Lucie et sa patronne (1) (publié par Chloe23 le 25-09-2014)
Lucie et sa patronne (2) (publié par Chloe23 le 09-10-2014)
Lucie et sa patronne (3) (publié par Chloe23 le 30-10-2014)
^ ---------oOo---------
Lucie et sa patronne (1)
Lucie était une très jolie jeune femme, habitant une petite ville de Vendée dans laquelle elle était née.
Elle avait reçu de ses parents une éducation très stricte et, à l'adolescence, sa vie sexuelle avait été quasi inexistante. A tout juste 18 ans, elle s'était mariée à Jérôme, de quatre ans son aîné, et qui habitait à quelques kilomètres.
Par chance, Jérôme, bien qu'il soit issu lui aussi d'une famille conservatrice, se révéla être au lit un amant plus que satisfaisant.
Il faut dire que, lorsqu'il découvrit pour la première fois Lucie, nue dans son lit, il y avait toutes les raisons d'exciter un homme normalement constitué !

Elle avait un physique de femme enfant, mais son corps mince et ferme ne pouvait laisser Jérôme indifférent, et lui-même offrait à Lucie le spectacle d'un mâle bien bâti et généreusement membré.

Sa première pénétration fut, pour elle, un moment intense, et la découverte d'un plaisir qui lui était jusqu'à présent défendu.

Très vite, elle parvint à un premier orgasme.

Mais Jérôme se maîtrisait parfaitement. Il se retint de jouir, et accéléra les allées et venues de sa queue dans la chatte de Julie, maintenant dégoulinante de cyprine.

Lucie ne parvenait pas à se lâcher totalement, malgré les vagues de plaisir qui la submergeait, et elle étouffa ses cris lorsqu'un second orgasme l'emporta. Ses gémissements étaient néanmoins des plus suggestifs, et Jérôme choisit ce moment là pour éjaculer. Un torrent de sperme jaillit, en partie dans le sexe de Julie, en partie sur son ventre.

Le couple resta un long moment affalé sur le lit, essoufflé, pantelant. Puis il échangea un long baiser...

... avant de se lancer dans une nouvelle séance de baise, torride.

Les semaines et les mois qui suivirent, Lucie et Jérôme continuèrent de faire l'amour toutes les nuits, et parfois en pleine journée. Lucie aimait particulièrement chevaucher son mari, position dans laquelle elle contrôlait le rythme de la pénétration, jouant à contracter habilement les muscles de sa chatte sur le dard de son mari.

Elle avait accepté de sucer Jérôme, mais celui-ci s'interdisait de jouir dans sa bouche.

Malgré tout, Lucie restait bloquée par son éducation. La découverte de son goût pour le sexe provoquait chez elle des réactions contradictoires : si, au fond d'elle-même, elle ressentait l'envie de s'abandonner à ses pulsions, elle était malgré tout freinée par un sentiment de gêne et de culpabilité, l'impression de devenir une fille perverse, et elle craignait de détruire l'image que Jérôme avait de celle avec qui il s'était marié.
Lucie se contrôlait donc du mieux qu'elle pouvait : elle s'empêchait de manifester trop bruyamment son plaisir, elle évitait de demander certaines caresses, de prononcer des mots trop crus...
De son côté, Jérôme agissait de la même manière et pour les mêmes raisons. Il n'avait jamais osé proposer à sa femme de porter des tenues sexy, encore moins de pratiquer la sodomie !
Bizarrement, c'est un évènement extérieur qui débloqua la situation, et transforma - oh combien - la vie de ce couple.
Lucie travaillait depuis quelques temps comme secrétaire dans une PME locale, produisant des objets publicitaires et, suite au départ en retraite du patron, la société fut rachetée par un groupe national. Une nouvelle directrice arriva de la région parisienne. Elle s'appelait Sandra, et c'était une jolie brune, très BCBG, d'une trentaine d'années.

Elle appréciait le travail de Lucie, qui devint son assistante. Les premières semaines, leurs relations furent strictement professionnelles, puis la confiance s'installa entre les deux femmes.

Sandra faisait quelques confidences à Lucie sur sa vie privée - elle était marié à Benoît, mais semblait assez libre - et elle remarqua bientôt la réserve de son assistante, et ses cas de conscience.
Tout bascula quand Sandra demanda à Lucie de l'accompagner pour une réunion au siège du groupe, en région parisienne, sur deux jours. Lucie ne pouvait pas vraiment refuser, mais elle était ennuyée de laisser Jérôme pour une nuit ; c'était la première fois depuis leur mariage.
Sandra s'occupa de réserver une chambre et, le lendemain, elle annonça à Lucie, sur un ton qui se voulait ennuyé :
-Il y a un salon sur Paris en ce moment, et tous les hôtels sont complets. J'ai quand même pu avoir une chambre double. J'espère que ça ne te dérange de dormir dans la même chambre que moi ?
-Mais non, pas du tout, répondit Lucie.
Les deux femmes partirent donc ensemble en voiture sur Paris, et la première journée se déroula dans les bureaux du groupe, pour traiter de son développement. Avant le repas du soir, Sandra fut appelée par la direction, mais l'entretien ne dura pas longtemps, et elle en ressortit radieuse.
Après le dîner, les deux femmes rejoignirent leur hôtel, et Sandra expliqua à Lucie les raisons de sa bonne humeur.
-La direction m'a annoncé qu'elle avait acheté une autre entreprise, aux Sables d'Olonne et, compte tenu de mes résultats, je prends également la tête de cette nouvelle filiale. C'est une belle promotion : on va arroser ça !
Elle décrocha le téléphone, et demanda à la réception une bouteille de champagne et deux flûtes. Quelques minutes plus tard, un serveur apportait la commande.
-On va laisser le champagne rafraîchir dans le seau à glace. Pendant ce temps-là, je vais prendre une douche. Il fait chaud ici, tu peux te mettre à l'aise si tu veux.
-Je vais prendre aussi une douche après.
Sandra rentra dans la salle de bains et, sans fermer la porte, entreprit de se déshabiller.

Lucie était un peu gênée, pensant que Sandra ne le faisait pas exprès. Mais celle-ci lui lança avec un grand sourire :
-Ouah, c'est bon d'être nue après une journée pareille.

Elle commença à se doucher, se savonnant avec beaucoup de sensualité.

Elle se caressa même un long moment, sans la moindre pudeur.

Puis elle sortit de la salle de bains, n'ayant apparemment pas la moindre intention d'enfiler un quelconque vêtement.

Elle s'installa sur le bord du lit, dans une position qui dévoilait largement sa chatte entièrement rasée, et elle regardait Lucie, embarrassée, avec un air amusé.

-Et bien, vas-y, Lucie, la salle de bains est libre, et je servirai le champagne pendant que tu te douches. Mais j'ai un ordre à te donner : ne ferme pas la porte ! Je sais que tu n'oses pas montrer ton corps, mais je compte bien y remédier.
Subjuguée par l'autorité de sa patronne, Lucie rentra dans la salle de bains et, sans fermer la porte, commença à se déshabiller.

Lorsqu'elle fut nue, elle rentra précipitamment dans la douche, et fit couler l'eau sur son corps en sueur.

Petit à petit, son angoisse diminua, mais elle craignait de ressortir à poil de la salle bains, redoutant que Sandra exige qu'elle ne se rhabille pas non plus. Cette crainte était fondée !...
En rentrant dans la chambre, elle vit sa patronne, souriante, qui lui tendait une flûte.
-Je suis sûre que c'est la première fois que tu vas boire du champagne en tenue d'Eve ! Je me trompe ?
Lucie ne répondit pas, prit le verre en rougissant, et Sandra porta un toast.
-A ma promotion, à toi, à nos amours, à nos hommes... Je me demande bien ce qu'ils font en ce moment !
-A votre promotion, renchérit Lucie, avec un sourire un peu forcé.
Autant parce qu'elle avait soif que pour masquer sa gêne, Lucie but son champagne rapidement, et Sandra lui versa une deuxième flûte.
-Pas trop, s'il vous plait. Je ne supporte pas bien l'alcool, supplia-t-elle.
Elle but quelques gorgées, et posa son verre. Sandra se rapprocha alors.

Lucie ne savait plus trop où elle en était, et elle sentait monter le trouble en elle.
-Tu as déjà eu des expériences avec des femmes ? lui demanda sa patronne d'une voix sensuelle.
-Non, jamais ! se défendit Lucie - tout en repensant à quelques caresses équivoques qu'elle avait connues dans le vestiaire du gymnase, au lycée.
-Alors, il faut que tu fasses l'essai ! lui répondit Sandra et, sans lui laisser le loisir de répondre, elle se rapprocha et la prit par la taille.

Sandra approcha ses lèvres de la bouche de Lucie, elle posa sa main dans le haut de sa cuisse, tout près de sa chatte. Lucie tenta bien mollement de la repousser, mais dans ce geste sa main se posa sur le sein durci de sa patronne, et elle rendit les armes.

Les deux femmes s'allongèrent doucement sur le lit. Lucie s'abandonnait aux baisers de Sandra, dont les doigts commençaient à caresser sa fente et son clito.

-Mais, ma parole, tu mouilles déjà, petite cochonne ! Et tes seins sont tout durs !
Lucie était écarlate. Elle savait que sa poitrine était hypersensible, avec des pointes qui dardaient dès qu'elle était excitée. Pour masquer son trouble, elle embrassa Sandra avec fougue.

Maintenant certaine que Lucie serait consentante pour la suite, Sandra glissa ses doigts dans la chatte qui n'offrait aucune résistance. De petits gémissements de plaisir ponctuaient les mouvements légers de sa main.

Sandra vint s'allonger entre les cuisses largement ouvertes de Lucie, découvrant en gros plan l'abricot qu'elle allait maintenant déguster.

Lucie sentit comme dans un rêve le long baiser que Sandra déposait sur sa fente, une langue s'insinuer entre ses petites lèvres, pour venir titiller son clito gonflé de désir.

Lucie poussa un petit cri, et Sandra lui demanda de se lâcher complètement.
-Vas-y, tu peux crier, l'hôtel est bien insonorisé. Je suis sure que d'habitude, tu te retiens. N'hésite pas à dire des vulgarités, tu verras : ça décuple ton plaisir et l'excitation de tes partenaires.
-Oh oui, allez-y, bouffez moi la chatte ! Oh c'est bon votre langue, continuez, oui, oui, comme ça, aaah ! gémit Lucie, dont les inhibitions fondaient comme neige au soleil.

Lucie se tordait de plaisir, et le couple arriva au bord du lit, quand un orgasme bruyant la foudroya.

Elle resta un moment inerte, à bout de souffle mais, pour Sandra, rien n'était fini.
-Maintenant que tu as bien pris ton pied, ma jolie, je veux que tu me fasses jouir aussi, pendant que je continue de m'occuper de toi !
Elle ramena Lucie au centre du lit, et vint se mettre sur elle, en 69. Lucie se retrouvait avec sa chatte juste devant son visage.

C'était la première fois que Lucie faisait l'amour à une femme, et elle se sentait excitée.
-Vous voulez que je vous lèche aussi ? Oh, j'ai honte, mais j'en ai envie aussi... Elle avait l'impression que c'était une autre fille qui parlait.
-Bien sur, vas-y ! lèche, suce, glisse ta langue dans ma fente ! Elle est en feu ! l'encouragea Sandra.
Lucie ne se fit pas prier davantage.

Sa langue et ses doigts s'activaient, pour le plaisir de Sandra, qui gémissait à son tour.

Sandra n'oubliait pas de rendre ce cunnilingus à sa partenaire, qui en perdait la tête.

Au bout d'un long moment, ponctué de cris et de plaintes, le couple roula sur le lit, et échangea ses positions, sans s'interrompre.

Elles parvinrent à l'orgasme presque simultanément...

.... avant de se laisser glisser sur le lit....

... pour une dernière caresse.

Après qu'elles eurent repris leur souffle, Sandra servit deux nouvelles coupes de champagne, et trinqua en riant :
-A ma petite assistante qui, sous ses dehors bien sages, a le feu au cul !
-A ma patronne, qui m'a fait découvrir que j'étais bi, répliqua Lucie, à qui l'alcool faisait perdre toute réserve.
-Tu ne crois pas quand même qu'on va en rester là pour cette nuit ! Ce n'est qu'un début.
Malgré l'ivresse, Lucie s'inquiétait, et elle vit Sandra sortir un grand étui de son sac de voyage. Elle y prit un godemichet bleu, mais l'étui semblait contenir d'autres engins, de tailles diverses.
Sandra présenta le gode à Lucie.

-Je suis certaine que tu n'as jamais utilisé cet appareil. C'est génial quand on est toute seule, mais on peut y jouer à deux.
Elle commença à faire vibrer l'appareil, et à le présenter à l'entrée de sa chatte.

L'effet sur Sandra fut immédiat. Devant sa patronne en transe, Lucie ne résista pas longtemps au désir qui montait en elle.
-S'il vous plait, j'aimerais tant essayer !
Sandra retira le gode luisant de cyprine, et entreprit de préparer la chatte de son assistante.

Elle fit pénétrer le sextoy sans problème, puis fit mettre Lucie en levrette.

La dureté de l'engin, ses vibrations lui procuraient des sensations inconnues.
-Oh oui, j'adore ça, c'est fabuleux ! Bourrez-moi le minou bien à fond.... Oui ! Comme ça !.. Oh je jouis déjà.

Elle ne laissa pas à Lucie le temps de se reprendre, et sortit de son sac un deuxième engin. Elle lui tendit les deux godes.
-A ton tour de t'occuper de moi ! Mais je suis encore plus salope que toi : tu vas me faire jouir par devant et par derrière en même temps.
-

Sandra adorait la double pénétration. Avec des godemichets, elle pouvait contrôler les mouvements des pieux qui fouillaient son intimité, les plier à ses désirs, aussi longtemps qu'elle le voulait.
Mais elle aimait tout autant se faire prendre en sandwich par de vrais mecs. C'était alors le plaisir de sentir leurs coups de boutoirs, qui soulevaient son corps en cadence...

...ces verges qui palpitaient en elle...

... et finissaient par lâcher de longs jets de foutre, qui coulait ensuite sur ses cuisses.

Mais, pour l'instant, Sandra voulait faire l'amour comme une bête, avec Lucie !
-Prépare bien mon petit trou, lubrifie le, ordonna-t-elle en offrant ses fesses rondes à son assistante, qui ne se fit pas prier.

Lorsqu'elle sentit le désir monter de nouveau en elle, son petit trou impatient de se faire pénétrer, elle tendit l'un des godes à Lucie. Celle-ci s'en saisit et, avec un art auquel elle ne s'attendait pas elle-même, elle commença à effleurer la rosette de Sandra pour l'exciter, faisant rentrer légèrement le toy puis le retirant pour mieux revenir ensuite.

Sandra devenait folle.
-Oh oui, tu t'y prends bien. Si tu savais comme j'ai envie d'être enculée... Oui, maintenant, enfonce le à fond !
Lucie ne se le fit pas dire deux fois !

Sandra poussa un long cri de plaisir, et Lucie fit aller et venir le gode, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, provoquant chez sa patronne des gémissements très suggestifs.
Sandra, à genoux, se cambrait maintenant au maximum pour offrir sa chatte aux caresses de Lucie, qui continuait à lui limer le petit trou.

-Oh ce que tu t'y prends bien ! Une fille aussi douée que toi... Tu es vraiment faite pour la baise !... Attends, prends ça, pour ma chatte.
Et elle tendit un deuxième godemichet à Lucie, qui le couvrit de salive....

... avant d'offrir à Sandra la double pénétration qu'elle attendait.

Sandra se remit en levrette, saisit le toy planté dans sa fente pour se branler avec rage, pendant que Lucie continuait à la sodomiser.

Lucie n'en pouvait plus d'excitation.
-Oh, mon dieu, moi aussi j'ai envie d'un truc dans mon petit cul... J'en peux plus, c'est trop fort, je veux essayer...
Sandra se dégagea, en gardant les godes plantés dans ses deux orifices, secouée par les spasmes d'un orgasme.

Elle prit un troisième gode, puis prépara l'anus de Lucie.

Et elle enfonça un énorme toy entre les fesses de son « élève », qui cria de plaisir.

Lucie était à la limite de l'évanouissement, secouée par des vagues de jouissance qui la submergeaient. La vibration au creux de ses reins de cet engin, manié de main de maître par Sandra, irradiait dans tout son corps tétanisé.
-Oh, je n'aurais jamais cru que ce serait aussi bon. Je jouis, je jouis... J'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter !

Au bout de longues minutes, les deux femmes durent abandonner, épuisées et comblées.
Sandra servit deux dernières flutes de champagne, pour terminer la bouteille.
-Alors, ça te plait cette nuit entre filles ?
-Si je vous disais non, vous ne me croiriez pas.
-C'est vrai, mais arrête de me vouvoyer ! Maintenant que tu n'as plus de tabous, j'espère que tu vas te lâcher.
-Je ne sais pas.... Il y a mon mari ! Je suppose que le tien ne sait pas non plus ce que tu fais en ce moment, s'inquiéta Lucie.
-Ben ? répondit Sandra en riant, mais c'est le premier à m'encourager ! Il adore me voir à poil devant des gens, me partager avec d'autres partenaires, ou me regarder faire l'amour.
-Je ne crois pas que Jérôme serait d'accord.
-Qu'est ce que tu en sais ? Il te croyait jusqu'à présent bien sage, mais les hommes ont des fantasmes que tu ne supposes même pas.
Lucie resta songeuse un moment.
Sandra l'interrompit dans sa rêverie :
-Si tu veux, je te propose un dernier exercice pour finir la nuit. Ca te tente ?
-Je commence à être fatiguée mais... pourquoi pas, répondit Lucie.
Sandra sortit de son sac un autre godemichet, très long. Elle en introduisit une extrémité dans la fente encore humide de son assistante.

Lucie s'abandonna complètement, goûtant maintenant cette nouvelle pénétration en connaisseuse. Lorsque le gode fut bien enfoncé dans la fente trempée de cyprine, Sandra vint sur elle et, instinctivement, Lucie plaça l'autre extrémité entre ses cuisses.

Sandra se saisit du sextoy et, doucement, s'empala dessus, en gémissant.

Elle se mit à remuer des hanches, avec des petits mouvements circulaires. Lucie, qui sentait de nouveau l'excitation monter en elle, donnait de petits coups de reins, et leurs mouvements respectifs étaient amplifiés par l'engin qui les transperçait. Elle ne put retenir des cris de plaisir.

Avec un art consommé du sexe, Sandra retira le gode juste avant que Lucie ne parvienne à l'orgasme. Puis elle se plaça face à elle, la double bite artificielle en face de leurs minous affamés.

Ensemble, elles commencèrent à la faire aller et venir, doucement, entre les lèvres de leurs sexes.

Puis elles s'empalèrent ensemble, progressivement...

... très progressivement, pour goûter cette sensation délicieuse.

Alors, elles se déchainèrent, se pilonnant réciproquement l'abricot, jusqu'à ce que le gode disparaisse dans leurs chattes...

... jusqu' à ce que leurs pubis se rejoignent, et qu'elles soient clouées par un dernier orgasme.

Alors seulement, alors que le jour commençait à pointer, elles s'écroulèrent sur le lit, et s'endormirent, dans les bras l'une de l'autre.

La nuit fut courte, et elles dormaient profondément quand le téléphone sonna pour les réveiller. Elles prirent une douche rapide, avant de retourner en réunion, les yeux cernés. Elles devaient faire un effort pour ne pas s'assoupir, et elles furent l'objet de quelques plaisanteries de leurs collègues.
L'après-midi, elles reprirent en voiture la direction de la Vendée. Nous étions vendredi et, peu avant de déposer Lucie, Sandra lui proposa :
-Avec Ben, on a une maison près de la côte. Et si tu venais demain avec Jérôme, passer l'après-midi avec nous ? Vous pourriez rester pour la soirée, je serai très heureuse de connaître ton mari.
Lucie n'osa pas refuser, mais s'inquiétait tout de même de ce qui pourrait se passer, et se demandait comment réagirait Jérôme !
^ ---------oOo---------
Lucie et sa patronne (2)
De retour de Paris, Sandra déposa Lucie devant l'immeuble où elle habitait.
Lucie ouvrit la porte de son appartement, et déposa sa valise dans l'entrée. Elle savait que Jérôme rentrait tard de son travail, et elle avait hâte de se retrouver dans ses bras.
Elle avait besoin d'une bonne douche, et elle se déshabilla rapidement.

Puis elle se dirigea vers la salle de bains, et fit couler longuement l'eau sur son corps encore un peu courbaturé, après cette folle nuit avec sa patronne.

Ses mains s'attardèrent sur ces seins, qu'elle sentit durcir sous ses doigts.

Une vague de désir remontait en elle, et elle ne résista pas à l'envie de se caresser. Sa main descendit sur sa chatte, pour tenter de calmer ce besoin de sexe qui lui revenait.

Mais rien n'y fit. Ses pensées allaient et venaient entre les choses inavouables qu'elle avait faites la nuit dernière, et les retrouvailles qu'elle imaginait torrides avec son mari.
Elle en prit son parti, et enfila seulement un peignoir.

Au bout de quelques minutes qui lui parurent interminables, Jérôme arriva enfin, un bouquet de fleurs à la main.
Lucie le remercia, et lui prodigua un long baiser humide.

-Tu ne peux pas savoir combien je me suis ennuyé de toi, je n'ai presque pas dormi en pensant à toi, lui avoua-t-il.
-Moi aussi, tu sais, lui répondit Lucie, qui rougissait malgré elle en pensant à ses acrobaties de la nuit. Tu ne crois pas qu'il faudrait rattraper le temps perdu ? ajouta-t-elle avec un sourire coquin.
-Mmmm, je suis tout à fait d'accord, surtout que tu ne sembles pas porter grand-chose sous ton peignoir, ce soir ! On va dans la chambre ? proposa Jérôme.
-Non, restons ici. J'ai envie là, tout de suite.
La réponse de Lucie étonna Jérôme. Ce n'était pas dans les habitudes de sa jeune épouse, d'autant plus que la porte-fenêtre de la cuisine était grande ouverte, et qu'il y avait un autre immeuble juste en face. Mais il mit cette audace de Lucie sur le compte du manque provoqué par leur courte séparation.
Il fit glisser le peignoir qui tomba sur le sol, enleva sa chemise, et assit Lucie sur le bord d'un meuble. Elle se pencha en arrière, et écarta largement les cuisses pour offrir sa chatte aux lèvres de Jérôme.

Elle se laissa aller complètement, ses hanches ondulant au rythme des coups de langue de Jérôme et de son plaisir.

Elle poussait des gémissements qui montaient dans l'aigu, sans se soucier de la fenêtre ouverte et des voisins, qui ne pouvaient pas manquer d'entendre.
Puis elle se releva, fit étendre Jérôme sur la table et ouvrit sa braguette. Sa queue était déjà bien dure, et elle commença par embrasser ses couilles...

... avant de se lancer dans une fellation d'enfer.

Elle suçait Jérôme de plus en plus fort, de plus en plus vite, et il comprit qu'il ne tiendrait pas très longtemps à ce rythme. Pour éviter de décharger trop vite, il écarta le visage de Lucie, et lui demanda de venir s'empaler sur sa bite.

Lucie ne se fit pas prier, et se mit à chevaucher son mari, en ne cachant rien de ce qu'elle ressentait.
-Oh oui, c'est bon, je la sens bien. Vas-y mon amour, fais moi jouir.
Puis, à la surprise de Jérôme, elle changea de position.

Elle jouit bruyamment, et ce fut au tour de Jérôme de prendre l'initiative d'un changement de position. Il fit relever Lucie, pour la prendre en levrette.

Lucie avait l'impression de devenir folle. Elle criait :
-Oui, je jouis, je jouis !... N'arrête pas, je sens que je vais avoir un autre orgasme !
Jérôme la fit encore relever, l'allongea sur la table, et lui bourra la chatte à grands coups de reins, avant de lâcher enfin son sperme.

Le couple resta un moment, haletant, encore enivré par la force de ces retrouvailles.
Enfin, ils se relevèrent, et décidèrent de dîner. A la stupéfaction de Jérôme, Lucie resta nue pour le repas, n'hésitant pas à passer et repasser devant la porte-fenêtre ouverte.
-C'est ta patronne qui t'a changée à ce point ? lui demanda Jérôme, et son sourire fit comprendre à sa femme qu'il n'était pas mécontent de ce changement.
-Peut-être un peu, répondit Lucie, on parle beaucoup toutes les deux. Elle est très libérée, et j'avoue qu'elle m'a ouvert des horizons, avec ses confidences !
Mais Lucie n'osa tout de même pas raconter à Jérôme sa folle nuit avec Sandra... Sans lui laisser le temps de poser d'autres questions, elle enchaîna.
-Au fait, elle nous invite tous les deux demain, dans leur résidence secondaire, sur la côte. Tu veux bien y aller ?
-Bien sur, refuser pourrait nuire à ta carrière, dit Jérôme en souriant. Mais avec ce que tu me racontes, tu ne crains pas que ta Sandra ait des idées libertines ?
-Je ne crois pas... Enfin, je n'en sais rien, balbutia Lucie. Je sais que son mari sera là... Si c'était le cas, je suppose que ça te choquerait.
-Je ne sais pas, je ne me suis jamais trouvé dans cette situation, répondit Jérôme sur un ton mi-amusé, mi-sérieux, à la grande surprise de Lucie.
Aussitôt leur repas terminé, le couple s'enlaça, et le contact de leurs peaux réveilla leur désir. Ils prirent le chemin de leur chambre, et s'écroulèrent sur le lit.
S'ensuivit une mémorable séance de baise. Lucie prit l'initiative, et vint sur Jérôme.

Elle s'empala doucement sur la queue dressée de Jérôme...

... avant de la chevaucher, maîtrisant le rythme des allées et venues du dard qui remplissait sa chatte.

Au bout de quelques minutes, elle changea de position, pour s'asseoir sur le sexe de son mari, jouant de mouvements de plus en plus rapides de ses hanches pour parvenir à un premier orgasme.

Ce fut au tour de Jérôme, qui se contrôlait parfaitement, de changer de position. Il fit s'installer Lucie en levrette, et la pénétra lentement, sensuellement.

Lucie appréciait, et n'hésitait pas à le lui faire savoir.
-Oh oui, c'est bon, continue comme ça, bien au fond de mon minou !

Jérôme s'amusait à la limer énergiquement, puis à ressortir entièrement sa queue de la fente dégoulinante de mouille, à la replanter d'un coup sec, et ainsi de suite, pour le plus grand plaisir de Lucie.

Mais ce fut elle qui reprit l'initiative. Au moment où Jérôme se retira, elle se cambra, et fit glisser le gland gonflé de désir vers son petit trou, déjà lubrifié par la cyprine qui coulait de sa fente. Jérôme n'en revenait pas !

-Tu as envie que je te prenne par derrière, mon amour ? demanda-t-il.
-Oh oui, je t'en prie, j'en ai envie, je voudrais essayer, sentir ta grosse queue dans mon cul.
Elle avait perdu tout contrôle d'elle-même, et Jérôme, bien que sidéré, ne se fit pas prier.

La suite se résuma à une séance de sodomie débridée.

Lucie se comportait comme une chienne en chaleur, encourageant Jérôme à se lâcher sans retenue.
-C'est bon !... Oui, comme ça, mets moi toute ta bite, défonce-moi !

Et, dans un bouquet final, Jérôme inonda Lucie de foutre, au moment où elle jouissait.
Sur cette apothéose, le couple s'endormit.
Le lendemain, ils partirent en voiture vers l'adresse donnée par Sandra, près des Sables d'Olonne. Ils arrivèrent en début d'après-midi, devant une superbe villa, entourée de murs, et fermée par un grand portail.
Ils sonnèrent, et c'est Sandra qui vint leur ouvrir, vêtue d'une minirobe en maille transparente, laissant entrevoir ses superbes seins nus, et un petit string noir.

Jérôme resta un instant bouche bée, ne s'attendant pas à ce que la patronne de son épouse soit une nana aussi sexy. Sandra le remarqua et, avec un petit sourire, lui fit la bise sans plus de manière.
-Je suppose que vous êtes Jérôme, Lucie m'a beaucoup parlé de vous. Moi, c'est Sandra. Mais on peut se tutoyer si ça ne te dérange pas ; ce sera plus sympa, nous ne sommes pas au boulot !
Un homme vint la rejoindre.

-Je vous présente Benoît, mon mari. Ben, voilà Lucie, mon assistante, et Jérôme, son mari.
A son tour, il embrassa Lucie, en la complimentant sur son charme, et il serra énergiquement la main de Jérôme. Dans son for intérieur, Lucie se dit que Ben était un sacré beau mec, et qu'il formait avec Sandra un couple vraiment canon.
Ils entrèrent tous les quatre dans la villa. Le séjour était meublé avec beaucoup de goût, dans un style très moderne, et il s'ouvrait sur une grande piscine, entourée d'une terrasse.
-Il fait un temps superbe, vous allez pouvoir profiter de la piscine, leur annonça Sandra. Si vous voulez, vous pouvez vous installer dans le bureau, pour vous mettre en maillot.
-Oh, quelle idiote ! J'ai oublié de prendre un maillot, murmura Lucie, confuse.
-Mais si tu veux, tu peux ne pas en mettre, Lucie ! répondit Sandra en riant. La terrasse est bien abritée des regards, et nous n'avons rien contre le nudisme, n'est-ce-pas, Ben ? Sinon, je peux te prêter un de mes maillots.
Lucie était trop heureuse d'accepter cette proposition. Sandra s'éclipsa dans sa chambre, et revint très vite avec une toute petite pochette en plastique.
-Tiens, je te passe celui-ci, il est très sexy, mais je suis certaine qu'il te plaira et qu'il t'ira à merveille.
Lucie et Jérôme s'isolèrent dans le bureau. Elle se débarrassa de sa petite robe, de son soutien-gorge et de son slip brésilien. Nue, elle sortit le bikini de sa pochette.
-Mais il est minuscule, je ne vais jamais oser me présenter devant eux avec çà ! s'écria Lucie.
-Déjà, essaie-le, avant de paniquer. Et puis, tu as entendu : tu peux toujours faire du bronzage intégral, Sandra te l'a proposé, lui répondit Jérôme, l'air plutôt amusé.
Un peu surprise par la réaction de son mari, Lucie passa le deux-pièces et se regarda dans un grand miroir. Elle paniquait : les triangles du soutien-gorge masquaient tout juste les pointes de ses seins, et le string minimaliste laissait ses fesses nues et se réduisait à une toute petite pièce de tissu.

-Ca ne te dérange pas qu'on me voie comme ça ? lui demanda Lucie.
-Pas du tout, tu es vraiment très belle, et je suis fière de ma petite femme !
Un peu rassurée, Lucie se dit que ce que Sandra lui avait révélé sur les envies des hommes était sans doute vrai, et ils sortirent tous les deux sur la terrasse.
Sandra était déjà installée sur un transat pour un bain de soleil, et son maillot n'était guère plus décent que celui de Lucie.

Elle salua l'arrivée de Lucie, et la complimenta sur sa plastique que le bikini mettait parfaitement en valeur.
Les deux femmes commencèrent à bavarder de choses et d'autres, pendant que leurs maris faisaient plus ample connaissance. Ben amena la conversation sur la photo, dont il était fan, et il alla chercher son reflex.
-Ma femme pose très bien, je fais souvent des photos sexy avec elle. Sandra, je voudrais montrer tes talents de modèle à Jérôme, veux-tu poser un peu pour quelques clichés ?
Sandra ne se fit pas prier. Elle dénoua son soutif, et prit une première pose très suggestive.

Puis, elle descendit dans la piscine, et regarda sensuellement l'objectif, en tirant sur un côté de son string.

Elle ressortit de la piscine et, cette fois, commença à baisser complètement son string.

Cette fois, elle était à poil. Elle s'assit au bord de la piscine...

...se tourna vers l'objectif, cuisses généreusement ouvertes...

... et se caressa sans la moindre gêne.

-C'est vraiment chouette de réaliser des images comme ça, tu ne crois pas ? demanda Ben à Jérôme. Tu peux photographier Sandra avec ton smartphone, si tu veux, elle adore qu'on la voit nue.
Un peu gêné vis-à-vis de Lucie, Jérôme saisit son smartphone, et prit un premier cliché de Sandra qui s'était agenouillée.

Lucie ne perdait rien de la scène, et sentait la jalousie la gagner. C'est presque avec soulagement qu'elle entendit son mari l'appeler.
-Chérie, j'aimerais beaucoup que tu poses nue aussi. Tu n'as pas à rougir de ta plastique, fais-moi plaisir, enlève ton maillot.
Elle ne se fit pas vraiment prier. Quelques secondes après, son bikini tombait sur la terrasse, et elle se dirigeait vers les deux photographes, en balançant doucement ses hanches.

Elle descendit dans la piscine, et s'aspergea. Sous la fraîcheur de l'eau, ses seins durcissaient, les pointes dardaient, et elle les caressait en regardant Jérôme et Ben dans les yeux.

Elle se renversa en arrière dans l'eau...

... sentant un plaisir trouble monter dans le bas de son ventre...

... et, n'y tenant plus, elle commença à se caresser, pendant que les deux mecs la mitraillaient avec leurs appareils photos.

-Je peux poser avec Lucie, si vous voulez, proposa Sandra. Deux nanas ensemble, c'est très excitant, n'est-ce-pas messieurs ?
Personne n'allait la contredire, et Lucie se rappela des caresses de sa patronne lors de leur voyage « professionnel »
Sandra descendit à son tour dans l'eau, et elle rejoignit Lucie, qui s'était assise sur le bord.

Elle commença à la caresser, et Lucie offrit sa chatte à la main de Sandra, autant qu'aux objectifs de leurs admirateurs.

Sandra plongea sa tête entre les cuisses de son assistante, et sa langue vint en renfort de ses doigts, sur le clito dressé. Les gémissements de Lucie rendaient maintenant la scène de plus en plus torride.

Sandra fit installer Lucie en levrette, pour qu'elle découvre largement sa fente trempée.

Après quelques photos, Lucie s'étendit sur le ventre, le souffle court.

Et les caresses de Sandra se firent de plus en plus indiscrètes, pendant que Lucie se demandait comment elle pouvait se retrouver dans une telle posture, sous les yeux de son mari.

Elle sentait l'orgasme monter en elle, et elle se retourna à demi, pendant que les doigts de sa patronne exploraient maintenant son petit trou.

-Oh, c'est bon, je jouis. Regarde moi, mon amour, ça m'excite de prendre mon pied devant toi... Si tu savais comme j'aime ça !
-Tu m'as trop excitée ! Fais-moi jouir aussi, petite cochonne, lui demanda Sandra, en se dégageant et en venant s'accroupir sur son visage.

Lucie lui dévorait la chatte, et Sandra fut foudroyée à son tour par le plaisir.

Puis les deux filles s'assirent, et échangèrent un long baiser...

Avant de se retourner, pour demander à leurs photographes de maris :
-Ca vous a plu ?

Les deux hommes applaudirent leurs modèles, et commencèrent à regarder les photos : c'était somptueux ! Ils bandaient, et la bosse qui déformait leurs maillots de bains n'échappa pas au regard de Sandra.
-Dites, les hommes, ce n'est pas normal que nous soyons à poil toutes les deux, et que vous ayez encore vos maillots. Nous aussi, on aimerait bien voir vos sexes, n'est ce pas Lucie ?
-Si, bien sur ! renchérit celle-ci. Allez Jérôme, montre ta jolie queue à Sandra !
Ben fut le premier à ôter son maillot, et Lucie se dit que sa patronne avait sacrément bon goût. Elle avait très envie de cette bite dressée.

Jérôme ne pouvait pas se défiler et, tout en restant assis sur le bord de la piscine, il se débarrassa de son bermuda.

-Ouah, superbe ! s'écria Sandra, admirative. Tu ne dois pas t'ennuyer, Lucie, avec un engin comme ça ; et elle ajouta à voix basse à son oreille : et j'espère que tu n'es pas jalouse, car je compte bien en profiter aussi...
Jérôme décida de se laisser glisser dans l'eau, pour tenter de calmer son excitation, mais sans grand résultat, d'autant plus que Lucie l'avait rejoint et l'embrassait.

-J'ai l'impression que ça t'a bien excitée, que je me mette nue et que je me fasse photographier. Et puis, mon salaud, tu ne t'es pas gêné non plus pour mater Sandra.
Il n'eut pas le temps de lui répondre, car Sandra les avait rejoints. Jérôme se laissa porter par l'eau, et les deux femmes commencèrent à lui prodiguer une délicieuse fellation.

Elles commencèrent par lui lécher la tige, ensemble...

--- avant que Lucie ne le prenne dans sa bouche...

... Sandra prenant rapidement le relais.

Mais Ben s'était approché, et proposa un nouveau scenario.
-Si pour faire plus ample connaissance, Sandra faisait l'amour avec Jérôme, et Lucie avec moi ? Sandra pourrait commencer, pendant que Lucie vous materait avec moi, et nous prendrions le relais, lorsqu'on sera bien excités. Qu'est ce que vous en dites ?
Sandra approuva, Jérôme n'osa pas refuser, et Lucie fut bien contente de devoir se ranger à l'avis de tous !
Sandra recommença à titiller le gland de Jérôme avec sa langue, provoquant des ondes de plaisir dans les reins de son partenaire.

Jérôme gémissait déjà, et elle le suça délicatement...

... avant de l'engloutir.

Tout en flirtant avec Benoît, Lucie suivait les exploits du couple, étonnée de sentir le désir que faisait naître chez elle la vue de son mari faisant l'amour avec une autre.

Sandra fit un signe à son mari, qui allongea Lucie sur le dos. Sandra vint s'agenouiller au-dessus d'elle, reins bien cambrés, la chatte à la hauteur de son visage, et Jérôme se plaça derrière. Lucie vit alors la queue de son homme investir lentement la fente de sa patronne.

Elle caressait le clito dressé de Sandra, pendant que Jérôme allait et venait doucement, avec un bruit de succion révélateur d'une chatte inondée de mouille.

Sandra perdait tout contrôle, et poussait des gémissements aigus de plaisir, entrecoupés d'encouragements à Jérôme.
-Oh, oui, comme ça... Plus fort, oui encore... Mets en plein la vue à ta petite femme...
Il la baisait maintenant comme une bête, tandis que Lucie se soulevait pour tenter de lécher le sexe de sa patronne.

Jérôme sortit un instant sa bite de la chatte de Sandra, offrit son gland à sucer à Lucie, pour qu'elle goûte sa cyprine...

... avant de présenter son mandrin à l'entrée du petit trou de Sandra, et de s'introduire entre les fesses offertes.

Sandra devenait complètement folle. Lucie la voyait onduler des hanches et enfiler avec violence son petit cul sur la tige de Jérôme. Un orgasme la foudroya, en lui arrachant un long râle, et Jérôme ne put se retenir plus longtemps.
Le foutre gicla de son gland, et son éjaculation semblait ne jamais devoir s'arrêter. Lucie vit la queue encore raide sortir de la rondelle de Sandra, la semence couler jusqu'à son minou, et elle ne put s'empêcher d'y gouter.

Mais c'était maintenant au tour de Sandra de donner libre cours à son excitation. Pendant tout ce spectacle, Ben l'avait caressée, léchée, mais elle voulait à son tour sentir sa chatte remplie, pilonnée, inondée de foutre.
Elle se jeta sur Ben, s'empara de sa bite dressée, et commença à la sucer.

Malgré la taille de l'engin, elle le prit en entier dans sa bouche.

Cette fellation n'était qu'un hors d'œuvre. Lucie n'était plus maintenant qu'une chienne en chaleur. Elle s'assit, cuisses largement ouvertes sur sa chatte affamée et humide, et elle regarda Ben avec une expression qui était un appel au viol !

Ben comprend ce que désirait Lucie. Il se rua sur elle, et la pénétra d'un grand coup de reins.

Elle poussa un grand cri, puis ils se ressaisirent tous les deux, et Benoît commença à la pistonner avec force.

Lucie sentait monter le plaisir dans le creux de son ventre. Mais son partenaire se retira. D'abord déçue, elle réalisa très vite qu'il voulait changer de position, et la prendre en levrette. Elle se mit sans hésiter en position, pour que sa queue trouve le chemin de sa grotte sans difficulté.

C'était à nouveau un festival. Lucie ferma les yeux pour mieux apprécier les sensations qui la submergeaient, comme des décharges électriques.

L'orgasme l'emporta comme un raz-de-marée, et pourtant Benoît continuait son coït sans ralentir. Elle sentit qu'elle allait jouir une nouvelle fois, mais il se retira, et lui demanda :
-Tu en veux encore, ma jolie ?
-Oui, oui, vas-y, tu le sais bien...
-J'ai envie de te faire crier encore, mais pas de la même façon !
-Fais-moi tout ce que tu veux, mais prends-moi, je t'en prie, supplia Lucie, qui avait perdu toute dignité.
-Alors, je vais te faire jouir par le cul.
Lucie se rappela les jeux de gode avec Sandra, et sa découverte de la sodomie avec Jérôme la nuit précédente, mais elle n'osait pas répondre.
-Si tu le veux, il faut que tu dises bien fort que tu as envie d'être enculée, lui ordonna Ben.
-Oui, encule-moi, je veux sentir ta bite entre mes fesses... s'il te plait, vas-y doucement.
Benoît ne se fit pas prier davantage. Il écarta les fesses de Lucie, et la pénétra pendant qu'elle gémissait de plaisir.

Puis, la maintenant fermement, il la mena à nouveau vers le plaisir.

Jusqu'à ce qu'elle demande grâce.

Lucie se laissa tomber sur le sol, à bout de souffle, à la limite de perdre connaissance, et Jérôme lui prodigua un long baiser en la félicitant.
-J'ai une petite femme merveilleuse. Si tu savais comme ça m'a excité de te voir faire l'amour ! Je ne crois pas que beaucoup de maris aient autant de chance que moi.
En se relevant, Lucie vit qu'il recommençait à bander...
Sandra donna le signal d'une pause, et le quatuor rentra dans la villa, pour boire quelques cocktails préparés par Ben, et reprendre des forces en dévorant des toasts et des verrines délicieuses.
Ils étaient restés nus, et Lucie se demandait ce que Jérôme avait bien pu mettre dans ces cocktails, car ils avaient sur elle un effet aphrodisiaque. Mais pas seulement sur elle, manifestement !
Sandra, assise sur le canapé entre les deux mecs, se faisait caresser les seins, tout en les branlant de ses mains expertes.

Lucie les regardait en se caressant, et Sandra vint s'agenouiller entre Jérôme et Ben, en les fixant de façon provocante.

Et elle commença à lécher les glands décalottés. Jérôme appréciait tout particulièrement le frôlement de cette langue, qui suscitait en lui de nouveaux frissons.

Lucie n'en pouvait plus ! Elle sentait un désir irrépressible monter au creux de ses reins. Elle rejoint le trio, et s'agenouilla à son tour pour sucer Benoît.

Les cocktails faisaient pleinement leur effet. Les deux couples se lancèrent chacun dans un 69, et leurs gémissements s'élevèrent à nouveau dans la villa.

Ils étaient parfaitement synchro ! Les deux hommes s'installèrent sur un canapé, et chaque nana vint chevaucher le mari de l'autre. S'observer en train de faire l'amour en même temps avec une autre personne excitait Lucie et Jérôme.

Les deux filles se déchaînèrent, et Lucie se pencha pour embrasser Sandra à pleine bouche, entre deux cris de plaisir.

Ce baiser donna des idées à Sandra. Elle s'allongea. Lucie vint se placer sur elle en 69, et Ben se plaça derrière elle pour la prendre en levrette, pendant que Sandra léchait le clito de sa patronne en observant le sexe de Jérôme, prêt à rentrer en action.

Mais Sandra était décidemment très inventive !
Pendant que Ben allait et venait dans la chatte humide de Lucie, lui arrachant de petits cris de plaisir à chaque coup de boutoir, Sandra lança une proposition.
-Si je ne me trompe pas, Lucie, tu ne t'es jamais fait prendre par deux hommes en même temps. Je me trompe ?
-Non, répondit Lucie d'une voix faible, croyant deviner où sa patronne voulait en venir.
-Et bien, je vais t'organiser maintenant ton premier sandwich ! Allonge-toi, Ben, et Lucie va venir sur toi.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Lucie chevaucha Benoît, dont le sexe investit la chatte de Lucie, sans la moindre difficulté. Anticipant la suite, elle se cambra, et offrit ses fesses à son mari.

Jérôme présenta sa bite à l'entrée du petit trou, sous l'œil attentif de Sandra....

... et s'enfonça lentement dans le joli cul de sa femme.

A partir de cet instant, le trio se lâcha totalement. Les deux bites coulissaient en cadence dans les deux orifices de Lucie, qui manifestait son plaisir par de longs gémissements. C'était une sensation inédite pour elle de sentir ces deux queues aller et venir au plus profond de son intimité, et il lui semblait que la mince cloison qui les séparait allait se déchirer, tant ils mettaient d'énergie pour la baiser.
Au bout de quelques minutes, elle jouit dans un feulement de lionne en chaleur.

Ses deux partenaires se réservaient encore, et ils l'obligèrent à se retourner. Elle se retrouva avec la verge de Ben dans sa rondelle bien dilatée, et elle accueillit avec un grand sourire le pieu de Jérôme dans sa fente dégoulinante de cyprine.

Les deux mecs reprirent leur coït avec une nouvelle vigueur, et Lucie se rendit compte qu'un nouvel orgasme allait la secouer une fois de plus.

Elle les encourageait, et ils ne lui faisaient pas grâce d'un seul centimètre de leurs bites en la pénétrant.

-Oh, c'est bon, je prends mon pied !... Oh oui mes chéris, encore un peu, c'est trop bon de sentir vos queues. Oh, j'ai l'impression que je ne vais pas m'arrêter de jouir.
Les deux hommes étaient eux aussi sur le point d'éjaculer, et elle sentait leurs glands palpiter en elle.
-Allez-y, j'ai envie de voir le foutre jaillir de vos sexes, gicler sur mon visage et dans ma bouche !
Elle fut servie ! Jérôme et Ben se retirèrent, et presque ensemble, balancèrent leur sperme sur les joues de Lucie.

Lucie ouvrit la bouche pour recueillir sur sa langue le dernier jet de son mari.

Elle resta ainsi plusieurs minutes, laissant couler le foutre sur son visage et sur ses seins, pendant que les deux mecs essayaient de reprendre leur souffle.
-Merci Sandra, c'était génial ! Jamais je n'avais joui comme ça, tu sais, confessa-t-elle, en embrassant sa patronne.
Sandra avait goûté en connaisseuse le spectacle, mais celui-ci l'avait passablement excitée, et elle n'avait plus qu'une envie : faire l'amour à son tour ! Malheureusement, les hommes étaient un peu épuisés, après avoir bandé et baisé pendant des heures depuis le début de l'après-midi...
Il en fallait plus pour la décourager !
-Vous n'allez pas me laisser tomber maintenant ! Vous savez ce dont j'ai envie ?... Vos deux grosses bites, ensemble, dans ma petite chatte affamée. Allez, Lucie, aide-moi à ressusciter leur virilité !
Sandra servit de nouvelles flutes de champagne, et les deux femmes commencèrent un duo à réveiller un mort.

Pendant près d'une demi-heure, elles ce caressèrent...

...se léchèrent...

--- se masturbèrent...

... tant et si bien que Jérôme et Ben se remirent à bander. Pour parachever cette mise en condition, Sandra entreprit de se faire lécher et de les sucer alternativement.

Pendant ce temps, Lucie s'exhibait de la manière la plus lascive possible.

Avec une telle mise en scène, les deux hommes furent bientôt en pleine forme !
Ben s'allongea sur le dos, et il guida Sandra, pour que sa fente vienne coiffer le pieu dressé. Puis Jérôme commença à pénétrer à son tour le minou inondé de cyprine.

Mais Sandra éprouva quelques difficultés pour accueillir deux sexes de cette taille.
-Oh, doucement... Putain, elles sont énormes, vos bites ! Arrêtez, ma chatte va exploser.
Mais comme Jérôme hésitait, c'est elle qui en redemanda.
-Mais non, idiot, vas-y, mais doucement... Ah oui, ça rentre, c'est bon, continuez !
Cette fois, Sandra goûtait totalement cette énorme pénétration.

Elle poussait de nouveau des cris de plaisir, emportée par les sensations que provoquaient les mouvements des deux queues, qui irradiait de son clito jusqu'au plus profond de sa grotte.
Elle décida de changer de position, et se retourna, empalée sur Ben, pour s'offrir à la verge de Jérôme.

Il la pénétra cette fois sans problème...

Les deux hommes se contrôlaient sans peine, et ils se coordonnèrent, pour amener Sandra à un dernier orgasme, peut-être le plus fort et le plus bruyant de la soirée.

Pour la remercier de les avoir aidés à bander de nouveau, Ben et Jérôme réservèrent leur éjaculation pour balancer leur foutre sur le visage de Lucie, qui le reçut en riant de plaisir.

La soirée se termina ainsi. Après un dernier café, Lucie et Jérôme prirent congé, et les deux couples se promirent de se retrouver rapidement, pour une autre partie.
Cette nuit-là, pour la première fois depuis longtemps, Lucie et Jérôme n'eurent pas la force de refaire l'amour !
^ ---------oOo---------
Lucie et sa patronne (3)
Après leur samedi très chaud dans la résidence secondaire de Sandra, Lucie la retrouva au bureau le lundi, mais ni l'une ni l'autre ne laissaient paraître leur complicité.
C'est en milieu de semaine que Lucie fut appelée par sa patronne dans son bureau, et elle la trouva en pleine conversation téléphonique avec un client.
-Mais oui, cher monsieur. C'est entendu, je viens vous voir pour finaliser notre proposition. Si ça ne vous dérange pas, je serai accompagnée de mon assistante. Elle est particulièrement compétente, et elle pourra nous apporter ses idées.
Manifestement, le client était d'accord, car Sandra poursuivit.
-Vendredi 14 heures ? Pas de problème pour moi. Mon assistante vient de me rejoindre.... Oui, c'est OK.... Merci, et à vendredi.
Sandra raccrocha, enleva ses lunettes, et se tourna vers Lucie qui s'était assise sur le coin du bureau.

-Je t'explique l'affaire. J'ai un contact avec le patron de plusieurs boîtes de nuit, qui vient de racheter un établissement dans la région. Son truc, ce sont des boîtes très... hot, qui organisent des soirées du type concours de strip, rencontres échangistes, etc... Il est sur le point de me confier une grosse commande pour des objets publicitaires, et on le voit vendredi pour essayer de conclure.
-Tu penses que je peux t'aider ?
-Bien sur ! Ce genre de type est évidemment sensible au charme féminin, et dans le genre, je sais ce que tu vaux ! Mais il faudra qu'on s'habille très sexy : décolleté, pas de soutif, tu vois ce que je veux dire.
Le vendredi, Lucie partit du bureau en fin de matinée, et rentra chez elle pour déjeuner et se changer. Le personnel de l'entreprise ne devait évidemment pas découvrir leur patronne et son assistante dans une tenue peu correcte.
A 13 heures, Sandra sonna à la porte de l'appartement de Lucie, qui lui ouvrit.

Sandra portait une minijupe, et surtout un haut rouge, très décolleté. Elle devait faire attention en bougeant, car les aréoles de ses seins pointaient facilement hors du tissu.
La petite robe de Lucie n'était guère plus pudique !

Il suffisait qu'elle fasse glisser les bretelles de quelques centimètres pour dévoiler sa poitrine nue.
Sandra était satisfaite de leur présentation, et les deux femmes partirent en voiture. A 14 heures précises, elles se garèrent devant la boîte de nuit - qui s'appelait l'Antre d'Eros - située dans un endroit isolé en bordure de forêt.
L'accès au bureau était indépendant de l'entrée de l'établissement qui se trouvait en sous-sol, et c'est une jolie blonde qui vint leur ouvrir. Son décolleté n'était pas mal non plus !

-Je me présente : je m'appelle Ambre. Je suis l'associée et la compagne de Richard. Il vous attend.
Sandra se présenta également, ainsi que Lucie, et le trio prit la direction du bureau de Richard.
Richard les reçut très aimablement, et Ambre s'était assise sur le coin de la table de travail, pendant qu'il présentait son établissement et ses attentes en matière de publicité.
Sandra et Lucie ne pouvaient pas s'empêcher de regarder les grandes photos qui ornaient les murs, et Richard le remarqua.
-Je vois que vous admirez mes posters ! Ce sont des clichés pris dans les boîtes que je possède. Tenez, c'est une soirée strip réservée aux clientes.

-Celle-ci aussi, ici-même.

-Là également, cette photo a été prise dans l'Antre d'Eros. C'était notre ouverture.... Très réussie, comme vous voyez !

-Là, cette cliente venait pour la première fois. Inutile de vous dire que c'est maintenant une habituée...

-Et puis, j'aime particulièrement celle-ci. Vous reconnaissez Ambre, dans ses œuvres ? Elle joue de temps en temps dans des films X, et elle n'a pas son pareil pour faire monter la température dans la salle.

Richard commença à expliquer les objets publicitaires qu'il souhaitait faire réaliser.
-Mais, ajouta-t-il, vous pouvez me faire d'autres propositions. Pour vous donner des idées, je pense que le mieux serait que vous découvriez mon établissement en fonctionnement. Qu'en pensez-vous ?
-C'est une excellente idée, répondit Sandra, à qui la présentation de son client avait donné des idées. Je suppose qu'il faudrait que nous repassions, sans doute en soirée.
-Pas nécessairement. Si vous avez le temps, la boîte est ouverte actuellement. Le vendredi après-midi, nous avons beaucoup de couples illégitimes, qui s'adonnent à l'échangisme à l'insu de leurs conjoints. De la même façon, des femmes et des hommes mariés viennent seuls pour assouvir leurs fantasmes.
Sandra annonça qu'elle avait tout son temps, et Lucie s'empressa de se conformer aux attentes de sa patronne.
Par un escalier de service, Richard guida les deux femmes vers le sous-sol, et leur fit les honneurs des lieux. La décoration était superbe, très chaleureuse.
Au milieu de la salle, à l'éclairage savamment dosé, se trouvait une piste de danse, entourée de tables basses, de canapés, et de sièges bas. En bout se tenait un grand bar, géré par un black impressionnant et, tout autour de la salle, s'ouvraient des alcôves, de tailles différentes.
-Dans ces alcôves, précisa Richard, des couples ou des groupes peuvent s'installer. S'ils ferment le rideau, c'est qu'ils veulent rester dans l'intimité. Si le rideau est ouvert, cela signifie que les voyeurs sont les bienvenus et, suivant les fantasmes du groupe, ils peuvent être invités à participer à leurs ébats.
Du côté opposé au bar, se dressait une grande table, sans rien dessus et sans sièges autour. Lucie eut un air étonné en la voyant, et Richard le remarqua.
-Là, c'est notre table de gang bang. J'espère que vous nous ferez le plaisir de l'essayer.
Lucie ignorait ce qu'était un gang bang, mais elle n'osa pas poser de question, de peur de passer pour une idiote. A ce moment, Ambre qui était restée dans le bureau, les rejoignit. Elle s'était changée, et portait maintenant une robe super sexy.

Ambre fit la bise à plusieurs clientes et clients, et ils s'installèrent, tous les quatre, à une table bordant la piste de danse. Sans qu'ils aient commandé quoi que ce soit, le barman leur apporta des cocktails maison : délicieux, mais aussi sans doute très alcoolisés et aphrodisiaques !
Richard commença à draguer Sandra, sous l'œil amusé d'Ambre. Lucie le vit glisser une main sous la minijupe de Sandra. Celle-ci ne se gêna pas non plus pour caresser la bosse qui déformait le pantalon de Richard.
-Je vois, Sandra, que vous aimez vous promener sans rien sous votre jupe. C'est quelque chose que nous apprécions beaucoup, dans l'Antre d'Eros ! Mais on peut peut-être se tutoyer ?
-Bien sur, je t'en prie, répondit Sandra d'une voix rauque.

Très vite, Sandra, Ambre et Richard se mirent entièrement nus, tandis que les clients des tables voisines les mataient ostensiblement. Sandra commença à sucer Richard, avec une expression gourmande, encouragée par Ambre.

Sandra changea de position, pour offrir sa chatte à la langue experte d'Ambre, sans interrompre sa fellation.

Lucie se retrouvait la seule à sa table à porter encore un vêtement. La vue de sa patronne lui rappelait les moments qu'elle avait passés le dernier week-end, avec elle et leurs maris. Un fourmillement, qu'elle connaissait maintenant bien, commençait à parcourir son clito, à irradier dans le bas de son ventre, et la cyprine mouillait déjà son string. C'est à ce moment qu'un homme s'approcha, et posa une main sur son épaule.
-Bonjour, je m'appelle Anthony. J'ai l'impression que tu t'ennuies, veux-tu danser ?
Lucie se présenta et accepta l'invitation avec joie. Ils se collèrent l'un contre l'autre, et elle sentit bientôt une queue, aux dimensions sans doute impressionnantes, durcir et se dresser contre son ventre.
-Tu es nouvelle ici ? Tu m'as l'air très jeune.
-Oui, c'est la première fois que je viens. J'ai juste 19 ans.
-C'est rare de rencontrer des filles aussi jeunes dans cet endroit, tu dois aimer vraiment le sexe ! Tu es accompagnée d'une nana, tu es lesbienne ? interrogea Anthony.
-Non, je suis mariée et bi. La nana, c'est ma patronne, répondit Lucie en riant.
-Et bien, j'aimerais être ton mari, et travailler dans ta boîte !
Tout en discutant, Anthony caressait Lucie, et avait découvert ses seins.

Au bout d'un moment, son string disparut, et sa robe ne fut plus qu'un morceau d'étoffe autour de sa taille. Elle se mit à défaire la ceinture du jean d'Anthony.

-Dis-moi, Lucie, tu aimes te montrer nue en public ?, lui demanda Anthony au creux de l'oreille.
-Je ne l'ai pas fait souvent, et jamais avec autant de monde autour, confessa Lucie, qui n'osait tout de même pas avouer que, quelques jours auparavant, elle ne connaissait pas d'autre homme que son mari...
-Alors, fais-moi plaisir, vas-y. Fous-toi à poil !
Lucie s'écarta un peu, et se débarrassa de sa robe qui, de toute façon, ne cachait plus grand-chose. Les femmes et les hommes autour d'elle détaillaient son anatomie, et leurs regards l'excitaient.

Anthony la prit par la taille, et l'entraîna vers une des alcôves, aux rideaux restés ouverts.
-Je vais te présenter à Lou, ma copine. Elle a toujours le feu au cul, et il lui faut plusieurs mecs pour la satisfaire. Elle s'est trouvée deux types à son goût, et je pense qu'elle a du commencer. Ca devrait lui plaire qu'on partouze avec elle. Tu es tentée ?
-Mmmm... Pourquoi pas, répondit Lucie en minaudant un peu, et en accentuant son côté « petite fille timide ».
Ils arrivèrent à l'entrée de l'alcôve, et découvrirent Lou en train de sucer deux énormes queues avec gourmandise.

Anthony fit des présentations succinctes, et c'est à peine si Lou s'interrompit. Très vite, elle reprit les deux bites en mains, en regardant Lucie avec une expression perverse.

Le trio appréciait d'avoir des spectateurs, et Anthony commença à caresser Lucie, collé derrière son dos. A peine avait-il posé ses mains sur les seins de Lucie que ceux-ci durcirent et que leurs pointes se dressaient.

Lucie sentait le sexe dressé d'Anthony au creux de ses reins, et elle se mit à le caresser.

Un voyeur avait pris place à l'entrée de l'alcôve, pressentant que le spectacle qui allait s'y dérouler en vaudrait la peine. A sa grande surprise, Lucie se sentit excitée par cette situation. Elle se tourna vers l'homme, et le regarda dans les yeux, tout en branlant Anthony.

Anthony la fit s'allonger sur une banquette, et commença à lui lécher le clito. Lucie adorait cette caresse, et les allées et venues de sa langue experte lui arrachèrent ses premiers gémissements.

Lucie se releva et, en regardant de nouveau fixement le voyeur, se mit à embrasser et à lécher doucement le gland gonflé d'Anthony.

Elle vit que l'homme se masturbait, et elle fit disparaître toute la verge dans sa bouche.

Le couple s'installa confortablement en position de 69, et Lucie demanda à Anthony de bien fouiller sa chatte avec sa langue.

Cette fois, ils se déchaînèrent tous les deux, se caressant, se léchant, se suçant sensuellement, et Lucie fut surprise par un premier orgasme - le premier d'une longue série ce jour-là.

Ils se séparèrent un court instant, pour admirer Lou, ruisselante de sueur, s'empalant avec de petits cris de plaisir sur le dard d'un de ses partenaires, et pompant l'autre avec frénésie.

Ce spectacle donna des idées à Anthony. Lucie s'allongea sur le dos, et il la pénétra lentement. C'était un des moments que Lucie savourait en faisant l'amour : l'instant où le gland turgescent force doucement l'entrée de sa chatte, où elle sent toute la tige la pénétrer, la remplir, et où elle rentre dans une sorte de transe.

En jetant un coup d'œil sur le côté, elle vit Lou, toujours empalée sur le même homme, se faire lécher le minou par son second partenaire et, pendant quelques secondes, elle l'envia.

Elle aussi ressentit l'envie de chevaucher Anthony. Elle l'obligea à s'allonger, et s'installa à califourchon sur lui. Sans qu'elle la guide, la bite dressée prit le chemin de sa fente ruisselante de cyprine.

Lucie, retrouvant sa position préférée, se mit à aller et venir sur le pieu qui la perforait, se soulevant pour mieux se laisser retomber sur cette queue qui la menait de nouveau à l'orgasme.

De son côté, Lou ne se privait pas ! Elle aussi maintenant chevauchait l'un des deux hommes, et offrait ses fesses à l'autre.

Anthony avait maintenant envie de profiter du spectacle offert par sa maîtresse, et il demanda à Lucie de se mettre à genoux. Elle lui obéit, en regardant encore le voyeur - qui avait été rejoint par d'autres clientes et clients de l'Antre d'Eros - et Anthony la pénétra d'un seul coup de reins.

Il se mit à la tringler avec force, lui arrachant des cris inarticulés de plaisir.

Anthony ne perdait pas une miette du véritable show de Lou, prise en sandwich, secouée au rythme des coups de boutoirs des deux mecs plantés en elle.

Lucie ne pouvait pas ignorer l'excitation d'Anthony, qui la baisait maintenant comme un taureau en rut.

Lou avait changé encore de position, mais se faisait toujours défoncer les deux orifices, en haranguant ses partenaires.
-Oh oui, allez-y, bourrez-moi le minou et mon petit cul... Oui, comme ça, j'adore... Haaa, je jouis, je jouis !... Continuez, je ne veux pas m'arrêter de jouir !

Les deux hommes se levèrent, et entreprirent de continuer à lui faire l'amour, debout.

La situation donna des idées à Anthony. Il encourageait les deux mecs qui faisaient hurler Lou de plaisir :
-Allez-y les gars, bien à fond. C'est une vraie salope, elle adore ça, faites-la gueuler.
Et, en même temps, il entreprit d'enculer aussi Lucie, qui ne demandait pas mieux.

Voyant qu'elle appréciait, il se mit à la sodomiser, d'abord doucement, puis de plus en plus vite. A son tour, elle le poussa à la prendre sans retenue.
-Comme c'est bon, vas-y, plus fort... Haaaa, oui, plus vite, je viens !

Lou, toujours prise en sandwich, encourageait Anthony :
-Vas-y chéri, elle aime se faire enculer, montre-lui ce que tu sais faire, fais-là grimper aux murs !

Anthony n'avait pas besoin de ça ! Lui aussi se mit debout, et continua à défoncer dans cette position la rondelle de Lucie, qui hurlait maintenant de plaisir, en fouillant sa chatte avec ses doigts.

Ils ne purent continuer ainsi bien longtemps. Lucie était épuisée après plusieurs orgasmes en série, et Anthony sentait sa semence monter. Il se retira, elle s'agenouilla, et prit ses jets de foutre en pleine figure.

Presqu'en même temps, Lou eut droit à une double ration de sperme !

Les cinq protagonistes de cette partouze se laissèrent choir sur les banquettes, épuisés, essoufflés, et comblés. Mais l'après-midi n'était pas terminé !
Anthony indiqua à Lucie que la boîte était équipée de douches, pour que les clients puissent se rafraîchir au milieu de leurs ébats. Elle prit donc la direction des toilettes, toujours nue, et passa entre des clientes et clients, également plus ou moins habillés. Elle croisa une jolie brune, en tenue d'Eve, qui ressortait de la douche, et qui lui décocha un sourire complice.

L'eau fraîche lui fit du bien. Après s'être séchée, elle retourna dans la salle, où l'ambiance lui sembla de plus en plus torride.

Elle s'arrêta au bar, pour siroter un autre cocktail, et elle vit Ambre, se faire bouffer l'abricot par une jolie brune, sous l'œil passionné du compagnon de cette dernière.

Elle prit sa coupe en main, et déambula dans la boîte, regardant ce sui se passait dans les alcôves. Pour la plupart d'entre elles, les rideaux étaient restés ouverts, invitant des spectateurs à mater ce qui s'y déroulait.
Dans l'une de ces alcôves, elle retrouva Sandra avec Richard, mais surtout avec un groupe d'hommes, auxquels elle s'offrait sans retenue.

Lucie commençait à sentir le désir l'envahir de nouveau. Sans y prendre garde, elle s'était rapprochée de la table de gangbang, et avait posé une main sur le bord. Elle constata qu'elle devenait le centre d'intérêt de plusieurs mâles autour d'elle, et elle se sentit flattée.
Elle trouvait l'un d'entre eux, assis dans un fauteuil, particulièrement sexy. Il ne la quittait pas du regard, et elle lui sourit.

Elle avait vraiment envie de faire l'amour avec ce type, et elle décida de lui faire comprendre en prenant des poses sensuelles.

L'homme la dévorait des yeux, mais ne faisait aucun mouvement pour se rapprocher d'elle. Lucie sentait l'excitation, et une certaine frustration, la gagner. Elle décida d'être plus explicite dans son invitation. Elle prit appui sur la table, se pencha en avant en lui souriant, lui offrant une vue imprenable sur sa chatte épilée.

Cette fois, le type se leva et s'approcha d'elle. Lucie ne prêta pas plus d'attention que ça aux autres mecs, qui se dirigeaient vers la table. Tout à son jeu de séduction, elle installa sur la table quelques coussins empruntés à un canapé voisin, et s'allongea, cuisses largement ouvertes, les mains derrière la tête, les yeux mi-clos, dans une position d'abandon absolu.

Son partenaire se rua sur elle, mais tous les autres mecs autour prirent place aussi autour de la table. Il commença par lécher la chatte de Lucie quelques secondes, tandis que, sans même le vouloir, elle se retrouva avec une queue dans chaque main.

Mais ces préliminaires furent de courte durée, et il la pénétra sans ménagement.

Elle se mit à sucer un des mecs près de la table, pendant qu'elle se faisait pilonner l'abricot.

Son partenaire allait et venait à un rythme insensé, et très vite, il jouit, sortant sa queue de la fente de Lucie pour répandre son sperme sur son ventre et sur ses seins.

Tout cela s'était passé si vite qu'elle n'avait pas atteint l'orgasme, mais déjà un grand black l'avait empoignée. Il l'avait installée en travers de la table, et il enfonça son dard dans la chatte de Lucie, toujours ouverte, pendant qu'un autre type plantait sa bite dans sa bouche, et que deux autres glissaient leurs glands dans ses mains.

Soudain, elle réalisa ce qu'était un gang bang, et le nombre d'hommes autour d'elle la terrorisa. Mais, si ce coït était aussi violent que le premier, elle réussit cette fois à jouir, avec une intensité extraordinaire.
L'homme qu'elle suçait déchargea sur son visage, mais un autre sexe le remplaça entre les lèvres de Lucie, alors que le foutre coulait sur ses joues.

Elle sentit la bite qui la fouillait secouée par des soubresauts qui se répercutaient dans son ventre, et le sperme gicler dans son intimité.
Elle n'eut pas le temps de se reprendre, que des mains fortes la saisirent, et l'empalèrent sur un autre sexe dressé.

La situation l'excitait de plus en plus. Sa frayeur avait disparu, et elle goûtait maintenant le plaisir d'être offerte, sans défense, à tous ces mâles en rut. Un nouvel orgasme la secoua, et plusieurs types se faisaient sucer ou se masturbaient au-dessus de son visage, la couvrant de leur semence.

L'homme qui la pénétrait était endurant, et il avait sans doute vu Lucie se faire sodomiser dans l'alcôve. Il la souleva comme un fétu de paille, et planta sa queue dans la rondelle de Lucie, lubrifiée par la cyprine et le foutre qui s'écoulaient de sa chatte.

Lucie se déchaîna, décollant ses fesses du pubis de son partenaire, pour se laisser retomber sur le pieu qui la transperçait, dans un concert de gémissements.

Elle avait perdu le peu de retenue qui lui restait.
-Oh oui, oui ! C'est bon, oui, comme ça !... Défoncez-moi, couvrez-moi de foutre, suppliait-elle.
Et elle fut servie. Le sperme inondait son visage....

... dégoulinait de son petit trou.

Lucie ne se rendait pas compte du désir qu'elle avait fait naître chez ses spectateurs. Ils se jetèrent sur elle et, pour être plus nombreux à profiter d'elle, ils la prirent en sandwich.

D'autres voulurent, en même temps, se faire sucer, et lui présentèrent leurs tiges dressées.

Lucie les saisit avec gourmandise, et s'appliqua à leur offrir une fellation d'anthologie, à chacun. Un nouvel orgasme l'emporta, et elle n'arrivait plus à les compter.

Ses partenaires éjaculèrent à leur tour et, après avoir succinctement essuyé le jus qui la maculait, d'autres hommes la prirent à nouveau, dans une autre position.

Lucie n'avait plus conscience du temps, ni de quoi que ce soit. Elle jouissait, jouissait, et ne savait plus qui la baisait....
Il lui semblait que ces mecs étaient des centaines...

... se relayant sans fin, parfois avec douceur...

---- d'autres fois, plus brutalement.

Au bout de près de deux heures, elle était épuisée, à la limite de l'évanouissement, et ses partenaires se retirèrent enfin, définitivement. Ils l'applaudirent et, en hommage à sa performance, quelques voyeurs giclèrent sur son visage et sur son corps.

Ambre, un peu à l'écart, n'avait rien perdu du spectacle. Elle l'aida à se relever, et la soutint pour rejoindre les toilettes.
Après une bonne douche, Lucie reprit ses esprits. Elle réussit à récupérer sa robe, et alla rejoindre Sandra, dans le bureau de Richard.
Celle-ci était radieuse, et avec un clin d'œil discret, elle désigna le mirifique contrat que signait son nouveau client.
Les deux femmes revinrent au bureau, se racontant pendant tout le trajet leurs exploits. Sandra ne revenait pas d'avoir vu la prude Lucie, s'offrant en gangbang à toute une troupe de mâles !
Lucie rentra chez elle, en se demandant si elle allait tout raconter à Jérôme. Finalement, elle décida de ne lui cacher aucun détail, certaine que ce récit l'exciterait aussi. Elle enleva sa robe.

Et se dit qu'elle se sentirait mieux nue pour accueillir son mari.