Le sauveteur

Le sauveteur - 1 (publié par Milan le 16-03-2011)
Le sauveteur - 2 (publié par Milan le 18-03-2011)


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Ma très chère Annie,


Tu ne vas peut-être pas croire ce qui va suivre et pourtant je te jure que c'est la stricte vérité.

Tu te rappelle la dernière fois que je suis venu chez toi pour me lamenter sur mon triste sort, que mon mari m'a quitter pour une jeunette, que maintenant à 65 ans passé je suis trop vieille pour trouver un amoureux, que je suis trop grosse etc.

Tu m'as répondu que ce n'était pas vrai qu'il suffisait que je reprenne confiance en moi et que tout s'arrangerait comme par enchantement.
Que par exemple je devrais commencer par faire du sport.

Je ne t'ai pas vraiment cru pourtant tes conseils me trottant continuellement dans la tête, la semaine dernière je me suis rendu au Décathlon le plus proche pour me choisir une tenue de sport adaptée à mon âge.

Tu te doutes bien que je ne suis pas allé acheter une tenue moulante rose fluo, non je suis resté classique et j'ai opté pour un survêtement gris clair. Avec cela j'ai pris une paire de baskets blanche toute simple. N'étant pas une spécialiste je me suis dit que tout cela suffisait amplement.

J'ai bien hésité trois jours avant d'oser enfiler cette tenue qui bien que classique ne me semblait pas franchement des plus féminine. Enfin, me suis dit « quand on veut être belle il faut souffrir ».

Donc hier je me décide enfin à faire un footing dans le bois juste à coté de la maison.

Tu m'avais dit qu'il fallait que je m'échauffe bien avant de faire des efforts et écoutant ton conseil j'ai fait des exercices d'élongations contre un tronc d'arbre. Tu me croiras si tu veux mais je m'y suis tellement bien prix que a peine j'avais pris mon élan pour courir que mon pied est tombé dans un trou caché par des herbes folle et je me suis affalé de tout mon long dans le fossé.

Ma cheville me faisait un mal de chien et je n'arrivais pas à me relever toute seule.

Mais heureusement pour moi un jeune homme très bien de sa personne est arrivé et très galamment m'a proposer de m'aider à me relever. Visiblement il était très fort car il m'a soulevé aussi facilement que si j'étais un fétu de paille.

Toute émue par ma mésaventure je n'hésitais pas une seconde et je m'appuyai sur son épaule.

Il me demanda si j'habitais loin et lorsque je lui indiquais la maison en tendant le bras, il me dit que cela ne le dérangeait pas du tout de me ramener. En plus j'avais vraiment de la chance car il me déclarât qu'il était étudiant en médecine et qu'une fois à la maison il examinerait plus longuement ma cheville pour savoir s'il fallait appeler des secours.

Tu sais comme je suis innocente et naïve et sans y réfléchir j'acceptais que mon sauveur me raccompagne jusque dans ma chambre.

Une fois là il me prit dans ses bras, me souleva sans effort apparent et me déposa délicatement sur mon lit.

Ensuite il entreprit de m'enlever mes chaussures. Tu sais comme je suis douillette et la seule pensée que je pourrais avoir mal me fit pousser un énorme soupir effrayé.

« Ah, c'est peut-être plus grave qu'il n'y parait » me dit-il. « Par précaution je vais procéder à une auscultation complète ».

A ce moment je me demandais bien où il voulait en venir mais j'étais loin d'imaginer la suite des évènements.
« Allez, enlevez moi tout cela déclarât-il sur un ton péremptoire » et moi bêtement je ne dit que « vous êtes sur Docteur »

Et avec un aplomb imparable il me répondit « Faites moi confiance ma petite madame je connais mon métier» et sans porter la moindre attention à mon étonnement grandissant il continuait à me déshabiller.

Tant et si bien que, sans que j'esquisse le moindre geste pour l'arrêter, il se retrouva calé derrière mon dos en train de me caresser, très doucement au demeurant, mes gros seins flasques.


Pourtant tu me connais bien Annie je suis plutôt prude et réservée, mais ce jeune homme très doux et très polis a eu raison de toutes mes défenses naturelles avec de simples phrases comme « je crois que vous êtes un peu tendue un massage complet devrais vous faire le plus grand bien ».

Et je me retrouve moi Noémie 65 ans avec un jeune homme, qui pourrait être mon petit-fils, en train de peloter allègrement ma généreuse poitrine. Il me semble que plus je le regardais avec des yeux de merlan frit, plus il accentuait son « massage » sans oublier bien sur les pointes de mes seins qui non contente de pointer vers l'avant prenait une couleur cramoisie très prononcée.


En tout cas, Annie, un massage comme celui-là je te le recommande. Pour être détendue j'étais détendue. Mais surtout une sensation que je croyais à jamais perdue pour moi envahissait tout mon corps. Une chaleur diffuse, à la fois confortable et excitante me recouvrait. Enfin la météo de mon entrecuisse virait à une hygrométrie franchement tropicale...
Tant et si bien que flottant dans un cocon douillet de béatitude, je ne fus même pas étonné que mon bel étalon abandonne sa position stratégique, se déshabille à la vitesse de l'éclair et me pénètre, avec une douceur incomparable, au plus profond de ma féminité.



Pourtant bien que plongée dans un état second j'eu la force de murmurer « surtout ne vas pas trop vite ». Tout en laissant sa queue fiché dans mon conin il me prit par les hanches et fit coulisser son divin manche avec délicatesse. Je sentais ses couilles battre contre mes fesses.

Ses mains se gardant bien d'oublier de caresser mes seins, je me surpris à également caresser son poitrail aussi musclé qu'un Apollon antique.


Peut-être fatiguait-il un peu ou voulait-il tout simplement varier les plaisirs et il s'allongeât dans mon dos.



Ses allées et venue prirent plus d'ampleur, le bruit du clapotis provoqué par ses pénétrations se confondit de plus en plus avec celle d'une cataracte en fureur. Pour ne pas me perdre il s'accrochât à mon sein gauche, tu sais le plus gros, et je ne dit rien d'autre que « ne t'arrête pas ! ».

Pourtant il fallait bien que cela ait une fin et il sortit son sexe flamboyant et répandit toute sa semence sur les poils de ma chatte.



la suite demain....
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Ma très chère Annie - suite.


Après ce feu d'artifice de sensations nous nous allongeâmes sur le lit.
Nous étions tous les deux l'un contre l'autre.

Est-ce que tu peux imaginer cela Annie. J'avais enfin un homme dans mon lit. Et pas n'importe lequel.

Mon cœur battait la chamade et ma chatte était en feu. Je n'arrivais pas à croire en cette réalité tellement improbable la veille.

Et pourtant tout cela était vrai.

Moi, blottit contre son épaule et lui avec une main nonchalamment posée sur mon sein droit.

Je baignais dans une félicité sans borne et lui ne prononçait plus un mot.

Mais que devais-je faire ?

Je me dis qu'au minimum il fallait que je prouve ma gratitude à mon chevalier servant.

Dans la position où nous nous trouvions, son glaive se trouvait à proximité de mon coude je fus fort étonné de le sentir frémir surtout si peu de temps après son exploit.

Peut-être devrais-je moi aussi lui prodiguer un « massage » ?

Aussi mon bras descendit tout le long de son magnifique corps.

Son sexe bien que souple avait conservé une certaine consistance. J'avais complètement oublié la douce sensation que procure ce morceau de chair lorsqu'on le saisit à pleine main. J'en profitais pleinement et j'alternais des effleurements et les prises en main fermes.

Mes doigts couraient tout le long de cette lance d'incendie. Et c'est avec un réel plaisir que je la vit se transformer petit à petit en un mat de cocagne du plus bel effet.
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Dans cet état il me faisait penser à un eskimo à la fraise et sans même que je réfléchisse je me suis retrouvé en train de le sucer...

Moi qui n'avais prodigué cette gâterie à mon homme que contrainte par ses exigences répétées, je me transformais en une vrai chienne lubrique.

Rien ne pouvait plus m'arrêter, pour ce prince charmant je devais devenir une Messaline des plus expertes.

Son sexe m'appartenait et je m'en servais à ma guise tout en veillant à ce que son désir croisse. Je me surpris encore plus lorsque ma langue s'égarât entre ses fesses et je compris vite que c'était loin de lui déplaire : son bassin avançait insensiblement vers ma langue et sa queue ne cessait de vibrer.

A un tel point que j'eu peur qu'il jouisse précipitamment. Lorsque j'abandonnais la feuille de rose je sentis qu'il était un peu déçu.
Aussi je repris derechef son chibre dans ma bouche.

Je voudrais avaler tout entier ce morceau de choix. Je ne sais vite que je lui procure beaucoup de plaisir car une de ses mains calée sur ma tête accompagne ma succion.


Malgré tout ce qui s'accomplissait je n'étais pas encore au bout de mes découvertes.

C'est à ce moment que je sentis un de ces doigts pénétrer ma chatte.

La surprise fut si grande et l'effet si intense que j'en ai lâché ma friandise.

et un flot de cyprine coulât sur son doigt.
Je ne savais plus où je me trouvais.

Instinctivement pour lui faciliter le « travail » je me tournais sur le dos.
Avec son doigt il appuyait sur mon clitoris et sa bouche avalait mon téton droit . Je fermais les yeux pour savourer le moment.

Un deuxième doigt vint rejoindre le premier et se frayât un chemin entre mes grandes lèvres. Je n'osais plus bouger de peur que tout s'arrête et mon plaisir recouvrait toujours ses doigts qui s'insinuaient de plus en plus profond dans mon intimité.


C'est à ce moment que ses lèvres abandonnèrent mes seins. Il recouvrit tout mon ventre de bisous plus légers qu'une plume, insistant sur mon nombril et s'égarant sur mes hanches. Mais insidieusement il se rapprochait de ma chatte.
Une deuxième déflagration me traversa lorsque sa langue effleura mon clitoris.

Jusqu'à présent, aucun de mes amants n'avait posé sa bouche sur ma chatte, encore moins sa langue sur mon bourgeon intime. L'intensité du plaisir ressentit m'était totalement étranger.
Et pendant ce temps le doigt resté dans ma chatte ne chômait pas. J'avais l'impression qu'il caressait mon ventre de l'intérieur. Par moment il posait son autre main au dessus de ma toison pubienne et les deux mains semblaient se rejoindre en produisant un arc de jouissance.

Il me semblait que je flottais sur un océan de miel et que de ma chatte s'échappait des litres et des litres de plaisir pur. Comme si j'avais gardé en moi, toute ma vie, cette jouissance pour l'offrir en une seule fois à ce jeune homme.

Ses premières paroles ne me surprirent même pas «allez maintenant tourne toi, je veux t'enculer »
Après tout le bonheur qu'il m'avait offert, il ne me demandait que la Lune, décemment je ne pouvais vraiment pas la lui refuser.

Il devait se retenir depuis très longtemps car à peine ses hanches touchèrent mes fesses que je sentis une explosion au plus profond de moi et je m'écroulais dans une ultime et fulgurante jouissance.

Mon plaisir avait été si intense que je n'eu même pas la force de lui en vouloir lorsque je le vit s'habiller et s'éloigner doucement du lit.
Je lui demandais simplement d'une petite voix «te reverrais-je ? » il répondit ‘oui bien sur » et nous échangeâmes comme de vieux amis un simple geste de la main qui voulait dire a très bientôt.

FIN