Une histoire à quatre mains

Une histoire à quatre mains (1) (publié par Chloe23 le 30-03-2015)
Une histoire à quatre mains (2) (publié par Chloe23 le 16-04-2015)
Une histoire à quatre mains (3) (publié par Chloe23 le 07-05-2015)


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Une histoire à quatre mains (1)


C'est une histoire un peu particulière : nous sommes une fille et un homme - Margaux et Nicolas - et nous avons décidé de vous raconter simultanément l'aventure que nous vivons ensemble.

Chacun décrit ses désirs, ses sensations, ses plaisirs - même, et surtout, les plus torrides. Le prénom, au début de chaque paragraphe, indique qui tient la plume, ou plutôt le clavier.

Et, bien sûr, nous avons choisi Lisastory pour ce récit...


MARGAUX

Je suis une fille tout juste majeure. Pour me présenter et m'éviter une longue description, j'ai choisi une photo qui me ressemble beaucoup :

D'après mes copines, je suis portée sur le sexe. C'est vrai que, depuis déjà quelques années, j'aime provoquer les garçons. J'ai fait l'amour avec plusieurs copains de mon âge, mais je dois avouer que, même si j'ai atteint l'orgasme, j'ai trouvé mes partenaires souvent maladroits, et j'aurais aimé plus de préliminaires, que les choses durent plus longtemps.
En fait, je prenais presque plus de plaisir en me caressant, seule le soir dans mon lit !

J'avais maintenant envie de tenter une expérience avec un beau mec plus âgé, expérimenté, et aimant lui aussi le sexe sans complexe.
En fait, ce portrait correspond à un homme célibataire de la région : Nicolas, ancien champion de tennis, qui pratiquait aussi le sport automobile, et qui avait une solide réputation de dragueur.


NICOLAS

Je ne ferai pas de commentaire sur le présentation que Margaux a faite de moi...
C'est vrai que j'adore séduire les filles et les longues séances de baise, mais je n'ai vraiment pas l'idée de me fixer avec l'une de ces conquêtes. Il faut avouer que l'aura auprès des femmes, dont bénéficient les sportifs dans les disciplines que je pratique, me facilite les choses, et j'en profite sans remords !
Je dois dire aussi que j'ai pris l'habitude de ne pas m'intéresser aux filles trop jeunes - même si elles sont majeures : elles sont souvent encore inhibées, et elles ont une tendance romantique à s'attacher. Je drague donc plutôt les femmes d'environ 25 ans, ou un peu plus âgées.

Elles se lâchent vraiment, sans tabous, et elles acceptent facilement de réaliser mes fantasmes, voire de m'accompagner dans des parties à plusieurs.


MARGAUX

J'avais croisé Nicolas dans des bars ou dans des boîtes, mais il ne faisait pas du tout attention à moi.
Heureusement, Pauline, la sœur aînée d'une de mes copines, était sortie avec lui pendant trois semaines - une éternité pour Nicolas ! Ma copine raconta à sa sœur mon histoire et l'indifférence de Nicolas, et lui demanda si elle était prête à me donner quelques conseils.
Elle accepta, et nous avons discuté un long moment toutes les deux.

-Ca sera vachement dur pour toi, m'annonça-t-elle sans détour. Ce qui lui plaît, ce sont les filles complètement libérées, aimant la baise dans toutes les positions, et même portées sur l'exhib ! Avec lui, je me suis retrouvée à poil en public, et il m'est aussi arrivé de me faire prendre en sandwich avec un de ses potes. Tu te vois faire çà ?

-A vrai dire, je ne sais pas ce que je ferais s'il me demandait des trucs dans ce genre-là. Mais toi, tu as aimé te trouver dans ces situations ?
-Sincèrement, oui, c'était génial, avoua Pauline. Je n'avais jamais connu de plaisir aussi intense.
-J'ai quand même envie de tenter l'aventure... A ton avis, qu'est-ce que je peux faire pour qu'il me remarque ?
-Il n'y a pas trente six solutions : il faut que tu t'habilles de façon provocante, et que tu lui montres que tu es une nana comme il les aime.
Pauline était restée en bons termes avec Nicolas. Elle me proposa de l'accompagner dans un bar qu'il fréquentait, et de me présenter. Ensuite, c'était à moi de jouer.


NICOLAS

Je me rappelle parfaitement cet après-midi où j'ai fait la connaissance de Margaux.
Je prenais un pot avec une certaine Charlotte - que je m'apprêtais à larguer - quand je vis Pauline entrer dans le bar, accompagnée d'une fille très jeune. Elle m'embrassa, et me présenta donc Margaux.
Je la trouvais très mignonne mais, vu son âge, je ne pensais pas à la séduire. J'allais changer assez vite d'avis...


MARGAUX

Mon cœur battait un peu la chamade !
Je portais une sorte de gilet, zippé sur le devant, sans soutien-gorge. Ca me permettait d'être décente dans la rue, même s'il était ouvert assez bas, mais de le rendre beaucoup plus sexy en faisant glisser discrètement la fermeture.
Ce que je fis en m'asseyant, pendant que Charlotte s'éclipsait.

Je voulais offrir à Nicolas une jolie vue sur mon décolleté, mais je ne m'étais pas rendu compte que, en fonction de mes mouvements, je me retrouvais avec ma poitrine largement découverte. En fait, j'en ai pris conscience quand, en me baissant pour ramasser un objet tombé de mon sac, j'ai aperçu la pointe dardée d'un de mes seins sortant du tissu.

En me redressant, mon regard croisa celui de Nicolas, amusé et qui trahissait une certaine envie de me sauter dessus. Les choses se présentaient bien !
Nous discutions joyeusement tous les trois, et les yeux de Nicolas fixaient assez régulièrement ma poitrine, pendant que je minaudais à mort avec une expression gourmande.
Je décidais de pousser mon avantage et de ne pas me dégonfler. En me redressant, je m'arrangeais pour ouvrir un peu plus mon gilet.

Le serveur, qui passait à ce moment là, me dévisagea avec une expression incrédule.


NICOLAS

Décidemment, cette fille me surprenait ! Elle avait l'air d'une gamine, mais j'avais rarement rencontré une nana de cet âge aussi délurée.
Son portable sonna et, pendant qu'elle répondait, je demandai à l'oreille de Pauline si elle savait ce qu'elle valait au lit, et si elle n'était pas du genre à se faire des idées.
-D'après ce que j'ai entendu dire par ma frangine, elle a vraiment le feu au cul, répondit Pauline à mi-voix.
Je décidai à ce moment-là que j'allais draguer Margaux, et je dois dire que cette perspective m'excitait de manière très particulière...


MARGAUX

Après avoir terminé ma courte conversation sur mon portable, j'ai remarqué un changement d'attitude chez Nicolas. Il semblait s'intéresser vraiment à moi, et je me dis que j'étais bien partie pour arriver à mes fins.
Il s'adressait maintenant à moi sur un ton enjôleur, me faisait des compliments avec des regards pleins de sous-entendus.


NICOLAS

Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que Margaux avait autant envie que moi de faire l'amour, et qu'elle pourrait peut-être partager mes fantasmes.
-Si tu es libre demain soir, je t'invite au restaurant. Je connais un endroit très sympa et très intime.
Ma proposition était très directe, et elle l'accepta sans hésiter.


MARGAUX

Après m'avoir invitée, Nicolas a été obligé de partir, car il avait un rendez-vous. Auparavant, nous nous sommes mis d'accord pour qu'il vienne me chercher à l'appartement de Pauline. Je ne voulais pas qu'il déboule chez mes parents !
Mais j'avais un souci : quoi porter pour cette soirée ? Ma penderie n'était pas garnie en vêtements chics et sexy.
Ce fut encore Pauline qui me dépanna, en me proposant de me prêter une de ses robes.
Le lendemain, j'arrivai donc chez elle une heure avant Nicolas, pour une séance d'essayage. J'optai finalement pour une rose, fendue haut sur le côté. Le tissu légèrement transparent trahissait l'absence de tout sans soutien-gorge, et laissait entrevoir un string minimaliste.

Mon cœur battit un peu plus fort, quand je vis, par la fenêtre, Nicolas descendre de sa Porsche.


NICOLAS

En arrivant chez Pauline (cet appartement me rappelait quelques moments très agréables...), j'ai découvert Margaux dans une robe particulièrement sexy. La soirée s'annonçait bien.
Nous sommes partis rapidement, et après une demi-heure de route, nous avons atteint une auberge de charme, nichée dans une pinède. J'étais un habitué, et le patron nous avait réservé une table tranquille.


MARGAUX

L'établissement était le lieu de rendez-vous de beaucoup de couples, plus ou moins légitimes. Autour des tables, la plupart des femmes étaient belles et sexy...

...et je ne me sentais plus du tout gênée par le décolleté de ma robe.
D'autant plus que le cocktail qui nous avait été servi en apéritif était délicieusement traître. Je ne tiens pas très bien l'alcool, et mes derniers tabous s'évanouissaient.


NICOLAS

Je voyais bien l'effet produit par le cocktail sur Margaux. J'avais un peu oublié son âge, et je fis ensuite attention à ne pas trop la faire boire, pour ne pas gâcher la soirée... et surtout la nuit, car j'avais bien sûr réservé une très belle chambre.
Pendant le repas, je ne pouvais pas m'empêcher de poser mon regard sur ses courbes et ses seins, à peine voilés par sa robe, et sur sa bouche, vraiment sensuelle. Souvent, j'observais les lèvres des filles, et je les imaginais en train de me sucer...



MARGAUX

Le repas s'est terminé. Je me sentais merveilleusement bien.
Nicolas était un charmant compagnon, raffiné, et il m'avait complètement conquise. Je n'offris aucune résistance lorsque, en se levant à la fin du dîner, il m'embrassa.

Je ne refusai pas non plus, lorsqu'il me glissa au creux de l'oreille :
-J'ai réservé une chambre. Tu ne crois pas que le moment est venu de faire plus ample connaissance ?
-Mais... Pauline m'avait fait comprendre que tu n'aimais pas les très jeunes filles, lui dis-je avec une expression faussement candide.
-C'est vrai, mais je crois que tu es un cas à part, et je voudrais le vérifier, me répondit-il avec un sourire qui aurait fait craquer la nana la plus sérieuse.
Il m'entraîna vers la réception, et retira la clé de la chambre.


NICOLAS

Arrivés dans la chambre, nous nous sommes enlacés, et nous avons échangé un long baiser voluptueux.
Margaux s'était collée contre moi, et je sentais son corps ferme épouser le mien. Ses seins étaient durs comme du bois, et je commençais à la caresser, à travers sa robe.


MARGAUX

Nicolas prenait tout son temps. C'était délicieux d'être dans les bras de cet homme, qui savait faire monter lentement mon désir.
Je sentais, contre mon ventre, sa queue qui gonflait. Je pris alors l'initiative : je détachai sa ceinture et j'ouvrai sa braguette. Ma main trouva bientôt son sexe, et je me mis à le caresser, très doucement.



NICOLAS

Je n'en revenais pas ! Je ne m'attendais pas du tout à son audace.
J'enlevai mon tee-shirt, et je la fis pivoter sur elle-même. Ses fesses vinrent s'emboîter sur ma bite. Lentement, mes mains descendirent sur ses seins, son ventre, ses cuisses, baissèrent son string, descendirent encore, jusqu'à l'ourlet de sa robe, que je retroussai....

... avant de la faire passer au-dessus de sa tête.

Elle était nue, intégralement, et je m'écartai un peu pour profiter de ce spectacle.


MARGAUX

Me retrouver à poil avec cet homme que je désirais était une première victoire. Je me sentais fière de mon corps offert sans défense, et je m'assis dans un fauteuil, complètement impudique, pour que Nico puisse me mater autant qu'il le voulait.

Cette situation me procurait une excitation nouvelle, différente de ce que j'avais ressenti jusqu'à présent. Les pointes de mes seins dardaient, je sentais un fourmillement et des picotements au bas de mon ventre, au creux de mes cuisses, et la cyprine envahir ma petite chatte.
A mon tour, je finis de déshabiller Nicolas...

... et je découvrais aussi son corps musclé.



NICOLAS

Je m'allongeai auprès de Margaux, et je la caressai tendrement, jouant avec les pointes de ses seins, l'embrassant dans le cou. Mes mains descendaient sur son ventre, sans toucher sa chatte, remontaient sur sa poitrine. Je sentais tout son corps frissonner, contre le mien.
Je lui demandais tout bas, au creux de son oreille :
-Tu aimes, mes mains sur toi ?
-Oh oui, murmura-t-elle d'une voix transformée. Est-ce que je te plais aussi vraiment ?
-Bien sur ! Vérifie par toi-même, la queue d'un homme ne sait pas mentir.



MARGAUX

Je sentais, au creux de ma main, la verge de Nico grossir, se raidir. Je le branlais à mon tour, doucement, avec toute la sensualité dont j'étais capable.
Je me redressai, pour mieux admirer le résultat de mes caresses.

Alors, n'y tenant plus, je m'agenouillai entre les jambes de Nico, découvris le gland gonflé, et je le léchai délicatement.



NICOLAS

Cette fille était vraiment très douée !
Elle me léchait, posait de petits baisers sur ma tige, me suçait avec un art consommé. Je savourais en connaisseur cette caresse buccale.
Je voulais aussi porter son excitation à son paroxysme.
Je la fis s'allonger, et à mon tour, je plongeais ma tête entre ses cuisses, largement ouvertes.

J'embrassais son petit abricot gonflé de désir. Un peu de sève pointait entre les lèvres de sa jolie fente, que je commençais à explorer avec ma langue. J'avais glissée une main sous ses reins cambrés, pour mieux accéder à son clito dressé.



MARGAUX

C'était la première fois qu'on me bouffait la chatte aussi bien. Je poussais de petits cris, et je commençais à me lâcher vraiment.
-Oui, Nico, continue comme çà... Oh, c'est bon !
Ses doigts se faisaient maintenant indiscrets.

Sa langue titillant mon petit bouton, ses doigts explorant mon minou... C'était délicieux. Je me mordais les lèvres pour ne pas jouir tout de suite.
Mais Nico avait une autre idée.


NICOLAS

Pour moi, les préliminaires n'étaient pas finis !
Je m'allongeai à mon tour, pour faire venir Margaux sur moi. Je la guidai pour qu'elle vienne me chevaucher, sa chatte à la hauteur de mon visage. Elle ne mit pas longtemps pour comprendre ce que je voulais : elle se pencha, et prit ma queue dans sa bouche.



MARGAUX

Je recommençai à sucer Nico, avec plus de fougue, tout en pensant au spectacle que je lui offrais : ma fente luisante de cyprine et de sa salive mêlées, à quelques centimètres de son visage...
Sa bouche se posa sur mon sexe en feu.

Je suçais, aspirais, mordillais son énorme bite, en attendant avec impatience de la sentir perforer mon ventre. Je n'avais plus maintenant qu'une hâte : me faire prendre par Nico, et jouir, jouir à en perdre haleine.
Sa langue se glissait maintenant à l'entrée de ma chatte, et une vague de plaisir me submergea.



NICOLAS

A la manière dont elle feulait, et dont ses cuisses se contractaient, je savais que Margaux avait atteint l'orgasme. Mais je continuais à jouer avec son clito, pour entretenir son désir.
Quand sa respiration redevint haletante, je la forçais à abandonner cette position de 69, qu'elle semblait apprécier tout particulièrement.
Elle s'allongea sur le dos, et je saisis ses chevilles, pour qu'elle écarte ses cuisses le plus possible.
-Tu as envie de ma queue, dans ta jolie petite chatte toute humide ? lui demandai-je.


MARGAUX

Je me sentais totalement soumise, offerte à ce dard qui allait s'enfoncer dans mon ventre, et qui - je le savais déjà - allait me faire prendre un pied d'enfer.
-Oui, maintenant... Quand tu veux, comme tu veux... J'ai envie de la sentir en moi, toute entière.
Je le regardais dans les yeux, avec une expression d'abandon, pendant qu'il me pénétrait lentement.

Ma chatte était trempée, et rien ne gênait la progression de son gland dans ma grotte, mais Nicolas se contentait de donner de tout petits coups de reins, et sa tige disparaissait doucement, centimètre par centimètre, en marquant de longues pauses. C'était un tourbillon de sensations dans mon minou, dans mon corps secoué de spasmes.

J'étais tétanisée, incapable de bouger, et je me contentais de contracter les muscles de mon bas ventre.


NICOLAS

Les contractions du sexe de Margaux autour de mon gland m'excitaient comme un fou. Cette fille était diabolique au lit, mais je faisais durer le plaisir.
Enfin, nos pubis se rejoignirent. Je commençai à me retirer un peu, pour l'exciter, mais Margaux saisit ma bite, pour mieux la replonger en elle.

Cette fois, je me lâchais à mon tour. Je me mis à la pistonner, de plus en plus vite.

Elle poussait maintenant de véritables cris, la main posée sur ses seins secoués par mes coups de boutoirs.


MARGAUX

J'avais perdu toute retenue, et tout contrôle de ce que je faisais. Nico me labourait le ventre et, au lieu de lui demander grâce, je souhaitais que ce coït violent dure le plus longtemps possible. Je sentais un nouvel orgasme monter, et je ne faisais rien pour y résister.

Mes cris montèrent dans l'aigu, pendant qu'un plaisir insensé m'emportait.
Mais Nico était infatigable. Il poursuivait ses assauts sans faiblir. Ca n'avait rien à voir avec les petites séances de baise que j'avais connues, et j'avais l'impression de faire vraiment l'amour pour la première fois.
Et je jouis, une troisième fois, avec les mêmes cris et la même intensité.



NICOLAS

Cette nana était une vraie bombe au lit !
Il me fallait beaucoup d'efforts pour me contrôler, et ne pas lâcher mon foutre maintenant, dans sa chatte étroite et si douce.
Avant cela, je voulais la prendre dans une autre position. Je me retirais, et je la fis s'agenouiller, reins bien cambrés. Le spectacle de son superbe cul était déjà un plaisir à lui tout seul.
Pendant un instant, je fis glisser mon gland entre son clito, et l'entrée de sa fente. Elle gémissait de nouveau.
-Oh, je t'en prie, prends-moi encore, c'est si bon, me demanda-t-elle à mi-voix.
Je ne me fis pas prier plus longtemps...



MARGAUX

Je poussai un petit cri de plaisir, lorsque je sentis la queue de Nico s'enfoncer lentement en moi. Je ne me lassais pas de cette sensation intense, au moment où il me pénétrait.
Il se mit à aller et venir de nouveau en moi, et je le sentais encore mieux dans cette position.

Cette fois, je me maîtrisais davantage, et je cherchais à retarder mon orgasme, pour qu'il éclate au moment où il giclerait dans mon minou.


NICOLAS

Margaux ondulait des hanches, exacerbant mon désir, et je me mis à lui bourrer la chatte à grands coups de reins.

Ses cris montaient de nouveau dans l'aigu, et je voulais la faire hurler avant d'éjaculer. Pour mieux la défoncer, je montai sur le lit.



MARGAUX

Nicolas avait changé de position, et sa bite perforait littéralement mon petit abricot.

Je me mordais les lèvres pour essayer de contenir la vague de plaisir qui montait en moi, mais c'était de plus en plus difficile. Je le regardais, d'un air implorant.
-Viens, maintenant. Je vais jouir, j'ai envie de sentir ton foutre m'inonder.



NICOLAS

Enfin, je me lâchais.
Je ressentis le plaisir de ce moment particulier, lorsque ma semence, libérée, monte dans ma tige, lorsque je la retiens encore une dernière seconde avant qu'elle jaillisse dans cet antre si accueillant.
Les cris de jouissance de Margaux couronnèrent cet instant.



MARGAUX

Je sentais la queue de Nico trembler en moi, au moment où il atteignait l'orgasme, en même temps que moi.
Quand il se retira, un dernier jet de foutre finit sa course au creux de mes reins.

Je m'écroulais sur le lit, épuisée, mais comblée.


NICOLAS

Je m'étendis aussi à côté de Margaux, à bout de souffle.
Avant, j'avais eu un regard pour sa superbe chatte qui venait de me donner un plaisir intense. Du sperme s'écoulait doucement, entre les lèvres.

A peine, quelques minutes après, la respiration lente et régulière de Margaux me fit comprendre qu'elle s'était endormie.


MARGAUX

Il ne m'avait pas fallu bien longtemps pour sombrer dans le sommeil, après une séance de baise aussi intense.

Mais au milieu de la nuit, je me suis réveillée. Pendant un instant, je me suis demandé si je n'avais pas rêvé toute cette soirée.
J'ai allumé ma lampe de chevet : non, Nico était bien couché à côté de moi. Il dormait profondément, et je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer ce corps de sportif, qui m'avait révélé mon vrai tempérament.

En faisant attention à ne pas le réveiller, je pris son sexe dans ma main. Je le sentais palpiter doucement dans ma paume, et j'ai commencé à le caresser imperceptiblement. La hampe durcissait petit à petit, s'allongeait, et je plaçai le gland entre mes seins.

Des ondes de désir me parcouraient de nouveau. C'était plus fort que moi. Je me penchai sur Nico, et je donnais de petits coups de langue sur l'extrémité de sa queue.

Il bandait maintenant de plus en plus, en continuant de dormir.
C'était trop tentant. Je pris le gland gonflé dans ma bouche, et je le suçai avec délice.



NICOLAS

J'étais en train d'émerger de mon sommeil, et je pris conscience des caresses que me prodiguaient des lèvres expertes. C'était un délicieux réveil. Décidemment, cette petite cochonne était insatiable !
Je décidai de faire semblant de dormir encore, pour voir ce qu'elle allait faire.


MARGAUX

Je m'étais installée entre les cuisses de Nicolas, reins cambrés, pour pouvoir le sucer selon mes envies, en profitant de son sommeil.

Je sentais de nouveau des frissons parcourir mon dos, des picotements aux creux de mes cuisses, la sève envahir ma chatte.
Je n'allais pas pouvoir tenir encore longtemps : il fallait qu'on me fasse l'amour. Tant pis si Nico se réveillait !
Doucement, voluptueusement, je vins chevaucher Nico. Je guidais son sexe entre les lèvres de ma chatte, et je m'empalais sur lui lentement.

C'était délicieux de pouvoir contrôler moi-même la progression de ce dard dans mon intimité, à l'insu de son propriétaire.
Lorsque mes fesses touchèrent le ventre de Nicolas, je sentis ses mains empoigner mes hanches.


NICOLAS

Je simulais le sommeil depuis un bon moment.
J'avais apprécié la délicieuse fellation que Margaux m'avait prodiguée, et la manière dont elle était venue me chevaucher, imaginant ce qu'elle ressentait. La vue que j'avais sur ses jolies fesses, lorsque j'ouvrais légèrement les yeux, était follement excitante.
Quand mes mains se posèrent sur ses hanches, elle me dit, sans se retourner :
-Tu ne dormais pas ?

-Est-ce que j'ai l'air d'un mec endormi ? lui répondis-je en la soulevant, et en la laissant retomber, empalée sur ma bite, et recommençant encore et encore.

Ce petit manège dura plusieurs minutes, mais j'avais un autre projet en tête.


MARGAUX

Sentir la queue de Nico s'enfoncer en moi à chaque fois que ses mains me laissaient retomber produisit bien vite son effet.
Une énième vague de plaisir allait m'emporter, quand Nico s'arrêta. Je me penchais en arrière pour l'embrasser, et l'encourager à continuer.

Mais il me réservait une nouvelle surprise !
-J'ai envie de te faire jouir, mais d'une autre manière, me murmura-t-il de sa voix grave à laquelle je ne pouvais rien refuser.
Il me fit relever à demi, toujours agenouillée, se dégagea, et je sentis bientôt ses mains écarter mes fesses, sa langue commencer à lécher ma chatte, puis remonter vers mon petit trou.

-Caresse ton petit bouton, m'ordonna-t-il d'une voix douce, alors que sa langue se faisait plus insistante.

Malgré mon inexpérience, je devinais ce qui m'attendait, et je paniquais.


NICOLAS

Je me rendais compte de la frayeur de Margaux. Il fallait la rassurer, et ne pas brusquer les choses.
-C'est ta première sodomie ? lui demandai-je d'une voix pleine de tendresse.
-Oui, confessa-t-elle, au bord des larmes.
-Je vais te prendre très doucement, et je suis certain que, lorsque tu auras découvert ce plaisir-là, tu demanderas de te faire encore enculer. D'abord, je vais te préparer doucement, et je ne te pénétrerais que lorsque tu me diras que tu es prête.
Elle s'allongea sur le ventre. J'avais toujours du lubrifiant avec moi, et j'enduisis sa rosette. Elle se détendait peu à peu sous mes caresses, et bientôt je pus introduire un doigt, puis un autre, dans son petit trou.

Le souffle de Margaux devenait plus rapide, et je l'entendis pousser de longs soupirs.


MARGAUX

Sous les caresses de Nico, ma peur s'estompait, remplacée par un mélange de désir et de curiosité. Après tout, d'autres filles le faisaient, et j'avais maintenant envie de vivre cette expérience.
-Je crois que je suis prête, dis-je d'une voix faible et mal assurée.
Je soulevais mes reins, et Nicolas se plaça au-dessus de moi. Je sentis soudain son gland s'insinuer entre les globes de mes fesses, et forcer doucement l'entrée de mon petit cul.

C'était un peu douloureux, mais j'avais craint bien pire. Pour me pénétrer plus facilement, il me demanda de me mettre à genoux et de me cambrer au maximum. Instinctivement, ma main se posa sur mon clito et le caressa, réveillant un peu plus mon désir.
Je poussai un petit cri, lorsque le gland se fraya enfin son passage.



NICOLAS

J'attendis que Margaux se détende, me contentant d'imperceptibles mouvements de ma queue, sans la pénétrer davantage.
-Tu veux que je t'encule vraiment, maintenant ? lui demandai-je.
-Oh oui ! Vas-y.
Sa voix était maintenant assurée, et je m'enfonçais doucement en elle.

Lorsque ses gémissements reprirent, je me mis à aller et venir, encore lentement. Jusqu'à ce que ce soit elle qui réclame.
-Oh, c'est bon. Tu peux me prendre bien au fond maintenant. Vas-y, défonce-moi !



MARGAUX

Comme c'était bon, finalement, d'être enculée !
Nicolas pénétrait maintenant mon petit cul à grands coups de reins, et je découvrais ce plaisir de le sentir coulisser dans ma rondelle si serrée.
Je poussais maintenant de vrais cris de plaisir.

Un orgasme me tétanisa, et j'extériorisais mon plaisir.
-Oh oui, je jouis, comme c'est bon !... Continue, défonce-moi encore plus.
Nous sommes tombés du lit, sans nous désunir, et nous avons poursuivi cette séance de sodomie sur la moquette.

Et j'ai joui, encore plus fort, en hurlant.


NICOLAS

Margaux était déchaînée. Heureusement, l'hôtel était bien insonorisé !

Cette fille était démoniaque. Cette fois, je ne pouvais pas résister plus longtemps. Je giclai au fond de son joli cul.

Et nous nous sommes effondrés tous les deux sur le sol, hors d'haleine.


MARGAUX

Nous sommes remontés ensemble sur le lit, et nous nous sommes rendormis tous les deux. J'étais blottie dans les bras solides de Nico, comblée au-delà de mes espérances.
Il était plus de 10 heures du matin quand je me suis réveillée, presque en même temps que Nicolas. Il me regarda avec beaucoup de tendresse, et me fit remarquer avec un sourire amusé que de profonds cernes creusaient mon regard.
-Que dirais-tu d'une bonne douche, tous les deux ensemble, avant qu'on nous monte notre petit-déjeuner ? me proposa-t-il.
J'étais partante, surtout pour la douche à deux...


NICOLAS

Je ne pouvais pas m'empêcher d'admirer la démarche et la silhouette de Margaux, quand elle se dirigea vers la salle de bains. Nue, de dos, ses jolies jambes et sa chute de reins étaient particulièrement excitantes.

Avant de la rejoindre, je décrochai le téléphone.
-Allo, vous pourriez monter deux petits-déjeuners dans la chambre 17 ?
-Oui, bien sûr, répondit la réceptionniste.
-C'est Alex qui assure le service ?
-Oui.
-Vous pouvez lui dire de monter d'ici une dizaine de minutes.
Je réservais une surprise à Margaux. J'avais un lien de complicité avec Alex, et nous avions mis au point un petit scénario, que j'avais déjà testé avec d'autres filles.
Je rejoignis Margaux dans la salle de bains, en laissant ouverte la large porte coulissante.


MARGAUX

Je commençai par faire le tour de la salle de bains, superbement décorée et équipée.

Après cette folle nuit, j'avais envie d'une bonne douche. Lorsque Nico rentra dans la pièce, je faisais couler l'eau sur mon corps, goûtant le contact de l'eau chaude sur ma peau.

Je passais mes mains sur mes seins et sur mon ventre, mais ce geste réveillait en moi le souvenir si proche d'autres mains sur mon corps.
Le désir renaissait, et je jetais des coups d'œil aguicheurs vers Nicolas.



NICOLAS

Je devinais ce dont Margaux avait envie. Je ne me fis pas prier, et je la rejoignis sous la douche.
J'étais de plus en plus surpris : après cette nuit de baise, cette fille, si jeune, que je croyais au départ si naïve, avait l'air d'être à nouveau prête à tout ! Je lui murmurai à l'oreille, pour l'exciter davantage :
-Je crois que quelques caresses de tes mains si douces ne seraient pas pour me déplaire...
Elle se blottit contre moi, et je sentis ses doigts se refermer sur ma queue.

Je fis couler de nouveau l'eau sur nous.
Pendant qu'elle me branlait, de plus en plus fort, je glissai une main entre ses cuisses, pour débusquer son petit bouton, déjà durci.



MARGAUX

Je frissonnai lorsque Nico effleura mon clito.
Je le laissais me masser la fente pendant un moment, mais je savais ce qu'il désirait : je m'agenouillai, pour prendre sa bite dressée dans ma bouche.

Je ne me lassais pas de sucer Nico. Je me mis à le pomper furieusement, pendant que l'eau continuait de ruisseler sur nous.

Son gland venait maintenant buter au fond de ma gorge, quand un bruit me fit sursauter.

Dans l'embrasure de la porte ouverte de la salle de bains, un homme se masturbait en me regardant. Il était vêtu de blanc, mais sa chemise était entièrement déboutonnée, et son pantalon ouvert.

J'eus un moment de frayeur et, par réflexe, je me relevai et tentai de cacher ma nudité.



NICOLAS

Je saluai Alex, et je le présentai à Margaux.
-C'est le serveur qui nous apporte notre petit-déjeuner. Je le connais bien : il adore mater les jolies filles, surtout lorsqu'elles font l'amour. Rassure-toi, il est très sympa, et tu ne risques rien.
-Tu veux qu'il me regarde, complètement nue ? Que je jouisse devant lui ? s'inquiéta Margaux, stupéfaite.
-Mais oui ! Tu vas découvrir un plaisir que tu ne connaissais pas : celui de te faire mater par un mec que tu ne connais pas, de donner ton corps en spectacle, et de découvrir que tu donnes aussi du plaisir de cette manière-là. Et, au final, tu devras avouer que ça t'excite !


MARGAUX

Je me rappelai ce que m'avait dit Pauline, sur le goût de Nicolas pour les filles portées sur l'exhib. J'avais très envie de le revoir, et il ne fallait donc pas que je le déçoive. Et puis, depuis hier soir, j'avais apprécié tout ce qu'il m'avait fait découvrir !
-Je te fais confiance, mais tu crois que je lui plais, demandai-je à Nico, en me remettant sous la douche, dans une pose un peu provocante.

-A mon avis, autant qu'à moi ! répliqua Nico, content de constater que j'étais capable de satisfaire aussi ce fantasme-là.
L'excitation me gagnait aussi, plus vite que je ne l'aurais cru, et je suis rentrée tout de suite dans le jeu, en m'asseyant sur le bord de la baignoire et dévoilant ma chatte.

-Alors, j'ai envie que tu me lèches la chatte devant lui.
Nicolas s'agenouilla, tandis que je me remettais debout et levais une jambe, pour qu'il accède à ma fente. Il y plongea une langue experte.

En un instant, je sentis des vagues de plaisir me transporter de nouveau. La langue de Nico tournait autour de mon petit bouton, ses lèvres l'aspiraient... Ce n'était pas seulement l'eau qui inondait mon fourreau !

Le regard d'Alex, posé sur moi, ne me gênait plus, mais au contraire, me procurait vraiment une excitation nouvelle.


NICOLAS

Margaux était en train de me rendre fou.
Alex la regardait en se masturbant. Il était maintenant nu, et s'était assis confortablement pour profiter du spectacle, encouragé par l'attitude de Margaux.

Je sentais Margaux impatiente de se faire pénétrer.
-Tu as envie de ma queue dans ta jolie petite chatte ?
-Oh oui, répondit-elle.
-Alors, demande le bien fort, pour qu'Alex entende.
-Oui, je la veux ! je veux ta bite dans mon minou, toute entière.
Je soulevai une de ses jambes, pour la prendre sans qu'Alex en manque une miette.



MARGAUX

Je poussai un cri de plaisir, lorsque je sentis le gland de Nico s'enfoncer entre les lèvres de mon sexe.
Je ne quittais plus des yeux Alex, qui se branlait furieusement.

Nicolas me fit retourner, pour me caler contre le miroir, et me pénétrer encore plus profondément. Je sentis l'orgasme monter, incontrôlable.
-Aaaaah, ça y est, je jouis, je jouis ! Comme c'est bon... Regarde bien, Alex !
Nicolas se retira, mais je devinais que ce n'était pas fini.


NICOLAS

J'avais une autre idée dans la tête : Peu de filles acceptaient qu'on les mate, en train de se faire enculer, et je savais qu'Alex était friand de ce spectacle.
-Tu as aimé, cette nuit, quand je t'ai prise par derrière ? Demandai-je à l'oreille de Margaux.
-Oui, qu'est-ce que c'était bon, avoua Margaux.
-Alors, on peut recommencer ?
-Si tu veux...
Je ne lui laissai pas le temps de réfléchir. Je lançai un coup d'œil vainqueur à Alex, et je fis s'agenouiller Margaux.
Elle poussa un petit cri, quand mon gland luisant de cyprine se fraya doucement un chemin dans sa rosette.



MARGAUX

J'éprouvai une brève douleur, lorsque Nico planta sa tige dans mon petit trou, malgré ses précautions.
Cet instant désagréable fut de courte durée. Bientôt, le plaisir provoqué par les mouvements de va-et-vient de son membre bien rigide entre mes fesses prit le dessus.
Alex s'approcha, pour que je le voie se caresser, et que je sois consciente de l'excitation que je provoquai chez lui.

Et c'est vrai que découvrir de si près un mec se masturbant en me regardant fixement provoqua chez moi la montée d'un nouvel orgasme.


NICOLAS

Margaux criait à nouveau de plaisir.
Je m'allongeai en prenant appui sur le bord de la baignoire, et c'est elle qui vint s'empaler sur moi, en haletant. Je sentis son cul coiffer ma bite, et s'enfoncer sur elle.

Cette fois, c'est elle qui se soulevait et se laissait retomber, seule, sur ma queue. Elle était déchaînée, et elle jouit de nouveau.
Mais j'avais atteint les limites de ma résistance, et Alex ne pouvait plus manifestement se retenir bien longtemps.
Je demandai à Margaux de se relever, et de se placer devant nous.


MARGAUX

J'avais de la peine à reprendre mon souffle, et mon corps était couvert de sueur. Je me retrouvai avec deux énormes bites devant mon visage, prêtes à exploser.

Nicolas me prit par les cheveux, pour me placer face à Alex. Je donnai quelques coups de langue sur son gland, qui se mit aussitôt à trembler.
Dans l'instant qui suivait, son sperme giclait sur mon visage et sur ma langue.

Sentir le désir et la jouissance de ces deux mâles me mettait dans un état second.
Toujours à genoux, le jus d'Alex coulant sur mes joues, je pris la tige de Nicolas dans ma bouche. Malgré ma fatigue, je le suçais avec passion, ayant envie de goûter aussi sa semence.

Je n'attendis pas longtemps !

J'étais maintenant comblée. Je savais que je pouvais faire jouir deux hommes en même temps, que Nico, ce séducteur coqueluche de toutes les filles de la région, avait fait de moi une nana complètement libérée.
Je savourais cet instant, pendant que le foutre coulait sur mon visage et sur ma poitrine, sans que je songe à m'essuyer.

Alex nous quitta rapidement, car on devait s'inquiéter de son absence, et je me retrouvai en tête-à-tête avec Nicolas.


NICOLAS

Seul avec Margaux, je lui ai dit à quel point j'avais aimé cette nuit avec elle.
Nous avons fait un peu de toilette, et nous avons quitté l'auberge. Je crois qu'elle avait très envie d'y revenir un jour.
Nous sommes repartis en voiture, et je l'ai reconduite chez elle.
En l'embrassant avant de nous séparer, je lui ai demandé si elle serait d'accord pour que nous nous revoyions, samedi prochain...


MARGAUX

La perspective de revoir Nicolas me transportait de plaisir !
J'acceptai, en lui prodiguant un long baiser, durant lequel nos langues jouèrent ensemble.

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Une histoire à quatre mains (2)


Nous ne pouvions pas nous arrêter en si bon chemin, après avoir commencé à raconter ensemble notre histoire.
Voici donc le deuxième épisode. Comme dans le premier, chacun de nous deux décrit ce qu'il a ressenti à chaque moment de cette histoire, en mettant son prénom au début du paragraphe où il se livre.


NICOLAS

J'avais à peine quitté Margaux, que je réfléchissais à la prochaine étape de notre aventure. Cette fille était une vraie bombe, et je remerciais mentalement Pauline de me l'avoir présentée.
Je ne regrettais pas d'avoir proposé à Margaux de nous revoir le samedi suivant. Je savais qu'elle devait être excitée par la perspective de nous revoir et, en même temps, la faire languir quelques jours ferait sans doute grimper son désir.
J'attendais le lendemain pour lui envoyer un SMS : « Toujours OK pour samedi ? Si oui, je te propose d'aller à la plage l'après-midi (prévois ton maillot le plus sexy), et de passer la soirée en boîte. Je t'embrasse, sur tes lèvres et sur ta petite chatte. »


MARGAUX

Lorsque Nico m'avait invitée à nous revoir en fin de semaine, j'étais sur un petit nuage ! La nuit que je venais de passer m'avait comblée au-delà de tous mes espoirs.
Mais attendre jusqu'à samedi me paraissait du domaine de l'éternité, et je me masturbais tous les soirs, sans assouvir mon désir, et sans trouver ensuite le sommeil.

Je ne pus étouffer un cri de joie quand, le lendemain, sur mon smartphone, je découvris le SMS de Nicolas !
Il me restait à trouver, d'ici samedi, le maillot qui ne le décevrait pas, car ceux que j'avais dans mes tiroirs seraient, de toute évidence, beaucoup trop pudiques à ses yeux.
Je passais une matinée dans les boutiques, sans dénicher un modèle vraiment sexy. Restait la solution d'internet, et je consacrais l'après-midi à surfer sur tous les sites de lingerie de charme.
Plusieurs modèles étaient vraiment excitants, et j'avais du mal à faire mon choix. J'hésitais entre des micro bikinis, plus ou moins transparents...

... des strings minimalistes...

... et une sorte de cache-sexe - qui ne cachait pas grand-chose - suspendu par de longues bretelles (mais qui me faisait craindre des problèmes pour attentat à la pudeur).

Ne parvenait pas à me décider, je pris un micro bikini noir - que je pouvais porter après tout seins nus - et le cache-sexe, pour le cas où la situation me permettrait cette tenue.
Les jours suivants, j'attendis fiévreusement la livraison, en m'imaginant presque nue sur la plage.


NICOLAS

Le samedi, je retrouvai Margaux dans une rue discrète, où elle m'avait donné rendez-vous, car elle ne voulait pas que ses voisins me voient, et remarquent sa tenue. Elle avait mis un mini short, et un débardeur très court, transparent dans la lumière.

Dès qu'elle fut assise dans ma Porsche, je l'embrassais amoureusement, et nous prîmes la route d'une jolie plage non surveillée, que je fréquentais régulièrement. J'attendais, avec une certaine impatience, de découvrir son maillot de bain...


MARGAUX

J'avais bien remarqué le regard de Nico sur ma tenue, quand je suis montée dans sa voiture. Manifestement, elle lui plaisait et l'excitait.
Nous avons fait quelques allusions sur la nuit que nous avions passée ensemble, et j'avais hâte de me retrouver à côté de lui, allongée sur le sable.
Après une demi-heure de route, nous avons emprunté une petite route. Nicolas s'est garé sur le bas côté, le long de dunes couvertes de végétation et de pins. Derrière ces dunes, la plage, avec çà et là des amas de rochers.
Je fus déçue de voir qu'il y avait du monde, car j'avais espéré un endroit plus tranquille. Il y avait bien des femmes topless, mais en apparence rien de torride.

Nous sommes descendus sur le sable, et Nico a déroulé des tapis.
Je décidai donc de me mettre en bikini, et de laisser le cache-sexe dans mon sac. J'avais enfilé le string chez moi, sous mon short. J'enlevai mon débardeur pour passer le minuscule soutien-gorge...

... et je m'allongeai sur mon tapis.

C'était délicieux de sentir la chaleur du soleil sur mon corps presque nu, et les pointes de mes seins commençaient à darder.


NICOLAS

J'avais demandé à Margaux de porter un maillot sexy : elle ne m'avait pas déçu !
Nous sommes allés nous baigner, et je la laissai marcher quelques mètres devant moi, pour profiter de la vue sur ses jolies fesses.

Tout en nageant, je l'ai complimentée sur le choix de son maillot.
-J'ai hésité, me confia-t-elle. Il y avait aussi une sorte de monokini, ressemblant plutôt à un cache-sexe, mais je crains qu'il soit un peu « trop » sur une plage comme çà.
-Dommage que tu ne l'aies pas acheté !
-Mais si, je l'ai acheté aussi, avoua-t-elle sans méfiance. Je l'ai même emmené, au cas où j'aurais pu le mettre.
En ressortant de l'eau, j'avais bien sur une idée en tête...


MARGAUX

Quand nous sommes revenus à nos tapis, Nicolas m'a demandé, d'un air détaché, de lui montrer ce maillot si impudique.
Je le sortis de mon sac. Il était dans son emballage d'origine, sur lequel il y avait une photo.
-Mais il est génial ! s'exclama-t-il. Fais-moi plaisir, enfile-le, pour voir.
Debout, j'ai enlevé mon soutien-gorge, et dénoué les liens de mon string.

Puis j'ai passé le monokini.

-Je te plais ? demandai-je à Nicolas, le regardant, bras en l'air, pour qu'il puisse me contempler à son aise.
Il n'était pas seul à me mater, et je savais que ça lui plaisait.


NICOLAS

Margaux était superbement indécente et excitante dans son monokini. Je sentais, dans mon maillot, mon sexe commencer à gonfler.
-Tu es magnifique dans ce maillot, tu as un corps qu'il serait scandaleux de cacher, lui dis-je. Et je crois que ça t'excite aussi d'être presque nue, et que des mecs te regardent. Ne me dis pas le contraire, tes petits seins qui pointent te trahissent !
Elle eut un geste pour les cacher, mais se ravisa en riant. C'était un encouragement à aller plus loin...
-Mais au point où tu en es, pourquoi ne pas te passer complètement de maillot ?


MARGAUX

Nico devinait trop bien ce que je ressentais, mais je n'avais pas encore pensé à me mettre entièrement nue en public.
-Tu es fou, protestai-je. Ce n'est pas une plage nudiste !
-Et alors ? Justement ! argumenta-t-il. C'est tout le sel de l'exhib. Imagine un peu ce que tu vas ressentir en offrant ta petite chatte aux regards de tous.
En un instant, ce qui me paraissait inimaginable devenait tentant. Je ne savais plus quoi dire. Nico le devinait, et il se fit plus tendre et plus pressant.
-J'ai très envie de te voir marcher sur le sable, en tenue d'Eve, au milieu de tout le monde. Et même de te photographier, me dit-il à l'oreille de cette voix grave à laquelle j'étais incapable de résister. Ose me dire que ça te déplairait....
Vaincue, je me débarrassai du minuscule monokini, et je regardai Nico dans les yeux, ma main cachant à peine mon mont de Vénus.
-Tu es un salaud ! Tu profites d'une faible jeune fille... Ca ta plait tant que çà que je me montre nue ?



NICOLAS

Margaux savait décidemment répondre à toutes mes attentes ! Plusieurs personnes s'étaient rapprochées pour mieux la mater.
-Laisse-moi te prendre en photos, lui dis-je en sortant mon smartphone de mon sac de plage. Je vais te guider, tu n'as qu'à suivre mes indications. D'abord, prends appui sur tes coudes, la tête renversée en arrière, pour faire bien pointer tes petits seins.

-Maintenant, allonge-toi sur le côté, ta jambe repliée pour dévoiler ta fente. Comme çà, c'est parfait, ne bouge plus.

-En gardant ta jambe repliée, mets toi sur le ventre, en cambrant bien tes reins pour mettre tes fesses en valeur.... Oui, très bien.

-OK, maintenant tu t'assois, tu lèves une jambe en tenant ta cheville... Un peu plus haut pour qu'on voie ta petite chatte... Tu souris... Impeccable !

-Toujours assise, tu écartes tes jambes en tenant encore tes chevilles... Ouah ! voila un minou dans lequel j'aimerais bien planter ma queue... Regarde-moi en coin, l'air provocateur, comme tu sais si bien le faire.



MARGAUX

Les poses qui s'enchaînaient, de plus en plus provocantes, faisaient monter mon excitation, et je me prenais au jeu. Je découvrais la caresse de la brise marine sur mon abricot gonflé de désir.
Lorsque le sujet des photos devint clairement mon sexe exhibé, je sentis mon clito durcir et la cyprine inonder ma grotte.
-On continue avec des photos au bord de l'eau, décida Nicolas.
La perspective de passer nue entre tous les estivants, et d'attirer encore plus les regards ne m'épouvantait plus, bien au contraire. Je me levai, et me dirigeai vers l'océan, pendant que Nico me mitraillait.

Lorsque j'atteignis le bord de l'eau, j'étais devenue l'attraction de la plage.



NICOLAS

Margaux entra dans l'eau jusqu'aux genoux, et se déplaça un moment entre les baigneurs, pendant que je la photographiais en rafale.

-Très bien ! Maintenant tu reviens vers moi, en me souriant.

-Ne sors pas encore de l'eau ! Assois-toi, les jambes repliées, cuisses bien ouvertes... Oui, comme çà... Passe ta main dans tes cheveux.

-Une dernière, bien sexe ! Tu te renverses en arrière, appuyées sur tes bras... Les jambes encore plus écartées... Souris-moi.... Génial !



MARGAUX

J'étais presque déçue que cette séance de photos - qui était en fait une séance d'exhib dont je me serais crue incapable une heure avant - se termine déjà.
Je repassais, nue, les pointes de mes seins dardées, entre les hommes et les couples qui détaillaient mon anatomie, et nous avons rejoint nos tapis.
-Ca t'a plu ? Tu m'as trouvé bien bandante, demandai-je à Nico, en m'agenouillant pour étaler mon tapis déplacé par le vent.

Je sortis un flacon d'huile solaire, et j'allais commencer à m'en enduire...

...lorsque j'entendis Nicolas :
-Tiens ! Salut David. Tu profites aussi du soleil ?
En relevant les yeux, je découvris un très beau mec, en maillot de bain.



NICOLAS

En fait, la présence de David n'était pas vraiment fortuite. C'était un copain avec qui je partageais assez souvent des plans drague, et je lui avais donné rendez-vous sur la plage, en lui parlant de Margaux ! En plus, il jouait un rôle dans mes projets pour la soirée.
-Margaux, je te présente David. Un de mes meilleurs copains, un champion de handball, et un grand séducteur !


MARGAUX

David se pencha sur moi pour me faire la bise, et je ne pus pas m'empêcher de jeter un regard sur son boxer, manifestement bien rempli. De son côté, il ne se gênait pas pour me mater, et ne cachait pas l'intérêt qu'il portait à ma nudité.
Je me suis allongée sur le ventre, pendant que les deux copains discutaient handball : le club de David venait de remporter le championnat.

Ils parlaient de la fête organisée le soir même pour fêter l'évènement. Le club avait privatisé le Pacha, une boîte de la région.
Mais je me disais que les deux mecs n'allaient pas continuer cette conversation, avec moi, nue, à côté d'eux. Et, au fond de moi, j'attendais la suite avec impatience.


NICOLAS

Je devinais l'attente de Margaux, et au bout de quelques minutes, je lui demandai :
-Quand David est arrivé, tu allais t'enduire de crème solaire. Veux-tu que je m'en charge ?
Sans surprise, elle accepta. Je commençai par les épaules et, en prenant tout mon temps, je descendis jusqu'à ses fesses, insistant sur le sillon qui séparait les deux globes.



MARGAUX
Je savourais le massage de Nico, la caresse de ses mains sur ma peau nue, et je soupirai doucement lorsque ses doigts se firent indiscrets. Presque inconsciemment, je me soulevai légèrement pour faciliter son exploration.
C'est alors qu'il me demanda :
-Ca ne te tente pas de te faire masser par deux hommes ? Je crois que David en meurt d'envie.
-Tu as envie que je me fasse peloter par ton copain, devant toi ? répondis-je sans m'offusquer davantage.
-C'est un peu ça, et je devine que tu es d'accord.
Je sentis les mains de David se poser en haut de mes cuisses, remonter doucement vers mon petit cul.

C'est vrai que ses doigts semblaient savoir ce que j'attendais.
Quand je me suis retournée, j'ai découvert que Nico et Davis avaient eux aussi retiré leurs maillots, découvrant une superbe érection. J'avais une énorme envie de ces deux queues, tout en me disant que c'était impossible sur cette plage, au milieu de tous ces gens.
J'ignorais que, pour Nicolas, ce n'était pas un problème, au contraire...


NICOLAS

Le regard de Margaux trahissait son désir, face à nos deux bites dressées. Mais je la connaissais suffisamment pour deviner la retenue qu'elle avait encore, devant les voyeurs qui commençaient à se rapprocher.
-Tu te rappelles, à l'auberge, quand nous avons fait l'amour en présence d'Alex ? lui demandai-je.
-Oui, bien sûr, répondit-elle en rougissant un peu.
-Tu as aimé t'exhiber ?
-Oui, j'avoue, dit-elle d'une toute petite voix.
-Alors, ici, il y a juste un peu plus de spectateurs, et tu vas voir que c'est encore plus excitant. Commence par caresser ma queue, et tu verras que tout s'enchaînera naturellement.
David suivait la scène, épaté par la tournure des évènements.


MARGAUX

Complètement subjuguée, j'empoignai doucement la verge de Nicolas.

Retrouver le contact de ce sexe qui m'avait fait découvrir les sommets de la jouissance emporta ce qui pouvait me rester de pudeur.
Je le branlai avec tendresse, lorsqu'il me rappela que nous étions trois...
-Je crois que David apprécierait que tu t'occupes aussi un peu de lui.
Incapable de refuser quoi que ce soit, je me retrouvais avec une bite dans chaque main.

La verge de David était longue et dure. J'ignorais jusqu'où Nico voulait me mener, mais je me sentais de plus en plus comme une chienne en chaleur.
Ma main montait et descendait sur la hampe de David, et j'avais surtout envie maintenant de sucer Nicolas. Sans qu'il me le demande, ma bouche s'approcha de son sexe.



NICOLAS

Je vis le visage de Margaux plonger vers ma tige dressée, et ses lèvres se posèrent sur mon gland pour un baiser voluptueux, ponctué de petits coups de langue.

Je ne pus n'empêcher de fermer les yeux pour goûter tout le plaisir de ce moment. Les mouvements sensuels de ses lèvres sur ma verge étaient un délice.
J'avais beau être un peu blasé, cette histoire avec Margaux recelait d'instants extraordinaires de pur sexe, et j'étais certains que nous n'en étions pas arrivés au bout de cette relation excitante.


MARGAUX

J'avais abandonné David, pour me concentrer sur ma fellation à Nico. J'avais compris à quel point il avait aimé la manière dont je l'avais sucé à l'auberge, et je voulais renouveler cette expérience, que j'avais adorée autant que lui. Je me déchaînai.

Au bout de quelques minutes, les mains de David me saisirent par les hanches. Je crus qu'il voulait mater ma chatte, et je me retournai un peu, en écartant les jambes, tout en aspirant le gland de Nico.
Mais ce n'était pas son intention ! Je sentis une barbe effleurer l'intérieur de mes cuisses, et une bouche se poser sur ma fente.

Je ne protestai pas, et j'ouvrai un peu plus mes jambes, pour faciliter l'accès à mon intimité, tout en continuant de sucer Nico.
Je réalisais que je m'offrais à deux hommes en même temps pour la première fois, et cette expérience nouvelle se déroulait sur cette plage publique. Nico avait raison : le regard des hommes et les femmes, debout autour de nous, décuplait mon excitation.
Je savourais la bouche de David explorant ma chatte, sa langue léchant mon petit bouton et s'insinuant dans ma fente, mêlant sa salive à la cyprine qui coulait, et je poussais maintenant de petits cris d'animal pris au piège.


NICOLAS

Margaux était maintenant mûre pour s'exhiber en faisant l'amour, et prête à tout.
Je la fis changer de position. Allongée sur le dos, je prenais place entre ses cuisses écartelées, tandis que David lui présentait sa queue à sucer.
-Oh oui... prends-moi maintenant, réclama-t-elle, en m'attirant vers elle d'une main, et en empoignant la bite de David de l'autre main.
Elle poussa un long gémissement de plaisir, lorsque je me suis enfoncé en elle, et que le gland de David investit sa bouche.



MARGAUX

Je perdais tout contrôle de mes réactions. Ces deux dards, dans ma chatte et dans ma bouche, soulevaient en moi des vagues de plaisir, et je jouis, interminablement, pour le plus grand plaisir de nos spectateurs, certains se branlant ouvertement.
Je connaissais l'endurance de Nicolas ; David n'avait rien à lui envier. Et je compris que ce n'était pas fini.
Nous reprîmes notre position précédente. Mais cette fois, David vint se placer derrière moi, tandis que Nico guidait ma tête vers sa verge.
Je sentis le gland de David se glisser sans difficulté dans ma chatte inondée de mouille. Elle me remplissait, lentement, profondément...

Et c'était reparti, pour mon plus grand plaisir !


NICOLAS

David baisait Margaux à grands coups de reins. Chaque mouvement la soulevait, rythmant sa fellation.
Elle appréciait visiblement d'être prise ainsi, et j'investissais entièrement sa bouche, jusqu'à buter au fond de sa gorge.
J'attendais son prochain orgasme, pour lui proposer que nous la prenions en sandwich.


MARGAUX

C'était inévitable : je sentis la jouissance monter, et ma chatte se contracta autour de la bite de David, pour mieux la sentir en moi à cet instant. Et j'explosai encore, tétanisée, criant mon plaisir.
Lorsque je repris un peu mes sens, la queue de David était toujours plantée en moi, toujours aussi raide.
J'entrevis, à quelques mètres, une femme qui enlevait son string pour venir s'empaler nue sur son compagnon en nous regardant, pour la plus grande joie des voyeurs !

C'est à ce moment que j'entendis Nicolas me murmurer :
-Si je me souviens bien, tu aimes te faire enculer...
Je n'osais pas répondre.
-J'ai très envie de te prendre par derrière. Tu veux ?
-Oui, j'ai envie, répondis-je, en ayant l'impression que c'était une autre qui parlait.
-Mais il ne faut pas abandonner David pour autant. Lui peut remplir ta jolie petite chatte en même temps.
-Tous les deux... me baiser... ensemble ?
J'étais abasourdie, incrédule, mais refuser me semblait impossible.


NICOLAS

Margaux était partante pour une double pénétration en public !
David s'allongea, et elle vint s'empaler sur lui, avec un gémissement de plaisir. Avant d'investir son petit cul, je pris soin de lubrifier sa rondelle, et c'est elle qui réclama à haute voix :
-Oui, Nico, vas-y ! Oui, vas-y, je suis prête, j'ai envie de vos deux queues en moi...


MARGAUX

Je pensai, une fraction de seconde, que j'étais devenue une parfaite petite salope, mais le désir était trop fort.
Des frissons avaient parcouru tout mon dos, en sentant le gland de David s'enfoncer au plus profond de ma chatte, et maintenant, j'attendais fiévreusement que celui de Nico force mon petit trou.
Quand, enfin, il se fraya un passage entre mes fesses, je me cambrai pour mieux m'offrir à lui.

Il était très doux : il me pénétra lentement. Le passage de la longue hampe dans mon anus, centimètre par centimètre, réveillait la jouissance que j'avais découverte à l'auberge, quelques jours avant.
Quand il m'eut entièrement pénétrée, il se mit à aller et venir dans mon cul.
Je découvrais un plaisir nouveau : chaque mouvement Nicolas me faisait coulisser sur la verge de David, déclenchant un feu d'artifice de sensations.

J'avais l'impression que les deux bites allaient déchirer la mince paroi qui les séparait, mais c'était trop bon : je jouis une dernière fois en criant, mais cette fois, les deux hommes éjaculèrent en moi, presque en même temps.
Je m'effondrai sur le tapis de plage, à bout de souffle, pendant que le foutre coulait de mes orifices.

Il me fallut plusieurs minutes pour récupérer, et je me rendais compte que la présence des voyeurs autour de moi ne m'avait pas inhibée mais, au contraire, avait boosté ma libido.
Lorsque les battements de mon cœur eurent retrouvé un rythme normal, je suis allée me baigner, autant pour me rafraîchir, que pour me débarrasser du sperme qui commençait à sécher sur mes fesses et dans le haut de mes cuisses.


NICOLAS

Je m'amusais de voir Margaux se lever, et se diriger vers l'eau, sans avoir remis son maillot. Je la hélai, en lui montrant son string au bout de mon bras. Elle se retourna pour regarder dans me direction.

-Margaux ! Tu n'oublies pas quelque chose ?!
-Non ! Trop bon de se balader et de se baigner à poil, me répondit-elle en riant.
Pendant qu'elle se baignait, nous avons peaufiné, avec David, notre plan pour la soirée. Il était subjugué par la sensualité et le tempérament de Margaux.
-Quel tempérament, cette fille !! J'ai rarement rencontré une nana portée aussi douée pour le sexe, et qui s'abandonne au plaisir de cette manière.
J'attendis qu'elle revienne, et s'installe sensuellement sur le sable pour se sécher et bronzer, avant de lui parler de ce que nous avions prévu.



MARGAUX

Je venais de m'allonger, lorsque Nico me déclara.
-David vient de nous inviter, pour la soirée privée de son club de hand. Cà devrait être très sympa, je lui ai dit oui. J'ai bien fait ?
-Pas de problème, je vous suis, répondis-je, tout en regrettant un peu de ne pas passer une soirée plus intime avec Nico. Il faut peut-être que j'ai une autre tenue ?
-Une robe, ce serait sans doute mieux, mais j'ai très envie que tu sois sexy. As-tu quelque chose qui irait chez toi ?
Ma garde-robe n'était pas encore garnie en vêtements osés, mais David trouva la solution : Il téléphona à Pauline, et je compris dans ce qu'il disait qu'il était en ce moment avec elle.
-C'est réglé, me dit-il en raccrochant. Pauline prépare une robe, qu'on va passer prendre chez elle tout à l'heure.
L'après-midi s'est ensuite poursuivi dans le calme, et j'ai amélioré mon bronzage intégral.
Dans la soirée, nous sommes allés chez Pauline. Elle était absente, mais David avait la clé de son appartement, et la robe m'attendait, bien en vue sur un fauteuil. Je la passai.

C'était une minirobe bleue, au décolleté plongeant, et qui dévoilait facilement mes seins quand je me penchais. Nicolas et David la trouvèrent idéale pour cette soirée.
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Une histoire à quatre mains (3)


Après notre après-midi sur la plage, la journée n'était pas terminée !
Le programme préparé par Nicolas prévoyait une soirée en boîte. Et cette soirée, privée, était organisée par l'équipe de hand de David.
Pour la circonstance, Margaux avait emprunté à Pauline une minirobe bleue, très sexy.



NICOLAS

Après avoir pris un pot et grignoté dans un bar de la ville, nous avons pris tous les trois la direction du Pacha. Grâce à David, on nous a laissés rentrer sans difficulté et, à l'intérieur, nous avons retrouvé Pauline, toute heureuse de la présence de Margaux.
-Super, tu es venue ! Et je vois que tu portes très bien ma robe... Tu ne vas pas être déçue, je suis sure que tu vas t'éclater, lui lança-t-elle.
David nous a présentés aux joueurs de son équipe, au staff, et la plupart des hommes étaient accompagnés de jeunes et jolies femmes, certaines dans des tenues très sexy.


Nous nous sommes retrouvés avec Pauline et David, tous les quatre, à une table avec deux autres joueurs et Sandrine, la compagne de l'un d'eux, vêtue d'une robe noire beaucoup plus sage.



MARGAUX

On nous servit un cocktail maison accompagnés de tapas, et je me sentais maintenant à l'aise. La conversation roulait, souvent sur le sport pour les mecs, les filles parlaient mode, beauté, bronzage...
Un DJ assurait l'animation, et nous allions de temps en temps danser sur la piste. L'alcool avait toujours un effet désinhibant sur moi, et je trouvais cette soirée bien sage. Mais la nuit s'avançait, et me réservait quelques surprises !
Nous étions tous revenus à notre table, quand le DJ annonça :
-Je vous trouve bien trop calmes ! Pour faire grimper la température, je vous propose une séquence « tee-shirts mouillés ». Les filles qui veulent participer viennent me voir pour s'inscrire, et pour celles qui n'ont pas de tee-shirt, nous en avons à vous prêter.
Le son de la musique remonta, et je vis une jolie brune se diriger vers le DJ, qui nota son prénom sur un papier.
Un projecteur éclaira un coin de la salle, qui était jusque là dans l'ombre. Nous découvrîmes quelques praticables réunis pour former une estrade, sur laquelle on avait installé une petite piscine gonflable remplie d'eau.
J'étais tentée, mais je n'eus pas à prendre l'initiative.
-David veut que je m'inscrive. C'est d'accord pour moi... si tu m'accompagnes, me lança Pauline.
L'instant suivant, nous nous retrouvions toutes les deux face au DJ, qui enregistra nos prénoms, et il nous indiqua une petite pièce derrière la scène improvisée, où nous trouverions quelques tee-shirts taillés dans un tissu blanc très mince, ainsi que des minijupes et des culottes assorties.


NICOLAS

Inutile de vous dire que j'étais impatient de voir Margaux sur scène car, contrairement à elle, je n'ignorais pas que ce genre de spectacle ne se limitait pas à une exhibition dans un tee-shirt devenant transparent.
Le DJ présenta les neuf participantes, qui commencèrent à danser sur scène.

Ce fut ensuite le passage dans la piscine, où il arrosa copieusement la poitrine des filles, pour révéler leurs formes.

Une par une, les participantes révélèrent les courbes de leurs seins, leurs têtons que l'eau froide faisait pointer. Pauline et Margaux dansaient maintenant côte à côte, et s'amusaient follement.

Une des participantes, sans doute prévenue de ce qui allait se passer, avait amené un monokini, ressemblant à celui que Margaux avait étrenné sur la plage cet après-midi. Je la trouvais particulièrement sexy...

Tous les regards étaient rivés sur les filles, et j'observai à la dérobée Sandrine, qui n'avait pas osé s'inscrire, mais qui n'en perdait pas une miette.


MARGAUX

J'étais novice dans ce genre de distraction, même si j'avais bien entendu dire qu'elles se transformaient souvent en concours de striptease. Et en effet, le DJ reprit son micro pour interpeller le public :
-Voulez-vous que nos jolies participantes nous en montre plus.
Il déclencha un tonnerre d'encouragements et poursuivit :
-Alors, mesdemoiselles c'est à vous de jouer ! Lesquelles sont prêtes à nous dévoiler un peu plus leur corps ?
Une brune à la poitrine généreuse, la première, souleva son tee-shirt.

Mais elle devait en rester là.
Pauline déchira son tee-shirt, et joua les filles timides, en cachant ses seins avec ses mains, pour exciter le public.

C'était à mon tour de me lancer ! Je déchirai à mon tour mon tee-shirt, sous les applaudissements, et je retrouvai ce plaisir que je connaissais bien maintenant, en me dévoilant.

Derrière moi, presque toutes les participantes se débarrassèrent de leur tee-shirt, l'éclatant ou l'enlevant plus simplement.

Lorsque la dernière fut passée, nous nous sommes retrouvées à sept, seins nus, et les deux autres filles quittèrent la scène.

A ce moment, le DJ reprit de nouveau son micro :
-Vous voulez en voir davantage ?...


NICOLAS

Bien entendu, je faisais partie des spectateurs qui crièrent leurs encouragements ! Après ce prélude, les choses allaient devenir plus intéressantes !
Je fus heureux de voir que Margaux était la première à retourner dans la piscine, les débris de son tee-shirt ne cachant plus rien de sa poitrine, pour se faire arroser de nouveau.

Une première fille commença à baisser son string, sous les applaudissements, et je devinais l'impatience que devait ressentir Margaux, sans doute pressée de se montrer nue.

Une autre fille, légèrement ivre et trempée par le DJ, se dénuda à son tour, riant de s'exhiber sous le regard incrédule de son copain.

Et enfin, vint le tour de Margaux.


MARGAUX

Je pris mon temps. Je baissai mon string, le remontai, recommençai ce simulacre à plusieurs reprises, provoquant à chaque fois des cris d'encouragement du public.

Au bout de quelques instants de ce manège, je me débarrassai du string, et je me retournai pour le lancer aux spectateurs, sous les acclamations.

Je m'amusais à marcher, au bord de l'estrade, tout près des spectateurs, pour qu'ils puissent détailler mon anatomie à loisir - et me toucher pour les plus hardis - et je sentais les pointes de mes seins se dresser.

En revenant à ma place, je vis Pauline s'asseoir à l'extrémité du podium, pour enlever elle aussi son string, sous le regard appuyé des couples installés aux tables voisines.

Puis elle s'agenouilla, et se caressa, mimant la montée d'un plaisir qu'elle devait certainement éprouver.



NICOLAS

Je ne perdais pas une miette du spectacle.
Pauline avait rejoint Margaux, et les deux autres nanas qui s'étaient déjà dénudées entièrement. Une autre fille enleva son slip à son tour, et dansa un moment sur la scène, sous les cris de joie.

Pendant qu'elle se donnait en spectacle, l'avant-dernière participante au jeu prit peur, et s'éclipsa, récoltant quelques huées au passage.
Enfin, la dernière, une jolie blonde aux seins ronds arracha littéralement son string, provoquant une nouvelle vague d'applaudissements.

Il restait six filles sur la scène.


MARGAUX

Je croyais que le jeu était terminé, et que nous allions nous rhabiller et rejoindre nos tables respectives et nos amis. Sauf que le DJ reprit son micro :
-Nous avons encore six candidates. Je vous propose d'essayer de les départager, pour désigner la ou les filles les plus excitantes ! Vous êtes d'accord ?
La salle hurla ses encouragements, et Pauline me glissa à l'oreille :
-Ma frangine m'a raconté que tu étais bi. Tu n'as rien contre l'idée de leur présenter un petit numéro de lesbiennes ?
Je n'aurais jamais imaginé que sa sœur lui aurait parlé des caresses - assez poussées, c'est vrai - que nous avions échangées sous les douches de la piscine...

-Tu crois qu'on peut faire çà ici, en public ?... répondis-je en rougissant un peu.
-Bien sur ! Laisse-toi guider quand ce sera notre tour.


NICOLAS

La première, une jolie blonde, très jeune, prit place sur la scène, et commença à se caresser, très sensuellement.

Elle était vraiment belle, et eut un certain succès.
Une autre fille se présenta, et prit par la main une candidate qui devait être sa copine. Elles échangèrent un long baiser, puis regardèrent le public d'un air provocant, pendant que leurs deux langues jouaient ensemble.

Sous les encouragements, elles s'enlacèrent. Leurs bouches s'unirent à nouveau, leurs seins se touchèrent, pendant que leurs mains exploraient leurs corps.

Voyant la tournure que prenait le spectacle, l'une des filles s'enfuit.
Le tour de Pauline était venu...


MARGAUX

Sans surprise, Pauline empoigna mon bras pour m'entraîner avec elle sous le projecteur. Mon cœur battait à tout rompre.
Elle me plaqua contre le mur, et je vis ses lèvres approcher doucement des miennes. Elle fit durer le plaisir, et je sentis l'excitation me gagner.

Elle prit ma tête dans sa main, se tourna un peu vers le public pour qu'il puisse voir qu'elle me pelotait les seins, et nos bouches se rejoignirent enfin. Sa langue, très douce, se glissa entre mes lèvres.

Tout en nous embrassant, nous nous sommes laissé tomber sur le matelas qui avait été installé sur la scène.
Pauline ouvrait largement les cuisses, et elle avait saisi l'une de mes chevilles, pour m'obliger à l'imiter. Les spectateurs avaient une vue incomparable sur nos chattes, et je sentais la mienne devenir toute humide !



NICOLAS

La jolie blonde qui s'était caressée la première, se dégonfla à son tour, et quitta discrètement le podium.
Les deux autres filles qui restaient en lice revinrent à la charge.
L'une s'assit sur les genoux de l'autre, et sa main se posa sur sa chatte, tandis qu'elles s'embrassaient à pleine bouche.

La température grimpait, sur la scène et dans la boîte ! Tout le monde était debout, et s'était rapproché pour mieux voir.
La main de la fille descendit sur le ventre de sa partenaire. Elle caressa longuement sa chatte, et lorsqu'elle sentit qu'elle s'abandonnait, elle glissa deux doigts dans sa fente.

Mais elle s'arrêta là : l'autre nana ne voulait pas aller plus loin en public, et elle la repoussa doucement.


MARGAUX

Pauline et moi, nous avions suivi ces évènements avec intérêt. Nous étions sures maintenant de remporter ce concours, et nous voulions que nos copains voyeurs soient fiers de nous !
Pendant tout ce temps, Pauline avait poursuivi ses baisers et ses caresses. Lorsque l'attention des spectateurs se reporta sur nous, ils découvrirent ses doigts se glissant dans mon minou.

-J'ai l'impression que tu mouilles comme une petite cochonne, me murmura Pauline.
Et c'était vrai !
Je sentis avec ravissement ses lèvres quitter ma bouche, descendre sur ma poitrine, mordiller la pointe de mon sein...

... descendre encore, sur mon ventre... J'haletais maintenant, en poussant de petits gémissements suggestifs... et rejoindre enfin ma chatte.
Sa langue se glissa entre les lèvres de mon sexe, cueillit les gouttes de cyprine qui coulaient à la naissance de mes cuisses, et commença à jouer avec mon clito bandé.

Je relevais complètement mes jambes écartelées, pour mieux m'offrir à ses caresses. Et je sentis l'orgasme monter, fabuleux, explosif.

C'était la première fois qu'une femme me faisait jouir en public... Et je criais mon plaisir.
Pauline se redressa, et me lança :
-Tu peux peut-être me faire jouir aussi. Tu ne vas pas être seule à prendre ton pied, tout de même !
Elle s'allongea sur moi, en 69, et je me retrouvais avec sa chatte au ras de mon visage, pendant que sa tête plongeait de nouveau entre mes cuisses.

Ma langue s'activait maintenant sur son petit bouton dressé, fouillait à son tour l'intimité humide de sa chatte, tandis qu'elle mordillait mon clito si sensible.

Nous poursuivîmes longtemps ces caresses, encouragées par le public.
Le plaisir nous envahit enfin, quasiment simultané, et nos cris sont montés dans l'aigu, sous les applaudissements et les cris des spectateurs.

Et nous avons échangé un long baiser voluptueux, plein de reconnaissance.



NICOLAS

Avec David, nous étions époustouflés par la performance de nos deux copines. Mais j'avais une autre idée en tête, pour pimenter la fin de soirée de Margaux... et la nôtre !
La plupart des participantes au jeu partirent se rhabiller, dans la petite pièce derrière la scène. L'une d'elle remettait, au milieu de la salle, le string qu'elle avait jeté en se déshabillant.

Pauline et Margaux étaient restées nues, n'ayant pas encore complètement récupéré de leurs orgasmes en public. Pauline se dirigea vers le bar pour commander un cocktail, avant de rassembler ses vêtements.

Margaux, quant à elle, déambulait en tenue d'Eve, son string et une bouteille d'eau gazeuse à la main, exhibant sans complexe son corps au milieu des clients de la boîte habillés.



MARGAUX

Lorsque Nicolas me rejoignit, j'étais sur le point d'aller chercher ma robe, pour me rhabiller. Mais il appréciait manifestement de me voir ainsi !
-Pourquoi ne resterais-tu pas nue ?
-Tu crois que je peux vraiment ? Les autres filles se sont rhabillées, objectai-je.

-Oui, mais la soirée n'est pas terminée, je te réserve une petite surprise... Je t'offre un cocktail au bar, en attendant.
Et je me retrouvais assise sur un tabouret, dans le plus simple appareil, au milieu des participants à la soirée, qui me regardaient avec un œil curieux ou admiratif. Finalement, je trouvais çà plutôt agréable.



NICOLAS

Avec Margaux, je m'apprêtais à atteindre le summum de ce que l'on peut espérer d'une femme complètement libérée et, malgré mon expérience, j'avais rencontré peu de filles aussi jeunes capables de franchir ce pas. J'attendis qu'elle arrive à la fin de son cocktail pour lui dévoiler mon projet.
-Margaux, tu sais que tu es la fille la plus sexy et la plus formidable que j'ai connue ?
-Je ne te crois pas, tu en rajoutes, répondit-elle en rougissant sous le compliment.
-Mais si, c'est vrai. Je te trouve terriblement excitante, et tu fais l'amour merveilleusement bien.
-Merci, murmura-t-elle.
-J'adore te faire jouir, mais je prends autant de plaisir à voir un autre homme te faire jouir aussi. Ca t'a plu avec David, sur la plage ?
Je vis une lueur dans le regard de Margaux, qui trahissait le désir qui renaissait en elle à l'évocation de notre trio de cet après-midi. L'alcool finissait de la désinhiber.
-Tu l'as bien vu, non ? répondit-elle avec un petit rire.
-Et bien, je te propose plus, ici-même, tout de suite... ajoutai-je à son oreille, en baissant la voix.
-Tu me fais peur - mais son expression contredisait toute idée de peur.
-Je voudrais que plusieurs hommes te baisent là, sous mes yeux, en public.
-Tu es fou ! protesta-t-elle.
-Pas du tout. Et je suis sur que çà te plaira, tu as réellement le feu au cul... Ose me dire le contraire.
-Et toi ? Tu me ferais l'amour aussi ?
Sa question était un aveu de son consentement.
-En dernier, si tu le veux bien... Tu es d'accord ?


MARGAUX

J'étais dans un état second. Ce qui me restait de pudeur et de tabous s'envolait. J'essayais, sans grande conviction, de trouver des objections.
-Mais on va avoir des ennuis ! Des gens vont être choqués !
-Pourquoi voudrais-tu qu'ils soient choqués, rétorqua Nico en riant. Tu as déjà fait l'amour sur scène avec Pauline, je te le rappelle ! Et puis, c'est une soirée privée.
Je ne trouvais plus rien à répondre.
Je vis Nicolas se diriger vers le DJ, et lui parler à l'oreille. Ils discutèrent un moment, puis Nico revint vers moi, le sourire aux lèvres. Un barman installa des coussins sur quelques tables réunies à côté d'un canapé, sur lesquels il dirigea des projecteurs.
Je ne pouvais plus faire marche arrière...


NICOLAS

-Tout est OK. Tu n'as plus qu'à attendre l'annonce du DJ, dis-je à Margaux.
Accoudé au bar, près de nous, se trouvait Steve, le joueur de hand avec lequel nous étions à table en début de soirée et compagnon de Sandrine. Je le prévins discrètement de ce que Margaux allait faire, et j'ajoutai :
-Tu pourrais être le premier à faire l'amour à Margaux. Elle avait l'air de te trouver à son goût. Tu crois que Sandrine le prendrait mal ?
-Je ne sais pas trop. Elle est plutôt réservée, et nous ne nous sommes jamais trouvés dans cette situation, répondit-il.
-C'est l'occasion de voir comment elle réagit ! Pour qu'elle ne se sente pas délaissée, je peux essayer de la convertir à l'exhib... Si tu n'es pas jaloux !
-Pas de problème pour moi, allons-y.
Le DJ pris son micro, et le niveau de la musique baissa.


MARGAUX

Pendant un instant, j'eus l'impression que mes jambes allaient se dérober sous moi, quand j'entendis, dans la sono :
-Vous avez aimé le spectacle que nous ont offert Margaux et Pauline tout à l'heure ?
Le public cria un « oui » unanime.
-Margaux est prête à beaucoup plus, si des hommes sont à la hauteur de la situation ! Etes-vous en forme, messieurs ?
A nouveau, des « oui ! » s'élevèrent, provenant cette fois seulement de voix masculines.
Mon cœur battait à tout rompre. Je pris appui, sur le bord d'une table et, sans y penser, je repliai une jambe pour y poser mon pied.

Je n'avais pas conscience du côté provoquant de cette pose, qui découvrait généreusement ma chatte.
Je vis Steve s'approcher. J'avais entendu des bribes de sa conversation avec Nico, et je ne fis aucune difficulté quand il me prit par la main, pour m'installer en travers d'un canapé, les reins soulevés sur l'accoudoir.

Il plongea la tête entre mes cuisses. Je sentis sa bouche sur ma chatte, sa main sur mon sein... et aussitôt, le désir prit le pas sur mes craintes.
Il m'abandonna quelques secondes pour se déshabiller, avant de reprendre son cunnilingus.

Je commençais à gémir doucement. Il jouait avec mon clito avec un art consommé, sa langue délaissant parfois mon petit bouton pour s'insinuer entre les lèvres de mon sexe béant, et de récolter la cyprine qui coulait maintenant en abondance.

Je poussais de petits cris, et toutes les personnes présentes dans la boîte faisaient cercle autour de nous.
Steve me demanda à haute voix :
-Tu veux que je te baise ?
-Oh oui, répondis-je à mi voix.
-Plus fort ! Tout le monde doit t'entendre.
-Ouiii ! J'ai envie que tu me prennes, je veux ta bite dans ma chatte.
L'instant suivant, je sentis un gland gonflé s'enfoncer dans mon minou.

Steve était très doux. Il me pénétrait millimètre par millimètre, exacerbant mon désir. Je voulais le sentir en moi tout entier, que ses cuisses viennent buter sur mes fesses.

Je l'encourageais :
-C'est bon, vas-y... Oui, je t'en prie, pilonne ma petite chatte.
Et il commença à aller et venir, de plus en plus vite.

C'était délicieux. Je pensais que d'autres mecs allaient se succéder dans mon abricot et - je l'espérais sans me l'avouer - dans mes autres orifices.
Mais je n'avais pas vu un autre homme qui s'approchait. Je me retrouvai avec une bite dressée, juste devant mon visage.

Je la pris tendrement dans ma main.
Steve m'écartelait les jambes, pour mieux me pistonner. Ses coups de reins ne m'empêchèrent pas d'engloutir la queue dressée, et de me mettre à la sucer frénétiquement.



NICOLAS

Je n'avais pas perdu une miette de ce spectacle. Margaux était la reine de cette soirée.
Mais je cherchais aussi du regard Sandrine !
Je la repérai, regardant Margaux s'offrir à Steve, un peu en retrait des autres spectateurs. Son expression trahissait de l'incrédulité, mais elle ne manifestait pas de colère ou de jalousie.
Alors que je m'approchais d'elle, elle me demanda :
-Tu n'es pas jaloux de voir Steve sauter ta copine ?
-Pas du tout ! Je trouve que c'est excitant, au contraire.
Pour toute réponse, elle fit la moue. Je partis à la charge :
- C'est la première fois que tu vois ton mec faire l'amour avec une autre fille ?
-Oui.
-Et toi, tu as déjà fait çà en public ?
-Non, répondit-elle d'une voix faible, en rougissant.
-Pourquoi n'essaies-tu pas ? C'est l'occasion, et tu montrerais à Steve que tu as autant d'audace que Margaux.
-Je n'oserais pas dit-elle d'une voix peu convaincue.
-Tu n'oserais pas, mais... je suis certain que tu en as envie.
Tout en lui parlant, je m'étais rapproché d'elle. Elle ne me repoussait pas, pas plus qu'elle se défendit, quand je baissai la bretelle de sa robe.

Elle continuait de fixer Margaux et Steve, sans se soucier de son sein totalement découvert.
-Tu as une poitrine magnifique. Ce serait un crime de la cacher plus longtemps... Aimerais-tu te montrer nue ? Que je te débarrasse de cette robe ?
-Je ne sais plus... Oui, répondit-elle dans un souffle.
Lentement, je fis glisser la robe sur ses hanches, sur ses jambes. De la pointe du pied, elle la lança au loin, et s'assit sur une banquette.
Elle portait un petit slip blanc très sage. J'enlevai mon tee-shirt, et c'est elle qui posa la main sur ma ceinture, en me regardant dans les yeux.

Elle se releva, et j'en profitai pour ôter son slip, avant qu'elle commence à baisser mon jean et mon slip, découvrant ma queue.
Je me collai contre son dos, pour qu'elle sente mon érection monter, pendant que je lui caressais les seins.

Je voyais leurs pointes se dresser, et je lui demandai, à l'oreille :
-Alors, ça te plait d'être à poil ? qu'on te mate ?
-Oh, oui, avoua-t-elle en s'abandonnant.
-Alors, suce-moi... Fais-moi bander, si tu as envie d'une bite bien dure dans ta jolie chatte.
A ce moment, Steve regarda dans notre direction, et Sandrine s'en rendit compte, ce qui eut pour effet de lui faire perdre toute retenue. Elle s'agenouilla, et ses lèvres vinrent se poser sur mon gland.

Elle était très douée, même si elle ne surpassait pas Margaux. Sandrine avait une manière très particulière de m'exciter, avec de tout petits coups de langue sur mon gland, ...

... avant de l'enfoncer jusqu'au fond de sa gorge.

Mais il fallait que je l'excite aussi avant de lui faire l'amour !
Je m'allongeai, pour la faire venir sur moi en 69. Sandrine regardait régulièrement en direction de Steve, pour s'assurer qu'il ne perdait rien du spectacle, et elle me présenta sa fente.



MARGAUX

J'avais l'impression d'être au paradis !
Steve me baisait divinement bien, et je contractais les muscles de mon périnée, de manière spasmodique, autour de sa queue, pour mieux savourer mes sensations, chaque fois qu'elle s'enfonçait en moi.
La queue de mon second partenaire était raide à souhait, et son gland emplissait ma bouche, lorsque je ne jouais pas de la langue.
J'étais maintenant installée sur une table. Les coups de reins de Steve redoublèrent, lorsqu'il aperçut Sandrine, dénudée par Nicolas.
Et un troisième homme s'approcha de nous, à poil lui aussi. Je compris ce qu'il attendait : je lui offris mes lèvres, tout en continuant de branler mon second partenaire.

Rapidement, Steve eut envie de changer de position : le dernier arrivé s'allongea, je m'agenouillai pour le sucer, en alternant avec l'autre homme, et Steve se plaça derrière moi, pour me pénétrer. A ce moment, il vit Sandrine, en 69 sur Nicolas, et il s'enfonça d'un seul coup dans ma fente inondée de mon jus.

C'était fabuleux. Les coups de boutoir de Steve propulsaient mon visage en avant, empalant ma bouche sur les queues que je dévorais.

J'avais du mal à reprendre mon souffle, mais je ne pensais pas un instant à me plaindre...
Bien au contraire ! Je sentais maintenant ce moment que je connaissais maintenant si bien : la montée de l'orgasme, les fourmillements au niveau de ma chatte, mon ventre et mes cuisses se tétanisant, l'impression que tout devenait trouble autour de moi. Et je criai mon plaisir.


NICOLAS

Sandrine feulait depuis quelques minutes, excitée par ma langue qui tournait autour de son petit bouton et se glissait dans sa fente offerte. Elle se redressa en entendant les cris de Margaux. La vue de celle-ci, jouissant sous les assauts de Steve, agit comme une décharge.
-Moi aussi, je veux que tu me bourres le minou et que tu me fasses jouir, me dit-elle, en empoignant ma bite pour la guider vers son abricot.

Pour qu'elle continue à faire face à Margaux et Steve, je l'amenai au-dessus de moi, me présentant son dos et son joli cul. Et c'est elle qui vint me chevaucher, se laissant descendre sur mon dard dressé. La tête renversée, les yeux fermés, elle contrôlait elle-même cette pénétration, ponctuée de longs gémissements attirant les regards de nos voisins.

Je goûtais les sensations procurées par le contact des parois enduites de cyprine de sa chatte, sur mon gland.
Puis elle se déchaîna, se soulevant en s'appuyant sur moi d'une main pour mieux se laisser retomber d'un seul coup et, comme si cela ne suffisait pas à assouvir son désir, astiquant de l'autre main son petit bouton.


MARGAUX

Le trio avait échangé ses places, et Steve s'activait maintenant dans ma bouche.

C'était délicieux de retrouver sur ma langue les effluves de mon minou parfumant son gland, tout en sentant une autre queue plantée tout au fond de mon ventre.
Mon excitation ne faiblissait pas, malgré l'orgasme qui m'avait déjà emportée, et les grognements de Steve trahissaient que, lui aussi, allait prendre son plaisir. Loin de me calmer, les palpitations de son dard faisaient au contraire naître en moi l'envie de voir son sperme gicler et m'arroser.
Et je ne fus pas déçue !
Un long jet jaillit d'un seul coup, avec force, inondant ma bouche.

Surprise, j'en recrachai d'abord une partie, qui coula lentement sur mon menton. Mais d'autres jets de foutre suivirent, qui finirent au fond de ma gorge.
Pensant que Steve avait fini d'éjaculer, je me reculai un peu mais, à ce moment, un dernier jet de sperme épais s'éclata sur mon visage.

J'avalai la semence qui restait dans ma bouche, sous les applaudissements des spectateurs.


NICOLAS

Sandrine jouit une première fois puis, quelques secondes après, une seconde fois, en criant.
Mais je voulais la posséder jusqu'à l'épuisement, et son attitude décuplait mon excitation.
Je la fis se remettre debout, en appui contre le mur, et je soulevai sa jambe. Elle guida elle-même ma tige vers sa grotte, et m'embrassa pendant que je m'enfonçais en elle lentement.

Je me mis à aller et venir en elle, et bientôt ses petites plaintes vinrent ponctuer mes mouvements. Ce fut elle encore qui se retourna, entoura mon cou de ses bras pour se soulever, et passa ses jambes autour de ma taille. Ma bite trouva naturellement le chemin de sa chatte affamée, et nous fîmes l'amour debout, sous les regards admiratifs de toute l'équipe de handball.

Notre « performance » et l'exhibition de Margaux commençaient à en exciter certains, et j'aperçus Pauline qui se préparait à aire l'amour avec un inconnu dans un coin de la salle.



MARGAUX

A peine Steve avait-il déchargé, que l'homme qui avait investi ma chatte, excité par le sperme maculant mon visage, se mit à grogner, et murmura d'une voix rauque :
-Oui, je viens, je vais te balancer ma purée... Ca y est, je la sens monter !
Dans la seconde qui suivit, ma chatte reçut une première décharge de foutre. Il se retira aussitôt, et d'autres jets de sperme giclèrent sur mon ventre.

Mon troisième partenaire se précipita littéralement pour prendre sa place.
Avant que j'aie pu m'essuyer, il planta sa queue dans ma chatte. Il ne perdit pas de temps en préliminaires, et me pénétrait sans ménagement.
C'était une situation totalement inédite pour moi : c'était du sexe pur, je me concentrais seulement sur mon minou, sur la jouissance que je procurais à un maximum de partenaires, ce qui m'apportait en retour un plaisir, autant physique que cérébral.
Je n'eus pas le temps de philosopher bien longtemps : un autre joueur de l'équipe de handball, un grand black se débarrassait de ses vêtements, pour offrir à ma bouche une énorme verge. Je me penchais pour saisir à deux mains l'impressionnante colonne de chair.

J'embrassai le gland palpitant, partagée entre l'envie d'être prise par un tel engin, et la crainte de ne pouvoir supporter sa taille.
Me voir sucer cette queue, sentir les spasmes de ma chatte, tout cela eut raison de la retenue du mec qui me baisait. A nouveau, je sentis de longues giclées de sperme chaud inonder ma grotte, descendre vers mon anus et couler entre mes cuisses.

Mais un nouveau partenaire s'approchait, impatient de me faire jouir à son tour : c'était David...


NICOLAS

J'avais baisé Sandrine debout, jusqu'à lui procurer son troisième orgasme en moins d'une demi-heure. Elle se laissa tomber sur une banquette, haletante, ne pensant pas avoir encore les ressources nécessaires pour poursuivre cette séance de baise. Mais je n'avais pas encore éjaculé, je bandais comme un taureau, et je me sentais plus que jamais prêt à un nouvel assaut.
Steve s'était approché, et admirait sa compagne, que le plaisir avait rendue encore plus belle et désirable. Ce fut lui qui donna le coup d'envoi pour la suite, en me demandant :
-As-tu prise Sandrine par derrière ?
-Non... Enfin, pas pour l'instant.
-Alors, vas-y, ne te prive pas de çà !, ajouta-t-il. Elle dit qu'elle n'aime pas, mais je l'ai sodomisée avant-hier, et elle a gueulé de plaisir.
Sandrine essaya de me dissuader, en me suppliant :
-Non, ce n'est pas vrai ! Ne l'écoute pas.
-Ose dire que tu n'as pas joui comme une folle, renchérit Steve.
-Oui, mais je ne veux pas que tes copains me voient en train de me faire enculer.
Sans répondre à Sandrine, je soulevais ses hanches, pour amener sa rondelle à portée de ma bouche, et je me mis à lécher la raie de ses fesses pour la préparer.

Elle protesta d'abord un court instant puis, petit à petit, elle se détendit. Je glissai alors un doigt, puis deux, dans son petit trou.

Elle ne devait pas avoir effectivement une longue pratique de la sodomie, car je trouvais son anus tout serré. Mais elle commença à se laisser aller et à pousser quelques soupirs.
Je ne lui laissai pas le temps de paniquer, et je soulevai ses reins, pour présenter mon gland à la porte de son petit cul.

Elle cria, plus de surprise que de douleur.
J'attendis qu'elle se détende, que je sente sa rondelle moins crispée autour de ma bite. Alors seulement, je montai sur la banquette pour avoir plus de force, et je m'enfonçai en elle, très lentement.

Steve m'encourageait.
-Oui, vas-y maintenant ! défonce-lui le cul, fais-la jouir. Ca m'excite de la voir se faire prendre comme çà.
Sandrine ne cachait plus qu'elle appréciait aussi de se faire prendre de cette façon. Je descendis de sur la banquette, pour la pistonner plus sensuellement, accélérant et ralentissant mes mouvements pour exacerber son plaisir.

Sandrine feulait maintenant comme une chatte en chaleur, ne maîtrisant plus son excitation.
Sachant qu'elle était totalement consentante, je la fis s'agenouiller, pour la prendre en levrette.

Toute pudeur avait disparu chez elle. Elle se caressait le clito, pendant que je l'enculais de toutes mes forces, et m'encourageait par ses plaintes et ses commentaires :
-Ouiii ! vas-y, plus fort... Oh oui, comme ça, bien au fond de mon ventre.
Steve se branlait en nous regardant, et plusieurs joueurs de l'équipe de hand admiraient maintenant la compagne de leur coéquipier, réputée sérieuse, et qui se faisait maintenant sodomiser en public. Je décidai de rendre ce spectacle encore plus excitant.
-Sandrine, tu vas montrer à tout le monde à quel point tu aimes te faire bourrer ton petit trou.
Je m'appuyai contre la banquette, et je la soulevai en la tenant par les cuisses. Dans cette position, chacun découvrait sa chatte béante, dégoulinante de mouille, et son anus dilaté par la pénétration.
-Dis bien fort que tu veux ma bite, ordonnai-je.
-Oui, je la veux, vas-y, prends-moi !
-Et où la veux-tu ?
-Salaud, tu veux que je le dise devant tout le monde... Je la veux ans mon cul !
-Montre bien ta fente pendant que je te pénètre.
Elle ne se fit pas prier. Steve contempla sa compagne, s'empalant doucement sur ma verge, tandis qu'un nouveau flot de cyprine coulait de sa chatte.

Je la baisais comme un bouc en rut, lui arrachant de véritables hurlements, qui couvraient la musique et le bruit de la boîte.


MARGAUX

David me tendit une serviette, pour que je puisse essuyer le sperme qui coulait de ma chatte, et maculait mon visage, mes seins et mon ventre.
-Je vois que tu es encore en pleine forme ! J'espère qu'il te reste un peu d'énergie pour moi. Tu as aimé, cet après-midi sur la plage ?
-Tu poses la question ? Je crois que j'ai assez montré à tous ceux qui étaient là le plaisir que je prenais, répondis-je.
-Alors, as-tu envie que je te fasse jouir une nouvelle fois ?
Pour toute réponse, je me mis debout, entre David et le black que j'avais sucé, et qui ne se contentait pas d'une fellation.

Je contemplais les deux bites qui allaient bientôt me pénétrer, avec une pointe d'appréhension : je pensais que les deux hommes voudraient certainement me faire l'amour ensemble, et si mon petit trou pouvait recevoir la verge de David, il n'en serait peut-être pas de même pour l'autre...

Mais il était trop tard pour reculer.
Je me retrouvai à genoux, suçant alternativement les deux membres bien raides et, au contact des glands palpitant dans ma bouche, j'oubliai mes craintes.



NICOLAS

Je n'en pouvais plus de me contrôler. J'avais tellement retardé le moment de m'abandonner à mon plaisir que j'avais l'impression d'avoir accumulé des litres de sperme.
Mais je voulais offrir à Steve le spectacle de sa copine couverte de foutre. Je me retirai donc de son cul si accueillant, pour me branler à quelques centimètres de son visage.
Sandrine s'était laissé tomber sur un canapé, et je libérai ma semence qui gicla sur son visage, avec une force inouïe.

Un spectateur, qui se masturbait depuis plusieurs minutes en nous regardant, s'approcha et décida de m'imiter. Mon foutre continuait de jaillir de mon gland quand il éjacula, couvrant le visage, les cheveux et la poitrine de Sandrine de nos liqueurs épaisses.

Elle se mit à genoux, pour admirer nos deux glands encore gonflés, et recueillir sur sa langue nos dernières gouttes.

Mais elle n'en avait pas terminé...
Steve, qui s'était caressé pendant tout ce temps, nous rejoignit. Il était dans un état d'excitation indescriptible et se branlait furieusement. Et bientôt, il déchargea à son tour dans la bouche et sur les joues de Sandrine, qui le couvait d'un regard amoureux.

Elle se blottit ensuite entre ses bras, pendant que je rejoignais le groupe qui faisait cercle autour de Margaux.


MARGAUX

Au moment où Nicolas venait me rejoindre, je chevauchais David, en continuant de sucer le joueur noir - prénommé Adrien.

J'étais à nouveau emportée par le plaisir, et je gémissais bruyamment.
-Adrien a très envie de te baiser, me souffla David à l'oreille. Je crois que tu as intérêt à prendre l'initiative, pour contrôler l'entrée d'un tel pieu dans ta petite chatte.
La peur m'avait quittée. J'enjambai le corps d'Adrien, qui s'était étendu sur le dos pour me faciliter la tâche, et je pris l'énorme bite dressée à la verticale dans ma main, pour la guider.

C'était impressionnant : mes doigts ne faisaient pas le tour de cette verge ! Mais je vins tout de même poser ma fente sur le gland gonflé à éclater, et je me laissai descendre tout doucement. Millimètre par millimètre, il disparaissait dans ma fente, et je ponctuais de petits cris les étapes de sa progression. Ce que je ressentais ne ressemblait à rien de ce que j'avais connu.
Et soudain, n'y tenant plus, Adrien me prit par les hanches, pour que je vienne m'empaler sur lui. Je poussai un hurlement, de plaisir et de surprise mêlés.

Il me soulevait par les hanches, pour me faire coulisser sur son dard qui m'emplissait totalement. J'avais l'impression qu'il s'enfonçait en moi jusqu'au nombril.
Mais Adrien ne devait pas se sentir assez libre pour me pistonner à son rythme, et il me fit mettre à genoux, en levrette.
-Caresse-toi, pendant que je te pénètre, me commanda-t-il.

Je caressais fiévreusement mon clitoris. Lentement, il planta sa queue dans ma chatte, sans me faire grâce du moindre centimètre, et il attendit que je me détende. Bientôt son immobilité me devint insupportable et, comme je l'avais fait avec Steve, je contractais mon vagin pour l'exciter, en suppliant :
-Vas-y, je t'en prie, bourre-moi la chatte, baise-moi, fais-moi crier de plaisir !
Il ne se fit pas prier, et David me présenta sa bite à sucer.

C'était un plaisir fabuleux !
J'eus un premier orgasme, qui eut surtout pour effet d'exciter encore plus mes deux partenaires... David glissa quelques mots à l'oreille d'Adrien, et il s'allongea. Adrien me guida pour que je vienne le chevaucher, mais je sentis un gland entre mes fesses. David voulait m'enculer, et j'étais maintenant comme une chienne en chaleur, incapable de refuser quoi que ce soit.
Ma rosette était lubrifiée par la cyprine et le sperme qui avaient inondé mon entrejambes, et David se fraya un chemin sans difficulté dans mon anus. Aussitôt, Adrien m'offrit à son tour son membre à sucer.

Je me laissais balloter par mes deux partenaires déchaînés. C'était un feu d'artifice de sensations, et, découvrir Nicolas parmi nos admirateurs décupla mon énergie pour atteindre un nouvel orgasme.

J'étais devenue un jouet dans les mains des deux hommes.
L'instant suivant, je me retrouvai chevauchant David, pendant qu'Adrien plantait son membre dans mon petit trou. Passer la porte de ma rosette fut un peu pénible, mais ensuite, j'étais dans un tel état que mes deux partenaires me tringlaient en cadence, sans difficulté,

Je suis incapable de dire combien de temps dura cette « chevauchée fantastique ». J'étais dans un état second : ce n'était pas, à proprement parler l'orgasme, plutôt des vagues de plaisir qui se succédaient dans mon ventre et le haut de mes cuisses, tandis que des mains inconnues venaient peloter mes seins durcis, et que je voyais, comme dans un rêve, des mecs se branler autour de nous.
Adrien jouit le premier, sans sortir sa queue de mon petit trou, et la sensation de sa semence inondant mon cul me fit jouir encore.

David, quant à lui, s'était retiré. Il se branlait maintenant devant mon visage, avec les autres spectateurs de cette scène. Je devinai ce qui m'attendait...
Effectivement, dans les instants qui suivirent, de longs jets de sperme jaillirent de toutes ces bites.



NICOLAS

La vue du visage de Margaux, recouvert du foutre de tous ces mecs, m'excitait au plus haut point.

Elle était infiniment désirable, et je sentais mon sexe gonfler de nouveau.
Lorsque ses assaillants eurent terminé, je m'approchai d'elle pour l'aider à se relever, et son sourire vainqueur me transporta.

Je la pris dans mes bras, et elle se blottit contre moi, en me demandant :
-Tu es fière de moi ?
-Evidemment ! Je ne savais pas que tu étais une fan de gangbang...
-Moi non plus, avoua-t-elle en riant, avec un air innocent.
-Tu te rappelles que je t'avais promis de faire l'amour avec toi, en dernier ?
-Oui, bien sûr. Mais voudrais-tu attendre un peu, pour que je récupère ?
-Si tu en as besoin, mais j'ai une autre proposition à te faire : venir chez moi, pour que nous finissions la nuit ensemble.


MARGAUX

Autour de nous, les participants à la soirée se lâchaient.

Terminer cette soirée chez Nicolas, tous les deux... J'étais sur un petit nuage !
Je me remémorais la première nuit que j'avais passée avec lui, à l'auberge, et ces moments délicieux qu'il m'avait fait découvrir.

J'acceptai sans hésiter, en n'osant pas m'avouer que j'étais de plus en plus amoureuse, et nous nous sommes éclipsés discrètement.