Coralie - chapitre 1 (publié par Coralie le 23-08-2013)
Coralie - chapitre 2 (publié par Coralie le 26-08-2013)
Coralie - chapitre 3 (publié par Coralie le 17-10-2013)
Coralie - chapitre 4 (publié par Coralie le 23-10-2013)
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Mes fantasmes ou plutôt mon vécu je préfère, plus facile à raconter...
Mon nom est Coralie...




J'ai 56 ans et j'aime le sexe sous toutes ces formes, je suis lesbienne ou si vous préférez bisexuelle ou gouine....de toute manière, j'aime surtout baiser avec les femmes...mais les hommes qui ont une belle queue et qui savent bien me faire jouir...sont invité à me rejoindre
Depuis 20 ans, mon mari et moi, nous avons un couple d'amis, Marthe et Philippe. Nos enfants ont grandi ensemble.
Marthe et moi travaillons dans le même domaine, l'éducation. On se voit souvent au travail, on se connait depuis si longtemps.
Depuis 3 ans, j'ai un couple d'amants, Marthe et Philippe. Nous baisons ensemble souvent tous les trois.


Discrètement, très discrètement.
Nous vivons dans une petite ville, à peine 5 mille habitants. Tout le monde nous connait. Donc, la discrétion est de rigueur.
Évidemment, le fait que Marthe et moi travaillons ensemble, nous avons l'occasion de se donner du plaisir régulièrement...

...sans toutefois oublier le côté professionnel de notre travail.
Ce matin, Marthe est entrée dans mon bureau, pour me parler d'un dossier d'un élève. Je suis seule au bureau, ma nouvelle secrétaire, Isabelle est en congé le lundi.

Toutes les deux, on s'habille toujours en jupe et nous portons toutes les deux des strings, prête, toutes les deux aux caresses.

Alors ce matin, Marthe et moi on s'est embrassé langoureusement...

... je dirais même amoureusement. Oui, on peut dire, que je suis amoureuse de Marthe et elle aussi réciproquement amoureuse de moi. Sexuellement, j'aime son mari, Philippe me baise aussi régulièrement, il est un très bon amant. Philippe et moi, on n'est jamais seul, Marthe est toujours présente, c'est la règle et c'est bien ainsi.

Ce matin, Philippe sait que présentement, Marthe et moi, on s'embrasse.

Elle l'a texté juste avant de revoir le dossier de l'élève.
Le texto, le voici : Mon chéri, la chatte de Cora est douce à mes lèvres, notre petite salope mouille.





À ce soir, j'ai hâte que tu me prennes, bisous sur ta belle queue. Marthe xxxx

Et mon mari là-dedans, c'est quoi son rôle. Il n'a pas changé depuis 30 ans, notre couple va bien, il me baise régulièrement, il se vide les couilles comme on dit, toujours de la même façon.

Jusqu'à il y a trois ans, cela me comblait. Les goûts de mon mari, au niveau sexe, c'est simple, mettre sa queue dans ma chatte, me faire jouir, même si je fais semblant parfois. Il jouit et se vide, la plupart du temps une fois par semaine, durant le week-end.
Je préfère garder notre couple comme çà. Cela me convient. Nous avons 3 garçons, 6 petits enfants, tout roule. Mon mari a une petite entreprise de construction, il est reconnu dans la région. Un bon travaillant, les contrats sont respectés, alors pourquoi tout chambarder, tout détruire pour du sexe.
J'ai compris cela il y a trois ans. Il y a trois ans, la femme sage qui voyait sa vie se dérouler doucement, sans problème, a soudainement réaliser que dans cette vie, je pouvais y ajouter un jardin secret où je me sentirais un peu plus femme, un jardin où quelqu'un viendrait me visiter et me faire découvrir des plaisirs encore là insoupçonnés.

Une femme hétérosexuelle qui tout à coup réalisait une attirance pour une femme, pour le plaisir entre femmes, le plaisir de goûter doucement à une femme.

Marthe est devenue mon guide dans cet univers de la bi-sexualité ou si vous préférez le côté lesbien d'une relation avec une femme.
Suis-je lesbienne, uniquement lesbienne, je ne pense pas, car j'aime une grosse queue.


La queue de mon mari est belle, celle de Philippe est sublime, épaisse, grosse avec un beau gros gland qu'on se partage Marthe et moi.

Et en plus, il pénètre mon petit cul. Il a été le premier à me sodomiser...

il a été le premier dans tout, lui aussi a été un guide dans le plaisir total, jouissance extrême.
Il a pris son temps, aidé de Marthe ; tous les deux m'ont amené à devenir femme.
Marthe m'a appris tant de choses. Ce matin, elle m'a fait jouir avec sa langue dans ma chatte.

Maintenant, cela vous dirait de savoir ce qui est arrivé il y a 3 ans, et bien allons-y !
À chaque printemps, au Québec, il y a un arrêt, qu'on appelle, la semaine de relâche. Étant donné que je travaille au niveau de l'éducation, j'ai droit à ce congé. La plupart du temps, je reste à la maison pendant cette période, je reçois mes petits enfants qui sont aussi en congé et que je gâte pas mal, avec toutes sortes d'activités.
Il y a trois ans, mon amie Marthe me demande si je serais intéressée mon mari et moi de passer une semaine dans le sud, en vacances avec eux, elle et son mari. L'idée de partir m'a tout de suite plus, pour mon mari, c'était impossible. Alors, il fut convenu que je partirais avec eux pendant une dizaine de jours dans le sud.
Marthe et Philippe et moi avons pris l'avion pour le soleil au printemps, dans la grisaille, la neige et l'humidité.
Quelques heures plus tard, pour la première fois, je découvrais le chaud soleil des Tropiques et mon mari m'avait dit de profiter de cette belle semaine.
- Laisse-toi aller, profite de tout, amuse-toi!
J'étais un peu triste de le laisser, mais heureuse de pouvoir me laisser aller en toute confiance avec Marthe et Philippe.
Dans l'avion, nous étions assis tous les trois, j'étais placé entre Philippe et Marthe. Cette dernière me décrivait ce que nous pourrions faire comme activité, là-bas. Évidemment, pour eux, c'était des habitués, il partait souvent en voyage.
- Tu vas voir Cora, on va bien s'amuser, et les personnes sont super chaleureuses dans le sud.
Je dois vous préciser que Marthe et Philippe avait tout préparé pour le voyage, les réservations, l'endroit de séjour qu'il connaissait. C'était un troisième séjour pour eux au même endroit. Un petit hôtel privé appartenant à un couple d'amis de Montréal, près de la plage, discret, comme l'avait précisé Marthe.
Quand j'avais préparé ma valise, elle m'avait précisé que j'emmenais beaucoup trop de vêtements, sans me préciser la véritable raison.
-Tu vas voir Cora, le soleil chaud, comme on dit, un petit bikini et ta brosse à dents.

Et souvent, pas tout le bikini.
Je m'étais surpris un peu par cette réponse:
Tout en riant, elle m'avait glissé discrètement à l'oreille:
- Philippe et moi, allons te faire découvrir un endroit très chaud et accueillant, tout çà en plaçant sa main sur ma cuisse doucement.
Je n'ai pas fait attention à ce geste sur le coup, mais ce geste fut le début de plusieurs autres plus intimes et plus coquins.

Avant d'aller plus loin, je vais vous décrire mon couple d'amis.
Philippe et Marthe, fin quarantaine. Philippe, un grand brun, bel homme. Marthe, un peu plus petite, mais toujours habillé sexy, parfois en pantalon...

...mais plus souvent en jupe courte...

...la plupart du temps avec des décolletés plongeants, parfois osés.
Déjà, dans l'avion, elle portait une jupe ultra courte

Avec un petit débardeur qui laissait voir une paire de seins.

Quand on a débarqué, quelqu'un nous attendait à l'aéroport. Un homme grand, bronzé comme un local de l'endroit. Mais cet homme extrêmement séduisant était le propriétaire du petit hôtel, Claude me fut présenté.
Marthe et Claude s'embrassèrent d'une façon très intime, plus que des amis.

Et les mains de Claude passèrent sur les fesses de Marthe d'une manière très suggestive, qui me surprit et qui m'excita aussi, car Claude avait une façon de caresser Marthe qui me laissait un peu abasourdie.
Quand il m'embrassa, ses lèvres étaient très près des miennes et ses mains glissèrent sur mes hanches. Une chaleur m'a envahi.
Après quelques brèves informations, nous embarquèrent tous dans un genre de jeep sans toit pour se diriger à l'hôtel.
Après environ 1 heure de voyage, on est arrivé dans un endroit magnifique. Entre les arbres, m'apparut un bâtiment tout blanc, en stuc.
Quand la voiture s'est arrêtée, une grande femme nous attendait, seins nus près de la véranda.

Jacqueline m'a été présentée, encore une fois les embrassades intimes. Marthe et Jacqueline s'embrassèrent encore plus langoureusement qu'avec Claude.

J'étais sous le choc, à regarder mon amie embrasser une femme avec autant de tendresse, me fit un drôle d'effet.
J'étais devant le fait accompli, ma meilleure amie était une lesbienne, une gouine comme on dit.
Je n'en revenais tout simplement pas. J'étais offusqué même, pourquoi Marthe m'avait caché tout cela pendant toutes ces années. Depuis combien de temps, qu'elle était aux femmes et en plus Philippe semblait tout à fait à l'aise dans tout cela.
Je n'y comprenais absolument rien et j'étais un peu affolée de me trouver dans cet environnement complètement sans savoir comment réagir.
Et je pensais à mon mari, qui avait une opinion très tranchée pour ce genre de comportement. Mettons que les personnes qui vivaient une sexualité différentes de la nôtre, ne passait pas le cap chez-lui. Jusqu'à aujourd'hui, je pensais un peu comme lui, sans réaliser ce que c'était réellement comme attitude.
Mais le baiser que mon amie Marthe et Jacqueline s'était donné, fit réagir mon corps de manière inexplicable. Une chaleur intérieure, une excitation, qu'est-ce qui se passait en moi...ma pauvre Cora, je me suis dit, tu mouille...

Tout à coup, je découvrais mon amie Marthe d'une autre manière...
Claude et Jacqueline nous firent entrés tous les trois.
Je découvris un endroit enchanteur, presque un paradis de bord de plage avec un sable blanc, des parasols plantés à quelques endroit distancés les uns des autres.
Quelques couples y étaient déjà, nus !


L'allusion de Marthe me revint, au bikini....
Quelques-uns vinrent à notre rencontre. Ils connaissaient Marthe et Philippe, chacun s'embrassait de manière de plus en plus intime.

Un homme déshabilla Marthe...je découvris mon amie, rasée...

Sa chatte lisse comme un bébé, d'ailleurs tous ceux qui étaient devant moi, étaient en majorité rasé. Marthe me regarda
-Viens Cora, déshabille-toi, on va se jeter à l'eau, elle est si bonne !
Je ne pouvais pas, ma toison qui était très fournie, je me sentais mal à l'aise.
-Marthe, je ne suis pas prête, j'aimerais, j'ai balbutié quelque chose, je ne me rappelle plus tout à fait.
Jacqueline, comme hôtesse, m'a pris doucement par le bras :
-Venez Cora, je vais vous montrer le petit loft que je vous ai préparé, vous pourrez-vous rafraichir, Je vais vous faire un tour du domaine, Venez !
La présence de Jacqueline me fit du bien, j'oubliais un peu tout ce qui venait de se dérouler devant mes yeux depuis mon arrivée.
Je découvrais un couple différent de mon départ à mon arrivée ici. Marthe et Philippe me surprenais par leur audace, leur intimité sexuelle.

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Coralie 2
Après avoir visité tous les petits lofts, le mien était attaché avec celui de Marthe et Philippe, le lien étant séparé par un simple rideau transparent ne cachant presque rien. Rideau flottant à la brise.
Jacqueline me laissant à mon loft, mais avant de partir, elle se rapprocha de moi, doucement, glissa ses lèvres près des miennes :
-Marthe m'avait précisé que tu étais sage, mais elle ne m'avait pas précisé que tu étais aussi magnifique...tu me plais et tu vas plaire à tous et toutes...à tantôt...
En m'effleurant de ses mains, ma poitrine, déjà excitée...

Je sentais mes mamelons sensibles, excités à l'extrême.
Depuis mon arrivée, je ne me reconnaissais plus, excitée...à la limite, mouillée...

Jacqueline partie, je défis ma valise et je réalisais que j'avais emporté beaucoup trop de vêtements.
Un petit coup à la porte me fit sursauter.
Marthe m'apparut, nue :

-Cora, excuse-moi de t'avoir laissé seule sans explication. Tu sais, nous avons beaucoup d'amis ici. J'aurai le temps de te les présenter. Viens, je suis venu te chercher pour la plage.
-Marthe, je suis un peu déboussolée, dis-moi, tu es, tu es....lesbienne, aux femmes...

-Oui, Cora, je suis aux femmes et aux hommes, je suis bisexuelle depuis une dizaine d'années.
-Mais, pourquoi, ne pas m'en avoir parlé ?
-Tu sais, Cora, je ne voulais pas tout briser entre nous ; je connais un peu la vision de ton mari sur ce genre d'attitude envers des gens comme nous. Cela aurait probablement brisé notre amitié.
-Marthe, tu me connais mal, notre amitié est plus forte que cela, je pense. Je t'apprécie trop comme amie.
-Je suis bien contente, Cora...oufff...j'avais peur de ta réaction. Tu sais, c'est Philippe qui m'a proposé ce voyage avec toi. Tu lui plais énormément, souvent quand on fait l'amour ensemble, ton nom autant de moi que de lui est nommé dans nos ébats. C'est pourquoi je t'ai proposé de venir avec nous pour te faire découvrir notre monde. On est des libertins depuis 10 ans.




J'écoutais Marthe me décrire tout cela, surprenant, je n'étais pas choquée par ses propos, au contraire, je me sentais tout à coup, libre de lui dire ce que je ressentais.
-Écoute Marthe, c'est vrai que moi aussi, je trouve ton Philippe, très bel homme, il n'est plus le même qu'à notre départ. Et toi, tu es différente, tu te souviens dans l'avion, tu as placé ta main sur ma cuisse. Et à ma grande surprise, je dois te dire que j'ai aimé la sensation.
-Oh Cora, je suis contente ; je dois te dire, en toutes confidences et en toute franchise...on se connait depuis près de 20 ans, depuis 10 ans, que nous sommes libertins Philippe et moi....et bien, je suis attirée par toi, tu es belle, je me sens bien avec toi, on travaille bien ensemble, je le disais justement à Philippe, il y a pas longtemps. Tu dois t'en rappeler quand on a travaillé sur le projet de fusion des écoles. On a réussi ce projet ensemble, et bien quand on a reçu la réponse des citoyens de leur accord...je dois t'avouer que je t'aurais embrassé, Cora...tu comprends...
-Oh Marthe, qu'est-ce que tu veux dire...
-Tu me plais, Cora, je ne veux pas te choquer, mais j'ai envie de te faire l'amour

De te caresser doucement, mais Philippe serait avec nous, si tu le désire...

-Oufffff, Marthe, je ne sais plus, tu me dit tout çà....
-Écoute, je te déclare tout cela, c'est vrai, c'est un peu rapide. Si on en reparlait avec Philippe un peu plus tard, si tu veux ?
-Oui, d'accord, c'est un peu gros tout çà, dans si peu de temps.
-Viens Cora, on va se baigner, la plage est tellement bonne !
-Marthe, je suis désolé, je me sens mal à l'aise, mon pubis n'est pas rasé !
-Attends, viens dans notre loft, j'ai tout ce qu'il faut pour te raser et j'ai l'habitude, c'est moi qui rase Philippe !
-Philippe est rasé !

-Oui, il l'est et il adore et tu vas avoir d'autres surprises...
-Lesquelles Marthe ?
-Philippe est bi comme moi !


-Oufffffffff....
.
-Oui, il est bi, mais cela fait plus longtemps que moi, c'est lui, le premier qui m'a amené à des rencontres en club à Québec, à la Rumeur.
-La Rumeur, qu'est-ce que c'est ?
-C'est un club privé d'échangistes, de mélangistes, de libertins comme Philippe et moi.

-C'est là qu'on a rencontré les propriétaires Jacqueline et Claude, lors d'une soirée chaude il y a deux ans, depuis, on se rencontre à l'occasion. Ils sont de Montréal, mais il passe plus de temps ici qu'en ville.
-Viens, enlève tout, je vais faire couler un bon bain, on va être plus à l'aise!
Je me suis déshabillé, un peu gênée, quand même, c'était la première fois devant une femme, une amie, en plus. Il n'y a que mon médecin et pas totalement nue et mon mari, quand même, mais là, il y avait de la tension dans l'air, je le sentais et je savais comme quelque chose qui allait changer. J'étais en train de changer moi-même, j'étais différente.
Je me suis couché dans le bain, Marthe m'a ouvert les cuisses, elle a passé sa main doucement sur ma toison abondante, cela m'a fait frissonnée...
-Je vais pour commencer en enlever une grande partie avec les ciseaux et ensuite on passera au rasage, proprement dit.
-Sois sans crainte, j'ai l'habitude, tu n'as pas peur.
-Non Marthe, j'ai confiance en toi.
J'ai commencé doucement à me détendre, sa main était douce, le ciseau faisait son œuvre, je sentais des frissons quand Marthe m'effleurait avec sa main le long de mes grandes lèvres, on se regardait, je lui souris, elle aussi...
-Je te plais, Cora...
-Tu es belle, tu es sexy, tu t'habille de façon sexy, beaucoup plus que moi. Le décolleté que tu avais dans l'avion, je voyais presque tes mamelons...

-Ah dit-donc, petite coquine, tu caches bien ton jeu.
-Écoute, il y a tellement de choses qui se passe, des sentiments, des émotions...cela va vite dans mon corps.
-Tu ressens quoi dans ton corps.
-Une excitation, je pense que je suis excité.
-Tu penses, depuis tantôt que je perçois des petites gouttelettes de mouille qui est dans tes poils pubiens...
Elle me regardait et je sentais un désir dans ses yeux.
-Bon la première étape est terminée, bon maintenant, la mousse et le rasoir...je vais faire attention, il ne faut pas bouger, compris petite coquine.
-Promis...

Cette sensation douce de rasage, que Marthe me faisait, commençait à me rendre extrêmement vulnérable, je sentais ma chatte se mouiller à vitesse grand V. Je me rappelais il y a quelques années, m'avoir tellement caressé, que j'avais mouillé ma culotte, le drap du lit, pour m'apercevoir en lisant sur le net, qu'on appelait çà une femme fontaine.

J'avais totalement paniqué, comme si je ne voulais plus que cela se reproduise et tout à coup, cela me revenait tout d'un coup.
-Bon, maintenant, je suis autour de tes grandes lèvres, faut surtout pas bouger, d'ac !
-D'ac !
Ses doigts effleuraient mes grandes lèvres, l'intérieur, autour de mon clito,

J'avais de la difficulté à me raisonner, de peur de perdre ma concentration, je ne voulais pas jouir, mais j'en avais tellement envie...j'avais envie qu'elle fourre ses doigts dans ma chatte profondément.
C'est comme si elle le sentait ce que je désirais, elle s'arrêta, remonta vers mon visage...
-Je sais, moi aussi, j'ai envie de toi.
Pour la première fois de ma vie, les lèvres d'une femme venaient toucher les miennes, une douceur à peine perceptible, sa bouche était bonne, je voulais ses lèvres encore plus...j'ai ouvert la bouche, elle s'y est engouffrée avec sa langue en premier, me léchant l'intérieur, frôlant mes dents, cherchant ma langue...que je lui ai donné rapidement....
Le baiser a duré combien de temps ; c'est le souffle coupé et avec notre salive mélangé que notre étreinte s'est terminée.
-Tu goûtes bon Cora...
-Tu goûtes bon Marthe...
-J'ai envie de toi...
-Moi aussi...
-Montre-moi comment t'aimer Marthe, comme une femme aime une autre femme...
-Oui ma chérie, je vais tout te montrer...
-Oui, apprends-moi tout !
Marthe se releva rapidement pour terminer mon rasage. Elle me fit culbuter un peu vers l'arrière, me tenant les cuisses pour lui permettre de raser autour de mon petit trou, de nettoyer dans ma raie. C'est vrai, qu'elle avait l'habitude.
Après avoir tout ramassé, elle a pris une petite crème adoucissante qu'elle a appliqué sur toute la partie de mon rasage.
-Voilà, tu es toute lisse maintenant, aime-tu ?
-Oui, c'est une belle sensation de fraicheur...
-Attends, je n'ai pas terminé, il y a ta mouille...
À peine dit, Marthe était déjà entre mes cuisses, ses lèvres, sa langue sur mes grandes lèvres, à lécher ma mouille.

Je n'avais plus à me défendre, je me suis laissé aller, totalement, en toute liberté.
Marthe me mangeait, suçait, léchait de mon clito, mes grandes lèvres, mon cul aussi, ma raie sur toute sa longueur.
Elle goûtait ma liqueur, je voulais tout simplement tout lui donner...elle est remontée vers mon visage et elle m'a de nouveau embrassé...sa langue goûtait mon sexe, j'aimais.

-Tu goûtes bon Cora....tu aimes.
-Oui, c'est vrai que sur ta langue, c'est bon.
-Veux-tu, toi aussi me goûter...
-Oui, j'aimerais, je ne sais pas comment faire.
-Laisse-toi tout simplement aller, avec ta langue et ta bouche...
-Oui, je le veux moi aussi, Marthe, je veux t'aimer aussi.
-Oh ma chérie....
On s'est déplacée sur le grand lit, Marthe se plaça sur le dos, les cuisses écartées, ses doigts ouvrant ses grandes lèvres pour faciliter mon initiation.
Je suis allé avec le bout de la langue, sa peau était lisse, quelque chose intérieurement me poussa vers son sexe, comme si j'attendais ce moment depuis si longtemps.

J'ai placé mes lèvres sur ses grandes lèvres et j'ai aspiré doucement, le goût de sa mouille. J'ai senti Marthe réagir à ma caresse, alors j'ai continué, vers son bouton que j'ai aspiré doucement entre mes lèvres. Cette fois-ci, la réaction a été soudaine...
-Ahhhhhhh, continue ma chérie, c'est bon....
Après un premier passage sur son pubis, à l'intérieur de ses grandes lèvres, je continuais mon exploration, j'en voulais plus, mon apprentissage me donnait des ailes.



Les cuisses de Marthe s'ouvrait encore plus, elle se donnait à moi totalement ; elle tourna de côté me permettant de faire un premier tour vers son petit cul, encore là, plus rien de tabous pour moi. Je la voulais à moi, lui faire l'amour comme pour la remercier de m'avoir dirigé enfin vers le plaisir insoupçonné jusqu'à maintenant.
Découvrir l'amour c'est une chose, mais découvrir le plaisir de faire l'amour, un éveil des sens total, sans limite.
Tout à coup, Marthe a frissonné et je l'ai senti vibrante sous mes caresses, sa jouissance envahit mes oreilles de par ses paroles entremêlées de gémissements...
-Ouiiiiiii...ouiiiii....encore....ahhhhhhhhh....ouiiiiii...ca.............. vienntttttttttttt.....ouiiiiiiiii...arrrête pas....encorreeeeeeee...ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhencorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrreeeeeeeeeouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiic'est bon, chériiiiiiie, chérieeeeeeeeee,ahhhhhhhhhh...ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.............puis plus rien...
Mon amante venait de jouir sous mes caresses, ma première expérience de donner du plaisir à quelqu'un par ma bouche, un plaisir réciproque de vouloir donner du plaisir à l'autre, comme si donner du plaisir à Marthe me comblait totalement....
Mon amie Marthe était maintenant mon amante...
Marthe me fit relever et elle m'embrassa fougueusement, passionnément.

Mon mari ne m'avait jamais embrassé ainsi.
On roula sur le lit, en se caressant, en s'embrassant, en se cajolant...
On s'est placé tout naturellement en 69, comme si on en avait l'habitude.

Drôle de sensation à l'intérieur. Je faisais l'amour totalement à Marthe, je me laissais aller comme jamais je m'étais permis avec mon mari.



Comme si ce devait être lui, le responsable de mon plaisir. Mais là, soudainement, je pris conscience que mon plaisir, j'en étais totalement responsable et je venais de donner beaucoup de plaisir à une autre personne, à mon amante et à mon amie Marthe !
Après quelques heures de plaisirs et d'un peu de sommeil, ce fut Philippe qui nous découvrit Marthe et moi enlacés, se caressant amoureusement.
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Coralie 3
Évidemment, cette semaine de vacances dans le sud avec Marthe et Philippe avait pris une tournure tout à fait inattendue.
Beaucoup d'événements en peu de temps; me découvrir lesbienne en présence de Marthe, aimer le plaisir de jouir sous ses caresses, aimer lui donner du plaisir, ensemble en 69, ce que j'avais jamais fait, même avec mon mari....
Mais revenons un peu en arrière au moment où Philippe nous surpris au lit Marthe et moi...
Philippe s'est avancé vers nous et se coucha derrière Marthe avec tendresse...
-Mon chéri, tu as joui....
-Oui, Claude m'a bien sucé...j'étais dû!

Et Philippe me regardant...
-Je ne te choque pas Cora...
-Non, Philippe, Marthe m'a tout raconté...
-Cora, est-ce que tu aimerais goûter à la belle queue de Philippe...
-Oui, elle est belle ta queue, mais je veux partager avec toi...
-Sois sans crainte, je veux tout partager avec toi, en commençant par mon homme...
Philippe s'est placé entre nous deux.
Marthe et moi on s'est placé entre les cuisses de Philippe pour le déguster.
Pour moi, tout à fait étrange de prendre la queue d'un autre que mon mari; de toute manière, je ne ressentais aucune culpabilité de prendre plaisir avec un autre homme.
Comme si tout cela était tout naturel, j'étais une toute autre femme, Marthe m'avait ouverte aux plaisirs lesbiens, j'étais différente...maintenant je voulais goûter à Philippe, son mari.
Il goûtait bon, il avait une belle grosse queue, épaisse, j'avais bien l'intention de me régaler...



-Elle est bonne....
-Oui, Cora, tu vas voir Philippe est un très bon amant, sa crème est délicieuse.
-Oh, je n'ai pas sucé souvent mon mari et il préférait jouir dans ma chatte.
-Tu veux dire qu'il n'a jamais joui dans ta bouche.
-Non jamais!
-Alors, t'aimerais recevoir le jus de Philippe.
-Ouiiii....j'aimerais beaucoup...
-Dis-moi mon cochon, est-ce qu'il te reste encore des réserves après la fellation de Claude.
-Cela dépend de vous mesdames, mais à cette allure, vous allez de nouveau vider mes couilles....
J'allais de surprise en surprise...
Le langage entre Marthe et Philippe m'excitait...
-Dis-moi, Marthe, vous vous exprimez toujours ainsi en faisant l'amour tous les deux.
-Oui, entre nous deux et entre nos amis, on baise, on fait l'amour. Pour Philippe, je suis sa petite salope. À l'occasion, quand il est très excité, il me traite de petite chienne et j'adore cela. Et tu verras, nos amis sont semblables. C'est le langage du sexe.
-Ah mes petites salopes, mon jus s'en vient....
-Viens, vide tes couilles mon salaud....
Philippe se tendit tant le plaisir montait et tout à coup il explosa...


Son jus épais dégoulina sur mon visage et celui de Marthe avec vigueur.

Philippe jouit une quantité phénoménale de sperme chaud et épais, Marthe et moi on s'est embrassé avec son jus glissant le long de nos lèvres et de notre langue. La bouche de Marthe étant pleine du jus de son homme, elle est venue me le partager en se plaçant au-dessus de moi...


Après, Marthe et moi, on s'est léché le visage complètement...
Ensuite, Marthe est allée embrasser son mari....
-Viens nous rejoindre, Cora....tu es notre amante maintenant...
Je me suis approché et on s'est embrassé tous les trois....

Avec encore le jus de Philippe...

Après ce trio nouvellement formé, on s'est retrouvé tous les trois sous la douche à se caresser....
-Cora, est-ce que tu aimerais te faire enculer...
-Enculer, tu veux dire me faire sodomiser.
-Oui, est-ce que ton mari visitait ton petit trou de cul...
-Marthe, il n'a jamais été dans ce coin-là, non plus.
-Tu aimerais que Philippe fourre ton petit trou...
-Marthe, il va me faire mal, il n'y a personne qui a visité mon cul.
-Alors, ce serait agréable de pouvoir t'initier, si tu le désire. Je vais te préparer, je vais sucer ton cul et je vais t'aider à prendre la queue de Philippe, si bien sûr mon cochon le désire...n'est-ce pas Philippe?
-Marthe, tu sais très bien que je désire depuis si longtemps fourrer Cora....avec ma queue bien enfoncé dans son cul...Oui Cora, j'ai envie de ton cul et de tous tes trous, je veux te fourrer partout; si Marthe est amoureuse de toi, moi je te désire depuis aussi longtemps qu'elle et je fantasme sur ton corps...
-Viens t'asseoir sur ma queue, je vais remplir ta chatte, pendant que Marthe va sucer ton petit cul pour bien le préparer.
Philippe s'est couché sur le dos, je l'ai enjambé et j'ai placé ma chatte au-dessus de sa grosse queue. Marthe a introduit son gland doucement entre mes grandes lèvres....sa queue prenait toute la place. Son pieu était énorme, beaucoup plus gros que celui de mon mari...plus épais et plus long...
Quand il fut entré complètement, il commença à coulisser doucement.
-Viens Cora, penche-toi sur moi, donne-moi ta bouche....je veux goûter à ta langue et à tes seins.
Pendant que je me penchais, Marthe se plaça derrière mes fesses. De sa langue et de ses doigts, elle débuta une pénétration de mon petit trou....
Je ne ressentis pratiquement rien, tant la pénétration était faite avec douceur...
-Tu aime chérie, mon doigt dans ton cul...
-Oui, Marthe, vas-y, j'aime beaucoup...
-Attends, ma chérie, je vais aller chercher un de mes jouets.
Je ne compris pas exactement ce qu'elle entendait par le jouet...mais je compris tout de suite à l'introduction de celui-ci dans mon cul....ce que le jouet pouvait donner comme sensation.


-Tu aime Cora.
-Oui j'aime, cela aussi c'est la première fois.
-Je vais te préparer pour que la queue de Philippe passe bien au début...
Après plusieurs intromissions du gode de Marthe dans mon cul...
-Elle est prête Philippe, relève-toi Cora....Philippe va bien fourrer ton petit cul ma chérie...
Je me suis levé.
Étant un peu à l'étroit dans la salle de bain, on est parti juste sur le côté extérieur du loft....en pleine nature....sous le chaud soleil des Tropiques.
Il y avait une chaise de plage, Philippe s'est assis, je l'ai enjambé, plaçant mon petit trou de cul au-dessus de son gland. Avec Marthe à mes côtés qui caressait ma chatte et mes grandes lèvres, je mouillais abondamment et je coulais dans ma raie ce qui permit à la grosse queue de mieux passer à l'entrée de mon petit cul.

Au début, j'eu légèrement une petite douleur, mon trou étant tellement serré; mais à mesure qu'il progressait de plus en plus dans mon trou, je me sentais bien.
-Fourre-la bien cette belle salope.
-Oui, fourre-moi, je suis ta salope.
Je me surpris moi-même à utiliser le même langage qu'eux, mais encore là, je me sentais si bien, j'avais traversé une ligne et je savais que je ne reviendrais plus à mon côté sage, de femme. Oui, un semblant de sagesse devant public....mais pour le plaisir et les découvertes, je savais que je voulais tout découvrir et Marthe et Philippe était exactement le couple idéal pour m'initier.

Philippe s'est enfoncé dans mon cul profondément....
Il était si gros, je le sentais prendre de l'ampleur tout en coulissant dans mon petit cul; quelle sensation étrange d'être remplie par un sexe, je n'aurais jamais imaginé que je vivrais une telle débauche.
Moi la respectueuse responsable en éducation en train de se faire baiser comme une chienne par le mari de ma meilleure amie, et en plus, cette dernière m'autorisant et participant à ce délire sexuel.
Marthe m'embrassait pendant que son mari me donnait de grands coups de sa belle queue dans le fond de mon cul...

Philippe me fourrait et me parlait dans son langage de plus en plus vulgaire...
-Tu es ma belle salope, Cora, tu aimes, te faire défoncer le cul...
-Oui, défonce-moi le cul....je suis ta chienne, encule-moi!
J'étais comme une bête qui ne pensait qu'à se faire prendre et à jouir par tous les moyens. De son côté, Philippe me baisait sauvagement, il prenait son plaisir à fourrer sa chienne...à vider ses grosses couilles dures de belle crème épaisse...

Petit à petit, Philippe râla de plaisirs...
-Je vais jouir en toi, Cora, çà monte...çà monte!
-Oui, Philippe, laisse-toi aller, remplis mon cul de ton jus!
Dans un dernier sursaut, Philippe déversa dans mon cul une quantité impressionnante de crème épaisse...
Cette fois-ci, Marthe se dépêcha de prendre son mari en bouche pour le nettoyer et le savourer...

Et mon initiation se termina de belle façon....

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Coralie 4
Après que mon petit cul eut été visité pour la première fois par Philippe avec sa grosse queue...
...tous les trois on a profité un peu du soleil de l'après-midi...

Après une heure environ, on a rejoint le groupe sur le bord de la terrasse.
Rendu à ce moment, il serait certes pertinent de faire les présentations de tout ce beau monde:
En plus de Jacqueline et Claude, nos hôtes, il y a trois autres couples.
Renaud et Marie, une blonde séduisante coupée au couteau comme on dit par chez-nous, avec une poitrine et des fesses à damner un saint, qui adore se faire lécher le minou...

... et qui joui à répétition.
Robert et Ginette, une brunette pulpeuse qui adore la position du 69 avec une copine...

... en se faisant prendre par toutes les queues disponibles dans tous ses trous.

Marcel et Johanne, une femme avec des formes généreuses, je dirais la plus salope de toutes les femmes présentes qui aime récolter les semences des hommes et qui partagent avec ses copines.

Tout ce beau monde est bisexuel et moi, je suis toute nouvelle dans ce groupe qui se rencontre à cette période de l'année dans cette petite auberge dont Jacqueline et Claude sont les propriétaires.
Tout le monde est nu

et on se prélasse en baisant sur le bord de la plage et déjà des trios se sont formés à notre arrivée.
Marie est assise sur la queue de Robert pendant que par l'arrière, elle se fait brouter le minou par Johanne.

Ginette de son côté, est empalée sur deux queues, celle de Renaud et de Marcel, tandis qu'elle a en bouche la grosse queue de Claude.

Notre trio rejoint Jacqueline qui sort de l'eau.

Elle m'excite par son déhanchement; je sens qu'elle aussi a une attirance vers moi, elle me l'a d'ailleurs démontré à mon arrivée, mais surtout par sa manière de me regarder.
-Cora, j'avais bien hâte de te rencontrer, Marthe m'a tellement parler de toi, de ta beauté et de ton corps, il est superbe. Je suis surprise par le galbe de tes fesses et de la fermeté de tes seins, pour une femme de plus de 50 ans.


Et en passant tout près de moi...
-Tu me plais beaucoup...
-Merci Jacqueline de tes propos, mais tu es très belle, tu es très attirante.
Jacqueline en se retournant vers Marthe.
-Je pense que tous les trois vous avez fait plus ample connaissance...
Et en me regardant...
-Je vois sur ton visage les traces de la belle crème de Philippe...

-Oh, cela se voit tant que çà!
-C'est pas grave ma chérie, viens on va aller débarbouiller tout çà...
En m'entrainant vers les vagues.
On est parti toutes les deux en se tenant la main; on est entré dans l'eau.
Jacqueline s'est rapprochée de moi un peu plus...

-Cora, je veux ta langue dans ma bouche...
Mon visage s'est rapproché du sien. Nos deux bouches se sont soudées rapidement, sa bouche est venue aspirée ma langue. Elle m'a sucé avec dextérité, comme pour m'avaler littéralement...

Notre baiser s'est prolongé pendant plusieurs secondes. En se détachant de moi...
-Viens ma chérie, je veux goûter à ta chatte!

-Moi aussi, je veux te goûter, Jacqueline!

On est sortie de l'eau; on s'est placé un peu plus loin à l'abri des rochers. On s'est assise toutes les deux et...
-Laisse-moi faire, ma chérie, ferme les yeux, je veux te découvrir...

Jacqueline a entreprit de me caresser sur l'ensemble de mon corps. De ma bouche avec ses lèvres et sa langue, de ses mains sur mes mamelons durs et très érectiles


elle a descendu tranquillement sur mon ventre.
Je gémissais et je bougeais, elle me rendait folle en me caressant ainsi, avec le pourtour de sa langue en la pressant aux endroits précis où je m'y attendais le moins...
-Ah oui, continue, c'est si bon....ouiiiiii, continue, j'aime Jac...ahhhhhh!
Au moment de prononcer son prénom, sa main a glissé entre mes cuisses.

-Tu es toute mouillée, ma chérie...
-Oui, c'est pour toi!
Jacqueline a poursuivi le léchage de mon corps, a descendu en bas de mon nombril, à l'intérieur de mes cuisses avec ses lèvres et sa langue chaude...au-dessus de mon pubis rasé tout frais.
Tout à coup, elle a pris mon clito entre ses lèvres.

-Ahhhhhhh, ahhhhhhhhhhhh,ouiiiiiiiiiii.ahhhhhhhh!
J'étais en transe tant le plaisir qu'elle me donnait depuis le début était devenu intenable.
Je ne pouvais plus tenir, j'ai placé ma main sur sa tête et j'ai ouvert les yeux...j'ai vu son regard sur moi, j'ai senti son désir...
-Cora, je désire te faire l'amour.
-Oui, oui, fais-moi l'amour.
Jacqueline s'est déplacée et elle venue se placer entre mes cuisses déjà très écartées, elle a relevé mes fesses, a introduit sa langue dans mon cul, a léché ma raie tout le long jusqu'à mon clito tout dur et a poursuivi en faisant des allers retour.
J'avais complètement perdu la notion du temps ainsi que mes amis Marthe et Philippe. En tournant la tête, j'aperçu Marthe du coin de l'œil qui venait vers nous.
-Marthe, ma chérie, viens m'embrasser...
Marthe s'est penché et a pris ma bouche avec avidité. Sa langue me fouillait l'intérieur, tandis que plus bas, Jacqueline me broutait littéralement la chatte, me suçait le clito et avec un doigt pénétrait mon cul.

Tout à coup, j'entendis tout près des gémissements, des cris de plaisirs et de jouissances. Certains hommes se vidaient

tandis que d'autres se faisaient remplir de crème chaude.



J'imaginais Ginette avec ses deux mâles en rut se faisant défoncer.

Quelques instants plus tard, on s'est retrouvé à plusieurs, Marie, Ginette et Johanne furent les premières à nous rejoindre.


Tout à coup, tout bascula, on se retrouva les six femmes à se manger...
Jacqueline est restée entre mes cuisses avec sa langue et ses doigts dans mon cul, Marie se plaça entre les cuisses de Jacqueline. Ginette resta sa bouche dans le minou de Marie; les cuisses de Johanne vinrent se placer près de ma bouche.

Cette dernière continua entre les cuisses de Marthe et mon amie enfouit son visage dans les cuisses chaudes et gluantes de Ginette qui venait de recevoir les crèmes épaisses de Renaud et de Marcel.
Je vivais ma première partouze lesbienne avec des femmes d'expérience. Nous avons joui toutes les six à différents moments, en crescendo. Pendant ce temps, les hommes baisaient ensemble tout près de nous.




Plus tard, dans la soirée, Philippe me confirma que le sperme avait coulé en abondance. Il reçut sa très grande part de jus de son amant Claude

mais aussi des autres


Certains se placèrent en position de 69 pour jouir entre hommes

nous laissant les femmes à notre plaisir.
Ma première journée qu'on peut qualifier de libertine se termina dans le lit de Marthe et de Philippe pour la nuit.


De cette journée, j'en garde un souvenir impérissable. Je suis passé par toute une gamme d'expériences en très peu de temps.
Je me suis posé longtemps la question, pourquoi étant hétéro, je suis devenue rapidement lesbienne, gouine et plus tard salope dans la même journée? Je n'ai pas de réponse toute faite. Est-ce que j'avais déjà des tendances, est-ce que je me suis caché de cette attirance pour les femmes une grande partie de ma vie, est-ce que, est-ce que?
Je ne sais pas et j'ai fini par arrêter de me poser toutes ces questions sans réponse précises. J'en suis venue à la conclusion que ce qui était le plus important, c'est comment je me sentais et comment je vivais tout çà par l'intérieur et je me suis aperçu que j'étais bien et c'était cela qui comptait pour moi...
Durant cette semaine dans le sud, ma bouche, ma chatte et mon cul ont été visité par des bouches, des doigts très coquins et de belles queues.



Je dois préciser que c'est celle de Philippe que j'affectionne le plus. Et Claude, son amant m'a confirmé que j'avais du goût car lui aussi préfère la queue de Philippe parmi les hommes présents. Ce fut pour moi ma première expérience de baiser avec deux hommes bisexuels, une expérience que je renouvelle quand les deux couples m'invitent dans leur intimité.


De mon côté, Philippe a été le premier homme à visiter mon cul.

Durant cette trop courte semaine, tous les hommes présents sont venir remplir tous mes trous...ah oui, vous voyez, moi aussi, je suis devenu vulgaire...Ma bouche, ma chatte et mon petit trou de cul sont devenus des trous à remplir...On m'a traité de salope et de chienne et à ma très grande surprise, je les ai encouragé à m'appeler ainsi!
Est-ce à dire que cette forme de sexualité me convenait totalement, peut-être à ce moment-là, dans un contexte de vacance, de liberté totale qu'on m'offrait et que peut-être dans le fond de moi-même, j'étais prête à recevoir. Mais j'ai découvert quelque temps après ce que je recherchais le plus, c'était une liberté sexuelle que je pouvais me donner, dont je me faisais cadeau à moi-même.
Si durant cette semaine dans le sud, nous avons partouzé à deux autres reprises, mes préférences, mes choix personnels, dirais-je, penche vers une relation d'amante avec mon couple d'amis Marthe et Philippe.
Notre trio a évolué depuis ce temps. Pour Philippe, c'est tout autrement; il avait Claude comme amant depuis très longtemps. Ma venue dans leur groupe de libertins

m'a permis d'apprivoiser encore plus cette liberté sexuelle.

Quand ils se rencontrent entre hommes, c'est Jacqueline qui vient nous rejoindre selon sa disponibilité.


Sinon, on vit dans le quotidien une relation secrète.
Les weekends, je les passe avec mon mari, parfois mes trois gars avec leur progéniture.
Mon mari me baise à l'occasion, toujours de la même façon ou presque. La plupart du temps, je joui en pensant à la belle queue de Philippe et à la manière qu'il me prend dans tous mes trous...et à la langue de Marthe. Je joui par personne indirecte, mais je me sens bien avec cette manière de vivre.
Il y a deux ans, mon mari a fermé sa compagnie, préférant s'exiler à l'extérieur pour travailler sur des contrats payants sans responsabilité, sans tracas. Il part le lundi matin de la maison et il revient le vendredi tard le soir où durant la nuit. Il fait plus d'argent qu'avant et je le sens plus heureux.
Le lundi matin, quand j'entre au travail, j'ai la visite coquine de Marthe à mon bureau. Évidemment, toutes les deux, on travaille dans le même domaine ce qui fait que sa présence est tout à fait normale. Parfois, un échange de bisous, selon notre désir du moment, une caresse, un doigt dans la chatte se promettant un plus long échange durant la pause repas du midi.

Oui, le lundi midi, comme tous les midis depuis trois ans, on baise toutes les deux. On se permet 90 minutes pour le plaisir;

si Philippe est à la maison, il vient apporter sa contribution en dessert crémeux.

L'aventure dans le sud nous a rapprochés encore plus Marthe et moi; toutes les possibilités de baiser avec elles se sont multipliées. Une sortie de magasinage entre copines devient alors prétexte à une possibilité de caresses, en salle d'habillage...parfois avec une conseillère avec laquelle on surprend l'intérêt de se joindre à nous deux.

Nous sommes toutes les deux des adeptes d'activités sportives en nature; en vélo, un petit parcours en campagne se termine la plupart du temps dans un pré à baiser.

L'an dernier, on a loué un petit chalet en montagne pour de la raquette en hiver. Nous avons baisé toute la fin de semaine.




Parfois sur semaine, le soir tard, je décide de partir à pied et de me rendre discrètement chez Marthe et Philippe; leur porte et leur lit est toujours ouvert pour moi.



De l'amour, de la baise et du bon sexe, voilà ce qui a changé ma vie !