Premiers émois (publié par Maryaline le 15-06-2014)
Premiers émois (2) (publié par Maryaline le 16-06-2014)
Enfin mon dépucelage avec Alain (publié par Maryaline le 16-06-2014)
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Balade en bus (2001)
[http://revebebe.free.fr/histoires/rvb016/reve01627.html]
Auteur : Flo
Premiers émois
J'ai envie de vous raconter mes premiers émois avec un mec. Je change juste quelques trucs car je pourrais être démasquée.
Il y a 28 ans (pour respecter les règles de publication car j'en ai aujourd'hui j'en ai 46 trouvez l'erreur) J'avais déjà eu des découvertes sexuelles avec des copines. Entre fille nous fantasmions sur les mecs. Et souvent on se vantait de choses que l'on n'avait jamais faites, une futilité comme souvent. J'avis flashé sur un copain de lycée et j'espérais qu'il ferait les le premier pas, mais il a préféré se faire une de mes copines (tous des Salops les mecs !). J'étais donc carrément à l'affût d'une occasion même éphémère l'histoire de me faire dépuceler et d'avoir ma première expérience avec un « mâle » suivent sans la moindre émotion sentimentale.
Je comptais bien mettre à profit une exhibition de mon groupe de majorettes, sur la côte pour essayer quelque chose. Comme il y a des majorettes il y a bien sûr des musiciens !
Le déplacement était long, plus de 8 heures de bus et le mélange filles/garçons courant dans les bus. L'occasion était trop belle.
Depuis longtemps je connaissais un saxophoniste, franchement beau garçon et son instrument me fascinait. C'était un dragueur patenté, certaines majorettes avaient déjà étaient déniaisées par ses soins. Mais il avait presque 10 ans de plus que moi. Mais ce déplacement était peut-être l'occasion d'essayer quelque chose. Je dois avouer qu'on me classait plutôt dans les filles mignonnes, 1m70, une poitrine déjà très opulente, plutôt mince avec des jambes longues et finement musclées.
A l'allée j'étais à 5 places devant lui et il jouait aux cartes avec des copains. Rien n'était perdu, c'est plutôt le retour qui est propice aux tentatives. Le festival se déroule bien, le repas du soir aussi. En fin de repas je m'arrange pour passer à côté de lui et l'aborde avec un sujet bidon. C'était l'occasion de monter avec lui dans le bus et de ce fait de m'asseoir à ses côtés. À mon avis il n'était pas dupe de la situation. Nous avions choisi la banquette du fond qui avait été désertée par une équipe de 3 jeunes. Nous avons bavardé pendant un petit moment, la nuit était tombée et l'obscurité s'était installée dans le bus.
Je commençais à trouver le temps long moi aussi assise à côté de lui sans rien faire. J'étais déçu par son manque. Je profitais de l'occasion pour poser ma tête sur son épaule. Je sentis son bras faire le tour et me prendre par l'épaule et me déposa un baisé langoureux tout en remontant doucement sa main le long de mes cuisses nues et remonter sous ma jupette. J'entrouvris ma bouche comme signe de consentement. Nos langues se mélangèrent de longs nstants. Sa main effleurait ma petite culotte. La situation fit monter très vite mon excitation. Son autre main descendit le long de mon cou pour s'arrêter sur un de mes seins. Il le prit fermement à pleine main, puis titilla le téton à travers mon chemisier. Je sentais ses doigts agiles faire des merveilles et le plaisir commençait à naître en moi. Mon excitation monta d'un cran. Le tissu fin, associé au fait que je ne portais pas de soutien-gorge rendait la caresse vraiment délicieuse. J'entendais son souffle s'accélérer.
Tout en continuant de me masser doucement la vulve à travers ma culotte qui devait commencer à se tremper, il enleva facilement les boutons de mon chemisier. Sa bouche quitta alors la mienne à mon grand regret pour descendre dans mon coup puis d'un geste expert il entrouvrit mon chemisier pour dégager un de mes seins. Je regardais discrètement pour voir si tout le monde dormait encore. Ca semblait être le cas.
Les bouts de mes seins devenaient hyper sensibles et sa langue experte sur mon sein dénudé accentua encore le phénomène. Il s'y prenait de façon admirable et je sentais mon corps s'enflammer. Mon sexe mouillait sérieux et on ne faisait pourtant que commencer. J'allais enfin connaître le « mâle » et en plus un homme pas un gamin de mon âge. Je ne savais pas dire si c'était mon envie de devenir femme, son expérience évidente ou la peur d'être vue dans le bus mais mon excitation était déjà à son paroxysme et je ne pouvais m'empêcher de soupirer à chaque coup de langue savamment prodigués. Sa main entre mes cuisses s'activait plus nerveusement. Le début de nos ébats avait déjà notablement remonté ma jupe et je devais être dans une posture indécente les cuisses écartées ouverte à la caresse. Ses mains frôlaient ma peau et provoquaient en moi des frissons de bonheur. J'avais besoin de sa bouche, ce qu'il fit aussitôt. Sa main se plaqua sur mon sexe en feu. De son index il dessinait mon sillon à travers la soie fine. Je sentais son doigt à l'entrée de mes grandes lèvres. Il continua à me caresser à travers la culotte un petit moment. Ma pauvre culotte devait être dans un état. Je ruisselais de plaisir. Nous mélangions nos langues fougueusement et je sentais que ses caresses et ses baisers me conduiraient bien vite à mon premier orgasme avec un homme.
Soudain sa main arrêta de malmener ma culotte. Il prit ma main dans la sienne et la guida jusqu'à sa braguette. Sa main était pouasseuse et témoignait, s'il en était besoin, de mon excitation. J'entrepris fébrillement et pour faire croire que j'étais expérimentée de dégrafer son pantalon mais sans résultat (pas doué la minette hein ! Je me suis ratrappée depuis. lol) Il faut dire que c'était la première fois que j'essayais cette manipulation. Devant mon manque d'expérience, il dégrafa lui-même son pantalon. Il baissa légèrement son slip pour laisser sortir une barre de chair d'une taille qu'il m'a semblé monstrueuse. J'avais pour la première foi une vraie queue devant les yeux. Il prit ma main qu'il déposa sur son sexe. Je la pris délicatement entre mes doigts et entrepris de le décalotter doucement. Les lueurs des phares des voitures que l'on croisait laissaient entrevoir un gland luisant.
J'entrepris de le masturber, ce que je n'avais jamais fait bien évidemment jusqu'à ce jour. Il semblait apprécier, enfin je crois. Je sentis sa main prendre ma nuque et attirer mon visage vers sa verge. Je compris bien vite ce qu'il voulait, j'avais vu çà dans une revue d'adulte et je trouvais çà plutôt dégoutant de se mettre un gros truc comme çà dans sa bouche. L'excitation aidant je trouvais ça, plus si sale que ça, voire même excitant de voir si j'étais à la hauteur du challenge. Je ne comptais pas rester devant cette queue comme une oie blanche. Je finissais l'approche et déposais mes lèvres sur le gland. Il y avait une légère odeur de fauve. Je décidais de le sucer un peu puis de le lécher. Il poussat alors sur ma tête pour l'introduire dans ma bouche. Je me retrouvais pour la première foi avec un gland complet en bouche et je réalisais des va-et-vient en aspirant et faisant glisser le gland sur ma langue. Sa main imprimait elle-même le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de son sexe dans ma bouche. Il allait maintenant profond et avait tendance à buter sur mon palet. Tout à coup je sentis un raidissement de ses cuisses. J'eu un instant de panique à l'idée de sentir du sperme dans ma bouche et me redressais. C'est au moment de la sortie du sexe de ma bouche qu'une grosse giclée de sperme aspergea mon visage. Sa main me pris de nouveau fermement la nuque et me réintroduisit presque de force le sexe dans la bouche pour redémarrer les mouvements. Ils étaient plus vifs et sa bitte allait encore plus profond. Je sentais ses spasmes mais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler les giclées de sperme. J'ai failli en vomir. Mais ne voulais pas passer pour une jeune pétasse.
Il relâcha ensuite l'étreinte de ma nuque, ce qui annonçait la fin des ébats. Je me redressais, assez fière de mon résultat malgré le sperme qui ruisselait de mon visage. Je jetais de nouveau un œil dans le car, tout semblait calme. Tout ceci n'avait fait qu'entretenir mon excitation, ce qui n'échappa pas à mon partenaire. Il me demanda de m'adosser à cheval entre le fauteuil et la fenêtre de façon à bien être cachée. Je m'exécutais sans attendre. Il prit mes cuisses qu'il posa sur les siennes. Je sentais le sperme continuer sa descente entre mes seins sous l'effet de mes mouvements. Il Glissa ses mains entre mes cuisses de façon à les écarter et avoir le champ libre. Je coopérais bien évidemment à la réussite de l'opération. Il baissa ma culotte à mie cuisses. Il glissa son index à l'intérieur de ma fente pour y trouver mon petit bouton. Son doigt s'introduisait légèrement dans mes petites lèvres et ressortait titiller mon clitoris. Je ne me maîtrisais presque plus. Je gémissais de plaisir, totalement livrée à ses caresses. Il devint plus entreprenant et introduisit deux doigts dans ma fente ruisselante. Il entreprit un va-et-vient savoureux et j'entendais un bruit de sucions à chaque aller-retour. Il se mit à accélérer tout en profitant de sa main libre pour titiller de nouveau mon clitoris. Le plaisir décupla très vite et accentua aussi des gémissements. Un orgasme d'une violence jamais atteinte ne tarda pas à naître. Il était très violent et très prolongé car il continuait ses caresses. Je dus mettre ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Quand enfin mon volcan intérieur fut éteint j'étais toute mole et à demi somnolente ! Mes cris avaient réveillé quelques voyeurs qui me regardaient d'un sourire béat.
Mon sexe battait encore tant il avait été sollicité. Je réajustais ma culotte et mon chemisier non sans oublier d'essuyer le reste de sperme sur mon visage, dans mon décolleté et sur ma main qui avait étouffé mes cris. J'avais même pas honte et même j'étais fier que certains m'est vus.
Nous avons terminé le voyage sans un mot, l'un contre l'autre. J'étais pour ma part fière d'être presque une femme car il ne m'avait pas encore dépucelée.
L'accueil de quelques copines aux sourires révélateurs à la descente du bus me confirmait qu'elles avaient bien assistées à la scène. Je récupérais mes bagages, sous les regards curieux, en restant impassible. Je rejoignis ensuite mes copines pour faire un bout de chemin ensemble. J'évitais astucieusement toutes questions sur le sujet pendant le trajet. Leurs regards en disaient très long. J'en soupçonnais certaines d'avoir peut-être oublié de dormir pendant le voyage retour.
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Premiers émois 2
Inspiré de [http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/premiers-emois-sujet_2324_1.htm] (2006)
Je reçois un sms d'Alain. Il m'invite à une soirée entre amis chez lui. Ce soir, c'est le grand soir!!
Certes je risque de me sentir gamine du haut de mes 15 ans, mais je pourrai peut-être, comme je le rêve devenir une femme cette fois ci. Qui sait?
Mes parents me déposent et je ne rentrerai que demain matin... Une nuit pour faire la fête! GENIAL! J'ai fait mon maximum pour me mettre en valeur et paraître plus que mon âge. Maquillage et mini-jupe avec un top dont le décolleté laisse largement deviner ma poitrine généreuse et le tour est joué!!
OUh! On croirait que tout le lycée a été invité
Une main délicate se pose sur mon épaule, je me retourne et...je ne peux que sourire au brun ténébreux qui me regarde tendrement :
« Ah tu as pu venir! ça me fait plaisir de te voir! » Quelle douceur dans sa voix, quel charme à travers ce regard...Je suis subjuguée, comme à chaque qu'il me parle! En effet, il a tout pour plaire: un regard troublant, un sourire envoûtant, et une queue...hummm! Aucune fille ne pourrait lui résister.
Il m'invite à boire un verre de punch qu'il a lui même préparé... C'est délicieux! Maman m'avait interdit de boire de l'alcool, mais peu importe, un verre ça ne fait pas de mal, et elle n'en saura jamais rien!
Tout le monde se déhanche sur des rythmes entraînants, mais Olivier ne semble pas avoir envie de se joindre à eux. Il me propose d'aller faire un tour, dehors, sous les étoiles... Que c'est romantique! Je craque, je m'accroche à son bras et je le suis!!
Nous sortons de la maison où la musique nous assourdissait... Un peu de fraîcheur me fera du bien, je sens que l'alcool commence à me donner chaud, à moins que ce ne soit le résultat des vagabondages de mon esprit qui s'envole à chaque pas...
« Il y a un parc pas très loin, si tu veux on peut aller discuter tranquillement là-bas, me proposa-t-il. »
Et comment que je veux!!! Me retrouver seule avec lui... LE REVE!
« Euh ouais...ça peut être sympa » lui répondis-je en rougissant légèrement.
Je sens le vent frais sur mon visage, et je frissonne. Mon amant passe son bras autour de moi, et me tient par la taille... C'est la première fois que je suis aussi proche de lui... Je sens que je vais vivre quelque chose d'extraordinaire, grâce à lui.
Arrivés au parc, on ne peut que constater que la grille est fermée... Tant pis, nous passons par-dessus et je ne résiste pas. Je lui vole un baiser. Ses lèvres viennent se coller au miennes. Nos langues se découvrent puis s'enroulent, s'emmêlent, se recherches. Quel baiser!!!
Je sens quelque chose dans le bas de mon ventre, serait-ce ça le désir?
Il me murmure qu'il y a un arbre sous lequel nous pourrions nous asseoir. Nous y courons main dans la main. Arrivés, il s'allonge, j'hésite, et je l'imite. L'un à côté de l'autre, nous regardons les étoiles, nos doigts entrelacés...
« Ferme les yeux. Je vais te faire rêver. » me susurrât-il au creux de l'oreille.
Je lui obéis, une boule de désir dans mon bas ventre.
Je sens ses mains parcourir mon visage, d'abord les yeux, puis mes joues, et il passe délicatement chacun de ses doigts sur mes lèvres...ma langue va à la rencontre d'un d'entre eux, je le lèche et le mordille, l'aspire et le libère. Ses mains aventureuses descendent et effleurent mes seins, découvre mon ventre, et m'ôte mon débardeur.
« Ton corps est magnifique » me dit-il.
Il m'enlève mon soutien-gorge. Mes mamelons se sont durcis par l'excitation. Il les lèche et les mordille. Je soupire doucement, il me demande de me laisser aller. Après avoir sensuellement caressé mes seins, il ouvre la fermeture éclair de ma jupe qu'il retire. Il regarde mon corps que je lui offre. Il passe ses doigts sur mon pubis. Il comprend mon émoi et me retire mon shorty. Il passe ses doigts entre mes lèvres déjà trempées, mon clitoris, gonflé par l'excitation.
Sa bouche s'approche de ma fleur, et sa langue va à sa rencontre. Quel moment délicieux! il m'offre de nouvelles caresses buccales. Il avale ma cyprine et je gémis de plaisir.
J'ai de plus en plus chaud, et je sens que la boule de désir de mon bas ventre va exploser. Le plaisir monte en moi lentement. Il m'inonde et chamboule mes sens.
Je ne maitrise plus rien. Je m'abandonne et me laisse envahir par cette vague de plaisir intense. Satisfait de lui, mon amant enlève son tee-shirt comme pour m'inviter à lui donner du plaisir à mon tour.
Je ne sais pas comment faire, je me retrouve dans cette situation pour la seconde fois.Tant pis, je fonce, l'occasion ne se représentera pas! Je me relève et l'allonge, je parcours son torse musclé de quelques baisers, et joue avec ses tétons. Ma langue remonte son ventre, ses seins, son cou, et va titiller le lobe de son oreille... Il soupire... Je l'embrasse passionnément tandis que mes doigts malhabiles déboutonnent son jean. Je lui enlève et retire son boxer. C'est la deuxième fois que je vois son pénis.
Je continue à lui caresser le torse pendant que mes lèvres déposent un baiser sur son gland. Je découvre son sexe, d'abord avec ma bouche, mes lèvres le parcourent de haut en bas et de bas en haut, elles s'écartent et ma langue effleure le bout de son membre. Visiblement cela lui plaît. Ma langue continue sa danse folle en haut de sa verge. J'accentue et j'accélère mes mouvements, sa respiration est de plus en plus forte, il gémit légèrement, ses cuisses se contractent... Le plaisir est au summum et je le laisse déverser son fluide dans ma bouche. Je n'en perds pas une goutte... Je remonte lentement vers lui, et lui offre un doux baiser... Il m'enlace, et caressent mes fesses galbées.
Je suis heureuse mais toujours pas dépucelée.

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Enfin mon dépucelage avec Alain
2 foi je l'avais sucé et j'avais avalé sa substance de mâle.
Dans le car et lors de la fête qu'il organisait. J'y prenais plaisir dailleur.
Mais mainteant j'avois envie enfin d'être femme.
Les regards des hommes et surtout moins jeunes se retournaient de plus en plus sur moi. Il devait émaner de ma personne une sensualité naissante. Moi-même j'avais des envies, j'avais découvert mon corps depuis quelque temps, avec des copines et dernièrement avec Alain. Mais je me caressais de plus en plus souvent en imaginant pleins de choses que je ne connaissais pas. Je me masturbais dans mon lit le soir, les cuisses ouvertes, je me caressais les seins, je me mettais un doigt, que je n'osais trop enfoncer de peur de me dépuceler moi-même. Dans mon bain, en cours, dans le bus, partout où je pouvais passer ma main dans ma culotte sans être vue. Je pensais à ce qu'Alain pourrait me faire. Cà tournait à l'obséssion.
Ma mère devinant la fille qui se transformait décida de m'emmener chez le gynéco pour prendre la pilule. Il me fit mettre entièrement nue. Même médecin, j'étais très gênée d'être nue devant ce vieux. Il m'installa sur la table et commença par m'examiner les seins en les pétrissant.
« Ils sont magnifiques vos seins jeune fille ! Votre copain doit se faire plaisir avec ! »
Mes tétons se mirent à durcir. Il sourit.
Puis il passa à mon sexe.
« Vous êtes toujours vierge, c'est bien. »
Il m'expliqua la fonction du clitoris le tout en me masturbant délicieusement. Au bout de quelques instants il s'arrêta. Je fus déçue.
Il me dit : « tu es normal, tes tétons durcissent, et tu mouilles sous les caresses, tout va bien. Rabillez vous ! »
J'étais toute troublée et je sortis du cabinet la pilule en poche.
Un jour que je partais faire des courses, je ne portais qu'une culotte sous ma robe légére d'été. Dans la rue, je rencontrais Alain, a son regard, je savais que je ne le laissais pas indifférent.
« salut tu es drôlement jolie, tu vas ou comme ça ? »
« Je vais faire des courses »
« Tu sais il va pleuvoir, si tu veux je t'emmène en voiture »
L'occasion est trop bonne pour ne pas accepter d'être avec lui.
Je monte dans sa voiture au moment où il se met à pleuvoir.
« tu as bien fait d'accepter mon invitation, tu aurais été trempée »
En moi même je me disais que de toute façon j'étais déjà trempé rien que d'être à ses côtés.
Je sentais son regard sur mes cuisses, découvertes, car ma robe courte était remontée quand je m'étais assise. J'étais troublée.
Il fit un détour, sortit de la ville, pour aller se garer, dans un coin reculé sous les bois. L'orage faisait rage.
« Mais Alain où vas-tu ? » dis je très ingénue.
« Par ce temps personne ne va venir nous déranger ici qu'en penses tu ? »
J'allais peu-être enfin connaître la joie d'être une vraie femme.
Il me posa un baiser sur la bouche et répondis à ce baisé amoureusement.
Sa main gauche me caressait, les cuisses, que j'écartais largement pour lui faire comprendre qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait.
Mon corps disait oui j'ai envie, je suis offerte et disponible.
Sa main est venue se poser sur mon minou déjà bien humide. Il l'a caressé doucement, d'abord par-dessus la culotte, puis en dessous. A part ma langue qui s'enroulait autour de la sienne, rien de mon corps ne bougeait, je savourais le fait d'être caressée par ses mains expertes. Il me déshabilla entièrement, tout en me couvrant de baiser. Il s'arrêta longuement sur mes seins, et commença à descendre vers mon sexe.
« Je suis vierge Alain »
« Je vais faire attention et je vais te dépuceler en douceur. Tu n'y prendra que du plaisir »
Quand sa bouche s'empara de ma chatte et que sa langue s'insinua dans mon vagin, qu'il aspira et mordilla mon clitoris, je cru devenir folle, jamais je n'avais ressenti ça. J'avais les cuisses ouvertes, impudique et je lui disais de continuer.
Puis il me dit : « suce moi comme tu sais si bien le faire. »
Je m'exécutais avec bonheur mais me disais que je n'aillais pas être pnénétrée une fois de plus.
Il se caressait et je le suçais très gourmande.
« Pour une novice, tu es drôlement bonne ma cochonne. Mais arrêtes je ne veux pas jouir dans ta bouche, mais dans ta chatte étroite et te dépuceler »
« Merci ! Depuis le temps que j'attendais çà ! » J'étais quand même angoissée.
Il m'allongea sur la banquette, les jambes bien écartées, me lécha et approcha son gland sur l'entrée de mon vagin.
Je fermais les yeux, j'avançais le bassin, en lui disant : « vas y ! »
Je sentis le gland forcer délicatement mes grandes lèvres, puis un léger picotement.
« ça va ? »
« oui continue !!! »
Il s'enfonça délicatement dans mon ventre qui s'ouvrait à lui. Une fois au fond, il ne bougea plus, me fit un bisou, j'ouvris les yeux et lui rendit son baiser avec un sourire.
J'étais enfin une femme. Des larmes coulaient sur mon visage mais pas de douleur, d'émotion immense.
Il m'embrassa, et commença à bouger lentement, je me laissais aller, plus le baiser devenait fougueux. Maintenant je sentais ses couilles taper sur mes fesses. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Il haletait sur moi. Je sentais mon plaisir monter. Je refermais mes jambes sur ses reins pour le sentir aller au plus profond de mon trou ouvert.
Je gémissais en lui disant que c'était bon.
Lui au bord de l'explosion, entre deux râle, me traitait de petite salope en chaleur.
En entendant ses mots je fus encore plus excitée,
« Je vais jouiiiiiir, vas y fort fort fooooooooooooort !!!!! »
« Moi aussi je jouiiiiiiiiiiiii dans ton sexe en chaleur, petite pute »
Dans mon délire je m'entendis lui répondre : « Oui je suis ta pute ! tu peux faire ce que tu veux de moiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! »
Dans un dernier coup de rein, Alain se cambra et son sexe se raidit encore plus. Je sentis sa jouissance gicler en moi. Il était sur moi, nous ne bougions plus, nous reprenions nos esprits. Nous avions jouit ensembles. Il se souleva, me regarda, et se retira. je sentis son sperme qui coulait le long de ma raie.
Il se mit à rire, et me dit : « il ne pleut plus, sors vite pour ne pas tacher les sièges. »
Sans réfléchir, je suis sortie entièrement nue de la voiture. J'ai senti sa semence couler el long de mes jambes. Il a voulu que je m'essuie avec de mouchoirs, mais j'étais tellement heureuse d'être devenu une femme que j'ai refusé. j'ai voulu tout garder.