Vendredi

Vendredi (publié par Milan le 19-02-2011)
Samedi matin (publié par Milan le 26-02-2011)


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Un weekend du 15 aout.

Vendredi

Cette histoire s'est déroulée durant la dernière grande canicule.

A la recherche d'un peu de fraicheur j'avais demandé à mes grands parents de me prêter, pour le weekend du 15 aout, la grande maison de famille située en Normandie. Ils ne s'étaient pas trop faits priés, surtout que je m'étais engagé à entretenir le jardin, arroser les massifs d'hortensia et tondre la pelouse...

J'étais à l'époque âgé de 25 ans, j'avais un bon travail à Paris mais pour ce qui est de la bagatelle je n'étais pas trop à la fête. Ma «fiancée» du moment n'ayant rien trouvé de mieux que d'aller suivre un stage d'allemand au fin fond de la Bavière.

Ayant toujours été partisan de me débarrasser des corvées le plus tôt possible je commençais mon travail des mon arrivée le vendredi matin. Sous cette température assez élevée je ne gardais sur moi qu'un short, histoire de profiter pleinement de ce beau soleil et de prendre quelques couleurs.

Mon grand-père étant un adepte convaincu des bienfaits de l'écologie et de la nuisance apportée par les moteurs 2 temps je ne disposais que d'une faux et d'une tondeuse antédiluvienne composée d'un simple rouleau de Lames fort bien aiguisées au demeurant. Le travail n'avançait pas vite mais cela avait l'avantage de se faire dans un calme presque reposant.

Dans ce silence pratiquement monacal, lorsque je passais le long de la haie séparant notre propriété de celle des voisins j'entendis à plusieurs reprises des bruits que je qualifierais « d'aquatiques », Clapotis tout d'abord, plongeons, éclaboussures, et beaucoup moins aquatiques mais plus intrigants : gloussements, rires et joyeusetés en tout genres. Tant et si bien que n'y tenant plus m'approchant du lieu où les bruits étaient les plus intenses je tentais de voir de quoi il en retournait en profitant d'une éclaircie dans la haie.

A ce moment là, je crus que Saint-Pierre venait de m'ouvrir les portes du paradis. Où que mon regard ne se porte je ne voyais que des femmes. En général dans le plus simple appareil et ce qui n'était pas moins excitant parfois ayant conservé, qui de la lingerie, qui le bas du maillot, qui une chemise. Ayant passé toute ma jeunesse dans la bourgade je n'eu pas de mal à reconnaitre :

Chloé, une camarade de 6ème B

Jennifer de la même classe

Martine, la secrétaire médicale du dentiste

Carole, la caissière du Franprix,

Mais je fus vraiment surpris de reconnaitre et en plus d'être fortement troublé par la nudité de :
Monique la pharmacienne

Marcelle la boulangère

Jocelyne la patronne du garage

Nathalie la femme du Notaire

mais surtout la voisine elle-même, Nicole la femme du Député


Ce fut la vue de ma voisine qui me fit me rendre compte que j'étais en train de me rincer l'œil et de bander devant un spectacle inhabituel pour moi : les corps dénudés de femmes ayant vingt ans de plus que moi.
En effet, toutes les séances masturbatoires de mon adolescence s'étaient réaliser uniquement en compagnie des minettes de 20 ans du magazine Lui et cela suffisait amplement à mes besoins génésiques.

N'y tenant plus je décidais de plonger directement dans notre propre piscine afin de calmer mes ardeurs, du moins l'espérais-je.
Mais il me fallut vite déchanter, ni la fraicheur ni l'exercice ne faisaient rien à l'affaire.
Après dix longueurs, allongé sur un matelas flottant j'arborais toujours un sexe bandé au maximum.


Je décidais donc de m'éloigner le plus possible et rentrant dans la villa je me dis qu'une douche bien froide résoudrait mon problème. Penses-tu, aussitôt dans la douche j'imaginais que Nicole m'avait précédé et ce à quoi je pensais

N'étais pas vraiment de nature à me « détendre »

En sortant de la douche j'enfilais un jean et m'allongeais sur le canapé du salon

Mais après quelques instant sans bouger, je compris enfin que si je voulais pouvoir terminer mon travail ce soir il fallait en passer par une séance «d'essorage complet». Je me mis à l'aise

et commençais aussitôt le « travail »


Mais j'avais beau essayer de penser à la dernière fois où j'avais enlacé tendrement ma petite amie

dès que je fermais les yeux,

l'image de ma main sur les gros seins de ma voisine et celle de ma queue pénétrant dans la chatte de Nicole venaient s'interposer.
.
Afin d'abréger ma souffrance je décidais d'avoir recours aux grands moyens et caressais alternativement mon périnée, mon téton et ma queue

Ainsi le résultat escompté ne se fit pas attendre trop longtemps

La tension étant retombée et après une nouvelle douche

je pus enfin retourné dans le jardin ramasser l'herbe coupée et laver la tondeuse.
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Un week-end du 15 aout.
Samedi matin

Il faisait un temps superbe ce matin la.
La température ayant accepté de redescendre en dessous des 20° j'avais pu pleinement profiter de cette nuit de repos. Et je peu vous dire qu'après le nettoyage du jardin ce n'était pas du luxe. Mes rêves avaient été peuplés de naïades en tout genre. Lorsque je m'éveillais vers 10h00 du matin je pris une bonne douche revigorante et je m'installais pour un « brunch » sur la terrasse. Pendant que je mangeais lentement je regardai la piscine et le jardin, tout était en ordre et le calme régnait. Dans ces conditions mon esprit vagabondait et les rêves de la nuit sortant des limbes de mon cerveau revinrent doucement à mon esprit. Et le contenu de mes pensées oniriques n'était pas sans m'inquiéter.
En effet si mes songes commençaient toujours par l'apparition de joyeuses nymphettes minces, sveltes et revêtues de dessous affriolants



Immanquablement celles-ci me conduisaient dans la chambre de femmes beaucoup plus avancées en expérience et pourvues de charmes plantureux.

Lorsque je m'approchais du lit de ces matrones les demoiselles disparaissaient et me laissaient seul en tête à tête, si j'ose dire, avec leur mères, leur belle-mère ou leur tante, je ne sais pas.

Invariablement ces beautés callipyges se déshabillaient et laissaient apparaitre des seins aux formes pleines des ventres rebondis et des chattes agrémentées de buissons dignes du bush australien.


De plus, loin d'être effrayé par le départ des jeunes filles, je me sentais presque rassuré, il me semblait tout au fond de moi que j'allais enfin pouvoir être rassasié et ne plus jamais manquer de rien

Maintenant que j'étais réveillé, le contenu de mes « ballades nocturnes » m'inquiéta quand même un peu : était-ce tout à fait normal de bander pour des femmes ayant l'âge de ma mère ?

Après avoir englouti tout ce que j'avais sorti du frigo je ne pensai plus à tout cela et je décidais d'aller en ville. Mes intentions étaient claires, je devais absolument séduire une jeune fille, la ramener à la maison et m'éclater avec elle le plus possible.

Aussitôt arriver en ville je déambulais dans les rues piétonnes de la cité balnéaire. Le cerveau en alerte maximum, les yeux aux aguets. Tout ce qui portait une jupe et passant à proximité était scruté, détaillé, jaugé. Mais dans l'égoïsme de ma jeunesse, une seule question cherchait vraiment une réponse : allais-je pouvoir la ramener dans mes filets ?

Assis à la terrasse du café de la plage je n'arrivais pas à faire mon choix ou plutôt je ne me sentais pas assez de courage pour accoster les jeunes filles d'autant plus qu'elles baguenaudaient souvent en compagnie d'une copine. Et cela suffisait à m'intimider. Pourtant la chance me sourit une charmante jeune fille apparut dans le café.

Elle était exactement le type que je recherchais : jeune et mince, habillée d'une jupe la plus courte possible et d'un gilet largement ouvert. Elle arborait une petite poitrine se passant allègrement d'un quelconque soutien gorge. Mais surtout le regard qu'elle posa sur moi enclencha directement le bouton on/off que tout homme possède dans son cerveau. Ce bouton de commande servant justement à déconnecter le cerveau du reste du corps pour ne laisser la place qu'a un seul objectif : baiser.
Elle vint s'assoir juste à coté de ma table et commanda juste une coupe de fraise.

La façon qu'elle eut de dédaigner l'usage de la cuiller et de saisir délicatement chacune des fraises par le bout des doigts et d'en croquer systématiquement la pointe avant d'avaler le reste du fruit d'une seule bouchée était tout bonnement diabolique.
Quand elle eut finit de déguster ses fraises une par une elle commanda un cône vanille. Elle suçait sa boule de glace comme si c'était le gland de son petit ami tout en jetant des regards dans ma direction.

Elle prenait tellement son temps que la glace finit par fondre et couler le long de son menton.
C'est à ce moment que je saisis ma chance je pris une serviette propre sur la table d'a coté, me levait et sans rien lui demander je me permis de lui essuyer tout doucement le menton.
Pendant que je m'asseyais tout naturellement à sa table, elle arborait un sourire narquois et je suis sur qu'elle pensait « et bien il lui en a fallut du temps ».
Ce n'était pas grave l'essentiel est que je sois à ses cotés et que je puisse engager la conversation.
Nous échangeâmes des banalités au premier rang des quelles venait la canicule et la difficulté de dormir la nuit....

Et bien sur j'abattais aussitôt mon joker « que diriez vous de venir dans la villa de mes grands parents, ils possèdent une piscine, certes modeste mais néanmoins fort rafraîchissante »

Pas plus de cinq minutes nous suffirent pour payer et rejoindre ma voiture.
Bien sur, pendant tout le trajet je ne perdais pas une occasion d'admirer ses jolies jambes qu'elle offrait généreusement à ma vue.