Sylvie

Sylvie est hébergée chez des amis de ses parents (publié par Sylvie le 19-06-2009)
Sylvie fait du voyeurisme (publié par Sylvie le 24-06-2009)
Sylvie exhibe son cul à Laura (publié par Sylvie le 17-09-2009)
Sylvie regarde Jef et Laura faire l'amour devant elle (publié par Sylvie le 01-04-2010)
Sylvie vient aider Laura (publié par Sylvie le 04-05-2010)
Sylvie découvre les plaisirs lesbiens (publié par Sylvie le 18-05-2010)
Sylvie profite d'une soirée avec Jef et Laura (publié par Sylvie le 04-06-2010)
Sylvie rencontre Axel (publié par Sylvie le 10-06-2010)
Proposition de colocation (publié par Sylvie le 14-06-2010)
Sylvie découvre les joies de la colocation (publié par Sylvie le 01-07-2010)
Sylvie et Axel font le point (publié par Sylvie le 19-08-2010)
Sylvie et Axel sortent en boîte (publié par Sylvie le 02-09-2010)
Le cousin d'Axel (publié par Sylvie le 02-09-2010)
La consultation (publié par Sylvie le 13-09-2010)
Le club de tennis (publié par Sylvie le 20-09-2010)
Sylvie et Axel sortent dans un bar (publié par Sylvie le 30-09-2010)
Sylvie et Axel partent en vacances (publié par Sylvie le 01-10-2010)
Le voisin du camping (publié par Sylvie le 18-10-2010)
Une soirée au cinéma (publié par Sylvie le 12-11-2010)
Le sentier du camp nudiste (publié par Sylvie le 17-11-2010)
Le camp de nudistes (publié par Sylvie le 13-12-2010)
La plage du camp nudiste (publié par Sylvie le 02-01-2011)
De retour au camping (publié par Sylvie le 10-02-2011)
La piscine de William (publié par Sylvie le 05-03-2011)
Le sauna de William (publié par Sylvie le 01-04-2011)
La surprise de William (publié par Sylvie le 01-05-2011)
L'enlèvement (publié par Sylvie le 01-06-2011)
La confrontation (publié par Sylvie le 02-07-2011)
Le challenge pour Axel (publié par Sylvie le 01-08-2011)
Le recrutement à la plage (publié par Sylvie le 01-09-2011)
Le challenge à plusieurs à la plage (publié par Sylvie le 01-10-2011)
L'achèvement d'Axel (publié par Sylvie le 01-11-2011)


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1. Sylvie est hébergée chez des amis de ses parents

Quand je suis arrivée dans cette ville pour mes études supérieures, je n'y connaissais personne. Le temps de trouver un appartement, un couple d'amis de mon père avait proposé de m'héberger chez eux le premier mois. Laura était une ex-petite amie de mon père mais ils étaient resté en très bons termes. Elle était maintenant mariée à Jean-François, un bel homme (selon mes critères) un peu plus jeune qu'elle, ce qui avait dû la changer de mon père vu qu'elle a près de douze ans de différences d'âge. Du coup, avec Laura et Jef, je me sentais davantage chez des amis à moi que chez des amis de mes parents.

Laura et Jef étaient très amoureux et je les entendais souvent faire l'amour le soir. Cela m'excitait particulièrement. Pour ma part, célibataire à l'époque et à peine majeure, je devais me contenter de me caresser en cachette. Pourtant, me sentant assez libre, je n'hésitais pas à m'habiller de manière sexy aussi souvent que je le pouvais, mettant de petite robe légère, parfois sans rien dessous (c'était la fin septembre l'année suivant la canicule et il faisait encore très chaud).



J'avais bien sûr remarqué les regards en coin de Jef, et je suis sûr que Laura s'était également rendu compte que je ne lui étais pas indifférente. Le petit déjeuné le matin était un moment que j'appréciais particulièrement car je ne prenais seule avec Jef, Laura se levant un peu plus tard. Je ne faisais aucun effort pour m'habiller et je gardais ma tenue de nuit : une petite culotte et un tee-shirt à travers lequel mes tétons réagissaient positivement à la fraîcheur matinale.



Jef aussi restait en caleçon et tee-shirt et il est arrivé que je constate une légère bosse à l'entrejambe qui me rendait assez fière. Quand Laura n'était pas là, Jef ne se privait pas pour me regarder et je dois dire que cela me plaisait. Quand je savais que Laura n'était pas encore rentrée, il m'arrivait de tenter de l'aguicher de la manière la plus honteuse qu'il soit : je m'exhibais dans la maison avec une petite robe, sans rien dessous, et je vaquais de manière tout à fait innocente à diverses occupations ménagères, mais de préférence dans le champ de vision de Jef.



Les deux premiers week-ends, j'étais rentrer chez mes parents, mais le Suivant, j'avais décidé de rester pour visiter quelques appartements. Le samedi matin, je m'étais donc installée sous la douche et j'avais pris le soin de ne pas fermer la porte de la salle de bain à clé en espérant que Jef y rentrerait pas mégarde et m'y découvrirait toute nue.



Alors que je terminais de me rincer, j'entendis effectivement la porte s'ouvrir. Sans ouvrir les yeux pour faire mine que je ne m'étais pas rendu compte de l'intrusion, je continuais à me doucher en me cambrant un peu plus que nécessaire et en me caressant la poitrine et l'entrejambe.



Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre une voix féminine me dire "Bonjour..." Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit Laura qui soit là et je n'eu pas à simuler ma surprise tant celle-ci était bien réelle. Par réflexe, j'eus un réflexe pudique de me cacher les seins et la moule.



Je la regardais un peu. C'était une très belle femme avec une poitrine vraiment magnifique : des beaux seins ronds et fermes que je lui enviais, le mien étant particulièrement minuscule. Elle portait ce qui me sembla être une petite robe noire mais qui devait sans doute être une nuisette car cela semblait un peu trop provocateur pour permettre de sortir avec.



Pendant que j'attrapais une serviette pour le sécher les cheveux, Laura me dit :
- Excuse-moi de venir comme ça, mais je me suis dit qu'entre fille, ça ne poserait pas de problème...
- Bien sûr, pas de soucis.
Je sortis de la douche toujours en montrant quelques signes de pudeur. Laura me le fit remarquer :
- On est entre nous, tu sais...
- C'est vrai...
- Et puis, je te trouve moins pudique certaines fois quand tu es avec Jef...
Je ne savais pas trop quoi répondre et je décidai de ne pas relever. Je pris mon lait corporel et je commençai à m'en enduire les épaules.



Pendant ce temps, Laura s'était assise sur le tabouret à côté de la douche et commençait à retirer ses chaussures. Penchée ainsi, elle me permettait d'admirer sa formidable poitrine qui jouait librement dans le décolleté.



Je la regardais ainsi indirectement dans le miroir, mais je pense qu'elle avait remarqué que je l'observais. Elle-même me jetait quelques regards et je pense qu'elle admirait mon popotin, partie de mon anatomie dont je suis la plus fière, car j'ai la chance d'avoir de belles fesses fermes et musclées.



Laura me demanda :
- Tu cours un peu ?
Ne comprenant pas la question, je lui fis répéter.
- Pardon ?
- Tu fais un peu de sport, du jogging, pour avoir de si jolies fesses ?



Surprise de cette question, je lui répondis, tout en me séchant les cheveux, comme si la conversation était naturelle :
- Je cours régulièrement effectivement et je passe un peu de temps à la piscine.
- Ça se voit !



Vu la tournure de la conversation, j'osais moi aussi lui demander...
- Tu as de la chance d'avoir des gros seins.
- Oh... oui, c'est vrai que j'en suis bien contente. Mais la plupart des hommes sont tellement obnubilés pas les nichons, que tu as parfois l'impression de n'être réduite qu'à une paire de seins...
Elle avait retirée sa robe et se regardait la poitrine.



Je me tournais vers elle pour la regarder directement.
- Tu vois, Laura, avoir de petits nénés, c'est quand même pénible. Des fois j'aimerais pouvoir sentir un peu plus de regard se poser sur moi...
- Pourtant, tu sais te rendre sexy malgré cela et je t'assure que Jef aimerait poser plus qu'un regard sur toi...



Je réagis aussitôt pour éviter qu'il y ait le moindre malentendu :
- Il t'aime à la folie, ça se voit. Il ne te trompera pas.



- Là n'est pas la question. Jef est un mec et s'il ne me trompe pas, moi, je suis certaine qu'il ne rate aucune occasion de te reluquer... et particulièrement ton cul, justement !
- Pourtant, vous faites l'amour souvent !? ... euh... j'imagine...
- Oui mais je pense qu'il trouve, comme moi, que tu as un cul incroyable. Regarde le mien.
Laura se leva et se tourna en retirant son string pour me laisser admirer son cul.



- Eh bien ? Dis-je. Il est super beau ton cul !
- Sans doute, mais le tien s'approche de la perfection. Tourne-toi un peu que je revois ça en détail...
Je m'exécutais alors qu'elle se rasseyait sur le tabouret.



Je pris conscience que la situation était quand même particulièrement bizarre quand je vis Laura entrouvrir la bouche légèrement, comme si elle était excitée. Cette impression se confirma quand elle porta sa main à son entrejambe pour commencer à se caresser.



Je ne pouvais plus bouger. Que faire ? C'était la première fois que je me retrouvais dans cette situation : une femme se masturbait en me regardant ! Je suscitais l'excitation d'une personne de même sexe que moi. A ressentir quelques picotements à l'entrejambe, je me fis la réflexion que finalement, moi aussi, ça m'excitait pas mal tout ça. Puisque mon cul lui plaisait, je décidai de me cambrer au maximum pour le mettre bien en valeur (j'avais déjà travaillé cette position plusieurs fois, seule dans ma chambre...)



Je fus ébahie ! Laura se masturbait sans la moindre retenue ! Elle gardait les yeux fixés sur mes fesses et, alors que de deux doigts d'une main elle écartait les lèvres de son sexe, l'index de l'autre main allait et venait lentement dans son intimité.



Soudain, on frappa à la porte. La voix de Jef retentit, nous arrachant à notre douce rêverie.
- Alors les filles ? Vous avez bientôt fini ? J'attends mon tour moi !
- Oui, chéri, donne-nous dix minutes encore et on libère la salle de bain.
Laura se releva et fila sous la douche comme si rien ne s'était passé... Je terminai donc de me préparer et je m'habillai. Je ne pensais plus du tout aux appartements que je devais visiter dans la journée, mais plus à cette expérience si particulière. Pouvais-je considérer que c'était ma première expérience lesbienne ?
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2. Sylvie fait du voyeurisme

L'année universitaire commençait mal ! Les cours avaient commencé depuis moins d'une semaine que déjà certains profs étaient absents. J'étais un peu énervée car c'était un cours de 4 heures et, devant ne rentrer chez Laure et Jef que vers 18h30, je n'avais pas pris mes clés car je savais qu'ils seraient là. En revanche, en rentrant en début d'après-midi, je n'étais pas sûre du tout que l'un ou l'autre soit là et je risquais de me retrouver à la porte. La sagesse aurait dû me conduire en bibliothèque pour travailler quelques heures avant de rentrer mais la motivation n'était pas vraiment là... J'ai donc pris le bus pour rentrer en espérant que Laura ou Jef soit là.
La porte était heureusement ouverte. Il n'y avait pas un bruit. Je me sentis un peu gênée car, pas chez moi, je n'avais même pas prévenu que je rentrais plus tôt. Je voulais m'excuser et je partis à la recherche de Laura ou Jef. J'entendis la voix de Jef qui venait du salon :
"Tu es terriblement sexy, ma belle".
En avançant dans le couloir, je pu voir que la porte de leur chambre était restée entrebâillée. Jef tournait le dos à la porte et Laura se tenait devant lui, vêtue d'un petit tee-shirt blanc et d'une mini-jupe très mini.



Ils ne m'avaient manifestement pas entendue entrer. J'eus alors un sentiment un peu pervers : puisqu'ils ignoraient ma présence et qu'ils semblaient se croire en toute intimité, je me dis qu'un peu de voyeurisme allait pimenter ma morne vie sexuelle du moment. Effectivement, comme je m'y attendais, les choses commençaient à prendre une tournure très excitante. Laura venait de tirer sur son tee-shirt pour dégager son imposante poitrine et se tenait face à Jef.



- Mmmmmh, dit celui-ci, ça y est, je suis raide comme un bambou !
Laura se tourna lentement, se cambra et, tranquillement, retira sa jupe, tout en regardant son mari.
Celui-ci ne faisait plus de commentaires. Il se contentait d'admirer le cul nul que sa femme lui présentait, car elle portait strictement rien sous sa jupe.



Laura termina de se mettre nue en faisant passer son tee-shirt par-dessus sa tête. Elle s'approcha de Jef avec une démarche et un regard de salope. Elle déboutonna un à un les boutons de la chemise de son mari, puis l'ouvrit pour lui caresser le torse. Jef la laissait faire, manifestement très satisfait des initiatives de sa femme.



Je commençais à être moi-même bien excitée, mais je me refusais à me masturber car j'avais peur de ne pouvoir réfréner mon plaisir et que cela s'entende... Je sentais pourtant la cyprine qui commençait à venir. Laura s'installa sur le bord du lit et commença à se caresser les seins. Jef ne tarda pas à lui proposer son aide et il remplaça les mains de la jeune femme par les siennes. Il malaxa la généreuse poitrine, s'amusant à triturer un peu les mamelons au passage, ce qui semblait beaucoup plaire à Laura.



Le moment que j'attendais le plus vient alors. Laura dégagea les mains qui exploraient sa poitrine et se retourna vers Jef. D'où j'étais, je voyais le profil de l'érection de Jef qui lui tendait terriblement le pantalon. Laura commença à le caresser à travers le tissu. Puis, enfin, elle ouvrit les boutons du pantalon et sortit ce que je voulais tant voir. La bite de Jef était longue et bien raide. A cette vue, la cyprine inondait mon entrejambe et je sentais que ma culotte se trempait. Laura se pencha sur la magnifique tige et la prit en bouche.



Elle commença par le sucer lentement, en lui caressant les testicules. De temps en temps, elle sortait l'engin de sa bouche et le léchait comme s'il s'agissait d'une bonne glace. Lorsque sa langue venait lécher le gland de Jef, celui-ci semblait tressaillir de plaisir. Laura accéléra peu à peu le rythme de la fellation et, tenant la base du sexe dans une main, faisait aller et venir ses lèvres autour de la hampe de chaire de plus en plus vite.



C'est Jef qui l'arrêta, il semblait au comble de l'excitation et lui exprima qu'elle devait se calmer un peu. Laura se remit donc debout et se saisit de la merveilleuse tige. Jef embrassa sa femme pendant que celle-ci le masturbait gentiment.



Elle se pencha en avant, un genou sur le lit, et se cambra pour offrir sa croupe à son mari. Celui-ci ne perdit pas de temps et guida avec précision sa bite dans le sexe probablement trempé de mouille de Laura. Cette pénétration m'excita au plus haut point. De voir la queue de Jef s'enfoncer et ressortir de Laura avec une telle facilité, me fit mouiller encore davantage et je sentais maintenant que la cyprine s'échappait de ma culotte déjà trempée pour me couler le long des cuisses.



Malgré l'excitation, je n'étais pas très à l'aise à ressentir mon jus me couler le long des jambes. Aussi, je décidais de m'éclipser un peu pour aller m'essuyer. Sans faire de bruit, je regagnai ma chambre et je retirai ma culotte complètement trempée. Je m'essuyais avec des mouchoirs en papier et je renfilais un culotte propre. A pas de loup, je retournais à mon poste d'observation dans le couloir. Le couple avait changé de position et, maintenant, se dégustait mutuellement le sexe en un soixante-neuf appliqué.



Je sentais la mouille revenir à l'assaut de ma nouvelle culotte. Laura a fini par se relever, puis elle vint s'empaler sur la tige de Jef, face à lui. Tandis qu'il lui suçait les mamelons, Jef lui écartait les fesses pour s'enfoncer en elle encore plus profondément. Je voyais sa longue queue entrer et sortir du sexe de Laura et j'imaginais être à la place de Laura.



Je me retenais pour ne pas me tripoter le clitoris en me répétant continuellement "Ne pas me toucher, ne pas me toucher, ne pas me toucher...". Laura avait changé de position et, toujours empalée sur la tige de Jef, elle lui tournait désormais le dos. Je voyais ses gros seins ballotter au rythme des coups de reins que donnait Jef pour s'enfoncer toujours plus loin en elle.



Puis ce fut jef qui lui fit changer de position, la faisant mettre à quatre pattes sur le lit pour la prendre en levrette. A ce stade, ma nouvelle culotte était elle aussi complètement trempée par ma cyprine qui coulait à flot de ma chatte. En les voyant faire, je me dis que c'était probablement une des positions dans laquelle je préfèrerais être prise. C'est d'ailleurs ainsi que Laura eut son orgasme.



Mais ce qui suivit fut plus surprenant encore. Avant de jouir, Jef se retira et Laura se redressa en se tournant vers lui. Il se masturba frénétiquement au-dessus de son visage et, soudain, explosa en d'épais jet de spermes qui dégoulinèrent sur le visage et sur la poitrine proéminente de sa femme. Jef s'astiqua l'engin jusqu'à la dernière goutte et Laura lui lécha le gland pour n'en laisser aucune trace de sperme.



Rien que de la voir recevoir le sperme de son mari au visage, je crus avoir moi-même un orgasme. Le spectacle de cette éjaculation faciale faillit me faire jouir. Je sentais à nouveau ma mouille couler le long de mes cuisses et je dus me pincer les lèvres pour ne pas crier. Je ne pus qu'étouffer mon râle en un gémissement que Laura entendit. Je la vis regarder dans ma direction, le visage plein de sperme.



Je m'enfuis aussi discrètement que possible dans ma chambre et je retirai ma jupe et ma culotte dégoulinante de mouille. J'étais si excitée que je n'avais plus qu'une idée en tête : me masturber et jouir. Allongée sur le lit, le laissai ma main venir se positionner comme par automatisme sur le bas de mon ventre, toujours trempé.



Le simple contact du tissu du tee-shirt sur mes mamelons, rendus raides par l'excitation, devenait presque insupportable. Je dus relever le tee-shirt sur mes seins pour faire cesser ces frottement qui, ajoutés au reste, allaient me rendre folle.



Mes doigts jouaient une sarabande sur mon clitoris. Je me retournais sur le ventre me disant que cela allait me calmer un peu. Puis me vint une illumination. Jusqu'à présent, je n'avais réussi à jouir qu'en me tripotant le clitoris, et jamais en me masturbant le vagin. Je me dis que dans l'état d'excitation avancée où j'étais, c'était l'occasion de tenter de me donner un orgasme vaginal.



Aussitôt que cette idée eut germé dans mon esprit, je m'enfonçais deux doigts dans la moule aussi loin que possible. Je me redressai un peu le cul pour être dans une position similaire à la levrette et je me masturbai ainsi avec application, mes doigts glissant tout seul tant ma chatte était une vraie fontaine.



L'orgasme mit moins de deux minutes à venir et je me mis la tête dans l'oreiller pour étouffer mes cris de plaisir. Lorsque je pus me calmer enfin, je restai quelques minutes dans cette position, le cul en l'air, la chatte béante et dégoulinante de cyprine. J'étais heureuse d'avoir réussi à me faire jouir ainsi.



En revanche, je savais maintenant que ma petite séance de voyeurisme n'était pas passée inaperçue. Laura allait-elle le dire à Jef ? Comment allaient-ils prendre la chose ? J'eus la réponse à mes questions dès le lendemain matin.
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3. Sylvie exhibe son cul à Laura

Après ma séance de voyeurisme de la veille, je n'osais pas me lever en même temps que Laura et Jef pour prendre le petit déjeuner avec eux. J'attendis donc quelques temps dans ma chambre. J'entendis Jef dire à Laura :
- T'es vache de me laisser partir au boulot alors que tu restes habillée comme ça !
J'imaginais très bien Laura dans le déshabillé que je l'avais déjà aperçu porter.



Malgré notre étrange échange dans la salle de bain quelques jours auparavant, en ma présence, Laura faisait attention à la manière dont elle s'habillait pour rester assez décente, sans doute pour ne pas me choquer. Mais je l'avais quelques fois entrevue dans sa chambre dans des tenues particulièrement sexy. Avec ce qui c'était passé la veille, je me demandais si Laura allait continuer à se montrer pudique à mon égare.



J'eus la réponse très rapidement puisqu'elle frappa à ma porte. Toujours au lit, je lui dis de rentrer. Elle étais, comme je l'imaginais en culotte et en déshabillé transparent, mais celui-ci était très largement ouvert et sa généreuse poitrine en jaillissait librement. Je me redressai sur le lit. J'étais moi-même juste en culotte, mais je n'éprouvais nul besoin de me montrer pudique.



Laura me détailla quelques secondes et me proposa de me lever. Sans trop savoir pourquoi, je me sentis quand même un peu gênée de rester à demi-nue devant elle. Mais en même temps, elle ne montrait pas moins de pudeur que moi. Je me demandais si Laura n'était pas bisexuelle et que je subissais une gène à envisager une relation lesbienne avec elle.



Effectivement, mon sentiment se précisa assez vite. Laura me demanda :
- Tes seins sont petits, mais je te trouve très jolie.
- C'est vrai, oui surtout tes fesses... Tu as des fesses absolument incroyables !
- Merci...
- Et c'est aussi l'avis de Jef ! Tu pourrais te tourner que je les vois ?
Je m'exécutais comme prise sous le charme (et très excitée).



Sans me quitter des yeux, elle retira son déshabillé et commença à tirer sur sa culotte, en disant :
- Ça te gène si... ?
- Si quoi ?
- On est entre nous, on peut rester nues quand Jef n'est pas là ?



J'hésitai un peu, je voyais bien où elle voulait en venir. Ma préoccupation alors n'était pas de savoir si j'allais ou non avoir le temps de prendre un petit déjeuné, ni d'arriver à l'heure à mon cours de 9h30. La situation s'engageait clairement vers uen relation homosexuelle avec une autre femme.



Me voyant indécise, elle commença à faire glisser sa culotte tout en argumentant :
- Moi je suis plus à l'aise quand je suis nue.
- Et quand Jef est là ?
- Ça dépend si je veux qu'il me prenne ou pas... C'est un homme faible : il ne sait pas résister à une paire de nichons ou à un beau cul.
- C'est un homme...
- Eh oui ! ajouta-t-elle en rigolant.



Vue qu'elle avait l'air décidé à faire du nudisme chez elle, je me dis qu'il n'y avait aucune raison pour que je sois génée d'en faire autant, d'autant que nous étions seules et que je moi aussi j'appréciais de pouvoir rester nue. Face à elle, je fis donc glisser ma culotte.



Elle m'arrêta aussitôt :
- Non, attend, si ça ne te dérange pas, je voudrais que tu te tourne... Moi ce qui me plaît chez toi, c'est surtout ton cul. Je le trouve bien mieux que le mien....
- Il n'est pourtant pas mal du tout !
- Oui mais pas aussi parfait que le tien.



Je crois que je fus rouge de honte à cause du compliment. Prise sous le charme de cette femme qui semblait savoir parfaitement ce qu'elle voulait, je m'exécutais et lui tournai le dos avant de continuer à faire lentement glisser ma culotte.



Quand ma culotte fut au sol, je pus constater que ma nudité laissait Laura particulièrement émue, presque plus qu'un garçon le serait si je lui faisais un strip-tease. Laura commença à se carresser. D'abord le ventre, puis les fesses, les hanches. Ses mains remontaient souvent vers la poitrine bien pleine et elle semblait commencer à prendre du plaisir.



C'est alors que je crus entendre un bruit de moteur et une porte claquer. Je me penchais vers la fenêtre pour essayer de savoir qui cela pouvait être, mais la fenêtre donnant sur le jardin, je ne pus rien voir. Laura comprit ma crainte et me dit :
- C'est le voisin. Jef est déjà parti depuis un moment.



Elle continuait à se caresser. Je pris conscience que ça ne me gênait même pas. J'en était même excitée. Afin de lui offrir le meilleur de moi, j'écartais un peu les jambes pour qu'elle puisse admirer bien mon cul et les lèvres de ma chatte.



J'entendis sa respiration changer et, en me retournant, je découvris qu'elle en était carrément à se masturber. Son doigt entrait et sortait lentement de son entrejambe et je voyais qu'elle mouillait abondamment.



Jamais je n'aurais cru être capable d'exciter à ce point une autre fille. Pourtant, alors que je me penchais en avant pour la regarder, tout en lui exhibant mon cul de manière totalement indécente.



Laura se masturbait de plus belle, les cuisses grandes écartées et le majeur continuait sa danse régulière tandis que l'autre main caressait la belle poitrine, en faisait rouler de temps à autres un téton entre ses doigts.



Je lui demandais :
- Tu veux que je garde la pose ?
- Oh oui... oh oui... et danse s'il te plaît.
Je ne savais pas trop comment danser dans cette situation et eus quelques secondes de flottement.



Laura me mit très vite à l'aise pour la danse puisqu'elle eut un orgasme moins d'une minute plus tard. Son majeur toujours fourré dans sa chatte, elle rejeta la tête en arrière au moment où l'orgasme atteignait son apogée.



Alors que ses cris commençaient à s'estomper au profit d'un halètement de moins en moins saccadé, je décidai d'offrir à mon hôtesse la danse qu'elle m'avait demandée. C'était une danse qui consistait essentiellement à faire bouger mon postérieur de manière sensuelle.



(à suivre)
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4. Sylvie regarde Jef et Laura faire l'amour devant elle

Laura reprenait peu à peu ses esprits après son orgasme. Au moment où elle se leva, Jef surgit derrière elle, nu comme un ver et avec une superbe érection. Laura sursauta et moi-même je ne compris pas bien ce qu'il se passait. Jef se plaqua contre sa femme lui callant sa bite entre les fesses et lui attrapa un sein tout en l'embrassant. Laura lui demanda :



- Qu'est-ce que tu fous là ?
- Les autres sont en stage, le patron m'a filé la matinée plutôt que de me laisser glander tout seul.
- Et tu es revenu depuis longtemps ?
- Un petit quart d'heure...
- Quoi ? Tu nous mattes depuis un quart d'heure ?
- Oui et je me suis masturbé un peu aussi... c'était pas possible de résister !
- Salaud, tu bandais pour le cul de Sylvie, hein ?
- On ne peut rien te cacher...
Je ne savais pas trop où me mettre. J'essayais de cacher ma nudité tant bien que mal et j'étais prête à quitter la pièce.



Mais Jef s'adressa à moi :
- Plus la peine d'être pudique, j'ai déjà eu le temps d'admirer ton splendide corps, jeune fille !
Il avait raison... Tout en me parlant, il continuait à caresser sa femme qui semblait tout à fait prête pour un nouvel orgasme.



Elle demanda à son mari :
- Tu me baises, s'il te plaît ?
- Devant Sylvie ???
- Oui... elle nous a déjà vu faire l'amour hier soir et je suis sûre qu'elle a bien apprécié.
J'avais effectivement adoré ma séance de voyeurisme de la veille et n'était pas contre la possibilité de voir à nouveau le couple qui m'hébergeait faire l'amour sous mes yeux. Je donnais donc ma réponse :
- Ne vous gênez pas pour moi... ce sera avec plaisir !



Jef ne perdit pas de temps, il vint s'accroupir à côté de sa femme et commença à lui caresser l'entrejambe.
- Mmmmh, ma chérie, tu as encore le jus de ton orgasme de tout à l'heure, c'est un délice !
Il lui embrassait les fesses, tout en continuant à lui doigter la moule.



Je sentais moi aussi ma cyprine qui commençait à couler. Je me fis la réflexion que cela m'excitait bien davantage de les voir tous les deux baiser devant moi que de voir Laura se masturber. Jef la fit s'asseoir sur le lit et lui écarta les cuisses pour lui faire un cunnilingus. Laura me regardait pour voir mes réactions.



Ma réaction ne fut d'ailleurs pas longue : j'avais une irrésistible envie de me toucher la moule et je ne fis rien pour la réfréner. Aussi, je m'installai dans un fauteuil et laisser mes doigts venir titiller les lèvres de ma moule. En peu de temps, celles-ci devinrent très sensible et je pus les écarter sans mal pour enfouir mon index dans mon intimité.



En me voyant me toucher, Laura décida de changer de position et fit s'asseoir Jef. Sa queue était bien raide et me faisait bien envie. Je m'imaginais dans ma bouche ou entre mes cuisses, ou, pourquoi pas ? dans mon anus! Laura se pencha sur l'objet de mes fantasmes et le prit en bouche pour le sucer lentement. Ses lèvres dessinaient un anneau qui se resserrait autour de la hampe de chair que je voyais presque palpiter de plaisir. J'imaginais la langue experte de Laura offrir de douces caresses au gland de son mari.



Jef admirait le cul de sa fesse se trémousser pendant qu'elle opérait sa fellation. N'y tenant plus, il se pencha vers le postérieur de sa dulcinée, obligeant sa femme à abandonner la tige qu'elle suçait. Il empoigna les fesses à pleines mains et embrassa le creux des fesses. Laura eut un petit sursaut quand les doigts de Jef effleurèrent son anus.



Jef avait bien senti ce sursaut et vint se positionner à côté de sa femme pour accéder plus facilement à cette partie de son corps qu'il affectionnait particulièrement. Tout en écartant une fesse d'une main, il fit pénétrer son index dans la fontaine brûlante tandis qu'il commençait à faire tourner le bout de sa langue contre l'anus de Laura.



Laura montra sa satisfaction en laissant échapper des "Oh oui ! Continue! T'arrête pas, c'est bon !". Jef semblait adorer que sa femme s'abandonne ainsi totalement sous ses caresses. Il continua donc à doigter la moule de sa femme avec davantage de vigueur. Il remplaça son index par son majeur, pouvant gagner ainsi quelques précieux millimètres.



J'optais de mon côté pour la même stratégie. Je laissais donc le majeur de ma main droite pénétrer dans ma chatte trempée de cyprine. Je m'imaginais que c'était la main de Jef qui me donnait ainsi du plaisir. Laura me vit faire et décida de passer à l'étape supérieure. Elle interpela son mari :
- Vas-y, mets-là moi ! Cette salope de Sylvie va voir quel baiseur hors pair tu fais !
Je me doigtais de plus belle...



Jef laissa Laura à quatre pattes sur le lit. Il voulait manifestement la prendre en levrette. Il présenta sa bite contre la moule de sa femme et n'eut pas plus à faire. Laura donna un brusque coup de rein vers l'arrière et s'emmancha la queue de son homme presque jusqu'à la garde. Il ne fut semble-t-il pas surpris de cet assaut soudain, sans doute parce que Laura procédait souvent ainsi. D'ailleurs, à cette pénétration soudaine, elle laissa s'échapper un "Haaaaannnnnn" de plaisir particulièrement expressif.



Jef commença à la baiser tranquillement, faisant doucement entrer et sortir son sexe de celui de Laura. Puis, peu à peu, il accéléra le rythme en donnant des coups de reins de plus en plus amples. Il attrapa sa femme aux hanches et accentua encore davantage ses pénétrations, ressortant lentement sa tige, presque jusqu'au gland, puis se renfonçant d'un coup sec el plus loin possible.



C'était terrible de les voir faire sans aucune retenue. J'avais moi aussi une envie irrésistible de jouir violement, mais comme je n'étais pas invitée aux ébats, je me contentai de continuer ma masturbation. Mais, cette fois-ci, j'ajoutai mon index à mon majeur pour ouvrir ma chatte encore plus.



A la surprise de Laura, Jef s'arrêta et sortit sa bite du fourreau que lui offrait sa femme. Il s'approcha au-dessus d'elle et se pencha en lui caressant le dos, l'obligeant à creuser ses reins pour mettre sa moule plus haut encore. Il plia les jambes et pénétra ainsi Laura d'un coup sec. Ainsi, il semblait pouvoir aller plus loin, ses couilles venant battre contre les fesses de sa femme à chacun de ses assauts.



Jef augmenta la cadence et pilonna ainsi sa femme à un rythme effréné, jusqu'à entendre celle-ci crier son plaisir. L'orgasme la fit se tendre, la faisant se cambrer encore plus, son cul montant au-devant des assauts de son mari qui semblait ne plus pouvoir s'arrêter. Il ralentit peu à peu en sentant sa femme commencer à s'effondrer.



J'étais moi-même proche de venir. Cette frénésie sexuelle concentrée dans ce couple qui s'exhibait sans la moindre pudeur ni gène devant moi m'avait excitée au plus au point et je sentais que ma masturbation allait arriver à son terme. Je décidai de me finir en me caressant le clitoris, faisant tourner le bout de mes doigts sur le petit bout de chair raidi. L'orgasme monta en quelques secondes et me submergea, me privant pendant quelques secondes du spectacle de Jef et Laura qui n'avaient pas encore terminé leurs ébats.



Jef avait effectivement laissé Laura se mettre sur le dos et s'était positionné entre ses cuisses pour continuer à la pilonner tranquillement sans trop la fatiguer. Même si elle avait déjà joui, Laura semblait prendre encore beaucoup de plaisir à sentir la queue de son mari continuer à la baiser sans relâche.



Jef arriva enfin à l'orgasme. Voyant qu'il allait bientôt jouir en elle. Laura lui demanda :
- Non, pas en moi ! Sors et asperge-moi de ton jus que Sylvie voit quel amant généreux tu es !
Jef ne se fit pas prier et, à peine avait-il sorti sa longue queue, je pus voir la tige se tendre et exploser en spasmes, crachant de longs jets de sperme épais qui vinrent s'écraser les uns après les autres sur la poitrine et sur le visage de Laura.



A ma grande surprise, sans même avoir repris ma masturbation, j'eus un nouvel orgasme. Bien que plus discret, celui-ci ne passa pas inaperçu pour Laura et pour Jef. Tous deux se tournèrent vers moi, amusés. Je crois que c'était la première fois que j'avais un orgasme sans même me tripoter. Je savais surtout ce qui était à l'origine de cet incroyable orgasme : la vue de tout ce sperme se répandant sur le visage de la jeune femme. J'avais déjà cru jouir quand, la veille, Jef avait également honoré le visage de sa femme avec son sperme, mais là ma réaction était plus franche. Et je crois que Jef et Laura en avait aussi pris conscience.

(à suivre)^ ---------oOo---------

5. Sylvie vient aider Laura

Je lisais sur mon lit, nue. La porte de ma chambre n'était pas fermée et restait légèrement entrebaillée, volontairement. Car après ce qu'il s'était passé la veille, je me disais qu'il ne serait pas désagréable de poursuivre davange mes explorations sexuelles. Mais je dus rapidement me rendre à l'évidence, ni Jef, ni Laura n'allait venir : j'entendais des petits gémissements de plaisir de Laura qui m'indiquaient que Jef était probablement en train de s'occuper d'elle. Je n'avais pas trop envie de rejouer les voyeuses : ils avaient quand même le droit à un peu d'intimité. Je me suis donc plongée dans la lecture de mon livre en essayant de ne pas me laisser déconcentrer par les petits cris de plaisir que laissait échapper Laura depuis plusieurs minutes.



Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre quelqu'un entrer dans ma chambre. Tout en restant allongée sur le ventre je tournai la tête pour découvrir Jef qui admirait manifestement mes fesses nues et mon minou bien visible vu que j'avais les jambes écartées. Il mit quelques secondes avant de bafouiller :
- Excuse-moi, j'aurais dû frapper...
- Il n'y a pas de mal...



Il resta quelques secones encore à s'étonner que je puisse être nue sur mon lit. Je me fis soudain la réflexion que j'entendais toujours les gémissements de Laura. J'interrompis donc la rêverie de Jef en lui demandant :
- Tu n'es pas avec Laura ?
- Heu... non, justement, elle se gode...
- Quoi ?
- Elle se donne du plaisir seule avec son godemichet.
- Et tu ne la rejoinds pas ?
- C'est-à-dire que j'apprécie particulièrement de la regarder faire, mais je voulais te demander un service...
- Oui ?
- Que tu ailles l'aider...
- Et toi tu regardes, c'est ça ?
- C'est exactement ça. En plus tu es déjà en tenue...

Je me levai donc pour rejoindre Laura, passant devant Jef, qui en profita pour me caresser les fesses au passage. Arrivée dans la chambre de la Laura, je ne trouvai personne. Elle était en réalité dans le salon et je la trouvai effectivement en train de se masturber avec un god debout devant le canapé.



En me voyant, elle lâcha le god en le laissant planté dans sa chatte. Elle me demanda si je voulais l'aider. J'hésitais car je n'avais alors aucune expérience lesbienne. Mais j'étais nue, elle aussi, j'imaginais Jef derrière moi nous regardant par la porte restée entrouverte, j'étais donc passablement excitée. Je me tournai pour vérifier si Jef était là : il était appuyé au chambranle de la porte, tout sourire, et attendait manifestement que je réagisse positivement à la proposition de sa femme. Il avait, pour le moment, toujours ses vêtement sur lui... En me retournant vers Laura, la vue de ce god enfoncé dans son sexe me décida.



J'attrapai l'extrémité du god et commençais à le retirer, doucement. Cela sembla convenir à Laura qui se remit à gémir. Avant qu'il ne soit complètement sorti, je renfilais le god et commençai à prendre un rythme plus rapide et régulier. Laura tendit la main pour arrêter mon poignet. Elle se mit à quatre pattes sur le canapé et me fit signe de continuer.



J'essayai d'enfoncer le god de plus en plus profondément. Laura mouillait abondemment. Je voyais son anus se contracter à chaque début de nouvelle pénétration. Cela me donna envie de voir si une sodomie avec le god pouvait lui plaire. Je commençais par lui lécher le petit trou tout en continuant à la masturber. Elle se douta bien sûr de ce que j'allais lui proposer et me demanda elle-même de le faire. Je sortis donc le god, dégoulinant de sa mouille et commençai à en appuyer l"extrémité contre son anus. Je fus assez surprise de voir que son anus se dilata très facilement pour laisser le passage : elle était de toute évidence habituée à ce genre de pratique.



Laura gémissait de plus en plus fort. J'étais satisafaite de moi. Je me demandai ce que faisait Jef. Il s'était mis à poil et continuait de nous observer sans rien dire. Il ne se branlait pas, mais sa bite affichait déjà une très belle érection. Voyant que j'avais perdu le rythme, Laura se tourna également vers lui et, se redressant, lui demanda :
- T'aurais pas mieux que ce god ?



Alors que je tenais toujours le god, Laura se laissa tomber à quatre pattes, me laissant avec l'objet luisant de son jus. Jef s'approcha d'elle. Il empoigna son sexe d'une main et le guida directement dans le cul de sa femme pour la sodomiser. Tenant toujours le god dans la main, je restais comme une conne à les regarder, complètement magnésitée par la scène.



D'où j'étais, je voyais les fesses musclées de Jef bouger d'avant en arrière pour venir pilonner sa femme. Laura criait son plaisir. Puis Jef l'empoigna par les hanches et la fit pivoter pour l'allonger sur le côté. Dans cette position, je voyais bien la longue tige de Jef s'enfoncer au plus profond du cul de sa femme. Laura était en sueur, criant de plaisir.



Laura criait de plus en plus fort alors que Jef la pilonnait de plus en plsu vite, manifestement de plus en plus à l'aise dans l'étroit fourreau. Il se retira cependant pour venir s'installer derrière elle et la reprendre dans cette nouvelle position. Cela lui permettait manifestement de s'enfoncer encore davantage et je voyais même ses couilles battre contre les fesses de Laura à chacun de ses assauts.



Voulant faire durer le plaisir, Jef rallentit significativement. Ce répis sembla satisfaire Laura qui se tourna pour l'embrasser. Elle décida de changer de position et s'extraya de l'emprise de son mari. Le laissant assis sur le canapé, elle vint s'asseoir sur sa longue tige, toujours dans son anus, désormais béant.



Voir cette débauche de sexe me laissait dans un état de transe incroyable : jamais je n'avais observer un couple se donner du plaisir par la sodomie. Moi-même ne n'avais jamais pratiqué... J'en étais à ces réflexions quand je me rendis compte que mes propres doigts fouillaient mon entrejambe : je me donnais du plaisir, manifestement depuis un certain temps.



Laura se releva et se retourna pour s'empaller à nouveau le cul sur la tige luisante de son mari, cette fois-ci en me tourant le dos. Jef lui empoigna les fesses et le fis monter et descendre sur sa queue à un rythme régulier.



Puis il accéléra la cadence et la pilonna de plus en plus vite. Les gémissements de Laura s'accélérèrent et devinrent rapidement des cris. Au bout de quelques minutes, je la vis se cambrer sur le côté, la bouche ouvert, et exprimer son orgasme de manière très sonore. Jef semblait tenir le coup. Moi, je mouillais de plus en plus rien qu'à voir et entendre Laura jouir avec autant d'énergie.



Quand elle se fut remise de son orgasme, elle s'installa à quatre pattes sur le canapé et fit se relever Jef pour prendre sa bite en bouche. Jef semblait fier d'avoir fait jouir ainsi sa femme. Il me jetait des coups d'oeil amusés de temps en temps pendant que je me masturais en les regardant. Laura continuait à faire aller et venir ses lèvres sur la hampe luisante où sa salive devait sa mélanger aux sécretions de sa chatte et aux sécretions de l'énorme sexe de Jef.



En peu de temps, elle obtint ce qu'elle voulait : Jef jouit dans sa bouche, qu'elle garda fermée autant que possible pour ne pas laisser échapper le précieux liquide. Jef s'arc-boutta sous l'effet de l'orgasme et je pouvais presque distinguer les soubressauts de son sexe à chacune des saccades de sperme qui devaient jaillir dans la bouche de sa femmme.



Quand Jef reprit son calme, Laura l'abandonna, laissant quelques filets de sperme s'échapper et lui couler entre les seins. Jef me ragardait. Laura aussi, gardant la bouche entrouverte, manifestement toujours avec le sperme de son mari.



Je me caressais toujours, au bord de l'orgasme. Je me dis qu'il fallait que je me dépêche de jouir puisque Jef et Laura avait déjà fini. Mes doigts dansaient donc une sarabande entre les lèvres de ma chatte. Mon regard alternait entre la bite encore bien ferme de Jef et les quelques gouttes de sperme qui s'écoulaient sur les seins de Laura.



Sans arrêter de me masturber, dans une sorte d'état second, je vis Laura s'approcher de moi. Elle me fit signe de me baisser. Je m'accroupis donc en écartant les cuisses pour pouvoir continuer à me caresser. Laura se pencha au-dessus de moi et approcha sa bouche de la mienne. J'étais à deux doigt de l'orgasme quand je compris qu'elle voulait me faire partager le sperme de son mari. J'ouvris donc grand la bouche et elle y laissa couler le jus de Jef.



Mon orgasme monta à ce moment-là. Mon corps fut pris de soubresauts ; ma main stoppa ses caresses ; mes yeux étaient clos et ma bouche, entrouverte, laissa échapper beaucoup de sperme qui me coula sur le menton. Le sperme de Jef était tiède, assez salé et plutôt poisseux et collant sur la langue. C'était la première fois que je buvais le jus d'un mec. Objectivement, je ne peux pas dire que le goût me plaisait. Mais le plaisir que ce sperme m'avait procuré se trouvait ailleurs... Peut-être dans le fait d'avoir le résultat de la jouissance d'un homme ? C'était quelque chose de nouveau et mystérieux pour moi.



Jef me félicita de ma participation, affichant une satisfaction que je ne lui connaissais pas. Laura vint se coller à moi, ses seins contre les miens, nos deux visages dégoulinant de sperme l'un à côté de l'autre.

Sylvie^ ---------oOo---------

6. Sylvie découvre les plaisirs lesbiens

Le soir-même Laura vint dans ma chambre pour me proposer de l'accompagner sous la douche. Difficile de refuser. J'avais trouvé très excitant de la voir se faire sodomiser et j'avais encore l'esprit en ébullition d'avoir avaler le sperme de Jef. A cause de la chaleur, j'étais en culotte et soutien-gorge et Laura aussi. Il y avait désormais entre elle et moi une certaine complicité et il ne me vins pas à l'idée de refuser sa proposition. Toujours dans ma chambre, je pris la décision de nous mettre nues avant de regagner la salle de bain. Je me plaçai derrière elle pour lui dégrafer son soutien-gorge et libérer ses seins magnifiques. J'entendis des pas s'approcher : Jef n'était pas loin...



Une fois ses seins dégagés, je ne pus m'empêcher de lui caresser la poitrine en les empoignant un sein dans chaque main. Collée à elle, je m'imaginais qu'il s'agissait de mes propres seins (je ne suis malheureusement pas aussi bien pourvue que Laura).
Cela lui plut et elle mit ses mains sur les miennes pour me signifier de ne pas m'arrêter.



J'avais envie de mettre nue et je l'abandonnai un instant. Elle me regarda faire glisser ma culotte à mes pieds et me débarrasser de mon soutien-gorge (je me demande bien pourquoi je mets des soutient-gorges...). En un clin d'œil, je fus nue et entrepris de lui retirer sa culotte. Tout en faisant glisser le bout de tissu sur ses cuisses, j'en profitais pour lui lécher les tétons.



Elle s'inquiéta de ne pas encore avoir vu apparaître son mari et m'invita à aller à la salle de bain. Nous commençâmes à nous caresser et je me mis à genoux pour lui sucer la moule. C'est alors qu'on entendit la voix de Jef :
- Eh, les filles ! Vous êtes où ?
- Dans la salle de bain... Et toi tu étais où, on pensait que tu serais venu mater...
- C'est ce que j'ai fait en toute discrétion : je me suis mis dans le jardin à la fenêtre de la chambre de Sylvie.
- Salaud ! Et tu t'es branlé en douce ?
- On ne peut rien te cacher...



Jef apparu dans l'encadrement de la porte, le pantalon déformé par une bosse impressionnante.
- Vous alliez prendre une douche ?
- Oui...
- Mais ça se mérite une douche mesdames ! Retournez donc un peu dans la chambre pour la mériter cette douche...
- Ok !
- De mon côté je vais faire encore un peu de jardinage.
Malgré mon excitation, j'eus la présence d'esprit d'un jeu de mot :
- Si jardiner consiste à astiquer les poireaux...
Tout le monde partit dans une franche rigolade et Jef sortit pendant que nous regagnâmes la chambre Laura et moi. Elle s'assit au bord du lit et je me mis à quatre pattes entre ses cuisses écartées pour lui faire minette.



C'était la première fois que je faisais ça ! Et je trouvais ça très excitant. Je sentais la mouille me couler le long des cuisses autant que je sentais la mouille de Laura suinter sous mes coups de langue. Jef était déjà en poste à la fenêtre.
Laura m'arrêta et me proposa d'échanger. Je la fis allonger sur le lit et vins me mettre à genou au-dessus de son visage pour qu'elle me suce le clito.



Elle se débrouillait terriblement bien : j'étais certaine qu'elle n'en était pas à sa première expérience lesbienne. Avant qu'elle ne me fasse jouir, je m'arrêtai et lui proposai un soixante-neuf, position qu'il me semblait naturelle d'expérimenter pour ma première partie de jambes en l'air avec une autre fille. Elle me m'allonger et vint se mettre tête-bêche sur moi, me présentant sa chatte.



Elle était vraiment douée avec sa langue et, en un rien de temps, elle m'amena au bord de l'orgasme. J'avais beaucoup de mal à me concentrer sur son propre clitoris et elle devait bien s'en rendre compte. Sentant que j'allais céder, elle s'amusa à me doigter la chatte, montrant à Jef comme je mouillais. Et c'est ainsi que je jouis, les lèvres de la chatte écartée, le bout de la langue de Laura me taquinant le clitoris et son index allant et venant dans mon sexe qui dégoulinait abondamment de ma cyprine. Même de l'extérieur, Jef qui profitait parfaitement du spectacle, avait dû m'entendre crier mon plaisir.



- Bon on va la prendre cette douche ?
Alors qu'elle fermait consciencieusement la porte de la salle de bain, comme si elle ne voulait pas être dérangée par Jef (qui n'allait pas manquer de venir râler de ne plus nous voir nous papouiller dans la chambre), j'admirais son cul. Elle remarqua mon regard et me fit observer qu'elle n'a pas un aussi beau cul que le mien.



Laura entra sous la douche et commença à faire couler l'eau. Jef entra à ce moment-là. Il avait pris le temps de retirer tous ses vêtements et apparut nu comme un ver, affichant fièrement une très belle érection. Machinalement, je couvris ma propre nudité d'une grande serviette mais je ne détachais pas mes yeux du sexe bandé qui s'offrait sous mes yeux.
Laura me sortit de ma rêverie :
- Il est impressionnant, hein ?



Je devais bien admettre que oui, mais je ne ressentis pas le besoin de répondre car mon regard en disait bien plus long. Jef me demanda :
- Laisse donc cette serviette et va rejoindre Laura sous la douche.
- Et toi ? Demandais-je, presque déçue puisqu'il ne semblait guère proposer de nous rejoindre.
- Moi, je vais d'abord vous regarder un peu toutes les deux...
Laura ajouta :
- Il adore voir deux filles baiser ensemble.
J'étais encore partagée entre rejoindre Laura comme on me le suggérait et me jeter sur la bite de Jef pour la sucer (c'est vraiment ce qui me faisait envie à cet instant).



Alors que Laura se savonnait, elle m'interpela gentiment :
- Sylvie, je sais bien à quoi tu penses...
- Vraiment ?
- Oui... mais chaque chose en son temps, on va encore se donner un peu de plaisir et tu profiteras bien de cette tige plus tard, rassure-toi !



Je restais indécise une demi-seconde, un peu perturbée quand même que Laura me perce à jour aussi facilement. Je la rejoignis sous la douche et on se savonna l'une l'autre. Jef s'était installé sur un tabouret et se masturbait lentement.



Au bout d'une bonne dizaine de minutes de savonna minutieux (particulièrement sur nos seins, nos fesses et notre entrejambe), j'attrapai le pommeau de douche pour nous rincer. Laura en profita pour me caresser franchement la moule, faisant tournoyer doucement son index sur mon clitoris.



Jef continuait à se branler. Je ne portais que de vagues coups d'œil à sa main qui montait et descendait en cadence lente sur sa hampe de chaire luisante. Je rendis la pareille à Laura, mais la sachant plus vaginale que clitoridienne, je me mis à la branler fougueusement avec deux doigts. Elle devait probablement être passablement excitée car, malgré ce traitement pas vraiment très doux, elle atteint rapidement un orgasme qui lui secoua le corps. Elle s'affala contre moi pour reprendre ses esprits. Puis elle se tourna vers Jef en disant :
- Haaaa ! Et bien, pour moi ça ira comme ça... Je vous laisse vous amuser tous les deux.



Laura attrapa un peignoir et sortit. Jef arrêta de se masturber. Il se leva et approcha de moi. Son sexe semblait gigantesque, plus gros que je ne l'avais jamais vu jusqu'alors. Il entra dans la douche et vint se coller à moi. Je ne pus m'empêcher de saisir ce sexe qui me faisait tant envie depuis si longtemps.



Il me dit :
- Je te félicite pour ton cul superbe.
Presque machinalement, je lui proposai de l'investir :
- Il est à toi, si tu veux...
Alors qu'il appuyait son gland contre ma moule dégoulinante, je pris conscience qu'il allait me prendre en levrette, comme je le souhaitais, mais qu'il aurait pu interpréter mon invitation bien différemment et investir réellement mon anus.



Jef allait et venait en moi avec douceur. C'était absolument divin de sentir cette tige palpitante entrer et sortir de moi. J'en vins même à me demander si cela ne me procurerait pas aussi beaucoup de plaisir s'il me sodomisait. Il me prenait ainsi depuis déjà dix bonnes minutes, quand je me décidai à lui proposer d'essayer de me sodomiser.



Rien que cette suggestion sembla lui faire un effet incroyable car cela déclencha son orgasme. Il se retira aussitôt et j'eus juste le temps de me retourner pour recevoir son sperme dans ma bouche que je gardais grande ouverte, à la manière des actrices de porno. Alors que le premier jet de sperme venait s'écraser sur ma langue, je sentis une vague de plaisir m'envahir. Quand la seconde salve vient me fouetter la joue, je compris que j'étais en train de jouir.



Mon orgasme sembla durer tout le temps où le sperme de Jef venait me couvrir le visage, du front ou menton. Quand il eut achevé de jouir sur moi, mon orgasme se dissipa lui-aussi. Nous avions donc joui tous les deux ensembles. Je sentais le liquide chaud et visqueux, à l'odeur si caractéristique, me couler dans le cou et sur la poitrine. Cette sensation me donnait encore quelques picotements à l'entrejambe.



J'étais maintenant sûre que c'était le fait de recevoir son sperme dans ma bouche, sur ma langue et au visage qui avait provoqué mon orgasme. J'avais très envie d'en discuter avec Laura mais celle-ci était déjà allée se coucher. J'étais très excitée par cette découverte et n'avais qu'une envie : recommencer !!!
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7. Sylvie profite d'une soirée avec Jef et Laura

Le lendemain, d'humeur coquine, je n'avais pas mis de culotte pour aller à la fac. Ma petite robe courte m'obligeait à faire très attention, mais je savais que plusieurs personnes dans la journée avaient pu apercevoir mon entrejambe ou mes fesses. J'avais trouvé cela très excitant et j'avais donc très envie de sexe en rentrant de mes cours. Jef était le salon à lire un magazine alors que j'arrivai.
- Bonsoir.
- Bonsoir Sylvie, tu as passé une bonne journée ?
- Excellente !
- Sylvie, tu peux dire à Laura de descendre, s'il te plaît ?
Je montai quelques marches pour appeler Laura.



Penchée ainsi dans les escaliers, je pris conscience que j'offrais une vue imprenable sur mon cul et mon sexe, libres de tout sous-vêtement. Après quelques secondes, Une voix répondit :
- Je descends !
Je restai attendre Laura en bas de l'escalier, remarquant que Jef n'avait d'yeux que pour moi. Il me dévorait du regard de manière si intense que j'eus l'impression que ça allait suffire à m'arracher ma robe. Après quelques secondes de silence un peu gêné, Laura descendit enfin avec une mini-jupe de jeans et un petit haut qui moulait si bien sa poitrine qu'il était manifeste qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Je sentis que l'attention de Jef venait de se reporter sur elle.



Jef rompit le silence :
- Tu es très sexy ma chérie !
- Ah ? Tu sais ce sont de vieilles fringues...
- Sylvie est très coquine aujourd'hui : tu sais qu'elle est allée à la fac sans culotte ?
J'étais donc percée à jour et la conversation prenait soudain une dimension érotique qui m'émoustilla aussitôt. On n'avait pas perdu de temps, on allait sûrement vite rentrer dans le vif du sujet. Jef renchérit :
- Et toi ma chérie, as-tu mis des sous-vêtements ?
En guise de réponse, Laura retira d'un coup son petit haut, libérant ainsi sa superbe poitrine.



- Comme vous pouvez le constater, je ne porte déjà pas de soutien-gorge...
- Et de culotte ? demanda Jef.
Jef ouvrait de grands yeux, comme un gosse devant un arbre de Noël. J'avais l'impression de ne plus exister. Laura retira sa jupe pour apparaître avec un minuscule petit string.



Je dois bien avouer qu'elle était magnifique et que cette situation m'excitait au plus haut point (je sentais la cyprine qui commençait à me couler sur le haut des cuisses).
Jef ne s'arrêta pas en si bon chemin :
- Chérie, Sylvie n'a pas culotte, tu dois te mettre sur un pied d'égalité avec elle et retirer ton string.
- Ok ! Mais dans ce cas, Sylvie doit aussi retirer sa robe...
Un peu surprise mais trop excitée, je répondis :
- Aucun souci...
Laura abandonna donc les quelques centimètres carrés de tissu qui lui couvraient encore (si peu) le corps.



Laura était aussi excitée que moi et, vu le peu de pudeur qu'elle affichait, ça ne m'étonnait pas du tout. Elle était à quelques pas de moi et je voyais nettement qu'elle mouillait. Machinalement, je m'approchais d'elle et, l'embrassant à pleine bouche, je mis ma main sur son entrejambe. Mon majeur s'enfonça presque tout seul entre les lèvres dégoulinantes de son jus. Elle eut un petit soubresaut et arrêta son baiser. Je me mis à quatre pattes et commençai à lui lécher la moule.



Elle se mit aussitôt à gémir. Son nectar me coulait sur la langue. C'était une expérience très excitante. Je vis un sexe masculin bien bandé passer à côté de moi, suivi de près par Jef qui, au passage, caressa les seins nus de sa femme. Il n'avait pas perdu de temps pour retirer ses vêtements et il n'en perdait pas pour entrer dans l'action : il vint s'agenouiller derrière Laura et lui écarta les globes fessiers pour lui lécher l'anus.



Laura devait être passablement excitée car elle jouit très vite avec un petit orgasme qui ne lui arracha même pas un cri. Elle nous repoussa tous les deux, fit se relever Jef et s'agenouilla à son tour devant lui pour lui offrir une fellation.



Jef bandait super bien et j'avais moi aussi bien envie de le sucer. Laura l'abandonna un instant pour lui faire une cravate de notaire, enserrant la tige de son mari entre ses deux seins pour le masturber. Il semblait beaucoup aimer ce traitement (que personnellement, j'étais dans l'incapacité physique de lui offrir).



Ne voulant pas rester simple spectatrice, je me mis à genou à côté de Laura. Elle comprit bien sûr aussitôt ce que je voulais et m'abandonna son mari. J'attrapai sa long tige raide et me la mis en bouche pour la sucer, faisant tourner ma langue autour de son gland ou lui en titillant l'extrémité.



Je ne devais pas m'y prendre si mal que ça car Jef commença à avoir une respiration plus ample et je sentis même son sexe prendre un peu de volume entre mes lèvres. Je pensai même qu'il allait bientôt éjaculer dans ma bouche si je continuais ma fellation. Laura dut le percevoir car elle l'empêcha de jouir trop vite en me faisant arrêter et en le prenant à son tour dans sa bouche mais manifestement plus sagement que moi.



La fellation de sa femme sembla calmer Jef momentanément. Elle savait manifestement parfaitement comment faire durer le plaisir de son mari. Quand il sentit qu'il se maîtrisait à nouveau, Jef s'arracha aux lèvres de sa femme et tendit vers moi son sexe toujours bien bandé.



Dans ma bouche, je le trouvais moins gros que précédemment, mais je voulais aussi faire durer le plaisir et je fis moins jouer ma langue, me contentant de faire monter et descendre mes lèvres autour de cette magnifique pine. Jef sembla déçu que je lui applique pas le même traitement qu'avant et m'abandonna. Il me fit m'allonger sur le lit, jambes écartées, et commença à me faire minette.



Le bougre savait y faire et sa langue fouillait mon intimité avec dextérité, caressant mes lèvres et s'enroulant autour de mon clitoris. S'il avait continué ainsi trop longtemps, il m'aurait certainement menée à l'orgasme. Mais il se redressa et me planta son sexe au plus profond d'un sexe d'une seule traite, jusqu'à la garde.



J'étais si excitée et il était si gros qu'il ne lui fallut pas me longtemps à me besogner ainsi pour me faire atteindre l'orgasme. Mon corps se secoua de soubresauts. J'essayais quand même de ne pas trop bouger, ni me contracter, pour éviter de le faire jouir en moi, car je voulais qu'il jouisse sur moi.



Alors que Jef continuait de me pilonner, Laura profita d'un moment où il avait presque sorti son sexe pour l'empoigner, l'extraire et le masturber. Jef se laissa faire, manifestement pas contre l'idée de jouir sur mon ventre, plutôt qu'en moi.



Il ne mit pas longtemps à jouir. Laura l'astiquait tranquillement, faisant aller et venir sa main sur la tige raide de son mari. Il laissa échapper un grand râle de plaisir alors que les premiers jets de sperme venait s'écraser sur ma poitrine et sur mon ventre. Il éjacula abondamment et son sperme m'atteignit même jusqu'au bas du visage.



J'espérais que cela me déclenche un second orgasme, mais je n'avais ressenti que quelques picotements et j'étais peut-être trop sous le coup de mon précédent orgasme. En revanche, j'étais assez fière de l'avoir vu jouir aussi abondamment sur moi. Je me penchai en avant pour lui sucer la queue et la nettoyer du sperme qui restait sur le gland.



Dès que je l'eus bien nettoyé, Jef nous abandonna. Laura se pencha sur moi et commença à me lécher, recueillant petit à petit tout le sperme de son mari. Elle l'avalait au fur et à mesure. Je lui demandai :
- Tu me fais goûter ?
- Tu auras bien une autre occasion, ma belle !



Jef, rhabillé, revint dans la pièce :
- Les filles, c'était super, on remet ça quand vous voulez !
- Oui mais nous on est un peu sur notre faim, là... lui répondit Laura.
- Tu veux que je propose à Axel de venir ?
- Oui, pourquoi pas...



Et c'est ainsi que j'entendis pour la première fois le nom d'Axel, alors que je venais de recevoir une éjaculation faciale qui ne m'avait même pas fait jouir...
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8. Sylvie rencontre Axel

Ce samedi-là, je m'étais levée assez tard et vers 11h seulement, j'avais enfin pris mon petit déjeuné et ma douche. Laura avait un rendez-vous en ville pour la matinée et j'avais bien envie d'émoustiller un peu Jef. Aussi suis-je descendue dans le salon en ne passant qu'une petite robe noire extrêmement courte sans rien dessous. Jef était bien là, mais avec un ami à lui, Axel. Axel était grand et assez costaud, d'une allure décidée et plus jeune que Jef (mais un peu plus âgé que moi). Aux regards qu'Axel me portaient et au large sourire qu'il fit en me voyant arriver, je devinai que Jef lui avait déjà parlé de moi. Jef fit les présentations :
- Sylvie, je te présente Axel, un ami. Axel je te présente Sylvie qui est étudiante et que nous hébergeons pour la dépanner.



Je ne m'attendais pas vraiment à la visite d'Axel et je me sentais un peu nymphomane à me trimballer devant cet inconnu sans culotte (même si je me doutais que le portrait de moi qu'avait dû dépeindre Jef ne portait pas uniquement sur mes études et mes goûts musicaux...). Toujours est-il que je me trémoussais pour éviter que ma robe remonte trop et découvre mon sexe nu. Mais Jef s'en était rendu-compte et, en passant derrière moi, il me chatouilla au creux des hanches, me faisant me tordre, laissant ainsi ma robe remonter de façon tout à fait indécente.



Rien n'avait bien sûr échappé à Axel. Jef commenta :
- Un problème Sylvie ?
- Je n'ai pas mis de culotte et ma robe est un peu courte...
- On est entre nous, ne t'inquiète pas. Et je suis sûr que ça ne gène pas Axel.
- Oh non ! Tu es ravissante, ça ne pose aucun problème !
J'abandonnai donc l'idée de dissimuler coûte que coûte mon sexe aux garçons et, par provocation, je m'installai sur le canapé en écartant largement les cuisses.



Les garçons ne firent pas de commentaire mais personne ne disait rien : les deux pairs d'yeux étaient vissées à mon entrejambe, fantasmant probablement déjà à tout ce que cela annonçait d'agréable pour la suite. Je voyais qu'ils commençaient à se tortiller, manifestement mal à l'aise à cause d'une érection galopante comprimée dans leurs jeans. Je ne pouvais les laisser ainsi.
- Ne rester pas comme ça, mettez-vous à l'aise...
Ils attendaient manifestement cette invitation avec impatience car j'avais à peine ouvert la bouche qu'ils sortaient déjà leur queue et commençaient à se l'astiquer. Je commençais à mouiller sérieusement en voyant ces pines dressées pour moi. Tout excitée, je leur fis signe d'approcher. Ils se levèrent et me rejoignirent, me présentant leurs bites pour que je les suce.



J'alternais entre les deux, ravie de les avoir pour moi toute seule. Axel voulait manifestement en découvrir davantage et me fit me relever pour me retirer la robe. Aussitôt, il se met à me sucer un téton, manifestement pas fâché de se contenter d'une poitrine aussi menue. Jef n'était pas inactif et s'était agenouillé devant moi pour me fouiller la moule.



Je les laissais faire et m'abandonnais totalement à leurs caresses. Ce fut à un point tel que je sentis monter un orgasme rien qu'à sentir leurs mains parcourir mon corps de toute part.



Mais je ne voulais pas jouir comme ça. Je les ai donc gentiment repoussés. Ils n'ont fait aucune objection, se doutant qu'ils ne regretteraient sans doute pas que nos jeux coquins progressent un peu. Je fis allonger Axel sur le canapé et me mit à quatre pattes à côté de lui pour le sucer.



Bien sûr, dans cette position, j'avais le cul en l'air et j'offrais ainsi à Jef la possibilité de me prendre en levrette. Cependant, il commença par se pencher sur moi et me lécha successivement l'anus et la chatte. C'était délicieux. En une fraction de seconde, il arrêta son cunnilingus et m'enfila d'une seule traite sa longue queue. La soudaineté de son assaut me surprit.



Mais Jef me labourait délicieusement bien. Axel admirait mes lèvres qui montaient et descendaient sur sa bite. Puis, je sentis que Jef m'abandonnait. Mais c'était pour tenter d'investir mon cul. Je n'avais encore jamais été sodomisée. J'avais bien essayé une fois avec un godemichet mais sans résultat probant. Quelques jours auparavant j'avais même proposé à Jef de me prendre ainsi sous la douche mais il avait éjaculé avant de pouvoir s'exécuter. Cette fois-ci, il le fit.



A ma grande surprise, malgré son sexe imposant, je pus l'accueillir sans trop de difficulté. Il s'enfonça doucement, puis commença de lent va-et-vient qui se révélèrent absolument divins. Voyant le plaisir que je prenais et que j'étais moins concentré sur la fellation, Axel me proposa de venir m'installer sur sa tige. Sans attendre de réponse de ma part, Jef avait libéré la place. Je me redressai donc pour tourner le dos à Axel et venir embrocher mon anus sur sa queue.



Jef ne perdit pas de temps il vient se positionner devant moi. Il devait se douter que c'était beaucoup de premières fois pour moi, car il m'interrogea du regard avant d'aller plus loin. Une double pénétration ! Ce devait être une expérience formidable ! Bien entendue que j'étais d'accord !! Pour couper court à son hésitation de politesse, j'attrapai son membre bandé et l'attirai à moi comme si j'attrapai un cheval fougueux au lasso. Il me pénétra tranquillement, prenant le rythme qu'Axel avait pris.



C'était carrément le pied de sentir ces deux queues en moi, si proches l'une de l'autre. Les garçons se calaient parfois sur le même rythme, parfois se mettant en décalage mais quoiqu'ils fassent, c'était génial !



Je crus que j'allais jouir, mais Axel me souleva les fesses pour s'extraire, désirant manifestement faire une pose. Jef me laissa lui-aussi. Plus calme, je me retournai pour faire face à Axel et je m'enfilais sans préavis la chatte sur sa tige. Il ne protesta pas. Jef se mit debout à côté de moi et me fourra sa bite dans la bouche. Chevauchant déjà Axel, il m'était un peu difficile de sucer correctement Jef. Je me contentai donc de garder son gland entre mes lèvres et de faire jouer ma langue autour.



Jef m'abandonna assez vite, avec l'envie évidente de goûter à nouveau à mon cul. Il vint se placer derrière moi et enfonça doucement sa grosse queue lubrifiée de ma salive. Il s'enfonça en moi jusqu'au bout et j'imaginais que ses couilles devaient caresser celles d'Axel.



Axel et Jef me besognèrent ainsi sans relâche. Je sentais que l'orgasme arrivait à grands pas mais je ne voulais pas jouir ainsi. Je voulais leur crème sur mon visage. Mais quand je voulu m'échapper, cela me fut tout simplement impossible. Les garçons me tenaient bien et me prenaient de plus en plus vite. Si bien qu'en quelques minutes, je ne pus résister davantage et je sentis les frissons de l'orgasme m'envahir de la tête au pied.



Je me rendis compte que c'était presque aussi bon que l'éjaculation faciale. Les soubresauts de mon orgasme déclenchèrent l'éjaculation de mes deux partenaires. Jef d'abord s'extirpa et laissa son sperme se déverser dans mon dos en de longs jets saccadés. Puis ce fut aussitôt après le tour d'Axel qui, lui aussi, sorti de moi et éjacula à flot entre mes fesses et sur ma chatte.



J'étais allongée sur le ventre et les deux hommes étaient debout, la bite encore pleine de sperme quand Laura rentra. Sa première réaction fut de dire :
- Trop tard !
Puis d'ajouter, tout en se débarrassant de sa robe (sous laquelle elle était nue) :
- Vous auriez quand même pu m'attendre...



Laura s'approcha et s'allongea derrière moi. Elle resta fascinée quelques instants devant les deux orifices laissés béants par les assauts fougueux des deux hommes. Elle en prit la mesure en plongeant alternativement deux doigts dans mon sexe puis dans mon anus. Cette sensation réveilla en moi de nouveaux désirs.



Puis elle vint s'installer à côté de moi et commença à me lécher le dos avec une lenteur infinie. Elle descendit peu à peu puis arriva à mon cul. Elle m'écarta les cuisses pour en atteindre les parties les plus éloignées. Je me redressai un peu pour lui facilité la tâche. Et elle léchait méticuleusement tout le sperme qu'elle y trouvait. Sentir sa langue sur mes parties intimes étaient un véritable plaisir et je me sentis presque prête à me replonger dans une partie de sexe avec elle.



Quand elle estima que j'étais bien nettoyée, elle vint se mettre devant moi, sans rien dire (et pour cause !) et m'embrassa. Surprise ! Elle n'avait rien avalé du sperme qu'elle venait de lécher sur mon dos et mon cul. Je sentais le liquide encore tiède et gluant couler dans ma bouche. Une fois le baiser terminé, je n'avalais rien et laissai ensuite le sperme me couler de la bouche, mettant ma main en-dessous pour le recueillir.



Les garçons avaient apprécié la scène à sa juste mesure car ils bandaient toujours magnifiquement !
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9. Proposition de colocation

Quelques jours après ma première expérience anale, en rentrant de la fac, j'eus la surprise de découvrir dans le salon Jef accompagné d'Axel et d'un autre jeune homme que je ne connaissais pas :
- Bonsoir, je suis Sylvie.
- Cédric, je suis le colocataire d'Axel, enfin l'ex-colocataire... Axel m'a un peu parlé de toi.
Il dit cela avec un grand sourire en me détaillant de haut en bas. Je me doutais donc que Jef les avait fait venir justement pour me rencontrer... Faussement intéressée, je demandai :
- "Ex-colocataire" ?
- Oui j'ai trouvé du travail et je dois déménager... Du coup Axel cherche un autre colocataire.
Le déclic fut immédiat : Axel avait bien sûr pensé à moi ! Peut-être que cette rencontre n'était pas du tout, comme je le pensais, une partouze organisée pour moi, mais bien l'occasion pour moi de trouver un appartement. Plusieurs sentiments m'envahirent alors : un sentiment de regret car j'allais peut-être devoir quitter Laura et Jef ; un sentiment de déception car la soirée que j'imaginais être une partie de jambes en l'air avec trois mecs n'était finalement pas ça ; un sentiment de peur car je ne savais pas si je devais m'investir dans un collocation avec Axel...
Jef m'arracha à mes réflexions :
- Sylvie, maintenant que tu connais la maison, tu peux nous servir l'apéritif.
Alors que j'allais vers le meuble où Jef rangeait les bouteilles d'apéritif, je l'entendis ajouter:
- Il te va bien ce petit débardeur...



Je portais effectivement un petit débardeur très léger à fines bretelles. Ces bretelles, un peu trop amples, n'arrêtaient pas de glisser de mes épaules et augmentait la taille de mon décolleté parfois de manière significative. De retour avec les bouteilles et les verres sur un plateau, je vis que les garçons en profitaient pour se confirmer la remarque de Jef sur mon débardeur. Comme je n'avais pas pris soin de remettre correctement les bretelles, au moment où je me penchai pour poser le plateau, mon débardeur glissa un peu plus que de raison et mes seins se retrouvèrent presque complètement dégagés. Me redressant, je me confondis en excuses tout en essayer de remettre maladroitement mon débardeur.



Jef, aussitôt, répondit :
- Non, Sylvie ! Ne t'excuse pas ! Tu es superbe et il fait si chaud ! Je propose même que tu termines de nous servir sans remettre de l'ordre dans tes vêtements.
- Moi aussi, j'ai chaud, dit Axel.
Et ce disant, il retira son tee-shirt pour se mettre torse-nu et, plus surprenant, retira aussi son pantalon sous lequel il était nu, son sexe au repos, pendouillant sur ses cuisses. Manifestement, on n'alla pas que parler de la collocation... Je commençai à les servir, mon regard tombant souvent sur la queue d'Axel. Le colocataire d'Axel s'amusait de me voir seins nus et quand je lui demandais ce qu'il voulait boire, il me répondit "La même chose", tout en se mettant nu à son tour. Il affichait pour sa part un début d'érection. Quand j'eus servi Jef, il se leva et nous laissa en disant :
- Bon, je reviens, mais en attendant, vous pouvez discuter de l'éventualité que Sylvie reprenne la suite de Cédric en tant que colocataire d'Axel.
Axel et Cédric, nus comme des vers, avaient la bite qui commençait à se gonfler peu à peu. J'étais moi-même plutôt excitée par la situation. Aussi, j'entrepris de retirer moi aussi mes vêtements. En me rasseyant, je fis tomber mon sac à main d'où s'échappèrent deux godemichés. Axel et Cédric se levèrent et vinrent chacun un ramasser un.
- Hey ! dit Cédric. Tu étudies quoi au juste ?
- Aucun rapport avec mes études, je les avais emmenés pour montrer à une copine.
Ils s'installèrent de chaque côté de moi. Axel me demanda :
- On peut essayer ?
- Bien sûr ! Répondis-je d'un grand sourire en écartant les cuisses.
Cédric prit l'initiative et commença à introduire un god dans ma chatte. Axel glissa celui qu'il tenait entre mes fesses. Je me basculai alors en arrière de manière à lui donner accès à mon anus.



Cette double pénétration, sans être désagréable, n'avait rien de transcendantale mais ces petits jeux préliminaires avaient l'avantage d'exciter mes deux amants au plus au point car je voyais leur bite prendre des proportions tout à fait intéressantes.



Quand Axel afficha une érection honnête, je me penchai sur lui pour lui faire une fellation afin d'améliorer si possible la taille de son engin. Cédric, me fit pivoter le bassin légèrement et introduisit son sexe entre mes cuisses trempées de mouille.



Pour être plus à l'aise, je me mis à quatre pattes pour continuer de sucer Axel. Cédric n'était pas en reste car lui aussi trouvait manifestement plus confortable de me prendre en levrette sur le canapé.



J'essayais de pomper la bite d'Axel au rythme qu'imprimait Cédric. Celui-ci y allait tranquillement mais sûrement. Je suçais donc Axel avec la même tranquillité et cela semblait lui convenir à lui aussi.



Quand il en eut marre de se faire sucer, Axel me tira la tête en arrière et me fit me redresser, me privant du même coup de la queue de Cédric qui était pourtant assez efficace. Axel savait ce qu'il voulait. Sans un mot, il me pris au hanche et me mit dos à lui pour m'empaler sur sa queue dressée. Cette position me permettait de bien profiter de toute la longueur de la queue d'Axel. Cédric ne resta pas inactif longtemps. Il vint se placer sur le dossier du canapé, juste à côté de ma tête et m'invita à lui faire un fellation.



Cette position, assez fatigante pour moi, ne dura pas trop longtemps et je fus ravie de pouvoir choisir la position suivante : je me mis à quatre pattes sur le canapé, suçant la bite de Cédric assis devant moi et offrant mon cul Axel. Celui-ci ne fut pas long à choisir entre ma chatte et mon cul. Rapidement, je sentis une pression sur mon anus. Puis d'un coup sec, Axel fit entrer presque toute sa tige en moi.



J'aimais de plus en plus la sodomie et je pense que cela s'entendit à mes gémissements. J'avais également envie de reproduire l'expérience de la veille : la double pénétration. Je me mis donc à cheval sur la queue de Cédric et ne laissai d'autres choix à Axel que de me sodomiser.



Sentir ces deux queues bouger en moi, si proche l'une de l'autre était un véritable pied. Je ne ressentais plus aucune douleur à avoir la bite d'Axel qui allait et venait en moi. Je sentais que l'orgasme était imminent et il aurait été très simple d'y succomber.



Mais je voulais jouir autrement. Je me dégageai donc de mes deux fougueux amants et je me mis accroupi entre eux, avec à hauteur d'yeux les deux sexes bandés, luisants de mes sécrétions intimes, L'un après l'autre, je les pris en bouche pour les sucer, les sentant palpiter entre mes lèvres.



J'alternais ainsi pendant de longues et délicieuses minutes, me délectant d'avoir sous mon contrôle ces deux garçons. Cédric résista moins longtemps qu'Axel et fut le premier à jouir. Voyant qu'il allait venir, j'abandonnai temporairement Axel (me contenant de le masturber d'une main distraite, histoire d'entretenir l'érection) et me concentrai sur la fellation de Cédric. Il éjacula sans crier garde et m'envoya les premiers jets directement au fond de la bouche. Alors qu'il continuait à cracher son plaisir par jets saccadés, il sortit sa bite pour laisser se répandre son jus sur mes joues et mon menton. Ce fut pour moi l'occasion d'un petit orgasme qui me prit des pieds à la tête.



Ce qu'Alex m'offrit fut beaucoup plus conséquent : probablement de voir son colocataire éjaculer ainsi le stimula-t-il car j'eux à peine besoin de le sucer pour le mener au bout. Je pris l'initiative de sortir sa bite de ma bouche dès que je le sentis se contracter. Il éjacula en de longs jets épais qui vinrent me fouetter le visage à divers endroits. Dès le premier jet, je sentis remonter un nouvel orgasme. Celui-ci m'envahit totalement et de manière assez violente quelques secondes après. Cette fois-ci, je ne pus réfréner de crier mon plaisir.



J'avais le visage plein de sperme et j'étais ravie du plaisir que les deux garçons venaient de me donner. Alors que j'étais toujours sur mon petit nuage, les garçons se rhabillèrent. Jef revint à ce moment précis :
- Alors cette collocation ?
- ... (je lui souris)
- Je vois que la discussion a été particulièrement enrichissante.
- Oui et c'est vrai qu'une collocation avec Axel me tente de plus en plus... Mais pourquoi n'es-tu pas resté ? La discussion ne t'intéressait pas ?
- Oh si, mais je pense qu'il était plus profitable que vous en discutiez entre vous...



Jef était beau joueur mais n'était pas du genre à rester en arrière plan. Je fus donc moins surprise quand il me proposa de m'accompagner sous la douche. Je le suivis bien volontiers dans la salle de bain et admirai la célérité avec laquelle il se débarrassa de ses vêtements. A peine sous la douche, il affichait déjà une magnifique érection quoique pas encore bien dressée.



Après qu'il m'eut nettoyé le visage, je me mis accroupi pour prendre son sexe en bouche tout en lui caressant les testicules. Il ne fut pas long à prendre toute sa vigueur et je le sentis avec plaisir grossir entre mes lèvres.



Jef préféra se mettre assis sur le petit banc carrelé qui se trouvait au fond de la douche. Je me mis à genou à côté de lui pour continuer à le sucer. Sa bite était devenue particulièrement volumineuse et je me dis qu'il n'allait pas être long à jouir.



Effectivement, il ne me fallut que quelques minutes de fellation pour en arriver à bout. Je sentis Jef se contracter, retenir son souffle et, alors que son sexe semblait se rétracter légèrement un instant, m'envoyer enfin toute sa liqueur au fond de la bouche en râlant de plaisir.



Je crus qu'il n'allait pas s'arrêter d'éjaculer, tant ma bouche reçu encore et encore du sperme. Ne pouvant avaler toute sa liqueur, je dus me résoudre à en laisser échapper une partie qui s'écoula le long de sa verge et sur le bas de mon visage. Je n'avais pas joui, mais j'étais heureuse quand même.



- Alors, Sylvie, tu acceptes la collocation avec Axel ?
- Si vous m'autorisez, Laura et toi, à venir vous rendre visite de temps en temps, je pense que je vais me laisser tenter.
- Bien sûr qu'on continuera à se voir !
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10. Sylvie découvre les joies de la colocation

Mon aménagement avec Axel s'est fait assez vite. J'ai acheté quelques meubles (un lit surtout) et surtout profité de ce que Cédric laissait car il voulait se débarrasser d'un certain nombre de choses. Avec Axel, on a organisé une pendaison de crémaillère, histoire de faire un peu la fête. On a fait ça en semaine et on avait tout préparé à l'avance car j'avais un cours qui me faisait rentrer assez tard et donc je devais arriver en même temps que nos invités. Par une chance inouïe, ce cours fut annulé et je pus rentrer rejoindre Axel avec une heure d'avance. Je me faufilai dans l'appartement sans faire de bruit pour lui faire la surprise. Mais en fait de surprise, ce fut moi qui resta ébahie par la découverte que je fis : Axel était dans le salon à se masturber en lisant un magazine de charme.



Sans rien dire, je m'avançai. Il me vit et s'arrêta mais ne se cacha pas. Il évaluait ma réaction. Comme je n'avais pas l'air fâché et que je venais vers lui manifestement intéressée par ce qu'il faisait, il reprit tranquillement sa branlette. Mais il abandonna son magazine et me regardait maintenant avec insistance. Je m'accroupis à côté de lui et pris son sexe en bouche pour le sucer.



Axel me regarda opérer avec intérêt. Son sexe, qui avait quand même un peu débandé sous l'effet de la surprise de mon entrée, reprit vite de la vigueur entre mes lèvres. Axel tenta d'accéder à ma poitrine en glissant sa main sous ma veste, mais ma tenue et ma position rendait l'opération difficile. Aussi abandonnais-je ma fellation pour me redresser et retirer ma veste et mon chemisier. Axel en profita pour me retirer la jupe et commença à me caresser la moule d'une main tandis que de l'autre il avait repris sa branlette.



Quand j'eus terminé de me débarrasser de tous mes vêtements, je vins me positionner devant lui, en lui tournant le dos, et m'empalai sur sa tige. Je n'eux pas à le guider en moi, je mouillai tellement que sa queue se lubrifia à ma fontaine presque en même temps qu'elle me pénétrait. Cette position me permettait de maîtriser ma montée et ma descente sur la queue d'Axel.



Je voulais bien sûr essayer d'autres positions et, même si celle-ci me procurait déjà pas mal de plaisir, je me dégageai d'Axel et me retournai vers lui. Celui-ci sembla déçu, mais je le rassurai aussitôt en me penchant sur lui pour lui offrir un baiser passionné. Du même coup, j'attrapai sa tige et je la branlai un peu, machinalement.



Puis je m'empalai à nouveau sur lui, mais cette fois-ci à cheval face à lui. Dans cette position, vu qu'Axel était vautré dans le canapé, il me suffisait de me cambrer un peu pour lui permettre de me lécher les tétons. Et cette position lui permettait d'aller un peu plus loin en moi.



Après quelques minutes à baiser dans cette position, c'est Axel qui manifesta l'envie de changer. Peut-être voulait-il mieux contrôler le rythme ? Il me souleva et m'allongea sur la canapé. Il vint se mettre à côté de moi et me pénétra encore, aussi loin qu'il put.



Manifestement peu satisfait par cette position, il se releva après seulement quelques assauts et vint se mettre debout. La bite à la main, il s'amusa à me masturber le clitoris avec le bout de son gland bien raide. Puis il s'enfonça en moi d'une traite et se remit à me besogner.



Il sembla trouver cette position bien à son goût car il resta longtemps à me prendre ainsi. Allongée sur le canapé, j'ondulais du bassin comme pour branler la tige qui me pénétrait. Je le sentis soudain se tendre. Je le voulais sur mon visage, dans ma bouche. Axel le voulait apparemment aussi. Il sortit son engin et éjacula dans les secondes qui suivirent en m'envoyant au visage de longs jets de sperme tiède qui me valurent un orgasme formidable.



La douche de sperme se calma alors que je reprenais mes esprits. Axel semblait très fier de lui : à la fois d'avoir réussi à me faire jouir de cette manière et aussi d'avoir pu fournir une telle quantité sperme pour l'honorer. C'est alors qu'il regarda l'horloge :
- Merde ! Ils vont arriver d'une seconde à l'autre ! Rhabille-toi, je vais chercher une serviette pour t'essuyer le visage.
- Laisse, je vais aller prendre une douche rapide.
Mais la sonnette retentit. J'ajoutai donc en rigolant :
- Tant pis pour la douche, Ok pour la serviette, Axel !



Je venais de finir de me rhabiller quand Axel revint avec la serviette. Il me nettoya lui-même le sperme que j'avais au visage puis s'habilla en vitesse. On sonna à nouveau à la porte. Axel y courut pour ouvrir à nos invités. Il y avait Jef et Laura ainsi qu'une fille, amie d'Axel. Axel fit les présentations et invita tout le monde à se mettre à l'aise. Jef et Laura me demandèrent comment ça allait. J'étais encore un peu sous le coup de l'orgasme qui m'avait secoué quelques minutes auparavant et je dus leur paraître un peu sonnée. Axel nous amena des verres et commença à nous servir.



Apparemment, il manquait Cédric. Quand la sonnette retentit à nouveau, Axel me dit :
- Sylvie, tu peux aller lui ouvrir, s'il te plaît, et lui donner les cartons qui sont dans l'entrée.




Effectivement, c'était bien Cédric, tout sourire de découvrir que c'est moi qui m'accueillait :
- Salut Sylvie, ça va ?
- Oui. Axel m'a dit que ces trois cartons sont à toi.
- Ah, oui... je vais les descendre tout de suite à la voiture. Tu veux bien en prendre un et m'accompagner ? Comme ça je ne ferais qu'un seul tour.
Il attrapa deux cartons. J'en pris un et je lui emboîtai le pas dans l'escalier.
Une fois les cartons dans le coffre, nous remontâmes ensemble. Il s'arrêta sur le premier palier et me dévisagea en souriant :
- Tout se passe bien avec Axel, semble-t-il ?
- ... Oui... Pourquoi tu dis ça ?
- Peut-être parce que tu l'as sucé juste avant et que tu as encore un peu de sperme au coin de la bouche...



Alors que je voulais m'essuyer, Cédric me prit le poignet pour m'en empêcher :
- Laisse, ça te va super bien !
Je lui souris et une idée germa dans mon esprit :
- Quel sera le prix de ton silence, Cédric ?
- Mon silence ? Ah... oui ! Bonne idée ! Et bien, que dirais-tu de goûter une belle friandise, là, dans les escaliers ?
J'avais bien envie effectivement de sucer à nouveau la queue de Cédric, je m'accroupis donc aussitôt devant lui pour lui sortir sa bite.



Malgré le fait d'être dans un lieu public et le risque d'être surpris à tout moment par mes nouveaux voisins, je le suçais lentement, afin de profiter le plus longtemps possible de cette tige qui commençait à prendre du volume entre mes lèvres. Je mouillais déjà abondamment.



Quand il me sembla qu'il avait atteint le maximum de son érection, je me relevai. Il comprit aussitôt la suite du programme et passa les mains sous ma jupe pour m'arracher ma culotte. Je lui tournai le dos et m'appuyai à la rambarde de l'escalier. Il se guida sans mal en moi et se ficha au plus profond dès son premier coup de reins.



Cédric me prenait en levrette et admirait sa bite qui entrait et sortait d'entre mes cuisses avec une satisfaction bien masculine. Il n'avait pas l'air plus gêné que moi de faire ça dans l'escalier d'un immeuble et prenait son temps.



Dans cette position, les lèvres de ma moule étaient caressées à chaque allée et venue de son sexe et provoquait un léger étirement de mon clitoris absolument délicieux. Sans que je m'y attende, sa pénétration régulière finit par me déclencher un orgasme.



J'essayai de ne pas exprimer trop bruyamment mon plaisir, mais les contractions de mon orgasme avaient déclenché celui de Cédric. En une fraction de seconde, je me mis à genou devant lui pour lui prendre son sexe prêt à exploser dans ma bouche. En se mordant les lèvres pour ne pas crier, Cédric se déversa généreusement entre mes lèvres. J'entendis un bruit de porte à l'étage au-dessus, peut-être celle mon nouvel appartement.



Alors que j'avais encore le sexe de Cédric entre mes lèvres et que j'avalais peu à peu sa semence, je vis du coin de l'œil descendre Axel qui devait s'inquiéter de ne pas nous voir revenir. Je terminais d'aspirer la bite de Cédric pour bien la nettoyer, tout en souriant à mon colocataire.



Axel semblait ne pas prendre mal la chose. Un instant, je crus qu'il allait me demander de le sucer dans l'escalier à son tour. Mais, sans rien dire, il resta à me regarder terminer ma fellation à Cédric puis, tranquillement, nous proposa de remonter rejoindre nos invités. Je ne sus jamais ce qu'était devenue ma culotte. Toujours est-il que je passai le reste de la soirée sans culotte, ce qui n'échappa à personne : Jef et Laura, qui étaient assis à ma droite et à ma gauche, ont passé le repas à tenter de me faire jouir en me tripotant la moule sous la table. Même si je les laissais faire, je me concentrais suffisamment pour ne pas succomber à un nouvel orgasme mais trouvai cette soirée très agréable.
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11. Sylvie et Axel font le point

Ma colocation avec Axel se passait à merveille. J'essayais d'être à l'écoute de ses envies et il savait répondre aux miennes sans sourciller. Il faut dire que concernant nos envies nous étions la plupart du temps sur la même longueur d'onde. Dès qu'il rentrait (son travail le faisant terminer plus tard que la fin de mes cours à la fac), je lui sautais dessus pour le masturber.



Et nous décompressions ainsi, ayant un orgasme synchronisé quand il se répandait sur mon visage.



S'il faisait venir des amis à lui, j'attendais patiemment qu'ils partent pour lui sauter dessus. Ce pouvait être pendant qu'il regardait la télé après manger. Je venais m'installer à côté de lui et je lui offrais des caresses buccales qui lui rendaient difficile la compréhension de séries telles que Urgence.



Car pour moi aussi, il y avait urgence ! J'avais besoin de ma dose...



Il arrivait que ce soit lui qui me sollicite. Je me souviens d'une fois particulière où en revenant du sport, j'étais allée prendre un bain. Il avait fait irruption dans la salle de bain, s'était mis à poil et m'avait présenté son érection (il n'avait pas un sexe gigantesque, mais il avait la particularité de bander vite et bien). Dans de telles conditions, il m'était impossible de lui refuser une fellation.



Et il savait me remercier du service rendu...



Une autre fois, il était sorti avec ses potes et m'avait prévenue qu'il rentrerait tard. J'ai passé la moitié de la soirée à me masturber en l'attendant (en regardant la vidéo de Point Break) mais en faisant attention à ne pas jouir, me réservant pour son retour. Mais quand il est rentré vers deux heures du matin, il était tellement crevé qu'il est aussitôt allé se couché. Frustrée, j'ai décidé de ne pas baisser les bras pour autant. Je me suis introduis dans sa chambre et je lui ai taillé une pipe qui l'arracha bien vite à son sommeil.



Manifestement, Axel ne m'en avait pas voulu de lui avoir imposé cela...



Mais avec tout ça, il arriva quand même un jour où je me posai la question de ce qu'était notre relation à Axel et moi. On ne se disait pas en couple, mais on baisait à la moindre occasion. On baisait si souvent que ça ne laissait que peu le temps de sortir et de rencontrer d'autres gens. J'avais besoin de faire le point. Ce soir-là, quand Axel rentra, il ne me trouva pas nue et je ne lui fis pas de fellation :
- Axel, j'ai besoin de savoir... Est-ce que tu considères qu'on est en couple ou pas ?
- J'avoue ne pas vraiment me poser la question...
- J'espère ne pas te vexer en te disant qu'il n'y a pas d'amour entre nous, uniquement du sexe...
- Non, ça ne me vexe pas, j'en suis conscient. Cette situation ne te convient plus ?
- Oh si, mais j'aimerai être sûre que les choses sont claires pour toi aussi.
- Elles le sont, Sylvie.



Il s'approcha de moi et, par surprise, m'arracha mon tee-shirt, me laissant seins nus. Axel était toujours sympa avec moi concernant mes seins, il savait que je faisais un complexe et il n'avait jamais fait de remarque au sujet de leurs tailles. Axel voulait manifestement clore la discussion et passer à autre chose de plus agréable.



Mais je voulais quand même être sûre de certaines choses.
- Axel, si on n'est pas ensemble, en couple je veux dire, cela signifie qu'on se laisse la possibilité de rencontrer quelqu'un d'autre et d'arrêter nos jeux sexuels du jour au lendemain. Tu en es conscient ?
- Bien sûr !
- Ce serait aussi simple que ça ?
- Non, évidemment. Arrêter comme ça nos ébats sexuels ne sera pas facile, je suis sûr que ça me manquera. Mais je suis réaliste et sais bien que cette situation ne durera pas éternellement.



Axel et moi avions donc la même conception des choses. Je me dis qu'il fallait donc en profiter tant qu'on pouvait baiser librement, sans contrainte !
J'avais envie de lui. Je baissai mon jeans, le laissant découvrir ma petite culotte noire (pour une fois que j'en avais une...)



Axel retira lui-aussi ses vêtements en un clin d'œil. Comme d'habitude, il affichait une érection déjà bien belle. Je me demanderai presque s'il lui arrivait de débander ! Je finis de me mettre nue également et apparus, impudique.



Axel s'allongea et me fis signe de m'approcher : "Je veux te bouffer la moule", je vins m'asseoir sur son visage. Je sentis sa langue fouiller entre les lèvres de ma moule, tenter de s'immiscer profondément dans mon sexe, taquiner mon clitoris. Axel savait s'y prendre ! Je commençai à sentir venir un orgasme que je réfrénais autant que possible.



Je portai mon attention sur autre chose : je me penchai sur sa bite et la gobai pour la sucer. Il arrêta son cunnilingus, manifestement perturbé par ma langue qui tourbillonnait autour de son gland. Je me mis ensuite à le pomper lentement, ce qui lui permit de se concentrer à nouveau sur ma moule. C'était un magnifique soixante-neuf.



J'étais sur le point de craquer, mais je ne voulais pas jouir comme ça : je voulais la crème de mon fuck-friend sur le visage ! Axel n'avait pas l'air d'en mener large, il semblait lui-aussi se concentrer pour ne pas jouir tout de suite. Je n'aurais bien sûr pas été contre qu'il éjacule au fond de ma gorge (et sans doute que lui non plus), mais nous devions sceller notre pacte par une éjaculation faciale. Il ne pouvait en être autrement. Je me relevai donc, Axel fit de même, puis je me mis à genoux devant lui pendant qu'il se masturbait au-dessus de mon visage.



Il ne fut pas long à venir. Son premier jet fut comme une libération autant pour lui que pour moi. L'un comme l'autre savions qu'il n'était plus utile de lutter contre la montée de l'orgasme, de résister à la tentation de jouir. Il éjaculait, je j'allais bientôt jouir.



Mon corps fut secoué de soubresauts. Un immense frisson me parcourut toute l'épine dorsale. Je criais. Axel aussi... Il continuait à se déverser sur mon visage, sans discontinuer. Et je jouissais encore, sans discontinuer. J'aurais voulu que cela ne s'arrête jamais, qu'il me noie sous un flot de sperme, que je succombe à l'ultime orgasme.



Mais tout a une fin et la source se tarit bientôt. Et mon orgasme s'acheva lui-aussi. Cela avait été particulièrement intense. Machinalement, encore sous le coup de la tempête qui nous avait secouées, je repris son sexe en bouche et je le suçai à nouveau pour le nettoyer.



La discussion était donc maintenant close. La conclusion était claire : nous étions amis, libres chacun de notre côté, mais conscient d'être dépendants sexuellement l'un de l'autre. Je lui dis :
- Question sexe, on se comprend super bien !
- Oui, on est sur la même longueur d'onde...
Je déposai un baiser sur le bout de son gland.



Il me sourit.
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12. Sylvie et Axel sortent en boîte

Dès le lendemain soir, Axel et moi décidâmes de sortir en boîte. Il était tout excité et moi aussi. Notre mise au point de la veille nous avait donné confiance en nous et nous avions déjà une vague idée de la manière dont allait se terminer la soirée. C'est Axel qui choisit lui-même la robe que j'allais mettre : une petite robe beige toute courte et sans bretelle.



Quand je fus prête, je le rejoignis dans le salon. Il me regarda de haut en bas en souriant puis me lança un regard interrogateur en plissant légèrement les yeux. je savais quelle question ce regard sous-entendait. J'attrapai donc le bas de la robe pour la remonter et lui dévoiler ainsi mon sexe nu. Il était ravi. Moi-même, déjà excitée, je sentais la chaleur monter dans ma petite chatte.



Pendant tout le trajet, Axel n'arrêtait pas de me tripoter et je lui rendait bien (mais je le laissais quand même se concentrer sur sa conduite). Arrivés en boîte, nous nous sommes retrouvés au milieu d'une foule assez dense. Axel attaqua directement au bar. Je l'accompagnais et il alterna son attention entre son verre de bière et mes fesses. De mon côté, je regardai les mecs qui me plaisaient et tentai de leur dire par transmission de pensée que j'avais très envie qu'il me culbute (mais ça n'a pas vraiment marché). Au bout d'une dizaine de bière Axel commença à glisser sa main sous ma jupe. Il y découvrit bien sûr une fontaine. Couvrant presque le bruit de la musique, il dit :
- Tu mouilles à fond ! Va falloir te trouver quelques bites...
J'étais un peu gênée mais je me détendis en voyant que les gens autour ne s'offusquaient pas. En majorité des garçons, ils se massèrent autour de nous et semblaient attendre le prochain commentaire croustillant d'Axel. Mais celui-ci se contenta de me faire lever et souleva ma robe, montrant à tous ma minette luisante de mouille. Couvrant la musique, un "Hooo !" se fit entendre, issu de la stupéfaction des mâles présents.



Axel ne se contenta pas de m'offrir en spectacle. Il annonça :
- Vous savez ce qu'elle veut, la petite ? Voilà ce qu'elle veut !
Et ce disant, il extirpa de son pantalon une érection colossale (surtout pour un mec bourré). Placé derrière moi, il m'attrapa par les fesses et me souleva les cuisses pour m'empaler sur son mât. Je fus surprise de voir qu'il y parvint du premier coup. Il me laissa retomber dessus, s'enfonçant jusqu'à la garde. Puis il entama un lent va-et-vient sous les encouragements des mecs autours.



Les gens autours applaudissaient. Certains prenaient même des photos ou filmaient avec leur téléphone-portable. Mais comme Axel était bourré, il montra un manque cruel d'endurance et m'abandonna avant que l'un de nous deux ait joui. Il me reposa délicatement sur un canapé en bord de piste, me laissant dans un état de frustration indéfinissable. Excitée comme j'étais, je me mis machinalement à me toucher.



Je vis Axel se rajuster et téléphoner. A cette heure-là, c'était manifestement un taxi. Sans se formaliser sur le fait que je me masturbais en public, il m'apporta les clés de sa voiture et m'expliqua qu'il avait trop abusé de l'alcool et rentrait en taxi. Il me laissait donc à la merci de qui voulait... A peine eut-il disparu, qu'un type m'aborda. J'arrêtai de me caresser pour l'écouter. Il me proposait de continuer ce qu'Axel n'avait pas pu terminer. Je lui répondis non et lui expliquai que j'avais envie de faire pipi. Comme il insistait, je lui proposais de garder ma robe le temps que j'aille au toilette. Il accepta et m'accompagna jusqu'à la porte où je retirai ma petite robe et lui confiai.



En sortant des toilettes deux types étaient là à uriner (j'admets que je m'étais peut-être trompée de côté et que j'étais sans doute entrée chez les hommes), surpris de me voir en tenue d'Eve. Je leur souris mais je déchantai en constatant que le type qui devait me garder ma robe avait disparu et ma robe avec. Les deux gars n'avaient d'yeux que pour moi.



Aussi, je leur demandai s'ils avaient vu le type avec ma robe et s'ils savaient où il était parti. Ils voulurent bien me répondre mais réclamèrent auparavant de me caresser. De bonne grâce, j'acceptais et les laissais donc me tripoter les fesses et la moule.



Mais je n'avais toujours pas joui et j'étais terriblement excitée. Ils se rendirent très vite compte que je mouillais abondamment et que leurs caresses étaient drôlement efficaces. Aussi, lorsqu'ils sortirent leur queue, je ne protestai pas et me mis même aussitôt à genou pour les sucer.



Ils bandaient tout les deux déjà bien. A tour de rôle, je les suçais et les branlais avec une rare énergie. J'y mis tout mon cœur si bien qu'en moins d'un quart d'heure je sentis qu'ils étaient tous les deux mûrs.



Le premier jouit sur le haut de ma poitrine et j'eu à peine le temps de redresser le tir pour en recevoir un peu sur le menton. Cela ne me déclencha bien sûr pas d'orgasme. Je fondais donc mes espoirs sur le second...



Par chance, le second comprit parfaitement ce que je voulais : il visa bien ma bouche et mon visage et m'envoya son sperme en abondance. Je jouis enfin... Une nana black entra, me dévisagea quelques instants puis tourna les talons, semble-t-il dégoutée. Une minute plus tard, couverte de sperme, je leur demandai donc ce qu'était devenue ma robe. Ils m'expliquèrent que le type leur avait dit "Il y a une salope du tonnerre là-dedans les gars, moi, je dois partir. J'embarque sa robe en souvenir." Je me retrouvais donc à poil en boîte de nuit.



Bien sûr je l'avais un peu cherché mais je me disais que le retour à la maison promettait d'être plus épique que prévu. Je me nettoyai quand même le visage avant de regagner la grande salle. Sans me poser de question, j'attrapai un blouson posé sur un tabouret du bar et l'enfilai. Celui-ci était trop court pour me couvrir le bas mais j'étais au moins "à moitié" décente, bien que je ne pouvais dissimuler ni mes fesses, ni ma chatte trempée.



Un type déboula en me criant dessus :
- Hé, salope, c'est le blouson de ma femme, qu'est-ce que tu fous ?
Il commença à me l'arracher, non sans en profiter pour me caresser les seins au passage.




Arriva alors la nana black que j'avais aperçue peu avant dans les toilettes, bien roulée, C'était sa copine et elle se montra très conciliante :
- Ecoute, si tu veux, j'ai des fringues de rechange, mais en échange tu nous accompagnes dans le vestiaire et tu suces mon mec.
La demande était directe, formulée presque en ces termes mais je ne pouvais pas vraiment m'offusquer alors que je venais de faire l'amour en public avec Axel sans complexe. Elle m'expliqua que son mari insistait très souvent pour ce genre de gâterie mais que cela la dégoutait et qu'elle lui a toujours refusé. Elle m'avait vu opérer dans les toilettes et s'était justement dit que j'étais le genre de fille qu'il fallait à son copain...
Je les suivis donc dans le vestiaire où elle me passe un jeans et un tee-shirt. Elle me souleva le tee-shirt sous prétexte de motiver son copain. Celui-ci se branlait déjà...



Apparemment, ce qu'il voulait, c'était surtout une éjaculation faciale car il ne demanda pas à se faire sucer. Il s'approcha au-dessus de moi et s'astiqua fermement la queue. Sa copine regardait avec attention, heureuse de pouvoir satisfaire un fantasme de son copain sans avoir à faire quelque chose qui la dégoûte.



Cela dura une éternité me sembla-t-il. J'avais à moitié envie de le sucer pour accélérer la cadence, mais comme on ne me le proposait pas, c'est que ça ne devait pas figurer dans les termes de l'accord. Il finit quand même par venir et éjacula en m'envoyant une quantité de sperme assez conséquente. Cela me déclencha bien sûr un nouveau orgasme.



Sa nana me rétorqua :
- Pas la peine de simuler, il a déjà joui...
Je pris le temps de me remettre avant de lui lancer un regard noir et de lui rétorquer :
- Je ne simulais pas, j'ai vraiment eu un orgasme. J'en ai un presque à chaque éjaculation faciale...
- Ah ? T'étais vraiment la fille idéale pour ce boulot, alors !
Je pris ça pour un compliment.



Finalement, ils me remercièrent et la nana black en profita pour me pincer les tétons :
- C'est vrai que t'as les tétons tout raides comme après un orgasme...
- C'est surprenant, je sais, mais tu l'as vu toi-même...




- T'es une fille incroyable, j'avais jamais vu une salope comme toi.
Elle avait l'air sincère et je décelais dans sa voix comme une pointe d'amertume, comme si elle regrettait de ne pas pouvoir prendre plaisir à faire des pipes à son homme et à recevoir son sperme au visage ou dans la bouche.
Je leur demandai de me raccompagner chez moi pour pouvoir lui rendre ses fringues. Ils acceptèrent ne tenant manifestement pas à rester davantage dans la boîte. Alors que son copain approchait avec un kleenex pour m'essuyer le visage, la nana black l'arrêta et dit :
- Ce sera amusant si des passants le remarque.



Je n'émis pas d'objection. Le voyage fut calme, rien de sexuel ne fut tenté et on garda chacun le silence (je n'ai même pas su leurs noms et ils ne m'ont pas demandé le mien). On ne croisa personne à cette heure avancée de la nuit. A l'appartement, Axel dormait déjà profondément, vautré sur le canapé, n'ayant pu atteindre sa chambre.

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13. Le cousin d'Axel

La semaine qui suivit, la routine fut un peu perturbée. En effet, Axel partait en formation pour une semaine complète. Alan, son cousin, de passage en ville en profitait pour squatter sa chambre. Axel n'avait pas manqué de le mettre au courant au sujet de ma nymphomanie particulière. Aussi avions-nous conclu un marché lui et moi. S'il acceptait de ne pas me harceler pour qu'on fasse l'amour ensemble, j'acceptais qu'il vienne se décharger une fois par jour sur mon visage. Ce marché sembla lui convenir puisque dès le premier soir, il vint me trouver dans ma chambre alors que je travaillais à mon bureau.



- Ah... Tu as envie ?
- Oui... ça t'embête ?
- Pas du tout. Mets-toi à l'aise.
Il retira toutes ses fringues. Je découvris avec intérêt son sexe. Il ne bandait pas encore vraiment et semblait plutôt modeste. Pour le stimuler, je retirai mon tee-shirt et lui exhibai mes petits seins.



Cela ne sembla pas lui faire plus d'effet que ça. Peut-être, comme la plupart des hommes, préférait-il les poitrines plus imposantes. Puisque rien n'y faisait, je me dis qu'il me fallait sûrement tout déballer. Il me semblait que, quand il lui avait fait le tour du propriétaire, Axel n'avait pas manqué de lui signaler que j'avais "un cul à convertir un homo". Je me dis qu'en déballant aussi le bas, cela allait peut-être lui faire de l'effet. Je retirai donc mon pantalon et là un semblant d'érection commença à se former.



J'étais moi-même pas plus motivée que ça et j'avais l'impression de m'occuper du dépucelage d'un adolescent pas très dégourdi. Je devais avoir quatre ou cinq ans de plus que lui (il était encore au lycée ou en sortait tout juste) et c'est vrai que j'étais plus facilement attirée par l'expérience des hommes plus âgés que moi que par la fraîcheur des jeunes. Une fois en culotte, je me jetai sur lui, un peu agacée par son manque de réactivité, et me mis à sucer son sexe encore tout mou. A force de persévérance, je finis quand même par obtenir quelque chose de raisonnable.



Le pauvre Alan devait être éjaculateur précoce car en moins de cinq minutes, il éjacula. Ce fut rapide, peu fourni et insuffisant pour me donner un orgasme. Il resta béat de me voir ainsi devant lui, avec son sperme sur le visage.



Il me remercia quand même en se montrant désolé de ne pas m'avoir fait jouir. Je dois avouer que je n'avais finalement pas vraiment pris la chose au sérieux, considérant cet entracte dans ma soirée comme un passage obligé, une initiation que je me devais de lui donner, et non un échange sensuel entre deux corps qui s'attirent. Je n'étais donc même pas vraiment déçue... Je me rassis à mon bureau.



La semaine se poursuivit mais je commençai à prendre ma "mission" au sérieux. Il me fallait tenter de prendre du plaisir avec Alan. Pour cela je mis tout en œuvre pour l'exciter autant que possible et qu'il fasse lui-même des efforts pour moi. Enervée par son manque d'excitation, je m'évertuais alors à essayer de le stimuler en mettant de petites robes sexys, très courtes, un peu transparente.



Il me portait bien sûr un regard intéressé, mais ne semblait pas bander pour moi... Je faisais pourtant attention à ne pas mettre de dessous et ne manquait pas de lui montrer. Oh ! J'ai fait une tâche sur le bas de ma robe, voyons voir ça de plus près... Il eut donc à plusieurs reprise l'occasion d'admirer mon cul nu dont Axel lui avait pourtant vanter les mérites.



Malgré tout cela, ça ne le faisait qu'à peine bandé. Je décidai donc de rester intégralement nue dans l'appartement (sauf quand des amis passaient). Je lui disais quand j'allais à la douche et je laissais toujours la porte grande ouverte. Il pouvait ainsi m'y suivre librement. Mais il se contentait de venir observer sans manifester plus d'intérêt que celui de se soulager sur mon visage.



Ne fermant jamais aucune porte, sauf celle des toilettes, je le lui laissais la possibilité de profiter de presque tous mes moments d'intimité, de faire du voyeurisme autant qu'il le souhaitait. Certes, il me voyait aussi quand je faisais ma toilette, nue, et me demanda une fois de se soulager mais jamais je ne le vis se masturber : il fallait que je le suce ou que je le branle moi-même pour arriver à mes fins.



Quand j'étais au téléphone avec Axel, je ne lui dis pas que la présence de son cousin m'était pénible. A dire vrai, je m'amusais quand même un peu à tenter coûte que coûte de le faire bander et je suis certaine qu'il prenait un malin plaisir à ne manifester aucune réaction et de me voir faire tous les efforts du monde pour l'exciter.



Ayant une activité sexuelle plutôt ralentie cette semaine-là, j'avais exceptionnellement réussi à suivre tous les cours de la Fac. Et ce fut pour moi l'occasion de me rendre compte que j'avais accumulée pas mal de retard. Aussi, quand je ne bossais pas un peu mes cours dans ma chambre, je me détendais devant la télé, nue, affalée dans le canapé. Alan passait sa soirée à me regarder, mais sans avoir réellement d'érection.



La veille de son départ, je n'avais pas noté de réelles améliorations dans l'intérêt qu'il pouvait me porter et dans les désirs que j'avais pu susciter. Voulant malgré tout avoir la certitude d'avoir tout tenté, mais sans revenir sur ma décision de ne pas le laisser me pénétrer et de se contenter de jouir sur moi (et non en moi), je lui proposai de se masturber en même temps que moi, pour voir. Il accepta et me suivit dans ma chambre.



Nous étions nus, l'un en face de l'autre, il fit l'effort de se masturber et de mon côté, je me mis un god dans la chatte. Ce fut un succès car je ne l'avais jamais vu bander aussi vite. Cela m'excita tellement de le voir ainsi en érection à se palucher que je me lassai aller à un orgasme (cela faisait longtemps que je n'avais pas eu d'orgasme avec un god)... Il jouit cependant peu après moi et je le regardai jouir, le god toujours enfoncé en moi, son sperme s'écoulant lentement le long de son poignet.



Peut-être étais-je allée trop loin avec lui car le soir-même, je le vis au repas glisser quelque chose dans mon verre. Je fis mine de le boire et allais me coucher aussitôt le repas fini, prétextant une soudaine fatigue. Il frappa peu de temps après à ma porte. Vu que je ne répondais pas, il entra et s'approcha. Je sus alors qu'il avait essayé de me droguer, probablement pour abuser de moi. Je fis mine d'être complètement endormie, sous l'effet de son médicament. Il me trouva donc sur mon lit, étendue sur le ventre. Il tenta de me réveiller en me secouant légèrement. Je fis semblant de toujours dormir.



Il me retourna carrément et souleva mon t-shirt pour voir mes seins. Il les caressa. Ne me réveillant toujours pas, il me retira mon string et m'écarta les cuisses en équerre. Il commença à se déshabiller. Et j'aperçu du coin de l'œil qu'il bandait sérieusement.



Je ne me faisais que peu d'illusion sur la suite qu'il allait donner à son intervention. Il s'approcha et me doigta la moule. J'étais déjà une vraie fontaine et cela paru lui faire plaisir car il murmura "Houa la vache, quelle salope".



Puis il s'étendit sur moi et pénétra la belle au bois dormant. Son sexe entra en moi sans difficulté. Même s'il était modeste, ses assauts maladroits me procuraient beaucoup de plaisir. Il est vrai que n'ayant pas été baisée de la semaine, n'importe quelle bite serait probablement arrivée au même résultat. Toujours est-il que je prenais du plaisir à cette pénétration et que je devais faire des efforts surhumains pour continuer à faire semblant de dormir.



Bien qu'il semblait lui aussi prendre beaucoup de plaisir, il ne me besogna pas longtemps et sortit au bout de cinq ou dix minutes. Il s'astiqua fébrilement au-dessus de mon ventre. Au moins, il respectait ma demande de ne pas jouir en moi !



Il lâcha un râle étouffer au moment de jouir et éjacula tout sur mon ventre. Son sperme était chaud et cette sensation ne me fut pas désagréable. Il continua à se branler jusqu'à la dernière goutte.



Puis il se releva, sortit de la poche de son jeans un paquet de mouchoir et m'essuya le ventre avec application. Toujours nu (et d'ailleurs toujours en érection), il me remit ma culotte, rabaissa mon tee-shirt et me remit sur le ventre. Je l'entendis s'habiller et sortir de la chambre.
J'avais une drôle d'impression, le sentiment de l'avoir roulé, mais aussi de m'être faite rouler... Il m'avait violé, même si de mon côté j'étais plutôt consentante. Pourquoi avais-je accepté cela ? Est-ce que je n'étais pas en train de devenir nymphomane au point d'accepter n'importe quoi pour obtenir un orgasme et plus particulièrement une éjaculation facile.
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14. La consultation

Quand Axel rentra de sa formation le week-end suivant, je lui racontai en détails ce qu'il s'était passé durant la semaine avec son cousin sans omettre le semi-viol de la veille de son départ. Axel sembla un peu choqué et je lui fis part de mes interrogations personnelles concernant ma nymphomanie. Il émit l'hypothèse que c'était peut-être parce que j'avais mené le jeu trop loin qu'Alan avait craqué. Il se sentait un peu impuissant face à mes interrogations et me conseilla d'aller voir un sexologue. Parler avec un spécialiste m'aiderait peut-être à comprendre ce qu'il fallait faire pour éviter de devenir la putain de tout mon entourage.
Je réussis à prendre un rendez-vous pour le samedi en fin de matinée (ils n'ont pas l'air débordé les sexologues). J'étais assez excitée à l'idée de me mettre psychologiquement à nue, d'étaler mes frasques sexuelles devant un inconnu. Pour lui donner le ton, je m'habillais "normalement", à savoir avec une petite jupe et un tee-shirt sans le moindre sous-vêtement. Le docteur était assez jeune et plutôt bien foutu. Il m'accueillit avec un grand sourire et resta quelques secondes à m'admirer.




Il me fit asseoir et me demanda ce qui m'amenait. Sans rien cacher, je lui décrivis en détail ma semaine avec le cousin d'Axel, le type de relation que j'entretenais avec Axel, le fait que ça ne me posait aucun problème, mon goût immodéré pour les éjaculations faciales, mon besoin d'avoir un orgasme assez souvent et ma difficulté à résister à mes désirs. Je terminais en lui expliquant ma crainte de devenir davantage qu'une fille facile et que cela pourrait me jouer des tours.
- Il est vrai que l'épisode avec le cousin de votre ami fait se poser la question. Vous semblez susciter le désir des hommes autant que vous semblez vous-même rechercher à les exciter, non ?
- Oui... Vous savez, rien que de vous raconter mon histoire, ça me fait mouiller...
- Je vous avoue que votre histoire ne me laisse pas indifférent non plus. Mais vous devez comprendre que nous sommes là pour travailler à vous aider à surmonter vos problèmes.
- Peut-être n'est-ce pas un problème docteur ?
- Alors pourquoi seriez-vous venu me voir ?
- Docteur, je crois que j'ai une crise et que j'ai encore un e furieuse envie de sexe...
- Vous fantasmez sur le fait que je vous fasse une éjaculation faciale ?
- Oui... et je crois qu'on ne pourra pas vraiment en discuter tant que je serais excitée comme ça...
- Vous souhaitez prendre un autre rendez-vous ?
- Pas exactement.
Je me levai et retirai ma jupe.



Sexe nu, luisant de mouille, je ne pouvais pas être plus explicite sur ce que j'attendais de lui...
- L'idéal, docteur, serait que vous satisfassiez mon désir et qu'on reprenne ensuite sereinement cette conversation.
- Il n'est pas vraiment dans mes habitudes de procéder ainsi avec mes clients...
- Mais la bosse de votre pantalon indique que ça ne vous déplairait pas, non ?
- Certes, mais je ne peux me le permettre.
- Qui le saura ? En plus, en répondant favorablement à ma demande, vous agirez en professionnel. Le sexe, c'est votre métier. En parler c'est bien, mais rien ne vaut la pratique, n'est-ce pas ?
- Je crois que si je ne cède pas, vous continuerez à insister jusqu'à ce soir, non ?
- Vous avez tout à fait raison, docteur !



- Je n'ai pas d'autres patients avant cet après-midi mais j'aimerais quand même avoir le temps de manger ce midi.
- Vous êtes raisonnable.
Je retirai mon tee-shirt.
- Désolé, je n'ai pas les seins adaptés aux fantasmes de la plupart des mecs.



- Je n'ai pas vraiment d'apriori là-dessus et je vous trouve absolument ravissante.
Il retira en un seul mouvement son pantalon et son caleçon. Son sexe en érection exprimait tout aussi bien ce qu'il venait de dire.
Je m'approchai de lui.



Il m'attrapa aux hanches et me fit basculer contre la table de consultation. Il se calla derrière moi, me souleva une cuisse pour bien ouvrir mon sexe et positionna son sexe contre le mien. Il me pénétra tout doucement. Sa queue était courte mais assez large et m'emplissait parfaitement. Sa pénétration était très agréable. Il alla rapidement au fond et je sentais ses couilles caresser le haut de ma cuisse droite.



Après cette entrée en matière un peu directe, il se retira et s'allongea sur la table, la queue dressée et luisante de mes sécrétions. Je vins m'empaler sur lui, accroupie sur les bords de la table. Je criais de plaisir en sentant sa bite s'enfoncer en moi. J'étais en train de chevaucher ce bel étalon quand la porte de son cabinet s'ouvrit. Sa secrétaire entra, sans s'offusquer de ce que nous faisions.



Elle me détailla et s'adressa au docteur comme si je n'étais pas là :
- Docteur, votre frère a appelé pour annuler votre match de tennis de demain matin.
- Aaaa, il fait... aaaa... chier, j'ai réservé le cours... aaaa... la troisième fois qu'il me fait le coup... aaaa... ce mois-ci.
- Voilà...
Elle s'apprêtait à repartir sans réponse de sa part mais le docteur lui demanda d'attendre, cherchant la réponse qu'il allait faire à sa secrétaire. Je ne m'en occupai pas et me mis en soixante-neuf sur le docteur. Sa bite était bonne.
- Mmmh, docteur, votre bite est délicieuse.
Je lançais un regard à la secrétaire :
- Vous y avez déjà goûté ?



Elle me regarda avec mépris :
- Mademoiselle, vous êtes là pour vous faire soigner, je suis là pour travailler. Chacune à sa place et je vous remercierais d'éviter ce genre de commentaire déplacer. Le docteur n'a de compte à rendre à personne, mais je ne tolère pas de subir les réflexions déplacées de la clientèle.
Le docteur profita de ce répit que je lui donnais pour formuler sa réponse :
- Catherine, dites à mon frère que c'est la dernière fois qu'il me fait ce coup-là !
- Et j'annule la réservation du cours ?
- Non... je vais essayer de trouver quelqu'un pour jouer. J'ai besoin de me défouler.
- Vous semblez déjà le faire...
- Merci Catherine.
Elle quitta enfin la pièce. Le docteur se releva, me mit à quatre pattes sur la tables, et vint se placer debout devant, la bite à hauteur du visage. Le message était clair. Je le pris en bouche et le suçai.



Je le pompai énergiquement jusqu'à ce que je sente qu'il soit mûr. Je me basculai alors sur la table de consultation et l'attirait pour qu'il vienne se placer au-dessus de moi. Je le branlai tranquillement alors que je sentais palpiter sous mes doigts son membre prêt à exploser.



Il éjacula en poussant un râle libérateur, comme si cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait pas joui. Recevoir tout son sperme au visage déclencha mon propre orgasme et je ne me privai pas de l'exprimer malgré la présence de la secrétaire dans le bureau juste à côté.



Quand nous fûmes remis de nos orgasmes respectifs, nous nous rhabillâmes et on reprit la conversation là où on l'avait laissée. Selon lui, la solution était là. Pour éviter de faire n'importe quoi avec n'importe qui, il m'est peut-être nécessaire de me soulager tant que je contrôle la situation plutôt que d'attendre et que mon désir devienne incontrôlable. J'étais assez d'accord et je ne voyais de toute façon pas d'autre possibilité...
Il m'indiqua de régler ses honoraires auprès de sa secrétaire et alors qu'il allait me saluer, me demanda :
- Vous jouez au tennis ?
- Non, j'y ai joué étant gamine, mais il y a très longtemps...
- Vous voudriez faire un tennis avec moi demain matin ? Je vous donnerais quelques trucs pour vous remettre en jambe.
- ... D'accord !

Dimanche matin, j'étais donc en jupette avec une raquette à taper dans une balle, face à Fabrice, mon beau docteur. J'aurais dû préparer mon exposer de lundi mais la perspective de l'issue du cours de tennis me stimulait davantage.



Forcément cela faisait plus de quinze ans que je n'en avais pas fait et j'avais beaucoup perdu. Cela amusait Fabrice et semblait aussi prendre un malin plaisir à me faire des balles hautes et à me voir sauter pour attraper les balles, faisant ainsi voler ma jupette et le laissant apercevoir mon minou et mes fesses libres de toute culotte. Même mes coups droits terminaient dans le filet. Aussi finit-il par venir me rejoindre afin de me montrer le bon geste.



Alors qu'il était collé derrière moi, je me rendis compte qu'il bandait très dur contre mes fesses.
- Eh docteur ! Ne pensez-vous pas que je devrais saisir cet autre manche ?
Il avait bien compris de quoi je parlais et revint devant moi pour m'embrasser. Il en profita pour soulever mon tee-shirt et me caresser les seins.



Ses caresses étaient délicieuses et je laissai ma main partir explorer ce qu'il se passait de ce short incroyablement déformé. Je fus surprise de découvrir qu'il ne portait rien sous son short et cela me plut beaucoup. Je baissai son short et libérai son sexe imposant. Je me mis à le branler pendant qu'il me pelotait.



En m'agenouillant pour le sucer, je me rendis compte que deux gars arrivaient pour jouer sur le cours à côté du nôtre. Fabrice ne les avait manifestement pas vu, trop occuper à goûter son plaisir. J'entrepris ma fellation consciencieusement, sans tenir compte d'eux. Ils nous avaient bien sûr aperçus et s'approchèrent du grillage. Je continuais à sucer Fabrice, leur lançant quelques regards pour bien montrer que je les avais vus.



Les deux gars ne disaient rien et observaient. Fabrice me fit relever pour me retirer mon tee-shirt. Je me remis aussitôt accroupie pour reprendre son sexe en bouche. Fabrice ne semblait pas du tout avoir remarqué nos deux voyeurs discrets.



Je lui proposai de s'allonger, ce qu'il accepta. Je m'installais à côté de lui et repris son sexe en le suçant comme s'il s'agissait d'un sucre d'orge géant. D'où il était, il avança sa main et me caressa la moule. Un de ses doigts s'inséra entre mes lèvres humides et commença à me branler délicieusement. A chaque fois qu'il ressortait, il faisait un petit détour par le clitoris avant de replonger dans ma fontaine.



J'étais passablement excitée et je le pompais de plus belle. A sentir son doigt de moins en moins aventureux, je me dis qu'il allais bientôt jouir. Aux palpitations de son sexe entre mes lèvres, je sus que c'était imminent.



Je le laissai se redresser et je me mis à genou devant lui pour le masturber. Il ne tarda pas : je reçus son sperme sur le menton et dans le cou, plusieurs jets assez liquides que je sentais couler jusque sur mes seins et sur mon ventre. Mon orgasme monta rapidement, intense, violent. Secouée de soubresauts, je vis dans une demi-conscience que nos deux voyeurs se masturbaient à travers leur short. Une fois remise, je nettoyai le sexe de Fabrice par de petits coups de langue en jetant un regard amusé aux deux garçons derrière le grillage.



Mon beau docteur n'avait toujours pas repéré les deux voyeurs mais se rendit compte de leur présence quand ils lâchèrent presque simultanément des râles de plaisir alors que l'on pouvait voir leur short se tâcher par de larges auréoles. Au sourire que je lui lançais, Fabrice comprit que je m'étais rendue-compte de leur présence depuis un bon moment. Fabrice sortit une serviette de son sac et m'essuya tendrement. Les deux gars sortaient aussi leur serviette et retirèrent rapidement leur short, s'essuyèrent à la va-vite et renfilèrent un pantalon de jogging. Fabrice alla les trouver :
- Messieurs, est-ce que je peux vous offrir un verre ?
- Volontiers, mais je pense qu'on va prendre une douche avant, si ça ne vous dérange pas...
- Au contraire, je pense que Sylvie sera ravie de pouvoir en prendre une également.
Je lui fis un grand sourire qui sembla le ravir.
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15. Le club de tennis

Fabrice et moi marchions devant, suivi de près par les deux mecs qui nous avaient matés sur le cours de tennis pendant que je suçais Fabrice. Comme nous allions vers les douches du club de tennis, Fabrice me lança un sourire coquin.
- Quoi ? lui demandais-je.
- Tu vas voir... J'ai cru voir tout à l'heure qu'une partie des douches étaient actuellement en réfection... Ils demandent donc d'alterner par demi-heure entre homme et femme, car c'est une douche commune.
- Je vois pourquoi cette idée te plaît...
- Tu ne vas pas vouloir attendre une demi-heure, j'imagine ?
- Tu imagines très bien...

Il fallait passer devant l'accueil pour accéder aux douches. Là un homme nous arrêta :
- Excusez-moi, la moitié des douches est en rénovation, il a donc été instauré un tour d'alternance entre hommes et femmes. Je vous demanderais donc messieurs de bien vouloir patienter le temps que la jeune femme ai terminé.
- C'est-à-dire que je lui ai expliqué, et ça ne la dérange pas si nous y allons ensemble...
- Ah ?... Bien... mais ces deux messieurs vont devoir attendre dans ce cas.
Je répondis moi-même...
- Non, ils peuvent venir aussi, ça ne me dérange pas...
- Mais peut-être que ça les dérange eux ?
Les deux gars lui lancèrent un sourire ravi qui en disait long. Ils passèrent à côté de lui et l'un d'eux lui dit tout bas (mais je pus quand même entendre) "T'es puceau, toi, ou t'es complètement débile ?"

Nous entrâmes donc tous dans ces douches communes et n'y avait que nous. Avant même que les gars n'ai refermé la porte, j'avais déjà retiré ma jupe et l'avais envoyée sur le banc. J'entendis un des gars demander à Fabrice :
- C'est votre femme ?
- Même pas ! Je la connais depuis hier et on est juste venu faire un tennis...
- Vous avez bien fait... dit-il en m'admirant retirer mon tee-shirt.



- Je suis son médecin et cette fille a besoin de beaucoup de sexe...
- Quoi ?
Il n'en croyait pas ses oreilles. Je lui confirmai :
- Je suis un peu nymphomane et comme il m'arrive de faire des conneries à cause de ça, Fabrice m'a conseillé de satisfaire mon appétit sexuel dès que c'était possible et de profiter que je me contrôlais encore. Car quand je suis en état de manque je suis prête à faire n'importe quoi avec n'importe qui...



Les deux garçons restèrent béats et ne dirent rien pendant presque une minute. Puis l'un d'eux bafouilla :
- Alors là vous êtes en manque ?
- Bien sûr que non, mais j'ai pleine confiance en vous, messieurs.
Alors que je me penchais en avant pour attraper mon gel-douche par terre, Fabrice m'arrêta :
- Stop ! Ne bouge plus !



Je gardai donc la pause, sachant qu'il admirait ainsi le somptueux spectacle de mes fesses et de mon sexe nus. Fabrice s'approcha et me passa un doigt sur les lèvres de ma chatte. Cette petite caresse me surprit et m'arracha un petit feulement. Fabrice, encouragé par ma réaction m'enfonça un doigt dans la moule.



Je crus que j'allais le laisser faire jusqu'à l'orgasme mais, penchée ainsi, je ne pouvais pas vraiment garder la pose éternellement. Aussi je le redressai, l'obligeant à abandonner la gentille masturbation qu'il voulait me prodiguer. En plus je ne voulais pas qu'il soit le seul à en profiter. Je filai sous la douche et ne manquai pas de prendre des poses aguichantes pour exciter mes trois amants.



Je fis couler l'eau tiède. C'était absolument divin de la sentir couler sur mon corps. J'entendais que les trois mecs étaient en train de se déshabiller. Je leur présentais mes fesses puisque c'est, il me semble, mon meilleur atout.



Quand je les entendis s'approcher, je me mis de profil pour les accueillir. Ils avaient tous les trois de belles queues déjà bien droites et raides. Je savais que je n'allais pas m'ennuyer.



Ils vinrent se coller à moi et me caressèrent. Six mains rien que pour moi ! Six mains qui se disputaient toutes les parties de mon corps, des cuisses aux épaules avec quelques intérêts nettement marqués pour mes fesses, mon entrejambe et ma poitrine pourtant plate. De mon côté j'attrapais leur queue à tour de rôle et je les masturbais tranquillement. Je ne voulais pas succomber ainsi (car j'aurais pu si je les avais laissés faire). Aussi je m'accroupis entre eux et me mis à les sucer chacun leur tour. J'entendais Fabrice expliquer aux deux petits nouveaux :
- Elle adore les éjaculations faciales ! Elle peut avoir un orgasme rien qu'à recevoir du sperme au visage...
Les gars ne firent pas de commentaires mais semblaient être assez d'accord avec le programme qui leur était proposé.
Et je continuais à les sucer sous la douche.



Tout le monde était excité au plus haut point et mes trois bites ne furent pas longues à succomber. L'un des deux gars fut le premier à m'inonder le visage de son jus. Je sentis que l'orgasme montait quand Fabrice éjacula à son tour alors que l'autre n'avait pas fini. Je criais de bonheur, sentant les jets de sperme venir s'écraser à divers endroits de mon visage. Le troisième commença à jouir quand j'étais en train de sentir que l'orgasme retombait. Cela eut pour effet de le relancer encore plus violement. Je dus m'appuyer au sol pour ne pas tomber, le corps frappé de soubresauts par un orgasme incroyable.



Quand tout retomba, je me relevai pour me remettre sous le jet de la douche et me nettoyer de tout le sperme qui me couvrait le visage. Il y en avait une telle épaisseur que je dus presque frotter pour le faire partir.



Une fois bien nettoyée, je sortis attraper ma serviette pour me sécher. Les gars, qui avaient fini de se doucher et étaient déjà en train de se rhabiller, rigolaient en me regardant. Fabrice m'expliqua :
- Ta serviette est trop courte, on voit ta chatte...
- Et alors ?
- Alors, tu viens de l'essuyer mais elle est redevenue luisante de mouille aussitôt...
- Ah...
Je ne savais pas que répondre. Fabrice me demanda :
- Tu es toujours excitée ? Malgré ce qu'on vient de faire ?
- Il faut croire.



Je me rhabillai à mon tour enfilant une petite robe à bretelle assez décolletée. Comme nous l'avions prévu, nous sommes allés au bar prendre un verre. En tant que nouvelle, les hommes me désignèrent volontaire pour aller passer la commande au bar. Le barman était un jeune homme très mignon et très doux. Le service étant au bar, je devais ramener moi-même la commande à ma table. Mais, accoudée au bar avec mon profond décolleté, j'offrais au barman le profil d'un sein qui, je l'espérais, allait le convaincre de m'aider.



Mais, tout en admirant le profil de mon sein nu, il me répondit:
- Désolé, mademoiselle, je l'aurais volontiers fait, mais comme je suis seul pour m'occuper de la salle, je dois rester autant que possible derrière ce bar.
- Aller, et je vous offre un verre...
- Croyez bien qu'ici je peut m'offrir tous les verres que je veux.
-Mais ma compagnie vous serait sûrement plus agréable que celle de votre caisse enregistreuse...
Ce disant, je me tortillais et avais réussi à faire glisser les bretelles de ma robe de mes épaules, élargissant mon décolleté et dégageant la vue sur mes seins.



Mais cela ne semblait pas encore le convaincre même si je le sentais de plus en plus troublé. Je me redressai un peu, laissant mon sein droit s'échapper du décolleté, le téton, raidi par l'excitation. Je tentai un dernier assaut :
- Allons, ne vous faites pas prier, il n'y a personne d'autres que nous !
- Je ne sais pas...
- Allez, venez vous joindre à nous, ça vous fera une petite pause...
- Bon, ok, mais pas longtemps.



Il attrapa le plateau et me suivit jusqu'à la table où je me chargeai des présentations. Le barman s'assit entre Fabrice et moi. On parla du club, de sa fréquentation,, du type de clientèle (et on me reprit en m'expliquant qu'on ne disait pas "clientèle" mais "membres" et "invités"). Tout en discutant je m'étais décalée de la table et penchée en avant pour remettre correctement la boucle de ma chaussure. J'offrais ainsi aux trois hommes une sympathique vue dans mon décolleté.



- N'est-elle pas charmante ? demanda Fabrice.
- Effectivement ! répondit le barman.
Je pris mon temps mais mes cheveux leur dissimulaient une bonne partie du spectacle.



En me voyant sourire, le barman ajouta :
- Et elle a une bouche superbe !
Un des deux autres gars renchérit :
- Et elle sait s'en servir cette coquine !
- Vous l'avez tous embrassée ? demanda le barman interloqué.
- Pas exactement... Disons qu'elle vient juste de nous sucer tous les trois sous la douche...
Le barman resta autant étonné par ce que venait de dire le gars que par le fait que je réponde à cela par un grand sourire. En me redressant, les bretelles de ma robe avaient glissé encore et mes seins apparaissaient, nus.



Fabrice, gardant davantage son sang-froid que les autres, intervint :
- Sylvie, tu gènes notre invité... regarde comme il bande.
Effectivement, le jeune homme avait une belle bosse qui lui déformait son pantalon. Machinalement, je passais la main dessus pour me rendre compte à quel point elle était grosse et raide. Ne le voyant pas protester à cette caresse, j'entrepris de le libérer pour le soulager.



Je le suçais tant et si bien qu'il fut au bord de l'éjaculation en quelques minutes. Quand je le sentis prêt à venir, je m'agenouillai
à côté de lui pour recevoir son jus. Il s'était un peu redressé, mais restait assis, si bien que la scène restait quand même assez discrète si quelqu'un pénétrait dans la salle à ce moment-là.



Il jouit discrètement, lâchant seulement un gros soupir au moment où son sperme fut projeté à mon visage. Il n'éjacula pas longtemps mais m'offrit une quantité de sperme plus qu'honorable qui me valut un petit orgasme. J'étais ravie.



Après cela, Fabrice me nettoya le visage avec un kleenex. Nous terminâmes nos consommations et Fabrice me raccompagna chez moi. Je ne suis pour le moment pas retourné le consulter, mais je sais que si j'y vais, je serais bien accueillie.
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16. Sylvie et Axel sortent dans un bar

Le samedi qui suivit ma consultation, Axel me proposa de rencontrer des amis à lui que je n'avais pas encore vus.
- Comment se fait-il que tu ne m'aies jamais parlé de ces amis-là ?
- Ce sont des gars avec lesquels je vais boire des coups de temps à autre dans un bar peu fréquentable.
- Peu fréquentable ?
- Oui, il n'attire pas forcément : on y va surtout pour se payer une cuite.
- Rien de bien original...
- Oui mais, tu vois, ça fait un peu "club privé" car, à ma connaissance, les filles n'y viennent pas. Les seules nanas que j'ai pu voir là-bas étaient des filles qui n'avaient pas peur de se faire draguer, voire de se faire violer.
- Charmant ! Et tu veux m'amener là-bas ?
- Oui mais je serais là pour éviter tout geste déplacé : ce sont mes amis quand même !
J'avais un peu de mal à comprendre ce qu'Axel attendait de cette soirée avec des gens bizarre, mais je me dis que jusqu'à présent il ne m'avait jamais emmenée dans un plan foireux. Là où je commençai à avoir des soupçons sur ses intentions fut quand il me demanda d'enfiler ma petite robe noire sans rien mettre dessous.
- Axel, cette robe est très légèrement transparente. Si je ne mets rien dessous, tes amis risquent de se faire des idées sur mes intentions...
- C'est effectivement l'idée.
- Tu veux donc que j'excite tes potes ?
- Tu penses ne pas en être capable ?
J'avais déjà une vague idée de la manière dont allait se terminer cette soirée.

J'obtempérai : je mis la petite robe noire sans rien dessous. Une fois dans la voiture, avant de démarrer, Axel me demanda :
- Alors ? Pas de dessous ?
- Vu l'épaisseur du tissu, je pense que tu le vois, non ?
- Juste pour être sûr.
Pourquoi est-ce que je me pliais sans discuter à tous ces jeux pervers ? Toujours est-il que je remontais le bas de ma robe pour lui dévoiler mon sexe nu.



Il avança la main et me caressa. Je vis son pantalon se déformer par une bosse. Je la massai : elle était bien dure. Il me sourit en disant :
- Tu sais, on n'est pas pressé...
Le message était clair. Je libérai donc son érection et pris entre mes lèvres la tige déjà bien raide pour la sucer.



Soudain, Axel me fit me redresser en disant:
- Merde ! Arrête, il y a un type qui arrive.
Nous étions dans le parking souterrain et notre voisin venait chercher sa voiture garée juste à notre gauche. Pourquoi mon colocataire pervers faisait-il tant d'histoire pour qu'un voisin ne me voit pas lui tailler une pipe ? Cela n'allait pas m'arrêter. Je replongeai sur sa queue avant qu'il n'ait le temps de la remballer. Face à ma détermination, son étrange pudeur ne fit pas le poids et il se laissa faire. Notre voisin arriva, s'arrêta, nous regarda. Tout comme nous, il semblait avoir tout son temps et s'appuya donc à sa voiture pour profiter du spectacle.



Cette situation fit qu'Axel ne put se retenir bien longtemps et, après quelques minutes, je le sentis au bord de l'éjaculation. Je sortis donc sa bite de ma bouche pour le masturber vigoureusement. Il explosa en de longs jets qui montèrent à la verticale et m'atteignirent au menton et dans les cheveux. Pas forcément très à l'aise dans cette position, cela m'avait passablement excité mais l'éjaculation d'Axel ne m'avait déclenché aucun orgasme.



Je le nettoyai ensuite en lui léchant le sperme. Quand je relevai la tête, le voisin était déjà dans sa voiture et s'en allait. Axel démarra aussi et nous partîmes pour son mystérieux bar (qui n'était donc pas en centre ville puisqu'on y allait en voiture. Le bar se trouvait en banlieue proche dans un quartier plutôt sordide. Il y avait quelques types qui traînaient, pas de femme, d'enfants, pas de familles... Axel me désigna le bar qui se trouvait au fond d'une petite esplanade qui nécessitait de gravir quelques marches. Derrière moi, Axel m'interpela :
- Sylvie ! Je crois que ta boucle de chaussure est défaite...



Effectivement, j'avais mal attaché la boucle de ma chaussure droite. Aussi je m'assis dans les marches pour la rattacher. Axel souriait bêtement : dans cette position, les gens qui passaient pouvaient voir très distinctement que je ne portais pas de culotte ni de soutien-gorge.



Par jeu, en me relevant, je fis glisser de mon épaule une bretelle de la robe. Le décolleté s'en trouva élargi et un sein avec son téton s'échappa. Bien sûr vu ma poitrine pour le moins discrète (je n'ai pas de seins), cela ne fut pas visible depuis l'autre bout de la rue, mais je vis que cette petite initiative réveilla la bête qui sommeillait derrière la braguette du pantalon d'Axel.



En me relevant, je remis ma bretelle convenablement, mais, trop concentrée sur la bosse qui se formait dans le pantalon d'Axel, je glissai et me retrouvai à quatre pattes sur les marches. Avant que je ne me fus relevée, Axel me rejoignit et, en passant à côté de moi, il attrapa le bas de la robe et la retroussa sur mes hanches, dévoilant de manière tout à fait impudique mon cul et mon sexe nu.



Je me redressai aussitôt pour me rajuster. Plusieurs types avaient bien profité du spectacle (il faut dire que les nanas semblant plutôt rares dans le quartier, ma simple présence avait attiré l'attention). Je rejoignis Axel et nous entrâmes dans ce fameux bar. Beaucoup de fumées de cigarettes, une lumière uniquement artificielle (même s'il y avait du soleil dehors) et une musique assez forte. Axel fut accueilli par quelques "Hey !". Le bar ne comptait que quelques clients, des habitués semblait-il, exclusivement masculins. Axel me présenta à quelques uns. Ils n'étaient pas très bavards et semblaient impressionnés par ma présence (et peut-être aussi un peu par ma robe transparente). Axel me présenta à un certain "Alain-16-23". Intriguée par cette sorte de pseudonyme en guise de nom, je me risquais à une question :
- 16-23 ? Pourquoi vous utilisez ce nom ??
Le gars avait l'air réjoui que je lui pose la question. Avec un grand sourire, il répondit :
- Parce que c'est ce qui me caractérise : "16", c'est la longueur de ma verge au repos...
Il n'avait pas besoin d'en dire plus, je devinai parfaitement ce qu'il en était du "23". Il aurait fallu que je me montre outrée ou choquée par des propos aussi crus tenus devant une jeune femme. Mais au lieu de ça, je pense que mon visage reflétait le fait que j'étais impressionnée. Curieuse, je lui demandai s'il était possible de voir de mes propres yeux cette légende. Pas démonté, le gars répondit :
- Ok, mais tu me montre tes seins, après. Comme ça, tu auras la possibilité de voir les deux états.
- Ok.
L'accord était passé en présence de témoins. Le gars ouvrit les boutons de son jeans et, tirant son caleçon vers le bas, en sortit un truc imposant. Je ne suis pas sûre d'avoir jamais vu de ma vie une bite aussi impressionnante. Les dimensions annoncées avaient l'air vrai. Et sa bite n'était qu'au repos ! Je sentis la présence d'Axel derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes hanches et remontèrent doucement en emportant la robe. Je ne protestais pas, même si, pour le coup, Axel ne se contentait pas d'exhiber mes seins mais aussi mon sexe...



Mais j'avais mon attention portée ailleurs, car le gars devant moi ne m'avait pas menti : au fur et à mesure qu'Axel remontait ma robe, le sexe du type se gonflait et se dressait, comme si ma robe et sa bite étaient reliés par un fil invisible. Axel me retira complètement la robe et s'éclipsa. Plusieurs types s'approchèrent de moi et commencèrent à me tripoter. Même si ces gars n'étaient pas très délicats, toutes ces mains qui parcouraient mon corps commencèrent à me faire de l'effet.



Mais je n'avais pas vraiment envie que l'orgie commence comme ça. Je cherchai Axel du regard. Il était au bar, accoudé au comptoir, tenant ma robe. Je le rejoignis et lui mis une main à l'entrejambe pour constater qu'il bandait déjà bien. Je le libérai et sortis son sexe qui me parut bien modeste, en comparaison du monstre que j'avais eu sous les yeux quelques minutes auparavant.



Les autres types ne restèrent pas à regarder. Ils se débarrassèrent tous de leurs vêtements et s'approchèrent de moi en se masturbant. Toutes ces queues pour moi ! Cela me tourna un peu la tête. Sans réfléchir, je me mis accroupie et attrapai ce que je pouvais, les suçant à tour de rôle et masturbant les autres.



Je fus interrompue par Axel qui m'appelait : il était assis dans un canapé au fond du bar, la queue bien dressée. Je lui devais bien ça. Je laissai les autres pour le rejoindre et je m'enfilai sa queue en lui tournant le dos. Les autres restèrent quelques secondes à me regarder m'installer et ils se décidèrent à s'approcher alors que j'entamais des mouvements du bassin sur la bite de mon colocataire.



Tous se masturbaient. Deux approchèrent de chaque côté de moi pour que je les suce. J'attrapai la bite de celui à ma droite (plus mignon et plus jeune que celui à ma gauche) et commençai à lui faire une fellation aussi appliquée que les assauts d'Axel me le permettaient.



Axel me souleva par les hanches et me fit glisser sur un type à côté de lui, m'obligeant à abandonner mes fellations. Le type en question m'attrapa par les fesses et c'est quand il me positionna l'anus sur son gland que je pris conscience qu'il s'agissait d'Alain-16-23. Il écartait mes fesses pour aider à l'insertion. Il était large mais il n'eut finalement pas à appuyer beaucoup pour je me glisse sur cette hampe qu'il avait manifestement pris soin de bien lubrifier auparavant (et heureusement pour moi !). Il me fit descendre petit à petit sur sa gigantesque queue qui m'emplissait totalement. Une fois en place, il me fit monter et descendre lentement. Puis il accentua le rythme et accompagna mes descentes de coups de reins pour aller le plus loin possible. Un peu douloureuse au début, la sensation devint rapidement formidable. J'empoignai fermement la bite de chacun des deux gars qui m'entouraient, sans les sucer, car il m'était difficile de garder une certaine stabilité vu les coups de reins que donnait Alain pour me sodomiser.



Voyant qu'il m'était techniquement trop difficile de me pencher pour leur offrir ma bouche, ils se rapprochèrent pour me coller leur bite directement dans la bouche, en essayant de suivre la cadence de mes mouvements. J'alternais à droite et à gauche, sans trop pouvoir m'appliquer sur ma fellation. Cela semblait pourtant leur convenir et un troisième gars s'approcha en se disant qu'il attendait son tour depuis déjà suffisamment longtemps.



Les deux autres ne bougèrent pourtant pas et le nouvel arrivant dû se contenter de continuer à se masturber sans espoir de se faire sucer pour le moment. Axel, plus malin, se dit qu'une place était libre : ma moule qu'il avait libérée pour me faire glisser sur Alain. Aussi Axel n'eut aucune peine à se frayer un chemin entre les jambes d'Alain et les miennes, et il m'introduisit sa queue d'un coup de reins sec mais assuré.



Sentir tous mes orifices amplis par ces bites magnifiques me fit jouir formidablement. Mes spasmes déclenchèrent également l'orgasme d'Alain que je sentis gicler au plus profond de moi. Je sentais mon cul se remplir de foutre comme il ne l'avait jamais été avant ça. Les gars (très nombreux) qui se branlaient encore autour ont pris peur en se disant que c'était fini et qu'ils n'auraient pas l'occasion de profiter de moi. Aussi s'approchèrent-ils pendant qu'Alain me laissait et qu'Axel m'aidait à m'allonger sur le canapé. Il fut le premier à ouvrir la danse : il se masturba au-dessus de moi et éjacula rapidement, m'envoyant son foutre dans le cou. D'autres l'imitèrent rapidement.



Malgré mon précédent orgasme dont je ne m'étais pas encore tout à fait remise, recevoir tout ce sperme sur moi, toutes ces bites qui venaient cracher leur semence, déclencha un nouvelle orgasme. Nous jouissions donc tous plus ou moins en même temps, les hommes me couvrant peu à peu de leur sperme, comme l'ultime remerciement de ma présence et du don que je leur avais fait de mon corps.



Jamais auparavant je n'avais connu un tel orgasme, aussi puissant, aussi intense, aussi long. J'étais épuisée, mais dans un état de plénitude que je n'avais jamais atteint. Je ne me posais pas de question sur la situation pourtant bizarre, sur le fait de m'être livrée en pâture ainsi à une multitude de mecs sans même savoir leur nom, pour le simple plaisir du sexe, le simple plaisir de prendre du plaisir et de donner du plaisir.



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17. Sylvie et Axel partent en vacances

Histoire de décompresser et de tester un peu notre arrangement Axel et moi, nous avions décidé de partir en vacances ensemble. Nous avions loué un petit bungalow dans un camping avec piscine. Avant même que nous soyons arrivé, dans la voiture, Axel m'exposa les fantasmes qu'il avait me concernant pour ces vacances : il voulait que j'allume le maximum de mecs et donc que je m'habille en conséquence (sachant qu'étant avec moi, Axel serait sans doute celui qui serait le plus souvent "allumé")... j'avais bien sûr moi aussi envisagé ce genre de projet quand Axel, lorsque nous préparions nos bagages, avait glissé dans ma valise tout un tas de fringues très sexy. Une fois les clés récupérées à l'accueil, Axel commença par amener ma valise dans la chambre et me demanda de me préparer pendant qu'il terminait de vider le coffre de la voiture. Alors que j'allais enfiler une petite robe un peu transparente, il vint déposer sa valise dans la chambre et me dit :
- Hey, nickel cette robe, mais par contre vire la culotte, ça ne le fera pas sinon.
Pas trop étonnée de sa remarque et pas mécontente non plus (c'est les vacances, quand même), je ne passais donc que la petite robe.



Je ressortis pour aller chercher mes lunettes de soleil laissées dans la voiture. Le bungalow face au notre était occupé par un homme seul et celui-ci lisait son journal sur la terrasse à côté de la nôtre. Il abandonna la lecture en me voyant passer. Après avoir récupéré mes lunettes, je m'apprêtais à rentrer quand Axel me siffla :
- Tiens, je t'envoie les clefs, si tu veux bien fermer la voiture !
Il me lança son petit trousseau mais celui-ci tomba dans le sable. Je me penchai pour le ramasser et, me rendant compte que j'offrais ainsi une vue imprenable sur mon décolleté à notre nouveau voisin, je pris un temps infini pour me redresser.



Il avait mordu : le journal était tombé sur ses genoux et il n'avait d'yeux que pour moi. Ces vacances s'annonçaient bien et j'allais manifestement pouvoir contenter Axel assez facilement. Sur le perron du bungalow, je remontai le bas ma robe pour lui dévoiler mes fesses nues pendant quelques secondes avant que la porte ne se referme.



Celui-ci était sans doute déjà mûr. L'après-midi, nous allâmes à la piscine du camping. Je mis un petit bikini sans oser faire du topless d'entrée de jeu. Il y avait encore peu de monde (juste trois garçons) mais il sembla que je ne passais pas inaperçu. Axel essaya de me dévergonder :
- Retire le haut, Sylvie, tu vois bien qu'ils attendent tous ça !
- Pfff, j'ai pas de seins, ça n'intéresse personne...
- Alors retire le bas et montre-leur ton cul.
- Crétin... Je vais plutôt prendre une douche, qu'en dis-tu ?
- Excellente idée !
Les douches se trouvaient le long de la piscine, sans porte, mais suffisamment fermées pour que seuls les usagers de la piscine puissent voir ce qu'il s'y passait.



Bien entendu, tous les mecs présents jetaient régulièrement des regards discrets à mon attention. Je tentais donc de prendre des poses sensuelles en me douchant, me tournant lentement pour offrir à chacun la possibilité d'apprécier le spectacle.



En me lavant, mes mains frottaient toutes les parties de mon corps. Je mis un peu trop de zèle pour la poitrine car mes petits seins se dégagèrent du maillot. Je fis mine de ne pas m'en rendre compte. Axel et les trois garçons, eux, s'en étaient rendu compte. Il n'était plus question de quelques regards discrets. Tous profitaient pleinement du spectacle.



Au point où on en était, je me dis que mon string devenait superflu. Mes mains accrochèrent les côtés et commencèrent à descendre. Le monde pouvait s'écrouler derrière la piscine, les trois garçons ne m'auraient sans doute pas lâchée des yeux.



Je continuais à baisser mon string en me tournant et en me cambrant pour leur offrir le meilleur de moi-même. Axel avait un sourire jusqu'aux oreilles et le caleçon de bain outrageusement déformé. Les trois garçons étaient eux aussi dans un état d'érection très avancé.



Axel n'y tint pas et vint me rejoindre. Aussitôt, sans aucune pudeur, je me mis à genoux devant lui, sans équivoque. Je sortis son érection de son maillot pour le masturber. Les garçons ne réagirent pas (ou du moins ne s'offusquèrent pas). Un homme seul arriva à la piscine. C'était le voisin. Il ne s'offusqua pas non plus; Il vint installer sa serviette sur la chaise longue la plus proche des douches. Il s'installa comme s'il était au cinéma.



Alors que je masturbais Axel, je lui lançai un sourire qu'il me rendit. Axel me chuchota :
- Il bande drôlement.
C'est vrai que notre voisin avait l'air d'être rudement bien équipé et il semblait que je lui plaisais. Je pris le sexe d'Axel en bouche et me mis à le sucer.



Axel me repoussa. Voyant mon regard interrogateur, il me fit un sourire qui me rassura : il retira son caleçon pour être plus à son aise et s'allongea, la bite dressée vers le ciel, comme le mât d'un bateau. Je ne pus pas résister : je m'agenouillai à côté de lui et le repris en bouche pour le déguster pleinement.



Dès qu'Axel fut bandé à fond, je me redressai pour m'empaler sur sa tige palpitante, pour son plus grand plaisir. C'était la première fois que je baisais en public et surtout devant des inconnus. J'aurais cru que cela me rebuterait mais j'étais finalement particulièrement excitée par la situation et je pus donc me laisser aller à monter et descendre sur la tige d'Axel.



Les quatre garçons nous regardaient faire comme s'ils étaient à admirer un spectacle de danse. Les bosses formées dans leur maillot ne laissaient aucun doute sur leur état. Axel et moi ne craignions donc pas de protestations de leur part. Axel me souleva et me fit basculer de côté pour continuer à me prendre, tout en me levant une jambe bien haut. Ainsi il allait très loin en moi et cette pénétration était particulièrement intense.



Axel était très en forme et insatiable, il me demanda de me mettre à quatre pattes pour changer à nouveau de position. Je crus qu'il voulait investir mon cul, mais il s'introduisit à nouveau dans ma chatte. La levrette n'est pas forcément la position que j'affectionne le plus, mais je dois avouer que là je prenais quand même mon pied.



Axel se redressa derrière moi pour me pilonner encore plus loin. C'était délicieux et je devais me retenir pour ne pas jouir illico. Côté spectateur, notre voisin avait passé une main dans son caleçon et se masturbait sans essayer de se cacher. Deux jeunes femmes s'approchèrent de la piscine mais tournèrent les talons dès qu'elles virent ce qu'il s'y passait.



Quand Axel arrêta de me labourer, ce fut pour appuyer enfin son gland contre mon anus. J'étais si excitée qu'il n'eut que peu de difficulté à faire entrer sa bête. Il m'emplissait complètement et ce fut un vrai délice quand il se mit à bouger. Ses allées et venues me procuraient un plaisir intense qui m'obligeaient à me concentrer afin de ne pas succomber de suite à l'orgasme.



Alors qu'Axel me demandait de changer position, je voyais que le voisin avait carrément sorti sa queue pour se masturber en toute liberté. Son sexe était particulièrement imposant et cela me donna presque envie de laisser Axel pour aller le sucer. Deux autres gars avaient passé la main dans leur maillot. Le dernier se masturbait à travers son caleçon de bain. Axel s'assit sur la chaise longue et m'attrapa aux hanches pour m'empaler à nouveau le cul sur sa tige. Je ne pu m'empêcher de me caresser la moule alors qu'Axel me labourait frénétiquement le cul.



Au moment de jouir, il me souleva et se releva pour me présenter sa queue. Le premier jet ne se fit pas attendre et vint s'écraser sur le haut de ma lèvre. Je sentis l'orgasme monter. J'aperçus du coin de l'œil un des gars attraper un pan de sa serviette et se la fourrer dans le caleçon afin d'éponger son éjaculation imminente.



Allongée sur le dos, je reçus dans la bouche et sur le menton les autres jets de sperme d'Axel. Il éjaculait, le visage béat, le souffle court, mais sans crier, presque tranquillement. Moi, je ne pus résister et je me laissais envahir par l'orgasme qui commençait à monter. Mon corps fut pris de soubresauts, ma gorge exprima mon plaisir de manière retentissant, ma cyprine s'écoulait de ma chatte et je la sentais s'écouler contre mon anus.



Après m'être remise de mon orgasme, alors qu'Axel avait du s'asseoir pour se remettre aussi du sien, je me redressais, le visage couvert du sperme encore chaud de mon amant. Les trois gars étaient partis. Seul restait le voisin qui était en train de jouir.



Il éjacula un sperme épais qui s'écoula à gros bouillons le long de sa tige et sur ses doigts qui continuaient leur balai incessant. Si j'en avais eu la force, je me serais levée pour aller le sucer mais je tenais encore à peine sur mes jambes. Il s'essuya rapidement avec sa serviette et renfila son caleçon. Le temps qu'Axel et moi nous rhabillions, le voisin avait déjà filé... Mais il ne perdait rien pour attendre !

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18. Le voisin du camping


Le lendemain matin, je fus réveillée assez tôt par la chaleur. Axel dormait encore mais j'ai passé un petit débardeur et une jupette (sans rien dessous...) et je me suis installée en terrasse devant le bungalow. Assise, je devais tirer sur ma jupe pour que les quelques lève-tôt qui passaient ne profitent pas trop de la vue de mon minou sans culotte.



Quand Axel se réveilla et me rejoignit, c'est la première chose qu'il me demanda :
- Tu n'as rien en dessous ?
- D'après toi ?
- J'espère bien que non !
Le voisin vint s'installer en terrasse lui aussi et nous salua. Nous agissions, lui comme nous, comme s'il ne s'était rien passé la veille. Pourtant Axel avait manifestement encore plein d'idées en tête me concernant. Il me fit signe très explicitement d'écarter les cuisses. Je m'exécutai et gardai la pause. Le voisin avait encore le nez dans son journal et Axel dut l'interpeler pour qu'il daigne regarder dans notre direction :
- Vous êtes un lève-tôt vous aussi ?
Il resta bouche bée quelques instants avant de balbutier :
- La... La chaleur m'a réveillé... Trop chaud pour dormir...



Un petit vent frais se leva, délicieux. Je resserrai les cuisses pour mettre fin à cette situation gênante et Axel lui proposa de venir se joindre à nous un peu avant midi pour prendre l'apéritif et discuter un peu. Il accepta l'invitation tout en continuant à me détailler. Je me levai et annonçai que j'allais me recoucher.



Je m'allongeai nue sur le lit et, contre toute attente, je réussis à me rendormir. Vers 11h30, Axel me rejoignit. Je ne sais pas ce qu'il avait fait de sa matinée, mais il avait le short déformé par une fameuse érection et je le soupçonnais d'être allé jouer les voyeurs sur la plage. Il ouvrit le rideau et la fenêtre.
- Allez, debout ! la journée est déjà bien entamée. Il faut te préparer avant que notre voisin n'arrive.
En fait, la fenêtre de notre chambre donnait justement sur celle du voisin et il s'y trouvait justement, ne pouvant manquer le spectacle que lui proposait Axel.



Je fis mine de ne pas m'apercevoir de la présence de notre voisin voyeur et commençai à me toucher. Axel s'amusa de me voir faire er renchérit :
- Prends donc le god dans le tiroir !
Ni une ni deux, j'ouvris le tiroir et attrapai le god. Je me mis à quatre pattes sur le lit et, sans la moindre pudeur, je me mis le god dans le petit trou, tout en continuant à me caresser le clitoris avec mon autre main.



Je ne sais pas dans quel état pouvait être notre voisin, mais Axel ne tint pas longtemps. Il retira ses fringues et me rejoignit armé d'une belle bite bien bandée. Il repoussa le god. Je crus qu'il allait me sodomiser directement mais il se contenta de me prendre en levrette. En regardant vers la fenêtre, j'aperçus le voisin qui se masturbait. Lui même, se rendant compte que je l'avais vu, s'arrêta net et s'éloigna. Axel continua malgré tout à me faire l'amour.



Quand j'indiquai à Axel que notre spectateur s'était enfui, il m'abandonna, sans avoir joui, et alla tirer le rideau.
- Je crois qu'il est mûr. Je vais me préparer car je pense qu'il ne va pas tarder à arriver...
Effectivement, il frappa à la porte seulement quelques minutes après, alors qu'Axel finissait de se rhabiller et que je n'avais pas encore commencé, frustrée d'avoir été délaissée aussi soudainement.
Axel alla lui ouvrir et l'invita à s'installer :
- Sylvie se prépare et devrait arriver bientôt.
En fait, je décidai de ne pas me préparer et je déboulai entièrement nue dans le salon.
- Excusez-moi, je ne suis pas prête. Je prends une douche et je suis à vous.



Je laissai bien sûr volontairement la porte de la salle de bain entrouverte et notre voisin eu tout le loisir de m'observer pendant mes ablutions. Axel fit mine de ne pas remarquer l'érection galopante qui déformait le pantalon de notre inviter pendant qu'il m'observait par des regards en coin.



Ma douche fut rapide et j'hésitais à moitié à me sécher, me disant que la chaleur viendrait vite à bout des gouttes sur mon corps. Mais je me passai quand même un rapide coup de serviette avant d'enfiler une petite robe sans rien dessous.



Je mis mes chaussures et je rejoignis les deux hommes dans le salon (ou plutôt devrais-je dire, la petite pièce centrale du bungalow); Je m'installais à côté d'Axel, face à Edgar, notre voisin, en écartant les cuisses car j'avais trop chaud à garder les cuisses serrées.



- Excusez-nous pour tout à l'heure Edgar...
- Appelez-moi Ed, s'il vous plaît...
- Ed, excusez-nous : nous avions laissé la fenêtre ouverte pour aérer un peu tellement il fait chaud.
- Pas grave...
Axel ajouta :
- D'ailleurs, le salon est plein Sud, il fait une chaleur à crever ici, si on allait dans la chambre on serait plus au frais ?



Ed ne débandait pas. Il devait avoir une vague idée du terrain sur lequel il s'engageait et semblait ravi de la proposition d'Axel. Une fois dans la chambre, je me mis à l'aise en m'allongeant sur le lit.
- Sylvie ! Pas les chaussures sur le lit voyons !
- Vous me les enlevez, les gars ? Chacun son pied !
Tenant ainsi chacun un de mes talons, ils avaient tous les deux une vue impeccable sur ma moule, si proche.



Une fois les chaussures retirées, Axel souleva la robe et lui caressa la moule. Le coup d'envoi était donné. Je me laissai aller. Axel me dégagea un sein et l'embrassa avec tendresse. Il me suça ensuite le téton alors qu'Ed vint se mettre entre mes cuisses pour me faire minette.



Quand je décidai de mettre les garçons un peu plus à l'aise, je commençai par libérer Axel et me mis à quatre pattes pour le prendre dans ma bouche. Ed se dévêtit seul et vint se placer derrière moi avec le désir manifeste de ne pas rester simple spectateur. En venant s'installer, il masturbait son sexe imposant comme s'il voulait être aussi raide qu'un tronc. Je mouillais tellement que malgré la taille au-dessus de la moyenne, sa queue entra en moi d'une seule traite. Il m'emplissait bien, coulissant parfaitement, m'offrant une caresse intérieure formidable.



Mais sentir sa queue en moi n'était pas suffisant. Je n'avais pas encore eu l'opportunité de la tenir, de la prendre entre mes lèvres. Aussi je le fis s'allonger et je vins m'installer en soixante-neuf au-dessus de lui, pouvant ainsi le masturber et le sucer en toute tranquillité en alternant avec la bite d'Axel de temps en temps. Notre voisin n'était pas avare de caresses et de coups de langues et je crus qu'il allait réussir à me faire défaillir tant il se montrait fougueux avec mon anus, ma moule et mon clitoris.



Ne voulant pas qu'il me fasse jouir ainsi, je me redressai et je vins m'empaler sur sa grosse tige. Je ne sais pas si c'est le fait de l'avoir sucer ou si c'est la position, mais je le trouvais encore plus gros en moi et je trouvais cette pénétration particulièrement jouissive. Axel se mit debout sur le lit pour que, sa bite à hauteur de mon visage, je puisse le sucer.



Puis Axel me demanda de me retourner. Je me relevai donc pour m'empaler à nouveau sur la queue d'Edgar. Celui-ci sembla ravi que je ne lui tourne plus le dos et en profita pour me caresser la poitrine. La demande d'Axel n'était bien sûr pas innocente et je le sentis dans mon dos. Je me cambrai un peu pour lui faciliter l'accès à ma rondelle. Excitée comme j'étais, il n'eut aucun mal à me pénétrer tant mon cul était déjà prêt à l'accueillir.



C'était absolument délicieux de sentir ces deux queues coulisser en moi, presque l'une contre l'autre. Chacun devait aussi sentir la bite de l'autre glisser juste à côté, accentuant le plaisir de chacun et particulièrement le mien. Afin de mieux les sentir encore, je leur proposai de continuer à me prendre ainsi mais debout. En parfaite coordination, tous deux se relevèrent en m'emportant avec eux, leur bite toujours plantée en moi. Une fois debout, je les sentis aller encore plus profondément en moi et le plaisir fut encore plus intense. Je ne fus d'ailleurs pas longue à jouir. Mon orgasme monta rapidement, m'envahit totalement, impossible à réfréner.



Mes cris et les spasmes qui me secouaient jusqu'au plus profond de mes entrailles les excitèrent tant qu'ils furent eux aussi au bord de l'éjaculation. Alors que mon orgasme était toujours bien présents, ils se retirèrent tous les deux, me firent allonger et vinrent se branler au-dessus de moi.



Mon orgasme n'était pas retombé qu'ils se mirent à éjaculer sur moi. A tour de rôle, chacun lâchait un épais jet de sperme qui venait s'écraser sur mon visage. Mon orgasme passa à un stade encore plus intense et, dans un état de demi-conscience, alors que les garçons m'inondaient de leur sperme, l'ensemble de mon corps fut pris de convulsions frénétiques.



Quand je repris conscience, les garçons étaient assis au bord du lit à me regarder, un verre à la main, souriants.
- Tiens, ma belle ! me dit Axel en me tendant un verre.
J'avais toujours du sperme sur le visage et nous étions tous encore nus. Edgar avaient d'ailleurs encore un semblant d'érection alors qu'Axel ne bandait déjà plus. Après quelques échanges de regards amusés, nous partîmes dans un fou rire collectif qui nous tint bien deux minutes.

Et nous n'en étions qu'à notre deuxième jour de vacances...
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19. Une soirée au cinéma

Le troisième jour fut nettement plus calme. Mes quelques prestations exhibitionnistes ne nous apportèrent que peu de succès et au final, en fin d'après-midi, même Axel n'avait pas profité de moi. Si bien qu'il ne voulut pas rester sur cette mauvaise impression et pensa qu'il était possible d'assurer une bonne fin de soirée par un programme spécial. Sans rien me dire de la destination, il me fit mettre un petit top et une mini-jupe (avec un string, exceptionnellement). Il me fit monter dans la voiture et nous gagnâmes une grande agglomération qui se trouvait à environ une heure de route. Il se gara dans un quartier relativement sordide et me traina vers un petit cinéma dont la spécialité était mentionnée par de gros néons rouges : "Cinéma pour Adulte".
La petite salle était occupée par quelques hommes seuls éloignés les uns des autres nous nous installâmes au premier rang en plein milieu, devant deux autres types. Le film commençait tout juste. Il s'agissait d'un film de pirates avec des personnalités du porno. Axel m'avait déjà vanté les qualités de ce film qui représentait l'un des plus gros budgets du genre.



Le film peu un peu long à se lancer. Sous prétexte de richesses scénaristique il fallut attendre plusieurs minutes avant d'avoir la première scène de sexe. Mais j'étais si excitée par ma journée peu fructueuse et par l'attente que cette première scène déclencha aussitôt une fontaine entre mes cuisses. Mon string fut trempé avant la fin-même de la scène.



Axel n'avait pas encore sorti son engin. La bosse de son pantalon montrait pourtant qu'il bandait très dur. Il se contentait de se caresser à travers le tissu. Passant les deux mains sous ma jupe, j'attrapai donc les côté de mon string et, m'arquant sur mon fauteuil, je le fis glisser sur mes cuisses. Axel me fit un grand sourire en me voyant opérer.



Je posais le string sur le siège à ma droite et me réinstallais profondément dans mon siège, les cuisses écartées. Nous en arrivions enfin à la deuxième scène de sexe du film. Bien excitée, je pensais qu'Axel se jetterait sur moi, mais il continuait son petit manège sans me prêter grande attention. Je fus donc bien contrainte de me toucher moi-même. Mes doigts glissèrent sur ma fente comme si je venais de l'oindre avec de l'huile pour le corps.



Axel commença à trouver ma présence nettement plus intéressante et se pencha sur moi pour regarder mon doigt entrer et sortir d'entre les lèvres de ma chatte. Excitée par mon spectateur, je me mis à me masturber avec un deuxième doigt. Même si à l'écran une fille superbe suçait une bonne grosse queue, je ne prêtais plus vraiment attention au film et me concentrais sur mon plaisir.



Axel me glissa à l'oreille : "Tu peux faire mieux"...
Je lui lançai un petit regard en coin très coquin, la bouche entrouverte et ressortis mes deux doigts pour lui faire lécher. Il les suça longuement et finit par y ajouter mon annulaire avant de me prendre le poignet et de le rediriger entre mes cuisses. Je me masturbais rarement avec trois doigts, prenant davantage de plaisir avec deux, mais comme il semblait que cela excitait particulièrement Axel, je continuai à me masturber avec trois doigts.



Axel commençait à être chaud bouillant et il se pencha sur moi et me caressa fougueusement les seins à travers le débardeur. Sans se soucier des autres personnes présentes dans le cinéma, il le souleva et se mit à me sucer les tétons sans aucune discrétion.



Malgré le tissu de son pantalon, je sentais son sexe incroyablement dur contre ma cuisse. Il me fut impossible de résister davantage et je le repoussai pour venir m'installer à genou à côté de lui. J'ouvris son pantalon et son sexe s'en échappa tel un serpent sortant de son trou. Je le pris aussitôt en bouche.



La hampe de chair était tiède et je la sentais palpiter entre mes lèvres. Axel se détendit dans son siège et rejeta la tête en arrière pour profiter de la douce caresse que lui offrait ma bouche. Il se redressait de temps en temps pour me regarder.



Axel bandait de mieux en mieux et retenait de moins en moins ses râles de contentement. Un type entra et passa devant nous ne manquant pas de nous détailler alors que je suçais le gland d'Axel avec gourmandise.



Pas gêné, Axel se mit soudain debout et m'attira à lui pour que je continue ce que j'avais si bien commencé. Il n'était manifestement pas nécessaire de cacher aux autres ce que nous faisions... Nous étions dans un cinéma porno et personne ne verrait à redire si la réalité dans la salle prenait le pas sur la fiction à l'écran. Axel prit ma tête à deux mains et imprima le rythme de la fellation.



Je me mis à l'aise et retirai mon haut. Seins nus, exhibée à tous les regards, je savais que j'allais exciter Axel encore plus. En effet, régulièrement il regardait avec fierté les autres spectateurs qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Certains s'étaient approchés, d'autres s'étaient mis debout. La plupart se masturbait, certains ouvertement, la bite à l'air, d'autres la main s'agitant frénétiquement dans leur pantalon. Je sentis qu'Axel allait bientôt jouir. Je me mis assise sur le bord du siège afin de profiter au mieux de ce qui allait suivre et je le masturbai vigoureusement.



Il explosa rapidement et m'aspergea de son jus tiède dans la bouche et un peu autour. Un petit orgasme m'envahit dont je pus me remettre rapidement pour me concentrer sur le nettoyage en règle de sa queue encore gonflée d'envie.



Un type m'appela derrière. Je reconnu Edgar, notre voisin de bungalow, qui avait manifestement fait toute cette route, soit pour le cinéma porno, soit pour moi ! Il était vautré dans son fauteuil et, la bite sortie de son pantalon, il s'astiquait en me regardant. Je ne pus résister et, après avoir retirée ma jupe (le dernier vêtement qu'il me restait), je fis le tour pour le rejoindre. Aussitôt arrivée, je fus saisie par ses mains puissantes et il m'attira sur lui pour pouvoir me lécher les tétons. Voyant que je n'étais manifestement pas rassasiée, d'autres types s'approchèrent avec l'espoir que leur tour viendrait ensuite.



Je me mis accroupie entre les cuisses d'Edgar pour le masturber. Sa queue palpitait déjà entre mes doigts. De plus en plus de gars s'approchaient et certains avaient commencé à se débarrasser de leurs fringues. Pour ma part, j'étais captivée par la queue d'Edgar qui prenait des proportions très intéressantes sous l'action de mes caresses.



J'avais trop envie de le prendre en bouche et je me mis à quatre pattes sur le siège à côté pour mieux le prendre en bouche. Mais à peine avais-je entrepris ma fellation que je sentis qu'une bite commençait à investir mon sexe trempé d'excitation. Un des types me prenaient en levrette, sans y avoir été invité, et c'était délicieusement bon.



Je me remis à sucer Edgar de plus belle, mais devant suivre le rythme des assauts que me faisaient subir celui qui me baisait. Une main s'égara entre mes cuisses. Edgar chercha et trouva mon clitoris. D'un doigt expert, il me le caressa avec douceur et assurance. Je crus que j'allais défaillir. Mais le type derrière moi décida de changer d'orifice : je sentis son gland s'appuyer contre mon petit trou. Mais j'étais si excitée qu'il put me pénétrer d'une traite sans trop de difficultés.



Cette bite dans mon cul était bonne. Très bonne. Mais ma pratique de la queue d'Edgar me faisait dire que sa bite dans mon cul serait sûrement une expérience exceptionnelle. Aussi je m'échappai de mes précédents devoirs et je vins m'empaler par le cul sur la tige d'Edgar. Celui n'en croyait pas ses yeux. Dès qu'il commença à bouger un peu, ce fut un pied d'enfer. Un autre type, avec un sexe assez imposant lui-aussi, s'approcha et commença à me caresser la moule avec son gland. Voyant que j'étais essentiellement concentrée sur la queue qui me sodomisait, il décidé de profiter que mon sexe était libre pour me baiser en même temps. Trois autres types étaient venus se mettre à ma tête en espérant que je les suce, mais j'étais bien trop occupée par cette double pénétration.



Comment pouvais-je résister plus longtemps ? Je sentais que l'orgasme allait bientôt me gagner et sans doute que celui de ces messieurs aussi. Mais je me dis qu'il serait dommage de terminer comme ça alors que tant de queues s'offraient à moi. Je pus m'extraire de mes deux assaillants et je me mis assis sur un fauteuil à côté pour les sucer. Ils s'approchèrent tous et vint se faire sucer à tour de rôle.



Mon répits ne fut que de courte durée... Edgar fut le premier à jouir et à m'inonder le visage. Il fut suivit par un certain nombre d'autres. Je ne pourrais dire exactement combien ils étaient, ni même si Axel était parmi eux à ce moment-là car un orgasme d'une violence inouïe m'emporta dans un torrent de plaisir immense. Je pense que de dus crier sans retenu et cela déclencha sans doute l'éjaculation des derniers types qui se branlaient à côté de moi. Je jouissais comme jamais je n'avais joui.
Combien de temps cela dura-t-il ? Certains en profitèrent-ils pour essayer de jouir une seconde fois sur moi ? Je crus distinguer des flashs, certains emportant un souvenir de cette soirée mémorable. Quand je repris mes esprits, il ne restait plus qu'Axel qui me tendait une serviette que le projectionniste avait accepté de lui prêter. Le projectionniste lui-même était d'ailleurs descendu en salle pour profiter de l'orgie, mais je ne saurais dire qui il était...



Axel se rhabilla pendant que j'essuyais tout le sperme qui me couvrait le visage et une partie du corps, Puis je repris ma jupe et mon haut (impossible de remettre la main sur mon string). Voyant le sperme sur le fauteuil et au sol, je demandais à Axel :
- Ils ne vont pas râler en voyant ça ?
- C'est un cinéma porno, ils ont l'habitude... bon là, c'est vrai qu'ils vont être surpris par la quantité, mais le projectionniste a dit de ne pas s'en soucier.
- Tu as vu qu'Edgar était là ?
- Oui, c'était sympa...
- Tu crois qu'il nous a suivi ?
- Non... c'est sans doute le hasard.
Nous repartîmes rejoindre notre camping et notre petit bungalow dans un état un peu second, fatigués par tant de plaisirs.
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20. Le sentier du camp nudiste

Le lendemain matin, j'eus beaucoup de mal à émerger. Quand je m'éveillais enfin, je me rendis compte qu'Axel était déjà levé et avait quitté le bungalow. Le petit déjeuné était prêt et je ne me fis pas prier pour le prendre. J'étais en train de terminer quand Axel arriva, un large sourire traversant son visage. Je crus un instant que c'était le fait de me voir prendre mon petit déjeuner nue, mais je sentais qu'il y avait autre chose.



- Il faut que tu vois ça, dit-il.
- Quoi donc ?
- Prépare-toi, on va se balader, tu verras sur place.
- Dis-moi quand même comment m'habiller en fonction de là où on va...
- Héhé, si c'était le cas, tu pourrais considérer être déjà prête à partir... mais comme il faut quitter le camping avant, enfile une petite robe, on verra après.
- Juste une robe, rien d'autre ?
- Rien d'autre ! Et choisis une robe la plus courte possible...
- Pour quelle raison ?
- Juste pour me contenter les yeux, héhé !
Vingt minutes plus tard, nous déambulions sur un petit sentier au milieu d'une forêt assez clairsemée. Nous étions proches du camping et nous longions manifestement la plage car nous entendions le bruit des vagues et du vent tout proche.
Durant le trajet, Axel s'amusait à me passer la main sous la robe, tantôt devant, tantôt derrière. Il faut dire que la robe était tellement courte qu'il n'avait aucune difficulté à atteindre ce qu'il voulait et qu'un passant accroupi sur le bord du sentier aurait pu constater sans mal que je mouillais abondamment.



Au détour d'un virage, Axel lâcha un "Ah" de satisfaction. Je sus que j'allais bientôt comprendre où il m'emmenait. Nous découvrîmes une jeune fille blonde, magnifiquement proportionnée et surtout, chose incroyable, intégralement nue et sans complexe.
- Bonjour, nous fit-elle en nous souriant.



Moi qui pensais comprendre, j'étais un peu perdue. Voulait-il une partie de jambes en l'air avec cette nymphomane ? Apparemment pas car elle continua son chemin sans se préoccuper de nous et Axel sembla vouloir faire de même. Voyant mon regard interrogateur, il s'approcha, attrapa les bretelles de ma robe et tira dessus pour les réajuster au plus court. Ainsi, ma robe n'était plus qu'un débardeur et mon sexe et mes fesses étaient totalement découverts, offerts à tous les regards. Axel manifesta sa satisfaction par un large sourire et une belle bosse dans le pantalon.



Alors que nous avancions sur le petit sentier, nous croisâmes à nouveau une jeune femme nue. Elle nous interpela aussitôt qu'elle nous vit :
- Eh, faut vous mettre à poil si vous allez au camp de nudiste !
Je compris donc enfin où Axel voulait m'emmener et pourquoi il m'avait fait habiller ainsi. La demoiselle reluqua la bosse du short d'Axel avec envie.



Axel sembla vouloir répondre positivement à la requête de la jeune fille car il se débarrassa de son tee-shirt et de son short en quelques secondes, s'exhibant totalement nu et affichant une fière érection. J'en profitais pour retirer ma robe en m'amusant de voir les regards que s'échangeaient Axel et la jeune fille. Un homme arriva devant nous sur le sentier, armé d'une belle bite et commença par me dévisager avant de s'intéresser à l'autre fille.



Sans préavis, il embrassa la fille puis l'appuya à une barrière pour la culbuter. La fille ne protesta pas et se laissa faire. Le type guida son érection dans le sexe de la demoiselle et la pénétra lentement jusqu'à la garde avant d'entamer de tranquilles va-et-vient. J'étais ahurie par ce spectacle alors qu'Axel ne semblait pas surpris...



Axel affichait fièrement son érection qui prenait des proportions de plus en plus intéressantes au fur et à mesure de l'évolution de la scène. La fille lui dédiait d'ailleurs quelques regards intéressés entre deux gémissements de plaisir. L'homme aussi s'autorisait à regarder ailleurs et c'est vers moi que son regard se dirigeait le plus souvent. C'est là que je pris conscience que j'étais totalement nue devant ces inconnus qui baisaient devant nous depuis quelques minutes.



Axel vit que j'étais un peu gênée. Même si ma pudeur était plus un réflexe qu'un véritable besoin de dissimuler mon intimité, j'avais quand même envie que nous ne restions pas là à les observer trop longtemps. Tout cela m'excitait au plus haut point et j'avais surtout envie qu'Axel s'occupe un peu de moi plutôt que de jouer les mateurs. Alors que nous nous éloignions du couple qui baisait, des gémissements se faisaient de plus en plus présents devant nous. Après un virage, nous tombâmes nez à nez avec une jeune femme en tenue d'Eve qui se masturbait toute seule, assise sur le bord du chemin.



Elle avait les yeux fermés et continuait son affaire. Soit elle ne nous avait pas entendus, soit elle était trop concentrée sur son plaisir. Toujours est-il que nous restâmes à la regarder jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle fit cela sans aucune retenue. En rouvrant les yeux, elle fut surprise de nous voir et se montra gênée. Mais je ne savais pas si cette gêne était due au fait que nous l'ayons vue se masturber ou si cela venait de l'impressionnante érection d'Axel.
- Excusez-moi... bredouilla-t-elle. Tous ces corps nus c'est si excitant...
- nous comprenons, répondis-je.



La jeune femme ne s'attarda pas et après nous avoir souri, elle s'en alla. Je me tournai vers Axel :
- Moi aussi ça commence à m'exciter au plus au point tout ça !
Axel ne répondit pas et se contenta s'un sourire niais.
- Il me semble, mon pauvre Axel, que ce soit aussi ton cas...



Axel s'assit et je vins m'agenouiller à côté de sa queue dressée. Je commençai par le branler tranquillement, histoire de profiter au maximum de ces instants délicieux en pleine nature.



Quand je sentis qu'il commençait à se lasser de mes caresses, je décidai de lui offrir ma bouche. Lentement, je me penchais sur le gland palpitant avant de l'enserrer entre mes lèvres et de donner de petits coups de langues sur son extrémité. Axel était au nirvana. Un petit craquement me fit tourner la tête, sans abandonner la verge que je suçais. Quatre hommes venaient d'arriver, nus. Je continuais à le pomper allègrement.



Axel les avait aussi remarqués et sembla trouver ça particulièrement excitant car je sentis que son sexe avait encore grossi depuis qu'il avait découvert leur présence. Les quatre gars s'installèrent pour nous observer et commencèrent à se branler.



Moi aussi ça m'excitait terriblement et là j'avais une envie folle qu'Axel me pénètre. Je le laissai donc pour m'allonger sur le ventre à côté de lui, relevant mes fesses pour lui indiquer ce que je voulais. Afin d'être suffisamment explicite, je lui chuchotai :
- Encule-moi, s'il te plaît...



Il s'exécuta sans discuter (le contraire m'aurait d'ailleurs surprise). Son gland vint forcer contre mon anus. Malgré mon excitation, mon petit trou restait serré et il dû me forcer un peu pour trouver sa place. Mais une fois son gros gland passé, le reste suivit sans difficulté et ce fut délicieux.



Je me redressai un peu et me cambrai pour lui permettre d'aller encore plus loin. Il semblait se concentrer pour ne pas jouir tout de suite et je marquais moins aussi des pauses dans mes coups de reins afin de calmer le jeu de temps en temps.



Mais tout ce qui est bon a une fin et je sentis qu'il était prêt à exploser. De lui même, il sortit avant de jouir et resta quelques secondes au dessus de mon cul en se pressant le sexe comme pour l'empêcher d'exploser trop vite. Il relâcha la pression d'un coup et m'envoya de puissants jets de sperme épais sur le cul et sur la moule.



A peine eut-il terminé qu'il attrapa des mouchoirs en papier et m'essuya consciencieusement les fesses. Quand il eut terminé, je me redressai et constatai que les quatre gars se branlaient toujours en regardant mon cul.



Je me tournai vers eux :
- Eh bien ! Ne restez pas comme ça comme des andouilles, venez jouir sur mon visage !
Certains n'en croyaient pas leurs oreilles mais suivirent rapidement ceux qui voulaient être les premiers à profiter de cette offre promotionnelle exceptionnelle.



Ils approchèrent tous les quatre et m'entourèrent en s'astiquant. C'était absolument génial de voir ces quatre mecs plutôt bien foutus qui astiquaient leur engin pour moi.



Ils jouirent presque tous en même temps et cela déclencha un fabuleux orgasme (car je n'avais pas encore joui malgré la superbe chevauchée que m'avait offerte Axel. De recevoir tout ce sperme acheva donc de faire tomber toutes mes résistances et mon orgasme fut long et puissant.



Les gars n'en revenaient pas de m'avoir vue jouir ainsi et ils observaient avec respect mon visage couvert de leur semence. Après qu'Axel les ai remerciés, ils repartirent, les sexes encore en érection. Axel s'approcha en souriant et m'essuya le visage :
- Tu sais Sylvie, nous ne somme même pas arrivé au camp nudiste !
Effectivement, la journée semblait ne pas être terminée...

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21. Le camp de nudistes

Avant arrivant au camp avec Axel, on eut la surprise de trouver celui-ci désert. Tout le monde semblait parti en promenade ou peut-être à la plage. Il est vrai que la plage n'étant qu'à quelques centaines de mètres du camp, il était facile de s'y rendre. Il n'y avait que le bruit du vent dans le feuillage et de quelques branches basses qui frottaient sur les toits des bungalows. On aurait dit la ville fantôme d'un western... Le seul bruit de civilisation qui nous parvenait était une musique qui semblait venir du bar, un bâtiment en dur au milieu des bungalows.
Je demandai à Axel :
- Qu'est-ce qu'on fait ?



- Je vais aller voir au bar s'il y a du monde. Si je ne ressors pas tout de suite, tu ne t'inquiètes pas. Tu attends cinq minutes et tu me rejoins.
- Pourquoi cinq minutes ?
- Pour que les gens ne sachent pas qu'on est ensemble... ça t'ouvrira plus de possibilités.
- Pas bête !
Je m'assieds sur une chaise devant un bungalow pour attendre.



J'entendis un bruit de l'autre côté. Une jolie nana venait dans ma direction. Quand elle fut à mon niveau, je lui demandai :
- Bonjour, je suis surprise de ne trouver personne au village... la saison est mauvaise ?
- Pas du tout, mais à cette heure-ci, les gens se promènent ou sont à la plage...
- Ah ? Merci...
- Il doit bien y avoir quelques mecs célibataires au bar, mais je ne vous le recommande pas.
- Merci, bonne journée !
A peine eut-elle disparu que deux gars arrivèrent, rentrant manifestement de la plage. Faisant mine de ne pas les avoir vus, je me levai et m'étirai.



Ils restèrent quelques secondes à m'admirer et je pus constater leur érection naissante. Malgré mes manifestes bonnes intentions, ils rentrèrent dans le bar, non sans jeter un coup d'œil vers moi avant de refermer la porte. Je décidai de les suivre, me disant que les cinq minutes réglementaires étaient probablement écoulées. J'ouvris la porte et découvris trois autres hommes en plus d'Axel. En toute innocence, je demandai :
- Bonjour ! J'ai hyper soif, quelqu'un me paye à boire ?



Axel fit comme s'il ne me connaissait pas et eut le même regard que les autres garçons : leurs yeux parcouraient mon visage, mes petits seins, mon ventre, mon sexe puis mes jambes. Celui qui était déjà au bar avant que ne rentre Axel me répondit :
- Le barman est à la plage... on ne peut que prendre de l'eau.
Axel renchérit aussitôt :
- Mais on peut te proposer autre chose ma belle !
Sous les regards surpris des autres gars qui attendaient ma réaction, je lui répondis presque aussitôt :
- Ah oui ? Et quoi donc ? Ces jolies queues que vous tendez vers moi ?
Les gars étaient bouche bée. Axel se leva et s'appuya à sa table, la bite à la main. Un gars s'approcha de moi, sa queue se redressant au fur et à mesure que diminuait la distance qui nous séparait. Les deux autres le suivirent. Leurs mains se mirent à parcourir mon corps...



Ces caresses maladroites me firent quand même mouiller (à moins que ce soit l'idée de ces quelques bites qui allaient exploser pour moi dans quelques minutes). Je me dégageai pour me mettre à quatre pattes sur un divan, leur offrant la vue de mon cul et ma moule :
- Venez, on sera plus à l'aise ici...



Le premier approcha. Je pensais qu'il ne résisterait pas à mon cul ainsi offert, mais contre toute attente il vint me présenter sa queue pour que je la suce. Elle était longue et bien raide, aussi je ne me fis pas prier pour la déguster, me mettant assise pour être plus à l'aise.



Elle était bien bonne, une vraie gourmandise. Voyant les deux autres se masturber à côté, je leur fis signe de s'approcher. Axel aussi se branlait plus loin et semblait vouloir se contenter de mater. Une fois les deux autres gars arrivés, je pus alterner entre les trois queues.



Mais même si je les suçais et branlais à tour de rôle, j'avais une nette préférence pour la plus grosse (la première) et j'y revenais plus souvent car je la sentais vraiment réagir entre mes lèvres à mes caresses buccales, à mes coups de langues et à mes doigts glissant sur la hampe.



Du coup, se sentant un peu délaissés, les deux autres m'abandonnèrent, Oh, ils ne partirent bien sûr pas. Ils commencèrent par se branler à côté de moi. Puis l'un deux appuya gentiment sur mes reins pour me forcer à m'allonger. Puis il écarta mes cuisses largement et commença à passer derrière moi. J'allais enfin avoir une bite dans le cul !



Malgré ma position qui mettait mon petit trou très accessible, il vint s'appuyer contre ma moule et me pénétra tout doucement comme s'il voulait profiter de chaque millimètre du fourreau que j'offrais à sa bite. Il me baisa ainsi, tout doucement, alors que j'étais allongée sur le ventre.



"Oh putain ! Que c'est bon !!!" Il semblait tout à fait satisfait de me prendre ainsi. A tel point qu'il ne fut pas long à venir. Après un "Oh merde, je jouis !" Je le sentis se retirer et, sans même avoir le temps de se masturber, il éjacula abondamment en soufflant comme s'il venait de courir un cent mètres. Quand il eut fini, il utilisa son gland comme un pinceau et s'amusa à étaler sa crème sur mon cul.



J'étais déçue qu'il ait éjaculé ainsi, mais c'était quand même déjà très excitant. Pourtant, je n'en avais pas terminé avec lui. Il se releva et demanda à prendre la place de celui que j'étais en train de sucer. Celui-ci se retira avec regret de ma bouche. Le troisième en profita pour me basculer sur le dos et me pénétrer alors que celui qui avait joui investissait ma bouche pour que je le nettoie.



Quand il estima que je l'avais bien nettoyé, il rendit sa place à l'autre et alla s'installer à côté d'Axel qui se masturbait comme un beau diable, ravi de me voir assaillie par ces quelques hommes. Celui qui me baisait me donnait beaucoup de plaisir. Il faut dire que c'est celui qui avait la plus grosse queue et que celle-ci s'ajustait à merveille avec mon sexe.



Je me demandai quel plaisir il pourrait me donner en me sodomisant. Avec un main, Je saisis sa bite à un moment où il l'avait à moitié sortie et je la dégageai complètement avant de la diriger vers mon petit trou. Le gars ne sembla pas fâcher... Il me laissa le guider en moi. Une fois le gland passé, je le lâchai et il donna un petit coup de rein pour s'engouffrer en moi jusqu'à la garde.



Il imprima ensuite un rythme assez et régulier, terriblement délicieux. Il devait en être de même pour lui aussi car il ne tarda pas à manifester les signes qui précèdent l'éjaculation. Je sentis son sexe se tendre en moi, il le sortit aussitôt et le saisit de la main gauche pour guider ses jets de sperme sur mon sexe et mes cuisses.



Il vint ensuite à côté de celui que je suçais pour se faire nettoyer. J'alternais entre les deux mais j'étais encore une fois un peu déçue car je voyais surtout qu'il ne me restait qu'un seul gars pour jouir sur mon visage. Il avait intérêt à assurer. Ce qui me rendit espoir c'est que celui qui avait joui en premier n'avait toujours pas débandé. Au contraire il se masturbait vigoureusement et semblait prêt à remettre ça. Quand Axel se leva, le sexe frétillant entre ses mains, je savais qu'il allait venir honorer mon visage. Il fut suivi de prêt par son voisin de branlette. Je me retrouvais donc à alterner mes caresses buccales entre quatre bouches : deux qui n'avaient pas encore joui, une qui venait d'exploser et que je nettoyais, et la dernière qui semblait prête à éjaculer à nouveau.



C'est Axel qui ouvrit le bal en se répandant généreusement sur mon visage et dans mon cou. Cela sembla remotiver les autres qui se mirent à se branler de plus belle comme si un gage allait être donné à celui qui jouirait en dernier.



Axel terminait d'éjaculer que je sentais l'orgasme monter. Je ne pus le retenir alors que les autres n'avaient pas encore explosé. Mon corps se mit à trembler, mes reins se creusèrent, je sentis comme un souffle de vent frais qui me fit frissonner. Je criais mon plaisir alors que l'orgasme envahissait chaque parcelle de mon corps. Axel terminait lui tout juste de jouir.



Les autres ne purent pas tenir. Même celui qui venait de jouir quelques minutes auparavant ne put se retenir. Tous les trois se mirent à me balancer leur crème presque en synchronisation. Leur sperme me couvrit le visage et relança mon orgasme de plus belle. Mes cris étaient parfois étouffés par les gorgés de sperme que je devais avaler. Il me fallut plusieurs minutes pour m'en remettre. Les gars aussi... Quand je me relevai enfin, je dis à Axel :
- Merci d'être intervenu pour relancer l'orgie car c'était mal parti...
- A ton service, ma belle !



Axel m'essuya le visage et je me mis accroupie devant lui pour le nettoyer avec ma langue. Quand nous fûmes tous deux présentables, je lui proposais la suite des festivités :
- On va à la plage nudiste ?
- Quoi ? Maintenant ? Tu n'es pas rassasiée ?
- Bah... non !
- Ohlala, moi je vais rentrer me reposer un peu, je ne tiens plus là.
- Et ça te gêne que j'aille faire un tour sur la plage ?
- Quelle question !
Il me fit un grand sourire et, avant de partir, me fit un petit clin d'œil en murmurant :
- Tu me raconteras, hein ?
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22. La plage du camp nudiste

J'étais un peu déçue qu'Axel ne m'accompagne pas, mais en même temps cela m'excitait d'y aller seule. Peut-être que de son côté, sur le chemin du retour, il allait faire une rencontre sympa : une demoiselle peu farouche qui aurait été impressionnée par l'érection qu'elle aurait suscitée. De mon côté, vu que le camp nudiste était désert, il était fort probable que je trouve pas mal de monde sur la plage. J'y allais donc à la fois excitée et avec entrain.



La plage n'était pas juste à côté et on y accédait par un petit sentier au milieu de dunes avec quelques arbres. Il y avait quelques jolies petites fleurs jaunes juste sur le bord et je m'arrêtai pour en cueillir une. J'étais penchée pour attraper un petit bouquet quand j'entendis une voix derrière moi :
- Ce n'est pas bien de cueillir les fleurs, elles sont bien plus belles dans la nature.



Je me retournai et vis un homme nu avec un sexe assez grand quoiqu'encore au repos. Sa tête, mais également son sexe, me disaient quelque
chose. Je reconnus rapidement le gars qui m'avait baisé au cinéma quelques jours auparavant pendant qu'Edgar me sodomisait. Cette double pénétration m'avait laissée un souvenir plutôt bon mais je ne pus retenir un réflexe de pudeur en cachant mes seins.



- Excusez-moi, mademoiselle, je vous ai fait peur ?
- Ce n'est rien, j'allais à la plage.
- j'y vais aussi ! Je vous suis ?
- Si vous voulez...
Je repartis en direction de la plage et il me suivit. Je savais qu'il en profitait pour me mater le cul. Je lui demandai :
- Vous êtes du camp nudiste ?
- Oui, mais il ne me semble pas vous y avoir déjà vu ?
- Effectivement, je suis de passage...
Il marqua une hésitation, avant de dire :
- Vous savez, je vous reconnais... J'étais parmi tous ces types au cinéma l'autre jour.
Au moins, il jouait franc jeu.



Nous arrivâmes enfin sur la plage. Il était toujours derrière moi et il n'avait sans doute pas décroché son regard de mon cul. Peut-être s'était-il même rendu compte que je mouillais un peu. Je jetai un coup d'œil rapide à son bas-ventre : il ne bandait pas encore vraiment mais son sexe était nettement plus gonflé que quand je l'avais rencontré. Je regardai tout autour de moi pour constater que la page était très large et que, même s'il y avait pas mal de monde, chacun gardait ses distances et les gens était en majeure partie en couple ou seul. Quelques mecs à proximité remarquèrent notre arrivée. Je profitai de ses regards pour m'étirer et me cambrer.



Seul un des gars me montra de l'intérêt en ayant une érection presque fulgurante. Mais le type était un peu trop rond à mon goût et sa queue n'était pas du genre à déchainer les passions. Je décidai de marcher un peu sur la plage et je me rendis compte que mon compagnon me suivait toujours, mais que désormais il affichait une magnifique érection.



Je lui souris en lui disant :
- Eh bien ! Vous avez une grosse envie, vous...
- Vous m'excitez terriblement.
- Je vois ça...
- Vous m'accompagneriez sur mon bateau ?
- Vous avez un bateau ?
- Oui...



Je réfléchis un moment... Bien sûr, je savais pertinemment comment cela allait se terminer. Je n'avais jamais fait l'amour sur un bateau et la simple idée de me taper ce gars sur un bateau me fit mouiller instantanément. Mais je voulus le faire languir un peu. Je lui répondis en me cambrant :
- Oui, mais j'aimerais profiter un peu de la plage avant.



Il avait un sac avec lui et il en tira une longue serviette qu'il étendit sur le sable derrière. La politesse m'ordonnait de m'enquérir de son nom :
- Moi, c'est Sylvie, et vous ?
- William. On peut se tutoyer ?
- Avec plaisir.
Je m'allongeai sur le ventre, cuisses légèrement écartées.



D'où il était, il ne pouvait pas manquer de voir les lèvres de ma chatte trempée de cyprine. Je tournai pour constaté qu'il était bien toujours derrière moi, accroupi, les yeux perdus entre mes fesses et mon sexe. Sa queue était terriblement bandée et cela m'excita au plus au point. Je me demande même si les lèvres de ma chatte ne s'écartèrent pas légèrement d'elles-mêmes car il eut un petit sourire satisfait. Je ne pus tenir et je me mis sur le dos, cuisses toujours écartées pour me masturber le clitoris en admirant cette splendide queue qui ne demandait sans doute pas mieux que de s'immiscer en moi par un orifice ou un autre.



William s'amusa de me voir faire. Je me sentis obligée de me justifier :
- Tu m'excites trop...
- Alors viens sur mon bateau, on sera plus tranquille qu'ici.
J'acceptai sans hésitation et je me remis debout aussitôt. Il ramassa sa serviette et je l'accompagnai vers son bateau.



Jusqu'à ce que nous arrivions au ponton où était amarré son bateau, William ne débanda pas. C'était un bateau beaucoup plus grand que je ne l'imaginais et je fus assez impressionnée. Je me dis alors que William devait être quelqu'un d'important et sans doute de riche. Il eut la galanterie de m'aider à monter la petite échelle, non sans en profiter pour me mater le cul et la moule.



Quand il me rejoignit, il affichait une érection formidable. En quelques minutes, il enleva des cordages d'un côté, en installa d'autres plus loin et finit par lancer le moteur. Je le rejoignis au poste de pilotage où il tenait un petit volant pour diriger le bateau. J'attrapai son sexe toujours tendu (il faut dire qu'il passait plus de temps à me regarder qu'à regarder la mer), et je le masturbai lentement. Quand nous fûmes assez éloignés de la côte, il coupa le moteur et laissa le bateau à la dérive (la mer était particulièrement calme). Perdus au milieu de l'océan (on voyait quand même encore la côte), nous nous embrassâmes fougueusement en nous caressant. Trop excitée, je me mis à genou pour le sucer.



William sembla juger que ma bouche était à son goût car, malgré une érection déjà sympathique, je sentis son sexe gonfler encore entre mes lèvres et prendre des proportions colossales. Cela m'excita prodigieusement et je sentais que je mouillais sans retenue. Je me redressai un peu pour me masturber le clitoris tout en continuant à pomper ce formidable sexe.



William semblait ne pas vouloir se contenter de ma bouche. Il se recula un vint se mettre derrière moi. Je crus qu'il voulait me prendre en levrette mais il se contenta de caler son sexe entre mes fesses et me caressa les seins puis la moule. Ces préliminaires n'étaient pas pour me déplaire, loin de là...



Mon jus lui coulait sur les doigts tellement j'étais excitée mais ce salaud ne se décidait pas à me pénétrer. Je dus me pencher en avant en écartant un peu les cuisses pour qu'il comprenne que je ne pouvais pas tenir davantage. Il appuya son gland sur mon sexe et le fit lentement pénétrer. C'était fabuleux



Puis il ressortit de presque toute sa longueur et me pénétra jusqu'à la garde d'un coup sec. Il faut dire que j'étais bien prête et que la lubrification naturelle était parfaite. Il prit un rythme soutenu mais sans précipitation. Il était clair qu'il voulait en profiter au maximum. Sa queue en moi fut délicieuse et finit par m'arracher un orgasme.



Il ne me lâcha pas alors que je me remettais lentement de mon plaisir. J'avais peur qu'il ne jouisse ainsi alors que je n'avais qu'une envie : le voir éjaculer sur mon visage. Je m'échappai donc et le fit se relever pour pouvoir le sucer. Cela sembla lui convenir car il mit sa main sur ma tête pour me faire prendre le rythme qui devait lui donner le plus de plaisir.



Moi même, je sentais que je mouillais à nouveau. Un orgasme allait certainement revenir sans tarder. Une si belle bête entre mes lèvres était un vrai festin. Je l'empoignai pour le branler sans interrompre ma fellation.



Il ne fut pas long : il repoussa ma main et attrapa sa bite pour se branler, tout en gardant son gland contre ma bouche. Seulement, le déluge de sperme attendu n'arriva pas. Son sperme sortit sans pression coulant le long de sa main et contre ma joue. L'absence des jets puissants que j'espérais venir fouetter mon visage anéantit mon orgasme.



Mais tant pis... cette bite était malgré tout bien bonne et je ne pus résister à l'envie de l'astiquer et de la sucer pour en extraire les dernières gouttes. William semblait satisfait, me regardant opérer, mais les yeux perdus.



Quand il sembla reprendre ses esprits, je lui dis :
- Ai-je été à la hauteur des attentes du prince ?
- Oh oui, mais je ne suis pas un prince !
- Mais tu en as les finances, semble-t-il...
- Je suis le propriétaire des quelques camps nudistes de cette côte, ça marche plutôt pas mal ces dernières années, je ne me plains pas.
- Tu es le proprio du camp nudiste ?
- De celui-ci et de quelques autres, oui...
- Ah... Tu dois facilement te taper quelques vacancières peu farouches...
- C'est déjà arrivé, mais c'est plus rare que tu ne pourrais le croire.
- Et tu habites dans un des camps ?
- Non, j'ai une villa à côté, pas très loin du camping...
- Ah, oui, j'ai aperçu ça hier ! Avec une piscine, c'est ça ?
- Oui, tu veux y venir demain ?
- Avec plaisir !
- On dit vers quatorze heures ?
- Ok.
J'étais contente car j'espérais que j'allais pouvoir avoir un orgasme avec une éjaculation faciale de cette belle bite.
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23. De retour au camping

William m'a raccompagné au camping le soir même. A ma demande, car je ne voulais pas faire la nana qui s'incruste dès qu'elle a attrapé une bite. William m'avait demandé comment me joindre :
- Tu as un numéro de portable ?
- Mon copain, oui...
- Tu... tu vis avec quelqu'un ?
- Disons que je baise régulièrement avec lui mais que ça ne nous dérange pas s'il n'y a pas d'exclusivité.
- Ah...
- Donne-moi plutôt ton numéro, je t'appellerai.
Et j'étais donc rentrée dans le bungalow avec son numéro de téléphone griffonné à l'arrière de la carte de visite du camping. Axel dormait. Je me suis couchée sans le réveiller.

Le lendemain, il était déjà debout quand je me suis levée. J'ai enfilé un culotte et me suis noué un chemisier sur les seins avant de le rejoindre pour le petit déjeuner.



- Alors, ma belle ? Tu es rentrée très tard non ?
- Assez oui, je n'ai pas osé te réveiller...
- Je me suis quand même un peu inquiété... Comment ça s'est passé, cette plage ?
- Et bien en y allant, je suis tombé sur un type qu'on avait déjà croisé au cinoche...
- Le cinoche où on a... ?
- Oui... Et il se souvenait de moi. Du coup il m'a accompagné et n'a pas arrêté de reluquer mon cul.



Vu que je prenais des poses pour illustrer mon histoire, Axel aussi se délectait de la vue de mon cul. Et comme il n'était pas très à l'aise avec son caleçon tendu par l'érection, il préféra se mettre tout nu et s'asseoir pour écouter mon récit qui déjà le captivait !
- Continue ma chérie...
- Lui aussi affichait une belle érection !
- Mais tu n'étais pas habillée ainsi quand tu l'as rencontré, n'est-ce pas ?



Je devais bien reconnaître que non puisque c'était le sentier entre le camp nudiste et la plage nudiste. Pour faire plaisir à Axel, je baissai mon string.
- Effectivement, mon chéri...



- En fait quand il m'a rencontrée, j'étais à cueillir une fleur sur e sentier et c'est plutôt ça qu'il a vu.
Je me penchai en avant, offrant à Axel une vue parfaite sur mon cul et mon sexe nu.



Axel ne touchait pas encore à son sexe; Pourtant il bandait déjà très dur. Il m'écoutait, me regardait, souriant. Je mis un genou sur le canapé, faisant ainsi s'écarter légèrement les lèvres de ma moule.
- Le mec a bien vite bandé et ne s'en cachait pas... comme toi !



Là je sentais que ma jute commençait à m'inonder la moule et ce détail n'échappa pas à Axel. Le pauvre ne tenait plus en place et dû se résoudre à attraper sa queue et à se branler, ne pouvant manifestement pas rester simple spectateur.



Je continuai mon récit :
- Quand nous sommes arrivés à la plage, je me suis allongée sur sa serviette.
Pour illustrer cela, je me suis allongée sur le canapé.



- Il n'avait pas l'air trop gêné par la taille de ma poitrine.
Axel rétorqua :
- Car lui avait la chance de pouvoir la voir...
Je me relevai et lui fit un sourire pour lui indiquer que j'avais bien compris sa demande. Je retirai mon chemisier.



- Et puis il m'a emmener sur son bateau.
Je m'approchai d'Axel. Il se leva. Nous nous embrassâmes et j'en profitai pour le masturber un peu.



Axel demanda :
- Il n'a rien tenté sur la plage, alors que tu étais étendue, nue ? Il a réussi à résister ?
Je me rallongeai sur le canapé, cuisses écartées et lui répondis :
- Non, et pourtant, il bandait dur.



J'ajoutai :
- Peut-être plus dur que toi, même !
Axel se branlait en admirant mon cul.



Je lui demandai :
- Et toi ? Tu aurais résisté ?
Axel ne répondit pas mais ce qui suivit était éloquent. Il s'approcha de moi, queue dressée. Je redressai mon cul pour qu'il me pénètre.



Et il m'enfila d'une traite. Mouillée comme j'étais, il n'avait aucun mérite. Il prit un rythme particulièrement calme et sembla vouloir continuer la conversation :
- Il ne t'a pas baisée sur la plage ?
- Non... On est allé sur son bateau...
- Il t'a sodomisée ?
- Non... juste en levrette... il m'a fait jouir...
- Il a éjaculé sur ton visage ?
- Oui... Mais ça ne m'a rien fait...
- Alors tu veux ta revanche avec moi ?
- Oh oui !



Cela lui fit accélérer le rythme et abandonné la conversation un moment pour se concentrer sur son sexe qui coulissait en moi. Mais je voulais m'amuser un peu et je lui échappai brusquement. Je me relevai et le fit asseoir. Il était si surpris qu'il se laissa faire et le regarda, attendant la suite des événements. Je m'assis à côté de lui pour le prendre en bouche.



Axel, entre deux souffles, me demanda :
- Il t'a sûrement proposé d'y retourner.
- Oui.
- Quand ?
- On n'a rien décidé... je dois l'appeler... mais je crois que je vais y retourner aujourd'hui...
- Et tu vas... essayer d'obtenir mieux ?
- Oui...
D'imaginer avoir un orgasme en suçant William m'excita et je suçai Axel de plus belle.



Axel sentit qu'il allait venir. Il me repoussa gentiment et se leva, se plaçant au-dessus de mon visage. Il prit son temps, s'astiquant lentement. Il savait que ça m'excitait terriblement d'attendre de voir son sperme jaillir. J'attendais, bouche ouverte, sentant mon orgasme imminent.



Mais il ne put pas se retenir éternellement et finit par exploser. Je fermai la bouche avant que le premier jet ne m'atteigne et je le reçu sur les lèvres et la joue. Un orgasme monta, me contractant de l'intérieur. Je le laissais m'envahir.



Alors qu'Axel continuait à éjaculer généreusement sur mon visage, j'exprimais mon plaisir par des "oh oui..." à peine articulés. Nous étions manifestement, lui et moi, autant excité l'un que l'autre par le récit de mon dévergondage de la veille.



Axel semblait n'en plus finir d'éjaculer et il me couvrit la moitié du visage de son jus tiède et épais. Mes gémissements se changèrent en cris de plaisir. Le voisinage ne pouvait pas ignorer que nous étions en pleine action.



Quand tout fut redevenu calme, le visage toujours couvert du sperme d'Axel, j'attrapai le téléphone et composai le numéro de William.
- Allo, William ? Tu peux venir me chercher à l'accueil du camping en début d'après-midi ?
Axel me regardait en souriant. Alors que sa queue était en train de prendre un repos bien mérité, je la vis se retendre à nouveau. Ce vicieux d'Axel devait déjà m'imaginer dans les bras de William.
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24. La piscine de William

William était déjà à l'accueil du camping quand je suis arrivée. Il me fit aussitôt monter dans sa voiture et m'amena chez lui. Pendant le trajet, bien qu'il fut court, William ne tenta rien : pas de main sur la cuisse, pas même un mot ! Toutefois, il tournait régulièrement la tête et m'observait : mon visage, ma poitrine, mes cuisses... oui surtout mes cuisses.
Une fois arrivée, il me proposa de s'installer directement à la piscine.
- Avec joie !



La piscine était assez grande et d'une eau limpide. Je retirai mon débardeur, apparaissant seins nus. William me demanda :
- Tu n'as pas prévu de maillot ?
- Chez le propriétaire d'un camp de nudiste ? Quelle drôle d'idée !



Je retirai aussi ma jupe. William ne me quittait pas des yeux. Bien sûr, il se doutait que je n'avais pas de culotte, mais il voulait profiter de chaque instant de cette découverte, ce moment où je m'exhibe, prête à être croquée tel un fruit juteux. Je pris donc mon temps pour lui dévoiler le plus sensuellement possible ma nudité.



Quand enfin la jupe tomba au sol, j'apparus nue. William affichait un sourire béat. On aurait dit qu'il ne m'avait pas vue depuis plusieurs semaines et qu'il se délectait du plaisir de me retrouver. Je pus constater que son caleçon de bain commençait à se déformer de manière assez marquée.



Je rentrai dans la piscine. L'eau était plutôt tiède. Avec le soleil qui cognait vigoureusement, c'était particulièrement agréable. Une grosse bouée flottait au milieu de la piscine. Je la rejoignis et m'y hissai afin de m'y vautrer. Je m'installai en étendant les bras et en écartant les cuisses offrant chaque millimètre de mon corps aux rayons du soleil et regard intéressé de William.



William me regardait dériver lentement au milieu de sa piscine. Il me demanda :
- Tu ne nages pas ?
- C'est pas forcément mon truc de nager, je suis plutôt bronzage.
Je décidai d'ailleurs de quitter ma bouée pour regagner une chaise-longue qui me faisait de l'œil depuis un moment.



Alors que je sortais de l'eau, sentant le soleil me brûler la peau, je demandai à William :
- Tu as de la crème solaire... Je n'ai pas pensé à en prendre...
- Ne bouge pas, je vais t'en chercher.
- Merci tu es adorable.



Je sortis de l'eau et il revint presque aussitôt avec le tube. Il ouvrit le tube et se mit un peu de crème au fond de la main. Il avait manifestement l'intention de me l'étaler lui-même... Je le laissai faire. Il fit courir ses mains un peu partout sur moi, c'était extrêmement agréable et je sentis que je commençais à mouiller. Lui-même bandait bien franchement dans son caleçon. Malgré ma poitrine menue, William semblait apprécier de me caresser les seins car il s'y attarda plus que nécessaire.



Je voulais faire durer le plaisir et l'exciter encore un peu plus. Je le repoussai gentiment. Je renfilai mon débardeur. William se demanda pourquoi.
- Quel intérêt de te mettre de la crème si tu remets un débardeur ?
- Parce que mes seins sont sensibles et, même si tu as particulièrement bien opéré sur cette partie de mon corps, le débardeur reste le meilleur moyen de les protéger.
Je m'installai assise sur la chaise-longue, cuisse écartée pour lui montrer ma moule trempée...



William s'amusa de cette désinvolture :
- On en mangerait !
- Mmmm oui mais il va falloir patienter car je voudrais qu'elle bronze un petit peu, qu'elle soit toute chaude...
Je me mis à quatre pattes sur la chaise-longue en disant à William :
- Je vais d'ailleurs commencer par le verso.



- Tu resteras dans cette position pour faire bronzer tes fesses ?
- Mmm, non, C'est vrai que ce n'est pas idéale comme position...



Je me retournai donc et me mis en position allongée sur le dos.
- Mmmm, c'est délicieux de sentir le soleil caresser ma petite chatte
Du coin de l'œil, je vis que William était hésitant.



- Mets-toi à l'aise, toi aussi !
Il quitta donc son maillot sans se faire prier. Sa bite se dressait fièrement sous le soleil.
- Et toi, William, tu aimes sentir le soleil sur ta queue ?



- Oui mais j'aime surtout te regarder prendre un bain de soleil...
- Mmmm oui, effectivement, mais comme ça ce ne serait pas mieux ainsi ?
Et j'accompagnai ma question en retirant mon débardeur.



William ne répondit pas mais sa queue parlait pour lui. En guise de réponse, il commença à se masturber. C'était très excitant de le voir faire et je me dis que je pouvais bien lui rendre la pareil. Je m'installai cuisses écartées et me mis à me masturber également.



Mais William ne résista pas longtemps et sa branlette ne lui suffisait bien sûr pas. Il s'approcha donc de moi tranquillement. Je me positionnai sur le dos, cuisses largement écartées, prête à l'accueillir. Mais il ne se précipita pas. Il attrapa un flacon d'huile solaire et commença à me lubrifier l'anus. Je savais ce qu'il voulait et de sentir ses doigts jouer sur mon petit trou m'excitait au point que je sentis ma jute commencer à me couler sur les cuisses. Une vraie fontaine !



Quand il me jugea prête d'après mes petits gémissements de satisfaction, il se redressa et posa son gland contre mon anus. Je donnai un petit coup de rein vers lui et il se retrouva emmanché en moi sans même avoir bougé ! Il donna lui aussi un coup de rein pour aller bien au fond. C'était terriblement délicieux et ne lui fallut que quelques minutes à ce train-là pour m'arracher un orgasme.



Quand mon orgasme retomba, il sortit de mon cul et vint se placer devant moi. Nul doute qu'il voulait que je le suce. Et ça tombait plutôt bien car j'en avais grande envie aussi. Je le pris donc en bouche avec la fougue d'une fillette qui reçoit un sucre d'orge après une punition.



Mais à quatre pattes, je n'étais pas vraiment à l'aise pour en profiter. Je lui proposai de s'asseoir sur le bord de la piscine. Il accepta et je descendis dans l'eau et me plaçai entre ses cuisses écartées pour le reprendre en bouche et le sucer à nouveau.



Il ne fut pas long à éjaculer et je n'eus même pas le temps de le sortir pour recevoir sa crème au visage que son sperme jaillissait déjà dans ma bouche. Je ne pus pas avaler tout et une grande partie s'échappa de mes lèvres et coula un peu partout. Il avait à peine fini que je vis arriver un type avec une serviette autour de la taille.



C'était un homme bien fait avec une petite barbe que William semblait connaître puisqu'il ne dit rien en le voyant s'approcher. Le type ne se formalisait manifestement pas de la situation, pourtant assez incongrue. Il s'adressa à William :
- Le sauna est prêt, monsieur...
- Parfait. Sylvie, je te présente Albert, mon majordome.
Seulement, j'étais assez vexée de n'avoir encore pas eu d'orgasme pendant l'éjaculation faciale. William dû le sentir et me dis :
- Mais rien ne presse. Tu peux te reposer. Tu trouveras quelques fringues que j'ai sorties pour toi dans le salon. J'ai quelques courses à faire, je reviens dans une petite heure.
Cette petite pause tombait à pic. J'acceptai sa proposition avec plaisir.
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25. Le sauna de William

Albert, le majordome m'avait laissé une petite serviette pour m'essuyer le sperme que j'avais un peu partout. William avait laissé un string, un petit débardeur et une jupette sur le canapé du salon. Albert était reparti pour me chercher un rafraichissement. J'en avais quand même bien besoin après la sodomie que William m'avait fait subir. J'avais tout juste eu le temps de renfiler le string et le débardeur quand Albert revint avec un grand verre d'eau fraîche. Il le posa sur la table et me tendit la jupe :
- Tenez, Mademoiselle.
- Merci, Albert, mais je me demandais si je n'allais pas plutôt prendre une douche avant de me rhabiller.



- Comme il vous plaira.
- Albert... ?
- Oui, Mademoiselle ?
- Vous pensez que William m'apprécie même si j'ai de tout petits seins ?



- Monsieur ne semble pas s'en formaliser et il m'a vanter d'autres de vos atouts...
- Ainsi, il vous a parlé de mon cul ?
- D'une façon tout à fait respectueuse évidemment...
- Évidemment !



- Et vous, vous en pensez quoi de ma poitrine ?
- Mademoiselle, je...
Je venais de lui couper le sifflet en faisant glisser les bretelles de mon débardeur pour dégager mes seins.



Je vis la serviette qu'il avait autour de la taille se tendre. Je le faisais manifestement bien bander. Il bafouilla :
- C'est... c'est absolument charmant...
Je commençai à faire glisser mon string. Il ouvrit de grands yeux. Il m'avait pourtant vue nue quelques minutes auparavant, mais probablement le fait que je m'expose spécialement pour lui l'émouvait particulièrement.



Je lui demandai :
- Alors, cette douche ? Vous me montrez le chemin ?
- Heu... Oui... bien sûr Mademoiselle.
- Vous êtes bien poli, monsieur le majordome.



Je ne savais pas où était William mais il n'allait sans doute pas tarder à me rejoindre puisqu'il m'avait proposé un sauna. Celui-ci se trouvait juste à côté de la douche. Je n'avais pas tout essuyé du sperme de William et ça commençait à me tirer un peu la peau à quelques endroits. Cette douche était donc la bienvenue. Et Albert qui était restée derrière moi attendant avec une serviette n'allait pas me contredire. La serviette qu'il avait autour de la taille trahissait toujours l'émotion que je suscitais en lui.



William le rejoignit bientôt, lui aussi avec une serviette autour de la taille. Il s'amusa de l'état de son majordome autant que moi et je me mis en tête de réussir à obtenir la même chose de William. Je me penchai en avant, tout en regardant mes deux voyeurs qui avaient les yeux rivés à mon cul et ma moule.



Après quelques secondes dans cette position, je me redressai et me mis de face pour voir le résultat. J'étais très satisfaite car ils bandaient tous les deux très bien, les serviettes tendues comme des chapiteaux. Je commençai à être très excitée et il me vint à l'esprit qu'il serait sympathique qu'Albert nous accompagne dans le sauna.



- William, est-ce que tu autoriserais Albert à venir avec nous dans le sauna ?
- Bien sûr, Sylvie !
Je quittai donc la douche pour rejoindre le sauna. Les garçons me laissèrent passer devant eux, probablement afin de profiter de la vue de mes fesses.



Le sauna n'était pas réglé trop chaud et c'était tout à fait supportable. Ils m'encadrèrent tous les deux. Albert, à gauche, avait aussitôt entrepris de ma caresser le ventre. William, à ma droite, me caressait la cuisse. J'attrapai la grosse louche d'eau tiède derrière moi et m'amusai à me faire couler de l'eau sur les seins. Tant William qu'Albert semblaient ravis de pouvoir me caresser ainsi.



Je dégageai l'érection de William. Il fit un petit sursaut au moment où ma main se posa sur son sexe palpitant. Il avait déjà regagné une belle vigueur alors qu'il avait éjaculé quelques dizaines de minutes auparavant. Pendant que je le masturbais, il mes caressait la poitrine, c'était très agréable. De l'autre côté, Albert me doigtait la moule avec délicatesse. C'était une délicieuse caresse également.



Je me levai. Ils firent de même. Les serviettes tombèrent. Je me tournai pour les caresser tous les deux. Albert en profita pour me caresser les fesses alors que William continuait à s'exciter sur mes seins. Ils furent bientôt dans un état d'érection maximale et j'avais bien envie de goûter à ces jolies queues.



Je me penchai vers William pour le prendre en bouche. Je sentais sa queue palpiter entre mes lèvres. Albert ne perdit pas son temps et je sentis son gland appuyer contre ma moule. Un petit coup de rein acheva de la faire entrer. Sa queue en moi était délicieuse et il m'arracha dès le début des petits gémissements de plaisir.



Puis Albert sembla vouloir changer : il m'abandonna pour s'asseoir. Surprise, j'arrêtai la fellation que je prodiguais à William pour le regarder. Sa queue aussi était rudement appétissante, toute luisante de ma propre mouille. Je me tournai pour le sucer. William en profita donc pour me prendre en levrette à son tour.



Mais cette position était un peu fatigante et je leur demandai d'en changer assez vite, bien que j'adorai sucer Albert. Je vins donc m'empaler sur William et Albert vint se placer au-dessus de nous pour me permettre de continuer à déguster sa bite.



Mais comme il n'était lui-même pas très à l'aise, il me demanda de me retourner. Je me mis donc dos à William, toujours empalée sur lui jusqu'à la garde et Albert vint se mettre à côté pour que je le suce. Sa bite était terriblement bonne et j'avais hâte de le faire éjaculer.



Après quelques délicieuses minutes de gémissement de plaisir en tout genre, je décidai de changer. Je me mis en soixante-neuf sur William qui aussitôt s'occupa de ma moule avec sa langue. C'était divin, mais j'avais encore suffisamment de présence d'esprit pour attraper sa bite d'une main afin de le branler alors que je suçais toujours le majordome.



Puis Albert demanda à ce que ke le chevauche. Je me mis donc à cheval sur lui. William se rappela sans doute de la manière dont il m'avait fait jouir à peine une heure plus tôt. Il vint appuyer son gland turgescent à mon anus et m'enfourna toute sa queue d'un coup de rein ample et vigoureux. Cela m'arracha un cri de surprise et un début d'orgasme.



Mais comme je ne voulais pas qu'il me fasse à nouveau jouir ainsi, je me dégageai pour m'asseoir entre eux. Ils comprirent aussitôt le message et se mirent à se masturber frénétiquement pendant que je me touchais la moule, la bouche grande ouverte pour les recevoir. Les premiers jets arrivèrent des deux côtés à la fois et cela déclencha mon orgasme.



Violent, puissant. Je ne sus pas combien de temps je jouis en criant mon plaisir, mais je mis un certain temps à me remettre. Je sentais le sperme chaud de William et d'Albert couler sur mon visage, dans mon cou, sur mes seins et jusqu'à mon ventre. J'étais heureuse. J'avais obtenu ce que j'attendais de William. Et je n'étais pas au bout de mes surprises.
William me proposa de rester dormir. J'hésitai un peu car je pensai à Alex et comme notre séjour touchait malheureusement à sa fin, je me dis qu'il était préférable que je rentre. William me raccompagna, un peu déçu semble-t-il, mais je lui promis que je viendrai le voir une dernière fois avant de partir.
Quand Axel me vit revenir, il paraissait inquiet :
- Comment ça s'est passé ?
- Très bien, j'ai eu ce que je voulais...
- Parfait... Tu comptes le revoir.
- Vu qu'on part après demain, j'y retournerai demain matin pour lui faire mes adieux.
- Bien...
- Dis donc, tu ne serais pas un peu jaloux, toi ?
- Je ne sais pas... Si, peut-être un peu... Mais je me dis que ton histoire avec ce type touche à sa fin et ça me rassure...
- De quoi tu as peur ?
- Que tu te décides à te caser avec lui... Que ce soit lui ton partenaire officieux et ton confident...
- Tu ne devrais pas t'inquiéter, toi et moi on est vraiment sur la même longueur d'onde. Avec William, je m'amuse mais je suis certaine qu'il n'accepterait pas tout ce que toi tu acceptes. Ai confiance !
Notre conversation avec Alex était un peu étrange, c'était la première fois qu'il exprimait des sentiments qui allaient au-delà de nos simples jeux sexuels. Cela me fit bizarre mais je trouvai aussi sa réaction touchante.
Nous nous endormîmes dans les bras l'un de l'autre, chose qui ne s'était encore jamais produite sans qu'il y ait auparavant une partie de jambes en l'air.
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26. La surprise de William

Le lendemain matin, à mon réveil, Axel était déjà sorti. J'appelai William pour lui demander de passer me chercher. J'avais passé des fringues plus sobres : jeans, débardeur et veste. Mais ce n'est pas William qui vint me chercher. Le type s'appelait Anthony et était un ami de William. Il était noir et je le trouvai fort excitant. Il n'était pas très bavard et ne dit quasiment rien durant les quelques minutes de trajets. Il me déposa devant chez William et repartit sans même me dire au revoir.
William m'accueillit avec un grand sourire.



- Sylvie, j'ai une surprise pour toi aujourd'hui...
- Ah ? Qu'est-ce que c'est ?
- Je ne peux rien te dire puisque c'est une surprise.
Il me fit asseoir sur le canapé et je le regardai, attendant cette fameuse surprise



- Sylvie, il va falloir patienter un peu en revanche. Veux-tu boire quelque chose ?
Il était debout devant moi et son entrejambe était à hauteur de mon visage. Instinctivement, sans lui répondre, je portai la main à son ceinturon que je commençai à défaire. William m'aida à sortir son érection qui commençait à prendre forme.



Cela répondait peut-être finalement à sa question. Je le pris entre mes lèvres et me mis à le sucer, faisant tourner ma langue autour de son gland. Il se laissa aller à cette douce caresse buccale. Je le sentais petit à petit grossir dans ma bouche.



Il ne me demanda pas de changer de position. Je pense qu'il avait compris que je faisais une dépendance aux éjaculations faciales et qu'il voulait en tirer partie. Il me laissa donc le sucer jusqu'au bout, jusqu'à ce que je le sente se tendre, l'ultime contraction avant l'explosion de plaisir. Je le sorti de ma bouche et le masturbai tout doucement alors que sa semence était propulsée en longs jets puissants venant s'écraser sur mon visage et dans ma bouche béante. Mon propre orgasme monta aussitôt et ce fut le nirvana.



Quand je revins à la pleine conscience, j'avais le visage englué du sperme de William et me sentait particulièrement bien. C'est alors que je vis derrière William son ami Anthony, le noir. Il était nu. Son sexe était au repos mais avait déjà des proportions très très intéressantes. Il me sourit quand je le regardai et je vis sa queue se dresser peu à peu, à la manière d'une grue. Nul doute que de me voir le visage couvert de sperme l'excitait particulièrement.



C'était donc lui ma surprise ! Il s'approcha. Je fondais sur place rien que de penser à cette bite de cheval qui allait me cracher son jus dans quelques minutes. Ses couilles étaient tout aussi impressionnantes et cela ne pouvait présager qu'une formidable quantité de sperme. Il s'assit dans le canapé et je me mis à quatre pattes entre ses jambes pour le prendre en bouche.



Ce n'était pas chose aisée puisque la position m'obligeait à me mettre assez haut et que je devais ouvrir la bouche très grande pour pouvoir l'accueillir. C'était malgré tout extrêmement excitant et je me surpris à me doigter la moule tout en opérant ma fellation.



Ce détail n'échappa à William qui, en véritable gentleman, se proposa pour me remplacer (pour ma masturbation, pas pour la fellation évidemment). Ses doigts se mirent donc à jouer entre les lèvres de mon sexe trempé et s'attardaient souvent sur mon clitoris. Il se débrouillait très bien, le bougre. Puis je sentis qu'un doigt appuyait sur mon anus : William voulait manifestement approfondir son exploration, ce à quoi je ne souhaitais bien sûr pas m'opposer.



Un coup d'œil me permit de constater que William avait repris une vigueur tout à fait extraordinaire. Je lançai une main derrière moi pour me saisir de son sexe palpitant. J'allais me le guider dans le cul mais me rendis compte qu'il était un peu sec et qu'il risquait de me faire un peu mal... Je pris donc le parti de le guider dans ma fontaine pour le lubrifier. Il ne sembla pas s'en formaliser et me laissa me tripoter l'anus moi-même, sachant ainsi qu'il n'allait pas tarder à pouvoir investir aussi mon cul.



Anthony semblait prendre autant que moi prendre beaucoup de plaisir à la pipe que je lui prodiguais. Son sexe était chaud et dur, j'avais rarement eu l'occasion de pratiquer une telle bite. De son côté William estima que mon cul était bien préparé et sa queue suffisamment lubrifiée. Effectivement, je sentis son gland appuyer sur mon petit trou mais il put y être accueilli presque sur toute sa longueur sans peine.



C'était absolument divin d'avoir la queue de William dans mon cul alors que je suçais ce gigantesque sexe plein de promesses. Excitée et plus assurée, je prenais maintenant le sexe d'Anthony à pleine bouche. Je sentis qu'un orgasme était sur le point de me gagner.



Seulement, si je laissai cet orgasme monter maintenant, il n'était pas sûr que je profite ensuite autant de la douche de sperme que j'espérais. Et les spasmes de mon orgasme risquaient également de déclencher l'explosion de mes deux partenaires. Je me concentrai donc pour ne pas m'abandonner déjà.



A mon initiative, afin de ménager un peu la scène ultime, je leur proposai de changer. William vint s'asseoir sur le canapé et Anthony vint se placer derrière moi. Je craignis d'abord qu'il me sodomise mais il guida, fort heureusement, son énorme mât dans mon sexe pour me prendre en levrette. C'était étrange car cela me faisait un peu mal mais je trouvai cette pénétration délicieuse.



En me laissant aller, je ne fut pas longue à ne plus sentir la moindre douleur et à profiter pleinement de ce gigantesque membre qui me défonçait avec tant de bonheur. Je n'avais même pas pris la peine de sucer William. Il ne semblait pas s'en offusquer et se contentait de se branler en me regardant me faire prendre par son ami.



J'étais comme en transe, toute tournée vers le plaisir que m'offrait cette gigantesque queue qui entrait et sortait de moi avec la régularité d'un métronome. William tenta bien de présenter sa bite devant ma bouche, je n'étais même plus en état de la sucer.



Mais manifestement, William n'avait plus besoin que je le suce : il était au bord de l'éjaculation et quelques coups de poignet eurent raison de lui. Il se masturbait frénétiquement alors que son sperme jaillissait en long jets saccadés et venait s'écraser sur mon visage. Ma résistance fut anéantie en un instant et je sentis qu'un violent orgasme m'envahissait totalement.



Anthony s'arrêta de me limer et vint aussi se branler devant moi. Il me laissait la chatte en feu et je continuais à jouir de plus belle alors qu'il me crachait son jus. Je crus que son jet de sperme n'allais jamais s'arrêter tant il m'envoya de sperme au visage.



C'était une véritable douche et je jouissais comme jamais je n'avais joui. Il n'en finissait pas chaque jet semblait aussi puissant que les précédents et mon orgasme me secouait de spasmes sans discontinuer.



Quand enfin la tempête se calma, j'étais épuisée, comme si mon propre corps venait de se vider, alors qu'il s'agissait d'avantage de celui de mes deux partenaires. J'étais couverte de sperme. William me souriait alors que je reprenais mes esprits. J'étais moi aussi ravie de cette incroyable surprise car j'avais eu un orgasme extraordinaire.



William avait donc bien compris ma faiblesse et il en avait usé et abusé.
Malgré le discours que j'avais tenu la veille à Axel, je me dis qu'il pourrait être sympa de prolonger mon séjour chez William de quelques jours et de ne rejoindre Axel chez nous que plus tard. Pourquoi pas ? Je pris mon téléphone et appelai Axel. Il ne sauta pas de joie à l'annonce de ma proposition mais il comprit que je voulais en profiter un peu avant de partir et accepta de rentre seul. J'étais très contente qu'il le prenne aussi bien car j'aurais tout à fait compris qu'il soit vexé que je l'abandonne ainsi. Mais il ne semblait pas jaloux et cela me rassura.
William aussi était ravi que je reste un peu plus longtemps avec lui...
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27. L'enlèvement

Axel était sans doute déjà reparti. Mais je m'amusais beaucoup avec William. Et quand il était pris par son travail, Albert s'occupait très bien de moi. De temps en temps, ils me prenaient tous les deux. Mais la plupart du temps, je les sollicitais davantage qu'ils ne pouvaient réellement fournir et au bout de trois jours je commençais à m'amuser un peu moins, ayant l'impression d'avoir goûté à tout ce qu'on pouvait imaginer faire à trois. Malheureusement, Anthony n'était pas repassé...
Et puis le quatrième jour, alors que je songeai à aller rejoindre Axel, arriva quelque chose d'incroyable.
Albert et William était parti tous les deux, me laissant seule. J'avais tranquillement pris mon petit déjeuner et m'étais habillée. J'étais sortie pied nue dans le jardin et je me penchai pour attacher mes chaussures. C'est à ce moment que surgit un homme cagoulé avec une arme.
- Ne bouge pas !
Sa voix était étouffée par la cagoule. Je n'osais pas faire le moindre mouvement, restant penchée en avant. Dans cette position, ma courte jupe devait probablement lui révéler mes fesses et mon sexe nu.



- Que me voulez-vous ?
- Tu vas gentiment faire tout ce que je dis. On a pris ton copain en otage.
- Axel !!!
- Oui, alors tu fais tout ce que je te dis et il ne lui arrivera rien.
Je n'arrivais pas à en croire mes oreilles mais je préférais ne pas prendre de risque et décidai de lui obéir.



Je lui fis signe de la tête que j'obtempérais. Je le sentis sourire sous sa cagoule. Je fus vite fixée sur la nature de ses exigences :
- Tourne-toi et soulève ta jupe pour me montrer ton cul, il a l'air splendide !
Je m'exécutais en me disant que s'il se limitait à du voyeurisme, éventuellement à des attouchements, je m'en sortais bien.



- Mmmm, je crois que c'est le plus joli cul que j'ai jamais vu...
Il resta prêt d'une minute à regarder. Je pus distinguer que son pantalon se déformait peu à peu au niveau de l'entrejambe.
- Mais ce n'est pas suffisant. Je veux voir le reste, tout le reste !
Je devais donc quitter tous mes vêtements. Je retirais donc mon petit haut et ma jupe, me retrouvant nue.
- Bien, tu es très jolie. Tourne-toi encore que je vois ton cul !
Je lui tournai le dos, me cambrant légèrement.



- Quel cul ! Penche-toi un peu, voir ?
Je me penchai en avant.
- Pas trop vite !
Je repris le mouvement, plus lentement.
- Mmmm, ta moule est bien appétissante. Et on dirait que tu mouilles, en plus, salope !
C'est vrai que ce petit jeu commençait sérieusement à m'exciter mais j'étais quand même un peu inquiète de la suite des événements.



Il me demanda ensuite de passer devant lui. Il me dirigea dans un sentier qui longeait l'arrière des propriétés. L'endroit était désert et c'était heureux puisque j'étais toujours nue. Je tentai de voir quelles étaient ses intentions :
- Et vous allez me promener ainsi nue toute la journée ?



Cela ne sembla pas l'amuser car il répondit sèchement :
- Tu verras bien !
Puis le sentier nous conduisit sur l'arrière d'un supermarché. Le type me demanda de descendre dans le parking souterrain. Sa voiture était toute proche et il m'intima d'y monter. Nous n'avions jusqu'alors croisé personne. Mais avant que je ne monte dans la voiture. Une voix cria :
- Eh, les gars ! Vous voyez ça ???
- Oh, mademoiselle, c'est gentil de nous offrir ce spectacle.
- On peut prendre des photos ?
Le type dans la voiture ne bougeait pas. Il se contentait de les observer. Les gars me rejoignirent et l'un d'eux referma la porte de la voiture avant que je n'ai le temps de monter. Je pris peur et j'essayai de couper court à cette rencontre :
- Écoutez, vous me prenez en photo si vous voulez mais après vous me laissez partir.
Les gars rigolaient et acceptèrent donc le marché. L'un d'eux prit son téléphone portable pour nous photographier. Les autres s'agglutinèrent autour de moi. S'ils se limitaient à cela, je m'en sortais bien !



Mais ils ne se limitèrent pas à cela et des mains commencèrent à se balader. Ils essayaient de s'insinuer dans ma moule et dans mon cul et je me tortillais pour les en empêcher. J'essayai de m'enfuir mais ils me retinrent. Je dus les supplier :
- Les gars, vous aviez promis... Maintenant, laissez-moi !



Finalement, le type dans la voiture sortit et pointa son arme sur eux. Ils prirent peur et s'enfuirent aussitôt. Je pus rentrer dans la voiture sans dommage.
- Tu n'as pas eu trop peur ?
- Pas trop mais ces gamins m'ont finalement bien excitée...
C'est vrai qu'à être nue ainsi, j'avais une irrésistible envie de sexe. Je commençai à me toucher. Mon kidnappeur observait les pointes de mes seins qui étaient effectivement tendues.



Il bandait très fort dans son pantalon. J'avais presque pitié de lui. Il remarqua que je regardais son entrejambe :
- Sors-la et suce-la.
Je m'exécutai sans broncher. Finalement, il ne me faisait pas si peur et j'avais vraiment trop envie de le sucer.
Il s'arrêta sur le bord de la route et retira tous ses vêtements avant que je n'entame la fellation tant attendue.



J'y mettais tout mon cœur mais il devait être quand même particulièrement excité car il ne fut pas long à jouir. Il explosa en se masturbant devant mon visage, inondant ma bouche et mon menton de son jus épais. J'eus un petit orgasme qui ne lui échappa, semble-t-il, pas vu son petit sourire satisfait.



Il devait quand même être surpris car il me demanda :
- Tu as joui ??
La bouche pleine de sperme, je ne lui répondis pas et lui souris en guise de réponse.



Il me donna un mouchoir en papier pour m'essuyer le visage et nous reprîmes la route. Nous arrivâmes finalement dans le parking en sous-sol d'un hôtel. Le lieu était quasi-désert. Une fois sortis de la voiture, nous n'empruntâmes pas les passages balisés. Il semblait bien connaître l'endroit et me fit passer par un accès réservé au personnel. Il n'y avait heureusement personne car j'étais toujours nue.



Il me dirigea vers l'escalier. Si nous y croisions quelqu'un cela serait embarrassant. Je lui demandai s'il était possible de prendre l'ascenseur. Il sembla réfléchir au meilleur choix stratégique à faire. J'attendais sa réponse devant l'ascenseur.



Finalement, il se décida :
- Non, prend l'escalier !
Je montai sans discuter. Derrière moi, il me demandait de temps en temps de m'arrêter et d'écarter les jambes pour profiter de la vue...



Il me conduisit jusqu'à une petite pièce vide, comme un ancien local technique. Là, il me demanda de me mettre à quatre pattes. Jusqu'ici, il s'était contenté de regarder, sans même me toucher, si on exclut la fellation dans la voiture. Je savais qu'il allait maintenant passer à l'acte. Son plan semblait bien préparer. J'étais extrêmement excitée. Maintenant j'avais très envie qu'il me prenne.



Il s'approcha et retira son masque. Je fus subjuguée. C'était Axel ! Et j'étais tellement sûre qu'il était déjà reparti que je ne m'étais pas imaginée un seul instant que tout cela puisse être une blague de sa part. Il ne me laissa pas le temps de réagir qu'il se mit à me lécher l'anus. Cela eut son petit effet car je me laissai aussitôt aller à ses caresses buccales, oubliant du coup de lui crier dessus.



Quand sa bite vint pénétrer mon anus, je reconnu avec certitude qu'il s'agissait bien de Axel. Comment ne l'avais-je pas reconnu plus tôt alors que je l'avais sucé dans la voiture. J'aurais dû reconnaître sa bite, son sperme dans ma bouche. Toujours est-il qu'il me sodomisait majestueusement bien et que je ne m'imaginais plus lui reprocher son petit jeu qui m'avait finalement drôlement excitée.



Comme il était lui aussi sévèrement excité, je me doutais qu'il n'allait pas tarder à jouir. Avant que cela n'arrive, je lui échappai et je me retournai pour lui présenter mon visage. Il ne lui fallut que quelques coups de poignet pour éjaculer. Alors que le sperme venait s'écraser sur mes joues et mon menton, je laissai l'orgasme m'envahir. Malgré ma fellation dans la voiture qui aurait dû lui avoir vidé les couilles, Axel continua de jouir de manière tout à fait honorable avec quelques jets assez puissants qui m'arrachèrent quelques cris de plaisir.



J'avais du sperme plein le visage et j'étais heureuse de ce dénouement :
- Tu m'as bien menée en bateau, salopard !
- De ton côté, tu ne t'es pas trop opposée à mes injonctions...
- Tu m'as bien excitée !
- Et je te retourne le compliment, ma belle...



- J'ai finalement adoré ce petit simulacre d'enlèvement et de viol. Mais je t'avoue que je suis encore plus heureuse que ce soit toi qui en soit l'auteur !
- Je ne tenais plus sans toi...
- Je crois qu'il va être temps de rentrer...
- Tu ne veux pas revoir William pour lui dire au revoir ?
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28. La confrontation

C'était notre départ définitif. Axel avait prolongé de quelques jours notre séjour, n'arrivant pas à se résoudre à rentrer seul. Maintenant qu'il m'avait récupérée, il nous fallait rentrer. Axel ne m'en voulait manifestement pas pour ma petite escapade car il m'avait proposé de faire mes adieux à William. J'avais accepté et je m'étais imaginée qu'on passerait chez lui en partant, juste quelques minutes. Mais Axel était un mec bien et il avait carrément invité William à venir lui-même nous dire au revoir la veille au soir.
La suprise fut totale quand il me dit :
- On va avoir un invité, ce soir.



Je lui souris et me trémoussai sur le canapé et écartai les cuisses. Je n'avais pas encore compris de qui il s'agissait :
- Qui donc ?



- Tu le connais...
- Ah oui ?
- C'est notre proprio, William...
Je rajustai ma robe, un peu sous le choc de l'annonce car je ne m'attendais pas à cela de la part d'Axel.
- Tu es sûr que c'est une bonne idée ?



- Il veut savoir pourquoi tu n'es pas revenue...
- Je pensais qu'on aurait pu passer chez lui demain matin en partant.
- Mais ce sera l'occasion de te faire deux mecs non ?
Axel était vraiment très pévenant. Je m'affalai sur le canapé, considérant finalement que c'était une excellente idée. Cela m'excitait déjà à l'avance et Axel dû s'en rendre compte car j'étais cuisses écartées et j'avais laissé une bretelle de ma robe glisser de mon épaule, libérant un sein.




William arriva, ponctuel. Quand Axel lui ouvrit, il resta quelques secondes à le jauger comme s'il essayait de comprendre ce qui pouvait me plaire chez Axel. Après les politesses de rigueur, il se tourna vers moi, sans manifestement se formaliser que ma robe dévoilait un de mes seins nu, et me demanda :
- Pourquoi ne pas m'avoir dit que tu avais un petit ami ?
- Oh, nous sommes ensembles, mais ça ne nous empêche pas d'avoir des relations sexuelles par ailleurs.
Axel ne me contredit pas et illustra même aussitôt mon propos en libèrant mon autre sein et en soulevant ma robe pour me caresser la moule.



Axel fit une invitation très directe qui me surprit moi-même :
- Si le coeur vous en dit cher William, la petite a un appétit suffisant pour deux.
William ne sembla pas choqué par la proposition et renchérit même avec un petit sourire :
- Je la sais bien gourmande, effectivement...
William s'approcha et je me retrouvai encadrée par mes deux amants. Je voyais déjà des bosses se former dans leur pantallon et je ne pus m'empêcher des caresser les deux queues à travers les pantalons.



Je ne pus résister longtemps à les libérer tous les deux pour les branler. Chacun observait la bite de l'autre se demandant probablement quelle était la bite que je préférais. Axel passa une main devant moi et me doigta le clito alors que William m'embrassait à pleine bouche.



Axel finit de me retirer le haut de ma robe afin de bien dégager ma poitrine. Je me redressai et les invitai à se mettre debout sur le canapé pour que je puisse les sucer. Ils semblaient tous les deux prêts à obéir au moindre de mes désirs. J'en mouillais d'avance... J'alternais donc ma fellation entre ces deux belles queues que j'aimais tant faire éjaculer.



Axel, pas très à l'aise, retira son pantallon. Sa queue, fièrement dressée, m'attira comme un aimant et je me mis à quatre pattes pour le prendre en bouche. William, resté derrière, ne perdit pas son temps et me caressa la moule tout en enfoinçant son pouce dans mon anus. Voyant que ses caresses me faisaient m'arrêter de sucer Axel, William continua de plus belle et se mit même à me lécher l'anus, m'arrachant déjà un petit orgasme bien agréable.



Mais comme ce salaud de William m'empêchait de sucer Axel, je me retrounai et pris la queue de William en bouche. Axel mit à profit ce retournement de situation pour me prendre en levrette, enfonçant profondément la queue que j'avais sucée quelques minutes plus tôt.



Après quelques minutes, je sentis que ces messieurs commençaient à s'habituer à cette position et je décidai donc d'en changer. je me dégageai et je fis asseoir William pour m'empaller sur lui. Axel vint se mettre à côté pour se faire sucer, ce que je fis de très bonne grâce.



William s'amusait à me torturer les mamelons, c'était un peu douleureux mais finalement très excitant. Mais n'appréciant pas plus que ça ce genre de chose, je proposai aux garçons d'échanger. Axel s'assied aussitôt à côté de William et je transférai d'une bite à l'autre en prenant à peine plus de temps qu'il ne faut pour le dire. Tourant le dos à Axel, j'étais plus à l'aise pour sucer William. Celui-ci commençait à être particulièrement excité et je le trouvai énorme dans ma bouche.



William semblait vraiment apprécier mon jeu de langue autour de son gland, ma bouche autour de sa hampe. Je crus même qu'il n'allait pas tarder à jouir. Je voulus arrêter pour qu'il se calme et que le plaisir dure plus longtemps, mais il resta ficher dans ma bouche donnant des coups de reins alors que j'essayais de me dégager, se servant de ma bouche comme s'il s'agissait de mon sexe.



Je parvins quand même à la calmer et à l'obliger à sortir de ma bouche, en le masturbant un peu. Je sentis qu'Axel me soulevait par les fesses, se retirant lui-aussi de moi. Mais c'était pour m'empaller à nouveau sur sa bite, mais par le cul cette fois, profitant que mon propre poids allait lui permettre de s'enfoncer en moi particulèrement loin. William me redonna son sexe à sucer mais je le pris sans trop de conviction, toute occupée que j'étais à profiter de la sodomie qu'Axel m'offrait.



William, un peu lassé par mon manque d'implcation dans la fellation, s'assied à côté de nous. Sa queue était énorme et je me penchai pour le prendre en bouche même si cette position m'étais nettement moins confortable. Axel en profita lui aussi pour changer de position et me prit en levrette à nouveau. Il passa une main sous moi pour me masturber le clito. Je sentis l'orgasme monter.



Mais les deux garçons le sentirent et, cruellement, s'arrêtèrent tous les deux pour se lever et changer de position. Axel me fit me rempaler sur lui. William ne vint pas m'offrire sa bite à sucer, il passa derrière moi et inséra sa queue contre mon anus. Axel calma ses coups de reins et écarta les fesses pour faciliter le passage à William. William put s'enfoncer en moi jusqu'à la garde, du coup de rein ample et vif. Je crus que j'allais jouir sur le champ mais je parvins à me retenir.



Mes beaux amants avaient beau chercher à essayer de retarder mon orgasme, eux-même n'en menaient pas large et je les sentis rapidement au bord de l'éjaculation. Evidemment, il était hors de question qu'ils jouissent ainsi. Je ne me donnais pas tout ce mal pour qu'ils éjaculent en moi. Je voulais les voir venir sur mon visage, sentir leurs jets s'écarser sur ma peau, les entendre hurler leur plaisir de me faire cette offrande. Je dus donc m'extraire de leur emprise et je me mis à genou pour les sucer.



William fut le premier à jouir. Il m'honora d'un premier jet particulièrement épais et puissant. Je sentis l'orgsame monter, irrésistiblement. De toute façon, je ne comptais plus résister... Son sperme envahit ma bouche. L'orgasme fut là. Ses jets continuaient de venir.



Axel ne put se retenir davantage et jouit à son tour. Ses jets saccadés vinrent m'inonder le visage alors que j'étais au plus fort de mon orgasme et que je sentais la cyprine s'écouler de mon sexe comme si j'éjaculais moi-même.



Quand les deux garçons eurent fini de jouir, les spasmes de mon orgasme commencèrent à se calmer et je pus reprendre mon souffle et retrouver mon calme. Alors que les gars se remettaient aussi, je profitai quelques minutes de cette sensation délicieuse du sperme craché par ces deux grosses queues qui m'ont donné tant de plaisir.



Tout le monde semblait satisfait. Au moment de faire nos adieux à William, Axel proposa à celui-ci de noter notre adresse et passer nous voir à l'occasion. Il est sympa cet Axel ! William ne refusa pas bien entendu et repartit le sourire au lèvre, heureux d'avoir gagné ce petit bout de papier sur lequel figurait notre adresse.
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29. Le challenge pour Axel

Bien que nous soyons rentrés à la maison, nos vacances n'étaient pas terminées. Cela faisait quand même du bien de retrouver son petit chez soi. La ville était déserte, tout le monde étant encore en vacances. A la fin du week-end de notre retour, Axel, reposé, m'exprima comment il avait ressenti ces vacances :
- Je me suis drôlement bien amusé. Ce sont probablement les vacances les plus excitantes que j'ai jamais passées. Mais je dois t'avouer que j'ai un peu flippé quand tu es restée chez William. J'ai cru que notre relation allait s'arrêter là...
- Qu'est-ce que tu es allé penser...
- Quand j'ai monté ma petite mise en scène pour te récupérer, je t'avoue que j'avais un doute sur le fait que tu acceptes de me suivre, même sous la contrainte.
- Oh... Tu n'avais pas à t'en faire.
- Ta réaction m'a grandement rassuré, même si je sais qu'il n'y a aucun contrat entre nous...
- C'est un contrat virtuel.
Il vint m'embrasser et en profita pour me caresser les fesses. Je le sentais déjà bander contre moi. Puis il s'écarta et me regarda, interrogatif :
- Durant ces vacances, tu t'es tapée plein de mecs et parfois plusieurs à la fois... C'est important pour toi la quantité ?
- Mmmh ? Question intéressante... Je dirais que ce n'est pas la quantité de mecs mais la quantité de sperme qui m'excite...
- C'est un peu lié, non ?
- Je ne suis pas certaine, non... Je te propose un challenge : pendant une semaine, tu te retiens de jouir et tu évacueras tout d'un coup en fin de semaine, pour voir. Qu'en dis-tu ?
- Je veux bien essayer, mais sachant comme tu peux être salope, je ne suis pas sûr de tenir une semaine !
- C'est pour ça que c'est un challenge ! Et compte sur moi pour le rendre difficile...

C'était un début après-midi chaud et ensoleillé. Nous sommes sortis aussitôt pour nous promener. J'avais enfilé un petit chemisier transparent et une jupe, sans sous-vêtement bien évidemment.



Axel reluquait régulièrement en direction de ma poitrine. Même menue, ma poitrine nue sous le chemisier faisait son petit effet. En passant devant une vitrine, je regardai mon reflet. Axel me dit en souriant :
- Tu n'es pas la seule à te trouver sexy, ma belle...
- Merci du compliment !
- Je te trouve sexy, c'est sûr, mais je parlais des gens dans le magasin...
C'était une petite boutique d'article de sports masculins et quelques mecs m'observaient effectivement derrière la vitrine. Loin de montrer de la pudeur, je m'étirais faisant saillir mes tétons sous le chemisier.



Je savais que cette forme d'exhibition gentillette excitait Axel, il me le fit d'ailleurs remarquer :
- Tu aimes bien t'exhiber quand je suis avec toi, hein ?
- Oui, car je sais que toi tu adores ça aussi !
Il ne répondit pas. Je tournai le dos à la vitrine face à lui et écartai largement les jambes. Ma jupe commença à remonter dangereusement. J'ondulai un peu du bassin, comme si je faisais l'amour à un homme invisible. Ma jupe acheva de se retrousser et je dévoilais à Axel mon sexe nu. Mais ce qui l'excitait encore plus, c'était de savoir que, derrière la vitrine, un groupe de gars se rinçait l'œil sur mon cul nu.



Je me réajustai et on reprit notre promenade. Je ne fis rien de plus ce jour-là, estimant qu'Axel avait eu sa dose. Bien sûr, le soir, ce fut abstinence. Le lendemain, je lui proposai une balade en campagne. Il ne refusa pas mais se doutait que sans les garde-fous que représente le public, je risquais de mettre la barre bien plus haute cette fois-ci (si je peux m'exprimer ainsi...). Et il ne se trompait pas. A peine sortie de la voiture, j'ai déboutonné ma petite robe sous laquelle j'étais forcément nue. Je lui tournai le dos et me cambrai comme pour lui offrir mon cul.



Il sourit :
- T'es vraiment qu'une salope. Sans ce challenge, je serais déjà en train de te culbuter !
- Tu bandes, là ?
- Bien sûr !!!
- Fais-moi voir...
- Pas question!
Je gardai la position en écartant largement les cuisses, lui révélant mon sexe nu et humide.



Il le remarqua :
- Finalement, ce challenge est aussi difficile pour toi !
- Non, moi je peux me masturber ou demander à quelqu'un d'autre de m'aider...
Je me penchai en avant comme si j'attendais le premier assaut.



J'insistai :
- Allez ! Montre-la moi !
- Contente-toi d'imaginer...
- Elle est comment ?
- Tendue au max...
- Viens me la mettre.
Je me mis à quatre pattes, soumise. Comment pouvait-il résister ?



Il me lança ma robe :
- Rhabille-toi ! On rentre. J'ai eu mon compte, là...
Je n'insistai pas, sachant que ce devait être un vrai supplice pour lui. Mais j'étais aussi un peu frustrée de voir qu'il était capable de résister. Et pour moi, en plus !!!
Arrivés à la maison, nous avons préparés le repas sans incident. Il résistait si bien qu'il n'essayait pas de me caresser sachant pourtant que j'étais nue sous ma petite robe. Moi, j'en profitais pour lui caresser l'entrejambe quand je passais près de lui. Il semblait être souvent en érection. Après le repas, en sortant de la cuisine, je me mis dans l'embrasure de la porte en lui tournant le dos et je me penchai en avant pour lui révéler ma moule :
- Tu as une capacité de résistance que je n'aurais pas soupçonnée...



- Et toi un don pour me faire bander en permanence que je ne regrette que rarement...
- Tu regrettes là ?
- On verra en fin de semaine.
- On va en ville faire un tour aux Grandes Galeries ?

Je restai sage dans la voiture pendant tout le trajet mais il savait que dans un lieu public j'allais me lâcher... Dès en sortant de la voiture, je me tournais sur mon siège, cuisses écartées, dévoilant mon sexe nu autant à Axel qu'au quelques personnes qui passaient à proximité dans le parking.



Une fois sortie de la voiture, je commençai à déboutonner ma petite robe. Un peu inquiet, Axel me demanda :
- Tu ne vas pas aller faire les boutiques à poil, quand même ?
Je ne répondis pas et terminai de faire sauter les boutons. Aussitôt, je rabattis les pans sur moi, empêchant de révéler mon corps nu.
- Tu vois, je ne suis pas à poil...
Nous montâmes rejoindre le premier étage des boutiques. Il y avait peu de monde mais les gens me regardait quand même en se demandant pourquoi je tenais ma robe ainsi.



Je voyais bien à la bosse du pantalon d'Axel qu'il bandait déjà. C'est d'ailleurs lui qui me proposa de prendre les escalators. Il me pressa devant lui de manière à me faire passer juste devant deux gars. Lui-même les laissa passer. Je voyais bien son manège. Aussi je tournai le dos aux deux gars et me cambrai un peu. Impossible pour eux de ne pas voir le bas de mes fesses et probablement mon sexe nu.



Bien que sur le côté, aucun des deux n'essaya de me dépasser. Ils restèrent sagement derrière moi à profiter du spectacle. Axel était ravi. Juste avant d'arriver en haut de l'escalator, je me tournai vers eux. Ils étaient rouge vif. J'ouvris en grand les pans de ma robe, dévoilant ma totale nudité. Ils en restèrent bouche bée même si le spectacle ne dura pas plus de deux secondes.



Les deux gars faillirent tomber en arrivant en haut de l'escalator, toujours sous le choc. Axel m'attrapa par la main et me tira vers l'escalator qui redescendait :
- On rentre, je ne vais pas tenir à ce rythme. T'es vraiment trop salope pour moi !
Il était juste devant moi. Je rouvris les pans de ma robe. Rien que pour lui (si on exclut les cinq ou six badauds qui passaient en bas.



On regagna la voiture rapidement. Sur le chemin du retour, il se concentrait sur sa conduite, faisant mine de ne pas s'intéresser à ma robe que j'avais négligemment laissée bailler sur moi, à peine tenue par la ceinture de sécurité. Une fois rentrée chez nous, je me suis débarrassée de la robe et me suis mise à préparer le repas du soir en tenue d'Eve. Il arriva derrière moi et resta dans l'entrebâillement de la porte :
- Tu es vraiment une magnifique salope !
- Ah oui ?



Je sortis de la cuisine, l'obligeant à se pousser pour me laisser passer. Je laissai négligemment une main caresser son entrejambe au passage. Je constatai ainsi qu'il était encore en érection. Il ne me toucha pourtant pas et me laissa rejoindre le salon. Je m'allongeai sur le canapé, sur le ventre, cul dressé et cuisses légèrement écartées.
- En tout cas, Axel, tu m'impressionnes par ta résistance à la tentation...



Il ne dit rien mais s'approcha. Il semblait bouillir intérieurement, sous l'effet d'un dilemme insoluble. Il en fallait sans doute peu pour le faire flancher :
- Moi, à ta place, j'aurais craqué depuis bien longtemps...
J'avais touché juste. Il retira rapidement tous ses vêtements et, sitôt nu, se pencha sur moi et me caressa la moule. Je mouillai abondamment et il ne résista pas à me mettre un doigt. Celui-ci glissait si bien qu'il en profita pour faire une incursion dans mon petit trou qui ne demandait pas mieux.



Je me cambrai aussitôt sous cette douce pénétration. Axel comprit que je ne montrerai probablement aucune objection à ce qu'il me prenne de ce côté-là. Il retira son doigt et m'enjamba sur le canapé. Je sentis son gland contre mon sexe. Il m'embrocha d'un coup de rein sec. Il resta quelques secondes à profiter du confort que lui offrait mon fourreau chaud et humide. Puis il fit quelques allers-retours afin de bien se lubrifier. Enfin, il ressortit lentement et vint faire pression contre mon anus. Sous l'excitation je me cambrai et donnai un coup de fesses vers lui. Cela fut suffisant pour que son sexe commence à s'enfoncer. Il poussa un râle de plaisir et j'en fis autant.



Il me sodomisa d'abord doucement, mais j'étais moi-même si excitée que j'allais au devant de chacun de ses assauts, l'obligeant petit à petit à accélérer la cadence. Il exprima son désaccord :
- Doucement, sinon je ne vais même pas avoir le temps de tout te mettre au visage !
- Tant pis !!!
Et je continuai à accompagner ses coups de reins de plus belle, trop excitée pour m'arrêter. Lui même semblait ne plus trop vouloir s'arrêter et il m'attrapa aux fesses pour me pilonner et aller encore plus loin en moi.



C'était fini pour moi. Je sentis l'orgasme monter et m'envahir totalement. C'était irréversible et il n'y avait plus rien à faire qu'à en profiter. Je me déchainais alors que mon corps était secoué par la jouissance et que j'hurlais des ignominies à Axel. Tout cela acheva aussi mon partenaire. Il s'arrêta quelques secondes. Puis, il cria tout en sortant sa bite de mon cul. Je sentis son sperme venir me fouetter les fesses alors que j'étais toujours sous le coup de mon orgasme.



A ce que je pouvais sentir, il m'honora d'une quantité de sperme tout à fait honorable et, au regard du challenge que je lui avais proposé la veille, j'eus la pensée furtive qu'on était sur la bonne voie. Axel se calma et essuya son gland contre mes fesses :
- Bon sang ! Si tu veux que je n'éjacule pas pendant une semaine, il va falloir que tu me foutes la paix...
- Je suis désolée...
- Mais je ne regrette pas cette fantastique chevauchée !



- Tu serais d'accord pour une nouvelle tentative ?
- Oh que oui !
- On va à la plage cet après-midi ?
- Je te vois venir... Tu vas te foutre à poil et me tenter, c'est ça ?
- Oui, mais il faudra bien que tu t'abstiennes puisqu'il y aura du monde !
- En espérant que je ne sois pas le seul à m'abstenir...
Je lui souris :
- Ou en espérant au contraire que les autres ne s'abstiennent pas. Car s'ils me comblent, je te laisserais sans doute tranquille.
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30. Le recrutement à la plage

Axel comme moi étions plutôt excités à l'idée d'aller à la plage pour s'acoquiner. Bien sûr le challenge était que j'excite Axel et qu'il résiste le plus longtemps possible. Mais pour moi aussi cela représentait un challenge, car le voir ainsi bander me donnait furieusement envie de le voir éjaculer et cela me rendait encore plus salope et, du coup, l'excitait encore davantage. C'était donc une véritable escalade dans l'excitation.

Pour une fois, j'avais pris le volant. Axel s'étonna de la route que j'empruntais :
- heu... On va où, là ? Tu viens de rater la route pour la plage habituelle...
- Je sais, je veux te proposer une autre plage.
Avec un sourire très satisfait, je garai la voiture sur un petit parking presque plein, juste sous un panneau le long d'un sentier menant à la plage. Ce panneau représentait des vêtements derrière une barre d'interdiction.
- Une plage nudiste ? T'es vraiment vache avec moi !
- Ne t'inquiète pas, cette plage est surtout fréquentée par des mecs et quelques couples. Peu de filles seules donc tu pourras te concentrer sur moi...
- Je ne suis pas sûr que ce soit rassurant...

Une fois arrivée sur la plage, je retirai ma petite robe et apparus avec mon petit bikini. Axel avait déjà le maillot qui se déformait. Je décidai d'aller me calmer par une petite baignade dans l'eau fraîche :
- Viens avec moi, ça nous fera du bien un peu de fraîcheur...
- Vas-y. Je préfère rester loin de toi pour le moment... Et je ne peux déjà plus retirer mon short sans attentat à la pudeur !
Je savais ce qu'il voulait dire. Je retirai mon soutien-gorge et laissai donc Axel pour aller me baigner. L'eau était finalement assez chaude et calma assez peu mes ardeurs. Mes pensées vagabondaient sur l'opportunité que représentaient les quelques mâles célibataires qui fréquentaient cette plage. Je passai quelques minutes à admirer un magnifique spécimen noir. Il venait d'arriver et son maillot de bain, très moulant dissimulait heureusement très mal un sexe plutôt imposant quoiqu'au repos. Lorsque cet homme abaissa son maillot, je pus me rincer l'œil en constatant que son sexe était réellement très long et épais. Je sortis de ma rêverie pour voir qu'Axel avait du réussir à se calmer car il avait retiré son caleçon. Je sortis de l'eau pour le rejoindre.



- Alors, tu t'es calmé, Axel ?
- Pas vraiment mais dans cette position, ça reste discret...
Il était allongé sur le ventre. Ces fesses nues m'excitaient terriblement et de l'imaginer en train de bander sur sa serviette n'arrangeait rien. J'avais une furieuse envie de le soulager tout de suite, peu importe nos voisins de plage !
Je m'allongeai à côté de lui.



Il tourna la tête vers moi :
- Tu te fous de moi ?
- Pardon ??
- On vient à une plage nudiste et toi, qui a un corps de déesse, tu gardes le bas de ton maillot ?
- Pour ce qu'il reste à voir...
- Ce n'est pas la question, on est sur une plage nudiste et je trouverai plus respectueux pour les autres que tu ne gardes pas ton string...
C'était plus un oubli de ma part qu'une marque de pudeur et Axel le savait parfaitement. Je retirai donc la culotte avant de m'étendre sur ma serviette à côté de lui.



Un petit tour d'horizon me fit prendre conscience qu'il n'y avait pas d'autres filles que moi dans cette partie de la plage. Beaucoup des mecs présents regardaient dans ma direction. L'un d'eux, sans doute aussi peu habitué au nudiste qu'Axel, ne cacha pas l'érection que je commençais manifestement à susciter.



Axel commençait à s'assoupir. Moi j'étais de plus en plus excitée. Je décidai de voir combien de mecs je pouvais faire bander. Je me levai lentement en regardant autour de moi. Les regards se tournèrent vers moi. J'estimais qu'il y avait cinq ou six garçons que ma présence intéressait. Je m'étirai en me cambrant et je pus voir d'autres tiges se gonfler ou se dresser. J'avais l'impression d'avoir dégoupillé quelques grenades qui ne demandaient qu'à exploser.



Je refis un tour lentement sur moi-même. J'étais bien l'objet du spectacle des six mecs qui nous entouraient. Je continuais à me tourner en restant un peu cambrer de manière à ce qu'il profite bien de mon cul nu. Nul doute que les plus observateurs parmi eux distingueraient ma moule trempée de mouille. Et de voir que plus aucun des six mecs autour n'avait la bite au repos n'arrangea rien à la fontaine qui me coulait entre les cuisses.



- Axel, je retourne me baigner. Tu viens ?
Je savais bien que je venais de le réveiller et qu'il n'avait aucune envie de se baigner tout de suite.
- Hein ? Non, je crois que je vais rester là, tranquille...
- Tant pis... je pense que j'aurais vite de la compagnie de toute façon !
Je partis en direction de la mer, me retournant pour regarder Axel. Intrigué par ma dernière phrase, il s'était redressé sur un coude et me regardait m'éloigner en souriant. Je vis ses yeux faire un tour d'horizon, il ne pouvait manquer de constater que les six mecs autours me dévoraient des yeux et bandaient méchamment. J'entrai dans l'eau en espérant que les garçons m'auraient suivie.



Mais probablement ralentis par la présence d'Axel, aucun des gars ne s'était levé pour me rejoindre. Je criai :
- Axel !!! Tu viens ???
- Non ! Pas envie...
- Et tes copains ??
Je l'aperçus me faire un large sourire. Il se redressa et s'adressa aux gars alentours, leur proposant probablement de venir me rejoindre avec un argument à deux balles du genre "ma copine n'aime pas se baigner seule"... Toujours est-il qu'il dut être convainquant car les six mecs se levèrent pour me rejoindre, la plupart encore un peu en érection. Je les attendais de pied de ferme.



Les six mecs arrivèrent, ravis de cette invitation improvisée. Chacun avait bien sûr parfaitement compris notre petit jeu à Axel et moi et tous commençaient à bander sérieusement. Ils se mirent autour de moi et se mirent à m'arroser (peut-être un idée d'Axel ?). C'était amusant de devoir bouger pour éviter les gerbes d'eau, poussant des petits cris de vierge effarouchée et admirant les sexes de ses messieurs balloter dans l'eau au gré de leurs mouvements.



Je pensais que ce petit jeu allait cesser assez vite et que ces messieurs viendraient plus au contact, mais il sembla que ce n'était pas le cas car ils continuèrent à m'arroser généreusement, se positionnant tous du même côté, comme s'ils voulaient me rabattre vers la plage. Je jetai un coup d'œil à Axel : il était debout, en érection et semblait attendre. Je compris qu'il avait finalement donné des instructions très précises aux garçons et que je n'avais pas d'autre alternative que de fuir.



De retour à ma serviette, Axel se moqua de moi :
- Alors ? Tu as bien rigolé ?
- Salaud, tu m'as prise à mon propre jeu... je me vengerai !
- Et comment ?
Sans lui laisser le temps de réagir, j'empoignai sa queue dressée et me mis à genou devant pour la prendre en bouche. Axel n'eut pas le cœur de me repousser. Il se contenant de gémir en bafouillant :
- Déconne-pas... Me fais pas jouir !



Heureusement pour Axel, mes amis de baignade arrivèrent alors que je le pompais allègrement pour le faire gicler. Tous affichaient de bien belles érections et j'abandonnai quelques temps la queue d'Axel pour observer tout ça. Je me dirigeai vers le noir et me mis à genou pour lui offrir ma bouche.



Ce ne fut pas long pour que tout le monde s'approche. Le noir céda sa place à un autre mec qui voulait aussi se faire sucer. Un autre s'était mis derrière moi et me caressait maladroitement la moule. Il finit par réussir à m'introduire un doigt entre les lèvres et entreprit de me branler. Dans cette position, ce n'était pas terrible, mais de me savoir le jouet sexuel d'un groupe d'inconnus m'excitait terriblement.



Un autre gars s'approcha pour se faire sucer. Mais celui déjà en place lui signifia qu'il ne comptait pas lui céder ma bouche tout de suite. L'autre derrière moi me força à écarter un peu les cuisses, lui facilitant l'accès à mon sexe. Il avait eut bien raison car sa masturbation était nettement plus agréable ainsi et il me fit significativement mouiller. Je fus surprise de le sentir retirer son doigt., mais ce n'était finalement que pour me pénétrer de son sexe. Cette levrette était très agréable et je devais arrêter de temps en temps ma fellation pour reprendre mon souffle.



Un autre gars s'était allongé à côté et se branlait en nous regardant. Axel était un peu plus loin à observer la scène. Le type que je suçais voulait manifestement faire une pause et se releva pour laisser sa place. J'en profitai pour me dégager de celui qui me prenait en levrette et vint m'empaler sur le type allongé à côté de nous. Un black vint aussitôt se placer derrière moi. Il appuya sur mes épaules pour me forcer à me pencher en avant et à me cambrer. Il pouvait ainsi accéder facilement à mon petit trou. Il y plongea un doigt et dut estimer que j'étais déjà prête car il remplaça rapidement son doigt par sa longue bite. Il rentra lentement. Cette seule sensation était terriblement agréable. Une fois entré complètement (je sentis ses couilles contre mon cul), il me sodomisa tranquillement. Un autre gars vint me fourrer son sexe dans la bouche.



C'était absolument divin de se sentir ainsi remplie avec une bite à chaque orifice. Mais le black accéléra bien vite la cadence et je crus qu'il était en train de grossir en moi tant il me défonçait. Celui en dessous avait bien du mal à tenir le rythme de la sodomie, peut-être aussi un peu gêné par la pression du sexe du noir qu'il devait aussi ressentir. J'étais au septième ciel et le plaisir procuré par cette double pénétration m'empêchait de me concentrer réellement sur la fellation du type devant moi.



Je sentis que la tension montait. Même ceux qui se branlaient autour avaient l'air fébrile et je me dis qu'ils allaient bientôt tous jouir.
- Allez, les gars, vous allez tous venir m'offrir votre crème !
Je me libérai, un peu à regret quand même, de la double pénétration et me mis à genou, le visage tendu vers le ciel. Les six gars vinrent se mettre autour. Axel restait à l'écart, en érection, mais ne se branlait même pas ! Les autres autours de moi s'astiquaient aussi bien qu'ils le pouvaient.



Ils ne furent pas long à jouir. L'un après l'autre, ils vinrent devant moi pour jouir dans ma bouche grande ouverte ou sur mon visage. Quand un avait fini, il se poussait et un autre le remplaçait. Dans un état second, j'avais l'impression qu'ils formaient une ronde autour de moi et je me demandai même si certains n'avaient fait plusieurs passages car j'eus l'impression de voir passer plus de six bites.



Tout ce sperme ! Toutes ces splendides bites crachant leur plaisir ! Pour moi ! Pour moi seule... Et je sentis l'orgasme qui montait alors que seulement deux gars étaient venus jouir sur mon visage. L'orgasme me prit toute entière, secouant mon corps comme si j'étais prise d'une démence soudaine. Je crois que c'était un des plus puissant orgasme que j'avais jamais eu.



Le visage couvert de semence, je tournai la tête et réussis à entrouvrir un œil. Les gars retournaient à leur serviette. Axel s'approchait de moi :
- Alors ma chérie ? Ces messieurs t'ont-ils comblée ?
- Oh que oui ! Et toi, tu as tenu le choc?
- Oui mais c'est tout juste ! C'est heureux que tu aies les yeux couverts de sperme car il te suffirait sans doute de me faire ton fameux regard de salope pour que j'éjacule trois litres de sperme...
- Trois litres ?! Ne me tente pas avec de tels arguments ou je ne te laisse pas rentrer à la maison sans que tu ne me vides tes couilles au visage. Et tu auras perdu ton challenge !!!



- Tu parles, aujourd'hui, il n'y a que moi qui participe à ce jeu. Ta propre abstinence n'est qu'un vague concept...
- Hey chérie, si on demandait à nos amis de revenir demain et, eux aussi, de tenter de résister ?
L'idée était lancée. Axel fit aussitôt les invitations et tous acceptèrent de très bon gré de se prêter à l'expérience.

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31. Le challenge à plusieurs à la plage

Axel tenait le coup. Il avait réussi à se contrôler sur la plage nudiste la veille alors que j'étais en pleine partouze avec six inconnus. Il m'avait soigneusement éviter toute la soirée et avait même choisi de dormir sur le canapé du salon. Le lendemain, nous avions rendez-vous avec mes six partouzeurs qui avaient acceptés de se prêter au jeu et soutenir Axel dans son challenge. Eux aussi acceptaient de se retenir : ne pas jouir alors que je ferais tout pour les aguicher. Pour ce premier jour, j'avais passé une petite robe légère sans rien dessous. Axel trouvait cette robe particulièrement sexy et le fait qu'elle soit particulièrement courte y faisait beaucoup.



Quand nous arrivâmes à la plage nudiste, Axel me demanda :
- Alors, qu'est-ce que tu vas nous faire subir aujourd'hui ?
- Tu verras bien...
En disant cela, je me penchai en avant, jambes tendues pour faire saillir mon cul et surtout dévoiler mon entrejambe nu que ma robe ne pouvait ainsi plus dissimuler. Je vis Axel porter la main à son caleçon déjà bien tendu...
- Damnée tentatrice !!



Arrivée sur place, les six autres gars étaient là, fidèles au rendez-vous. Ils s'étaient rapprochés un peu plus les uns des autres mais gardaient quand même une distance de sécurité. Ils étaient déjà nus et je pus constater que certains commencèrent à bander en me voyant arriver. Je retirai ma robe, suivie avec attention par sept pairs d'yeux. Je m'installai sur ma serviette, offrant aux garçons une vue magnifique sur mon cul.



- Est-ce que quelqu'un peut me mettre de la crème solaire ?
Je les vis hésiter, tiraillés entre le désir de pouvoir me caresser et la volonté de gagner ce challenge. Tous semblaient ruminer ce dilemme mais aucun ne céda. Pas même Axel.
- Ok, je vais me débrouiller seule. Je comprends...
Je me mis donc de la crème, aussi sensuellement que possible, prenant bien mon temps pour oindre ma poitrine mais surtout mes fesses, mes cuisses, mon ventre et mon entrejambe. Quand j'eus terminé, plus aucune bite ne trainait au sol, elles étaient toutes magnifiquement dressées vers le soleil. Je m'allongeai sur le dos cuisses écartées.



Après un petit somme, je pus constater que la plupart des challengers s'étaient aussi assoupis. Seuls Axel et un autre gars étaient encore éveillés et bandaient encore un peu. La journée était bien entamée et je décidai que ça irai pour aujourd'hui. Les gars parurent un peu déçus mais ne se plaignirent pas, sachant sans doute que le jeu allait continuer le lendemain.

Le lendemain, Axel m'avait choisi une petite robe, toujours très courte, qui fit sensation. Quand nous fûmes arrivés sur la plage, les six garçons nous attendaient et je les vis se mettre à bander avant même que je ne retire ma robe. C'était assez spectaculaire ! Je me penchais un peu en avant pour leur permettre d'en voir un peu plus avant le déballage complet.



Je retirai enfin ma robe. Un des gars me demanda :
- Vous ne nous avez pas demandé nos noms, ça ne vous intéresse pas ?
- Non, ce qui m'intéresse, c'est de savoir combien de temps vous allez tenir !
- Et qu'est-ce qui te prouve qu'on ne se branle pas le soir chez nous ?
- Je pourrais facilement le voir...
- A quoi ?
- Simplement à la quantité de sperme ! J'ai une certaine expérience en la matière.
Les gars étaient soufflés de ma réponse. Je m'étirai un peu, par jeu.



Je me mis à quatre pattes sur ma serviette et attendis un instant, bien consciente du caractère particulièrement provocant de cette position. Je relançais ma demande de la veille :
- Quelqu'un pour le passer de la crème ?
Silence. Axel finit par répondre :
- Moi !



Il s'approcha et prit le tube de crème. Il s'en mit dans les mains et commença par mon dos. Il fit cela sereinement, se concentrant sans doute pour ne pas transformer le geste protecteur en une caresse sensuelle. Il m'en passa bien partout. Bien sûr il bandait dur, mais, le connaissant, je savais qu'il se contrôlait et que ce devait être très difficile. Il reposa le tube, assez fier de lui. Je m'allongeai sur le ventre, cuisses bien écartées et attrapai mon livre.



Quand j'en eus assez de lire et que j'estimai que mes fesses avaient suffisamment pris le soleil, je me mis sur le dos. Au passage je vis que tous restaient à me regarder et que tous bandaient plutôt bien. Ils avaient dû bien profiter de la vue sur mon cul et ma moule ! Sur le dos, je ne les privais pas du spectacle et gardait les cuisses écartées.



Comme la veille, je m'endormi un peu et certains des garçons aussi. A mon réveil, je sonnai l'heure de la fin de la séance de torture pour aujourd'hui.
Le troisième jour, j'avais choisi une petite robe très sexy et dont le bas était si court qu'il me couvrait à peine les fesses et la moule, m'obligeant à tirer dessus régulièrement par fausse pudeur. De temps à autre, ce geste faisant glisser les bretelles et libérait une partie de ma menue poitrine. Cela semblait beaucoup plaire aux garçons.



Je retirai la petite robe. Tous bandaient déjà bien. Je partis marcher un peu sur la plage. Je m'attendais à ce qu'ils me suivent pour profiter de voir mon joli cul rouler au rythme de la marche. Mais je pense qu'ils étaient un peu gênés de s'afficher comme un troupeau en érection.



Sur la plage, il y avait quelques nanas mais surtout des mecs et je pus constater que mon passage laissa des queues dressées derrière moi. J'hésitai même à proposer aux mecs bien foutus à venir se joindre à notre petite expérience (en espérant qu'ils acceptent mais ne réussissent pas à se contrôler). Mais j'avais déjà sept mecs qui bandaient pour moi pendant plusieurs heures depuis trois jours et je me dis que c'était suffisant.



J'allai me baigner. L'eau était un peu plus fraiche que les jours précédents et c'était tant mieux car j'étais dans un état d'excitation particulièrement avancée. Je revins vers le garçon en restant dans l'eau et ressortis de la mer quand je fus à leur niveau. Ils me guettaient tous les sept et Axel n'était pas le dernier à bander.



Je m'étonnai quand même que personne ne m'ai suivie. A leur décharge, tous étaient là, sur la plage et m'observaient, la queue dressée. J'étais plutôt fière de moi ! Je vis alors un vieux type assez laid qui venait dans ma direction. Il était nu et semblait assez décidé. Je n'avais pas vraiment envie de faire dans le social à cet instant et je décdai de retourner sur la plage rejoindre les garçons.



En revenant, je ne pouvais détacher mon regard de ce groupe en érection. C'était fabuleusement excitant et j'en mouillais rien qu'à les regarder. Là, ça faisait le troisième jours qu'ils se retenaient, quatre pour Axel. J'étais fière de lui ! Mais moi aussi, je me sentais à la limite de craquer et j'avais bien envie de cette formidable douche de sperme que représentait potentiellement sept personnes excitées depuis plusieurs jours qui se retiennent d'éjaculer.



Arrivée devant, je me suis allongée sur le dos, cuisses légèrement écartées. Je ne pouvais plus résister et il me fallait tenter de les faire abandonner ce challenge :
- Ah... s'il n'y avait pas ce foutu challenge, je crois que je vous demanderais à tous de venir éjaculer dans ma bouche et sur mon visage.
Il y eut quelques secondes de silence où tous m'observaient.



Les hommes sont faibles quand il est question de sexe (mon expérience en la matière me donne très peu de contre-exemple). L'un des gars se leva en disant :
- Bon et bien, considérez moi comme perdant. Je ne tiens plus.
Et il ne fut pas le seul. Presque tous se levèrent en se tenant la bite et s'approchèrent de moi en se branlant. Très vite, l'un d'eux se mit à grogner : il allait jouir. J'ouvris la bouche. Il s'approcha et à peine fut-il au-dessus de mon visage que son sexe se mit à cracher en tout sens, envoyant finalement assez peu de sperme dans ma bouche mais me couvrant copieusement le visage. L'orgasme ne se fit pas attendre.



Dans un état de demi-conscience, secouée par de violents spasmes grâce à cette généreuse douche de sperme, je les vis défiler l'un après l'autre devant mon visage pour se vider les couilles. Et il faut dire qu'elles étaient sacrément bien pleines. Mon orgasme fut un des plus long que j'avais jamais eu, tant ces bites n'en finissaient pas de cracher leur jus.



Quand le septième arriva, j'eus la surprise de voir qu'il m'envoya relativement peu de sperme en comparaison de ses camarades. C'est alors que je levai les yeux et compris qu'il s'agissait d'un deuxième tour : le premier gars a avoir éjaculé sur moi se payait une seconde éjaculation. Je compris alors que je n'avais eu que les six inconnus et qu'Axel avait réussi à se retenir.



J'en étais soufflée et, encore à me remettre de mon extraordinaire orgasme, je m'imaginais ce que représenterai l'éjaculation d'Axel quand il abandonnerait le challenge. Je le vis me faire un large sourire et je lui rendis, le visage recouvert du sperme de sept inconnus.



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32. L'achèvement d'Axel

J'étais si excitée à l'idée de faire jouir Axel après déjà quatre jours d'abstinence que j'étais en proie à un dilemme compliquer : le faire craquer ou bien continuer à le charger à bloc pour que ce soit encore meilleur le moment venu ? Je me dis alors que le mieux était de continuer à l'exciter mais de le faire en public pour l'inciter à se tenir à carreau. En restant isolés, nous risquions un dérapage. Même le soir, j'avais décidé de dormir dans le salon car la tentation était énorme pour moi de me saisir du sexe d'Axel et de le faire exploser. Il avait d'ailleurs acquis une sensibilité telle qu'Axel bandait à la moindre occasion. Le pauvre devait bien souffrir et je le trouvais bien courageux alors que moi, le soir, seule dans le salon, je me masturbais discrètement pour essayer de calmer mes ardeurs vis à vis d'Axel.

Le lendemain de notre escapade à la plage où le sperme avait coulé à flot (mais pas celui d'Axel), j'avais passé une petite robe assez courte. Je prenais un malin plaisir à montrer à Axel que je n'avais pas mis de culotte. Ayant prévue une promenade en ville, je savais qu'il se tiendrait alors tranquille, même si je voyais bien dans ses yeux la dure lutte qui faisait rage en lui à chaque fois qu'il apercevait mon cul ou ma moule.



Malheureusement, il faisait un temps de chien. La pluie battante refroidit nos envies de promenades et je sentis également qu'Axel cherchait moins à regarder. Il se calmait et ce n'était finalement pas plus mal. Je m'étais allongée sur le lit pour lire alors qu'il était allé prendre une douche. Quand il revint de la douche, une serviette autour de la taille, nous manquâmes de peu l'accident. En effet, j'étais allongée sur le ventre et ma robe dénudait entièrement mes fesses et ma moule. Je vis la serviette se tendre et se soulever.



Je crus un instant qu'il allait jouir juste d'avoir vu ça ! Heureusement, je me réajustait décemment et sortit de la chambre pour le laisser s'habiller tranquillement. Il m'avoua qu'à ce stade, c'était devenu une vraie torture. De mon côté, ce n'était pas facile non plus, mais mon envie d'aller encore plus loin était vraiment grande.

L'après-midi, le soleil réapparut. Sitôt le repas passé, nous sortîmes en ville. J'avais mis un petit tee-shirt qui moulait mes tétons et une mini-jupe que soulevais de temps en temps pour m'assurer qu'Axel ne risque pas de débander.



Le fait d'être dans un lieu public facilitait bien sûr mon audace car je savais qu'Axel n'allait pas oser sortir sa bite en public. Et l'après-midi se passa ainsi entre exhibitionnisme et voyeurisme. Et Axel ne fut pas le seul à en profiter !

Le soir, après un léger repas, je le décidais à m'accompagner en boîte de nuit. J'avais passé une petite robe noire assez sexy. Juste une petite robe noire. Sans rien dessous. Axel n'en ignorait rien bien sûr et je voyais à la bosse de son jeans que ça lui plaisait beaucoup. C'est moi qui conduisit jusqu'à la boîte de nuit. Avant d'entrer dans la boîte, je m'assis quelques secondes sur un banc, cuisses écartées.



- Salope ! C'est ce soir que tu veux m'achever ?
- Non, je pense que tu peux encore tenir...
- Moi, je ne crois pas !
Il se lança sur moi mais je rentrai dans la boîte avant qu'il ne soit sur moi. Une fois à l'intérieur, il fut bien obligé de se calmer. Je dansai en m'amusant à soulever un peu le bas de ma robe pour dévoiler quelques secrets. Beaucoup de gens me portaient un certain intérêt et se demandait si je portais ou non une culotte. Axel avait bien sûr la réponse à cette question et je le voyais bien à l'état de son jeans.



Quand nous sortîmes de la boîte de nuit, les deux videurs nous regardâmes nous éloigner. Avant d'être hors de vue, je m'appuyai à un pilier et je retroussai la robe sur mes hanches. Je savais qu'Axel était particulièrement sensible à ce genre d'exhibition. Les deux videurs rigolaient et l'un d'eux me siffla.



Axel n'en pouvait plus :
- Arrête où je te viole sur place !
- Devant ces deux armoires à glace ? J'aimerais bien voir ça !
- Ne me tente pas... Allez, rentrons !

Le lendemain, j'entrai nue dans la salle de bain alors qu'il était sous la douche. J'allai au lavabo. Dans le miroir, je voyais qu'il admirait mon cul et qu'il bandait déjà. Il ne se branla pas, mais je restai ainsi jusqu'à ce qu'il sorte, toujours en érection, et toujours les yeux rivés à mes fesses que je tentai de cambrer un peu.



Il me laissa entrer dans la douche sans me toucher, comme si j'étais en nitroglycérine. Il s'habilla et je me lavai. Bien entendu, je ne résistai déjà pas à me caresser l'entrejambe et mes doigts finirent par se perdre dans mon intimité en un lent va et vient.



Il me regardait dans le miroir tout en se rasant :
- Bon, je crois que ce sera le dernier jour.
- Oh non, s'il te plaît, tu peux encore tenir un peu, j'en suis certaine !
- J'ai failli jouir dans mon sommeil cette nuit.
- Tu déconnes ?
- Je fais des rêves torrides depuis plusieurs nuits et là cette nuit c'était moins une...
- Tu me racontes ?
- Quand cette histoire sera finie. Là je ne peux pas...
J'attrapai une serviette pour sortir de la douche.



Je commençai à me sécher. Axel me regardait toujours et j'imaginais qu'il bandait toujours aussi. Il finit par me dire :
- Tu es de moins en moins discrète le soir...
- Comment ?
- Quand tu te masturbes, tu ne fais aucun effort pour que je n'entende pas, au contraire !
- Ah... désolée... Ce n'est pourtant pas pour t'exciter, mais plus pour m'éviter de céder à la tentation de venir te rejoindre pendant la nuit.
Je me mis la serviette sur les épaules pour couvrir mes seins. Par contre mon sexe n'était pas caché du tout et cela n'échappa pas à Axel.



Je lui demandai :
- On sort se promener aujourd'hui ?
- Non, je crois que je vais aller faire les courses tout seul, car si tu m'accompagnes, je ne réponds plus de rien.
- Si tu veux. Moi je dois sortir ce midi et je reviendrai en milieu d'après-midi, ça va te permettre de souffler.
J'enfilai un tee-shirt moulant et une mini-jupe sans mettre de culotte.



- Tu vas sortir comme ça ce midi ?
- Heu... comment ça ?
- Sans culotte ?
- Bah oui, gros béta, j'en mets presque jamais, tu ne t'en rends compte que maintenant ?
- C'est pas ça, c'est juste que rien que de t'imaginer aller diner en ville dans cette tenue, ça me donne une gaule d'enfer.
Je le laissai à ses considérations. Quand je rentrai dans l'après-midi, je trouvai un mot de sa part indiquant qu'il était sorti se changer les idées. J'étais très excitées à l'idée qu'il avait passé la journée à m'imaginer me baladant en ville sans culotte et qu'il n'avait pas débandé. Je me mis à préparer le repas du soir en l'attendant. Quand il rentra, je filai dans la chambre prendre un grand voile transparent que j'enfilais sans rien mettre dessous. Axel accueillit mon apparition de manière mitigée.



- Alors c'est le grand soir ? me demanda-t-il.
- Comment ça ?
- Et bien mon supplice s'arrête ce soir et tu me fais la danse des sept voiles ?
- Ah bah, non. Je n'ai qu'un seul voile et je comptais juste entretenir ta flamme.
- Ma flamme ? Tu déconnes ! J'ai les couilles qui me font un mal de chien depuis trois jours et je bande quasiment en permanence. Le moindre geste déplacé de ta part pour venir à bout de près d'une semaine d'abstinence !
- Je vais donc faire attention à ne pas te toucher.
Je sentis bien que le repas fut difficile pour lui. Tout en passant son temps à regarder mes seins, il tenta de me convaincre qu'il ne pourrait pas tenir cette nuit et qu'il risquait de tout éjaculer durant son sommeil. En moi-même, je me dis que ce serait effectivement vexant mais j'étais prête à prendre le risque d'attendre encore.

Le soir, j'essayais de me masturber le plus discrètement possible. Au réveil le lendemain, j'étais décidée. Ce serait aujourd'hui ! Axel semblait dormir encore. Je passai une petite robe blanche. J'étais si excitée à l'idée que ça allait être aujourd'hui que j'eux l'irrésistible envie de me masturber. Seulement, je ne voulais pas prendre le risque de me faire surprendre par Axel au réveil. Comme sa chambre donnait directement sur le salon (où je dormais), je décidai de l'enfermer à l'intérieur de sa chambre. Je pris la clé sur la bibliothèque et verrouillai sa porte de chambre.

Je m'installai assise sur le divan, jambes écartées. Je fis glisser les bretelles de ma robe pour dégager ma poitrine et ma caresser les mamelons. Puis je retroussai la robe sur mes hanches et je commençai à me caresser. Puis je m'insérai un doigt, puis deux. Et je me masturbai ainsi dans le salon en rêvant à l'incroyable quantité de sperme qu'Axel allait faire gicler pour moi, persuadée qu'Axel dormait dans sa chambre.



Je jouis. Mon orgasme ne fut pas très violent, mais je comptais bien atteindre la jouissance extrême avec l'intervention d'Axel. J'avais un peu juté sur ma robe. Je la retirai et passai un petit débardeur. Axel était-il réveillé ? Je refis tourner la clé dans la serrure et retirai la clé pour regarder par le trou de la serrure. La lumière du jour envahissait la chambre mais je n'avais pourtant pas entendu Axel essayer d'ouvrir la porte. J'ignorai alors qu'il se tenait derrière moi et qu'il reluquait mon cul et ma moule.



- Qu'est-ce que tu fais, Sylvie ?
Il me fit sursauter. J'en perdis la clé.
- T'es con ! T'es sorti quand ?
- Je suis sorti il y a une petite demi-heure pour prendre une douche, tu dormais encore. Pourquoi ?
Je compris que j'étais bien plantée et qu'il aurait pu me surprendre n'importe quand pendant que je me branlais... Je me mis à quatre pattes pour chercher la clé tombée.



En me voyant ainsi à quatre patte, le cul dénudé, Axel n'y tint plus. La situation avait fini par réveiller en lui ses instincts les plus primaires.
Il baragouina :
- Une semaine ! Ça fait une semaine !
Il libéra une monstrueuse érection palpitante et je pris conscience que ses couilles avaient presque doublé de volume par rapport à d'habitude. Je m'en approchai avec précaution et je pris délicatement le gland entre mes lèvres en priant pour qu'il n'éjacule pas tout de suite.



Je pus le sucer et le lécher pendant près de trois minutes avant que je sente qu'il allait jouir. Mais il était si excité que même si c'était un vieux routier qui l'avait sucé, il aurait jouit tout pareil. Au moment de jouir, il attrapa sa queue et la sortit de ma bouche pour se masturber. Le sperme ne tarda pas à venir m'inonder le visage.



Il continuait à se masturber lentement en criant et son sperme n'en finissait pas se sortir. Les jets, très liquides et très chauds venaient s'écraser sur mon visage et me coulaient ensuite sur tout le corps avant de goutter sur le carrelage du salon. Mon orgasme monta avec une telle puissance que je crus perdre connaissance. Et mon orgasme me faisait vibrer de la tête aux pieds alors qu'Axel n'en finissait pas d'éjaculer en râlant son plaisir.



Quand mon orgasme s'acheva, Axel finissait tout juste de me vider les dernières gouttes de son sperme. J'en avais partout au point que je me demandai si ça ne représentait pas autant de sperme que trois ou quatre éjaculation normale. C'était comme si un groupe de mec venait de me jouir dessus en même temps. C'était une expérience incroyable.



J'étais ravie mais Axel me confia que ça lui faisait super mal aux couilles, depuis quelques jours, mais aussi après l'éjaculation. Il m'avoua avoir pris un pied d'enfer mais que le plaisir qu'il en avait retiré ne suffisait pas à faire oublier la douleur qu'il avait subie. Et il ne parlait que de la douleur physique alors que la douleur psychologique que j'avais moi-même endurée devait avoir été encore plus insupportable pour lui. Néanmoins, il me dit ne pas regretté de l'avoir fait... Et moi non plus !!!