Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 1 (publié par Davidhandballeur le 04-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 2 (publié par Davidhandballeur le 05-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 3 (publié par Davidhandballeur le 07-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 4 (publié par Davidhandballeur le 09-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 5 (publié par Davidhandballeur le 12-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 6 (publié par Davidhandballeur le 17-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 7 (publié par Davidhandballeur le 18-09-2014)
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 8 (publié par Davidhandballeur le 23-09-2014)
^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 1
Librement inspiré du "Loft étudiant", auteur Oups 51.
[http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/loft-etudiants-saison-sujet_12831_1.htm]
Stéphanie n'avait pas suffisamment d‘argent pour se payer un studio. Titulaire d'une bourse, en faisant tous ses calculs, elle ne pouvait mettre que deux-cent cinquante euros dans l'habitat. De plus, en épluchant tous les petites annonces de la faculté et des journaux gratuit, elle s'apercevait que tout était complet. Pourtant, il fallait absolument un toit pour cette étudiante en deuxième année de droit qui ne pouvait plus se permettre de faire cent kilomètres aller et cent kilomètres retour dans sa journée. La jeune fille brune qui avait eu la douleur de perdre sa grand-mère, qui l'a logeait jusqu'à présent, commençait à désespérer face au panneau des offres.

Heureusement pour Stéphanie, la secrétaire de direction, Muriel était attentive aux étudiantes en difficulté. La femme venait ainsi vers elle pour se renseigner sur la situation de cette étudiante. Stéphanie expliquait ainsi ses difficultés à se loger à Muriel qui l'invita alors dans son bureau.

La secrétaire était fort sympathique avec Stéphanie. Elle expliquait à l'étudiante en détresse qu'une place venait de se libérer dans un appartemment en colocation. Elle se déplaçait dans le bureau et se trouvait face à une petite armoire coulissante pour en retirer la fiche de l'appartement, avec le numéro de téléphone du propriétaire et l'adresse du logement.

Sans attendre, Muriel prit le téléphone et entama la discussion avec le propriétaire à qui elle expliqua la situation difficile de Stéphanie. Le loueur se mit d'accord avec Muriel qui annonça à Stéphanie que sa situation s'était améliorée. Stéphanie reconnaissante transmis les papiers nécessaires à la location à la secrétaire de direction qui reçut le propriétaire dans son bureau pour finaliser le contrat de location.Elle reçut ainsi le loueur en fin d'après-midi avec Stéphanie qui sortit du bureau pour effectuer les photocopies en triple exemplaires.

Le propriétaire était un dragueur et Muriel joua également de ses charmes. Ainsi, quand Stéphanie revint à l'approche du bureau, une vingtaine de minutes plus tard, elle entendit un bruit répété. Aux gémissements voluptueux qui sortaient de la bouche de la secrétaire,elle comprit de quoi il s'agissait. Elle stoppai sa progression, mais curieuse, elle se risqua à jeter un œil. Elle demeura sans voix. Muriel était couchée sur le dos sur son bureau, le corsage défait, elle se faisait pilonner à grands coups de reins. Le bureau tremblait de partout. Chaque percée virile lui arrachait un cri.L'homme d'un dernier coup brutal s'immobilisa. À son regard grimaçant, Stéphanie comprit qu'il jouissait.

Stéphanie disparaissait en marche arrière d'une bonne vingtaine de mètres, en s'imaginant à la place de celle qui venait de se faire baiser. Quelques minutes plus tard, les deux amants étaient de nouveau habillés et Stéphanie rentra de le bureau avec les papiers nécéssaires et le loueur lui remit un jeu de clés.

Stéphanie prit ainsi connaissance de son nouveau lieu d'habitation. Il s'agissait d'une grande pièce, un ancien entrepôt aménagés. L'étudiante découvrit ainsi une belle baie vitrée et un morceau de pelouse. Elle scruta la cuisine américaine avec tout l'électro ménager, l'énorme salon avec des connections wifi et les meubles tous neufs. Elle s'aperçut aussi que les chambres étaient simplement séparées par des paravents à la japonaise. Elle vit également deux WC plus une douche commune pour les filles et une autre pour les garçons et s'aperçut que le propriétaire avait ajouté un jacuzzi. Stéphanie était vraiment ravis de l'aubaine et du logement, le tout pour deux-cent trente euros de loyer, charges comprises, impôts locaux inclus. Stéphanie se dit qu'elle allait passer d'agréables moments dans cet endroit.

Stéphanie arriva dans le loft et fit connaissance avec ses huit colocataires. Julie, la sœur du loueur, Patrick, était blonde. Agée de vingt-deux ans, elle était en dernière année d'école d'infirmière. Stéphanie comprit qu'elle était assez sportive et s'entretenait.

Julie continua les présentations. Alexa, vingt et un an, était espagnole et faisait des études poussées en œnologie .Brune, avec des. cheveux longs lissés à n'en plus finir, elle avait un superbe sourire et parlait avec un léger accent.
Physiquement c'était ce que l'on appel vulgairement un canon, une bombe sexuelle qui dégageait des ondes.

Sandrine, était comme Stéphanie en à fac de droit, en troisième année. Son visage était radieux, il était aussi très beau. Cheveux clair à long, elle impressionnait la nouvelle locataire.

Plus loin, Stéphanie aperçut Pierre, le jeune frère de Sandrine qui venait tout juste d'avoir dix-huit ans et qui rentrait en première année de faculté de sport. Le cadet de la bande avait encore cette beauté juvénile de l'enfance. Il était musclé et impressionnait Stéphanie.

Dans la cuisine, Stéphanie fit la connaissance de Aurélie. A vingt-deux-ans, elle est la meilleure amie de Julie. Elle aussi était en école d'infirmière. Cheveux blonds, Aurélie était réputée pour ses qualités de cordon bleu. Stéphanie aperçut les seins de la jeune fille , responsable de l'alimentation.

Stéphanie suivait ensuite Julie qui lui présenta les garçons. Surprise, Stéphanie vit apparaitre un beau mec,, simplement vêtu d'un caleçon. Son torse lui donnait l'aspect très viril. Grand, une carrure, cheveux coupés courts, Simon
était l'aîné de la bande. Le sourire aux lèvres, le croisement de son regard fit de l'électricité à Stéphanie. Conscient de son charme, il la fixa droit. Guillaume le tombeur de ses dames fait un master de comptabilité. Il y 24 ans.
Par la même occasion, Julie expliqua à Stéphanie qu'une des principales règles à respecter est de ne pas baiser avec un mec extérieur au loft. En effet, seul Patrick et les neuf locataires avaient le droit de mettre les pieds dans l'habitation. Poursuivant la visite, Stéphanie aperçut un jeune homme dans les douches. D'abord surprise, elle comprit que la pudeur n'était pas le point fort de ses colocataires qui aimaient selon les explications de Julie, souvent à nus dans le loft.

Le jeune homme était grand et poilu. Quand Julie présenta Stéphanie, il se retourna, le torse plein de gel douche, exhibant son sexe qui pendouillait sur ses couilles. Stéphanie était troublée par la vue de la bite au repos de Cédric, qui entreprenait des études en kinésithérapie.

Pour terminer la visite, Julie montra à Stéphanie, le jaccuzzi qui pouvait acceuillir cinq à six personnes. Se trouvait là, un colosse, un grand black. Physiquement, il en imposait. Agé de vingt-quatre ans, Boris, était admis au sport-étude au CREPS. Il était, d'après les informations que Julie transmettait à Stéphanie, un grand timide avec les belles inconnues. Julie continua également la description de Boris, en appuyant sur le fait que sa queue était un monument à classer au patrimoine mondial de l‘Unesco. Stéphanie ne savait plus quoi faire devant les confidences de Julie

Julie passa ainsi aux chambres qui étaient assez sommaires, uniquement séparées par un paravent géant qui longeait tout le loft. Pour ceux qui était au milieu, c'est-à-dire les plus nombreux, il fallait passer par les chambres des autres. Chaque séparation disposait d'une cloison composée des mêmes matières. Le mobilier était identique : un lit à deux places, un petit bureau, un chevet avec une petite lampe, une chaise et une petite armoire. La chambre de Julie était située à côté de celles de Pierre et Guillaume d'un côté,et de Julie et Aurélie, de l'autre.

La visite terminée, Stéphanie annonça qu'elle prendrait possession de sa chambre le lendemain en fin d'après-midi. En la quittant, Julie lui fit un compliment sur sa beauté et la nouvelle colocataire ressentit alors un malaise devant les compliments de Julie. ^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - épisode 2
Le lendemain, Stéphanie débarquait avec ses affaires vers dix sept heures. Après une première soirée agréable avec ses colocataires, elle alla dans sa chambre. Elle se coucha comme à son habitude, nue pour cette première nuit dans le loft.

Pendant, une demi-heure, le silence se fit dans le loft, mais, malgré le calme, Stéphanie ne parvenait pas à trouver le sommeil. Peu à peu, elle entendit même des bruits Il s'agissait d'un froissement de drap, suivi presque aussitôt d'un bruit très léger, mais répété. Cela provenait de l'espace réservé à Pierre. Stéphanie se doutait bien ce qu'il faisait. Coupant sa respiration, elle l'écoutait agir. Tantôt le mouvement était régulier, lent, parfois le froissement était frénétique, agité.

À force de l'entendre se masturber, des idées en dessous de la ceinture envahirent Stéphanie qui commençait à s'imaginer des scénarios. Elle envisageait la bite dressée de Pierre à trois mètres d'elle. Attentive aux bruits qui provenaient de la chambre de Pierre, elle rêvait de sa petite bite, dure et gonflée. Elle imaginait sa main sur lui à branler la bite du jeune homme, encore puceau.

La voix d'Aurélie interrompit le charme en parlant à Pierre, qui s'arrêta un moment avant de remettre cela. Il y allai cette fois de bon cœur, actif et haletant. Stéphanie ne pouvait plus se retenir. Elle allait jouir, un de ses doigts en elle, et deux autres qui caressaient le clitoris en pendant à cette bite, sûrement fièrement dressée et qui après un dernier couienement de son propriétaire devait se déverser.

De nouveau ce fut le grand silence, la tranquillité dans le loft quand Stéphanie entendit sur sa gauche, un froissement puis presque aussitôt des pas presque inaudibles. Ils s'arrêtèrent dans la chambre d'à coté, celle de Julie qui chuchota avec Aurélie, elle aussi excitée par les agissements de Pierre et qui avait rejoint sa meilleure amie. Julie invita Aurélie dans son lit et Stéphanie entendit très rapidement quelques gémissements

Stéphanie était excité de les savoirs se toucher et même sûrement se lécher. Surtout, qu'elle entendait maintenant des bribes de conversation des deux filles qui parlaient de sa beauté et de leur attirances sexuelles réciproque.

Emoustillée, Stéphanie se masturbait et trouvait la jouissance pour cette première nuit dans le loft.

Tout en se masturbant, elle continua à scruter avec attention la conversation de Julie et Aurélie. Elle apprit ainsi que Guillaume avait baisé toutes les filles du loft et qu'elle serait certainement la prochaine Elle apprit également que Boris, était actuellement en train de baiser Sandrine. Les deux jeunes amies fantasmaient sur la queue du handballeur qui ne laissait pas de marbre Stéphanie.

Stéphanie entendit enfin Julie et Aurélie se questionner à propos de ses attirances sexuelles. Les deux amies étaient toutes deux attirées par les charmes de cette nouvelle colocataire. Elles se lançaient même un challenge pour savoir laquelle des deux allaient pouvoir passer un moment agréable sexuellement avec Stéphanie. Les deux amies continuaient à papoter à propos de la vie sexuelle du loft. Elle apprit ainsi que Guillaume avait pris Alexa dans la cuisine.

Stéphanie se demandait où elle était tombée, elle qui avait eu usqu'à ce jour, une vie sexuelle des plus classiques et exclusivement hétéro : trois années d'une relation durable et amoureuse. Une grande solitude ensuite après la rupture et cinq aventures l'année précédente, histoire de se calmer les nerfs et de faire comme tout le monde. Pourtant, elle était troublée par Julie. Mais Stéphanie devait dormir pour cette rentrée universitaire du lendemain.
^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 3
Le matin en se levant, Stéphanie vit Guillaume. Mais, elle ne savait pas quoi faire par rapport à l'attitude de Julie et d'Aurélie qui ne cessaient de la mâter comme des morts de faim. Pourtant peu avant de partir, Stéphanie se retrouva seule avec Guillaume qui l'a complimenta sur sa belle paire de fesses qu'il avait observé dans la douche.

Sans réfléchir, Stéphanie le complimenta à son tour sur sa belle queue qu'elle avait entre-aperçu dans la douche. Sans se démonter,
Guillaume répliquait et lui faisait des avances.

Jfinalement prête, Stéphanie partit à la faculté toute proche à pied avec Sandrine. Elle en profita pour faire plus ample connaissance avec elle. Sandrine ajouta aussi des détails sur le membre de Jocelyn qui faisait selon elle, un bon vingt centimètres. Stéphanie était émoustillée, elle qui n'avait pas d'aventures depuis quatre mois.

À la faculté, dans l'amphithéâtre, Stéphanie se retrouvait au dernier rang, coincée entre deux hommes. Des têtes pensantes, certainement les plus assidus se disait elle. Il s'agissait de deux fères qui seraient certainement utiles pour les exposés et les conférences jugeait encore Stéphanie. Excitée par sa postition entre les deux frères, Stéphanie s'imaginait même pendant ce premier cours prendre les deux bites en bouche de ses voisins.

En rentrant au loft, Stéphanie gagnait la douche. Elle fit couler l'eau sur son corps pour se décontracter. Cela lui faisait du bien. D'un coup, au loin,elle aperçut Pierre qui la regardait. Elle fit celle qui ne voyais pas, honteuse et troublée en même temps. Elle profitait de l'eau qui coulait sur sa peau.

Yeux mi clos, parfois elle l'observait. Il était là, immobile, le regard en admiration. D'un coup, Pierre se débraguetta et sortit son petit sexe, il était droit. Un petit bâton, une tige bien raide. Il se masturbait. Sa cadence était soutenu; jamais, Stéphanie n'avait vu un garçon se branler.

Stéphanie s'émoustillait. Voir le sexe dressé de Pierre l'émoustillait. Bien décidée, elle prit ses seins à deux mains pour les malaxer.

D'un coup Pierre se cabra. Sa main n'était qu'un métronome, un automatisme qui allait vite. Stéphanie vit bondir son plaisir, jaillir son sperme.

Stéphanie entendit du bruit. Les autres colocataires commençaient à rentrer. La nuit était similaire à la nuit précédente. Durant le repas, Guillaume avait lancé plusieurs regards incendiaires à Stéphanie et d'un copu Stéphanie aperçut une ombre, une silhouette d'homme pénétrer dans sa chambre. L'homme nu se déplaça vers elle et chuchota. Il lui expliqua qu'il avait envie d'elle
Il prit sa main dans la sienne, puis l'a porta sur lui. Il enroula ses doigts sur un membre rond et extrêmement rigide. Sa queue était chaude, ferme et moelleuse. Stéphanie n'avait pas le courage de l'envoyer paitre. C'était évident, elle avait besoin d'une bite.

L'homme, Guillaume fila alors immédiatemment vers l'intimité de Stéphanie. Il y fourra très vite deux doigts tout en embrassant la jeune fille

Très vite, il ordonna à sa nouvelle conquête de le sucer. Stéphanie obéit et démontra ses compétences. Sa queue était gouteuse, un peu musqué, du bon mâle. Elle était ronde, copieuse, bien raidi. Elle se jouait de son gland, du fin filet, de la couronne, dans un sicle que m'avait inculqué son premier amour. Pendant ce temps, sa main l'étirait doucement. Elle se régalait.

Stéphanie hésitai à le finir de ses lèvres. Sentir son sperme gicler, envahir, bondir dans sa bouche était un grand plaisir. Finalement, Guillaume se dégagea et décida de prendre la jeune brune en levrette, une position que Stéphanie affectionnait. D'un coup, il la pénétra. Quatre mois qu'elle n'avait pas ressenti cela, une bite en elle.

Guillaume commença à bouger. Chaque coup de boutoir était un bonheur. Il savait s'y prendre. Il savait la prendre car Stéphanie aimait la manière forte, des bons coups de bites. Elle était au paradis.

Guillaume s'échappa haletant. Il souhaitait décharger dans la bouche de la jeune femme. Stéphanie se retourna vivement avide de son plaisir. Guillaume serrait fort sa bite pour l'empêcher de jaillir.Stéphanie gobait son gland main active. Retenu lui aussi, il trembla de tout son corps ; sa queue palpitait. Stéphanie reçut sa première salve, puis une autre, une autre, encore une autre.
Sa langue, son palais, sa gorge étaient envahi de sa semence. Elle était chaude, épicée, grisante. Stéphanie avalait

Aussitôt, sa besogne terminée, Guillaume s'évapora dans sa chambre. ^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 4
Le lendemain, Stéphanie croisa Guillaume au café. Il fit comme si rien ne s'était passé. Elle en fit de même ignorante et méprisante.
Il n'avait pas un mot, ni un geste de remerciement. Stéphanie avais cours à dix heures, Sandrine à neuf heures. Tout le monde était parti, sauf Julie qui trainait par là. D'un coup, Stéphanie l'a vis apparaitre à poil. Elle sortait de sa douche, belle dans sa nudité.

Julie s'installa sur le canapé, le dos sur le dossier, les pieds sur l‘assise. Jambes écartées, elle montrait sa fente entrebâillée. Stéphanie était mal à l'aise. Cependant dès que l'occasion se présentait, elle regardait vers elle. Elle voyait ses grandes lèvres roses, ses petites plus rouge, la crête et la boursouflure de son clitoris.

Immédiatement, Stéphanie se mit à mouiller. Était-elle attirée par les filles ? Julie la perturbait.

Julie, toujours aussi directe, engagea la conversation avec Stéphanie. Elle parla de Guillaume et Stéphanie, heureuse, avoua que ce dernier avait passé une partie de la nuit à baiser avec elle. Julie, attentive au récit de lajeune brune, commença à se toucher la fente et y insère même deux doigts.

Stéphanie n'en revenait pas, mais Julie, vicieuse, l'invita, à toucher sa chatte en chaleur. Stéphanie ne voulait pas la rejeter et son inimité l'attirait. Stéphanie n'hésita pas et Julie mouillait aussi sous les doigts de sa colocataire qui examinaient la fente. Stéphanie était dans tous ses états et Julie était soupirante, complètement femelle. Julie prit alors le visage de Stéphanie au menton dans le creux de sa main. Doucement, lentement, ses doigts l'attirèrent vers sa bouche tandis que ses yeux bleus fixaient Stéphanie. La bouche de Julie l'a saisie, sa langue s'insinua. Julie sentait les fruits rouges, les fruits des bois. Stéphanie ne résista pas et répondait au baiser délicieusement langoureux en soupirant.

Julie était proche de la jouissance et le fit savoir à Stéphanie par la parole. Ces mots l'encouragèrent, ils étaient aussi sucré que sa langue qui s'agitait sur la langue de la jeune brune qui mouillait aussi abondamment. Dans une pulsion malsaine, elle se séparait de ses lèvres pour se laisser couler vers son ventre.

La bouche de Stéphanie était attirée comme un aimant, un insecte fou devant une clarté par cette fente fascinante. Stéphanie ne résistait pas et lécha la fente de Julie. Ses narines étaient enivrées par ses senteurs. Son fruit dégorgeait, luisait. Stéphanie plongeait les lèvres sans me poser de question. Sa langue entra en action.Stéphanie se régalait en distribuant les plaisirs qu'elle souhaitait donner à la jolie blonde, très réceptive.

Malgré l'insistance de Julie qui souhaitait rendre le plaisir à Stéphanie, cette dernière regarda sa montre et quitta, de peur d'un retard, la jolie blonde, malgré l'envie. Cependant, elle distribuait un baiser parfumée à Julie qui jurait qu'elle saurait aussi donner du plaisir à Stéphanie.

Toute la journée, Stéphanie était pensive. Qu'avait-elle fait? Léchée une fille !
Elle était magnétisée par le regard de Julie et ne savait pas ce qui se passait, elle qui était hétéro !

Au diner, Sandrine interpella Stéphanie. Elle lui demanda de déposer son frère Pierre le vendredi soir, à la gare, avant de se rendre au complexe sportif pour la rencontre de handball de Jocelyn. Pierre devait en effet se rentrer chez ses parents pour une visite médicale de contrôle, consécutif, à une entorse du genou. Le médecin devait manipuler Pierre et lui donner peut-être le feu vert pour reprendre la compétition. En pensant passer un petit moment seul avec Stéphanie, Pierre commença à se branler.

Le repas terminé, Julie, Aurélie et Stéphanie prirent leurs douches. Julie mâtait Stéphanie qu'elle désirait. Stéphanie savait qu'elle allait venir la retrouver. Très certainement la brouter. Stéphanie ne rêvait qu'à cela. Ses scrupules étaient envolées. Elle avait envie de faire l'amour, une fille avec une fille, éprise de ses mains sur elle.

D'un coup sous la douche, Julie s'approcha. De ses yeux intrépides, elle attira Stéphanie. Son corps nu collé au sien lui causait des picotements. La pointe de ses seins jouaient avec ceux de Stéphanie. Sa bouche n'était qu'un bulbe charnu et attirant. Elle prit les lèvres de la bouche de Stéphanie. Sa langue agile s'insinua chaude et savoureuse. Stéphanie répondait un peu embarrassée par la présence d'Aurélie.

La main de Julie fila à l'intérieur des cuisses de Stéphanie qui ouvrait un peu pour lui faciliter le passage. Des mains couraient sur son dos, un peu partout, sur ses seins, sur ses fesses. La langue de Julie ne la lâchait pas. D'ailleurs, Stéphnaie n'en n'avait aucune envie. Ses deux seins étaient étreint ;

Cependant, deux autres mains écartaient les fesses de Stéphanie. Aurélie était de la partie et Stéphanie ne résistait pas. Langues baladeuses enroulées l'une contre l'autre, une autre bouche vint atteindre par l'arrière sa bouche intime. Aurélie était un diablotin qui léchait bougrement bien. Stéphanie se laissait mener par l'une et l'autre bouche. Deux diablesses sur Stéphanie qui n'était pas de taille pour lutter, abandonner aux délices d'être mangé. Aucun homme ne l'avait léché aussi bien.

Deux jours passèrent sans rien de spectaculaire ne se passe, sauf les gymnastiques nocturnes de Pierre qui accroc à la masturbation s'agitait.
Vint le soir du match, Pierre était nstallé dans la C3 de Stéphanie à sa droite. Elle avait soigné son look. Des petites tresses, un fin corsage et une jupe courte. Dans le centre ville, Pierre regardait ses cuisses.

Stéphanie était toute proche de la gare. Elle trouva une place plus loin sans horodateur. Elle mit son clignotant, se garait sur un parking presque vide. Pierre complimenta Stéphanie qui joua le jeu. Pierre était aux anges devant Stéphanie. Il appréciait son cul, ses seins, sa chatte et avoua même qu'à chaque fois qu'il l'a regarde, il bande. Par acquis de conscience, Stéphanie vérifia si Pierre n'était pas un vantard et sa main engloba son sexe qu'elle soirtait du pantalon de Pierre.

Pierre bandait et Stéphanie était enjouée. Elle caressa la bite du jeune homme et la prit même en bouche.

Pierre était heureux. Mais, Stéphanie stoppa la fellation. Elle expliqua à Pierre qu'Alexa sera son iniciatrice dans le loft. Pierre apprécia cette phrase, lui qui trouvait la jeune espagnole très belle.

Pierre s'en alla prendre son train alors que Stéphanie rejoint ses colocataires à la rencontre de handball. ^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 5
Nous étions samedi après midi, Boris était libéré de la tension de son match. Il pouvait se relâcher même si pour lui pas de grasse matinée avec un décrassage puis une séance de massage. La vie de sportif était difficile.

Plutôt avenant pour la fête qu'il offrait. Le soir même pour fêter la victoire de son équipe, il décida avec Guillaume et Cédric d'aller acheter le nécessaire pour la soirée qu'il prépararait. Il chargea aussi Alexa de concocter des cocktails détonnant. Stéphanie était certaine que la fête allait battre son plein. Elle salivait déjà d'impatience et s'imaginait comment la soirée pouvait finir avec ses colocataires.

Julie, Sandrine Aurélie et Stéphanie et Alexa préparaient les cocktails. Julie annonça aux filles que pour cette soirée, elle avait invité le propriétaire du loft,son frère, Patrick, qui viendrait accompagné d'un ami, Erwan. Comme cela, il y aurait cinq filles et cinq hommes. Pour rendre la soirée agréable, les filles décidèrent ensemble de porter tous une mini-jupe très courte, et sans culottes pour jouer à la parfaite allumeuse et voir la réaction des cinq hommes : Boris, Guillaume, Cédric, Patrick et Erwan.

La soirée battait déjà son plein avec déjà deux grands cocktails avalés. Patrick était présent et Stéphanie avait encore l'image de la secrétaire Muriel. Et de lui dans le bureau. Son ami était très sympathique et savait s'amuser. Il avait vingt-huit ans et tenait un petit garage dans la périphérie. Toujours célibataire, il était un fêtard et un oiseau de nuit. Plutôt beau mec, brun, il avait du charme dans son pantalon blanc.

Alexa continua le service et la soirée continuait dans la bonne humeur. La première qui fit une erreur fut Sandrine qui était complètement ivre. D'un croissement de jambes pas très gracieux, elle s'exposa devant Patrick, Guillaume et Boris, et dévoilait sa nudité sous sa jupe.

La réaction ne se fit pas attendre. Les cinq garçons bandaient et le spectacle était plaisant pour les jeunes filles qui savaient que la soirée n'allait pas en rester là.

Il était environ une heure du matin lorsque Julie alla chercher un jeu, un Love Trivia. Elle expliqua les règles du jeu. Il s'agissait d'enlever un vétêment à chaque mauvaise réponse. Les garçons étaient déjà nus et les filles srutaient les bites dressées.

Quand Boris enleva son pantalon, les filles se mirent à être en transe face à la longueur de la bite de l'athlète. Sandrine avait mal jugée. Bien plus longue que vingt centimètres, elle en faisait plutôt vingt-cinq.

Les filles étaient également nues après une dernière série de questions. Elles commençaient à se toucher.

Julie changea alors les règles du jeu et expliqua que chaque mauvaise réponse occasionnait dorénavant un gage qui serait désigné par une petite cuillère. Boris répondit mal et la cuillère s'arrêta sur Stéphanie qui devait masturber le pénis du sportif. Elle en profita même pour lêcher les parties intimes du jeune homme. Stéphanie était excitée.

D'autres gages sexuels furent ainsi distribué. Julie qui avait le feu aux fesses lança le dernier jeu qui tenait exclusivement du hasard. Il s'agissait de former cinq couples pour la nuit. Julie remplit un verre avec les prénoms féminins sur papier plié en quatre, et un autre verre pourles prénoms masculins. Le tirage au sort désigna Aurélie et Patrick, le deuxième Julie et Cédric, le troisième Sandrine et Guillaume. Stéphanie avait une préférence pour Boris et sa gorsse bite, mais le hasard désigna Erwan. De fait Alexa se retrouva avec Boris. Stéphanie se dit que la jeune espagnole allait passer une belle nuit.

Stéphanie se retrouvait dans sa chambre avec Erwan. Il bandait comme un taureau. Julie avait eu la bonne idée de laisser la lumière aussi je pouvais me régaler du spectacle de sa bite dressée et de ses couilles biens fermes.

Erwan était très bisous et Stéphanie mouillait comme une folle en jouant avec sa langue. D'une main cavalière Stéphanie se faufilait entre les deux corps pour aller dire bonjour au gourdin qui allait la fendre. Sa queue était dans la norme, ni trop, ni moins. Stéphanie la branlait un peu pour faire connaissance. Erwan appuyait sur ses cheveux. Il désirait en avoir plus et Stéphanie lècha la bite du jeune homme.

Plus tard, Erwan lécha les seins. Il s'y prenait bien pour Stéphanie.

Erwan continua et mordillait même les seins de la jeune brune qui sentait le plaisir monter en elle. Erwan était vraiment très calins.

Ayant terminé avec les seins, Erwan descendit plus bas. Stéphanie écartait les cuisses pour lui faciliter la tâche. Erwan léchait bien et introduit un doigt dans la fente de la jeune fille. La jouissance montait.

Pour ne pas aller trop vite et retarder son plaisir, Stéphanie recula. Mais Erwan était toujours aussi doué avec sa langue.

Stéphanie était en fusion et elle décida de reprendre la queue du jeune homme en main. Elle plongea sur elle affamée. La bite du jeune homme était à son goût. Elle variait ses rythmes de succions.

Bite en bouche, Stéphanie jouissait. Elle donnait ainsi la dernière touche sur le bout du gland. Elle était prête à accueillir la semence chaude du jeune homme. Elle en avala une partie pour bien s'en imprégner tandis qu'une autre partie s'écoula au coin de ses lèvres puis sur sa joue.

Le loft n'était qu'un concert de soupir et de trampoline. Alexa était de loin la plus expressive. Prise par Boris et son bel engin, elle laissait libre cours à ses ressentis. Elle criait très fort. Elle aussi devait prendre du bon temps.

La bite d'Erwan repris de la vigueur et Stéphanie se mit en levrette. Erwan commença de douceur, de délicatesse pour peu à peu prendre un rythme de croisière. Stéphanie le sentait bien. Elle était bien emmanchée.Peu à peu sa chatte s'échauffait, sa respiration devenait plus vive, ses seins dardaient.

Stéphanie partait en vrille et profitait des secousses de plus en plus prononcées. Elle atteignait la jouissance et l'orgasme, heureuse de la résistance d'Erwan.

Subitement, la luxure monta d'un étage. Un an que Stéphnaie ne s'était pas faite enculer. Elle n'avait pas de crainte, elle était bien préparée. Erwan s'y logea sans mal récompensé de son travail. Erwan était un virtuose de l'enculade.

Après ce moment merveilleux, les deux jeunes gens s'endormaient.
Au matin,. Erwan, encore endormi, arborait un début d'érection matinale.Stéphanie entreprit alors une fellation.

Erwan se réveilla peu à peu quand Aurélie apparût dans la chambre. Elle s'approcha de Stéphanie et passa sa langue sur la queue d'Erwan.

Stéphanie et Aurélie agissaient comme des morphales, des hyènes sur un os. C'était à celle qui serait la plus perverse. Erwan avait devant lui deux salopes au point que rapidement il expulsa sa semence. Les deux jeunes filles avaient les lèvres et le mentons souillés de larges traces blanches, et la bite d'Erwan glorieuse était entre elles encore frémissante de leurs provocations.

Lavée et habillée, Stéphanie observait tout ce petit monde qui avait copulé. Tous était joyeux de bonne humeur.^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 6
À midi Patrick et Erwan étaient partis. Après le déjeuner et les corvées d'usage, Alexa proposa une promenade. Il y avait peu de vaillants. Stéphanie était partante et Julie se décida au dernier moment. Les filles marchaient longtemps en papotant. Le sujet principal était la nuit de luxure. L'idée fût même soumise de renouveller l'expérience une fois par mois.

Alexa expliqua qu'avec Boris, elle avait atteint le nirvana. Elle donna des détails sur le calibre du jeune homme et sur la résistance de ce dernier.

Elle ajouta que la fellation prodiguée était intense avec de la longueur et de la largueur à couvrir.

Elle ajouta même que Boris avait éjaculé dans sa bouche et qu'il y avait une dose importante de sperme.

Le dimanche soir, c'était de nouveau le cinéma. Au risque de tendinite, Pierre, de retour, se donnait du plaisir. Le lundi, de retour de la fac, Stéphanie surprenait le frère de Sandrine en pleine action. Assis sur le canapé, le pantalon débraillé et son ordinateur portable à ses cotés, sa main était enroulé sur lui et s'activait sur son sexe raide devant des femmes dénudées. Lorsqu'il me vit, il ne se trouva même pas honteux pour continuer modérément à se branler.

Le mercredi, depuis deux jours déjà, Boris était stressé. À partir du mardi déjà il commençait à angoisser. Un grand inquiet face au match qu'il devait produire vendredi. Manque de bol pour lui, Sandrine et Pierre avaient été rappelés en catastrophe chez eux pour enterrer une vieille tante. D'habitude, il soignait son anxiété l'avant-veille des matchs entre les cuisses de Sandrine bien heureuse de se faire défoncer par son bâton de berger magnum.

Le match était d'importance pour l'équipe de Boris, qui en cas de victoire, montait sur le podium. Stéphanie était au loft, et avait un après-midi de libre, seul avec Boris, qui n'avait pas entraînement au loft et lui dit de se calmer. Cependant, il continuait, faisait les cent pas, il se rongeait les ongles et n'avait de cesse de bouger. Stéphanie souhaitait décontracter Boris et elle enleva sa robe pour se retrouver en sous vêtements.

Stéphanie se mit à genou devant Boris. Elle lui enleva son pantalon et toucha sa bite. Mais, Stéphanie en voulait plus. Elle voulait la sucer. Monument extraordinaire que voilà. Grandiose et spectaculaire champignon des bois. Elle admirait la courbe rebondie ébène de la majestueuse queue. Ses deux mains mises bout à bout ne pouvaient la couvrir. Ses doigts entourés sur son rondelet ne pouvaient se joindre. Un grand moment extatique, rien que pour le plaisir des yeux. Là, Stéphanie appréciait de voir, émerveillée.Elle goutâ la bite et la faisait reluire.

Stéphanie était déterminée et voulait la bite de Boris en elle. Elle enleva sa culotte et son soutien-gorge. Boris commença par caresser les seins de la jeune brune.

Boris la décolla du sol, la monta très haut et la déposa sur le canapé. Il était puissant, fort. Il fit passer une jambe sur son épaule puis l'autre, l'intimité de Stéphanie à hauteur de sa bouche. Sans attendre, elle y plongea pour que sa langue lui pénètre le vagin. Il la lécha gourmand. Stéphanie se pâmait d'extase tant cela était bon.

Même pas essoufflé, délicatement, Boris se plaça à l'orée de la chatte de Stéphanie. Il tartina sa bite de cyprines pour doucement pousser.

Une chatte s'adapte à tout, même au gros cric. Son gland écartela Stéphanie sans pouvoir contenir des jappements d'être emplie toute. Sa longueur était presque un handicape car il ne pouvais s'y loger en entier. Boris la travaillait au millimètres près pour que ce ne soit douloureux.

Chaque coup de queue était un grand bonheur que Stéphanie criait

Bien en extase, Stéphanie changea de position pour sentir mieux la queue de Boris. Lorsqu'il la rejoint dans ses délires hystériques, lorsqu'il s'abandonna, la chatte de Séphanie reçu un tsunami de sperme bien chaud.

Stéphanie était heureuse. Elle lécha une dernière fois la bite de Boris.

Pour finir, elle lécha le reste du sperme de Boris qu'elle mit dans sa bouche.

Stéphanie était heureuse. Sa sexualité se débridait. Quant à Boris, il se calma et satisfait du bonheur donné par la jolie brune. ^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 7
Le samedi, Boris était contrarié. Son équipe n'avait fait que match nul. Il partait avec Guillaume pour la capitale voir son frère qui habitait la région parisienne. Alexa et Julie étaient parties de la veille. Elles s'absentaient le temps d'un week-end pour faire les vendanges et ramener un peu de blé. Sandrine et Pierre étaient toujours absens pour un enterrement prolongé qui réunissait toute sa famille. Au loft, il ne restait qu'Aurélie, Cédric et Stéphanie. Stéphanie connaissant Aurélie et Cédric, s'imaginait bien terminé la soirée par un jeu coquin à trois.

Dans l'après-midi, Stéphanie proposait d'aller faire les musées de la ville et du lèche vitrine. Cédric refusa, regardant une rencontre de rugby à la télévision. Aurélie accepta et les deux filles se retouvaient bras dessus, bras dessous. Aurélie ne s'était pas cassé la tête pour s'habiller. Jeans moule fesses qui mettait en valeurs son joli petit cul et un débardeur rose qui mettait en valeur ses seins.

Stéphanie avait opté pour une tenue encore plus féminine, avec un jupe et un chemisier violet.

Il y avait foule, la journée était belle, les gens sortaient.Les deux filles visitèrent deux musées. Il faisait chaud. Ensuite, les deux filles firent les grands magasins surchargés de clientèle. Elles essayaient des chapeaux, des lunettes de soleil en faisant les folles. Des mecs les draguaient ou encore les frôlaient. Ils profitaient du monde, de la cohue pour toucher un sein ou peloter le cul. Plus d'une fois Aurélie et Stéphanie, les laissaient faire.Dans un magasin, Stéphanie trouva son bonheur, un maillot de bain deux pièces, très sexy. Stéphanie l'essaya. Il lui allait comme un gant et mettait en avant ses seins

Aurélie rentra dans la cabine et complimenta Stéphanie. Elle se colla même à elle, et enroula ses bras autour de sa taille. Sa bouche, collée à l'oreille de Stéphanie, proposa de prendre du plaisir. Les lèvres chaudes d'Aurélie s'accolèrent à celles de Stéphanie pour un baiser puis un long jeu de langue.

Les doigts d'Aurélie fouillaient la moule de Stéphanie, lui cajolaient le bourgeon. Ils faisaient rouler la petite bille de son sein qui durcissait. Le visage de Stéphanie reflétait le plaisir, ses lèvres étaient humides, ses yeux scintillaient de désir. Une fine couche de transpiration faisait briller son corps ; Son ventre allait au contact des doigts qui la sondaient. Des spasmes la firent trembler. Un long gémissement retenu et la délicieuse béatitude voluptueuse.

Les deux filles rentrèrent à vingt heures après avoir bus un verre ou deux en terrasse. Il fallait profiter. de l‘été indien. Le diner était simple, pas de cuisine, pas de vaisselle. À chacun sa pizza amené par un livreur et un stock de rosé bien frais qui rafraichissait au fraiseur. Soirée télé, une comédie légère et dans la foulée un film d'horreur. Aurélie avait les chocottes et se blottissait contre Stéphanie. Cédric était en culotte, les pieds sur la table basse du salon avec un main un grand bol de glace chocolat.

Les deux filles décidèrent de se faire une matinée piscine, le lendemain en y allant dès huit heures. Sur cela, elles allèrent se coucher. Nue et simplement couverte d'un drap, Stéphanie s'attendait à ce que Magali vienne la rejoindre pour réclamer ce qu'elle lui'avait accordée dans l'après midi. Au fond d'elle, ça ne la déplaisaistpas.
Là, elle ne pouvait pas le nier. En moins de quinze jours, elle était devenue complètement bi. Elle assumait à fond sa sexualité.

Il faut dire qu'au loft, il fallait assurer. Tout le monde baisait avec tout le monde. Dans cette sexualité débridée, Stéphanie y trouvais son compte et d'une certaine manière ne se reconnaissait plus. Peut être que son tempérament s'affirmait ? Toujours est il qu'elle était très contente de vivre ici. Un petit moment qu'elle était dans son lit et toujours pas d'Aurélie Stéphanie hésitait à aller la rejoindre mais y renonçait. Il n'était pas question de provoquer, de l'allumer et surtout, elle ne voulait pas d'histoire avec Julie. Finalement, sans réellement s'en rendre compte, elle tombait dans les bras de Morphée.

Stéphanie fût réveillé dans la nuit par une sensation agréable, bien plus, un ballet de caresse sur son corps. Les doigts effleuraient son ventre, ils cajolaient ses seins, ils étreignaient ses cuisses, ils frôlaient son pubis. Aurélie était vraiment une petite coquine. Stéphanie lui ouvrait le compas de ses cuisses. Aussitôt ses doigts s'y faufilèrent de touches et de frôlements. À cet instant, la bouche s'y planqua pour boire à sa source qui s'écoulait et lécher son bouton qui dardait. Stéphanie se laissait manger, sans rien entreprendre, les bras ballants.

Aurélie était une bonne lécheuse, sa langue était un délice. Stéphanie ne pouvait que frémir et l'encourager de ronronnement. Inexorablement, la jouissance montait.
Aurélie était une diablesse. À chaque fois qu'elle sentait que Stéphanie allait crier, elle s'arrêtait, elle coupait son orgasme pour mieux y revenir. Cette fille était un monstre.

D'un coup, elle se retira pour se redresser. Là, StéphaniecompriT à l'ombre qui tranchait l'obscurité que ce n'était pas Aurélie qui venait de la lécher, mais qu'il s'agissait de Cédric.

Il remonta sur elle sans la toucher, il prit sa bouche d'un baiser.

La main de Stéphanie fila dans l'ouverture pour capter sa queue. Elle s'en saisissait, elle était dure. Plus ou moins, elle l'estimait en la branlant doucement. Pas très longue, elle était plus que ronde. Bel engin que voilà qui allait entrer en elle.

Cédric avait tellement chauffé Stéphanie qu'elle n'avait pas besoin d'autres préliminaires. Elle plaçait elle-même sa bite à l'orée de son sexe. Il n'avait plus qu'à s'enfoncer. Il le fit en douceur, d'une seule traite, jusqu'à ce que ses couilles s'écrase sur ses fesses. Elle l'accueillait d'un râle de satisfaction en suçotant sa langue.
Il se mit en action, la travailla d'allers retours vivaces. De temps en temps il s'arrêtait, coulissait doucement, pour mieux reprendre d'ardeur. Sa queue était bonne ouvrière, consciencieuse, souvent nerveuse, parfois nonchalante. Elle n'était que contraste. Il la limait bien. À force de secousses, d'empalements, de glissements, Stéphanie n'était plus qu'un sexe qui réagissait à chaque envahissement.
Cédric était calculateur, il connaissait bien les femmes. Il innonda Stéphanie de sa fièvre au pic de sa jouissance.

Stéphanie était heureuse de percevoir sa queue palpiter en elle. En quinze jours de présence au loft, elle avait couché avec les trois colocataires mâles, sans compter qu'elle avait sucé le petit dernier, plus des actes libidineux avec Julie et Aurélie, à y ajouter Erwan, l'ami de Patrick dont elle n'avait aucune nouvelle. Sans aucun doute, elle s‘émancipait. Elle n'en était pas spécialement fière, ni honteuse non plus. Elle vivait sa vie au jour le jour comme elle venait en prenant le bon qui s‘y trouvait. Cédric venait de partir après un dernier baiser. Stéphanie aurait aimé qu'il reste, qu'il dorme avec elle. Elle aurait aimé se pelotonner dans ses bras et sommeiller contre sa chaleur d‘homme, sa main dans son dos.

Quelle ne fut pas sa surprise quand elle entendit des chuchotements. Elle jouait aux grandes oreilles pour tenter d'entendre. Cédric avait la santé. Après Stéphanie, il remettait le couvert, il se tapait Aurélie. Stéphanie ne lui en voulait même pas.
Elle entendait le matelas grincer, les gémissements d'Aurélie, la respiration de Cédric. Non, pas possible de trouver le sommeil. Une heure entière à limer et enfin des râles de délivrance.
Il était deux heures du matin. Stéphanie avait de nouveau grave envie de baiser.

À deux heures trente, Cédric était de nouveau dans la chambre de Stéphanie, plongée dans son intimité à se fendre. Elle laissait parler les sensations que Cédric lui occasionnait. Aurélie devait entendre.
Trois heures du mat. Cédric quitta la chambre de Stéphanie pour immédiatement retourner chez Aurélie. Stéphanie entendait encore des voix et des chuchotements. A un moment, Aurélie cria à Stéphanie de venir les rejoindre. Quand elle arriva dans la chambre, Aurélie suçait la bite de Cédric.

Lorsque Aurélie vit Stéphanie, elle se délesta du gland orgueilleux qu'elle pompait et appela la jolie brune qui ne se fit pas prier pour aller les retrouver à deux langues baveuses sur le gros dard dressé.
Là chacune d'elle démontra ses compétences à sucer une bonne queue.

Les galipettes n'étaient pas terminées Cédric répondait présent d'un levé de bâton lorsque pour le stimuler les deux filles lui offrirent un soixante-neuf entre filles. Aurélie était à plat dos, le visage de Stéphanie soudé à son clitoris.

Les deux filles échangèrent leurs positions. Cédric prit alors les devants et s'allongea sur le dos. Aurélie monta à califourchon dessus. Cédric l'embrocha. Le plaisir de Stéphanie était immense d'autant plus que Cédric invita Stéphanie à se poser sur sa tête et entreprit de lui lécher le minou.

Ensuite, Stéphanie fît un petit cunni à Aurélie tandis que Cédric l'a prenait en levrette.

Après cette séance torride, c'est d'une faciale que Cédric lança ses derniers flots en souillant de ses salves les beaux minois des deux jeunes filles, heureuses de cette nuit.

Après cette nuit de baise mémorable, il était temps de dormir. Il était quatre heures du matin. La nuit serait courte avec trois heures de sommeil. Stéphanie restait dans le lit d'Aurélie, pour entrelacées y faire sa nuit.
^ ---------oOo---------
Cinq étudiantes et quatre étudiants en colocation - Episode 8
Stéphanie et Aurélie se levèrent et prirent chacune une douche, avant de se rendre à la piscine municipale. A leur arrrivée, les portes étaient encore closes. Un retraité, une mère de famille avec ses enfants, une jeune femme enceinte, deux jeunes gars, un couple d'amoureux, deux filles et un papa avec sa fille d'une dizaine d'années attendaient l'ouverture. L'ouverture effective et les préparations terminés, Stéphanie et Aurélie furent les premières à l'eau et entreprirent de faire vingt longueurs. Les longueurs effectuées, Stéphanie sortit le l'eau et ses courbes féminines furent accueillies de quolibets et de sifflements par les deux jeunes gars. Mais Stéphanie préféra jouer l'indifférence et le mépris pour me diriger très droite vers sa serviette.

Aurélievint la rejoindre cinq minutes plus tard elle aussi essoufflé. Sa sortie fut comparable à celle de Stéphanie, c'est-à-dire sujette à plaisanteries. Moins imperturbable que Stéphanie, Aurélie tourna son visage vers les gars le regard noir.

Les deux jeunes gens continuèrent à taquiner les deux filles. Aurélie, qui avait du répondant proposa à Stéphanie un défi particulier : sucer les deux bites à la sortie de la piscine. Sans réellement réfléchir, Stéphanie accepta. Dans quelle histoire allait-elle se lancer. A la sortie de la piscine donc, les deux jeunes demoiselles attendaient les deux jeunes gars. Aurélie prit les devants et plaqua une main sur le sexe d'un des deux jeunes hommes qui commençait à réagir. Stéphanie fit le même geste. Les mains descendaient les pantalons et déjà les deux filles avaient dégagé les sexes et les branlaient.

Les langues des filles étaient une essoreuse qui n'arrêtait pas de vrilles. Rapidement, les deux jeunes gars se trouvaient en mauvaise posture.

Stéphanie et Aurélie n'avaient plus qu'à planter le clou d'une dernière lippe diabolique. Les deux jeunes hommes se cabrèrent, un râle quitta leurs lèvres pour qu'immédiatement une déferlante cogne les palais des jeunes filles. Le jeune que suçait Aurélie craqua le premier.

Dans la foulée,Stéphanie reçut également sa dose de sperme.

Les deux filles s'échappèrent et plantèrent les deux jeunes gars. Aurélie et Stéphanie étaient toutefois satisfaites et s'embrassèrent.

Le mardi, tout le monde était de retour au loft pour sa semaine de routine. Aurélie faisait la gueule à Stéphanie depuis dimanche soir et le retour de Julie pour ne plus lui adresser la parole et en plus y ajoutait une pointe de mépris.
Pire que cela, elle avait bavée à Julie qui n'hésita pas à balancer acide sur Stéphanie. La réputation de cette dernière en avait prit un sale coup. Il fallait qu'elle se calme, tout du moins devant les locataires du loft. La tension contre elle risquait de provoquer une altercation.Durant la nuit, Aurélie fit l'amour à Julie.

Boris qui commençait à stresser pour son match alla se calmer les nerfs entre les cuisses de Sandrine.

Le lendemain après midi, Stéphanie n'avait pas cours. Il fallait qu'elle trouve trouve un truc pour s'occuper. Elle ne trouvait pas mieux à faire pour tuer le temps que d'aller réviser des leçons chez ses voisins de cours qui lui le proposèrent. Ils étaient des bucheurs et Stéphanie avaient des lacunes. Elle y alla sans arrières pensées sexuelles, mais eux avaient évidemment d'autres projets.

Après quelques verres d'alcool, Stéphanie était victime d'une sorte d'étourdissement. Sa tête tournait, Ses membres ne répondaient plus. Elle fût transportée dans la chambre par les deux garçons qui l'observaient, puis enlevaient son T-shirt, sa culotte et sa jupe, dévoilant son intimité. L'un des deux garçons ordonna une fellation tandis que le sexe de l'autre garçon entra dans le vagin de Stéphanie.

Soudain, Stéphanie sentit qu'un des deux garçons la sodomisait, alors que l'autre l'investissait par devant.

En rentrant dans le loft, Stéphanie prit une décision. Elle se renfermait sur elle-même pour n'avoir que comme sortie, son emploi du temps à la faculté. Elle ne se mélait plus des conversations des autres, et surtout décidait de rentrer chez ses parents, les samedis soirs où les fêtes étaient prévues. Pourtant, hormis pour Stéphanie, la routine était la même au loft.