Audrey, Bahia et Shomari - 1 (publié par Chaudesecretaire le 12-07-2011)
Audrey, Bahia et Shomari - 2 (publié par Chaudesecretaire le 17-07-2011)
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J'aime me faire désirer, alors pardon d'en profiter un peu.
Vendredi, tandis que je discutais petit clito avec Lili, on sonne à la porte.
Comme j'attendais Bahia, ma copine noire, je me suis levée pour aller l'accueillir.
Etant très intimes, je suis nue lorsque j'ouvre la porte.

Un magnifique noir d'1,90m est là avec un bouquet de fleurs. Il me dévisage, puis m'envisage, comme dit la chanson. Son regard descend lentement sur tout mon corps et moi comme une imbécile, j'ai la main sur la poignée de porte, écartant les bras et lui offrant une vue imprenable sur tout mon corps.
J'entends Bahia pouffer derrière le bel homme noir. Elle apparaît hilare en me présentant son frère Shomari, qui vient direct du Congo.

Elle passe derrière moi, m'embrasse dans le cou et empaume mes seins pour les présenter à son frère; celui ci sourit et dépose un baiser sur mes tétons. Rite congolais sans doute, mais frissons garantis.
Je prends Bahia par la main et l'entraîne en l'engueulant gentiment pour ne pas m'avoir prévenue. Elle m'embrasse à pleine bouche en ôtant les bretelles de sa robe. Me laissant toutes lèvres humides, elle pique une tête dans la piscine.

Shomari me frôle les fesses et de dos se déshabille pour suivre sa soeur. Mes amies, que de muscles, que de muscles; il est bien foutu. Je reste là, à le regarder plonger dans l'eau. Lorsqu'il réapparaît, je n'ai pas bougé et sa soeur lui glisse deux mots à l'oreille. Il me regarde en souriant et sort de la piscine. Si j'avais eu quelque chose dans les mains, ce serait tombé, c'est sur. Un ventre plein de tablettes de chocolat et une verge longue d'une vingtaine de centimètres se balance entre ses jambes; car le monsieur qui vient vers moi ne bande pas encore; il s'arrête à me toucher, vous savez, lorsqu'il n'y a pas de contact mais que vous sentez la chaleur du corps de l'autre, il me sourit toujours et me prend la main pour m'attirer contre lui. Eh ben vous le croirez ou pas, je me laisse faire. Un petit pas et me voilà collée à lui. Et là il bande oh mon dieu, ce n'est pas possible, sa queue se relève et gonfle, se tend, je la sens contre ma cuisse, elle glisse et s'insinue entre mes jambes, se colle contre mes lèvres et continuant à se dresser, me fait me lever sur la pointe des pieds (oui je sais, je ne suis pas grande).
Bahia sort de l'eau et me dit : "prends la, cela fait longtemps qu'il n'a pas joui."
Je me recule et admire ce membre d'ébène dressé vers le ciel; il est énorme, m'attire et m'effraie un peu. Shomari se couche sur le dos, sa bite dressée contre son ventre tellement elle est lourde; je passe ma main dessus, essaie de refermer mes doigts dessus; elle est douce et je pose mes lèvres sur cette peau douce, la lèche lentement, l'effleure, l'embrasse.

Il est circoncis, ce qui est nouveau pour moi. J'ouvre mes lèvres et aspire son gland dans ma bouche (je sais bien qu'on ne parle pas la bouche pleine mais oumfff qu'il est gros). Je prends la cadence en détendant bien mes maxillaires. Shomari aime , pas de doute.

Je suis à genoux penchée au dessus du braquemart et le pompe de plus en plus fort. Bahia passe derrière mes fesses et commence à me caresser le dos et à me déposer plein de baisers.
Je soupèse les couilles de Shomari, prends sa bite à deux mains, je le suce, le tète, l'aspire, lui lèche la hampe, je lui bouffe les couilles; je le veux, je veux qu'il jouisse et qu'il m'inonde de sperme.
J'accélère la cadence, les pressions, il tend son corps, s'arque et grogne de plus en plus; il m'enfonce son gland au fond de ma gorge, j'étouffe et hocquète;

Bahia me lèche les fesses, mon anus et mon sexe gluant; ce n'est que couinements, soupirs, râles et je sens les premiers spasmes de Shomari faire palpiter sa queue. Je me dégage et Bahia me relève le buste et me maintient les épaules, Shomari se dresse sur ses genoux et le premier jet de sperme s'écrase sur mon visage, suivi de plusieurs autres (j'ai compté jusqu'à 4, après ???)

Que de sperme, que de sperme; sa semence est épaisse et s'écoule lentement sur mes joues, mes épaules, mes seins, entre mes seins, sur mon ventre. Je me lèche discrètement les babines;

Bahia me regarde droit dans les yeux et aspire le gland de son frère pour en retirer les dernières gouttes et vient m'embrasser en se collant contre moi; nous nous retrouvons toutes les deux engluées dans le sperme de Shomari qui nous sourit toujours.
Bahia me demande :"Alors comment tu trouves ?"

Il y a une petite suite, mais pour plus tard.^ ---------oOo---------
La suite, la voilà.
Shomari se coucha sur le dos entre mes cuisses et me suça les grandes lèvres tandis que Bahia me léchait les seins pour les nettoyer du sperme de son frère. La langue du beau noir écartait mes lèvres et cherchait mon clitoris que je lui refusais encore.

Par contre je me liquéfiais sous ses caresses et Bahia abandonna ma poitrine pour recueillir mon nectar que ne parvenait pas à boire Shomari; son sexe regonflait et se tendait lentement; j'étais hypnotisée par celui-ci.
Bahia passa sous mes fesses et titilla ma rondelle puis introduisit un doigt dans mon anus. Vous savez que j'aime l'amour anal et mon plaisir est grand quand on m'encule.

Il n'y avait pas de doute, Bahia préparait mon oeillet pour le pieu de son frère. Au point où il en était, je commençais à craindre pour mon intégrité physique et je le dis à Bahia. Celle-ci ricana et me répondit que mon mari et moi ne nous étions pas trop posé de questions quand c'était elle qui s'était faite sodomisée. Je dus reconnaitre qu'elle avait raison et me détendis pour mieux préparer mon petit cul. Bahia pris un petit tube d'onguent et en enduisit le gland et la hampe du sexe de son frère puis elle revint vers moi pour m'en introduire un bonne quantité.
Quand elle considéra que j'étais prête, elle se releva et dit à Shomari : "elle est à toi".

Il me prit par les hanches et sans effort me leva. Il me déposa doucement sur le sommet de son gland. Bahia me fit face, prit mes chevilles dans ses mains et écarta mes jambes à angle droit. Shomari, tout en me maintenant à la taille, me laissait glisser doucement pour que son gland presse sur mon petit trou de tout mon poids. Lentement je sentais mon anus se dilater et son gland pousser dans mon cul. La sensation était exceptionnelle et la dilatation ne semblait jamais s'arrêter; je gémissais et il fallait toute la force de mes amants pour me maintenir. Tout d'un coup, son braquemart fut happé dans mon anus ; je ressentis une douleur intense et hurlai.

Shomari me tenais par les épaules et je continuais à descendre sur sa bite; le supplice du pal, lent et sans fin. Aidé de sa soeur il changea de position ; il se releva en me tenant par le ventre ; je me retrouvais le corps à l'horizontale et les jambes dans le vide; je ne touchais pas terre, entièrement embrochée sur son pal de chair palpitante.

Je criais, je gémissais, je bavais ; il n'en avait rien à faire et me posa sur la table en teck de la terrasse pour pouvoir me défoncer les reins. La douleur diminuait et ses va et viens très longs, à la limite du déculage me rendaient folle ; je le voulais, j'avais envie d'être sa chienne, qu'il me bourre et je lui dis; il ne se fit pas prier et accéléra la cadence.

L'orgasme vint d'un coup comme un éclair, il fut long et douloureux et magnifique; je m'empalai de moi même pour que ses couilles soient pressées contre mes fesses. Il se dégagea et me laissa pantelante sur la table. Il fit le tour et Bahia vint m'embrasser puis elle ouvrit ma bouche pour que je reçoive les puissantes giclées de semence de Shomari.

Je les déglutis au fur et à mesure et je restai épuisée sur la table ouverte au deux extrémités de mon corps. Je dus m'assoupir et lorsque je me réveillai, j'étais seule, enfin presque parce que j'entendis la voix de mon mari me demander :"Tu peux m'expliquer ?".
