Quelques clics pour du virtuel au réel - 1 (publié par Davidhandballeur le 31-12-2014)
Quelques clics pour du virtuel au réel - 2 (publié par Davidhandballeur le 01-01-2015)
Quelques clics pour du virtuel au réel - 3 (publié par Davidhandballeur le 03-01-2015)
Quelques clics pour du virtuel au réel - 4 (publié par Davidhandballeur le 04-01-2015)
Quelques clics pour du virtuel au réel - 5 (publié par Davidhandballeur le 05-01-2015)
Quelques clics pour du virtuel au réel - 6 (publié par Davidhandballeur le 07-01-2015)
Quelques clics du virtuel au réel - 7 (publié par Davidhandballeur le 15-01-2015)
Quelques clics du virtuel au réel - 8 (publié par Davidhandballeur le 20-02-2015)
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Quelques clics pour du virtuel au réel - 1
Inspiré de l'histoire de Popeye381 "Un clic, deux clics et le plaisir. Ou comment Internet mène à tout !" (2007)
[http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/recits-erotiques/plaisir-comment-internet-sujet_3540_1.htm]
Pour tromper l'ennui de ces longues soirées, Pierre avait pris l'habitude de s'installer devant son ordinateur et de surfer allègrement sur toutes sortes de sites. Il avait vingt-cinq ans.

Un beau jour, une fenêtre publicitaire s'ouvrit. Elle vantait les mérites d'un site de rencontres. Ne cherchant pas particulièrement l'âme sœur, il n'avait jamais cherché ce genre de site. Toutefois sa curiosité fut piquée au vif en voyant de charmants visages de jeunes femmes accompagnant le message publicitaire. Il se dit que c'était peut être l'occasion de passer un moment agréable. Il ne recherchait rien de précis, juste occuper un peu sa soirée.

Il avait dans sa vie une amie, Christelle, avec laquelle il partageait des moments intimes plutôt agréables. Toutefois ni elle, ni lui n'envisageaient de vivre ensemble et il ne formait pas un couple au sens habituel du terme. Tout au plus deux solitaires qui se retrouvaient pour devenir des partenaires de sexe. Comme ils se plaisaient à le dire parfois, ils faisaient l'amour entre eux.
Christelle est une belle femme du même âge que Pierre, avec des cheveux blonds. Elle a une petite poitrine mais ses seins sont ronds et les bouts bien sensibles.

Chacun d'eux avait sa vie et ne rendait aucun compte à l'autre. De temps en temps lorsque l'envie de sexe prenait l'un des deux, il ou elle téléphonait à l'autre pour savoir s'ils pouvaient s'accorder un bon moment de plaisir. Pas de sentiments, juste du plaisir physique. Ils se retrouvaient alors chez l'un et chez l'autre et la relation n'allait jamais au-delà du petit matin.

Une fois seulement ils avaient tenté un week-end en Ardèche mais l'expérience ne leur avait pas laissé un souvenir impérissable. Habitués tous les deux à une grande indépendance, il leur avait fallu pendant 48 heures essayé de s'adapter au rythme de l'autre. A cette occasion, ils s'étaient rendus compte qu'ils n'étaient pas fait pour vivre ensemble.

Seul le sexe partagé les rassemblait. Tout deux étaient à l'écoute du désir de l'autre et ils avaient développé, en la matière, une telle confiance et une telle complicité qu'ils arrivaient à parler de leurs envies et de leurs désirs à l'autre. C'est ainsi que Christelle avait sollicité sa première sodomie avant que Pierre ne la lui propose.

Elle avait également testé la fessée alors que Pierre n'était pourtant pas enclin à ce genre de pratiques. Quant à Pierre il avait lui aussi sollicité des actes qu'il s'était toujours refusé à demander à ses autres partenaires. C'est ainsi qu'il avait eu le plaisir de l'attacher et de faire d'elle ce qu'il voulait. Christelle avait d'abord appréhendé puis la confiance aidant, ainsi que la douceur de Jean avait rendu l'expérience agréable.

Ce jour là, Christelle avait également tenté une expérience nouvelle pour elle. Elle avait poussé une longue fellation jusqu'à son terme et avait bu tout le sperme que Pierre lâchait en abondance après une période d'abstinence.

D'habitude Pierre la prévenait lorsqu'il était prêt à éjaculer et elle s'éloignait des jets de sperme. Pierre n'avait jamais voulu lui imposer cette pratique. Depuis Christelle aimait régulièrement goûter le jus de ses partenaires.

C'est ainsi qu'au fil du temps, à deux, ils avaient de concert, développé leur pratique sexuelle.

Pierre était donc devant son ordinateur et son premier contact avec le site de rencontre consista à choisir un pseudo. Comme il était d'un naturel plutôt joyeux, il se dit qu'un pseudo original et humoristique serait le bienvenu. Il se mit à faire fonctionner ses méninges et au bout de dix bonnes minutes, après mûre réflexion, il choisit le pseudo de "Aubin Bouillonnant". Il était un adepte des spas, jacuzzis et autres baignoires à remous qu'il utilisait régulièrement à son club de sport préféré. Une fois son pseudo accepté, il entra sur le site. Il répondit de façon sommaire au questionnaire de personnalité, n'y attachant pas une grande importance et se disant qu'il serait plus sympathique qu'au cours d'échanges avec des correspondantes éventuelles, il se dévoile petit à petit. Il sélectionna les critères et quatre images de charmantes jeunes femmes blondes apparurent sur l'écran.
Aurore

Mélanie

Sandrine

Virginie

Enfin Pierre accède aux profils de correspondantes éventuelles. Il peut voir que certaines ont un profil avec photo. Il essaye de tchater avec des correspondantes au charmant minois mais sans succès. Aucune ne répond. Il se dit que lui-même n'ayant pas mis de photo dans son profil, ça doit un peu faire peur à une correspondante éventuelle. Il choisit donc de faire signe à une femme de son âge qui n'a pas mis de photo en ligne. Elle habite à plus de cent kilomètres de là, ce qui rassure Pierre qui n'a pas envie de voir une femme débarquer du jour au lendemain dans sa vie. Son pseudo est "Papillon" et elle lui répond immédiatement comme si elle n'attendait que lui. Les présentations se font en quelques échanges. Le papillon triste a le même âge que Pierre. Elle se décrit comme une belle femme blonde.

La conversation s'oriente sur les loisirs. Ainsi, ils parlent de cinéma, de musique, de lecture. La conversation est assez banale mais plaisante. Deux heures plus tard, Pierre en sait un peu plus sur sa correspondante et il prend plaisir au ton assez familier qui a été employé entre eux pendant ces deux heures. Malheureusement, le papillon, qui se prénomme en réalité Hélène signale son intention de quitter la discussion en raison de l'heure tardive. Un rendez vous est pris pour le lendemain à vingt heures sur le même site.
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Quelques clics pour du virtuel au réel - 2
Pierre se couche et il est surpris de constater qu'il a du mal à ne pas penser à cette Hélène qui vient de faire irruption dans sa vie. Il l'imagine d'après la description qu'elle a faite d'elle-même. Toutefois Pierre s'endort en se disant que la distance qui les sépare physiquement le met à l'abri d'une présence trop forte qui pourrait bien ne pas lui convenir maintenant qu'il a pris des habitudes de célibataires. Il finit par s'endormir avec une image de grande femme blonde dans la tête.

Son sommeil est agité et il rêve. Il rêve de cette femme à l'image virtuelle. Il la voit déambulant dans la rue. Elle est racée, elle a du style et il se dégage d'elle comme une force intérieur qui lui donne un charme indéfinissable.

Puis son rêve se transforme. Il rêve de Christelle. Christelle avec laquelle il se livre à un corps à corps furieux. Il ne sait pas où sont passé les préliminaires mais dans son rêve au moment où elle fait son apparition, elle est agenouillée sur le fauteuil de son salon et lui la prend en levrette avec force. Il sait qu'elle aime ça. Christelle tourne la tête, le regarde avec un regard lubrique et lui demande de prendre le mouvement à son compte.
"Baise moi fort" lui dit-elle.
Elle appuie alors sa tête contre le dossier du fauteuil et lui se rue en avant dans son sexe brûlant. Il lui met les deux mains sur les fesses, il les écarte au maximum et la pénètre de toute la longueur de sa verge.

- Tu aimes ça, n'est-ce pas ? dit Pierre.
- Oh oui c'est bon, bourre moi fort, lui répond-t-elle d'une voix qu'il ne reconnaît pas.

Il ralentit le rythme, un peu surpris. Elle se retourne alors et le visage qui lui apparaît est celui qu'il a prêté à Hélène dans son imaginaire. Elle le regarde et lui dit :
- Continue, c'est bon, je veux que tu me pénètres pendant des heures. Défonce moi, vas y n'hésite pas je suis ta chienne.

Cette façon de s'exprimer est trop en décalage avec l'image qu'il se fait depuis la soirée de cette Hélène que le charme semble rompu et il se réveille. Ce n'était qu'un rêve mais son érection elle, est bien réelle.

Ce rêve était si bon qu'il n'a qu'une envie c'est de le reprendre mais en supprimant la dernière phrase de cette Hélène. Serait-ce un rêve prémonitoire et cette Hélène voudrait-elle être traitée comme une chienne ?

Pierre trouve ça assez dérangeant mais ça ne provoque pas sa débandade. Il est maintenant 1 heure 30 du matin. Il a maintenant besoin de sexe et ne peut se résoudre à apaiser sa tension par une simple masturbation. Il se dit que ce qu'il a commencé en rêve avec Christelle il peut, peut être, le finir avec Christelle. Christelle est une couche tard. Elle travaille à son compte à domicile, sur ordinateur grâce à Internet.

Elle maîtrise à la perfection l'anglais et elle traduit des livres et des textes de toutes sortes. Elle passe la moitié de ses nuits à lire et ne se lève qu'assez tard en fin de matinée. Pierre se dit qu'il y a de grandes chances pour qu'elle soit en ce moment même plongée dans un roman quelconque.
Il attrape son téléphone et compose le numéro de Christelle. Elle répond à la première sonnerie.

Comme il l'avait deviné, elle ne dort pas et semble assez contente de l'entendre.
- Tu ne dors pas dit-elle ? Quelque chose qui ne va pas ?
- Je n'arrive pas à trouver le sommeil, répond-il et je me suis dit que j'avais besoin de discuter avec quelqu'un. Comme tu es la seule personne que je connaisse qui passe la moitié de ses nuits éveillée, je me suis dit que tu accepterai peut être quelques minutes de discussion.
- C'est bizarre dit-elle. Je pensais justement à toi.
- Tu pensais à moi ? tiens donc, comment se fait-ce ?
- Bien comme tu le dis ... comment se fait-ce. J'avais envie de faire l'amour et je pensais naturellement à toi. D'ailleurs quand le téléphone a sonné, j'avais deux doigts dans la chatte et de mon autre main, je me tripotais le bouton.

Tu ne voudrais pas venir à mon secours. J'ai besoin de faire passer la tension. La seule condition c'est que demain matin, tu fasses tout ton possible pour filer sans me réveiller. Le marché te convient ?

- J'arrive, dit Pierre, qui n'en espérait pas autant.

En deux temps, trois mouvements, il s'habille et jette dans un sac une chemise propre et sa trousse de toilette. Il ira directement à son bureau demain matin en quittant le domicile de Christelle après sa séance de baise qu'il imagine intense.

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Quelques clics pour du virtuel au réel - 3
Dix minutes plus tard, Pierre frappe à la porte de Christelle. Il voit une ombre passer derrière le judas et il sait que Christelle l'observe mais il ne bouge pas et ne dit rien. Voyant qu'elle n'ouvre pas de suite, il frappe à nouveau légèrement. Il entend le bruit de la clé dans la serrure mais la porte ne s'ouvre pas et l'ombre disparaît derrière le judas. Il attend encore quelques secondes, puis entre doucement dans l'appartement.
Christelle aime bien les mises en scène et il se demande ce qu'elle lui réserve. Il se dirige vers la porte de la chambre qui est entrouverte et d'où filtre un rayon de lumière. Il approche lentement et observe l'intérieur de la chambre avant d'y rentrer.
Christelle est nue, en travers du lit, couchée sur le ventre. Elle a placé un oreiller sous son ventre et ses fesses sont en hauteur. Elle a écarté largement les cuisses et Pierre peut voir son sillon totalement lisse.

Il pousse la porte doucement et commence à se déshabiller sans bruit. Il bande fort. Christelle, elle ne bouge pas et fait semblant de dormir. Il s'approche du lit et distingue parfaitement le petit œillet plissé de Christelle et sa chatte. Elle a tout le sillon qui brille d'humidité. Sachant qu'il arrivait, elle a du se masturber comme une folle et est donc déjà trempée.

Pierre approche. De la main gauche, il flatte les fesses de Christelle et sa main droite lui caresse doucement le dos. Elle adore les caresses et un frisson lui parcourt l'échine. Elle ne peut s'empêcher d'étendre le cou lorsque la main arrive entre ses omoplates. C'est un appel que Pierre connaît bien et il vient lui caresser le cou et les épaules. Elle frisonne légèrement mais garde les yeux fermer et continue de faire mine de dormir. Pierre se place entre ses cuisses et met une main de chaque côté de ses flancs. Il s'allonge au dessus d'elle de manière à ce qu'elle sente son sexe effleurer ses fesses, pendant qu'il lui dépose plein de petits baisers sur le dos. Puis il redescend sa bouche sur ses reins, il embrasse ensuite ses fesses, puis descend encore.

Il pointe sa langue du haut du sillon et descend lentement. Il fait tourner sa langue sur son petit trou quelques secondes, puis lèche le périnée avant de la pointer dure à l'entrée du vagin. Il constate que l'endroit est trempé, et chaud. Il recueille du bout de la langue le jus d'amour de sa partenaire. Il darde sa langue à l'intérieur. Puis il descend encore, écarte les petites lèvres du bout de la langue et cherche le petit bouton sensible. Pour l'y aider, Christelle lève un peu les fesses de l'oreiller et cambre ses reins. Il trouve enfin son bouton. Christelle a un petit clitoris qu'on voit à peine mais qui durcit dès qu'on le touche. Il dépasse à peine de son petit étui de peau mais Pierre sait combien il est sensible. Il le titille du bout de la langue par petites touches. L'absence de poil lui procure une agréable sensation car partout où se posent ses lèvres et sa langue, la peau est très douce.

Christelle commence à soupirer et gémir et elle bouge son bassin pour mieux mettre son clitoris à portée de langue. Elle a maintenant les fesses bien levées et son ventre touche à peine l'oreiller. Pierre s'écarte et frotte son sexe dans le sillon de Christelle. Il bouge à peine et c'est elle qui cherche à aller au devant de lui. Finalement, il se place à l'entrée trempée de son vagin et la pénètre à fond d'une seule poussée. Elle émet un râle qui traduit son contentement. Il s'immobilise au fond d'elle et il sent ses muscles internes qui lui malaxent la queue.

- Que c'est bon de t'avoir en moi. J'en avais tellement envie. Prend moi fort, j'ai envie que tu me pilonnes fort.
- Je vois que la place est parfaitement prête. Je voudrais avoir une queue plus grosse plus longue pour que tu te souviennes de mon passage en toi.
- Tais toi, ta queue est parfaite pour moi. Baise moi bien et longtemps, je suis en manque depuis quelques jours.

Pierre se met à aller et venir. Il s'allonge sur Christelle, se posant sur un bras ferme pour ne pas l'écraser. Sa main libre passe sous le ventre de son amante et il vient, du bout de l'index, triturer son clitoris.
- Fais doucement dit-elle, je ne veux pas jouir trop vite, je veux que l'excitation soit toujours à son maximum mais il faut arrêter avant l'explosion, la jouissance finale n'en sera que plus forte et bien meilleure.
- Fais moi confiance, mais n'hésite pas à me dire ce qu'il te faut dit-il.
- Baise moi bien, de la manière dont tu le veux mais n'oublie pas mon plaisir.
Pierre reprend ses va et vient. A chaque poussée, il a l'impression que la chatte de Christelle l'aspire au fond d'elle. La sensation est délicieuse. Sa main caresse toujours son petit bouton et sentant les muscles de son ventre se contracter, il décide de changer de position pour que l'orgasme de Christelle se fasse encore un peu attendre.

Sa chatte est visiblement en ébullition. Il se retire donc, la fait basculer sur le dos et lui présente son sexe qu'elle embouche sans délai. Christelle sait bien ce que Pierre aime. Il adore voir son sexe disparaître dans la bouche d'une femme. Christelle s'applique donc a en prendre le maximum en bouche. Puis elle recule un peu la tête et sa langue vient s'enrouler autour du gland. Elle sort la queue de sa bouche et entreprend de la lécher sur toute sa longueur. Elle insiste particulièrement au dessous et titille le dessous du gland, qui, chez Pierre est très sensible. Puis elle alterne ses caresses du bout de la langue avec un pompage en règle soutenu par un mouvement ferme de la main. Doublement branlé par la bouche et la main de Christelle, Pierre a l'impression que son sexe augmente de volume. C'est une sensation fort agréable.

Pierre de ses mains libres, malaxe les seins de Christelle. Ils ne sont pas très gros mais les tétons sont proéminents et ils pointent dur en avant. Pendant qu'elle le pompe, Christelle entretient son excitation en se caressant légèrement.
Après cinq bonnes minutes de fellation, Christelle lâche Pierre.
- Mon minou refroidit, tu veux bien le réchauffer ?
- Madame, vos désirs sont des ordres !

Pierre s'allonge tête bêche à côté de Christelle, il l'attrape à bras le corps, la soulève et la fait passer au-dessus de lui. Naturellement, elle écarte les jambes et sa chatte vient se poser sur la bouche de Pierre. Elle ré-embouche la grosse queue de Pierre et reprend une fellation sur un rythme lent qui maintient parfaitement l'excitation de son amant sans trop risquer le l'amener à son point de non retour. Elle est gourmande et veut que ça dure le plus longtemps possible.

Christelle a bien écarté les genoux et Pierre voit donc sous ses yeux son sexe glabre, mouillé et dont l'entrée est légèrement entrouverte. Il y glisse derechef, une langue tendue bien raide et la fait entrer et sortir comme un sexe. Il peut ainsi goûter au plaisir de Christelle. Son jus à un goût doucereux dont il raffole. Puis il gratifie son clitoris de quelques mouvements rapides du bout de sa langue tendue. Il sent ce petit bouton reprendre une mini érection. Il est bien dur, bien mouillé et tendu vers lui.
Sous ses yeux il a une paire de fesses sublime séparée par un sillon profond. Une petite goutte de sueur perle en haut du sillon. Pierre la regarde descendre.

Quand elle parvient à la petite porte de Christelle, il la recueille du bout de la langue et gratifie son petit œillet d'une belle feuille de rose. Cette caresse, Pierre n'hésite jamais à la prodiguer à Christelle car il sait que son hygiène est irréprochable et il a même senti l'odeur du gel douche sur son corps. Elle a visiblement pris une douche avant son arrivée. Christelle aime particulièrement cette caresse car elle constitue pour elle la caresse la plus intime qui soit et qui ne se fait qu'en totale confiance. Elle attend la suite avec délectation.

La suite qu'elle attend, Pierre la connaît. Il glisse un doigt dans la chatte trempée, le ressort et le présente à la petite porte. Il pousse légèrement. Christelle est tellement détendue et elle attend tellement ce doigt qu'elle s'ouvre et que Pierre l'enfile en entier dans ce passage si intime. Dès que tout le doigt est en elle Christelle sert ses muscles pour mieux l'emprisonner et le sentir. Pierre laisse son doigt en place et recommence à lécher le petit bouton de Christelle. Christelle relâche son étreinte et c'est l'autorisation pour lui de faire quelques aller et retour.

Puis il retire son doigt, le glisse à nouveau dans la chatte trempée avec un second doigt. Il les ressort, va lécher l'entrée de la petite porte et y dépose une bonne quantité de salive. Il reprend sa succion du clitoris en même temps qu'il présente ses deux doigts. Une poussée très légère suffit à les faire entrer sans difficulté. Christelle remue les fesses de contentement et ses gémissements sont étouffés par la queue de Pierre, toujours dans sa bouche.

Christelle bouge, lâche la queue de Pierre mais garde son sexe posé sur sa bouche. Pierre l'entend fouiller dans le tiroir de sa table de nuit. Elle lui glisse dans la main gauche, un tube de lubrifiant et dans la main droite un petit gode que Pierre lui a offert il y a un mois. Ce gode n'est pas très gros, en fait, il est un peu plus petit que le sexe de Pierre. Avec ces ustensiles en main, pas besoin de lui faire un dessin, Pierre a tout compris. Il ouvre le tube de lubrifiant et en applique une bonne noisette sur la rondelle de sa maîtresse. Il présente alors le gode à cette entrée. Vu la préparation subie auparavant et la présence de lubrifiant, il enfonce les quinze centimètres de l'engin sans difficulté.

Christelle se redresse en poussant un grand soupir. Pierre en profite pour passer une main en direction de sa poitrine et lui pince légèrement un téton turgescent. Christelle ouvre grand la bouche et respire profondément. Puis lentement elle se penche à nouveau et avant et reprend goulûment le sexe de Pierre en bouche. Elle aspire et lui caresse les bourses.

Cette séquence dure un moment. Pierre s'occupe la bouche avec la chatte et le bouton de Christelle pendant que sa main droite manœuvre le gode maintenant bien planté entre les fesses de Christelle. Sa main gauche n'a pas lâché le téton qu'il continue à caresser et pincer.

Christelle sentant la jouissance approcher, elle s'écarte de Pierre pour retarder le moment de l'extase. D'une main, elle maintient le gode en place et se met sur le dos. Elle remonte ses genoux sur sa poitrine et regarde Pierre droit dans les yeux.
- Prends la place que tu veux lui dit-elle.
- Je prendrai toutes les places que je voudrai lui rétorque-t-il.

Il s'approche, retire le gode qui était toujours en place et s'enfonce d'un coup dans le petit œillet de Christelle. Il la pénètre en force.

Pierre lui glisse le gode dans la chatte. De l'autre main, il titille son clitoris du gras du pouce. Christelle le regarde et se pince le bout des seins.

Pierre retire le gode. Christelle s'en empare et le suce avidement.

Pierre se retire et s'enfonce dans le vagin de Christelle. Après des allers et retours profond et en force, il se retire et alterne entre les deux orifices offerts.

La position de Christelle n'étant pas très confortable, elle demande un changement.
- Choisis ta position lui dit-il.
Christelle ne répond pas mais le pousse sur le dos. Elle l'enjambe, écarte bien les jambes et descend lentement vers le sexe de Pierre. Elle le regarde dans les yeux et frotte son sexe à l'entrée de sa chatte puis avec un sourire lubrique, elle glisse la queue en face de sa petite porte et se laisse tomber dessus, à fond. Pierre laisse échapper un soupir. Christelle contracte ses muscles et commence à monter et à descendre sur Pierre, lui glisse deux doigts dans la chatte, les ressort et caresse le clitoris de Christelle.

Au bout de quelques minutes, il sent des contractions du ventre de Christelle annonçant un orgasme imminent. Elle se relève un peu et glisse la queue dans sa chatte. Pierre ne lâche pas le clitoris qui est maintenant dur comme du bois. Christelle accélère les mouvements de son bassin. Ses mouvements sont de plus en plus rapides et désordonnés. Elle se contracte et jouit bruyamment en poussant des petits cris.

Pierre accélère alors le mouvement, il couche Christelle sur sa poitrine, l'embrasse, lui prend les fesses à deux mains et fait monter son bassin à un rythme de plus en plus élevé. La jouissance vient du fond de son ventre et il a la sensation de déverser une grande quantité de sperme au fond du ventre de Christelle.
Christelle se colle à lui dans un élan de tendresse et le sexe de Pierre diminue petit à petit de volume à l'intérieur du sexe de Christelle. Ils restent de longues minutes sans bouger.
- J'en avais vraiment envie, dit Christelle, et ça soulage mieux qu'une séance de masturbation.
- Totalement d'accord. Moi aussi j'en avais envie. Pierre se passe de dire ce qui a provoqué son envie, mais il ne peut s'empêcher de penser que sa correspondante Internet aurait pu faire la même chose que Christelle.

- A quoi tu penses ? lui demande-t-elle.
- A rien ou du moins à pas grand chose.

Tous deux se dirigent vers la salle de bains. Il est 3 heures 45 et Pierre risque de ne pas être très frais au bureau à 8 heures 30.
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Quelques clics pour du virtuel au réel - 4
La journée de bureau de Pierre est bien monotone. Il pense beaucoup à sa correspondante Internet. Cette Hélène est-elle une de ces femmes qui sont prêtes à rencontrer un homme après des échanges sur Internet ? Que recherche-t-elle ? Il faudra lui demander ce soir ! Peut être cherche-t-elle à se caser, si possible avec quelqu'un qui gagne bien sa vie, ce qui est son cas !

Pierre rentre chez lui à 19 heures. Il se met à l'aise en enfilant une gandoura ramenée de vacances au Maroc. Cette tenue légère lui va bien pour rester à la maison. Il se prépare un petit plateau repas composé de crudités et de fruits. Puis il se rend directement devant son ordinateur. Il n'est que 19 heures 30 et il se dit qu'il a encore 30 minutes avant son rendez vous. Il allume son ordinateur, consulte sa messagerie. Il a bien quelques messages, mais comme souvent ce sont des blagues des amis et collègues lui envoient. Il passe donc directement au site de rencontres. Là, à peine arrivé, il constate que Hélène est déjà en ligne. Il a à peine le temps de s'en rendre compte qu'elle l'invite déjà à tchatter.

Papillon : Bonsoir, plus que ponctuel cher Pierre !!
Aubin bouillonnant : Bonsoir, je viens d'arriver et j'ai mis mon ordinateur en marche mais je n'ai pas encore dîné. M'accordes-tu un petit quart d'heure pour le faire ?
Papillon : Bien entendu, fais donc, je t'attends !

Pierre a son plateau à portée de main mais il préfère ne pas se précipiter pour éviter de montrer à Hélène combien il était impatient de la retrouver. Il se dit d'ailleurs que ça n'est pas très rationnel d'être impatient à ce point alors qu'il n'a fait que discuter une paire d'heures avec cette femme qu'il ne connaît pas. Après la nuit qu'il a passé avec Christelle que diable cherche-t-il au fond ? Christelle est simple ! Elle partage du sexe avec lui et tous deux s'en contentent. C'est agréable et ça n'engage à rien d'autre. Christelle est donc la femme idéale qui correspond le mieux à ses besoins.

Un quart d'heure passe. Et sur l'écran clignote un message :
Papillon : coucou la pause est terminée ?
Aubin bouillonnant : Oui la pause est terminé répond-t-il même s'il n'a rien avalé de son dîner.
Papillon : Où en étions nous hier soir ?
Aubin bouillonnant : Franchement, je n'en sais plus rien.
Papillon : Avons-nous parlé de nos goûts communs ?
Aubin bouillonnant : Nous avons parlé cinéma, lecture et musique et il me semble que nous avions beaucoup de goûts communs.
Papillon : Mais dans la vie il y a bien d'autres choses que le ciné, la lecture et la musique non ?
Aubin bouillonnant : Oui effectivement il y a aussi les vacances; les voyages, les amis, la cuisine et les restos, ça nous fait encore pas mal de sujets à aborder.
Papillon : Effectivement mais il y en aura bien d'autres encore pour peu que nous arrivions à nous comprendre.
Aubin bouillonnant : !!

Pierre ne sait pas trop quoi penser du dernier message instantané et décide donc de ne pas demander plus d'explications.
Papillon : Ok, nous allons y aller doucement...... Premièrement as-tu une webcam ?
Aubin bouillonnant : Non je ne possède pas ce genre d'engin. Est-ce grave docteur ?
Papillon : Non ce n'est pas grave, mais ça nous aurait permis de nous voir et de faire un peu mieux connaissance.
Aubin bouillonnant : Je vais étudier la question et peut-être le père Noël passera-t-il avant l'heure pour m'apporter cet accessoire ?
Papillon : Je l'espère. Je n'ai pas voulu mettre de photo en ligne pour que le premier contact ne se fasse pas juste en raison de mon physique, mais je dispose d'une caméra et je peux d'ores et déjà te faire voir à quoi je ressemble.

Aubin bouillonnant : Non attends que j'ai une webcam, on fera ça de concert.
Papillon : Bon si tu n'as rien d'autre en tête parlons vacances, restos, amis, voyage.
Aubin bouillonnant : Ok, ça me va !
Trois heures à écrire et lire quelques banalités, mais tout de même ça participe à une meilleure connaissance de l'autre. Et puis l'avenir semble bien se présenter car Pierre a bien remarqué que Hélène écrivait parfois des phrases qui semblaient anodines mais qu'on aurait pu interpréter autrement. Ainsi en parlant de voyages, Hélène lui écrivait qu'elle aimait tous les voyages et pas seulement en avion. On peut planer en voyageant juste chez soi.
Volontairement Pierre n'a pas relevé mais il se dit que cette Hélène est peut être une coquine.

L'attente est parfois aussi excitante que le passage à l'acte alors, du calme !!
Les dernières phrases de Hélène laissent présager un lendemain plus intense au niveau des échanges. En effet, pour terminer la conversation, Hélène a envoyé des bisous mais a aussi précisé qu'elle espérait bien, dès le lendemain, aborder d'autres sujets plus intimes.

Une fois de plus Pierre se couche un peu perturbé. Parler de choses plus intimes ça peut recouvrir plein de sujets et des sujets embarrassants ! Sentant qu'il va avoir du mal à s'endormir, il prend une décision radicale : il avale un cachet de somnifère. Il finit par s'endormir comme une masse. Le somnifère lui donne le sommeil mais il n'empêche pas les rêves. Et il rêve, un rêve bizarre. Il est entouré de femmes avec un corps sublime. Il y a là, à portée de sa main des corps qu'il peut toucher, des sexes offerts mais pour une raison inconnue, il ne peut faire l'amour à ses femmes, il ne peut que les toucher.
Le réveil sonne, il se réveille en sursaut et constate qu'il bande dur. Il se dit que ça va passer mais un quart d'heure plus tard il doit se résigner : ça ne passe pas. Il prend une douche froide, rien n'y fait, il bande toujours fièrement. Il se résigne à faire passer cette érection par la meilleure méthode qu'il connaît, la masturbation.

Par confort, il s'installe sur son lit, et il commence à se caresser. Il ferme les yeux et l'image de l'inconnue s'impose à nouveau à lui.

Elle est toujours à genoux sur le fauteuil et s'écarte les fesses à deux mains lui donnant au choix son sexe ou son cul. Il s'imagine la pilonnant alternativement par chacun de ces orifices.

Il jouit rapidement.
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Quelques clics pour du virtuel au réel - 5
La journée est particulièrement difficile. Pierre pense sans arrêt à Hélène, aux femmes de ces rêves et il n'arrive pas à se concentrer sur son travail. De plus il se demande comment il va gérer la discussion du soir. Va-t-il oser se confier, rentrer dans des détails intimes puisque c'est la tournure que semble prendre la discussion ?

Il en est là de ses réflexions lorsque son portable sonne.
- Alors lâcheur, tu me baises et tu ne donnes plus de nouvelles ? comment vas-tu ?
- Bonjour Christelle, je vais bien et toi ?
- J'ai encore le feu au cul et plutôt que de chercher un mec qui pourrait se révéler totalement nul, je me suis dit que j'avais mon petit Pierre sous la main. Es-tu disponible ce soir ?

- Euh, à vrai dire je suis disponible sans l'être vraiment. D'ailleurs je devrais t'en parler plus sérieusement. Toi tu es capable de comprendre et pourquoi pas de me conseiller.
- De quoi s'agit-il ?
- Je t'expliquerai. On se retrouve chez moi à 18 heures 30 et tu sauras tout.
- Ok bises à toute à l'heure.

L'idée de mettre Christelle dans la confidence est sans doute la meilleure qu'il ait eue depuis longtemps. A 18 heures 30, Christelle l'attend devant son appartement. Elle porte une jupe courte et un petit top qui laisse largement deviner qu'elle n'a pas de soutien gorge car on voit nettement ses tétons qui pointent sous le tissu.

Ils entrent tous les deux et à peine la porte refermée, Christelle pousse Pierre contre le mur du couloir. Elle lui glisse sa langue chaude dans la bouche pour un baiser enflammé.

Sa main descend jusque sur le pantalon de Pierre et elle constate aussitôt que son baiser fait effet.
Pierre s'abandonne et ferme les yeux. Christelle défait la ceinture du pantalon puis la braguette, elle baisse le pantalon et le slip de Pierre et en extrait sa queue bien raide qu'elle embouche aussitôt. Pierre l'accompagne dans la fellation en lui posant les mains sur la tête.

Après quelques minutes, elle se relève et Pierre lui prend la main pour l'entraîner vers le salon. C'est sur le fauteuil qu'il veut la prendre pour retrouver une partie de son rêve. Mais pour commencer, il s'assied sur le fauteuil. Sans hésiter Christelle se place debout sur le fauteuil et pose un pied sur le dossier. Pierre constate aussitôt qu'elle ne porte rien sous sa jupe.

Il voit son sexe épilé à quelques centimètres de son visage. Sa chatte sent bon, elle sent le plaisir. Pierre colle sa bouche à ce beau fruit qui se présente à lui. Il écarte les lèvres du bout de la langue et va s'abreuver au puit d'amour qui dégouline déjà. Puis, du bout des lèvres il gobe le petit bouton qu'il sent durcir sous la succion. Il insiste et place ses mains sur les fesses de Christelle pour qu'elle ne puisse pas lui échapper. Quelques minutes de ce régime et il sent que l'orgasme de Christelle est proche. Elle plaque son sexe de plus en plus fort sur la bouche de Pierre. Pierre accentue les mouvements de sa langue et enfile deux doigts dans la chatte trempée qui s'ouvre sans mal. Le suc d'amour de Christelle coule sur ses doigts. Elle jouit bruyamment en donnant des coups de bassin en avant.

Pierre se relève et la place à genoux sur le fauteuil, il passe derrière elle et sans ménagement la prend en levrette. Il s'enfonce en elle sans difficulté tant elle est ouverte et lubrifiée. Il ferme les yeux et le visage imaginaire de Hélène remplace celui de Christelle. C'est fou se dit-il, je n'arrête pas d'y penser. Son excitation est à son comble et il embroche Christelle à grands coups de reins. Il sent venir la jouissance et se retire et il décharge dans la raie des fesses de sa partenaire, puis il se réinstalle dans sa chatte et du bout des doigts, il étale son sperme et en fait rentrer un peu dans le petit œillet.

Christelle se retourne et l'embrasse tendrement.

- Viens sous la douche dit-elle et tu vas me raconter ce qui a l'air de te tracasser.
- Ok, pour la douche et ensuite je te propose de commander une pizza et je te raconterai tout
La douche est l'occasion de poursuivre un peu le moment de sexe et les deux amants se savonnent mutuellement. Sous l'effet de ces caresses Pierre reprend de la vigueur mais il arrête Christelle qui semblait à nouveau avide de sexe.

Pierre commande une pizza et ils s'installent dans le canapé devant un apéritif.
- Voilà, dit Pierre, j'ai fait une rencontre qui n'en est pas encore une.
- Sois plus clair, je ne comprends pas.
- Il y a deux jours, tu sais la nuit où je suis venu te retrouver, j'ai passé une partie de ma soirée sur un site de rencontres sur Internet et j'ai communiqué avec une femme. Je ne sais pas à quoi elle ressemble mais le contact était bon et dans la nuit j'ai fait un rêve érotique où elle m'est apparue.

- Voilà pourquoi tu étais si excité ! Je comprends, mais tu sais ne culpabilise pas, les rêves sont aussi fait pour activer notre libido.
- Oui je sais et je ne culpabilise pas. Hier j'ai à nouveau discuté avec elle et j'ai senti qu'elle désirait un dialogue plus intime mais je m'y suis refusé, ignorant quelques allusions. Je me suis dit que ça allait un peu vite et je ne savais pas trop comment ça se passerait si, répondant à ce que je croyais être une invitation déguisée à aller plus loin, ça n'en était pas une.
- Oui je comprends. Mais tu n'aurais pas du hésiter. Que risques-tu ? En fait vous ne vous connaissez pas et pour l'instant c'est un peu un jeu. Alors tu devrais jouer, sans hésiter.
- Tu crois vraiment ?

Oui ça peut être marrant et excitant et ça n'engage à rien. Elle est du coin ?
- Non, elle habite à 120 km d'ici.
- Donc peut de risques pour qu'elle débarque et qu'elle te viole ? De plus tu n'as pas fait l'erreur de lui donner ton adresse.

Non bien entendu ! Ni adresse, ni téléphone. Elle m'a aussi proposé de nous voir par webcam.
- Là encore tu ne devrais pas hésiter. Comment se fait-il que toi, un homme moderne, tu n'ai pas encore de webcam ? Et pourquoi n'es-tu pas allé en acheter une aujourd'hui ? Il faut tout te dire. Quand dois tu la retrouver sur le net cette inconnue ?
- Je dois la retrouver en ligne vers 20 heures et j'irai dès demain acheter une caméra.
- Ok, je reste avec toi pour la discussion, je pense que tu a s besoin des conseils avisés d'une femme pur décrypter ce qu'elle veut vraiment ta chérie du net.

- Ce n'est pas ma chérie !
- D'accord mais vu la façon dont tu en parles, elle risque de le devenir. Tant mieux pour toi.

J'aimerai juste que tu ne m'oublies pas trop, mon gros cochon, tu me baises si bien, ça serait dommage que tu me prives de tes services.
- J'ai bien l'intention de continuer avec toi car toi aussi tu sais être une vraie cochonne assoiffée de sexe et tu es très douée dans ce domaine.

La conversation est interrompue par le livreur de pizza. Christelle et Pierre mangent rapidement en discutant de choses et d'autres mais sans revenir sur le sujet de la tchatteuse.

- Allez à l'ordinateur, dit tout à coup Christelle, il est bientôt l'heure.

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Quelques clics pour du virtuel au réel - 6
Pierre allume son PC et se connecte au site. Comme la veille Hélène est déjà en ligne et commence aussitôt le dialogue.

Papillon : Bonsoir tu es pile à l'heure ce soir, pas en avance ... pourtant j'attendais depuis presque une heure. Depuis deux jours la discussion avec toi est le but principal de ma journée.
- Elle commence fort dit Christelle. Si ça, ça n'est pas du "rentre dedans" je ne m'y connais plus !
- Effectivement. Comment je réponds ? dit Pierre.
- Fonce, rentre dans son jeu.

Aubin bouillonnant : Moi aussi, j'étais impatient de te retrouver en ligne mais j'ai eu un aléa de dernière minute qui m'a empêché de me connecter plus tôt.
- Salaud, dit Christelle, je suis un aléa moi ? Un aléa qui te donne du plaisir non ?

Aubin bouillonnant : en fait j'ai du rendre service à une amie qui avait un besoin urgent de moi pour soigner son animal de compagnie. Je ne suis pas vétérinaire mais je me débrouille avec certains petits animaux.
- C'est vrai il fallait soigner ma chatte ! et tu l'as bien fait ! s'exclame Christelle en se tordant de rire. Bien vu l'excuse. Et beau sous entendu.

Papillon : Moi aussi j'ai un petit animal de compagnie s'il en a besoin, je pourrai peut être faire appel à toi ?
Aubin bouillonnant : Quel genre d'animal est-ce donc ?
Papillon : Un petit félin d'appartement.

- Mais la cochonne elle te cherche là ! Creuse pour savoir si elle pense vraiment à ça ! dit Christelle.

Aubin bouillonnant : Je suis un peu gêné car ma pensée a dérapé.
Papillon : !! Ah bon ? Et dans quel sens le dérapage ? et à quel propos ?
Aubin bouillonnant : Je n'ose pas te le dire car nous ne nous connaissons pas vraiment.
Papillon : Mais si, vas-y. Je peux tout entendre, je ne suis pas une gamine !
Aubin bouillonnant : Le petit félin d'appartement me fait penser à un chat.
Papillon : Oui et alors ?
Aubin bouillonnant : Je me suis dit que ça pouvais être une femelle et dans la conversation ça aurait pu prendre un autre sens.

Papillon : c'est finement observé .....
Aubin bouillonnant : Ah ce point ?
Aubin bouillonnant : Et là dois-je rechercher un double sens ?
Papillon : A toi de voir ! Tout dépend de la façon dont tu veux discuter avec moi. Pour ce qui me concerne, je suis ouverte à tout.
Aubin bouillonnant : Dois-je aussi trouver un double sens à ta dernière phrase ?
Papillon : devine !

- Waou ! Ça devient chaud dit donc s'exclame Christelle. Continue !
Aubin bouillonnant : Si je ne me retenais pas j'interpréterai tout. Mais hier quand tu m'as dit qu'on pourrait parler de choses intimes, je pensais à des choses intimes mais sages. Alors ce soir ???
Papillon : Décoince toi ! A nos âges, est-ce qu'on a besoin d'être sages ?
- Cette fois ci c'est une vraie invite ! allez pousse le bouchon plus loin ! sois plus précis ! l'encourage Christelle.

Aubin bouillonnant : Ok, j'accepte de laisser ma sagesse au vestiaire, mais il ne faudra pas hésiter à m'arrêter si je dérape trop fort.
Papillon : Pas de souci, tu peux déraper, c'est peut être toi qui sera le plus étonné.
Aubin bouillonnant : ?? Est-ce une autorisation à faire dans l'érotisme ?
Papillon : L'érotisme c'est souvent trop mou. J'aime mieux les choses plus dures !
Aubin bouillonnant : là c'est clair. Alors on parle de choses très intimes.
Papillon : Oui et avec beaucoup de plaisir.

Aubin bouillonnant : Commence par te décrire physiquement. Je veux tous les détails.
Papillon : Enfin quelque chose d'intéressant !
Papillon : Tu connais déjà mon âge, ma taille. Je suis blonde, les cheveux assez long, j'ai des yeux bleus. Je porte des soutiens gorges de taille 90 C. Mes seins sont naturels, ronds avec de larges aréoles et des bouts qui pointent à la moindre sollicitation !

Aubin bouillonnant : !! Oups !! Continue !
Papillon : Tu veux tout savoir, alors voilà !! Je continue. J'ai le ventre plat, les cuisses assez longues et fuselées. J'ai des fesses bien rondes.

Papillon : Je me fais faire une épilation du maillot bien échancrée et je coupe très court mes poils pubiens. Tu veux plus de détails ?

Aubin bouillonnant : !! Ah bon , je peux avoir encore plus de détails ? Je trouvais ça déjà bien détaillé moi !
Papillon : Je peux encore décrire plus loin ! Tu veux ?
Aubin bouillonnant : Vas-y je suis preneur.
Papillon : Je trouve mon sexe assez beau, je le regarde souvent dans une glace. J'ai un clitoris saillant, à peine recouvert par son capuchon. Mes lèvres sont saillantes et un peu pendantes.

Aubin bouillonnant : Quelle description !
Papillon : A toi maintenant.
Aubin bouillonnant : Moi brun, 1,80 m pour 80 kg (un beau bébé quoi !), les yeux bleu-vert. Je suis assez carré à cause d'une pratique intensive du sport. Je suis assez poilu.
Papillon : J'attends le reste.
Aubin bouillonnant : Ah oui, le reste ! J'ai un sexe normal et voilà.

Christelle intervient : "Non tu as un sexe un peu plus gros que la moyenne. Crois en mon expérience, j'en ai essayé pas mal et toi tu es au dessus de la moyenne. Ne sois pas modeste.

Papillon : Normal ? C'est quoi la normalité ?
Aubin bouillonnant : Bon, d'après ma dernière maîtresse, j'aurai le sexe un peu plus gros que la moyenne.

Papillon : Alors maintenant est-ce que tu m'imagines mieux en attendant d'avoir des images ?
Aubin bouillonnant : Oui, je vois à peu près mais puisqu'on en est arrivé jusque là, après notre première discussion j'ai rêvé de toi et l'image que j'avais de toi est assez proche de ta description.
Papillon : Etait- ce un rêve érotique ou carrément hard ?
Aubin bouillonnant : Oui c'était très chaud, hard si tu préfères.

Papillon : Confidence pour confidence, le premier soir lorsque je me suis couchée, j'étais excitée sans savoir vraiment pourquoi puisque notre conversation avait été plus que gentille. Il a fallu que j'évacue cette tension et je me suis masturbée comme une folle. En revanche l'image que je me faisais de toi ne correspondait pas tout à fait.

Christelle qui suit la conversation avec beaucoup d'intérêt, glisse une main vers le sexe de Pierre. Il est dur et déforme son pantalon.

- Au point où vous en êtes, demande lui ses goûts en matière de sexe.
Aubin bouillonnant : Puis je te demander tes goûts ?
Papillon : pour le goût que j'ai, j'espère qu'un jour tu auras l'occasion de goûter. Pour ce qui est de mes goûts sexuels en général, ce n'est pas compliqué, j'aime tout avec certaines limites. Pas de violence, pas de scatologie, pas d'animal, juste ma petite chatte et ton gros serpent ! Et toi.

Aubin bouillonnant : Idem, j'aime tout à partir du moment ou chacun choisit et accepte librement une pratique quelconque.
Papillon : As-tu des fantasmes à assouvir ?
Aubin bouillonnant : Oui j'ai des fantasmes mais je crois qu'il faut en garder pour avoir toujours du rêve dans la tête.
Papillon : Moi aussi j'ai des fantasmes mais je cherche encore un partenaire compréhensif pour en assouvir certains.
Aubin bouillonnant : Tu penses que je pourrais être assez compréhensif ?
Papillon : Oui je te sens bien. Veux tu que je te dise, ce que j'aimerai bien faire en ce moment ?
Aubin bouillonnant : Dis moi !
Papillon : J'aimerai être à deux endroits. Devant mon ordinateur comme je suis en ce moment et me dédoubler pour être avec toi à te regarder devant ton ordinateur.
Aubin bouillonnant : Juste me regarder ?
Papillon : Non je pense que je vérifierai si la discussion te fait de l'effet.

Christelle qui ne loupe pas une miette du dialogue accentue sa pression sur le sexe de Pierre. Elle ouvre la braguette, fouille dans le pantalon de Pierre et sort sa queue bien raide.

- Demande lui de décrire en détail ce qu'elle ferait et je m'appliquerai à suivre ses indications dit Christelle.
Aubin bouillonnant : Intéressant tout ça ! Donne moi des détails et je te dirai au fur et à mesure ce que j'en pense. Après,je pourrai également te décrire ce que je te ferai si j'étais prêt de toi.
Papillon : D'accord. Je vérifierai donc que tu bandes et je prendrai ton sexe en main. Je suppose que tu n'es pas nu devant ton ordinateur. Donc, je te déshabillerai pour pouvoir admirer ton corps.
Christelle commence donc à déshabiller Pierre.
- Ferme les yeux et imagine que c'est elle qui est là.

- Merci, dit Pierre, tu es vraiment une perle.
- C'est vrai, mais tu sais que les perles ça s'enfile, donc je compte sur toi !

Papillon : Je passe mes mains sur ton visage, sur ta poitrine. Je glisse ma langue entre tes lèvres, j'ai envie d'un baiser de folie où nos langues se combattent, s'entrelacent, s'agacent mutuellement.

Papillon : Pour le reste je veux que tu te laisses faire, après tout je ne suis que virtuelle pour l'instant, donc tu ne me touches pas.
Aubin bouillonnant : Juste une indication je bande et mon sexe vise le plafond.

Papillon : Je n'en attendais pas moins de toi...
Papillon : je passe une main entre tes jambes et je viens te caresser les couilles. Elles me semblent bien pleines. Je les lèche et je les gobe tour à tour. Ma main astique ta queue. Je sens le sang battre dans ta grosse veine.
Aubin bouillonnant : c'est délicieux, continue.
Papillon : Je lâche ta queue et je te lèche le gland puis le frein. Tu aimes ça ?

Aubin bouillonnant : Oh oui ! oh oui !
Papillon : J'ai du être avaleuse de sabres dans une autre vie car je prends ton sexe en bouche et je l'enfonce jusqu'à ce que mon nez touche ton ventre. Ça me remplit la bouche et la gorge.

Aubin bouillonnant : Non tu peux vraiment faire ça ?
- Pas moi dit Christelle, sinon je vais renvoyer ma pizza ! Mais pour le reste, j'assure !
Papillon : Oui, je le fais, peut être pourras tu bientôt apprécier mes capacités en vrai ???
Aubin bouillonnant : Je ne demande pas mieux mais en attendant, continue, c'est trop bon.

Papillon : Je ressors ta grosse queue et je te suce en aspirant et ma main accompagne le mouvement. Pour une première fois j'ai envie de te faire jouir rapidement, histoire que tu ais envie d'aller plus loin. Si ce n'est pas fait, tu devrais te masturber, tu aurais un peu la sensation que je suis réellement là.
Aubin bouillonnant : Ne t'inquiète pas pour moi, depuis le début, j'ai fait le nécessaire pour avoir la sensation que tu es bien là.

Papillon : Je veux te faire jouir maintenant. Dis moi comment tu veux que ça se termine.
Aubin bouillonnant : Je veux éjaculer dans ta bouche, je veux que tu avales tout.

Papillon : Ça me va. Allez fermes les yeux on accélère jusqu'à ta jouissance.
Christelle accélère le rythme et s'apprête à recevoir une bonne giclée dans la bouche.

Pierre se laisse aller et il explose dans la bouche de Christelle, qui comme l'a écrit Hélène, déglutit rapidement.

Aubin bouillonnant : C'était délicieux, j'ai bien joui !
Papillon ! tu vois ça c'est un vrai dialogue intime.
Aubin bouillonnant : Effectivement mais je voudrais à mon tour te dire ce que je te ferai ....
Papillon : Vas-y vite, car je me masturbe depuis une heure et je retarde le moment de l'orgasme. Maintenant j'ai envie de jouir rapidement. Juste deux phrases et ça va venir.

Aubin bouillonnant : Tu m'a bien faire jouir avec ta bouche alors accepte la mienne. Je veux glisser ma langue dans ta petite grotte et boire à ta source. Et comme tu veux jouir rapidement, je prend ton clito entre mes lèvres et puisqu'il est proéminent, je fais comme si c'était un petit sexe d'homme, je le suce et le titille avec le bout de la langue.

Papillon : Ah que c'est bon ...... je jouis ....

Papillon : Je suis épuisée et je te propose que nous en restions là pour ce soir afin de rester sur un moment d'extase.
Aubin bouillonnant : Comme tu veux.
Papillon : A demain, même heure.
Aubin bouillonnant : A demain, même heure, je vais aller acheter une webcam et demain tu auras de l'image.
Papillon : Bisous tendres, bonne nuit.
Aubin bouillonnant : Bisous. Bonne nuit

Hélène se déconnecte aussitôt et Pierre s'apprête à rêvasser.
Christelle l'interpelle alors :
- Dis tu ne va pas être égoïste, moi je suis en manque !
- Voilà, je suis à toi !

Pierre prend Christelle dans ses bras et la porte jusqu'à son lit. Il l'allonge sur le dos et s'applique dans un cunnilingus d'enfer. Sa langue n'oublie aucun coin et recoin. De deux doigts il écarte les petites lèvres afin de dégager le petit bouton dans son écrin de chair. Il est prêt, tendu, un peu rouge. Christelle s'est sans doute masturbée pendant qu'elle le suçait mais il ne s'en est pas aperçu.
Christelle écarte grand les cuisses et remonte ses genoux ce qui a pour effet d'offrir plus encore son sexe. Une bonne succion sur le clitoris et Christelle atteint l'orgasme.

- Tu veux un compliment lui demande-t-elle ?
- Bien entendu, ça fait toujours plaisir.
- Tu es vraiment une bête de sexe.
- Merci
- Si tu finis par épingler ton papillon, j'aimerai bien avoir tous les détails et profiter des nouveautés qu'elle pourrait t'apprendre.
- Promis, tu sais bien que je ne te lâcherai pas.

Blottis dans les bras l'un de l'autre, ils s'endorment apaisés.
La nuit sera sans rêve pour Pierre. Christelle quant à elle, rêve de Pierre, comme souvent, mais une autre personne vient s'insinuer dans ses rêves.

Qu'a-t-elle donc cette Hélène pour arriver à me troubler moi aussi ? pense-t-elle

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Quelques clics du virtuel au réel - 7
En ce samedi matin, chose rare Pierre et Christelle partagent le petit déjeuner.
- Quel est le programme de ta journée demande-t-elle ?
- Je vais aller acheter une Webcam, faire quelques courses puisque mon frigo est vide et puis j'ai un peu de courrier en retard et quelques mails auxquels il faut que je réponde. Je vais sans doute profiter du beau temps pour aller piquer une tête dans la piscine. J'avais un peu prévu d'aller en boîte ce soir, mais je vais y renoncer pour retourner sur le net. Je veux voir sur mon écran cette femme que je ne fais qu'imaginer depuis trois jours.

Et toi tu fais quoi ?
- Quelques courses, moi aussi et je vais bosser un peu car j'ai pris du retard. Ce soir j'irai danser et un beau gosse me proposera peut-être de me raccompagner et plus si affinités. Mais je t'avoue que la séance d'hier soir m'a bien chauffé et que j'ai bien apprécié.

- Oui c'était super. Bon allez, assez bavardé, il faut qu'on bouge.
Une fois Christelle partie, Pierre sort et court vers sa première priorité du jour. Acheter une webcam. Il trouve assez facilement un modèle simple et pas cher dont on lui assure toutefois une bonne qualité d'image.
Il fait ses courses, grignote juste un fruit et des petits gâteaux en guise de déjeuner et fonce à la piscine. Il y a quelques belles filles au bord du bassin dont une qui lui fait les yeux doux.

Mais c'est plus fort que lui il n'arrive pas à chasser de son esprit cette Hélène qui paraît très débridée et qui est peut-être synonyme de délices à venir. Il l'imagine sublime ici en maillot de bain

Il rentre et installe la Webcam sur son ordinateur. L'installation est d'une simplicité enfantine. Visiblement l'usage est simple aussi. Son rendez vous n'est que dans deux heures, mais Pierre se connecte quand même. Hélène "papillon" n'est pas connectée alors il se promène sur le site au fil des pages et des profils de nombreuses femmes.

L'une d'entre elle lui propose une discussion qu'il accepte. De suite sa correspondante lui demande pourquoi il n'a pas joint une photo à son profil. La réponse est simple : Il n'a pas de bonne photo de lui au format numérique. C'est ce qui arrive souvent car le photographe se prend rarement lui-même en photo. Or Pierre adore faire des photos. Il est donc plus souvent derrière l'appareil que devant. Visiblement sa correspondante est assez attachée à l'image car elle lui demande s'il a une Webcam. Voilà l'occasion de l'essayer avant la discussion avec Hélène.

Il branche et envoie son image en même temps qu'il reçoit les images de sa correspondante, au pseudonyme de Plaisir Intense. Il s'agit d'une jeune femme assez jeune, blonde. Elle porte un chemisier blanc suffisamment ouvert pour qu'il puisse apprécier son nombril et une jupe courte qui laisse apparaître de belles jambes.

Une discussion s'engage entre les deux internautes. Plaisir Intense explique les raisons de sa présence sur le site de rencontre. Elle y vient tous les jours pour y assouvir ses fantasmes. Ainsi, après quelques échanges, elle propose de se dévoiler. Pierre accepte et Plaisir Intense commence un strip-tease. Elle commence par enlever le haut de sa tenue.

Pierre regarde un peu stupéfait cette fille qu'il ne connaît pas se déshabiller devant la caméra. Elle est mignonne.

Elle continue son strip-tease et se retrouve rapidement en culotte.

Elle se rapproche même de la webcam et montre un grand plan de ses fesses.

Elle retire rapidement sa culotte et se retrouve nue.

Pierre a une vue en gros plan sur son sexe. Il est totalement épilé.

Elle s'allonge sur le divan et écarte ses lèvres des deux mains. Elle commence à se masturber et semble prendre du plaisir.

Pierre regarde le spectacle de cette fille mais ne prend aucun plaisir. Car cela va trop vite pour lui. Il le fait remarquer à la jeune fille qui coupe la communication aussitôt pendant que Pierre pense à Hélène.

Pourvu que Hélène ne soit pas ce genre de fille devant la Webcam se dit Pierre, soudain inquiet de prendre le risque de découvrir Hélène sous un jour moins favorable.
Pierre quitte le site de rencontres et s'occupe des ses mails en retard. Puis il se fait un petit plateau repas et le voilà, à 19 heures 30 à nouveau sur le site. Hélène n'est pas là et il est un peu déçu. Il espérait qu'elle serait un peu en avance. Il attrape un magazine et le feuillette distraitement quand le signal sonore de son ordinateur lui indique qu'il a un nouveau message en ligne. C'est Hélène.

Papillon : Bonsoir, mon petit Pierre
Aubin bouillonnant : Bonsoir Hélène. Comment vas-tu ce soir ?
Papillon : Je vais bien. Es-tu remis de tes émotions d'hier soir ?
Aubin bouillonnant : Oui merci. C'était une première pour moi. Je ne suis pas un grand adepte d'Internet et cette partie de sexe alternatif et partagé m'a bien plu.
Papillon : As-tu acheté ta Webcam ?
Aubin bouillonnant : Oui, j'ai fait cette acquisition.
Papillon : Veux tu qu'on se voit ?
Aubin bouillonnant : Oui volontiers.
Papillon : C'est parti.
Aubin bouillonnant : Ok on y va

Les images apparaissent sur les écrans. Et chacun reste un moment à observer l'autre. Hélène ne ressemble pas à la Hélène de son rêve. Ses cheveux sont plus foncés, plus courts, ses yeux dégagent de la joie. Elle n'est pas maquillée, elle est nature. Elle sourit. Elle dégage une certaine sérénité un beaucoup d'aplomb. Immédiatement Pierre est conquis et ne peut lâcher l'image de ce visage des yeux.

De son côté Hélène découvre un homme qui lui semble assez fragile mais une grande force qui doit dominer. Il a un menton volontaire et un œil vif et déterminé. Elle aussi a du mal à se détacher de ce visage. Elle sait déjà que l'élan qui l'a portée depuis leur rencontre virtuelle sera plus qu'un élan passager. Elle n'est plus une midinette qui tombe amoureuse. Mais elle sent en elle une émotion forte qui l'étreint. Est-ce ça l'amour ? Elle ne sait pas. Elle ressent en tout cas une forte attirance.

L'écran reste vide de dialogue pendant de longues minutes. Chacun de son côté n'ose vraiment rompre ce silence. Ils se regardent avec un léger sourire en coin, visiblement aussi gênés l'un que l'autre.
C'est Pierre qui le premier, assez mécaniquement, tape :
Aubin bouillonnant : Je suis sans voix, sans doigt, à peine capable de taper sur mon clavier et franchement, je ne sais quoi dire.

Hélène interprète ces lignes comme un compliment. Elle écrit :
Papillon : Franchement tu as fais mieux que moi, je ne savais comment rompre le silence !
Aubin bouillonnant : Oui je comprends tu es tellement déçue que tu ne sais comment faire pour me claquer la porte au nez.
Cette dernière réplique s'accompagne d'un rire franc. Hélène le regarde rire de bon cœur et rit de conserve.
Papillon : Après toutes ces émotions, comment va-t-on faire pour trouver un sujet de conversation pas trop oiseux ?
Aubin bouillonnant : repartons sur un sujet neutre ça viendra assez vite. Au fait peux tu te lever, t'éloigner un peu de ta caméra que je te vois en pied car pour l'instant je n'ai que la femme tronc ! et encore je ne vois pas tout le tronc !!!
Papillon : Voilà, monsieur !

Aubin bouillonnant : J'ose ........... je suis sous le charme.

Papillon : ne parle pas trop vite tu ne connais pas mon caractère. A ton tour, lève toi que je te vois mieux.
Pierre se lève alors à son tour.
Papillon : ça me va pas mal non plus tu es ........... consommable !!! Beau ça ne veut rien dire, la beauté, c'est tellement subjectif.

Aubin bouillonnant : Certes, toutefois je suis certain que de nombreux hommes ont vanté ta beauté. Tu ne les as pas tous jetés j'espère !
Papillon : Non rassure toi, j'accepte volontiers les compliments, ça fait du bien à mon ego.
Aubin bouillonnant : Comme c'est parti, je pense que les occasions de te faire des compliments seront nombreuses

Papillon : il ne faut pas vendre la peau de l'ours ............. attends de mieux me connaître. Trop de compliments, ça sonnerait faux. As-tu une femme dans ta vie ?
Aubin bouillonnant : Oui et non ?
Papillon : Précise !
Aubin bouillonnant : C'est simple j'ai des relations sexuelles avec une amie. Ça résume bien ! Nous sommes amis et nous partageons de moments de sexe mais nous ne vivons pas ensemble et nous n'avons pas l'intention de le faire. Chacun de nous est totalement libre.

Papillon : Si ce mode de fonctionnement te convient ! Tu ne cherches pas à trouver une vie de couple.
Aubin bouillonnant : au risque de te décevoir, non. J'ai acquis une liberté que je ne suis pas prêt de sacrifier. Je ne veux pas non plus me lancer dans une vie à deux trop vite. Peut être que j'en aurais envie un jour mais pour l'instant je n'ai pas trouvé la bonne personne.
Papillon : c'est très sage tout ça. Pour moi c'est pareil. Ce qui m'intéresse pour le moment ce sont des rencontres épanouissantes, avec ou sans sexe, mais surtout sans engagement.
Aubin bouillonnant : en fait nous sommes très semblables.
Papillon : Oui et je l'avais déjà senti hier soir. Notre petite séance de sexe à distance était un bon présage. Tu as su profiter de ce que je te donnais et j'ai bien profité aussi de ce que tu m'as donné. Mais dans la vie, il y a autre chose que le sexe.

Aubin bouillonnant : Oui quoi ?
Papillon : Est-ce qu'en jouissant hier les yeux fermés, tu m'imaginais telle que je suis ?
Aubin bouillonnant : A vrai dire non pas tout à fait; je t'imaginais avec un visage plus, moins ... difficile de trouver les mots !!! Disons que je te voyais avec un visage moins expressif.
Papillon : Et pour le corps ?
Aubin bouillonnant : Pour savoir il aurait fallu que je te vois nue en réalité, ce qui n'est pas encore arrivé.

Papillon : tu veux voir de suite ?
Aubin bouillonnant : Je n'osais pas le demander. En outre, je ne sais pas si la webcam rendra une bonne impression.
Papillon : Essayons ! tu verras bien !! et moi comme je suis curieuse j'aimerai bien voir si ce que j'imaginais sucer hier est réellement si bien que dans mon imagination.

Aubin bouillonnant : Pas de soucis ! je te regarde et je te montre en même temps. Hélène s'écarte de la caméra et Pierre la voit vaguement se déshabiller.

Il ne s'agit pas d'un strip-tease, juste d'un déshabillage.

Toutefois Hélène se replace devant la caméra, juste vêtue d'une culotte courte.

Lorsqu'elle se tourne un peu Pierre aperçoit une partie de ses fesses.

C'est plus joli qu'un string. Cela cache l'essentiel mais ça en dévoile suffisamment pour faire travailler l'imagination.

A son tour, il se déshabille mais se tient hors du champ de la caméra, estimant qu'un homme qui se dévêt est bien moins beau qu'une femme. Puis il revient s'asseoir sur son fauteuil face à la caméra. Entre temps, Hélène s'est elle aussi réinstallée devant son ordinateur.

Papillon : Alors sans vêtements tu dis quoi ?
Aubin bouillonnant : Je te trouve très belle, très à mon goût. Tu as une plus belle poitrine que dans mes rêves. Et de ce que j'ai aperçu du reste quand tu te déshabillais, tu es plus grande et élancée que je le croyais. Pardonne moi si mes compliments sont un peu plats, c'est un exercice difficile pour moi. Je préfère faire sentir à une femme qu'elle est belle en m'occupant bien d'elle qu'en utilisant des mots somme toute assez banals.

Papillon : Merci tout de même pour ces compliments. Je ne désespère pas que tu puisses un jour t'occuper de moi et me complimenter en silence, juste en me faisant du bien.
Aubin bouillonnant : Je pense que ça viendra car j'ai très envie de te rencontrer maintenant
Papillon : fais moi voir l'objet de ma convoitise.
Pierre se lève face à la caméra et expose son sexe. Le dialogue l'a bien excité et il bande.

Papillon : Je ne suis pas déçue ! C'est tout à faire ce dont je rêvais ! C'est beau un homme qui bande, surtout quand il bande pour moi !

Papillon : Combien y a-t-il de kilomètres entre nous ?
Aubin bouillonnant : 120 environ.
Papillon : qu'est-ce qu'on a comme bled à mi-chemin ?
Aubin bouillonnant : Attends, je consulte la carte.
Aubin bouillonnant : Il y a une petite ville.
Papillon : oui je vois où c'est. Dis si on s'y retrouvait ? Il doit bien y avoir un hôtel dans ce trou ?
Aubin bouillonnant : Euh, s'y retrouver, pourquoi pas mais quand ?
Papillon : quelle question ! Mais maintenant ! Ça te pose un problème ? Il n'y a que 60 kilomètres chacun environ, soit une heure de route. Disons qu'au plus tard on pourrait se retrouver entre 22 heures et 22 heures 30. Ça te va ou c'est trop rapide pour toi ?
Aubin bouillonnant : Ça me va. Je regarde sur les pages jaunes s'il y a un hôtel, j'appelle pour m'assurer qu'ils ont une chambre libre et je te refais signe.

Pierre ne met que quelques minutes à trouver des numéros d'hôtel dans la petite ville. Il y en a trois. Le premier affiche complet mais le second a une chambre tout confort avec salle de bains. Pierre la réserve aussitôt et retourne sur le tchat, annoncer la nouvelle à sa belle Hélène.

Aubin bouillonnant : C'est bon j'ai trouvé. C'est l'hôtel du Nord. J'ai réservé. Donne moi ton numéro de portable et je te donne le mien pour qu'on puisse se prévenir en cas de problème.
Papillon : Je suis impatiente de te rencontrer.
Aubin bouillonnant : moi aussi. Je file de suite. Bisous
Papillon : prudence sur la route. A toute à l'heure. Bisous.

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Quelques clics du virtuel au réel - 8
Pierre n'en revient pas. Après quatre jours de discussion sur le net, voilà qu'il a déjà baisé par Internet, et qu'il a obtenu un rendez-vous et ce rendez-vous c'est maintenant. On n'arrête pas le progrès.
Il se douche, s'habille, jette quelques vêtements et sa brosse à dents dans un sac. Puis il saute dans sa voiture. Dans une heure il tiendra une belle blonde dans ses bras. Si elle vient réellement au rendez vous. Soudain il est pris d'un doute. Tout ça va si vite, n'est-ce pas un piège ? Et puis tant pis, il y va de bon cœur, après tout il ne risque rien.

De son côté, Hélène est toute excitée. C'est la première fois qu'elle va si loin avec un homme sur Internet, mais celui là lui plaît vraiment. Elle pense qu'il faut profiter de la vie et prendre ce qui passe à portée de main. Alors elle décide de prendre dès ce soir. Elle passe sous la douche, choisit de beaux sous vêtements, s'habille et prépare un petit sac de voyage. Le cœur léger, elle monte en voiture et file en direction de son rendez-vous.

Pierre trouve facilement l'hôtel. Il se présente à la réception et prend la clé de la chambre qu'il a réservée. Visiblement Hélène n'est pas encore arrivée. Il s'installe et redescend au bar. L'endroit est chaleureux, un éclairage doux et une petite musique d'ambiance donne au lieu un peu d'intimité. Des petites tables et des fauteuils confortables sont installés dans la pièce. Pierre s'installe dans un fauteuil dans un coin où il a une vue sur la réception de l'hôtel. A peine est-il assis qu'une femme pousse la porte d'entrée. Il l'observe et reconnaît Hélène. Il se précipite à sa rencontre.

Un employé de l'hôtel prend en charge le petit sac de voyage de Hélène et le monte dans la chambre.
Pierre et Hélène se dirigent vers le bar. Pierre commande aussitôt deux coupes de champagne. Une fois bien calés dans leur fauteuil, Pierre et Hélène commence par s'observer. Ils se sourient mais semblent tous deux avoir un peu de mal à prendre la parole en premier. En fin de compte, c'est Pierre qui engage la conversation.

- Le trajet s'est bien passé ? demande-t-il.
- Oui sans problème majeur, même si j'ai eu bien du mal à me concentrer sur la conduite, tellement j'avais de choses qui défilaient dans ma tête.
- Ah oui ? Impatiente ? Pour dire vrai moi aussi, j'ai beaucoup imaginé cette rencontre.
- Alors déçu ?
- Non du tout, la vision réelle vaut mieux que l'image de la webcam. De plus j'aime bien le timbre de ta voix un peu grave et tellement ..... sensuelle !

- Merci, dit-elle, si tu commences à me faire trop de compliments, je vais être un peu gênée et je vais rougir.
Pierre se demande comment une femme peut rougir devant un homme après s'être montrée quasiment nue par webcam interposée et après avoir eu un dialogue plus qu'érotique avec lui.
- Je ne fais de compliments que lorsqu'ils sont réellement mérités. Dit-il.

Il la détaille un peu. Elle porte une petite jupe noire, courte qui dévoile une bonne moitié de ses jambes. Elle est chaussée de petits escarpins dorés presque plats. Elle a revêtu un chemisier bleu et une petite veste noire. Elle est maquillée légèrement et Pierre se dit qu'une femme au naturel, c'est tout de même bien.

Hélène, elle aussi détaille Pierre. Il porte un pantalon en jean et une chemisette clair. Elle s'attendait à autre chose, craignant surtout de tomber sur quelqu'un de trop classique.
- Si nous allions finir notre champagne dans un lieu plus propice aux confidences, dit Hélène.
- Volontiers. Allons -y dit Pierre en se levant.

Ils traversent le hall côte à côte. En attaquant les premières marches de l'escalier menant aux chambres, Pierre sent la main de Hélène se glisser dans la sienne. Il la prend, se tourne vers elle. Elle sourit. Ils pénètrent dans la chambre. Pierre se retourne et à ce moment, Hélène le pousse dos à la porte, se colle à lui et pose ses lèvres sur sa bouche. Sa langue cherche la langue de Pierre. Le baiser est chaud long et langoureux.

Les mains de Pierre s'aventurent sur les formes de Hélène. Il remonte la jupe et cherche à lui caresser les fesses. Hélène se dégage.

- Doucement. Je veux que nous fassions connaissance doucement, que chacun de nous découvre l'autre. Nous avons le temps. Je veux que tu me déshabilles doucement et que tu fasses tous les commentaires qui te passeront par la tête. Je veux savoir quelles sont tes sensations. Je ferai la même chose en te déshabillant. J'aime les mots, tous les mots et tu dois me promettre de ne pas hésiter et dire les mots qui te viennent. Mets ta pensée en mot. Si tu penses "cul", tu dis "cul" et tu ne dis pas fesse !
- Promis, je te dirai tout, si les mots arrivent à sortir malgré mon émotion.
- Alors pour que tu ais le temps de te reprendre, c'est moi qui commence dit-elle.

Elle entraîne Pierre près du lit. Elle lui plaque des petits baisers dans le cou et commence à détacher les boutons de sa chemise. Au fur et à mesure qu'elle découvre la peau de son torse, elle le gratifie de petits baisers. Elle effleure ses tétons en passant et les embrasse tour à tour, faisant naître en Pierre des petits frissons.
- J'aime ton torse légèrement poilu, ça donne une impression de virilité. J'aime aussi lécher les seins des hommes, c'est une caresse peu habituelle mais je sais que certains aiment bien ? tu aimes toi ?
- Oui continu, souffle Pierre qui se laisse gagner par l'érotisme de la situation.
La chemisette est maintenant grande ouverte, les pans sont encore retenus dans le pantalon. Hélène s'attaque à la ceinture, puis défait la braguette. Elle fait glisser le pantalon le long des jambes de Pierre. Elle constate aussitôt que son slip a bien du mal à contenir son sexe en érection.

- Tes jambes sont musclées et ton ventre est dur. Je vois que je te fais de l'effet. J'aurais été triste qu'il en soit autrement.
Elle caresse le sexe de Pierre à travers le tissu du slip. Puis elle s'agenouille et baisse la ceinture du slip.
- Oh la belle grosse queue bien tendue, dit-elle, et elle dépose un baiser furtif sur le bout.

Elle prend la verge de Pierre en main, la décalotte bien et l'observe sous toutes les coutures. Elle fait quelques allers et retours de la main, puis ouvre sa bouche et englouti juste le gland. Elle fait tourner sa langue autour puis elle se recule comme pour apprécier le résultat de sa caresse.

- Tu as une belle queue, d'une taille qui me convient. Je sens qu'elle va me faire du bien de trente-six différentes, pour peu que tu ais un peu d'imagination.

A moi maintenant. Vite, tu es nu, je suis habillée, ça ne va pas ça !
Pierre ne dit rien. Il aide Hélène à se remettre debout. Une grande glace est fixée au mur de la chambre, près du lit. Il y conduit Hélène, la place face à la glace. Il se place derrière elle. Elle sent son sexe dur qui se frotte contre ses fesses. Pierre l'embrasse délicatement dans le cou et lui suce les lobes des oreilles. Puis il passe ses mains sous le chemiser. Il approche la bouche de son oreille et lui murmure.
- Je brûle d'envie de libérer tes seins et de la toucher pour voir s'ils sont aussi beaux en réel que sur Internet.

Hélène ne dit rien, elle le regarde dans la glace, puis tourne la tête et lui tend ses lèvres. Quand il approche sa bouche elle sort un petit bout de langue.

Pierre glisse alors une main dans le chemisier, englobe un sein, se son autre main, il soulève un peu le tissu et extrait un beau globe de son étui de tissu. Il palpe ce sein à pleine main, puis il pince légèrement le téton entre deux doigts. Il durcit instantanément et Hélène bascule sa tête en arrière, elle la repose sur l'épaule de Pierre. Elle ferme les yeux et elle entrouvre légèrement la bouche tout le temps qu'il lui triture le téton.
- J'aime les pointes de seins qui bandent, lui dit-il. C'est la preuve que la caresse est efficace. En plus je considère que c'est bien souvent le starter pour démarrer un bon moment.
- J'ai deux starters lui dit-elle, n'oublie pas le second et après tu verras si ça a vraiment aidé au démarrage.
Pierre se décolle un peu de Hélène et il soulève plus le chemisier. Il se recolle à elle fait et découvre les deux seins. Pointant fièrement vers l'avant. Ils sont en forme de poire et donnent envie de mordre dedans. Il les prend dans ses mains, les soulève et les malaxe, faisant passer ses doigts sur les bouts pour les exciter.
- Regarde tes seins comme ils sont beaux.
- Je les regarde souvent dans la glace, mais c'est vrai qu'ils sont beaucoup plus beaux quand ils sont dans les mains d'un homme.

Pierre lâche les seins et oblige Hélène à se retourner contre lui. Il sent les pointes de ses seins contre son torse. Hélène se laisse aller et lui tend ses lèvres qu'il prend avec gourmandise.

Il se sert de la glace pour guider ses mains vers la fermeture éclair de la jupe. Il descend le zip et la jupe tombe aux pieds de d'Hélène, dévoilant des fesses fermes et libres de tout tissu. Il y a juste la ficelle de sont string blanc qui sort de la raie des fesses. Dans la glace il admire cette partie charnue et constate que le galbe de ce postérieur est parfait. Il place chacune de ses mains sur les fesses et les caresse doucement, puis il les malaxe.