L'exhibition de Chloé

L'exhibition de Chloé (publié par Chloe23 le 19-06-2014)
Chloé : la revanche de Lisa (publié par Chloe23 le 20-11-2014)
Chloé et la fièvre du samedi soir (publié par Chloe23 le 28-06-2014)
Chloé : sea, sex an sun, avec Lisa (publié par Chloe23 le 08-09-2014)
Chloé : l'initiation de Sarah (publié par Chloe23 le 18-12-2014)
Chloé - le stage de cohésion de groupe (publié par Chloe23 le 22-01-2015)
Chloé : avec Carine en Afrique (1) (publié par Chloe23 le 19-03-2015)
Chloé : avec Carine en Afrique (2) (publié par Chloe23 le 04-06-2015)
Chloé : avec Carine en Afrique (3) (publié par Chloe23 le 25-06-2015)


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Je m'appelle Chloé, et je me suis décidée à raconter ma première expérience d'exhibition sur une plage.

Ça s'est passé il y a quelques années. J'avais 19 ans, je venais de passer mon bac, et j'habitais sur la côte Atlantique. Je suis plutôt un petit gabarit : 1,57 m, taille 36, des cheveux châtain coupés courts, des seins en pomme 85b (je les trouve un peu trop petits), et une chute de reins cambrée.



On se retrouvait régulièrement pour aller à la plage avec deux copines, Carine et Sarah. Sébastien, le petit ami de Sarah, nous accompagnait souvent. Nous allions sur une plage très fréquentée, où il n'y avait presque aucune femme topless, et je portais des deux-pièces triangles.



Pour éviter les marques de maillot, je dénouais souvent les liens de mon slip, ou mon soutif lorsque j'étais allongée sur le ventre, ce qui amusait Carine et Sarah.

Il faut dire que, depuis l'année précédente, j'avais pris l'habitude de bronzer intégralement, dans un coin du jardin familial, à l'abri des regards.



La chaleur du soleil sur mon corps nu m'excitait, et il m'arrivait de me caresser.



Je cherchais aussi à retrouver cette sensation en sortant en robe ou en jupe, sans slip, et parfois sans soutien-gorge. Mais je n'imaginais alors pas aller plus loin.



Un matin où je m'appliquais à maintenir mon slip dénoué pour qu'il ne glisse pas, Carine me lança avec un sourire :
- Il faudrait que je te passe un maillot que j'ai trouvé dans les affaires que ma frangine a laissées à la maison, lorsqu'elle est partie pour se marier. C'est un mini-bikini que son ex lui avait offert, et qu'elle n'a jamais osé porter. Tu aurais un bronzage vraiment maxi !

La proposition me tentait, mais m'inquiétait aussi un peu :
-Il est si petit que ça ?

Carine prit un air mystérieux :
-Tu verras... Je te le donne, si tu jures de le mettre cet après-midi pour aller à la plage, mais si tu veux, nous irons à un endroit où il y a moins de monde.

Sarah me piqua au vif, en pariant que je me dégonflerais, et j'acceptai aussitôt la proposition de Carine.

L'après-midi, pour être certaine de ne pas pouvoir me dégonfler, je n'ai pas emmené d'autre maillot, et j'ai décidé de partir nue sous ma robe de plage.

Nous sommes partis dans la vieille Clio de Seb, pour prendre la route de la plage, et nous nous sommes garés sous les pins, derrière les dunes, près d'une quinzaine d'autres voitures. Nous avions l'habitude de laisser nos vêtements dans la voiture, ce qui voulait dire que j'allais devoir me changer sur ce parking sauvage, devant les occupants d'une BMW qui venait de s'arrêter...

Carine me tendit un sac, et je découvris le maillot en question : c'était vraiment un micro-bikini !... trois étroites bandes de tissu noir ne mesurant que quelques centimètres, retenues par des liens. Carine et Sarah ne me quittaient pas des yeux.

J'enlevai ma robe, et je commençai par enfiler le string.



Puis je mis le haut, cherchant pendant un bon moment comment placer les « bonnets » en place, afin qu'ils ne découvrent pas totalement les aréoles (pourtant petites et clairs) de mes seins. Pour le string, ce n'était pas mieux. Il masquait juste les lèvres de mon sexe Heureusement, j'étais épilée complètement !



Nous avons récupéré nos sacs et nos serviettes, et nous avons pris le chemin qui menait vers a plage.

La pointe d'un de mes seins était découverte, et je replaçai tant bien que mal le minuscule triangle noir... J'étais le point de mire de tous les regards, je ne savais plus où j'en étais, j'étais écarlate, la gorge nouée... Et puis, je me suis ressaisie.

En marchant, je commençais à apprécier la chaleur du soleil et la caresse de la brise sur ma peau. Je goûtais aussi le trouble étrange provoqué par le frottement de la ficelle de mon string au creux de mes fesses nues.

Nous sommes arrivés sur le sable, à un endroit non surveillé. Si ce n'était pas la foule, il y avait quand même beaucoup plus de monde que je ne l'avais espéré ! Un peu plus de seins nus que sur la grande plage, mais pas un string en vue. Sans doute pour me mettre mal à l'aise, Carine et Sarah choisirent, pour installer nos tapis de plage, une place entre deux autres couples, à côté de mecs seuls qui me dévoraient des yeux, incrédules.

Je me suis allongée sur le dos, appuyée sur les coudes, pour observer ce qui se passait, et je vis avec un certain plaisir que Carine enlevait son soutien-gorge.



Elle était brune, avec une peau mate, et ses seins pointus avaient une belle couleur ambrée, presque sans marque de maillot : elle devait donc bronzer topless en cachette.

Comme sur pas mal de plages, quelques voyeurs déambulaient pour mater les filles. Petit à petit, j'ai été surprise de sentir ma gêne disparaître, remplacée par une sensation inconnue et agréable lorsqu'un regard prolongé se posait sur ma poitrine et mon petit cul. Au bout de quelques minutes, j'ai même commencé à me caresser...



Seb proposa ensuite que nous allions nous baigner. En chahutant et en riant, nous avons marché lentement jusqu'à l'océan, entre les estivants installés sur leurs serviettes. J'avais gardé mes lunettes de soleil, ce qui me permettait d'observer leurs réactions. L'excitation montait en moi, et mes tétons, déjà très saillants, pointaient encore plus à travers le tissu.

Nous avons joué et nagé un bon moment dans les vagues, et j'étais régulièrement obligée de remettre en place mon bikini pour cacher - un peu - mon anatomie.

Nous sommes ensuite sortis de l'eau, dégoulinants, et nous avons repris le chemin de nos serviettes. Je voyais les gens autour de moi qui me regardaient encore plus, avec une expression de réprobation chez les femmes.

Je n'avais plus que quelques pas à faire, quand je compris la cause de cet intérêt : mouillé, mon maillot devenait presque transparent, les pointes de mes seins et les lèvres de mon sexe se dessinaient nettement !



Durant une fraction de seconde, une panique idiote m'envahit, et je m'allongeai rapidement sur le ventre. Je ne fis rien paraître de mon émotion devant Carine et Sarah et, petit à petit, je me calmais, pendant que mon minuscule bikini retrouvait son opacité.

Un des couples près de nous s'était rapproché, et des voyeurs s'étaient installés, pour nous mater.

Nous avons continué de bronzer tout en discutant, et Carine me demanda si je ne me sentais pas mal à l'aise, en me montrant dans cette tenue.
-Franchement, au début, oui, un peu. Et puis c'est passé assez vite et finalement, c'est vachement excitant. Vous devriez essayer ! Ça ne vous tente pas ?

Carine ne dit rien, mais Sarah, qui portait toujours son sage deux pièces répondit que non, elle n'imaginait pas s'exhiber, quasiment nue, devant tout le monde. J'avais envie de me venger de Sarah, et j'insistai.
-Moi aussi, avant ton pari, je disais la même chose. Je t'assure, fais l'expérience : je peux te passer mon bikini là, tout de suite... Et je suis sûre que Seb t'aimerait en maillot hyper sexy, N'est-ce-pas ?

Seb approuva et Sarah se sentit en danger :
- Mais tu es un salaud aussi, Seb ! Et pendant ce temps-là, Chloé récupérerait mon maillot, en plus !

Carine intervint :
-Il y a une solution : Chloé te passe son bikini, et elle reste complètement nue jusqu'à ce que tu lui rendes.

À mon tour, je m'affolai :
-T'es malade ? Regarde autour de nous, personne ne fait de nudisme !

Sarah crut pouvoir se tirer d'affaire à bon compte :
-Si Chloé se fout à poil, chiche !

Seb trouvait la situation excitante : sa nana en micro-bikini, sa copine dans le plus simple appareil, offertes toutes les deux à tous les regards...
-Ah maintenant, tu as dit chiche, si elle enlève son maillot, tu dois t'exécuter !

Finalement, je n'en étais pas consciente, mais j'avais envie de cette séance d'exhib' avec une autre fille. Sans un mot, je me mis à genoux, je me débarrassai de mon soutif, et je le tendis à Sarah. Elle devint toute pâle, mais Seb avait déjà dégrafé le haut de son maillot.



Sarah avait la peau claire d'une blonde, de jolis seins en poires avec des aréoles plutôt larges, et elle eut toutes les peines du monde pour placer les deux triangles qui cachaient juste les pointes roses.

Elle était terrorisée en me voyant enlever mon string.



Elle s'entortilla dans sa serviette, mais Seb tira la serviette, enleva le slip de Sarah dévoilant sa petite toison.



Tous les gens autour nous regardaient. J'étais trop absorbée par le strip improvisé de Sarah, pour être vraiment consciente de ma nudité.



La situation devait sans doute plaire aussi à Carine, car je m'aperçus qu'elle avait changé son slip contre un string (plus pudique quand même que le mien).



Une énorme bosse déformait le bermuda de Seb, et il voulut que nous retournions nous baigner. Carine était d'accord et, sans attendre notre réponse, ils nous prirent Sarah et moi par la main pour nous entraîner.

Passer complètement à poil entre tous ces gens qui me mataient m'excitait encore plus que tout à l'heure. Je crois que jamais mes seins n'avaient été aussi durs, et leurs pointes dressées à ce point, je sentais un peu de sève couler de ma chatte trempée, et je fis durer le plaisir en rentrant doucement dans l'eau.



Sarah, quant à elle, se jeta dans les vagues, espérant s'y cacher. Mais lorsqu'elle en ressortit, elle constata à son tour que le bikini mouillé ne cachait plus rien. En cherchant à dissimuler ses seins et sa chatte avec ses mains, elle repartit en courant jusqu'à sa serviette et, furieuse, elle se dépêcha de remettre son maillot.

Nous l'avons rejointe en riant, et je remarquai au passage quelques mecs me photographiant avec leurs portables. Je trouvais ça plutôt flatteur.



Sur mon tapis, le micro-bikini m'attendait, mais je me contentai de remettre seulement le string.



Je m'allongeai sur le ventre, et je demandai à Carine de me passer de l'huile solaire.

Elle commença par me masser les épaules, et je sentis ses mains descendre, très sensuellement, le long de mes reins. Je savais que Carine était très portée sur le sexe avec les hommes, mais ne détestait pas les filles, bien qu'elle ne m'ait jamais fait d'avance. Je poussai un petit soupir de satisfaction lorsqu'elle atteignit mes fesses, que je remuais imperceptiblement, et elle comprit que j'acceptais ses caresses.

Elle passa consciencieusement de l'huile sur mes cuisses, insistant à l'intérieur, près de mon minou, qui s'humidifiait de nouveau. Alors, sans attendre qu'elle me le demande, je me suis retournée, en lui demandant de continuer, d'une voix rauque.

Elle repartit des épaules, pour redescendre très vite sur ma poitrine. Elle joua un long moment avec mes seins gonflés, ses mains glissèrent lentement sur mon ventre, ma respiration devenait plus courte... Je sentis son majeur effleurer mon abricot en feu à travers le triangle fluo... Toute retenue m'avait abandonnée et, sans réfléchir, je fermai les yeux et je dénouai les liens de mon string, que je jetai sur ma serviette.

Les doigts de Carine écartèrent avec douceur mes lèvres gonflées, et je sentis la chaleur du soleil sur mon clito découvert.



Elle commença à me caresser, m'arrachant de petites plaintes que j'essayai de contenir, et elle me dit, sur un ton amusé :
-Je crois que tu as des admirateurs !

Je rouvris les yeux, et je me soulevai sur les coudes. Tous les gens autour me fixaient, et plusieurs mecs s'étaient plantés près de nous, debout, pour mieux profiter du spectacle.

Au lieu de m'inhiber, la situation décupla mon désir, et je répondis à Carine, à mi-voix :
-Tant mieux, j'adore que les gens me voient nue, c'est trop bon, ça m'excite. Vas-y, continue, j'ai envie de jouir devant tout le monde.

Elle ne se fit pas prier. Je sentis deux de ses doigts investir ma fente inondée, et son index titiller mon petit bouton. J'étais déchaînée, et j'arrachai littéralement le string de Carine. Elle aussi se retrouvait à poil, et je me mis à caresser ses fesses cambrées.

C'était trop excitant, et un orgasme soudain me tétanisa dans un petit cri.

Mais Carine ne voulait pas être en reste. Elle m'abandonna, s'allongea sur le dos, et me tendit le flacon d'huile solaire.

Je me mis à la masser, avec des gestes érotiques sans équivoque. Sa toison était épilée en ticket de métro, Je lui fis écarter largement les cuisses, jambes repliées, pour que les voyeurs puissent admirer à loisir sa chatte offerte. À son tour, elle gémit lorsque je commençai à jouer avec son clito, et je lui dis :
-Tu es aussi cochonne que moi, ça te plait de t'exhiber. Avoue-le !
-Oh oui, j'adore, répondit-elle, laisse-moi faire, j'ai envie de te bouffer la chatte.

Elle se redressa, me fit étendre sur le dos, et vint au-dessus de moi, en 69. Sa tête plongea entre mes cuisses, et je sentis sa bouche et sa langue explorer mon sexe.



J'avais sa fente à quelques centimètres de mon visage, et je me relevai un peu pour embrasser son clito. Elle se cambra à ce contact, et se mit à onduler des hanches, tout en me léchant et en faisant aller et venir ses doigts dans ma vulve et dans mon petit trou.

Nous ne savions plus où nous en étions, absorbées par la poursuite de notre plaisir, qui nous emportait régulièrement comme des lames de fond.



Après un long moment de folie, nous avons repris notre souffle. Sarah, livide, nous regardait avec des yeux ronds, mais un des voyeurs nous alerta : il avait aperçu, au loin, ce qui ressemblait à une patrouille de police : ronde de routine ? Ou avaient-ils étaient alertés par des estivants aussi scandalisés que Sarah ?

Sans plus attendre, Carine remit son maillot en catastrophe, je m'enveloppai dans ma serviette, et nous ramassâmes nos affaires. Nous avons repris tous les quatre le chemin nous ramenant à la voiture de Seb.

Je regrettai qu'il ne se soit pas joint à nous, lors de notre petite séance de sexe : j'aurais bien aimé qu'une grosse queue me ramone aussi devant les voyeurs... Mais, de toute évidence, il valait mieux que je ne parle pas de mon fantasme devant Sarah !



Durant le trajet, Carine avoua qu'elle n'aurait jamais imaginé que j'étais aussi exhibitionniste.
Je lui répondis :
- Sincèrement, moi non plus, c'était une première et, confidence pour confidence, je ne te croyais pas comme ça non plus !
-
Elle se mit à rire, et nous raconta comment elle s'était libérée de tous ses tabous.
-En toute franchise, beaucoup de choses ont changé pour moi depuis une soirée étudiante très arrosée, à laquelle j'ai été invitée en fin d'année. Après avoir perdu à un jeu à la con, j'ai eu un gage, et je me suis retrouvée debout sur une table, à faire un strip intégral.



- J'ai minaudé un peu, mais en fait, j'ai adoré. Après, la fête a dégénéré en partouze. L'alcool m'avait complètement désinhibée, et j'ai fini en gang-bang avec cinq mecs. Je te conseille ce genre d'expérience, c'est fabuleux !



Arrivés en ville, nous nous sommes séparés. Je suis rentrée chez moi, et j'ai commandé un autre micro-maillot sur internet...



Je n'étais plus la même, je n'avais plus qu'une seule idée : retourner sur la plage pour m'exhiber encore...



Et la nuit suivante, je rêvais que j'étais la vedette d'une énorme partouze.



Je ne savais pas que tous mes désirs seraient comblés les semaines suivantes !
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Chloé : la revanche de Lisa


Mes vacances étaient loin de s'achever !

Peu de temps après avoir fait la connaissance de Lisa, je retournais bronzer avec Carine sur la plage où je m'étais exhibée pour la première fois. Plus délurées que nos copines, nous faisions souvent bande à part pour bronzer seins nus, en mini-strings.

C'était le cas ce jour-là !



Nous étions allongées sur nos serviettes, lorsque mon portable sonna.

C'était Simon.



-Allo Chloé ? Ici Simon. Je t'appelle pour t'inviter à une soirée chez des amis, vendredi soir. Nous y serons, avec Lisa, et elle tient à ce que tu y sois. C'est possible pour toi ?
-Avec plaisir, répondis-je, ravie.
-Super ! Lisa te réserve une surprise, mais je ne t'en dis pas plus !

Après avoir fixé l'heure du rendez-vous, Simon raccrocha. Carine, à qui j'avais raconté ma séance de baise sur la plage avec Lisa et Simon, était verte de jalousie.

-Putain, je voudrais être à ta place, s'exclama Carine.

J'attendais ce vendredi soir avec impatience, sans m'inquiéter outre mesure de la surprise que me préparait Lisa - j'avais tort. Me doutant que la soirée serait sans doute torride, je choisis une robe en conséquence.



Lisa et Simon passèrent me chercher, comme convenu, et nous sommes arrivés dans une magnifique propriété, style manoir. Nous avons été accueillis par les propriétaires, Clotilde et Bertrand, très sympathiques, et nous nous sommes embrassés après les présentations d'usage.

Clotilde portait une superbe robe noire, fendue jusqu'à la hanche. L'emmanchure très large laissait voir sans équivoque ses superbes seins en poires, sans soutif.



Nous sommes passés sur la terrasse, où la réception débutait. Nous étions les derniers arrivés, et Clotilde me présenta à la bonne vingtaine d'invités présents. Il ma sembla en reconnaître quelques unes et quelques uns, présents sur la plage lorsque j'avais fait la connaissance de Lisa, dont le trio de blacks dont j'avais gardé un souvenir brûlant !

Bertrand me servit champagne et petits fours en abondance, et je commençais à me sentir légèrement enivrée.

A ce moment, Lisa prit la parole, sur une sorte de ring improvisé sur la terrasse, que je n'avais pas remarqué jusque là.

-Comme nous le faisons chaque fois que nous accueillons une petite nouvelle dans nos soirées, nous lui avons réservée une surprise, c'est-à-dire une animation qui la mettra en scène. Ce soir, c'est Chloé qui va découvrir ce que j'ai préparé pour elle.

Simon m'entraîna vers le ring et, dans une sorte de brouillard, j'entendis les applaudissements, avant que Lisa poursuive.

-Vous ne le savez peut-être pas mais, sur mon site, Chloé m'avait imposé un gage : un combat de catch féminin, que j'avais perdu, ce qui m'avait valu de me retrouver nue, couverte de sperme, en public. Tu t'en souviens, Chloé ?

Bien sur je m'en souvenais, comme de la photo de Lisa vaincue par une certaine Cattie...



... et de celle de son visage et de son corps sur lesquels giclait le foutre des spectateurs !



-Ce soir, je vais affronter Chloé, et Clotilde sera notre arbitre.

Nous sommes allées toutes les deux dans une chambre de la propriété, pour revêtir notre « tenue de combat » : des deux-pièces qu'utilisent les lutteuses pro, avec un string noué au niveau des hanches, et un soutien-gorge triangle, chacune portant une couleur différente.

Puis nous sommes ressorties ensemble, pour monter sur le ring, sous les encouragements des spectateurs. Clotilde avait adopté une tenue très sérieuse d'arbitre, et fit les présentations.



-A ma droite, Chloé, qui participe pour la première fois à l'une de nos soirées. A ma gauche, Lisa. Je vous rappelle les règles de ce match : vous devez enlever le maillot de votre adversaire, - vous avez le droit de l'arracher, de le déchirer - et l'immobiliser au sol, entièrement nue. Celle qui réussit la première est déclarée gagnante, et imposera un gage ou des gages à la perdante, qui ne pourra en aucun cas s'y soustraire.

Je réfléchissais à toute vitesse pour trouver le gage que je pourrais trouver pour Lisa, si je réussissais à la vaincre, mais je ne pouvais pas m'empêcher de redouter une victoire de Lisa. J'avais une petite idée, à travers son site, de son imagination !

Au signal de l'arbitre, nous nous sommes jetées l'une sur l'autre. Lisa était très souple, d'une force que je ne soupçonnais pas. Je parvins à rester debout un moment, mais Lisa finit par me déséquilibrer, et je me retrouvai allongée sur le ventre. Elle s'assit sur mes épaules, pour m'immobiliser, et essaya de m'arracher mon string.



Je réussis à me dégager et à me relever, mais pas pour longtemps. Lisa me bloqua les bras derrière le dos et dénoua mon soutif, et nous tombâmes ensemble. Je me retrouvais les seins à l'air, provoquant les applaudissements des spectateurs.

Elle voulut pousser tout de suite son avantage, et dénoua mon string. Pendant une fraction de seconde, je crus que j'allais être déjà vaincue. Elle commença à me caresser, et à me glisser un doigt dans la chatte (qu'est-ce que c'était bon...).



Mais je profitai de sa déconcentration, pour me dégager, réajuster mon string, et arracher son soutien-gorge au passage. Nous nous retrouvions toutes les deux topless !



A mon tour, je pris l'avantage, et je vins chevaucher Lisa, mon pubis sur son visage. A travers le tissu du string, je sentais sa langue qui s'activait, pour m'inciter à desserrer mon étreinte.



Sans relâcher mon effort, je continuais à la maintenir au sol, écrasant ma fente humide sur son nez, pour lui couper la respiration.



La situation était bloquée, et Clotilde nous sépara. Lisa se lança aussitôt à l'assaut et, l'instant qui suivit, les positions furent inversées : à mon tour de me retrouver sur le dos, en train de goûter aux effluves qui mouillaient maintenant son string.



Je lui dévorais l'abricot, et Lisa, la tête renversée en arrière et les seins dressés, appréciait manifestement cette caresse buccale, si j'en jugeais par les gémissements qu'elle poussait.

Mais Lisa ne s'abandonnait pas autant qu'elle le laissait paraître. D'un brusque coup de reins, elle me déséquilibra, et se mit à tirer sur mon string, pour l'arracher.



Je tentais de la repousser, en lui malaxant un superbe nichon durci par l'excitation.

Malgré tous mes efforts, le tissu craqua, et je me retrouvai à poil. Nous avions roulé toutes les deux sur le sol, et Lisa se retrouva en dessous de moi. Elle branlait mon clito dardé, et écartait les lèvres de mon sexe, pour offrir ma fente dégoulinante aux regards des spectateurs en délire.



C'était à mon tour de pousser de petits cris de plaisir, et je n'avais pas imaginé à quel point il pouvait être excitant de se battre et de s'exhiber en même temps.

L'arbitre nous sépara de nouveau et, dans le corps à corps suivant, je parvins à dénouer un côté du string de Lisa, qui alla rejoindre les autres pièces de nos bikinis sur le sol.

Lisa se retrouva sur le dos, cuisses largement ouvertes. Elle était trop attirante, et je plongeai entre ses jambes pour fouiller sa jolie petite chatte.



Elle se laissait faire, et m'encourageait à poursuivre mes caresses.

-Oh oui, Chloé, c'est trop bon. Caresse bien mon minou... Oui, comme ça ! Je veux sentir tes doigts dans ma fente, laisse-moi me retourner...



Sans méfiance, je me laissais entraîner par le désir qu'elle avait suscité en moi, poussé maintenant à son paroxysme. Lorsque je fus totalement occupée à la branler pour l'amener à l'orgasme, elle se rua sur moi, et me plaqua au sol.



J'étais complètement immobilisée, et elle m'obligeait à la lécher. Excitée par cette situation, je n'essayais même plus de me dégager. Comme dans un rêve, j'entendis Clotilde compter :

-...Six, sept, huit, neuf, dix ! Lisa est déclarée vainqueur !

Lisa se remit debout, sous les acclamations, pendant que je restais un long moment étendue sur le sol, haletante.



Clotilde reprit la parole.

-Lisa, tu as gagné. A toi d'indiquer maintenant à Chloé le sort que tu lui as réservé !
-Eh bien, je crois savoir que Chloé aime prendre l'initiative en matière de sexe ou, tout au moins, être très active. Ce soir, le scénario sera pour elle très différent ! Tu vas être notre jouet, tu devras te plier à toutes nos exigences ... Et c'est toi qui choisiras tes supplices, en tirant au sort deux des papiers pliés dans cette boîte.

Je m'étais relevée, nue, et d'une main tremblante, je choisis un premier papier, sur lequel il était écrit « CUNNILINGUS ». Lisa m'expliqua en quoi cela consistait :

-Tu devras lécher l'une des femmes présentes, la conduire à l'orgasme, mais elle ne te touchera pas, et tu ne devras pas te caresser. Pour ton premier gage, tu as de la chance, tu n'as pas choisi le plus hard !

Comme dans un rêve érotique, une superbe brune me pris par la main et m'entraîna vers un grand canapé, dans un salon dont la porte-fenêtre était ouverte. Elle s'était déjà entièrement déshabillée, et elle avait un corps de rêve. Tous les invités nous avaient suivies, et elle s'installa, cuisses écartées, pour que tous profitent du spectacle.



Je me mis immédiatement à lécher son clito, me demandant comment j'allais faire pour résister à la tentation de me masturber également.



Ma partenaire - elle s'appelait Jenny - réagissait au quart de tour, et j'aspirai son petit bouton, qui gonflait entre mes lèvres.



Jenny gémissait en s'agitant, et je m'acharnais sur son clito de plus belle.



Je glissai maintenant ma langue dans sa fente, dont s'écoulait déjà un filet de cyprine.



Jenny ouvrait encore plus largement les cuisses, et me réclama, à mi-voix :

-Tes doigts dans ma chatte, là, maintenant.



Elle poussait maintenant de petits cris, pendant que mes doigts allaient et venaient dans sa grotte et que je continuais à la lécher.



Mais je me prenais au jeu, et je voulais la faire hurler de plaisir. Je me mis à lubrifier son petit trou, et elle tendit ses fesses vers moi.



Encouragée, j'introduisis doucement un doigt dans son joli cul.



Elle se cambra, et se mit à m'encourager.

-Oh oui, comme ça, dans mes fesses, tu vas me faire jouir.



Je me déchaînai et, au bout de quelques instants, l'orgasme explosa dans son ventre, soulevé comme par une tempête.



Je me relevai, et aussitôt Lisa me fit revenir sur le ring, pour choisir un deuxième petit papier dans sa boîte. En le dépliant et en le lisant, je blêmis, et Lisa me prit le papier des mains.

-Ah, cette fois, ce sera beaucoup plus corsé ! Chloé a tiré « BONDAGE », annonça-t-elle, en provoquant un tonnerre d'applaudissements.

Simon sortit d'un groupe d'invités, et m'entraîna vers un grand matelas de mousse. Des cordes avaient été préparées, et il se mit à me ligoter, avec une adresse diabolique. Quelques minutes après, je me retrouvais allongée sur le dos, garrottée de telle façon que je ne pouvais absolument pas bouger.



C'était une sensation étrange, mêlant une excitation trouble à un sentiment d'humiliation. Je n'étais plus qu'un objet sexuel, totalement offerte sans la moindre possibilité de me défendre, aux assauts des participants à cette soirée.

Ma chatte entrouverte et humide était exposée à tous, et je sentis bientôt une langue experte s'insinuer en elle, et titiller mon clito.



Dans l'instant qui suivit, une queue vigoureuse investit ma bouche.



C'était la première fois où je me trouvais soumise à l'assaut de mâles en rut, sans pouvoir les repousser ou les encourager. Mais ce n'était là que le hors d'œuvre !

Le type qui me léchait se releva, et me pénétra d'un grand coup de reins. Il commença à aller et venir en moi avec violence, et je me mis à crier malgré moi.



Mes cris furent bientôt étouffés par une autre bite, qui remplit à nouveau ma bouche. Mon angoisse n'avait pas disparu, mais je sentais une nouvelle forme de plaisir dans cette situation étrange.

Mes partenaires ne faisaient pas dans le romantisme, et leurs queues me pilonnaient sans douceur. Je devinais plus que je ne voyais les autres invités autour de moi, qui attendaient manifestement leur tour.

Je ne saurais pas dire combien de temps durèrent ces premières pénétrations, et je sentis bientôt un sperme chaud gicler dans ma bouche...



... puis, presque en même temps, dans ma chatte et sur mon ventre.



Ils se retirèrent, mais mon répit fut de (très !) courte durée.

D'autres hommes m'entourèrent. L'un d'eux s'allongea sur le matelas, tandis que deux autres me soulevaient, et me placèrent au-dessus de lui. Mes liens m'interdisaient tout mouvement, et je sentis un gland gonflé s'introduire entre mes fesses, forcer ma rondelle, heureusement lubrifiée par la cyprine qui avait coulé de ma chatte, et par le sperme de mon précédent partenaire.



Lorsque je fus entièrement empalée sur l'homme allongé, un autre se plaça entre mes jambes, et s'enfonça dans mon abricot sans défense.



J'étais en équilibre, maintenue par l'homme qui m'enculait, et je n'avais maintenant plus qu'une envie : me faire prendre sauvagement, jouir, m'offrir en spectacle. Le pieu qui allait et venait dans ma fente me soulevait, pour mieux me laisser retomber sur l'autre dard enfoncé dans mon petit cul.



Je ne pus manifester bien longtemps mon plaisir, car une autre queue se présenta devant mon visage, et je l'engloutis sans me faire prier. Mais l'engin était énorme, et son propriétaire devait la maintenir pour qu'elle reste dans ma bouche, alors qu'il l'enfonçait jusque dans ma gorge.



Il déchargea le premier, crachant un sperme épais sur mes joues et mon menton. Les deux autres mecs me défonçaient à un rythme fou, et je sentis l'orgasme monter dans mon ventre et dans ma poitrine. Ma bouche libérée, je pus hurler mon plaisir, pendant que d'autres jets de semence inondaient mon pubis et mes fesses.

Aussitôt, deux autres hommes s'emparèrent de moi, et cette fois, ils m'installèrent en levrette. Leurs bites étaient impressionnantes, mais j'étais tellement trempée de tous les côtés qu'elles me pénétrèrent sans difficulté.



Je gémissais maintenant sans discontinuer, je perdais à demi conscience de ce qui se déroulait. L'homme qui me sodomisait jouit en premier, et je sentis à peine qu'on me changeait de position, et qu'on me détachait seulement les mains. Je pouvais ainsi prendre appui sur mes bras.

Je m'empalai de nouveau sur l'homme qui me sodomisait. Un autre pénétra ma chatte, et un troisième planta sa verge dans ma bouche.



Ils se maîtrisaient parfaitement, et ils firent durer le plaisir, attendant que mes gémissements reprennent et montent dans les aigus. Alors seulement, ils se retirèrent, et déchargèrent sur mon visage.



J'étais maintenant dans un état second. Je ne pensais plus qu'à faire l'amour, dans toutes les positions, avec le plus de mecs possibles. Je me dis que je devrais compter le nombre d'hommes qui me possèderaient.

A ce moment là, je vis le trio de blacks que j'avais remarqué en arrivant. Ils s'approchaient, de toute évidence pour profiter à leur tour de mon corps.

-Oh oui, les gars, approchez-vous, j'ai envie de vos queues en moi, partout !

Ils ne se firent pas prier ! Ils attachèrent mes poignets, et me donnèrent ensemble leurs bites couleur d'ébène à sucer.



Je me mis à les lécher et les engloutir avec gourmandise, pendant plusieurs minutes, me régalant de les sentir palpiter entre mes lèvres et sur ma langue. Puis, l'un d'eux se plaça entre mes cuisses, et me planta son dard dans mon minou.



Il me tringla longuement, profondément. J'avais l'impression que son gland remontait jusqu'à mon nombril ! Je poussais de petits cris aigus, en l'encourageant.

-Aaah ! C'est trop bon, c'est génial... Oh, oui, oui ! encore, encore... Oui, je jouis !

Et un nouvel orgasme me tétanisa, alors que je me croyais épuisée.

Il se retira sans avoir éjaculé, et déjà, un de ses copains me soulevait, pour que je m'empale sur sa queue. Mais c'était à mon petit trou qu'il en avait et, malgré la taille de l'engin, je le sentis s'enfoncer au plus profond de mes entrailles.



Il me soulevait de ses mains puissantes, pour me laisser retomber sur sa bite, provoquant chaque fois un spasme de plaisir dans le creux de mes reins.

L'épuisement me gagnait de nouveau, mais mes partenaires n'en avaient que faire. Après un nouveau changement de position, je me retrouvai prise en sandwich.



Je n'avais même plus la force de manifester mon plaisir, et je ne pouvais plus que pousser de petits râles, lorsque leurs couilles venaient battre contre mes fesses. Cette dernière double pénétration de la soirée dura longtemps, car les deux hommes se maîtrisaient parfaitement, et profitaient sans vergogne de mon corps offert, dans un total abandon.

Enfin, ils se retirèrent, et approchèrent de mon visage leurs sexes bandés, comme prêts à éclater. Une ultime onde de plaisir me traversa, quand leur foutre jaillit, et vint éclabousser mon visage.



Ce sperme s'ajouta à celui de mes autres partenaires de la soirée, luisant encore sur ma peau.



J'étais fourbue, mais comblée. Autour de moi, des groupes d'hommes et de femmes commençaient aussi à s'activer, mais la plupart des invités n'avaient pas perdu une miette de mon gage, et m'applaudirent.

Clotilde m'apporta une serviette, et me guida vers une salle de bains, pour que je puisse me rafraîchir. Mes jambes me portaient à peine, et elle dut me soutenir jusqu'à la douche.

Je restais un long moment à laisser l'eau très chaude couler sur mon corps, le débarrassant de ma sueur et du sperme de mes nombreux partenaires. Je cherchais à en compter le nombre, et j'arrivai à treize...



Je finis par ressortir de la salle de bains, et je déambulais dans les différentes pièces de la propriété. L'activité était à son comble.



J'étais trop fatiguée et rassasiée pour me joindre à l'orgie, même si tout cela était bien tentant. Mais Lisa semblait, quant à elle, au mieux de sa forme !



Au petit matin, je repartis en voiture avec Lisa et Simon.

-J'espère que tu ne me tiendras pas rancune de cette soirée ? s'inquiéta Lisa.
-Non, pas du tout. Le match de catch contre toi était génial, et je n'ai pas regretté de t'avoir donné cette idée de gage.
-Et la séance de bondage ? Je ne savais pas comment tu réagirais...
-Au début, j'ai eu très peur, et j'ai trouvé ça humiliant. Et puis, au fur et à mesure, j'ai découvert le plaisir de m'offrir sans défense, et de collectionner les orgasmes.

La conversation ne dura pas plus longtemps, car je me suis endormie dans la voiture.


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Chloé et la fièvre du samedi soir

Le lendemain de ma première exhibition sur la plage, il y eut un orage, et je n'ai pas pu poursuivre mes séances de bronzage intégral, à mon grand regret.

Heureusement, il y avait une boîte, dont l'ambiance très ″chaude″ était réputée aux alentours, et Carine avait appris qu'ils organisaient une soirée ″fille la plus sexy″ ce soir-là. Sans trop savoir en quoi cette soirée consistait, nous avons décidé d'y aller toutes les deux.

Pour l'occasion, je décidais de mettre une robe, au décolleté parfaitement indécent - elle se portait normalement avec un fond opaque en dessous - mais j'avais préféré m'en passer, et me passer aussi de soutien-gorge !



Sans que nous nous soyons consultées, Carine avait opté pour une minirobe, tout aussi décolletée.



Nous craignions d'être un peu trop provocantes mais, lorsque nous sommes arrivées dans la boîte, vers minuit, nous avons vu d'autres filles aussi sexy...





... sans parler de la fille du vestiaire !



Nous sommes rentrées dans la salle principale, et le barman nous a installées à une petite table, entre la piste de danse et une grande estrade. Il nous a précisé que nous pouvions consommer gratuitement, à volonté, si nous acceptions de participer à un concours de t-shirts mouillés, et que les finalistes gagnaient l'entrée gratuite pendant tout l'été.

Sans nous poser plus de questions, nous avons accepté toutes les deux, et il a noté nos prénoms en nous apportant le cocktail de la maison. C'était délicieux, mais plutôt traitre et... aphrodisiaque !

Pour l'instant, tout était plutôt calme et, tout en sirotant nos cocktails, nous regardions quelques danseurs et danseuses qui évoluaient sur la piste.



Un peu plus tard dans la soirée, un animateur, Jérémy, monta sur la scène, et annonça que le concours de t-shirts mouillés allait bientôt commencer. Il invita les participantes à aller se préparer, dans une pièce derrière l'estrade.

Nous étions douze candidates, et on nous remit un ensemble composé d'un t-shirt et d'une minijupe, dans un tissu blanc très mince. Nous nous sommes toutes déshabillées, ne gardant que nos slips ou nos strings - deux filles ont gardé leurs soutiens-gorge - et nous avons passé les tenues blanches.

Nous sommes rentrées sur scène, et Jérémy nous demanda de nous présenter. J'étais la plus jeune, et il décida que je passerais la dernière.

Le concours se déroulait en trois épreuves, à l'issue desquelles les filles qui auraient obtenu le moins de succès seraient éliminées. Pour la première sélection, nous n'avions pas le droit d'enlever de vêtement.

Chacune à notre tour, l'animateur nous arrosait copieusement, et le t-shirt devenait transparent.



Certaines candidates étaient trop timorées...



Carine passa en 10ème position, et se tailla un beau succès, avec une danse très suggestive.



Je passai la dernière, en minaudant un peu pour exagérer mon côté ″petite fille″, et je finissais en soulevant mon t-shirt. Je fis exploser l'audimètre !



Six candidates ont été éliminées, six autres - dont Carine et moi - étions sélectionnées, et la deuxième épreuve a commencé. Le règlement prévoyait que, à ce stade, nous pouvions nous mettre seins nus, mais nous devions garder le bas. Je me demandais ce que nous réservait la finale...

Le présentateur arrosa de nouveau chaque candidate, et Audrey, la première à se présenter, éclata d'entrée son t-shirt.



Carine l'imita peu de temps après.



Deux filles arrivèrent ensuite ensemble sur scène, ce que le public apprécia d'abord, mais leur prestation, très timide, déçut ensuite.



Quand vint mon tour, je relevai mon t-shirt pour me faire arroser, et j'avais baissé suffisamment ma minijupe, pour que le public découvre mon string.



Je sentais l'excitation monter dans le bas de mon ventre. J'enlevai ma jupe, je déchirai mon t-shirt, et je demandai au présentateur de m'arroser encore.





Finalement, nous étions 3 filles retenues pour la dernière épreuve : Audrey, Carine et moi.

Audrey se présenta en premier, et n'hésita pas à se débarrasser de son slip.



Suivit Carine, et je savais qu'elle aimait s'exhiber autant que moi.



Elle en rajouta, en se caressant sans la moindre pudeur, sous un tonnerre d'applaudissements et de cris d'encouragement.



Quand Jérémy appela :
-Et maintenant, la toute jeune Chloe, pour un final où je suis sur qu'elle va nous dévoiler son superbe corps entièrement nu !
J'avais effectivement envie de me foutre à poil, et de retrouver le plaisir que j'avais découvert sur la plage.



En un instant, je me retrouvai entièrement nue, je lançai mon string au hasard, et je me mis à danser, sous les bravos.



A mon tour, je décidai de faire monter les enchères : je m'agenouillai au bord de l'estrade, offrant une vue en gros plan de mes fesses et de ma chatte.



Les spectateurs étaient en délire, et le présentateur proposa que nous poursuivions notre exhibition toutes les trois, pour nous départager, proposition qui fut accueillie par un concert d'approbations.

Audrey s'allongea au bord de l'estrade, pour exposer à son tour son sexe aux regards.



Mais, avec Carine, sans nous consulter, nous avons improvisé un duo très chaud. Je me suis allongée entre ses jambes, et j'ai commencé à lécher son clito déjà dressé.



Puis nous nous sommes étendues sur l'estrade, et Carine a entrepris de me bouffer la chatte...



... avant que nous nous retrouvions en 69.



C'était fabuleux, je sentais le plaisir monter en moi, mais Jérémy interrompit notre exhibition, et fit voter le public.

A l'applaudimètre, nous distancions largement Audrey, mais il fut impossible de nous départager, et nous avons été déclarées gagnantes, ex-æquo.

Nous sommes allées nous rhabiller, mais je n'ai pas récupéré mon string... ce qui ne me gênait pas beaucoup.

Nous sommes retournées dans la salle, sous le regard admiratif des hommes - mais aussi de certaines filles - et le barman nous rapporta deux autres cocktails. En regardant autour de nous, nous avons constaté que la température était montée parmi les clients, peut-être grâce à notre spectacle.





La tenue de plusieurs femmes devenait encore plus provocante.





Je décidai de retourner danser, sans cacher l'absence de mon string perdu.



Très vite, je me suis fait draguer par un mec très séduisant, qui s'est présenté : il s'appelait Simon, et était âgé d'une trentaine d'années. Il me plaisait, et j'avoue que j'avais vraiment envie de baiser.

Pendant que nous dansions, il n'hésitait pas à me caresser, et à soulever ma robe.



Je protestais pour la forme, et je le laissais m'embrasser et explorer mon corps.



Carine me prit à part, et me glissa à l'oreille :
-Tu es sacrément vernie. Ce type a une réputation de bête de sexe. Je connais des nanas qui ont couché avec lui, et elles racontent qu'il les a vraiment fait grimper aux rideaux ! Mais, avec lui, il vaut mieux avoir beaucoup de tempérament, et peu de tabous.
-Et il est célibataire ?
-Non, il est avec une fille qui s'appelle Lisa, un vrai canon.
-Elle n'est pas là ce soir ?, demandai-je à Carine.
-Non, mais ce n'est pas surprenant, ils sont très libres et, côté cul, chacun peut faire ce qu'il veut. J'ai une copine qui m'a dit qu'ils partouzaient, et a priori, c'est très chaud !

Je retournai danser avec Simon, encore plus excitée, mais le présentateur revint sur l'estrade, pour annoncer une nouvelle animation.

-Mesdemoiselles ! Pour terminer la soirée en beauté, nous vous offrons un spectacle de strip-tease... masculin ! Je vous demande d'accueillir chaleureusement la vedette de ce spectacle, j'ai nommé Ken !

Ken entra sur scène, salué par une ovation de toutes les filles présentes.

C'était ce qu'on appelle un beau mec, musclé et bronzé. Il portait un gilet et un pantalon en cuir, et dansa un long moment en prenant des poses suggestives, avant de les enlever.

Toutes les nanas s'étaient regroupées autour de l'estrade - et j'en faisais partie - pour regarder au plus près Ken, et elles attendaient impatiemment qu'il enlève son boxer gonflé par une bosse prometteuse. Certaines n'hésitaient pas à caresser sa poitrine, ses cuisses et ses fesses, mais il se détournait pour faire monter la tension.

Enfin, il s'adressa à une jolie blonde, dont la timidité était évidente (on se demandait ce qui l'avait amenée dans cette boîte), pour lui demander de baisser son boxer.



Elle refusa en rougissant et, comme j'étais juste à côté, Ken se tourna vers moi. J'étais nettement moins timide ! Et je découvris une superbe queue à demi dressée, mais déjà très imposante. Mon geste fut salué par des cris stridents, et j'empoignai sans retenue ce sexe mâle.



Je me mis à le sucer, avec gourmandise. Il avait un goût de fraise vraiment délicieux. Et le présentateur lança dans le micro :

-Et bien, je vois que la jeune et jolie Chloé veut honorer son titre de ″fille la plus sexy″, pour le plus grand bonheur de Ken !



Carine m'avait rejointe, bien décidée à ne pas me laisser le monopole de la fellation.





Et tout autour de nous, les filles devenaient hystériques.



Simon nous rejoignit. Il était déjà nu, et en un instant, ma robe disparut. Je me retrouvais étendue sur la scène, et les deux hommes commencèrent à me caresser. Les doigts de Simon fouillaient ma chatte trempée, et je commençais à gémir.



Ken m'abandonna, pour s'occuper d'autres spectatrices, Carine prit sa place, et se mit à jouer avec mon clito. C'est alors que Simon me pénétra.



Autour de nous, un groupe de voyeurs s'était formé. C'était la première fois que je faisais l'amour en public, et cette pensée fouetta tous mes sens. Je fixais la bite de Simon, qui disparaissait dans ma fente offerte, centimètre par centimètre, et je goûtais la progression du gland gonflé dans mon ventre.



Sans nous désunir, Simon se mit debout, et je me mis à le chevaucher, accrochée à son cou. Je perdais tout contrôle de moi-même, et mes cris de plaisir couvraient la musique - je suis du genre bruyant quand je jouis...



Carine m'avait abandonnée à son tour, et je la vis peu après, sirotant un cocktail, en s'empalant sur un autre type.



J'avais connu un orgasme foudroyant, mais Simon ne comptait pas en rester là, et je me retrouvais agenouillée, en levrette. Je sentis sa queue explorer le sillon de mon petit cul, et forcer doucement mon anus.



Je poussai un cri, où se mélangeaient la surprise, un peu de douleur, et aussi une nouvelle excitation. Mes rares expériences en matière de sodomie n'avaient pas toute été concluantes mais, très vite, de nouvelles vagues de plaisir montèrent en moi, tandis que Simon allait et venait de plus en plus vite dans mon petit trou.



Au bout de quelques minutes, un nouvel orgasme me submergea comme une lame de fond. Simon, quant à lui, n'avait pas éjaculé, et il se retira... provisoirement.

En me relevant, je vis que, dans la boîte de nuit, la situation était totalement hors de contrôle.



Ken et Jérémy n'hésitaient d'ailleurs pas à payer de leurs personnes !



Simon s'allongea, et m'invita à venir sur. D'une main, je guidai son gland vers mon petit trou, puis je m'empalai sur sa verge.



Dans cette position, mes jambes largement écartées ne cachaient rien de ma chatte d'où s'écoulait un filet de cyprine, preuve de mon état d'excitation. Sans que j'en aie conscience, c'était une invitation à une double pénétration, et il ne fallut pas attendre longtemps pour qu'un deuxième homme y réponde. C'était fabuleux !!



Très vite, mes deux partenaires coordonnèrent leurs coups de boutoirs, et je perdis toute retenue. D'une voix entrecoupée par des râles suggestifs, je les encourageais, en criant des mots que je n'aurais jamais imaginé pouvoir prononcer en public.

-Oh oui, allez-y, je sens bien vos bites au fond de moi... Bourrez-moi le minou, défoncez mon cul... Faites moi jouir.... Oh oui, plus vite... Oh c'est bon, putain, c'est trop bon, je sens que je vais jouir....

Le spectacle que nous offrions attirait des spectatrices et des spectateurs, et une troisième queue se fraya un chemin entre mes lèvres.



D'autres spectateurs se masturbaient en nous regardant, et je fus emportée, non pas par un, mais par toute une série d'orgasmes. Je n'avais jamais connu ça.

Le premier, l'homme qui me tringlait la chatte jouit sur mon ventre, le maculant de sperme.



L'homme que je suçais, déchaîné par cette vue, jouit à son tour dans ma bouche et sur mon visage.



Presque aussitôt, je sentis la queue de Simon coulisser plus rapidement dans mon petit trou, et il gicla en moi. Quand il se retira, son foutre s'écoula lentement entre mes fesses.



Je soulevai mes fesses pour permettre à Simon de se dégager, et je restai là, agenouillée, à bout de souffle. Quatre hommes m'entourèrent aussitôt, pour que je les branle et que je les suce. Malgré ma fatigue, je n'ai pas pu les décevoir, et quelques minutes après, je me retrouvais couverte de sperme.



Totalement épuisée, je me laissai tomber sur la scène, à bout de souffle, mon corps nu ruisselant de sueur.

La boîte de nuit devait fermer, et quelqu'un m'apporta des lingettes pour m'essuyer. J'eus quelque difficulté pour récupérer ma robe, et mon string resta introuvable.

Carine me rejoignit et, au vu des cernes sous ses yeux et de son maquillage dévasté, elle avait passé, elle aussi, une nuit mémorable.

Je sortis en même temps que Simon. Le jour commençait à poindre. Il allait sans doute retrouver Lisa, mais avant de me quitter, il me lança une invitation.

-Je crois que tu aimes particulièrement la plage, me dit-il avec un sourire plein de sous-entendus (il avait du entendre parler de ma petite exhib). Si tu es libre, je passe te chercher lundi après-midi, et je t'emmène dans une crique fréquentée par des initiés.

J'acceptai bien entendu, en pensant que je ferai peut-être la connaissance de Lisa...
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Chloé : sea, sex an sun, avec Lisa


Après ma soirée de folie en boîte avec Carine, je suis rentrée chez moi, et j'ai dormi comme une souche.

Je me suis réveillée en début d'après-midi, en me demandant si mes souvenirs de cette soirée correspondaient à la réalité, ou à un rêve... très agréable. Mais ma chatte et mon petit cul, encore sensibles et endoloris, m'ôtèrent tout doute.

Je me demandais ce que j'allais faire de cette journée, pour laquelle je n'avais pas de projet, alors que je savais que mes amis n'étaient pas disponibles.

Finalement, je décidais d'aller seule à la plage, pour parfaire mon bronzage, en attendant mes retrouvailles avec Simon, le lendemain.

J'avais récupéré un nouveau micro-maillot, et j'ai décidé d'aller à la crique où je m'étais livrée à ma première exhibition. J'ai enfilé une minirobe de plage, et je suis partie sur mon scooter.

Arrivée sur le parking, j'ai abandonné mon scooter, et j'ai emprunté de nouveau le chemin qui menait à la plage. Il y avait plus de monde que la dernière fois, et je m'installais auprès d'une fille paraissant avoir à peine 18 ans, qui faisait du topless.



Elle avait des seins ronds superbes, avec des aréoles claires dont j'eus tout de suite envie de lécher les pointes.

Nous avons échangé un sourire, et j'ai enlevé ma robe. En découvrant mon maillot, la fille me jeta un regard, dans lequel on lisait de l'étonnement, mais aussi un peu d'envie.



Il faut dire que ce maillot, bleu, se réduisait à un jeu de rubans et cachait encore moins mon anatomie que le bikini de ma séance d'exhib précédente. Les regards qui se posaient de nouveau sur moi, loin de m'inhiber, m'excitaient encore une fois. Mes seins durcirent, et je sentis ma chatte s'humidifier.

Ma voisine, peut-être encouragée par ma tenue, s'était allongée sur le ventre, et elle avait baissé son slip pour mieux bronzer.



Afin d'essayer de me calmer un peu, j'ai décidé d'aller me baigner, mais passer entre les estivants qui me mataient me faisait plutôt l'effet contraire. Les pointes de mes seins dardaient à travers mon bikini, et la fraîcheur de l'eau aggravait la situation.

L'envie de m'exhiber totalement était de plus en plus forte. Je retournai à ma serviette et, n'y tenant plus, je me débarrassai de mon maillot, avant de passer un peu de crème solaire sur mon corps nu.



Mon exemple dut avoir raison de la retenue de ma voisine car, en tournant les yeux, je la vis étendue également en tenue d'Eve.



Elle avait vraiment un corps superbe, et je me dis qu'elle aurait du succès dans une partie comme celle à laquelle j'avais participé la veille.

Elle me sourit, et j'engageai la conversation.

-Tu t'appelles comment ?
-Mélanie, et toi ?
-Chloé. Toi aussi, tu aimes être nue ?
-Oui, mais jusqu'à présent je n'avais jamais osé, en public. C'est en te voyant enlever ton maillot, là, alors que personne ne fait de nudisme, que je me suis décidée.
-Et tu ne regrettes pas ?
-Pour l'instant, non, au contraire, me répondit-elle avec un petit sourire.

Tout en me parlant, elle s'était tournée vers moi et, sans doute sans y penser, elle avait ouvert largement ses jambes, découvrant sa chatte.



Sans que Mélanie le remarque, quelques voyeurs s'étaient approchés.



-J'ai envie de retourner me baigner avec toi. Ca te tente ?
-Mais ça veut dire passer à poil entre tous les gens qui sont ici ? s'inquiéta-t-elle.
-Bien sur, mais tu vas voir que c'est excitant. Et puis, c'est vachement agréable de se baigner nue !

En rougissant un peu, elle se leva, et nous sommes allées vers l'eau. En chemin, elle eut une frayeur, en voyant quelqu'un qu'elle connaissait.



Mais elle s'est ressaisie, et nous avons couru jusqu'à l'océan.



Nous avons nagé tout en discutant. En ressortant de l'eau, Mélanie avait pris de l'assurance, et ne cachait plus une certaine fierté de se montrer en public.



Nous nous sommes étendues sur nos serviettes, et je lui ai proposé de la masser avec de l'huile solaire. Elle a accepté, et j'en ai profité pour explorer son corps.

Je me suis attardée sur ses seins, que je sentais durcir sous mes doigts. Les petites aréoles pointaient, et la respiration de Mélanie accéléra.



Ma main descendit sur son ventre, qui se contracta. Elle se cambra, puis écarta légèrement les jambes.



Mais, très vite, je sentis Mélanie se crisper. Elle se dégagea, et me dit à mi-voix.

-Je suis désolée. Je n'ose pas aller plus loin maintenant.
-Tu as tort, crois en mon expérience, lui murmurai-je suavement, en l'embrassant sur la bouche.



-Non, je ne peux pas. Je t'ai vue l'autre jour, ici sur la plage, avec ta copine. Franchement, je n'oserais pas.

Tous mes arguments ne parvinrent pas à la faire changer d'avis, et je restais frustrée par mon échec. Je ne pus m'empêcher de me caresser, pour me consoler et faire tomber ma tension.



Il ne me restait plus qu'à rentrer chez moi, et à attendre de retrouver Simon. Trop énervée, je dormis mal, et le lendemain matin, je réfléchis longuement à la tenue que j'allais choisir.

Pour la plage, je décidai d'emporter seulement un minuscule string, et de me passer de soutif. Et pour le trajet, je mis une minijupe blanche et un bustier rose, sans rien dessous.

Quand Simon arriva et m'embrassa, je savais que j'étais prête pour une journée de sexe, et pour me livrer à de nouveaux jeux inavouables. Simon m'ouvrit la portière d'un superbe 4 X 4, et je m'arrangeai pour lui offrir un point de vue sur ma petite chatte.



Nous avons roulé près d'une demi-heure, et Simon s'est engagé dans un chemin complètement défoncé. Il aboutissait au niveau d'une petite crique, juste derrière quelques arbres qui cachaient la mer.

Nous sommes descendus de voiture, et j'ai vu une fille qui revenait de la plage. J'étais tout de suite dans l'ambiance.



Nous avons vite rejoint le sable, et j'ai découvert une anse de sable entourée de rochers, très fréquentée : en majorité des couples ou des groupes hétéros, et plusieurs hommes seuls - comme je m'en doutais, c'était surtout des voyeurs.

Beaucoup d'estivants étaient nus ; il y avait plusieurs femmes en maillots, mais ceux-ci n'étaient guère plus décents que ceux que j'aimais tant.







Dans un coin de la crique, un trio s'en donnait à cœur joie. Je compris ce que Simon voulait dire, lorsqu'il m'avait parlé d'une plage fréquentée par des initiés !



Nous avons étalé nos serviettes et Simon se mit à poil. De mon côté, je me débarrassai de mon bustier et de ma minijupe, et j'enfilai mon micro string jaune.



Des gens autour de nous me regardaient, et je retrouvai de nouveau le plaisir d'offrir mon corps en spectacle. Mes seins durcissaient, ma fente s'humidifiait, et une sensation trouble me prenait dans le bas de mon ventre.

De son côté Simon commençait à bander, et je ne pouvais rester sans réaction à la vue de cet impressionnant pieu dressé. Je me souvenais du plaisir qu'il m'avait donné lors de la soirée en boîte, et je le pris dans ma bouche, provoquant un regain d'attention chez nos voisins.



Mon string avait disparu. Les reins cambrés, pour mieux découvrir ma chatte, je m'appliquais à rendre cette fellation inoubliable pour Simon. Ma langue excitait son gland, puis mes lèvres descendaient le long de sa verge, pour l'engloutir.



Nos voisins de plage appréciaient.



-Regarde le trio à côté..., ma lança Simon. Je ne sais pas si c'est de te voir me sucer qui les a inspirés, mais la fille ne s'ennuie pas !



-Oui, mais la petite veinarde, elle a deux mecs pour s'occuper d'elle, répondis-je.
-Qu'à cela ne tienne ! répliqua Simon, si tu veux plusieurs mâles pour te satisfaire, tu es au bon endroit.

Simon fit signe à deux types qui étaient tout près - et qui me mataient depuis un moment.

-Cette jeune fille a le feu au cul, leur annonça-t-il. Elle a envie que plusieurs hommes lui offrent leurs queues. Vous êtes partants ?

Quelle question ! Avec Simon, c'étaient bien trois hommes qui étaient à ma disposition, et j'en profitais.



Je regardais Simon de manière provocante, en jouant avec les bites des deux types et en les suçant.



L'un des deux commença à me pénétrer, pendant que je continuais de sucer l'autre, et que Simon profitait du spectacle.



Je sentais monter le premier orgasme de cette journée, et je me mis à gémir. A peine mes râles s'affaiblissaient, que Simon reprit l'initiative, et se mit à me baiser en levrette. C'était délicieux, je ne me lassais pas de sentir sa queue aller et venir dans mon sexe inondé de cyprine.



De nouveaux cris de plaisir s'échappaient de ma bouche, mais Simon ne me laissa pas jouir tout de suite. Il m'installa sur le dos, et entreprit de me pilonner l'abricot.



Cette fois, l'orgasme me foudroya, alors qu'un des voyeurs me déversait son foutre sur le ventre. Je recueillis sur ma langue les dernières gouttes de sa liqueur.



Pendant que je prenais mon pied, je n'avais pas remarqué qu'une nana superbe s'était approchée, et m'observait d'un œil amusé.



Simon lui sourit, et m'annonça :
-Chloé, je te présente Lisa. Je crois que tu en as entendu parler... Lisa, je te présente Chloé, la fille que j'ai rencontrée l'autre soir en boîte. Tu verras, c'est un tempérament, elle va te plaire aussi.

Même si je m'attendais à rencontrer tôt ou tard Lisa, je fus un peu décontenancée. Elle était nue, avec un corps de rêve qui dégageait une sensualité torride, débarrassée de tout tabou. Elle m'embrassa sur la bouche.

-Simon m'a raconté votre soirée. J'ai regretté de ne pas y participer ! Ca m'aurait plu que nous fassions l'amour en public, toutes les deux. Mais on va corriger cette erreur. Laisse moi m'occuper de toi.

J'étais étendue sur le dos, cuisses largement ouvertes sur ma chatte ouverte, et elle vint s'installer entre mes jambes. Avec une adresse diabolique, elle écarta mes lèvres, et son regard sur mon intimité me fit perdre la tête.



Sa langue commença à lécher mon clito, et deux de ses doigts se mirent à me fouiller, là où la queue de Simon s'était glissée quelques minutes avant.



Puis elle m'allongea sur le ventre, et je sentis sa langue explorer le creux de mes fesses, de ma chatte à mon petit trou. Je ne savais plus où j'en étais.



Lisa se dégagea, pendant que Simon me mettait à genoux. Il me pénétra, et Lisa s'allongea en dessous de nous, pour profiter du spectacle de mon sexe investi par son homme. Je goûtais la caresse experte de sa langue sur mon clito.



Simon était infatigable, et cette pénétration dura longtemps. Je jouis à deux reprises, en poussant des cris qui ameutèrent les voyeurs. Simon se retira et, pour qu'il n'y ait pas de jalouse, balança sa semence sur nos deux visages.



Il nous fallut un petit moment pour que nous récupérions, mais Lisa fut la première à se relancer au milieu d'un groupe d'hommes qui nous admirait, au garde à vous. Elle empoigna les bites dressées, pour les sucer, à tour de rôle.



Simon se chargea d'organiser pour moi la suite des « festivités ». Il repéra un groupe de blacks, dont il était manifestement ami. Leur nudité ne cachait rien de leurs imposantes virilités - je croyais qu'il s'agissait d'une légende mais, là, les trois hommes exhibaient des engins d'un calibre très supérieur à la moyenne !

Complètement excitée par l'atmosphère d'orgie qui régnait sur la plage, je pris les deux premiers mecs qui se présentaient dans ma bouche.



Puis je m'occupais de la bite du troisième, et au fur et à mesure que je l'excitais, je pis conscience de sa taille.



Je ne pensais même plus à me dégonfler. L'envie de faire l'amour, de me faire défoncer était la plus forte. Je me mettais en levrette, et j'offrais ma chatte au premier black, qui m'enfila d'un grand coup de rein.



J'étais déchaînée, mon sexe me faisait penser à un volcan en éruption. Je me dégageai, et je demandai au type qui me pénétrait de s'allonger. Je m'empalai sur son sexe dressé.



Dans cette position, je montrais mon petit trou, généreusement offert, ce qui ne pouvait pas manquer d'aiguiser le désir des deux autres mecs.



Je n'eus pas à attendre bien longtemps ! Je sentis des doigts habiles lubrifier ma rondelle, et un pieu bien raide se glisser entre mes fesses.



Mes deux partenaires synchronisaient parfaitement leurs coups de boutoirs. C'était fabuleux. Je poussais des gémissements qui les excitaient sans doute encore plus.



Un orgasme fabuleux me tétanisa, sans me rassasier, et je pris dans ma bouche une troisième queue couleur d'ébène, que je me mis à sucer goulument.



C'était délicieux, mais mes partenaires décidèrent d'échanger leurs places. Le black que je suçais s'allongea sur le dos, et ils me guidèrent pour que je vienne le chevaucher, mon petit trou sur son énorme bite dressée.



C'était hyper excitant de contrôler moi-même cette pénétration. Jamais un aussi gros gland ne s'était frayé un chemin dans mon cul. Je m'empalais lentement, avec des petits mouvements de reins, en goûtant sa progression et en poussant des petits cris de plaisir.

Bientôt, je sentis mes fesses se poser sur le pubis de mon partenaire, et je m'étonnais d'être parvenue à me faire enculer à fond par un tel engin. J'ondulais lentement des hanches, en exprimant à haute voix ce que je ressentais.

« Oh oui ! Je la sens bien ! J'aime quand tu bouges dans mon cul... Oui, comme çà ! J'adore ta queue qui glisse entre mes fesses ! »



J'étais déchaînée, et je ne voulais pas en rester là. Ma chatte largement offerte trahissait mon désir d'être prise en sandwich, et les candidats ne manquaient pas ! Un autre type vint planter son sexe dans ma fente trempée.



Il n'eut aucun mal à me pénétrer, dans l'état où j'étais !

« Qu'est ce qu'elle est bonne cette bite ! Ouah, c'est bon de se faire baiser des deux côtés en même temps !... Allez-y tous les deux, faites moi jouir, j'ai envie de m'envoyer en l'air comme une salope... C'est ça, plus vite, plus fort !!!! »

Je n'avais pas vraiment besoin de les encourager. Le black que je chevauchais me saisit par les hanches, me faisant monter et descendre à un rythme fou sur sa verge qui semblait prête à éclater. Mon autre partenaire avait adopté la même cadence. Quel pied !

Comme si çà ne suffisait pas, l'autre black qui baisait mon minou juste avant - sans doute dépité de ne pas avoir retrouvé sa place - vint planter son énorme gland dans ma bouche.



Je retrouvais, sur son dard, la saveur de ma cyprine...

Cette journée à la plage serait vraiment inoubliable ! J'avais déjà découvert lors de ma soirée en boîte mon penchant pour le sexe sans tabou, mais j'avais maintenant l'impression que rien ne pouvait plus m'arrêter. J'avais autour de moi autant de partenaires que je pouvais en désirer et, pour l'instant, mon envie de baise, de caresses, d'exhibition effrénée était toujours aussi impérieuse.

Je ne sais pas combien de temps le trio se démena dans mon intimité, ni combien de fois j'ai pu jouir, matée par une troupe de voyeurs des deux sexes, mais le black que je suçais fut le premier à jouir, déversant sa semence dans ma bouche et sur mon visage avec un long grognement de satisfaction.



Ce fut le signal pour mes deux autres partenaires, qui abandonnèrent ma chatte et mon cul pour m'offrir le spectacle de leur plaisir, et du foutre giclant sur mon corps.



Des spectateurs se rapprochèrent en se branlant pour me faire profiter également du résultat de l'excitation que j'avais provoquée. Je m'étais laissé tomber sur ma serviette, et je me retrouvais couverte de sperme.



Cette fois, j'étais épuisée. Je me soulevais sur mes coudes pour regarder autour de moi, et je vis Lisa. Manifestement, elle avait plus de résistance que moi, car elle continuait de combler un groupe de mecs !



Elle me fit signe de la rejoindre, mais je n'en avais plus la force, et je décidai d'aller me baigner, avant de m'offrir une petite séance de bronzette, qui paraissait finalement bien sage.



Lisa et Simon vinrent me rejoindre, et nous avons discuté sur le sable.



Ils m'ont dit à quel point ils avaient tous les deux apprécié l'énergie avec laquelle je faisais l'amour, et mon absence de tabous, rare chez une fille de mon âge. Je leur ai avoué aussi à quel point j'avais pris du plaisir avec Simon, mais aussi avec Lisa, et combien je serais comblée de les retrouver, avec d'autres mecs et d'autres nanas aimant jouir autant que moi. Leur sourire m'a laissé penser que je n'aurais pas très longtemps à attendre...
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Chloé : l'initiation de Sarah


Mes vacances se poursuivaient, j'étais ravie de mon bronzage (intégral...), et nous arrivions au mois d'août.

Avec Carine, nous nous racontions nos aventures - et elles étaient pimentées - parfois devant Sébastien et Sarah. J'avais remarqué que Sarah semblait gênée en écoutant nos confidences, mais je n'y avais pas porté beaucoup d'attention.

Un soir, on sonna à une heure tardive, à la porte de mon appartement. J'ouvris, et je me retrouvais face à Sarah, qui paraissait bouleversée.

-Bonsoir, mais entre donc, lui dis-je en souriant. Qu'est ce qui t'amène ?
-Voilà... Ca n'est pas facile à dire, bredouilla-t-elle d'une voix assourdie par l'émotion. C'est au sujet de Sébastien. Voudrais-tu m'aider ?
-Bien sur, entre voyons !

Lorsqu'elle fut assise dans un fauteuil, Sarah m'expliqua la situation.

-J'ai l'impression que Séb risque de me laisser tomber. Lorsque Carine et toi, vous racontez vos aventures, je vois bien qu'il est excité, et qu'il voudrait que je sois comme toi. Malheureusement jusqu'à présent, je me suis sentie incapable de faire les mêmes choses. J'ai bien essayé d'être plus sexy, de me mettre seins nus sur la plage, mais Sébastien en attend beaucoup plus.

J'avais effectivement été surprise en découvrant que Sarah bronzait topless depuis peu, lorsque nous allions à la plage ensemble, mais je n'en avais pas deviné la raison.



-Comment voudrais-tu que je t'aide ? lui demandai-je, embarrassée.
-Je me suis décidée à franchir le pas, à me libérer complètement, et je voudrais que tu sois, en quelque sorte... ma « prof ». Je pense qu'il faudrait que je m'exhibe pour reconquérir Séb, mais je n'ai pas envie de le faire devant des gens que je connais, et je ne sais pas comment faire.

Je risquais une proposition.

-Nous pourrions aller sur la plage dont je t'ai déjà parlé, celle où j'ai fait la connaissance de Lisa. Qu'en penses-tu ?
-Oui, c'est une bonne idée. Mais d'après ce que j'ai compris, vous ne vous contentez pas de vous montrer nus : vous faites aussi l'amour en public, parfois à plusieurs, objecta Sarah en rougissant.
-Rassure-toi, Sarah ! Personne ne te violera, et je suis certaine qu'au bout d'un moment tu te lâcheras, et que tu découvriras plein de choses !
-Bon, je suis d'accord pour tenter l'expérience, murmura Sarah, vaincue. Tu sais, je suis vraiment amoureuse de Séb.
-Ne perdons pas de temps ! Je suis libre demain, je vais te prêter un de mes maillots, pour que tu te montres sexy dès notre arrivée, entre le parking et la plage. Après, je pense que tu auras vite envie d'être à poil, toi aussi...

Je sortis mes maillots, et ma collection s'était considérablement enrichie ces dernières semaines ! Sarah se livra à une série d'essayages, allant du microbikini noir...



... au blanc.



Ensuite, je ne laissai pas à Sarah le temps de changer d'avis : je pris mon téléphone, et j'appelai Sébastien, mettant l'ampli et faisant signe à mon amie de ne pas se manifester.

-Sébastien ? C'est Chloé. Je t'appelle, car j'ai vu Sarah aujourd'hui. On a parlé longtemps ensemble, et je l'ai convaincue d'aller demain, tous les trois, sur une plage que je connais, pour essayer de la « décoincer » un peu.
-C'est sympa, mais je ne suis pas sûr que tu y arrives. Enfin, ça n'empêche pas de tenter le coup, c'est vrai que si elle était un peu moins prude, les choses iraient mieux entre nous deux.
-Alors, tu passes prendre Sarah demain chez elle, et vous me récupérez au passage ? Je te montrerai le chemin.

Je raccrochai, et je vis que Sarah avait les larmes aux yeux. Mais elle était maintenant décidée, et elle ne pouvait plus faire marche arrière.

Le lendemain matin, Séb vint me chercher comme convenu. Sarah était dans la voiture, et je vis derrière son cou le lien qui retenait le haut du bikini que je lui avais prêté. Je le guidais dans le dédale de chemins qui menait à la plage.

Arrivé sur le parking, nous nous mîmes en maillots, comme d'habitude, et je vis une expression d'incrédulité dans les yeux de Sébastien, lorsqu'il découvrit la tenue de sa copine.



Nous prîmes le petit sentier allant à la plage, et nous nous installâmes sur le sable.

Sarah gardait ses lunettes de soleil, pour pouvoir observer discrètement les gens qui la regardaient, et elle alla se baigner directement, seule.



Pour ma part, j'étais déjà en tenue d'Eve, et je me passais un peu d'huile solaire sur le corps.



Il y avait encore peu de monde sur la plage. Séb avait enlevé aussi son bermuda, et admirait la plastique de quelques femmes autour de nous, tout en me confiant sa première impression sur le changement d'attitude de Sarah.

-Je ne sais pas comment tu as fait, mais je ne m'attendais vraiment pas à découvrir un jour Sarah dans un bikini aussi sexy ! J'espère qu'elle va vraiment se lâcher.
-Il ne faut pas brusquer trop les choses, laisse-moi prendre l'initiative. Mais je t'assure qu'elle tient énormément à toi, et qu'elle est décidée à te reconquérir.

Je m'interrompis, car Sarah revenait de sa baignade. Elle ne fit aucun commentaire sur ma nudité ni sur celle de Seb, et s'allongea sur le ventre, en regardant autour d'elle.



Elle était encore inquiète, craignant d'être vue dans cette tenue par des gens qu'elle connaissait. Malgré tout, elle prenait peu à peu confiance, et se retourna pour bronzer, oubliant que le bikini ne cachait pas grand-chose de son anatomie.



Au bout de quelques minutes, je lui proposai de l'enduire d'huile solaire. Je commençais mon massage, exagérant le fait que le maillot me gênait. Je sentais Sarah troublée par le contact de mes doigts sur sa peau.

-Tu veux bien que je t'enlève ton maillot ? lui demandai-je à mi-voix, ce serait plus facile pour étaler l'huile. Et puis, tu ne commences pas à avoir envie d'être nue aussi ?
-Si, je ne pensais pas que ce serait si agréable.

Je la débarrassai en un clin d'œil des quelques morceaux de tissu, et je poursuivis mon massage, de plus en plus sensuel.



Ma main s'attardait sur ses seins, descendait sur son ventre. Le souffle de Sarah devenait plus court, et je m'enhardis, commençant à explorer sa chatte.



Je l'embrassai, et elle s'abandonnait totalement, m'offrant ses lèvres humides. Elle écartait maintenant les cuisses, inconsciente de la présence des personnes qui commençaient à nous regarder.



-Tu aimes çà ?
-Oh oui ! avoua-t-elle. Qu'est-ce que c'est bon !
-On nous regarde, mais c'est l'habitude ici.

Elle eut un petit mouvement de recul, mais je poursuivais mes caresses en la rassurant.

-Tu vas voir, tu vas bientôt apprécier de t'exhiber. Fais-moi confiance.
-Oui, continue... Oh, oui, j'aime quand tu fais ça.
-J'ai envie de lécher ta jolie petite chatte.

Elle ne répondit pas, mais s'allongea en écartant les jambes pour me présenter sa fente entrouverte.



Je n'hésitai pas un instant, et je plongeai ma tête entre ses cuisses. Elle frémit lorsque ma bouche se posa sur sa grotte, délicieusement parfumée par sa cyprine. Ma langue trouva tout de suite son petit bouton, qui gonflait au fur et à mesure que je le léchais. Je le sentis palpiter, lorsque mon index s'enfonça dans sa fente.



Pendant ce temps-là, Sébastien nous matait, et n'en croyait pas ses yeux. Il se mit à se branler, me révélant pour la première fois sa queue dressée.



Je m'activais tant que les gémissements de Sarah grimpèrent bientôt dans les aigus, et qu'elle se mit à m'encourager.

-Vas-y Chloé, vas-y !... Oh, j'ai honte, je crois que je vais jouir, mais c'est trop excitant... Aaaah ! ça y est, je viens !
-


Je me relevai, et lorsque Sarah reprit un peu ses esprits, je l'aidai à se relever, et je lui désignai la superbe érection de Sébastien.

-Tu ne crois pas que Séb mérite que tu t'occupes de lui ? Je suis certaine que rien ne lui ferait plus plaisir qu'une fellation.

Elle me regarda en souriant, puis jeta un clin d'œil aguicheur à Sébastien. Elle s'agenouilla pour saisir le membre dressé, et prendre le gland entre ses lèvres.



Il était aux anges. Il fermait les yeux, et manifestait son plaisir par de petits grognements, chaque fois que Sarah enfonçait le pieu jusque dans sa gorge.



Je m'étais rapprochée du couple, maintenant objet d'admiration de tout un groupe de voyeurs. Cette situation ne semblait plus perturber Sarah le moins du monde.



J'étais frustrée d'être réduite au rôle de témoin, et d'être obligée de contempler les exploits de Sarah, sans pouvoir participer. Mais avant toute initiative, je voulais m'assurer que ma copine ne ferait pas une rechute de jalousie !

-Je trouve la queue de Seb très tentante. Ca te gênerait pas si je la suçais avec toi ?
-Non, je te dois bien ça, me répondit Sarah, se plaçant de telle manière que je pouvais embrasser la tige qu'elle pompait avec ardeur...



... avant que nous inversions les rôles.



Ce manège dura plusieurs minutes, mais Séb se dégagea, voulant se réserver pour la suite.

-Ma chérie, j'ai envie de te baiser là, devant tout le monde. J'en rêve depuis longtemps. En as-tu envie aussi ?
-Oh oui, sans doute autant que toi ! Je ne sais pas ce qui me prend, je sens que je vais jouir comme ça ne m'est jamais arrivé, répondit Sarah, en se mettant sur le dos, et en offrant son minou à la pénétration de son mec.



Elle ferma les yeux lorsqu'il la pénétra, savourant la progression de son gland dans son intimité. Elle se soulevait, pour voir la bite aller et venir dans sa chatte, avec un bruit humide révélateur de son excitation. Elle ponctuait chaque coup de boutoir d'un petit cri, mais ils se contrôlaient tous les deux pour faire durer ce plaisir nouveau.



Puis Sébastien la fit s'agenouiller, pour la prendre en levrette, et Sarah se prêta à ce changement de position, avec fougue.

-Tu veux te faire bourrer la chatte comme ça, petite cochonne ? Dis-moi que tu veux que je t'enfile devant tout le monde, lui demanda Séb.
-Oh, oui ! J'ai envie de ta queue au fond de mon ventre... Fais-moi jouir, vas-y !
-Tu ne vas pas être déçue, j'ai envie de te faire gueuler de plaisir.

Et il s'enfonça en elle d'un grand coup de reins.



Sébastien ne ménageait pas ses efforts, et Sarah était tellement secouée par les allées et venues forcenées de son partenaire, qu'elle avançait à chaque fois involontairement de quelques centimètres sur le sable.



Elle ne mit pas longtemps à atteindre l'orgasme, violent et... très bruyant !

-Oui ! oui ! ça y est, je jouis... Oh, comme c'est fort !... Je jouis, je jouis encore.

Je ne sais pas si Séb s'était dopé, mais il parvint encore à se retenir, et à ne pas éjaculer. Il s'allongea, et guida une Sarah haletante, couverte de sueur, pour qu'elle vienne coiffer son membre toujours aussi rigide.



J'aidais un peu Sarah à s'empaler sur cette bite infatigable. J'en profitais pour caresser et embrasser ses seins, durs comme du bois, et qui pointaient vers le ciel.

Je voulais profiter de ce spectacle, dont j'étais en grande partie responsable, mais je me sentais personnellement en manque de sexe !

Sarah, épuisée, atteignit une nouvelle fois le septième ciel. Elle se laissa glisser sur le côté, et m'embrassa à pleine bouche.



Sébastien poursuivit son coït pendant quelques instants, puis il commença à pousser à son tour des rugissements de plaisir. Il eut juste le temps de se retirer, et des jets de sperme épais et chauds giclèrent sur la poitrine de Sarah.



Le couple s'écroula sur le sable, à bout de forces, mais comblé. Il n'en était pas de même pour moi ! Plusieurs mâles me dévisageaient, avec une expression sans équivoque, et je pris une pose ne laissant pas non plus de doute sur ce que j'attendais.



Un homme se décida en premier, et vint s'allonger près de moi.

-Je m'appelle David. J'ai vu le spectacle que nous a offert ta copine, et j'ai apprécié, me dit-il. J'ai eu l'impression pendant un moment que c'était toi qui prenait l'initiative. Je me trompe ?
-C'est un peu vrai, lui répondis-je en riant. Je suis en train de faire son initiation, et je pense que je vais réussir, mais il ne faut pas la brusquer ! Au fait, je me présente : moi, c'est Chloé.
-Il me semble t'avoir déjà vue ici.
-C'est bien possible, lui avouai-je en minaudant.
-Si je me souviens bien, tu as un sacré tempérament. Après ce qui vient de se passer, je parie que tu as une énorme envie de sexe...

Depuis quelques secondes, mes yeux étaient rivés sur sa queue qui grossissait doucement et, en guise de réponse, je la pris dans ma main.



Cette fois, David bandait vraiment, et j'étais subjuguée par la taille de son sexe, et son énorme gland. Quel pied pouvait-on prendre avec ça dans une chatte bien trempée !

Sans plus de cérémonie, je me glissai contre lui, pour le sucer.



Je n'arrivais pas à le prendre en entier dans ma bouche, mais je lui trouvais une saveur salée très agréable, avec quelques effluves d'huile solaire. Mes lèvres allaient et venaient le long de sa tige, d'une raideur incroyable, et je mettais toute la sensualité dont j'étais capable dans cette fellation.



J'étais tellement excitée, que j'avais l'impression que mon minou était devenu totalement liquide. Malgré ça, je voulais faire durer ce moment, car je savais que ce serait ensuite un feu d'artifice, lorsque David me pénétrerait.

Mon partenaire était sur la même longueur d'onde, et il m'encourageait à continuer.

-Oui, continue comme ça. Tu suces comme une star du X. Tu joues dans des films pornos ?
-Pas du tout ! Je suis trop pudique, lui répondis-en riant, avant de recommencer à titiller sa bite avec volupté.



Je n'ai pas eu conscience du temps qui s'écoulait, mais vint enfin le moment que j'attendais. David me fit coucher sur le dos, et je le vis présenter son gland à l'entrée de ma fente, ruisselante de mouille.



Il n'eut aucune difficulté à s'introduire, et je poussai un feulement de satisfaction lorsque je sentis son pieu m'investir totalement, malgré sa taille.

David était aussi excité que moi, et il se mit à me limer, à grands coups de reins. Mes cris attiraient l'attention des personnes autour de nous, ce qui avait pour résultat de décupler notre désir.



Je parvins à un premier orgasme, et David eut envie de changer de position, ce qui n'était pas pour me déplaire.

Il s'allongea à son tour sur le dos, pour que je le chevauche. Aussitôt, je m'empalai sur sa queue dressée, en jetant un regard pervers vers les voyeurs qui nous mataient.



De ses mains puissantes agrippant mes hanches, David me soulevait pour mieux me laisser retomber sur son sexe qui transperçait le mien, à un rythme effréné.



Je sentais de nouveau les vagues du plaisir m'emporter, et je criais.

-Oui, oui, vas-y encore, baise-moi, baise-moi comme une bête !... Aaaah, je vais jouir... Oui, je jouis, c'est trop bon, j'en veux encore.

Dans l'orgasme, je m'étais penchée sur David, et j'offrais littéralement mon cul à tous.



Répondant à cette invitation muette, un deuxième homme me présenta sa bite à sucer. J'étais dans un tel état que je l'engloutis sans réfléchir.



David semblait goûter la situation, et il changea de position, pour que je puisse sucer l'inconnu plus librement.



David me demanda d'une voix sourde :

-Tu as envie de te faire prendre en sandwich ?
-Oh, oui, allez-y, faites de moi ce que vous voulez, mais faites moi jouir encore...
-Mais, dis-donc, tu sais que tu es une vraie salope ?
-Je ne sais pas, j'ai envie, c'est tout.
-Dis bien fort que tu es une salope, que tu veux te faire baiser et enculer par deux hommes. Il faut que tout le monde t'entende, ordonna David.

J'avais perdu tout contrôle de moi-même, je n'étais plus qu'une chienne en chaleur.

-Oui, je suis une salope ! Je vous veux tous les deux, dans mon minou, dans mon cul.

L'homme que je suçais s'allongea à son tour. David me guida pour que je vienne m'empaler sur lui. C'était une sensation délicieuse.

Puis je sentis la queue de David entre mes fesses. Malgré sa taille, il s'enfonça lentement.



Ce fut un peu douloureux au départ, puis je me détendis. Les deux hommes s'en rendirent compte, et se déchaînèrent pour mon plus grand plaisir.



Un dernier orgasme, multiple, m'emporta, dans un concert de cris inarticulés.

David se retint suffisamment pour se retirer de mon petit trou. Il vint s'agenouiller devant moi. Je vis sa queue trembler à la montée de l'orgasme, et le foutre gicler sur mon visage et dans ma bouche.



Presqu'en même temps, l'inconnu éjacula dans ma chatte, et je sentis les jets de sperme au fond de mon ventre. Je me dégageai doucement, et la semence s'écoula lentement de ma fente, pour se répandre sur son ventre.



Mes deux partenaires d'un moment m'abandonnèrent, allongée et haletante sur le sable.

Je pris conscience que j'avais été le point de mire d'un nombre non négligeable de paires d'yeux... dont ceux de Sarah et Sébastien. Je leur adressai un sourire de fille qui vient de passer un moment délicieux.

-Oh, putain, comme c'était bon ! Ces deux mecs m'ont fait prendre un pied d'enfer.
-Je me demande comment tu peux faire l'amour comme çà, avec des inconnus, s'étonna Sarah.
-Mais c'est super, c'est du sexe à l'état pur ! Tu n'as jamais rêvé de te faire prendre par un homme que tu ne connaissais pas ?
-Si... bredouilla Sarah en rougissant.
-Alors, les rêves sont faits pour être réalisés, quand l'occasion se présente. Et je suis certaine que çà exciterait Séb de te voir faire l'amour avec un autre, juste pour la recherche de ton plaisir. Pas vrai ?
-Si, je crois que j'aimerais te voir jouir devant moi, confessa Sébastien en regardant Sarah.
-Tu vois que j'avais raison ! Je triomphais, et je profitai de mon avantage : ici, c'est l'endroit rêvé. Tu as vu les mecs qui sont là ? Tu as l'embarras du choix, ils ne demandent que çà, et personne ne te connais.
-Chloé a raison, je suis d'accord avec elle, renchérit Séb. Allez, vas-y ! Laisse Chloé t'initier aussi à cette expérience !
-Vous êtes en train de faire de moi une vraie salope, murmura Sarah, vaincue.

Je ne lui laissai pas le temps de se reprendre. J'avais repéré un beau brun, qui nous regardait depuis un moment.



Je me dirigeai vers lui, et je lui expliquai rapidement la situation.

-Le couple qui est avec moi est novice, en matière d'exhibition. Sarah, ma copine, ne s'était jamais mise nue sur la plage, et n'avait jamais fait l'amour en public. On vient de la convaincre de se faire baiser sous les yeux de son copain. Ca te dirait de la sauter ici, tout de suite ?
-Quelle question ! Une proposition comme çà ne se refuse pas, elle est super mignonne, me répondit le type, incrédule.

Nous avons rejoint Sarah et Sébastien, et je leur confirmai que tout était OK. Sarah et moi nous installâmes de part et d'autre de l'homme qui bandait déjà, sous le regard de Sébastien.

Je guidai Sarah, et elle prit dans sa main tremblante le sexe dressé, qu'elle commença à lécher.



Je ne pouvais pas la laisser seule à profiter de ce festin ! Je joignis donc mes petits coups de langue aux siens, pour le plus grand plaisir de notre partenaire.



Sarah semblait commencer à trouver la situation agréable, mais elle n'osait pas encore prendre l'initiative, et je dus l'encourager.

-Vas-y, prends-le dans ta bouche, suce-le !

Presque timidement, elle posa ses lèvres autour du gland.



La bite du mec continua à gonfler, elle devenait vraiment énorme. Et Sarah la pompa de plus belle.



L'homme voulait préparer la chatte de Sarah avant de la pénétrer, et il la fit s'allonger pour lui prodiguer un long cunnilingus. Je l'embrassais, je la caressais, et le désir qui montait en elle emportait ses tabous.



Lorsqu'elle commença à gémir, son partenaire se releva, se préparant à la baiser. Je l'encourageai en l'embrassant encore.

-C'est génial, Sarah. Tu vas découvrir quelque chose que tu n'es pas prête d'oublier, et tu n'auras plus qu'une envie : recommencer, recommencer à faire l'amour avec plein de mecs, et même de nanas. Laisse-toi aller, complètement.



Tout en lui parlant, je m'allongeai à mon tour, et je lui présentai mon minou à caresser. Subjuguée, elle se mit à titiller les pointes de mes seins avec ses lèvres, et à branler mon clito.

Elle s'était agenouillée, reins cambrés, et elle sentit bientôt une bite forcer l'entrée de son sexe.



Sarah se faisait limer la chatte à un rythme d'enfer, et ses doigts fouillaient ma chatte inondée de mouille.

Elle ne mit pas longtemps à atteindre un premier orgasme, et je jouis aussi en râlant.



Sarah était maintenant déchaînée.

Elle se releva, et s'empala sur le dard dressé de son partenaire inconnu, sous les yeux d'un Seb, aussi excité que ravi de découvrir sa copine transformée en chienne en chaleur.



Je restais quelques instants à côté d'elle, en me caressant pour répondre au désir que cette scène faisait monter au creux de mon ventre.

A ce moment, je remarquai l'érection qui distendait la verge de Séb. Je ne pouvais décemment pas le laisser dans cette situation, compte tenu de ce que j'éprouvais moi-même.

Je le rejoignis, et je pris son gland turgescent dans ma bouche.



Je le suçais avec fougue, mais je pris le temps de m'interrompre, pour lui demander :

-Ca te plait de voir Sarah se faire défoncer ?
-Oh, oui, me répondit-il en haletant. Je ne l'aurais jamais cru capable de çà !
-Tu vois, il ne fallait pas désespérer. Garde-là bien, ce genre de fille ne court pas les rues !

Et j'engloutis son pieu, jusqu'à ce qu'il vienne buter au fond de ma gorge.



Me voir sucer Sébastien excita encore plus Sarah. Elle se soulevait de toute la force de ses bras, pour mieux se laisse retomber sur la bite qui la transperçait.

-Regarde-moi Séb, lançait-elle d'une voix déformée par le plaisir. Je vais jouir, oh mon amour, je vais jouir !



Séb ne pouvait pas se retenir bien longtemps. Ces paroles, et le spectacle qui s'offraient à lui poussaient son excitation à son paroxysme. Je sentis sa verge trembler entre mes lèvres, des spasmes secouaient tout son corps, et son foutre jaillit dans ma bouche et sur mon visage.



Sentant qu'il ne tiendrait pas plus longtemps non plus, son partenaire se retira de la chatte de Sarah, présenta sa queue aux lèvres de Sarah, qui n'eut pas le temps de lui prodiguer un dernier cunnilingus. Il lui déchargea à son tour toute sa semence, en pleine figure.



Nous nous retrouvâmes tous les quatre, écroulés sur le sable, frissonnant encore du plaisir qui nous avait emportés.

Sans un mot, l'inconnu embrassa Sarah et partit se baigner. Notre copine n'en revenait toujours pas :

-Et dire que je ne sais même pas comment il s'appelle...

Sébastien l'embrassa amoureusement, et Sarah, rayonnante, me lança un coup d'œil complice et reconnaissant.

Nous sommes allés nous baigner à notre tour, et nous sommes restés encore une heure à bronzer. Et c'est entièrement nue que Sarah retourna jusqu'à la voiture...


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Chloé - le stage de cohésion de groupe

Les dernières vacances - et toutes les aventures que j'ai racontées sans tabou ici - n étaient plus qu'un lointain souvenir...



Les cours avaient repris à la fac depuis plusieurs mois. Je m'éclatais bien dans quelques soirées étudiantes, mais je m'efforçais d'être sage lorsque j'étais à l'université.

Nous devions cette année, dans le cadre de notre cursus, réaliser en petits groupes des missions bien réelles pour des entreprises. Début janvier, Géraldine, une de nos profs (la plus jeune de la fac), nous indiqua qu'elle avait un contact avec une boîte prête à nous confier l'étude d'une campagne de communication.

Il s'agissait d'une chaîne de magasins ″de charme″, vendant une gamme de produits allant des vêtements et de la lingerie sexy aux DVD, en passant par des livres, des sextoys, etc...

Géraldine proposa de former un groupe restreint d'élèves, principalement des filles, la chaîne visant surtout la clientèle féminine pour cette campagne. Elle avait aussi pris contact avec une classe de master « commerce international » pour compléter l'équipe, car l'entreprise visait un développement dans d'autres pays.

Géraldine était particulièrement sexy, et beaucoup d'étudiants fantasmaient sur elle.



Je soupçonnais notre prof d'être une bonne cliente de ces magasins, et d'avoir obtenu ainsi ce contrat inespéré !

Le groupe d'élèves fut formé, et je fus l'une des premières à être sélectionnée. Malgré ma bonne conduite à l'université, je savais que quelques rumeurs courraient sur mon compte : mon goût pour l'exhibitionnisme et le sexe sous toutes ses formes ne semblaient pas être un secret.

Nous étions finalement huit filles (sans compter Géraldine), pour seulement deux mecs. Afin que nous fassions la connaissance des étudiants en commerce international, et que nous commencions à travailler sur le sujet, Géraldine organisa un ″week-end de cohésion de groupe″ à la montagne.

Après un voyage de nuit, fatigant, nous nous sommes retrouvés dans une station de ski. Nous étions hors saison, il y avait peu de monde, et Géraldine nous avait trouvé un grand chalet, isolé sur les hauteurs, en bordure d'une piste.

Après une bonne douche, et un plat montagnard, Géraldine a proposé que nous allions sur les pistes, et que nous fassions quelques photos dans l'esprit de la communication de la chaîne, pour nous mettre dans l'ambiance. Pendant ce temps-là, Hugo et Damien, les deux garçons, descendaient à la station avec Daphné et Julie, pour s'occuper du ravitaillement.

Nous fûmes donc six filles à suivre cette proposition. Il faisait beau, et Mélanie, Aline et Betty, qui avaient chaussé leurs skis, furent les premières à proposer de poser topless.



Géraldine semblait s'amuser beaucoup de leur audace, et elle se dit que ses élèves étaient très motivées. Mélanie me lança en riant :

-Et bien, Chloé, je pensais que tu serais la première à nous montrer tes seins, toi qui es la reine de l'exhib !
-Attendez un peu les filles, vous n'allez pas être déçues.

Je rentrai dans le chalet, pour en ressortir avec... juste mon bonnet. Un skieur passait sur la piste, et faillit tomber.



-Alors, vous pensiez que j'allais me dégonfler ? A vous de jouer, maintenant.

Jamais je ne m'étais mise nue dans ces conditions. La chaleur des rayons du soleil ne compensait pas la fraîcheur de l'air et du vent. J'avais la chair de poule, mes seins étaient durs comme du bois, et leurs pointes dardaient.

Mélanie, piquée au vif, déchaussa ses skis, et finit d'enlever sa combinaison.



Aline disparut à son tour quelques instants dans le chalet, et réapparut nue elle aussi, avec juste une grande écharpe et ses gants, une planche de surf à la main. Elle me fixa avec un air de défi.

-Tu vois, tu n'es pas la seule à oser te foutre à poil !



Les autres filles nous regardaient, ne sachant quelle attitude adopter. Sandra, sans doute la plus timide, nous surprit toutes, lorsqu'elle ressortit du chalet en tenue d'Eve. A l'expression de son visage, on devinait que ce n'était pas dans ses habitudes de montrer son corps en public.



Betty, à son tour, se dénuda. Elle glissa sur une plaque de glace, et se retrouva sur le dos, cuisses largement écartées. Elle ne semblait pas avoir conscience qu'elle nous montrait sa chatte, et était éclatée de rire.



Enfin, Barbara, sans doute gênée de rester habillée, et pour ne pas décevoir notre prof, nous rejoignit elle aussi, complètement à poil.



Mais maintenant, seule Géraldine portait encore sa tenue de ski ! Je pris l'initiative de la pousser à nous imiter.

-Madame, on pense que vous devriez donner l'exemple. Il n'y a pas de raison que nous soyons nues toutes les six, et que vous restiez habillée.
-Si, je suis votre professeur. Je dois rester dans une tenue en rapport avec mon rôle, se défendit Géraldine, sans conviction.
-Mais ici, c'est différent, nous sommes en stage, répliqua Sandra, qui nous surprit toutes par son aplomb (mais c'était sans doute lié à sa gêne de s'exhiber pour la première fois). Vous faites aussi partie du groupe.

Géraldine abdiqua. Elle se débarrassa de sa combinaison de ski et de ses sous-vêtements, qu'elle jeta à l'entrée du chalet, puis s'agenouilla dans le plus simple appareil pour une série de photos.



Tout le groupe l'applaudit.

Cette petite séance m'avait bien excitée, et j'en avais oublié la fraîcheur de l'air. Je me saisis de ma paire de skis, pour les chausser.



Puis, cédant à une idée folle, je commençais à glisser sur la pente. Je descendis de quelques centaines de mètres, et je m'arrêtais pour admirer le paysage.



La vue était magnifique, et je restais là un moment... jusqu'à ce que je me rende compte que j'étais dans l'incapacité de remonter à pied la piste que j'avais descendue !

La seule solution qui me restait, c'était de continuer à skier nue, jusqu'au prochain téléski...



Il y avait heureusement peu de monde, mais les skieurs qui passaient par là s'en souviendront sans doute longtemps ! Je retrouvais les sensations que j'avais connues lorsque j'avais enlevé pour la première fois mon maillot sur la plage, l'été dernier. (Pour celles et ceux qui ne m'auraient pas lue, j'avais tout raconté dans ma première histoire, « l'exhibition de Chloé »...)

Quelques minutes plus tard, je retrouvais enfin le groupe, qui salua mon retour par des applaudissements et des cris.

Presque toutes étaient restées nues. Aline, assise sur sa planche, prétendit qu'elle était prête à partir à ma recherche, mais je n'en suis pas très sûre !



Après quelques dernières photos, nous nous sommes rhabillées, et nous sommes rentrées nous mettre au chaud, car la nuit commençait à tomber.

Daphné, Julie, Jérôme et Damien nous rejoignirent bientôt. Parmi leurs provisions, on trouvait plusieurs bouteilles de téquila, vodka et scotch. La soirée risquait d'être arrosée et chaude !

Avant de commencer notre repas, nous avons visionné sur l'ordinateur de Géraldine les photos prises l'après-midi.

Daphné et Julie s'esclaffaient en nous voyant nues dans la neige, surtout en découvrant des skieurs ébahis en arrière-plan sur certaines photos. Hugo et Damien, quant à eux, étaient écœurés d'avoir loupé ce spectacle. Mais le summum des réactions fut atteint, lorsqu'ils découvrirent leur prof, elle aussi à poil !

-Je vous préviens, je ne veux pas que cet épisode circule à l'université ! Sinon, je m'arrange pour vous faire virer, avertit Géraldine.
-Ne vous en faites pas, madame, il n'est pas question que nous vous dénoncions, se récria tout le groupe, à l'unisson.

Puis Mélanie s'inquiéta du déroulement de la soirée. Géraldine lui répondit.

-On peut organiser çà sous forme de buffet, et puis vous laisserez libre court à votre imagination - j'ai vu que vous en aviez ! On pourra partir sur les produits vendus par la chaîne de magasins, et je pense que ce serait sympa de continuer les photos.

A mon tour, je lançai une idée.

-Alors je propose que les filles s'habillent sexy, pour être dans l'ambiance.

Mon idée fut soutenue par les garçons - rien de surprenant - et finalement retenue. Heureusement, toujours prévoyante, j'avais emportée dans mes bagages une mini robe grise, au décolleté vertigineux, à la limite de l'indécence.



En sortant de ma chambre, je tombais sur Mélanie, en train de mettre ses bottines. Surprise, elle leva les yeux vers moi, et je m'aperçus que sa robe était aussi audacieuse, révélant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge.



Nous sommes redescendues toutes les deux dans la grande salle du chalet, où Hugo et Damien saluèrent notre arrivée par des commentaires plutôt flatteurs sur nos robes.

Barbara était là également, en pantalon, mais en haut, elle avait allongée au maximum les bretelles de son top, offrant une vue superbe sur ses petits seins nus et fermes. C'était super excitant !



Aline avait opté pour une minirobe grise, très décolletée.



Les autres filles se contentaient de tenues plus sages, mais lorsqu'elles se baissaient ou faisaient bailler le haut de leurs tenues, on pouvait souvent apercevoir fugitivement une poitrine libre.



Il ne manquait plus que notre prof, et Sandra. Pour cette dernière, je me demandais comment elle serait vêtue : c'était, au départ, la plus timide du groupe, mais elle n'avait pas hésité à se mettre nue pour les photos dans la neige, et mon intuition me disait qu'elle pouvait se lâcher.

Lorsqu'elle apparut dans l'escalier, je ne fus pas déçue ! Elle portait une robe blanche super mini - ce devait être une tunique, à porter sur un pantalon, et son décolleté, très profond, était une incitation à la débauche lorsqu'elle se penchait.



Géraldine se fit attendre, et fut la dernière à nous rejoindre. Si sa robe noire pouvait paraître presque stricte, vue de face, le profil était à couper le souffle. Par la large emmanchure, on voyait entièrement ses seins en pommes, et leurs pointes saillantes trahissaient une excitation certaine.



Après quelques considérations très féminines sur nos tenues, nous avons attaqué les plats préparés par les garçons, car nous étions tous affamés après le voyage et cette journée à la neige. Damien déboucha les bouteilles, les verres se remplirent, se vidèrent, se remplirent à nouveau... et au bout d'une heure, nos yeux se mirent à briller, et les rires remplirent la pièce.

La conversation revint sur le motif de ce séjour, et sur les produits à mettre en valeur pour la chaîne de magasins. Géraldine s'éclipsa dans sa chambre, et en rapporta un sac de voyage, dont elle vida le contenu sur une table.

-Je vous ai amené quelques échantillons, pour que vous vous fassiez une idée de ce qu'ils proposent. Et si vous voulez tout savoir, la robe que je porte ce soir vient de chez eux.

Il y avait là, éparpillés sur la table, des DVD, des livres, des strings, des préservatifs très originaux, des menottes, des sextoys (dont certains me donnaient envie...), un catalogue de vêtements et de lingerie, un micro bikini (qui me faisait penser à ceux que je portais), et j'en oublie...

Tout le groupe commença à détailler ce bric-à-brac, en commentant chaque objet avec enthousiasme ou étonnement. Plusieurs filles examinaient les strings, les comparant avec ceux qu'elles portaient plus ou moins souvent, ce qui donna des idées à notre prof.

-Au fait, Daphné et Julie, vous n'étiez pas avec nous cet après-midi, et on ne vous voit sur aucune photo. Vous pourriez nous faire une séance de shooting, avec ces strings là.

Les deux intéressées protestèrent, mais tout le reste du groupe ne leur laissa pas le choix, avec de solides arguments.

-Nous, on a posé à poil, fit remarquer Betty. Ne vous plaignez pas : on veut juste vous photographier en strings !

Julie, la première, enleva sa robe, et posa dans un petit string blanc.



Puis ce fut au tour de Daphné, qui opta pour un string gris et rose, plutôt sage, mais elle découvrit surtout de superbes seins ronds et fermes.



Mélanie fit remarquer qu'elle avait choisi l'un des plus pudiques, et insista pour qu'elle pose avec un autre modèle que, elle, choisirait. Elle dut s'exécuter, et s'allongea, un chapeau sur la tête.



Julie, qui se souvenait des photos de notre prof dans la neige, l'interpella :

-Et vous, Madame, vous portez des strings ?
-Bien sur, répondit Géraldine, et même très souvent.
-Et sous cette robe ?
-Oui, et je l'ai même acheté dans ces magasins. C'est un modèle que je n'ai pas vu sur cette table, et je crois qu'il est encore plus sexy.
-On veut voir ! réclama l'assistance d'une seule voix. La prof en string ! la prof en string !

Géraldine ne pouvait plus y échapper. Elle se débarrassa de sa robe, sous lequel elle portait un string ficelle minimaliste noir et blanc, sous les applaudissements.



Les flashs des appareils photos crépitaient, et des sifflements admiratifs fusèrent lorsqu'elle se pencha en avant en se cambrant : au niveau du sexe, aucun tissu ne masquait sa fente lisse.



De mon côté, cédant à une irrépressible envie de montrer mon corps, j'avais enlevé ma robe, et je contemplais la scène, également en string.



C'est à ce moment que je remarquai Sandra, toujours en robe, qui admirait les godemichets, en les effleurant de ses doigts fins. Je m'approchai d'elle.

-Je te sens tentée, lui dis-je en souriant. Tu as déjà utilisé ces engins ?
-Oh non, répondit-elle en rougissant légèrement.
-Ca te plairait d'essayer ?
-Je... je ne sais pas, bredouilla-t-elle. Enfin... oui, peut-être.

Cette fille me faisait penser à Sarah, dont je vous avais raconté l'initiation. J'étais certaine que, guérie de ses inhibitions et de ses tabous, elle deviendrait une fan de sexe. J'étais déterminée à lui faire sauter le pas.

-C'est le moment ou jamais. En plus, en le faisant ici, tu vas découvrir que la présence de personnes qui te regardent décuple le plaisir. Crois-en mon expérience.
-Je n'oserai jamais ! s'exclama Sandra.
-Ne pense plus à rien, laisse-moi te guider. Tu as quelque chose sous ta robe.
-Non, avoua Sandra, dont les joues avaient maintenant la couleur d'une pivoine. J'avais seulement des slips de couleur, qu'on aurait vu à travers ma robe.
-Alors, enlève-la, installe-toi sur la banquette, et laisse-moi te guider.

Elle avait bu plusieurs vodkas, qui contribuaient à annihiler ses défenses. Lentement, elle fit glisser sa robe, et s'allongea, dans le plus simple appareil, en me regardant avec un air soumis.



Je lui demandai de choisir quelques godes et, après avoir enlevé mon string je m'allongeai à côté d'elle, en cherchant à lui faire oublier son stress.

-Abandonne-toi, ne pense plus qu'à ce que tu ressens, à mes mains, à ma bouche sur ton corps.



Lorsque je sentis que sa réserve s'envolait, je lui tendis un gode, tandis que, avec un autre dont j'avais engagé le programme de vibration, je commençai à stimuler son clitoris.



Géraldine et tous les autres étudiant(e)s faisaient maintenant cercle autour de nous.

Bientôt Sandra se détendit, et son souffle devint plus court. Je ne voulais pas la pénétrer encore, et je faisais durer l'attente longtemps, en promenant le vibromasseur entre le haut de ses cuisses, sa chatte, et même sa rondelle toute serrée.



-Oh, oui, c'est bon, murmurait Sandra. Je t'adore Chloé, tu es géniale. J'ai envie de cet engin en moi.... Oh, maintenant, je t'en prie.

Elle poussa un long gémissement, lorsque l'extrémité du gode glissa entre les lèvres gonflées et humides de son sexe.



Je me mis à le faire vibrer et aller et venir, mais sans l'enfoncer profondément. En même temps, je plongeai ma tête entre ses cuisses généreusement écartées. Je ne mis pas longtemps, avec ma langue, pour débusquer son bouton d'amour déjà durci et le dégager complètement de son étui.



Sandra était maintenant déchaînée. Etendue de tout son long, elle poussait maintenant des cris de plaisir, et elle fut secouée par un premier orgasme.



-Tu ne vas pas t'arrêter en si bon chemin, laisse-moi te faire jouir encore. Et j'ajoutai : tu offres encore d'autres possibilités...

En laissant le gode planté dans sa chatte, je glissai mon index, que j'avais lubrifié avec ma salive, dans son petit cul. D'abord surprise, elle goûta très vite cette nouvelle pénétration.



Sans doute possible, Sandra était une petite salope qui s'ignorait. Il fallait juste qu'elle en prenne conscience et qu'elle ose l'extérioriser.

-Ca te plait, mon doigt entre tes fesses, lui demandai-je à mi-voix.
-Oh oui, c'est bon...
-On ne t'a jamais fait jouir de ce côté-là ?
-Non, je n'osais même pas y penser, confessa naïvement Sandra.

Je sentais que sous mes caresses, sa rondelle s'était détendue. C'était le moment où jamais !

-Veux-tu ce gode dans ton petit trou ?
-Non... Oh, je ne sais plus... J'ai peur d'avoir mal, mais j'ai envie, balbutia Sandra, qui ne savait plus où elle en était. Chloé, si tu me promets d'aller doucement...

Je l'obligeai à s'agenouiller en levrette. Sans lui laisser le temps de se défendre, je plantai dans son anus le sextoy que j'avais retiré de son minou, couvert de cyprine.



Elle poussa un cri, plus de surprise que de douleur. Et elle se relâcha très vite. Elle perdait la tête, emportée par le plaisir que lui procuraient les mouvements du godemichet.

Géraldine me tendit alors un second vibromasseur que je fourrai dans sa chatte. A l'étonnement général, la sage Sandra souriait à celles et ceux qui la mataient.



Je la fis étendre sur le dos, sans arrêter cette double pénétration, et je m'installai au-dessus d'elle, pour lui lécher le clito.



Sandra ouvrait largement ses cuisses pour mieux s'offrir, et elle se mit à me caresser et à me titiller les seins. Il ne lui fallut pas longtemps pour jouir bruyamment, à deux reprises, presque coup sur coup.

Je l'abandonnai, épuisée, et je regardai ce qui se passait autour de moi, et dont je n'avais pas conscience jusqu'à présent, trop accaparée par Sandra.

Tout le monde faisait maintenant cercle autour de Hugo et Damien. Les deux garçons allaient être très... sollicités : ils étaient deux, pour les sept autres nanas de plus en plus déchaînées. Je me demandais comment ils pourraient assurer !

Mélanie et Betty attaquaient Damien. Il était sur le point de perdre son tee-shirt, et Mélanie était venue à bout de la ceinture et de la braguette de son jean, déformé depuis longtemps par une bosse très évocatrice. Elle dégagea son sexe, imposant et déjà dressé, pour le prendre dans sa bouche.



Hugo, acculé contre un placard dans une position semblable, subissait les assauts d'Aline et de Julie.



Damien se retrouva bientôt dans le plus simple appareil, et Betty était bien décidée à ne pas abandonner cette queue - denrée rare... - à Mélanie. Deux bouches s'activaient ensemble sur le gland gonflé.



Aline, quant à elle, après avoir réussi avec Julie à mettre Hugo à poil, le branlait, tout en embrassant à pleine bouche sa complice, pour mieux l'exciter.



Pour ma part, je n'étais pas moins excitée ! Le spectacle de ces deux trios, après ma petite démonstration de l'usage du godemichet avec Sandra qui m'avait laissée sur ma faim, tout cela me mettait dans un état de manque presque douloureux : mes seins pointaient, un filet de mouille perlait entre les lèvres de ma chatte...

Géraldine n'avait pas manqué de le remarquer. J'étais à demi étendue sur un matelas. Elle s'approcha de moi, et commença à me parler à l'oreille.

-Je t'ai admirée, pendant que tu faisais jouir Sandra. Je me demande comment tu n'as pas encore sauté sur l'un - ou l'une - de nous : tu dois avoir une terrible envie de faire l'amour. Je me trompe ?

Je n'étais pas en mesure de la contredire !

Elle s'allongea près de moi. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, et je sentis sa main caresser mes seins, descendre sur mon ventre, trouver mon abricot gonflé... Deux de ses doigts s'introduisirent doucement, entre les lèvres déjà ouvertes.



Elle me dit d'une voix suave :

-Ne bouge pas, je vais chercher de quoi satisfaire cette chatte affamée...

Elle monta dans sa chambre et, quelques secondes plus tard, redescendit l'escalier, un gode ceinture attaché autour de sa taille. Voilà une expérience qui me manquait !

Avant de me pénétrer, elle me lécha longuement, suçant mon petit bouton avec une adresse diabolique, jusqu'à ce que je la supplie...

-Oh je t'en prie, baise-moi, défonce-moi avec ton engin.. Je n'en peux plus !



Alors seulement, elle m'allongea brusquement, et planta le godemichet dans mon minou.



A partir de là, ce fut un festival !



Nous changions sans cesse de position.



Je hurlais maintenant de plaisir, secouée par des orgasmes qui semblaient ne jamais devoir s'arrêter.



Ce qui était fabuleux, avec cet engin, c'était que contrairement à une vraie bite, il ne faiblissait jamais, et Géraldine l'utilisait comme une experte en partouzes.

Elle avait entrepris maintenant de me prendre par derrière, mais exigeait que je la supplie à haute voix, pour exciter encore un peu plus le groupe qui nous matait. Je m'exécutais sans protester, et même en trouvant du plaisir dans cette situation de soumission.

-Oh, Géraldine, s'il te plait, encule moi... J'ai envie de ce gros gode dans mon petit trou.... Aaaah oui, c'est bon, je le sens bien !



Rapidement, le plaisir monta de nouveau en moi. Géraldine, comme folle, couchée sur moi et m'écrasant de tout son poids (heureusement, elle était très mince !), me pilonnait la rondelle à grands coups de reins, plantant le gode jusqu'au tréfonds de mon ventre.



Après un dernier orgasme, elle se retira enfin, me laissant épuisée mais comblée.

Près de moi, sur un grand canapé, Hugo et Fabien continuaient de faire face, pour satisfaire les chiennes en chaleur qui réclamaient toutes leur ration de jouissance.



Les deux garçons commençaient à fatiguer aussi, et n'avaient guère plus de foutre à déverser sur les filles. Mais Géraldine, elle, n'avait pas eu son compte. Elle interpella Daphné, qui récupérait dans un fauteuil, et lui tendit le gode ceinture, encore luisant de ma cyprine.

A peine la ceinture installée, notre prof vint s'empaler sur le dard artificiel.



Le couple Géraldine - Daphné était maintenant le point de mire de tous.

Je repérai que nos deux mecs s'étaient installés sur un canapé, pour récupérer, et je me trouvai une petite place pour me glisser entre eux. Il faut dire que, si Géraldine m'avait donné un plaisir fabuleux, et si un gode manié avec un art consommé semble inépuisable, me faire baiser par de vraies bites giclant en moi me manquait quand même énormément

-Vous êtes vraiment épuisés ?
-A ton avis ? me répondit Hugo. Tes copines sont de vraies furies, lorsqu'elles veulent qu'on les fasse jouir.
-Et vous n'auriez pas envie de ma petite chatte ? Regardez mes seins, ils sont en manque de caresses...

Fabien commença à me caresser, et mes seins pointèrent légèrement.

-Vous voulez bien que je m'occupe de vous aussi, ajoutai-je. Je crois que je vais vous faire bander de nouveau.

Hugo m'embrassa la poitrine, et je pris la verge de Fabien dans ma main.



Je m'abandonnai à leurs caresses, et j'écartai totalement les jambes, pour les inviter à explorer mon minou. Bientôt, leurs queues gonflèrent et retrouvèrent un peu de rigidité sous mes doigts. Je retrouvais toujours le même plaisir, lorsque je sentais une verge gonfler et palpiter au creux de ma main.



Je m'agenouillai devant eux, et je pris le sexe de Fabien dans ma bouche, pour lui prodiguer une fellation à réveiller un mort. C'était excitant de sentir sur ma langue le goût de son sperme, et les effluves laissées par les chattes de mes copines qu'il avait baisées.



Bientôt, ils se mirent debout devant moi, me présentant leurs bites maintenant dressées, afin que je les suce alternativement.



Je me déchaînai de nouveau, léchant, suçant, aspirant les deux glands, les excitant de petits coups de langue, et j'entendis la respiration des deux mecs s'accélérer.



J'avais, moi aussi, besoin de sentir une bouche sur mon abricot. J'invitai Fabien à s'allonger, et je vins placer ma fente, qui mouillait de nouveau abondamment, sur son visage. Pendant que je le branlais, il trouva mon clito, qu'il se mit à titiller avec sa langue.



C'était délicieux. Sûre d'arriver encore à mes fins, je repris Hugo dans ma bouche.

Au bout de plusieurs minutes de ces exercices, je me dégageai pour vérifier que mes deux partenaires avaient retrouvé suffisamment d'énergie pour me faire jouir.



Il n'y avait pas de doute !

Je me sentais prête à subir leurs assauts, d'autant plus que le chalet était sonorisé par les cris et les gémissements de Géraldine, empalée sur le gode ceinture attaché autour de la taille de Daphné. L'ambiance était d'un érotisme torride !



Je crois que peu d'étudiants ont l'occasion de découvrir leur prof dans cette situation !

Pour ma part, la position de Géraldine m'inspirait... Damien s'était allongé sur le canapé, et je m'empalai à mon tour sur son pieu dressé. Putain, qu'est-ce-que c'était bon de sentir son gland écarter mes lèvres enduites de mouille ! Je prenais tout mon temps pour descendre sur son dard qui glissait en moi, tout en branlant Hugo.



Je ne pouvais pas m'empêcher de penser que cette grosse queue, dans ma main, serait bientôt au fond de ma chatte... et peut-être ailleurs aussi.

Pendant que je la prenais dans ma bouche, Damien me saisit par les hanches, et commença à me soulever et à me laisser retomber sur sa bite, de plus en plus vite.



Au fur et à mesure, il me pénétrait de plus en plus profondément, m'arrachant de petits gémissements, qui semblaient l'exciter et l'encourager.

Les deux garçons étaient manifestement décidés à profiter de moi au maximum, dans toutes les positions. Damien s'assit sur le canapé, et me demanda de me retourner.



De cette manière, nos admirateurs avaient une vue imprenable sur ma chatte, et ne se gênaient pas pour nous photographier. Excitée, mes pieds prirent appui sur le canapé, me permettant de contrôler mes mouvements.



Je n'avais plus conscience du temps qui s'écoulait, tous mes sens étant accaparés par les vagues de plaisir qui parcouraient tout mon corps.

Mais Hugo réclamait de profiter à son tour de mon minou, et les deux mecs inversèrent les rôles. Agenouillée en levrette, je sentis une nouvelle verge s'enfoncer en moi.



Je n'abandonnais pas Damien, qui eut droit à son tour à une fellation passionnée. Ce petit jeu dura de nouveau plusieurs minutes...



... jusqu'à ce que mes deux partenaires décident d'une nouvelle figure. Cette fois, Damien s'assit et, une fois que je fus empalée sur sa bite, Hugo vint me bouffer l'abricot et lécher mon clito. C'était délicieux !



Cette fois, je poussai de vrais cris !

-Oui, vas-y, suce mon petit bouton... Oh, c'est bon, c'est bon... Ah oui, Hugo, continue à me pilonner la chatte...

Je jouissais, interminablement, secouée par des vagues successives, tandis qu'ils changeaient de nouveau de position. J'étais un jouet, soumis à toutes leurs envies, à toutes leurs pulsions.

Hugo me prit de nouveau en levrette, pendant que je suçais Damien. Ayant pris leur pied à plusieurs reprises avant de me sauter, ils se contrôlaient totalement. Je savais qu'ils ne déchargeraient pas avant que nous ayons assouvi tous les trois nos désirs.

Comme s'ils avaient lu dans mes pensées, Hugo me murmura à l'oreille :

-Et ton petit cul ? D'après ce qu'on a vu avec Géraldine, il aime être défoncé... Il aimerait sentir en lui une vraie queue ?
-Oh oui, allez-y, répondis-je, incapable de dissimuler mon propre désir.

Je sentis son gland remonter doucement entre mes fesses, effleurer ma rosette un court instant, avant de s'introduire lentement dans mon petit trou offert.



Je feulais comme un fauve, suçant toujours Damien, pendant que je me faisais enculer de plus en plus profondément.



Un nouvel orgasme monta en moi, lorsque je sentis les couilles d'Hugo battre contre mes fesses.

Puis Damien réclama son tour, et il me prit par derrière, avec sauvagerie, mais j'étais maintenant suffisamment dilatée pour goûter ce coït sauvage.



Malgré ces assauts répétés, il me restait suffisamment de force et de désir pour une dernière position, celle que je préférais entre toute, depuis cette soirée en boîte de l'été dernier avec Carine, où je m'étais fait prendre pour la première fois en sandwich. Depuis les dernières grandes vacances, je n'avais pas eu l'occasion de goûter aux joies d'une double pénétration !

D'une voix assourdie et haletante, je m'adressai à mes partenaires.

-J'ai une question à vous poser, mais je ne veux pas que vous me traitiez de salope.
-Mais non, pourquoi voudrais-tu qu'on pense çà de toi ? répondit Hugo, amusé.
-Vous n'auriez pas envie de me prendre tous les deux en même temps, par devant et par derrière ?
-Parce que toi, tu en as envie ?
-Et bien... oui... un peu, avouai-je en minaudant.

Sans un mot, Damien s'allongea. Je m'empalai aussitôt sur lui, et Hugo vint se placer derrière moi. Il faisait durer mon attente, et je sentais son gland entre mes fesses.

-Tu la veux vraiment encore, dans ton petit trou ? me demanda-t-il.
-Je n'attends que çà, vas-y, je t'en prie...



Il me pénétra, d'un grand coup de reins, et mes deux partenaires se mirent à me tringler, en cadence. J'étais toute à ce plaisir de sentir mon corps, serré entre ceux des mecs, dans l'incapacité de faire autre chose que de s'offrir à ces bites qui entraient et sortaient de mon ventre. J'avais l'impression que la mince paroi qui les séparait allait se déchirer, sans éprouver de peur, bien au contraire.



Je les encourageais maintenant, criant presque.

-Oui, comme çà, allez-y ! Défoncez-moi, bourrez-moi bien !



Je fus servie ! Et bientôt, une jouissance violente me submergea.



Hugo et Damien n'étaient pas rassasiés. Ils se mirent debout, et je me retrouvais entre eux, suspendues, comme plantée sur leurs pieux vigoureux. C'était maintenant la bite de Damien qui avait investi mon petit cul.



Dans cette position, les va-et-vient des deux bites étaient encore plus brutaux, et elles me pénétraient jusqu'au plus profond de mon ventre.



Mais nous fatiguions vite, et nous nous réinstallâmes plus confortablement sur le canapé, sans changer de combinaison.



Je jouis encore, mais je sentais que, cette fois, j'étais au bout de mes forces. Hugo et Damien, satisfaits, me regardèrent dans les yeux.

-Alors, jolie Chloé, on t'a vraiment satisfaite ? me demandèrent-ils, en continuant de faire coulisser doucement, voluptueusement, leurs membres dans mes deux orifices.
-Oh oui ! Vous avez été merveilleux.
-Et maintenant, qu'est-ce-que tu dirais si nous te couvrions de sperme ?

Je ne pouvais plus rien leur refuser. Je m'agenouillai devant eux, ils se branlèrent et, très vite, de longs jets de foutre éclaboussèrent mon visage.



Je me laissai tomber sur le sol, vidée, au bord de l'évanouissement. Je montai rapidement dans ma chambre, tombai sur mon lit, et je sombrai tout de suite dans un profond sommeil.

Le lendemain matin, Géraldine et toutes mes copines - certaines un peu jalouses - me félicitèrent. Plus sérieusement, nous avons repris le travail pour lequel nous étions venus ici.

Ce stage avait du être efficace, car la chaîne de magasins approuva quelques semaines plus tard le plan de communication que nous lui avions préparé. En aparté, Géraldine me dit que les responsables de la chaîne souhaitaient que je pose pour les photos de leur prochain catalogue !
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Chloé : avec Carine en Afrique (1)

L'année universitaire s'avançait.

J'étais restée en contact avec Carine, l'une de mes meilleures amies, et complice de ma première exhibition, inscrite elle aussi en fac mais dans une autre ville.

Nous nous racontions nos aventures dans les moindres détails. Depuis quelques mois, Carine - toujours bi - s'était liée à Wendy, une étudiante, fille d'un ministre africain. Elle l'avait entraînée dans plusieurs soirées très chaudes, et elle l'avait initiée aux plaisirs saphiques.



Wendy avait beaucoup aimé, et les deux filles, tout en poursuivant des relations hétéros plus que libérées, se retrouvaient souvent pour faire l'amour. Carine lui avait raconté beaucoup de choses sur moi et, même si nous ne nous étions pas rencontrées, j'avais eu l'occasion de parler avec elle lorsque nous discutions sur skype.

Au printemps, Wendy invita Carine chez elle, en Afrique, et me proposa de les accompagner. Je ne me fis pas prier !

Un mois plus tard, je me retrouvais avec Carine dans l'avion, Wendy étant partie quelques jours avant nous. Le vol était long et, après une première escale, nous avons embarqué dans un avion plus petit pour la dernière étape de notre voyage.

Un peu avant d'atterrir, le commandant de bord annonça au micro la température au sol de notre lieu d'arrivée : plus de 40° !

Il faisait plutôt frais lorsque nous étions parties de France : mon pull et mon jean n'étaient donc vraiment pas adaptés à la chaleur qui nous attendait. Heureusement, contrairement à Carine, j'avais glissé une tenue de rechange dans mon bagage cabine.

J'ai pris mon sac de voyage, et je suis allée me changer rapidement dans les toilettes avant d'être obligée de boucler ma ceinture pour l'atterrissage. J'enlevai mes vêtements et mon soutien-gorge, et j'enfilai juste une minirobe blanche sur mon string.



En revenant à ma place et en me penchant, le large décolleté dévoila largement mes seins nus - pour le plus grand plaisir de quelques passagers - et Carine me lança en riant :

-Et bien, tu nous donnes une petite idée de tes projets de vacances !

Je me contentai de sourire, sans me douter de l'aventure qu'allait me valoir cette tenue.

En effet, après l'atterrissage, nous avons attendu près d'une heure pour récupérer nos bagages, avant de passer à la douane.

Carine fut contrôlée avant moi, et les formalités se déroulèrent normalement. Mais quand mon tour arriva, les policiers, après voir fixé longuement ma robe, me demandèrent d'ouvrir ma valise. Ils la fouillèrent méthodiquement. Ils en sortirent deux godemichets, des boules de geisha, et un microbikini dans son emballage d'origine sur lequel apparaissait un mannequin sexy ne laissant aucun doute sur l'exigüité de ce maillot (Wendy nous avait parlé d'une superbe plage à proximité de chez elle).

-Vous ne savez pas que l'importation d'objets à caractère pornographique est interdite dans ce pays ?, me demandèrent-ils sur un ton peu aimable.

Tous les passagers derrière moi me regardaient, et j'étais écarlate. Je bredouillais :

-Non, j'ignorais... Mais ce sont des objets personnels, je ne fais pas de commerce !
-Ca ne change rien. Suivez-nous.

Et ils me conduisirent dans un bureau au fond de l'aéroport, au bout d'un dédale de couloirs, pendant que Carine, me voyant disparaître, se demandait ce qu'il se passait.

Ils m'enfermèrent dans une pièce sans fenêtre. Après une attente qui me parut interminable, une femme en uniforme entra, et elle m'ordonna :

-Nous devons vous fouiller. Déshabillez-vous entièrement !

Le ton ne tolérait pas de résistance. Et je n'avais pas grand-chose à enlever... La policière ne me quittait pas des yeux, et j'enlevai ma robe...



... puis mes chaussures et mon minuscule string.



Une fois nue, elle glissa un doigt dans ma chatte, sans doute pour vérifier que je n'y cachais pas de la drogue ou je ne sais quoi.



Elle insista plus de temps que nécessaire, et je me rendais compte que, malgré moi, je commençais à mouiller.

Puis elle prit mes vêtements, et quitta la pièce en me lançant :

-Restez ici, ne bougez pas. On viendra vous dire si on peut vous relâcher.

Je me demandais ce qu'il allait m'arriver, et je pensais à Carine, qui devait être folle d'inquiétude. Je me reprochais de ne pas avoir demandé pour lui téléphoner.

Les minutes s'égrenaient, interminables. Il faisait une chaleur étouffante dans cette pièce, et la sueur ruisselait sur tout mon corps.

Enfin, la porte s'ouvrit. Un homme noir en civil, athlétique, entra et, dans un réflexe de pudeur (ce qui ne m'arrivait pas souvent) je cherchai à cacher ma nudité.



L'homme se présenta.

-Je suis le responsable de la police des frontières. Votre cas se présente mal : les infractions que vous avez commises sont très graves, au regard de nos lois.
-Mais ce que vous avez trouvé ne concerne que ma vie privée, m'exclamai-je.
-Ce n'est pas ainsi que nous voyons les choses ici, répliqua-t-il sèchement.
-Je connais des gens dans cette ville, laissez-moi téléphoner !
-Ca ne servirait à rien, mais il y a un moyen de régler tout çà amiablement, dit-il sur un ton plus aimable.

Je commençais à me douter de ce qu'il allait me demander...

-Nous pouvons peut-être nous entendre. D'après ce que nous avons découvert dans vos bagages, vous faîtes partie de ces touristes étrangères obsédées par le sexe. Vous devriez donc être prête à régler en nature la forte amende que vous devez, et ça vous évitera la prison - qui n'est pas vraiment confortable ici.

En me parlant, il avait fait basculer un lit intégré dans un placard. Il m'a prise par la main, et m'a fait asseoir, pendant qu'il se déshabillait. J'avais les yeux à la hauteur de sa ceinture, et j'avoue avoir eu une surprise très agréable lorsqu'il a ouvert son pantalon.



Je n'avais pas du tout apprécié la manière dont les choses s'étaient déroulées jusqu'à présent, mais la vue d'une superbe queue a toujours eu un effet instantané sur moi.

Il s'allongea sur le lit, et je pris sa verge dans ma main. Même si elle n'était pas vraiment en érection, sa taille était déjà assez impressionnante.



Je m'assis au bord du lit pour caresser cette bite, qui grossissait et durcissait lentement au creux de ma main.

Elle n'en finissait pas de gonfler et de s'allonger, et je me demandais quelle serait sa taille lorsque je l'aurais excitée à son maximum. Bientôt, j'ai du me servir de mes deux mains...



J'étais arrivé à mes fins : le type bandait maintenant comme un taureau. C'était surement le plus imposant sexe d'homme que je n'avais jamais vu.

Mais je ne pouvais m'empêcher de paniquer, en pensant à ce que j'endurerais si l'idée de me sodomiser le prenait !

Pour l'instant, ce n'était pas dans ses intentions. Il se releva, et m'obligea à m'agenouiller devant lui, sans avoir besoin de me brutaliser - en fait, j'imaginais ce qui allait suivre, et je n'y étais pas totalement hostile...

-Vas-y, suce-moi ! m'ordonna-t-il en prenant ma tête entre ses mains. Vu ce qu'on a trouvé dans tes bagages, ça devrait te plaire.



Je tenais toujours sa bite à deux mains, et je pris doucement le gland entre mes lèvres. Il avait du prendre une douche avant de venir dans la pièce où j'étais prisonnière, car un parfum frais et agréable me chatouillait les narines.

Je libérais par moment son gland, pour l'exciter avec de petits coups de langue. Ca lui plaisait, si j'en croyais ses grognements sourds.



Puis mes lèvres descendirent sur la longue tige, mais j'étais incapable de la prendre en entier dans ma bouche.



C'était tout de même délicieux, et ce mec avait l'air d'être parti pour une longue séance de baise, vu la manière dont il se contrôlait.

Ma colère et mes craintes s'étaient un peu évanouies, et je ne pensais plus maintenant qu'à profiter aussi au maximum de ces instants de pur sexe. Je massais ses couilles tout en le suçant, et je sentais sa queue palpiter dans ma bouche.



J'étais complètement absorbée par cette fellation, lorsqu'un bruit me fit sursauter : un autre homme venait d'entrer.



C'était le flic qui avait découvert les godemichets dans mes bagages et, dans un nouveau réflexe stupide, je tentai de cacher mes seins... alors que tout le reste de mon corps s'offrait aux regards.

-Tu peux venir, Joseph, lui lança son chef. On ne s'était pas trompé, cette nana a l'air d'avoir le feu aux fesses. Fous-toi à poil, je suis certain que deux mecs, ça ne lui fait pas peur.

En un instant, Joseph se débarrassa de son uniforme, et je dois avouer qu'il me tentait aussi !



Le spectacle de ma nudité lui fit un effet immédiat, et il banda en un temps record. Je me retrouvai aussitôt avec une bite dans chaque main. Je pensais, pendant une seconde, à quelques nanas qui auraient aimé être à ma place.

Je me mis à sucer les deux hommes, alternativement.



Puis je jouais avec la pointe de ma langue sur les deux glands découverts.



-Tu avais raison, Baptiste - j'ai appris ainsi le prénom du « chef » - cette fille est sans doute la plus chaude que nous ayons contrôlée.

Mais Baptiste n'avait pas l'intention d'en rester là !

Il me fit étendre sur le dos, sans ménagement, et présenta son énorme pieu à l'entrée de ma chatte. Pour le guider, ses doigts effleurèrent ma fente.

-Mais elle est trempée ! Elle n'attend que ça, cette petite salope, s'écria Baptiste en riant.

Et il enfonça son dard dans mon abricot, pendant que je continuais à sucer Joseph en gémissant.



Il commença par aller et venir doucement, pour que ma grotte se dilate assez pour accueillir comme il faut un tel engin, et j'étais un peu surprise qu'il ne me prenne pas plus brutalement. Mais bientôt, le bruit humide qui s'échappait de mon minou lui ôta toute retenue, et il se mit à me pistonner avec force.

J'avais du mal à retenir des gémissements de plaisir, que la verge de Joseph plantée dans ma bouche étouffait heureusement.



C'est alors que Baptiste me fit changer de position. Il voulait que je m'agenouille, pour pouvoir me prendre en levrette.

Je m'exécutai, et Joseph me présenta aussitôt sa queue, pour que je poursuive ma fellation.

-Vas-y, ne t'arrête pas de me sucer. Prépare bien ma bite, avant qu'elle te fasse jouir.

Et Baptiste glissa une main sous mon ventre, pour m'obliger à me cambrer, et je sentis à nouveau son gland écarter les lèvres de ma petite chatte.



Je me l'avouais à peine, mais me faire prendre ainsi commençait à m'exciter plus que je l'aurais cru. Les allées et venues de Baptiste de plus en plus violentes dans mon intimité faisaient monter en moi un plaisir que je connaissais maintenant si bien. J'avais l'impression que sa bite me perforait jusqu'au nombril.



Un orgasme me surprit mais, même si j'en avais envie, je me retenais de l'extérioriser par mes cris habituels, pour ne pas que les deux hommes découvrent à quel point je jouissais dans cette situation de soumission qu'ils m'avaient imposée. Je fermais les yeux, et je savourais malgré tout les frémissements qui parcouraient mes reins et mon dos.

-Laisse-moi la baiser aussi, demanda alors Joseph.
-OK, lui accorda son chef. Allonge-toi, elle va venir te chevaucher tout en me suçant à mon tour.

Les deux mecs avaient l'air d'être inépuisables !

Joseph s'étendit, et je vins m'empaler sur son dard dressé, dur comme du bois. S'il était moins gros que celui de Baptiste, je goûtais tout de même chaque centimètre de sa progression en moi.



De nouveau, la verge de Baptiste investit ma bouche, pendant que Joseph donnait la cadence à mes allées et venues sur sa tige, en soulevant mes fesses à pleines mains.

Il n'eut pas besoin de me guider bien longtemps, car le désir m'enlevait maintenant tout tabou. Je redevenais la Chloé qui aimait tant faire l'amour, et j'arrachais des grognements à Joseph, en me soulevant et en me laissant retomber sur son pieu, de plus en plus vite, ou en frottant mon clito sur son pubis.

Baptiste voulut reprendre le contrôle de la situation. Il me força à me retourner, et il me saisit par les cheveux, pour m'imposer le rythme qui l'excitait.



Lorsqu'il comprit que j'allais jouir, il me lâcha les cheveux. Et cette fois, j'extériorisai bruyamment mon plaisir !



Me voir jouir excita encore plus mes partenaires.... Et leur donna d'autres idées !

-Elle aime se faire tringler, cette petite cochonne, commenta Joseph. A ton avis, çà lui plairait aussi, nos bites dans son petit cul ?

Cette question réveilla ma crainte, et je paniquai. J'avais l'impression de me vider de mon sang, et d'être sur le point de m'évanouir. Je ne m'imaginais pas subir sans être blessée les assauts de Baptiste dans mon petit trou.

En fait, c'est ce dernier qui me rassura.

-Vas-y toi, Joseph. La mienne est trop grosse et, chaque fois que j'ai voulu enculer une fille, ça s'est mal terminé. Je n'ai pas envie d'avoir des ennuis.

Sans me demander mon avis, Joseph se retira de ma chatte, et s'allongea.

Baptiste me prépara en inondant de salive le sillon séparant mes fesses. Alors, Joseph m'attira contre lui et, en douceur, introduisit son gland dans ma petite rondelle pour me pénétrer par derrière.



Progressivement, je me suis détendue, et quand j'ai commencé à gémir. Il me souleva à nouveau en tenant mon petit cul, pour le faire coulisser sur sa verge. Ma bouche était maintenant libre, et je poussais de petits cris de plaisir en l'encourageant.

-Oh oui, c'est bon !
-Ca te plait hein, espèce de chienne ? me demanda Joseph.
-Oui, oui ! Continue, enfonce bien ta queue dans mon petit cul.... Ouiiii...
-Et bien, tu vas être servi ! répondit Joseph en se déchaînant.



Je jouis une nouvelle fois. C'était trop bon.

Mais Baptiste revint à la charge.

-Je suis certain que se faire baiser par deux mecs en même temps ne lui fait pas peur. Ca te plairait ?, me demanda-t-il.

Je murmurai un faible « oui »

-Alors, montre-moi ta jolie chatte, je crois qu'elle doit être inondée de ta mouille, m'ordonna-t-il.

Pendant que Joseph continuait de me sodomiser, j'ouvris largement les cuisses pour découvrir ma fente.



Avec un regard halluciné, je vis Baptiste approcher son dard de ma fente luisante de cyprine.



Puis il s'enfonça en moi. J'avais l'impression que sa progression dans mon ventre ne s'arrêterait jamais.

Depuis l'été dernier, durant lequel j'avais eu ma première expérience de double pénétration, je n'avais pas eu l'occasion de m'offrir en même temps à deux types aussi bien montés - même si cette fois je n'avais pas cherché à me trouver dans cette situation.

Je poussais de petits cris inarticulés, et je sentais que j'allais jouir bientôt, une fois de plus. Je me demandais si je ne devenais pas nymphomane, mais Baptiste ne me laissa pas le loisir de réfléchir à des considérations métaphysiques.

Il se mit à me labourer la chatte à grands coups de reins, et je devinai qu'il n'allait plus résister bien longtemps.



Ces deux énormes queues qui me perforaient au plus profond de mon ventre me rendaient folle. Et je jouis, je jouis, je jouis... interminablement.



Les deux hommes poussaient eux aussi de petits cris sourds. Ils eurent quand même le temps de se retirer de ma chatte et de mon cul, pour faire gicler leur semence sur mon visage.

Durant cette longue séance de baise, ils avaient accumulés quantité de sperme, et mon visage fut littéralement recouvert.



Nous nous écroulâmes tous les trois sur le lit, épuisés, le souffle court.

Comme dans un rêve, j'entendis frapper, et la porte du bureau s'ouvrir. C'était la policière qui m'avait fouillée.

Elle considéra, sans paraître surprise, le foutre qui coulait sur mon visage et sur mes seins.



Et elle se dirigea vers Baptiste pour lui parler à mi-voix à l'oreille ; mais je réussis à comprendre ce qu'elle lui disait.

-Je viens d'avoir un appel du palais : on a un problème. Cette nana est la copine de la fille du ministre, et il exige qu'on la relâche immédiatement.

Le visage de Baptiste se décomposa.

La femme sortit, pour revenir aussitôt, avec mes vêtements et une grande serviette immaculée, qu'elle me tendit sans un mot. J'essuyais tout mon corps ruisselant de sueur, et le sperme qui le maculait.



Les deux mecs s'étaient rhabillés, et Joseph est allé rechercher mes bagages, l'air paniqué. Baptiste me les tendit, avec des gestes pleins de déférence.

-Voilà votre valise et votre bagage cabine. Vous pouvez vérifier, rien ne manque.

Je remis mon string et ma robe, et je pris mes bagages avec un air hautain. Mon attitude l'inquiéta, et il essaya de m'amadouer.

-Nous vous présentons nos excuses, nous ne savions pas qui vous étiez.
-Ce n'est pas une raison ! répondis-je sur un ton exaspéré. On ne fait pas subir de telles choses à une jeune fille.

Dans mon for intérieur, j'étais éclatée de rire en prononçant cette expression de ″jeune fille″.

Baptiste me raccompagna jusque dans le hall de l'aéroport, l'air penaud. En ressortant, Carine me sauta au cou.

-J'étais morte d'inquiétude. Heureusement, Wendy a téléphoné à son père, et ça a été efficace, puisque te voilà !

Wendy était assise sur un banc, près de la sortie de l'aéroport, dans une robe jaune courte, très sexy. Elle était particulièrement attirante.



Elle aussi vint m'embrasser, en s'inquiétant de ce qu'il avait pu m'arriver. Je lui racontai rapidement ma mésaventure - sans évoquer le plaisir que j'avais pris...

-Les salauds ! s'indigna-t-elle. J'avais déjà entendu parler d'histoires de ce genre dans cet aéroport. Quand je vais raconter çà à mon père, ils n'ont pas fini d'avoir des ennuis.

Nous sommes montées toutes les trois dans la Mini décapotable de Wendy, qui nous a emmenées jusqu'à la villa familiale. La propriété, de style colonial était magnifique, avec une grande piscine.

Son père était absent - comme la plupart du temps. Divorcé, il était remarié à une française d'une trentaine d'années, qui était aussi en voyage.

Wendy nous a montré nos chambres - la mienne jouxtait celle de Carine - et j'ai pris une douche. En repensant à ma séance de triolisme à l'aéroport, ma main s'est un peu égarée entre mes cuisses...



Nous avons dîné toutes les trois sur la terrasse, servies par le personnel attaché au père de Wendy. L'air était délicieusement tiède, le vin était frais, et nous avons fait des projets pour les jours à venir.

Carine et moi, nous étions mortes de fatigue, et nous sommes allées nous coucher tôt. Mais avant de m'endormir, j'ai laissé mon esprit vagabonder, en pensant à l'un des domestiques, un jeune black que je trouvais très, très attirant...



C'est en imaginant ce que je pourrais faire avec lui que je sombrai dans le sommeil, sans même avoir eu le temps de me caresser !


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Chloé : avec Carine en Afrique (2)

Après notre voyage en avion, et mon arrivée mouvementée sur le sol africain, je m'étais endormie aussitôt couchée, dans la chambre que Wendy m'avait attribuée. La propriété de son père était luxueuse et confortable, et notre séjour - à Carine et moi - s'annonçait des plus agréables.

L'air de la nuit était encore chaud, et je m'étais couchée nue.



Mon sommeil avait été peuplé de quelques songes érotiques. J'avais rêvé que je me promenais en tenue d'Eve sur une plage très fréquentée et bordées de cocotiers, que je faisais l'amour avec Wendy, et le serveur que j'avais remarqué hier soir apparaissait régulièrement dans ces images, fruit de mon imagination.

Lorsque je me suis réveillée, il faisait grand jour. Il n'y avait aucun bruit dans la maison, et je décidai de traîner un peu au lit. Dans un état de somnolence, mes mains se promenèrent sur mon corps, sans que je l'aie vraiment décidé. Ma paume effleurait doucement mes seins, qui commencèrent à durcir.



Au fil de mes aventures, ma poitrine était devenue hypersensible, et toute excitation faisait darder mes petites aréoles.

Mon esprit continuait de vagabonder, revenant sans cesse sur mon serveur de la veille, et l'une de mes mains descendit lentement sur mon ventre. Je faisais durer le plaisir de l'attente. Au bout de quelques instants, mes doigts atteignirent mon pubis, et j'attendis encore un peu pour découvrir un peu mon clito.



Une onde électrique parcourut ma colonne vertébrale. Je gardais les yeux fermés pour mieux goûter ces sensations que je connaissais par cœur, mais dont je ne me lassais jamais.

Je retardais encore le moment où je glisserais mes doigts dans mon minou. Je le caressais, en malaxant mes seins, et de petits gémissements s'échappaient maintenant de ma bouche entrouverte.



Et arriva l'instant délicieux, où mon majeur, après avoir longtemps excité mon petit bouton et tourné autour de l'entrée de ma grotte, pénétra lentement ma fente trempée d'excitation. Je poussai malgré moi un petit cri.

Mais je contrôlais encore mon désir, pour le pousser à son paroxysme, et en tirer finalement un plaisir complet.



Lorsque je ne pus attendre davantage, je succombais et je laissais libre cours à mes pulsions. Mon doigt allait et venait maintenant dans ma chatte, de plus en plus vite, de plus en plus profondément.



Je perdais maintenant tout contrôle. Plus je me caressais, plus ma soif de pénétration augmentait. Je pensais sans cesse à de grosses queues, pilonnant ma moule. Et un deuxième doigt me fut bientôt indispensable.



Je gémissais de plus en plus fort, en retardant l'orgasme que je sentais déjà monter. Je me roulais sur le lit, en me masturbant avec violence, et je me retrouvai à genoux.



Je haletais, à demi consciente, et je me laissai retomber sur le lit, lorsque mon annulaire rejoignit mon index et mon majeur. Je sentais des vagues de plaisir m'emporter, tandis que la cyprine coulait sur ma main allant et venant frénétiquement dans mon intimité.



Avant de succomber à la jouissance, je glissai un doigt dans mon petit trou. Son contact sur ma rosette sensible était follement excitant, et la sève qui l'enduisait rendit facile et délicieuse la pénétration dans mon cul.



A partir de cet instant, je ne résistais pas bien longtemps à l'orgasme. Je perdis conscience de tout ce qui n'était pas ce plaisir. Mon corps fut secoué de spasmes et se tétanisa, pendant que j'essayais, sans succès, d'étouffer un long cri.



Lorsque la lame de fond se retira, je restai un long moment étendue, ma main caressant encore doucement mon clito.



J'étais dans cette position, lorsque j'entendis frapper doucement à la porte de ma chambre. Mon esprit était encore embrumé par le sommeil et la jouissance, et je ne réagis pas tout de suite. On frappa de nouveau.

-Entre ! dis-je sur un ton amusé, pensant qu'il s'agissait de Carine, logée dans la chambre voisine, et attirée par mes cris.

Je continuais de me caresser, sans pudeur, quand la porte s'ouvrit.



Et là, surprise ! Ce n'était pas Carine, mais le serveur black de la veille au soir, qui m'apportait mon petit-déjeuner sur un plateau.



Il faillit lâcher son plateau en me voyant, et s'apprêtait à ressortir de la chambre, mais je l'arrêtai.

-Mais non ! Ne sois pas gêné, ça ne me dérange pas que tu me voies nue. Tu peux poser ton plateau sur la petite table... Que m'apportes-tu de bon ?
-Du thé, du jus de fruits, du pain grillé et des confitures, répondit-il d'une voix assourdie par l'émotion. Ca vous convient, mademoiselle ?
-Mais oui, c'est très bien. Ne t'en vas pas comme un voleur, ajoutai-je en riant en le voyant se retourner vers la porte pour partir. Comment t'appelles-tu ?
-Bertrand.

Je lui posai quelques questions : il avait 22 ans, et il travaillait pour le père de Wendy depuis peu. Il avait toujours peur de faire une bêtise et de se faire renvoyer, car c'était un travail bien payé, et il craignait son patron.

Je ne m'étais pas donné la peine de cacher ma nudité pendant cette conversation, et je remarquai que son regard sur mon anatomie se faisait plus indiscret.



Une bosse commençait à déformer son jean, et il remarqua l'expression de mon regard dirigé sous sa ceinture, aggravant son trouble. Je ne lui laissai pas la possibilité de s'échapper.

-Bertrand, veux-tu me faire plaisir ?
-Bien sûr, mademoiselle, répondit-il.
-Tu me vois dans le plus simple appareil. Je crois que ton corps est très beau, et j'aimerais que tu te mettes nu également.
-Mais, mademoiselle ! Si le père de mademoiselle Wendy apprend çà, je vais me faire mettre dehors !
-Ne t'inquiète pas. Je ne dirai rien et, s'il le savait, je dirais la vérité et ce que je viens de te demander... Allons, dépêche-toi, j'attends ! dis-je sur un ton autoritaire, en m'installant confortablement sur le lit pour profiter de son strip.



Il commença par enlever son tee-shirt, et dévoila un buste athlétique. Je me caressais en le regardant, et je sentis l'excitation monter, quand il baissa ensemble son jean et son slip.

Nu, il était superbe et désirable, avec une bite longue et épaisse, comme j'en raffole.



Je me levai lentement pour le rejoindre. Je me rapprochai, jusqu'à ce que nos corps se touchent, et je posai mes mains sur ses fesses, incroyablement musclées. Quand il sentit les pointes de mes seins contre son torse, il céda à son désir, et m'embrassa.



Sa langue s'insinua entre mes lèvres, et je m'abandonnai totalement, pendant qu'il me pétrissait les seins. Je l'encourageai.

-Oui, j'ai envie de sentir tes mains partout sur mon corps, sur mon cul, sur ma chatte. Caresse-moi, je veux être à toi.

Nous perdîmes l'équilibre, et je tombai sur le lit. Je l'entraînai dans ma chute, et sa tête se retrouva entre mes cuisses. Quelques secondes, il resta à regarder, incrédule, mon minou épilé.

-Vas-y, lèche-moi, suce mon petit bouton !

Aussitôt, je sentis sa bouche sur mon mont de Vénus, sa langue s'insinuer dans ma fente, inondée de cyprine par ma petite séance de masturbation. Quand il atteignit mon clito gonflé, ce fut comme si une impulsion électrique traversait tout mon corps.



C'était délicieux, je gémissais. Mais j'avais envie de faire mieux connaissance avec son sexe que je n'avais vu que fugitivement, à demi dressé. Je fis donc allonger Bertrand, et je pris sa queue, maintenant bien dure, dans ma main. C'était vraiment un superbe engin !



Mais il me fallait maintenant y goûter... Tout en le branlant, j'approchai ma bouche, et je pris le gland décalotté entre mes lèvres. La bite de Bertrand continuait de grossir, et elle avait atteint maintenant des proportions impressionnantes.



Je la pompais de plus en plus goulument, avec la hâte de la sentir en moi.

Bertrand haletait, et je voulais que nous partagions ces caresses buccales. Je vins donc me placer sur lui, en 69.



Pendant plusieurs minutes, il a pu explorer tout à loisir mon intimité. Je sentais sa langue et ses doigts fouiller ma chatte, sa bouche sucer mon petit bouton...

Si nous avions poursuivi plus longtemps ce petit manège, il aurait fini par décharger dans ma bouche, mais ce n'était pas mon projet, ni le sien.

Je me retournai, pour venir chevaucher Bertrand, et présenter l'entrée de ma grotte à l'aplomb de son dard.



Il me tenait par les fesses, pour contrôler la pénétration dont il voulait apprécier chaque étape. Et, peu à peu, l'énorme gland disparut dans mon abricot, pendant que je ponctuais sa progression de commentaires impudiques :

-Oh, qu'est ce qu'elle est grosse ta bite !... Oui, c'est bon... Aaah, je la sens rentrer, elle me remplit !



Je marquai une courte pose, contractant les muscles de mon périnée pour exciter Bertrand, et pour mieux le sentir en moi.



Empalée à fond sur le pieu planté dans mon sexe, je commençai à bouger doucement. Bertrand restait immobile, sans doute sidéré de se retrouver dans cette situation.

Petit à petit, j'accélérai les mouvements de mes hanches, me soulevant et me laissant retomber voluptueusement sur sa queue, focalisée sur le frottement du gland qui excitait mon minou chaque fois qu'il s'enfonçait. J'encourageais Bertrand, entre deux gémissements suggestifs :

-Oh, vas-y, défonce-moi ! Qu'est ce que tu attends ?
-Attention, on peut t'entendre, répondit Bertrand, timoré et craignant d'être surpris, baisant l'invitée de ses patrons.
-Et alors ? Dans la chambre à côté, il y a Carine, et ce n'est pas elle qui serait surprise de m'entendre jouir.



Cette fois, Bertrand se lâcha, et se mit à aller et venir dans ma chatte, me projetant en l'air à chaque coup de reins.

C'était trop bon. Je sentais que j'étais partie pour une longue série d'orgasmes, et je ne me retins pas. Je laissai le plaisir m'emporter, en criant.



-Oooh ! Je prends mon pied, c'est géant !... Oui, oui... Attends, retiens-toi, j'ai envie que tu me prennes encore, autrement.

Je me relevai pour permettre à Bertrand de se dégager, et je me mis à genoux, lui offrant mon cul et ma fente luisante de mouille.



Bertrand me pénétra brutalement, d'une seule poussée. Même si j'étais prête à cet assaut, la taille de sa bite m'arracha un gémissement de surprise.



Mais aussitôt, le désir et ma soif de jouissance reprirent le dessus. Je ne fus pas déçue ! Bertrand me labourait maintenant le ventre, avec une force incroyable. J'eus un nouvel orgasme, violent, incontrôlable...



... suivi, quelques instants après d'un autre, qui monta alors que les spasmes de mon plaisir s'étaient à peine apaisés.

Bertrand se retenait toujours, mais je sentais que cela ne durerait plus très longtemps.

Cette fois, ce fut lui qui prit l'initiative d'un changement de position. Je me retrouvai sur le dos, jambes écartelées. Je pris un air de petite fille apeurée, pour lui dire :

-Mais, qu'est-ce que tu vas me faire ? Je ne suis qu'une frêle jeune fille, tu m'as déjà fait jouir trois fois...



Je voulais l'exciter, et le provoquer : je réussis au-delà de mes espérances ! Il passa ses bras sous mes jambes, pour m'obliger à me cambrer, et me pénétrer plus profondément.

-Une frêle jeune fille ? C'est toi qui as pris l'initiative ! protesta-t-il. Et bien maintenant, tu vas voir, je vais te faire jouir encore plus fort.

Et il se mit à me tringler avec une énergie inouïe.



Mon corps se déplaçait maintenant dans tous les sens sur le lit, au rythme de ses coups de reins. J'avais l'impression de ne plus être qu'une chatte trempée de cyprine, et mes sensations se réduisaient au contact du gland et de la tige de Bertrand, coulissant en moi.

J'étais dans un état second, à la limite de l'orgasme, mais je voulais le sentir gicler en moi. Je pétrissais ses fesses, je labourais son dos avec mes ongles, en murmurant à son oreille, entre mes plaintes :

-Viens, je t'en prie... Oh, viens maintenant !... Je veux sentir ton foutre m'inonder, et jouir en même temps que toi.



Je n'eus pas à attendre longtemps ! Bertrand lâcha sa semence, en rugissant de plaisir, et le sentir se répandre en moi provoqua chez moi un dernier orgasme... très sonore !

Il s'effondra sur moi, et nous restâmes ainsi une longue minute, haletant tous les deux, les yeux mi-clos.

Lorsqu'il se dégagea, je lui présentai le spectacle de ma fente, d'où s'échappait un long filet de sperme épais.

-Regarde ce que tu as fait : tu n'as pas honte ? lui demandai-je sur le ton de la plaisanterie.



Pour toute réponse, il me souleva comme un fétu de paille, et me mit sur ses épaules. Son visage se retrouva enfoui entre mes cuisses, et je le sentis embrasser ma chatte, et lécher ma sève et son jus mêlés qui s'en écoulaient, tout en titillant mon clito.



Je riais, surprise et ravie par cette caresse après l'amour, pour moi inédite !

C'est à ce moment que la porte de ma chambre s'ouvrit. C'était Carine...

- Et bien, on ne s'ennuie pas !
-Tu nous a entendus ? lui répondis-je en continuant de rire.
-Il faudrait être sourde, Chloé, tu as sonorisé toute la maison, et je suis sure que personne n'ignore ce que tu faisais.

Bertrand me reposa, en considérant Carine avec une certaine incrédulité : elle était entièrement nue, et ne manifestait aucune gêne de se montrer ainsi. Bien au contraire, s'amusant du regard incrédule de Bertrand, elle prit la pose pour qu'il puisse la mater à loisir.



-Je te plais ? lança Carine à Bertrand.
-Bien sur, répondit-il - et je ne vois pas comment il aurait pu dire le contraire !
-Autant que Chloé, insista Carine.
-Mais oui !
-Alors, fais-moi l'amour aussi, et fais moi jouir aussi fort que Chloé.

Bertrand n'avait aucunement envie de refuser une telle proposition, mais il n'était pas en état de satisfaire Carine aussi rapidement, après l'effort qu'il venait de fournir !

J'intervins, car je le sentais blessé dans son amour-propre de ne pas pouvoir s'exécuter immédiatement.

-Je crois que Bertrand a besoin de récupérer, et on peut sans doute l'aider en le ″chauffant″ un peu toutes les deux.
-Bonne idée, répondit Carine.

Nous nous installâmes toutes les deux sur le lit, et Carine lança à Bertrand des regards aguicheurs, alors que nous étions enlacées.



Nous l'avons regardé ensemble dans les yeux, pour lui demander :

-Ca t'exciterait, de nous voir nous caresser ?
-C'est une bonne idée, ça ne se refuse pas, approuva Bertrand, qui retrouvait un peu d'assurance.



Carine s'abandonna à mes caresses, d'autant plus volontiers qu'elle éprouvait un intense désir de sexe, après m'avoir écoutée manifester mon plaisir pendant près d'une heure.

Elle prit une pose lascive, pendant que je commençais à effleurer son mont de Vénus et à embrasser et lécher ses seins.



Je sentais sa poitrine durcir, et ses tétons se dresser sous ma langue.

Elle se pencha en arrière, pour faciliter mes caresses, et elle m'offrit ses lèvres.



Mon majeur se glissa dans sa fente, et elle poussa un petit gémissement de plaisir.

Elle s'allongea complètement, les yeux mi-clos, les cuisses écartées, et je lui prodiguai un long cunnilingus, pendant qu'elle malaxait ses seins.



Nous roulâmes sur le lit, et je me retrouvais étendue sur le dos. Carine se rua sur moi, et vint chevaucher mon visage.

-Lèche-moi mon minou... Oui, comme ça, j'aime... Pelote mes nichons, j'aime sentir tes mains, feula-t-elle.



Au bout de quelques minutes, nous entendîmes la voix de Bertrand :

-Vous pourriez vous occuper aussi de moi ?

Carine se mit debout, le souffle court, et je l'imitai. Nous nous sommes placées de chaque côté de Bertrand, et nous avons commencé à explorer son corps musclé.



Peu à peu, sa verge retrouvait de la rigidité et, même s'il ne bandait pas complètement, elle avait repris une taille respectable, à l'horizontale. Nous avons décidé de finir de la remettre en forme, par une double caresse buccale.



Nous le regardions, avec un air pervers, tout en jouant de la langue sur la longue hampe, et autour du gland qui gonflait toujours plus.



Carine prenait de plus en plus l'initiative. Elle branlait sensuellement Bertrand, et lui demanda :

-Ca te plait ce qu'on te fait toutes les deux ?
-Oui, grogna Bertrand dans un souffle.



-J'ai très envie de te sucer...
-Non, moi d'abord, dis-je pour les exciter davantage tous les deux, et je pris la bite dans ma bouche.



Il s'ensuivit un joyeux chahut. Bertrand tomba sur le lit, moi sur lui, et Carine se précipita pour pomper goulument la verge sombre, dressée maintenant à la verticale.



Je continuais à tenter de reprendre l'avantage, mais Bertrand parvint à se dégager. Nous nous sommes retrouvées toutes les deux, en levrette au bord du lit, présentant nos chattes.

-Bertrand, je veux ta queue ! C'est mon tour, s'écria Carine.
-Mais moi, j'en voudrais bien encore aussi, répliquai-je en riant.
-Non, toi il t'a déjà fait jouir, c'est à moi !

Bertrand interrompit ce simulacre de dispute, en guidant son dard vers la fente offerte de Carine.



J'étais coincée sous Carine, sans pouvoir me dégager.

Bertrand allait et venait maintenant avec force en elle. Secouée par ses coups de boutoirs, elle ne pouvait pas trouver son équilibre, et prenait appui de tout son corps sur moi. J'étais obligée de la maintenir par les pieds pour qu'elle ne tombe pas, et je sentais ses seins frotter en cadence contre mon dos.



La position était trop instable.

Bertrand s'installa sur le canapé, et Carine vint sur lui, à califourchon. Je trouvais très excitant de la guider pour que sa chatte vienne s'emboîter sur la bite de Bertrand.



C'était au tour de Carine de se déchaîner, me réduisant au rôle de spectatrice.

Je la contemplais, chevauchant Bertrand comme une furie. Bientôt, elle jouit, tout aussi bruyamment que je l'avais fait moi-même. J'imaginais sans difficulté ce qu'elle éprouvait, et je voulus rentrer moi aussi, d'une autre manière, dans la partie.

J'allais chercher un gode dans ma valise. Je le suçais doucement en regardant le couple en action, et je demandai à Carine :

-Ca te dirait, cet engin dans ton petit trou, pendant que Bertrand pilonne ton abricot ?



-Espèce de grosse cochonne, répondit Carine. Tu sais très bien que je vais te dire oui.

Je m'approchai d'eux, et je préparai la rosette de ma copine avec ma langue et ma salive, en approchant doucement le gode.



Carine se cambra quand le sextoy s'enfonça dans son cul. Aussitôt Bertrand redoubla ses assauts, et les cris de Carine grimpèrent dans les aigus.

A ce moment, je mis le gode en mode vibromasseur, et elle explosa dans un orgasme impressionnant. Ses cris ne firent que nous exciter davantage, Bertrand et moi, et nous sommes arrivés à nous synchroniser.

La jouissance de Carine ressemblait à un tsunami, les orgasmes se succédant sans qu'elle arrive à se calmer. Bertrand ne pouvait plus se retenir.

Il nous prit par les épaules pour nous faire mettre à genoux, face à lui. Carine et moi savions ce qui nous attendait : nous ouvrîmes la bouche pour recevoir les longs jets de sperme.



Malgré la quantité de semence que Bertrand avait déversé peu de temps avant dans ma chatte, je fus surprise par la violence de son éjaculation. Carine empoigna sa bite pour la sucer encore, et recevoir sa ration de foutre.



Elle fut gâtée, et je regardais son visage triomphant, maculé du jus qui coulait sur ses joues et son menton, et tombait sur ses seins.

Après un court moment de récupération, nous sommes restées nues toutes les deux pour déjeuner, tandis que Bertrand retournait précipitamment vers l'office, craignant que sa longue absence n'attire des soupçons.

Quand il revint pour récupérer les plateaux, Carine et moi discutions de nos projets pour la journée. Wendy nous avait proposé de nous reposer aujourd'hui au bord de la piscine, pour récupérer des fatigues du voyage, avant de visiter la région. Nous nous demandions si nous pouvions porter dans la propriété les micro-maillots que nous avions emportés, quand Bertrand intervint :

-Si vous voulez, je crois que vous pouvez même vous passer de maillot. Il n'y a personne dans la maison et, de toute façon, la belle-mère de mademoiselle Wendy fait souvent du bronzage intégral.

Voilà une situation qui nous plaisait à toutes les deux !

Après être retournées dans nos chambres respectives pour une bonne douche, nous nous sommes simplement enroulées dans une serviette, pour descendre à la piscine.



Nous étions en train d'échanger nos impressions sur la manière dont la journée avait commencé avec Bertrand, quand Wendy vint nous rejoindre. Elle portait un bikini, bien sage... bien trop sage à nos yeux !

-Et bien, je vois que vous vous êtes mises à l'aise, remarqua Wendy avec un grand sourire.
-Oui, répondit Carine. Il ne fallait pas ?
-Mais si, au contraire. D'ailleurs, la femme de mon père fait parfois du nudisme.
-Et toi ? Tu n'enlèves jamais ton maillot ? demandai-je.
-A vrai dire... Rarement ici. Cà me fait un effet bizarre de montrer mon corps dans la maison de famille, répondit Wendy, visiblement mal à l'aise.
-Allez, fais-nous plaisir ! Enlève ton bikini et vient nous rejoindre, lui lança Carine. Chloé sait que je t'ai déjà vue à poil, et qu'on fait l'amour ensemble.
-Oui, allez Wendy, ajoutai-je. C'est trop bon d'être nue ! Vas-y, enlève-le !

Avec une expression gênée, Wendy commença à dégrafer son soutien-gorge.



Ses seins étaient superbes. Fermes, avec de petites pointes sombres qui se dressaient vers le ciel.

Elle avait du mal à aller plus loin. Mais après de bruyants encouragements, elle se décida à baisser le bas, peut-être pour éviter que nos cris n'ameutent le personnel.



Ce fut long, mais enfin elle glissa son slip jusque sur ses chevilles.



Nue, elle resta un moment immobile, pendant que nous l'applaudissions.

Nous profitions toutes les deux de ce spectacle. Je pensais que Carine n'avait pas du s'embêter avec cette fille au corps de déesse, et je me pris à rêver d'une partouze avec elle.



Elle vint finalement nous rejoindre, et se détendit petit à petit.

Après une heure de bronzette, le portable de Wendy sonna. Elle décrocha, et nous avons suivi ses réponses, sans entendre son correspondant.

-Oui, c'est très gentil de m'inviter, mais j'ai deux amies en ce moment chez nous... Ah, vous saviez ?... Si, elles accepteraient de venir ? Je vais leur demander, et je vous rappelle.

Elle raccrocha, et se tourna vers nous.

-C'est Antoine. Son père est le patron d'une grosse société pétrolière, avec laquelle notre pays a traité une concession. La famille a une superbe propriété en bord de mer, et il nous invite pour y faire la fête. Ca vous tente ?
-Quelle question, répondîmes-nous d'une seule voix. Tu as l'air réticente, pourquoi ?
-C'est que... bredouilla Wendy, il a la réputation d'être un playboy, et d'organiser des soirées très... sexe !
-Raison de plus pour accepter ! m'exclamai-je.

Wendy rappela pour confirmer notre accord, et fixer l'heure à laquelle nous serions attendues le lendemain...
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Chloé : avec Carine en Afrique (3)


Après cette journée tranquille au bord de la piscine, nous nous sommes réveillées toutes les trois le lendemain, en pleine forme, et bien décidées à profiter de notre soirée chez Antoine. Nous étions attendues vers 20 heures ; Wendy nous a proposé de partir après le déjeuner, et de passer l'après-midi sur la superbe plage voisine de la propriété du père d'Antoine.

Après le repas, nous avons glissé dans un sac nos tenues pour la soirée, et nous sommes parties dans un Range Rover conduit par Wendy.

Au bout d'une petite heure sur une mauvaise route, nous avons atteint une longue plage de sable fin, vraiment idyllique.

Carine et moi, nous ignorions si nous pouvions faire de l'intégral sur cette plage, et j'avais opté pour un microbikini zippé : il avait cet avantage de ne rien cacher, si j'ouvrais les petites fermetures du string et des bonnets.



Un peu moins audacieux, le bikini de Carine était tout de même hyper sexy. Mais ma mésaventure lors de notre arrivée à l'aéroport l'avait rendue prudente !



Bien qu'il y ait peu de monde sur la plage, quelques personnes étaient proches de l'endroit où nous avions déroulé nos tapis.

Nous étions curieuses de découvrir le maillot de Wendy, mais celle-ci conservait sa robe blanche.

-Alors, tu n'oses pas te déshabiller, c'est nouveau, lui lança Carine.
-Son bikini est peut-être plus petit que le mien, ajoutai-je sur un ton un peu narquois.
-Chloé a un peu raison... répondit-elle avec un sourire énigmatique.
Elle nous fit languir un petit moment, pour ménager son effet, et elle baissa les bretelles de sa robe.



Elle avait des seins superbes. Je les avais découverts la veille, au bord de la piscine, et Carine les connaissait par cœur pour les avoir maintes fois caressés.

J'imaginais que Wendy avait décidé de faire du topless, mais je ne comprenais pas pourquoi elle n'avait pas encore enlevé sa robe. Petit à petit, elle la fit glisser sur ses hanches...



... pour finalement découvrir qu'elle ne portait rien dessous.



Nous avons applaudi Wendy, attirant l'attention de nos voisins de plage, et elle fit quelques allers et retours le long de l'eau pour nous faire admirer sa plastique, en nous charriant :

-Alors, je croyais que c'était vous deux, les filles libérées !



Nous étions piquées au vif !

-Tu t'es convertie au nudisme ? lui demanda Carine. Tu m'avais caché çà !
-En vérité, j'ai débuté hier au bord de la piscine avec vous deux. Mais j'ai trouvé l'expérience très agréable, et j'avais envie de la renouveler en public. Et j'avoue que je trouve la situation vachement excitante.
-Mais on ne voit personne à poil sur cette plage, lui fis-je remarquer.
-Parfois, il y a des femmes d'expatriés qui se mettent nues pour bronzer. De toute façon, l'endroit n'est pas surveillé.

Nous nous tenions au bord de l'eau, tenant des raquettes avec lesquelles nous avions projeté de jouer. Carine dénoua mon soutif, et je lui rendis aussitôt la pareille.



Dans la foulée, je sentis ses doigts tirer sur le lien de mon string.



Nous nous sommes retrouvées toutes les deux en tenue d'Eve. Nous n'étions qu'au printemps et, en France, je n'aurais pas pu m'offrir une telle séance de bronzage. Je savourais la chaleur du soleil africain sur ma peau nue, qui avait déjà pris une belle couleur ambrée, depuis notre journée au bord de la piscine.



A notre tour, tous les regards convergeaient vers nous. Nous avions posé nos raquettes sur le sable, pour aller nous rafraîchir. Un jeune homme les récupéra, mais nous étions trop occupées à papoter pour que nous y portions attention.



L'après-midi s'écoula tranquillement, entre séances de bronzage...



... baignades...



... et rafraîchissements sous les cocotiers.



Wendy rencontra Alice, une ancienne copine de lycée. La voyant se baigner nue, Alice l'imita, et elles passèrent un long moment au bord de l'eau, à discuter toutes les deux.



Nous n'avons pas vu les heures s'écouler, et la nuit tombe vite sous les tropiques. Nous avons admiré toutes les trois, dans le plus simple appareil, le coucher du soleil, avant de nous habiller pour la soirée chez Antoine.

Les heures passées nues sous le soleil et en public avaient émoustillé ma sensualité, et je dois avouer que j'avais envie d'une bonne séance de sexe. Je me suis rendu compte un peu plus tard que mes deux amies étaient dans les mêmes dispositions....

Peu après 20 heures, nous avons sonné au portail de la propriété familiale d'Antoine, protégée par un garde et toute une installation de vidéo surveillance. Notre hôte est venu nous accueillir, lorsque nous sommes descendues du Range Rover, et nous sommes rentrées à l'intérieur de la somptueuse villa, où il nous présentées à ses invités.

Il y avait là un mélange de noirs, membres de l'élite locale, et de blancs expatriés. Comme dans presque toutes les soirées de ce genre, les femmes étaient toutes jeunes et sexy, et nous avons eu la surprise de découvrir, parmi elles, Alice, la copine de Wendy que nous avions rencontrée sur la plage.

La pièce de réception était immense, avec des recoins assez sombres dans lesquels on devinait des matelas et des coussins étalés sur le sol, et elle s'ouvrait sur une terrasse bordant une grande piscine. De jeunes serveuses nous apportaient, à volonté, des petits fours, du champagne, des cocktails et plein d'autres alcools. Elles portaient toutes la même tenue blanche : une minirobe en maille dévoilant leurs seins libres, sur une culotte taille basse.

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La soirée a démarré de manière très classique : présentations, compliments sur la beauté et la toilette des femmes, banalités, passage des serveuses dans les groupes pour distribuer - généreusement - boissons et toasts.

Il était plus de 22 heures quand le niveau de la sono a commencé à monter et, petit à petit, la piste de danse improvisée dans le salon s'est remplie. Avec Carine, nous avons rejoint le groupe des danseurs.



Je regardais depuis un petit moment un groupe de mâles, que je trouvais vraiment à mon goût, et je commençais à fantasmer.



Il ne fallut pas très longtemps pour que les danseuses, à l'occasion d'un slow, se fassent aborder par des hommes. Pour ma part, j'ai eu le plaisir d'être invitée par Marc, l'un des mecs que j'avais remarqués.



C'était un excellent danseur. Il s'était collé contre moi - ou je m'étais collée contre lui, je ne sais plus - et sa main descendit au creux de mes reins. Mes seins étaient plaqués contre sa poitrine et, en l'absence de soutien-gorge, je sentais son torse contre mes seins à travers la mince étoffe de ma robe. Sa jambe se glissait entre mes cuisses, et pressait mon pubis.

Marc me parlait à l'oreille d'une voix grave, et j'étais incapable de résister. Il s'en rendit compte. Il m'invita à m'asseoir, et me tendit une flûte de champagne.



L'alcool que j'avais absorbé produisait ses premiers effets, et je pris l'initiative d'approcher ma bouche de la sienne. Sa langue s'insinua entre mes lèvres, ses mains commencèrent à explorer mon corps à travers le tissu de ma robe.

Nous relevâmes un moment la tête, et nos regards furent retenus par Wendy. Elle aussi était manifestement désinhibée par l'alcool et, assise sur un canapé, elle regardait fixement un groupe d'hommes, d'un air provocant.



Sans les quitter des yeux, elle se mit debout, se tourna, et fit glisser la fermeture de sa robe.



Lentement, la robe descendit sur son buste, ses hanches, ses jambes, et tomba sur le sol. De la pointe de sa chaussure, elle la lança au loin, et se retourna vers ses admirateurs, pour leur présenter ses petits seins durs. Elle resta ainsi un moment, avant de poser ses mains sur l'élastique de son string, et fit mine d'hésiter.



Un instant plus tard, le string alla rejoindre la robe sur le sol. Wendy se rassit sur le canapé, dans une position qui dévoilait ses fesses cambrées, et sa chatte épilée.



Des hommes commencèrent à s'approcher d'elle, mais Marc ne voulait pas que nous nous laissions distraire trop longtemps !

Il m'entraina vers l'une des alcôves sombres, ouvertes sur la pièce de réception. A ma grande surprise, un éclairage violent s'alluma, dès que nous sommes entrés, transformant l'endroit en une sorte de scène bien visible des autres invités.

En un instant, ma robe disparut, et je me retrouvais nue, car j'avais choisi de ne mettre aucun sous-vêtement qui aurait marqué sous ce fourreau collant à mes formes. Mon corps devint le point de mire de l'assistance : ce n'était bien sur pas pour me déplaire !



Marc commença par déboucler la ceinture de son pantalon. Je pris aussitôt le relais, pour dégager sa queue, qui avait déjà atteint une certaine rigidité. Je la pris dans ma main, pour la branler doucement, je découvris lentement le gland, sur lequel je donnai de petits coups de langue, et je lui demandai avec un sourire gourmand :

-As-tu envie que je te suce devant tout le monde ?



-Et toi, as-tu envie de me sucer ? Si j'en crois les bruits qui circulent sur toi, tu adores le sexe...

Il semblait donc que tout se sache ici, mais je ne perdis pas de temps à me poser des questions sur l'origine de ces indiscrétions : cette bite me faisait vraiment envie, et je la pris dans ma bouche.



Marc se dégagea un court instant pour se dévêtir, et dès qu'il se fut étendu sur un canapé, je me mis à lécher sensuellement l'extrémité de son gland. Je l'entourai de ma langue, m'attardai sur le petit orifice d'où jailliraient plus tard de longs jets de sperme, tout en jetant des coups d'œil vers les autres convives.



Sous mes caresses, le sexe de Marc avait pris des proportions imposantes, et j'avais hâte qu'il me pénètre. Mais je fis durer le plaisir, le prenant tout entier dans ma bouche, le pompant avec force, le mordillant.



Marc poussait de petits grognements de plaisir, et les voyeurs s'approchaient. Ne résistant pas à mon goût pour l'exhibition, je m'agenouillai, reins bien cambrés, pour leur offrir le spectacle de mon petit cul, et de ma fente maintenant bien humide.



Je poursuivis pendant de longues minutes - Marc s'avérait être un partenaire très endurant - jusqu'à ce qu'il me fasse m'installer sur lui, en 69. Je sentis aussitôt ses doigts et sa langue se lancer à l'assaut de mon minou.



Il était d'une adresse diabolique, semblant deviner les caresses que j'attendais. Il n'eut aucune difficulté pour débusquer mon clito, qu'il aspira, titilla tant et si bien que je dus me retenir pour ne pas succomber à l'orgasme. J'appréciai donc encore plus quand je compris qu'il avait décidé de défoncer mon minou affamé.

Je me ruai alors littéralement sur Marc, enjambant son corps, et empoignant sa verge pour mieux contrôler la suite des évènements.



Il me caressait, m'embrassait les seins, tout en m'encourageant :

-Oui, c'est çà, vas-y ! Viens t'empaler sur ma bite, espèce de petite salope... Tu la sens bien, rentrer dans ta chatte ?
-Oh, oui, c'est trop bon, murmurai-je tout en gémissant. Je la sens me remplir tout doucement... Oh, comme j'aime çà !

C'était toujours un moment indescriptible pour moi, quand un gland gonflé envahit lentement ma grotte lubrifiée par le flot de cyprine de mon désir. Les mains de Marc, écartant mes fesses cambrées pour le plus grand plaisir des invités qui nous regardaient, décuplaient ces sensations.



C'était parti pour une folle chevauchée ! Bien calée sur mes genoux, j'imprimais moi-même le rythme des allées et venues du dard qui me remplissait. J'accélérais, je ralentissais, je contractais mes muscles autour de la queue plantée en moi, je me soulevais - comme pour mettre un terme à ce coït - pour me laisser retomber d'un coup.



Marc parvenait à se contrôler, je ne sais comment, mais je me laissai submerger par le plaisir, criant sans retenue.

Mon partenaire attendit que j'aie fini de jouir, pour me faire changer de position, et m'agenouiller à quatre pattes. Aussitôt, je sentis son sexe s'insinuer dans mon abricot gonflé, sous les commentaires des voyeurs :

-Vas-y, Marc ! Baise-là bien à fond, elle ne demande que çà !



Ces commentaires, loin de provoquer en moi un sentiment de gêne, fouettaient mon désir. Marc se mit à pilonner ma chatte, et je soulevai une de mes jambes, pour que mes spectateurs n'en perdent pas une miette.



J'étais sur le point de jouir de nouveau, mais Marc avait une autre idée en tête. Il se releva, me prit dans ses bras. Accrochée à son cou, je l'embrassais longuement, pendant que sa bite retrouvait naturellement le chemin de ma fente.



Il me soulevait pour provoquer de petits mouvements qui me faisaient coulisser sur sa hampe. Le frottement de mes seins durcis sur son torse me rendait folle.

-Je crois que tu aimes aussi te faire prendre par derrière, me dit-il à l'oreille.
-Non mais, qu'est-ce qui t'a raconté çà ? protestai-je... pour la forme.
-Ca n'a aucune importance, répondit-il sur un ton autoritaire. Tu aimes te faire enculer ou pas ?
-Bien... oui, avouai-je vaincue, à voix basse.

Je ne compris pas tout de suite ce qu'il avait en tête, quand il s'allongea, et voulut que je le chevauche de nouveau. Mon sexe vint s'emboîter sur le sien, et c'est alors qu'il me dit :

-Je veux que tu prépares toi-même ton petit trou, et que tout le monde te voie.

Je réalisai aussitôt. Je mouillai mes doigts avec ma salive, et glissai mon majeur dans ma rosette, pendant qu'il écartait mes fesses.



Une nouvelle excitation m'envahit, mon doigt sentant à travers la mince paroi les aller et venues du gland de Marc dans ma chatte. Mon index rejoignit bientôt mon majeur, et je me mis à pousser de petits cris, puis à supplier Marc :

-Viens, je t'en prie... J'ai envie de te sentir dans mon cul.
-A toi de venir sur moi, et de montrer à tout le monde quel genre de fille tu es.

Sans me faire prier, et oubliant toute pudeur (mais je crois que je n'en ai plus aucune dans ces situations) je vins moi-même placer mes fesses à l'aplomb de sa bite, et m'empaler lentement.



Depuis ma découverte des plaisirs de la sodomie, il y a près d'un an, j'y avais pris goût, et je savais profiter maintenant de ce moment délicat, où un sexe male investissait mon petit trou. Ma cyprine, qui couvrait en abondance le gland de Marc, et mon excitation, facilitaient sa progression en moi, millimètre par millimètre.

Mes gémissements et ses grognements accompagnaient la scène et, après avoir marqué quelques courtes pauses, mes fesses vinrent s'appuyer sur son pubis. Je me mis à aller et venir, tout doucement, puis un peu plus vite. Je sentais le plaisir monter, et je commençai à caresser mon petit bouton, pour multiplier mes sensations.



Sans nous désunir, Marc se mit debout, pour me faire brutalement sauter sur sa queue, qui perforait mon anus. C'était un feu d'artifice dans ma tête et dans mon ventre, et un orgasme foudroyant me tétanisa.

Nous nous laissâmes tomber, et Marc jouit enfin à son tour. Un premier jet de sperme jaillit dans les profondeurs de mon ventre, puis un second, encore plus puissant, vint éclabousser mes fesses et le creux de mes reins.



J'avais l'impression que Marc était inépuisable, et lorsque je pris sa verge dans ma bouche, je recueillis encore sur ma langue quelques gouttes de foutre.



Il nous fallut plusieurs minutes pour récupérer. Marc m'a embrassée sensuellement et m'a félicitée, et c'est alors seulement que j'ai repris conscience de ce qui se passait autour de nous.

Le petit spectacle que nous avions offert, et l'alcool, faisaient de plus en plus d'effet sur les invités. Certaines filles se livraient à des strips très excitants...



... Un beau black avait un succès certain auprès des nanas...



... Et Carine semblait bien s'amuser.



Pour ma part, la partie de jambes en l'air que je venais de m'offrir, en public, avec Marc m'avait donné beaucoup de plaisir, mais je ne me sentais pas rassasiée. J'avais jeté aux orties depuis plusieurs mois mes tabous, et je n'avais plus honte de mon insatiable envie de jouir.

Je cherchais maintenant Wendy du regard, me demandant comment elle pouvait réagir dans cette ambiance de partouze. D'après ce que Carine m'avait dit, elle avait du goût pour le sexe - autant avec une fille qu'avec un homme - mais elle n'avait pas d'expérience du sexe en groupe, et le poste de son père devait rendre sa situation ici délicate.

Je pensais la trouver isolée, dans un recoin sombre de la salle de réception, ou sur la terrasse, mais lorsque je la découvris enfin, je n'en crus pas mes yeux : Wendy était sur une sorte de podium recouvert d'un matelas et de coussins, éclairé par des spots, entouré de spectateurs. Allongée sur le dos, intégralement nue, elle était en train de se faire baiser par Antoine.



Ses petits seins, aux pointes sombres et dardées vers le plafond, tressautaient au rythme des coups de reins de son partenaire. Elle poussait de petits cris très suggestifs, mais elle se contrôla un instant pour me dire, en souriant :

-Qu'est ce que c'est bon de baiser comme çà ! Je t'ai vue tout à l'heure, Chloé, et tu m'as trop donné envie... Oooohh ! Oui, comme çà, Antoine... Fais-moi jouir, vas-y !

Et elle partit dans un orgasme spectaculaire. Elle resta étendue, haletante, et Antoine s'agenouilla à côté d'elle, en se branlant, jusqu'à ce que sa bite, secouée de spasmes, ne déverse un sperme épais sur le visage et la poitrine de Wendy, radieuse.

J'étais sidérée, et je pensais qu'elle allait en rester là. Mais Wendy avait l'enthousiasme des débutantes.

Un homme, au garde à vous s'approcha de nous et, dans une sorte de réflexe, j'empoignai son sexe pour le sucer.



Wendy posa ses lèvres sur la longue tige, puis se tourna vers moi.

-S'il te plait, tu peux me le laisser ? J'ai trop besoin de faire encore l'amour.

Je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir ! Mais d'autres mâles n'avaient pas perdu une miette de la scène et, connaissant la position de Wendy, se réjouissaient de sauter la fille d'un ministre, surtout que celle-ci avait l'air d'une chienne en chaleur.

Bientôt, elle fut entourée par trois mecs en érection, sans que la situation semble l'inquiéter. Elle se mit à les branler et à les sucer, en me regardant avec une expression de triomphe.



Les trois hommes ne s'attendaient pas à un tel traitement, et savouraient ces caresses et cette fellation, dignes de la cougar la plus expérimentée.

Wendy se démenait pour exciter ses amants d'une soirée, et l'un d'eux finit par l'installer en levrette, au bord d'un canapé. Devinant ce qui l'attendait, elle se cambra pour offrir sa moule luisante de mouille, à la pénétration de l'énorme sexe.



Elle poussa un petit cri de plaisir, lorsque le gland franchit la porte de son intimité, se cambra davantage, et continua de caresser et de sucer les deux autres hommes.

Un attroupement s'était formé autour du quatuor, et le spectacle était grandiose.

Au bout de plusieurs minutes, un des deux types voulut échanger sa place. Wendy lui demanda de s'allonger, et elle vint le chevaucher.

-Oui, c'est bon comme çà... Oh, comme je la sens bien, criait-elle, tout en s'enfonçant sur le pieu dressé.

Et elle reprit les deux autres queues, dans sa main et dans sa bouche.



La vue de Wendy, s'offrant à ces hommes, était d'un érotisme torride, et j'étais de plus en plus excitée. Cela devait se voir, et deux types s'approchèrent de moi. Ils commencèrent à me peloter, et je dus prendre sur moi pour tempérer leurs ardeurs.

-Pas tout de suite. Je veux regarder ma copine se faire baiser par tous les trous.

Ce spectacle leur plaisait aussi, et nous nous sommes assis sur un canapé. Je les branlais, pendant qu'ils malaxaient mes seins durcis par le désir.



Pendant ce temps, Wendy avait changé de position. Elle s'était assise sur son troisième partenaire, et celui-ci était en train d'investir son petit trou. Elle n'avait guère pratiqué la sodomie, et était visiblement crispée, pendant que la bite disparaissait petit à petit entre ses fesses.



Mais bien vite, le plaisir la submergea, lui arrachant à nouveau des cris.

-Tu aimes te faire enculer, avoue ! lui lança l'un des deux autres hommes.
-Oh oui ! J'aime çà... C'est bon... C'est trop bon, cette queue dans mon petit trou.
-Alors, suce-moi encore, et je prendrai sa place après.



Pendant un long moment, Wendy se fit sodomiser par les trois hommes, puis ils décidèrent de la prendre en sandwich.



Elle acceptait tout, secouée à intervalles réguliers par des orgasmes. Après chaque vague de plaisir, elle semblait reprendre davantage de force, pour se donner avec encore plus d'énergie à ses partenaires.

Le quatuor fut enfin épuisé, et Wendy s'agenouilla entre les types qui, l'un après l'autre, se branlèrent au ras de son visage, jusqu'à ce que le foutre jaillisse, et finisse dans sa bouche, sur son visage, et coule sur ses seins.

Elle me regarda, avec un grand sourire, et s'écria :

-Putain ! Je n'avais jamais joui aussi fort, quel pied ! Carine m'avait raconté vos soirées, mais je ne croyais pas que c'était aussi génial.



Je félicitai Wendy, mais la voir se faire prendre ainsi par trois mecs m'avait excitée au dernier degré. Je ressentais un besoin de sexe, porté jusqu'à la frustration, et je ne pouvais pas compter sur les deux types que j'avais branlé en regardant Wendy : ils n'avaient pas résisté au show de la belle et jeune africaine et à mes caresses, et ils avaient déchargé l'un après l'autre, dans mes mains.



Je me retenais pour ne pas me jeter sur les invités - hommes ou femmes - qui étaient disponibles. Mais en regardant autour de moi, je découvris que nombreux étaient ceux qui étaient déjà... occupés !



C'est à ce moment que Carine vint me rejoindre. Elle avait assisté, elle aussi, à la ″performance″ de Wendy, et était également en manque.

-As-tu fait l'amour, ce soir ? lui demandai-je.
-Oh oui ! avec un superbe black, et j'ai pris un pied d'enfer. Mais je ne compte pas en rester là.

Nous nous sommes raconté notre début de soirée, et nous avons décidé d'attirer l'attention sur nous, en nous livrant à un petit numéro de lesbiennes.

Carine s'est à demi étendue sur un canapé, et je suis venue sur elle, pour l'embrasser langoureusement.



Sa langue explorait ma bouche, et je lui rendais son baiser. Elle me fit me soulever, pour pouvoir caresser ma chatte, et sucer les pointes de mes seins, qui durcirent immédiatement.



Plusieurs personnes s'approchèrent, pour admirer notre duo, et nous nous sommes assises, pour qu'elles puissent mater nos sexes gonflés, tout en poursuivant nos caresses.



Notre petite exhibition porta rapidement ses fruits : nous avons réveillé le désir de nos spectateurs - beaucoup étaient du sexe masculin - et nous nous sommes retrouvées bientôt entourées de queues plus ou moins dressées.

Très occupée par nos caresses sensuelles et agréables avec Carine, j'entendis une voix grave, sans pouvoir identifier qui parlait :

-Alors, mesdemoiselles, vous êtes totalement lesbiennes ? ou seriez-vous tentées par de belles bites bien dures ?

En nous relevant, nous découvrîmes trois superbes verges, une noire et deux blanches, déjà dressées. Sans nous consulter, Carine s'agenouilla au milieu du trio, en même temps que moi, et nous avons commencé à les caresser avec gourmandise.



Sans hésiter, je pris une tige bien raide dans ma bouche. Avec plaisir, je goûtai les effluves d'une autre fille, que le mec avait baisée sans doute avant moi, mélangées au parfum de son sperme. Loin de me rebuter, ces saveurs renforçaient mon excitation.



De son côté, Carine suçait le gland rose, décalotté, qui terminait la longue hampe noire du sexe de l'un de nos nouveaux partenaires. Notre ″quintet″ était devenu, à son tour, un centre d'attraction pour de nombreux invités, et des spots vinrent renforcer l'éclairage de l'endroit où nous nous trouvions, comme si un régisseur de théâtre avait suivi nos faits et gestes.



Bien vite, les trois verges atteignirent une taille impressionnante, pour le plus grand plaisir de Carine et le mien. Il ne faisait aucun doute qu'elles étaient à même de nous satisfaire, et je sentais déjà des gouttes de cyprine couler à l'intérieur de mes cuisses.

Nos partenaires étaient du genre décidé, et l'un d'eux nous demanda :

-J'ai l'impression que vous aimez vous faire baiser, toutes les deux. Je me trompe ?
-Non, répondit Carine, avec un sourire mutin.
-Et toi ? insista l'homme, à mon intention.
-Non, j'adore çà, répondis-je à mon tour, prenant une expression encore plus allumeuse que Carine, avec l'espoir de me faire prendre plus sauvagement par ces mecs.
-Et vous aimez vous faire prendre par derrière ? intervint le black.
-J'adore ! s'exclama Carine, qui voulait reprendre l'avantage.
-Alors, vous allez être servies !

En effet, aucun des trois hommes ne s'intéressa - du moins dans un premier temps - à nos chattes. Ils savaient ce qu'ils voulaient ! Je me retrouvais agenouillée, en levrette, avec une superbe queue sombre dans la bouche. Je sentis qu'un autre homme derrière moi lubrifiait ma rosette et, sans plus de préliminaire, son gland se glissa entre mes fesses.



Malgré l'absence de tout romantisme dans cette approche, il ne me serait pas venu à l'idée de protester. Au contraire, j'étais excitée par la situation, par le fait que nous n'étions plus, tous les cinq, que des sexes affamés, en quête d'un plaisir brut.

Mon partenaire était, malgré tout, attentif à mes réactions. Il s'introduisit lentement, et je sentais son gland s'enfoncer en moi avec délectation. Lorsque son pubis vint s'appuyer sur les globes de mes fesses, il attendit un moment avant de commencer à me pistonner, et c'est lorsque je l'implorai :

-Vas-y, maintenant ! baise mon cul ! Je te veux, j'ai envie de jouir !!

Qu'il se mit à aller et venir, de plus en plus vite.

Je poussais de petits cris, et j'entendais, derrière moi, les gémissements de Carine, sans voir ce qui se passait - mais en le devinant facilement. Mon partenaire se retira, et échangea sa place avec celui qui enculait Carine, et celle-ci se retrouva à son tour avec la bite du black dans la bouche.

La pénétration de cette nouvelle queue provoqua en moi une sorte de décharge électrique, et un orgasme soudain, imprévisible, me secoua.



L'homme avait soulevé l'une de mes jambes, qu'il maintenait en hauteur, pour que chaque invité puisse profiter du spectacle de ma fente luisante de mouille, et de mon anus dilaté par les mouvements de sa verge.

La position était fatigante et, sans nous désunir, nous nous sommes retrouvés assis. Agrippant mes fesses, il me soulevait maintenant avec une force impressionnante, et j'étais devenue un jouet entre ses mains.

Ainsi installée, je voyais Carine. Secouée par des spasmes de plaisir, elle offrait maintenant son petit trou au black, qui la sodomisait violemment en grognant de satisfaction.



Mon partenaire se rendit compte que l'exhibition de Carine m'excitait. Il m'installa de nouveau en levrette, et m'ordonna :

-Tu vas lécher la bite de mon copain et le petit cul de ton amie.



C'était d'un érotisme torride. Cette vision décuplait les sensations provoquées par le dard qui continuait à pilonner mes fesses, pendant que je me cambrais pour qu'il me pénètre profondément. A ce rythme, Carine et moi nous ne pouvions résister bien longtemps à la montée d'un orgasme, qui nous fit crier toutes les deux ensemble.



Mais a priori, le trio avait décidé de se concentrer sur Carine.

Je me sentis un peu frustrée, mais je me doutais qu'elle appréciait ! Et, bonne joueuse, je décidai de continuer à jouer le jeu.

L'un des mecs s'allongea, et Carine vint s'empaler sur lui, reprenant aussitôt dans sa bouche l'homme qui venait de me sodomiser. Elle offrait son cul au troisième, mais celui-ci voulut que je le suce, avant de s'enfoncer entre ses fesses.



Je le léchais et je le pompais avec enthousiasme, et j'aurais aimé le faire décharger dans ma bouche, mais ce n'était pas son intention, et il se maîtrisait parfaitement.

Lorsqu'il le décida, je pus voir en gros plan le gland et la longue hampe sombre disparaître dans la rondelle d'une Carine aux anges, ignorant ma frustration.



Bientôt, j'entendis les cris de mon amie monter dans les aigus.

J'étais dans un état de manque indescriptible, et les regards que je lançais autour de moi devaient trahir mon désir.

Je ne vous décrirai pas ma joie et mon excitation, quand je vis un petit groupe d'africains s'approcher. Leur nudité me permettait d'admirer leurs corps - et surtout leurs sexes ! Trois d'entre eux m'entourèrent.

-J'ai l'impression que tu es une petite cochonne, et que tu as envie de beaucoup de sexe ce soir. Ca te plairait de faire l'amour avec nous ? me demanda le plus entreprenant.
-Peut-être, répondis-je en minaudant un peu.
-Génial ! Mais je ne t'ai pas précisé : c'est avec nous trois, en même temps, précisa-t-il.
-Oooohh ! m'exclamai-je, pour les chauffer. Je ne sais pas si je vais pouvoir accueillir d'aussi grosses queues !
-Pour l'instant, mets-toi à genoux, les mains derrière le dos, et contente-toi de regarder.

Je m'exécutais, et je me retrouvais agenouillée, avec leurs sexes à la hauteur de mon visage. Ils ne bandaient pas, mais leurs verges affichaient déjà des proportions impressionnantes. Ils tournaient autour de moi, leurs glands oscillant sous mes yeux, et ils se branlaient fugitivement de temps en temps.



Ce spectacle me mettait en transe. Mes ongles s'enfonçaient dans mes poignets, tant j'avais envie de caresser ces pieux sombres qui me provoquaient et, involontairement, je passais ma langue sur mes lèvres. Et puis, n'y tenant plus, j'empoignai une première bite.



Pendant que le deuxième homme se masturbait, le troisième approcha son gland découvert de ma bouche, et la pointe de ma langue l'effleura,

Pour m'exciter encore un peu plus, il se recula, mais je pus saisir et engloutir dans ma bouche la superbe verge du premier, qui commençait à gonfler et à se dresser.



Jamais je n'avais autant apprécié le contact et la saveur d'un sexe masculin. Il palpitait contre mon palais, jusque dans ma gorge. Il avait du baiser une autre fille avant, car il me semblait reconnaître un parfum de cyprine.

J'étais sur un petit nuage, et c'est alors que le deuxième réclama à son tour une fellation. Tout en continuant de caresser le premier, je pris son dard dans ma bouche.



Très vite, je me déchaînai, caressant, léchant, suçant les trois blacks à tour de rôle, sentant des mains parcourir tout mon corps, mes seins, mes fesses... C'était délicieux.

Je gémissais de plaisir depuis un moment, lorsque celui qui prenait l'initiative dans le trio de mes partenaires - et le plus généreusement membré - décida de passer aux choses plus... sérieuses.

-Allez-y les gars ! Elle est bien chaude. Commencez à la baiser tous les deux, et quand elle criera bien fort, on la prendra tous les trois ensemble. Je veux qu'elle se rappelle de l'Afrique toute sa vie, la petite française.

Des mains grandes et fortes m'empoignèrent, m'installèrent sans ménagement à genoux sur un canapé, et l'un de mes partenaires s'assit pour m'offrir sa queue à pomper. Je ne fis aucune difficulté et, l'instant suivant je sentis une verge dure comme le bois effleurer ma fente dégoulinante de sève. Je me cambrai aussitôt.



Je la sentis s'enfoncer en moi, avec ravissement. Elle était grosse et raide à souhait, me remplissait lentement et, si ma bouche n'avait pas été prise, j'aurais encouragé de la voix mes deux partenaires.

Mais ils n'en avaient pas besoin. Le pubis de celui qui occupait ma chatte venait battre contre mes fesses, au rythme de ses coups de reins, et je poussais des cris étouffés. J'étais sur le point de jouir, quand il me retourna, comme si mon corps ne pesait rien.

-Ecarte tes jambes, et tiens-les par les chevilles pour les maintenir bien ouvertes, que tout le monde te voit te faire enculer ! m'ordonna-t-il d'une voix forte.



Subjuguée, le plaisir annihilant chez moi toute fierté, je m'exécutai. Au contraire, j'attendais avec impatience son assaut dans mon petit cul.

Je ne fus pas déçue. Le gland lubrifié par ma mouille passa sans difficulté ma rosette serrée, et ma sensibilité à cet endroit de mon anatomie décupla mon plaisir.

J'avais cessé de sucer l'autre verge que je branlais maintenant, libérant ma bouche pour manifester bruyamment mon excitation :

-Ouiiii ! J'adore, vas-y, mets-moi toute ta bite... Ooooh, comme c'est bon !
-C'est ça, gueule bien fort, je sais que tu vas jouir.
-Aaaah ! oui, je jouis, c'est trop bon.



Le troisième black nous avait rejoints. Il avait manifestement décidé de prendre part à cette séance de sexe !

L'homme que j'avais sucé s'allongea sur le canapé, et je vins le chevaucher. Tout doucement, je me suis empalée sur lui, goûtant pleinement ce moment que j'aimais tant quand un membre s'enfonçait dans mon ventre, distendant les lèvres de mon minou.

Lorsque je fus complètement prise de ce côté, le nouveau venu pénétra mon petit trou, préparé par son copain.



Je sentais sa progression, son sexe séparé par une mince cloison de celui de mon autre partenaire. J'étais tétanisée, sans réaction, attendant et redoutant à la fois le double assaut qui était maintenant inévitable.

Et ce moment arriva. Les deux hommes se déchaînèrent d'un seul coup, m'arrachant un long cri de surprise et de plaisir.



J'avais l'impression que mon corps, secoué d'avant en arrière au rythme de ce fabuleux coït, n'était plus qu'une chatte et un cul. Cette sensation, les mains posées sur mes fesses et mes hanches, me transportaient malgré moi. Mes gémissements et les grognements de mes partenaires avaient attiré de nombreux voyeurs, et tous ces regards posés sur moi m'excitaient un peu plus.

Les deux phallus qui me perforaient semblaient inépuisables, et un orgasme énorme me submergea, sans que mes partenaires faiblissent.

Bien au contraire, ils se retirèrent un court instant, pour un changement de position.

L'homme qui avait investi ma fente en premier vint s'allonger sur le canapé. Il n'avait pas débandé, et on me fit asseoir sur lui. Presque naturellement, son gland se logea entre mes fesses, trouvant sans difficulté l'accès dilaté de mon anus.

Aussitôt, il me renversa en arrière, et le grand black qui venait de me sodomiser pénétra ma chatte, pendant que le troisième mec présenta sa queue pour que je la suce.



J'étais prise par tous mes orifices, par trois bites dont la seule vue aurait suffi à me faire mouiller ! Je me sentais comblée, et je savais que je ne pourrais jamais connaître de situation plus excitante.

Je me mis à onduler des hanches, donnant ainsi à mes amants d'un moment, le signal que je m'offrais totalement à eux, sans réserve ni tabou. Et ils en profitèrent largement...

Les deux blacks qui remplissaient mon minou et mon petit trou avaient empoigné mes hanches et mes chevilles. Ils coordonnaient maintenant leurs gestes, et je coulissais sur les dards qui me perforaient.

J'avais rarement ressenti un tel plaisir, et la sueur ruisselait sur mon corps. C'était aussi fort que l'orgasme, mais les vagues qui se succédaient semblaient ne jamais devoir s'arrêter. Je suçais avec gourmandise mon troisième partenaire, même si j'étais obligée de le délaisser parfois quelques secondes pour crier mon plaisir.



Et puis, j'ai joui vraiment, à deux reprises coup sur coup. Alors seulement, à demi inconsciente, je sentis des flots de sperme gicler en moi. Celui qui me sodomisait se retira le dernier, et les trois hommes m'abandonnèrent.



Je découvris alors seulement que Carine me photographiait avec son portable. Je la regardai, épuisée, les paupières gonflées par le plaisir, et je soulevai ma jambe pour offrir à l'objectif mes deux trous, d'où s'écoulait un foutre épais. Lorsque je revois cette photo aujourd'hui, je ressens des fourmillements familiers entre mes cuisses et dans le bas de mon ventre...



J'étais à bout de forces, courbaturée, mais infiniment heureuse.

Wendy m'indiqua le chemin d'une des salles de bains de la propriété, dans laquelle je pourrais récupérer tranquillement, car j'étais incapable d'un autre ébat sexuel !

Je restais un long moment sous la douche, et l'eau fraîche me permit de récupérer peu à peu.



Le jour se levait, et nous devions rentrer chez Wendy.

Seul problème : ma robe était introuvable ! C'est donc entièrement nue que je remontais dans le Range Rover...



... à la grande surprise du personnel qui attendait notre retour.