Assistante

Assistante 1 (publié par Maryaline le 15-07-2012)
Assistante 2 (publié par Maryaline le 15-07-2012)
Assistante 3 (publié par Maryaline le 15-07-2012)
Assistante 4 (publié par Maryaline le 15-07-2012)
Assistante 5 (publié par Maryaline le 15-07-2012)


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ASSISTANTE 1

Je cherchais du travail et avis envoyé de multiples CV.
Un soir, je reçois un courrier d'une grande surface.
J'ouvre fébrilement l'enveloppe et suis surprise par la façon dont ce patron écrit mais heureuse d'avoir un entretient.


(Tu vas venir à mes bureaux car tu cherches un stage. Après mûre réflexion, je décide de te faire passer l'entrevue. Nous verrons bien.
Je te fais passer celle-ci une fois que les employés sont partis.
J'ai vu ta photo, tu es belle. )
La lettre est curieuse.
Mais j'ai tant besoin de boulot que le lendemain soir je me présente au Bureau de ce patron de grande surface.
Je me suis habillée sexy mais BCBG.

Il ouvre la porte et je rentre dans son bureau un peu angoissée.
« Bonjour jeune fille » dit-il d'un ton ferme et autoritaire.
C'est un assez bel homme de la cinquantaine mais qui porte sur lui l'autorité.
« J'aime les filles qui savent se faire sexy. Tu es provocante et j'aime les petites coquines. »
J rougie et ne répond pas de plus en plus angoissée par le ton que prend cette entrevue.
« Asseyez-vous ! Maryaline ? C'est ça ? »
Timidement je réponds un »Oui monsieur » qui le fait sourire
Et je m'assoie dans un fauteuil profond qui me fait remonter ma robe bien trop haute.

« Vous étés vraiment une très belle jeune femme habillé très sexy. Décidemment, je sens que je vais profiter de la situation. »
Sur ces mots, je suis terrorisée et prête à m'enfuir.
Je n'ose pas le regarder
. Je ne suis pas du genre à me soumettre mais j'ai terriblement envie de cet emploie.
D'un ton assez dur, i me dit :
« Pourquoi tu te présentes à moi. »
Je tente de répondre mais il me coupe fermement la parole. Je baisse la tête et ne sais quelle attitude avoir
. Je sens son regard sur mes cuisses dénudées.
J'essaye un sourire un peu timide. Mais c'est la gêne que mes yeux trahissent.

Il approche son siège de moi.
Je me force à le regarder en rougissant.

Il s'assoie devant moi et ne se gêne pas de lorgner mes cuisses et mon décoté..

« Alors Maryaline, pourquoi je devrais t'embaucher. »
Je le regarde fixement. Je me mords la lèvre.

Je lui dis :
« Parce que j'ai absolument besoin d'un travail. »
« Que sais-tu faire petite »
En me disant çà, il s''approche et pose une main sur mon genoux. Je sursaute et me crispe.
« Allons détend toi petite »
. Et il monte sa main au niveau de ma petite jupe. Je repousse timide sa main elle reste fermement sur ma cuisse.

« J'ai une bonne expérience de secrétaire monsieur »
Il sourit et me dit :
« Cà ne suffit pas jeune fille. Il faut être obéissante et te plier à tous mes désirs »
En disant ses mots sa main remonte sur ma cuisse et passe sa main sur mes fesses en tentant de m'embrasser.

Je le repousse.
Il recule et d'un ton péremptoire :
« Salope ! Si tu veux bosser va falloir être plus obéissante que çà ! »
Je ne sais plus quoi faire et à contre cœur, je le laisse m'investiguer.

« Voilà qui est mieux ! Mais tu ne portes pas de culottes ! »

. Et le voilà qui me lèche le minou.
Je me mords la lèvre pour ne pas gémir sous cette caresse mais je craque.
« Ta petite chatte est trempée ! Tu es chaude, humide. C'est un vrai plaisir. »
Il me fixe. Je suis très excité mais paralysée.
D'un coup, il se lève.
Me prends les bras pour me dresser d'un coup !
Je tiens à peine sur mes jambes.
Il me claque contre le bureau.
Il se trouve contre mon dos et je sens mon gros désir.
D'une main il me prend la nuque et me baisse pour me mettre en levrette.
Il me caresse la chatte déjà humide et me fous une grosse claque sur les fesses.

Je gémis.
« Monsieur, que faites-vous ? »
Il ne répond pas et me prenant les cheveux il me redresse d'un coup. Et m'enfile son braquer dans la chatte sans ménagement.

Je cris mais il me tient fermement par les hanches.
Il me prend le coup dans ma main et m'étrangle.
J'ai peur et en même temps, je sens comme une vague d'excitation qui monte en moi.
« Mais tu mouille comme une chienne salope ! »
Les mots qu'il prononce sont insultant et bizarrement çà me plait.
Il se met à me labourer la chatte et je m'entends lui dire :
« Oui encore ouiiii »



Il me dit à l'oreille :
« Que crois-tu jeune salope !? »
« Que t'allais t'en tirer comme çà ? »
« Tu devras me servir comme je le souhaiterais et où je le souhaiterais OK ? »
La jouissance montant en moi je luis répondis :
« Oui monsieur comme vous voudrez »
Alors en me tenant par les cheveux, il me dirigeât vers sa grosse queue.
« Suces petite salope »


Il m'imprimait le mouvement en me tenant la tête et enfonçait trop loin sa queue dans ma gorge me faisant tousser.

Le souffle coupé, je bredouille:
« Baisez-moi, je vous en supplie, baisez-moi... »
Il me tire la tête en arrière à nouveau.
« Crois-tu pouvoir me donner des ordres ! »
Je ferme les yeux et il se renfonce dans ma bouche. Sa verge dure comme du béton.

Puis me tenant les cheveux il me retire la tête en arrière.
« Hum... Tu aimes ça...chiennasse ! »
Je gémis et humiliée et honteuse:
« Ahhhh, oui, hum...oui monsieur ».


Là, il me retourne d'un coup sec !
Me soulève et m'assois sur le bureau sans ménagement.
Il me prend ma petite gorge dans la main fermement.
Il m'installe violemment au bord du bureau.
Je gémis. Alors qu'il me bascule d'un coup en arrière.
Mon dos claque contre le bureau.
Je m'agrippe au bord du bureau.
Il plonge son visage entre mes cuisses bouillantes !

« J'ai tellement envie de te bouffer ce minou trempé. Hum... »
Il le prend à pleine bouche pour le sucer d'un coup.
Il plonge sa langue dans ma fente juteuse.
Je me cambre.
Je lève la jambe gauche et la pause derrière ma nuque.
Je tremble, Frémi, Je gémi, Je mouille tellement quel plaisir.
« Ouiiii encore oui c'est trop booon ! »

Il appuis sa langue fort sur mon clito. Il est tellement dur !

Il se met à le mordiller.
Je gémis de plus en plus fort.

Il me bouffe la chatte de plus en plus fort !
Je sens cette chaleur me monter dans le ventre.
Mon corps s'abandonne.

Je vais jouir. Je le sens. Il accélère. Je commence à jouir...
Puis brusquement, alors que j'allais hurler de jouissance, il s''arrête net !
Il se redresse.
« Crois-tu avoir le droit de jouir si tôt ?! »
Son visage est rougi de plaisir.
Je le regarde avec tant d'envie.
Je reste allongée sur le bureau, offerte.
Il fait le tour du bureau et je reste frustrée de mon orgasme naissant.
Arrivé au niveau de mon visage.
J'entrouvre la bouche pour gober se dard bien dressé.
Mais il me fourre ses doigts dans la bouche.
Comme une salope dépravée, je me mets à lui sucer les doigts.
Mes lèvres glissent sur ce doigt.
Je ferme les yeux doucement, je me caresse.

Je le regarde avec envie de mes yeux si gourmands...
« S'il vous plait, monsieur, donnez-la-moi. » et j'entrouvre la bouche à nouveau.
Je prends sa queue dans la main mais il me la retient d'un coup.
Je lui fais un regard de petite sainte tellement j'ai envie de pomper cette hampe.
. Il me regarde fixement amusé de me faire ainsi languir.
« Je ne veux pas en rater une miette. J'ai hâte de voir cette belle bouche autour de mon gland gonflé de plaisir. »
Il me frappe doucement la joue avec sa queue.
« C'est ça que tu veux ? »
« Oh oui monsieur donnez-moi votre queue à sucer s'il vous plait »
Avec mon regard vicieux, je souris et prend ce magnifique objet dans ma bouche commençant une pipe comme je sais si bien les faire avec gourmandise.

Il me prend les chevilles d'une main et me claque les fesses.

Il me te prend par la nuque en te tenant les cheveux. Alors que tu me suces de plus en plus fort.

Je le regarde droits dans les yeux avec provocation.
« Tu aimes me sucer salope et tu le fais si bien. »
Alors que sa main tiens ma nuque, il prend ta mâchoire et m'ouvres la bouche.
Il me pénètre profondément et fais des va-et-vient.
« Tu adores ça. Putain ! » En me regardant avec intensité.
Je gémis, Je veux jouir mais il enfonce son sexe dans ma bouche.




Il m'étouffe avec son sexe.

Je sens qu'il est prêt à exploser.
Il ressort de ma bouche brutalement.
Je tousse et essaye de reprendre ma respiration.
Il se met à gicler une première fois fort et abondamment dans ta bouche.

« Que tu es gourmande ! «
Il gicle encore et je branle toujours.
Il grogne.
« C'est bon... »
Il gicle, encore et encore. J'en ai plein la main, plein la bouche, les seins.
Il me fixe avec malice
« Hum... Ma belle petite assistante. Tu as un bel avenir devant toi »
.
Je reprends alors son sexe qui débande dans la bouche. Je le lèche délicatement et le nettoya contentieusement.

« Tu es m'on assistante désormais. Il nous reste beaucoup de chose à explorer. »
Il m'embrasse sur les fesses.
« Hum. Que tu es douce. »
« Rhabille-toi vite il y a un endroit que je veux te faire connaître... »
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ASSISTANTE 2

Il sort d'un tiroir de son bureau un objet.
Ca a quasiment la taille d'un œuf mais plus cylindrique.
C'est noir et ça à une texture plutôt agréable.
Il y a une petite ficelle.
« Ouvre la bouche ma belle »
J'ouvre obéissante la bouche.
Il pose de l'objet sur mes lèvres.
« Lèche-le ».
Je m'exécute.
« Suce-le ! »

Il se colle à moi. Je veux l'embrasser mais résiste.
Tenant cet objet, il le descend entre mes cuisses.
Surprise, j'ouvre grand les yeux en gémissant....

Il me le rentre dans la chatte. M'enfile une culotte et me dis :
« Maintenant nous allons en ville »
Terriblement gênée :
« Mais monsieur je suis couverte de sperme et je ne peux pas sortir avec ce truc énorme en moi ! »

Pour seule réponse, j'ai droit à une gifle magistrale.

Honteuse, ne regardant que le sol de peur de croiser des regards, nous nous promenons en ville. Ma démarche est ridicule et je me sens totalement humiliée.

Il me tient par le bras. Je le regarde parfois suppliante.
Il sent mon regard mais ne tourne pas la tête.
Nous arrivons devant un club.
L'entrée est sombre mais l'on peut distinguer que les murs sont pourpres.
Nous entrons.
Il commande un cocktail.
La serveuse nous donne les deux cocktails.

« Ecoutes bien mes instructions. »
« Tu vas prendre le cocktail d'un coup en bouche mais n'avales pas de suite. »
Je lui souris presque une grimace, le gode me remplissant le ventre.
Je prends le verre le bois d'une traite et le garde dans la bouche.
Après quelques secondes.
«Fermes la bouche et avales. »
« Lèves toi montes sur la table et danses pour moi »
« Mais monsieur j'ai se gode » dis-je bêtement.
« Ha ha ha ha !! Bien sur ce sera plus drôle idiote ! »

Je me place sur la table et devant son fauteuil, j'entame une danse lessive.

Je me penche en avant sur sa demande.
Mon chemisier laisse apparaître un beau décolleté.

Je me trémousse et le gode en moi me fait de l'effet.
Des hommes derrières moi sont subjugués par ma dance.

. »Présente ton cul je vais t'enlever le gode »
Je me tourne honteuse devant ce publique et mon patron m'ôte l'olibos.et me met nue.

Des hommes s'approche et me tripote devant mon patron qui laisse faire.

. Un homme me présente sa queue et vous me faite signe de la sucer.


Une serveuse s'approche de lui, le dégrafe et se met à le sucer sans vergogne.

« Vous êtes une sacré pétasse ma petite assistante. »
Les basses du club résonnent dans le fauteuil.
Elle s'assoie sur son sexe.

Le mec ma retourné et me pilonne la chatte alors qu'un autre vient prendre ma bouche.

Nous respirons fort.
Je vois mon patron bourrer la serveuse qui crie de plaisir.
Ou es ce plutôt de douleur ? Car vous venez brutalement de la sodomiser.


Mon boss lâche la serveuse, vire Les mecs qui me sautaient et sans fioriture :
« Tient ! prends çà dans le cul ma petite pute ! »
Je hurle de douleur.

Mes cries sont immédiatement étouffé par l'énorme queue d'un grand black.

Je suis secouée des deux côtés et j'ai des convulsions comme une possédée.

La douleur se mêlant à la jouissance.

Le black explose à long jet dans ma bouche et je suis obligée de tout prendre car il me maintient la tête.
Mon patron se dégage de mon cul
Je me sens soulagée mais je ne suis pas au bout de mes peines.
Un autre black remplace mon boss.
J'ai l'impression d'exploser.

Tellement il est énorme.




Ni tenant plus, mon boss m'enfourne la bouche.
Et se lâche rapidement.




« . Hooo putain, c'est bon ! »
« Tu es une vrais nympho sous tes airs d'oie blanche, t'aime te faire défoncer en public salope !»
Doucement, je me lève en lui répondant :
« Oui monsieur. J'espéré vous avoir satisfait »
Je me rhabille et je m'assoie près de vous comme si de rien n'était.
Il me regarde avec un sourire moqueur.
« Mais que vous est-il arrivée ma chère. Ce n'est pas très professionnel. Je pense devoir vous punir. »
Étonnée, je lui demande :
« Aurai-je déplu à Monsieur »
« Hum... Ma chère vous avez été parfaite. Si je vous avais demandé. Mais voilà... N'oubliez pas de suivre les instructions de votre patron. Mais, j'avoue qu'il s'agit là d'une belle initiative. »
Je lui réponds anéantie et soumise :
« Votre assistante s'excuse pour son initiative ... et si Monsieur juge qu'il doit me punir... je souhaiterai que cela soit ailleurs qu'en ce lieu. »
« Très bien. Sortons, je vous guiderai vers votre punissions. »
Nous sortons et prenons la voiture.
Je sens le foutre et le sperme sèche sur ma peau.

Je reste silencieuse à ses côtés. Que va-t-il me faire subir ?
Mon cœur s'accélère.
Il bat de plus en plus fort...
Je le sens battre dans ma gorge.

Nous roulons depuis 30minutes maintenant. Nous sommes entourés de forêt.
Je suis inquiète.
Je le regarde comme pour avoir des informations.
Je regarde droit devant moi sans un mot.
Je réalise que je le connais à peine et qu'il pourrait me faire subir toutes sortes d'horribles choses.
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ASSISTANTE 3

Pourtant, je ne comprends pas pourquoi je souhaite tant rester à son service.
Quelque chose se passe en moi.
J'ai beau avoir peur, une sensation étrange me parcours le corps.

D'un coup, il prend un chemin sur la droite.
Nous nous enfonçons dans la forêt.

J'ose un :
« Patron, où allons-nous ? »
Il ne répond toujours pas.
Je vois les arbres défiler.
Seule la lumière des phares de la voiture transperce cette obscurité oppressante.
Je commence à imaginer ma punition.
Il a le visage sombre et dur.
Je me demande pourquoi il ne m'a pas adressé un mot depuis que nous sommes dans la voiture.
Aurais-je tant déplu à mon patron ?
Je vois des lumières au loin.
Nous arrivons très vite devant un grand portail.
Un château inquiétant se profile au loin.

Il roule vite en passant le portail et la voiture dérape un peu de l'arrière sur le gravier.
Je m'agrippe à la poignée.
Il roule dans cette propriété en suivant un chemin balisé par des plateaux enflammés.
Nous arrivons devant un château.

La voiture se gare devant l'entrée.
Je le regarde interrogative.
« Sortez de la voiture ! »
Je sors très angoissée mais sans mot dire.
Je suis mon patron qui s''avance l'escalier monumental du château.
J'ai peur.
Cette demeure ressemble aux châteaux que l'on peut voir dans certains films de vampires



7 marches plus haut.
De gigantesques bougeoirs enflamment l'entrée de la demeure.
Je le regarde interrogative, les yeux plein d'angoisse.
Il s'en amuse méprisant.
Je deviens sa chose.
Quel est ce lieu mystérieux ?
Nous avançons vers la lourde porte de chêne.
Un homme descend à notre rencontre.
Il s'agit d'un major d'homme.
Il arrive à ma hauteur :
« Bonsoir Monsieur, tout est prêt. Mais madame ne peut rester dans cette tenue » dit-il d'un aire pincé.
« Certes »
D'un tour de main, il arrache mes vêtement et me retrouve nue devant ce domestique.




« Que croyez-vous faire ? Auriez-vous l'insolence de croire que vous entrerez ici ? Par cette porte ?! »

Honteuse, Je rougie.
Il me regarde avec tant de froideur...Je tremble. « Mettez-vous nue sur le champs ! » Vous me regardez avec de grands yeux désemparés. Quel bonheur !

« Allez ma chère les chaussures aussi. »
Je grelote
Nue sur le gravier devant cette grande maison, à sa merci.
Je vous regarde impuissante.

Le major d'homme lui tend l'objet qu'il tenait.
Il prend la laisse de sa main. Elle est faite cuire.
« Approche-toi ! »
Je le regarde sans comprendre.
Pourquoi cette humiliation.
Il me met le collier au cou.


Nous faisons le tour de la maison.
Je suis pied nus et le gravier me fait mal aux pieds.
On me tire parfois sur la laisse pour me faire avancer.

Je gémie.
Nous arrivons derrière la maison.
Nous sommes maintenant sur l'herbe humide.
Je suis gelée et j'ai comme des bouffées de chaleur en même temps, tiraillée par une peur presque viscérale.
On tire sur la laisse d'un coup.
Je trébuche et me retrouve à quatre pattes.




Je regarde mon patron désemparée.
Mais est-ce vraiment mon patron ou bien un Maître et moi une esclave traitée comme une chienne ?
J'aperçois une niche.
Je panique.
« Je vous en supplie ne me laissez pas là, Monsieur ?! ».
Il me répond :
« A la niche ! »
Il accroche la laisse à l'anneau.
« Monsieur, j'ai peur ne me laissez pas ainsi. »
« Entre chienne ! » me lance-t-il froidement.
« Monsieur, ne me laissez pas là. »
« Reviendrez-vous ?! »

Je me retrouve seule dans cette niche sombre.
L'odeur de chien est très forte.
Je suis terrifiée.
Que va-t-il m'arriver ?
Mais quelle conne suis-je d'avoir accepté d'en arriver là.

J'entends des bêtes dehors !
Je tremble comme jamais.
Mes muscles vous font mal.
Dans l'obscurité, ma main touche un objet.
Je sursaute.
« Mais c'était quoi !? ».

D'une main tremblante, Je tâtonne à nouveau.
C'est une lampe torche.
Je l'allume.

En éclairant, l'intérieur de la niche, je découvre une petite boite en bois foncé.
À genoux devant la boite, je l'ouvre.
Il y a une lettre, un bandeau noir en velours et 2 clés.
Une petite de cadenas et une de voiture.
Je lis tremblante cette lettre des larmes coulent sur mes joue et me brouillent la vue.

(Ma belle et douce petite assistante.
Vous m'appartenez mais vous n'êtes pas encore dressée.
Comment pourrais-je vous dire le désire que j'ai de vous voir devenir mon assistante.
Votre visage d'ange fait monter en moi les envies les plus folles.
Votre nuque si fine m'enivre.
Vos épaules frêles font monter en moi une irritable envie de les serrer alors que je vous pénètre avec force.
Vos magnifiques petits seins me donnent envie de les torturer et les couvrir de ma semence.
La délicatesse de ce cul que j'aimerai fouetter à le rendre rouge écarlate.
Mais comprenez que tout ceci ne peut passer que par votre subordination.
À vous de voir.
Vous avez deux clés dans la boite.
La 1ère, la petite vous permettra de vous défaire de votre laisse.
La 2ème, est la clé d'une voiture garée plus bas.
Vos vêtements y sont.
Vous pouvez partir...
Ou alors, rejoignez-moi que l'on avance sur notre travail.
Je vous attends ma belle et douce petite assistante.)



Ces paroles me touchent et me font peur à la foi.
Je tiens ces 2 clefs dans les mains sans savoir quelles décisions prendre.
Si je m'engage à le servir je serais sa chose.
Cette perspective est terrifiante mais si tentante aussi.
Je me rappelle des scènes d'histoire d'O et rien que ça me fait mouiller.
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ASSISTANTE 4

Que dois-je faire ?
Devenir une esclave et vivre des moments très durs mais très excitants ou m'enfuir et oublier tout çà ?

La lettre se terminait ainsi :
(Mais sachez-le, ça sera TRèS rough !
Si vous continuez voici vos directives :
Vous passé par l'arrière, là où je suis rentré.
Deux hommes vous attendent.
Ils portent des masques blancs.
Livrez-vous à eux. Ils savent quoi faire de vous.)
Morte de trouille, je prends la décision de faire cette expérience.

Je me dirige les jambes flageolantes vers l'entrée du château.

Deux baraques d'un bon 1.80m et au moins 95gk.en smoking encadrent la porte monumentale.
Je me sens toute petite devant eux.
Lun des 2 se place devant moi. L'autre homme me prend le bras et le pose sur l'épaule de l'homme devant.
Il se glisse derrière moi
Je tremble.
Je suis sale.
Mes cheveux me tombent sur le visage. Je ne suis plus que l'ombre de vous-même.

Je sens l'homme dans mon dos s'approcher de moi.
Il approche sa bouche de votre oreille.
J'ai des frissons. Une chaleur nait entre mes jambes alors qu'il déplace mes cheveux couvrant mon oreille.
« Bonsoir, Avez-vous oubliez votre bandeau ? »
Je suis perdue et ne répond pas de suite.
« Répondez-moi !!! » demande-t-il très ferment.
« Non, je l'ai, Monsieur. » dis-je d'une voix tremblante.
Il me le prend des mains.
Je n'ose bouger.

Il le place sur mes yeux, et fais un nœud.
Je me retrouve dans l'obscurité totale. à peine une toute petite lueur vers le bas mais floue.
L'homme derrière me dit :
« Vous avez été une très mauvaise petite assistante. »
« Vous devez être punie »
« Acceptez-vous cette punition ? »
« Répondez !!! »
« Oui, je l'accepte »


Il m'attache les deux mains dans le dos.

Il vous prend la nuque fermement, d'un coup !!!
« Avancez-alors »
J'avance hésitante.
Je rentre dans une pièce chaude.
Cette chaleur me glisse sur le corps.
Quel bonheur de sentir la chaleur de cette pièce.
Je suis toujours l'homme devant me tenant fermement à son épaule.
Où me mènent-ils ?
Je sens la présence de plusieurs personnes dans cette pièce. Il semble y avoir des dizaines de personnes.

L'homme vous arrête net !
« Veuillez enjamber. »
Je rentre dans ce que je pense être une baignoire.
J'ai les pieds dans l'eau au niveau des chevilles.
Hum... j'ai si froid cette eau chaude est un vrai délice.
Elle est parfumée.

Quel bonheur.
Par sa force, l'homme qui tient toujours ma nuque m'agenouille d'un coup !

Au loin, une voix :
« Quel plaisir de vous voir ici ma belle assistante. »

Cette voix connue me rassure.
Il me parle enfin.
« Vous allez subir votre punition. Mais vous êtes impure. Vous devez être purifiée »
Vous entendez de l'eau qui coule.
Les deux hommes prennent des éponges de bain et les mouillent.
Maintenant je tremble mais pas de peur ; de nervosité.

Je sens qu'il y a du mouvement.
Des souffles se rapprochent de moi.

L'homme devant moi monte l'éponge entre mes cuisses et je ne peux m'empêcher d'émettre un gémissement de plaisir malgré la honte qui me taraude.
J'écarte un peu les jambes.
L'homme y passe l'éponge et remonte jusqu'à mon entrejambe.
Je me cambre et suis très ouverte.
Mon clito se durci.
La caresse de l'éponge sur mon sexe est délicieuse.
Une voix au loin
« Ah, quelle belle petite salope fait-elle. »
Les respirations deviennent plus fortes autour de moi.

J'aime ça.
L'éponge glisse sur vos reins.

Elle glisse sur mes seins alors que celle de derrière passe doucement entre mes fesses.

On me fait sortir de la baignoire.
« Très chère assistante, travailler pour moi est un devoir. Cela implique un dévouement de votre part. Vous ne remettriez pas mes demandes en cause ? »
« Non, bien sûr monsieur. »
« Je sais bien salope. Ainsi, vous en ferez de même pour quiconque se présente à vous. Suis-je clair ? »
« Oui, bien entendu monsieur »
« À genoux ma chère assistante. »
L'insulte alterne avec le phrase polis et me font comme un effet de chaud et froid.

Je me sens encerclée.
D'un coup, quelqu'un me prend les cheveux et me bascule la tête en arrière !!!

J'ouvre la bouche et gémie.

« Hum... ce que j'aime vous voir ainsi. »
La main qui vous tient les cheveux vous dirige la tête à gauche d'un coup.
Je sens un gland gonflé sur mes lèvres.
Il est chaud, dur et doux à la fois.

Je me mets à doucement lécher et fait de petits cercles sur le gland.
Hum... je sens les à-coups de contraction de son sexe.
La main me pousse la bouche sur le gland.
La queue s'enfonce dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge




« Hum... Ma belle petite coquine ouvre bien grand ta bouche. Suce bien à fond salope »
J'entends gémir. La main me tire en arrière mais j'ai envie de sucer cette queue.
J'ouvre grand la bouche comme pour qu'on me la redonne. « Hum... Quelle gourmande cette petite chienne ! »

La main me pousse à nouveau sur la queue.
La main me tient la queue enfoncée dans la gorge.
Elle me recule un peu la tête et me pousse à nouveau sur cette belle queue.
La main m'imprime des va-et-vient de plus en plus rapide.
Je tente de respirer entre chaque coup.
Je m'étouffe presque.

« Votre punition ne fait que commencer, ma belle. Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ? »
Docile je réponde :
« Non, monsieur »
« Vous n'avez donc aucune excuse jeune insolente ?!!! »
Avant même que je n'ai eu le temps de répondre, la main me force à nouveau sur la queue.

Des filets de baves se forment entre votre bouche et cette queue.

J'ai de la bave qui coule sur le menton et.mes seins.
Il se met à gicler. Encore, encore.
Ça coule dans ma gorge.
Il me remplit tellement la bouche que j'ai des hauts le cœur.

Je bave et crache un mélange de bave et de sperme. Ca dégouline de votre bouche

« Ma belle assistante, que vous arrive-t-il, là ? »
« Redressez-vous !!! »
Je ne peux parler.
Je me redresse.
Un long filet pend à votre menton.

« Hum... Quelle vue. Vous êtes admirable. Quelle assistante »
Comprenez-vous l'obéissance que vous me devez ? »
« Oui Je serai sage monsieur, promis ! »
« Le serrez-vous vraiment ? »
« Oui monsieur»
« Je n'en crois rien !!! »
Des mains me saisissent et me mettent debout.
On me plaque une table.
On m'écarte les jambes sans ménagement.
Je ne peux pas bouger.
J'ai le cul offert, tout humide tout luisant.
Je sens une queue qui se pose sur mon anus.
Elle avance est commencé à entrouvrir mon petit trou.
« Ma belle, serez-vous vraiment sage ? »
« Oui, Monsieur, je vous le promets »
La queue s'enfonce dans mon petit cul, doucement mais une grande douleur se mêle à la jouissance.
Je ne sais plus ce que je ressens, jouissance ou souffrance. Est-ce les deux ? Est-ce possible.


Il s'enfonce encore. Recule. Avance. Encore, encore.

Il s'enfonce encore. 15 cm.

Des va-et-vient de plus en plus profonds et forts me défoncent le petit trou.

On prend ma mâchoire d'une main et une queue s'enfonce dans ma bouche.



Il a la queue tellement gonflée.
Je gémi de plus en plus fort avec la bouche prise par cette autre queue.
Il gicle. Je sens sa queue giclez dans mon petit cul. Hum ce liquide chaud dans mon cul. C'est si bon.

Je m'écroule au sol.
Plusieurs hommes se branlent devant autour de moi.
Ils gémissent, grognent et se mettent à lâchez leurs semences sur mon pauvre corps.

« Hum... Vous êtes magnifique. Ma belle petite assistante. Je suis fière de vous. Vous travaillez avec tant de dévouement, j'ai plaisir à vous voir à l'œuvre. »
« Merci Monsieur » dis-je reconnaissante.
« Votre petit cul est doux comme du velours. Vous cachez bien votre jeu »
« Votre formation ne fait que commencer. Je souhaite obtenir toujours autant de rigueur et de dévouement, ma chère. »
« Puis-je compter sur vous ??? »
« Oui monsieur. Je vous serais toujours dévouée. »

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ASSISTANTE 5

Il est 9h du matin.
J'arrive à au bureau (open space)
Je m'installe quand mon patron sort de son bureau.
Il a l'air sérieux et plus grave que d'habitude :

«Maryaline, ne vous installez pas, j'ai un rendez-vous à l'extérieur et je veux que vous m'accompagniez. »

« Oui Monsieur, bien sûr. »
Pas un sourire, pas un regard ; il me fait signe de la main. Nous allons vers l'ascenseur.
Pourquoi cette froideur.
Nous prenons la voiture.et roulons en centre-ville.
Toujours pas un mot échangé.
Arrivés au pied d'un gratte-ciel, nous entrons dans un parking souterrain.
Nous sortons de la voiture direction l'ascenseur.
Il appuie sur 28ème étage.
Toujours pas un mot.et je ne sais pas quoi dire.
Tout ceci commence à me ronger.
Je n'y tiens plus.
Alors que l'ascenseur monte toujours, je me jette à ses pieds. « Monsieur, je m'excuse quelle que soit la chose que j'ai pu faire pour vous déplaire. Monsieur, je vous prie d'accepter mes excuses les plus sincères. ».
« Maryaline, je comprends vos inquiétudes mais comprenez bien mon scepticisme car je pense que vous ne donnez pas le maximum. Comment puis-je conserver une assistante qui n'est pas dévouée à son travail, à son patron. Je me demande si nous devons continuer à travailler ensemble. Peut-être ne suis-je pas assez objectif. Il me faut s'en doute un avis extérieur. »
« Mais pourtant Monsieur ? » Toujours à genoux devant lui
« Hum... Maryaline, quel plaisir de vous sentir ainsi suppliante
Vous êtes si désirable à genoux comme ça devant moi, prête à faire ce que bon me semble. »
Il sort sa queue.
« Puisque vous êtes en bonne position, rendez-vous utile »

Obéissante, je me mets à le sucer

Je le suce comme je sais si bien le faire.


Il se lâche dans ma bouche au moment où les portes de l'ascenseur s'ouvrent.

Des hommes d'affaires regardent goguenards la scène.
« Je vous prendrai bien là devant tout le monde. Vous mériteriez tant de vous faire remplir par tous ces hommes »
J'ai du sperme sur le visage mais il ne me laisse pas le temps de me réajuster.
« Ha nous sommes arrivés. Relevez-vous salope. Votre comportement est inconvenant » me dit-il en rentrant sa queue dans son pantalon.
Il me contourne, m'ignorant complètement.
Je me redresse honteuse et le suis me frayant un passage au milieu de ses hommes.
J'en entends qui disent :
« Quelle salope celle-là ! Une vraie pute »
Nous entrons dans de magnifiques bureaux.
Ils occupent tout l'étage.
Nous nous présentons à la réception.
Je suis derrière lui.
, Je me cache en essayant d'essuyer la trace sur mon visage.
Je ne comprends toujours pas où le patron veut en venir.
Des images érotiques sont accrochées aux murs.
Quel genre de société est-ce ?

Une réceptionniste nous reçoit :
« Bonjour, Monsieur Snake, je préviens Mme Jeanne de votre arrivées. »

Alors que nous nous dirigions vers la salle d'attente, Jeanne arrive à notre rencontre.
C'est une magnifique femme d'environ 50 ans. Elle a une très grande classe. Elle porte une robe noire très moulante.

Elle avance vers nous avec tant de classe.
Je la trouve magnifique.
Je Vous regarde immédiatement.
Je vois à vos yeux que vous n'êtes pas indifférent à son charme.
Serait-elle une rivale ?
Je suis jalouse.
Elle lui serre la main.
« Bonjour mon cher, je suis heureuse de vous voir. »
Elle me dévisage de la tête au pied, méprisante.
Je me sens humiliée par ce regard. Mais pour qui se prend-elle ?
Elle me regarde et moqueuse lui dit :
« Est-ce la vôtre nouvelle assistante ? »
« Oui » répond-t-il d'un ton neutre.

Elle le prend par le bras et avancent me laissant en plan.
Elle lâche :
« Ah, mon cher Leo, je vais vraiment devoir vous prêter une de mes assistantes... »
Je me sens trop humiliée.
De quel droit se permet-elle ?
Je bouille intérieurement mais faire un scandale aurait pour conséquence de prendre la porte immédiatement.

Je me contente de suivre et de subir ces réflexions.
« Voulez-vous essayer mon assistante ? »
« Je ne voudrais pas abuser ma chère »
Nous passons une porte à double battant.
On dirait comme des portes de salles de cinéma.
Mais où suis-je donc arrivée ?
Les murs sont noirs et rouge avec ce que je pense être des miroirs sur les murs les plafonds.
Il y a toute sorte d'objet sur les murs qui me font frissonner de peur. (Fouets, cravaches, godes etc...)

On se croyait presque dans une salle de torture.
Au milieu, j'aperçois une sorte de cage.

A l'autre bout de la salle, il y a, accroché au mur un écran géant.
En dessous de cet écran, un grand canapé rouge trône encadré de deux magnifiques femmes nues.

Il me plante là et va s'assoir entre ces magnifiques créatures.
Elles me dévisagent.
Elles commencent à caresser les cuisses de mon boss.
L'une l'embrasse dans le cou.

Jeanne me prend la main sans ménagement et m'emmène vers la cage.
Elle me regarde froidement droit dans les yeux.
« Pas bouger » et elle m'enferme
« Mais quel pétasse ! » me dis-je


Elle va vers mon boss et s'assoie sur l'accoudoir du canapé. Elle caresse l'une des filles comme si elle était sa chienne.

« Maryaline, ma chère, peut-être Ex-assistante, il est tant que vous vous donniez à fond pour votre patron. Je suis particulièrement déçu ces derniers temps. »
Je ne comprends pas !
Comment peut-il dire des choses pareilles.
Je ferais n'importe quoi pour cet enfoiré.
Comment peut-il encore douter de mon dévouement ?
« Je pense que j'ai été trop souple avec vous. Il est tant que je vous mette à l'épreuve. »
« Souhaitez-vous rester à mon service ? »
Je suis sous le choc. Ne lui ai-je pas démontré jusqu'où ma soumission pouvait aller ?
Je ne réponds pas de suite excédée.
« Alors ?! » dit-il d'un ton impérieux.
« Oui, Monsieur, bien sûr Monsieur !!! »
Les filles rigolent et se moquent de moi.
Jeanne me regarde avec un air supérieur.
Je me sens une fois de plus tellement rabaissée.
Comment puis-je vous faire ça ?
« Eh bien, chienne, nous allons voir ça de suite. »
Jeanne s'approche, me sort de la cage et me place sur une sorte de scène.

« Nous allons mettre de la musique. Vous ferez tout ce qui vous sera demandé sans broncher en restant dans la limite de cette scène. »
« Voyez-vous ces petites caméras sur les barres. »
« Vous serez observez par des centaines de milliers de membres du site de Jeanne à travers le monde. Des centaines d'écrans tout autour de de la pièce s'allumeront. Vous pourrez voir les cam de centaines de membres sélectionnés. Vos ordres apparaîtront en dessous de la jauge sur l'écran géant. A vous de tenir le rythme. Vous serez la pute de centaines de milliers d'hommes. »
Serait-il devenu fou !
Mais c'est impossible ?!
Je ne peux pas me montrer ainsi.
Et si on me reconnaissait.
L'écran contre le mur au-dessus de moi s'allume.
La jauge verticale au milieu de l'écran, s'affiche.
J'entends les caméras bouger.
Maintenant, elles ont toutes un point rouge.
Il y a un compte-à-rebours à 20 secondes.
« Vous avez deux chansons pour nous émouvoir. Si à la fin de la dernière note de la deuxième chanson la jauge n'a pas atteint 90% vous êtes virée ! Suis-je assez clair !? »
Je n'en reviens pas.
Je vais être notée, évaluez comme du bétail.
Comment peut-il mettre mon avenir dans les mains de pervers en train de se branler leurs petit salamis.
Je suis furieuse.

Je tente de me ressaisir.
Je vois à quel point cette situation fait jubiler Jeanne.
Et ces deux pétasses qui collent mon boss et le caressent. Des leds s'illuminent tout autour de moi.
Mais qu'est-ce que l'on va me demander de faire.

« Maryaline, êtes-vous prêtes ?!!! »
Les salopes à côté de mon boss bougent lascivement.
Elles sont clairement là pour me rendre dingue.
Elle s'embrasse juste devant moi pour m'empêcher de voir le seul repère pour moi ; mon patron.
Un bip puissant sonne. 10, 9, 8, je ne sais quoi faire.
Je suis là, debout comme paralysée.
7, 6, 5 « Monsieur....... » Je recherche paniquée son regard. J'ai un trac monstre.
J'ai les jambes qui tremblent.
4, 3, 2, 1 « Monsieur s'il vous plaiiiiit ».
Je vois qu'il bande fort, de me voire ainsi en détresse.

Je pleure et mon rimmel coule. Ce qui semble leurs plaire.

« Ca va commencer, j'ai hâte de vous voir à l'œuvre. Hum... »
Musique : 0 !
Des centaines d'écrans s'allument.
Il y en a partout, sur les murs, le plafond.
Je regarde tous ces écrans épouvantés.

Il y a des hommes, des sexes, des culs d'homme et tout ce que l'on peut imaginer sur ces écrans.

Glauque !
Carrément glauques.
Je vois tous ses pairs yeux sur moi.
Tous ces hommes qui se branlent en vous regardant.




Je suis écœurée.

Je regarde mon boss. Pourquoi ?!

Attirée par la jauge qui clignote sur l'écran au-dessus de moi. Je la voie à 1% !
Les filles s'embrassent et massent la queue de mon patron.
Je sus perdue.
Un 1er commentaire arrive sur l'écran en dessous de la jauge :
« Alors l'intello, elle va se bouger ?! »
Comment réagir ?
Je regarde mon boss croyant qu'il va me soutenir dans cette épreuve mais il me fixe avec un petit sourire.
Je suis blessée.
Il se moque de moi mais je vais me battre et lui montrer de quoi je suis capable par défi.
J'oublie ces caméras et tous ces pervers qui me regardent.
Je me laisse emporter par la musique. Je laisse Jimmy rentrer dans ma tête, dans mes tripes.
Je me laisse hypnotiser par cette guitare et la violence si crue, si belle !
Hum... ces cordes qui vibrent me rentrent dans le ventre.
Je commence à me lâcher.

L'une des filles avale la queue du patron d'un coup.

Ah la vache ! Au fond de la gorge du 1er coup.

Il me fixe provoquant.
Je suis folle de jalousie.
Quelle salope !
Celle qui le pompe si bien me regarde.
Je voie dans son regard qu'elle me défie.
Et lui qui prend tant de plaisir.

Quelle bouffeuse de queue.
La deuxième fille en profite pour monter sur le canapé et lui mettre sa chatte sur le visage.

Elles me regardent toutes les deux.
Elles me défient. Il adore ça. Il bouffe cette chatte avec tant d'appétit !
« Vous allez vous enfin vous lâcher n'est-ce pas ? Ne me faites pas défaut, je veux tant que vous réussissiez. »
Je bouge mon petit cul au rythme enivrant de la musique tout en me déshabillant.
.
Elle rejoint l'autre sur sa queue.

« Voilà, je veux voir ce cul bouger. Ce petit cul que j'aime tant faire rougir dans vos soirées de dressage. »
Je mets mes mains sur mes seins. Je vous fixe provocante.
« Voilà que ce je veux salope ! ».

« Allez ! Lâchez-vous putain ! »
Je me caresse les seins.

La jauge monte à 2%.
Pendant ce temps-là, les filles attaquent sa queue si fort.
Je sens tous ces hommes qui me fixent et qui se branlent.
Je bouge sensuellement sur le rythme endiablé de Jimmy. Je glisse autour d'une des barres.

Je me penche en avant exhibant mon joli petit cul.

À l'écran, un autre message :
« Prends le gode et suce le bien ! ».
Je m'exécute immédiatement.
Je le suce bien, tellement bien en vous regardant.
J'imagine que c'est vous qui êtes au bout de ma langue

Hum... quel plaisir. Je commence vraiment à aimer ça.
La jauge indique 10%.
Un autre message :
« Fous-le dans ta chatte ! »
Un autre : « Alors, t'attends quoi ! »

Je me retourne et me rentre l'objet dans ma chatte trempée de plaisir et de honte.

Il ne reste plus que 30 secondes de la 1ère chanson.
Une des filles l'avale en gorge profonde.

Ah... la salope, pensais-je pendant que je continuais à me goder la chatte.
Je m'enfonce tellement fort sur ce gode en Imaginant que c'est votre queue.
En face de moi, sur les écrans, des hommes commencent à éjaculer.

La jauge monte à 15%. V
Je me suce les doigts. Et les enfonce délicatement dans mon joli petit cul...

Message :
« Oui, c'est ça ! Enfonce-les, salope ! »

Tous ces hommes en train de ce branler, je vais leur donner du spectacle à ces pervers.
Je prends le gode et l'enfoncez dans mon cul.

Message :
« Plus profond, vas-y ! »

Je regarde tous ces hommes se branler, éjaculer.
30%
Vous saisissez votre jambe droite et la remonter pour mieux vous enfoncer la gode dans le cul.
Message :
« T'aime ça, hein salope !? »
Le son diminue. C'est la fin de la 1ère chanson.
40%
La 2ème chanson commence
Mon patron pousse les filles.
Il marche rapidement vers moi.
Je suis surprise.
Il me saisit les cheveux et me lève au premier coup de batterie.
Il me tient suspendue sur ses hanches et me pénètre brutalement.

Cette grosse queue me pilonne bien profondément.
C'est bon ! Il me prend par les fesses et me claque sur sa queue. Encore, plus fort.
Il me laboure littéralement la chatte et je cri plus fort que la musique.

La musique est très forte !
La jauge passe à 50%.
« Je veux m'enfoncer à fond. Putain ! J'adore ! Salope »
« Baissez-moi comme une chiiiiennneee ouiiiiiiii »
60%.
Je pénètre sa bouche avec ma langue.

Je vous chope la lèvre inférieure avec les dents.

Je crie et jouie.
« Encore, allez empalez-vous sur cette grosse queue ! »
65%
Il me plaque à terre. Je suis sur lui. Il me tient par les hanches. Je le chevauche. Je me déhanche si fort !
« Ahhh ... putain !! Cette chatte hum... Allez défoncez-vous bien sur ma que salope ! »

« Vous sentez bien ma queue tout au fond de votre chatte. Raaa putain, vous gérez vraiment bien. Quelle passion ! »

Les caméras zoom sur votre cul qui s'entrouvre et ma queue qui s'enfonce dans votre chatte.

Sa queue est trempée. Je coule le long de son sexe, sur ses couilles.
Je vous sens tellement bien.
90%
Il me prend les cheveux et vous tire la tête en arrière.
95%
Je lui souris et veux le voir craquez. Je me déhanche comme une forcenée toujours plus fort sur sa queue.
Il explose en moi.
« Ahhh. Encore vas-y t'arrête pas !!! »
Je me soulève et me jet sur cette queue qui n'en finit pas de cracher.

Je l'avale avec gourmandise.

Il gicle tant c'est impressionnant tant de jus.
100
Les filles me regardent envieuses.
Je lui nettoie la queue ! Hum... elle est encore dure.
Il grogne
« Tu ne lâche rien sale chienne !
Il me prend par les cheveux et imprime le mouvement sur sa bite.

Les écrans s'éteignent, les filles partent.
Jeanne nous rejoint en se caressant les seins alors que nous nous relevons.
Jeanne :
« Je retire ce que j'ai dit Léo. Tu l'as bien choisie celle-là »
Je vous regarde en vous souriant.
« En effet, il semblerait, mais le dressage doit continuer. »
Je souri fière de ma prestation.

Je regarde cette garce d'un air arrogant.
« Mais elle a besoin d'apprendre le respect votre salope ! Léo »
« Oui, le chemin est encore long mais elle goutera du fouet »