ne sachant probablement pas comment réagir à une telle situation.
Camille s'en amusa :
- Eh ! Il va où ?
- Tu l'as mis mal à l'aise...
- Je ne lui ai quand même pas montré mes seins !
Elle joignit les gestes à la parole en tirant le décolleté vers le bas pour dégager son extraordinaire poitrine.



Le rideau de la cabine était bien sûr toujours ouvert et Boris ne prit pas la peine de se retourner : il voyait dans le miroir au fond de la cabine que quelques hommes n'avaient rien perdu du spectacle que leur offrait sa femme. Boris hésita quand même à refermer le rideau. Mais Camille ne lui en laissa pas le temps. Elle se retourna et se pencha en avant pour faire glisser sa culotte.



Boris restait incrédule face à un tel déluge de fausse candeur. Elle se redressa, comme si de rien était, alors qu'elle venait d'offrir en spectacle à près d'une dizaine de client son postérieur (magnifique au demeurant) totalement dénudé, ainsi que, pour les quelques chanceux qui se trouvaient bien placés, les lèvres de son minou. Elle rajusta un peu sa robe sur ses fesses, mais en prenant suffisamment de temps pour que ce ne soit pas trop rapide.



- Alors ?
- ...
- Tu trouves ça mieux sans ?
Boris resta sans voix. Pour le faire réagir, elle souleva le devant de sa robe et exposa son sexe dénudé.
- J'ai retiré ma culotte... Tu as remarqué ?



Boris était estomaqué de tant de désinvolture. Il ne reconnaissait plus sa femme. Elle avait rabaissé le bas de sa robe et s'amusait de voir son mari complètement subjugué. Le petit vendeur repassa :
- Et bien, elle vous va parfaitement, cette robe !
- Merci.
- Et le décolleté, ça va aussi finalement.
Camille fit glisser les bretelles de la robe sur ses épaules et lui dit :
- Il n'y a qu'un léger défaut...
- Lequel ?
- Les bretelles, elles glissent facilement et alors...
Elle tira légèrement sur le bas de la robe et fit dégager ses seins, complètement.



Le petit vendeur se précipita et lui rajusta ses bretelles, ne sachant pas quoi lui répondre. Finalement, il trouva une parade :
- Il vous faut autre chose, mademoiselle ?
- Madame ! Oui, des chaussures pour voir ce que ça donne avec des talons.
Camille sortit de la cabine et fila vers le rayon chaussures suivie par un Boris en érection et une dizaine de paires d'yeux lubriques. Elle continua le spectacle. Arrivée au rayon elle se pencha généreusement en avant pour regarder les chaussures en bas de rayon et, de ce fait, exposa à nouveau son popotin et son sexe nu.



Boris sentait son sexe palpiter dans son pantalon. Il mourrait d'envie de se libérer, de se branler et d'investir se magnifique postérieur qui se dévoilait à tous sans la moindre gène. Dès qu'elle eut choisi une paire de chaussure à talon, Camille s'installa par terre, cuisses écartées. Boris se concentra pour s'assurer de ne pas jouir rien qu'à regarder sa femme se dévergonder ainsi. D'où il était, il avait une vue imprenable sur le bas-ventre de sa femme. Et il n'était pas le seul...



Camille se redressa et fila à la cabine pour voir ce que la robe donnait avec les chaussures. Elle se trémoussait devant la glace, ce qui sembla achever Boris. Il lui glissa à l'oreille :
- Chérie, je n'en peux plus... Je vais éjaculer dans mon froc si tu continues !
- Carrément ! Tu n'es pas très résistant... Viens là !
Elle entra dans la cabine et referma le rideau. Il allait entrer à son tour, mais elle le laissa au niveau du rideau. Elle écarta un peu le rideau de manière à ce que Boris puisse passer la tête et s'agenouilla devant lui. Elle lui sortit son membre turgescent et le prit en bouche. Elle n'eut pas à le sucer très longtemps : Boris était si excité qu'il éjacula moins d'une minute après. Le plus dur pour lui fut de contrôler ses spasmes au moment de jouir et de ne pas faire de bruit.



Il se concentrait tellement qu'il ne prit pas conscience aussitôt que sa femme avait avalé toute sa semence sans rien dire. Quand elle abandonna enfin sa prise, Boris se rajusta et proposa à Camille de lui amener une autre robe. Elle accepta. Encore sous le choc, Boris repartit très lentement vers les rayons. Il lui ramena une robe beige boutonnée sur le devant. Camille avait remis sa culotte. Elle enfila la robe sans en boutonner le haut et sortit pour montrer à Boris.



- Elle est pas terrible celle-là. Qu'est-ce que tu en penses ?
- Mouais, elle est pas mal, mais moins bien que l'autre... Je vais t'en chercher une autre.
Le petit vendeur repassa alors que Boris repartait. Camille retira un peu le rideau mais pas complètement. Elle savait forcément que rideau n'était pas assez tiré et que le vendeur l'observait discrètement. Malgré cela, elle fit mine de l'ignorer et retira sa robe, exhibant sa poitrine pleine.



Elle commença à faire glisser sa culotte. Elle jeta un regard au rideau entrebâillé et vit que le vendeur la dévorait des yeux. Boris revint à ce moment. Le vendeur commença à partir mais Boris lui mit une main sur l'épaule pour qu'il garde sa position. Il sembla ne pas comprendre. Boris lui fit un signe de tête pour qu'il regarde en direction de Camille. Le vendeur comprit que s'il avait l'aval du mari, il ne fallait pas se priver. Camille retirait donc sa culotte, exhibant maintenant aussi son sexe épilé précisément.



Boris porta une main à son pantalon et commença à se caresser. Il sentait qu'une érection revenait au galop. Le vendeur le vit faire et hésita quelques secondes avant de l'imiter. Dans la cabine, Camille, pas dupe du tout de la situation, commençait à se caresser. Ses mains se perdaient entre ses cuisses et Boris voyait que deux doigts fouillaient déjà son intimité. D'un geste brusque, il tira le rideau pour l'ouvrir davantage.



Camille fit comme si elle était surprise. Boris réagit aussitôt :
- Ma chérie, j'ai vu une superbe robe, mais elle hors de prix... Est-ce que tu veux l'essayer quand même !
- T'es fou d'ouvrir comme ça !
Camille tourna le dos à l'entrée de la cabine dans un réflexe de pudeur. Elle ne fit pas tout de suite attention au fait qu'elle était face à un miroir qui renvoyait aux gens ce qu'elle cherchait justement à dissimuler maladroitement.



- Et bien, va me la chercher cette robe !
Boris partit. Là où il avait été très fort, c'est que le coup sec qu'il avait donné pour ouvrir le rideau avait coincé celui-ci. Camille en attrapa le bout pour le refermer mais sans succès.



Elle se retourna vers le vendeur qui n'en revenait toujours pas que cette fille s'exhibe ainsi sans aucune pudeur :
- Vous m'aideriez s'il vous plaît ? Je crois que le rideau est coincé...
Comme elle disait cela, elle lui faisait un sourire plutôt accueillant.



Le vendeur s'attaqua aussitôt au rideau et en quelques secondes parvint à décoincer celui-ci. Alors qu'il allait partir, les yeux pétillants de ce qu'il venait de voir et le sexe complètement raide, Camille l'appela :
- Vous n'allez pas partir ainsi ? Laissez moi vous remercier.
Elle lui attrapa les mains et les mis directement sur ses seins. Camille crut un instant qu'il allait éjaculer sur place rien qu'à la peloter !



Elle le laissa jouer ainsi quelques secondes, s'assurant ainsi qu'il ne partirait pas en courrant. Puis elle s'agenouilla devant lui et sortir son membre tendu. Il était moins impressionnant que celui de Boris mais avait de bonnes dimensions malgré tout. Camille entreprit de le masturber entre ses seins.



Le vendeur avait l'air d'apprécier la formule et la laissa faire ainsi plusieurs minutes. Sentant qu'il allait jouir, il se dégagea rapidement et se masturba devant le visage de Camille. Il éjacula par saccades de sperme épais qui maculèrent Camille. La semence lui coulait sur les seins. Elle en avait même dans les cheveux.



Le vendeur ne prit pas le temps de se nettoyer et remballa son engin rapidement. Il remercia Camille et sortit. Boris en profita pour rentrer.
- Alors, c'était bien ?
- Bof, un peu frustrant... Tu as un mouchoir ?
Boris sortit un paquet de kleenex de sa poche et nettoya lui-même le visage de sa femme.
- Tu l'as juste sucé ?
- Même pas, je l'ai pris entre mes seins et il m'a tout balancé en moins de cinq minutes.
Camille remit son débardeur et sa jupe. Boris profita qu'elle remettait ses chaussures pour plonger son regard dans le joli décolleté de sa femme.



Il rouvrit le rideau et sortit. Alors que quelques personnes regardaient vers eux, c'est le moment que choisit Camille pour mettre son pied sur le banc de la cabine afin de relacer sa chaussure. Cuisses écartées, elle montrait ainsi à tous qu'elle n'avait pas remis sa culotte...



Boris^ ---------oOo---------

3. Un après-midi d'exhibition

Après cette fin de matinée incroyable, Boris pensait que Camille était déjà allée plus loin qu'il ne l'aurait jamais espéré. Elle avait exhibé sa nudité complète dans le magasin de vêtements et avait offert sa bouche, non seulement à Boris, mais aussi à un jeune vendeur. Camille aurait été en droit d'estimer que sa journée avait été suffisamment remplie. Pourtant, en sortant du magasin, toujours sans sous-vêtement, elle proposa à Boris de faire encore quelques boutiques avant d'aller manger en ville.



Boris la suivait bien sûr partout où elle allait. Il n'avait pas débandé depuis la fellation dans la cabine d'essayage. Il faut dire que sa femme allait au-delà des fantasmes les plus fous qu'il aurait pus imaginer. Camille décida de faire le tour d'un grand magasin et passa ainsi beaucoup de temps dans les escalators. Dans ces cas-là, Boris ne restait pas à côté d'elle : il s'amusait de voir les gens constater que sa femme se baladait sans culotte et les laissait la suivre, voir même la draguer parfois. Il intervenait à chaque fois qu'il pensait que la situation était sur le point de déraper et rejoignait sa femme qu'il embrassait goulûment pour montrer aux intéressés que la jolie fille était déjà prise. Camille ne cherchait donc jamais à dissimuler qu'elle ne portait pas de culotte, bien au contraire.



Une fois sortis du magasin, Boris la laissa marcher un peu devant. Elle avait remonté sa jupe au maximum sur sa taille et tout le monde pouvait voir le bas de ses fesses. Boris pensa même que les enfants qu'elle croisait devaient carrément voir son sexe nu. Un homme assez âgé arrêta Camille. Boris s'approcha mais fit mine de regarder une vitrine.
- Tu n'as pas peur d'attraper froid ?
- Vous plaisantez ? Je suis si excitée que c'est un vrai brasier là-dessous.
- T'es excitée de te promener la chatte à l'air ?
- Oui et parce que j'ai une envie folle de me toucher.
- Tu veux que je t'aide à éteindre ce feu ?
- Merci, mais c'est beaucoup trop sensible. Je vais me masturber en rentrant, ça suffira.
Le type aurait mangé son chapeau s'il en avait eu un !



Le type se mit derrière elle et passa une main sous la jupe. Les passants autours ouvrir des yeux énormes. Camille ferma les siens. Cette douce caresse sur son sexe, elle l'attendait depuis longtemps. Ces doigts qui parcouraient son intimité lui procuraient une plaisir immense. Elle l'aurait probablement laissé continuer jusqu'à l'orgasme si Boris ne s'était pas approché.
- On y va, chérie ?
Le type retira sa main et partit en sens inverse comme s'il venait de se rappeler qu'il avait une course urgent. Boris admira le postérieur en feu de femme : bien que le type soit parti, elle se tenait toujours légèrement cambrée, les jambes un peu écartées et la jupe un peu trop relevée. Magnifique vision.



Boris tira un peu la jupe et demanda à Camille d'avancer avant que les badauds ne s'intéressent un peu trop à eux. Midi était déjà passé depuis un moment. Ils rentrèrent dans le premier restaurant qu'ils trouvèrent. La salle du bas était comble, mais il restait quelques places à l'étage, en mezzanine. Il demanda à Camille de monter choisir la table. Elle lui indiqua une petite table le long de la paroi vitrée de la mezzanine. Boris lui fit signe que c'était très bien. Camille décida de regagner l'autre côté de la table en longeant la vitre. Beaucoup de têtes se levèrent et restèrent coincées en découvrant cette jeune femme qui offrait son sexe nu à la vue de tous.



Boris la rejoignit rapidement, craignant que quelqu'un vienne s'asseoir à sa place pour draguer sa femme. Une fois assise, elle le regarda dans les yeux :
- Tu bandes ?
- Depuis la pipe de ce matin, je n'ai pas arrêté. Mais sinon oui, je bande comme sans doute une bonne vingtaine de gars de la salle du bas qui ont admiré ton popotin.
- Moi je mouille comme jamais...
Boris fit tomber sa serviette et se pencha sous la table pour observer les dires de sa femme. Elle écarta les cuisses pour lui montrer son sexe humide.



Boris se redressa :
- Effectivement, je comprends que ce monsieur tout à l'heure ai voulu t'aider !
- Heureusement que tu étais là...
- Ah ?
- Je l'aurais laissé me violer sur place tellement j'en ai envie.
- Ce n'est plus un viol si tu es consentante...
Une fois le repas terminé et l'adition réglée, Boris se leva et tira la table vers lui pour permettre à sa femme de se lever. Camille eut tout juste le temps de remettre sa jupe convenablement.



Boris considéra la situation. Sa femme s'était manifestement beaucoup tripotée la moule pendant le repas. La nappe ne dépassait pas de la table et ne cachait rien du tout. Une demi-douzaine de personnes avaient dû l'observer se toucher. Cela excitait vraiment Boris. Il n'était décidément pas près de débander. Une fois dehors, Camille se tourna vers Boris.
- Il faut absolument qu'on rentre.
- Ne nous pressons pas, ce sera encore meilleur.
- J'ai chaud !



- Ce n'est pourtant pas pour la quantité de tissu que tu portes !
Camille commença à se caresser les seins à travers son débardeur. Boris lui prit la main et l'entraina au pas de course dans un petit parc peu fréquenté.
- Un peu de tranquillité ne nous fera pas de mal... dit Boris une fois arrivée sur place.
- Tu veux qu'on baise ici ?
Camille soulevait déjà son tee-shirt.



Boris regarda aux alentours. Quelques personnes plus loin, trop loin pour qu'ils puissent voir. Il dit cependant à Camille :
- Chérie, on va attendre d'être à la maison.
- Embrasse mes seins quand même !
Boris resta quelques secondes bouche bée. Elle avait soulevé son débardeur pour dégager ses seins. Jamais Boris n'aurait imaginé tout ça de sa femme deux semaines auparavant.



Boris s'approcha et commença à les embrasser. Camille feula de plaisir. Boris entendit des pas s'approcher, il se redressa et rabaissa le débardeur pour dissimuler l'objet de sa convoitise. Un couple passa près d'eux, sourire aux lèvres. Ils n'étaient manifestement pas dupes de ce qui venait de se passer. Dès qu'ils furent partis, Camille s'appuya à un banc en tournant le dos à son mari et se cambra en dévoilant son cul.
- Embrasse-moi là aussi !



Personne n'étant dans les parages, Boris se mis accroupi derrière elle et commença à lui embrasser les fesses. Quand il fit descendre sa langue sur les lèvres trempées du sexe de sa femme, celle-ci se mit à gémir. Il fit tournoyer sa langue dans le sillon et s'attardait de temps en temps plus particulièrement sur le clitoris. En moins de deux minutes, Camille se cabra et se mit à pousser de petits cris stridents. Elle avait son premier orgasme de la journée. Un orgasme bien mérité.
Dès qu'elle fut remise de ses émotions, ils décidèrent de regagner la voiture. Ils croisèrent quelques personnes, mais Camille avait rajusté un peu sa jupe et, étant accompagnée de Boris, les gens osaient moins la détailler. Par jeu, Boris s'amusa à lancer les clés de la voiture par terre devant lui et s'arrêta net. Camille s'avança jusqu'aux clés et se pencha pour les ramasser.



Elle réalisait donc le moindre de ses fantasmes, répondant à l'appel à chaque désir qu'il avait de l'exhiber, de la caresser, de la prendre. Elle était à la fois sa chose et en même temps Boris ne l'avait jamais vue si libérée. Arrivée à la voiture, elle s'appuya au coffre et se cambra pour lui montrer encore une fois son intimité dévoilée.
- Tu conduis ou je conduis, chéri ?



- Je vais conduire.
Il s'installa au volant. Soudain elle se retourna et essaya d'attraper quelque chose derrière.
- Quelque tu cherches ? demanda Boris.
- La robe noire qu'on a achetée ce matin.
Boris eut soudain le souffle coupé : un type avait le visage collé à la vitre de Camille ! Et pour cause !!! Dans la position où elle était, elle montrait une nouvelle fois ses fesses cambrées et son sexe toujours humide. Boris ne dit rien à propos du voyeur et se contenta de passer une main sous elle pour atteindre son sexe. Il était toujours aussi brûlant. Elle resta ainsi, profitant de la caresse de son mari.



En quelques minutes, elle eut un nouvel orgasme. Elle se remit à sa place, la petite robe noire à la main, et sursauta en découvrant le type qui regardait toujours à sa vitre. Il se redressa et s'éloigna, l'air déçu que Camille ne lui propose pas une petite gâterie.
- Et bien ! Si après ça je ne suis pas la plus belle salope de la ville...
- Tu es la plus belle, ça c'est sûr. Salope, c'est assez neuf comme concept, mais je pense que je vais m'y faire très vite.
Dès qu'ils furent chez eux, Camille fila dans la chambre. Boris l'entendit dire au moment où elle ressortait :
- Il avait raison le vendeur !
Boris leva les yeux :
- A quel sujet ?
Il eut la réponse. Camille avait bien enfilé la robe noire mais avait dégagé sa merveilleuse poitrine du décolleté.



- Il s'ouvre trop ce décolleté.
Boris s'approcha d'elle et fit glisser les bretelles des épaules :
- Et c'est vrai que les bretelles ont tendance à glisser facilement...
La robe tomba au sol, laissant Camille totalement nue.



Elle avança vers le canapé et se retourna vers Boris :
- Boris, va falloir assurer !
- Je suis là pour ça, ma chérie.
- Tu as eu beau me faire jouir deux fois cette après-midi, j'ai encore une envie folle de baiser.
- Pour le moment c'est vrai que nous n'avons pas fait l'amour.
- Tu bandes toujours ?
- Toujours ! Et méfie-toi, le coup peut partir à tout moment...
- Et bien débrouille-toi pour que ça dure au moins une heure !



Camille se jeta sur lui, lui retirant tous ses vêtements en quelques secondes. Elle le fit s'asseoir sur le canapé et s'empara aussitôt de queue dressée. Il était effectivement on ne peut plus raide et Boris voyait la suite des événements comme une délivrance car son érection lui était presque devenue douloureuse. Camille resta quelques instants à admirer la taille de l'engin, tant l'excitation lui avait donné des proportions monstrueuses.



Elle posa ses lèvres sur le gland et resta quelques secondes ainsi, faisant jouer sa langue sur l'extrémité. Voyant qu'elle n'était pas très à son aise pour le sucer, Boris se releva et, la laissant à quatre pattes sur le canapé, lui présenta son membre à hauteur de visage. Elle le goba et le suça tant et si bien que Boris dû lui demander d'arrêter pour ne pas jouir dans sa bouche.



Camille le fit donc se rassoire et l'enjamba pour s'empaler sur la longue tige. Elle mouillait tellement que malgré la grosseur inhabituelle du sexe de son mari, elle se l'inséra sans problème. Elle coulissait parfaitement sur se sexe qui la remplissait complètement. Elle avait l'impression que c'était la première fois qu'elle faisait l'amour ainsi. Boris, lui aussi, prenait un plaisir énorme à enfin pouvoir pénétrer sa femme.



Camille ne fut pas longue à jouir. Sentant l'orgasme venir, elle se mit à chevaucher son mari de plus en plus vite. Celui-ci en profita pour lui caresser les seins. Elle laissa exploser son plaisir par de petits cris aigus, continuant à monter et descendre sur la hampe de chaire. Mais Boris se concentrait pour ne pas jouir tout de suite.



Une fois remise de cet orgasme, Camille décida de se retourner pour faire jouir son mari. Ainsi elle maîtrisait mieux le rythme de son bassin sur la tige de Boris. Mais Boris ne voulait pas être terminé ainsi et il resta concentré. Camille se déchaîna tant et si bien qu'un nouvel orgasme l'envahit rapidement, encore plus violent que le précédent.



Voyant que son mari ne souhaitait pas jouir ainsi, elle se releva et attendit de voir ce qu'il allait faire. Boris se leva et commença à se masturber. Elle comprit la manière dont il souhaitait jouir et se mit à genou devant lui. D'elle-même, à la grande surprise de Boris, elle ouvrit la bouche et sortit sa langue pour lui lécher la base du gland. Boris sentait qu'il allait venir, il s'astiqua de plus en plus vite. Enfin, le sperme jaillit et vint inonder la bouche de sa femme. Elle n'avala pas et laissa la semence dégouliner de son menton. Tout en éjaculant, Boris laissait échapper de grands râles.



Camille attrapa le membre encore palpitant et le reprit en bouche, l'enduisant du sperme qui maculait encore sa langue. Le jus coulait partout. Elle en avait plein la bouche, mais aussi sur les mains, et il en coulait sur sa poitrine et par terre. Boris trouvait cela incroyable : jamais Camille n'avait eut un tel rapport au sperme. Il avait toujours considéré sa femme comme une épouse classique qui se contentait du missionnaire et parfois de l'amazone. Aujourd'hui, elle lui avait carrément offert sa bouche à deux reprises.



Boris^ ---------oOo---------

4. Le rendez-vous chez une collègue de Camille

Le lendemain, Dimanche, Camille et Boris avaient rendez-vous chez Laurine, une collègue de travail de Camille. Laurine et son copain, Pascal, voulaient vendre un appartement en centre ville. Camille et Boris, potentiellement intéressés, voulaient le visiter. Rendez-vous avait donc été pris pour le début d'après-midi.
Camille était très excitée car sa collègue Laurine était une jeune femme très sexy qui ne ratait pas une occasion de jouir de la vie. Elle avait déjà essayé d'embrasser Camille, pour lui démontrer l'intérêt d'une relation lesbienne. Mais Laurine n'était pas particulièrement lesbienne, d'ailleurs, Pascal, son copain, passait souvent aux bureaux et Camille les surprit plus d'une fois en pleins ébats dans la salle à café.
Rien que de penser se faire rencontrer les deux couples, Camille imaginait beaucoup de choses. Pour aller à ce rendez-vous, elle mit la petite robe noire, sans rien dessous. Dès que Boris s'en rendit compte (presque dès qu'ils sortirent de chez eux), il essaya à plusieurs reprises de glisser une main sous la robe pour lui taquiner le sexe ou lui caresser les fesses. Si bien que lorsqu'ils furent arrivés dans l'escalier de l'immeuble en question, Camille mouillait déjà comme une fontaine et Boris avait déjà une érection bien marquée.
Alors qu'ils commençaient à monter, Camille s'arrêta et s'assit sur une marche.



- Je n'en peux plus... Il faut que tu me prennes !
- Là ? Maintenant ?
- Oui...
Elle se releva et se pencha en avant, lui dévoilant ses fesses nues sous la robe et son sexe luisant de cyprine.



- Tu veux que je te prenne comme ça ?
- Oui, pour commencer...
- Et après ?
- Après, tu pourras essayer la voie étroite, si le coeur t'en dit...
Boris n'en revenait pas. Jamais sa femme n'avait accepté de sodomie. Son sexe se tendit encore davantage.



Alors qu'il était encore sur le coup de l'excellente nouvelle, Camille commençait à s'impatienter. Boris l'observa porter une main à son entrejambe et commencer à se caresser. Ses doigts glissaient entre les lèvres charnues et s'attardaient parfois sur le clitoris en formant de petits cercles. Soudain, Boris la vit s'enfoncer deux doigts.
- Alors ? Qu'est-ce que tu fous ?



Boris dégagea son érection. Il se masturba rapidement afin de s'assurer qu'il était bien au maximum de sa vigueur. Puis il passa une main contre le sexe de sa femme pour en récupérer la cyprine dont il s'enduisit le membre. Il posa son sexe contre celui de sa femme. Il sentit son gland comme happé. Lentement, il la pénétra jusqu'à la garde. Puis il ressortit presque complètement, laissant juste son gland en elle.



Elle poussait des petits gémissements de plaisir, presque un ronronnement. Boris commença à préparer l'autre entrée. Il sortit et se pencha pour lui lécher l'anus. Elle se tortillait de plaisir. Puis il y inséra un doigt. Cela ne posa aucun problème. Puis il en mit un second. Les parois commençaient à être étroites, mais au bout de quelques va-et-vient, il sentit que le chemin se faisait. Il essaya avec trois doigts. Camille lui murmura "Doucement...". Il fit donc rentrer ses doigts le plus lentement possible mais n'alla pas plus loin que la première phalange. Camille se retourna :
- Vas-y ! Je suis prête...
Boris la repris en levrette et fit trois allers et retours, histoire de se remettre en condition. Enfin, il vint positionner son gland contre l'anus de sa femme. C'est elle-même qui se saisit de son membre pour l'insérer petit à petit en elle. Quand il eut rentré la moitié de sa tige, elle le laissa opérer. Il commença à aller et venir lentement, essayant de plonger toujours un peu plus loin. Camille grimaçait, mais semblait trouver son plaisir. Boris, quant à lui, ayant le sexe trop enserré dans ce canal étroit, avait pour l'instant du mal à y trouver son compte.



Après quelques minutes, Camille demanda à changer de position. Elle le fit asseoir et, d'elle-même, elle vint s'empaler à nouveau l'anus sur la tige de son mari, en lui tournant le dos. Elle sembla nettement plus apprécier cette position et géra elle même la pénétration en montant et descendant sur ce sexe qui visitait pour le première fois son cul. En peu de temps, Camille eut un orgasme. Elle retint ses cris et laissa échapper des gémissements saccadés alors que des secousses lui parcouraient l'échine.



Elle se releva. Boris souriait.
- C'était formidable, mon chéri. Il faudra qu'on le refasse.
- Je ne suis pas contre...
- Tu n'as pas joui ?
- Pas encore, mais ce n'est pas grave.
Boris n'ayant pas jouit, elle s'agenouilla entre ses cuisses et se saisit de son membre toujours bien raide. Elle le prit en bouche et le pompa vigoureusement.



Il n'en fallait pas beaucoup pour que Boris jouisse. A peine une minute, et il se redressa. Camille ouvrit la bouche. Il s'astiqua la tige deux ou trois fois avant que les premières giclées de sperme d'arrivent. Sous la violence des jets, il ne visa pas très bien au début et sa femme reçut du sperme sur le front, dans les cheveux, sur les joues et finalement un peu sur la langue.



Une fois la douche de sperme achevée, Camille reprit le sexe de son mari en bouche et le nettoya méticuleusement. Boris sortit un mouchoir et essuya le visage de sa femme. Camille se redressa, superbe. Sa robe était ouverte et Boris admirait ses courbes parfaites.
- Tu suces divinement bien ma chérie.
- Merci, mais il faut qu'on y aille. Laurine doit nous attendre.



Quand ils frappèrent à la porte, c'est une splendide jeune femme blonde qui les accueillit. Elle portait une jupe et un débardeur légèrement transparent qui dissimulait relativement mal une poitrine bien fournie.
- Bonjour, je suis Laurine. Voici Pascal. Pascal, c'est Camille, ma collègue que tu as sûrement déjà vue aux bureaux, et Boris son mari.
- Enchantés.
- Entrez, entrez et installez-vous.



Laurine entra directement dans le vif du sujet :
- Dites donc, vous aviez l'air de bien vous occuper dans l'escalier...
- Tu nous as entendu ?
- On vous a aperçus...
- Mince !
- Te chagrines pas, Camille. Vous nous avez drôlement excités du coup...
- Ah ? Tu préfères qu'on revienne plus tard ?
- Non...
Pascal intervint à son tour :
- Il faut dire Boris pour ta défense, qu'il doit être terriblement difficile de résister à une femme comme Camille.
- J'avoue que résister, je n'y arrive jamais !
- De ce que j'ai aperçu, elle a un corps somptueux.
- De ce que j'aperçois, Laurine n'a rien à lui envier !
Pascal se tourna vers sa copine :
- Chérie, je crois que tes nichons sont à son goût.
Laurine, à la stupéfaction de Camille et Boris, retira son débardeur, se présentant la poitrine nue.



Boris resta bouche bée : les seins de Laurine étaient vraiment magnifiques, un peu plus lourds que ceux de Camille, mais gonflés, pleins. Il avait envie de s'en saisir et de les malaxer. Laurine demanda à Camille :
- Et toi ? Qu'en penses-tu ?
Camille souriait. Laurine savait forcément que Camille les avait plusieurs fois surpris, elle et Pascal, complètement nus dans la salle à café aux bureaux. Aussi n'était-ce pas la première fois qu'elle pouvait juger de la beauté de sa poitrine.
- Ta poitrine est parfaite ! répondit tout de même Camille.



Pascal s'approcha de sa femme et s'assit à côté d'elle.
- Et ce dont vous ne vous rendez pas compte, c'est à quel point ils sont fermes, doux et chauds...
En même temps qu'il disait cela, ses mains s'étaient emparés des seins et les caressaient tranquillement.



Laurine commença à perdre son self-control. Elle resta la bouche entrouverte à regarder Pascal la peloter. Celui-ci continua ses commentaires.
- Le problème, c'est que Laurine est très sensible des nichons et que rien que de les caresser, ça suffit à la faire mouiller...
Il souleva la jupe de sa femme. Elle ne portait pas de culotte...
- Vous voyez ? Une vraie fontaine !
Camille constata effectivement que la demoiselle était passablement excitée : les lèvres de son sexe étaient luisantes et s'entrouvraient déjà. Pascal n'y résista d'ailleurs pas longtemps et il commença à lui caresser le clitoris d'un bout de l'index.



Laurine ne devait plus trop savoir que faire et repoussa Pascal.
- Arrête ! Peut-être que Camille et Boris n'ont pas envie de voir ça.
Boris n'osa pas répondre, mais, par bonheur, Camille répondit aussitôt :
- Oh, ne vous inquiétez pas pour nous. Moi j'ai déjà eu l'occasion de vous voir en action et je suis certaine que Boris ne regrettera pas le spectacle.
- Dans ce cas... répondit Laurine en se levant.
Elle tourna la tête vers Pascal et commença à se caresser les seins, avec l'intention manifeste de le mettre en érection.



Pascal ne perdit pas de temps. Sitôt le feu vert donné par Camille, il s'était débarrassé de tous ses vêtements. Il affichait effectivement une magnifique érection avec un membre peu épais mais assez long. Laurine vint se mettre à genou devant lui et saisit son sexe d'une main pour le masturber. En même temps, elle commença à lui sucer les testicules, ce que Pascal avait l'air de bien apprécier.



Quand elle estima lui avoir suffisamment léché les testicules, Laurine se releva et demanda à Camille :
- Dis-moi, vous avez fait quoi tout à l'heure ? Il t'a prise en levrette, c'est ça ?
- Oui, mais il m'a surtout sodomisée...
Camille souriait en se disant que Laurine allait sûrement vouloir faire au moins aussi bien qu'elle.



Elle se positionna la tête dans le canapé, tendant sa croupe accueillante à Pascal qui ne demandait pas mieux. Il s'approcha donc et se mit aussitôt à lui lécher l'anus. Boris et Camille voyaient sa langue pénétrer sur près de trois centimètre dans l'orifice. Laurine feulait, Camille mouillait et Boris bandait. Quand Pascal estima l'avoir suffisamment préparée, il se redressa et plaça sa tige entre les fesses de sa copine. Il mit quelques secondes à y introduire son gland. Une fois cela fait, il rentra le reste de son sexe d'un seul coup, le faisant pénétrer de toute sa longueur.



Pascal entrait et sortait du cul de Laurine qui semblait prendre un pied d'enfer. Camille s'amusa de remarquer que les lèvres du sexe de Laurine, toujours trempées, s'écartaient à chaque fois que Pascal s'enfonçait en elle, un peu comme si un deuxième sexe fantôme la baisait en même temps. Laurine porta d'ailleurs sa main à son entrejambe et commença à se caresser frénétiquement.



Constatant cela, Pascal l'abandonna et la regarda faire :
- Qu'est-ce que tu fous ? Tu préfères que je te prenne par là ?
- Mais non connard, c'est qu'il m'en faudrait une de plus...
- Désolé, j'ai qu'une bite !
Laurine, comme en manque, en était à se caresser, une main s'activant sur son sexe, l'autre sur son anus.



Camille se tourna vers Boris :
- Chéri, tu ne veux pas rendre service à ma collègue ?
- Tu déconnes ?
- Ça ne me dérange pas... Si toi ça te dit, n'hésite pas !
Boris n'y croyait pas ! Voilà que sa femme lui proposait de l'échangisme. Laurine, qui avait entendu l'échange, s'était levée et avait rejoint Boris pour l'aider à quitter ses vêtements dès qu'il fut nu, elle retourna s'empaler en amazone sur Pascal, assis sur le canapé, et fit signe à Boris de les rejoindre. Bien sûr, il ne lui restait guère le choix. Il investit donc son anus. Il fut presque surpris de le trouver si ouvert. Il faut dire que Pascal avait bien ouvert la voie. Ainsi prise, Laurine ne fut pas longue à jouir. Son orgasme arriva en quelques minutes et lui arracha des cris de plaisir alors que ses deux amants se déchaînaient en elle.



Quand la tempête se calma, Laurine demanda aux deux hommes de la laisser. Ils se relevèrent donc et elle vint se placer entre eux alors qu'ils se masturbaient déjà :
- Allez-y ! Branlez-vous ! J'veux qu'ça gicle !
Pascal qui était passablement excité ne résista que quelques secondes. Il plaça son gland entre les lèvres de sa copine au moment où les premiers jets de sperme arrivaient. Laurine n'avala manifestement rien et laissa échapper le liquide blanchâtre de ses lèvres, coulant sur son menton.



Après avoir proprement nettoyé Pascal, elle se tourna vers Boris qui se masturbait toujours :
- Alors ? Tu vas pouvoir réitérer ça une seconde fois ?
En guise de réponse, Boris laissa échapper un râle et éjacula une pluie de sperme sur le visage de la collègue de sa femme. Lui-même fut surpris de la quantité de sperme qu'il avait encore.



Quand il eut fini, Laurine le nettoya à son tour. Se relevant, le visage plein de sperme, elle se tourna vers Camille :
- Bon, on vous fait visiter cet appartement ?
- Comme ça ? Tu ne veux pas prendre une douche et te rhabiller ?
- Non, ça peut attendre. Je suis bien comme ça...
Et il en fut ainsi. Même Boris et Pascal restèrent nus, le sexe ridiculement flétri. Seule Camille avait gardé sa robe.
Un lien très fort venait de se nouer entre les deux couples et Boris continuait de découvrir chaque jour de nouvelles facettes aux désirs sexuels de sa femme.
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5. Le magasin de lingerie

Le lendemain en fin d'après-midi, Camille proposa à Boris d'aller en ville faire les boutiques. En fait, Camille avait l'idée de sortir pour exciter un peu son homme. Elle savait bien qu'il ne refuserait pas, en ce moment où Boris vivait un rêve éveillé alors qu'elle lui faisait vivre des fantasmes qu'il n'avait même pas imaginés. En fait, Camille ne voulait faire qu'une seule boutique : une boutique de lingerie.
Dès qu'ils furent entrés, Boris commença à être tout émoustillé. Camille demanda à Boris de lui choisir quelque chose de sexy. Alors qu'il sélectionnait une petite nuisette rose un peu transparente, Camille se choisissait un ensemble blanc. Ils filèrent aux cabines d'essayage. Boris attendit dehors, regardant d'autres jeunes femmes entrer et sortir des autres cabines. Camille l'appela enfin. Boris entra dans la cabine.



Boris trouva que la nuisette était superbe, car elle ne dissimulait bien sûr presque rien de l'anatomie de sa femme. Il sentit un début d'érection le gagner. Il se permit cependant une remarque.
- C'est très joli, ma chérie, mais...
- Mais ?
- Ce serait encore mieux sans culotte.
- Mais ce n'est pas une culotte : c'est un string !
Camille se pencha en avant et remonta un peu la nuisette pour le laisser constater qu'une petite ficelle lui courrait entre les fesses.



Boris sourit :
- Quand même, tu n'as jamais si peu porté de sous-vêtements et c'est dans cette boutique que tu as décidé de venir ?
- Oui, pour qu'on s'amuse un peu.
- Tu veux t'exhiber ?
- Pourquoi pas ? Et tu peux en profiter pour mater d'autres nanas si tu veux...
Camille retira sa nuisette alors que Boris n'avait pas refermé le rideau. Boris bandait désormais complètement.



Il se retourna pour voir, mais personne ne passait à ce moment-là. Il sortit et referma le rideau. Un homme approchait. Boris entendit le bruit du string qui glissait le long des jambes. Juste avant que l'homme ne soit à hauteur de la cabine, Boris ouvrit en grand la cabine prétextant une question à sa femme :
- Tu veux que j'aille te chercher autre chose, chérie ?
Camille était entièrement nue, magnifique. Et bien sûr, l'homme ne put s'empêcher de s'arrêter pour admirer le spectacle.



Camille sourit à cet inconnu, puis répondit à Boris :
- Oui, merci, va me chercher ce que tu veux.
Boris retourna vers la salle du magasin mais s'arrêta à la première cabine, restée entrouverte. Une jolie blonde s'y déshabillait. Elle n'avait pas complètement tiré le rideau et déboutonnait un chemisier sous lequel elle portait manifestement rien, dévoilant peu à peu une poitrine opulente.



Boris resta à admirer le spectacle. Ses seins étaient un peu lourds mais ils étaient superbes malgré tout. Elle ne le voyait pas et continua à se déshabiller, retirant son pantalon, puis sa culotte. Boris fut surpris de voir qu'elle s'épilait totalement l'entre-jambe. Pas un poil ! Il trouvait très excitant de regarder cette jeune femme à son insu.
Soudain, elle s'aperçut de sa présence et réagit en se plaquant les mains sur les seins.



Cela amusa Boris car son réflexe n'avait pas été de refermer le rideau, ni de dissimuler son sexe, comme si c'était ce qu'elle avait de plus précieux. Elle regardait Boris sans rien dire. Il la détailla encore un peu et prit la parole :
- Je m'excuse de mon sans gène, mais il aurait été criminel de ne pas profiter d'un tel spectacle, vous êtes tellement jolie.
- C'est gentil, mais j'aimerais que vous fermiez ce rideau, s'il vous plaît...
- Je n'en ferais rien. Il faudra que vous me priviez vous même de cette somptueuse vision.
Elle s'approcha donc du rideau, lâcha sa poitrine et tira à deux mains sur le rideau. Boris eut le temps d'admirer une dernière fois ce corps incroyable et tenta d'imprimer dans sa mémoire la dernière image qu'il avait eu de la jeune femme.



Ravi de cette rencontre, Boris repartit en salle pour choisir autre chose à essayer pour Camille. Il revient à la cabine avec un ensemble noir. Camille avait enfilé l'ensemble blanc et se présenta à Boris. Celui-ci commenta :
- Ça ne fait pas beaucoup trop de tissu, ça ?
- Idiot, dit-elle en rigolant.
Le soutien-gorge lui faisait une poitrine pigeonnante et paraître ses seins encore plus gros.



Boris s'approcha et lui tendit l'ensemble noir. Elle le prit et lui demanda :
- Tu en as mis du temps... juste pour ça !
- J'ai rencontré une fille...
- Dans le magasin ?
- Dans une cabine.
- En petite tenue ?
- Sans tenue du tout !
Camille rigola. Elle retira son soutien-gorge et, sans se soucier que le rideau était encore ouvert, commença aussi à faire glisser le string.



Le monsieur qui avait déjà profité du spectacle tout à l'heure, repassa comme par hasard au même moment et eut donc une vue imprenable sur le postérieur de la femme de Boris.
Camille demanda à Boris d'aller lui chercher quelque chose de sexy pour la nuit. Boris repartit donc en salle, la laissant essayer l'ensemble noir. Ce qu'il ne savait pas, c'est que dès qu'elle eut enfiler la lingerie, elle en profita pour passer dans la dernière cabine, quatre cabines plus loin. Aussi, quand Boris revint, il tira tout naturellement le rideau en pensant y découvrir Camille. Mais au lieu de ça, il découvrit le postérieur charmant d'une jolie jeune fille qui était en train de retirer sa culotte.



- Excusez-moi...Je cherche ma femme... J'étais certain qu'elle était dans cette cabine...
- Une brune en sous-vêtements noirs ?
- Oui...
- Elle a changé de cabine mais je ne sais pas laquelle...
- Merci
Elle ne semblait pas gênée alors qu'elle était nue devant Boris. Il referma le rideau et essaya la cabine à côté. Une jeune femme s'y déshabillait également.



- Eh ! Faut pas vous gêner !!! Espèce de voyeur !
Boris referma le rideau, il n'eut pas le temps de demanda quoique ce soit. Il était un peu déçu car la fille était encore une fois très jolie et il aurait bien pris quelques secondes pour la détailler un peu. Il essaya donc la cabine suivante. Il y trouva encore une demoiselle penchée en train de retirer sa culotte. Elle se tourna vers lui quand il ouvrit le rideau. Elle était fine avec des seins un peu lourds.



- Vous cherchez quelque chose ?
- Ma femme, mais ce que je trouve ici me convient aussi...
La fille rigola et se redressa. Elle s'avança jusqu'au rideau et le referma.
Boris trouvait très amusant le petit jeu que lui faisait faire Camille. Car il n'était pas dupe qu'elle avait changé de cabine dans le seul but de l'obliger à vérifier chaque cabine. La suivante fut la bonne : Camille l'attendait tout sourire, dans son ensemble noir très sexy.



- Alors, ça t'a plu ?
- Tu parles ! Il n'y a que des jolies filles ici !
- Elles ont été gentilles ?
- Certaines oui...
- Elles t'ont laissé toucher ?
- Que avec les yeux...
- C'est déjà pas mal !
Boris tendit à Camille ce qu'il était allé lui chercher : un petit ensemble transparent rose très sexy. Le rideau de la cabine grand ouvert, Camille retira son soutien-gorge et fit glisser le string.



Boris avait toujours une terrible érection et il mourrait d'envie de pouvoir sortir son sexe et se masturber. Il n'osait demander à sa femme de lui faire une fellation car il se disait qu'elle avait sûrement déjà pensé à quelle sauce elle allait le manger. Boris se contenta donc de la regarder renfiler l'ensemble nuisette et culotte. Derrière lui, une vendeuse et deux clients masculins se rinçaient l'oeil aussi. Quand Camille fut habillée, elle se tourna vers Boris :
- Qu'en penses-tu ?
- La nuisette est très bien, j'aime bien sa légèreté, mais la culotte avec les froufrous, ça fait pas terrible.
- Sans la culotte, alors ?
Camille commença à retirer la culotte sans se soucier des voyeurs à l'extérieur de la cabine.



Les deux hommes étaient bouche bée. La vendeuse s'amusait de voir la désinvolture de Camille et l'état dans lequel elle mettait son public. Camille enleva aussi la nuisette et se rhabilla.
- Bon, finalement, je ne vais rien prendre... Il faut que je réfléchisse. On reviendra ?
- Bien sûr, ma chérie, quand tu veux !
Camille et Boris repartirent donc sans rien acheté. Camille était quand même passable excitée et Boris avait du mal à marcher à cause de l'érection qui tendait son pantalon. Quand ils furent à la maison, Camille fila dans la chambre, laissant Boris au salon. Il savait que la journée n'était pas finie et que quelque chose allait suivre. Effectivement, Camille réapparue dans le salon avec des sous-vêtements bleus.



- Alors ? Tu me préfères nue ou en sous-vêtements sexy ?
- Je te préfère tout le temps, mais surtout dans des situations scabreuses.
- Scabreuses ?
- Quand d'autres gens te contemplent et, me voyant avec toi, se disent "Quelle chance il a !"
- Que je passe pour une vraie salope, en fait ?
- Il y a un peu de ça... Mais je me suis assez habitué à l'absence de sous-vêtement et je trouve ça moins excitant maintenant...
- Qu'est-ce qui t'a excité alors tout à l'heure au magasin ?
- Les autres filles nues dans le cabine d'essayage...
Camille, qui avait déjà une main dans la culotte pour se caresser l'entrejambe, décida de se mettre à l'aise. Elle retira la culotte et se caressa sans pudeur devant son mari.



- C'est de voir d'autres moules que la mienne qui t'a excité ?
- Oui, et d'autre seins...
- Elles étaient plus excitantes que moi ?
- Une d'entre-elles avait le sexe complètement imberbe... j'avoue que ça m'a fasciné...
- Comme les actrices de porno ?
- Oui, c'est peut-être ça qui m'a excité...
- Et elles avaient de beaux seins ?
- Pas trop mal, mais j'avoue préférer les tiens: ils sont parfaits !
Camille sourit et retira son soutien-gorge pour libérer l'objet de convoitise de son mari.



Boris admira sa femme. Il ne se lassait jamais de la regarder tant il la trouvait belle. Il pouvait la contempler pendant des heures. Mais là il avait quand même un problème. Son érection commençait à être douloureuse.
- Chérie, je t'en pris, j'ai trop envie de toi !
- Et moi ? Tu ne crois pas que je suis excitée aussi ? Je mouille comme une fontaine ! Retire tes fringues et vient.
Pendant que Boris s'exécutait, Camille se mit à quatre pattes au milieu du salon. C'était rare qu'elle propose cette position à son mari.



Camille tourna la tête vers lui, le regard complètement allumé :
- Je veux que tu me prennes comme ça. Prépare-moi le cul, j'ai envie que tu m'encules !
On ne pouvait pas être plus clair... Boris s'approcha donc et commença par passer deux doigts sur son entrejambe. Il y trouva effectivement une véritable inondation. Il s'en trempa les doigts avant d'avancer ceux-ci jusqu'à son anus. Sans mal, il rentra les deux doigts. Camille semblait déjà ne plus se contrôler :
- Oh oui ! C'est bon Boris ! Continue, là, encore !



Boris continua donc et réussit à insérer un troisième doigt. Il entrait en elle avec finalement beaucoup plus de facilité qu'il ne l'aurait cru. Il faut dire que l'excitation de sa femme devait aider énormément. Elle feulait. Pourtant, elle lui demanda d'abréger son tourment :
- Prends-moi ! Mets-moi toute ta bite !
Ces paroles excitèrent Boris au plus au point et il la contenta aussitôt. Se redressant, il pointa son gland contre la caverne étroite. L'anneau s'ouvrit légèrement sous la pression et Boris s'y enfonça lentement. Il s'y sentait déjà plus à l'aise que la première fois. Il alla le plus loin possible jusqu'à ce que ses testicules touchent les fesses de sa femme.



Puis, lentement, il ressortit. Camille poussait de petits cris qui ne semblaient pas être des cris de douleur. Boris se mit à accélérer la cadence. Sa femme criait de plus en plus fort :
- Oh putain ! C'est incroyable ! Tu m'encules, Chéri, tu m'encules !!! Je viens ! Je viens ! Défonce-moi !
Boris se concentrait sur le rythme de sa pénétration. En quelques minutes, Camille n'y tint plus et se laissa envahir par l'orgasme. Elle fut secouée de spasmes et manqua presque désarçonner son mari. Boris tint bon jusqu'à ce que les hurlements s'arrêtent.



Camille se calma. Boris continuait à un rythme nettement plus modéré. Camille décida de le faire jouir à son tour. C'est elle qui prit une cadence engagée en bougeant son bassin sur la tige de Boris. Boris sentait même qu'elle s'amusait à jouer avec les muscles de son anus pour l'enserrer de l'intérieur. En peu de temps, elle en vint à bout. Elle sentit qu'il allait jouir et s'avança pour le libérer. Elle comptait s'accroupir devant lui pour le laisser jouir dans sa bouche mais elle n'en eut pas le temps. Sitôt le sexe sorti de l'anus, le sperme jaillit. L'éjaculation fut violente et Boris cria à son tour, regardant incrédule les jets de son sperme s'écraser sur les fesses de sa femme.



Quand Boris eut fini de jouir et repris sa respiration, Camille tourna la tête vers lui :
- Je suis désolé mon chéri, j'aurais voulu te faire jouir entre mes lèvres...
- Oh mais c'était très bien comme ça ! J'ai adoré t'arroser le cul comme ça !
Camille restait le regard dans le vide, encore sous le coup de la violence de son orgasme. Boris admirait son magnifique fessier souillé de son sperme qui commençait à lui couler le long des jambes.



Camille se redressa et le regarda droit dans les yeux, le regard encore allumé :
- Je sais où je vais t'emmener demain ! Un magasin spécialisé dans les fringues sexy.
Camille était décidément insatiable... pour le plus grand bonheur de Boris !
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6. Les essayages entre copines

En fin de matinée, Camille amena donc Boris dans une boutique où il n'était encore jamais allé. Les vêtements étaient très orientés "pétasse" mais étaient pour la plupart très sexy. Les vendeuses elles-mêmes étaient très jolies et Boris eut un début d'érection dès qu'il entra dans le magasin.
Ce qui surpris le plus Camille et Boris, c'est de reconnaître des amis dans cette boutique : Laurine et Pascal. Ils les rejoignirent et se saluèrent. Laurine portait un haut au décolleté très profond sous lequel elle ne portait évidemment rien. Camille lui demanda :
- C'est sympa ce que tu as trouvé, tu vas l'acheter ?
- Ça ? Oh, non... C'est à moi, on vient d'arriver. Je n'ai encore rien essayé.
Pascal ajouta :
- Mais c'est possible qu'on l'ait acheté ici, ils font plein de fringue très sympa, ici...
Il donna un petit coup de coude sur le côté du sein de sa femme, ce qui eut pour effet de faire s'échapper un mamelon du décolleté.



- Excuse-moi, chérie...
- Pas grave... Je ne crois pas que ce soit une découverte pour nos amis, ils ont déjà vu mes seins et ils ont certainement remarqué que je ne portais rien dessous.
- Ce genre de détails n'échappe jamais à Boris, ajouta Camille.
Laurine écarta un peu son décolleté pour montrer un peu sa poitrine et s'adressa à Boris :
- Tu bandes, là ?



Boris n'eut la présence d'esprit que de remuer la tête pour confirmer. Laurine se rajusta et choisit quelques vêtements avant de filer vers les cabines d'essayage. Camille l'imita et les hommes les y suivirent. C'est Laurine qui sortit la première. Elle avait enfilé une petite robe très courte très décolleté. Nouée dans le cou, la robe laissait le dos intégralement nu et, de côté, révélait le profil nu du sein de Laurine. Elle retourna dans la cabine satisfaite de voir Pascal et Boris acquiescer pour cette robe-là.



Camille appela Boris. Dans la cabine, elle était, pour ainsi dire, presque nue. Elle n'avait que sa chemise largement ouverte et ne se souciait pas que le rideau ne soit pas fermé. Pascal l'admira.
- La robe que j'ai prise est beaucoup trop petite... Tu veux aller m'en chercher d'autres ?
Boris s'éclipsa en laissant le rideau de la cabine ouvert et rejoignit Pascal, qui attendait que Laurine ressorte. Tous deux admirèrent Camille qui s'amusait manifestement de leur attention et ne prendrait pas la peine de tirer convenablement le rideau.



Alors que Boris allait retourner en salle chercher des robes pour sa femme, Laurine ressortit. Elle avait enfilé une robe rose transparente qui ne dissimulait rien de son anatomie. Boris en resta subjugué.
- C'est trop, non ?
- Trop quoi ?
- Trop transparent...
- Trop sexy, oui !
- Je ne peux pas mettre un truc pareil sans soutif !
- Bien sûr que si !
- Pfff...



Elle retourna dans la cabine et retira la robe sans même fermer le rideau. Elle tendit le tissu rose à Pascal mais c'est Boris qui attrapa la robe et, au lieu d'aller en chercher en salle, il décida de proposer celle-ci à Camille.
- Tiens, ma chérie, essaye celle-là.
- Ohlala ! Mais c'est très transparent !
- C'est le but!
Camille passa la robe. Elle n'osa cependant pas sortir de la cabine, se rendant bien compte qu'elle était absolument indécente. Boris la trouvait magnifique. Il s'approcha d'elle et lui caressa les seins. Il sentit les tétons s'ériger sous la paume de ses mains à travers le fin tissu. Camille le repoussa gentiment pour s'observer dans la glace.
- Non, c'est trop, je crois...



Boris ressortit pour aller chercher autre chose. Laurine était en train d'essayer autre chose dans la cabine, restée ouverte. Elle avait mis un top aux mailles ajourées qui n'était pas moins transparent que la petite robe rose et qui offrait aux regards la poitrine comme si elle était complètement nue. Boris bandait toujours. Laurine avait quand même gardé sa culotte et demanda :
- Alors ? Vous pensez que je pourrais sortir comme ça sans risque de me faire violer ?
- Pour que ce soit un viol, ma chérie, répondit Pascal, il faudrait que tu t'y opposes...
- Oui... Mais sans déconner, c'est mettable ?



Boris n'osa pas répondre, mais Pascal le fit :
- Si tu veux, c'est à peine différent que quand tu fais du topless sur la plage... donc oui, c'est mettable.
- Du topless ? C'est un peu déshabillé alors...
- Là, en culotte, oui, un peu...
Laurine renfila rapidement son pantalon :
- Et comme ça ?
- C'est pas très différent... Je vais te chercher autre chose.



Pascal repartit en salle chercher des vêtements à essayer. Laurine retira le haut et le tendit à Boris :
- Tiens, propose à Camille et demande-lui ce qu'elle en pense.
Boris retourna voir sa femme qui attendait patiemment dans la cabine en sa caressant l'entrejambe.
- Et bien, ma chérie, tu ne perds pas de temps !
- Je m'occupe en t'attendant...
- Tiens ! laurine veut que tu essayes ça pour lui dire ce que tu en penses.
Camille prit le top en mailles noires et le passa sur sa grosse poitrine.
Boris sentit son sexe se tendre encore plus. Cela l'amusa de constater que ça l'excitait finalement davantage de voir sa femme dans des fringues sexy que de la voir nue.



- Alors ? Laurine veut savoir ce que tu en penses...
- Pas facile de sortir avec un truc pareil sans se faire ramasser par les flics pour tapinage ou pour tenue immorale.
- On peut garder ce genre de chose pour chez soi...
- Je te vois venir ! Va donc voir où en est Laurine et demande-lui de me passer ce qu'elle essaye.
Boris ressortit. Laurine avait passé une petite jupe blanche et un top blanc encore en mailles ajourées.
- Décidément, Pascal ne me rapporte que des trucs transparents! A croire qu'il veut exhiber mes nichons au monde entier...
Laurine retourna dans la cabine et retira les fringues. Boris les lui demanda pour Camille. Laurine lui donna et Boris retourna voir sa femme. Elle enfila rapidement la jupe et le top. Elle était toujours aussi indécente, mais aussi tellement sexy.



Ce côté exhibition malgré les vêtements l'amusait un peu mais elle ne semblait pas accrocher autant que Boris. Elle se remit donc nue et laissa Boris rejoindre Laurine pour attendre la suite. Pascal n'était pas là et le rideau de la cabine était tiré. N'osant pas ouvrir le rideau au cas où la cabine aurait été occupée par une autre cliente, Boris appela :
- Laurine ?
- Oui ! Entre, Boris.
Il la découvrit nue, à s'observer dans le miroir.
- Pascal est parti me chercher un truc, mais il ne revient pas, tu veux bien aller voir ce qu'il fait ?



Boris ressortit et alla retrouver Pascal en salle. Il essayait manifestement de négocier avec une jeune vendeuse pour qu'elle lui prête son petit top rose afin que sa femme l'essaye.
- Mais, monsieur c'est le mien ! Il y en a d'autre en rayon...
- Voyons mademoiselle, il n'y a pas la bonne taille pour ma copine, soyez sympa.
- Je ne peux pas monsieur...
Et la vendeuse tourna les talons. Boris rigolait du culot de Pascal.
- C'est vrai ? Il n'y a plus la bonne taille ?
- Si mais, ça valait le coup d'essayer...
Boris eut une idée, il proposa à Pascal de choisir des fringues sexy et de les porter à Camille, lui-même se chargeant d'amener le top rose à Laurine. Pascal accepta et choisit soigneusement une petite jupe bleu clair et un top assorti. Quand il rejoignit Camille, celle-ci était nue dans sa cabine et fut surprise de le voir arriver.



- Boris m'a dit de t'amener ça...
- Le salaud ! Il doit avoir une idée derrière la tête pour t'avoir demander de venir !
- C'est-à-dire ?
- Il savait que j'étais à poil et il sait aussi que je suis très excitée par tous ces essayages...
- Tu crois qu'il voudrait qu'on... ?
- Je ne le crois pas j'en suis certaine !!!



Pascal faisait l'étonné, mais il savait très bien ce qu'il faisait en entrant dans la cabine de Camille. Elle s'approcha de lui, le seins fièrement dressés. Elle lui sourit, invitation non déguisée à la laisser en profiter pleinement. Pascal ne se priva donc pas : il avança la main et commença à caresser la splendide poitrine qu'on lui offrait bien volontairement.



Camille frémit à ce contact, d'une part parce que Pascal avait les mains un peu fraîches, mais aussi parce qu'elle était très excitée. Elle lui tourna le dos. Il vint se coller à elle, la tête par dessus son épaule et empoigna un sein dans chaque main. Camille adora ces caresses.
- Et tu me fais mouiller, salaud !
Pascal continua de plus belle. Elle tourna la tête vers lui :
- Tu bandes ?
- Oh oui...



- Fais voir !
Elle se retourna et se mit accroupie pour libérer son érection. Sa queue, fine et longue, se dressait fièrement sous le regard gourmand de Camille. Elle n'y toucha pourtant et se releva. Elle attrapa les vêtements que Pascal lui avait apportés et les enfila rapidement. Puis elle vint s'accroupir à nouveau devant lui et prit le sexe dans sa bouche pour entamer une fellation qu'elle espérait faire durer.



Pendant ce temps, Boris avait ramené le top rose à Laurine avec une petite jupette. Elle avait enfilé le tout sous ses yeux. Boris commençait à trouver douloureuse son érection tendue dans son pantalon. Laurine lui demanda :
- Tu bandes toujours ?
- Toujours, oui...
- Tu as mal ?
- Un peu...



Laurine s'approcha :
- Moi aussi, j'ai un peu mal au sein, je pense que c'est à cause du top qui est trop étroit...
- Ah bon ? Pourtant il te vas à ravir...
- Oui mais il me sert un peu.
A ces mots, elle souleva le top pour libérer sa poitrine pleine.



- Tu vois, il sont devenus hyper sensibles...
- Tu crois ?
- Oui à cause du top ou à moins que ce soit l'excitation... Comment savoir ? Tu saurais dire, toi ?
Boris approcha une main pour caresser un sein. Il était chaud et ferme. Il sentit que son sexe allait bientôt faire exploser son pantalon. Il sentit le téton parfaitement dur sous ses doigts.



- Je crois que c'est l'excitation, Laurine.
- Et toi ? Me tripoter les nichons comme ça, ça ne doit pas arranger les choses pour toi !
Elle retira son top et sa jupe et, totalement nue, se mit à genou pour libérer Boris et prendre son sexe en bouche.



Sa bouche était comme du velours. Boris sentait la langue tourner autour de son gland. Il se délectait de sentir les douces lèvres enserrer sa hampe de chair et glisser dessus. Excité comme il l'était, il lui fallait toute la concentration du monde pour ne pas s'abandonner sans attendre à cette délectable caresse buccale. Laurine elle-même semblait prendre beaucoup de plaisir à le sucer ainsi.



Boris, se contrôlant avec toutes les peines du monde, arriva à articuler :
- Prends-moi entre tes seins.
Laurine se mit en arrière et lui plaça la queue entre ses seins. Elle le laissa se branler ainsi. Elle ne semblait pas avoir l'habitude de la cravate de notaire et laissa Boris opérer. Lui même n'en avait fait que très rarement avec Camille mais il éjacula quand même rapidement.



Laurine le laissa jouir ainsi, d'épais jets de sperme venant lui fouetter le visage à plusieurs reprises. Une fois que Boris se fut remis de son éjaculation, elle se redressa et se passa la main sur le visage pour en essuyer le sperme. Après quoi, elle se lécha la main jusqu'à en effacer toute trace. Elle entreprit enfin de nettoyer le sexe de Boris de la même manière.



Dans la cabine d'à côté, Camille avait pris tout son temps pour sucer Pascal. Elle lui avait même demandé de s'asseoir pour être plus à l'aise. Il finit par jouir dans sa bouche. Camille fut d'abord surprise car elle pensait qu'il préviendrait avant de jouir, mais elle garda sa bouche collée à son gland alors que le sperme jaillissait à gros bouillon dans sa bouche. Ne voulant rien avaler, elle laissa le liquide couler le long de la hampe de son amant et sur sa main.



Une fois qu'ils furent remis de leurs émotions, ils se nettoyèrent mutuellement et se rhabillèrent. En sortant de la cabine, ils retrouvèrent Laurine et Boris qui venaient de sortir eux-aussi. Laurine fit un grand sourire à Pascal et se tourna ensuite vers Camille :
- Ecoutez, on a une piscine dans le jardin, ça vous dirait de venir cet après-midi ?
- Oh oui, ce serait super !
- Pascal va vous expliquer comment venir...
Les explications de Pascal furent très claires et Camille et Boris rentrèrent déjeuner chez eux en se disant qu'ils allaient sûrement passer un excellent après-midi.
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7. La piscine de Laurine et Pascal

La maison de Pascal et Laurine était une charmante petite propriété de banlieue avec un jardin sur l'arrière, caché des voisins par un haut mur. Et bien sûr, il y avait une piscine. Avant de partir de chez eux, Camille s'était rendu compte qu'elle n'avait plus de bikini : elle avait déchiré le string quelques jours auparavant en rentrant de la plage et n'arrivait pas à remettre la main dessus. Boris lui avait proposé de passer en acheter un nouveau, mais comme ils n'étaient déjà pas en avance, Camille avait décidé de demander à Laurine de lui en prêter un. Camille avait donc passé un petit débardeur noir légèrement transparent, une culotte et une mini-jupe en jean.



Pascal les accueillit et les amena au jardin. Laurine nageait déjà dans la piscine. Boris sentit aussitôt monter une érection car leur hôtesse faisait du topless. Ses magnifiques seins bougeaient au rythme de sa nage. De son côté, Pascal gardait les yeux rivés à la poitrine de Camille. En plein soleil, le tee-shirt noir se révélait encore plus transparent et, en l'absence de soutien-gorge, ne dissimulait que très peu les seins de Camille.



- Bonjour ! dit Laurine, souriante.
- Bonjour.
- Vous venez me rejoindre ?
- Allez-y, elle est bien chaude ! ajouta Pascal.
Boris se demanda s'il faisait référence à la température de l'eau ou à sa femme...
Camille retira sa jupe, mais avant d'ôter son débardeur, elle demanda à Laurine :
- Dis donc Laurine, j'ai plus de bikini, tu n'en aurais pas un à me prêter, s'il te plaît ?
- Ah Ah ! rigola Pascal. Pas de chance, Laurine ne met que des monokinis ! Elle serait malheureuse si elle devait cacher ses nichons...
Laurine envoya de la piscine une grande gerbe d'eau que pascal évita mais qui trempa la culotte de Camille.



Laurine sortit de la piscine en rigolant.
- Excuse-moi ! C'est l'autre crétin qui était visé...
- Y'a pas de mal... répondit Boris en admirant le sexe de sa femme nettement visible à travers le tissu de la culotte rendue transparente par l'eau.
- On est entre nous, tu sais Camille, ajouta Laurine. Mets-toi seins nus... tu seras bien plus à ton aise !



Camille ne savait pas trop quoi faire. Bien que Laurine ne semblait pas hésiter à s'exhiber, cela la gênait quand même un peu. Boris, sentant son hésitation, essaya de la raisonner :
- Ecoute chérie, tu as fait du topless sur la plage il y a quelques jours alors qu'il y avait plein de monde.
- Oui, sur la plage, ça fait pas pareil...
- Tu n'es pas la seule, Laurine aussi... Et puis tout le monde a déjà pu admirer tes seins... Tu as même sucé Pascal ce matin !
Cet argument sembla la convaincre et elle se décida enfin à retirer son débardeur, révélant sa magnifique poitrine nue.



Ceci fait, elle demanda à Laurine :
- Et un string ? Tu aurais ça ? Je n'ai pas envie de me baigner avec ma culotte...
- Elle déjà trempée, tu sais...
- Oui, mais je préfèrerais quelque chose de plus adapté.
- Ecoute, je n'ai pas d'autres strings de plage, mais si ça te met à l'aise, on peut faire du nudisme toutes les deux !
Laurine commença à retirer son string.



Pascal et Boris hurlèrent : Ouaiiiiiiiiiiis !
- Allez, ma chérie ! Suit les conseils de Laurine, je t'y autorise...
- Trop aimable ! répondit-elle en rigolant.
Elle s'approcha de la piscine et retira sa culotte. En jetant un oeil par-dessus son épaule, elle constata que Pascal et Boris n'avaient d'yeux que pour elle.



Quand la culotte fut à terre, les garçons applaudirent et sifflèrent. Camille les salua et se mit à quatre pattes pour tremper sa main dans l'eau afin d'en juger la température.
- Mmmmh, c'est vrai qu'elle est tiède, c'est agréable !
- Faut dire merci au soleil... répondit Pascal, les yeux rivés au postérieur de Camille.



Camille se mit à l'eau. Elle ressentit une formidable sensation de délassement en entrant dans l'eau. Elle se retourna vers les autres, appuyée au bord de la piscine.
- Vous venez ?
Les deux garçons la regardaient bêtement. Sa question sortit Boris de sa béatitude :
- Euh, on est bien, là, tu sais, à profiter du paysage...
- Andouille ! Mets-toi en maillot et rejoints-moi.



Boris commença à retirer sa chemise et se tourna vers Pascal :
- Je boirais bien quelque chose avant...
- Tu veux une bière ? proposa Pascal.
- Oui, très bien.
- Bougez pas, les gars ! intervint Laurine, je vais aller vous chercher ça... Tu veux quelque chose, Camille ?
- Non, ça ira, merci.
- En attendant, les gars, virez toutes vos fringues : y'a pas de raison qu'on ne puisse pas nous aussi profiter de votre nudité...



Laurine partit dans la maison chercher les bière. Les garçons se mirent nus, complètement. Tous les deux affichaient de bien belles érections et cela intéressa beaucoup Camille :
- Elles ont l'air bien mûr, vos bites !
- Tu veux y goûter ? demanda Pascal hilare.
- C'est déjà fait, rétorqua Camille. C'est le soleil qui vous fait bander ?
- Je pense que c'est surtout ton corps de déesse, ma chérie... répondit Boris.
Camille accepta le compliment, un peu gênée.



Elle se mit à nager en brasses. Boris lui demanda d'arrêter. Elle se redressa et lui demanda :
- Qu'est-ce qu'il y a ? Je ne peux pas nager ?
- Si, mais j'aimerais autant que tu fasses du dos, plutôt que de la brasse... histoire que le spectacle soit complet...
- Pourquoi, il est pas beau mon cul ?
- Oh que si ! Rétorqua aussitôt Pascal. Mais c'est vrai que ta poitrine est particulièrement...
Camille n'attendit pas la fin de sa phrase et se mit à nager sur le dos, faisant saillir sa poitrine.



Elle nageait lentement, pour qu'ils puissent prendre le temps de bien voir. Pascal se rendit compte que Boris se masturbait en regardant sa femme évoluer ainsi dans l'eau. Il se dit donc qu'il n'y avait pas de raison de se gêner et prit également son sexe en main pour se branler. Camille se redressait de temps en temps pour les regarder faire, puis repartait sur le dos faisant balloter ses seins sur l'eau, de droite à gauche.
Laurine revint avec les bières :
- Camille, t'es qu'une salope ! Tu te prends les deux mecs et moi j'ai plus rien...
- J'y suis pour rien, moi, je nage... répondit Camille.
- Et rassure-toi, tu es tout aussi désirable que ma femme. Ajouta Boris.
Elle s'approcha de lui et l'embrassa. Puis elle se mit à genou et prit sa queue à deux mains pour la branler lentement.



Soudain elle s'arrêta et lui dit :
- Bon, je vais bronzer un peu...
Elle l'abandonna et, se relevant, se dirigea vers une chaise longue. Elle attrapa un tube de crème solaire et commença à s'en étaler sur les fesses et sur les jambes. Boris était subjugué : elle s'était arrêtée de le branler pour aller bronzer ?



Elle s'allongea sur la chaise longue sur le ventre, écartant bien les cuisses. Elle appela Boris :
- Approche...
Il se dit un instant qu'elle allait lui demander de la prendre dans cette position, mais ce ne fut pas le cas.
- Prends le tube de crème et mets-m'en sur le dos...



Boris attrapa le tube et dû le secouer pour en tirer les dernières gouttes. Il lui étala consciencieusement la crème insistant bien sur les épaules et sur les reins. Elle gardait les jambes bien écartées et il gardait en permanence un œil sur l'entrejambe ainsi dévoilé. Bien qu'elle se soit déjà enduite les fesses elle-même, Laurine ne rechigna pas quand Boris laissa ses mains descendre sur ses fesses. Elle ne dit rien non plus quand ses doigts effleurèrent sa moule. Elle se contenta d'un profond soupir quand Boris lui inséra lentement deux doigts dans son intimité. Bien qu'elle semble apprécier cette délicate masturbation, elle se retourna soudainement, abandonnant les deux doigts bienfaiteurs :
- Mets-moi de la crème ici aussi...



Boris resta quelques secondes à admirer la formidable plastique de cette salope, puis répondit :
- c'est que le tube est vide, il n'y a plus de crème...
- Plus de crème ? Dit-elle en attrapant les testicules de Boris. Et là-dedans, c'est quoi, alors ?
- Quoi ?
- Branle-toi ! Tu vas m'enduire le ventre !
Boris ne se fit pas prier. Cette fille l'avait tellement excitée qu'il ne demandait pas mieux que d'éjaculer. Bien sûr il aurait préféré visiter son sexe, car il avait déjà investit son anus lors de la visite de l'appartement et avait également déjà profité de sa bouche dans la cabine d'essayage le matin-même. Peu lui importait, il allait pouvoir décharger son foutre sur ce corps splendide et n'allait pas s'en priver.



Il s'astiqua donc tranquillement debout au-dessus de Laurine qui, étendue lascivement, se délectait de votre cet homme se masturber pour elle. Elle se passait la langue sur les lèvres, comme attendant une gourmandise. Elle hésitait à se masturber elle-même, mais préféra ne pas bouger. Boris ne fut pas très long : il redressa la tête vers le ciel, ferma les yeux, ouvrit la bouche, le visage marqué par un rictus qui aurait pu passer pour de la souffrance. Sa main se crispa sur son sexe et quelques secondes après, alors qu'il lâchait de grands râles rauques, son sperme gicla en de longs jets qui vinrent se déposer sur l'ensemble du ventre de Laurine.



Quand la douche de sperme fut finie, Boris se laissa tomber sur la chaise longue à côté et se remit de ses émotions. Laurine semblait admirative du sperme qui lui maculait le ventre. Camille s'était arrêtée de nager depuis un certain temps et admirait son mari honorer sa collègue de travail. Elle pensait que Pascal avait lui aussi profité du spectacle. Mais il semblait qu'il n'avait jamais arrêté de regarder Camille en se masturbant. Elle lui demanda :
- Tu as vu, ce qu'ils ont fait ?
- Vaguement, c'est toi qui m'intéresse...
- Je vois ça...



Elle fit saillir sa poitrine, consciente qu'elle avait un effet très marqué sur Pascal.
- Et tu préfères continuer à te branler pendant que je nage ou tu veux que je m'occupe de toi ?
- Je vais continuer à me branler pendant que tu me rejoints pour t'occuper de moi !



Camille n'était pas contre, voir son mari éjaculer sur sa collègue de travail lui avait donné envie de jouir, elle aussi. Pascal continuait à se masturber alors que Camille se dirigeait vers le bord de la piscine où il se trouvait. Boris appela sa femme :
- Ma chérie, si t'en veux une deuxième, n'hésite pas à demander...
- Je te ferais signe si j'ai besoin !
Pendant la visite de l'appartement, Camille avait trouvé très excitant de voir Laurine se faire prendre par les deux hommes, mais cela lui faisait quand même un peu peur.



Elle sortit du bassin et s'agenouilla à côté de Pascal qui se branlait toujours, les yeux toujours rivés à sa poitrine. Il lâcha enfin sa queue pour empoigner les seins de Camille, permettant à celle-ci de se saisir du membre turgescent. Elle le masturba lentement, avec douceur. Pascal en prenait tant de plaisir qu'il abandonna ses seins pour la regarder opérer. Elle se pencha alors et lui offrit sa bouche. Sa langue virevoltait autour du gland, la hampe de chair glissant entre ses lèvres.



Camille laissa la bite et se redressa. Pascal n'eut pas le temps de se demander où elle allait qu'elle se laissait tomber sur lui, s'empalant sur sa queue d'une traite. Aussitôt, elle se déchaina, montant et descendant sur le mât qui la transperçait. Pascal eut toute les peines du monde à se concentrer pour ne pas éjaculer tout de suite, mais ne pu résister à la pair de seins qui se balançait sous ses yeux. Il les empoigna et commença à jouer avec les tétons. Camille prenait un pied d'enfer. Elle eut rapidement un orgasme.



Laurine, se masturbait en les regardant. Boris avait repris lui-aussi sa branlette et espérait que sa femme allait lui proposer son cul. Mais Camille avait déjà joui et il était peu probable qu'elle pense à lui désormais. Quand elle fut à nouveau en état, elle s'extirpa et fit se lever Pascal. La bouche grande ouverte, elle regardait Pascal se masturber vigoureusement avec un ample geste de poignet. Le premier jet atteignit le fond de sa gorge, elle ne l'avala cependant pas : elle n'avalait qu'occasionnellement, et uniquement le sperme de son mari. Le jet suivant fut moins précis et l'atteignit au-dessus de la bouche ; les derniers, plus assez vifs, s'écrasèrent sur ses épaules, son cou et sa poitrine.



Quand il eut fini de jouir, Camille laissa le sperme qu'elle avait en bouche couler sur son menton. Elle attrapa d'une main le sexe qui commençait à débander et le nettoyage avec de petits coups de langue. Des cris se firent entendre à côté : Laurine était en plein orgasme, allongée sur le dos sur sa chaise longue, les doigts perdus entre ses jambes écartées et toujours le sperme de Boris sur son ventre et ses seins. Boris se branlait lui aussi de plus belle, voulant manifestement jouir une seconde fois, profitant de l'occasion. Assis sur sa chaise longue, il éjacula à nouveau, une légère coulée de sperme s'échappant de son sexe et s'écrasant lui coulant sur le haut des cuisses.

Quand tout le monde se fut remis, ils se mirent tous à l'eau et barbotèrent gentiment en se tripotant quelque peu. La fin d'après-midi n'alla pas plus loin que quelques attouchement et, bien que tout le monde était complètement nu pendant le repas aussi, ils restèrent sages et le sexe ne fut que dans la conversation.
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8. La soirée entre couples

Trois jours après l'après-midi à la piscine, Laurine et Pascal appelèrent Camille et Boris pour leur proposer de venir manger le soir même. Ils acceptèrent en sachant très bien que cette soirée n'allait pas être un simple repas. Camille n'avait manifestement pas l'intention d'être sage : elle avait mis un petit débardeur blanc plutôt étroit qui mettait bien en valeur sa poitrine libre de soutien-gorge. Elle avait malencontreusement oublié de mettre une culotte sous sa petite jupe. C'est Laurine qui les accueillit avec un large sourire. Elle les invita à la suivre dans le salon. Sa poitrine était enserrée dans un petit débardeur qui lui faisait un charmant décolleté. Sa jupe, très courte, révélait qu'elle avait fait le même malencontreux oubli que Camille.



Après s'être remis de cette découverte, Boris demanda :
- Pascal n'est pas là ?
- Si, il est en cuisine...
- Que nous prépare-t-il ?
- C'est une surprise ! Je vais lui dire que vous êtes là.
Laurine se leva pour aller à la cuisine rejoindre Pascal.



Boris sourit à Camille :
- Elle non plus...
- Quoi donc ?
- Elle n'a pas de culotte !
Camille rigola. Son regard fut attiré par un album photo à côté d'elle sur le canapé. Elle le prit et l'ouvrit. Boris fut autant surpris qu'elle en découvrant le contenu de l'album : il s'agissait de scènes d'orgie dans lesquelles on pouvait reconnaître Laurine et Pascal. La photo présentait Laurine, une bouteille à la main, en train de chevaucher une bite qui n'était pas celle de Pascal. Pascal, quant à lui, se faisait masturber par une jolie demoiselle.



- C'est fou ! Ils mettent ça dans un album !
- S'il le laisse traîner là, c'est qu'ils comptaient sans doute qu'on y jette un oeil...
- Je ne pensais pas qu'ils étaient branchés sexe à ce point-là...
Sur la photo suivante, Laurine chevauchait toujours l'homme et s'était également saisi d'une queue qui passait à proximité. La demoiselle qui branlait Pascal lui offrait maintenant sa bouche.



Camille referma l'album.
- On ne devrait peut-être pas regarder ça !
- S'ils l'ont mis là...
- Ils l'ont peut-être oublié...
Camille se leva alors que Boris s'emparait de l'album pour en continuer la lecture. Allant vers la cuisine, Camille dit à Boris
- Je vais voir ce qu'ils font.
Camille ne fut pas déçue. Laurine et Pascal étaient bien dans la cuisine mais ils ne cuisinaient plus. Une délicieuse odeur de viande en sauce planait mais c'est davantage ses yeux que ses narines que sollicita Camille. Laurine taillait une pipe à son mari, tous les deux nus en plein milieu de la cuisine.



Camille hésita à rester et se demanda même si elle n'allait pas rester pour se masturber en les regardant. Mais sa bonne éducation lui fit battre en retraite et elle rejoignit Boris dans le salon. Il était toujours plongé dans l'album de photos. Elle ne lui dit pas ce qu'elle avait vu.
- Alors ? demanda Boris. Qu'est-ce qu'ils nous préparent de bon ?
- Viande en sauce, je crois...
Elle se plongea à son tour dans l'album.
Quelques minutes plus tard, Laurine réapparut. Elle s'était changée : elle portait maintenant un petit débardeur bleu et une minijupe blanche.



Une fois autour de la table, Pascal gardait les yeux rivés sur la poitrine de Camille, moulée dans son petit débardeur.
- Il est sympa ton petit haut !
- Hé ! Obsédé, c'est mes nichons qui t'intéressent ?
- Evidemment, une belle paire de nénés comme ça... Tu ne mets jamais de soutif ?
- De moins en moins en ce moment...
- Et ça t'excite ?
- Assez, oui...
En disant cela, Camille se passa une main sur l'entrejambe.



Elle ajouta :
- Mais il fait tellement chaud !
- Tu m'étonnes, nous aussi on a chaud...
Boris ajouta:
- D'ailleurs, la culotte aussi lui aurait tenu trop chaud...



Laurine et Pascal ne furent pas plus surpris que ça en la regardant soulever sa jupette pour illustrer les propose de son mari et dévoiler ainsi son sexe nu.
- C'est vrai que je supporte mal la chaleur...
- Dans ce cas, proposa Laurine, mets-toi à l'aise... retire ton haut !
Camille, désinhibée par l'excitation ambiante, n'hésita pas un seul instant et retira son haut alors que Laurine, Pascal et Boris se mirent à l'applaudir.



Laurine se leva et s'approcha de son mari.
- Dis donc Camille, dit-elle, tu ne chercherais pas à faire bander mon mari ?
- Oh non ! Si c'était le cas, tu pourrais légitimement te venger sur Boris.
Laurine se pencha sur son mari et lui ouvrit son pantalon pour en extraire une érection déjà honnête.



Elle commença à le masturber :
- Mon pauvre chéri, Camille te met dans tous tes états.
Pascal laissa sa femme s'emparer de son membre mais gardait les yeux rivés à la poitrine nue de Camille.
Camille s'en amusa :
- Tu les as pourtant déjà vus, mes nichons, dans le magasin, il y a trois jours, puis à la piscine.
- Oui, mais je ne m'en lasse pas.
A cause du spectacle qu'offrait Camille qui se dandinait gentiment sur sa chaise, mais aussi grâce à la savante masturbation que lui prodiguait Laurine, Pascal affichait une fière érection.



Camille s'adressa à Laurine :
- Tu ne vas quand même pas le laisser éjaculer comme ça ?
- Pourquoi pas ?
- Ce serait gâcher ! Et tu vas l'épuiser sans qu'on ait pu en profiter...
- Tu connais mal Pascal, il est plein de ressources. Il est capable de jouir plusieurs fois durant la même soirée !
Ce disant, Camille vit Pascal se cambrer sur sa chaise. Laurine continua de le masturber en accélérant la cadence. Quelques secondes plus tard, un sperme laiteux et épais s'échappa et se répandit sur la main de sa femme.



Laurine prit une serviette sur la table et s'essuya la main. Boris, s'habituant peu à peu à cette étrange situation prit la parole :
- Tout ça est de la faute à Camille... je comprendrais tout à fait, Laurine, que tu veuilles te venger...
- Je vois que tu as bien suivi la conversation, lui dit Camille.
Laurine regarda Boris droit dans les yeux et commença à faire glisser les bretelles de son débardeur sur ses épaules :
- Moi aussi, je trouve que cette chaleur est insoutenable.



Elle s'approcha de Boris, les seins à l'air.
- Est-ce qu'on peut toucher ? demanda Boris.
- Seulement avec les yeux ! rétorqua Laurine.
- Les miens sont dans la paume de mes mains.
Alors que tout le monde rigolait de cette plaisanterie, Boris se leva et caressa la poitrine de la jeune femme blonde.



- Laurine, intervint Pascal toujours assis, je pense que tu devrais prendre la même tenue que Camille, ainsi elle ne serait pas gênée d'être la seule à afficher sa nudité.
- Tu as raison, mon chéri.
Laurine retira donc également sa jupe, sous laquelle elle ne portait évidemment strictement rien.



Elle s'assit et s'adressa à Boris :
- Et toi ? Tu ne veux pas nous imiter ?
- Me mettre à poil ?
- Bien sûr, je voudrais voir un peu ton état...
En quelques secondes, Boris avait retiré toutes ses fringues. Il affichait lui-aussi une belle érection. Camille, satisfaite de l'avoir excité, se leva :
- Allons dans la chambre, nous y serons plus à l'aise...



Boris la suivit, admirant au passage son magnifique postérieur.
- Tu as un cul incroyable !
- Merci... Moi c'est ton énorme queue qui me fait mouiller comme une folle.
A peine arrivé dans la chambre, alors que Camille et Pascal n'étaient pas encore arrivés, Laurine se mit à genou devant Boris et se jeta sur sa bite pour l'engloutir.



Sa bouche autour de son sexe menait une danse endiablée. Boris se laissa tomber sur le lit, cherchant une position plus confortable pour profiter encore davantage de la caresse bucale offerte par Laurine. Elle se mit à genou entre ses cuisses et le reprit en bouche sans attendre.



Camille vint s'allonger sur le grand lit à côté de son mari. Elle fut bien vite rejointe par Pascal qui avait lui aussi quitté tous ses vêtements. Il affichait à nouveau une érection phénoménale et plutôt surprenante pour quelqu'un qui avait éjaculé quelques minutes auparavant. Quand il eut rejoint Camille, il prit la même position que sa femme devant Boris : il se mit à genou entre les cuisses écartées et plongea sa bouche sur l'entrejambe pour en déguster le sexe.



A côté, Laurine avait abandonné la fellation et était en train de se positionner au-dessus du membre gonflé de Boris. Elle écarta les lèvres de sa chatte et se laissa descendre peu à peu sur le mât. Une fois qu'elle se le mit jusqu'à la garde, Laurine commença à monter et descendre lentement comme pour en apprécier toute la longueur. Boris, taquin, s'amusa à lui mettre un doigt dans l'anus, ce qui ne déplut pas le moins du monde à la jeune femme.



Camille décida de l'imiter et se releva pour laisser la place à Pascal sur le lit. Celui-ci s'installa et se tint la queue parfaitement verticale alors que Camille s'installait pour le chevaucher. Elle s'empala doucement sur la longue tige. Très excitée, comme cela lui était arrivé quelques jours auparavant au bord de la piscine en chevauchant Pascal, elle ne put retenir son orgasme. Alors que Camille jouissait, Boris avait abandonné l'anus de Laurine pour s'amuser avec ses tétons.



Bien qu'elle appréciait aussi ces jeux, Laurine demanda à Boris :
- Je préfère quand tu joues avec mon cul !
Boris, surpris, se tourna vers Pascal :
- Pascal, tu as joui ?
- Non, mais ça ne saurait tarder...
Camille le regarda avec tendresse et se releva, abandonnant à regret la splendide érection :
- Je crois que ta femme veut que tu ailles l'enculer...
Boris se redressa et rejoignit Boris et Laurine. Il n'eut aucun mal à pénétrer l'anus de sa femme et s'autorisa même à s'y emmancher jusqu'au bout d'une traite.



Camille était subjuguée de la facilité avec laquelle Laurine acceptait la double pénétration. Mieux, elle semblait même être en transe et elle jouit de manière discontinue pendant de longues minutes alors que les deux hommes la besognaient. Boris et Pascal n'y tinrent plus et éjaculèrent tous les deux en même temps dans les entrailles de Laurine. En s'extirpant de ces deux arrosoirs à foutre, Laurine écarta ses fesses pour laisser le précieux liquide s'échapper.



Elle s'approcha de Camille et lui demanda :
- Tu l'as déjà fait ?
- Quoi donc ?
- Deux bites en même temps...
- Non...
- Tu devrais essayer, c'est absolument divin.
Camille se pencha vers elle et elles s'embrassèrent dans un langoureux baiser.



Boris^ ---------oOo---------

9. La boutique de maillot de bain

Le week-end suivant, Camille demanda à Boris l'autorisation de s'acheter un nouveau bikini. Boris était curieux de voir comment sa femme allait se comporter pendant une séance d'essayage de bikini et décida donc de l'accompagner. Pour son plus grand plaisir, sa femme avait enfilé un débardeur à même les seins et une jupette sans culotte. Une fois arrivée au magasin, Camille entraîna Boris dans une cabine et s'y installa.
- C'est toi qui va aller me choisir les bikinis.



- Essaye de m'aiguiller un peu...
- Débrouille-toi !
- Quelle couleur ?
- Dépêche-toi !
Camille enleva son débardeur.



- Quoi ! Si je n'y vais pas tu te mets à poil ?
- Non, je me toucherais...
Camille retira sa jupette.
- Dans ce cas, je n'y vais pas, je veux profiter du spectacle.
- Oui, mais je ne te toucherais pas avant demain...
- Quoi ? Ah non ! Attends-moi !!
Boris sortit de la cabine alors que sa femme commençait à se caresser l'entrejambe.



Il ne mit pas de temps à revenir avec un petit bikini bleu. Camille cessa de se caresser et se leva pour enfiler le petit maillot deux pièces. Une fois celui-ci ajusté, elle se tourna vers son mari, l'air coquin :
- Alors, qu'est-ce que tu en penses ?



- Je pense que ça va exploser ?
- Quoi donc ?
- Le soutien-gorge ! Il est prêt à craquer ! J'aurais dû te prendre la taille au-dessus...
- Tu crois ?
Pour prouver ses dires, Boris tira sur le soutien-gorge et celui-ci sauta effectivement.



- T'es con !
- Mmmh, je préfère comme ça !
- Tu bandes ?
- Comme un fou...
- Fais voir ?
Boris retira son pantalon et exhiba une fière érection.



Camille se pinça les lèvres en la voyant. Elle se sentait très excitée, davantage par le fait d'être dans une cabine d'essayage à moitié nue avec son mari que par la vue de cette queue qu'elle connaissait déjà très bien.
- Tu crois que je pourrais te sucer ici ?
- Si tu le fais, tu seras une épouse merveilleuse !



Elle s'approcha de Boris et en profita pour retirer la culotte bleue. Elle se pencha sur l'érection et l'empoigna à deux mains.
- Mmmh ? Tu bandes bien... mais je t'ai connu plus en forme !
- Tu trouves ?
- Je ne t'excite pas ?
- Oh si !
Camille sentait que la queue gonflait lentement sous ses caresses.



Soudain, elle l'abandonna et se mit face au miroir.
- Qu'est-ce que tu préfères chez moi ? Mes nichons, mon cul ou ma chatte ?
- Tout ça et tout le reste...
Boris répondait avec franchise mais il avait surtout envie qu'elle revienne s'occuper de lui.



Camille revint donc le trouver et reprit la lente masturbation. Elle le regarda droit dans les yeux :
- Où veux-tu jouir ?
- Quoi ?
- Tu préfères éjaculer entre mes cuisses, dans mon cul, dans ma bouche, sur mes nénés, sur mon visage ?
Camille continuait à le branler avec précision.
- Je dois choisir ?



A nouveau, Camille abandonna Boris, pour son plus grand regret. Camille se plaça face à lui et posa en souriant.
- Alors ? Dis-moi où tu veux m'envoyer ta crème ? Regarde et choisit !
- J'avoue que tout me tente...
- Non, non, tu dois me dire où...
- Et je ne peux pas te laisser choisir ?
- Si mais c'est à tes risques et périls...
- Je prends le risque.



Camille revint et reprit le sexe de son mari à deux mains.
- Alors, ma chérie ? Qu'as-tu décidé ?
- Tu verras bien...



Elle le laissa quelques secondes pour renfiler sa jupe et son débardeur. Puis, debout elle reprit sa lente masturbation. Boris ne savait pas à quelle sauce il allait être mangé, mais l'idée de la surprise lui plaisait bien.
- Pourquoi t'es-tu rhabillée, ma chérie ?
- Pour sortir décemment de la cabine...
- Tu vas pas sortir tout de suite ?
- Dans pas longtemps...



Camille se mit à genou et commença à le branler plus rapidement.
- Alors, Boris ? Tu as une idée de ce que je te prépare ?
- Aucune...



Elle se leva soudain et quitta aussitôt la cabine. Deux minutes plus tard, elle réapparut accompagnée de deux demoiselles portant les couleurs de la boutique. Il en resta subjugué !
- Voilà, mesdemoiselles. C'est mon mari... Il refuse de quitter la cabine sans avoir éjaculé et comme je m'y prends mal, il ne bande pas suffisamment...
Les filles admiraient l'érection pourtant raisonnable de Simon, mais un peu mollassonne à cause de l'entrée inattendue de ces deux filles. Camille se remit à genou devant Boris et le branla à nouveau.



Les filles regardaient avec de grands yeux.
- Aidez-moi !
Les filles regardèrent Camille, l'air perdu, ne sachant que faire.
- Caressez-le, il bandera mieux.
Chacune d'elle s'approcha de Boris et se mirent à lui caresser la poitrine, s'amusant à lui chatouiller les tétons.



Boris atteint rapidement son érection maximale et Camille sembla satisfaite.
- Voilà, tu es prêt, mon chéri.
Elle avança son visage et mit le sexe dans sa bouche.



Elle se mit à le pomper avec fougue faisant aller et venir sa bouche sur la hampe de chaire. Les deux filles n'en croyaient pas leurs yeux et regardaient avec intérêt Camille réaliser sa fellation.



Camille s'arrêta et regarda les deux filles :
- ça vous tente ?
Elles se regardèrent et rigolèrent.
- Si vous voulez le branler ou le sucer, vous pouvez. En revanche, il faudra aller jusqu'au bout et accepter de recevoir son jus.
Les filles parurent plus sérieuses mais semblaient très excitées.
- Pour moi, c'est d'accord ! dit la première en attrapant l'érection de Boris.
- Pour moi aussi... ajouta la deuxième.



Après ce que sa femme lui avait fait, Boris savait qu'il allait lui en falloir peu pour éjaculer. A tour de rôle, les deux filles se mirent à le masturber. Puis, une à une, elles le prirent en bouche. L'une probablement assez inexpérimentée, se contentait de faire aller et venir ses lèvres sur le gland en écartant péniblement ses dents. L'autre savait d'avantage y faire et n'hésitait pas à faire travailler sa langue.



Au fur et à mesure, très excitées, les deux filles se donnaient tout entière à leur fellation. Elles s'y appliquaient si bien que Camille put les déshabiller presque entièrement sans qu'elles y opposent de résistance. Camille retourna ensuite s'asseoir pour observer la fin du spectacle.



De voir ces deux jeunes filles dénudées le sucer avec amour, Boris ne put pas tenir longtemps. Son sexe se contracta un instant avant de laisser échapper les premiers jets de spermes en saccades. Il s'appliqua à se tourner alternativement vers l'une et l'autre pour qu'elles puissent toutes les deux en profiter.



Boris termina d'éjaculer en se branlant un peu, histoire d'extraire les dernières gouttes. Les filles avaient l'air de s'être bien amusée et Camille semblait ravie.
- Alors mesdemoiselles ? N'est-il pas charmant, mon mari ?
- Oh si, il est très généreux !
- Je ne voulais pas qu'il vous tache vos uniformes... c'est pour ça que je vous les ai retirés.



Les deux filles rigolèrent en s'observant l'une et l'autre, le visage couvert de sperme. Camille se releva et demanda aux vendeuses :
- Est-ce que vous accepteriez que je vous prenne en photo toutes les deux ?
- Mmmh ? Pourquoi pas...
- Ok !
Camille prit un petit appareil numérique dans son sac et immortalisa cette incroyable scène.



En sortant du magasin, dix minutes plus tard, Camille dit à Boris :
- Alors ça t'a plu de te faire sucer par deux inconnues ?
- Evidemment ! Mais toi ?
- J'ai bien aimé...
- Je voulais dire, tu n'es pas frustrée ?
- Tu n'as qu'à me proposer un inconnu en retour.
- OK !
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10. L'inconnu

Après avoir permis à Boris de jouir sur le visage des deux jeunes vendeuses de la boutique, Camille était très excitée. Elle avait proposé à Boris la contrepartie de lui choisir un inconnu. Arrivée à la maison, Camille demanda à Boris d'attendre dans la voiture et alla se changer. Quand elle revint, Boris venait de décider où ils allaient aller ensuite. Quand il la vit s'asseoir dans la voiture, il fut éberlué : elle avait mis un petit haut extrêmement décolleté terriblement sexy.



- Et bien sûr, tu n'as pas mis de soutien-gorge !
- Tu aurais préféré ?
- Oh non ! Ce sera bien plus facile...
Elle était ravie que ça lui plaise.



- Et tu vas m'emmener où, mon chéri ?
- C'est une surprise...
- Allez, dis-le moi, que je me prépare psychologiquement.
- Mmmh, je ne sais pas... Il faudrait que tu fasses quelques efforts.
- Quels genre d'efforts ?
Ce disant, Camille écarta les cuisses. Boris crut discerner sous la jupe que sa femme n'avait pas mis de culotte.



- Et pas de culotte, non plus ?
- C'est suffisant comme effort, pour que tu me dises où tu m'emmènes ?
- Je n'ai pas très bien vu...
Camille obtempéra et, s'installant dans son siège, elle écarta franchement les cuisses en relevant sa jupe.



- Alors ?
- Pas de doute ! Tu es terriblement bandante ! On peut y aller.
- Où ?
- Dans un supermarché, histoire d'avoir le choix et de tomber sur vraiment n'importe qui.
Une demi-heure plus tard, ils étaient dans un grand magasin. Quand un homme seul et pas trop moche passait à proximité d'eux, Camille se caressait les cuisses et remontait négligemment sa jupe pour révéler son sexe nu.



La plupart du temps, le type devenait rouge vif et passait son chemin. A un moment, un jeune homme ne s'enfuit pas devant l'exhibitionniste et Camille en profita pour aller un peu plus loin en ouvrant son décolleté pour dégager ses seins.



Le jeune homme prit ce geste comme il devait être pris et s'approcha de la jeune femme si impudique. Camille ne chercha pas à se rajuster à l'approche du jeune homme et se montra même accueillante. Elle lui sourit et laissa sa poitrine dégagée hors du décolleté. Le gars était aux anges. Camille demanda à Boris :
- Lui ?
- C'est toi qui choisi ma chérie...



Camille se tourna vers le garçon :
- Monsieur, mon mari m'autorise à m'offrir à un inconnu. Voulez-vous être cet inconnu ?
- Je ne sais pas...
Le garçon semblait pris au dépourvu. Boris intervint :
- Ma chérie, il faut peut-être lui laisser entrevoir ce que tu peux lui offrir ?
Camille amena la tête du jeune homme contre sa poitrine pour qu'il lui suce les seins. Pas farouche, le gars passa une main sous la jupe pour lui caresser la moule. Content de voir que sa femme avait convaincu le garçon, Boris l'embrassa avec passion.



Quelques minutes plus tard, ils arrivèrent à la voiture. Boris proposa de conduire pour laisser le nouveau couple s'installer à l'arrière. A peine assise, Camille demanda à l'inconnu s'il bandait :
- Un peu, oui...
- Juste un peu ?
Camille ressortit à nouveau sa magnifique poitrine.
- Et là?



- Là, je reconnais que c'est déjà mieux !
- Et pour que tu bandes complètement, que dois-faire ?
- Me sucer ?
- T-t-t... Chaque chose en son temps... Et si je me caresse ?
Relevant sa jupe, Camille commença à se caresser la moule.
L'inconnu se tourna vers Boris :
- Putain ! Elle est terrible, ta femme !!!



L'inconnu s'est montré sage pendant le voyage et n'a pas touché Camille, ni sortit son érection. Il a sagement attendu que Boris et Camille le conduise dans le salon. Boris s'installa dans un fauteuil et laissa le jeune homme déshabiller sa femme. Il semblait porter un grand intérêt à la magnifique poitrine de la jeune femme qu'il caressa longuement.



Quand Camille en eut assez, elle lui retira les mains de ses seins et s'agenouilla devant lui. Elle commença par déboucler la ceinture et lui ouvrit le pantalon. Il bandait déjà très très dur et elle eut un peu de mal à extraire la tige raide du caleçon.



Dès qu'elle réussit à sortir la tige du type, elle le saisit de la main droite. Camille resta ainsi quelques secondes à apprécier cette sensation de tenir un membre palpitant dans sa main. Elle tira un peu la peau pour extraire complètement l'énorme gland de son amant et le porta à sa bouche.



Le garçon feula de plaisir. Boris, assis dans son fauteuil, admirait sa femme donner du plaisir à un autre homme. Et vu l'état du gars, elle semblait s'y prendre très bien. Camille avait désormais engouffrée la totalité du gland dans sa bouche. Le garçon fermait les yeux en sentant la langue de Camille jouer autour de son gland.



Soudain, Camille abandonna sa proie. Le gars rouvrit les yeux, manifestement déçu. Camille s'était levée et s'est installée sur le canapé, s'allongeant sur le ventre. Elle se retourna vers le gars et, lui souriant, écarta lentement les jambes :
- Tu viens ?



Le gars s'approcha sans attendre et demanda :
- Qu'est-ce que tu proposes ?
- Libre à toi...
L'inconnu décida de la prendre en levrette. La saisissant par la taille, il la fit se mettre à quatre pattes et s'engouffra en elle sans même la préparer. Boris crut qu'il avait fait mal à sa femme, mais il n'en était rien : Camille cria autant de surprise que de plaisir en se faisant transpercer par cette grosse bite.



Il la besogna si bien que Camille se mit à jouir en quelques minutes. Il continua à la prendre voulant manifestement atteindre son plaisir à lui dans cette position. Mais Camille l'arrêta :
- Branle-toi entre mes fesses !
- Quoi ?
- Branle-toi entre mes fesses : je ne veux pas que tu éjacules en moi...
- ...
A la fois surpris et décontenancé, le garçon obtempéra et sortit sa longue tige pour se masturber entre les fesses accueillantes de Camille. Il en retira finalement plus de plaisir qu'il n'aurait cru et éjacula rapidement, laissant échapper un premier jet de sperme épais.



Lui-même surpris d'ariver à jouir si vite, le garçon se redressa et se masturba pour continuer à éjaculer sur les fesses de son hôtesse. De longs jets vinrent s'écraser sur le joli postérieur de Camille.



Boris, qui s'était mis à poil pour se masturber, crut que ça n'en finirait pas : le type semblait ne pas pouvoir s'arrêter d'éjaculer. Quand elle ne sentit enfin plus de jet à venir lui fouetter les fesses, Camille se retourna vers son amant, elle aussi surprise de la quantité qu'il avait fourni.



Le type, à bout de force, s'affala sur le canapé, sa queue débandant déjà. Camille se releva et jeta un coup d'oeil à son mari qui lui demanda :
- Alors ? Tu as aimé ma chérie ?
- Oh oui... mais toi, tu ne veux pas une gâterie ?




Camille admirait le sexe tendu de son mari. Il bandait pour elle, pour le spectacle qu'elle venait de lui donner en s'offrant à un inconnu. Mais maintenant, elle avait aussi envie de satisfaire son mari et de voir quelle quantité de sperme il pourrait fournir lui aussi...



Elle vint donc se placer entre les cuisses écartées de son mari et se saisit de son membre turgescent. Le regardant droit dans les yeux, elle le masturba vigoureusement. Boris ferma les yeux et apprécia les talents de sa femme, ne serait-ce que pour une simple branlette.



En peu de temps, Camille obtint ce qu'elle voulait : le corps de Boris de tendit, il ouvrit la bouche et son sexe se contracta. Un énorme jet de sperme s'échappa, venant s'écraser sur son ventre.



Plusieurs autres jets suivirent la même trajectoire. Boris haletait de plaisir. Camille était fière de ce résultat. Elle admira tout le sperme qui maculait le ventre de son mari et se dit que finalement, lui aussi éjaculait beaucoup.



Quand ils furent remis tous deux de leurs émotions, ils constatèrent que l'inconnu, poli ne s'était pas imposé et était déjà parti.
- Le spectacle t'a plu, chéri !
- Oh que oui ! Et toi ? Tu es prête pour d'autres expériences ?
- Mmmmh ? Oui, pourquoi pas...
- Tu as déjà une idée, apparemment ?
- Oui... ça fait deux fois que j'assiste à une double pénétration de Laurine et ça me fait bien envie d'essayer.
- Zut, on aurait pu demander au gars avant qu'il parte !
- Non j'aimerai autant que ce soit Pascal...
- Ecoute, la prochaine fois que tu le verras, tu lui proposeras, ça m'étonnerait qu'il refuse !

Boris^ ---------oOo---------

11. L'invitation sur le parking

Camille revenait de faire quelques longueurs à la piscine. Alors qu'elle cherchait sa voiture sur le parking, elle se demandait si elle n'allait pas appeler Pascal dès qu'elle serait rentrée pour lui proposer de venir passer la soirée avec Boris et elle. Elle venait de se faire draguer ouvertement à la piscine et s'était amusée à retirer le haut de son bikini dans les douches (qui sont mixtes). Elle avait ainsi suscitée l'intérêt de quelques garçons et l'un d'eux lui a même demandé si elle venait régulièrement à la piscine. Elle s'amusa de voir que la plupart des gars étaient en érection à regarder sa poitrine nue et répondit qu'elle reviendrait le lendemain mais un peu plus tard. Elle les avait abandonnés ainsi mais se trouvait passablement excitée.



Elle sentait bien que, avec l'excitation, ses tétons pointaient dans son décolleté, et le fait d'avoir enfilé sa robe à même la peau sans mettre de soutien-gorge devait aussi y être pour quelque chose. Alors qu'elle cherchait les clés de sa voiture dans son sac elle aperçut Pascal dans la voiture juste à côté de la sienne. Quelle ne fut pas sa surprise en constatant que celui-ci avait sa bite sortie du pantalon et se masturbait allégrement !



Elle se pencha, toute souriant, à la vitre, lui offrant ainsi une vue imprenable sur son décolleté :
- Salut Pascal !
Il fut un peu surpris mais ne se formalisa même pas et lui répondit, tout en continuant à se branler :
- Bonjour Camille, comment vas-tu ?
- Tu ne t'emmerdes pas, dis donc ! Tu te branles souvent en public ?



Pascal la regardait à peine et concentrer son attention ailleurs. Il désigna à Camille la voiture juste devant la sienne :
- Tu vois la nana, là-bas ?
- Ah oui, en effet...
- Je ne sais pas ce qu'elle trafique, mais elle est comme ça depuis dix minutes et j'ai largement pu constater qu'elle avait oublié sa culotte...



Camille lui répondit :
- Et moi je suis juste-là et je n'ai pas mis de soutien-gorge...
Pascal se tourna vers elle et prit le temps de la regarder un peu mieux. Effectivement, d'où il était, il voyait les tétons jouer librement dans le décolleté de la robe. Il continua à se branler mais gardait les yeux plongés dans le sillon des seins de Camille. Celle-ci avança la main et empoigna le membre en érection.



- Mmmh, tu bandes rudement bien juste en matant mon décolleté...
- Tu as mieux à m'offrir ?
- Peut-être...
Camille ouvrit la portière et, relativement peu cachée aux yeux du public, releva sa robe au-dessus de ses seins. Pascal en resta bouche-bée. Elle retira même sa culotte.



Elle se pencha un peu dans la voiture.
- Alors, qu'est-ce que tu dis de ça ?
- Je dis que tu es une magnifique salope et que je ne vais pas te laisser filer !
Pascal tendit la main et caressa un sein gonflé, tout en continuant à s'astiquer.



Camille se contorsionna pour entrer dans la voiture et, pliée en deux, vint s'empaler directement sur la tige de Pascal. Celui-ci la regarda faire avec de grands yeux incrédules. Camille lui sourit tout en montant et descendant sur la queue de Pascal :
- Aaaaaaaaaaah, j'étais tout excitée en sortant de la piscine !
- Et ça ne pouvait pas attendre que tu rentres retrouver Boris ?
- Oh si ! Mais comme je t'avais sous la main... D'ailleurs, j'ai une proposition à te faire...



Elle s'arrêta de bouger. Pascal répondit :
- Je t'écoute...
- Tu pourrais venir seul à la maison ce soir ?
- Pour dîner ?
- Si tu veux, mais surtout pour me baiser... J'ai envie d'une double pénétration !
- Ecoute, il faut que je vois si je suis disponible et je te tiens au courant...
- Salopard !
Ils se mirent à rigoler.
- Je plaisante, ma belle. Pas de soucis, en plus Laurine à son cours de dessin ce soir.
Camille se retira et laissa retomber sa robe dès qu'elle fut hors de la voiture.
- Laurine fait du dessin ?
- Pas tout à fait... elle pose en tant que modèle à domicile pour des gens qui veulent apprendre à dessiner...
- Sans déconner ? Et elle choisit chez qui elle va ?
- Toujours...
- Faudra que j'en parle à Boris, ça m'intéresserait de faire ça, aussi !
- Je vois que vous êtes toutes les deux sur la même longueur d'ondes...

Le soir, Boris accueillit Pascal et ils retrouvèrent Camille dans le salon. Elle avait passé une très jolie robe rose à fine bretelle et assez décolletée. Les garçons ne purent s'empêcher de commencer à la caresser mais elle les arrêta aussitôt :
- Messieurs du calme, vous n'allez quand même pas me violer ?
Pascal lui répondit :
- Vu comme tu m'as chauffé tout à l'heure, je ne sais pas si je vais patienter longtemps.
Boris ajouta :
- Et je te comprends si elle t'a effectivement laissé en plan comme elle me l'a raconté...



- Allons, les hommes ! Moi aussi je suis hyper excitée... mais avouer que c'est meilleur quand on laisse l'excitation monter encore plus !
Pascal commença à lui tripoter les seins alors que Boris, derrière elle, l'embrassait dans le coup tandis que ses mains caressaient les fesses fermes de sa femme.



Camille se dégagea de leur étreinte et dit :
- Bon, Pascal ! Mets-toi à poil... Boris va d'abord mater un peu.
Pascal ne se fit pas prier et retira toutes ses fringues sous l'oeil intéressé de Camille. Elle-même commença à faire glisser les bretelles de sa robe pour dégager ses seins.



Pascal la regardait avidement, le sexe déjà en érection. Il en avait la gorge sèche et il s'humectait les lèvres régulièrement par un passage de sa langue. Boris, patient, regardait sa femme se déshabiller. La robe tomba et révéla un petit string. Camille mit un temps infini à le faire glisser sur ses cuisses.



Quand enfin elle fut nue, Camille s'approcha de Pascal et attrapa son érection. Elle mouillait déjà beaucoup à l'idée qu'elle allait bientôt se faire prendre par deux hommes en même temps, mais, rien que de saisir le membre de Pascal, elle sentait la cyprine s'écouler de son sexe.



Elle fit allonger et vint se mettre à quatre pattes entre ses jambes. Elle attrapa la base du sexe d'une main et se pencha sur le gland pour le gober. En bouche, le gland entre ses lèvres bien fermées, Camille joua à faire tourner sa langue tout autour. Boris regardait sa femme faire et se disait qu'elle avait bien changé ces dernières semaines.



Après avoir sucé Pascal pendant dix bonnes minutes, Camille se redressa et vint s'empaler sur sa tige dressée. Elle demanda à Boris :
- Tu n'es pas trop gêné de te contenter de regarder pour le moment ?
- Bah ! Tu t'es déjà tapée un inconnu sous mes yeux il y a quelques jours et je sais que mon tour viendra...
- Tu ne le regretteras pas...



Pascal admirait cette superbe femme qui s'était mise en amazone sur lui. Il regardait sa bite disparaitre à chaque fois qu'elle se laissait lentement retomber dessus. Il voyait sa poitrine, pleine et ferme, balloter légèrement des mouvements qu'elle faisait. Il remonta les mains qu'il avait gardé jusqu'alors que les hanches de Camille et se saisit de chaque sein.



Entre deux feulements de plaisir, Camille lui demanda :
- Il faut que tu me prépares pour quand Boris viendra...
- Quoi ?
- Prépares mon cul, pendant que tu me fais l'amour...
Elle se cambra sur lui et il comprit ce qu'elle attendait : il fit descendre ses mains vers ses fesses et commença à glisser le majeur dans son anus.



Camille appréciait le traitement, elle devait se concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Sentir la queue de Pascal en elle en même temps que ce doigt qui la fouillait de plus en plus loin dans son cul la rendait folle. Elle se ressaisit et repoussa la main de Pascal. Elle se tourna vers son mari :
- Viens, Boris, à toi de jouer !
Boris se leva et retira ses vêtements en prenant son temps. Il s'approcha de sa femme, en tenant sa bite en érection.



Il eut quelques difficultés à forcer son anus. Le doigt de Pascal n'avait manifestement pas dû suffire pour la préparer. Boris prit donc son temps et appuya tranquillement sur l'anneau sans trop forcer. Camille l'aida en écartant au maximum ses globes fessiers. Une fois que le gland fut entré, le reste suivit avec moins de difficulté et Boris put s'introduire presque complètement.



Camille était aux anges : elle sentait ces deux bites en elle, ces deux queues qui se frottaient presque l'une contre l'autre à travers une fine paroi de chaire. A chaque coup de rein que donnait Boris, Pascal sentait la tige qui s'introduisait en Camille non loin de sa propre tige.



Camille ne fut pas longue à jouir dès cet instant. Les deux hommes s'en donnèrent à coeur-joie. Ils la besognaient franchement et redoublèrent leurs efforts dès qu'elle manifesta son orgasme d'une manière particulièrement sonore. Ils maintinrent le rythme plusieurs minutes et Camille crut que son orgasme ne s'arrêterait jamais...



Quand enfin, ils se calmèrent, Camille était épuisée mais totalement ravie. Elle se rendit à peine compte qu'ils se retirèrent. Dans un état second, elle se laissa mettre à genou et, quand elle reprit ses esprits, elle tenait la queue de ses deux amants en main et les masturbait fébrilement.



Ils ne furent pas longs à jouir. Pascal, probablement le plus excité, éjacula le premier. Sperme s'échappa à gros bouillon et vint s'écraser à divers endroits du visage et de la poitrine de Camille. Quand Boris éjacula à son tour, il visa plus précisément la bouche de sa femme que celle-ci gardait béante. Elle n'avala rien et laissa le sperme s'écouler de sa bouche au fur et à mesure que Boris l'emplissait.



Couverte du sperme de ses amants, Camille leur sourit. Elle tenait toujours la bite de Pascal et regarda son mari. Celui-ci aussi avait l'air satisfait :
- Alors, ma chérie ? Ça t'a plu cette double pénétration ?
- J'adore, il faudra qu'on remette ça de temps en temps.
- Tous les jours ?
- Peut-être pas, c'est épuisant...
- Si ça peut rendre service, ajouta Pascal, je veux bien me rendre disponible dès que vous aurez besoin.
- J'en suis certaine, dit Camille en rigolant.

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12. Après-midi à la piscine

Comme elle l'avait promis la veille, Camille alla à la piscine en fin d'après-midi, à une heure où il ne restait presque plus personne. Elle crut même à un instant qu'elle était la dernière et qu'il ne restait plus personne. Elle sortit donc de la piscine, sublime dans son bikini rose et se dirigea vers les douches.



Elle n'eut pas à entrer dans les douches car elle trouva quelqu'un. Un des jeunes hommes qu'elle avait allumée la veille se trouvait là, entièrement nu et affichant sans complexe son membre légèrement bandé. Elle fut surprise :
- Oh ! Excusez-moi, la piscine est sans doute fermée, je ne devrais plus être ici...
- Elle est effectivement fermée, mais vous pouvez rester, il fait encore bien jour.
- Et vous venez souvent nager tout nu après la fermeture ?
- C'est moi qui m'occupe de fermer, je fais donc ce que je veux après...
- Il ne reste plus que moi ?
- Non, deux amis à moi vont arriver.
- Vous étiez là hier quand...
- Vous avez exhibé votre poitrine ? Oui, et j'ai beaucoup apprécié... D'ailleurs...



Camille avait bien compris le message. Elle passa les mains dans le dos et dégrafa son soutien-gorge. Le garçon affichait désormais un sexe bien bandé au gland luisant. Camille était très excitée de voir l'effet qu'elle produisait sur ce jeune homme.



Elle se tourna vers lui.
- Je vous avais dit que je reviendrais...
- Et vous avez tenu votre promesse. Vous êtes superbe, mais...
- Mais ?
- Comme vous pouvez le voir, à cette heure-ci, le bas n'est pas de rigueur non plus et la tenue d'Eve est obligatoire...
Camille lui sourit.



- Je comprends... Comme vous êtes le responsable, j'imagine que je ne dois pas discuter le règlement ?
- Exactement.
Camille s'exécuta et, lui tournant le dos, fit glisser son string.



Une fois le string retiré, elle lui fit face, sans pudeur aucune, affichant sa poitrine pleine et son entrejambe dont les lèvres commençaient à devenir luisante de mouille tellement Camille était excitée. Très sûre d'elle, elle lui annonça :
- Si ça ne vous dérange pas, si je peux rester encore un peu, je crois que je vais aller m'étendre au bord de la piscine.



Le jeune garçon la regarda aller installer sa serviette au bord de la piscine et s'étendre dessus avec un naturel désarmant. Du bruit se fit entendre derrière lui. Deux autres garçons venaient d'arriver. Ils étaient nus eux aussi, mais ne bandaient pas encore. Camille s'amusa de reconnaître deux autres des gars qu'elle avait volontairement excités sous les douches la veille.



- Bonsoir. Alors ? Vous sembliez plus en forme hier soir quand vous aviez encore vos maillots et moi le mien...
Un des deux gars s'approcha lentement d'elle en se masturbant :
- Ne vous inquiétez pas, ma belle, je tiens une forme olympique.
Quand il arriva au niveau de Camille, il bandait franchement et semblait attendre quelque chose. Camille se redressa sur les coudes et entrouvrit la bouche. Le garçon comprit et se pencha pour lui présenter son sexe qu'elle engouffra aussitôt.



Le jeune homme semblait peiner à garder les jambes plier pour tenir la position. Camille eut pitié de lui et se redressa, s'asseyant pour lui permettre de rester debout. Après qu'elle l'eut sucer quelques minutes, Camille se rendit compte que le sexe emplissait désormais toute sa bouche tant il était large.



Elle décida de ne pas mener l'expérience à son terme et à s'arrêter là. Elle le laissa dans un état d'excitation sans précédent et le jeune homme resta incrédule en la voyant se relever et s'éloigner. Il balbutia un "Mais ?..." auquel Camille répondit :
- Doucement, on n'est pas pressé... J'ai cru comprendre que la piscine nous était réservée, il faut en profiter !



Tous les garçons n'en croyaient pas leurs yeux. Cette salope les allumait carrément. Elle alla s'asseoir sur le bord de la piscine et, après avoir goûté la température de l'eau, se laissa glisser lentement, avec grâce. Les trois garçons observaient le moindre de ses gestes, de ses mouvements. Camille le savait et opérait comme si il s'agissait d'une chorégraphie.



Le garçon responsable de la piscine vint s'asseoir sur le bord de la piscine à côté d'elle et commença à se masturber, bien qu'il affichait déjà une érection très raisonnable. Il s'adressa à Camille :
- Vous pouvez rester autant qu'il vous plaira, personne ne m'attend.



Camille vint s'appuyer au bord de la piscine à côté de lui et répondit :
- Ce n'est malheureusement pas mon cas, mon mari m'attend...
- En ce moment ?
- Oh non, j'ai bien une bonne heure devant moi...
- Alors profitons-en...



Il tendit le bassin vers elle, comme pour lui tendre son sexe. Elle comprit bien ce qu'il voulait et se redressa pour lui offrir sa bouche. A lui aussi, elle offrit une fellation soignée qui lui arracha quelques râles de plaisir, mais Camille prit garde de ne pas le faire jouir.



Lui aussi, elle l'abandonna avant qu'il n'éjacule et se dirigea à l'opposé de la piscine. Incrédule, le garçon la regarda s'éloigner. Celui qui avait déjà subit cette frustration juste avant rigola de voir la tête de son camarade. Camille sortit de la piscine.



Le troisième gars s'était installé dans une chaise longue et avait la bite sortie mais ne bandait pas. Il observa Camille s'approcher de lui. Elle lui demanda :
- Et vous ? Vous ne bandez pas ? Je ne vous excite pas ?
- Oh si, mais je ne tiens pas à me masturber... Je préfèrerais que vous vous en occupiez !
Camille rigola car le sexe commençait quand même à prendre du volume peu à peu.



Elle vint se mettre à quatre pattes entre ses jambes écartées et lui saisit le membre. En quelques coups de poignets, elle obtint une érection qu'elle ne pu s'empêcher de gober. Elle le suça donc, comme avait sucé ses deux copains auparavant. Il apprécia :
- Oh putain, les gars ! Quel pied ! Elle suce hyper bien... sa bouche, c'est du velours !



Comme pour le premier garçon, elle fut surprise de constater que le jeune homme avait, lui aussi, un sexe aux proportions étonnantes. Une fois au maximum de l'érection, le membre lui emplissait complètement la bouche, qu'elle avait pourtant béante.



Ainsi positionnée, elle avait le derrière redressé et offrait sa moule luisante de mouille aux regards des deux autres. Le premier gars auquel elle avait fait une fellation s'était approché d'elle et commençait à lui caresser la moule. Elle était terriblement excitée et laissa le jeune homme insérer deux doigts dans son sexe. Même quand il entreprit d'y mettre ses quatre doigts, Camille le laissa faire.



Elle commençait à gémir de plaisir et, ne pouvant plus se concentrer sur sa pipe, elle abandonna la bite de son partenaire. Mais une autre bite vint bien vite se présenter à l'entrée de sa chatte. Le type s'y enfonça d'une traite et la besogna aussitôt sans ménagement.



Camille ne fut pas longue à jouir tellement elle était excitée. Dès que son orgasme se calma, le jeune homme se retira et celui qu'elle venait d'arrêter de sucer vint le remplacer. En quelques minutes, il lui arracha un second orgasme très violent.



Camille, une fois remise de ce second assaut, savait qu'elle n'allait pas en rester là. Effectivement, le responsable de la piscine vint à son tour. Plus original que ses camarades, il appuya son gland contre l'anus de Camille. Surprise, elle se demanda un instant si elle n'allait pas refuser son cul à cet inconnu. Mais elle se ravisa en se disant qu'elle n'allait pas se priver d'un orgasme anal. Le jeune homme se mit donc à la sodomiser. Malgré la retenue dont faisait preuve ce nouvel assaillant, Camille sentit monter son troisième orgasme et l'exprima de manière particulièrement sonore.



Quand elle fut remise de ses émotions, elle constata que les trois garçons l'entouraient, toujours avec de formidables érections. Elle prit conscience qu'eux n'avaient toujours pas joui... Elle s'agenouilla donc et commença à les sucer à tour de rôle.



Eux aussi étaient trop excités et ils ne furent pas longs à jouir. Ils vinrent éjaculer à tour de rôle dans la bouche de Camille, qu'elle garda béante pour recevoir chaque jet de sperme sans en perdre une goutte. Une fois la tempête calmée, elle n'avala toutefois pas tout le précieux liquide et se contenta de la laisser s'échapper petit à petit de sa bouche, coulant dans son cou, puis sur sa poitrine et sur son ventre.



Couverte de sperme, elle se releva, satisfaite. Les trois garçons avaient également l'air d'avoir apprécié leur soirée. Camille se dit qu'elle avait bien mérité une bonne douche avant de rentrer retrouver Boris.
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13. Les douches de la piscine

Couverte du sperme de ses trois jeunes étalons, Camille attrapa son bikini et le renfila avant de gagner les douches, laissant les trois garçons se remettre de leur orgasme. Elle commença à se laver ainsi. Elle entendit soudain une voix derrière elle :
- Vous me paraissez bien habillée pour prendre une douche...



C'était le responsable de la piscine, toujours nu comme un ver, avec un membre encore long et épais mais qui ballotait tête en bas. Camille se retourna et lui répondit :
- C'est l'habitude. Comme les douches sont collectives, les gens ne se mettent pas nus.



- Pourtant, hier vous avez bien retiré votre soutien-gorge...
- C'est vrai... Mais je trouve que vous en avez déjà bien profité !
- Oh, mais moi je disais surtout ça pour vous pour que vous soyez plus à l'aise...
- Voyez-vous ça ! Quelle désinvolture !
Camille entreprit tout de même de retirer le haut de son bikini.



Aussitôt, elle put constater que le sexe du jeune homme reprenait de la vigueur.
- Oh, je vois que ça ne vous laisse quand même pas complètement indifférent !
- Personne ne le pourrait... Vous êtes si belle !
- Et maintenant ? Vous pensez que je vais être plus à l'aise pour me doucher ?
- Si vous retirez aussi, le bas, sans aucun doute...
Camille fit aussitôt glisser son string et se cacha le sexe par fausse pudeur.
- Maintenant, laissez-moi...



Camille fit mine de se désintéresser du jeune homme qui, bien sûr, ne la laissa pas et resta à l'admirer alors qu'elle commençait à se savonner les seins sous le jet d'eau tiède. Le garçon sentit que son sexe était de nouveau opérationnel.



Camille continuait son rituel de la douche, sans prêter attention au voyeur. Alors qu'elle se nettoyait l'entrejambe, elle n'eut aucune retenue à se donner du plaisir et laissa un doigt se glisser entre ses lèvres et remonter jusqu'à son clitoris où il resta un moment à décrire de petits cercles. Cela excita l'homme au plus au point et il ne put se retenir de s'approcher pour la caresser.



Camille l'accueillit comme il se doit et attrapa aussitôt le sexe turgescent pour le masturber alors que le jeune garçon lui caressait fougueusement la poitrine.



Camille finit par s'agenouiller devant lui et lui offrit à nouveau sa bouche. La fellation dura quelques minutes à l'issues desquelles Camille reçut au visage et sur la poitrine le produit du plaisir de son partenaire.



Elle se releva et repoussa le jeune homme :
- Maintenant, je suis bonne pour me doucher à nouveau.
Le jeune homme, à peine remis de son éjaculation, parvint à balbutier :
- Tu suces vraiment divinement bien...



Fière du compliment, Camille le laissa s'éloigner vers le bassin et reprit ses ablutions. Elle trouvait finalement très agréable de devoir se laver encore car elle trouvait presque aussi agréable le contact de l'eau qui coule sur son corps que le fait de faire jouir un homme.



Alors qu'elle se nettoyait les fesses, elle entendit à nouveau une voix derrière elle :
- Excusez-moi, on vient de nous dire que vous étiez encore dans la partie ?
Camille comprit aussitôt ce que les deux autres voulaient.
- Approchez...
Les deux gars, toujours nus, se masturbaient en rejoignant la jeune femme sous la douche.



Ils la caressèrent sous toutes les coutures : les seins, le dos, les fesses, les cuisses, le ventre et le sexe. Camille crut défaillir devant l'assaut de tous ces doigts dont certains visitaient sans vergogne son intimité. Quand les deux hommes se calmèrent, elle s'agenouilla devant celui à sa droite et se mit à le sucer, pendant que son collègue continuait de se masturber.



Quand elle sentit que sa fellation avait mené son amant au bord de l'éjaculation, elle le laissa se masturber jusqu'à ce que ses jets de foutre viennent lui fouetter le visage. Cette scène déclencha l'éjaculation de l'autre type qui s'approcha et balança sa crème sur les seins de la jeune femme.



Camille se releva et demanda à ses amants de la laisser :
- Je dois me doucher maintenant, sinon, je ne vais jamais pouvoir rentrer à la maison.
- Vous êtes attendue ?
- Oui, mon mari...
Un des deux types s'éloigna. L'autre semblait décidé à rester pour discuter.



- Et vous allez lui dire à votre mari ?
Camille continuait de se nettoyer.
- Oui, ça l'excite beaucoup quand je lui raconte mes aventures extraconjugales...
- Chouette ! Il est cool votre mari.
Camille commença à se sécher.
- C'est un homme formidable !



Elle laissa le jeune homme et fila aux vestiaires récupérer ses affaires. Alors qu'elle fouillait dans le casier, elle ne se rendit pas compte que l'homme l'avait suivie.



C'est quand il lui adressa à nouveau la parole qu'elle fut surprise et se retourna :
- Votre mari est formidable, mais vous venez quand même à la piscine pour vous taper des inconnus...



Camille remarqua qu'il était à nouveau en érection. Elle se fit d'ailleurs la remarque que c'était celui des trois qui avait la plus belle queue.
- Mon mari me fait très bien l'amour... mais je dois avouer qu'à vous avoir vu bander hier, j'ai eu envie d'en voir un peu plus aujourd'hui...
- Elles vous ont plu, nos bites ?
- Oui... surtout la vôtre.
Camille se pencha en avant, en une invite très explicite.



Le jeune homme ne se fit pas prier et vint la rejoindre aussitôt, lui callant sa queue entre les fesses. En se cambrant légèrement, elle lui présenta son sexe luisant de mouille. Le type n'eut qu'à faire une petite flexion sur les genoux pour s'emmancher dans la chatte béante de sa partenaire.



Alors, arrivèrent les deux autres, eux aussi, toujours nus et, bien évidemment, toujours en érection :
- Eh, vous n'avez toujours pas fini ?!
- Vous êtes dure à rassasier question sexe !
L'un d'eux vint s'allonger à côté du couple et Camille se mit aussitôt en Soixante-neuf sur lui.



L'autre vint se placer devant elle et lui présenta son sexe devant le visage. De temps en temps, Camille laissait la bite dressée sous elle pour engloutir celle qui se tenait devant elle. Le premier type, qu'elle avait abandonnée quand les deux autres étaient arrivés, l'attrapa aux hanches et la prit en levrette aussitôt.



Celui qui était devant elle et qu'elle suçait de temps en temps décida de changer de place et vint se placer au-dessus de son cul, devant son camarade. Il plaça son gland sur l'anus de la jeune femme et s'y enfonça lentement. Camille sentit monter l'orgasme. Deux bites la pénétraient en même temps et elle avait du mal à se concentrer sur celle qu'elle suçait. Elle jouit pendant une longue minute et cet orgasme fut si violent qu'elle se rappela à peine ce qui suivit.



Les trois hommes n'avaient toujours pas jouis, mais Camille ne tenant plus debout, ils vinrent l'entourer et la maintinrent à genou alors qu'ils se frottaient tous les trois la bite sur son visage. Ils finirent par jouir ainsi, mélangeant leur sperme dans sa bouche et sur son visage.



Un seul des trois resta avec elle et, voyant qu'elle était réellement épuisée, s'occupa de la doucher une dernière fois avant de la laisser rentrer chez elle. Il en profita bien sûr pour se masturber entre ses fesses et pour la peloter, mais il eut la gentillesse de ne pas aller plus loin.


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14. Le cours de dessin

Camille avait réussi à convaincre Laurine de la laisser l'accompagner à un de ses fameux cours de dessin à domicile durant lesquels Laurine posait nue pendant quelques heures pour des artistes débutants. Laurine ne faisait pas payer cher, mais elle mettait un point d'honneur à choisir les artistes avec lesquels elle voulait travailler. Elle les rencontrait donc toujours avant d'accepter une séance de pose. Cette fois-ci, vu que Camille allait l'accompagner, Laurine avait tenue à ce qu'elle soit présente durant la rencontre. Il s'agissait de Dan, un jeune étudiant aux Beaux-Arts, fort beau, qui avait besoin de beaucoup travailler l'anatomie féminine.
Les deux jeunes femmes avaient rendez-vous le soir chez Dan et étaient venues légèrement vêtues avec juste un jeans et un débardeur pour Laurine et juste un jeans et un tee-shirt pour Camille.



Quand Dan ouvrit, il resta bouche-bée de voir le décolleté impressionnant de Laurine et la finesse du tee-shirt de Camille : les filles ne portaient bien-sûr rien dessous. Laurine rappela comment cela allait se passer :
- Camille et moi allons poser pour vous. Nous prendrons des poses mais le plus souvent nous serons en mouvement, ce sera à vous de saisir les instants qui vous intéressent et de les reproduire sur votre toile. Vous pouvez commencer tout de suite.
Dan se mit à son pupitre et commença aussitôt à y faire des croquis des deux jeunes femmes. Dan leur proposa d'aller se changer dans la chambre à côté. Camille répondit :
- Ne vous inquiétez pas, nous allons nous préparer ici... On n'est pas obligée de rester habillée, Laurine ?



- Non, bien sûr... J'ai apporté deux petites nuisettes pour qu'il travaille aussi un peu sur la transparence des tissus.
Pour illustrer le fait qu'il n'était pas nécessaire de rester habiller, Laurine commença à baisser son jeans. Dan resta quelques secondes perplexe en constatant qu'elle ne portait pas de culotte en dessous.



Camille lui demanda d'arrêter. Laurine s'arrêta, le jeans à peine baissé sur le haut des cuisses. Camille demanda :
- Tu n'as pas mis de sous-vêtement... Moi non plus ! J'espère que Dan ne voulait pas travailler sur le dessin de sous-vêtement...
Laurine rigola. Lentement, Camille tira sur le large décolleté de son tee-shirt pour dégager ses seins nus. Dan avait les yeux grands ouverts et n'en perdait pas une miette.



Les deux jeunes femmes soulevèrent simultanément leurs hauts pour dégager complètement leurs poitrines, comme si elles voulaient les comparer. C'est d'ailleurs ce que pu faire Dan... Camille fit assoir Laurine sur le canapé derrière elles et glissa une main dans le jeans un peu baisser. Ses doigts atteignirent les lèvres humides de Laurine et elle s'amusa à la masturber un peu.



Dan en profita pour croquer cette pose inattendue. Au bout de quelques minutes, Camille abandonna sa partenaire et termina de retirer son tee-shirt et son jeans. Derrière elle, Laurine se mettait également nue. Une fois fait, elle se colla à Camille pour lui caresser les seins.



- Changeons-nous ma chérie !
Laurine attrapa son sac et en sortit deux petites nuisettes : une rose qu'elle tendit à Camille et une noire. Camille enfila la sienne aussitôt. Totalement transparente, la nuisette ne cachait absolument rien des formes généreuses de la jeune femme. La nuisette tenait fermée par une petit lien au niveau de la poitrine et s'échancrait largement ensuite pour révéler le sexe nu.



Laurine enfila également la sienne : le noir mettait très bien en évidence son corps parfaitement proportionné. Dan se contorsionnait derrière son pupitre pour dissimuler une érection galopante provoquée par le manège désinvolte de ces deux filles de rêve.



Laurine s'approcha de Camille et commença à s'amuser avec le lien de la nuisette. Camille tenta de l'en empêcher, mais, en voulant repousser Laurine, la nuisette fut tirée un peu vers le bas et un téton manqua de s'échapper par le haut.



Camille abandonna donc le maniement de sa nuisette aux doigts experts et à la volonté sans faille de Laurine qui trouvait probablement que Camille ne s'exposait pas suffisamment. Une fois le lien tiré, les deux pans de la nuisette s'ouvrir pour révéler le corps intégralement nu de la jeune femme. Laurine empoigna un sein et s'adressa à Dan :
- Ma copine a des seins plus fermes que les miens, je pense que vous serez content qu'elle ait accepté de m'accompagner.
Dan bégaya :
- ... Oui, sans aucun doute, mademoiselle...



Laurine, satisfaite du trouble qu'elle faisait naître, fit passer sa nuisette par-dessus sa tête et, totalement nue, s'accroupit devant Camille en disant :
- Et en plus, elle a une moule qui sent bon la rose !
Lui tenant toujours un sein, elle commença à lui lécher carrément la moule. Camille en fut aussi étonnée que Dan mais dut rapidement se tenir au mur à côté car elle sentait que la langue experte de Laurine pouvait la faire flancher en quelques minutes seulement.



Dan essaya de saisir la scène avec ses crayons, mais, devant l'érotisme torride de cette situation, se résigna à poser ses crayons. Il sortit son érection qui commençait à devenir douloureuse dans son pantalon étroit et, caché derrière son pupitre, se mit à s'astiquer, les yeux fixés sur les deux jeunes femmes. Camille ne put réprimer la montée d'un orgasme et ne chercha pas à le cacher. Elle jouit d'une manière très sonore, même si l'orgasme ne fut pas long. Laurine se redressa, satisfaite de sa prestation.
- Ça t'as plu ?
- Mmmmh oui, tu es douée... On échange ?



Les filles ne semblaient plus du tout tenir compte de la présence de Dan. Celui-ci ne se privait d'ailleurs pas de se masturber en regardant les filles se faire des gentillesses. Laurine s'allongea sur le canapé, cuisses largement écartés et Camille vint s'accroupir devant elle avançant son visage vers la chatte imberbe. Sa langue s'attaqua aussitôt au clitoris et Laurine se caressait les seins pour bien en profiter.



Avant qu'elle ne jouisse, Camille s'arrêta, par jeu, et la laissa quelques instant. Laurine ne put s'empêcher de porter ses doigts à sa moule pour se caresser le clitoris. Camille voulait essayer de faire durer le plaisir et commença à inspecter l'ouverture du vagin.



Laurine semblait apprécier tout autant cette caresse-là et Camille s'en rendit compte. Elle s'installa le long de la jeune femme, d'une main elle écarta les lèvres humides et de l'autre elle plongea un doigt le plus loin possible. Laurine adorait.



En parfaite salope, Camille, une fois encore, arrêta la masturbation et laissa Laurine dans un état de transe. Quelques secondes plus tard, Laurine, reprenant un peu ses esprits, demanda à Camille :
- Pourquoi tu t'arrêtes ?
- Pour faire durer le plaisir...
- Je t'ai fait jouir, moi !
- Je sais, mais tu ne préfèrerais pas autre chose qu'un doigt ?
Elles se tournèrent en même temps vers Dan, qui se masturbait toujours.



Les deux filles se regardèrent d'un air entendu et se mirent à quatre pattes sur le canapé. Leurs culs étaient dressé, leurs moules offertes et elles semblaient attendre. Dan continuait de se branler en voyant ses magnifiques fessiers exposés dans son salon. Il mit presque une minute à les observer sans réagir davantage que de continuer à faire monter et descendre sa main sur son membre turgescent.



Soudain, il comprit que les filles l'attendaient. Il se leva donc et retira ses vêtements en les rejoignant. Laurine se pencha un peu sur Camille et lui mit un doigt dans la moule. En tourna la tête vers Dan et lui dit :
- On est bien chaudes ! Ma copine a déjà joui, mais pas moi... Si tu veux, tu me donnes un orgasme et tu pourras te finir avec elle.



Le marché semblait convenir à Dan, il approcha son érection du cul de Laurine et la prit en levrette sans aucune peine. Celle-ci sembla effectivement préférer être prise par une bite que par un doigt et le manifesta très rapidement, alors que Dan se déchaînait derrière elle.



Laurine ne fut pas longue à jouir et aussitôt son orgasme passé, Dan l'abandonna et s'approcha de Camille. Camille l'arrêta :
- Attends, je veux pas abandonner ma copine comme ça...
Camille vint se mettre à quatre pattes devant le canapé, entre les cuisses de Laurine. Elle s'amusa à faire entrer un doigt là où la bite de Dan venait de faire jouir Laurine.



Aussitôt que Camille fut bien installée devant Laurine, Dan vint lui aussi prendre proposition et la pénétra également en levrette. Camille, surprise par la rapidité de la pénétration, laissa Laurine quelques instant pour tourner la tête et admirer le bel étalon qui la chevauchait avec fougue.



Dès que Dan eut pris un rythme régulier, Camille essaya de se concentrer sur la moule de sa copine et entama un cunnilingus entrecoupé de feulements de plaisir que Dan lui arrachait. Celui-ci ne tarda pas à jouir et il éjacula abondamment en elle avec des profonds râles de plaisir.



Dan se retira de Camille, la queue encore toute luisante de sperme et de mouille. Laurine en profita pour venir se glisser sous Camille en soixante-neuf. Camille comprit ce qu'elle allait faire : Laurine voulait déguster le sperme du jeune artiste.



Elles se mirent donc l'une et l'autre à se déguster la chatte avec passion. Laurine écartait largement les fesses de Camille de manière à ouvrir les lèvres de sa chatte au plus grand et laisser ainsi s'échapper le précieux liquide. Elle prit soin d'avaler tout ce qu'elle put sous le regard incrédule de Dan. Quand le sperme arrêta de couler, Laurine se mit à aspirer la moule de Camille en faisant jouer sa langue sur le clitoris. Camille ne fut pas longue à jouir avec un tel traitement.



Elle n'abandonna pourtant pas Laurine et continua coûte que coûte à lui faire minette, jusqu'à ce que, enfin, elle offre un second orgasme à sa copine. Dan bandait toujours. Les filles se relevèrent peu à peu. Dan bandait toujours. Les filles se rhabillèrent. Dan bandait toujours. Les filles vinrent l'embrasser. Dan bandait toujours. Les filles partirent. Dan bandait toujours. Peut-être que Dan bande toujours.
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15. Le club de foot

Pascal avait convaincu Boris de rejoindre l'équipe de foot amateur avec laquelle il jouait régulièrement. Ils se retrouvaient donc tous les mardi soir pour l'entrainement et 1 ou 2 samedi par mois pour les matchs. Camille n'avait jamais accompagné Boris, peu attirée par ces ambiances purement masculines. Pourtant, un samedi après-midi, elle avait accepté d'accompagner son mari. Boris lui avait dit que c'était le jour de la photo de l'équipe et que les femmes des joueurs étaient invitées aussi. Camille accepta de mauvaise grâce mais se fit quand même très sexy avec une courte robe rose. Une fois arrivée au stade, elle déchanta rapidement en constatant qu'elle était la seule femme à être venue ! La plupart des femmes avaient refusé de venir (dont Laurine) et quelques joueurs étaient célibataires...
Camille se trouva donc dans les gradins, seule, à s'ennuyer de regarder l'entraînement car la photo devait avoir lieu après.



Elle remarqua que Boris, Pascal et quelques autres mecs la regardait souvent. Cela commença à l'exciter et elle écarta un peu les cuisses pour se caresser la moule à travers la robe. Boris remarqua aussitôt ce qu'elle faisait et, il n'en prit conscience qu'à cet instant car la robe était particulièrement courte, que Camille ne portait pas de culotte.



Boris, sans préavis pour son équipe, abandonna l'entraînement et rejoignit sa femme :
- Chérie, accompagne-moi donc aux vestiaires, j'ai un truc à te montrer.
- Si c'est ta grosse queue qui bande pour moi, je vois déjà ça par ton short outrageusement déformé !
Boris en resta bouche bée ! Et il ne revint pas non plus de la voir passer devant lui et que ce soit elle qui l'entraîne dans les vestiaires.
A peine arrivé, Boris se jeta sur elle et lui souleva la robe jusqu'au dessus des seins. Il passa la main sur l'entrejambe de sa femme et y découvrit une fontaine.



- Tu vois, ça m'excite finalement le foot...
- Je vois ça... Et moi, c'est toi qui m'excite !
Elle se retourna et lui retira son short pendant qu'il se débarrassait lui-même de son maillot. L'érection qu'elle avait sous les yeux, bien qu'elle en fut accoutumée, l'impressionna tant elle était longue et bien raide. Elle le masturba quelques secondes, pour la forme, et se retourna pour présenter son cul à son mari. Celui-ci n'eut aucune difficulté à pénétrer dans l'orifice lubrifié du sexe de sa femme.



Très excité de trousser ainsi sa femme dans les vestiaires de son équipe de foot, Boris ne fut pas long à jouir. A peine dix minutes et il éjacula avec de grands râles. Appelé par un collègue, il eut tout juste le temps de se rajuster et retourna à l'entraînement. Camille en fut un peu frustrée car elle n'avait pas jouit. Elle décida cependant de profiter qu'elle était dans les vestiaires pour prendre une douche et effacer les traces du sperme de Boris qui commençait à lui couler un peu sur les cuisses.



De sentir l'eau couler sur sa peau ne la calma pas vraiment. Camille avait envie d'être baisée. Faute de mec, elle se dit qu'elle pouvait bien se débrouiller seule...



Elle commença donc à se masturber sous le jet d'eau tiède en pensant aux mecs qui couraient dehors. Camille se disait que si elle s'était masturbée plus ouvertement dans les gradins, elle aurait peut-être vu d'autres bites que celle de son mari se dresser dans les shorts.



Alors qu'elle en était à ces réflexions, Camille sentit une main lui caresser les fesses. Elle se retourna vivement et découvrit un jeune homme en costume qui lui souriait :
- Excusez-moi, madame, je n'ai pas pu résister à l'envie de toucher une si belle créature tant il me paraissait impossible que cela puisse se trouver dans les vestiaires des footballeurs.



Camille aperçu un équipement photographique posé sur un banc derrière et comprit qu'il devait s'agir du photographe. Le jeune homme était très bien fait et, alors qu'elle n'avait toujours pas eu d'orgasme, elle ne réfléchit pas à la décision à prendre :
- Quittez vos fringues et rejoignez-moi ! J'ai un feu au cul qu'il va vous falloir éteindre rapidement.
Le jeune homme ne perdit pas de temps et prit Camille dans la même position que Boris, quelques dizaines de minutes auparavant.



Le jeune photographe ne revenait pas d'être en train de se taper une aussi jolie femme. Il prenait bien son temps pour en profiter et Camille se dit que d'autres allaient finir par débouler si il ne faisait pas plus d'efforts. Effectivement, au bout de dix minutes, Pascal apparu et ne cacha pas sa joie en découvrant Camille se faisant prendre par son copain photographe :
- Je venais te chercher pour la photo, mais si le photographe est avec toi, tu ne seras pas en retard !
- Vient donc me mettre ta bite dans le cul au lieu de dire des conneries !
En quelques secondes, Pascal était opérationnel : nu et en érection. Il présenta son membre gonflé à l'orifice de la jeune femme. Elle se laissa tomber dessus pour s'en enfoncer presque la moitié d'une traite.



Ses deux amants la besognèrent si bien qu'elle eut son orgasme en quelques minutes seulement. En bonne garce, Camille les abandonna alors qu'ils n'avaient pas joui. Elle enfila sa petite robe et quitta les vestiaires, laissant les deux hommes qui n'en revenaient pas de se faire lâcher de cette manière.
Camille rejoignit le reste du groupe qui l'attendait pour la photo. Boris l'accueillit avec un grand sourire, se doutant qu'elle n'avait pas dû s'ennuyer.
Pascal arriva quelques minutes après, suivi de près par le photographe. Tout le monde s'installa pour la photo, encadrant Camille.



Le photographe n'en finissait pas de faire ses réglages. Alors qu'il était prêt à prendre la photo, il interpela Camille sans aucune discrétion, parlant fort pour surpasser le brouhaha des joueurs qui discutaient entre eux :
- Mademoiselle, il faudrait tirer un peu sur votre robe, sinon on voit que vous ne portez pas de culotte !
Camille fut éberluée. Tout le monde se tut et se tourna vers elle. Pas démontée, Camille fit un large sourire et souleva le bas de sa robe pour que tout le monde puisse vérifier les dires du photographe.



Les regards allaient maintenant de Camille à Boris. Beaucoup s'étonnaient que Boris se contente de réagir par un simple sourir béat. Voyant que la situation risquait de s'enliser, Boris intervint :
- C'est le problème avec ma femme... Elle récemment découvert qu'elle prenait un pied d'enfer à se faire prendre par plusieurs mecs et je pense qu'elle veut améliorer son score...
- Exactement, mon chéri ! Répliqua Camille.
Les choses présentées comme ça, l'ambiance devint soudain nettement plus détendue.



Trois gars s'approchèrent d'elle : l'un commença à lui caresser la moule, le second lui stimula les tétons à travers la robe et le troisième, à genou derrière elle, lui pelotait les fesses. Camille se laissait faire. Sentir toutes ces mains s'occuper d'elle lui plaisait énormément.
Pascal s'approcha d'elle par derrière et lui retira sa robe. Ainsi nue et offerte, les mecs se mirent tous à poil et Pascal, toujours excité depuis la chevauchée dans les douches, lui calla son érection entre les fesses et s'y masturba tout en lui malaxant les seins.



Boris s'approcha devant elle, son membre érigé, bien comme il faut. Elle s'extirpa des bras de Pascal et s'agenouilla devant son mari pour le sucer. Autour, certains se masturbaient, d'autres venaient caresser Camille.



De plus en plus de bites en érection se retrouvèrent à portée de bouche de Camille. Elle essaya tant bien que mal de les sucer toutes, passant de l'une à l'autre en essayant de ne pas en oublier.



Boris, ayant déjà joui un quart d'heure auparavant, laissa sa place à d'autres. Camille se retrouva entourée de mecs qui lui offraient leurs bites.



Pascal, positionné derrière elle, la fit se redresser en d'un coup de rein sec et précis, introduisit son braquemart dans la fente brûlante de Camille. Bien que surprise, Camille apprécia énormément cette queue qui la limait. Les mecs qu'elle suçait auparavant en profitèrent pour lui caresser les seins.



Voyant qu'il empêchait Camille de faire profiter aux autres de sa bouche, Pascal la fit s'agenouiller et, dans cette position, la reprit en levrette. Les mecs revinrent aussitôt lui présenter leur bite pour se faire sucer.



Après avoir vu défiler des bites et des bites, Camille décida de changer de position. Elle demanda à Boris de s'allonger par terre et elle vint s'empaler sur lui, se rejetant en arrière pour pouvoir continuer à sucer ceux qui le souhaitaient.



Les premiers à jouir ne furent pas longs : deux types s'approchèrent d'elle et se masturbèrent jusqu'à ce que leur sperme se répande sur le ventre et les seins de Camille.



Ce fut alors le défilé : chacun son tour, les mecs passèrent se masturber pour jouir sur les nichons de Camille. Personne n'osa se répandra sur son visage, ce que Boris trouva, pour le moins, étonnant.



Il décida donc de s'extraire de sous sa femme et se releva pour venir se masturber au-dessus de son visage. Excité comme il était de voir sa femme livrée à toute son équipe de foot, Boris éjacula rapidement, honorant sa femme d'un sperme épais et généreux sur le visage.



Les derniers qui n'avaient pas joui décidèrent d'imiter Boris et vinrent finir de sa branler au-dessus du visage de sa femme. Camille fut littéralement couverte de sperme. Une vraie douche ! Jamais elle n'avait auparavant sucé autant de bites, ni reçu autant de foutre sur elle. Boris n'en revenait toujours pas de voir sa femme en vraie salope. Cela lui plaisait énormément et il se disait que leur vie sexuelle était devenue absolument géniale comparée au train-train quotidien d'avant ce fameux jour où Camille avait accepté de se mettre seins nus sur la plage...