Mon beau-frère à la maison

Découvrir (publié par Lisa le 03-05-2011)
Profiter (publié par Lisa le 27-05-2011)
Regarder (publié par Lisa le 01-06-2011)
Se tromper (publié par Lisa le 06-06-2011)
Punir (publié par Lisa le 06-06-2011)


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1. Découvrir

- Chérie, Jean va venir passer quelques jours la semaine prochaines. Il sera en formation dans le coin durant la semaine. Je lui ai proposé de venir dormir ici plutôt que d'aller à l'hôtel. Tu es d'accord ?
Je n'émis aucune objection. Jean était le jeune frère de Simon. Il n'était encore jamais venu à la maison et je ne l'avais vu que deux ou trois fois quand il avait un appartement à Paris. Depuis qu'il avait déménagé du côté de Dijon deux ans auparavant, je ne l'avais pas revu. Jean étant quelqu'un d'assez timide (à la différence de Simon), je ne savais pas grand chose de lui. Aussi ce fut l'occasion pour moi d'interroger un peu Simon pour ne pas me retrouver devant un parfait inconnu quand il serait là. j'appris ainsi qu'il était actuellement célibataire, qu'il avait vécu plusieurs années avec une fille noire et qu'elle l'avait finalement quitté pour un autre. Il travaillait dans une administration publique de la ville de Dijon et appréciait assez son travail.
Quand il arriva, je fus un peu surprise car il me restait finalement un souvenir assez vague de lui. Il était un peu moins grand que Simon, tout aussi brun et s'habillait de manière sobre et passe-partout. Lui, apparemment se souvenait bien de moi car il me rappela certaines anecdotes de nos précédentes rencontres que j'avais depuis oubliées. Ce qui était indéniable, c'est que je lui plaisais beaucoup car je le surprenais régulièrement à loucher sur mes décolletés.
Le soir même de son arrivée, je m'étais habillée, comme souvent, de manière assez légère, jupe et débardeur, sans rien dessous. Simon était parti à la cave quand l'ampoule principale du salon rendit l'âme. Ne voulant pas attendre que Simon remonte, je pris rapidement une ampoule neuve et le petit escabeau du placard du couloir afin de remplacer l'ampoule qui avait grillé. Juste sous les yeux de Jean, je montai l'escabeau, sans vraiment penser à ma tenue. J'étais en train de changer l'ampoule quand je pris conscience du spectacle que j'offrais à mon jeune beau-frère.



Simon remonta de la cave alors que j'avais fini le remplacement et m'apprêtais à descendre. Découvrant son frère bouche bée au pied de l'escabeau, il comprit aussitôt que le spectacle de mes fesses et de mon sexe nus était à l'origine de l'émoi de son frère. Simon, qui adore m'exhiber, ne montra aucune gène à cette situation et se mit à me caresser sitôt que je fus descendu en me réprimandant gentiment :
- Tu ne t'emmerdes pas, toi !



Les caresses de mon mari en présence de mon beau-frère, m'excitèrent moi aussi. Je laissai faire Simon. Jean semblait gêné, mais finalement pas autant que je l'aurais cru. Derrière moi, Simon me chuchota à l'oreille :
- Je pense que mon petit frère n'a pas vu une femme nue depuis un moment; Tu serais OK pour lui montrer à quel point tu es belle ?



Je me tournai et le regardai dans les yeux. Oui, j'avais effectivement très envie d'exciter ce jeune homme si timide. En l'absence de Simon, je n'aurais sûrement pas osé aguicher son frère, mais puisque Simon lui-même m'y invitait, je ne voyais pas de raison de m'en priver. Je lui répondis tout bas :
- D'accord...



Je pensais que Simon allait s'éloigner et me laisser faire un strip-tease, mais, sans doute voulait-il montrer à son frère que mon exhibition était librement offert par nous deux et pas seulement à mon initiative. Aussi Simon commença-t-il à déboutonner ma jupe, voulant donner à Jean l'opportunité de découvrir plus en détail ce qu'il avait déjà entraperçu quelques minutes auparavant quand j'étais sur l'escabeau.



Mais je voulais faire les choses moi-même, à mon rythme. J'arrêtai Simon et le repoussai. Ma jupe était quand même déjà un peu retroussé sur mes hanches et dévoilait mon sexe nu. Tout en regardant alternativement Simon et Jean, je fis glisser une bretelle de mon débardeur.



Leurs yeux étaient fixés sur moi. Le téléphone pouvait sonner qu'ils ne l'auraient pas entendu. La bretelle termina sa couse le long de mon bras. Une petite rotation d'épaule suffit à faire glisser le tissu et à dégager mon sein. Le téton déjà gonflé d'excitation, celui-ci s'offrait aux regards avec arrogance.



L'autre sein suivit le même traitement. Jean et Simon semblaient bien à l'étroit dans leurs jeans. Simon n'y tint pas. Peut-être parce qu'il se considérait en terrain conquis, il vint jusqu'à moi et, se mettant derrière moi, se mit à me peloter. Ainsi, il ne privait pas son frère du spectacle de ma poitrine dénudée.



Jean ne résista pas davantage et nous rejoignit. Simon fit glisser ses caresse plus bas, sur mon ventre, afin de laisser son frère me peloter à son tour. Jean semblait prendre un immense plaisir à ce contact et prenait son temps pour les soupeser, les malaxer, les serrer, les caresses et jouer avec les mamelons durcis. Je sentis que j'allais perdre le contrôle sous pression de toutes ces caresses.



Mais je n'étais censée que m'exhiber, pas être jetée en pâture sexuelle à deux frères. Aussi, je me ressaisis et les repoussai
- Eh ! contentez-vous de regarder.
ils étaient sur le cul de me voir les rejeter ainsi, mais ils obtempérèrent.



Ils s'installèrent dans le canapé, côte-à-côte, cuisses écartées, jeans tendus. Il ne me restais plus que la jupe, retroussée sur mes hanches. Je terminai de la déboutonner pour la retirer. Puis je me tournai lentement et écartai un peu les cuisses pour leur offrir le spectacle de mon cul nu, que Simon qualifie souvent d'irrésistible - et effectivement, il résiste fort peu souvent. Pourtant cette fois-ci, Simon ne montra aucune réaction et se contenta du spectacle.



Je rejoignis le canapé face au leur, de l'autre côté de la table basse et m'y mis à genou. Je creusai les reins, faisant ainsi saillir mes seins d'un côté et cambrant de l'autre mon cul. Les garçons restaient sages mais je sentais bien que la pression montait peu à peu.



Leurs jeans étaient de plus en plus étroits pour leurs érections galopantes. De voir ces bosses déformer significativement ce tissu pourtant si rigide, cela me fit mouiller énormément. Je sentais la cyprine commencer à couler entre les lèvres de mon sexe. Je décidai de m'asseoir sur le canapé et d'écarter largement les cuisses pour qu'ils se rendent compte par eux-mêmes de l'état dans lequel ils me mettaient.



Je sentais qu'ils étaient de plus en plus nerveux, bien qu'aucun d'eux ne montra le moindre signe d'impatience autre que leur turgescence qui réclamait sauvagement à sortir. J'en rajoutai : je me vautrai dans le canapé et commençai à me caresser doucement l'intérieur des cuisses, de plus en plus près de ma moule.



Leurs yeux ne dérivaient pas d'un pouce, accrochés par un lien invisible directement à mon entrejambe. Mes doigts arrivèrent enfin contre les lèvres de mon sexe. J'en fus moi-même un peu surprise et lâchai un petit grognement de plaisir à ce contact. Je me caressais, tout doucement. Les jeans des garçons allaient probablement exploser dans pas longtemps. Mon majeur, trempé, se faufila entre les lèvres brûlantes et commença à s'insérer plus profondément dans mon sexe.



Simon fut le premier à craquer. Il se leva et me rejoignit. Il attrapa ma main et la tira doucement, faisant sortir ainsi mon doigt masturbateur. Il porta ce doigt à sa bouche et le suça longtemps, se délectant de mon jus. Puis il avança sa main et reprit à son compte la masturbation qu'il m'avait fait interrompre.



Sa branlette, comme toujours, était divine. Je me laissai aller au fond du canapé pour profiter pleinement de la douce caresse. Ses doigts étaient trempés de mon jus. Il s'arrêta soudain. J'ouvris les yeux pour le voir porter à sa bouche son doigt coquin et se délecter de mon jus. Cela sembla lui convenir car il plongea aussitôt son visage entre mes cuisses béantes.



La langue de Simon jouait une sarabande sur les lèvres de ma chatte, montant et descendant à un rythme régulier. De temps en temps, le bout de sa langue venait darder mon clitoris. D'autre fois, Simon l'enroulait et me pénétrait comme s'il s'agissait de son sexe (malheureusement pas très long). Je vibrais de plaisir et il ne fallut pas longtemps à Simon pour m'arracher un orgasme puissant.



Finalement, Simon ne s'était pas libéré et son frère non plus. J'imaginai à quel point cela avait dû être une torture pour eux. Quand je fus remise de mes émotions, je rattrapai ma jupe et la renfilai. Jean me lança mon débardeur avec un grand sourire, apparemment satisfait du spectacle que nous avions offert à son petit frère.



Je lus dans les yeux de Jean une certaine déception au moment où mes seins disparurent sous le débardeur. Il continuait pourtant toujours à me déshabiller du regard, profitant de chaque détail : mes cuisses, la courbe de mes hanches, mon ventre dénudé, la courbe de mes seins, les tétons pointaient à travers le tissu, le décolleté, mes épaules nues...



Je voulais quand même commenter ce qui venait de se passer pour éviter que Jean ne s'imagine que nous étions des détraqués sexuels :
- Excuse-nous, on a l'habitude de se donner du plaisir à la moindre occasion. J'espère que ça ne t'a pas gêné...
- Pas du tout : le spectacle était très intéressant.
- Maintenant que tu m'as vue nue, tu seras peut-être plus à l'aise.

Le soir-même, après le repas, j'entendis Jean se branler dans le salon où nous l'avions installé pour la nuit.
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2. Profiter

Le lendemain matin, alors que je passais près de la salle de bain, j'entendis des gémissements que je supposai être Jean qui était à se masturber. J'étais assez émoustillée car je m'imaginais qu'il faisait cela en pensant à moi. Je filai rapidement à la chambre retirer ma nuisette et mettre juste un peignoir. Simon venait de partir travailler. Dès que j'entendis que l'eau ne coulait plus, je pénétrai dans la salle de bain (il n'y a pas de verrou chez nous). Jean sortait de la douche en érection et resta bouche bée de me voir arriver en peignoir. Par l'échancrure qui découvrait très haut mes cuisses, il pouvait apercevoir quelques parties de mon corps qui étaient susceptibles d'entretenir son émoi.



- Salut Jean. Bien dormi ?
- Bonjour Lisa...
- Tiens !? Tu bandes ?
- A vrai dire... je pensais à toi...
- Flatteur !
Je me mis devant le lavabo, regardant Jean à travers le miroir.



Dans le miroir je voyais qu'il ne me quittait pas des yeux.
- Tu n'as peut-être pas fini de te préparer...
- Je n'en ai plus pour très longtemps...
- Alors, ça ne te gêne pas si je me douche pendant que tu termines de te préparer ?
Sans attendre sa réponse, je quittai le peignoir.



Jean était rouge vif et il semblait bander très dur. Il avait les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, les bras ballant. Il ne savait manifestement pas comment réagir à une telle situation. Seuls ses yeux bougeaient en tout sens pour ne rater aucune partie de mon anatomie alors que je passais devant lui pour entrer dans la douche. J'ouvris le robinet et pris le pommeau de douche pour orienter le jet vers mon postérieur.



Le bruit de l'eau sembla le sortir de sa torpeur et il lâcha un large sourire de satisfaction. Il attrapa le tabouret et le tira à lui pour s'y asseoir. Il se plaçait en spectateur. Je me devais donc de ne pas le décevoir et de me présenter sous mon meilleur jour. Bien sûr, il n'avait pas débandé d'un millimètre.



Je lui présentais toujours mon cul et tournai la tête vers lui avec un regard coquin pour son érection :
- Mmmmh... tu bandes vraiment bien.
- ...
- T'es aussi bien monté que ton frère !
Il ne répondit pas et gardait les yeux rivés à mon cul.



Puis je me tournai lentement. Son regard remonta peu à peu, cherchant à ne pas manquer l'apparition de mes seins. Je les cachais d'abord, par fausse pudeur, pour le faire patienter. Je vis que son regard en profita pour descendre et s'attarder sur mon entrejambe. Mais dès que j'écartai les bras pour révéler ma poitrine, son regard remonta et le sourire de Jean se marqua un peu davantage.



Ce qui m'étonnait le plus, c'est qu'il ne cherchait pas à m'approcher pour me caresser. Il se contentait d'être spectateur, sans même se masturber. Je coupai l'eau et sortis de la douche. Il se leva pour me tendre une serviette. Juste me la tendre. Sans essayer d'en profiter pour me caresser. J'attrapai la serviette et le fis se rassoir. Je me séchais devant lui sans aucune pudeur.



Jean n'était pas dupe de mon petit jeu et il décida de prendre les choses en main. Enfin... les choses, plutôt "la chose", car il avait saisi son érection et se masturbait tranquillement tout en me regardant faire mon manège. Le spectacle semblait donc être à sa convenance.



Je continuais à tester sa résistance. Je passai les mains dans mes cheveux, faisant ainsi saillir mes seins. Je le vis s'arrêter de se masturber comme si le spectacle ne souffrait qu'il fasse autre chose. Mais après quelques secondes à me contempler, sa main reprit son mouvement avec la régularité d'un métronome.



Je commençais à en avoir marre de rester sous la douche à le regarder. Je sortis de la douche. Il dut croire un instant que j'allais venir m'occuper de lui car il se redressa. Mais je m'arrêtai avant d'arriver à lui et j'étendis une serviette au sol pour m'allonger dessus. Je m'installai sur le dos, cuisses écartées et commençai à me caresser un mamelon.



Nous étions passé au stade supérieur. Jean avait les yeux exorbités. Je voyais son regard naviguer de mes seins à mon entrejambe, puis de mon entrejambe à mes seins, sans discontinuer. Il bandait très très fort et accélérait même la cadence de sa masturbation. Cela m'excita tant que ma main descendit machinalement jusqu'à mon sexe et mes doigts se mirent à caresser mes lèvres et mon clitoris.



Je vis jean hésiter. Tout en continuant à se masturber, il se redressa, manifestement sur le point de me rejoindre. Mais je me dis que cela été probablement une bêtise que de faire l'amour avec mon beau-frère, du moins sans l'aval de Simon. Aussi je préférai m'en tenir à ces petits jeux d'excitation mutuelle. Je lui fis un petit signe du doigt pour lui signifier de rester assis. Il sembla déçu mais ne s'arrêta pas de se branler. Il porta même sa seconde main à sa hampe.



C'est là que je pris conscience qu'il avait une bite réellement imposante puisqu'il arrivait à y faire travailler ses deux mains de concert. Je me demandais même si elle n'était pas plus longue que celle de Simon, Ces considérations m'excitèrent encore plus et, malgré quelques vilaines pensées, je réussis à ne pas me lever pour aller le sucer ou m'empaler sur ce mât qui semblait si accueillant. Je sentais la cyprine inonder mes doigts. Je ne pus m'empêcher de me masturber, un doigt allant et venant dans ma fontaine.



Je m'imaginais que Jean me prenait et cela fit s'envoler toute ma résistance. L'orgasme monta rapidement. Je le laissai m'envahir, me tordant sur le dos de droite à gauche, serrant mes cuisses pour emprisonner ma main, mon doigt continuant à s'agiter de plus belle. Je gémissais, laissant juste échapper de petits cris. Je pensais que ce spectacle aurait raison de Jean. Mais quand, remise de mon orgasme, je me redressai, il était toujours à se masturber et n'avait manifestement pas encore éjaculé. Mais tout semblait indiquer que ce n'était plus qu'une question de minutes. Je me mis à plat ventre sur la serviette, cuisses écartées :
- Que penses-tu de la vue ?



Jean ne répondit pas. Il semblait prêt à jouir à chaque instant. Ses mains arrêtèrent leur va et vient obsédant sur la hampe. Il voulait gagner du temps, en profiter encore. Mais je ne voulais pas attendre davantage :
- Approche...
- ...
- Viens goûter ma mouille...



Jean se leva, il avait lâcher sa queue qui conservait une incroyable raideur. Il s'approcha et vint s'agenouiller entre mes cuisses écartées. Il avança la main et me mit deux doigts dans la fente. Bien qu'ils étaient déjà trempés de ma mouille, il les y laissa et se mit à me branler. De son autre main, il avait repris sa propre masturbation.



Je ne me sentais pas la force de le laisser me faire jouir ainsi et je préférai en terminer assez vite car il fallait que je parte travailler :
- Goûtes !
Il retira ses doigts et les lécha. Cela sembla décupler son excitation. Sa main s'activa encore plus vite sur son érection. Je l'invitai à ne pas attendre plus longtemps :
- Tu veux jouir sur mon cul ?
Il ne se fit pas prier. Quelques coups de poignets plus tard, il se redressa et dirigea ses jets de sperme vers mes fesses.



Son éjaculation fut relativement brève mais ses jets étaient denses et épais. Ainsi, tout en râlant son plaisir, il inonda mon cul de son sperme.



Il se redressa, affichant un large sourire. Il balbutia :
- Tu crois qu'on a fait une connerie ?
- On aurait fait une connerie si je t'avais fait jouir en moi. Ce n'est pas le cas.
- Je n'aurais pas été contre...
- Pour qu'on aille plus loin, il faudra que j'en parle à Simon. Tu es quand même son frère !
- Je comprends....
- Désolée, mais il faut que je reprenne une douche et que je file au bureau.



Il quitta la salle de bain pour me laisser me doucher. J'avais déjà hâte d'être au soir pour parler à Simon : je voulais avoir son autorisation de baiser son frère !

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3. Regarder

Le soir, nous avions discuté avec Simon. Il m'avait bien sûr donné son accord mais me demandait d'essayer de ne pas brusquer les choses. Jean est un timide et il ne s'agirait pas de l'effrayer.
Simon partant travailler un peu plus tôt que moi, c'est lui qui me réveillait habituellement en partant. Mais le lendemain matin de notre petite discussion au sujet de son frère, comme il partait beaucoup plus tôt, il avait demandé à Jean de se charger de me réveiller. Je suis une vraie marmotte et il est vrai que le réveil ne suffit pas à me sortir du sommeil. Seule une voix masculine peut y parvenir.
Ce matin-là, Jean entra donc dans la chambre pour me réveiller. Sa voix un peu grave m'arracha à des rêves érotiques. IL attendait quelques minutes, comme le lui avait demandé Simon, afin de s'assurer que je me réveillais bien. Pour ne pas le faire trop attendre, je me levais. Il roula des yeux en me découvrant dans ma petite nuisette peu habillée, surtout que j'étais un peu penchée et que mes seins nus jouaient librement dans le décolleté.



- Bonjour Jean.
- B... Bonjour Lisa.
- Merci de m'avoir réveillé.
Jean était torse nu avec un pantalon de pyjama. Il était plutôt bien foutu et je décidai de lancer une pseudo-conversation pour qu'il reste et que je puisse profiter du spectacle. Je me rassis au bord du lit. Les bretelles de la nuisette glissèrent un peu, ce qui révéla une partie de ma poitrine nue. Je ne m'en occupai pas :
- Tu n'as pas trop chaud dans le salon ?
- Si un peu...
- Tu dors torse nu ?
- Oui...



Il était asse mal à l'aise. Ce qui allait suivre achèverait de le troubler :
- Simon dort carrément nu. Moi je n'ai que ma nuisette mais c'est vrai que j'ai quand même très chaud.
Sans davantage de préparation, je fis passer ma nuisette par dessus ma tête. Les yeux de Jean manquèrent de peu de sortir de leur orbite.



- Tu m'as déjà vu nue. Il ne faut pas être gêné de profiter du spectacle.
Je m'allongeai sur le lit, faisant saillir mes seins :
- Et puis, j'ose imaginer que ce spectacle ne t'es pas trop désagréable, non ?
- oh... oui ! Tu es la plus belle femme qu'il m'ait été donnée d'admirer.



Il faut dire que sa bite parlait déjà pour lui depuis quelques minutes, déformant de plus en plus le pantalon de pyjama qu'il tentait maladroitement de dissimuler de ses mains. Comme mes mots l'avaient un peu rassuré, il se détendit et me laissa l'opportunité de voir sa tige raide moulée par le tissu de son pyjama. Je fis mine de le découvrir :
- Oh mais tu bandes ? Retire donc ton pantalon que je vois ça un peu mieux...



Après quelques secondes où son excitation combattit avec force sa timidité, cette dernière capitula et Jean fit glisser son pantalon, libérant une formidable érection, rien que pour moi. Je mourrais d'envie de la prendre, de la caresser, de la mettre dans ma bouche, entre mes cuisses et encore bien d'autres projets qui me firent mouiller abondamment. Jean s'exhibait désormais presque sans gène, fier de son érection.



Je m'approchai lentement, prenant un air un peu intimidé, espérant lui donner ainsi un peu d'assurance. Arrivé à son niveau, je me saisis de son érection et commençai à la branler. C'était déjà tout simplement délicieux de tenir la bite de mon beau-frère pour la première fois. Jean me regardais faire sans bouger, n'osant pas me toucher.



Mon regard alternait entre ma main qui montait et descendait sur son mat et son regard que je captais assez peu souvent, vu que pour sa part il naviguait entre ma poitrine, mon entrejambe, ma main masturbatrice et mes yeux. Ce petit jeu dura plusieurs minutes. Je ne voyais pas vraiment comment allait se terminer cette histoire car Simon m'avait demandé de ne pas le brusquer, mais je me voyais mal laisser le pauvre Jean dans cet état. J'en étais à me demander si j'allais le faire jouir dans ma bouche ou entre mes reins que Jean résolut l'énigme seul : je le vis fermer les yeux, se tendre, bouche entrouverte. Sa queue se tendit avant un ultime soubresaut. IL crias son plaisir en même temps que sa sève s'échappa de son érection venant s'écraser sur mon poignet, inondant mes mains.



J'étais un peu frustrée que cela s'achève ainsi mais ne m'avouai pas vaincue. Toujours assise au bord du lit, je me penchai sur lui pour prendre son gland en bouche et le nettoyer. Mais je ne lui fis pas toute la toilette, juste celle du gland, laissant le sperme coulant toujours le long de sa hampe.



- Merci Jean ! Si tu veux, tu peux peut-être passer à la salle de bain pour finir de te laver ?
Tout en me léchant les mains encore maculées de son sperme, je l'admirai se diriger tranquillement vers la salle de bain (il avait, comme Simon, une paire de fesses très agréable à regarder). La salle de bain donnant face à la chambre je pouvais le voir se doucher, puisqu'il avait laissé la porte entrebâillée. D'ailleurs, Jean fit son coquin car il ne tira pas non plus la porte de la douche, me donnant ainsi la possibilité de profiter du spectacle, ce dont je ne me privai pas, toujours assise sur mon lit.



Assez rapidement, je sentis que je me mettais à mouiller à nouveau. Je ne pus m'empêcher de me caresser, mes mains venant visiter l'une après l'autre les lèvres de ma chatte. Je constatai que mon plaisir solitaire ne l'était pas tant que cela puisque Jean m'observait depuis la douche et en profitai pour entretenir une érection plus que raisonnable.



De le voir se masturber ainsi sous la douche alors que je l'avais fait jouir quelques instants auparavant, cela m'excita au plus haut point. Mes doigts commencèrent à s'immiscer entre les lèvres de mon sexe entamant une délicieuse masturbation.



Ma surprise fut totale quand Simon apparut dans l'embrasure de la porte :
- Coucou chérie ! Il y a une grosse panne électrique au boulot, ils ont renvoyé en chômage technique tous ceux qui travaillent sur informatique. J'ai donc ma matinée. A ce que je vois, tu n'es pas vraiment pressée d'aller travailler...
- Mmmm, non. Comme tu vois, je me réveille gentiment.
Simon n'avait pas entendu son frère qui se douchait derrière. Jean avait coupé l'eau et nous observait discrètement. Je voyais par l'embrasure de la porte un peu repoussée, je voyais son visage et sa main qui s'activait sur son sexe.
Simon ne fut pas long à quitter tous ses vêtements et à me rejoindre. Il se pencha entre mes cuisses et me dévora la moule.



J'étais si excitée et il y mettait tant de fougue que je crus qu'il allait me faire jouir ainsi. Je le repoussai et le fis s'allonger. Je pris son sexe en main et commençai à le masturber. Je trouvai terriblement excitant de lui faire l'amour sous les yeux de son frère, sans qu'il le sache.



Jean n'en perdait pas une miette. A voir sa main s'activer sur son sexe derrière la porte, je mesurait à quel point lui aussi pouvait être excité par cette situation. Tout en continuant à regarder Jean, je me penchai sur l'érection de mon mari et le pris en bouche pour le sucer.



Simon commença à râler. Il semblait même avoir oublier que son frère était dans ces murs. Quand je le sentis bien dur dans ma bouche, je me redressai et m'installai face à Simon pour m'empaler sur lui. Bien que je tournai régulièrement la tête vers la porte de la chambre où je voyais que Jean ne perdait rien du spectacle, Simon restait concentrer sur mes seins et son plaisir.



Le fait que j'étais particulièrement déchainée devait sûrement lui convenir et il semblait vouloir me laisser mener la danse. Avant d'attraper un torticolis à me tourner sans cesse la tête pour voir Jean, je décidai de changer de position et de m'empaler sur Simon dans l'autre sens, lui présentant mon dos. Simon se déchaina lui aussi et me donnait de violents coups de reins pour aller de plus en plus profondément en moi. A ce train d'enfer, mon orgasme ne fut pas long à venir et je jouis sans retenir mes cris de plaisir.



Abattue par cet orgasme, je mis quelques minutes à reprendre mon souffle et mes esprits. Je m'arrachai à Simon qui bandait toujours très dur :
- Tu n'as pas joui mon chéri ?
Sans me répondre, Simon se redressa en me souriant. Il avait manifestement une idée derrière la tête. Je compris bien vite laquelle quand il vint se placer derrière moi en demandant :
- Tu m'accorderais une faveur ?
- Mon petit trou ?
- Oui...
- Vas-y !



Je me mis à quatre pattes. Simon me saisit aux hanches, le gland appuyé à mon anus. J'étais bien excitée et le sexe en tension n'eut finalement aucune peine à pénétrer l'étroit fourreau. Si je n'avais pas joui juste avant, j'aurais très certainement eu un orgasme peu de temps après. Si on avait eu plus de temps, j'aurais sûrement pu en avoir un second. Mais comme il ne me fallait pas trop tarder pour aller au travail ensuite, je tentai de faire jouir mon mari assez vite, accompagnant ses assauts. Jean nous regardait toujours et sa main astiquait désormais frénétiquement sa hampe.



Comme je l'espérai, Simon se répandit en moi assez vite. Ses jets de sperme envahissaient le fond de mon cul avec puissance. Simon continuait ses assauts tout en se déversant, se cambrant comme pour tenter d'envoyer son sperme toujours pus loin en moi. Presque synchronisé avec son frère, Jean jouit à son tour : je vis sa main s'arrêter, son visage se crisper et les jets de spermes s'échapper. Il éjacula en silence, en toute discrétion



Quand Simon s'arrêta enfin de jouir, je me libérai. Quand son sexe sorti de mon anus, j'eus cette drôle de sensation de son jus s'écoulant de mon cul pour couler le long de mes cuisses. Je me levai pour filer à la salle de bain avant que Simon n'y aille. Jean était en train s'essuyer son sperme au sol avec des mouchoirs en papier. Je lui fis signe de s'éclipser, ce qu'il fit discrètement, s'enroulant rapidement une serviette autour de la taille.
Cela m'avait tant excité que je me dis que j'allais garder secrète notre petit séance de voyeurisme/exhibitionnisme.
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4. Se tromper

Le soir même, nous rentrâmes en même temps Simon et moi. Nous fûmes surpris de trouver Jean en train de dormir sur le divan. Les bruits que nous avions fait en entrant l'avaient réveillé et il émergeait tout juste :
- Salut frérot ! Tu as du sommeil à récupérer ?
- ... En fait, je dois bien vous avouer que les bruits de la route juste à côté m'empêche un peu de dormir la nuit.
- Merde... Tu les entends tant que ça ? Nous on est habitués, on n'y fait plus trop attention.
Je proposais une réorganisation pour la nuit :
- Et si on dormait dans le canapé nous, cette nuit ? Jean, tu prends notre chambre ?
- Oh, non, je ne veux pas vous déranger. Ce n'est pas bien grave...
Simon insista :
- Écoute, nous on n'est pas dérangés par les bruits de la route, ça ne pose aucun problème. Ce sera comme ça, tu n'as pas le choix !
Jean semblait quand même apprécier l'idée de pouvoir passer une bonne nuit.

La soirée se passa sans événement majeur outre le fait que Jean et Simon, assis tous deux face à moi à table, n'arrêtèrent pas de lorgner dans mon décolleté où mes seins étaient libre de soutien-gorge. Mais Jean semblait si fatigué que nous allâmes nous coucher assez rapidement presque aussitôt le repas terminé. Bien sûr, dès que Jean fut couché, Simon me sauta dessus et me débarrassa de ma robe. Nous fîmes ainsi rapidement l'amour sur le canapé-lit, assez discrètement pour ne pas gêner Jean, et nous nous assoupîmes ensuite.

Sur les coups de trois ou quatre heure, je me réveillais avec la gorge sèche. Je me levai pour aller boire, sans prendre la peine de m'habiller.



Je me disais qu'à cette heure, il y avait peu de chance que je tombe sur Jean et même si cela arrivait, qu'importe ! J'allais donc jusqu'à la salle de bain prendre un verre d'eau et retournai me coucher. Sauf que dans un demi-sommeil, je me trompais : la force de l'habitude me fit aller dans notre chambre à coucher au lieu de rejoindre Simon au salon.



Machinalement, je m'allongeai doucement à côté de Jean, faisant attention à ne pas réveiller celui que je prenais alors pour mon propre mari. Il bougea un peu, mais ne se réveilla pas. Je me mis sur le dos et me rendormis. Mon compagnon de nuit bougeait un peu dans son sommeil et cela finit par me sortir de mes rêves.



Un peu excitée par un rêve érotique (dont je ne me souviens d'ailleurs plus du tout), mes mains glissèrent sous les draps pour caresser mon entrejambe. Des simples caresses, cela se transforma en masturbation et ma respiration se fit haletante. Je commençais à être tout à fait réveillée et mes gémissement semblaient aussi avoir réveillé celui que je pensais être Simon.



Tournée sur le côté, dos à lui, je lançais la main derrière moi pour l'attirer contre moi. Il ne rechigna pas à caller sa bite en érection entre mes fesses. Il commença aussitôt à onduler d'avant en arrière, donnant des coups de reins pour faire monter et descendre sa queue entre mes fesses, profitant de cette branlette pour se frotter de temps en temps contre mon sexe avec son gland. Je le trouvai bien imaginatif pour cette heure avancée !



Puis, il me repoussa sur le ventre. J'obtempérais, ne sachant pas vraiment ce qu'il attendait de moi. Mais je sentais dans ses mouvements une volonté qui ne tolérait aucun refus. Il se mit à me caresser les fesses. Machinalement, j'écartai les cuisses pour lui donner aussi l'accès à mon sexe trempé de mouille. Quand ses doigts commencèrent à effleurer mon intimité, j'eus un certain malaise indéfinissable dont je ne comprenais pas la cause.



Puis, il me fit mettre sur le dos et tira les draps vers le bas. Il vint se placer entre mes jambes et se mit à quatre pattes pour me lécher la moule. Sa langue fougueuse s'insinua loin en moi et cette caresse était aussi délicieuse qu'inattendue. Je ne reconnaissais pas Simon... et pour cause !



Je ne retenais pas mes gémissements de plaisir et cela sembla satisfaire mon partenaire. Il s'arrêta quelques instant et vint se mettre à mes côtés et me fit me redresser. Quand ses mains empoignèrent mes seins, je compris enfin. Il s'agissait de Jean, pas Simon ! Mon cerveau se mit en ébullition en me rendant compte de la méprise : je m'étais tout simplement trompée de chambre !



Il était maintenant trop tard pour reculer. Je sentis le visage de Jean s'approcher du mien, cherchant mes lèvres. Nous nous embrassâmes avec passion et il n'y avait plus de doute sur l'identité de mon partenaire. La situation m'excitait finalement terriblement et je n'avais aucune envie de dévoiler à Jean qu'il s'agissait d'un quiproquo.



Je me mis à quatre pattes et me penchai sur tige tendue que je n'eus aucune peine à trouver dans l'obscurité. Je pris en bouche son sexe déjà bien raide et fit une fellation appliquée. Il ne perdait pas son temps et me pelotait allègrement. De toute évidence, mes seins le fascinaient.



Mais mes caresses buccales semblaient ne pas suffire pour contenter monsieur. Il m'avait sous la main, totalement offerte, il allait donc essayer de profiter de davantage qu'une simple fellation. Il me contourna et vint se mettre derrière moi. Je sentis aussitôt son sexe appuyer contre ma moule. Il me pénétra ainsi, en levrette.



Peu à peu, il accélérait la cadence, atteignant finalement un rythme effréné. Il me défonçait divinement bien et je sentais que, s'il continuait ainsi, l'orgasme n'allait pas tarder à m'envahir.



Il dût se rendre compte que j'allais bientôt jouir et il ralentit un peu sa pénétration, histoire d'en profiter encore plus longtemps. Mais c'était sans compter sur mon état d'excitation extrêmement avancé... En quelques minutes, malgré une tentative de contrôle de ma part, l'orgasme monta et me parcouru l'échine puis chaque parcelle de ma peau. J'hurlais mon plaisir...



Jean ralentis franchement le temps que je me remette, mais entretenant ainsi son érection. Quand je fus prête, je me remis sur le dos et l'attirai en moi. Il appliqua aussitôt une cadence élevée et me besogna de coups de reins francs et appuyés, comme s'il voulait s'enfoncer toujours plus loin en moi.
c'est alors que la lumière s'alluma : Simon réveillé par mes cris de plaisir venait de rentrer dans la chambre. Pas fâché, il tenait au poignet une petite caméra. Voyant que la situation en posait pas de problème Jean continua son affaire.



Proche de l'éjaculation, Jean sortit de moi à temps pour venir se placer au-dessus de mon visage. Quelques rapides coups de poignet annihilèrent les dernières résistance et il éjacula directement sur mon visage en poussant de grand râles de contentement.



Simon filmait, ne disant rien, profitant du spectacle en voyeur averti :
- Tu n'es pas fâché, mon chéri ?
Jean sembla mal à l'aise, probablement pensait-il que Simon m'avait donné son accord pour venir le rejoindre. Mais la réponse de Simon ne le rassura d'abord pas :
- Si, et tu vas être punie pour ça !



Mais voyant que la punition me concernait moi uniquement, Jean se rassura. Simon baissa son caleçon et sortit sa bite déjà toute raide. J'avançai la main pour le masturber mais il me repoussa, préférant se branler lui-même.



Il regardait le sperme de son frère sur mon visage et cela semblait l'exciter terriblement. Quand il fut mûr, il vint se mettre lui aussi au dessus de mon visage. Les jets qui s'échappèrent étaient épais et chaud. Il jouit presque sans gémir.



Je me redressai pour le prendre en bouche et le nettoyer, aspirant son gland pour en extraire les dernières gouttes.



Je me redressai, le visage plein de sperme :
- Tu es sûr que c'était ça ma punition ?



Simon me sourit :
- Non, ça s'était pour calmer ma colère, ta punition viendra demain.
Je souris également et Jean m'imita, comprenant que le lendemain serait probablement une journée encore riche en sexe.
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5. Punir

Je n'entendis pas parler de ma punition avant 18h. Au petit déjeuner, Simon s'amusait de me voir attendre, de guetter chacun de ses mots, de sursauter dès qu'il se penchait sur moi. Durant la journée, je gardais les yeux sur le téléphone, vérifiant plusieurs fois mes mails. Le salaud ! En revenant du travail, j'étais dans un état d'excitation tel que j'étais prête à faire n'importe quoi pour avoir un orgasme et évacuer toute cette tension. En entrant dans le salon, je les découvris tous les deux assis dans le canapé. Je vis au visage rayonnant de Jean qu'il avait été mis dans la confidence quant au sort que son frère me réservait. Simon me laissa m'approcher avant de m'annoncer d'une manière sentencieuse :
- Déjà, tu va te taper franchement Jean, sans que ce soit une méprise.
Le "déjà" laissait augurer que ce n'était que la première partie de la punition. La soirée semblait bien programmée. Cette première partie me convenait tout à fait. Je m'avançai et m'installai entre eux. Jean se pencha sur moi et me caressa les seins à travers le débardeur.



Il prenait bien son temps. Ses doigts semblaient vouloir profiter de chaque parcelle. Lentement, il parcourait ma poitrine, s'attardant sur mes mamelons, prenant plaisir à les faire s'ériger petit à petit à travers le tissu. De temps en temps, il tirait sur le décolleté pour plonger son regard sur mes seins nus comme pour vérifier que le contenu du débardeur correspondait bien à ce qu'il soupçonnait par ses caresses sur le tissu. Simon prit l'initiative de me retirer mon débardeur. Jean resta quelques secondes à admirer mes seins avant de me faire lever. Simon me retira ma jupe, me laissant en string devant Jean. J'en profitai pour lui masser le sexe à travers le pantalon, me rendant compte ainsi qu'il bandait déjà très fort.



Jean resta immobile le temps que ma main restait contre sa virilité. Il gardait les yeux mi-clos, ne les ouvrant de temps à autre que pour parcourir ma poitrine. Cette caresse n'était pourtant rien mais Jean semblait être aussi sensible que moi aux préliminaires. Je me tournai dos à lui, callant mes fesses contre la bosse de son pantalon. Jean attrapa les côté de mon string et commença à le baisser.



Je me dégageai un peu de lui pour terminer de retirer ce dernier bout de tissu qui me séparait déjà si peu de na nudité. Offerte totalement, je me tournai à nouveau vers lui et entrepris de le déshabiller à son tour. Je retirai la boucle du ceinturon, puis les bouton du pantalon. Tout comme Simon, il ne portait rien dessous et je voyais déjà une colonne de chair congestionnée dans le tissu rigide. En abaissant le pantalon, le sexe s'échappa enfin, surgissant tel un diable. L'érection phénoménale me laissa sans voix quelques instants.



Puis Simon m'appela et m'invita à le rejoindre sur le canapé. Il appuya sur mes épaules pour me faire m'allonger sur le dos, posant ma nuque sur ses cuisses.
- Écarte grand tes cuisses, ma chérie. Approche, petit frère.
Jean avait beau être le petit frère, il me semblait néanmoins qu'il avait une queue un peu plus grosse que celle de Simon. Il s'approcha, tout sourire, et s'engagea entre mes cuisses. Son sexe me pénétra tout simplement. Cette pénétration devait manifestement avoir lieu, ici et maintenant.



Il me limait sur toute sa longueur, me procurant un plaisir énorme. Alors que je me demandais en quoi tout ceci pouvait bien constituer une punition. Simon fit un signe à Jean. Il se retira, lentement, et son extraction millimètre par millimètre fut absolument divine. Puis Jean se mit assis sur le canapé à côté de nous. Simon me redressa et m'indiqua de rejoindre Jean. Lui tournant le dos, je vins donc m'empaler sur la queue de Jean. Dans cette position, j'allais beaucoup plus loin sur la hampe et je pouvait contrôler le rythme. Je voulais aussi que Simon participe: je lui demandai de s'approcher.



Je pensais que Simon allait refuser et rester spectateur, cela aurait pu constituer une punition, mais peut-être autant pour lui que pour moi. Toujours est-il qu'il n'en fit rien et se mit rapidement nu. Déjà en érection, il se mit debout sur le canapé et me fourra sa queue dans ma bouche ouverte, prête à l'accueillir.



Je le pompais du mieux que je pouvais, tâche rendue difficile par Jean qui me labourait de plus en plus vivement. Je sentais que quelques minutes ainsi pourraient suffire à me faire jouir. Le regard inquisiteur de Simon sembla intercepter cette pensée et il me demanda de me tourner dans l'autre sens, face à son frère. Jean semblait ravi de pouvoir profiter de la vue de mes seins qui ballotaient au rythme de sa pénétration. Simon ne perdit pas de temps et réinvestit ma bouche dès que je fus réinstallée.



Là encore, je sentis le plaisir monter. Là encore, Simon le compris et il demanda à Jean d'arrêter. Il interrogea son frère :
- Qu'est-ce qui te ferait plaisir, Jean ?
- Mmmm ? Une levrette, ce serait chouette !
Outre la beauté de la rime, la proposition me convenait. Je me mis à quatre pattes, présentant mon cul à mon beau-frère et je me demandais si mes deux amants allaient me laisser jouir... Peut-être était-ce l'objet de ma punition. Jean s'installa confortablement avant d'engager son sexe en moi. Il m'attrapa aux hanches et pris aussitôt une cadence soutenue. Je soupçonnais Simon d'avoir prévenu son frère que je préférais quand le rythme était crescendo, tout cela pour que ces messieurs prennent du plaisir sans me permettre de jouir ? J'en étais à ces réflexions quand Simon me présenta à nouveau sa queue que je ne pouvais refuser de prendre en bouche.



Si, comme je le soupçonnais, mes deux amants ne comptaient pas me faire jouir, je me dis que j'avais tout intérêt à les faire jouir eux le plus vite possible pour mettre fin à mon supplice, car il est vrai que, même si je prenais beaucoup de plaisir, l'idée de ne pas pouvoir avoir d'orgasme m'était assez pénible. Je pompais donc Simon du mieux que je pus tout en accentuant mes empalements sur la tige de Jean. Ceci eut l'effet escompté et les deux hommes furent bientôt mûrs. Simon s'extirpa lui-même et vint se mettre debout à côté de son frère. Je les masturbais tous les deux, m'attendant à ce qu'ils explosent à mon visage dans les secondes qui suivraient.



Jean fut le premier à jouir. Son sperme gicla contre ma joue. Il était tiède et épais. Il resta collé sans presque couler et les jets suivants suivirent presque le même chemin sauf que j'eus le temps de tourner un peu la tête pour en accueillir sur ma langue. Simon éjacula aussitôt après, je réussis à récupérer le premier jet au fond de ma gorge mais Simon dirigea lui-même les jets suivants contre mon autre joue pour terminer de me couvrir le visage de sperme gluant.



J'étais bien frustrée de n'avoir pas joui, mais je n'en dis rien car j'avais bien compris qu'il s'agissait là de ma punition, ou plutôt, si j'écoutais mon instinct, la première partie de ma punition. Alors que j'allais vers la salle de bain, Simon m'arrêta me tendant un mouchoir :
- Essuies-toi juste le bord de la bouche et laisse le reste.
- On sort ?
J'avais posé la question machinalement, connaissant les goût de Simon en ce qui concerne l'exhibitionnisme. J'étais certaine que s'il me faisait garder du sperme sur les joues, ce n'était pas pour rester à la maison.
- On va manger rapidement ici, puis on ira en boîte.
Pour le repas, j'eus la permission de me rhabiller. Simon proposa à Jean de me choisir une robe. Celui-ci en prit une minirobe très légèrement transparente et me demanda de ne pas mettre de soutien-gorge. Cela allait bien sûr de soi mais sous-entendait que je pouvais passer un string, et pour une sortie en public, je me disais que c'était sans doute préférable.



La robe tenait presque de la nuisette et était tout simplement indécente. Le repas traina en longueur, les garçons passant plus de temps à me regarder qu'à manger. Quand je me mettais debout pour débarrasser ou apporter le plat suivant, les garçons profitaient que je passais près d'eux pour me tripoter les fesses ou l'entrejambe. Quand c'était l'un d'eux qui se levait, il trouvait toujours quelque chose à venir chercher à côté de moi et en profitait pour venir me malaxer les seins ou jouer avec mes tétons au travers de la petite robe. J'étais dans un état d'excitation indescriptible et mon string était franchement trempé. Le sperme sur mes joues ayant séché, Simon se rendit compte que ce ne devait pas être très agréable et me proposa d'aller me passer un peu d'eau sur le visage avant de partir.
Il était déjà assez tard et la boîte de nuit était assez loin. Nous sommes arrivés vers 23h et la boîte était déjà pleine de monde, surtout des jeunes. Mon arrivée ne passa bien sûr pas inaperçue. La plupart des mecs restaient béats tandis que les nanas s'amusaient, comprenant peut-être qu'il s'agissait d'une sorte de gage. La boîte proposait plusieurs salles avec des styles de musique différents. Simon et Jean m'entrainèrent vers une salle Hard-Rock. Le choix n'était pas anodin car cette salle n'intéressait manifestement presque aucune fille.
On se mit à danser presque aussitôt. La chanson changea. C'était "Rape me" de Nirvana... Jean et Simon s'écartèrent un peu laissant à d'autres gars la possibilité de s'approcher. Je fus vite entourée par quelques types un peu chaud qui louchaient sur ma poitrine. Simon fendit la foule et me rejoignit. Il se colla à moi et m'embrassa fougueusement. Parlant assez fort pour couvrir le bruit de la musique, il me dit :
- Ton string est trempé, tu devrais le retirer.
Avant que j'ai le temps de lui dire qu'avec la robe que j'avais c'était totalement impossible, il avait déjà glissé ses mains sous ma robe et faisait descendre le bout de tissu. Tout le monde autour applaudissait et sifflait. Il lança le string à Jean et vint se coller à moi à nouveau. Je ne tenais plus. Je voulais qu'il me prenne, là, tout de suite. Ce salaud devait bien se rendre compte de l'état dans lequel il m'avait mis. Il avait bien calculé son coup et savait pertinemment que je ne pouvais pas résister, malgré la présence de nombreux mecs très intéressés par moi.
Les mecs autour applaudissaient en scandant : "La robe ! La robe !". J'étais si excité que je laissais Simon faire et me retrouvai totalement nue au milieu de tous ces inconnus surexcités. Simon m'embrassa et me caressa la moule dégoulinante d'une main. Je ne résistai pas à l'envie de sortir sa bite et de la caresser. Autour, les mecs n'en croyaient pas leurs yeux. Simon bandait déjà très dur et il n'eut aucun mal à me soulever et à m'empaler sur sa tige bien raide.



Autour de nous, tout le monde nous encourageait, comme à une course hippique. Si Simon m'avait laissé le temps j'aurais pu jouir en moins de cinq minutes, mais dès la fin de la chanson, il me reposa au sol et se rajusta. Jean me fit signe au bar pour me montrer qu'il avait mon string et ma robe. Je dus fendre la foule pour aller le rejoindre, non sans me faire tripoter généreusement par de nombreuses mains.



Jean me tendit ma robe, mais pas mon string. Alors que j'enfilais la robe, il commenta :
- Vous avez été hyper rapides, dis-donc !
- Ton frère est un bourreau. Il a décidé de m'exciter sans me permettre de jouir...
- Je sais...
Quelques mecs restaient autour, admirant ce que la légère transparence de la robe leur offrait, mais la plupart, déçus de me voir me rhabiller s'éloignèrent.



Simon revint avec trois jeunes hommes :
- Chérie, ces messieurs ne me croient pas quand je leur dis que tu es ma femme. Tu peux leur confirmer ?
- Nous sommes effectivement mariés.
Mais j'aurais pu dire n'importe quoi, cela n'aurait pas changé grand chose car ces garçons étaient concentrés sur le spectacle de mes seins et de mon sexe nu que l'on devinait sous le fin tissu. Simon les fit sortir de leur rêve éveillé :
- Vous voulez que je vous prenne en photo avec elle ?
Chacun accepta avec enthousiasme et confia à Simon son téléphone portable. Mais Simon, qui ne perdait pas de vu ma punition, alla plus loin :
- Oh ! S'il vous plait, vous pourriez dégager la poitrine de ma femme afin que ses nichons apparaissent sur les photos ?
Le gars auquel il s'adressait le regardait, incrédule. Simon réitéra sa demande :
- Baissez les bretelles de la robe pour qu'on voit les seins.
Voyant que je ne m'insurgeais pas contre cette incroyable proposition, le type s'exécuta et me dégagea la poitrine.



Mais à partir de là, les choses dérapèrent. Voyant que j'étais manifestement une véritable nymphomane, un gars commença à me lécher les seins. Le deuxième ne tarda pas à se mettre à me peloter les fesses. Le troisième se mit à croupi devant moi et commença à me sucer la moule. J'étais dans un tel état d'excitation que ces quelques attouchements eurent raison de ma résistance et me firent jouir violement.



Mon orgasme, tant attendu, m'envahit avec une puissance inouï. Mon corps se secouait sous la violence de ce plaisir inconcevable. Quand l'orgasme s'estompa, j'étais vidée. Je me laissai tomber à genoux. Simon ne perdit pas de temps :
- Messieurs, je crois que vous avez bien fait jouir ma femme et qu'elle souhaite vous remercier à sa manière...
Avec les trois bites à hauteur du visage, il n'était pas utile de leur faire un dessin. Ils s'approchèrent. Je les libérai et je commençai à les sucer.



Bien qu'exténuée par ma fin de journée, j'étais encore dans un état d'excitation suffisant pour offrir de belles pipes à mes trois bienfaiteurs. J'accélérai la cadence petit à petit, passant de l'un à l'autre, pour essayer de les faire jouir en même temps tous les trois.



Ils étaient encore à se demander ce qu'il leur arrivait que déjà ils éjaculaient à tour de rôle, me couvrant l'un après l'autre de leur sperme épais.



Quand la douche s'acheva, je me relevai et me tournai vers Simon qui affichait un grand sourire. Je lui dit :
- Chéri ta conception de la punition risque de m'inciter à faire beaucoup de bêtises...
Simon et Jean rigolèrent.