Le Nouveau Monde

Le Nouveau Monde (publié par Asapzo le 05-10-2009)
La fellation miraculeuse (publié par Asapzo le 10-10-2009)
La partouze entre amis (publié par Asapzo le 16-10-2009)
Retrouvailles (publié par Asapzo le 25-10-2009)


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« Le Nouveau Monde « 



Depuis plusieurs mois un ami, Georges, me parle d'une de ses amies, Aline, avec laquelle passe quelques soirées apparemment torrides. Il a toujours un sens de l'exagération, mais là je décèle qu'il ne me ment pas. Je l'avais déjà rencontrée, avenante avec une belle poitrine comme je les aime. Elle était ronde, ce qui ajoutait à son charme. Nous sortions Georges et moi en quête d'un plan cul qui serait foireux comme chaque fois. Sur le trajet, il me parle de cette Aline et de ce qu'ils avaient fait la dernière fois. Elle l'avait massée à l'huile avec une certaine fermeté, ne laissant aucune partie de son corps sans caresses. Elle s'arrangeait pour l'exciter sans le faire éjaculer afin de faire durer leur plaisir. Ils se donnent du plaisir avec leur bouche: fellation, cunnilingus. Puis me raconte-t-il, ils jouèrent à des jeux les plus curieux avec des objets qu'elle voulait sentir en elle. Il me parle même de courgette. Il m'avoue qu'il n'avait pas été dérangé quand les doigts expert d'Aline s'étaient retrouvés dans son cul et qu'elle avait commencé à le sodomiser. J'explique à Georges que son histoire m'excite assez fort et que je commence à bander. Il me répond qu'il me comprend car lui-même doit se branler quand il y pense et que cela pourrait bien arriver s'il ne devait pas conduire.

La meilleure, me dit-il c'est qu'elle est tentée par un petit jeu à trois et qu'elle te trouve mignon.
Misère, mon sexe se tend complètement et dans un souffle ému je dis à Georges que cela a l'air d'une excellente idée. On essaiera d'organiser cela la semaine d'après. Notre soirée se passe sans surprise à tenter de lever l'une ou l'autre fille. Bon finalement, j'ai sympathisé avec une dame dix ans plus âgée que moi et pleine de potentiel. Georges a juste réussi à énerver quelques filles mais cela n'a pas entamé son enthousiasme naturel.

La semaine s 'écoule et la soirée s'organise. Aline allait nous réserver des surprises avait-elle expliqué. Le programme était le suivant: on se ferait une diner léger, puis on s'amuserait.

Le samedi, les préparatifs se font et vers 20 heures, j'arrive dans l'appartement de Georges. Aline venait d'arriver. L'appartement de Georges est immense, parquet de chêne blanchi (je crains qu'on ne le blanchisse encore un peu!), décoration sobre et moderne. Il n'y a pas de vis-à-vis et donc pas de tentures: nous voyons les lumières de la ville.

Je passerai plus de temps à décrie Aline. C'est une femme opulente.



Il n'y a pas d'autres mots. Il y a quelque chose d'oedipien: elle me fait penser à ma mère qui se serait transformée en amante après avoir été mère de famille.
Je la détaille et j'en ai le souffle coupé. Elle a une chevelure noire qui tombe en larges boucles sur ses épaules. Une robe lui arrive a la cheville, mais une fente laisse apparaître des jambes couvertes de bas noirs à couture. Sa cheville est un peu épaisse mais si bien galbée que j'ai envie de l'embrasser. Ses seins sont moulés et déforment si bien sa robe. Son ventre rond attire mon regard et j'ai envie d'y plonger entier.
Elle s 'était parfumée avec Quartz. Un parfum de femme sophistiquée et sûre d'elle. Toujours cette femme opulente.



Ses doigts, fins, étaient couverts de bagues, son cou était ceint d'un collier fantaisie, qui s'appuie lourdement sur ses seins. Elle avait un rouge à lèvres carmin.
Nous nous embrassâmes sur les joues, mais sa poitrine m'effleura et je frissonnai. Georges lui, était magnifique. Méticuleux, il avait tout préparé pour un repas agréable et une soirée qui s'annonçait comme délicieuse.
Nous bûmes un champagne excellent sans excès, afin d'être légèrement ivres sans que nos facultés n'en fussent affectées.
Aline eut l'idée de nous parler de ses domaines de prédilection: les relations entre les gens, le bien-être.



Nous nous installâmes dans le canapé qui faisait face à la baie vitrée pour boire ses paroles en imaginant les scénarios les plus lascifs. Nous entourions Aline. Son parfum m'enivrait, je voyais sa poitrine moulée dans sa robe. Ma main s'approcha de sa cuisse et effleura celle-ci. Je voulais voir ses bas. Georges, lui, remontait sa main vers sa poitrine. Elle nous sourit et nous embrassa l'un après l'autre. Puis elle se leva et s'approcha de moi. Georges se mit derrière elle et ouvrit sa robe. Celle-ci tomba et se fut l 'enchantement. Elle garda ses chaussures. Elle portait un soutien-gorge noir à dentelle qui lui remontait les seins.



Je voyais ses aréoles et sa peau sombre tachetée. Son ventre rond et un peu plissé était entouré d'une chaîne d'or lourde. Le fermoir était à hauteur de son nombril et la chaîne pendait jusqu'à son entrejambe. Je pressentais que cette chaîne avait souvent été maculée de sperme chaud des hommes qu 'elle avait séduit. Elle avait une culotte en dentelle échancrée qui lui délimitait les fesses et montrait ses poils pubiens taillés avec précision. Ses jambes étaient couvertes d'un panty sous sa culotte. Je ne tarderais pas à savoir pourquoi elle avait changé l'ordre logique. Georges et moi étions bouche bée devant ce spectacle. Elle remis son manteau pour accroître l'effet qu'elle savait faire sur nous. Elle noue demanda de nous déshabiller afin de pouvoir nous masser l'un après l'autre.



Elle m'enjoignit de me mettre sur le ventre et me massa avec soin, glissant une main téméraire entre mes fesses Sous prétexte de carresser mes couilles, elle effleura mon trou de cul. Georges nu nous observait et à genou, commençait à se masturber, doucement.



Sa bite avait la même taille que la mienne, ce qui ne devrait donner de complexes ni à l'un ni à l'autre: l'harmonie en quelque sorte. Aline me fit me retourner et je pus la voir splendide. Elle enleva sa culotte et le panty se révéla ouvert à l'entrejambe. Je vis ses poils pubiens noirs et drus. Ma queue enfla et elle s'installa dessus. Puis elle se coucha sur moi, le cul à l'air pendant que mes mains la pelotaient avec gourmandise. Ma queue la pénétra et peu après, Georges en priape victorieux, s'approcha de nous et entreprit de remplir l'autre orifice. Il l'enculait. Nos sexes remplissaient son corps et se frottaient l'un à l'autre. Chacun avait un plaisir décuplé. Puis, l'un après l'autre, nous eûmes nos orgasmes.



Avant que nos queues n'aient dégonflé, nous les retirâmes, prenant soin de retirer nos capotes. Elle contempla avec respect les réservoirs pleins de sperme. Je ne regrettais pas l'idée de Georges de faire une double pénétration et trouvais agréable d'avoir sentis son sexe contre le mien, uniquement séparé par une mince paroi. Nous nous serrâmes l'un contre l'autre encore transpirant.

Je flattai encore Aline de ma langue sur son sexe humide. Elle en était transie
Nous nous rafraichîmes et bûmes un coupe de champagne. Aline portait à la taille une superbe serviette, qui nous permettait d'admirer ses seins aux larges aréoles et aux longs tếtons. Ses seins de femme plantureuse, sublimes pendaient, comme nous invitant à les prendre en mains pour les redresser.

Georges et moi entourions encore Aline, lui caressant le dos, les seins les cuisses, avec une douceur infinie.

Aline me proposa alors de m'allonger dans le canapé et de clore les yeux. Elle posa sur ma tête un foulard, embaumé de son parfum. Sa chaine était toujours là battant sur ses cuisses. Puis à genoux sur le sol, elle me caressa avec douceur, flattant mes tếtons, ma toison pectorale, mes cuisses. Elle approcha se tête et doucement pris mon gland tendu entre ses lèvres. La fellation était douce et appliquée. Elle s'arrêta de me suceren continuant à me caresser. Je ne voyait rien mais imaginait son corps. Georges nous observait sans doute. Aline repris ma queue dans sa bouche et comme elle faisait jouer sa langue mon plaisir grandit. Je sentais le jus monter, et au moment ou il allait s'écouler dans sa bouche avide , Aline me parla et me demanda si cette pipe me faisait du bien. Je lui répondit machinalement que c'était délicieux. Puis j'eus un large sourire, comprenant la farce. Aline enleva le foulard et je vis Georges me sucer et avaler les dernière gouttes de mon sperme. Aline avait la main entre ses cuisses et se masturbait. Le monde basculait pour moi ou plutôt un univers de nouvelles possibilités s'ouvrait à moi. Georges s'approcha de moi et m'embrassa à pleine langue. Je goutais mon sperme dans ma bouche. Aline nous rejoignis et sa langue virevolta dans nos bouches.
L 'émotion passée, Georges parla et me dit qu'Aline et lui avaient le plaisir d'être bi et qu'ils avaient souhaité au moins m'initier à ce jeu. Je n'en voulais pas à Georges ni à Aline.



La suite, à vous de la choisir:
C'est ma seule expérience bi : récit à venir « Retour aux sources »{msg=1246}
Je découvre de nouveau plaisirs : récit à venir « Une fellation miraculeuse » {msg=1219}

Je vous recommande, Chers Lecteurs, de lire Alina Reyes « Derrière la porte »




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La fellation miraculeuse (suite 1-du Nouveau Monde)

Je quittai mes amis en les embrassant sur la bouche. Il était tard et nos corps sentaient le sexe.
J'étais troublé par la fellation de Georges.
La semaine s'écoula et l'idée de poursuivre la découverte de la bisexualité me titillait. Je me branlais en pensant à Aline, mais, plus curieusement, je me mettais à bander dans les circonstances les plus inattendues en pensant à ce que Georges m'avait fait : dans une réunion ennuyeuse ou dans un magasin.



Je ne comprenais pas. Toute femme avec des gros seins, des belles jambes, un peu âgée avec ces grosses poitrines dans un t-shirt moulant,



des laides avec un beau cul ou une jupe trop courte attirait mon regard ou me faisait tourner la tête et me donnait une secousse au niveau de la bite. En dépit de cela, dès que je pensais à la fellation de Georges, je triquais. Quel était ce mystère? Etre bi, voulait en définitive dire profiter de toutes les occasions. Je devais en avoir le coeur net.
Au bout de quelques jours, je n'y tenais plus et proposai à Georges de nous retrouver comme d'habitude, le samedi.
Aline n'était pas chez lui. J'appris plus tard qu'elle souhaitait que nous soyons seuls.
Je le vis, il était habillé de manière classique. Ma queue se dressa instantanément. Je ne l'embrassais plus sur les joues comme depuis tant d'année, mais clos les yeux et l'embrassai sur les lèvres.

Nous nous déshabillâmes dans les souffles brefs, et cherchions avidement la bouche de l'autre. Nous étions nus et en érection. Il me prit pas la main et m'entraina dans la salle de bain. De grand miroirs renvoyaient l'image de nos corps. Nous prîmes une douche ensemble, chacun savonnant l'autre dans ses recoins les plus intimes.

Nous nous séchâmes et entrâmes dans la chambre. Je pris doucement son sexe en main. Je sentais l'engin tressaillir. Curieux de toucher une autre bite que la sienne pour la première fois. Sa pine se durcissait, comme la mienne. Elle était belle, bien droite, avec un gland bien dégagé. Il n'avait pas de poils sur les couilles, ni d'ailleurs sur le corps. Je passais l'autre main sur sa poitrine glabre, sur laquelle je sentais le picotement des poils rasés de près. Ma bouche se pressa sur ses tétons. Je le regardais et il souriait de me voir si ému, lui qui n'ignorait pas mon attraction maladive pour les femmes structurellement 10 ans plus âgées que moi, avec des gros seins et des colliers en or. Ma bouche parcourut délicatement son ventre musclé et descendit le long de son corps. Je vis que de son gland suintant une goutte. Je m'agenouillai devant lui et, d'un geste naturel aspirai son sexe. Puis, je le libérai et le léchai depuis les couilles pendues jusqu'au gland. Je lui fis une pipe virevoltant de la langue, des doigts. Nous nous regardions parfois pendant cet office. Puis son souffle se fit plus court. Il tressaillit, sa queue se raidit et les jets de semence coulèrent dans ma bouche.
J'hésitai une seconde puis, fermant mes lèvres sur cette colonne, je gardai sa liqueur jusq'u'à la dernière goutte. Sans hésiter, j'avalai le liquide poisseux.
Je ressenti la même émotion que le jour où j'ai éjaculé pour la première fois en me masturbant et découvrant cette matière visqueuse et à l'odeur si pénétrante.
Je demandai à Georges ce qu'il en pensait. Il me caressa la tête.

J'étais excité et il me dit: « encule-moi ». Il me présenta son cul et, s'étant enduit du lubrifiant, il pressa mon gland sur son anus. Je poussai et mon gland disparu. L'impression était agréable et je me mis à le baiser. Il en redemandai, puis ce fut à mon tour de jouir. Il m'essuya le sexe et me remercia du plaisir procuré.
Nous reprîmes une douche et, épuisés nous nous couchâmes. Nous nous embrassions et nos jambes se mêlaient. Petit à petit nos bites se tendirent. Nos poitrines se gonflaient et nos sexes dardaient dans un duel magnifique. Je le pris en bouche et puis, voulant achever ma découverte,



je lui demandait de me dépuceler. Je me mis à quatre pattes, lui présentant l'orifice si mystérieux. Il me lécha puis glissa son doigt dans mon cul. Il commençait des mouvements précis. J'y trouvais du bien être. Tant dans le plaisir physique que dans la rupture d'un interdit. Il prit ensuite un gode, relativement petit « pour te préparer » disait-il. L'anus avait été lubrifié et ce gode me faisait du bien. Puis, enfin je le sentis, lui. Je poussai mon cul en arrière et sentit sa bite en moi. Il me caressait le cul et me bourrait lentement. Parfois il ressortait son gland qu'il faisait entrer immédiatement après. Quel délice d'être désiré ainsi. Soudain tout s'accéléra et il m'attira vers lui pour se vider dans les derniers spasmes.



Je n'avais rien ressenti de mal à cette aventure différente. Et je décidai qu'il était dommage de me priver de ces plaisirs. Je m'endormis auprès de Georges, révant de partouze bi avec des hommes glabres et des femmes plantureuses en lingerie.



J'avais en tête une petite surprise pour une amie...



Cette aventure m'avait donné envie de refaire du sport et de me faire raser.



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Suite alternative du "Nouveau Monde" ([histoires.php?num=1195])

Après cette soirée délicieuse où je découvris malgré moi le plaisir d'une fellation par un homme, je quittai mes amis en les embrassant à pleine bouche. J'en voulais un peu à Georges de m'avoir caché sa double personnalité et à Aline d'aller toujours au delà des limites. Je préférais des plaisirs plus hétéros - mais si toutes les bouches avaient la douceur de celle de Georges, je ne m'interdirais cependant aucun plaisir.

Nous nous appelâmes dans le semaine suivante, et petit à petit germa l'idée de faire une partouze. Je restais un peu sceptique, ne voulant pas réellement partager les femmes. Nous convînmes d'essayer Georges, Aline et moi de ramener chacun une amie. On serait 6 et deux queues, complétées par une ceinture gode qu'Aline nous promit d'étrenner.

Restait à choisir le lieu et le temps. Le choix des amies fut des plus simples. Aline n'eut pas de peine à faire venir une amie exotique - au nom prédestiné, Monique. Georges avait expliqué à une amie du nom de Michelle nos projets. Moi, j'avais l'intention de venir avec Françoise, une fille du bureau avec laquelle on échangeait quelques secrets. Françoise souhaitait un jour faire l'amour avec une fille, l'occasion était donc rêvée. Et moi j'avais envie de baiser Françoise.

Nous nous retrouvâmes chez moi, transformé pour l'occasion en lupanar: j'ai décoré un étage de tentures lourdes et de peintures bordeaux. Des dizaines de chandelles décoraient l'ensemble.

Mes amis apportèrent quelques cadeaux sous la forme de gravures libertines où toutes les possibilités entre personnes de tout sexe étaient évoquées. Je m'empressais de les accrocher aux cimaises. Cela pourrait nous inspirer.


Françoise était une grande blonde aux cheveux courts, aux yeux si bleus. Elle avait une petite poitrine que le miracle du wonderbra rendait irrésistible. Elle adorait le sexe. Les hommes ne regardaient qu'elle. Quelque foie en réunion, je bandais quand elle était près de moi. Elle le sentais et ça nous excitait.

Michelle était grande mais plus massive. Son visage était plus anguleux. Ses siens étaient gros. Ses hanches étaient étroites. Elle avait un visage masculin comme ceux qui m'attirent.
Monique était une femme élégante, qui ne paraissait pas ses soixante ans. Ses seins débordaient, l'or coulait de son corps. Toujours ces femmes opulentes. Elle concurrençait Aline. Mais je sentais déjà une complicité lubrique.

La soirée commença par des danses, de l'alcool. Exceptionnellement on pouvait fumer. La cigarette me dérange mais, j »ai une attirance extraordinaire quand, en fin de soirée, quand la danse a fait transpirer les corps, les femmes sentent ce mélange de cigarette, de transpiration et de parfum. En soi c'est dégoutant; mais dans la chaleur d'une nuit, cette fragrance est aphrodisiaque: la sophistication du parfum ne cache plus l'animalité de la transpiration.

Georges se collait à Michelle, Aline se frottait à Françoise, et Monique m'avait prévenu qu'elle me voulait dans son lit, mais sans exclusivité...Les seins de Monique, son odeur mêlée à la transpiration de son corps me faisaient bander. Cela la faisait rire et je sentais que je n'allaiq pas m'ennuyer?

Le temps se passe en jeux et chaque couple se glisse dans des recoins plus ou moins sombre. Après avoir bécoté avec Monique, nous nous prîmes par la main et nous cachâmes dans une des chambres.

Il faisait sombre mais je distinguais Georges a genoux devant Michelle debout, nue, avec ses seins tendus.

Je pensais qu'il pratiquait un cunnilingus, lorsque Monique et moi le vîmes sa tête osciller et sa bouche refermée sur une bite. Je ne mis pas longtemps à comprendre.

J'étais fasciné par le corps hybride de Michelle. En haut une femme, en bas un homme, et en plus avec une longue queue. Ce corps était superbe et je fus encore plus impressionné lorsque Georges se leva, se retourna en s'appuyant sur une table et se fit pénétrer pas Michelle.

Monique me pris par la main et s'entraina un peu plus loin. Elle était excitée.Puis; elle me demanda de me coucher sur un lit et de l'attendre un peu.Elle revient très vite. Ses bas, ses seins me plaisaient je bandais comme un fou. Elle me présenta sa chatte toute épilée et me guida.
Je commençait à la lécher quand je sentis un gout sucré dans ma bouche. Puis je compris: son sexe était oint de miel. C'était délicieux et je la léchais, tant pour le miel que pour son plaisir. Elle était heureuse de son effet et eu un orgasme violent. Nous baisâmes ensuite honnêtement, la fatigue ayant eu raison de nous.

Je pensai que Françoise était partie avec Aline, pour découvrir des plaisir sapphiques.



Françoise avait mérité d'être aimée et désirée. J'ếtais heureux pour elle que ses fantasmes se réalisent enfin.



Je me réveillai en érection et avec une bite raide entre mes fesses (heureusement pas dans mon trou de cul).
Devant moi Monique se collait à moi et derrière je sentais également des seins. Ce devait être la chimère de Michelle qui voulait me sentir près d'elle/lui. Les surprises de l 'érection matinale en quelque sorte.

...à suivre^ ---------oOo---------

Petite suite

Cette semaine, je vais revoir une amie avec laquelle j'étais sorti il y a quinze ans. Cela a duré un an puis on s'est un peu retrouvé pendant trois quatre an, couchant encore ensemble de temps en temps. Je pense encore souvent à son cul



à sa grosse poitrine



et à ses bas nylon



On avait gardé le contact, s'envoyant un mail de temps à autre. Elle habite à 300 km d'ici et depuis que je suis stabilisé, les occasions de m'échapper sont impossibles.
Ma compagne sens que si je vais à Paris seul, je ne passerai pas la soirée seule.
Sauf il y a 6 mois, à la faveur d'un hasard de calendrier, et d'une absence opportune de ma compagne et de ma fille, j'avais planifié en douce d'aller à Paris un soir, juste pour la voir. On a diné, et finalement - bien que je n'ai pas oublié son corps, on est resté à distance- une table de distance. Je ne regrette pas les 600 km et la nuit courte à me branler en pensant



à ce que l'on aurait pu faire. Cela faisait dix ans que l'on ne s'était plus vu et finalement on était éloigné.

J'avais encore essayé de réorganiser une virée comme celle-là sans succès. Puis elle m'a annoncé cette semaine qu'elle passait dans la ville de B** ce mardi et que l'on pourrait déjeuner ensemble avant que son voyage d'affaire se poursuive. Jusque-là rien de spécial si ce n'est qu'à proximité du rendez-vous j'ai un duplex provisoirement vide - absolument vide - et que je devrais bien un jour étrenner.
Alors voilà le petit suspense: lui proposerais-je de passer voir le duplex et nous arracherons-nous les vêtements



et gouterais-je à nouveau le goût de sa chatte,



ou irons-nous simplement manger une salade.

à mardi...