[Gage] Sur mesure

[Gage] Sur mesure - Partie 1 (publié par Lisa le 18-08-2014)
[Gage] Sur mesure - Partie 2 (publié par Lisa le 17-09-2014)
[Gage] Sur mesure - Partie 3 (publié par Lisa le 03-10-2014)
[Gage] Sur mesure - Partie 4 (publié par Lisa le 09-10-2014)


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Sur mesure - Partie 1

J'ai été plutôt surprise quand j'ai reçu le coup de téléphone de Lydie, une ancienne copine de fac. Elle venait de croiser Simon qui lui avait conseillé de me contacter pour voir si je pouvais lui venir en aide. Elle tenait seule une petite boutique de lingerie masculine et devait partir en congé de formation durant le mois d'août. La personne qui devait tenir la boutique durant son absence avait annoncé une impossibilité pour la dernière semaine. Or, le bailleur de Lydie ne tolérait pas que la boutique reste fermé ne fut-ce que deux jours consécutifs.

J'étais un peu dubitative devant une telle requête car je n'y connaissais pas grand chose en commerce et je ne voyais pas bien pourquoi elle s'adressait à moi. Nous nous rencontrâmes et son explication devint plus claire pour moi :
- Il ne s'agit que de quatre jours du mardi au vendredi. Simon m'a assuré que cela pourrait t'intéresser, même bénévolement !
- Il a du culot. Et pourquoi pense-t-il que je m'intéresserai à la vente de caleçons ?
- Parce que je fais du sur-mesure...
Un rayon de lumière m'illumina soudain. Je venais de comprendre pourquoi Simon l'avait envoyée vers moi... Je voulais en savoir davantage :
- Tu veux dire que je dois prendre les mensurations des sexes d'hommes ?
- En gros c'est ça : classiquement, le tour de taille, le tour de cuisse et surtout l'encombrement des parties génitales.
- Et, cela va sans dire, les gars qui viennent pour du sur-mesure, j'imagine que ne sont pas des petites bites...
- Je pense que c'est le calcule qu'a fait aussi Simon...
J'en mouillais d'avance.
- Et tu prends leurs mensurations habillés ou tu leur demandes d'être nus ?
- La plupart du temps habillés, dans certain cas ce n'est pas possible donc il arrive que ce soit nu. Là ce sera à toi de gérer...
- Mais on les mesure au repos ou... ?
- Là aussi c'est à toi de gérer. Un gars m'a déjà demandé un caleçon qui ne le serre pas quand il est en érection, j'ai donc pris la mesure après qu'il se soit masturbé dans la cabine d'essayage.
- Tu m'as convaincue ! J'accepte !

Et me voilà le mardi matin à 10h dans la petite boutique de Lydie. Le premier client arriva vers 10h30.
- Bonjour monsieur, que puis-je pour vous ?



Le gars loucha quelques instants sur le décolleté qu'offrait mon chemisier entrouvert sur mes seins nus avant de répondre :
- Bonjour, c'est un peu gênant...
- Vous êtes généreusement doté par la nature et vous voulez des sous-vêtements dans lesquels vous ne soyez pas à l'étroit.
- Oui...
- Voyons cela.
Sans attendre, je le poussais dans la cabine. Impatiente de traiter avec mon premier client, j'entrepris de lui retirer son pantalon. Il sembla un peu surpris mais me laissa faire.



Il poussa un petit cri de surprise quand je fis descendre son caleçon et que je libérais un sexe qui, avouons-le, était plutôt modeste. Je le saisis pour le tenir dressé et il se gonfla légèrement.
- Monsieur, votre sexe me semble tout à fait normal. Il n'est pas disproportionné bien que très appétissant.
Je donnai au passage un petit coup de langue sur le gland qui le fit tressaillir.



Il avait les yeux et la bouche grands ouverts, ne sachant pas comment réagir devant une prise de contact aussi directe. Je me relevais et déboutonnais quelques boutons supplémentaires à mon chemisier :
- Vous manquer peut-être un peu d'excitation pour que votre sexe sorte un peu de sa torpeur.
J'écartais les pans de mon chemisier pour lui révéler mes seins.



Je finis de retirer mon chemisier et ma jupe et pus constater qu'effectivement son sexe gagnait un peu en volume. Mais rien d'hors-norme. Je m'accroupis et repris le sexe en main pour le lécher à nouveau.



Bien que de bonne taille, ce sexe en érection n'avait, à mes yeux, rien d'exceptionnel.
- Monsieur, je suis désolée, mais je ne pense pas que votre sexe nécessite des sous-vêtements sur-mesure.
- Je... je ne suis pas à fond...



C'était les seuls mots qu'il avait prononcés depuis cinq minutes. Qu'espérait-il ? Que je le suce ? Si sa bite me faisait bien envie, j'étais un peu déçue par ce premier client dont les mensurations étaient bien en-dessous de ce que j'avais imaginé. J'entrepris malgré tout de le masturber pour vérifier son allégation. J'empoignai son membre d'une main pour le branler et je caressais ses couilles de l'autre main.



Son sexe ne gagna pas le moindre millimètre mais mon client se mit soudain à gémir de plus en plus fort. Soudain, il se mit à éjaculer. Plusieurs jets de sperme vinrent s'écraser sur son ventre. Son jus finit par s'écouler le long de sa hampe jusque sur mes mains.



Le gars me regarda, toujours aussi incrédule :
- Je... je suis désolé...
- Ne vous excusez pas. Il fallait que nous vérifiions. C'est chose faite.
J'attrapai des mouchoirs en papier et entrepris de lui nettoyer tout le sperme puis de m'essuyer les mains. Rapidement, il se rhabilla et bafouilla :
- Je... je vous remercie...
Je renfilai mon chemisier :
- Monsieur, vous n'avez pas besoin de mes services. Votre sexe est tout à fait normal. N'importe quel sous-vêtement du commerce sera parfaitement adapté.



Tout penaud, il sortit de la cabine. Après avoir reboutonné mon chemisier et renfilé ma jupe, je sortis à mon tour de la cabine pour constater que mon client était déjà reparti. Cette première expérience était pour moi un peu décevante et j'en venais presque à regretter d'avoir accepté le remplacement de Lydie.

Je n'eus pas d'autre client jusqu'à la pause de midi. En revenant pour rouvrir la boutique vers 13h30, il y avait un fort beau jeune homme qui attendait devant la porte.
- Bonjour, désolée de vous avoir fait attendre.
- Oh mais l'attente vaut le coup si on est servi par une si charmante vendeuse...
Sa courtoisie me fit fondre. Il me suivit dans la boutique. Dès la porte refermée, il entra directement dans le vif du sujet :
- J'aurais besoin de caleçon avec du volume car j'ai un sexe de 27cm et je ne veux pas être serré quand je suis en érection.
Il m'observa avec un air de défis, croyant probablement qu'il allait me choquer ou me mettre mal à l'aise. Mais je me contentais de lui répondre :
- Mettez vous nu dans la cabine pour que je puisse voir ça.
Quand je tirai le rideau pour le rejoindre, il était déjà nu et affichait de manière arrogante un sexe très long quoiqu'au repos.



- Votre sexe est long, c'est un fait, mais il est loin de faire 27cm.
Avec un sourire, il me repoussa hors de la cabine et tira le rideau. Quelques secondes plus tard, il tira le bord du rideau et passa par le côté un sexe en érection incroyablement long !



- C'est impressionnant !
- Et je ne suis pas encore au maximum.
Je m'accroupis devant lui, lui pris rapidement son tour de taille et son tour de cuisse au mètre-ruban. Une mesure du sexe me permis de constater que celui-ci ne faisait effectivement que 24cm.
- Il faudrait que je voie cela au maximum. Vous pensez pouvoir faire mieux ?
- Si vous m'y aidez, oui...
Nous nous étions compris. Je posai mon mètre-ruban et retirai mon chemisier. Il me tendit le sexe vers la bouche.



Je me mis à le sucer goulûment en le masturbant lentement. Je le sentais grossir un peu entre mes lèvres.



Après quelques minutes de caresses buccales, je m'écartais pour m'extasier devant cette belle queue dressée. Je ramassai mon mètre-ruban et mesurai à nouveau : 26cm.



- Vous êtes certain de pouvoir atteindre 27cm ?
- Sûr, mais c'est vrai qu'il faut la stimuler longtemps...
La perspective de devoir passer encore beaucoup de temps avec cette longue bite me fit mouiller. J'avais une furieuse envie de me la glisser entre les cuisses mais je voulais continuer à agir en professionnelle. Je retirai ma jupe et replongeai donc ma bouche sur la longue tige.



Comme mon client tendait les mains pour me caresser les seins, je me redressai et plaçai sa queue entre mes deux globes mammaires pour lui faire une branlette espagnole. Il en profitait pour me caresser les seins alors que je le masturbais ainsi.



Après quelques minutes, j'arrêtai et repris mon mètre-ruban :
- 27cm ! C'est incroyable !
- Merci vous m'avez bien aidé mademoiselle.
- Oh mais je crois que nous n'avons pas terminé...
- Comment ?!
- Je pense que vous pouvez aller au-delà de 27cm. J'en suis convaincue.
Je repris une masturbation à une main tendis que de mon autre mains, je lui caressais alternativement l'anus et les testicules.



En quelques minutes, il me sembla gagner encore effectivement en longueur. Je ne pris pas le temps de mesurer, le pauvre homme avait l'air à bout de résistance. Je plongeais aussitôt mes lèvres sur son gland.



Il gémissait de plus en plus fort. Je le pompais de plus en plus vite. Je sentais son gland palpiter contre ma langue aussi nettement que s'il s'était agit de son cœur.



Je l'abandonnai soudain pour mesurer son état : 28cm ! Mais le contact du bout de métal froid du mètre-ruban contre son gland eut raison de sa résistance et le pauvre garçon se mit à éjaculer. Un sperme épais s'écoula lentement de la longue tige comme les coulées de lave d'un volcan.



Je me redressai, toujours impressionnée par la taille de cette bite. Je tendis au jeune homme des mouchoirs en papier et lui dit :
- Bien, je crois que j'ai toutes vos mensurations. Je vais prendre votre numéro de téléphone et on vous rappellera la semaine prochaine.



- Pas avant ?
- Non, je suis juste remplaçante et je ne fais que les commandes. C'est la patronne qui s'occupe des confections.
Il se rhabilla et me dicta son numéro de téléphone. Il le vérifia à deux reprises pour être certain que je l'avais bien noté.
- Merci mademoiselle, vous êtes une professionnelle !
- C'est mon premier jour vous savez... Je suis consciencieuse, j'ai à cœur de bien servir la clientèle.



- Heureuse clientèle...
Il referma la porte derrière lui alors que je finissais de mettre de l'ordre dans ma tenue. Le reste de la journée fut sans surprise et je refermais la boutique le soir, pressée d'être au lendemain.
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Sur mesure - Partie 2

La clientèle ne se bouscula pas plus le deuxième jour que le premier. Ce n'est qu'en milieu de la matinée du mercredi que le client suivant arriva, accompagné de sa compagne. C'était une jeune pétasse blonde assez arrogante qui regardait amoureusement son copain comme s'il s'agissait d'un dieu.



- Bonjour mademoiselle. Mon copain aurait besoin de boxers adaptés car il est extrêmement bien membré et ses sous-vêtements sont souvent trop étroits.
- D'accord, il serait possible de voir ça ?
Le gars sembla paniqué de cette question. Sa copine me regarda avec arrogance :
- Vous ne semblez pas comprendre... Ses sous-vêtements sont trop petits quand il est en érection.
- J'avais parfaitement compris, et pour pouvoir réaliser du sur mesure, il me faut les mensurations de votre ami, en érection.
Le gars se pencha vers sa copine pour lui dire :
- C'est bon. On peut aller ailleurs, c'est super gênant, là.
Sa copine insista :
- Mon copain bande souvent... quand je suis avec lui.



- C'est parfait, je peux donc prendre mes mesures tout de suite.
- Oui, mais là, il ne bande pas, ça ne se commande pas. Il faut un peu d'intimité, de caresses, pas juste comme ça devant une vendeuse.
- Vous me laissez voir par moi-même ?
Vexée que je puisse insister, la fille s'écarta et me fit signe que je pouvais m'approcher de son copain. Sans me gêner, je passai la main à son entrejambe :
- Effectivement, ça n'a pour le moment rien d'impressionnant.
Furieuse, la fille attrapa le haut de mon chemisier et commença à le déboutonner.
- Vous n'avez qu'à lui montrer vos seins !
Elle s'attendait probablement à ce que je l'empêche de continuer, mais je la laissai faire jusqu'au bout en souriant. Le gars ouvrait de grands yeux incrédules. Je quittai mon chemisier, exhibant fièrement ma poitrine pleine.



Les yeux de sa copine me lançaient des éclairs mais le gars semblait fasciné par mes seins. Je demandai :
- Est-ce que ça vous aide ? Vous êtes en érection ?
Le gars n'en revenait pas de se retrouver dans cette situation et ne pu répondre. Ce fut sa copine qui s'approcha de lui pour libérer son érection. Son sexe était de belle taille mais n'avait vraiment rien d'exceptionnel. J'en fis la remarque :
- Il est bien proportionné, mais cela ne nécessite pas de sous-vêtements sur mesure...
La fille haussa la voix :
- Mais il ne bande pas là ! C'est quand je le...
- Et bien allez-y ! Montrez-moi...
Le gars était tétanisé. La fille ne semblait pas prête à sucer son homme devant moi. Furieuse, elle me dit :
- C'est vous la vendeuse, c'est à vous de faire ça.
- Ok !
Elle ne s'attendait pas à ce que je me mette à genou et que je commence à lécher les testicules de son mec.



Elle resta abasourdie de me voir le sucer. Comme ça n'avait pas l'air de changer grand chose, je me tournai vers la fille et demandai :
- Il peut faire mieux ??
Elle s'énerva :
- Bien, sûr, c'est que vous ne savez pas y faire !
Sans me vexer, je me redressai et plaçai le sexe du pauvre homme entre les deux seins pour lui faire une branlette espagnole.



La fille me fusillait du regard. Elle semblait manifestement plus furieuse que je ne m'extasie pas sur la taille du sexe de son mec que par fait que j'étais en train de lui donner du plaisir devant elle. Comme le sexe ne gagnait toujours pas en volume, je le pris en bouche pour une fellation appliquée.



Là, il sembla que j'étais allée trop loin. Non pas du point de vue de la fille, mais de celui du gars. Il se mit soudain à gémir et à se tortiller. Il sortit son sexe de ma bouche et le garda devant mon visage alors qu'il commençait à éjaculer, me maculant de son sperme épais.



La fille hurla :
- Merde ! Tu aurais pu te retenir !!!
- Désolé... J'ai pas pu... Elle est douée, tu sais...
- Espèce de connard !
Sans m'inquiéter de ces éclats de voix, je me mis à lécher les dernières gouttes de sperme qui s'échappait du gland.



Je la défiais :
- Vous voyez, je n'ai pas l'impression qu'il puisse avoir une érection plus importante. C'est déjà très bien, vous savez. Mais, cela ne nécessite pas du sur-mesure.
Elle se renfrogna :
- Tout ce que vous vouliez, c'était le sucer !
Je n'allais pas le cacher puisque j'étais en train de lui pomper le gland pour en extraire les dernières gouttes.



Comme je ne répondais pas, elle dit à voix basse, mais suffisamment fort pour que je l'entende :
- Salope...
Je me tournais vers elle avec le sperme de son copain autour de la bouche :
- Vous voulez vous vanter de votre copain ? Dites qu'il baise bien, qu'il éjacule en abondance, mais arrêter de dire qu'il en a une grosse. Il a une bite normal et il sait s'en servir, c'est tout ce qui compte.



La fille sortit du magasin, en claquant la porte. Le gars remonta précipitamment son jeans et sortit en me disant :
- Merci mademoiselle.
Il courut pour la rattraper dans la rue. Il s'en tirait sûrement pour une bonne scène de ménage. De mon côté, j'étais à la fois très excitée d'avoir sucé ce mec et bien contente d'avoir fait la morale à sa blondasse arrogante.



J'eus tout juste le temps de faire un brin de toilettes et de me rhabiller qu'un nouveau client entra :
- Bonjour Monsieur.
- Bonjour Mademoiselle.
Le type était très grand et assez maigre. Il me demanda aussitôt :
- Je cherche des sous-vêtements de grande taille mais je n'ai aucune idée de la manière de choisir les tailles.
- Je suis là pour ça. Dans l'idéal, il me faudrait voir votre attribut en érection pour en mesurer la taille.
L'homme ne semble pas surpris. Sans un mot et sans pudeur, il se met nu dans le magasin. Quand il retira son pantalon, je notais qu'il ne portait absolument rien en-dessous.



Il avait un sexe déjà plutôt imposant bien qu'au repos. Je l'observais avec gourmandise :
- Vous pourriez peut-être vous masturber pour que je voie tout ça en érection ?
- Je vous avoue que ça me stimulerait aussi si vous adoptiez la même tenue que moi...
Cette proposition me semblait finalement toute naturelle.



Je ne perdis donc pas de temps en négociation pour mettre nue à mon tour. A la vue de mes seins, son sexe se mit immédiatement à gonfler de manière significative, c'est alors que je pris conscience qu'il avait des couilles énormes. Je ne pus m'empêcher de les soupeser :
- Bon sang, c'est incroyable !



- Oui... c'est surtout pour ça que je viens vous voir. Je n'ai jamais pu trouver des sous-vêtements qui ne me compriment pas les testicules et cela m'oblige le plus souvent à ne pas mettre de sous-vêtements...
- Et vos testicules peuvent être plus volumineux qu'en cet instant ?
- Non, c'est que là elles sont vraiment pleines...
Après avoir pris quelques mesures, je restais accroupie devant ce sexe aux couilles impressionnantes, essayant d'imaginer la quantité fabuleuse de sperme qu'elles pouvaient contenir.



J'étais si excitée, que je perdis toute retenue :
- Je crois qu'il faudrait d'abord les vider. Je veux bien vous aidez un peu...
Je m'allongeais sur la banquette en écartant largement les cuisses. L'invitation était explicite et il accepta mon offre sans répondre.



Il me pénétra de tout son long. Je me mis aussitôt à pousser de petits cris de plaisir incontrôlable. Il s'enfonça jusqu'au fond et je pouvais sentir ses couilles imposantes battre contre mon cul.



Il me baisa ainsi pendant longtemps, allant et venant, les yeux tantôt à admirer mes seins qui balotaient au rythme de ses assauts, tantôt à observer son sexe disparaître en moi. L'orgasme monta et je me félicitai d'avoir accepté de remplacer Lydie pendant cette petite semaine.



J'en étais encore à me remettre de mon plaisir qu'il s'arrêta soudain. Je compris qu'il allait jouir. Ce qui suivit fut incroyable. Il sortit son membre palpitant de mon sexe et se mit à éjaculer sans interruption. Il m'inonda le ventre et l'entrejambe de son sperme.



Puis il se déplaça pour venir placer son sexe toujours en irruption au-dessus de mon visage, m'aspergeant au passage les seins de son sperme. J'en eus sur le visage et dans le cou. Les derniers jets finirent dans ma bouche et je dus avaler ce qui arrivait au fur et à mesure pour ne pas m'étouffer.



Enfin la tempête de sperme s'acheva. L'homme soufflait comme un phoque. Ses couilles avaient un peu diminué de volume mais restaient néanmoins de proportions plus importantes que la moyenne. L'odeur de son sperme était forte et enivrante. J'en étais couverte des cuisses à la tête et le gars semblait bien content de lui.



- Alors ? demanda-t-il.
- Aucun doute, il vous faut quelque chose d'adapté ! Mais je vous conseille quand même d'agir régulièrement pour vous soulager.
- Je ne suis pas vraiment adepte de la masturbation...
- Dans ce cas, passez me voir, de temps en temps, j'essayerai de vous dépanner.



Il se rhabilla et demanda :
- Vous pensez pouvoir faire ça pour après-demain ?
- Ah non, désolée. Je remplace mon amie qui tient cette boutique et je m'occupe des mensurations mais je suis bien incapable de faire la conception. Ce sera sûrement bon pour la semaine suivante.
- C'est que j'ai une réunion très importante après-demain et j'aurais voulu être vraiment à l'aise...
- Ah... Dans ce cas, passez me voir avant votre réunion, je pourrais au moins vous soulager.
Le gars rigola et répondit :
- Je n'y manquerais pas. Merci et à vendredi alors.
Il quitta le magasin, me laissant assise, nue et couverte de sa semence.



Heureusement qu'aucun client n'entra à ce moment-là car je restai quelques minutes ainsi à reprendre mes esprits. Puis je fermais la boutique pour rentrer rapidement à la maison prendre une douche. Sur le trajet, je suscitai quelques commentaires des personnes qui reconnaissaient la forte odeur de sperme que je dégageais sur mon passage.
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Sur mesure - Partie 3

Le mercredi après-midi, il y eut quelques clients mais rien de vraiment intéressant en ce qui me concerne, mais j'avais eu mon compte le matin donc ça m'allait très bien. Le jeudi commença tout doucement avec seulement deux dames qui venaient pour leur mari avec des mensurations précises. J'allais fermer la boutique pour aller manger sur les coups de midi, quand un jeune homme arriva à la porte :
- Bonjour mademoiselle, vous êtes encore ouverte ?
- Bien sûr. Que puis-je pour vous ?
Il laissa son regard tomber dans le décolleté de mon chemisier où il pouvait distinguer mes seins libres de tout soutien-gorge. Je sus qu'il s'agissait d'un client intéressant.



Sans attendre je l'invitai à se mettre à l'aise pour que je puisse prendre les mensurations :
- Déshabillez-vous, s'il vous plaît.
Le temps que je récupère mon mètre-ruban, il était en slip. Je dus lui préciser mes intentions :
- Heu, pour une prise de mesure précise, il faut surtout enlever le slip... je suis désolée.
- Oh ! Mes excuses...
Et il retira son slip, un peu gêné d'exhiber son sexe. Celui-ci n'avait rien d'exceptionnel.



Je lui fis remarquer :
- J'imagine que vous n'avez pas de problème dans cet état ?
- Effectivement, c'est quand je suis en érection que ça devient très gênant.
- Bien... Voyons cela...
Je défis quatre boutons à mon chemisier et exhibai ma poitrine nue. Il resta subjugué et je pus voir son sexe se gonfler et se dresser légèrement. Je m'approchai de lui, à portée de main. Comme il me regardait bêtement sans réagir, je lui pris les mains et les posai sur mes seins. Aussitôt, il s'activa et son sexe se redressa significativement. Il me malaxa les seins et se pencha même pour me sucer les mamelons.



Quand je me mis accroupie pour constater l'évolution de son érection, je fus subjuguée par le volume qu'avais pris son sexe. Il était particulièrement large et avait aussi une longueur très honorable. Le jeune semblait très fier de me voir admirer son sexe ainsi.



Je m'exclamai :
- Elle est magnifique !
- Merci... mais vous savez elle n'est pas encore au maximum, là...
Je pris les mensurations, sans trop croire à sa remarque.
- Vous plaisantez ?
- Je vous assure !
- Montrez-moi cela...
Il m'indiqua comment parvenir à augmenter encore le volume de ce sexe incroyable en m'appuyant sur la nuque, désirant de toute évidence se faire sucer. Cela aurait été mentir que de dire que je n'en avais pas envie. Je me penchai et commençai à lui sucer les testicules.



Il se mit à gémir mais je ne le vis pas gagner en dimension. Alors, je me redressai pour le prendre en bouche. Son gland entrait tout juste dans ma bouche et j'avais les lèvres grandes écartées pour pouvoir l'enfourner. Je sentis à ses gémissements de plus en plus marqués qu'il adorait ça. J'en profitai pour lui caresser aussi les testicules et là je sentis qu'il grossissait encore.



Ne voulant pas me démonter la mâchoire, j'abandonnai la fellation. J'avais l'entrejambe dans un état de liquéfaction avancée tant j'avais envie de me faire prendre par cette large queue. Le jeune homme comprit aussitôt mes désirs et s'installa sur le banc. Je lui tournai le dos et il me souleva pour m'empaler sur sa gigantesque tige.



Cette pénétration fut incroyable. Il était réellement énorme et envahissait chaque millimètre de mon sexe. Si lui gémissait toujours, moi j'en criais de plaisir. c'était une sensation unique que même un large godemiché ne peut procurer.



Comme j'étais assise sur lui en lui tournant le dos, il plongea une main entre mes cuisses et commença à me caresser le clitoris avec l'index. Ce fut le bouquet final : l'orgasme monta aussitôt. Il fut puissant, intense et long.



Je mis quelques minutes à reprendre mes esprits. Je m'attendais à ce que mon amant explose en moi pendant mon orgasme mais il n'en fut rien. Il tenait bon. J'avais maintenant très envie de le voir éjaculer. Je réussis donc à m'extraire de cette imposante tige et je me plaçai à genou entre ses cuisses pour recommencer à lui sucer les couilles.



Cela sembla suffire, car je le sentis se tendre et, tout à coup, un premier jet de sperme épais vint s'écraser sur mon visage. La bouche grande ouverte, je pus gouter à une partie de sa semence mais beaucoup se perdit autour de ma bouche et dans mes cheveux.



L'éjaculation dura ce qui me sembla une éternité et il acheva de m'envoyer les derniers jets en se masturbant vigoureusement. J'en avais plein de visage, peut-être autant que lorsque je laisse deux ou trois hommes me faire une éjaculation faciale en même temps.



Je me redressai en me léchant les lèvres. Je sentais le sperme couler dans mon cou et sur mes seins. Le jeune semblait amusé :
- Je suis désolé... vous en avez partout !
- Ne le soyez pas, c'était fabuleux !



Il eut la gentillesse de m'essuyer le visage et le buste avec des mouchoirs en papier. Il bandait toujours fort, même quand nous nous rhabillâmes. Il me demanda :
- Vous avez toutes les mesures ?
- Oui, oui, vous pourrez repasser la semaine prochaine. Vous allez me laisser votre numéro de téléphone et la patronne vous appellera dès que ce sera prêt.
- Ah, ce n'est pas vous qui... ?
- Non, elle est en stage pour la semaine, alors je la dépanne.
- Et la patronne travaille comme vous ?
- Non, je ne pense pas. J'ai mes méthodes bien à moi.
- Dommage. Quand je repasserai, je lui demanderai quand est-ce qu'elle repartira en stage.
Nous rigolâmes de bon cœur et il repartit après m'avoir laissé son précieux numéro de téléphone. Je partis manger dans un état un peu second, encore sous le choc d'avoir été prise par ce sexe énorme. L'après-midi fut heureusement plus calme et je suis rentrée assez tôt à la maison, attendant avec impatience la dernière journée.
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Sur mesure - Partie 4

Quand j'arrivai à la boutique le vendredi matin, j'étais déjà assez excitée à l'idée de ce qui allait suivre. Je ne savais pas si j'allais avoir des clients, mais au moins le gars qui avait des énormes couilles devait repasser pour que je les lui vide avant sa réunion. La bonne surprise arriva en milieu de matinée : un grand black. En moi-même, je me dis qu'il était hors de question de laisser filer un aussi beau spécimen.
- Bonjour monsieur, je peux vous aider ?
- Oui, voilà, c'est un peu délicat à demander...
- Ne vous en faites pas, j'ai l'habitude : vous êtes fortement membré et vous voulez des sous-vêtements adaptés à votre sexe pour être plus à l'aise ?
L'homme poussa un soupir de soulagement :
- Oui, c'est exactement ça.
- Bien. Mettez-vous nu...
- Pardon ?
- J'ai besoin de mesurer le volume de votre sexe en érection.
- Vous êtes sûre ?
- Bon, laissez-moi faire, je vais m'en occuper.
Je me collai à lui et je commençai à masser son entrejambe. Rapidement une bosse imposante se forma. Comme il commençait à gémir, je le caressai plus franchement. En voyant les grimaces sur son visage, je compris que l'étroitesse de son pantalon rendait douloureuse cette érection. Je me mis à genou et pris l'initiative d'extraire le monstre. Je ne fus pas déçue car il était réellement gigantesque.



Je sentais la mouille me couler entre les cuisses. Mon client avait bien compris que j'allai bien au-delà de la simple prise de mensurations mais il semblait tout à fait satisfait que je m'occupe de lui. Je me relevai et entrepris de mettre nue. L'homme ne montra aucun étonnement et semblait ravi de pouvoir contempler ma nudité. Il m'imita et s'allongea sur le petit banc. Attirée par sa magnifique tige, je ne pus m'empêcher de la saisir pour la masturber et je me penchai rapidement dessus pour le prendre en bouche et le sucer.



Son sexe était réellement hors norme et j'avais bien du mal à le faire rentrer dans ma bouche. Comme j'étais penchée sur lui, il en profita pour me caresser les seins.



J'avais trop envie que cette énorme tige me donne un orgasme. Je me redressai et demandai à mon client :
- Vous accepteriez de me faire jouir.
D'une voix profonde, il me répondit :
- Je vais te faire crier, petite blanche !



Je pris cela comme une acceptation et je me mis en position. A quatre pattes par terre, les cuisses écartées et le dos cambré pour faire saillir mes fesses.



Très sûr de lui, il se leva et vint poser son long sexe entre mes fesses :
- Où veux-tu que j'aille, petite blanche ?
Je compris qu'il hésitait entre mon cul et mon sexe.



J'avais un peu peur qu'il me fasse mal s'il commençait directement par mon petit trou. Aussi lui demandai-je de commencer par me prendre en levrette :
- Baisez-moi d'abord, vous m'enculerez plus tard...
Cela semblait lui convenir. Je sentis son gland faire pression entre les lèvres de mon sexe et finalement y pénétrer, millimètre par millimètre.



Il s'enfonça jusqu'au fond de moi. Il était si long que je ne sentais pas ses couilles battre contre mon cul. Quand il commença à me pistonner, je me mis à gémir très fort tant le plaisir était intense. Rapidement, mes gémissements devinrent des cris alors que je sentais l'orgasme arriver. C'était incroyable. J'hurlais alors qu'il me défonçait sans faillir.



L'orgasme me fit perdre conscience quelques secondes. Il mit à profit ce temps pour investir mon cul. Il y pénétra beaucoup plus facilement que je ne l'aurai cru. Je me mis à me caresser le clitoris dans l'espoir de jouir une seconde fois.



Mais il se mit à me sodomiser sans retenue et j'eus bien vite besoin de mes deux mains pour me stabiliser et ne pas m'effondrer sous la violence de ses assauts. Alors que je n'y attendais pas, je sentis un nouvel orgasme monter. J'hurlais à nouveau. Moins puissant que le précédent, cet orgasme me fit perdre malgré tout ma stabilité et mon client dut s'arrêter quelques instants pour que je ne tombe pas.



Sitôt qu'il estima que j'avais repris mes esprits, il reprit son pistonnage de plus belle jusqu'à atteindre la jouissance. Il sortit alors aussitôt son sexe de mon cul et le posa entre mes fesses au moment-même où il commença à éjaculer. Je sentais chaque contraction de cette gigantesque bite, suivie par un jet de sperme conséquent. J'eus bien vite le dos couvert de sa chaude semence.



Quand il se releva, il me demanda :
- Vous avez des mouchoirs ou une serviette ?
J'attrapai une boîte de mouchoirs sur le comptoir et lui tendis. Il eut la gentillesse de tout essuyer méticuleusement sur mon dos. Restant nue, je pris rapidement mes mesures avant qu'il ne débande.
- Voilà, j'ai ce qu'il faut, maintenant, je vais prendre votre numéro de téléphone car c'est ma collègue que je remplace qui s'occupe de la confection, donc ce ne sera prêt qu'en début de semaine prochaine.
- Ok.
Tout en s'habillant, il me dicta son numéro de téléphone. Je n'avais pas encore pris le temps de me rhabiller quand il sortit de la boutique, et c'est à ce moment que mon client de mercredi rentra dans le magasin. Il semblait ravi de me voir déjà nue.



- Voilà un parfait accueil ! Vous êtes resplendissante !
- Pour ne rien vous cacher, le black que vous venez de croiser viens de me donner deux orgasmes...
- Ah... j'arrive donc peut-être au mauvais moment...
- Pas du tout ! Il ne s'agit pas de moi, j'imagine que vous êtes venu pour que je vous soulage avant votre réunion ?
- Heu... oui...
- Alors libérez-vous, on va s'occuper de ça. Vous avez une préférence pour la méthode ?
- Ah ? Heu... ça me dirait bien entre vos seins.
- Monsieur sait ce qu'il veut !



Pendant qu'il retirait ses vêtements, je me mis à genou. Il bandait déjà très dur et il vint placer son érection entre mes deux seins. Je les refermai sur lui et commençai à le masturber, profitant quand son gland était à proximité, pour le sucer du bout de la langue.



Il gémissait de plaisir. Je sentais ses bourses bien pleine contre mon torse. De temps en temps, il se redressait pour me fourrer carrément son sexe dans la bouche afin que je le suce.



Soudain, je compris qu'il allait jouir. Il garda son sexe en main et ne chercha ni à le remettre entre mes seins, ni dans ma bouche. Il se mit à le masturber frénétiquement. Quand il se mit à râler, je sus que la douche commençait. Le sperme jaillit en abondance, les jets me fouettaient le visage et coulaient sur ma poitrine.



Cela dura presque une minutes entière et quand il eut fini, j'avais le visage réellement recouvert de son sperme.



- J'imagine que ça va mieux maintenant ?
- Oh que oui ! Je crois que je vais prendre une carte de fidélité...
- C'est que je ne suis ici qu'en remplacement et dès demain, c'est la patronne du magasin qui sera là...
- Dommage...
- Mais je peux vous laisser mon numéro de téléphone ?
- Volontiers ! J'ai beaucoup de réunions la semaine prochaine...
Nous rigolâmes. Il dut repartir pour aller à sa réunion et me laissa le soin de me nettoyer. Je dus rentrer à la maison pour prendre une douche tant l'odeur de sperme était forte. L'après-midi à la boutique fut sans client notable.
Ce fut la fin magistrale de mon expérience en tant que vendeuse de sous-vêtements masculins sur-mesure.