Mardi : Jeu de regards (publié par Simon le 01-04-2011)
Mercredi : Jeu de mains (publié par Simon le 06-04-2011)
Jeudi : Jeu de vilains (publié par Simon le 07-04-2011)
Vendredi : Jeu d'adultes (publié par Simon le 08-04-2011)
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Mardi : Jeu de regards
Nous sommes arrivés le lundi soir à notre gîte. Le propriétaire nous accueillit très aimablement et nous expliqua ce qu'il y avait à savoir, en particulier ce qui concernait la piscine :
- Vous pouvez utiliser la grande piscine qui se trouve le long de votre gîte. Elle est en partage avec le second gîte dont le locataire doit arriver le lendemain matin.
- Ok, pas de soucis.
Le choix de ce gîte était essentiellement dû à la présence de cette piscine. Que nous devions la partager ou pas, je ne pense pas que cela dérangeait Lisa, au contraire...
Lisa était déjà à déballer les valises quand le propriétaire se tourna vers moi et me dit :
- D'ailleurs, en ce qui concerne l'autre locataire, il m'a dit qu'il arriverait demain vers neuf heures et il y a des chances pour que je sois absent à cette heure-là. Est-ce que ça vous dérangerait de prendre les clés et de lui remettre demain quand il arrivera. Je laisserai un mot sur la porte pour qu'il sache.
- C'est un homme seul ?
- Oui.
Voilà qui allait plaire à Lisa...
- Pas de soucis, je lui transmettrai les clés.
Le propriétaire est reparti et nous nous avons terminé de ranger nos affaires.
Lisa me fit une proposition :
- Ce qu'on pourrait faire, c'est profiter de la fraicheur du matin pour aller se balader dans les environs et rester à se prélasser à la piscine l'après-midi. Qu'en dis-tu ?
- Ce serait parfait !
Et nous nous sommes couchés presque aussitôt, harassés par notre voyage.
Le lendemain, ayant l'habitude d'aller courir de bonne heure, je partis sans réveiller Lisa. J'eus quand même une petite hésitation car, il faisait si chaud dans la chambre qu'elle avait quitté sa nuisette pendant la nuit et dormait maintenant toute nue. Malgré l'érection qui commençait à déformer mon short, je la laissai dormir et sortis, en oubliant complètement l'histoire des clés pour l'autre locataire.
Pendant mon absence, Lisa s'est réveillée. Voyant que j'étais sorti pour courir, elle alla prendre une douche. Elle terminait tout juste de se laver quand elle entendit que l'on frappait à la porte de l'entrée.

Lisa pensa que c'était peut-être le propriétaire. Elle attrapa une serviette, s'essuya rapidement et se noua la serviette au dessus des seins. La serviette était un peu courte et cachait tout juste son entrejambe. Peu importe, Lisa n'est pas une fille très accrochée à la pudeur. Elle alla donc ouvrir ainsi, uniquement vêtue de sa petite serviette.

Lisa ne reconnait pas l'homme mais, après quelques secondes de surprise à la découverte de la jolie jeune femme, celui-ci se présente :
- Bonjour, je suis Eric. Je loue le gîte juste à côté du vôtre. Le propriétaire s'est absenté et a laissé un mot comme quoi c'est vous qui avez les clés de mon gîte.
Comme j'avais oublié de la mettre au courant, Lisa ne comprit pas trop ce qu'Eric voulait. Elle fit entrer Eric :
- Vous me laissez le temps d'enfiler quelque chose ?
- Je vous en prie.

Lisa le laissa dans le salon et passa dans la chambre, sans prendre la peine de fermer la porte. Elle quitta sa serviette pour attraper une petit robe. Eric en profita pour admirer la jeune femme nue, de dos. Elle revint dans le salon alors que la robe était encore un peu retroussée sur ses cuisses. Une fois Lisa assise, Eric crut distinguer l'ombre du sexe nu de la jeune femme. Il bafouilla :
- Le propriétaire a... a laissé un mot qui... que.. comme quoi il vous avait laissé les clés de mon gîte.
Lisa comprit en voyant son regard pourquoi il bafouillait et devenait tout rouge. Elle tira vivement sur le bas de sa robe pour couvrir le haut de ses cuisses.

- Ecoutez, je ne suis pas au courant... Je pense que le propriétaire a vu ça avec mon mari et il est parti faire un footing. Il ne devrait d'ailleurs...
C'est à ce moment que je revins et trouvai Lisa et Eric dans le salon de notre gîte. Je compris aussitôt qui était cet inconnu :
- Bonjour, je suis Simon. Vous devez être le locataire de l'autre gîte.
- Oui, moi c'est Eric.
- Je vais vous chercher vos clés.
Alors que je lui tendais ses clés, je m'excusai :
- Désolé, j'ai oublié de prévenir Lisa que vous passeriez ce matin et je ne lui avais pas dit pour les clés...
- Pas de soucis.
- J'espère que vous n'avez pas trop attendu mon retour.
- Non, nous n'avons même pas eu le temps de faire connaissance.
On sentait une pointe de déception dans sa remarque et il porta un regard insistant à Lisa.

Je le rassurai :
- Nous partageons la piscine, je suis sûr que nous aurons l'occasion de nous revoir et de faire plus ample connaissance.
- Ce sera avec plaisir. Je vous remercie. Au revoir.
- Au revoir.
Après le petit-déjeuner, je proposai à Lisa de m'occuper d'aller faire les courses pour la semaine :
- Pendant ce temps, tu pourras profiter de la piscine et faire connaissance avec notre voisin.
Lisa me sourit. Elle savait parfaitement ce que je sous-entendais et je savais qu'Eric n'était pas le genre d'homme à la laisser indifférente.
Quand je fus parti, Lisa passa une longue robe blanche, sans rien dessous, et gagna la piscine où Eric somnolait déjà. Elle déposa son bikini à côté de la piscine, ne comptant apparemment pas le mettre tout de suite.

Il était allongé sur une chaise longue. Lisa en profita pour le détailler et se dit qu'il était vraiment bel homme. Elle se pencha sur lui et l'appela tout doucement. Eric ouvrit les yeux et crut à un rêve car son regard plongeait directement dans le décolleté de Lisa. Il voyait les seins libres de tout soutien-gorge et cela le mit aussitôt en émois.

- Oui ?
- Excusez-moi de vous réveiller... Je me demandais si cela vous posait un problème si je me baignais sans maillot ?
Eric ouvrit grand les yeux, se demandant s'il avait bien entendu cette phrase. Il bafouilla :
- Heu... bien sûr... Non, pas de soucis !
Toujours penchée au-dessus de lui, Lisa lui sourit, lui laissant le temps de profiter encore un peu de la vue de ses seins nus dans le décolleté.

Comme Eric semblait fondre sur place, Lisa se décida à se redresser et alla de l'autre côté de la piscine. Comme elle prit bien son temps, Eric en profita pour détailler sa croupe pleine et généreuse, moulée par la petite robe. Contrôle parfaitement inutile, Lisa vérifia qu'Eric la regardait bien avant de retirer sa robe. Elle fit lentement glisser les deux bretelles de ses épaules. En quelques secondes les seins étaient dégagés, nus, gonflés, irrésistibles. Eric n'essaya pas de dissimuler l'érection qui commençait à tendre franchement son caleçon de bain.

Après s'être freinée sur les hanches larges de Lisa, la robe continua de glisser et termina sa course jusqu'au sol, dévoilant le sexe nu de Lisa. Eric n'en croyait pas ses yeux. Quelle magnifique femme ! Son sexe, serré dans le caleçon, était presque douloureux. Il aurait rêvé de pouvoir retirer son caleçon pour se masturber mais il se disait que cela risquait de briser la magie de cet instant. Aussi s'en garda-t-il et se contenta-t-il d'admirer la jeune femme qui désormais cachait maladroitement son sexe et ses seins, comme si un excès de pudeur l'avait soudain prise.

Lisa alla s'asseoir sur le bord de la piscine. Elle voyait bien qu'Eric bouillait de désir pour elle. Elle se demanda même si c'était le regard d'Eric ou le soleil qui chauffait ainsi sa peau. Elle mit les pieds dans l'eau pour en goûter la température. L'eau était tiède, très agréable.

Difficile de résister à cet appel. La chaleur était telle que, même nue, Lisa sentait que le soleil finirait par lui brûler la peau. La promesse de la caresse de l'eau, plus fraîche que l'air, était irrésistible. Aussi Lisa se laissa naturellement glisser dans l'eau sous le regard toujours attentif d'Eric.

Le long de la piscine des jets bouillonnants se mettaient en route de temps en temps. Lisa ne s'en était pas encore rendu compte. Mais quand elle fut dans l'eau, elle sentit les courants d'eau tiède chargés de bulles venir lui fouetter les fesses. La caresse était délicieuse. Lisa s'immobilisa pour profiter de ce contact si doux, levant les bras, seins saillants.

Puis elle eut l'idée de s'accouder au rebord de la piscine pour être à l'aise. Ainsi, elle flottait presque et elle écarta les jambes très largement de manière à ce que les jets bouillonnants viennent caresser son sexe nu. La sensation semblait lui faire beaucoup d'effet. Elle ferma les yeux et Eric se demanda même si elle n'allait pas avoir un orgasme. Lui c'était limite.

Quand les jets bouillonnants s'arrêtèrent, Lisa se redressa et regagna le côté de la piscine où se trouvait Eric :
- Quelle délicieuse journée. C'est vraiment du luxe de pouvoir profiter d'une telle piscine !
- C'est sûr...
- Et vous ne vous baigner pas ?
- Heu... pas aujourd'hui...
Lisa s'amusait car elle voyait bien qu'il était gêné d'avoir une telle érection. Pourtant, il ne détachait pas ses yeux des seins de la jeune femme.

- Vous avez tord, elle est très agréable.
Lisa mit ses mains sur le bord de la piscine et poussa sur ses bras pour se hisser sur le rebord, ses seins ballottant gentiment entre ses bras. Eric ne la quittait pas des yeux, attendant de la voir sortir complètement de l'eau.

Il ne pouvait pas être dupe de son petit manège et elle continua à jouer avec sa patience une fois hors de l'eau en s'étirant lentement, se passant les mains dans les cheveux, faisant tendre ainsi ses seins devant elle. Comment Eric pouvait-il résister à un tel spectacle ?

Lisa se posait la question car elle voyait qu'il semblait souffrir sur sa chaise-longue. Pourquoi ne se branlait-il pas encore ? pourquoi ne lui avait-il pas encore sauté dessus ? Sa résistance surprit beaucoup Lisa et elle continua à user de ses charmes pour voir combien de temps il pouvait tenir, s'étirant toujours.

Elle se tourna vers lui et attrapa le maillot qu'elle avait déposé près de la piscine :
- Simon ne devrait pas tarder à rentrer, je ne peux pas rester comme ça... Je vais remettre mon maillot.
Eric soupira, non de déception, mais plutôt de soulagement car il semblait qu'il n'aurait pas tenu une minute de plus. Il continua malgré tout à observer Lisa alors qu'elle attachait son string.

- Votre mari est jaloux ?
- Pas du tout, mais me voyant nu, il ne résisterait probablement pas à me faire l'amour.
- Je le comprends tout à fait...
- Mais vous faites vous-même preuve d'une résistance bien particulière ! Peut-être ne suis-je pas à votre goût.
Décomplexé par la tournure de la conversation, Eric montra de l'index son maillot tendu par son érection, toujours impressionnante :
- Vous vous moquez de moi...
Lisa rigola en remettant son soutien-gorge.

C'est à ce moment que j'arrivai à la piscine et trouvai ma femme qui discutait sagement en bikini avec Eric. Je me mis en maillot et allai m'étendre à côté d'elle. Elle me fit un clin d'œil. Je me doutai alors qu'elle avait quelque chose à me raconter. Ce qu'elle fit dès qu'Eric regagna son gîte, le caleçon toujours tendu comme un chapiteau. Elle me raconta son début d'après-midi et l'incroyable résistance d'Eric. Je l'imaginais par contre en train de se masturber dans son gîte en pensant à ma femme.
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Mercredi : Jeu de mains
Le lendemain matin, alors que nous visitions un château des environs, Lisa me fit remarquer à quel point notre voisin était résistant malgré le fait qu'il ait marqué un intérêt très net pour elle. Je lui proposais de tenter de le faire plier cet après-midi même et faisant quelques jeux coquins devant lui. Eric était déjà à la piscine quand Lisa y arriva, armée d'une magnifique robe rouge, avec un large décolleté.

Je lui emboîtais le pas et vis qu'Eric ne la quittait déjà pas des yeux. Et ses yeux ne mentaient pas : il désirait ma femme. Rien que d'imaginer qu'il puisse faire l'amour à ma Lisa et lui donner du plaisir, cela commença à m'exciter et le monstre s'éveilla dans mon maillot de bain. Eric eut cependant la présence d'esprit de répondre à notre bonjour mais ce ne devait pas être facile car même moi j'avais du mal à me concentrer avec Lisa qui déambulait, si sexy, devant moi. Sous un prétexte fallacieux, elle se pencha en avant pour se gratter le mollet :
- Cette piqûre de moustique me démange terriblement.
Eric devait avoir une vue imprenable sur les seins de ma femme et il devait les voir jouer librement dans le décolleté.

- Ne gratte pas, ma chérie, ou tu vas saigner. Mieux vaut un bon massage vigoureux pour soulager la démangeaison.
Lisa se rangea à mon conseil et se massa fermement le mollet. Elle y mit tant d'entrain que tout son corps participait à cet effort, au point que, peu à peu, les seins finirent par s'échapper du décolleté. Mais comme elle était toujours penchée, cela était finalement à peine perceptible bien que j'étais certain que ce détail n'avait pas échappé à Eric.

Quand Lisa se redressa enfin, elle fit mine de ne s'en rendre compte qu'alors, prenant un air de pin-up outragée. Elle porta les mains à sa poitrine, tentant maladroitement de la dissimuler mais prenant bien sûr garde à laisser paraître ses tétons, pour le plaisir des yeux. J'adore quand elle fait ce petit cinéma de fausse pudeur.
- Oups !

- Tu sais ma chérie, si tu veux bronzer ou te baigner, c'est de toute façon plus pratique sans la robe...
- C'est que je n'ai rien dessous...
- Il me semble qu'Eric a déjà pu admirer ta nudité hier, non ?
Eric acquiesça d'un large sourire. Lisa m'adressa un petit regard agacé. Je pense qu'elle aurait voulu faire patienter davantage notre voisin, mais elle fit quand même glisser les bretelles de sa robe et dégagea sa poitrine. Eric retint sa respiration.

Eric avait les yeux qui pétillait et son short commençait à être un peu étroit. Il avait l'air émerveillé comme un enfant qu'on amène voir un feu d'artifice. Lisa acheva de faire glisser sa robe. Eric attendit que le tissu touche le sol pour reprendre sa respiration. Lisa était nue. Eric avait une érection phénoménale et je me demandait si le caleçon n'allait pas céder sous la pression. Moi-même, mon maillot était bien déformé et Lisa s'en rendit compte. Elle me sourit en pointant du doigt mon entrejambe :
- Toi aussi tu devrais te mettre nu pour te baigner, tu seras plus à l'aise...

Il ne fallait pas me le dire deux fois. Sans me soucier d'Eric, je baissai mon maillot sous le regard intéressé de ma femme. Eric ne s'en formalisa manifestement pas puisqu'il m'imita aussitôt et libéra une érection phénoménale que Lisa ne manqua pas d'admirer avec un regard gourmand. Eric ne se priva d'ailleurs pas de se saisir de son engin et de le masturber lentement.

Lisa ne cacha pas sa surprise en voyant la taille de l'engin. Elle en avait pourtant deviné les proportions la veille, mais elle était quand même impressionnée de voir ce grand mat libéré se tendre ainsi sous ses yeux. Elle se tourna vers moi en disant :
- Mmmmh... je vous avoue que ça ne me donne plus vraiment envie de me baigner, je crois que je vais me prélasser au soleil.

Elle longea le bord de la piscine et s'approcha de nous. Elle s'allongea sur une chaise longue. Sur le dos, elle passa une main le long de chaque sein pour les dresser. C'était magnifique. Elle avait les cuisses légèrement écartées. D'où j'étais, je ne pouvais voir son entrejambe mais Eric devait être aux premières loges et le rythme de sa main s'accélérant sur son sexe en était un signe manifeste.

Je ne pus m'empêcher moi aussi de me masturber. Lisa nous regardait alternativement, Eric et moi, fascinée de nous voir faire. Elle continuait à se caresser les seins. On pouvait presque distinguer ses tétons qui se hérissaient peu à peu. Puis, sa main gauche abandonna sa poitrine et glissa irrésistiblement vers son ventre puis vers son sexe. Ses jambes s'écartèrent lentement. Tous les deux, Eric et moi, nous pouvions désormais voir sa moule trempée, les lèvres déjà écartées comme si elles attendaient une pénétration imminente. Mais nous restâmes sages et, bien que l'envie d'aller la chevaucher était grande, nous continuâmes à nous masturber tranquillement. Lisa en fit autant. Nous voyions son majeur se glisser entre les lèvres charnues de sa chatte et pénétrer lentement aussi profond que possible dans son intimité.

Son doigt allait et venait ainsi. L'excitation était à son comble. Pour Lisa aussi, car je pouvais voir sa peau frémir sous le plaisir de sa propre caresse. Je n'y tins plus et allai la rejoindre. Elle arrêta de se caresser et m'accueillit avec un regard de braise. Je me penchai sur elle. Sa main frôla mon sexe, sans s'en saisir. Diablesse ! Ma bouche s'empara d'un téton et ma langue virevolta autour du bouton tremblant.

Les yeux fermées, Lisa appréciait ma caresse buccale. Les doigts de sa main droite accrochèrent quelques instant mes couilles, délicieux contact. Mais elle m'abandonna alors que j'attaquais de lui sucer l'autre téton. Je sentais sa respiration devenir plus rapide, J'arrêtai de lui lécher les seins pour me redresser et laisser mes mains courir sur son ventre, descendre sur ses cuisses brûlantes et remonter enfin à son entrejambe. Elle était réellement trempée, dégoulinante.

Elle écarta encore davantage les cuisses. La coquine souhaitait donc que je la masturbe un peu. J'hésitais, me demandant si je n'allais pas juste frôler ses chairs, comme elle l'avait fait si cruellement avec mes couilles. Mais la tentation était trop grande et il était peut-être impossible de faire mouiller davantage une telle fontaine. Je fis donc entrer deux doigts dans son sexe, aussi facilement que si je devais mettre ma main dans ma poche. Je la masturbais tout doucement. Sa respiration s'accélérait encore et elle s'arquait pour mieux accueillir mes doigts.

Eric se branlait de plus en plus vite lui aussi. Je pris la même cadence pour masturber ma femme. En quelques minutes, l'orgasme la secoua de bas en haut et son corps tout entier fut pris de convulsions frénétiques. Je calmais mes va-et-vient alors qu'Eric semblait tenir le rythme sans craquer. J'admirais sa belle endurance. Quand Lisa fut remise, elle retira gentiment mes doigts de son sexe et les lécha. Puis elle me tira vers elle, me mettant la bite au niveau de son visage. Sans y toucher, elle ouvrit la bouche et goba mon sexe très profondément.

Sa pipe était merveilleuse et je dus, comme bien souvent, me concentrer pour ne pas jouir illico dans sa bouche. Elle m'abandonna quelques secondes et me fit asseoir sur la chaise longue. Puis elle se saisit de mon érection et la guida dans sa bouche à nouveau. Plus à l'aise dans cette position, sa langue et ses lèvres firent des merveilles et je ne pus résister longtemps.

Me sentant prêt à jouir, elle sortit presque entièrement mon sexe de sa bouche ne gardant que le bout du gland entre ses lèvres, tout en continuant à activer sa langue autour de l'extrémité de mon sexe. Mon éjaculation fut violente, absolument divine. Pris de soubresauts, j'eus à demi-conscience de me décharger dans sa bouche. Des commissures de ses lèvres, je voyais mon sperme s'échapper et couler le long de ma queue et de la main de ma femme.

Elle avala ce qui ne lui avait pas échappé et regarda avec satisfaction le sperme qui continuait encore à s'écouler un peu le long de son poignet. C'était un moment inoubliable. Je repensai alors à notre ami Eric. Il se branlait toujours, les yeux rivés sur le cul de Lisa. En effet, tournée ainsi pour me sucer et me masturber, elle offrait à notre voisin sa croupe tendue ! Comment avait-il pu résister à ce spectacle sans venir ne serait-ce que la caresser ? Lisa donna quelques coups de poignets sur mon membre pour en extraire les dernières gouttes.

Puis elle replongea sur mon sexe afin de nettoyer ce qu'elle pouvait, aspirant mon gland, pressant mes couilles comme pour les vider. Ceci fait, elle m'abandonna pour se relever. Elle se tourna vers Eric, toujours occupé son énorme sexe tendu. Elle s'avança vers lui en léchant le sperme qu'elle avait sur la main. Elle se campa devant lui et lui demanda :
- Vous n'avez toujours pas joui ?

Sans arrêter sa masturbation, Eric fit signe que non de la tête. Lisa lui fit une honnête proposition :
- Si vous voulez, on se branle en face à face ?
Elle écarte les jambes, debout, face à lui et commence à se doigter la moule. Cette fois-ci, ses doigts s'activaient sur son clitoris.

Eric avait les yeux exorbités et sa main branlait frénétiquement sa queue. Il n'allait sûrement plus tarder à jouir. Lisa était si excitée par cette situation qu'elle réussit à avoir un second orgasme, moins fort que le précédent, mais suffisant pour qu'elle se mette à genou afin d'en profiter sans risquer de tomber. Ses cris et convulsions eurent raison d'Eric qui éjacula à son tour, s'envoyant son sperme sur le ventre, à grand renfort de râles de contentement.

Lisa se releva et vint me prendre par la main :
- Une petite douche, chéri ?
Difficile de refuser ce genre d'invitation, mais aussi une nécessité dans le cas présent car nous avions bien sué avec tout cet exercice. Nous laissâmes Eric ainsi, probablement à faire une sieste bien méritée.
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Jeudi : Jeu de vilains
Durant notre promenade touristique du lendemain matin, il fut évident que nous profitions assez peu de la visite, chacun ayant l'esprit occupé à la manière que nous pourrions trouver pour inviter Eric à se joindre à nos ébats. Tous les deux, nous étions stupéfait de sa résistance.
Le repas du midi fut vite expédié, tant nous avions hâte, elle et moi, de retourner au bord de la piscine. Mais il était si tôt dans l'après-midi qu'Eric n'était pas encore là. Nous nous installâmes donc tranquillement en l'attendant. Eric ne tarda pas, sans doute nous avait-il aperçu depuis sa fenêtre. Lisa, en bikini, était assise sur sa serviette et se mettait de la crème solaire.

Eric nous salua. Nous le saluâmes. Il sourit à Lisa, se doutant sans doute que ma femme allait lui réserver encore quelques belles surprises. Avec la crème solaire, la peau de ma Lisa était magnifique. Elle était à croquer ! J'étais quand même déçu qu'elle se mette de la crème toute seule sans me demander de l'aider :
- J'aurais pu m'en occuper tu sais, ma chérie...
- Trop tard !
Elle reposait effectivement le tube, sous l'œil attentif de notre voisin.

Elle se mit les bras en arrière, épaules saillantes et s'installa cuisses légèrement écartées, offerte aux rayons du soleil et à notre regard. Même avec le bikini, Lisa dégageait un érotisme torride et paraissait aussi sexy que si elle avait été totalement nue. C'était d'ailleurs la réflexion que je me faisais en l'observant : le bikini est peut-être superflu.

Je lui en fis la remarque :
- Et les marques de maillot ?
Elle me sourit, sachant pertinemment que je me fichais pas mal de ses marques de bronzage. De toute façon, elle attendait sans doute ce genre d'occasion pour se débarrasser du maillot sans que ce soit trop direct. De bonne grâce, Lisa retira son bikini.

Le tissu tomba bien vite, presque déconcertant à quel point la mettre nue pouvait être rapide, quelques malheureux nœuds à tirer et la beauté se révélait. Lisa vit qu'Eric et moi bandions déjà bien. Elle s'allongea sur sa serviette en me regardant et soupira à mon attention :
- J'ai envie que tu me la mettes...
L'heure n'était plus à la stratégie subtile, mais je pense qu'Eric n'avait pas entendu.

Je fus quand même un peu surpris de cette invitation très directe :
- Pas devant le voisin, quand même ?
- Je t'ai bien sucé la bite devant lui hier... Et ma petit chatte en a grand besoin, si tu ne veux pas, je demande à Eric !
Elle se doigtait déjà la moule, cuisses écartées largement.

Je constatai qu'Eric bandait tout autant que moi. Nul doute que s'il avait entendu la proposition de Lisa, il aurait proposé ses services à ma femme. Pour l'heure, je ne comptais pas déléguer. Aussi je me levai et vins me mettre à genou entre les cuisses de Lisa pour lui brouter le minou. Elle feula, tout à son plaisir.

Moi j'étais un peu à l'étroit dans mon caleçon. Lisa, comme lisant dans mes pensées, se redressa un peu et attrapa mon caleçon à deux mains pour le baisser. Mon érection libérée, Lisa s'en saisit d'une main et se mit à me branler avec un rythme déjà assez soutenu. Je vis que notre voisin s'était lui aussi mit à l'aise. Il ne se branlait pas encore mais avait retiré son caleçon et exposait fièrement son sexe dressé. Lisa lui accorda quelques regards intéressés pendant lesquels le rythme de son poignet sur ma hampe se ralentit un peu.

Quand Lisa estima que j'étais suffisamment gros pour lui faire l'amour, elle m'attira à elle et inséra ma queue entre les lèvres trempées de son sexe. Un petit coup de reins secs suffit à faire entrer mon gland. Puis, très lentement, je continuai ma pénétration, m'arrêtant quelques secondes, puis reprenant à nouveau, et ceci jusqu'à atteindre le fond de son sexe. Je la sentais s'ouvrir au fur et à mesure et sa respiration commençait à être plus forte. Les yeux mi-clos, elle profitait de cette lente pénétration. Arriver au bout j'attendis quelques instants. Lisa se mit à onduler du bassin comme pour me branler sans que je bouge. Quand elle arrêta ce délicieux petit jeu, je commençai alors mes va-et-vients en elle.

Nous étions si excités que nous aurions rapidement pu jouir ainsi. Il nous fallut nous calmer. Quand j'arrêtai de la besogner Lisa en profita pour s'échapper. Cela me permit de me calmer un peu. Mais je suis que le calme n'allait pas durer longtemps : Lisa était à quatre pattes et me proposait implicitement de la prendre en levrette. Un coup d'œil à Eric et je me rendis compte que dans son étonnante résistance, il ne se branlait toujours pas, se contentant seulement du spectacle de ma femme à quatre pattes, offerte.

Je m'approchai d'elle et, à genou, je la pénétrais à nouveau. Cette fois-ci, je m'enfonçais ni trop vite, ni trop lentement, juste assez pour qu'on profite tous les deux de cette pénétration. Je dois avouer que c'est une de mes positions préférées, mon sexe prenant parfaitement son aise dans le fourreau humide et brûlant de ma femme. Aussi, je devais faire attention à ne pas y mettre trop d'entrain sous peine de jouir trop vite et d'éjaculer avant d'avoir pu vraiment profité de cette pénétration.

Je la besognais tranquillement, regardant mon sexe tendu entrer et sortir de ce corps si parfait, ma femme, Lisa adorée. Elle appréciait aussi et feulait à chaque fois que je m'avançais en elle. Lisa tourna la tête vers Eric. Je la vis sourire. Il semble qu'on avait réussi à dépasser un des seuils de résistance de notre voisin. Il se tenait à présent la queue dans une main, sans se branler, mais se caressait les couilles de l'autre main. Cela décupla le désir de Lisa qui se mit à onduler sur ma queue en même temps que mes pénétrations.

Je savais comment la calmer. Je passai mes mains sous elle pour empoigner ses seins. Je caressai les deux globes en m'amusant de temps en temps à pincer gentiment les tétons entre mon pouce et mon index. Elle se redressa un peu pour me faciliter les choses. Je savais qu'elle adorait ça. Du coup, je continuais à la pénétrer, mais, tout à son plaisir, elle avait arrêté ses mouvements de bassins qui m'auraient sûrement fait jouir plus tôt que souhaité. A ma grande surprise, un orgasme l'envahit !

J'eus toute les peines du monde à ne pas éjaculer alors que je sentais son corps se convulser, son sexe frémir autour de ma queue. Je ralentis mes pénétrations pour la laisser se remettre de ses émotions. Elle s'extirpa de mon étreinte et se retourna pour me lancer un regard brûlant que je connaissais bien et qui voulait dire "Merci". Puis elle me fit m'allonger et s'empala sur moi. Délicieux !

Notre voisin devait avoir une vue parfaite sur ma bite en train de s'enfoncer dans le sexe de ma femme, mes couilles prêtes à exploser, le cul de Lisa complètement offert. D'où j'étais je voyais que désormais sa main s'activait sur sa bite, l'autre continuant toujours à masser les testicules. Lisa se retourna un instant pour le regarder.

La vue de cette seconde bite ne la laissa pas indifférente. Il était temps de proposer à Eric de venir se joindre à nous. Tout en continuant à monter et descendre lentement sur mon membre, Lisa plaça une main sur chacun de ses globes fessiers et les écarta afin d'exposer son petit trou. L'invitation, bien que muette, semblait particulièrement explicite et nous nous attendions à ce qu'Eric se lève et vienne lui mettre sa bite dans le cul.

Contre toute attente, Eric ne bougea pas. Sa main continuait à astiquer sa queue. Ses yeux étaient exorbités. Mais il ne vint pas nous rejoindre. Il était difficile à croire qu'il n'ait pas compris le message, il était plus probable qu'il n'osait croire à une telle opportunité. Toujours est-il qu'il se branla de plus belle alors Lisa se déchainait sur moi en gémissant de plus en plus fort.

Ma résistance personnelle en prenait un coup. La sentir bouger sur moi, tout en voyant ses seins se balancer sous mes yeux au rythme de sa chevauchée frénétique, eut raison de moi. Je sentis que j'allais éjaculer. Mon corps se raidit d'un coup. Le sang quittait mon cerveau et je sentais que la sève allait bientôt gicler. Lisa le sentit aussi. Que faisait-elle ? Elle se redressa, me laissant la bite à l'air libre, prête à exploser. Elle se la calla entre les fesses et se trémoussa pour me branler. Cette caresse était très douce et cela suffit à déclencher ma jouissance. J'éjaculais en hurlant. Mes jets de sperme venaient fouetter son dos alors qu'elle continuait à me branler entre ses fesses. Une fois la tempête passée, je saisis mon membre et le branlais afin d'en extraire les dernière gouttes.

Lisa se pencha sur moi pour m'embrasser. Nos langues s'emmêlèrent, nos lèvres se caressèrent. Elle me sourit, très satisfaite d'elle, et se leva. Elle alla rejoindre Eric qui se branlait toujours :
- Nous, on a déjà joui, il ne reste plus que vous...
Eric ne répondit pas. Il était obnubilé par la vue de cette magnifique femme aux seins généreux, aux hanches accueillantes, bref au corps de rêve, ma femme. Lisa lui demanda :
- Vous voulez un peu d'aide ?

C'en était trop pour Eric ! Il poussa un grand râle et, sans quitter des yeux cette superbe jeune femme totalement indécente, il finit par éjaculer enfin. Son sperme jaillit dans un premier jet qui monta haut et alla s'écraser juste aux pieds de Lisa qui laissa échapper un "Oh !" de surprise. Puis le sperme s'écoula de son gland, moins violement, se répandant sur sa main. Eric continua à s'astiquer jusqu'à ce que le jus épais et gluant arrête de sortir, ce qui prit quand même un bon moment.

Lisa se pencha sur lui. Eric crut un instant qu'elle allait lécher le sperme, mais Lisa approcha sa bouche de la sienne et échangea un baiser avec lui. De la voir penchée devant moi à embrasser Eric, j'eus moi-même envie de la prendre en nouveau en levrette, mais je n'étais plus très vaillant. Lisa se releva et m'invita, comme la veille, à aller prendre une douche, laissant Eric se remettre de ses émotions. Sous la douche, alors que je lui lavais le dos, encore plein de mon sperme, elle me demanda :
- Tu crois que je n'ai pas été assez explicite pour lui signifier de venir me sodomiser ?
- Je ne sais pas. Je t'avoue que je ne comprends pas vraiment pourquoi notre voisin préfère se branler plutôt que de venir profiter de corps somptueux que tu lui proposes si librement.
- J'ai pourtant l'air de le faire bien bander...
- C'est clair ! Mais Eric est peut-être un grand timide. Il nous reste une journée, il va falloir mettre les bouchées doubles demain après-midi.
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Vendredi : Jeu d'adultes
Le lendemain, nous étant levés plus tard, notre visite touristique se limita à une promenade dans le village proche du gîte, un village pittoresque, très agréable à arpenter à pied. Nous passâmes ainsi notre matinée à essayer de comprendre pourquoi Eric résistait avec une telle ardeur à ses désirs et à échafauder un plan que nous souhaitions imparable. Lisa conclut par :
- De toute façon, si au bout de quatre jour il ne cède pas à l'usure, nous aurons fait tout ce qui était en notre pouvoir et nous n'aurons rien à nous reprocher.
Cet après-midi-là, nous tardâmes un peu, volontairement, à rejoindre la piscine. A l'air de soulagement que dégagea Eric en nous voyant arriver, je savais que nous étions sur la bonne voie. Je vis ensuite son caleçon se déformer, marquant son vif intérêt pour la tenue de ma femme : Lisa avait passé une tunique transparente, le genre que l'on met par-dessus un débardeur de couleur et un jeans. En revanche, Lisa ne portait strictement rien d'autre en ces circonstance, et c'est le sexe nu et la poitrine très vaguement dissimulée par le tissu transparent qu'elle alla s'allonger sur une chaise longue le long de la piscine.

Je lui demandai :
- Heu, chérie ? C'est un nouveau concept, le bottomless par opposition au topless ?
Lisa se redressa sur la chaise longue, les seins fièrement dressés sous la tunique, magnifiques. Elle me répondit :
- Je pensais que j'aurais moins chaud avec ça, mais même ainsi, je transpire.

A notre grande surprise à tous les deux, c'est Eric qui prit la parole, avec un petit sourire satisfait :
- Enlevez votre tunique, ça ne me gène pas et je vous ai déjà vue nue.
Lisa prit un air faussement offusqué :
- Je pensais que vous resteriez plus sage...
Et enchaina avec un large sourire :
- Mais comme vous bandez déjà tous les deux...
Elle se mit à genou sur la chaise longue et fit passer la petite tunique par-dessus sa tête, offrant à nos regards lubriques sa parfaite nudité.

Lisa sembla chercher quelque chose, regardant tout autour d'elle :
- Même comme ça, la chaleur est difficilement supportable. C'est dommage qu'il n'y ai pas un parasol ou un coin d'ombre autour de cette piscine.
A nouveau, c'est Eric qui lui donna un judicieux conseil :
- Allez vous baigner, ça va vous rafraichir.
J'avoue que l'idée de voir ma femme batifoler nue dans la piscine ne me laissait pas insensible et je sentis mon sexe se tendre encore. Lisa se leva et s'approcha de l'eau, suivie par nos deux regards à Eric et moi. Elle nous offrait alors le spectacle de sa croupe somptueuse.

Lentement, elle descendait dans l'eau, peu à peu. Je l'imaginais apprécier de sentir la caresse de l'eau monter le long de sa peau au fur et à mesure qu'elle descendait : ses chevilles, ses mollets, ses genoux, ses cuisses, son entrejambe, ses fesses, ses reins, son dos, ses seins. Sans doute la sensation était assez proche du contact du satin glissant sur la peau, la douce fraîcheur en plus.

Sur la pointe des pieds, elle avait la poitrine qui surgissait hors de l'eau. Je la savais sensible des seins et j'imaginais que les vaguelettes caressant le dessous de ses seins devaient l'exciter un peu. Elle se tourna vers nous :
- Et vous ? Vous ne vous baignez pas ?
Je me contentai de sourire, attendant la réponse d'Eric qui ne se fit pas attendre :
- Non... Pour le moment, je me contente de profiter du spectacle.
- Vous avez tort. L'eau est délicieuse et ça fait le plus grand bien !
J'entendis Eric murmurer en guise de réponse :
- Il n'y a pas que l'eau qui est délicieuse...

Je me rendis compte qu'on avait laissé les serviette dans le gîte. Je les laissai donc pour aller les chercher. Alors que je rentrais, je me retournai pour voir Lisa nager jusqu'à une grande bouée et s'y hisser. Elle s'y allongea, cuisses écartées et cul en l'air. Dans la position où elle se trouvait, Eric avait une vue immanquable sur sa moule. De mon côté, je récupérais rapidement les serviettes. Regardant par la vitre de la porte-fenêtre avant de sortir, je constatais qu'elle n'avait pas bougée. Elle était terriblement excitante ainsi.

Je n'y tins plus. Je quittai mon caleçon et me masturbai tout en continuant à jouer les voyeur derrière la porte. Mais je me dis que je n'allais pas rester derrière la porte comme une andouille et je décidai de les rejoindre ainsi, la queue à l'air. Quand je refermai la porte derrière moi, Lisa et Eric tournèrent les yeux vers moi. J'affichais mon érection sans aucune pudeur :
- Moi aussi, j'ai un peu chaud... Pas toi Eric ?

Eric rigola et se leva pour retirer son caleçon de bain, affichant lui aussi une formidable érection. Lisa tourna alors la tête pour observer cette belle queue qu'elle a déjà vue plusieurs fois mais qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de toucher. Je me demandai même si la résistance d'Eric n'était pas plus importante que celle de ma femme : Lisa allait peut-être craquer et irait s'emparer de cette bite avant qu'Eric ne décide quoi que ce soit. Lisa renouvela son offre :
- Vous avez l'air en forme. Vous êtes sûr de ne pas avoir envie de vous baigner avec moi ?

- Si je descends dans l'eau, j'ai peur de ne pas contrôler ma fougue...
- Je n'attends que ça...
Eric ne répondit pas mais porta une main à sa bite et se mit à la masturber lentement.
Lisa en fut un peu vexée. Elle sortit de l'eau en lui disant :
- Vous n'allez pas vous branler tout l'après-midi, quand même ?!

Même légèrement en colère, Lisa était superbe. Mais je crois surtout qu'elle était très excitée car son regard alternait entre ma queue et celle d'Eric. Elle alla s'allonger sur la chaise longue, se mettant sur le ventre. Elle avait la tête éloignée de nous et avait gardé les jambes serrées. Elle se doutait bien sûr que notre regard était rivé à ses fesses et, peu à peu, avec une extrême lenteur, elle écarta les cuisses pour montrer sa moule.

On était dans tous nos états. Lisa commença à se caresser la moule, déjà toute humide. Eric continuait à se masturber tranquillement. Moi je luttais pour ne pas aller la violer tout de suite. LA main de Lisa remonta ensuite vers son anus. Elle y inséra un doigt et, dans un gémissement profond, elle dit à mon attention :
- Chéri, viens me la mettre ici, j'ai trop envie !

Il ne me fallut pas une seconde pour la rejoindre, téléporté par le désir. Je m'allongeai derrière elle et posai ma bite entre ses fesses. Elle commença à onduler pour me branler entre ses fesses. Quand elle fut trop excitée, elle passa la main derrière elle pour saisir mon érection et la guider dans son petit trou. Je donnais un coup de rein sec pour m'y insérer d'un coup. Elle ne marqua presque aucune résistance, bien qu'un peu surprise par la soudaineté de ma pénétration.

Le plaisir la gagna rapidement et elle cria son plaisir. Eric s'était mis debout et s'était approché pour mieux voir, se masturbant toujours. Lisa le vit et lui fit signe de s'approcher encore. Eric s'exécuta. Cette fois-ci, sa belle résistance avait été mise à rude épreuve. Dès qu'il fut à côté d'elle, elle ouvrit la bouche et le laissa enfourner-lui même sa bite entre ses lèvres.

Elle semblait se concentrer davantage sur la fellation qu'elle prodiguait à Eric qu'à la sodomie qu'elle subissait, mais cela en valait la peine, car Eric appréciait particulièrement cette caresse buccale, bouche entrouverte, yeux mi-clos, déjà gémissant de plaisir. Je décidai de basculer Lisa pour me positionner sous elle, ceci afin de lui facilité la fellation. Elle interrompit momentanément sa pipe le temps que je la bascule, la laissant toujours empalée sur ma tige. Eric se redressa aussi et lui enfourna à nouveau sa queue dans la bouche.

Dans cette position, je m'y donnais à fond et je la pilonnais de plus en plus vite. Elle avait bien du mal à se concentrer sur la bite d'Eric et devait l'abandonner de temps à autre pour reprendre sa respiration ou pour laisser échapper un cri de plaisir. Continuant ainsi, je finis par lui arracher un orgasme. Elle abandonna sa fellation et hurla son plaisir alors que son corps était secoué des spasmes du plaisir.

Une fois remise, elle s'extirpa de mon emprise et s'accroupit entre nous deux. Le message était clair : elle voulait nous sucer tous les deux et nous faire jouir ainsi. Je n'étais pas contre et, manifestement, Eric non plus. Lisa attrapa donc nos deux sexes gonflés à bloc et commença à nous masturber, offrant alternativement à l'un et à l'autre sa bouche chaude et douce.

Eric fut le premier à jouir. Lisa avait eu raison de résistance incroyable. Il rejeta la tête en arrière, lâchant un long râle de plaisir alors que son éjaculation commençait. Les jets de sperme atteignirent Lisa au visage, le sperme coulant ensuite dans son cou.

De voir ça, ma propre résistance fut annihilée. Je ne fus donc pas long à suivre Eric. Lisa me masturbant toujours, elle sentit que j'allais bientôt exploser. Elle tourna la tête vers moi juste au moment où j'éjaculais. Je criais. J'hurlais mon plaisir. Mon sperme honorait généreusement ma femme. Cela sembla durer une éternité. Un plaisir infini.

Quand je repris mes esprits, comme au réveil d'un rêve, nous avions chacun gardé nos positions respectives. Lisa alternait toujours à sucer nos deux bites, mais cette fois-ci pour les nettoyer jusqu'à la dernière goutte. Nous échangeâmes un regard avec Eric : il semblait absolument ravi.

Le soir, alors que nous préparions nos bagages pour le départ du lendemain matin, Lisa me dit :
- Je suis très contente de ces quelques jours de vacances...
- Moi aussi !
- Mais je regrette qu'Eric ait mis tant de temps à répondre à mes avances.
- Regarde...
Je lui montrai un numéro de téléphone et une adresse griffonnés au dos de la carte de visite du gîte. J'avais échangé nos coordonnées avec Eric, au cas où un jour nous aurions l'occasion de nous revoir.