L'initiation anale de Melissa...

L'initiation anale de Melissa... Chapitre 1 (publié par Casanova le 18-02-2014)
L'initiation anale de Melissa... Chapitre 2 (publié par Casanova le 19-02-2014)
L'initiation anale de Melissa... Chapitre 3 (publié par Casanova le 19-02-2014)
L'initiation anale de Melissa... Chapitre 4 (publié par Casanova le 24-02-2014)


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L'initiation anale de Melissa... par Casanova
Chapitre 1

Nous restons ainsi un long moment dans cette charmante position 69, à profiter et à jouir l'un de l'autre. Moi, te caressant les fesses de mes mains et en te léchant tout le pourtour de l'anus, et toi me dévorant goulûment le pénis de ta grande bouche gourmande. Mais à la façon dont tu te mets à gémir maintenant, je sens que tu attends autre chose de moi. A regret, je quitte donc ton anus pour lécher ta vulve chaude à grands coups de langue. Sans t'arrêter de sucer mon pénis, tu pousses des gémissements de plaisir puis tu t'installes plus confortablement sur moi, de manière à m'offrir tout ton « abricot» bien mûr, en cambrant bien les reins cette fois, pour qu'il soit bien à portée de ma bouche. Comme je fais semblant de ne pas comprendre ce que tu veux, tu fais quelque chose de très osé. Tu glisses ta main vers ta vulve et de tes doigts tu écartes délicatement tes grandes lèvres charnues pour me faire comprendre ce que tu veux exactement à cet instant précis. Je constate avec plaisir que tes petites lèvres roses sont humides de désir. Je n'ai pas l'habitude de me faire prier ou refuser une invitation pareille, surtout quand elle est faite d'une manière si osée et si inattendue de la part d'une jeune fille comme toi. Je glisse donc ma langue tendue entre tes lèvres humides pour te lécher longuement toute la fente centrale, depuis le pubis jusqu'à l'anus. Tu sembles tellement bien jouir de cette caresse tant désirée que je la prolonge encore un bon moment ; puis de mes doigts, j'écarte délicatement tes lèvres pour me mettre à fouiller de ma langue entre tes tendres replis de chair à la recherche de ton « bouton d'amour ». Je n'ai pas besoin de le chercher longtemps pour le trouver, là ou tes petites lèvres se rejoignent, tout en haut, pointant vers moi sous son capuchon, son petit museau rose gonflé de mille désirs. De mes deux doigts, j'écarte délicatement tes petites lèvres pour bien dégager le capuchon et dévoiler sa pointe rose gonflé de sang. Je ne peux résister à l'envie de le goûter. Dès que je pose délicatement ma langue dessus, tu te mets à gémir de plaisir, en mordant brusquement mon pénis que tu n'as pas arrêté de sucer pendant tout ce temps. Je promène donc le bout de ma langue dans un mouvement circulaire sur toute cette zone sensible tout autour de la pointe en évitant cette fois de la toucher directement. Au bout d'un moment, je constate avec plaisir que ton clitoris a presque doublé de volume. Pour tester le degré de ton excitation, je tente une caresse plus hardie. Je presse donc fermement ton clitoris avec la pointe de ma langue pendant quelques secondes. Comme tu es maintenant très excitée, cette pression devient vite tellement insupportable pour toi, que tu arrêttes de me sucer pour mordre à nouveau mon pénis, mais cette fois pour me signifier d'arrêter cette nouvelle caresse. En effet, comme mon pénis, ton clitoris lorsque tu es bien excitée, se gonfle en se gorgeant de sang et devient très sensible au moindre toucher. Je le relâche donc pour éviter de déclencher ton orgasme. Tout en gardant mon pénis dans ta bouche, tu reprends ton souffle pour faire baisser un peu ton excitation. Au bout de quelques minutes, je décide de reprendre ton clitoris carrément entres mes lèvres cette fois, en collant bien ma bouche contre « ton bijou ». Car, pour être vraiment honnête avec toi, c'est un précieux bijou ce que tu as là entre tes cuisses, et dont, j'en suis sûr, tu ne connais pas encore toute la valeur, et toutes les délicieuses sensations que tu peux en tirer, aussi bien pour toi que pour moi. En prenant donc ton clitoris entre mes lèvres, j'écarte davantage tes lèvres avec mes doigts pour bien le dégager de sous son capuchon et apprécier jusqu'à quel point il peut s'étirer lorsque tu es bien excitée, comme maintenant précisément. La première fois, sans succès, car craignant de te faire mal, je n'ose pas trop le pincer, il me glisse donc des lèvres. Prise de panique à l'idée que je me décourage et m'arrêtte, tu ondules des hanches pour écarter un peu plus tes cuisses et coller davantage ta vulve contre ma bouche, comme pour me dire que je peux encore essayer. Ce geste m'enchante tellement que je ne tarde pas plus longtemps pour tenter de le reprendre de nouveau, mais cette fois, en écartant un peu plus tes petites lèvres avec ma bouche et en m'aidant de mes doigts aussi, pour bien le décalotter. Je le reprends carrément avec mes dents cette fois, mais avec encore plus de délicatesse, pour ne pas te faire mal. Ca y est ! Au bout de trois tentatives infructueuses, j'arrive à le pincer maintenant bien fermement entre mes dents, et, tu peux être sûre, que je ne vais pas le lâcher de sitôt ! Toi de ton côté tu continues toujours à sucer mon pénis qui remplit maintenant toute ta bouche. Par moments, tu le frottes tendrement contre l'intérieur de chacune de tes joues, puis tu essaies de l'avaler complètement en l'aspirant de toute la force de tes poumons. Le gland bute parfois contre le fond de ta gorge en t'arrachant des grognements de plaisir. Parfois, j'ai peur que tu ne t'étouffes avec, mais en bonne suceuse, tu as rapidement appris comment respirer méthodiquement par le nez pour pouvoir continuer à le sucer aussi longtemps que tu le désires. Puis tu fais avec lui exactement comme ce que tu as l'habitude de faire avec un gros esquimau un jour d'été ! A suivre...

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L'initiation anale de Melissa

Chapitre 2

C'est-à-dire, tu te mets à le lécher à grands coups de langue en montant de la racine jusqu'à la pointe, et en t'attardant parfois sur le gland, que tu aspires maintenant fortement dans ta bouche en serrant bien tes lèvres pour augmenter leur délicieuse friction. En faisant cela, tu dois sûrement savoir que c'est cette douce friction de tes lèvres pulpeuses sur la partie la plus sensible de mon pénis qui me procurera autant de plaisir. Donc une fois que mon gland est à l'intérieur de ta bouche, et tout en serrant légèrement tes lèvres pour ne pas le relâcher, tu commences par l'effleurer de ta langue, lentement d'abord, puis une fois le mouvement bien maitrisé, tu accélères progressivement le rythme. Au bout de quelques minutes, mon gland est intégralement léché, depuis le frein, cette couronne de chair très sensible, jusqu'au méat, cette délicate ouverture que tu titilles maintenant du bout de ta langue. Bientôt, le frottement de ta langue douce, devient tellement insupportable que, si tu n'arrêtes pas ça, tout de suite, je ne réponds plus de rien ! Mais tu prends tellement de plaisir à ce que tu fais que je n'ose pas t'arrêter. Je résiste donc comme je peux pour ne pas « lâcher » tout mon plaisir dans ta bouche, en essayant de penser à autre chose qu'à ce que tu me fais en ce moment. Mais je dois t'avouer que c'est très difficile, car maintenant, en voyant que je résiste bien, malgré tes efforts, tu ouvres bien ta bouche en écartant bien tes mâchoires pour engloutir mon pénis tout entier. Arrivée à sa base, tu serres de nouveau tes lèvres pour remonter encore jusqu'au gland, commençant ainsi, un agréable va-et-vient de ta bouche sur toute sa longueur, depuis le gland jusqu'aux testicules, en serrant toujours fermement tes lèvres, pour augmenter les sensations de plaisir. Mais jusqu'ou veux-tu m'emmener ainsi ? Cette fois, si tu n'arrêtes pas tout de suite ce supplice, bientôt tu auras toute ta bouche « inondée » de mon sperme, à moins que, ce ne soit ce que tu désires précisément. C'est ainsi que, dès que tu me sens sur le point « d'exploser » dans ta bouche, tu arrêttes cette délicieuse friction, mais sans relâcher mon pénis, et en le serrant fortement de tes lèvres à sa base, pour bloquer la montée de mon plaisir et m'empêcher ainsi de jouir. Car, en bonne suceuse, tu dois certainement savoir que si je cède à mon orgasme maintenant et perd mon érection, tu ne pourras plus le « déguster » aussi goulûment que maintenant ; et qu'il faudra que je me repose un petit moment, pour retrouver une aussi bonne érection. Tu arrives à me retenir de cette manière cinq fois au bord de l'orgasme, mais bientôt tu sens que je ne peux pas résister comme ça plus longtemps. Tu arrêtes donc tes suçons et relâches mon pénis pour t'occuper de mes testicules. Tu les fais rouler longuement sous tes doigts pour les gober ensuite une par une dans ta bouche, et en les léchant de temps à autre à grands coups de langue. Parfois tu tentes même de les prendre toutes les deux dans ta grande bouche et ma foi, tu y arrives facilement. Ça me permet de souffler un peu car tout ce mouvement de va et vient de ta bouche m'a enflammé le sexe jusqu'à le rendre brûlant et douloureux. Agréable sensation cependant, que je n'ai jamais connu avant, car personne ne m'a encore fait une fellation pareille avant toi. Tu arrives à deviner au bon moment, exactement ce que j'aime qu'on croirait que tu as fait ça toute ta vie, malgré que tu sois encore jeune. Pendant ce temps, moi de mon coté, et pour te maintenir dans cet état d'extrême excitation, je continue à te mordiller le clitoris en insistant surtout sur la pointe qui devient de plus en plus gonflée et dure sous ma langue. Et comme tu m'offres maintenant, toute ta vulve charnue et largement ouverte, j'ose faire ce que personne ne t'a encore fait avant moi, et que tu désires tellement au fond de toi. Je glisse donc le bout de ma langue entre tes petites lèvres pour lécher quelques gouttes de ton « jus » qui coulent de l'orifice étroit de ton vagin. Ce petit geste très osé de ma part te rend folle de désir, et pour me montrer que tu l'apprécies beaucoup, tu te mets à onduler des hanches d'avant en arrière, en frottant ta vulve toute entière contre ma bouche pour m'imprégner de ton agréable humidité. Tu gémis tellement de plaisir, en faisant ce geste très osé, que je te laisse faire en respirant méthodiquement par le nez pour te laisser prolonger et profiter au maximum de cette nouvelle caresse. A suivre...^ ---------oOo---------

L'initiation anale de Melissa

Chapitre 3

Maintenant, tu commences à mouiller si abondamment, que tu inondes toute ma bouche de ton délicieux « jus d'amour ». Je me mets à lécher tes lèvres à grands coups de langue pour que pas une goutte de ton plaisir ne soit perdu. Comme je te sens maintenant encore plus folle de désir, je pousse tout doucement le bout de ma langue dans l'orifice de ton vagin, si étroit qu'on le croirait celui d'une jeune vierge. Comme tu ne te dérobes pas à cette nouvelle caresse, et en m'aidant de mes doigts, j'écarte tes petites lèvres pour bien dégager le passage. Mes lèvres sont maintenant collées à ton orifice pour le maintenir largement ouvert à ma langue. Tu acceuilles ma langue tendue en giclant un long filet de ta délicieuse cyprine dans ma bouche, signe que tu apprécies follement ce que je suis en train de te faire. Je l'avale goulûment et j'en profite au passage pour te lécher tout le pourtour de ton orifice vaginal ainsi lubrifié. Tu réagis à cette caresse imprévue en poussant un long gémissement de plaisir et en collant davantage ta chatte contre ma bouche. Encouragé par ton geste, je démarre avec ma langue tendue au maximum un doux mouvement de va-et-vient, très lentement d'abord, puis de plus en plus vite, et en la poussant toujours, aussi loin que possible à l'intérieur de ton étroit vagin. Le mouvement de ma langue est grandement facilité par ta cyprine qui coule maintenant abondamment de ton vagin, formant avec ma salive un excellent lubrifiant naturel. Lorsque j'accélère le rythme tu cales bien tes cuisses écartées contre mon corps et te mets à gémir bruyamment sur un autre ton. Puis tu fais quelque chose qui me surprend agréablement. Tu plaques tes mains contre tes fesses pour les écarter au maximum. Ainsi écartées, et à ma grande joie, l'orifice de ton anus s'entrouvre sous mes yeux pour laisser entrevoir que tu es rouge et brûlante de désir à l'intérieur de ton rectum également. J'arrête un instant le mouvement bienfaisant de ma langue dans ton vagin pour enduire de ma salive toute l'auréole rose de ton anus. Dès que tu ressens le contact humide de ma langue contre ton orifice, tu te mets à serrer et à desserrer les fesses de telle façon que ton anus se met à s'ouvrir et à se refermer sur un rythme de plus en plus rapide, comme pour m'inviter à quelque chose de plus osé encore. Cette fois-ci aussi je ne refuse pas une invitation pareille, je commence donc à introduire le bout de mon index droit enduit de salive dans ton anus entrouvert. Pendant que je le pousse doucement à l'intérieur, tu m'aides en agrippant tes fesses de tes mains pour les écarter au maximum. Ainsi écartelée, mon doigt pénètre rapidement pour arriver jusqu'au fond de ton rectum. Très vite, je me mets à le tourner et à le retourner, à droite puis à gauche, puis encore à droite, comme pour essayer d'agrandir le passage étroit. Cela t'excite beaucoup car tu dois sûrement te douter que si je fais ça, c'est pour te préparer à ta première et toute proche sodomie avec moi et qui va te procurer le plaisir anal tant attendu. Je commence donc, là également un petit mouvement de va-et-vient, lent d'abord, puis unr fois que tu t'es bien habituée à mon doigt je lui donne le même rythme rapide qu'à celui de ma langue qui a vite repris sa place dans ton vagin. Tes gémissements se font de plus en plus forts. Et, à mon grand plaisir tu reprends mon pénis dans ta bouche, toujours aussi avide de le sucer, dans un langoureux va-et-vient, lent et profond jusqu'à la gorge. Cette fois-ci je me mets moi aussi à gémir de plaisir. Nous passons ainsi plusieurs minutes à savourer cette triple pénétration, que personne avant moi, j'en suis sûr, ne t'a encore faite. Au bout d'un moment, je sens que ton anus, maintenant bien dilaté peut recevoir un autre doigt. J'introduis donc mon deuxième index dans ton orifice anal. Mais cette fois-çi, je décide de me servir de mes deux doigts comme d'un écarteur de gynécologue pour écarter fortement les parois latérales de ton anus. Occupée comme tu es, à sucer goulûment mon pénis, tu te laisses faire sans broncher. Cela m'encourage à forcer graduellement sur cet écartement pour dilater davantage tes parois. Mais pendant tout ce temps, et pour détourner ton attention d'une éventuelle douleur, je n'ai pas cessé un seul instant le mouvement bienfaisant de ma langue dans ton vagin. Je décide donc d'arrêter le mouvement bienfaisant de mes doigts pour t'écarter de moi et terminer de te préparer à notre toute première sodomie. A suivre...^ ---------oOo---------

L'initiation anale de Melissa

Chapitre 4

Je prends le tube de gel lubrifiant que j'ai préparé à cet effet et posé juste à coté, pour t'en mettre une grosse noix que j'étale sur tout le pourtour de ton anus, puis une autre grosse noix que je pousse soigneusement à l'intérieur. J'en mets aussi généreusement une bonne quantité sur toute la longueur de mon pénis. Ceci, pour que ta première pénétration anale se fasse sans douleur et ne soit que source de plaisir. Devinant mes pensées, et ce que je t'invite à faire, tu ne protestes pas, car tu es dans un tel état d'excitation que tu meures d'envie d'essayer cette nouvelle position. Moi, je reste toujours allongé sur le dos, tandis que toi, tu te mets debout sur le lit, les pieds de chaque coté de mon corps en me faisant face. Puis, en me souriant, tu plies les genoux, et commences à descendre lentement ta croupe vers mon pénis en érection, en écartant bien tes fesses de tes mains. Au contact de mon pénis l'orifice de ton anus se met à « frétiller » et à se contracter, signe que tu es très tentée par cette première pénétration anale. Tu t'arrêtes un moment pour bien sentir cet agréable contact, puis, tu te mets à pousser de tes fesses contre mon pénis pour commencer la lente pénétration qui va te mener bientôt au sommet du plaisir. Pour éviter qu'il ne s'échappe ou plie sous ton poids, je le tiens fermement avec ma main en le maintenant bien droit contre ton orifice anal. Le plus dur est le gland à faire entrer, car toutes les caresses que tu lui as fait subir avec ta bouche depuis tout à l'heure, en long et en large, l'ont rendu plus gros que d'habitude. Bien calée sur tes pieds, tu te mets à pousser, mais il n'arrive toujours pas à entrer dans ton anus, malgré les efforts que tu fais pour ouvrir ton orifice, tu marques une pause, puis, prenant ton courage à deux mains et en positionnant bien l'orifice entrouvert de ton anus contre mon gland, tu pousses tes fesses bien écartées d'un seul coup puissant. Ca y est, il est maintenant entré sans que tu ne ressentes la douleur que tu as crains, car le mouvement bienfaisant de mes doigts, depuis tout à l'heure, a bien dilaté ton orifice anal, si bien que ce sont des gémissements, non pas de douleur, mais de plaisir que tu pousses maintenant. Cela t'encourage à commencer un petit va-et-vient juste avec le bout de mon pénis, comme pour avoir un petit avant goût de ce qui t'attend une fois la pénétration terminée. Pour t'aider à faire ça je tiens mon pénis de ma main pour le maintenir bien droit et l'empêcher de bouger. Pendant ce temps, toi, les mains bien appuyées sur tes cuisses, tu montes et descends ta croupe de haut en bas dans un mouvement très régulier. Le gland de mon pénis se met ainsi à entrer et à sortir de ton anus avec un petit bruit de suçon très excitant à entendre. Tu fermes les yeux pour te concentrer sur ce que tu fais, et à mon grand plaisir, tu prolonges cet agréable mouvement de va-et-vient pendant quelques longues minutes que je voudrais interminables. Maintenant que l'orifice de ton anus est bien dilaté, tu te mets à pousser tes fesses davantage pour terminer l'agréable pénétration. A chaque poussée tu progresses un peu plus sur mon membre dressé. Pour ne pas gêner la manœuvre, j'enlève ma main qui tenait mon pénis. Arrivée à mi chemin, tu marques une pause non pas à cause de la douleur que tu ne ressens plus, mais pour que ton conduit anal s'habitue à la présence si bienfaisante de mon sexe. Puis au bout d'un moment, tu ouvres les yeux, en me souriant comme pour me demander la permission de continuer cette interminable et très agréable pénétration, mais tu n'attends pas ma permission pour te laisser tomber sur moi d'un seul coup puissant, en poussant un long cri de plaisir. Mon pénis finit par devenir complètement invisible en disparaissant entièrement dans ton anus, comme aspiré par une force mystérieuse. Là, tu restes immobile en baissant ta tête pour admirer le résultat, car, au début de la pénétration, j'ai senti que tu avais une toute petite peur, que mon sexe de 19 cm ne puisse entrer entièrement à l'intérieur de toi. Mais il faut dire que le lubrifiant que j'ai utilisé a beaucoup facilité cette manœuvre. Comme tu sembles très satisfaite et contente du résultat, tu te remets à me sourire en restant immobile encore un long moment sans bouger, de manière à bien t'habituer à cette agréable présence au fond de toi. Puis, tu te positionnes en calant bien tes pieds de chaque coté de mon corps, de manière à pouvoir onduler de ton bassin dans un mouvement circulaire autour de mon pénis maintenant complètement invisible, à droite puis à gauche, puis encore à droite. A suivre...