Soirée sexe pour Maryaline (publié par Davidhandballeur le 15-08-2014)
La cité pour Maryaline (publié par Maryaline le 22-08-2014)
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Soirée sexe pour Maryaline
Un soir d'été, Maryaline, une jolie femme, se rend dans une ville voisine en voiture, à la recherche d'une aventure sexuelle, elle qui est plutôt avide de sexe. Vêtue d'un chemisier noir qui fait très bien ressortir ses jolis seins, d'une jupe blanche, de bas noirs et d'escaprins à hauts talons, Maryaline, apparaît comme une femme sexy sans être vulgaire, à la chasse à l'homme d'un soir. Son léger maquillage met en valeur son joli visage, ses yeux et sa bouche, ainsi que des cheveux longs qui descendent jusqu'à ses épaules.

Après avoir roulé près d'une trentaine de minutes, Maryaline s'aperçoit qu'elle s'engage dans des petites ruelles qui lui sont encore inconnues. Elle stationne sa voiture, cherche un plan de la ville dans la boîte à gant. En relevant la tête, elle aperçoit au loin un groupe de jeunes qui discutent entre eux. La jeune femme descend alors de sa voiture, bien décidée à demander son chemin à ces jeunes dont certains sont blacks. En s'approchant de ces jeunes, les regards se font de plus en plus présent sur Maryaline qui éprouve l'impression d'être au centre de la nouvelle conversation des jeunes. Elle n'a plus aucun doute, quand elle entend même un des jeunes chuchoter à un de ses camarades, une phrase du genre :
- Putain, t'as vu la meuf, tu crois qu'elle porte des bas ?

Nullement décontenancée, Maryaline engage la conversation avec les jeunes, qui malgré la phrase choc entendue, lui semble charmants et loin des stréréotypes. Les jeunes gens, polies, lui indiquent l'itinéraire à suivre, et raccompagnent galamment la jeune femme vers son véhicule. L'un des jeunes ouvre galamment la portière et Maryaline prend place derrière son volant, en essayant de rester correcte et de ne pas trop dévoiler ses jambes et son entrejambe. Cependant, elle ne peut pas faire autrement et dévoile furtivement la lisière de ses bas.

En apercevant cela, l'un des jeunes, ne se gène pour lancer à ses copains :
- J'avais raison, elle porte des bas.
Maryaline est contente de leur avoir fait ce petit plaisir et met le contact satisfaite de l'effet réel que sa beauté a laissé entrevoir sur ces jeunes gens.Pour preuve, elle aperçoit les sourires sur leur visage. Satisfaite et rassurée, notre belle héroïne effectue une partie du trajet, escortée par les jeunes qui l'a suivent dans leurs véhicules. Elle ne se doute de rien quand, après un cinq minutes de trajet, un jeune, qui s'était subrepticement glissé derrière le siège conducteur, apparaît et colle une lame de couteau sur la gorge de Maryaline, subitement effrayée. Décontenancée, elle réplique :
- « Je ferai tout ce que vous voulez mais soyez gentils
Ces mots provoquèrent l'hilarité du jeune homme qui lui répond :
- Mais oui tu vas être très gentille. Tu vas m 'obéir et stopper le véhicule quand je le dirais ».
Sans porte de secours, Maryaline est au ordre du jeune homme qui lui signale, à poximité d'un parking de couper le contact et d'enlever sa jupe et de montrer ses bas puis ses seins à toute la bande qui la suivait, Sans réfléchir, elle réponds à leur demande et, alors qu'elle dévoile les bas et les attaches des jarretelles,soulève son chemisier, elle sens son bas ventre s'alourdir et une sensation malsaine envahir sa chatte.
- C'est mieux qu'espérer. Ce sont des vrais bas avec porte-jarretelles et tout le bazar, réagissent certaines personnes du groupe.

- Sous le sifflement des jeunes, Maryaline enlève maintenant son soutien-gorge et entends les jeunes s'exclamer de plus en plus fort, en admiration devant elle.
- Maintenant, tu te lèves et tu marches devant nous et tu nous excites, crient les jeunes de plus en plus énervés et dont certains commencent à se masturber »
Maryaline n'a pas d'autres solutions que d'obéir aux directives des jeunes gens et s'applique à satisfaire les jeunes gens. Toutefois, pas insensible du tout à la situation dans laquelle elle s'est fourrée, elle ne peut s'empêcher de pousser un gémissement de plaisir qui ne fait aucun doute sur la sensation ressentie..

Au centre de toutes les intentions, elle reste toutefois sereine, malgré les sifflements de plus en plus présents des jeunes qui lui ordonnent d'enlever sa culotte en dentelles et de s'agenouller devant eux. Maryaline obéit et dévoile une toison lisse, défiant même les jeunes du regard.

La situation échappe complètement à Maryaline, qui, en rêve, n'imaginait pas vivre des instants excitants. Pourtant, elle elle est super excitée à l'idée d'être palpée, tripotée, caressée, embrassée par ces jeunes qui vont certainement pas se contenter de la regarder. Maryaline se sent même prête à toutes les folies sexuelles qui lui seront imposer par ses jeunes. L'objectif de la soirée sera ainsi atteint même si Maryaline n'imaginait pas se retrouver dans cette situation ce soir. Certes, elle pourrait résister plus vigoureusement et crier,, sans beaucoup d'espoir de réussite, le craint-elle devant ce groupe de jeunes gens qui l'attire de plus en plus en plus, surtout quand elle aperçoit un des jeunes sortir une bite bien dure de son pantalon.Maryaline s'imagine déjà effectuer une fellation à ce jeune homme plein de vigueur.

- De toute façon, ce soir, elle était en recherche de bite, n'est-ce pas poulette, glisse l'un des jeunes à Maryaline qui lui répond positivement d'un air timide.
- Nous allons donc te donner ce que tu voulais, et même mieux encore, parce que tu ne verras pas une seule, mais plusieurs bites. De quoi te faire vraiment du bien, continue celui qui semble être la personne la plus importante de ce groupe.
- Allez, suis-nous, maintenant.
Simultanément à ces mots, les jeunes se rapprochent de Maryaline et l'accompagnent près de l'immeuble adjacent. Ils s'y engouffrent et descendent aux caves. Ils s'arrètent dans une d'elles qui comporte un vieux canapé, un petit frigo. A peine, entré dans la cave, les jeunes installent Maryaline sur le canapé. Le chef de la bande lui présente un gros sexe noir, de vingt-cinq centimètres, déjà dressé, devant la bouche.

- Elle va nous montrer ses talents de suceuse.
Sans même faire un geste de recul, Maryaline laisse la bite tendue s'introduire dans sa bouche, et commence sans s'en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge du jeune homme. Qui imprime le rythme
« Putain comme elle est trop bonne, sa langue m'entoure la bite,

Ce traitement , même agréable ne suffit au jeune qui en veut visiblement beaucoup plus, à en croire son mouvement de plus en plus brutal. Le jeune homme enfonce complètement sa bite dans la bouche de Maryaline qui est près de l'asphyxie devant la grosseur du sexe.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, l'homme ne tarde pas à envoyer toute sa purée dans la bouche de Maryaline, qui avale finalement toute la semence sans broncher.

Le jeune homme se retire et laisse la place à ses acolytes qui se mettent en cercle autour de Maryaline.Ils se déshabillent et présentent chacun leur bite pour se faire sucer.

Comme dans un réve, la jeune femme se retrouve ainsi au centre d'une scène qu'on ne voit habituellement que dans les films pornos, d'autant plus que les bites sont imposantes.

Maryaline ne sait pas où donner de la tête devant toutes ces bites dont certaines semblent au dessus du lot avec un sexe long et épais, alors que d'uatres sont plus fines. Doit-elle commencer à sucer une bite blanche ou une bite noire ? Intérieurement, notre héroïne blonde ne peut s'empêcher de saliver d'envie devant la beauté de tous ces sexes tendues à l'extrême, rien que pour elle.

- Suce ! hurlent les jeunes.
Maryaline commence alors à pomper les bites avec avidité, passant de l'une à l'autre.Elle suce une et parfois deux bites en même temps, pendant qu'elle branle une bite dans chaque main.

Les plus impatients ou les plus pervers l'attrapent par ses cheveux pour imprimer eux-mêmes le mouvement de ses lèvres sur leur bite.
,
Maryaline s'applique à ces multiples fellations, suçant, pompant ces bâtons de chair qui investissent sa bouche à s'en étouffer pendant quu'elle caresse les autres alternant les va-et-vient sur ses bites offertes.

Après de longues minutes de ce traitement, les jeunes ne tardent pas à commencer à décharger leur foutre. Pervers à souhait, les jeunes l'obligent à avaler leur sperme.

Pourtant, au fur et à mesure de ce traitement, Maryaline savoure et accepte ces éjaculations dans sa bouche, une véritable bouche de suceuse, d'après les jeunes de plus en plus enthousiasme et pleins d'imaginations pour cette soirée, qui finalement ne fait que commencer pour Maryaline.

A la fin, le spectacle est saisissant. Maryaline, agenouillée quelques filets de foutre qui s'échappent de sa bouche, toujours en attente du sperme des jeunes. Même si, notre belle blonde, n'avait pas imaginé cela en se préparant pour la soirée, elle ne pensait pas prendre autant de plaisir avec ce groupe de jeunes, finalement assez viriles et qui ont déjà tester son savoir, en matière de fellation, elle une des spécialistes de la fellation, d'après ses multiples conquêtes masculines.

Mais les jeunes hommes, encore pleins de dynamismes, ne comptent pas en rester là. Maryaline en est pleinement convaincu, surtout quand elle entend parmi les multiples compliments sur sa performance, l'un des jeunes prononcer :
-
Tenez-la-moi, je vais la sauter !!
Pas surprise, elle demande si, elle peut toutefois enlever ses bas. Mais, les jeunes ne sont pas de cette avis et la trouve justement très bandante avec ces bas qui les font fantasmer et demande même à Maryaline de se mettre à genou pour dévoiler son intimité. Quasiment soumise à leur moindre désir, notre héröine, obéit. Cette position laisse voir sa croupe, qui ne manque pas d'exciter un des jeunes qui s'empresse de glisser son dard dans la fente de la jeune femme.

Il l'introduit d'une seule traite son gourdin de chair. Cette première pénétration procure un nouvel orgasme à Maryaline, tant par la puissance que par le sentiment d'être avilie par ces jeunes qui lui font perdre toute dignité. Pourtant, Maryaline, bien consciente de la situation, imagine que cette première pénétration n'est qu'un début, tant les jeunes hommes semblent bien décider à profiter de notre heroïne.

Les premiers spasmes de son orgasme se dissipent à peine que le jeune homme se retire, laissant sa place à un jeune homme black qui s'installe sur le canapé et demande à Maryaline de se poser à califourchon. Le jeune homme black rentre plus fort et plus loin. Maryaline ne retiens plus ses cris de jouissance. Elle se sent écartelée au plus profond de son sexe et ses cris se mêlent aux grognements de plaisirs de l'homme qui approchent de l'orgasme.

Ses coups de boutoir ébranlent Maryaline. Ses seins s'agitent dans tous les sens, excitant les partenaires qui se saisisent de ses tétons entre le pouce et l'index, les pinçant cruellement. La douleur se mêlant au plaisir, Maryaline hurle de plaisir.

A son orgasme, le jeune homme se joint à elle, se retire de sa chatte et éjacule de longs jets de sperme laiteux dans la bouche de Maryaline.

La jeune femme a à peine le temps de se remettre de ses émotions que d'autres jeunes déjà se présentent, sexe à la main, pour avoir leur part de chatte blanche.
Un des jeunes avec un gland énorme s'engouffre ainsi dans la chatte de Maryaline. Le gland vient percuter son utérus pour ressortir aussitôt pour s'enfoncer davantage. Maryaline hurle de bonheur, mais cela ne ralentit en rien les puissants allers-retours du jeune qui lui défonce littéralement sa chatte, maintenant son excitation au sommet. Maryaline sent même des flots de spermes se déverser au fond d'elle pendant qu'un autre jeune, qui se fait sucer par Maryaline simultanément, éjacule puissamment et dans un grognement bestial dans le fond de sa gorge.

Ensuite, un des jeunes se plaçe derrière la jeune femme et, sans autre forme de procès, entreprend de la sodomiser d'importance, alors qu'un autre prit, encore une fois possession de sa bouche.

Maryaline continue à haleter, de plus en plus fort, provoquant chez les deux jeunes blacks une excitation décuplée qui se traduit par des coups de bite de plus en plus puissants. Au bout de dix à quinze minutes de ce sexe bestial, et d'au moins deux orgasmes de la part de Maryaline, les deux blacks se vidèrent presque en même temps dans la bouche et dans l'anus de la jeune femme blonde, dans de longs râles de plaisir.

Crevée, fourbue éreintée , Maryaline sombre dans un sommeil bien mérité et s'écroule sur le sol.

Peut-être, revit-elle en rêve sa soirée, qui restera inoubliable pour elle, d'autant plus que les jeunes hommes n'en ont pas terminé avec elle, même si eux aussi reprennent des forces.

Au réveil de Maryaline, les jeunes obligent Maryaline à changer de lieu. Arrivés, ils lient les mains de la jeune femme avec une corde et la suspendent au plafond. Quel spectacle s'offrent à eux pour cette femme dorénavant soumise à leurs désirs. Pourtant, les jeunes n'en profitent pas immédiatemment, abandonnant Maryaline à son triste sort. Ainsi, en quittant le lieu, les jeunes coupent la lumière, laissant Maryaline dans le noir.
- Ne t'inquiètes pas, nous avons encore deux jours pour s'occuper de toi et nous reviendrons très vite, crient les jeunes, en quittant la pièce.

Ainsi, Maryaline attend et sait qu'elle est bien malgré elle, même si elle a prit du plaisir, la proie de ces jeunes pervers et qui vont certainement lui faire encore passer deux journées remplies de sexe et d'orgasme.
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Comme promis pour David.
J'étais attaché suspendue comme un vulgaire morceau de viande. Le temps me paraissait une éternité et même si je devais subir les pires outrages, j'étais impatiente de voir revenir mes tortionnaires.
J'entends la serrure fonctionner. Le chef de la bande s'avance vers moi et tout en me claquant une fesse, il me dit :
« Aujourd'hui, tu vas savoir ce que c'est d'être au service des hommes ! »
« Mais Monsieur, vous vous êtes déjà servi de moi et vous savez que je suis à votre disposition ! »
« Je n'ai pas dit que c'était nous qui te remplirions. »
Je pris peur et comprenais bien que j'allais être utilisée par tous le cailleras de la cité. Malgré tout je me sentais devenir humide. Tout en me détachant, il me dit :
« En attendant d'être le vide couille de la cité, tu vas me sucer. »
Je prends son sexe dans ma bouche et il me parla, en me regardant dans les yeux :
« Aujourd'hui, salope, tu vas passer la journée à sucer et à avaler du sperme. »
La journée ? Oh mon Dieu ? J'avais peur mais j'étais excitée. Mon corps appartenait à cette bande de jeunes. Et s'ils ont envie de me prêter bizarrement, j'en suis heureuse.
« Tu vas passer la journée à la cave. Tout à l'heure, nous avons distribué des flyers dans la cité. Je crois bien que tu ne vas pas t'ennuyer. Regarde, il est sypa ce flyer ! »
Il m'en tend un. Je frémis en voyant une photo de moi, en train de me faire mettre par tous les trous, avec la légende :
« Pipe gratuite. Maryaline vous attend. 10€ sa chatte et 20€ son cul. »
J'en ai le vertige. Combien seront-ils ?
Cette bande de petit voyous avait-elle vraiment l'intention de me livrer ainsi ou était ce juste une façon de me faire peur ? Comptait-elle vraiment me soumettre à une telle épreuve ? Il éjacule alors dans ma bouche de longues giclées crémeuses. Puis, tout à coup, il me glisse un crochet en métal dans l'anus.
« Allez pétasse en position de chienne. »
Il prend alors une barre d'écartement dans un coin de la cave, me l'attache aux chevilles, en m'écartant beaucoup les jambes, puis fixe cette barre aux anneaux dans le sol. Mes jambes sont écartées et ne peux serrer les genoux. Je me sens très vulnérable, dans cette position. L'idée d'être présentée ainsi à quiconque passerait était très très humiliante.
« Là, il y a une caméra. Tout sera diffusé sur le net en temps réel. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi qu'il arrive. Tu ne parles que si on te parle, et toujours avec respect. Tous ceux qui viendront t'utiliser valent mieux que toi. Aujourd'hui, tu n'es qu'une bouche, une chatte, un cul et tu vas nous rendre fier, putain. »
« Oui, Monsieur. »
Sur ces mots, il sort et ferme la porte, sans la verrouiller. Alors commença l'attente. Peut-être cinq minutes plus tard, je vois la porte qui s'ouvre. Je frissonne. Un homme d'une quarantaine d'années, en costume rentre.
« Maryaline j'imagine ? »
« Oui, monsieur, c'est moi. »
« Qu'est-ce que tu fais là ? »
Je suppose qu'il veut m'humilier un peu plus et me l'entendre dire. Je me sais épié et je veux passer cette épreuve.
« Je suis là pour sucer, monsieur. Voulez-vous que je vous suce ? »
Il sourit, s'avançe, ouvre sa braguette et me met son sexe sous le nez.
« Oui. Suce, vite. J'ai plus important à faire. »
J'ouvre la bouche et commence à le sucer. Je lui caresse les couilles, tout en allant et venant sur son sexe. Il ne tient pas longtemps. Il se retire et éjacule sur mes seins en disant :
« Voilà. Je voulais t'avoir pendant que tu es encore propre. Amuse-toi bien. »
Il prend mes cheveux, s'essuie dessus et repart. À nouveau seule, je commence à comprendre à quoi va ressembler le reste de la journée. Comment un homme peut-il arriver ici, me trouver attachée, offerte, nue, mouillée de sperme, et ne pas avoir envie de me souiller et à son tour, de m'humilier. Toute la journée, je vais subir différentes formes de sévices. Ce sera une journée épuisante. Mais en même temps, la situation m'excite, et mes pensées s'affolent.
La porte s'ouvre à nouveau. Le même genre d'homme entre, mais lui ne dit rien. Il a déjà le sexe en main et me le fourre dans la bouche. Son sexe assez long me pénètre jusque dans ma gorge, et il me laisse pas de temps en temps respirer. Très bientôt, ses saillies énergiques le font éjaculer dans ma gorge, et aussitôt il repart. Il ne m'a même pas regardée une seule fois. Il y en eut d'autres. Je ne les comptai plus. Ils jouirent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge. D'autres ayant payé me prennent par le cul et la chatte. Certains jouissent dans mes cheveux. Cela m'excite à chaque fois, et je pense que des internautes me voient subir tous ces outrages.
Un groupe de trois adolescents arrive en gloussant. L'un d'eux finit par trouver le courage de me toucher un sein. Il le pince et le tire, ce qui me fait gémir. J'ai les seins sensibles. Le garçon me lâche, et s'essuie la main dans mes cheveux. Je suis poissée de sperme. Encouragés par ma docilité, les deux autres sortent leurs sexes en même temps, et commencent à se masturber. L'un des trois dit :
« Le premier qui lui jute sur la bouche a gagné ! »
Je ne sais pas lequel c'était, mais ils y mettent du cœur. Je les entends haleter tous les trois, et tout à coup je reçois des giclées de sperme qui m'éclabousse le visage abondamment. Le premier ayant souillé ma figure crie :
« J'ai gagné !!!! »
Aussitôt un des deux autre, se place derrière moi et m'enfile sans autre précaution. Après deux trois vas et viens dans ma chatte, je sens son éjaculation puissante sur mes fesses. Sa semence coule sur jusque sur mes cuisses. Je rouvre les yeux et le dernier s'enfonce au fond de ma gorge pour se lâcher. Son sperme est si abondant que je m'en étouffe et j'ai des hoquets qui les font s'esclaffer de rire. Puis ils s'amusent à faire des selfy avec moi.
« On vas envoyer le mms aux copains en leurs donnant l'adresse de cette pute ! »
J'allais sans doute faire sensation ! Le dernier me pinça de nouveau durement les seins en riant de voir mes grimaces de douleur.
« La vache, quelle chienne ! »
Ils partirent sans fermer la porte. Si quelqu'un venait, mais pas pour moi... ce serait forcément un voisin. J'ai un peu peur que quelqu'un ne faisant pas partie du jeu me découvre. Je tends l'oreille. Des pas approchent. Je les trouve bizarres, mais je suis dans un état second pour réfléchir sereinement. Quand la personne s'arrête devant moi, je vois que c'est une femme. Elle reste là à me regarder, et je me vois dans ses yeux. Attachée, nue, éclaboussés de sperme. Je suis devenue une traînée pour le plaisir de ces jeunes salops mais malgré ma déchéance et ma honte mais j'y trouve aussi un certain plaisir malsain et une sorte de fierté. Je suis si obéissante que je n'ai pas hésité un seul instant à m'avilir de la sorte. Mais l'arrivée de cette femme me trouble. Certes, Je suis une salope, mais devant cette inconnue, je sens la honte me submerger. Puis elle se place face à moi avec un regard dur. Elle remonte sa jupe et me dévoile sa chatte touffue.
« Tu sais quoi, Maryaline ? Quand j'ai vu ça, je me suis dit que tu étais une pute vénale Mais là à te voire couverte de foutre, tu as l'air d'adorer çà. Alors quoi, tu aimes ça ? Tu aimes te faire décharger dessus par tout le monde ? Tu aimes être un vide couilles ? »
« Oui, madame. Je suis un trou à bite. »
« OK. Une petite chienne soumise, bien sage. Une qui mouille en étant humiliée. »
« Oui, madame. »
« Très bien. Alors voilà un ordre. Bouffe-moi la moule et tu as intérêt à bien me faire jouir salope. »
Tout en me parlant et en me traitant, elle plaque sa chatte poilue et trempée sur mon visage couvert de sperme.
Je la lèche et suce son clito de mon mieux. Mais, alors que je pense qu'elle va jouir, elle se recule.
« Maryaline, t'es sale, t'es couverte du foutre de je ne sais pas combien d'mecs. Lèches-moi le clito et fais-moi jouir, un point c'est tout. »
« Pardon Madame. »
En quelque léchouille, elle a un orgasme bruyant et fulgurant. Elle se remet de sa jouissance les jambes encore flageolante et en se rajustant :
« T'es une bonne salope ! Les mecs avaient raison, t'es bonne. »
Elle sort alors de son sac à main une pièce de deux euros et la laisse tomber devant moi en me regardant dans les yeux.
« T'es fière de faire ça ? Eh bien moi, je dis que tu es une pute à deux euros. »
Je suis stupéfaite. Cette pièce était encore plus humiliante que ce que je venais de subir. Je ne suis pas une prostituée. Là j'ai envie d'arrêter le jeu et je me mets à sangloter mais je ne peux partir car je suis entravée. Sachant qu'on m'observe derrière la caméra, je supplie mes geôliers. Plein d'image me traverse l'esprit. Oui, je suis une fille facile. Si facile que je suis gratuite pour tous ceux qui veulent se répandre en moi et sur moi. Mais cette pièce faisait une différence. A ces pensées, je sentis des fourmillements dans ma chatte. Je suis trempée et épuisée d'être si excitée. Je ne sais pas combien de temps a pu passer. Parfois, il y a une pause entre deux visites, et parfois les sexes s'enchaînent. A un moment trois hommes me prennent en même temps et lâchent leurs jus en moi. J'ai envie de vomir tant j'ai avalé de spermes différents. Je ne sens rien d'autre que du sperme et depuis des heures les queues se succédaient, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins et mes fesses. Je suis folle d'excitation. Je veux qu'on me prenne, qu'on me doigte, qu'on me lèche, n'importe quoi ! Je suis le jouet sexuel, l'accessoires, comme la partie intégrante d'une panoplie de sexe shop mais version vivante.
Le dernier, sans doute rentré du travail, a un sifflement ironique en me voyant.
« Eh bien, Maryaline, on dirait que tu as été bien occupée. Combien d'hommes as-tu vidées ? »
« Je ne sais pas, Monsieur. Sans doute plus d'une trentaine. »
« Tu te rends compte qu'il y a des femmes qui ne se font pas sauter par autant d'homme en toute une vie ? Et toi, tu viens de vider les couilles d'autant de mecs en une journée et sans les connaître ! »
« Oui, Monsieur. Je suis une chienne en chaleur. »
« Eh bien jolie chienne, j'ai un os à te donner, tiens ! »
Il me tend sa queue, et pend ma bouche. J'ai mal à la mâchoire. Ma gorge est irritée. Mais je suis si excitée que je lui donne ma bouche comme je l'avais fait au début.
Il continue de me parler en activant les hanches :
« Lili m'a dit que tu léchais bien, aussi. Je connais des gens qui seraient très heureux de t'utiliser. »
Il retire son membre, et jouit dans mes cheveux. Le sperme coule sur mes paupières et mes joues.
« Je te laisse ma carte. Appelle moi quand tu voudras être saillie ! »
Et il colle sa carte sur mon front englué de sperme. La carte reste fixée là alors que du foutre coule sur mes lèvres.
Peu après, Mes lascars me rejoignent. Le chef de la bande met un miroir devant moi.
« Regarde-toi, Maryaline ! Regarde ce qu'ils ont vu, toute la journée ! »
C'est indescriptible. Mes cheveux sont collés, plaqués enduit de semence. Mes joues et le menton luisant de trainés blanchâtres. La carte de visite est restée collée sur le front. Je suis l'incarnation de la perversion. La première pensée qui me vient à l'esprit :
« Ça aurait pu être pire. J'en ai avalé beaucoup. »
Dans ma déchéance, je reste fascinée par mon image. Je réalise alors que c'était ce qui me permettait d'être moi, telle que je ne m'étais même jamais rêvée. Il faut que je leur dise :
« C'est vous qui m'avez fait tout cela. Merci. »
« Nous aussi on t'aime putain ! Maintenant, rentre chez toi et soit à notre disposition. »
Il passe derrière moi, me détache la barre de mes chevilles.
« Maryaline, tu sais combien d'hommes sont venus ici, aujourd'hui ? »
« Non, Monsieur ? »
« Ramasse ta pièce ! Tu l'as méritée. Vingt-huit mecs et une meuf. »
Je me lève péniblement. Une fois debout, Le chef de la bande passe sa main sur ma chatte. Je glapis, et commence à remuer les hanches sur sa main.
« Ne bouge pas, chienne. J'vois que tu t'es bien amusée. T'es trempée. J'ai une bonne nouvelle pour toi, dans ce cas. »
Mes trois lascars me prirent une dernière fois et j'eu un orgasme fulgurant quand ils se vidèrent en moi. Sans pouvoir me nettoyer, J'ai remis mes vêtements et je suis rentrée chez moi épuisée mais fière de ce que je venais de vivre. Après une bonne douche, je m'écroule sur mon lit morte de fatigue et la tête pleine de rêve.