Une soirée imprévue et libertine

Une soirée imprévue et libertine 1 (publié par Evevincent le 21-10-2015)
Une soirée imprévue et libertine 2 (publié par Evevincent le 23-10-2015)
Une soirée imprévue et libertine 3 (publié par Evevincent le 23-10-2015)
Une soirée imprévue et libertine 4 (publié par Evevincent le 24-10-2015)
Une soirée imprévue et libertine 5 (publié par Evevincent le 29-10-2015)
Une soirée imprévue et libertine 6 (publié par Evevincent le 20-03-2016)


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Inspiré de : Rencontre avec Nathalie et François (par Pierre)
[http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,rencontre-avec-nathalie-francois,1108.html]

En préambule, je dois vous préciser que ma compagne, Ève, est une ravissante blonde sensuelle et coquine, court vêtue, joliment décolletée, très exhibitionniste, et que la base de notre entente est de conserver une certaine liberté, mais de ne rien cacher à l'autre.




L'été dernier, alors que nous nous promenons dans le village où nous sommes en vacances, le bruit de rires et de musique nous attirent inconsciemment.
Nous passons devant l'hôtel du village qui a visiblement été réservé par de jeunes couples (une trentaine environ) afin de pouvoir passer tout le week-end ensemble et digérer un lendemain de fête un peu difficile...

Ève est plus jolie et sexy que jamais, si cela est possible.
Elle est au naturel très exhibitionniste, jupes courtes et décolletés généreux, chaude, sensuelle et très nature.
Aujourd'hui, elle porte un corset de résille noir, bas et mini-slip assortis, une petite jupe à damier noir et blanc et un gilet de cachemire blanc, assez largement ouvert sur ses superbes seins légèrement comprimés par la guêpière
Un véritable appel au viol, presque un peu pute mais si joliment porté...!




Avec son sourire charmeur et son visage innocent qui contraste tant avec son décolleté et déroute ses admirateurs, égale à elle-même, elle est une fois de plus à croquer.




Dans l'ensemble les jeunes femmes étaient plutôt sexy, mais Ève avait à son habitude ce petit plus indescriptible qui rend tous mes copains un peu amoureux d'elle.

Soudain, un couple (nous saurons ensuite qu'il s'agit du couple organisateur) nous aperçoit et nous sourit... Il se dirige vers nous et se présente :
- Bonjour, je suis François et je vous présente ma compagne, Nathalie. Nous faisons une fête très joyeuse et où chacun à la liberté de faire ce qu'il a envie, dans le respect de chacun... Voulez-vous vous joindre à nous ?

Comme chaque fois que nous rencontrons de nouvelles personnes, Ève et moi avons le même réflexe quasi-automatique... Et nous sommes parfaitement en phase de ce côté là...

Ève imagine Francois tenant son sexe d'une main... Et cette vision lui plait beaucoup...




Quant à moi, bien sûr, j'imagine Nathalie, sans trop de difficultés, avec quelques vêtements en moins...




- Bonjour, répond Ève sans même me consulter, moi c'est Ève et mon chéri s'appelle Vincent... C'est vrai que vous êtes tous très beaux et souriants...
- Eh bien laissez-nous vous offrir un verre, répond Nathalie avec un grand sourire et un clin d'œil. Ensuite, vous serez libre de rester avec nous si vous le souhaitez...

Nous nous empressons de les suivre, toujours en imaginant beaucoup plus que ce que nous voyons...

Je reste dans des visions assez érotiques, imaginant Nathalie en dessous de dentelle noire, commençant à libérer son sexe avide de plaisirs...




Ève, beaucoup plus directe... ne s'embarrasse d'aucuns vêtements pour François, dans son imagination...




Mais, au final, nos visions se rejoignent toujours...




Grâce à un "punch maison" et à du Champagne, l'ambiance avait démarré très vite.
Notre hôte a du talent car c'est une technique dont nous usons pour mettre dans le bain nos amies lors de nos soirées de célibataires et les débarrasser de leurs inhibitions...

Bien qu'habituée à la formule, Ève commence très fort et me semble un peu ivre, ne cessant de passer en riant des bras d'un cavalier à ceux d'un autre.




Les invités et les invitées ne se privent pas, sans insistance ni vulgarité, de lui caresser furtivement, et comme malencontreusement, les fesses et les seins, voire même d'écarter discrètement un pan de son gilet qu'elle referme toujours avec un air faussement réprobateur.

Elle est sans doute une des seules qui accepte, et provoque ce genre de privautés, et tous, m'envient d'être l'élu...
Certains essaient de pousser un peu ce jeu, mais jamais elle n'accepte d'attouchements autres que sur ses seins et ses fesses et ne tolère en aucun cas de se laisser entraîner au lit.




Quant à moi, ces situations m'amusent et me procurent beaucoup de plaisir.
Je ne suis pas jaloux et profiterai de l'état d'excitation dans laquelle ce jeu me la rendra...

Après avoir fait danser ma compagne, je flirte gentiment avec Nathalie qui venait de nous inviter et dont le compagnon, François, semble essayer d'être celui qui fera le plus danser Ève.




Je sens ma jolie cavalière un peu ivre et je m'applique à la faire rire, quand soudain elle me demande :
- Ça ne te gène pas que François drague Ève avec autant de discrétion ?
- Pas du tout ! Cela me permet de danser avec toi !
- Mais si tu veux, je demande à Ève de l'envoyer promener !?
- Non ! Moi ça ne me gène pas ! Vous êtes assez libres tous les deux ?
- Je ne suis pas jaloux et j'aime la voir s'amuser ! Ça te choque ?
- Je ne sais pas ! Mais est-ce qu'elle te trompe ?
- Je ne crois pas ! Et de ce coté là nous sommes plutôt complices !
- Tu veux dire que vous faites des échanges ou des partouses ? Me demande-t-elle d'une voix hésitante.

L'imagination de Nathalie, dopée par l'alcool, l'emmène très loin...








Je la serre un peu plus fort et, sentant, qu'elle ne se dérobe pas, je lui murmure :
- Ne trouves tu pas que la vie est un peu courte pour ne pas tenter quelques petits plaisirs comme celui de danser avec toi, par exemple ?
- Tu ne m'as pas répondu !
- Peut-être que je n'ai pas trop envie de parler de ça pour l'instant ?
- Je ne suis pas une oie blanche, et je ne suis pas si prude que tu as l'air de le penser ! Me répond-elle en se raidissant légèrement.
Je la ramène contre moi et sens ses seins s'écraser sur mon torse.
Ce contact me trouble.
- Je suis capable de garder un secret ! Murmure-t-elle.
Elle semble un peu hésitante et troublée.




Je décide de pousser un peu plus avant.
- Il nous arrive parfois d'admettre un couple dans nos jeux, mais très discrètement et toujours éloigné de nos amis ou relations.




Je la sens frémir légèrement et ajoute :
- Je n'aurais pas du t'en parler ! J'ai peur de t'avoir choquée et je serais désolé que tu me considères comme infréquentable !
- Je t'ai promis de garder le secret et je ne suis pas choquée, ou plutôt beaucoup moins que je ne l'aurais imaginé ! Je trouve que vous avez de la chance de vous entendre aussi bien ! Ma vie à moi me semble moins excitante !
Je saisis la perche.
La brèche me semble bien ouverte.
Il faut vraiment que le punch aie fait tomber nos inhibitions pour que nous puissions tenir une telle conversation !




- Tu n'as jamais trompé ton mari ?
- Je n'ai jamais osé ! Pourtant je sais qu'à lui, c'est déjà arrivé !
- Eh bien tente une fois ! Tu verras ce que tu en penses...
- Et toi, tu l'as déjà trompée ?
- Jamais ! Je préfère quand ça se passe avec elle... J'aime bien la voir comblée, la voir se donner devant moi à un homme ou a une femme qui lui plaît... Je dois te paraître totalement dépravé ?




- Non ! Je ne sais pas pourquoi, mais je t'ai dit que ce soir ça ne me choquait pas, et c'est vrai ! C'est plutôt moi qui dois te sembler anormale en te posant ces questions ! Ça doit être le punch, mais j'ai envie que tu me parles encore... Si tu veux bien...
Me dit-elle en pesant un peu plus dans mes bras, tandis qu'une musique lente nous berce et que nous dansons pratiquement sur place.
Elle continue :
- Je trouverais assez excitant de le faire avec toi et la logique voudrais que je cherche plutôt à t'embrasser...
- Ce que j'ai très envie de faire...
Lui dis-je en murmurant et en déposant un discret baiser derrière son oreille.
Je la sens se cambrer contre moi, son pubis vient s'écraser contre ma cuisse.
Elle doit sentir contre la sienne qu'elle ne m'est pas indifférente du tout.
Heureusement que nous sommes dans une relative obscurité, mais le morceau de musique finissant, je choisis de me séparer - provisoirement - d'elle et l'entraîne prendre un verre.



(À suivre...)^ ---------oOo---------

Ève et François sont invisibles, mais il y a quatre pièces au rez-de-chaussée, en plus du jardin et de la cuisine.
La plupart des invités flirtent, en couples légitimes ou pas, et tout le monde semble assez ivre, heureux et détendu.




- Tu crois qu'ils sont partis faire l'amour ? Me glisse Nathalie.
- Je ne sais pas ! Peut être mais je ne crois pas !
- Pourquoi ?
- Parce qu'à ma connaissance elle ne m'a jamais trompé, mais après tout, je n'en suis pas sûr et cela m'est un peu égal... Ça t'ennuierait que ton mari...
- Non ! Ce soir je m'en fous ! Fais moi danser encore !
J'ai très envie d'elle mais je décide de ne pas brusquer les choses.
Cette situation est très excitante.
À nouveau, je la prends dans mes bras et je sens ses seins et son pubis s'appuyer contre moi.
Elle est ferme, chaude, douce et son parfum m'enivre.




Elle ne peut plus ignorer qu'elle me fait bander et je ne fais rien pour cacher mon état.




Je veux faire durer cet instant.
D'une toute petite voix, elle me demande :
- Vous avez déjà fait ça avec un autre couple ?
- Oui, comme je t'ai dit, cela nous arrive parfois
- Et avec une autre femme ?




- Oui, car Ève a tendance à être hétéro uniquement avec moi et être très bi avec les femmes... Et toi, tu aimerais avoir deux hommes dans ton lit pour s'occuper de toi ? Te faire jouir sans interruptions ?




Elle frémit et je reprends, d'une voix douce, glissant une main entre nos deux corps pour empaumer délicatement un sein rond et ferme :
- Ça n'est pas un de tes fantasmes ?
- Peut être, mais ça n'est pas celui auquel je pense le plus souvent...
- Raconte- moi...
Je lui murmure cette proposition en accentuant la pression de ma main sur son sein, dont je sens saillir le bout, sans qu'elle se dérobe.




- Il m'arrive de rêver qu'un homme plus âgé, qui m'impressionne, m'ordonne de me déshabiller devant lui, debout dans son bureau, et me caresse


Sa voix est rauque, son corps pèse dans mes bras, sa bouche contre mon oreille, et sans cesser de lui caresser la poitrine, je glisse mon autre main sur ses fesses, et tente avec elle ce jeu que j'aime, celui des mots.




- Je voudrais être celui qui te demande de te déshabiller ! J'ai très envie de te retirer ta robe et de continuer à danser en te caressant !
Je la sens réagir à mes mots et elle me semble prendre le même plaisir que moi.
- Je continue ? Mon plus grand bonheur serait de découvrir ton corps, de sentir monter ton plaisir. J'ai très envie de te faire l'amour et je voudrais te faire jouir...
- Continue ! Me dit-elle la tète sur mon épaule.
- Je voudrais faire glisser ta robe et sucer tes seins, sentir sous mes lèvres ta jolie petite chatte mouillée et boire ta liqueur d'amour...




À l'abri de la pénombre, nous sommes totalement imbriqués l'un dans l'autre, son sexe collé à ma jambe, ma queue écrasée sur sa cuisse, et je la sens parcourue de frissons.
Dans la paume de ma main, la pointe de son sein crève le tissu.




- J'aimerais ouvrir tes jambes et passer la langue dans ton sillon, sucer tes lèvres et ton clitoris, caresser l'entrée de ton vagin et sentir ton excitation couler dans ma bouche...




Ses fesses se contractent sous ma main et elle se frotte imperceptiblement contre ma cuisse.
- J'aime quand tu te caresses sur moi, je voudrais te faire mouiller
- C'est déjà fait ! Me dit elle d'une voix rauque.
- Si nous étions seuls, je ne te laisserais que ton slip jusqu'à ce qu'il soit complètement trempé !!
- Il est trempé !!
- Tu imagines ma langue dans ta fente et ton clitoris entre mes lèvres ?
- Tu m'excites ! Si tu me parles encore je vais jouir !




Je la sens se masturber franchement contre moi et je commence à perdre les pédales.
- Tu me fais bander, jolie petite salope. J'ai envie de passer la main sous ta robe pour branler ta petite chatte. Je veux ta liqueur sur mes doigts et sur ma langue avant de m'enfoncer dans ton ventre.




Elle est comme parcourue par un courant électrique.
Heureusement que l'obscurité nous enveloppe, car elle se frotte sur moi, les fesses contractées sous ma main, ondulant du bassin sans aucune retenue.
Je la sens au bord de l'orgasme, respirant par saccades.
Moi-même au bord du plaisir, je reprends :
- J'aime sentir ta chatte s'écraser sur ma cuisse... Ça m'excite d'imaginer ton sexe ruisselant d'excitation, tes jolies lèvres gonflées et ton clitoris dressé
- Oh oui ! Je suis trempée et mon clitoris est trop dur... Je vais jouir... Continue... Murmure-t-elle la voix chavirée.




- Je veux sentir ton odeur et boire ta liqueur... Enlève ton slip et donne le moi !




Je la sens jouir alors que j'ai bien du mal à ne pas exploser...
Je lui dis :
- Je veux te respirer avant de te sucer... Je vais te montrer ce qu'on appelle se faire bouffer la chatte avant d'être baisée...
Elle jouit longuement, tremblante, tétanisée, la tète sur mon épaule, les cuisses serrées autour de ma jambe, tandis que je la soutiens, une main plaquée sur ses fesses.




Je la laisse se calmer, collée à moi, m'assurant d'un coup d'oeil que personne ne nous prête attention.
Mais les quelques couples présents sont eux-mêmes plus occupés à se caresser en dansant.




Toujours au bord du plaisir, je lui dis :
- J'aime te sentir jouir dans mes bras, mais maintenant j'ai envie de goutter à ta liqueur d'amour... Viens !
- Oh oui, mais pas ici ! Ils peuvent nous surprendre ! Ou sont ils ? Peut être en train de faire l'amour là haut ? Attends-moi ! Murmure-t-elle à mon oreille. Je reviens...




Je vais prendre un verre.
Elle réapparaît une dizaine de minutes plus tard, me disant :
- Je ne les ai pas vus, mais pourtant toutes les chambres sont occupées ! Une véritable orgie ! Et dans le noir, je ne suis pas certaine que j'aurais pu les distinguer ! Ça t'ennuie de savoir qu'ils sont peut être en train de faire l'amour ?







- Non, pas du tout ! L'essentiel est qu'Ève soit heureuse et je sais qu'elle me racontera tout dans le détail... Comme moi, d'ailleurs....
- Je suis bien avec toi... Mais j'aurais bien aimé être sure que lui aussi est bien...

Elle ajoute :
- Tu m'as demandé quelque chose tout à l'heure...
Elle me glisse dans la main une petite boule de tissu noire et douce que je porte aussitôt à mon visage...
Son slip, minuscule et humide, sent la noisette, l'excitation, la fille chaude...




- Tu sens bon ma petite salope, j'ai de plus en plus envie de boire ton jus d'amour directement à sa source...
Elle s'écrase à nouveau contre moi.
- Tu es toute nue maintenant sous ta jupe ?
- Oui !
- Tu mouilles encore ?
- Oh oui ! Tu me fais toujours autant d'effet !




- Je t'ai vraiment fais jouir ?
- Oui, beaucoup ! Mais ne me dis pas que tu ne t'en es pas rendu compte ?
- J'aime te l'entendre dire !
- Salaud ! Tu m'as fais jouir très fort, et je crois que je n'avais pas joui comme ça, debout, dans les bras d'un garçon, depuis bien longtemps !
- Maintenant je veux que tu jouisses dans ma bouche ! Viens !




Je l'entraîne dehors, le long du jardin.
Je la plaque le long du mur, l'embrasse pour la première fois à pleine bouche.
Elle répond à mon baiser avec fougue.
Je glisse la main sous sa jupe pour découvrir son sexe nu et humide qui s'ouvre sous mes doigts lorsqu'elle écarte une jambe.




Je m'accroupis devant elle, le visage à la hauteur de son ventre.
Je relève sa jupe pour découvrir ses cuisses, le haut de ses bas et son ventre nu, sa toison brune.
Je soulève sa cuisse pour la poser sur mon épaule.




N'importe qui pourrait nous surprendre et à la faible lumière que dispense le jardin, je vois son sexe s'ouvrir, s'écarter et me révéler un sillon clair et luisant.
Des perles de cyprine brillent.
Du bout de la langue, je déniche son clitoris, tendu, long et fin et le prends délicatement entre mes lèvres pour l'aspirer.





Elle se met à feuler en s'arqueboutant, tendant son pubis vers ma bouche.
Je glisse la langue dans son sillon en embrassant ses lèvres gonflées, avant de l'enfoncer dans l'entrée de son vagin déjà ouvert et ruisselant.
Elle me coule dans la bouche en agitant son bassin, les mains posées sur ma tète.

Elle a un goût de miel chaud, et je me mets à la laper à grands coups de langue, alternant baisers, succions et aspirations.
Elle gémit, agitée de soubresauts, et je la suce longtemps, comme j'aime, buvant son jus qui coule sur mon menton et le long de ses cuisses.
Elle mouille comme une fontaine...

- Oh oui, c'est bon ! Tu suces bien ! Je vais jouir ! Continue ! Oui ! Je jouis ! Je jouis !
Elle me décharge une impressionnante quantité de liquide dans la bouche...
N'y tenant plus, je relève, me déboutonne, et l'embroche d'une seule poussée, la soulevant sous les fesses.




Elle noue ses jambes dans mon dos et je me sens aspiré jusqu'au fond de son vagin brûlant.
Je la sens ouverte, distendue, chaude et gluante, agitée de contractions, et je reste un moment sans bouger, planté en elle, lui parlant à l'oreille :
- Oh putain ! Tu es chaude et profonde ma salope ! Je te sens bien ! Ne bouge plus ! C'est bon ? Tu aimes te faire remplir et en avoir plein ta jolie chatte ?
- Oh oui ! Tu es un salaud et un dégueulasse, mais j'aime quand tu me parles comme ça ! J'aime que tu me parles comme à une pute ! Ça m'excite !
- Oui tu es ma petite pute et je vais te défoncer ta jolie chatte et me vider les couilles dans ton petit sexe excité !




Je glisse le doigt dans sa raie trempée pour le poser à l'entrée de son petit trou dans lequel je m'enfonce un peu.
Elle ne manifeste aucune répulsion.
- Tu as déjà été prise par là ?
- Oui... Quelques fois mais pas souvent...
- Tu as déjà été baisée en sandwich par deux hommes ?
- Non, jamais !
- Je suis sûr que tu aimerais ça !!
- Avec toi, peut être ? Tu es vraiment un beau salaud et j'aime ça !
- Je veux que tu sois très obéissante avec moi...
- Oui




- Si tu as envie de me revoir ce sera sans slip ni soutien-gorge... Seulement des bas !
- Oh oui !
- Je t'obligerai à sortir comme ça et je te montrerai ce que c'est que de se faire baiser par deux mecs pendant toute une nuit...
- Salaud ? Tu veux faire de moi une pute ?
- Ma petite pute !!




- Oh oui, baise-moi fort ! je vais jouir ! Je ferai ce que tu veux ! baise-moi comme une pute!
Je ne sais pas si elle est véritablement sincère et prête à accepter mes délires ou seulement suffisamment excitée pour répondre n'importe quoi, mais je sens la pression de ses jambes autour de ma taille et les contractions de son vagin sur ma queue.
Tout son bassin ondule et, la soulevant littéralement par les fesses, je me mets à la pistonner comme un fou, arrachant presque mon sexe de sa chatte béante pour la reprendre encore au plus profond.




Je me sens soudain immobilisé dans l'étau des ses jambes, avec l'impression de m'enfoncer plus encore dans son ventre.




Je sens son souffle chaud et sa respiration saccadée contre mon oreille.
Elle se met à feuler et nous jouissons ensemble.
Je décharge dans son vagin par longues saccades, avec un extraordinaire sentiment de tomber dans le vide...




Je dois rester longtemps planté en elle et, lorsque nous nous séparons, nous restons enlacés, accrochés l'un à l'autre pour ne pas tomber, sa tète sur mon épaule.




(À suivre....)^ ---------oOo---------

Tout à fait dégrisé, je prends son visage dans mes mains après m'être rajusté, je dépose un baiser sur ses lèvres en lui disant un peu brusquement :
- Cela fait partie des bonnes choses de la vie, rien ne nous empêche de nous revoir si tu le veux bien ? Mais nous ne pouvons, ni toi ni moi, nous permettre de tomber amoureux... Et je suis sincère, tout ce que je t'ai dit est vrai.
- Tu aimerais que nous continuions à nous voir ?
- Oui, mais seulement si ça ne te pose aucun problème

Avant qu'elle ait pu répondre, je l'entraîne à l'intérieur.
Nous prenons un verre et dansons à nouveau, sans voir Ève ni François.




Nathalie se détend et rit à mes bêtises, et ce n'est que plus tard que nous voyons arriver son compagnon, l'air un peu perdu et hésitant.
Il tressaille en nous apercevant et, sans doute rassuré par mon sourire, il s'approche de nous.




Je pousse délicatement ma cavalière dans les bras de son compagnon en leur disant :
- À tout à l'heure




Je trouve Ève dans la pièce à coté, au milieu d'un petit groupe, et l'entraîne sur la piste dans un slow calme.




- Où étais-tu passé ? Me demande-t-elle doucereusement.
- Et toi donc ? Il me semble ne pas t'avoir vue depuis un moment...
Je réponds en riant.




Je la sens se troubler l'espace d'un instant, mais elle se reprend :
- Ce soir, je n'ai pas eu une minute à moi...!
- François m'a eu l'air de te trouver à son goût...




- Il m'a semblé que tu t'entendais bien avec sa femme !!




- Tu as fait l'amour avec lui ?




Malgré cette question directe grâce à laquelle je pensais prendre l'avantage, elle me surprend en répondant sans hésiter et en riant :
- Pas vraiment l'amour, mais il a quand même réussi à me faire jouir...





- Et toi, tu as fais l'amour avec elle ?
- Oui




- Si tu veux, on en reste là, me dit-elle doucement. Je crois qu'on est tous un peu ivres et qu'il vaut mieux ne pas essayer d'aller plus loin ?
- N'empêche que j'aimerais bien savoir comment il t'a fait jouir...

François et Nathalie arrivent à ce moment et se mettent à danser comme nous, restant à l'autre bout de la pièce, semblant ne pas nous voir.

Nathalie semble encore envahie par une sensualité exacerbée...




Ève, la tête nichée au creux de mon cou, me murmure :
- Si tu veux tout savoir, il m'a emmenée dans une chambre, là haut, et après m'avoir caressée, il m'a sucée. Mais je n'ai pas voulu qu'il me baise, et il n'a pas insisté...




- Et je l'ai sucé aussi pour le calmer




Cet aveu m'électrise, elle doit sentir mon sexe durcir et écrase son pubis sur ma cuisse en murmurant :
- J'ai envie que tu me prennes...
- Tu as remis ton slip ?
- Non ! Je crois qu'il l'a gardé !




Nous sommes montés, mais toutes les chambres étaient occupées.
Nous avons même aperçu dans la pénombre deux couples sur un lit.
La soirée tourne à l'orgie et, faute d'un endroit pour nous isoler, nous redescendons avec l'intention de regagner sagement l'hôtel.




François et Nathalie dansent encore et nous adressent un sourire complice et entendu.
Nous parlons un peu avec eux et leur annonçons notre intention de nous retirer, ce que font la plupart des ménages encore présents.
François nous apprend qu'ils logent eux aussi à l'hôtel.

Dans la voiture, en rentrant à l'hôtel, Ève, est très excitée.






Elle libère mon sexe gonflé et me lèche le gland pendant que je conduis. Mais je n'en peux plus...
Elle arrête donc juste avant que je ne jouisse.




(À suivre...)
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Arrivés dans notre chambre, je me jette sur elle comme une bête.
Nous nous déshabillons entièrement et nous faisons un 69 pendant lequel je mets ma langue le plus profondément possible dans sa vulve, et elle me suce goulument.
Elle fait attention que je ne vienne pas, car la soirée n'est pas finie.




En effet, au bout de 10mn, la porte de la chambre s'ouvre, un couple entre, faisant semblant d'être surpris... Mais Ève avait manigancé ça discrètement avec François et avais convenu que la porte ne serait pas fermée...




Je suis tellement excité que je n'essaie pas d'arrêter nos ébats.
Surtout que dès leur entrée, la femme, Nathalie enlève son manteau sous lequel elle est complètement nue.




François, se déshabille très rapidement également et ils se couchent à coté de nous.

Nous restons dans la position du 69, moi allongé sur le dos et Ève à 4 pattes, offrant son sexe à ma bouche.




Ils se placent dans la même position mais à l'inverse.




Ève voit donc, pendant qu'elle suce mon sexe, François enfourner sa langue dans la vulve de Nathalie,... Très voyeuse, elle s'excite de ce spectacle.




François met 2 doigts dans la chatte trempée de Nathalie et les fait bouger très rapidement.




Mêlés au bruit de succion de Nathalie, Ève entend mes gémissements.
Je suis moi aussi très excité de voir la bite de François se faire sucer.




Je mets un doigt puis la langue dans l'anus d'Ève.




Ève peut voir François faire la même chose à Nathalie...




Ne tenant plus, François et moi avons le même geste, et nous nous positionnons derrière nos compagnes respectives, toujours à quatre pattes, et nous les prenons en levrette.
En tournant à peine la tête, Ève peut voir la bite de François pilonner la chatte de Nathalie.




Il avait une bonne bite, du même calibre que la mienne, mais ce n'est pas le plus important.
Elle voit cette bite toute luisante taper fort, et ses couilles se balancent en cadence.
Ève a son premier orgasme presque en même temps que Nathalie...






Nous sommes tous les quatre très excités et les paroles commencent à fuser dans la chambre.
Nathalie, forte de l'expérience que je lui ai fait vivre, réclame que François la baise comme une salope, et Ève me crie de la défoncer.

Ève a la tentation de toucher cette bite à 50 cm d'elle, de la branler, comme elle l'a fait une heure plus tôt, en même temps qu'elle baise la chatte de Nathalie.




Mais François et moi retournons nos belles salopes sur le coté afin qu'elles soient en face.
Nous sommes derrière elles et leur levons une jambe afin que chacun(e) puisse mieux voir les pénétrations des autres...




Parfois les bites sortent complètement et ça rend folle Ève.
C'est comme devant le miroir qui est dans notre chambre, mais là c'est un autre couple qui baise...
Ève voit François et Nathalie ne rien manquer de nos ébats.
Leurs regards sont fixés sur ma bite qui la pilonne.
Ma bite est dure, car moi aussi je suis excité par ce que je vois.




Toujours de concert, François et moi retournons nos compagnes sur le dos, côte à côte.
Nous remontons leurs jambes et commençons à les baiser comme des bêtes sauvages.
Il n'y a plus rien que du sexe.




Ève et Nathalie ont les genoux sur la poitrine et, dans une compétition imaginaire, nous pénétrons leurs chattes le plus rapidement possible, des coups de boutoirs énormes, avec nos bites gonflées à bloc.
Ève sens qu'elle mouille comme une folle, ses fesses sont trempées tellement que son excitation coule depuis son sexe.





En même temps, François et moi sortons de ces chattes accueillantes et nous nous postons devant leurs bouches.

J'éjacule sur la bouche ouverte d'Ève, de longs jets de sperme dans sa bouche et également sur son visage à cause de la violence des jets.




François fait de même avec Nathalie, de longues giclées lui arrivent dans la bouche et sur le visage.
Nous poussons un grognement de bêtes féroces en éjaculant.




A peine fini, Nathalie et Ève nous sucent pour profiter de ce moment magique où le gland est tout sensible.

(À suivre....)^ ---------oOo---------

Nous nous allongeons sur le lit, le temps de reprendre un peu notre souffle.

Nous nous racontons dans le détail nos parties respectives, quelques heures plus tôt, et mon membre et celui de François reprennent vite de belles formes.






Pour avoir un peu plus de proximité et de point de vue pendant nos ébats, nous convenons que Nathalie s'allonge sur le dos et que Ève vienne tête bêche sur elle.
Sans aucun contact, Ève voit donc la chatte de Nathalie alors qu'elle a une vue sur celle d'Ève.




Je me mets derrière Ève et la pénètre d'un coup.
François fait de même avec Nathalie alors que, sous l'excitation, Ève lui présente sa bouche pour un long baiser langoureux




L'excitation est à son comble, en plus de la vue, il y a également les odeurs très excitantes...

Nous commençons à pénétrer Ève et Nathalie de plus belle en de longs et puissants vas et viens.

Ève hurle, elle a la bouche à quelques centimètres de la bite de François, qui ressort de temps en temps, et pointe vers elle.
Ève résiste de la prendre en bouche.
De même pour Nathalie, même si Ève ne voit pas ce qui se fait derrière elle...

Est-ce que Nathalie me caresse la bite, ou les couilles, est-ce qu'elle prend ma bite dans sa bouche de temps en temps ?...




Bien sûr que oui et la langue de chacune alterne ses caresses entre la bite et la chatte de l'autre couple tandis cette bite et cette chatte s'emboîtent parfaitement et sont dans un état d'excitation énorme...

Après quelques minutes de pénétrations intenses, nous changeons de position et les femmes chevauchent leurs hommes.
D'abord côte à côte, les 2 hommes allongés dans le même sens, les femmes montent et descendent sur ces bites tendues par l'excitation.




Leurs seins ballottent.
Nathalie a de plus gros seins qu'Ève...



C'est à ce moment que la porte s'ouvre encore une fois.
Et là ce fut une surprise pour Ève car elle n'avait comploté qu'avec François...




La propriétaire de l'hôtel, qui était encore au bar lorsque nous sommes arrivés, entre dans la chambre...
C'est une très jolie femme épanouie et sensuelle, qui s'appelle Christine.
Nous l'avions tous remarquée sans toutefois en avoir parlé...




Elle dit, en riant :
- Je vois que j'arrive au bon moment ! Même si, en fait, j'étais venue vous demander de baisser le son de votre télé que je croyais allumée...!

Christine commence à se déshabiller, très excitée par ce qu'elle voit...




Ève lui demande de se dépêcher car elle a envie de lécher sa chatte pendant que je la baise...
Christine lui répond doucement, en s'approchant pour caresser les tétons tendus de ses seins :
- Patiente un peu, j'ai demandé à Christian, mon compagnon, de nous rejoindre...






Effectivement, la porte s'ouvre à nouveau et un homme entre, nu et souriant...
Il se présente à tous et aide Christine à finir de se déshabiller...
Le sexe de Christian, qui n'a pas eu la chance de partager notre soirée, est déjà très dur et tendu par l'excitation...
- Hmmm cette situation est très excitante, regardez...

Il saisit son sexe dans la main et commence à le caresser...




Un peu impressionnée et surprise, Nathalie prend la bite de Christian à pleine bouche...
Il est excité, et lui tient la tête pour qu'elle aille le plus loin possible.






Je redouble d'excitation.
François également...
Il joue avec le petit trou de Nathalie, en y enfonçant un puis plusieurs doigts tout en continuant à lui labourer la chatte avec sa bite.




Christian voyant cela, demande s'il peut prendre la place des doigts avec sa bite et si sa salope adorerait se faire prendre en sandwich...

Ève se dit qu'il ne va quand même pas l'enculer tout de suite, là à peine arrivé...
Elle me demande de nous décaler un peu pour qu'elle puisse voir le spectacle de la chatte et du cul de Nathalie avec une bite dans chaque trou.



Nathalie croise nos regard et esthètes excitée par cette double pénétration, mais aussi de s'exhiber devant nous

Je regarde cette situation que j'avais suggérée à Nathalie et que cela avait tellement excitée...
Son fantasme devient réalité !
Nous nous décalons afin de ne rien manquer de cette double pénétration.




Ève reste empalée sur mon sexe et j'aperçois Christine qui se caresse déjà le sexe avec fougue et envie... visiblement elle aussi très excitée.




Nos regards se croisent.




Mon sexe durcit encore dans la chatte d'Ève qui le sent et accentue ses vas et viens, excitée par ce membre mais aussi par ce qui se prépare...

Christian passe derrière Nathalie, appuie sa bite sur son petit trou, mais Nathalie est tellement mouillée que la bite de Christian glisse directement dans sa chatte où se trouve déjà celle de son compagnon.
Elle a deux bites dans sa chatte, et les deux hommes , un peu surpris apprécient la sensation, car ils la baisent de plus belle.




Ève et moi, on regarde ça, et ça nous excite.
Comment peut-elle recevoir deux beaux calibres comme ça dans sa chatte ?
Elle hurle de plaisir...
On aperçoit les deux bites qui entrent et sortent de cette chatte, avec leurs couilles qui s'entrechoquent.
Les mouvements ne sont pas synchrones, mais on ne peut pas leur en vouloir...

Je baise Ève de plus belle en levrette.
Je continue à la baiser comme un fou.
Je mets mon pouce dans son cul en même temps.




Christine approche derrière moi en continuant de se masturber.
Elle ôte la main qui caresse sa chatte et la passe sur mon visage pour me montrer et me faire sentir combien elle est excitée...
Je la lèche avec délectation, ce qui m'excite davantage...
Elle se s'éloigne un peu, tout en me regardant, et profite de la salive que j'ai déposée sur ses doigts pour se caresser ouvertement l'anus




Mes mouvements s'accélèrent dans la chatte d'Ève qui hurle de jouissance.
D'autant plus que Christine a enlevé mon pouce de son anus et s'est mise à le lui lécher très profondément...




A ce moment, Christian sort de la chatte de Nathalie, et dit en rigolant :
- Maintenant, je vais lui prendre le cul, je suis venu pour ça...

Il entre d'un seul coup dans le cul de Nathalie, qui hurle de plus belle.
Maintenant, les deux bites s'activent dans deux orifices différents.




Ève a envie de toucher, mais non, elle se retient.
Elle me hurle de me la mettre profond dans le cul et de la sodomiser.

Christine s'est de suite exécutée, elle a retiré ma bite du sexe d'Ève et l'a enfilée d'un seul trait dans son cul et j'ai commencé à la sodomiser.





Le spectacle devant nous est terrible.
Ève est partagée entre l'excitation et la frustration car elle aurait aimé sentir ces deux sexes en elle...

Elle jouit encore une fois par le cul, sentant mes couilles taper sur sa chatte.
Parfois je ressors, guidé par la main de Christine, qui admire le cul d'Ève, complètement dilaté, et elle rentre à nouveau mon sexe à l'intérieur.

Christine glisse alors trois doigts dans la chatte d'Ève pendant que je continue à la sodomiser comme un fou.




Christian toune la tête vers Ève et lui demande si elle voulait le même traitement.
Elle lui répond :
- Non, pas cette fois...
Pourquoi est ce qu'elle a rajouté "pas cette fois" ?
Cela voulait-il dire qu'il y aurait d'autres fois ?

Christian et François n'en peuvent plus, de sentir leur bite glisser l'une contre l'autre et à l'étroit dans le cul de Nathalie.
Ils se retirent.
Nathalie est toujours à genoux.
Ils se mettent debout, afin que leur bite soit au niveau de sa bouche, et éjaculent de longs jets de sperme.




À ce même moment, je lâche ma jouissance dans le cul d'Ève qui sent le liquide chaud qui se répand alors que Christine continue en phase, avec ses doigts, ses vas et viens dans sa chatte.




Voir Christian et François jouir sur Nathalie déclenchent un orgasme foudroyant à Ève.
De même, Christine, qui s'est masturbée en caressant Ève, jouit en libérant son excitation...




Les hommes se sont allongés sur le lit, leurs bites redescendent et commencent à pendre.
Nathalie se lève la première, suivie de François et Christian puis Christine.
Ils se rhabillent rapidement et, après un baiser à la volée, nous souhaitent une bonne nuit.

Il est quatre heures du matin.
Ève a la chatte et le cul en feu mais avec, encore dans la tête, toutes les images de cette longue soirée imprévue...

Je la remercie de l'avoir ainsi organisée et lui demande de recommencer dès que possible...

Mais ça, ce sera peut-être une autre histoire....^ ---------oOo---------

Une soirée imprévue et libertine 6 (petite suite)


J'ai dû partir en déplacement professionnel pour une semaine.
Ève trouve le temps long...

Bien-sûr, elle sait parfaitement comment égayer ses soirées et apaiser son corps de ce désir qui la brûle de l'intérieur.




Cependant, le virtuel a ses limites.




Ce soir, j'appelle Ève comme chaque soir et notre discussion devient vite très chaude.
Elle me parle de ses envies.
Mon corps, mon sexe, mes caresses lui manquent.




Elle me dit même ne plus être capable de contrôler ses envies lorsqu'elle croise un bel homme ou une jolie femme...

Devant son désarroi, je lui fais alors une suggestion :
- Pourquoi n'appellerais-tu pas Christine et Christian, nos charmants hôtes qui avaient très bien su nous accueillir lors de la soirée... tu te souviens ?
- Bien sûr que je m'en souviens ! Et arrête de me rappeler ça... ça va encore me mettre dans tous mes états !




- Eh bien, appelle-les ! Ça leur fera plaisir...
- Oui, mais tu n'es pas là...
- Ne t'inquiète pas... Je te fais entièrement confiance et je n'ai envie que d'une chose... Ton plaisir... Promets-moi simplement de me tenir informé en direct de ce que vous faites...
- Tu en es certain ?
- Oui...! Je pense même que je vais adorer ! Vas-y ma chérie et lâche-toi sans culpabiliser ! Tu sais que je t'aime et ne veux que ton bonheur.
- Moi aussi, tu le sais... Tu es un homme extra... Je te tiens au courant de tout...!

Peu de temps après, je reçois une photo sur mon smartphone avec un message...




- Tu te souviens de cette photo que tu as prise de moi ? Je me suis habillée ainsi pour aller rejoindre Christine et Christian... Ça te plaît ?

Je lui réponds aussitôt...
- Bien sûr que je m'en souviens ! Et je me souviens aussi de ce merveilleux cliché que j'ai pris lorsque tu es montée en voiture !




Réponse immédiate...
- Mais là, rien ne protège mon intimité... ;-)
- Hmmmm... Coquine ! Aurais-tu quelques idées en tête ? J'imagine très bien l'effet que tu vas leur faire... Comme le soir où j'ai pris cette autre photo... Je n'ai pu résister à te violer sur le champ dans la salle de bain




- Me violer !? Mais j'étais consentante ! LOL

Un long silence s'ensuit dans nos échanges de sms.
Elle a dû arriver chez Christine et Christian.
Par provocation (et impatience ?), je lui envoie un message...
- Fais-leur un bisou de ma part... Surtout à Christine... ;-)

Quelques instants plus tard, je reçois sa réponse :
- Ohhhh... Désolée, chéri, ils se sont très vite occupés de moi et je n'ai pas pu t'écrire... Christine s'est montrée très généreuse avec moi et m'a offert un joli cadeau...




- Ah oui, je vois... Et il y en a un qui ne demandait que ça...!
- Tu as raison...! LOL
- Le plaisir semble donc être partagé !
- Oh ouiii... Regarde ! Je la prépare pour Christine !




- Elle n'attend que ça, apparemment...!
- Difficile pour moi de continuer à t'écrire, mon chéri ! Ne t'inquiète pas, je pense à toi... Juste un petit clin d'œil rien que pour toi...




Ève semble être ravie et je suis heureux pour elle.
Je lui fais entièrement confiance et je sais qu'elle n'est avec eux que pour le plaisir et rien d'autre.

Une bonne demi-heure après, je reçois une nouvelle image et un message qui me ravit :
- Coucou chéri, voici la seule image que nous ayons pu prendre... C'était délicieux... J'en avais besoin... La queue de Christian ne vaut pas la tienne mais était néanmoins très bonne... Tu as vu comme Christine est gourmande ? Elle lèche tout jusqu'à la dernière goutte...




- Tu m'as trop excité, Ève... Regarde...




- Hmmm... Garde-moi tout... Et arrête de m'exciter sinon je vais devoir aller retrouver Christine et Christian...!