Promenade dominicale en forêt

Promenade dominicale en forêt (publié par Maryaline le 15-07-2012)
Pomenade en forêt 2 (publié par Maryaline le 15-07-2012)


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PROMENADE DOMINICALE EN FORÊT

J'avais dormie toute la nuit au pied du lit de mon Maître.
Nue, un collier et la laisse attachée au pied du lit, il m'avait affublé d'un plug qui ressemblait à une queue de chien.

Le matin au petit déjeuné, aprés m'avoir tenue en laisse et menée à 4 pattes vers la cuisine, mon Maître m'ordonne :

« Ecarte tes fesses salope ! »

Je m'empressais d'obéir à l'ordre, ponctué d'une claque, impatiente de connaître la suite.
Mon Maître sadiquement ôta le plug qu'il m'avait mis dans le cul.

Je me sentais horriblement vide et cette béance était insupportable.

Alors ma petite salope veux-tu que je t'encule ?
Ouiiiiii
Oui qui ?
Oui Maître
Formule-le dans les formes adéquates chienne ! »

Et en disant cela il avait posé son énorme gland de mon anus, comme la caresse d'un plaisir à venir et ponctuait chaque ordre et question d'une claque sur les fesses.

S'il vous plaît Maître faites-moi l'honneur de prendre mon cul de chienne en chaleur, de défoncer de votre grosse bite mon petit trou.
Et bien voilà !

Et il enfonça lentement sa grosse bite dans mon cul, il prenait son temps le salaud ! Certes sa queue était bien lubrifiée par ma mouille et le plug m'avait déjà un peu ouverte; mais sa bite et surtout son gland était très large et je sentais son dard me déchirer.
Je gémissais de douleur ce qui eut pour effet de recevoir une nouvelle claque sur les fesses et qu'il tira sur la laisse et le collier.
-Tais-toi chienne ! »

Le gland passa enfin et la hampe suivit et je sentis toute sa queue se ficher dans mon petit cul ! Il resta immobile un moment et commença le va et vient d'abord lentement pour que je le sente bien aller et venir et sans doute prenait-il son pied à regarder sa grosse bite bien dure s'enfoncer dans mon petit cul. Déjà il n'était plus question de gémissements de douleur mais de plaisir. Il m'enculait à la fois sauvagement et méticuleusement ! J'entendais son souffle rauque de mâle en rut prenant sa femelle et ses coups de boutoir étaient de plus en plus rapides et violents, mais ils restaient précis et profonds et les claques donnaient un rythme régulier. Parfois il se retirait pour contempler son oeuvre et voir à quel point j'étais défoncée, ouverte !
Mouilles-tu chienne ?
Ouiiiiii Maître !!
Caresse-toi la chatte ! Doigte-toi ! Je veux que tu abandonnes toute décence ! N'aie plus aucune retenue !
Ouiiiiiiiiii Maître





Et je me caressais comme une malade ! Jouant avec mon clitoris si sensible et m'enfonçant deux doigts dans la chatte comme pour mieux me sentir prise partout ! Et c'est ce que cherchait mon Maître.


Tous tes trous sont miens ma chienne ! Tu le sens au plus profond de ta chair !
Ouiiii Maître !!! Maître puis-je jouir ? Car... Je sens que je vais...
Oui salope jouis !!
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Mon cri fut à la hauteur de mon orgasme puissant et dévastateur mais je me moquais bien qu'on puisse m'entendre ! J'étais ailleurs. Je revins à moi pour offrir mon visage et ma bouche à mon Maître qui jouit juste après moi !

Les jets de foutre étaient nombreux et drus preuve de son plaisir.
Puis je nettoyais sa queue en bonne petite chienne.

Oui j'étais sa chienne et cela ne souffrait aucune discussion !
Ensuite en récompense il me donna ma gamelle et je me mis à manger avec plaisir mes croquettes,


Après m'avoir traitée comme un animal. Il m'emmena en laisse dans la salle de bain et là dans la grande baignoire il me fit un cunni divin qui me refit jouir.

C'est sans doute ce que j'aimais. Il savait répondre à mon besoin, mon désir d'être prise possédée comme une chienne; mais il savait se montrer tendre et très bien éduqué avec la femme que j'étais.

Le lendemain vendredi, je reçu un message qui m'invitait à une promenade dominicale en forêt. Comme c'était le début du mois d'août je n'y voyais aucun inconvénient; bien au contraire ! Le message stipulait que je devais mettre ma jolie robe rouge; le reste n'était pas précisé. Et enfin qu'il passerait me prendre à 10 heures du matin.

10 heures, mon Maître était ponctuel.
La voiture me prit au pied de chez moi et mon Maître était souriant détendu et plaisantait avec moi.
Nous pénétrâmes dans la forêt et il gara la voiture sur une aire, qui formait une espèce de carrefour de différents sentiers pédestres.
Je vis mon Maître prendre un petit sac à dos :
Notre déjeuner Maryaline. Viens allons faire un tour en forêt.
Oui Maître

Nous marchâmes un certain temps, la forêt était belle sous le soleil de l'été.
Je vois que tu as mis ta petite robe rouge comme je te l'avais ordonné.
Oui Maître
C'est bien que portes-tu d'autre hormis cette robe ?
Euh... Un soutien-gorge et une petite culotte Maître.

J'étais rouge de honte presque autant que ma robe dans ma précipitation j'avais plus pensé à mettre des sous-vêtements assortis que d'obéir à la règle intangible d'être toujours libre et accessible pour son Maître.


Bien je sanctionnerai plus tard cette erreur pour l'instant tu vas ôter ton soutien-gorge et me le donner.


Je m'exécutais en me contorsionnant un peu et il mit le joli soutif rouge dans son sac.
Ôtes ta culotte
Oui Maître

Garde-la à la main et surtout ne la cache pas !
Euh oui Maître
Sens-tu le parfum odorant de la végétation ? Et combien est doux et rafraîchissant le doux vent qui vient caresser ton minou brulant ?
Oh oui Maître !

Comprends-tu le caractère inacceptable pour une soumise de porter une culotte ou un string sans que son Maître le lui ait ordonné ?
Oh oui Maître pardon je
Silence chienne je parle !
Met le collier et la laisse !
Oui Maître dis-je rouge de honte de faire çà en public.
Je mis le collier et la laisse.
Penches toi !
Et sans prevenir il m'enfila dans la chatte pour le lubrifier et dans les fesses ensuite un plug queue de cheval.



Je voyais au bout de l'allée et venant vers nous toute une famille.
Et presque plus grave que ta faute de soumise. Ton erreur de style lorsqu'on porte une robe qui s'arrête au raz des fesses, qu'on a un corps comme le tien et qu'on est porté sur l'exhibition on ne fait pas dans la pudibonderie ! Laisse-ça aux bigotes et aux cageots ! La morale c'est pour les autres toi tu es un objet sexuel qui doit inspirer le désir.
Oui Maître. Mais... Les gens là !

Et je le regardais paniquée, ne sachant quelle attitude adopter face à la famille qui arrivait. Je pouvais déjà voir que les enfants étaient un garçon et une fille de 14-16 ans environ.



Main sur la hanche et culotte bien visible à la main droite et tu ne baisses pas les yeux ! Souris ! Tu es une superbe salope et fière de l'être ! Fais-moi honneur chienne !
Ouui Maître » répondis-je un peu hésitante. Mais le désir de me rattraper aux yeux de mon Maître le fait que perdue pour perdue autant le faire avec panache; me redonna confiance et je croisais la famille la tête haute le sourire aux lèvres. La femme me regarda haineusement et décocha un regard désapprobateur envers son mari qui lui fixait ma culotte que je faisais tournoyer autour de mes doigts et mon entrejambe...

Mon sourire devenait victorieux il était aussi rouge que ma robe et n'osait pas croiser mon regard.



La jeune fille semblait sidérée et ébahie qu'une telle chose puisse être possible ! Et le garçon était bouche bée me contemplant comme une apparition.
Comme ils suivaient les parents, quelle ne fût ma surprise de les voir s'embrasser.
Je savais que j'allais hanter leurs rêves. Ces deux là ne devaient pas s'ennuyer ensembles,
Je mouillais tellement j'étais fière de moi ! Fière d'être une salope confirmée et de faire honneur à mon Maître.
C'est un scandale » marmonna la femme et mon Maître s'approchant de moi me mit la main au cul en disant à voix haute.
Hummm je vois que tu as le feu aux fesses ma belle et tu mouilles ma cochonne ! Oui promis je vais te baiser tout de suite !

Oh merci Maître ! » répondis-je étonnée et fière de dire ces mots devant des étrangers.



Et il remontait la robe, mettant à nu mes fesses et jetant un bref regard derrière moi je vis que pendant que le mari subissait les foudres de son épouse l'adolescent se rinçait l'oeil. Je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses pendant que mon Maître me doigtait.

Tu vois que c'est simple Maryaline !
Oui Maître !
Je vois que tu es fière de toi.
Un peu je l'avoue Maître mais et vous l'êtes-vous de moi ?
Oui un peu mais cela n'empêche pas le fait que tu as fait une erreur et cela ne constitue que le début de ton initiation mon petit chaperon rouge ! Es-tu prête à aller plus loin dans la soumission salope ?
Oui Maître je le veux !

Nous étions arrivés dans une petite clairière entre le sentier et ce qui semblait être une route, car j'entendais de temps à autre des véhicules passer. Il alla s'asseoir sur un tronc d'arbre:

Bien il est midi l'heure de déjeuner ! Déshabille -toi chienne !
Oui Maître !
Donne-moi ta robe ! Et mets-toi à quatre pattes devant moi - Oui Maître

Il prit la robe la mit dans le sac à dos et sortit un collier et une laisse. Lorsque je sentis le collier m'enserrer le cou mon coeur battait et mon minou ruisselait tellement cela m'excitait.

Alors ma chienne, en chaleur ?
Ouiiiii Maître
En effet, je sens ta mouille de pute d'ici !

Il sortit deux écuelles de son sac, versa de l'eau dans la première et des boudoirs dans la plus grande.
Mange chienne !
Merci Maître

Et je croquais les biscuits sucrés en lapant avidement l'eau car il faisait chaud; comme une bonne petite chienne à son Maître ! Ce dernier dégustait son sandwich en me regardant avec satisfaction. Une fois son repas terminé il rangea les écuelles dans son sac et me tenant en laisse m'entraîna dans les bois. Même s'il évitait les fourrés je sentais la végétation contre ma peau et telle une chienne ma position près du sol me faisait sentir plus fort les différentes odeurs du sous-bois.



Nous arrivâmes au bord de la route je commençais à paniquer car même si nous étions un peu en retrait, n'importe quel conducteur pouvait nous voir !


Lorsque soudain j'entendis une voix crier derrière nous; un garde forestier !
Mais c'est quoi ce cirque !

Déjà je m'apprêtais à me relever en essayant de cacher ma nudité de mes mains et en me mettant derrière mon Maître mais celui-ci tira sur la laisse m'obligeant à rester à quatre pattes et il répondit:
Mais rien juste un promeneur avec sa chienne
Ah oui ? Tenue en laisse j'espère ?
Bien sûr ! Et avec un collier avec mon nom et mon adresse au cas où ! Vous me connaissez cher ami je ne veux pas enfreindre votre arrêté sur le vagabondage des animaux errants.

Belle petite chienne que vous avez là !
Et du geste à la parole le voilà qui me tripote


Oui et assez bien dressée ! Regardez !
Et là mon Maître détacha ma laisse et me dit d'un ton dur
Va faire dans le fossé ! »

Et m'accroupissant, cuisses bien écartées sous les yeux goguenards des deux hommes, je sentais et entendais mon urine couler sur l'herbe. Et les pointes de mes seins me faisaient mal tellement j'étais excitée !!!

C'est vraiment qu'une chienne !!!
Et oui et bien dressée au pied !
Oui Maître
Et me remettant la laisse il m'entraîna de nouveau un peu dans le sous-bois.
Fais -la belle ! »

Et je me dressais accroupis les deux pattes avant et le garde forestier avait sortit sa queue et violemment me l'enfourna dans la gueule.


Sa queue sans être de la taille de mon Maître était d'un bon calibre et la violence de ses coups m'empêchait de respirer !

Déjà je suffoquais bavant sur ses couilles et mes seins mais il s'en moquait seul son plaisir de mâle dominateur lui importait ! C'est mon Maître qui vint à mon secours ! Ses autres trous sont bons aussi !

Ah oui ? A quatre pattes chienne ! »
Et je lui présentais mon petit cul en reprenant à peine ma respiration.
Il me prit en levrette toujours avec la même violence !

Ses coups de boutoir et ses claques sur les fesses me ramenaient à l'état de femelle montée rageusement !

Mon Maître me présenta sa belle verge et m'ordonna de le sucer avec art et amour ! Ce que je m'empressais de faire ma langue courrait sur les grosses nervure de cette grosse bite, je léchais le frein du gland, l'aspirais, pompais avec toute mon âme cette queue !

Et les frénétiques coups de bite du garde me rendaient encore plus chienne, encore plus animale !!!

Je léchais ses couilles les gobais et sentais tout son foutre

Ce fut le garde qui se lâcha en premier et je sentis en même temps que son cri rauque ses jets de sperme remplir ma chatte !

Mon Maître me pinça le mamelons très fort et jouit en jets puissants et moi je gobais folle de joie le nectar de mon Maître.

Je jouis en l'entendant dire:
Ô oui ma chienne !!! Tu es mon vide couille !


Elle est vraiment trop bonne votre chienne.
Nous avons une réunion avec des collégues ce soir et des maîtres de chien de meutes, Si vous le souhaitez joignez vous à nous.
Il y aura aussi une exibe de dressage. Je pense que votre chienne y ferait bonne figure.
Avec grand plaisir.
A ce soir alors.^ ---------oOo---------

PROMENADE DOMINICALE EN FORÊT 2

Juste après je nettoyais son gland méticuleusement, comme on me l'avait appris et parce que j'aimais trop ça !

Elle est vraiment trop bonne votre chienne.
Nous avons une réunion avec des collégues ce soir et des maîtres de chien de meutes, Si vous le souhaitez joignez vous à nous.
Il y aura aussi une exibe de dressage. Je pense que votre chienne y ferait bonne figure.
Avec grand plaisir.
A ce soir alors.

Bon je dois continuer ma ronde ! A ce soir !
Bonne chienne que vous avez là !
Oui elle a des qualités certaines et un fort potentiel mais le dressage ne fait que commencer.

Le garde s'éloigna et mon Maître m'entraîna vers un arbre et là il s'assit en s'adossant au tronc et telle une chienne je me couchais à ses côtés, posant ma tête sur sa cuisse. Il sortit de son sac deux menottes de cuir:
Mets tes jolies mimines sur ma jambe.



Et promptement je lui obéissais et pendant qu'il me mettait les menottes il me parla d'une voix douce et en me souriant.

Qu'es-tu Maryaline ?
Votre chienne Maître
Bien. Je vois que tu progresses ! Sais-tu pourquoi je t'ai demandé de porter une robe rouge ?
Non Maître. Parce qu'elle est très courte ?
Hahaha oui c'est une des raisons en effet mais pas la principale ! Tu connais le conte du petit chaperon rouge n'est-ce pas ?

Oui bien sûr Maître
Et tout en me caressant tendrement du sommet du crâne jusqu'à la nuque_Dieu que c'était bon ! La chienne que j'étais en frémissais de plaisir !

il me parlait:
Il y a beaucoup de thèses et de versions sur ce conte mais ce qui nous importe c'est qu'il parle de violence et de sexualité. Tu es encore un petit chaperon rouge, couleur du désir érotique et tu es allée en forêt.

Et là tu as rencontré le méchant loup; moi. Bon je n'avais pas de grand-mère sous la main et de plus la gérontophilie ce n'est pas mon trip. Mais je tenais à te faire voir que la version du bucheron qui vient au secours à la fin c'est pour les moralistes !

Là l'homme des bois était plutôt animal, non ?

Oui Maître
Alors pourquoi cette mise en scène à ton avis ?
Euh je ne sais pas Maître. Me faire prendre conscience que je suis une chienne ?

Oui très bien ! La jeune femme que tu es doit se débarrasser de sa morale. Et tu la chienne du loup dominant nous appartenons à la même famille.

Mais assez parlé littérature il est temps de revenir aux rudiments de l'enseignement !

Et saisissant mes cheveux, il me fit me lever, sortit un cadenas du sac et me faisant lever les bras en arrière du tronc; il attacha les deux menottes. Je me retrouvais sans défense. Il caressa mon corps, mon visage, mes lèvres, mes seins, mon ventre...


Tu sais que je dois le faire n'est-ce pas ?
Oui Maître... Mais pitié
Silence chienne ! Je dois te corriger pour ton bien, pour que tu n'oublie pas les règles ! Tu devrais me remercier plutôt !
Merci Maître

Et il sortit un martinet du sac et se plaça face à moi. C'est alors que j'entendis une voiture se garer du côté de la route. Les portes claquèrent et des personnes s'approchèrent. Trois hommes et une femme; parmi eux il y avait le garde forestier. Une très jolie femme de 35 ans environ mince mais avec de beaux seins, un homme d'une quarantaine d'année et un jeune de 20 ans à peine.
J'ai tenu à présenter votre chienne à mes amis.
Mais vous avez bien fait Bruno ! Et ils sont ?
Oh voici Pascal mon collègue et Jérémy notre petit stagiaire et Madame est Stéphanie notre comptable !
Enchanté. Voici Maryaline ma chienne soumise Dis bonjour Maryaline !
Bonjour Madame, bonjour Messieurs
Bien salope ! Tout dressage passe par un jeu de récompenses et de punitions. Cette pute a gardé sa culotte donc la voici attachée pour être punie...
Le coup s'abattit violemment sur les seins je poussais un cri strident.

Les deux hommes et la femme souriaient le jeune me dévorait des yeux.
J'attends Maryaline !
Un Maître

Un second coup encore plus violent fut la réponse.
Non mieux que ça salope !!!

Un ! Merci Maître.
Et bien voilà ça vient tu vois quand tu veux !
Et le coup suivant lacéra l'intérieur de ma cuisse droite.
Aïe !!!! Deux ! Merci Maître.

Les deux hommes se branlaient en commentant ma punition; plus qu'excités par la scène !

Ah la garce je suis sûr qu'elle adore ça !!!
Plus fort les coups qu'on l'entende gueuler cette chienne !
Mais bien sûr messieurs !
AÏIEE !!!!!!!!!!! 5 ! Merci Maître.


La femme avait enlevé le bas et bien entrouvert le haut laissant voir deux gros seins. Elle avait avec l'habileté d'une pute déboutonné le jeune et le masturbait lentement et de l'autre dirigeait la main de ce dernier sur son minou brulant.

Oui elle te fait bander cette salope hein ! Moi aussi elle m'excite, tu sens comme je mouille ?
Oh madame !

Pas madame Stef ! Stef la pute, Stef la salope ! Comme ils disent au bureau.

L'avaleuse de bites ! Ils me sont tous passés dessus mon petit puceau sauf toi mais ça va venir... Regarde-la pendant qu'on se fait du bien ! Tu vois comme son beau corps se tord sous la douleur ?
AHHHHH Sept ! Merci Maître



Douleur et plaisir se mêlaient comme à l'habitude. Certes les coups étaient violents et déchiraient ma chair. Mais du fin fond de l'humiliation d'être exposée en public et punie comme une chienne désobéissante, je sentais monter le plaisir. Je pleurais et mouillais en même temps et rien ! Aucune de mes précédentes expériences sexuelles ne m'avait apporté des sentiments aussi forts et aussi contradictoires !!! Et c'était justement ça qui me plaisait !!
Dix ! Merci Maître

Bien ma salope. Dis-moi jeune homme tu sembles en de bonnes mains.
Euh oui monsieur.

Tous les autres riaient. Stéphanie dit :
Oh oui il aime ! Mais ce petit puceau aura l'occasion plus tard de me montrer qu'il est un homme ! Là je le sens très attiré par votre soumise.

Tu veux la baiser Jérémy ?
Oh oui !!!!
Et toi salope qu'en dis-tu ?
Que je suis votre chienne fidèle et obéissante Maître ! Que vos désirs sont des ordres !

Je ne suis qu'une salope soumise et vicieuse adorant le cul ! Et je ferai tout pour vous faire honneur Maître.

Je devrais te punir plus souvent ! Tu dis des choses merveilleusement justes ! »
Et ils éclatèrent tous de rire.
Viens Jérémy allez prends là tu vois elle est ouverte et elle est trempée la salope.

Et d'un coup sec et maladroit il me pénétra. Ses va et vient étaient aussi rapides et brutaux que ceux d'un lapin, il soufflait bruyamment. Ses mains palpaient en tous sens mes fesses, mes cuisses et mes seins mais il n'osait pas me regarder en face. Je sentais l'écorce du tronc d'arbre me râper le dos. Bruno et pascal nous regardaient goguenards, tout en palpant Stéphanie qui placée entre eux les branlait vigoureusement.
Doucement Jérémy ! Tu as tout ton temps ! Ne précipite rien ! L'important est que tu prennes ton pied !



Oui Monsieur mais...

Aide-le Maryaline ! Sois une bonne pute !

Oui Maître Votre queue est bonne Monsieur.

Mais vous vous précipitez trop il faut me donner des coups de butoirs plus lents mais plus violents et plus profonds. Prenez mes fesses et soulevez mes jambes, vous verrez ce sera mieux !

C'est ce qu'il fit et je m'empressais de croiser mes jambes derrière son dos. La position avait aussi le mérite d'être moins douloureuse pour moi.

Euh s'il vous plaît mademoiselle évitez le monsieur je préfère le tu. »
Un regard à mon Maître et je compris à son sourire qu'il voulait être fier de son élève, de sa pute.
Alors pas de mademoiselle Jérémy ! Mes prénoms sont salope, pute, catin et chienne; tous ce qui te fait bander mon salaud ! Oui allez baise-moi bien profond !

Ohhhh

Ouiii plus fort mon beau salaud ! Elle est bonne ta queue ! Pilonne-moi bien fort ! Explose-moi la chatte ! Tu sens comme je mouille ? Putain tu m'excites !!! J'aime les bites et j'adore les belles comme la tienne !!! Ouiii encore accélère !!!

ahhh salope !! putain que c'est bon !!
Ouiii c'est bon de baiser !!! Oui enfonce bien tes doigts dans la chair de mes fesses ! J'aime qu'un mâle me baise avec autorité et force ! Tu sens comme je suis brulante ? Et tu entends le doux bruit que fait ta belle bite en entrant dans ma chatte inondée ???? Sens-tu mes contractions vaginales autour de ta queue ? Je l'aime tant que je te suce avec ma chatte

Ohhhh sale Je...Je... Je vais...
Oui viens Jérémy !!! Remplis moi de sperme ! Jouis mon beau !
Ouiiiiiiiiiiii

Son cri avait dû s'entendre dans toute la forêt ! Je regardais mon Maître il se branlait et son sourire et sa queue raide me prouvaient qu'il était fier de moi. Le sperme de Jérémy coulait de ma chatte qui il faut bien l'admettre était plus qu'humide.

Certes j'avais un peu exagéré mais il m'avait excitée le petit puceau. A moins que ce ne soit la situation... Qu'importe la salope que j'étais mouillait.

Mon Maître me détacha de l'arbre et me remit d'autorité à quatre pattes. Il me promena juste un peu sous leurs regards moqueurs puis s'arrêtant à un endroit il dit :

Je ne puis décemment vous offrir une chienne malpropre ! Fais la belle salope !

Je m'exécutais et sortant un mouchoir en papier de sa poche il m'essuya la chatte.
Bien te voilà plus présentable ! Montre que tu es une chienne bien propre !
Oui Maître

Et accroupie, cuisses bien écartées je faisais mes besoins...

La salope !! Putain j'ai trop envie d'elle !
Mais je vous en prie ! Aidez-moi à dresser ma chienne.


Et mon Maître donna la laisse à Pascal qui me retourna et me prit en levrette d'un coup violent et profond.

Bruno dirigea vers ma bouche sa jolie queue toute raide et je m'appliquais à le sucer avec art et dextérité.


Il appréciais semblait-il car il gémit fort lorsque, pompant bien son dard tout au fond de ma gorge, je lui massais les couilles avec la paume de la main tout en lui doigtant le cul d'une phalange...

Mon Maître se faisait pareillement sucer par Stéphanie et je voyais qu'elle adorait cela la garce !

Lui aussi semblait apprécier d'ailleurs et il me regardait avec un large sourire. Je m'efforçais de donner le maximum de plaisir à mes deux amants.

Bruno était je le sentais sur le point d'exploser et je me cambrais bien pour que Pascal me baise bien profond ! J'allais au devant de ses coups de boutoir et me fessant comme un fou il hurlait :
Oh la salope !!! Oh la salope !!! Cette chienne en redemande !!!! Elle appelle la bite !
Ouiii je viens !!!! Tiens salope !!!


Et Bruno jouit sur mon visage; immédiatement suivit de Pascal. Je nettoyais leurs queues mais ils semblaient vidés... C'est alors que je vis mon Maître coucher Stéphanie sur le dos et me dire :
Viens ma chienne lèche donc le minou de cette salope pendant qu'elle goûtera au tien.
Oui Maître




Et je m'approchais à quatre pattes et me mis à lécher son sexe comme une bonne chienne. Sa mouille était bonne et elle savait lécher elle aussi !

Elle me doigta la chatte et le cul et je lui répondis c'était une course au plaisir entre deux salopes.

Mais mon Maître vint s'en mêler et je le vis poser sa verge sur sa chatte et remonter les jambes de cette salope. Et il la pénétra lentement je sentis au coup de langue qu'elle me donna au fond du minou qu'elle appréciait le cadeau !

elle aurait eu tort la bite de mon Maître était un gros calibre et il savait la manier ! Ses coups de boutoir étaient profonds puissants et allaient en s'accélérant ! Stéphanie me léchait avec passion mais je sentais bien que ses caresses, tout en restant agréables et sincères, perdaient de leur précision. Mon Maître me murmura:
Titille et suce lui bien le clito à cette salope ! Une fois vaincue nous en ferons notre chienne !


Je m'exécutais avec ferveur, dégageant facilement son gros clitoris en totale érection ! Je le massais le titillais, le suçais en l'aspirant à fond, j'allais même jusqu'à le mordiller.

Et mon Maître la baisait avec rage et méthode ! Ô comme je lui enviais ces coups de boutoir !

Elle me bouffait la chatte pour ne pas hurler et son corps se soulevait ses hanches appelaient la queue ! Lorsqu'elle jouit elle me mordit presque et enfonça ses ongles dans ma chair.


J'arrêtais aussitôt de jouer avec son clito bien sûr; mais mon Maître n'en n'avait pas fini avec elle il continuait de la baiser violemment; et elle semblait aimer.
Enlève-toi Maryaline !
Oui Maître

Et je me mis à côté d'eux il la retourna d'un tour de main, la prit en levrette et lui tirant les cheveux en arrière, dit :
Alors chère avaleuse de bites je te sens une âme de chienne, je me trompe ?
Non

Une formidable claque s'abattit sur ses fesses.
Non qui ?
Non Maître
Non pas Maître seule Maryaline a acquis le privilège de m'appeler ainsi ! Toi tu diras Monsieur !

Oui monsieur.
Maryaline mets-toi devant elle et présente-lui ton cul les cuisses bien ouvertes, afin qu'elle ait accès à ta chatte comme à ton cul !

Je m'exécutais fébrilement et me mis en position cul relevé et la tête plaquée contre le sol; j'étais dans une position plus qu'indécente et ravie d'y être ! Mon Maître plaqua sa tête entre mes fesses.
Lèche, suce, doigte ! Renifle-lui le cul comme le ferait une chienne !

Elle passa sa langue sur ma fente le nez au niveau de l'anus mais elle s'appliquait, faisait tout pour me procurer du plaisir et comme en plus je sentais à travers sa bouche les coups de reins de mon Maître; j'étais plus qu'excitée ! Je ruisselais ! Chienne en chaleur léchée avec art par une autre chienne ! Car elle ne se contentait pas de n'être qu'un pénis de substitution; non elle labourait ma fente suçait mon clito et en bonne chienne me faisait un long et profond analinctus. Huummm je ne mouillais pas je dégoulinais il n'y a pas d'autre mot ! Soudain elle s'arrêta et gémit je savais ce qu'il se passait mon Maître venait de l'enculer et là elle allait déguster dans tous les sens du terme !

Je l'entendais la fesser et l'insulter:
Allez chienne ! Lèche-la mieux que ça !

Et elle s'exécutait et moi je sentais que j'allais jouir ! J'eus la présence d'esprit cependant de demander :
Maître puis-je jouir ?
Oui ma chienne ! Tu peux.
Merci Maître !!!

Et je le sentis donner de plus puissants coups de boutoir et la langue de cette pute me vriller l'anus pendant qu'elle me doigtait la chatte. Je jouis telle une chienne, sans retenue et dans un cri animal ! J'étais si heureuse !
Viens me lécher le cul Maryaline !
Oui Maître !




Et à quatre pattes toujours je me précipitais derrière lui; il était accroupi et la sodomisait avec violence en la fessant à chaque coup de reins.

Je lui léchais et gobais d'abord ses belles couilles qui s'agitaient au rythme des va et vient... Hummm elles étaient tendre et douces à sucer je les avais épilées moi-même. J'écartais ses fesses et plongeais mon visage entre elles, ma langue tournoya tout autour de son anus. Les cercles que j'effectuais étaient concentriques et ma langue décrivais une spirale qui me rapprochais du centre. Je sentais qu'il aimait car il tendait plus son cul pour jouir de mes caresses. Ce qui ne l'empêchait nullement de défoncer et de fesser le cul de Stéphanie.
Ouii tu es une bonne chienne continue comme ça ! Doigte cette pute aussi !


Et rageusement je plongeais ma face dans son cul ma langue lui faisait le meilleur des analinctus que j'avais jamais fait ! D'une main je massais ses couilles et de l'autre je doigtais Stéphanie. Elle était béante et trempée ! Son clito de nouveau dur et elle mouillait tant que ma main et mon poignet furent bientôt recouverts de cyprine ! Mais je la doigtais d'autant plus fort et ma langue pointait, explorait et fouillait dans ses moindres recoins le cul de mon Maître.
Euh Monsieur ?
Oui Jérémy ? Ah oui tu rebandes ! Oui bien sûr tu peux saillir ma chienne ! Allez viens monte-la !

Et je sentis sa bite me prendre en levrette ! Mais loin de me déconcentrer cela me redonna encore plus envie de donner du plaisir à mon Maître.
Et nous alors ?
La chienne que j'encule a un trou de libre !

Et Pascal se précipita et se fit sucer par Stéphanie qui je le savais était dans un état second. Elle jouit et dans son égarement mordit la queue de Pascal.
Mais elle mord cette pute !
Et oui quand on les rend chiennes et animales elles redeviennent un peu sauvages. Une chienne ça mord ! Mais là elle va être plus calme et plus tendre avec votre queue. Hein salope ?
Oui Monsieur.
Oh ouii elle me suce bien là ! Oui !! Continue salope !

Le pauvre Jérémy me donnait de grands coups de boutoir un peu désordonnés et je sentais qu'il allait bientôt craquer. Il jouit en gémissant et se retira. Tout de suite remplacé par Bruno ! Là je ressentis les grands coups de queue violents et les claques sur les fesses.
Mais ça m'excitait et je léchais le cul de mon Maître avec encore plus de frénésie ! Et j 'offrais avec complaisance ma vulve de chienne aux coups de boutoir de Bruno. Trop excité ce dernier jouit en me plantant violemment son dard dans la chatte

Puis Pascal dans la bouche de Stéphanie et enfin mon Maître dans son cul. Les orgasmes semblaient se succéder à un rythme infernal.
Se tournant vers moi il dit d'un ton sans appel :
Nettoie ma queue chienne !
Oui Maître


Et je nettoyais, récurais cette belle queue encore gonflée; même si heureusement Stéphanie avait le cul propre j'aimais l'idée qu'elle venait de pratiquer un coït anal. Et une fois propre il ajouta :
lèche-lui le cul !

Son beau cul était toujours dressé en arrière et de son anus défoncé, béant coulait le foutre blanc de mon Maître ! Je me précipitais sur elle et lapais avec joie ce bon sperme ! Me délectant de ce nectar ! Et je sentais moi-même le foutre de Jérémy et de Bruno couler de ma chatte; et cela contribuait à m'exciter encore plus. Les hommes se rhabillaient en nous insultant :
putain elles en veulent les chiennes !
Regarde comme elle lui lèche le cul ! La salope !
Et l'autre elle se caresse la chatte elle va encore jouir !
Bien sûr Messieurs il suffit de replonger dans la nature et de se libérer !

Stéphanie jouit une nouvelle fois et s'écoula par terre, morte de plaisir. Mon Maître saisit ma laisse et m'amena à ses pieds et me caressant la tête il déclara :
Messieurs ce fut un plaisir ! Et je vous remercie d'avoir contribuer à l'éducation de ma chienne.
Mais de rien ! Tout le plaisir était pour nous !
Et ils échangeaient des amabilités tout en félicitant mon Maître de la qualité de sa chienne. J'étais fière. Stéphanie se releva et s'habilla et s'approchant de mon Maître et de moi dit:
Monsieur c'était si...
Non les mots sont inutiles voici ma carte alors si tu désires une nouvelle expérience de ce type ma chienne et moi se feront un plaisir de te posséder.
Ohh oui merci Monsieur !


-A ce soir !
Et ils s'éloignèrent rejoignant leur voiture. Mon Maître me ramena en laisse vers la voiture.




Et j'avoue que je paniquais un peu car même si l'après-midi était entamé il restait du monde en forêt; particulièrement à l'aire où nous nous étions garés. Mais il semblait s'en moquer !

Nous ne rencontrâmes personne heureusement ! Mais en nous approchant de la voiture je vis un couple qui s'apprêtait à partir. Aucun d'eux ne prononça un mot ils étaient sidérés et moi morte de honte ! Mon Maître ouvrit la portière et me fit coucher sur la banquette arrière et dit en prenant place au volant :
Bonjour madame, monsieur ! Belle journée pour se promener n'est-ce pas ?

Euh... oui » répondit l'homme interdit et nous partîmes les laissant à leur stupéfaction.

Je suis content de toi Maryaline tu es une superbe salope et tu deviens une vraie chienne !
Merci Maître
Enlève ta laisse et remets ta robe !
Oui Maître
Qu'es-tu Maryaline ?
Votre chienne Maître
En es-tu fière ?
Ouiii Maître !!
Allez viens devant que je te baise ma petite pute !


Et se garant sur un parking assez passager il passa côté passager et me baisa bien fort ! Hummmmm je le chevauchais et il me doigtais le cul, suçais mes mamelons et les mordillais ! Il me souleva et porta ma chatte à sa bouche et me la bouffa avec rage ! Labourant avec art ma fente béante ! Des gens passaient mais je m'en foutais au contraire ça m'excitait ! Et par excitation mutuelle dans une parfaite osmose nous jouîmes de concert.
Le soir commençait à tomber et me regardant il me dit en souriant :
Pas envie de faire tes besoins avant que je ne te ramène chez toi ? »
Oui merci Maître
Mais juste un court moment de repos m'arrendait car nous avion rendez vous à la maison forestiére vers 22h30,