Femme enceinte - partie 1 (publié par Milan le 04-02-2011)
Femme enceinte - partie 2 (publié par Milan le 09-02-2011)
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Bonjour, aujourd'hui je voudrais vous raconter une de mes première fois mais pas n'importe laquelle : la première fois où j'ai fais l'amour à une femme enceinte.
Je suis grand, brun et mince ma femme me ressemble, du moins autant qu'une femme peut ressembler à un homme. En effet elle est grande, brune et mince. Mais ce qui fait toute la différence avec moi, elle possède, entre autre, une paire de sein à faire se damner tous les saints du paradis.
Ils sont fermes pointus et dotés de mamelons turgescent à souhait. Ceci des qu'on les caresse avec un peu de douceur et d'amour.
Mais à l'époque de cette histoire cela faisait des mois que je ne les avais pas contemplés autrement que furtivement au coucher ou au lever. Et oui, depuis que ma femme m'avait annoncé que nous attendions notre premier enfant, elle alternait les périodes de nausée à la moindre odeur soutenue et les périodes de douleurs intense dans le dos, dans le ventre, dans les jambes etc. Autant vous dire que toutes mes velléités de caresse sexuelles étaient vouées à un échec certain. Pourtant mon amour et mon désir suivait une courbe ascendante inexorable. Je voyais sa poitrine doubler de volume et ses courbes, auparavant anguleuses, se confondre avec les beautés des films de Fellini. Et bien qu'avant de la connaitre mon regard n'était attiré que par les beautés élancées mes caleçons devenaient trop étroits dès que j'apercevais la moindre parcelle de son corps dénudé.
Aussi ma surprise fut grande le jour où me trouvant dans la cuisine je l'entendis m'appeler de la chambre. En arrivant je la trouverais droite sur notre lit

et bien qu'elle porte encore un peignoir je retrouvais dans ses yeux une luminosité qui ne pouvait me tromper quant à ses désirs profonds.
Pour ne pas l'effrayer ni la faire languir je la rejoignais sur le lit et afin de la coller « au plus près » je me lovais dans son dos.

De cette place je pouvais admirer à loisir le reflet de son corps magnifique dans la glace de l'armoire. Comme je le supposais elle ne refusa pas que j'écarte les pans de son peignoir. Je savourais mon plaisir et le fis très doucement laissant apparaitre petit à petit son ventre et ses seins gonflés.

Mes mains se mirent à courir une danse effrénée le long de son ventre plein,

remontèrent sur ses seins d'albâtre,

descendirent s'égarer sur son mont de vénus fort proéminent.

Le majeur de la main droite s'égarait entre les lèvres de sa chatte tandis que celui de la main gauche parcourait le sillon de ses fesses avec autant de plaisir pour nous deux. Je la sentais trembler sous mes caresses et pourtant sa peau était chaude et douce comme celle d'une panthère en chasse.
Elle me regardait tendrement comme pour me dire « ça va, tu peux continuer, surtout ne t'arrête pas ». Et moi j'embrassais son cou,

je la léchais sous les bras

et je lui glissais à l'oreille « tu es la plus belle femme du monde ».

Lorsque son peignoir quitta ses épaules elle se retourna et fébrile entreprit de me déshabiller.

En un tour de main mon débardeur passa au dessus de ma tête.

Visiblement elle ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin, la fermeture éclair de mon jean ne lui résistât pas plus d'une seconde et sa main secourable libéra mon sexe qui se trouvait dans un état proche de l'apoplexie.

Sans me laisser le temps de réfléchir elle le prit dans sa bouche,

surement pour le récompenser d'avoir su attendre aussi longtemps sans se plaindre à la voisine (fort belle au demeurant). Plus elle accentuait la pression avec ses lèvres plus mon vocabulaire se rétrécissait

je ne parlais plus que par onomatopées ahhhh !!! ohhh !!! ouiuiui !!! non !!! rahhh !!! Soucieuse de ma santé mentale, de temps en tant elle laissait retomber ma tension en retirant ses lèvres de mon sexe et s'amusait à souffler dessus ou à ne lécher que le bout du gland sans s'attarder. Cela devenait presque un supplice tellement c'était bon.
Mais dans cette position elle ne pouvait pas prendre facilement l'intégralité de ma verge dans ses mains et elle m'allongeât sur le lit afin d'enlever complètement mon jean.

Elle reprit aussitôt ma queue dans sa bouche pour lui faire subir le même supplice il me semblait que mon sexe allait exploser à tout moments.

Je devais faire des efforts surhumains pour me retenir. Quand j'ouvrais les yeux mon regard contemplait sa bouche qui avalait complètement mon sexe et sentais le fond de sa gorge comprimer mon gland. J'admirais la chute de ses reins et voyait onduler ses fesses si charnues.
C'est à ce moment qu'elle relâcha mon vit et se recula au pied de notre lit.
Elle me regarda longuement. J'étais dans un drôle d'état, mon visage couvert de sueur, tous mes poils collés sur ma peau et le bout de ma bite qui, dépassant largement mon nombril, était saisie de soubresauts désordonnés comme un goujon fraichement sortit de l'eau.

Tout d'un coup elle se levât et allât s'assoir sur le grand fauteuil cuvette de la chambre en m'intimant l'ordre de ne surtout pas bouger. Elle calla ses fesses au fond et écarta complètement ses cuisses et me demanda « c'est vrai que je suis la plus belle femme du monde ? »

oh oui répondis je le souffle court.
« Et mes lèvres est-ce que tu les aimes ? » « Et mes cuisses est-ce que tu les aimes ? »

« Et mes seins est-ce que tu les aimes » « Et ma chatte est-ce que tu l'aimes ? ».
Elle se retourna et continua son manège digne de l'enfer « et mes fesses est-ce que tu les aimes ? »

« Et mon dos est ce que tu l'aimes ? »

« Et comme cela est-ce que tu m'aimes ? » « Et comme cela aussi ? »

« Oui, mille fois oui mais revient dans le lit » suppliais-je.
Fin de la 1ere partie^ ---------oOo---------
Femme enceinte partie 2
Aussitôt elle mit fin à mon supplice et se glissât sous mon épaule je l'embrassais sauvagement,

Mon sexe touchait son ventre et des décharges électriques nous parcourait lorsque mes mamelons touchaient les siens.
Je n'y tenais plus et ma queue trouvât toute seule son chemin écartant ses lèvres et n'arrêtant sa pénétration qu'en touchant le fond de sa matrice.
Je la tenais fermement par les hanches et mes couilles touchaient ses fesses.

Mais je ne voulais pas jouir sans elle aussi je me retirais et embrassais tout son corps ; tout doucement, sans en avoir l'air je me rapprochais de son entrecuisse, je « tâtais le terrain » avec mes doigts en écartant ses grandes lèvres puis les petites et je glissais finalement mon index dans son antre.

De mon autre main je caressais ses mollets puis j'embrassais tendrement l'intérieur de ses cuisses jusqu'à ce que mes lèvres se rapprochant imperceptiblement « échouent » sur son clitoris.

Il était là entre ses grandes lèvres, rouge comme un piment d'Espelette et gonflé comme une nectarine, il réagissait au moindre souffle.

Ma langue se promenait tout autour puis je le léchais sur toute sa longueur. Quand mon amour semblait sur le point de jouir je m'éloignais de son bouton d'amour et tirait sur les lèvres de sa chatte.

Des râles d'impatience s'échappaient du fond de sa gorge. Ne désirant pas la priver plus longtemps d'un plaisir plus que mérité je me remis à sucer son clitoris. Pour augmenter sa jouissance je tenais chacun de ses poignets très fermement comme si je la violais. D'un seul coup elle ne bougeât plus, les lèvres de sa bouche ne laissait filtrer aucun son ses cuisses s'ouvrirent en grand lorsque sa cyprine inondât ma bouche de son gout suave.

Je savourais encore son gout de pêche dans ma bouche et elle s'approcha de moi pour me lécher

« Est-ce qu'il ne s'ennuie pas trop ce petit ange ? » dit-elle. En entendant ces mots mon sang ne fit qu'un tour « ah je suis petit et bien tu vas voir » aussitôt je relevais ses jambes et la pénétrais au plus profond

Dans cette position, ses fesses sur mes cuisses je pouvais facilement la porter, rentrer et ressortir ma queue de sa chatte sans risque de lui faire mal. Mais elle me dit « vient plus profond je te sens mal » aussi je repliais ses genoux sur ses épaules afin de pouvoir buter contre ses grandes lèvres et que mes couilles glissent sur le sillon de ses fesses.

Continuant dans son jeu de provocation et de chatte en chaleur elle me susurrât à l'oreille « je veux te sentir plus fort » La prenant au mot je répondis « ah tu veux me sentir plus fort et bien retourne toi ». A ma grande surprise elle se retourna et me présenta ses fesses en me disant « qu'est-ce que tu attends ? »

Il ne fallait pas me le dire deux fois, je glissais un gros oreiller sous son ventre et la tenant fermement par les fesses j'insinuais mon gland entre ses globes charnus

A ma grande surprise je pénétrai son œillet sans difficulté et me retrouvais dans une gaine serrée et chaude bénéficiant d'une humidité inattendue.

S'allongeant complètement, ma chérie ne put retenir un râle de plaisir

Nous étions à l'unisson, je sortais et la pénétrais a nouveau sans aucune difficulté,

a chaque fois elle laissait sourdre entre ses lèvres un petit râle qui signifiait tour a tour «oui continu comme cela » « encore plus loin » «possède moi tout entière »
Il me semblait que cela ne s'arrêterais jamais que rien ne pourrais jamais nous séparer que nous étions ensemble pour l'éternité. C'est à ce moment que je senti ma chérie se contracter et son plaisir me submergea et j'ouvris grande les écluses afin que ma semence le remplisse tout entière. Nous restâmes un long moment l'un à cote de l'autre sans oser bouger pour ne pas rompre la magie du moment

Lorsque malheureusement je me résignais à sortir mon sexe de ses magnifiques fesses je pus constater que ma douce était vraiment « pleine » de tous les cotés
