Martine et Laurie, un soir d'été... (publié par Milan le 07-04-2011)
Martine et Laurie, un soir d'été... 2 (publié par Milan le 09-04-2011)
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Un soir d'été...
Nous sommes en juillet 2006 à Paris. Il fait très chaud. Les filles dans la rue sont belles, aguicheuses et habillées de manière très sexy.

Beaucoup d'hommes, et moi le premier, sont en émoi. Et, pour être tout à fait honnête, en cette belle journée d'été j'ai très envie de sexe. Pas de faire l'amour, non, je veux du sexe, hard, sans amour.

Je contacte quelques copines, quelques ex, mais décidément, je n'ai pas de chance, elles sont toutes absentes.
J'appelle alors Martine. Martine est une jolie fille, de 27 ans, toute blonde, grande, dotée d'un très beau corps et d'une paire de seins très gros, quoiqu'un peu tombant. C'est la copine d'un mec que je n'ai jamais vraiment apprécié, un certain François.

* Allo ? Martine ? C'est Olivier, comment vas-tu ?
* ah Olivier, bonjour. Ecoute, je vais plutôt moyen, moyen.
* ah bon ? Qu'est ce qui se passe ?
* et bien, je ne sais pas si tu le savais, mais je suis enceinte de 6 mois, et François m'a quitté depuis 1 mois
En disant ces mots elle s'effondre en larmes. Décidément, moi qui cherche quelqu'un avec qui baiser, ce n'est pas vraiment le bon plan.
* Martine, pourquoi ne m'as tu pas appelé ? Je serai venu te voir, te consoler.
* je n'avais envie de voir personne. En plus, tu m'as toujours dit que François n'était pas un mec pour moi, que c'était un con, et finalement, tu avais raison
* peut être qu'il va revenir, garde l'espoir
* revenir ? Cet enfoiré est parti avec sa secrétaire qui est canon alors que moi je suis comme une grosse vache. Il ne reviendra jamais
* ne dis pas ça. Tu es jolie Martine, tu l'as toujours été, et puis qu'y a t il de plus beau qu'une femme enceinte ?

* tu parles, j'ai pris 10 kg, mes seins ont pris 2 tailles de plus et je n'avais pas besoin de ça, je pleure à longueur de journée, je suis fatiguée. Heureusement, j'ai ma cousine qui est là en ce moment, Laurie.
* tu n'es pas seule, c'est l'essentiel. Tu veux que je vienne te voir.
* t'es gentil, mais ne te force pas.
* je ne me force pas, ça me fait plaisir. J'arrive dans 1/2 heure, ok ?
* oui merci. Mais je ne suis pas présentable, je suis en chemise de nuit, j'ai juste pris une douche, mais je n'ai même pas envie de m'habiller.
* ne t'inquiète pas pour moi, c'est pour te voir que je viens, pas pour assister à un défilé de mode. J'arrive ma chérie.
* a tout de suite Olivier, et merci pour tout.
J'avoue que ce n'était pas exactement ce que j'avais prévu de faire, mais Martine est une amie de longue date. Nous sommes sortis ensemble une fois, un soir où nous avions bu tous les deux, mais rien de plus. Elle m'avait branlé dans la voiture,
je lui avais malaxé les seins, mais notre état d'ébriété très avancé nous a fait oublier cette aventure aussi rapidement qu'elle s'était produite.
Sa cousine Laurie me dit vaguement quelque chose, mais je n'arrive pas à me souvenir quoi.
Bon, je prends une douche, passe un pantalon blanc, un teeshirt blanc également qui m'avantage pas mal sachant que je suis très bronzé et je me mets en route.
Un quart d'heure plus tard, je sonne à la porte de Martine.
Elle ouvre. Elle porte une nuisette blanche totalement transparente qui laisse voir ses deux seins qui ont doublé de volume, son ventre tout rond et sa culotte, très jolie, en dentelle blanche.

Elle a beaucoup pleuré et présente ce visage un peu gonflé de quelqu'un qui a pleuré. Elle tombe dans mes bras, sa volumineuse poitrine touchant très fortement mon torse et m'embrasse chaleureusement en me remerciant d'être venu.

Elle me sert très fort, et apparemment ne veux pas me lâcher. Je sens ses seins se coller à mon torse, et bien malgré moi, une érection apparaît immédiatement et avec mon pantalon blanc, non seulement elle va la sentir, mais elle va le voir. Je suis extrêmement mal à l'aise.
* Olivier, merci, merci à toi. Tu es vraiment un ami tu sais. Sers moi, sers moi fort mon chéri.
* Tout va bien Martine, je suis là
L'étreinte que m'impose Martine n'en finit plus. Sentir ses seins contre mon torse est un bien délicieux supplice qui me remet en mémoire qu'avant de l'appeler j'étais en train de chercher une fille pour baiser. Cette pensée me fait devenir encore plus dur. Mon sexe est collé à son ventre, elle ne peut pas ne pas le sentir. Elle relâche d'ailleurs un peu son étreinte et assez subrepticement, en se reculant, jette un coup d'œil très rapide vers la bosse de mon pantalon.
* Olivier, merci. Mais entre, viens t'installer.
Nous avançons et entrons dans son salon. Je m'assois sur le canapé et entre alors Laurie. Je bande encore très fort, et si la politesse élémentaire veut que je me lève, je suis très gêné de le faire tellement il est évident que je bande. Je reste donc assis, et Laurie vient me dire bonjour.
* salut Olivier. Tu te souviens de moi ? Tu étais venu chez mes parents avec Martine et un autre copain.
* ah oui dis je sans précisément m'en souvenir
* en tout cas je m'en souviens bien moi
* oui, moi aussi (je continue dans ce sens ne me souvenant pas du tout de quoi elle parle)
Laurie est une jeune femme d'environ 30 ans, brune, assez petite, ni belle ni moche, somme toute assez banale. Elle a de beaux yeux noisette, très expressifs et un très joli sourire.
Mais à part ça, ce n'est pas le genre de fille qui me fait me retourner dans la rue. Je réfléchis, mais je ne parviens pas à me souvenir. Alors, je décide de le lui dire.
* Ecoute Laurie, tu vas me trouver très impoli, mais ton visage ne m'est pas inconnu, mais je ne me souviens pas d'être venu chez tes parents.
* et oui, à l'époque j'étais blonde avec de longs cheveux. Tiens regarde comme sur cette photo.
Elle me tend son permis de conduire, et là, ça y est, je me souviens. Et je comprends mieux qu'elle s'en souvienne aussi.
J'étais allé passer un weekend avec Martine et un ami à elle avant qu'elle ne soit avec son François chez les parents de Laurie en Bretagne. Dès notre arrivée, j'avais vu cette jeune fille, sur qui j'avais flashé. Sa blondeur, son sourire, sa bonne humeur permanente m'avait séduit. Nous étions sortis ensemble, et un soir, alors que nous nous apprêtions à faire l'amour dans sa chambre, elle m'avait avoué être vierge. J'avais donc été son premier mec.
* Oui Laurie, maintenant je me souviens, mais ça fait longtemps déjà, non ?
* 11 ans. J'avais pile 19 ans à l'époque
* Laurie, comment peux tu être aussi précise. Tu as une mémoire d'éléphant lui dit Martine
* oh c'est tout simple. J'ai perdu ma virginité avec Olivier, alors forcément je m'en souviens.
* ça alors. Vous avez couché ensemble tous les deux ? Et personne ne me l'a jamais dit.
* non, c'est vrai. Olivier et moi avons fait l'amour le deuxième soir, et nous ne nous sommes plus jamais vus. Mais je garde un souvenir ému de cette nuit. Ton ami Olivier m'a fait découvrir des tas de choses.
* oh oh. Il est un expert sexuel alors ?
Martine a retrouvé le sourire. Elle se délecte visiblement de l'histoire que lui raconte Laurie. Comment nous nous sommes embrassés alors que j'allais lui demander un livre à lire. Comment je suis entré dans sa chambre, à côté de celle de ses parents. Comment j'ai arraché ses vêtements, comment je lui ai fait le premier cunnilingus de sa vie en commençant à travers sa culotte en dentelle. Comment je lui ai montré que l'excitation pouvait être très forte en caressant, en léchant, en embrassant. Comment elle a joui lorsque moi aussi j'ai joui.

En écoutant tout ce récit que lui fait Laurie, Martine me jette des petits coups d'œil coquins, et regarde de temps en temps si la bosse qu'elle a aperçu tout à l'heure est toujours présente. Et, à entendre tout ça, j'avoue que mon érection ne me quitte pas.
Laurie n'est pas vraiment belle, mais maintenant qu'elle m'a rafraichi la mémoire je me souviens de ses très beaux seins, quoiqu'un peu petits, de sa grande sensibilité au cunni, et d'un véritable don pour la fellation. Elle est habillée de manière très neutre aujourd'hui. Jean taille basse, teeshirt blanc sans manche en dessous duquel on devine un soutien gorge. Bref rien de bien sexy, mais Martine que l'histoire semble exciter, commence à avoir le bout des seins qui se raidissent, et sous sa nuisette, c'est édifiant.
* Bon, voulez vous boire quelque chose demande t elle ?
* oui je veux bien
* apporte nous un truc bien fort, il nous faut ça pour penser à autre chose qu'à tes soucis Marinette lui dit Laurie.
Alors Martine part dans la cuisine chercher le nécessaire. Laurie pendant ce temps s'approche de moi, s'assoie à côté de moi sur le canapé et pose sa main sur mon sexe tout dur.
* tu sais, depuis ma première fois avec toi, j'ai fait beaucoup de progrès. Je crois même que je suis une véritable salope maintenant. Et toi tu es toujours aussi beau et sexy Olivier.
* c'est gentil Laurie. Personnellement, je te préférai en blonde.
* oui, mais ma vraie couleur c'est ça. Et puis, mieux vaut une brune bonne baiseuse qu'une blonde innocente non ?
* tu as raison
* tu es tout dur mon chou. C'est moi qui te fais ça ou c'est de voir Martine à moitié à poil ?
* je crois que c'est un peu les deux
* tu veux que je te dise un secret ?
* oui, dis moi
* Martine et moi, ça fait une semaine qu'on se fait du plaisir toutes les deux, et je crois qu'elle comme moi, on a envie d'une bonne grosse queue. Tu as déjà baisé une nana enceinte ?
* non jamais, mais Martine, je ne peux pas, c'est une amie d'enfance
* justement, on ne refuse rien à une amie en détresse
* de toute façon elle tient trop à son mec, elle voudra jamais
* laisse moi faire, mais tu vas voir que tu n'es pas venu pour rien Olivier.
Et là dessus, elle approche sa bouche de la mienne, force le passage de mes lèvres avec sa langue et me roule une gamelle à faire bander un eunuque.

* laisse moi faire me dit elle en me faisant un clin d'œil.
Martine revient avec un plateau, trois coupes et une bouteille de champagne. Elle pose le plateau, me tend la bouteille et me demande de l'ouvrir.
Je l'ouvre, sers le champagne dans chacune des coupes et tend une coupe aux deux filles.
Je suis sur le canapé, au milieu d'elles. Je ne peux m'empêcher d'admirer les énormes seins de Martine dont les tétons sont tendus à mort. Elle a cette position un peu indécente qu'ont souvent les femmes enceintes, assise, assez droite, avec les jambes assez largement écartées pour compenser le mal dans leur dos. Il n'y a rien de particulièrement érotique, mais voir ses cuisses écartées, ses gros seins gonflés sous sa nuisette transparente, j'avoue que c'est difficile de se contenir.
* il fait vraiment chaud aujourd'hui dit Laurie.
* oui, c'est pour ça que même si ma tenue n'est pas très convenable, j'ai préféré rester come ça lui répond Martine
* moi j'ai trop chaud. Ca vous ennuie si je me mets à l'aise demande Laurie ?
* non pas du tout dis je
Alors Laurie va dans sa chambre. Martine me glisse alors à l'oreille.
* je crois que tu lui fais toujours de l'effet, tu ne penses pas ?
* je ne sais pas dis je en mentant
* j'en suis sure. Tu sais ne te gène pas pour moi. Si tu veux aller plus loin avec elle, vous pouvez faire ce qu'il vous plait, elle a sa chambre, moi je regarderai un dvd au pire
* non, non, je n'ai pas envie
* tu sais, j'ai senti tout à l'heure.
* tu as senti ? Quoi donc ?
* quand on s'est dit bonjour. J'ai senti ton sexe contre moi
* oui, c'est vrai, je suis désolé
*il ne faut pas. Tu sais c'est très flatteur en fait. Moi qui me trouve énorme avec des seins comme une Mama italienne, sentir un mec qui bande, ça fait vraiment plaisir
* arrête de dire ça, tu n'as pas des seins si gros
* ah oui. Et bien habituellement je fais un 90D. Là en ce moment, je fais un 100F, tu imagines ?
* je vois et j'aime beaucoup personnellement
* c'est gentil mais moi je ne m'aime pas comme ça
* moi je te trouve très jolie, sexy et très désirable
* tu dis ça pour me faire plaisir, je te reconnais bien, tu as toujours été si gentil avec moi
* non je dis ça parce que je le pense
Laurie vient de revenir dans la pièce. Elle est porte maintenant un mini short très échancré qui dessine parfaitement ses fesses. Elle a passé un haut un peu plus ample, et sauf erreur de ma part, elle ne porte plus de soutien gorge.
* ah, je me sens mieux comme ça.
Elle s'assoit de nouveau à ma droite. J'ai du mal à enlever mon regard de son entrejambes. Son short est si court, si échancré que j'ai l'impression qu'elle n'a rien en dessous. Elle se rend compte de mon regard et comme pour répondre visuellement à mon interrogation, elle se lève, se met les fesses juste devant moi et nous ressert du champagne en se baissant légèrement.

En effet elle ne porte rien dessous. Sa position me permet de constater qu'en plus elle ne s'épile pas, puisque je distingue nettement des poils bruns le long des pans de son short.
Martine a très bien vu son jeu et dit
* Laurie, tu n'es vraiment qu'une chienne. Regarde comment tu mets mal à l'aise Olivier en montrant son petit cul. Il est tout rouge
Je dois effectivement être très rouge et moi aussi, j'ai tout d'un coup très chaud.
* j'ai très chaud en fait, et le champagne me donne encore plus chaud...
je ne sais plus quoi dire pour me justifier.
Alors Martine attrape mon teeshirt, et d'un geste précis et rapide me l'enlève. Je suis maintenant torse nu avec à ma gauche une fille en nuisette transparente les jambes écartées, et devant moi qui se trémousse une autre fille avec un short si court et si échancré que si je glisse un doigt j'ai un accès direct dans sa chatte.
Laurie arrête de tortiller et vient s'empaler sur moi. J'ai mon pantalon, elle son short, mais c'est presque comme si je la baisais tellement je sens nos deux sexes proches. Au travers de mon pantalon, je sens l'humidité de son sexe.
Elle se déhanche sur ma queue, pendant que Martine passe sa main sur mon torse. Elle s'approche de moi et m'embrasse goulument. Mon pantalon et mon caleçon m'empêchent de profiter pleinement de Laurie.
* Olivier, tu veux que j'enlève ton pantalon me demande Laurie
* oui vas y enlève tout, j'ai chaud, très chaud
Alors elle se relève, déboutonne mon pantalon et lentement, pendant que Martine m'embrasse et me caresse, le fait glisser à mes pieds. Mon sexe est encore emprisonné dans mon caleçon. Elle s'est accroupie, s'est mise entre mes jambes, et passe délicatement sa langue sur mon caleçon, de sorte que j'ai le sentiment qu'elle me suce sans sentir sa langue directement
* Martine, enlève ta culotte s'il te plait

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Martine et Laurie, un soir d'été. suite
Encore une fois c'est Laurie qui s'en charge. Selon la même attitude, elle fait lentement glisser la culotte de dentelle de Martine à ses pieds...

...la ramasse, la hume et me la tend.
* tiens Olivier, sens ça. Tu vas voir que Martine mouille déjà depuis longtemps.
Je prends donc la culotte sous mes narines et m'aperçois, non seulement que la culotte est trempée, mais que l'odeur suave du sexe de Martine est fortement imprégnée.

Martine m'embrasse encore, et Laurie tout en caressant ma queue sous mon caleçon s'emploie à lécher la chatte de sa copine. Je malaxe les deux obus de Martine et puis :
* Martine, j'ai très envie de te prendre en levrette
* oui j'adore. Viens
Alors on se lève tous les trois. Martine s'appuie avec ses mains sur la table du salon, me présente sa croupe, sa chatte est trempée,
je glisse un doigt, puis deux, puis trois, les ressort, les lèche, les glisse de nouveau, les donne à lecher à Laurie. Alors j'ordonne à Laurie de lecher Martine pendant que je la prends, et alors que je me prépare à entrer, Laurie saisit ma queue d'une main énergique, crache dans l'anus de Martine, et m'y enfonce.
Martine pousse un cri strident, rapide et immédiatement me demande de la défoncer par le cul comme une chienne qu'elle est.

Laurie s'est assise entre les cuisses de Martine et lèche et doigte Martine. En sodomisant la belle, je sens les doigts de Laurie faire son œuvre dans son autre trou.
C'est trop intense. Je sens que ma semence va jaillir et je demande à Martine si elle veut que je reste dans son cul pour jouir.
* non sort, je me retourne et tu me jouis sur le visage.
Alors, je sors, prend ma queue dans la main, mais Laurie enlève ma main et met la sienne à la place, Martine se place accroupie, le visage en face de ma queue et Laurie me branle à toute vitesse pour que je jouisse sur Martine.

Des secousses intenses m'envahissent, et tout à coup, mon foutre par saccades, part sur le visage de Martine, dans ses cheveux, sur le haut de sa nuisette, au dessus de ses seins. Laurie attrape alors ma queue, et décide de m'égoutter dans sa bouche, ce qu'elle fait très méticuleusement.
Nous nous relevons tous les trois épuisés mais d'une fatigue saine. Je vais à la salle de bain, et rapporte une lingette pour essuyer le visage de Martine. Mais elle refuse, et me dit qu'elle souhaite garder toutes les traces de mon foutre aussi longtemps que nous baiserons d'ici demain. Et si elle est maculée de sperme, tant pis, ou plutôt tant mieux, elle adore ça
Elle renfile sa culotte et se rassoies. Laurie elle n'a manifestement pas eu sa ration et reste sur sa faim.
Alors face à nous, Laurie entreprend de se faire du bien. Elle se caresse par le côté de son short.

Bientôt, son short la gène. Elle l'enlève, et je découvre enfin son sexe.
Elle est à quelques centimètres de nous. Sa chatte est trempée. Elle active ses doigts, les faits pénétrer, les sort, les porte à sa bouche, j'avance un peu vers elle, elle glisse quelques doigts dans ma bouche puis les remet à l'intérieur de sa chatte.
C'et tellement excitant de voir une fille se branler. Martine l'observe. Elle a gardé sa nuisette tachée de sperme, ses jambes sont encore écartées et elle caresse ses seins à travers sa nuisette. Moi je suis toujours à poil. Petit à petit mon sexe reprend de la vigueur mais alors que je tends ma main vers ma queue, Laurie m'interdit de me toucher et me demande de juste la regarder.
Elle continue à se faire plaisir, c'est fort, intense, elle va jouir.
Je vois nettement sa cyprine sur le haut de ses cuisses
Et tout d'un coup elle jouit, fort, très fort. Elle me demande alors de venir l'essuyer avec ma langue, ce que je fais.
J'approche alors mon visage de son sexe, et méticuleusement, je parcours l'intérieur du contour de son sexe. Sa chatte est très velue ce que j'apprécie beaucoup.

Je suis à genoux devant elle en train de lui lécher sa chatte baveuse comme une omelette dans tout d'un coup je sens un coup de langue sur mon anus. C'est Martine qui est en train de me lécher le cul. Je ne connaissais pas cette pratique, et j'avoue que je n'y suis pas insensible.
Elle me lèche, elle me lape. Je sens sa langue parcourir la raie de mes fesses, et descendre aussi sur le haut de ma queue qui est maintenant parfaitement remise d'aplomb.

Alors, je me lève, leur demande à toutes les deux de se coucher sur la table et de me présenter leur chatte béante.
Elles sont parallèles l'une à l'autre, les cuisses bien écartées, les jambes en l'air et alternativement, j'entre et je sors dans chacune d'entre elles.

Je les lime et constate que la chatte de Martine, certainement du fait de son état de grossesse est beaucoup plus large que celle de Laurie.
Je continue, ma queue grossit encore, toujours. Et tout d'un coup, je sens ma jouissance venir, alors, selon le même principe, je demande à Martine de se relever. Elle s'assoit, face à moi et je décharge toute ma semence sur sa nuisette.
Maintenant sa nuisette est très nettement tachée de sperme.
Nous nous effondrons dans les canapés, Laurie et moi nus, Martine avec sa nuisette, tachée, et le sperme séchant sur son visage.
Je m'assoupis, Laurie et Martine aussi, quand tout à coup la sonnette de la porte retentit.
Martine s'éveille en même temps que moi. Elle me demande d'aller ouvrir, mais je refuse et lui dit
* puisque tu veux garder mon foutre sur toi, assume et vas ouvrir
* tu es fou, je ne peux pas y aller comme ça
* et pourquoi ? Je veux que tu te conduises comme une chienne, comme une salope
Alors elle se lève, passe sa main dans ses cheveux et va ouvrir.
* Oui ? Qui est là ?
* c'est maman ma chérie
* euh, attends une seconde, j'étais dans la douche, je passe quelque chose et j'arrive.
Elle court, revient au salon et nous dit
* vite, rhabillez vous, c'est ma mère. Oh mon dieu, il ne faut pas qu'elle me voit comme ça
* Martine, tu ne respectes pas les règles du jeu; tu voulais avoir du sperme sur toi, tu dois assumer
* non, tu ne peux pas me demander ça ; c'est ma mère, elle va me tuer si elle me voit comme ça.
Laurie intervient à son tour et lui dit
* Martine, sois courageuse. Je connais ta mère. Elle est divorcée depuis longtemps, elle aime le sexe et je suis sure que la situation ne lui déplaira pas
* bon, mais vous vous rhabillez alors
Précipitamment Laurie renfile son short, son haut et j'enfile mon pantalon et mon teeshirt, mais sans pouvoir retrouver mon caleçon. Tant pis, mais mon pantalon blanc est un peu transparent et Laurie me fait remarquer qu'on voit que je ne porte rien en dessous.
* voilà, j'arrive maman
* mais, mais Martine, qu'est ce que tu as sur ta nuisette ? Tu es toute tachée.
* euh, ce n'est rien. Je sors de la douche, c'est de l'eau
* et ton visage, tes cheveux. Tu as un truc collant. Fais voir
* Mais Martine, qu'est ce que c'est ?
* écoute maman, je vais t'expliquer, mais entre s'il te plait.
Arrivent alors Martine et sa maman. Nous la saluons. C'est une très jolie femme d'environ 55 ans, très classe. Elle porte une jupe courte, des escarpins à talons hauts et un chemisier beige légèrement entrouvert ce qui laisse deviner le haut de son buste qui semble assez proéminent. Mais elle semble en colère.

* maman, je te présente Olivier, un très vieil ami
* bonjour Madame. Je suis très heureux de faire votre connaissance
* bonjour ma tante lui dit Laurie.
* bonjour Laurie. Bonjour jeune homme.
En me disant ce bonjour du bout des lèvres, elle s'est aperçue puisque je suis debout face à elle que je suis nu sous mon pantalon. On voit en effet très bien mes poils bruns sous ce pantalon très blanc et transparent.
* mais Martine, vas tu m'expliquer ce qui se passe ici ?
* maman, ne crie pas
* je ne crie pas, mais j'arrive, tu es à moitié nue, ta nuisette est tachée de je ne sais quoi et tu es avec ta cousine et ce jeune homme eux aussi dans des tenues pour le moins étonnantes. Alors je te le demande de nouveau, que se passe t il ?
* ma tante, je vais t'expliquer. Martine n'allait pas bien et on est passé avec Olivier pour la réconforter, et, pour être franche, on a fait l'amour devant elle pour lui changer les idées, voilà
* mais mes pauvres enfants, vous êtes fous ou quoi ? Et ces tâches et ce que Martine a sur le visage, dans les cheveux, c'est ce que je crois ?
* oui maman. Mais j'étais mal, et ça m'a excitée et au moins maintenant, je ne pense plus à François
* vous n'êtes que des pervers tous les trois. Quant à vous jeune homme, allez enfiler un slip ou je ne sais quoi d'autre, mais ne restez pas comme ça devant moi
Sur ces mots autoritaires, je pars dans la chambre, mais le problème c'est que je n'ai pas trouvé mon caleçon. J'ouvre l'armoire, mais je ne trouve que des habits de Martine, rien d'autre. Je ne vais quand même pas mettre une culotte à elle et encore moins un string.
Tant pis, je vais rester ici et attendre qu'elle s'en aille.
De longues minutes passent. J'entends des cris, des bribes de phrase. Manifestement la mère de Martine est très en colère.
Je sens que j'ai eu une très mauvaise idée, mais, trop tard, c'est fait. Et moi qui suis toujours coincé dans la chambre. Tout d'un coup je saisis une phrase de sa mère.
* tiens le voilà son caleçon à ton ami. Ca doit être pour ça qu'on ne le voit pas revenir. Je vais lui ramener moi, et il va m'entendre ce pervers.
Oh, je me sens mal. Je vais me faire engueuler comme un enfant qui a fait une énorme bêtise.
Je réfléchis à ce que je vais dire quand tout d'un coup, la porte s'ouvre, sèchement, et se referme violemment. Elle vient d'entrer comme une furie et de claquer la porte derrière elle.
* alors, Olivier, c'est ça que vous cherchiez ? me dit elle avec un large sourire et d'une voix très douce
je suis abasourdi. Elle me dévisage littéralement. Ses yeux sont focalisés sur ma braguette, elle s'approche de moi tenant le caleçon dans sa main. En avançant, elle porte le caleçon à ses narines et me dit
* humm...savoir que ta grosse queue a touché ce tissu, j'en suis toute excitée
je suis anéanti. Je pensais me faire insulter, punir, engueuler, et au lieu de ça, j'ai face à moi une femme de très belle allure qui me met le feu.
Elle plaque sa main contre ma queue qui durcit immédiatement sous l'effet. Qu'est ce qu'elle m'excite cette femme. Et savoir que les deux autres sont au salon en se disant qu'elle doit me passer un savon m'excite encore plus.

* tu es monté comme un taureau mon bébé. Après la fille, que dirais tu de baiser la mère ?
* tout ce que vous voulez madame, je ferai ce que vous voulez
* tout ce que je veux ? Vraiment ?
* oui, tout
* alors je veux que tu me baises devant ma fille et ma nièce
* mais madame
* silence, tu as dit, tout ce que je voulais. Je veux, tu fais.
* mais Martine est une amie, que va t elle penser ?
* la même chose que moi. Que tu es un pervers. Tu veux me baiser ou pas ?
* oui, bien sur, mais pas devant votre fille, s'il vous plait
* c'est ça où je raconte tout à son père et je peux t'assurer que la sentence sera moins agréable avec lui
* d'accord madame
* alors déshabille toi entièrement et suis moi

j'enlève alors mon pantalon, mon teeshirt et la queue au garde à vous, je suis la jolie et très sexy maman jusqu'au salon.
Les filles sont assises sur le canapé et nous voient entrer.

* maman, que fais-tu ? Pourquoi Olivier est tout nu derrière toi ?
* et bien puisque tu te comportes comme une petite pute, je vais te montrer ce que l'on ressent quand on est confronté à ce genre de spectacle. Tu vas voir ton ami baiser ta mère
* maman tu es folle. Tu pourrais être sa mère et puis, fais ce que tu veux, mais pas devant moi
* et moi tu as pensé à moi ? J'arrive chez toi pout te soutenir et je vois ma fille à moitié à poil dégoulinante de sperme de la tête aux pieds.
* pardon maman, mais je t'en prie, ne fais pas ça
* non seulement je vais le faire, mais vous allez regarder sans avoir le droit de vous toucher, ni l'une, ni l'autre.
Alors, dans ce contexte complètement dingue, moi nu comme un vers devant Martine enceinte et recouverte de sperme, Laurie, la seule à paraitre à peu près normale, et une dame de 55 ans, je vais baiser la mère de ma meilleure amie.
* allonge toi par terre sur le dos m'ordonne t elle.

Je m'allonge par terre, devant le canapé. Martine et Laurie ont leurs pieds qui m'effleurent. Sa mère le voit et exige de sa fille qu'elle me masturbe avec son pied, ce qu'elle fait.
Sa mère, Chantal, fait glisser sa jupe, nous dévoile un string ficelle mini mini, enlève son chemisier, et ne garde sur elle que son string et son soutien gorge cachant deux très beaux seins. Je sais maintenant pourquoi Martine a de si gros seins
Elle s'accroupit au dessus de mon visage, écarte son string. Je vois l'intérieur de son sexe pendant que Martine continue de me masturber avec son pied. J'ai envie de donner un coup de langue sur ce sexe qui est à quelques millimètres de ma bouche. Je sors ma langue pour la lécher. Elle semble apprécier. Pendant ce temps Martine se leve, s'accroupit et viens s'empaler face à sa mère sur ma queue au garde à vous. Je suis en train de baiser la fille. Je suis aux anges. Je lape comme un petit chat toute ce liquide et une fois fini, je continue à lécher et bouffer de toutes mes forces la chatte de cette si magnifique femme.

Elle se relève, demande à Martine de se lever aussi. Elle ordonne à Laurie de venir dans la même position qu'elle. Quant à Chantal, c'est elle qui s'empale maintenant sur ma queue.
Martine est assise sur le bord du canapé et voyant le spectacle elle se place dos à sa mère, face à Laurie. Les trois femmes sont sur moi. L'une sur mon sexe, l'autre au dessus de ma bouche, la troisième sur mon torse. Je bois la chatte de Laurie et doigte la chatte de Martine.
Chantal bouge comme une folle. Puis tout d'un coup elle sort de mon sexe et me balance un jet sur la queue. Ce n'est pas de l'urine, c'est une jouissance féminine. Elle éjacule comme un homme.
J'entre de nouveau dans sa chatte qui est tellement trempée que je ne sens plus rien. Elle ressort, jute de nouveau. Je suis trempé, littéralement trempé. Je fais un cunnilingus très appuyé à Laurie puis celle ci se retourne et me présente son cul. Je lui bouffe le cul maintenant.
Chantal dit alors

* venez les filles, on va le finir à la main pour qu'il nous jouisse dessus
Alors, d'un coup trois filles me branlent, s'embrassent entre elles, et lorsque mon foutre gicle, Chantal pousse la tête de Martine vers ma queue et une fois de plus elle reçoit en plein visage toute ma jouissance. J'ai tellement joui que son visage est quasiment blanc de semence. Il en tombe par petites gouttes et Chantal la lèche un peu.

Après ce dernier exploit j'ai sombré dans un sommeil profond.
Je vous raconterai une prochaine fois comment j'ai enculé Chantal à sa demande.