Agathe et les étudiants

Agathe et les étudiants (1) (publié par Chloe23 le 09-01-2015)
Agathe et les étudiants (2) (publié par Chloe23 le 10-03-2015)


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Agathe et les étudiants (1)


Agathe était une très jolie brune, qui venait de fêter ses 36 ans.

Elle habitait une superbe propriété avec piscine, dans le sud de la France, appartenant à un riche entrepreneur avec lequel elle s'était mariée l'année précédente.

Elle passait beaucoup de temps - et dépensait beaucoup d'argent - pour entretenir son corps : esthéticienne, séances fréquentes dans les salles de sport, natation... Et le résultat était au rendez-vous. On lui aurait donné dix ans de moins. Mince et discrètement musclée, elle arborait une plastique qui rendait les autres femmes jalouses, avec de longues jambes, des reins cambrés, et des seins ronds et fermes, aux pointes saillantes.

Nous étions début juillet, il faisait chaud, et Agathe rentrait d'une matinée de shopping. Elle portait une robe d'été bleue, très moulante.



Après avoir vidé le coffre de sa Mini, elle se dirigea vers la piscine.

Depuis le retour des beaux jours, Agathe avait pris l'habitude de faire du bronzage intégral au bord de sa piscine. Le solarium était plutôt abrité des regards - même si on pouvait la voir des fenêtres d'étage de deux autres villas. Il n'en était pas ainsi pour le bassin lui-même, et elle avait remarqué que des voisins la mataient lorsqu'elle nageait nue.

Mais son mari s'en amusait plutôt et, même si elle ne se l'avouait pas, elle éprouvait une certaine excitation à être le point de mire de voyeurs.

Elle prit un sac dans lequel elle avait sa serviette de bains et quelques affaires. En ressortant, elle vit qu'un des voisins était dans son jardin et, avec un geste sensuel, fit glisser le haut de sa robe.



Comme d'habitude, elle ne portait pas de soutien-gorge.

Elle s'étendit sur un transat, et enleva son slip, découvrant une chatte soigneusement épilée.



Elle plongea, et se laissa flotter sur le dos, les seins pointés vers le ciel. Comme à chaque fois, la fraîcheur de l'eau et la chaleur du soleil lui procuraient une sensation de plaisir indéfinissable, renforcée par le fait qu'elle se savait épiée.



Au bout de longues minutes, elle sortit de l'eau, et vint s'installer sur sa serviette. Elle prenait tout son temps, restant agenouillée plus que nécessaire, cambrée, dans une posture aguichante qui découvrait sa chatte et le sillon de ses fesses.



Cette situation faisait naître dans son ventre une excitation qu'elle connaissait maintenant depuis plusieurs semaines. Sa main glissa entre ses cuisses, et ses doigts s'insinuèrent dans sa fente, débusquant un clito déjà gonflé.



Elle s'assit, pour pouvoir se caresser plus confortablement. Ses doigts se mirent à astiquer fiévreusement son bouton, tandis que les premières gouttes de cyprine apparaissaient à l'entrée de sa grotte.



Agathe commença à gémir, lorsqu'elle planta un doigt, puis deux, dans sa chatte, allant et venant toujours plus vite. Elle se tordait sur le sol et, n'y tenant plus, elle sortit son majeur trempé de mouille, de son minou pour l'introduire dans son petit trou.



Cela ne faisait pas très longtemps qu'Agathe avait découvert les joies de la masturbation en plein air, au bord de sa piscine. La veille, poussée par un instinct plus fort que le souci de sa réputation, elle était entrée dans un sexshop. Elle y avait acheté un godemichet rose, aux proportions impressionnantes.

Dans l'état où elle était, c'était le moment de l'étrenner !

Elle le sortit de son sac, et considéra les dimensions de l'engin avec un peu d'inquiétude : elle craignait maintenant d'avoir présumé de son appétit sexuel...

Pour l'apprivoiser, elle commença par le faire coulisser entre ses seins et le sucer.



Puis, l'envie étant la plus forte, elle s'assit sur une banquette installée sur le solarium, et prit le gode à deux mains, et enclencha le programme de vibrations. Lentement, elle le passa sur son clito, puis le présenta aux portes de sa chatte.

Ses seins devinrent bientôt durs comme la pierre, leurs pointes dardèrent, et lorsqu'elle sentit un désir incontrôlable la submerger, elle enfonça le godemichet dans sa chatte en haletant de plaisir.



Il ne lui fallut pas longtemps pour atteindre un orgasme dévastateur.

Mais elle n'avait pas encore retiré le gode, toujours vibrant, de sa fente dégoulinante de sève, qu'elle entendit un coup de sonnette.

Elle se releva, rentra nue dans la villa, et regarda au portier vidéo qui était l'importun qui venait la déranger dans un tel moment.

A l'écran, Agathe découvrit deux jeunes hommes, plutôt séduisants. Elle fit fonctionner l'interphone.

-Que voulez-vous ?
-Nous sommes étudiants, et dans le cadre de notre stage de fin d'année, nous devons réaliser une étude sur les utilisatrices de piscine. Auriez-vous quelques instants à nous consacrer pour répondre à nos questions ?
-D'accord, je vous ouvre, répondit Agathe, après avoir hésité un court instant.

Elle se dépêcha de récupérer et de remettre sa robe, et ouvrit la porte de la villa aux deux étudiants.



Ils se présentèrent : Fabien et Léo. Fabien paraissait le plus jeune.



-Entrez, dit-elle, et il lui sembla reconnaître Fabien. Quel genre d'étude faites-vous ?
-Nous devons réaliser une enquête et un article, auprès des femmes propriétaires d'une piscine privée, sur l'utilisation de leur piscine et sur leurs habitudes. C'est destiné à la revue C...... Vous connaissez ?

Agathe connaissait bien ce mensuel féminin, qu'elle lisait assez souvent. La revue s'adressait aux femmes plutôt libérées, et n'hésitait pas à traiter de sujets « sexe ».

-Je suis originaire de la région, poursuivit Fabien - Agathe ne s'était donc pas trompée : elle le connaissait de vue - je savais que vous aviez une piscine, et que vous correspondiez au profil des lectrices de C.......
-Venez, nous allons nous installer sur la terrasse. Nous serons mieux... et vous serez au bord de la piscine, ajouta-t-elle en souriant.

Ils s'installèrent confortablement, posèrent un petit magnétophone sur la table, et commencèrent à interroger Agathe, en suivant une liste préparée à l'avance. Après une série de questions banales sur la taille de la piscine, la fréquence et la durée de ses séances de natation, l'entretien pris une tournure plus intime.

-Lorsque vous bronzez sur le solarium, vous arrive-t-il de pratiquer le topless ? demanda Léo.
-Je ne porte pratiquement jamais de soutien-gorge ici, répondit Agathe, amusée par l'air embarrassé de Fabien.
-Et le bronzage intégral ? poursuivit Léo.
-Le plus souvent ! J'ai horreur des marques de maillot.
-Une dernière question, un peu plus personnelle : avez-vous déjà fait l'amour dans votre piscine ?
-Mais c'est une question parfaitement inconvenante, s'exclama Agathe, en prenant l'expression d'une femme outragée.
-Léo n'y est pour rien, je vous assure. C'est sur les documents que nous devons compléter, se défendit Fabien, les joues en feu.
-Je plaisantais, avoua Agathe en éclatant de rire. Je ne suis pas prude, vous savez, et si vous voulez le savoir : oui, j'ai déjà fait l'amour, dans l'eau et sur le solarium, et j'ai trouvé ça très excitant.



-Merci pour votre gentillesse, conclut Léo, rassuré. Pouvons-nous encore vous solliciter pour quelques photos : nous en aurions besoin pour illustrer notre article.
-D'accord, répondit Agathe. Mais je suppose que je dois apparaître sur vos photos. Attendez-moi un instant, je vais passer un maillot.

Agathe rentra dans sa chambre, et choisit un bikini, sexy juste ce qu'il faut. Elle n'avait rien d'une cougar, et n'avait jamais cherché à séduire des hommes beaucoup plus jeunes. Mais ces étudiants étaient trop mignons, et le fait d'être seule avec ces deux-là lui donnait des idées pas très sages.

Elle revint sur la terrasse, et remarqua un sourire sur le visage de Fabien et Léo. Elle en comprit vite la cause : en allant leur ouvrir, elle avait oublié son godemichet sur la table.

Elle fit comme si de rien n'était, et elle prit une première pose, les pieds dans l'eau.



-Pour être en phase avec vos réponses et notre article, ce serait bien si vous posiez seins nus, proposa Léo.

Agathe, plutôt ravie par cette demande, ne fit aucune difficulté pour s'exécuter !

Elle commença par dénouer son soutien-gorge, dont elle avait fait glisser discrètement les bonnets. Elle regardait Léo droit dans les yeux.



-Comme ça, c'est bien ?

Et elle enleva complètement son soutif.



Agathe prenait maintenant l'initiative.

-Puisque vous allez écrire que je pratique le bronzage intégral, je suppose que vous aurez besoin de photos sans maillot ? demanda-t-elle, en baissant déjà son slip.



-Euh, oui,... c'est une bonne idée, bredouilla Léo.

Sans attendre de réponse, elle avait dégagé une de ses jambes, avec sensualité.



Léo la mitraillait littéralement avec son appareil photo, autant pour les photos elles-mêmes que pour ne pas laisser paraître son trouble.

Agathe, nue et ravie, prenait des poses sexy mais très naturelles.



Elle avait maintenant envie d'aller plus loin... beaucoup plus loin.

-Pour que votre article soit correctement illustré, il faudrait quelques photos ayant l'air d'être prises sur le vif. Fabien pourrait se mettre en bermuda, et me passer de la crème solaire. Qu'en pensez-vous ?

Fabien était écarlate, mais Léo trouva l'idée excellente, et ne lui laissa pas le choix. Quelques instants après, il était torse nu, et commençait à étaler la crème sur le corps nu d'une Agathe s'offrant sans pudeur à ce massage.



Agathe, les yeux mi-clos, la respiration courte, frémit sous les doigts de Fabien, qui s'enhardit petit à petit. Il en avait bien besoin, car elle était maintenant bien décidée à baiser avec ce jeune homme.

Elle posa sa main sur la bosse qui déformait le bermuda.

-Dis-donc, petit salaud, j'ai l'impression que tu es bien excité. Montre-nous ce bel engin !

Avant qu'il ne réponde, elle l'avait déjà mis à poil et, agenouillée devant lui, elle avait pris sa queue en main pour la branler.



Fabien, surpris, se laissa tomber sur le dos, et Agathe se rua littéralement sur lui pour le sucer.



Agathe était une experte en fellation. Avec une adresse diabolique, elle excitait avec sa langue et des lèvres le gland turgescent, tout en fixant l'objectif avec une expression perverse....




... avant d'engloutir la tige dressée.



Fabien était maintenant emporté dans un tourbillon de sensations. Agathe dévorait sa bite, et il glissa un doigt dans la fente, qu'il trouva inondée de cyprine.



Léo avait lâché son appareil et se caressait.

-Viens là, lui ordonna Agathe. Fous-toi à poil aussi, et viens bouffer mon minou !

Il ne se fit pas prier.



Elle s'offrait aux lèvres et à la langue de Léo, qui explorait son minou en lui arrachant des gémissements.

-Aaaah ! Oh oui, ouiiii, vas-y bouffe-moi la chatte...

Entre deux cris, elle s'occupait toujours de la queue de Fabien. Voir cette femme s'offrir à Léo et à lui en même temps l'excitait autant que de sentir son membre aspiré, sucé, titillé sans relâche par la bouche gourmande d'Agathe.

C'était trop pour lui. Il ne pouvait plus se contrôler, et émettait des grognements évocateurs, la tête renversée en arrière et les yeux mi-clos. Agathe sentit Fabien se contracter, sa verge secouée de tremblements avant-coureurs, et soudain, le sperme gicla dans sa gorge, épais, abondant.



Fabien jouissait interminablement, et Agathe avait l'impression de recevoir des flots de foutre. Elle en avait avalé beaucoup, mais il continuait d'en jaillir du gland qu'elle embrassait langoureusement.



Fabien s'écarta, mais Agathe n'avait pas encore joui, et son désir était exacerbé. Le besoin de se sentir pénétrée, pilonnée, transpercée, était à son paroxysme, et elle espérait que Léo serait plus endurant que son copain !

Il ne se fit pas prier. Elle était allongée sur le dos, cuisses écartées, découvrant sa fente trempée, et il y planta son membre dressé.



Agathe goûtait la rigidité de l'engin. Léo la baisait avec la fougue de la jeunesse, et elle sentit le plaisir venir par vagues, irradiant son corps à partir de son abricot qui se contractait spasmodiquement sur la tige qui la perforait.

Elle jouit bruyamment, sans que cet orgasme la rassasie totalement.



-Aaaah, c'est bon, je viens, continue... oui, je jouis, tu me fais bien jouir... Retiens-toi encore, je t'en prie ! J'ai encore envie de toi.
- Mais tu n'en as jamais assez ! s'écria Léo, surpris lui-même de se contrôler encore, malgré les assauts de cette femme en chaleur. On ne le dirait pas, mais tu es une vraie salope.
-Je m'en fous que tu me prennes pour une salope ! Pour l'instant, je veux ta bite dans mon minou, et que tu me fasses grimper aux murs, répondit Agathe d'une voix méconnaissable, en s'agenouillant.



Léo la pénétra de nouveau, s'introduisant du premier coup de reins jusqu'au fond de la grotte offerte. A chaque allée et venue de sa queue, des flots de mouille émettaient un clapotis sonore terriblement érotique.

Agathe se sentait totalement remplie, comblée, et elle s'empalait d'elle-même en se cambrant sur la bite qui paraissait infatigable.

Ce coït dura plusieurs minutes, en alternant ralentissements et accélérations folles. Agathe sentit enfin la jouissance monter de nouveau.



Mais l'orgasme qui la secoua fut suivi presque immédiatement d'un autre, encore plus violent.



Cette fois, Léo ne pouvait plus se contenir, et il lâcha à son tour de longs jets de foutre qui vinrent éclabousser le dos d'Agathe.

-Oh, c'est génial, éructa-t-il. Tiens, ma salope, voilà ce que tu voulais. Tu l'as bien pris, ton pied, ça t'a plu ?



-Mmmm, c'était superbe. Tu es vachement doué, si tu as une copine, elle a de la chance.

Ils se désunirent, et Agathe plongea dans la piscine, pour se débarrasser de la sueur qui perlait sur sa peau bronzée, autant que du sperme qui maculait son visage, sa chatte et son dos.



Dans l'eau, elle prenait des poses provocantes. Lorsque les deux garçons s'approchèrent, elle accentua les choses en prenant appui sur le bord de la piscine, pour se laisser flotter en savourant la chaleur du soleil sur son corps nu, et en leur offrant en spectacle sa fente et le sillon de ses fesses.



Julien rebandait déjà depuis un moment, et Léo commençait à... récupérer.

Agathe en profita. Elle sortit de l'eau, prit une bite dans chacune de ses mains, et se mit à les branler. Il ne fallut pas longtemps pour que les deux mecs affichent une érection respectable.

-Vous n'avez pas envie de remettre çà ? leur demanda-t-elle en les regardant dans les yeux avec une expression provocante.



-Tu ne penses vraiment qu'à çà, répondit Léo, désarmé mais ravi au fond de lui-même.
-Un peu... Et puis, il y a aussi Fabien : tout à l'heure, je ne lui ai pas laissé le temps de me baiser. Il en a peut-être envie, non ?
-Euh... oui, bien sur, murmura Fabien, heureux de cette deuxième chance.
-Par hasard, tu n'aurais pas envie qu'on te prenne tous les deux ensemble ? J'ai bien l'impression que c'est ce que tu cherches. Si c'est çà, je n'ai jamais rencontré une nana comme toi, s'enquit Léo, désarçonné par l'audace d'Agathe.
-Et bien, disons que je suis plutôt portée sur le sexe. Alors, quand deux mecs jeunes et beaux se présentent, je n'ai pas envie de choisir.

Et elle saisit les deux verges pour les sucer, alternativement.



Fabien et Léo avaient l'impression d'être sur un nuage, dans un univers érotique comme beaucoup en imaginent, sans pouvoir en faire une réalité. Agathe déployait tout son art, usant de sa langue, de ses lèvres, de ses dents, pour exacerber le désir des deux étudiants.

Quand elle estima qu'elle avait suffisamment provoqué leur désir, elle demanda à Fabien :

-Tu n'as pas eu le temps de me faire l'amour, tout à l'heure. Es-tu prêt à me remplir la chatte et à me faire jouir ?
-Avec plaisir, répondit-il, ayant retrouvé tous ses moyens, et bien décidé à profiter au maximum de cette occasion.

Agathe le fit allonger sur le dos, le chevaucha, et vint s'empaler sur son pieu tendu vers le ciel.



Le gland gonflé se fraya sans difficulté son chemin dans la fente d'Agathe, qui s'abandonnait maintenant sans aucune retenue à ses pulsions. Elle se tourna vers Léo, et lui lança :

-Mmmm, elle est bonne aussi, la queue de ton copain. Approche-toi, je veux aussi la tienne.

Léo s'approcha, hésitant : Agathe voulait-elle vraiment se faire sodomiser ? attendait-elle d'être prise en sandwich ? Elle se rendit compte de son trouble.

-Mais oui, idiot, je veux ta bite dans mon petit trou ! Lubrifie-moi bien, et vas-y !

Avec sa salive, il mouilla abondamment le sillon de ses fesses et sa rosette, et il présenta son gland entre les deux globes doux et bronzés.



-Oui, oui, je te veux, je te veux dans mon cul.... N'hésite pas, encule moi fort ! cria-t-elle, quand il eut entamé sa pénétration, enfonçant lentement sa longue tige.



Léo commença à aller et venir dans l'étroit orifice. Ses coups de reins faisaient coulisser la chatte d'Agathe sur le sexe de Fabien. Bientôt le trio coordonna ses mouvements, pour le plus grand plaisir d'Agathe.

-Aaaah, c'est bon, continuez comme ça !... Je vous sens bien tous les deux, allez-y... Ouiiii, défoncez-moi, encore plus fort !



Agathe eut un nouvel orgasme, mais son envie de baise ne disparaissait pas. Heureusement, ses deux partenaires se retenaient, et elle se dégagea, repoussant Léo.

-J'ai envie de la queue de Fabien dans mon cul. Ne bouge pas !

Fabien était toujours étendu sur le dos, et elle prit appui sur une échelle de la piscine, pour empaler son petit trou sur la verge de Fabien.



-Ouahhh, ce que c'est bon, gémit-elle.

Elle offrait à Léo le spectacle de son corps tétanisé par le plaisir, sa position découvrant sa chatte béante.

Elle n'eut pas besoin de solliciter Léo pour qu'il comprenne ce qu'elle attendait. Il vint planter sa queue dans la fente débordante de mouille.



Ils se déchaînèrent de nouveau. Agathe gémissait, criait, sans la moindre retenue, malgré la proximité des voisins.



Pendant de longues minutes, ce coït sauvage se poursuivit.

Agathe goûtait, les yeux fermés, les sensations indescriptibles que lui procuraient ces bites, qui remplissaient son sexe et son petit cul. En quelques instants, trois orgasmes successifs la foudroyèrent et, au dernier, Fabien et Léo balancèrent leurs longs jets de sperme, presque simultanément.



Le trio resta un court moment, épuisé, haletant. Les deux mâles se retirèrent enfin, et un filet de foutre s'écoula lentement du petit trou d'Agathe.



Elle était heureuse, comblée, et les deux étudiants étaient abasourdis par ce qu'ils venaient de vivre. Ils l'embrassaient, la caressaient maintenant, voluptueusement.



Puis Agathe reprit ses esprits, et elle retourna s'ébrouer longuement dans la piscine, avant d'exprimer sa reconnaissance à Fabien et Léo.

-Vous avez été vraiment à la hauteur, tous les deux. Vous m'avez offert une belle séance de sexe, dont je me rappellerai longtemps.



-Je crois qu'on va s'en rappeler aussi ! lui répondit Fabien. Je ne m'attendais pas à çà en venant ici.
-Alors, si vous aviez envie d'une autre partie très chaude, revenez me voir un jour, proposa Agathe... Mais vous pouvez me présenter aussi vos copains - ou vos copines - s'ils sont aussi doués pour la baise !
Fabien et Léo prirent congés d'Agathe, toujours nue, en espérant bien répondre à son invitation...


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Agathe et les étudiants (2)

Après ce mémorable après-midi qu'elle avait passé avec Fabien et Léo, Agathe avait finalement décidé d'en faire le récit à Sacha, son mari - en restant vague sur quelques moments... Elle savait que celui-ci, qui ne se cachait pas d'avoir quelques aventures avec de jolies filles, ne lui en tiendrait pas rigueur.

Effectivement, Sacha ne cacha pas qu'il était heureux de savoir que sa femme se lâchait.

-Tu as raison d'en profiter, quand une occasion comme ça se présente. Ce n'est pas moi qui te le reprocherais.

Mais Agathe ne se limita pas à ces confidences à son mari. Elle raconta aussi, mais cette fois sans omettre aucun détail, sa partie de jambes en l'air à Inès, sa meilleure amie, alors qu'elles bronzaient toutes les deux, nues, au bord de la piscine.



Inès ne cacha pas qu'elle aurait adoré répondre aux questions des deux étudiants... et participer à la suite.

-Tu es vraiment une grosse cochonne, mais j'aurais aimé être à ta place. Tu sais bien que je ne me suis jamais offerte à deux mecs en même temps. Préviens-moi, la prochaine fois, si une autre occasion se présente.

Elle n'eut pas à attendre bien longtemps ! Deux jours après, Agathe reçut un SMS de Fabien sur son portable : « On peut passer avec Léo te présenter les résultats de notre enquête ? »

Agathe répondit aussitôt : « OK. Je suis libre demain vers 15h »

Et dans la minute qui suivit, elle téléphonait à Inès.

-Tu m'as bien dit que tu étais partante, pour une rencontre torride avec de jeunes et beaux mecs. Tu étais sérieuse ?
-Bien sur, tu me connais !, confirma Inès. Mais si tu m'appelles, c'est que tu as une idée derrière la tête.
-Peut-être, minauda Agathe. Mes deux étudiants reviennent demain à 15h. Si le cœur t'en dit...
-Quelle question, je serai chez toi après le déjeuner, compte sur moi.

Et le soir, Agathe rapporta à Sacha l'échange de SMS avec Fabien, et son appel à Inès.

-Profitez-en bien toutes des deux, se contenta-t-il de répondre, sans manifester plus d'attention.

Le lendemain, Inès, toute excitée sonna dès le début d'après-midi à la porte de son amie.

-Tu es en avance, s'amusa Agathe.
-Je suis trop impatiente de les voir, tes Apollon, répondis Inès en riant nerveusement.
-Seulement les voir ?...

Inès ne répondit pas, et les deux amies se débarrassèrent de leurs vêtements, pour s'installer au bord de la piscine, afin de bronzer. Inès avait posé sa tête sur le ventre d'Agathe.



Pour tromper leur attente, elles allèrent se baigner. Inès nageait sur le ventre, et Agathe la souleva, pour faire émerger ses jolies fesses et son entrejambe.



-Si Fabien et Léo arrivent et découvrent ce point de vue, ils vont te sauter dessus, plaisanta Agathe.
-Et tu crois que ça me déplairait ??
-Ma parole, tu es aussi chamboulée que lorsque tu as rencontré ton premier mec !

Il était près de 15h. Elles étaient sorties de l'eau depuis quelques minutes lorsque la sonnerie retentit. Pour accueillir les deux garçons, Agathe enfila une minirobe en jean, dont elle prit soin de laisser ouverts les boutons du haut : il ne faisait aucun doute qu'elle ne portait rien dessous.



Elle les embrassa légèrement sur la bouche.

-Vous n'êtes pas en retard ! se moqua-t-elle. Vous aviez peut-être hâte de vous retrouver avec moi dans la piscine ?
-Nous... nous avons amené notre ordinateur, pour te montrer notre étude, répondit Fabien, qui se croyait obligé de se justifier.
-Venez avec moi sur la terrasse, j'ai une surprise pour vous.

En arrivant au bord de la piscine, les deux étudiants découvrirent Inès, qui avait remis un string, et faisait semblant de ressortir de l'eau sans les avoir remarqués.



Jouant la comédie de la femme pudique, Inès ressortit de l'eau, en se couvrant les seins avec ses mains.



Fabien, encore un peu timoré, craignit un instant que leurs projets de partie à trois au bord de la piscine ne soit compromis par la présence inattendue de cette jolie femme. Mais Léo se doutait que cette présence n'était pas fortuite et que, au contraire, ils auraient une autre nana en chaleur à satisfaire.

Agathe fit les présentations, et déboutonna entièrement sa robe.



-Et bien, montrez nous donc le dossier que vous avez réalisé après votre enquête.

Fabien essayait de garder son calme, et de présenter sérieusement son travail sur son ordinateur. Il égrenait quelques chiffres et quelques pourcentages, sur l'utilisation par les femmes de leurs piscines privées. Les différents écrans étaient illustrés par des photos, et lorsqu'il arriva à la question sur le bronzage intégral, une photo d'Agathe enlevant sensuellement son string apparut.



-Mais dis-donc Agathe, s'exclama Inès jouant la surprise, je n'aurais jamais cru que tu te faisais photographier à poil devant un homme que tu ne connais pas.

Pour détourner l'attention, Fabien s'empressa de changer de page sur son rapport, mais... ce fut cette fois une photo d'Agathe le suçant qui envahit l'écran.



Paniqué, il éteignit accidentellement son portable. Agathe éclata de rire.

-Ne crains rien ! Inès te joue la comédie. Je lui avais tout raconté de notre après-midi consacré à... votre soi-disant enquête. D'ailleurs, regardez-là !

Inès était descendue dans l'eau, et faisait maintenant glisser son string sur ses hanches, en fixant alternativement dans les yeux Léo et Fabien.

-Et moi ? Pensez-vous que je mériterais aussi quelques photos ?



Agathe, craignant de se faire « doubler » par son amie, acheva d'enlever sa robe.



Mais déjà Léo s'était approché d'Inès, qui le provoquait.

-Agathe m'a dit que tu lui avais fait très bien l'amour... Voir ces photos m'a donné des idées, susurra-t-elle en approchant ses lèvres du visage de Léo. Et toi ? est-ce que je pourrais te donner aussi des idées de sexe ?
-Mais oui, bien sur. Tu es terriblement excitante, nue sous le soleil. Tu es vraiment prête à tout ?
-A tout ce que tu voudras... murmura-t-elle en l'embrassant à pleine bouche, pendant qu'elle sentait ses mains descendre sur son ventre et se poser sur sa chatte.



Tout en continuant à l'embrasser, Inès avait ouvert la braguette de Léo, et en avait extrait une queue qui se dressait déjà. Elle la prit dans sa main, troublée par le contact de la tige palpitante au creux de sa main.



Elle caressa longuement, voluptueusement cette jeune bite inconnue, qui avait pris maintenant des proportions impressionnantes.

-Tu aimes mes caresses ? demanda Inès, bien que le souffle court de Léo vaille tous les commentaires.
-Oui... Continue, c'est bon.
-J'ai envie de te sucer.

Elle n'attendit pas sa réponse, et le prit doucement dans sa bouche.



Léo enleva son tee-shirt, et s'allongea, nu, sur la margelle de la piscine. Inès s'agenouilla à ses pieds, pour poursuivre avec entrain sa fellation.



Avec un art consommé, elle engloutissait la verge, jusqu'au fond de sa gorge, puis l'aspirait entre ses lèvres, ne la retirant de dans sa bouche que pour exciter le gland de petits coups de langue.



Excitée par ce spectacle, Agathe n'était pas restée inactive. Avec autorité, elle avait ordonné à Fabien de se déshabiller entièrement.



Puis, à son tour, elle avait entrepris de sucer la queue de Fabien, retrouvant sur sa langue et sur ses lèvres les saveurs et les sensations qu'elle avait découvertes quelques jours avant.



Fabien avait retenu la leçon de sa première rencontre avec Agathe, et se contrôlait maintenant parfaitement.

Agathe, les yeux fermés, en profitait pour goûter les sensations que lui procurait le contact d'une bite bien raide investissant sa bouche, coulissant entre ses joues, et elle manifestait son plaisir par de petits grognements.



Sans s'être consultés, les deux couples s'étaient installés côte à côté, et ils offraient un spectacle des plus érotiques.



La température grimpait de plus en plus, quand des bruits venant de la villa dérangèrent le quatuor. Une voix grave s'éleva derrière eux.

-Je vois que tout le monde s'amuse bien !

C'était Sacha qui, contrairement à toutes ses habitudes, était revenu à l'improviste. Agathe eut un mouvement de surprise, mais elle comprit très vite que son mari avait accordé plus d'attention qu'elle ne l'avait cru à ses confidences sur la visite de Fabien et de Léo, et sur la présence d'Inès. Il avait manifestement décidé de se joindre à la fête.

Craignant de se retrouver au cœur d'une scène de ménage, les deux étudiants débandèrent instantanément.

Inès, quant à elle, fut d'abord déstabilisée, puis se rappela ce qu'Agathe disait de son mari. Elle n'en était pas moins gênée de se retrouver en tenue d'Eve devant lui.

-Allons, ne tirez pas ces têtes-là, dit-il en riant aux deux garçons. Je ne fais pas partie des maris jaloux ! Et puis, installons-nous dans le salon, ce sera plus confortable, et je n'ai pas envie que les voisins appellent police secours si les femmes ont des orgasmes trop bruyants.

Il s'éclipsa un instant pour se débarrasser de son costume, et revint à poil.



Jusqu'à ce jour, Inès n'avait jamais vu Sacha nu, et elle ne put s'empêcher de remarquer qu'il était particulièrement gâté par la nature.

-D'après ce que je crois savoir, Inès est une novice en partouze. Comme pour toutes les premières fois, je pense qu'elle a droit à son bizutage !

Sacha avait ce ton directif du patron, et Inès n'osa pas répondre, malgré une certaine inquiétude.

-Pour son initiation, elle va avoir droit à trois hommes en même temps, ajouta-t-il.

Agathe se sentait un peu frustrée d'être reléguée au rôle de spectatrice, mais elle se consola en pensant que son tour viendrait.

Inès, quant à elle, appuyée contre un mur, jetait un regard langoureux vers les hommes auxquels elle allait s'offrir.



Dans cette position, on voyait clairement ses seins durcir sous l'effet de l'excitation. Elle était particulièrement belle, et Sacha commençait à bander.

Il s'agenouilla, prêt à passer à l'action.



Inès s'approcha, et posa délicatement ses lèvres sur le gland.



Mais presqu'aussitôt, Fabien et Léo s'approchèrent aussi. Pour la première fois, Inès avait à sa disposition trois superbes bites, bien raides, comme dans ses rêves érotiques les plus inavouables. Tout en continuant de sucer Sacha, elle branlait ses deux autres partenaires, les yeux brillants de désir.



Pendant de longues minutes, sa bouche allait de l'un à l'autre, léchant, mordillant, aspirant avec une adresse diabolique.

-Je vous en prie, baisez-moi, maintenant. J'ai trop envie de sentir vos queues dans ma petite chatte, supplia-t-elle, envahie par le besoin physique d'être pénétrée.

Instantanément, Sacha la souleva comme un fétu de paille, l'allongea sur une table, et son pieu dressé s'enfonça sans difficulté dans la fente trempée d'Inès. Celle-ci reprit aussitôt en main les deux autres verges, Fabien et Léo exigeant qu'elle continue de les sucer.



Tout s'emballa. Lorsque Sacha eut bien pistonné Inès, lui arrachant des cris de plaisir, les deux étudiants réclamèrent pour prendre leur tour. Ils échangèrent donc leurs places. Ce fut d'abord Léo...



... puis Fabien.



Inès fut tétanisée par un formidable orgasme, mais les trois hommes n'en avaient pas fini. Sacha décida de lui offrir une sodomie, et il lubrifia soigneusement sa rondelle serrée.



-Oh oui, allez-y ! J'ai envie d'une bite bien raide dans mon petit trou, murmura Inès d'une voix rauque, méconnaissable.

Ils la soulevèrent par les hanches, et elle vint s'empaler sur le dard dressé de Sacha. Le gland gonflé se fraya un chemin entre ses fesses, et força l'entrée de son petit cul. Une brève douleur fut vite remplacée par un nouveau plaisir, qui lui arracha des cris.



-Oh, bordel, comme c'est bon, criait Inès, tout en suçant et en branlant ses deux autres partenaires, qui avaient eux aussi envie de la défoncer.

Fabien et Léo se disputaient pour savoir qui enculerait maintenant Inès, et ce fut Sacha qui trouva la solution.

-Si Inès est d'accord, prenez-là en sandwich ! Je suis certain qu'elle va adorer.
-Oh, oui, allez-y, approuva Inès, qui avait perdu toute retenue.

Les deux étudiants ne se firent pas prier !

Sous les yeux d'Agathe et de Sacha, Inès vint chevaucher Léo, reins cambrés, et Fabien se plaça derrière elle. Il n'eut aucun mal pour investir l'anus préparé par les assauts de Sacha.



La jolie blonde découvrait ce plaisir nouveau, le va et vient au plus profond de son ventre, des deux queues, à peine séparées par une mince membrane. Elle feulait, pendant que montait en elle, comme un tsunami, un orgasme emportant ses derniers restes de pudeur.

-Oh oui, c'est trop bon ! Aaaah, je jouis, je jouis ! Ouiiii, j'ai jamais joui comme ça...

Déchaînés, les deux étudiants la retournèrent, et changèrent réciproquement d'orifice. Et Inès sentit de nouveau le plaisir la submerger....



Et Léo, le premier, éjacula longuement dans le cul en feu d'Inès.



Agathe et son mari, trop excités par le spectacle de ce coït sauvage, ne pouvaient pas rester bien longtemps en dehors du jeu.

Sacha installa Agathe sur le dos, et il fit s'agenouiller Inès au-dessus d'elle, sa fente à la hauteur du visage de sa femme. Dans cette position, celle-ci ne pouvait pas perdre une miette de ce qui allait arriver à son amie.

-Lèche lui le clito, ordonna Sacha.

Et pendant que la langue d'Agathe titillait le bouton durci d'Inès, Sacha planta lentement son pieu dans la fente trempée de cyprine.



Sacha se déchaîna, sa queue allant et venant tantôt doucement, tantôt avec furie, en arrachant des hurlements de plaisir à Inès, encore plus excitée en pensant à Agathe qui la voyait, en gros plan, se faire pistonner par son mari.



Agathe réclama à son tour :

-Inès chérie, je t'en prie, bouffe-moi la chatte pendant que mon homme te baise.

Et celle-ci ne se fit pas prier !



Sacha était inépuisable. Insensible à la fatigue d'Inès, il délaissa son minou, pour mieux investir son petit trou.



Au contact du gland s'insinuant entre ses fesses, elle retrouva quelque ardeur.

-Fais-moi tout ce que tu veux, je veux être ta chienne... Oui, encule-moi, j'en ai envie...

Et Agathe ne perdait toujours pas une miette du spectacle !

Et pas seulement du spectacle... Au bout de plusieurs minutes, après l'avoir fait encore jouir, Sacha lâcha de longs jets de sperme dans le petit cul d'Inès. Lorsqu'il se retira, le foutre coula lentement vers sa chatte, et Agathe le récupéra sur sa langue.



Fabien, qui se branlait en contemplant le spectacle, avait déjà craché sa semence sur le visage d'une Inès que le plaisir rendait méconnaissable.



Les trois hommes payaient les efforts qu'ils avaient fournis. Ils n'étaient pas encore en mesure de bander de nouveau et... Agathe, qui n'avait pas encore baisé un de ces mâles, était dans un état de manque indescriptible.

-Viens avec moi dans la piscine, demanda-t-elle à Inès. Aucun homme, quel que soit son état, ne résiste bien longtemps au spectacle de deux nanas en train de se caresser.

Les deux femmes se jetèrent à l'eau, et nagèrent quelques instants. Puis Agathe s'installa sur le bord de la piscine, reins bien cambrés, et Inès se mit à la caresser.



Elle se renversa en arrière, appuyée sur ses bras, et Inès commença à la lécher, et à introduire délicatement un doigt à l'entrée de sa fente.

-Mais tu es trempée, petite cochonne, commenta Inès. Tu as vraiment la chatte en feu.
-Oh oui, continue comme ça, prépare moi bien pour ces grosses queues.



Agathe tira son amie hors de l'eau, l'emmena sur une banquette, et l'embrassa, tout en continuant à se faire caresser. Elle poussait maintenant de petits cris.



-Oh, les mecs, qu'est-ce que vous attendez ? Je suis prête pour vous, j'ai envie de vos mains sur mon corps, de vos bites dans tous mes trous... Oh vite, j'en peux plus !

Sacha fit rentrer brutalement sa femme à l'intérieur, et l'obligea à s'agenouiller. Fabien et Léo avaient suivi le couple.

-Tu veux qu'on te baise, tu vas être servie ! Commence par sucer ces deux-là, dit-il d'un ton autoritaire.

Agathe ne se fit pas prier. Elle empoigna les deux membres qui avaient retrouvé toute leur vigueur, et se mit à les pomper goulument, alternativement.



Pendant ce temps, Sacha préparait son petit trou avec sa langue.

-Continue, ne t'arrête pas ! prends-les dans ta bouche, bien au fond, lui ordonna-t-il pendant que sa langue s'activait sur la rondelle bien serrée.



Agathe était dans un état second, excitée d'être ainsi offerte par son mari à d'autres hommes.

Puis, quand il estima qu'elle était prête, Sacha s'allongea, et fit venir Agathe sur lui.

-Et maintenant, on va te faire gueuler de plaisir, dit-il, en la guidant pour que son cul vienne s'empaler sur sa queue dressée. Et continue de sucer !



-Allez les gars, ne vous privez pas. Bourrez-lui la chatte à fond, elle ne demande que çà !

Et Fabien planta son gland dans l'abricot offert, pendant qu'Agathe suçait toujours Léo.



C'était maintenant un festival ! Fabien et Léo échangèrent leurs positions, pendant qu'Agathe explosait dans un orgasme dévastateur.



Puis Sacha fit encore changer Agathe de position. C'est maintenant à genoux qu'elle se faisait défoncer.



Elle était à la limite de perdre conscience, tant les accès de jouissance qui la parcouraient étaient violents.

Ce manège dura pendant plus d'une demi-heure, jusqu'à ce qu'Agathe, épuisée, demande grâce.



-Je vous en prie, arrêtez... Je n'ai jamais rien connu d'aussi bon, mais je crois que je vais m'évanouir.

Et, pour couronner la séance, les trois mâles l'entourèrent et leurs queues lâchèrent de longs jets de spermes sur son visage et sur son corps.



Inès vint embrasser le visage couvert de foutre de son amie, en lui murmurant :

-Merci pour ton invitation. Je crois que je n'oublierai jamais le moment que nous venons de vivre ensemble.



Et ils retournèrent tous les cinq vers la piscine, au bord de laquelle ils passèrent, nus, un long moment de détente, avant que Sacha retourne à son travail.