Vengeance

Mystérieux David - Episode 1 (publié par Lisa le 09-12-2015)
Mystérieux David - Episode 2 (publié par Chloe23 le 04-01-2016)
Mystérieux David - Episode 3 (publié par Lisa le 01-02-2016)
Mystérieux David - Episode 4, Acte 1 (publié par Chloe23 le 01-02-2016)
Mystérieux David - Episode 4, Acte 2 (publié par Lisa le 01-02-2016)
Vengeance(s) - Acte 1 (publié par Chloe23 le 01-03-2016)
Vengeance(s) - Acte 2 (publié par Lisa le 10-03-2016)
Vengeance(s) - Acte 3 (publié par Chloe23 le 01-04-2016)
Vengeance(s) - Acte 4 (publié par Lisa le 01-05-2016)
Vengeance(s) - Acte 5, première partie (publié par Chloe23 le 01-06-2016)
Vengeance(s) - Acte 5, seconde partie (publié par Lisa le 01-06-2016)


^ ---------oOo---------

Mystérieux David - Episode 1


Voici une série à quatre mains écrite en quatre épisodes par Lisa et Chloé.

LISA

J'avais rencontré David dans un restaurant un jour où Simon m'avait posé un lapin. David s'était présenté à moi comme un vrai gentleman :
- Comment une aussi jolie femme peut-elle dîner seule ?
Le reste de la conversation était assez convenu et de fil en aiguille on a fini par aller faire l'amour dans une arrière-salle. Depuis, David m'appelle régulièrement quand il a envie de s'amuser un peu. Ce qui me plaît chez lui, c'est son côté mystérieux. Parfois peut-être un peu trop, car je dois avouer ne rien connaître de lui. Il semble très à l'aise financièrement mais je n'ai aucune idée du travail qu'il fait. Il a le corps très entretenu d'un sportif mais jamais il ne m'a dit lequel il pratiquait. Je m'imagine parfois qu'il est agent secret ou qu'il pratique une profession dangereuse qui l'empêche d'en parler. David est un homme qui, comme Simon et moi, aime l'exhibition et, quand je sors avec lui, je sais que je ne vais pas m'ennuyer.
Aussi, j'ai répondu favorablement quand il a proposé de passer me chercher :
- Je suis en bas de chez toi dans dix minutes.
Cela me laissait tout juste le temps de m'habiller : débardeur décolleté et mini-jupe. Je descendis dès que j'entendis le klaxon de sa voiture. Quand je me penchai à la fenêtre, il eut l'air ravi :
- Lisa ! Encore une fois tu es splendide...
- Idiot, tu ne regardes que mon décolleté.



- Oui... ça me met déjà en émoi. Allez, monte !
A peine fus-je montée qu'il se pencha à nouveau sur ma poitrine :
- Par contre ça manque de surprise...
- Qu'est-ce que tu entends par là ?
- J'étais certain que tu n'aurais pas de soutien-gorge...
- Je n'aime pas ça...
- Moi non plus, ça tombe bien.
Je tirai sur le décolleté pour dégager mes seins.



- Mince ! Ils sont toujours aussi beaux...
Un peu impatiente de savoir où nous allions, je lui demandai :
- Et tu comptes me faire l'amour sur le trottoir devant chez moi ?
- En fait, j'avais prévu de t'amener à la patinoire...
- Sans rire ?
- ...mais j'ai vu en passant qu'elle était en cours de rénovation.
- Et donc on va où ?
- Est-ce que tu serais tentée par de l'accrobranche ?
- Heu... Avec ma tenue, ça ne va pas être possible...
Je soulevai ma jupe pour lui montrer ma fente nue.



- J'en étais sûr !!!
- Donc pas d'accrobranche
- Quoique ça aurait été idéal au niveau exhibition, non ?
- Ne dis pas de connerie, il y a beaucoup d'enfants dans ce genre d'endroits.
- Quoiqu'on décide, je me rends compte que je ne t'ai pas fait la bise...
Je me penchai vers lui pour l'embrasser mais il me repoussa au fond du siège et se pencha entre mes cuisses. Sa bouche se posa sur mes lèvres, mais pas celles de ma bouche, et sa langue commença à se glisser entre, pour y monter et descendre.



C'était un vrai délice et j'étais bien tentée de le laisser continuer. Mais je le repoussai gentiment :
- Bon, j'ai dit que je ne voulais pas faire ça devant chez moi, donc emmène-moi où tu veux mais démarre.
Il ne se fâcha pas, d'autant qu'il remarqua que je restais seins nus sans rajuster mon débardeur. Il démarra et nous partîmes. Je voyais qu'il bandait très fort dans son pantalon :
- Oh, tu dois être un peu à l'étroit là-dedans.
Je décidai de le libérer.



Quand ma main empoigna son sexe tendu, il eut un petit sursaut. Heureusement qu'il y avait de la circulation et qu'on ne roulait pas vite du tout car il eut beaucoup de mal à se concentrer sur sa conduite et cela m'amusait :
- Qu'est-ce qui te déconcentre le plus : mes seins ou le fait que je te masturbe ?
- Un peu les deux je pense...
- Et tu nous emmènes où ?
- Je ne sais pas encore mais quelque part où on y arrive vite car j'ai vraiment trop envie de toi !



Il chercha un quartier plus tranquille avec moins de circulations. Il déboucha sur une ruelle et se gara juste au niveau d'un type qui fumait sa cigarette. David s'amusa à baisser ma vitre. Rapidement, je rajustai mon débardeur mais David garda son sexe en érection hors de son pantalon, sous le regard ahuri du gars.



Le type s'approcha de ma fenêtre :
- Vous êtes à l'aise, vous ! Vous ne craignez pas d'être poursuivi pour attentat à la pudeur ?
David rigola :
- Non, c'est que je ne peux plus remettre ça dans mon pantalon. C'est à cause de la demoiselle...
David s'amusa à dégager mes seins du décolleté :
- Regardez ! Vous resteriez insensible à une telle paire de seins ?



- Je dois avouer que ça me fait de l'effet...
- Donc vous comprenez mon état.
- Oui et je pense qu'il serait normal que la demoiselle vous soulage.
- Bien dit !
David appuya doucement sur ma nuque pour m'inciter à me pencher sur son érection. Bien volontiers, je la pris en bouche pour une petite fellation en m'installant confortable à quatre pattes sur mon siège. David en profita pour relever ma jupe et révéler mon cul au voyeur :
- Si la vue vous plaît, n'hésitez pas à vous mettre à l'aise.



David avait proposé cela juste pour mettre le gars dans l'embarras, se croyant plus exhibitionniste que tout le monde. Mais le type le surpris en sortant sa queue.
- Lisa, tu devrais faire une pause et jeter un œil là-dessus...
Me retournant, je découvris à la fenêtre un sexe effectivement colossal. David poussa ma tête vers le membre turgescent :
- Allez Lisa, je crois qu'il apprécierait que tu le soulages...
Sans discuter, je me penchai à la fenêtre pour prendre en bouche l'énorme sexe.



David ne pouvait s'empêcher de faire valoir mes talents :
- Alors, elle est douée, non ?
- Oui, c'est sans doute la meilleure pipe que j'ai jamais eu !
Je fis en sorte que le type ne puisse pas tenir longtemps et, après seulement trois minutes, je le sentis se tendre et grogner. Je le sortis de ma bouche juste au moment où il se mettait à éjaculer. Son sperme gicla et envahit ma bouche. Je la gardais ouverte avec la langue tendue pour laisser le sperme s'écouler sur la portière de la voiture de David.



Le gars semblait ravi en se rajustant. David l'interpella avant qu'il ne s'en aille :
- Attendez, on peut vous demander un service ?
- Heu... oui, certainement.
- Est-ce que je peux vous confier ma caméra pour que vous nous filmiez ?
- Pas de problème.
- Super. Viens Lisa, on va faire ça derrière la voiture.
Nous sortîmes tous les deux et il confia sa caméra au gars. Le sexe de David avait perdu un peu de sa vigueur. Je m'accroupis donc pour me mettre à la tâche et lui rendre toute sa majesté.



Quand il fut bien en forme, il me fit relever et m'appuya au capot de la voiture. Soulevant ma jupe, il exposa mon cul nu que notre caméraman vint filmer en gros plan. Puis, il passa deux doigts sur mon entrejambe humide, m'arrachant au passage un petit gémissement de contentement. Je sentis enfin son gland contre ma fente. Il commença par la faire glisser d'avant en arrière contre mes lèvres sans me pénétrer. C'était une excellente entrée en matière et je sentais que je mouillais bien. Il n'eut qu'à donner un petit coup de reins pour me pénétrer et s'enfoncer en moi jusqu'à la garde. Il ne tarda pas à prendre en rythme soutenu et j'avais bien du mal à limiter mes gémissements de plaisir. En bon exhibitionniste et voulant améliorer la mise en scène de la vidéo, il m'attrapa une cuisse et la souleva, m'obligeant à pivoter un peu. De cette manière notre caméraman pouvait mieux filmer la pénétration mais également profiter de mes seins qui ballotaient à chaque assaut de David.



Il y a eut deux ou trois voitures à passer, mais, à part une qui passa vraiment au ralenti pour regarder, les autres semblaient ne nous avoir pas vus. David me demanda de changer et s'aller m'appuyer au grillage derrière la voiture. J'obéis docilement. Il venait de me prendre à nouveau en levrette quand un jeune homme arriva au bout de la rue. David lui sourit et continua à me labourer. Le jeune s'approcha de nous et demanda :
- Vous tournez un porno ?
- Non, on baise et on immortalise ça. C'est tout.
Le gars semblait surpris mais il sortit son téléphone portable et s'autorisa à prendre quelques photos. Le fait d'être baisée ainsi en pleine rue sous les yeux de deux inconnus qui immortalisaient cela en photo et en vidéo m'excita prodigieusement et j'eus un orgasme puissant que les gars ne purent manquer vu les cris de plaisir que je poussais.



Quand mon orgasme retomba, David n'avait pas encore jouit. Je lui proposai de terminer sur la banquette arrière de la voiture :
- On finit dans la voiture ? Comme ça je pourrais m'allonger...
- Ok !
Le gars qui prenait des photos continua son chemin mais notre caméraman resta. David me retira mes fringues pendant que je m'installais. Par jeux je me mis à l'envers pour qu'il soit obligé de m'escalader pour venir entre mes cuisses. Cela le fit rire et je profitais qu'il passait au-dessus de moi pour lui sucer les couilles.



Me repoussant contre la portière, il vint s'installer à genoux entre mes cuisses. Il me saisit les mollets et m'écarta en grand les jambes pour exhiber totalement ma moule béante. Notre caméraman s'était installé sur le siège passager et continuait à nous filmer. David guida son sexe en moi et commença à me pistonner.



En quelques minutes, je sentis un second orgasme arriver. Cela sembla déclencher le plaisir de David et je le sentis prêt à venir alors qu'il s'immobilisait en moi, le sexe palpitant. Il se retira vivement et, alors qu'il poussa un profond râle, son sperme se mit aussitôt à jaillir en tout sens, m'éclaboussant généreusement les cuisses et le ventre.



- Lisa, désolé pour le cadre peu romantique mais j'ai quand même pris un pied d'enfer, encore une fois.
- J'avoue qu'on ne s'ennuie pas avec toi et ça me plaît bien de ne pas savoir à l'avance ce que tu me réserves.
Nous nous rhabillâmes et notre voyeur rendit sa caméra à David. Il nous dit au revoir et s'éclipsa. David me serra la main en rigolant :
- Bravo mademoiselle, voilà encore un homme qui va longtemps se masturber en pensant à vous !



Nous repassâmes devant et David redémarra :
- Je te ramène chez toi ?
- Oui, Simon doit être rentré maintenant.
- Ne lui raconte pas tout de suite, je vais lui envoyé la vidéo dès que je l'aurais traitée.
- Ok.
Je vis qu'il y avait encore une bosse dans son pantalon :
- Tu bandes encore ?
- Lisa, je suis perpétuellement en érection quand je suis en ta présence...
Cela me fit rire et je le libérai pour le masturber gentiment pendant le reste du voyage de retour.



Quand il me redéposa devant chez moi, je l'embrassai pour lui dire au revoir.
- Bon, David, un trottoir ce n'était quand même pas ce qu'il y a de plus glamour...
- Ouais, c'était improvisé et ce n'est effectivement pas ce que je t'ai proposé de mieux. Mais je vais me rattraper demain, j'ai un plan qui te plaira sûrement.
- Demain, ce ne sera pas possible, désolée...
- Allez ! Fais un effort, j'ai prévu un endroit idéal pour donner libre cour à nos envies. Tu ne peux pas me laisser y aller seul !
- Non... mais par contre, j'ai une idée...
Je sortis mon portable et consultai mon répertoire :
- Je t'envoie le numéro d'une copine. Il me semble qu'elle est dispo demain et je suis certaine que tu t'amuseras avec elle. Elle s'appelle Chloé.
- Chloé ? Elle aime le sexe et l'exhibe ?
- Peut-être encore plus que moi...
- Je crois que je vais me laisser tenter.


CHLOÉ

Je ne sus que plus tard ce qui s'était réellement passé, mais en fin d'après-midi, je reçus un appel de Lisa sur mon portable.
- Chloé ? Je voulais te prévenir : j'ai donné ton numéro de portable à un garçon dont j'ai fait la connaissance, il y a quelques jours. Il va sans doute t'appeler ce soir de ma part, et te demander si tu es libre demain.
- Tu viens juste de rencontrer un homme, et tu lui donnes déjà mon téléphone ?
- Je pense que tu ne m'en voudras pas, quand tu l'auras rencontré, se défendit Lisa.
- Bon, je veux bien, mais qu'est-ce qu'il va me proposer ?
- Je ne peux rien te dire, et je ne le sais pas exactement, mais je suis certaine que ça te plaira. Rassure-moi : tu aimes toujours t'exhiber ?
- C'est toi qui me poses la question, répondis-je en riant, avec ce que j'écris sur ton site ! Et comment est ce garçon ?
- Il va te plaire : beau, sportif, très sympa... Il a l'air plein de tunes, en plus. Je dois te laisser, tu me raconteras, me dit simplement Lisa, avant de raccrocher.
Après notre conversation téléphonique, je pris une douche. Je sortais tout juste de la salle de bains lorsque mon portable sonna de nouveau.



- Excusez-moi de vous déranger. Je m'appelle David, et je vous appelle de la part de Lisa, qui m'a parlé de vous. J'aimerais vous rencontrer.
- Et bien, on peut dire que vous êtes direct, David !
- C'est mon défaut, avoua-t-il, mais je sais me faire pardonner. Seriez-vous libre demain ?
Sa voix était chaude et sensuelle. Si le reste était à l'avenant, Lisa n'avait pas du lui résister longtemps !
- Peut-être... Que voulez-vous me proposer ? lui demandai-je.
- C'est difficile à expliquer au téléphone. Si vous acceptez, je vous invite à déjeuner, et vous déciderez ensuite si vous avez envie que nous passions un moment ensemble.
A priori, je ne risquais rien, et j'aurais toujours profité d'un repas agréable. Lorsque j'eus accepté, il me posa encore quelques questions.
- Lisa m'a dit que vous étiez très belle, mais pouvez-vous m'en dire un peu plus ?
- Si vous voulez tout savoir, je suis étudiante en lettres. Physiquement, je suis un petit gabarit, et j'espère que vous ne fantasmez pas sur les fortes poitrines ! Je suis assez sportive...
- Et quels sports pratiquez-vous, me demanda-t-il, l'air intéressé.
- La natation, le tennis...
- Si vous voulez, nous pourrons aller taper quelques balles demain après-midi. Je suis abonné à un club très sympa.
J'ai accepté, et je lui ai donné mon adresse. Mais le soir, j'eus du mal à m'endormir, intriguée par ce mystérieux David.
Le lendemain, en fin de matinée, je préparai un sac de sport, avec ma tenue et ma raquette de tennis, une serviette et mon gel douche. J'hésitai un peu sur ce que je porterais pour aller au restaurant : finalement, ce fut une minijupe ultracourte, et un débardeur très décolleté.



A midi précise, la sonnette retentit dans mon petit studio, et je me précipitai sur l'interphone.
- Chloé ? C'est David.
- Je descends tout de suite, répondis-je, ne souhaitant pas le faire rentrer tout de suite chez moi.
Dans le bas de l'immeuble, j'aperçus David, appuyé contre une superbe voiture de sport.



Il vint vers moi, et me serra la main, très gentleman.
- Lisa m'avait laissé entendre que vous étiez jolie, mais elle était en dessous de la vérité : vous êtes aussi belle que sexy.
- Merci, dis-je, ne voulant pas paraître trop vite enthousiaste - même si je trouvais David tout à fait à mon goût.



Aussitôt montée dans la voiture, Davis démarra. Il conduisait vite, mais très bien, et nous arrivâmes devant le restaurant : c'était une des meilleures tables de la région.
La salle était luxueuse et vaste, privilégiant l'intimité et la discrétion pour les clients.
David semblait être un habitué, et il commanda au maître d'hôtel une bouteille d'un grand champagne millésimé, sans quitter des yeux mon décolleté. J'engageai la conversation sur Lisa.
- Ainsi, vous connaissez bien Lisa.
- Oui, répondit-il, nous sommes très complices.
- Vu le tempérament de Lisa, j'imagine ce que peut être votre complicité.
- Je crois que vous imaginez bien, mais je ne vous en dirais pas plus, je suis très discret.
Il était tout aussi discret à son sujet, car à mes questions le concernant, je n'obtenais que des réponses évasives.
Le repas était raffiné et délicieux. Après que nous ayons décidé de nous tutoyer, il commença à m'interroger sur ce que je faisais, ce que j'aimais.
Pendant ce temps, mon décolleté glissait vers le bas, lentement mais sûrement...



- Je te vois fasciné par mon décolleté, lançai-je, amusée, à David.
- On le serait à moins ! Tes seins sont splendides, et j'ai l'impression que ça ne te gêne pas trop de les montrer, remarqua-t-il.
Je me contentai de sourire. Le champagne commençait à me faire de l'effet, et je sentais monter l'excitation et le désir. Et lorsque je me baissai pour ramasser ma serviette tombée sur le parquet, ma poitrine jaillit littéralement de mon débardeur.



Le serveur, qui nous amenait un plat à ce moment-là, faillit tout renverser, mais je faisais celle qui ne s'était aperçue de rien. David semblait littéralement hypnotisé.
- Remets-toi, lui dis-je en voyant son expression.
- J'admirais ton bronzage, répondit-il en se ressaisissant. Aucune marque de soutien-gorge : j'en déduis que tu es une cliente des cabines UV, ou que tu bronzes topless.
- Je ne suis pas une cliente des instituts de beauté... Et je déteste les marques de maillot.
- Tu veux dire que tu n'as aucune marque blanche sur ton corps ? Tu as trouvé des plages nudistes ou des endroits discrets pour tes bains de soleil ?
- Pas toujours discrets, répondis-je. Il y a ma terrasse, même si des voisins me matent parfois, et j'aime les plages publiques non surveillées.
- J'ai du mal à te croire, lança-t-il pour me provoquer.
En guise de réponse, je sortis mon smartphone, cherchai quelques secondes dans le dossier photos, et lui montrai l'écran.



- Waouh ! Superbe, s'exclama-t-il. Je comprends que tu sois amie avec Lisa. Ca me rassure, par rapport à la proposition que je voulais te faire.
- De quoi s'agit-il, demandai-je, intriguée.
- Je réalise des vidéos et des photos de très jolies femmes, dans des situations d'exhib en public. Tu es tentée ?
- Pour poser, pourquoi pas, mais qu'est-ce que tu en fais après ?
- Rassure-toi, c'est juste pour une collection personnelle. Je ne les mettrai jamais sur le net, sauf si tu m'en donnais l'autorisation. Tu peux le vérifier auprès de Lisa.
Je lui dis que j'étais d'accord sur le principe, mais que je verrais lorsque l'occasion s'offrirait à nous. Et le repas se termina, sans que nous en parlions davantage.
Après avoir réglé la note, David m'emmena à son club de tennis.
L'endroit était, lui aussi, très chic. Nous nous sommes changés dans nos vestiaires respectifs, et nous nous sommes retrouvés sur les courts extérieurs. David me complimenta pour ma tenue, bien qu'elle soit plus sportive que sexy.



Sur le terrain voisin de celui où nous allions jouer, un couple arriva, pratiquement en même temps que nous. Sur un autre court, deux joueurs avaient engagés une partie.
David fit les présentations : Christophe, Alexandre et, pour le couple, Fabienne et Boris.
Les trois hommes étaient à peu près aussi séduisants que David. Quant à Fabienne, c'était une superbe blonde, plus grande que moi.



Nous commençâmes à jouer. David était beaucoup plus fort que moi, et le champagne que j'avais bu n'amélioraient pas mes performances.
Il alignait les jeux gagnants, malgré les efforts que je déployais, et j'étais en sueur.
- Je n'en peux plus, lui avouai-je au changement de côté, et en plus je suis trempée de sueur.
- Ton tee-shirt est peut-être trop chaud. Pourquoi ne t'en débarrasses-tu pas ?
Je compris ce qu'il attendait... et qui n'était pas pour me déplaire ! Seins nus, je repris le jeu.



Nos voisins de courts n'en perdaient pas une miette, mais ne paraissaient pas scandalisés. David était un peu déconcentré, et j'en profitais pour marquer quelques points.
A la fin du set, pour exacerber l'impatience de mes admirateurs, je remis ″pudiquement″ mon tee-shirt. Je bus une grande quantité d'eau, et j'en versai sur mon tee-shirt pour me rafraîchir.



La fraîcheur de l'eau fit pointer mes seins, et je remarquai que David passait discrètement sa caméra vidéo à Alexandre, qui faisait lui aussi une pause.

- Tu n'es pas tentée par une séance d'exhib, ici ? me demanda-t-il à mi-voix.
- C'est pour ça que tu as passé ta caméra à ton copain ?
- Tu as deviné. J'ai très envie de vérifier ce que tu m'as dit, au sujet des marques de maillot.

Au fond de moi, je n'attendais que cette occasion. Je baissai doucement mon short.



- Mmmmh ! Je vois que tu ne portais rien dessous, remarqua-t-il avec un petit sifflet admiratif.
- Ca m'arrive souvent, tu sais.
- J'adore ! Tu es géniale, on va vraiment s'entendre.



J'enlevai maintenant mon tee-shirt, alors que les quatre autres joueurs avaient posé leurs raquettes et me regardaient.
- On reprend la partie ? demandai-je à David.



Nous avons recommencé à échanger quelques balles, mais notre attention fut rapidement détournée par Fabienne



Elle était maintenant seins nus, et échangeait quelques mots avec son mari. David me fit signe de me rapprocher de lui.
- J'ai rencontré Boris hier soir, et il a parié que tu n'oserais pas te mettre à poil sur le court. S'il perdait, il s'est engagé à ce que Fabienne se mette nue aussi.
Toute cette situation avait donc été préméditée ! Et Fabienne respectait le pari de Boris, sans que cela paraisse lui déplaire...



David a proposé que nous jouions toutes les deux, pendant qu'il nous filmait, et nous avons accepté. Boris nous photographiait avec son portable.




Nous étions plus excitées de nous exhiber que concentrées sur notre jeu, qui devenait un grand n'importe quoi.
Au bout d'un quart d'heure, David m'a proposé d'aller prendre une douche tous les deux - je devinais facilement où il voulait en venir... Je ne pris pas la peine de me rhabiller, et je traversai le luxueux club house en tenue d'Eve, sous le regard ébahi de quelques membres qui venaient d'arriver.



Arrivés dans les douches, David me proposa d'aller avec lui du côté homme. Alexandre nous a suivis, la caméra à la main, et je découvris David, nu...



Décidemment, c'était un superbe mâle ! J'attendais la suite avec impatience...
Et je n'attendis pas longtemps. David me prit dans ses bras, me caressa avec sensualité. Le désir montait en moi comme un cheval au galop, pendant qu'il murmurait à mon oreille.



- J'ai envie de te faire l'amour, de te faire jouir, hurler de plaisir, et qu'Alexandre nous filme pour que je puisse revivre ce moment-là chaque fois que j'en aurais envie.
Je ne répondis pas, mais le rythme de ma respiration trahissait mon excitation. Je pris la queue de David dans ma main, en offrant mes lèvres.



Je sentais l'énorme tige gonfler encore un peu plus sous mes doigts.
- J'ai envie que tu lèches mon petit abricot.
David s'agenouilla, pendant que je posais mon pied sur le rebord d'un bac, que je me cambrais et écartais mes fesses pour lui offrir ma fente.



Sa langue s'insinua dans ma grotte humide, et débusqua facilement mon clito gonflé. Il savait à merveille comment le titiller et le mordiller pour exacerber mon désir, et le fait d'être filmée décuplait mon excitation.
Il m'amena au bord de l'orgasme, mais s'interrompit avant le moment fatidique.
- Suce-moi maintenant, Chloé chérie, avant que je te baise devant tout le monde.
Ce fut mon tour de me mettre à genoux.



J'embrassais le gland, en l'aspirant entre mes lèvres, je l'engloutissais aussi loin que je pouvais. Le plaisir nous faisait perdre toute retenue, et David s'étendit sur le sol, pour que je m'installe sur lui en 69.



C'était un concert de gémissements, entrecoupés de petits cris lorsque la langue et les doigts de David rencontraient un point particulièrement sensible de ma chatte, et il était d'une adresse diabolique dans cet exercice.
Lorsque notre désir fut à son comble, David me fit relever ; il s'appuya contre un muret, et je vins m'empaler sur lui.



Je goûtais chaque centimètre de la progression de l'énorme gland dans mon fourreau ruisselant de mouille. De sa main droite, il astiquait mon petit bouton. Je sentis l'orgasme monter, exploser, et je poussai un long cri.

Mes vocalises attirèrent Fabienne, Boris et Christophe. Ce public supplémentaire nous motiva - si c'était nécessaire - pour poursuivre cette séance de baise. David s'assit, me souleva en me tenant par les cuisses, et mon minou vint coiffer à nouveau le pieu dressé.

- Ecarte bien les jambes, me recommanda-t-il à l'oreille. Découvre ta moule pour qu'on la voit bien.



J'écartais les lèvres de mon sexe, et je ne pus m'empêcher de me caresser. Me savoir regardée, filmée, me transformait en chienne en chaleur, et je me mis à crier encore plus fort, lorsqu'Alexandre se rapprocha pour un gros plan.



Je contractais tous les muscles de ma chatte autour de la bite de David, et je jouis une nouvelle fois. L'attente, la tension accumulée pendant que je m'exhibais, cette partie de sexe en public vinrent à bout du self control de David. Je sentis qu'il allait éjaculer, et je le pris dans ma bouche.



La longue hampe se raidit sous mes doigts, et le foutre gicla, jusqu'au fond de ma gorge, et sur mon visage. Je levais des yeux pleins de gratitude vers David, qui venait de me combler, et j'étais aux anges.
Mais David était plein de ressources et d'imagination. Je m'étais à peine nettoyée, qu'il m'enlaça, et me glissa à l'oreille :
- Ca t'a plu, de te faire mater et filmer, en faisant l'amour ?
- J'ai adoré, répondis-je sans détour, et je crois que ça se voyait.
- Regarde les trois hommes qui sont là, dans quel état tu les as mis. Ce ne serait pas charitable de les laisser comme ça.
- Je vois ce que tu as en tête...
- Est-ce qu'il y en a un qui te plaît ? me demanda-t-il.
- Pour être franche, ils me plaisent tous les trois.
- Et tu es d'accord pour t'offrir à eux, ensemble ? Tu as déjà fait ça ?
- Oh oui ! Et je ne connais pas de jouissance plus intense.

David me prit par les cheveux, et je levai une de mes jambes pour bien montrer ma chatte.



- Chloé a envie que vous lui fassiez l'amour, lança-t-il à Alexandre, Christophe et Boris.
David récupéra sa caméra, et ils m'entourèrent tous les trois. En guise de préliminaires, ils me douchèrent pour me débarrasser des dernières traces de sperme de David, tout en profitant de la situation pour me caresser.



L'effet sur moi fut immédiat, mes seins durcirent de nouveau, les pointes dardaient, pendant que mes mains allaient d'une queue à une autre. Excités par mon attitude, ils me firent asseoir sur un muret, et prétextèrent de doucher mon petit abricot, pour me faire écarter les cuisses et exhiber ma moule.



Alexandre suçait les pointes de mes seins, les lèvres de Boris remontaient le long de mes cuisses pour se diriger vers ma fente déjà entrouverte. Mais je voulais les faire bander encore plus fort, et je m'agenouillai pour les sucer.



Nous fûmes rapidement tous les quatre dans un état d'excitation incontrôlable. Boris s'assit sur le bord du muret pour que je continue de le sucer, et je vis fugitivement Fabienne, nue qui nous regardait en se caressant. Alexandre se plaçait déjà derrière moi pour me pénétrer, et David nous filmait sans relâche.



Alexandre s'enfonça dans mon minou inondé de cyprine sans rencontrer la moindre résistance. Et il se mit à aller et venir en moi, à un rythme effréné.
Un flot de sensations que je connaissais bien parcourait tout mon corps et, malgré tout, l'orgasme me surprit, me faisant hurler.
Boris remplaça Alexandre, bien que celui-ci n'ait pas éjaculé, et il se mit à labourer ma chatte avec la même énergie.



- Prenez-la en sandwich, intervint David, je suis certain qu'elle aime ça aussi.
- Oh oui, allez-y, j'adore, avouai-je sans la moindre pudeur.

Christophe, qui n'avait pas encore investi ma chatte, s'allongea, et je vins le chevaucher. Dès que ma chatte fut totalement remplie, Alexandre s'agenouilla derrière moi. Il prit le temps de lubrifier ma rosette, et je sentis bientôt son gland turgescent forcer mon petit trou.



Je ne pus retenir un long cri, où se mêlaient un peu de douleur, et beaucoup de plaisir. Boris me présenta sa verge, que j'engloutis dans ma bouche, et mes trois partenaires se mirent à aller et venir en moi, par tous mes orifices, en synchronisant leurs mouvements.



J'étais dans un état second, et un nouvel orgasme me tétanisa. Mais les trois hommes semblaient inépuisables. Nous changeâmes de position, et ils continuaient de me défoncer, de plus en plus fort.



Je serais incapable de dire combien de temps cette folle partie dura. Je me souviens seulement que je jouis encore deux fois, avant de me retrouver, à genoux, entre les trois bites, prêtes à éclater.



Et le sperme jaillit à flot, épais, crémeux, emplissant ma bouche, coulant sur mon visage et sur mes seins, pour le plus grand plaisir de David qui filmait toujours.



Après une nouvelle douche en commun, je pris la direction du vestiaire pour me rhabiller - un peu à regret - et David me reconduisit chez moi.
- Cette journée t'a plu ? me demanda-t-il avant de me quitter.
- C'était génial ! Lisa a eu raison de te donner mon téléphone. Et pour toi ?
- Ce film sera un souvenir formidable. Mais j'espère te donner d'autres occasions de t'exhiber.
- Avec plaisir, répondis-je en l'embrassant.
Rentrée chez moi, je téléphonai à Lisa, pour la remercier et lui raconter cette journée dans le détail.^ ---------oOo---------

Mystérieux David 2

CHLOE

Après ma partie de tennis et ma folle journée avec David, j'étais épuisée. Avant de sombrer dans le sommeil, je me demandais s'il me rappellerait bientôt, et je l'espérais, car c'était un formidable partenaire pour vivre mes fantasmes. Puis, je dormis comme une souche, jusqu'à ce que le soleil déjà haut me réveille.
La réponse à ma question arriva plus vite que je ne l'aurais cru, et mon portable sonna en fin de matinée.
- Chloé ? Je ne te réveille pas ? me demanda Lisa d'une voix enjouée.
- Non, mais il s'en est fallu de peu. Ca ne fait pas longtemps que je suis levée.
- Je vois, ta journée d'hier avec David... Justement, il vient de me téléphoner : il aimerait qu'on vienne chez lui, toutes les deux.
- Il t'a dit pourquoi ?
- Non, mais j'ai une petite idée... Et tu dois deviner aussi, maintenant que tu le connais !
- Je vois, donc tenue sexy de rigueur, sans slip ni soutif, dis-je en riant.
Après nous être mises d'accord sur l'heure à laquelle Lisa passait me prendre, j'allais choisir une robe dans mon armoire.



Avant de me décider, je vérifiai dans mon miroir si je pouvais facilement la faire glisser pour découvrir mes seins et ma petite chatte.
L'attente me semblait longue, mais enfin Lisa arriva et nous partîmes chez David.



LISA

Quand j'arrivai devant chez Chloé, elle m'attendait déjà sur le trottoir. Après s'être installée dans la voiture, nous échangeâmes un chaste baiser et nous prîmes la direction de chez David. Durant le trajet, Chloé me demanda :
- Dis, tu sais ce qu'il fait David ?
- Pas la moindre idée. Je connais bien ses goûts sexuels et ses fantasmes, mais il reste systématiquement muet quand on tente d'en savoir un peu plus sur ce qu'il fait et sa vie personnelle. Et tu verras que son appartement n'aide pas particulièrement à deviner quoique ce soit...

Quand nous arrivâmes sur place, David nous ouvrit. Je m'attendais à ce qu'il soit tout sourire mais il semblait curieusement inquiet.
- Bonjour les filles. Je suis très content que vous ayez accepté de répondre à mon appel.
- Si tu nous fais venir toutes les deux, j'imagine que ce n'est pas pour prendre un cours de cuisine...



- Tu imagines bien Lisa. Je veux vous demander de réaliser un de mes plus grands fantasmes : je voudrais vous regarder vous donner du plaisir...
Nous rigolons Chloé et moi. Chloé dit :
- On s'attendait un peu à quelque chose dans ce goût-là...
Pour montrer à David ce qui nous amusait, je fis lever Chloé et je soulevai un peu sa petite robe pour dévoiler son sexe nu, libre de toute culotte.





CHLOE

Me retrouver aussi rapidement les fesses et la chatte à l'air n'était pas pour me déplaire, mais je jouai la fille scandalisée.
- Tu te permets de retrousser ma robe, mais qu'est ce que tu dirais si je te faisais la même chose, dis-je en me retournant vers Lisa, sans prendre la peine de rajuster la mienne.



Je tirai sur le décolleté de sa robe, et j'embrassai l'aréole sombre d'un de ses seins s'échappant du tissu, tout en commençant à la retrousser.
Lisa prit aussi une expression effarouchée pour rajuster son décolleté, tout en ne faisant rien pour m'empêcher de remonter sa robe jusqu'à la taille.



- Alors, il n'y a pas que moi qui me promène nue sous ma robe, m'exclamai-je, triomphante.



LISA

Cela commençait bien et Chloé dit à David :
- Mets-toi à l'aise pour nous regarder, si tu veux...
David semblait moins inquiet. Sans doute avait-il craint que nous refusions de nous prêter au jeu de son fantasme. Là, il semblait nettement plus détendu. Du moins partiellement, car quand il se déshabilla, comme venait de lui suggérer Chloé, nous eûmes le plaisir de découvrir que son sexe commençait déjà à se gonfler d'excitation grâce à notre petit jeu d'exhibition improvisé.



Sans demander son avis à David, je conduisis Chloé dans la chambre à coucher. David nous y suivit, nu et s'installa dans un petit fauteuil dans un coin de la pièce. Je terminai de retirer la robe de Chloé sans qu'elle marque d'opposition. Après un nouveau baiser plutôt sage, je la fis s'allonger sur le lit et je me mis en soixante-neuf sur elle. Chloé retroussa ma robe au-dessus de mes seins pour pouvoir les embrasser.



Sa langue sur mes mamelons fit aussitôt son effet et je sentis que mes tétons pointaient fermement. Chloé devait déjà voir ma cyprine qui inondait ma moule. Je me redressai pour achever de retirer ma robe et Chloé en profita pour se glisser jusque sous mes fesses. Sa langue se mit aussitôt à aller et venir sur mes lèvres trempées. C'était divinement bon.



David admirait le spectacle et bandait maintenant fermement. La langue de Chloé allait et venait dans ma fente et je commençais déjà à gémir.





CHLOE

Je léchais la moule trempée de cyprine de Lisa avec ravissement. Je sentais ses hanches onduler, lorsque ma langue débusqua son clito dardé.
- Lisa, je t'en prie, occupe-toi aussi de ma petite chatte, murmurai-je. J'ai envie de ta bouche sur ma fente.
Et aussitôt, je sentis le visage de Lisa descendre sur mon ventre, ses longs cheveux bruns chatouiller mes cuisses. Enfin, sa bouche se posa sur ma chatte en feu. Sa langue se glissa dans ma fente, sa salive se mélangeait à ma sève, et je feulais de plaisir.



Mes gémissements étaient bientôt accompagnés d'un bruit humide : Lisa était en train de savourer la cyprine qui s'écoulait entre mes lèvres et descendait vers mon petit trou.
- Chloé, branle-moi la chatte, me demanda Lisa, gagnée aussi par le plaisir.
Mes doigts se glissèrent dans sa fente, aussi trempée que la mienne, et ma bouche s'empara de son clito, parfumé par sa mouille.



Lisa se cambra et poussa un cri lorsqu'elle sentit mes doigts s'enfoncer en elle, vriller sa moule gonflée de désir, et commencer à aller et venir.
Elle suçait mon petit bouton, le mordillait, et elle fouillait elle aussi ma grotte avec ses doigts. Sentir le regard de David sur nos corps décuplait l'érotisme de la situation, et nous eûmes, toutes les deux, un premier orgasme, qui en annonçait d'autres.



LISA

David, assis, se branlait désormais en nous regardant. Il semblait très satisfait du spectacle que nous lui donnions.



Je m'arrêtai soudain et dit à Chloé :
- Est-ce que ça te dit que je te baise vraiment ?
Elle ne semblait pas comprendre le sens de ma question. Je me levai et allai ouvrir le petit sac que j'avais apporté avec moi. Chloé rigola en découvrant le gode-ceinture que j'en sortis. Tandis que je me l'installais, je demandai à David :
- David, tu aimerais nous filmer, pendant que je fais jouir Chloé avec cet engin ?



David ne sembla pas contre cette idée et se leva pour aller chercher son caméscope.


CHLOE

Je ne m'attendais pas à la proposition de Lisa, et j'ai eu un moment d'hésitation. Manifestement, elle avait décidé de jouer les dominatrices. J'étais subjuguée et, au fond de moi, cette situation nouvelle m'excitait.
- Je veux bien que tu me fasses l'amour avec ton gode, dis-je d'une voix soumise.
- Dis que tu veux que je le plante dans ta moule, que je te prenne comme une chienne.
- Oui, oui, j'en ai envie, répondis-je en me prenant au jeu. Fais de moi tout ce que tu veux.
Lisa se plaça derrière moi, et me saisit par les cheveux.
- Cambre-toi, ordonna-t-elle, offre-moi ta chatte.



Aussitôt, je sentis l'énorme gode forcer mon minou, et je poussai un cri strident.
Lisa allait et venait en moi brutalement, mais j'éprouvai une excitation inconnue à être prise de cette manière. J'avais l'impression de me donner à un homme et à une femme en même temps.
Elle m'amena de force sur le lit, pour pouvoir me pénétrer plus profondément.



Mon corps était secoué par les coups de boutoirs de Lisa, mais je cherchais à faire rentrer le gode encore plus loin en moi, en lançant mes fesses à sa rencontre.
L'engin était l'objet le plus long et le plus dur qui ait jamais investi ma fente. C'était à la fois délicieux, et à la limite du supportable, et l'excitation qui ne me quittait pas emportait tout le reste.
- Viens t'empaler sur ce gode, exigea Lisa, en s'asseyant. David pourra mieux profiter de la vue sur ta chatte de petite salope.
J'obéis en mimant un air soumis. Je poussais des cris de plaisir en m'installant pour chevaucher Lisa, et en me laissant glisser sur l'énorme pieu de résine.



Je me mis en appui sur les genoux, pour pouvoir me redresser et me laisser retomber plus facilement, et je me lançai dans une cavalcade d'enfer. Au bout de quelques minutes à ce rythme, l'orgasme monta dans mon ventre, et je hurlai de plaisir, les pointes de mes seins dressées vers le plafond.



LISA

Chloé semblait prendre bien son pied et j'adorais être l'homme qui la prenait. J'eus alors l'idée d'aller encore plus loin.
- Chloé, je vais te prendre par ton petit trou.
- Tu ne crois pas que le gode est un peu gros ?
- N'exagère pas !
Je la fis s'allonger sur le bord du lit avec les cuisses relevées et j'engageai le gode dans son anus.



Je le pénétrai doucement, pour ne pas lui faire mal, mais cela semblait plaire de plus en plus à Chloé, et entre deux cris de plaisir, elle me fit comprendre qu'elle voulait une autre position :
- Assieds-toi à côté.
Je m'exécutai et fus surprise de la voir venir elle-même s'empaler sur le gode. Elle criait de plaisir. Nous eûmes quelques secondes d'arrêt quand David se leva pour nous rejoindre :
- Laisse-nous David !
- Attends, je veux juste donner ça à Chloé, en complément.
Il lui tendit un petit sex-toy vibrant que Chloé se fourra aussitôt dans la fente.





CHLOE

Je ne savais plus où j'en étais. J'avais l'impression que mon corps n'était plus qu'une chatte et un cul, fouillés par le gode et le sex-toy qui vibrait en moi sans relâche.
- Ooooh ! Je jouis, je jouis !... Ces engins vont me faire mourir de plaisir, ça ne s'arrête jamais.
Enfin, à bout de souffle, je coupai le vibromasseur, je me dégageai du gode planté dans mes fesses, et je m'écroulai sur le lit.
Lorsque je repris mes esprits, je cherchai David du regard, et je le découvris, affalé sur le canapé, les yeux mi-clos, se masturbant des deux mains.



Je craignais qu'il n'éjacule avant que nous ayons pu faire l'amour avec lui.
Mais Lisa, elle aussi, ressentit impérieusement le besoin de se faire baiser. Elle vint s'installer sur moi, à nouveau en soixante-neuf. Ses seins ronds et généreux, que le désir faisait durcir, vinrent se lover sur ma petite poitrine aux pointes encore dressées.
- David, au lieu de te branler, tu n'as pas envie de te taper deux jolies filles ? lui demandai-je.



Sans se faire prier, David se leva pour nous rejoindre.
- Commence par le minou de Chloé, décida Lisa. Il est en feu, et elle est prête à tout aujourd'hui. Pendant ce temps là, elle va lécher mon abricot pour m'exciter.
Je sentis les doigts de Lisa écarter les lèvres de ma moule.
- Regarde comme il dégouline de mouille, lui dit-elle, pour le provoquer.



Sans attendre la suite, j'avais déjà pris dans mes mains les fesses rondes et fermes de Lisa, pour les écarter, et découvrir sa fente. Son clito était déjà dur et gonflé lorsque ma langue vint le titiller.



Lisa poussa un petit cri, mais au même moment, je sentis le gland de David franchir d'une seule poussée l'entrée de ma grotte, alors que la bouche de Lisa se posait sur mon petit bouton.





LISA

Tout s'enchaînait à merveille : je sentais la bouche de Chloé contre ma moule et, en même temps, je voyais le membre tendu de David qui s'enfonçait entre ses lèvres millimètre par millimètre. Je m'amusai à faire glisser ma langue depuis le clitoris de Chloé en descendant le long de ses lèvres puis en remontant le long de la hampe de chair de David.



Je sentais le plaisir qu'elle pouvait tirer du sexe de David qui commençait à aller et venir en elle par l'ardeur que Chloé mettait à me sucer la moule. Sa langue se déchainait sur mon clitoris et j'étais au bord de l'orgasme.



Il ne me semblait pas que Chloé avait joui, et je fus surprise de voir David se retirer. Je continuai alors à faire minette à ma copine puisqu'elle-même n'arrêtait pas de faire aller et venir sa langue sur ma chatte. J'eus un instant de surprise quand je sentis que David investissait maintenant mon sexe, obligeant Chloé à se contenter de mon clitoris.



Déjà que j'étais au bord de l'orgasme, la fougueuse pénétration David doublée du cunnilingus de Chloé n'arrangeait rien à ma situation. J'essayais malgré tout de rester concentrée pour continuer à sucer la moule de Chloé. Celle-ci me donnait un répit en léchant de temps en temps les couilles de David pour tenter de le faire jouir.



CHLOE

La vision en gros plan de la queue de David, pilonnant la chatte de Lisa, sortant presque totalement du fourreau dont coulaient de longs filets de cyprine, avant de s'y enfoncer avec force, provoquait en moi une excitation presque insupportable.
Pour tenter de me calmer, je suçais le clito de Lisa, le mordillait, pendant qu'elle poussait de longs gémissements. J'embrassais et je léchais aussi les couilles de David, regrettant que sa bite ne soit pas en train de labourer ma fente ou mon anus.



Finalement, Lisa jouit, mais David se retenait toujours.
Il se retira, nous laissant déçues et frustrées. Aurions-nous été incapables de lui donner du plaisir, et l'envie de décharger dans la moule de Lisa et dans ma bouche ?
- Qu'est-ce qui se passe David ? lui demandai-je. J'espérais bien que tu inondes Lisa de sperme, et que je pourrais y goûter.
- Non, mais je voulais vous amener à l'orgasme toutes les deux, avant de me laisser aller et de vous offrir une douche de foutre.
- Mais je m'en fiche, David, de ne pas avoir eu d'orgasme. Je n'en ai pas été privée, aujourd'hui.
- C'est mon ultime fantasme, dit-il enfin, l'air malheureux, et je tiens à le réaliser avant demain.
- Pourquoi avant demain ?
- Je dois vous avouer que je suis en danger de mort à cause de mes affaires.
- De quoi parles-tu ?
- Un gangster à qui je dois beaucoup d'argent est venu ce matin. Vu que je ne pouvais pas le rembourser, il a pris mon ordinateur portable et m'a dit que j'avais jusqu'à ce soir pour lui rendre son argent, faute de quoi il me fera exécuter...
- Tu plaisantes ?
- Pas vraiment. Et je n'ai pas le moyen de le rembourser... Voilà pourquoi je veux réaliser mon ultime fantasme.
Cette annonce me laissa, comme Lisa, sous le choc. Instinctivement, je me blottis contre Lisa.




LISA

L'annonce de David avait jeté un froid. Mais en même temps, cette proximité de la mort semblait nous avoir donné un coup de fouet : David bandait toujours fermement et l'adrénaline me donnait envie de jouir encore et encore. Il semblait que Chloé subissait la même chose que moi car elle se blottit contre moi et recommença à m'embrasser. Je la fis se redresser un peu pour embrasser un de ses jolis seins.



Chloé se mit à se frotter l'entrejambe contre ma cuisse. Ma main vint donc naturellement se poser sur sa moule trempée pour la caresser. Mon index allait et venait sur les lèvres gonflées, sans la pénétrer. A la manière dont sa langue venait s'enrouler autour de la mienne, je sus que cela l'excitait formidablement.



Nous en étions revenu aux préliminaires et vu l'état d'érection de David, il semblait bien que nous satisfaisions son fantasme. Chloé redescendit un peu et nos bouches se retrouvèrent à nouveau pour un long baiser. Les mamelons de Chloé étaient durs et je la sentais mouiller entre mes doigts.





CHLOE

Les caresse de Lisa, qui savait à merveille où se trouvaient mes points sensibles, me faisaient mouiller abondamment.
- Tu veux goûter ma sève ?, demandai-je à David, en le provoquant.
David sembla oublier un instant la menace qui pesait sur lui, et se précipita vers moi. Il s'agenouilla, et je me cambrai pour lui offrir ma chatte luisante de cyprine.
Lisa suivait la scène, et me tenait par les hanches, pour que la fourche de mes jambes soit juste à la hauteur du visage de David.



Les joues de David se frottaient contre mes cuisses, tout près de mon sexe, là où la peau est la plus douce et la plus sensible. Je sentis qu'il buvait ma sève.
- Qu'est-ce que tu es bonne Chloé, murmura-t-il, pendant je commençais à gémir, attendant la suite de ce délicieux cunnilingus.
Je remuais doucement mes hanches, et la langue de David se posa sur mon clitoris dardé, avec une précision diabolique.



Mes seins s'appuyaient sur la poitrine de Lisa, et je sentais ses pointes érigées contre ma peau.
David continuait de me lécher et de sucer mon petit bouton, sa langue s'insinuait dans mon minou. C'était délicieux, et le plaisir m'envahissait de nouveau, me faisant pousser un cri lorsque David se mit à téter mon clito.



J'avais perdu toute retenue. J'avais envie de sexe, brut, fort.
- Je n'en peux plus, David. Baise-moi ! Je veux sentir ta queue s'enfoncer en moi, coulisser dans ma chatte, me faire jouir.
- Tu veux te faire défoncer, petite salope ? Tu ne vas pas être déçue, me répondit David qui devinait ce que je désirais.
Il se releva, empoigna mes hanches pendant que Lisa caressait mes fesses, et je me cambrai pour livrer mon abricot aux assauts de David.



Son gland s'enfonça enfin en moi, turgescent, énorme, et je goûtais chaque centimètre de sa progression dans mon intimité ruisselante de désir.
Après que sa tige ait complètement disparu entre les lèvres de ma moule, il fit durer mon attente en restant immobile au fond de moi, se contentant de mouvements de contraction presque imperceptibles qui décuplaient mon impatience.
C'est au bout d'une minute qui me sembla interminable qu'il se mit à aller et venir dans ma chatte, et je ponctuais chacun de ses coups de boutoir d'un cri de plaisir.



Je m'abandonnais complètement, étendue sur le corps nu de Lisa. Nos poitrines glissaient l'une contre l'autre, au rythme du coït, et le contact des seins ronds et fermes de Lisa excitait les pointes de mes petits nichons qui dardaient. J'étais au bord de l'orgasme.
C'est à ce moment que je sentis les mains de David écarter mes fesses, et un de ses doigts s'insinuer dans mon petit trou serré.



Il se mit à branler mon anus d'abord doucement, puis de plus en plus vite, au fur et à mesure que mes feulements montaient dans les aigus. Je jouis enfin, en hurlant. David ne cessait pas d'aller et venir dans mon anus, mais il se retira de ma chatte, et planta son pieu enduit de ma mouille dans la fente de Lisa.



Lisa se cambra, et poussa elle aussi un cri de surprise et de plaisir. Nos vocalises eurent un effet spectaculaire sur David. Il se mit à défoncer la chatte de Lisa, pendant que son majeur continuait de vriller mon cul. Notre excitation était indescriptible. Lisa, tétanisée, jouit en hurlant.



Coincée entre mes deux partenaires, ivre de la sensation de ces corps nus contre le mien, j'eus un nouvel orgasme, qui me laissa à bout de forces.
David continuait à baiser Lisa, sans faiblir, mais il sentit à son tour monter la jouissance.
- Ooooh ! Je viens, dit-il d'une voix étouffée par le plaisir. Je vais vous inonder de foutre.
- Où veux-tu jouir, lui demandai-je, le laissant contempler mes deux orifices.



David hésitait, mais les spasmes de sa queue étaient annonciateurs d'une éjaculation toute proche.
- Profite de nos bouches, lui conseillai-je. Lisa et moi, on adore le goût du sperme, le voir jaillir, et que les mecs déchargent sur notre visage !



LISA

Il quitta ma moule et fit le tour pour venir fourrer son gland palpitant prêt à exploser entre les lèvres de Chloé. Il réussit à se retenir avec une concentration incroyable. J'en profitai pour lui lécher les couilles.



Chloé, impatiente comme moi de voir le foutre gicler, se mit à le pomper magistralement, tandis que je lui suçais les boules à pleine bouche.



Il eut soudain un mouvement de recul et prit son sexe en main. Chloé et moi savions que c'était le moment tant attendu : il se mit à éjaculer et aspergea généreusement nos deux visages de sa semence tiède, en grognant de plaisir.



Quand il se calma et que ses couilles furent bien vidées, Chloé et moi nous embrassâmes. Nous nous léchâmes mutuellement pour effacer petit à petit chaque trace de son sperme salé. Nos langues s'enroulèrent régulièrement pour échanger le produit de nos toilettes de chat. Quand nous fûmes toutes les deux bien nettoyées, je serrai Chloé dans mes bras.



David nous admirait. Il semblait encore sous le charme de la scène et mit un certain temps à sortir de sa fascination pour nous remercier. Le téléphone sonna soudain. David alla décrocher et se contenta d'écouter la voix grave qui lui parlait dans le combiné. Quand il raccrocha, il avait à nouveau son air grave :
- C'était le gangster à qui je dois de l'argent. Il a exploré mon portable et est tombé sur la vidéo où je fais l'amour à Lisa en pleine rue puis dans la voiture, et sur celle où Chloé joue nue au tennis et partouze dans les douches. Il dit qu'il acceptera de me laisser une semaine supplémentaire pour le rembourser si vous acceptez de coucher avec lui toutes les deux.
Un peu surprises par cette incroyable demande, on ne savait pas trop quoi dire à David.





CHLOE

Je me ressaisis la première, et je demande à David :
- Et il ressemble à quoi ce gangster ?
- C'est un grand noir assez baraque.
Nos yeux s'illuminèrent et Lisa me regarda en souriant. Je ne pus empêcher mon imagination de s'emballer.





LISA

- Je devine à quoi tu penses, dis-je à Chloé qui s'amusait déjà d'avance.
- Ne me dis pas que ça ne t'exciterait pas !
- Si, tu as raison. Je suis bien curieuse de faire la connaissance de ce gangster. Et si en plus ça peut rendre service à David...



David, incrédule, ouvrait de grands yeux :
- Vous feriez ça pour moi, les filles ?
- Bien sûr. Se taper un noir bien monté pour te sauver la vie, on a vu pire comme sacrifice, non ?

^ ---------oOo---------

Mystérieux David - Episode 3


CHLOE

J'avoue que j'étais intriguée, mais aussi un peu inquiète, en pensant à ce qui nous attendait, Lisa et moi, en ayant accepté de nous offrir au gangster qui tenait David à sa merci. Ce grand black était peut-être un pervers ou un sadique ?
Pour me rendre à ce rendez-vous, j'avais opté pour une tenue très sage. Ce n'était pas mon style, mais j'imaginais que se taper une fille aux allures de collégienne pouvait aussi être inhabituel et excitant pour ce genre d'homme.



Lorsqu'elle me rejoignit, je constatai que Lisa portait, elle aussi, une jupe plissée raisonnablement courte, mais son corsage était ouvert largement, assez pour laisser apercevoir sa poitrine, libre de tout soutif.



Chaque fois que je vois les seins ronds et fermes de Lisa, je ne peux pas m'empêcher de les comparer avec mes petits nichons et de l'envier.
Lorsque nous sommes arrivées toutes les deux chez David, le gangster était déjà là. David, qui semblait mal à l'aise, fit les présentations. Le black s'appelait Bouba, et je le trouvais très beau et attirant.



Mais Bouba ne semblait pas être du genre romantique. Après nous avoir détaillées de la tête aux pieds avec un regard qui ne laissait aucun doute sur ses intentions, il nous demanda sans autre préambule :
- Bon, les filles, vous savez pourquoi vous êtes là. Je vous ai admirées à l'œuvre en photos et en vidéos, j'ai maintenant envie de vous voir nues dans la réalité.
Je décidai de continuer à jouer les mijaurées, et je fis celle qui n'osait pas se mettre à poil aussi rapidement.


LISA

Je voyais bien que Chloé jouait la sainte nitouche. Comme Bouba reporta son regard sur moi, et en particulier sur ma poitrine que mon chemisier légèrement entrouvert laissait deviner, je commençai à déboutonner tranquillement mon chemisier.



Bouba sourit et me félicita de mon audace :
- Bien, ma belle, tu comprends vite où est ton intérêt. Tu es Lisa, c'est cela ?
- Oui...
- Ne t'arrête pas.
Une fois le chemisier ouvert, j'entrepris de retirer ma jupette. Bouba ne sembla pas surpris du tout de voir que je ne portais rien dessous.



Mon rapide effeuillage eut bien sûr l'effet escompté puisqu'on pouvait distinguer une bosse très prometteuse qui déformait l'entrejambe du gangster. Cette vision débloqua d'ailleurs Chloé qui s'approcha de lui et commença à caresser le sexe tendu à travers le tissu du pantalon. Bouba la félicita :
- David, n'avait pas menti. Tu es aussi très très chaude, Chloé !
Je m'approchai un peu quand je vis Chloé déboutonner son pantalon pour en extraire sa queue dressée. Elle poussa une exclamation de surprise en découvrant l'imposant sexe de Bouba.




CHLOE

Je n'en revenais pas, en constatant la taille de la bite de Bouba, et de son gland qui remplissait déjà la paume de ma main. Et manifestement, il n'était pas encore complètement en érection !
- Alors, maintenant que tu tiens ma queue dans ta main, tu vas peut-être enfin te décider à te mettre nue, pour m'exciter à fond ?
Cette fois, je ne pouvais plus refuser ! Je retroussai un peu ma jupe, révélant que je ne portais rien dessous, avant de commencer à enlever mon débardeur en découvrant mes seins.



Mon court striptease eut un effet foudroyant sur Bouba. En un clin d'œil, il fut à poil aussi.



Sa musculature était irréprochable, mais c'est son sexe long et épais qui retenait mon regard. Sans qu'il ait eu besoin de me le demander, je m'agenouillai devant lui et je guidai l'interminable pieu vers ma bouche. Je commençais par donner de petits coups de langue sur le gland que je prenais de temps en temps entre mes lèvres. Je jetai un coup d'œil vers Lisa, qui ne perdait pas une miette du spectacle.



- Oh la la, lançai-je à Lisa. Tu as vu ce monstre ? Je n'en ai jamais sucé de pareil ! Il va nous défoncer la chatte avec une bite comme ça...
Mais le désir était plus fort que ma crainte. Je repris aussitôt le gland turgescent dans ma bouche, pour le pomper avec fougue.



Je le suçais, l'excitais avec la pointe de ma langue et de petits coups de dents. C'était impressionnant : je sentais cette queue incroyable grossir encore entre mes doigts. Hypnotisée par ce dard qui allait bientôt s'enfoncer dans mon minou, je tentai de le prendre en entier dans ma bouche, sans y parvenir.



Je m'étranglais à moitié, mais j'avais donné des idées à Bouba. Il prit ma tête entre ses mains puissantes, me saisit par les cheveux, et se mit à aller et venir dans ma bouche, furieusement.



J'étouffais sous ses assauts, mais je finis par me dégager.
- Doucement, Bouba ! Prenez votre temps, excitez-moi lentement, pour que je sois bien chaude quand vous allez me baiser. Laissez-moi vous sucer à ma guise.
Il se calma, et s'allongea, m'offrant sa bite dressée à la verticale. Avec des gestes sensuels, je la repris dans ma bouche, en lui caressant les couilles.



Je me redressai un court instant, pour demander à Lisa :
- Qu'est-ce que tu dirais si on suçait Bouba toutes les deux ensemble ?


LISA

J'étais moi aussi impressionnée de voir la taille de cet engin et j'aurais presque remercié David de s'être mis dans cette situation critique qui nous permettait, à Chloé et moi, de profiter d'une telle bite. Quand Chloé me proposa de venir lui donner un coup de main, je n'eus aucune hésitation. Je m'accroupis en face d'elle et me penchai sur la bête qu'elle léchait déjà. Chloé tenait la base du sexe et je m'amusais à lui caresser les couilles. Nos bouches se retrouvèrent autour de son gland.



Bouba se mit à gémir, puis, après quelques minutes, me repoussa gentiment :
- Attends un peu, gourmande. Chacune votre tour. Je vais commencer par la petite.
Je m'écartai et vis le regard brillant de Chloé. Elle devait être impatiente de sentir cette queue colossale entre ses cuisses. Elle l'enjamba et, tranquillement, elle s'embrocha sur son gros mât en gémissant :
- Ooooh, Lisa si tu savais comme il est gros !




CHLOE

Malgré mon désir, je commençais à craindre d'avoir été trop optimiste, en décidant de m'empaler sur la verge de Bouba ! Son gland écartelait les lèvres de mon sexe, mais je n'osais pas me laisser pénétrer plus avant, tant j'avais l'impression qu'il allait me déchirer.
J'ondulais des hanches, pour essayer de me relâcher, mais au bout de quelques instants, je me relevai et je tentai d'amadouer Bouba.

- Vous ne croyez pas qu'on pourrait attendre un peu ?, suppliai-je, en laissant couler ma salive sur l'énorme gland pour tenter de le lubrifier. Si votre queue est un peu moins grosse, vous pourrez me pénétrer plus facilement, et plus profondément.



- C'est hors de question ! rugit Bouba. David m'avait promis que tu te plierais à tout ce que je te demanderais, c'est moi qui décide comment je te baise !
- Mais je suis prête à faire l'amour avec vous, c'est juste pour que vous puissiez aller au fond de ma petite chatte.
- La seule chose que je peux t'accorder, répondit Bouba sur un ton moins brutal, c'est de te préparer à ma manière pour me recevoir.
Sans attendre ma réponse, Bouba m'allongea sur le lit, écarta mes cuisses sans ménagement pour me prodiguer un cunni.



Je sentis ses joues frotter la fourche de mes cuisses, le picotement provoqué par les poils de sa barbe, et sa bouche vint se plaquer sur mon minou. Sa langue tournait autour de mon clito, m'arrachant déjà des soupirs, puis elle s'insinua entre mes petites lèvres, se glissa dans ma fente.



Même s'il ne faisait pas preuve d'une grande douceur, il devinait mes points sensibles, et je gémissais de plus en plus fort. À intervalles réguliers, il inondait ma chatte de sa salive, qui se mêlait à ma cyprine. Je sentis l'orgasme monter, mais Bouba m'abandonna alors, et vint poser sa bite, toujours aussi énorme, sur mon ventre. Le souffle court, je la pris entre mes doigts.



- Alors, es-tu prête maintenant ? me demanda-t-il.
- Oui, mais laissez-moi venir sur vous, répondis-je d'une voix assourdie par le désir de jouir.
Bouba s'étendit à son tour, et je vins le chevaucher. M'appuyant d'une main sur ses cuisses musclées, j'empoignai son dard de l'autre main pour le guider vers ma fente, et je m'accouvai lentement.



Je sentis le gland forcer la porte de mon sexe, s'enfoncer millimètre par millimètre, et je ne pus m'empêcher de ponctuer sa progression de petits cris, traduisant mon plaisir et ma victoire sur ma peur.
Bouba me saisit alors par les hanches, pour se planter en moi, jusqu'au fond de mon ventre, et je ne pus retenir un cri.



- Ooooh !! Qu'est-ce qu'elle est grosse !! Ouiiii !... Oh, putain, je la sens me remplir, je crois que je vais exploser...


LISA

C'était superbe de voir cette énorme hampe de chair entrer et sortir de la chatte de Chloé. Je m'approchai pour venir lui écarter les fesses, espérant ainsi l'aider à se détendre alors que Bouba commençait à la faire monter et descendre sur sa tige.



Bouba semblait en vouloir plus. Il attrapa mon poignet et m'attira à lui :
- J'espère que ça t'excite car ça va bientôt être ton tour !
- Je mouille comme jamais...
- Fais-moi goûter ça.
Il m'attira sur lui pour me contraindre à s'asseoir sur son visage. Il se mit à me sucer la moule avec une dextérité diabolique.



Après m'avoir arraché quelques gémissements de plaisir, Bouba me repoussa :
- Bon, je crois que ça va être ton tour. Ta chatte est prête pour ma queue.
Chloé paraissait épuisée par le plaisir, et ne semblait pas contre une petite pause. Elle me laissa volontiers sa place et alla s'asseoir en face de nous pour observer la suite. Pas trop pressée, je commençai par m'asseoir à côté de Bouba et me contentait de le masturber.



Chloé ne semblait pas trouver juste que je me contente de si peu :
- Tu n'as pas envie de te faire baiser par une bite pareille ?
- Pas tout de suite, avant il faut faire connaissance et l'apprivoiser...



- Tu ne devrais pas le faire trop attendre...
- Pourquoi ? Il ne risque pas de débander de si tôt avec deux coquines comme nous !
Je m'amusais à frotter l'imposante queue contre ma joue, comme pour lui faire un câlin.



Mais Chloé s'impatientait et bien vite elle me donna des ordres.


CHLOE

Le spectacle offert par Lisa et Bouba m'excitait au plus haut point, et je voulais le mettre en scène, comme une séquence de cinéma.
- Lisa, suce-le, maintenant ! Vous n'attendez que ça, tous les deux.
Lisa s'exécuta, sans protester, et avec une gourmandise évidente.



Elle avait pris dans sa bouche l'énorme gland, qu'elle pompait avec ardeur, et je voyais ses joues se creuser chaque fois qu'elle le suçait. Bouba manifestait son plaisir en grognant, et il appuya bientôt sur la tête de Lisa pour la contraindre à prendre toute sa bite dans sa bouche, mais elle n'y parvenait pas.



- À ton tour de te faire baiser, Lisa. Viens chevaucher Bouba ! ordonnai-je.
Cette fois encore, Lisa ne se fit pas prier. Ivre de désir, elle se rua littéralement sur le black, et vint s'empaler sur sa verge dressée.



Elle avait surestimé la capacité de sa chatte !
- Ooooh ! Quelle bite ! Je ne me rendais pas compte de sa grosseur.... Non ! Doucement Bouba.... Ah, ça y est, je la sens me pénétrer... Ouiiii ! Continue !
Lisa se déchaînait maintenant, et se soulevait pour faire aller et venir la queue de Bouba dans sa fente dilatée. Soudain, elle fut emportée par un violent orgasme, qui lui arracha de longs cris.



Mais Bouba n'était pas encore satisfait.
- J'aime les chattes encore plus serrées, lança-t-il, comme celle de Chloé.
- Essaie son petit cul, dis-je alors à Bouba, sans réfléchir. Lisa adore se faire sodomiser.
Lisa me lança un regard affolé, et je réalisais que je venais involontairement de lui jouer un mauvais tour.


LISA

Bouba me souleva et guida son gland contre mon petit trou. Je criai avant même qu'il ne me pénètre car il me semblait que la queue de Bouba était nettement plus grosse que toutes les queues qui avaient pu investir mon petit cul. Il donna un petit coup de reins qui me fit sursauter et son gland força le passage de ma rondelle.



Il était vraiment gros et j'avais peur qu'il me déchire mais, au fur et à mesure qu'il s'enfonçait, je sentais la douleur laisser la place peu à peu au plaisir, un plaisir inouï ! Il commença à me faire monter et descendre sur son gros dard et je me mis aussitôt à gémir. David filmait tout cela avec application et semblait ravi de la tournure des événements. Un orgasme violent s'empara de moi et j'eus quelques secondes d'absence qui me firent perdre l'équilibre et basculer sur le côté. Bouba ne s'en formalisa pas et continuait à m'enculer tandis que j'hurlais de plaisir.



Bouba me laissa un répit. Il ralentit la cadence et se contenta de ne bouger qu'un tout petit peu, histoire sans doute de maintenir son érection en pleine vigueur. Je reprenais mes esprits :
- Chloé, je crois que je n'ai jamais eu une bite aussi grosse dans le cul ! Tu devrais essayer...
- Je ne suis pas certaine d'en être capable.
Bouba regardait Chloé qui semblait fascinée par l'énorme queue plantée entre mes fesses. Il dit à Chloé de s'approcher :
- Viens donc goûter le jus de ta copine. Je suis certain que sa moule est trempée de mouille !
Chloé s'approcha de moi et vint poser sa bouche sur mon sexe dont les lèvres étaient effectivement trempées et écartées comme si elles attendaient d'être pénétrées.



La langue de Chloé sur mes lèvres fut une vraie douceur après l'intensité de ce que Bouba venait de me faire vivre. Je sentis à nouveau le plaisir m'envahir quand sa langue vint s'attarder sur mon clitoris tendu à l'extrême. Elle m'aurait certainement donné un orgasme si Bouba ne l'avait pas arrêté.
- Je pense que ça suffira, Chloé !


CHLOE

Le spectacle offert par Lisa et Bouba m'avait fait oublier l'épuisement qui avait suivi le violent orgasme que m'avait procuré Bouba, et j'avais de nouveau une folle envie de sexe. Je me mis à quatre pattes, bien cambrée, pour exhiber mes fesses et ma chatte.



- Bouba, tu n'as pas envie de mon minou ? dis-je à Bouba, avec un regard pervers.
Manifestement, mon cul excitait le gangster ! Il abandonna Lisa, à bout de souffle, saisit sa queue à pleine main, et commença à frotter son gland gonflé sur les globes de mes fesses. Puis il se mit à les fouetter avec sa longue tige, toujours dure comme de l'acier.



- Alors, tu veux toujours te faire défoncer, petite salope ? me demanda Bouba.
- Oh oui ! répondis-je sans la moindre pudeur. J'ai envie de ta bite, mais vas-y doucement, elle est tellement grosse.
- Alors, prépare-toi !
Bouba s'agenouilla derrière moi, et commença à effleurer ma fente et mon clito avec son gland.



L'effet fut immédiat : je sentis la sève inonder ma chatte, et je me mis à gémir.
- Oh, Bouba, comme c'est bon ! Je suis prête, vas-y, maintenant, je t'en prie...
Dans la seconde, l'énorme pieu commença à me pénétrer.



Je criai, tant la sensation était forte, même si ma grotte avait déjà reçu le même assaut quelques instants plus tôt. Cette fois, Bouba ne prit aucun égard, et il se mit aussitôt à me labourer à grands coups de reins. C'était très fort, à la limite du supportable, mais je ressentais aussi un plaisir indescriptible, que je traduisais par de véritables hurlements. Mais le black en voulait encore plus : il avait réussi à enculer Lisa, et comptait bien me réserver le même sort ! Il profita de l'état second dans lequel je me trouvais pour sortir son gland de ma chatte. Je le sentis aussitôt pousser contre mon anus.



Cette fois, je paniquais vraiment !
- Non, Bouba, je t'en supplie, pas ça ! Tu vas me déchirer ! Non, non !
- Alors, s'amusa Lisa, tu ne veux pas que Bouba te prenne par derrière ? C'est pourtant toi qui l'as encouragé à me sodomiser tout à l'heure...
- Non, pardon Lisa ! Bouba, je t'en supplie !
Finalement, le gangster eut pitié de moi. Il me prit par les hanches pour soulever mes reins, monta sur le lit, et plongea de nouveau son dard dans ma chatte.



Dans cette position, il pouvait me pistonner avec une force incroyable, et il ne s'en privait pas. Rassurée, je m'offrais totalement, et je me cambrais au maximum pour qu'il puisse plonger son dard au plus profond de mon intimité, et un orgasme m'emporta. Mes cris eurent pour seul effet d'exciter encore plus Bouba, qui pilonna mon abricot de plus belle, jusqu'à ce que je jouisse encore. Le black ne s'arrêtait pas pour autant d'aller et venir dans ma chatte, et je m'écroulai, à plat ventre. Alors seulement, il se mit à grogner.
- Aaaah ! Je vais jouir à mon tour, dit-il, je vais t'inonder de foutre, Chloé !
Je le sentis gicler en moi, interminablement. J'avais l'impression que ma chatte était remplie de sperme et, dès qu'il se retira, la semence se mit à couler de ma fente.



Je me retournai sur le dos, pour tenter de récupérer, mais aussitôt Bouba me donna sa queue à sucer pour que je la nettoie. Je goûtais sur ma langue la saveur du même foutre qui coulait entre mes cuisses.




LISA

Quand Bouba jugea que Chloé lui avait suffisamment nettoyé la queue, il la laissa et vint vers moi :
- Elle m'a bien nettoyé, tu as vu ? Et, elle, qui va lui nettoyer sa chatte ?
Je compris bien ce que Bouba attendait de moi. Je vins me mettre à quatre pattes entre les cuisses de Chloé pour lui lécher la moule et en faire disparaître toute trace de sperme.



La semence de Bouba était épaisse et assez forte en goût. Il ne me fallut pas longtemps pour faire disparaître le jus salé de la moule de ma copine. Chloé gémissait à nouveau sous l'effet de ma langue qui parcourait sa moule. J'étais un peu frustrée que Bouba ne m'ait pas choisie pour éjaculer, mais cela m'excitait quand même énormément de m'exhiber en train de lécher la moule de ma copine.



Je sentis une présence à côté de moi. En tournant la tête je découvris qu'il ne s'agissait pas de Bouba mais de David qui venait filmer le cunnilingus en gros plan.
- Allez, vas-y, Lisa ! C'est toi la star maintenant.
Le fait de me sentir filmée décupla mon envie de faire jouir Chloé. J'entrepris donc de lui lécher le clitoris et de la branler avec deux doigts. Je sentis qu'elle se contractait alors ma langue tournait autour de son bouton.



Chloé jouit, presque timidement en comparaison de l'orgasme que Bouba venait de lui donner. Notre gangster ne nous laissa pas nous reposer.
- Lisa, viens voir un peu par là.
Bouba venait de jouir mais il bandait toujours comme un taureau. J'obéis et m'approchai de lui.
- Je crois que ta copine n'a pas tout vidé et qu'il m'en reste un peu... Tu vas m'arranger ça avant que je parte, n'est-ce pas ?
- Je vais faire de mon mieux, répondis-je un peu intimidée.



Je lui tournai le dos et vint m'empaler sur sa grosse tige. Je sentis à nouveau le plaisir me gagner alors qu'il s'enfonçait en moi. David nous filmait encore et Chloé s'amusa à venir me lécher les seins en regardant la caméra comme si on était en train de tourner un porno.



Je gémissais et j'aurais bien eu un orgasme ainsi mais Bouba dût juger qu'il ne pourrait pas jouir ainsi. Il me souleva donc et guida à nouveau son énorme dard dans mon petit trou. Le passage ayant été largement ouvert, il n'eut aucune peine à me pénétrer et commença rapidement à aller et venir en moi.



L'orgasme me gagna plus vite que je ne l'aurais cru et à nouveau, comme la fois d'avant, je perdis l'équilibre et me retrouvai sur le côté avec le pieu de Bouba toujours fiché dans mon petit trou. Il se leva pour continuer à m'enculer mais j'étais si épuisée que je n'avais plus la force d'accompagner ses assauts et je commençais à douter qu'il puisse jouir en moi ainsi.



Heureusement, Chloé s'était remise et vint à mon secours :
- Bouba, si tu veux je peux t'achever... Entre mes seins ou dans ma bouche si ça te tente ?


CHLOE

À ma grande surprise, Bouba choisit mes seins. Bien qu'ils soient ronds et fermes, et que leurs pointes soient dardées par l'excitation, ils ne sont pas très volumineux.
Bouba vint lui-même placer sa bite au creux de ma poitrine.



Je pressai l'énorme tige entre les globes de mes nichons, et je me mis à les faire glisser de haut en bas, le long de ce pieu sombre, provoquant chez Bouba des grognements de satisfaction. Manifestement, il aimait ça !
Au bout de quelques minutes, il abandonna mes seins, et se redressa.
- Je sens que je vais bientôt jouir, suce-moi les couilles, m'ordonna-t-il.
Je m'agenouillai, et je commençai à le branler d'une main, en embrassant ses bourses gonflées. Je déposai de petits baisers rapides, avant de les prendre entre mes lèvres, et de les aspirer.



J'excitais Bouba en le mordillant et en le léchant, et son souffle devenait de plus en plus court. Je devinai qu'il allait bientôt jouir, et ma bouche remonta lentement tout le long de sa verge, jusqu'au gland que ma langue entoura en le couvrant de ma salive.



Sa queue se mit à trembler dans ma main, et je la pris dans ma bouche, pendant que Bouba triturait entre ses doigts les pointes de mes seins.



- Aaaah, je viens ! marmonna Bouba. Je vais couvrir ton visage de foutre !
Je me reculai un peu, pour admirer le sperme épais, giclant du gland turgescent, pour venir maculer mon front, mes joues et ma poitrine, pendant que Bouba ponctuait chaque jet d'un cri rauque.



J'étais fière d'avoir réussi à le faire éjaculer sans qu'il me pénètre, et Bouba remercia David, pendant que j'admirai une dernière fois son corps superbe.



Puis il se rhabilla et nous quitta, sans même nous embrasser, Lisa et moi, se contentant de donner une poignée de mains à David.


LISA

J'étais un peu jalouse que ce soit Chloé qui ait fait jouir Bouba à deux reprises, mais je la rejoignis pour l'embrasser. Je pus ainsi goûter à la semence du gangster, au parfum particulièrement fort et sauvage. J'entrepris ensuite de lui lécher toutes les traces de sperme qu'elle avait sur le visage et sur les seins.



David, toujours en érection, nous regardait en souriant :
- Bravo les filles !
Je me tournai vers lui :
- Alors tu auras la vie sauve ?
- Pour le moment, je pense que oui, Bouba avait l'air très content. Comment puis-je vous remercier ?
- Pour ma part, tu dois bien deviner un peu non ?
David avait compris ce que je voulais et il se remit à se masturber.



Chloé semblait aussi être d'accord pour se faire remercier en nature :
- De toute façon, Lisa, ce ne serait pas très charitable de laisser David dans cet état-là...
Nous nous approchâmes de lui et nous nous accroupîmes de chaque côté de son sexe pour commencer à le sucer alternativement.



Tandis que je prenais en bouche sa longue tige, Chloé lui massait les testicules. Elle tourna la tête vers lui pour lui dire :
- On te prépare, mais après ce sera à toi de jouer.
- Dites-moi ce que vous voulez les filles, vous l'aurez !
Je m'écartais un peu pour permettre à Chloé de le sucer également. Nos lèvres se rencontrèrent autour de sa verge tendue.



David grognait de plaisir :
- Aaaah les filles ! Vous êtes de vraies diablesses avec vos bouches !
Chloé redressa la tête et lui répondit :
- Il te faudra justement nous montrer ce que toi tu sais faire avec ta bouche !
J'en profitai pour plonger à nouveau sur le sexe dressé et le pomper à nouveau. Chloé, ne trouvant plus sa place, se pencha pour lui sucer les couilles.




CHLOE

Entre deux grognements de satisfaction, David me demanda :
- Je voudrais bouffer ta jolie petite moule, Chloé. En as-tu envie ?
- Quelle question ! répondis-je en m'installant face à David, cuisses largement écartées.



La langue de David sur mon clito et dans ma fente me fit démarrer immédiatement. Un nouveau concert de gémissements s'éleva bientôt dans la pièce. D'un simple échange de regards avec Lisa, nous avons deviné nos intentions à toutes les deux : je vins m'asseoir sur le visage de David, et Lisa s'empala sur sa grosse bite dressée.



Lisa caracolait littéralement sur le pieu de David, planté dans sa chatte, en poussant de petits cris. Malgré ce que nous venions de vivre toutes les deux, nous avions encore de la ressource !
Voir le visage de Lisa, éclairé par le plaisir, accentuait le désir que j'éprouvais pour elle, et je me penchai pour l'embrasser à pleine bouche.



- Chloé chérie, suce-lui la queue, pendant qu'il me baise, me demanda Lisa entre deux plaintes.
Je vins me placer derrière le couple. Lisa se souleva légèrement, pour que je puisse prendre la base de la hampe de David, et la lécher.



La verge de David était luisante, ruisselante de la sève de Lisa, et je savourai le goût suave de cette mouille que j'aimais tant. Je voyais les petites lèvres de Lisa se contracter autour du pieu qui coulissait entre elles, et David se déchaîna. Il donnait de grands coups de reins, pour labourer la chatte de Lisa, qui feulait de plaisir.


Les deux partenaires étaient tellement secoués par ce coït que je ne parvenais plus à lécher la bite de David. Ma bouche remonta entre les fesses de Lisa, mes mains écartèrent les deux globes serrés, et ma langue s'insinua dans sa rosette, encore brûlante après l'assaut de Bouba.



Lisa jouit de nouveau, et ses cris envahirent la chambre. Après l'orgasme, elle continua à aller et venir sur le dard toujours bandé de David, qui s'était retenu à grande peine d'éjaculer.
- Mes chéries, venez me sucer encore toutes les deux, nous demanda David.


LISA

Après mon orgasme, je n'étais finalement pas mécontente de faire une petite pause. Je pris quand même mon temps pour m'extraire car Chloé continuait à me lécher la rondelle. Nous nous plaçâmes à quatre pattes, chacune de part et d'autre de David. Nos langues se retrouvèrent à nouveau autour de la hampe tendue à l'extrême de notre partenaire. Chloé poussa un profond soupir, je vis qu'elle s'était tournée de telle sorte que son cul était à portée de mains de David et celui-ci ne se privait pas pour lui caresser les fesses et la moule. David ayant une seconde main, je me positionnai moi aussi pour pouvoir en profiter, avant de reprendre la fellation partagée avec Chloé.



David râlait et voyait bien que nous allions le faire jouir à le sucer ainsi toutes les deux. Il négocia un répit :
- Lisa, c'est à ton tour de me laisser déguster ta moule.
Je vins me mettre à genoux au-dessus de son visage pour qu'il puisse me sucer l'entrejambe. Le bougre se débrouillait bien et il devait boire ma cyprine qui coulait à flot.



Chloé continuait à le sucer mais dut se dire au bout d'un moment qu'il était temps de profiter de belle queue. Elle se releva et vint se placer au-dessus du sexe de David, en lui tournant le dos. Lentement, elle descendit et guida l'érection dans sa moule pour s'empaler dessus.



David me donna un nouvel orgasme, plus doux et plus discret que le précédent. Après avoir repris mon souffle, je décidai de rendre à Chloé le plaisir qu'elle m'avait donné tandis que je chevauchais David un peu plus tôt. Je vins donc me placer entre les cuisses des deux amants et j'entrepris de lécher le clitoris de ma copine tandis que le sexe de David continuait à aller et venir dans sa moule.



J'espérais pouvoir donner un orgasme à Chloé en même temps que David éjaculerait en elle, mais David semblait se contrôler alors que Chloé était à deux doigts de jouir. Je crus alors bon d'attraper la queue de David et de l'extraire temporairement pour donner à Chloé le temps de se remettre. J'en profitais pour sucer du mieux possible David. Chloé était quand même très excitée et ne put se retenir de se caresser le clitoris.




CHLOE

Pendant que Lisa suçait David, le plaisir continuait à me faire perdre tout contrôle, et j'astiquais mon petit bouton avec une sorte de rage. Quand David me pénétra de nouveau, une décharge électrique traversa mon corps. Je pris appui sur mes bras pour m'empaler sur lui, et j'ondulais des hanches pour mieux sentir son gland exciter mes points les plus sensibles. C'est alors que je sentis à nouveau la bouche de Lisa se plaquer contre mon clito, et je poussai un cri de satisfaction. La bite de David dans ma chatte, les lèvres et la langue de Lisa titillant mon petit bouton... La jouissance m'emporta d'un coup, et je trouvai encore la force de hurler.



David se mit aussi à crier :
- Ooooh, Chloé ! Ça y est, je vais jouir ! Je vais décharger dans ta chatte ! s'exclama David.
Dans les secondes qui suivirent, je sentis sa semence gicler au fond de mon ventre, pendant que les derniers frissons de plaisir me traversaient. Je soulevai doucement mes reins, pour que David puisse se retirer, laissant le foutre couler de ma chatte et descendre vers la naissance de mes cuisses.



Lisa se précipita pour récupérer, sur son gland, les dernières gouttes de sperme.


LISA

C'était magique de sucer le gland encore palpitant de David et de voir sa semence qui s'écoulait de la moule encore brûlante de Chloé. Quand David retrouva ses esprits, il souleva Chloé et se poussa pour la reposer devant moi. Je vins à nouveau lui lécher la moule pour en nettoyer le sperme de David mêlé au jus de Chloé, renouvelant la dégustation que j'avais faite un peu plus tôt avec la semence de Bouba.



Il ne fallut qu'une ou deux minutes pour que l'entrejambe de Chloé soit exempte de toute trace de sperme et brille de ma salive. Mais je fis durer le plaisir et ma langue s'attarda plus longtemps sur ses lèvres entre tendues et sur son petit bouton encore bandé.



Chloé eut un ultime orgasme, très léger et s'acheva par un rire délicieux, signe qu'elle était parfaitement détendue. Nous étions toutes les deux épuisées. David nous proposa de prendre une douche, ce que nous acceptâmes bien volontiers. Il eut la gentillesse de ne pas nous déranger et nous allâmes le retrouver dès que nous fûmes rhabillées. Il avait enfilé une tenue élégante et tenait son téléphone portable à la main. Il semblait à nouveau inquiet :
- Merci encore, les filles, de m'avoir sauvé la vie !
- De rien. Mais tu as l'air inquiet... Tu penses que Bouba ne tiendra pas sa promesse ?
- Si. Il vient de m'envoyer un SMS : j'ai un répit de deux semaines pour le rembourser.
Chloé et moi étions rassurées et ne comprenions pas vraiment l'inquiétude de David. On l'embrassa et on le laissa gérer ses soucis financiers.

^ ---------oOo---------

Mystérieux David - Episode 4, Acte 1


LISA

David nous fit venir chez lui dès le lendemain. Chloé était arrivée juste avant moi et c'est elle qui vint m'ouvrir la porte. Sous les yeux brillants de David, nous nous embrassâmes sensuellement.



Dès qu'on se décolla, David nous remercia de notre présence.
- Merci encore de m'offrir ce sursis les filles...
- De rien, c'est un plaisir.
- Par contre, vu que je n'ai toujours pas de quoi payer, le problème va se reposer dans deux semaines.
Chloé me regarda et on se comprit aussitôt. Nous nous mîmes à rire.



- Ok, tu peux dire à Bouba qu'il n'y a pas de soucis pour qu'on remette ça toutes les deux semaines.
David ne semblait cependant pas si ravi de notre réponse.
- C'est gentille, mais qu'arrivera-t-il le jour où vous en aurez marre ?
- Parce que tu ne comptes pas rembourser Bouba ?
- C'est que c'est impossible...
- Ah, dans ce cas oui, tu es vraiment dans la merde...
- Bouba m'a proposé un truc pour éponger ma dette mais j'ai refusé vu que vous étiez concernées...
- C'était quoi son deal ?
- Non, je ne veux pas vous imposer un truc pareil.
- Fais pas le con, dis-nous au moins de quoi il s'agit.
- Il accepte d'éponger ma dette si vous vous livrez toutes les deux à un gang-bang avec ses hommes et que je filme la scène.
- Ils sont combiens ?
- Nombreux, une bonne douzaine, peut-être plus... Que des blacks.
Chloé semblait très gênée. Je me penchais pour lui chuchoter à l'oreille :
- J'adorerai essayer de me faire un gang bang par des blacks, pas toi ?



Chloé me regarda et pouffa de rire. David s'inquiétait :
- Quoi ? Vous trouvez ça drôle ?
Chloé le rassura :
- Non, c'est juste qu'on a bien envie de tenter l'expérience.
- Vous déconnez ?
- Non. Mais après ça, on arrête, ok !
David était sur le cul. Il envoya aussitôt un SMS à Bouba. Puis, plus détendu, il nous servit à boire :
- Vous vous rendez-compte les filles de ce que vous allez faire ?
Je demandai des précisions :
- Ces gars ne cognent pas les filles quand même ?
- Non, ils sont réglos. C'est juste que ça va faire un nombre conséquent...
Le téléphone portable de David vibra. Il venait de recevoir une réponse de Bouba :
- Bouba nous donne rendez-vous demain soir dans l'arrière salle du bar « Le Club » qui se trouve en face du complexe sportif.
- Dès demain soir ?
- Oui... ça vous va ?
C'était un peu rapide mais sans doute était-il préférable de battre le fer tant qu'il était chaud.
David nous y conduisit et je reconnus le quartier du complexe sportif où j'avais déjà eu l'occasion de venir voir des rencontres avec Simon. Le Club se situait juste en face de la grande salle de basket.


CHLOE

Avec Lisa, nous sommes arrivées le lendemain au bar où David nous avait fixé rendez-vous. A vrai dire, nous étions déjà nettement moins excitées que la veille, et un peu d'inquiétude nous avait gagnées : pourvu que ces blacks ne soient pas des fans de sado-maso ! David était accoudé au bar avec Bouba, qui nous accueillit avec un regard lubrique, pas vraiment de nature à nous rassurer...
Les deux hommes nous embrassèrent et nous entraînèrent toutes les deux dans une arrière salle que le patron mettait à disposition de ses clients pour des réunions privées. L'endroit n'était pas très gai. Les chaises et les tables avaient été poussées sur le côté, des matelas avaient été jetés sur le sol, et un canapé était disposé contre un mur.
Mais c'était surtout la bande de blacks au milieu de la salle qui nous impressionnait ! Comme David l'avait dit, ils étaient une douzaine, tous grands et baraqués...
A peine Bouba nous eut-il présentées qu'ils se dirigèrent vers Lisa et moi. Ceux qui m'entourèrent commencèrent à me peloter à travers mes vêtements. Très vite, je ne savais plus à qui appartenaient les mains qui soulevaient mon débardeur, palpaient mes seins, se glissaient dans mon jean.



Ils devaient me trouver à leur goût, car mon jean disparut, et mon débardeur fut presque arraché. Un black s'agenouilla pour admirer ma chatte, et je devinai que je n'allais pas garder bien longtemps ma petite culotte.



J'aperçus Lisa qui, à ma grande surprise, semblait paniquée, et cherchait à se défendre contre les mecs qui avaient entrepris de la déshabiller. Je l'aurais crue plutôt impatiente de se retrouver à poil et de se faire baiser !
Mais je n'eus pas le temps de réfléchir. Mon string avait été déchiré, et je me retrouvais nue au milieu de ce groupe en rut, qui était en train de se déshabiller à son tour. J'avoue que la vision de ces corps musclés à la peau sombre, et surtout de leurs superbes bites, relativisait mes craintes. Leurs mains commencèrent à parcourir mon corps offert, faisant darder la pointe de mes petits seins, et je ne pus m'empêcher de répondre - pour l'instant timidement - à leurs caresses.



Deux des blacks empoignèrent mes bras, pour me faire mettre à genoux. Cinq mecs m'entourèrent, et je me retrouvai avec leurs queues sous mon nez. Ma nudité commençait à faire son effet, et les cinq verges se mirent à grossir et à s'allonger. J'étais stupéfaite : je pensais que la réputation des noirs d'être les mieux membrés était une légende, mais là, j'avais la preuve sous les yeux !... Et ils n'étaient sans doute pas au maximum de leur érection. Si je me sentais prête à les recevoir dans ma bouche, je me demandais ce qui se passerait s'ils voulaient pénétrer mon petit cul.



La tentation était trop forte. Je saisis deux bites au hasard, et je me mis à les branler. J'alternais des caresses sensuelles, et des mouvements rapides de mon poignet, et je sentais les glands se dilater encore plus entre mes doigts. Un troisième black m'obligea à le regarder, et me planta son dard dans la bouche.



Sans le quitter des yeux, je me mis à le pomper, en l'excitant de petits coups de langue.



LISA

Dès que Bouba nous eut présentées, ses hommes se jetèrent sur nous. Ils n'avaient pas l'air méchant mais le fait qu'une demi-douzaine d'inconnus s'approche de moi avec l'intension manifeste de me baiser me fit paniquer. Les mains se posèrent sur moi pour me peloter à travers mon débardeur.



Certains commentaient déjà la marchandise :
- Elle a des nichons de compétition.
- Elle n'a pas mis de soutif. C'est une vraie chaudasse. On va bien s'amuser.
J'avais toute les peines du monde à les empêcher de m'arracher mes fringues mais je fus vite débarrassée de mon débardeur et de ma jupe. Je luttai avec difficulté pour garde ma culotte.



Les gars continuaient à commenter comme si j'étais un simple jouet entre leurs mains :
- Elle résiste, ça n'en sera que meilleur.
- Elle est superbe, j'ai déjà une gaule terrible !
Troublée par les mains qui palpaient mes seins, mes fesses et mon ventre, je ne parvins pas à empêcher que ma culotte soit retirée. Je vis derrière moi que Chloé avait fait moins de manière et qu'elle était déjà entièrement nue.



Les gars se mirent à poil à leur tour, exhibant des bites imposantes et déjà toutes plus ou moins en érection. Je sentis la cyprine couler entre mes cuisses, même si l'excitation n'inhibait pas totalement ma crainte de la manière dont j'allais pouvoir accueillir toutes ces grosses queues. Je croisai le regard de Bouba au moment où un gars me força à me mettre à genoux. Des queues dressées m'entourèrent et j'en saisis deux pour les masturber tandis qu'un troisième guidait sa tige dans ma bouche ouverte.



Bouba avait dû percevoir la peur dans mon regard car je l'entendis approcher et, avec un ton très ferme, stopper l'orgie avant qu'elle ne commence :
- Arrêtez ! Laissez-les. Il va falloir établir des règles. Ces filles sont venues de leur plein gré et il est hors de question de les traiter comme de la marchandise.




CHLOE

Je ne sais pas si c'est la réaction de Lisa à laquelle il ne s'attendait pas non plus, mais Bouba décida de mettre un terme à ces assauts désorganisés, et demanda à ses hommes de nous laisser et de l'écouter. Son ascendant sur sa bande était impressionnant, et tous ces grands blacks musclés lui obéirent instantanément.
Avant de parler, il se mit nu lui aussi, et je vis à nouveau avec plaisir son énorme sexe qui m'avait tant fait jouir la dernière fois.



- J'ai décidé de la manière dont nous allions nous y prendre avec ces deux petites salopes, dit-il sur un ton qui ne tolérait pas de contestation. Pour commencer, chacune va se faire baiser par un seul homme. S'il décharge, un autre le remplacera, mais lorsqu'une de ces deux filles aura un orgasme, un mec supplémentaire viendra s'ajouter au groupe. Et ce sera ainsi à chaque fois que l'une d'elle aura un orgasme. Plus elles jouiront, plus elles auront de partenaires.
Bouba s'assit sur le canapé, l'air satisfait de ce qu'il venait d'annoncer.



- J'espère que mon idée vous plaît, les filles.
Pour ma part, ce scénario m'excitait, même si j'essayais de ne pas trop le montrer, mais j'attendais la réaction de Lisa, qui me jeta un regard chargé de complicité érotique.
- Oui, on est d'accord, dis-je en réponse. C'est bien d'avoir arrêté vos hommes, on ne sait pas comment vous remercier.
- Vous n'avez pas une petite idée ? nous demanda Bouba, en désignant sa bite dressée.
Lisa et moi nous agenouillâmes devant le canapé, je pris la hampe sombre dans ma main, et nos langues vinrent lécher le gland rose turgescent.




LISA

Bouba ne nous laissa pas le faire jouir. Après avoir bien profité de nos bouches et langues sur sa tige, il se redressa et demanda :
- Bon, qui commence, messieurs ?
Voyant tout le monde se rapprocher, il désigna David :
- Attendez, je crois que l'honneur revient à David puisque c'est grâce à lui que nous profitons ce soir de ces deux jolies chattes blanches. Et ça permettra à tout le monde de se mettre en condition en découvrant toute l'étendue des compétences de Chloé et Lisa. Par contre, dès que vous aurez joui, les filles, il faudra vous séparer et choisir chacune un des étalons ici présents.
David était ravi de cette décision. Il était assis et se branlait en nous regardant.



J'étais un peu déçue de ne pas profiter tout de suite de toutes ces magnifiques queues d'ébène aux proportions vertigineuses mais Bouba avait probablement raison et il était plus sage de mettre une certaine progression à la soirée. Nous nous approchâmes de David et prîmes la même position qu'avec Bouba pour sucer à deux la tige de David.



Chloé semblait aussi excitée que moi et je devinais que le fait qu'on ait une douzaine de spectateurs noirs en érection y était pour beaucoup. Nous alternions l'une et l'autre sur ce sexe offert. Chloé pompait le gland de David tandis que je léchai sa hampe avec gourmandise.



Puis Chloé abandonnait son gland palpitant et lisse à mes lèvres et à ma langue, tandis qu'elle suçait à son tour la tige tendue à l'extrême. Je craignais que David ne jouisse rapidement à ce rythme mais il semblait se retenir. Chloé se remit à lui pomper le gland et je me glissais entre les cuisses de David pour lui sucer les testicules.



Il manqua semble-t-il de peu l'orgasme et nous repoussa. Il chuchota :
- C'est à moi de vous faire jouir, les filles...
- Ne t'inquiète pas, répondit Chloé. Si tu éjacules, tu seras remplacé, c'est tout.
Il me poussa sur le côté et fit glisser son index le long de ma fente humide jusqu'à mon petit trou. Il voulait manifestement m'enculer. Chloé fut plus rapide et le goba pour le sucer avant qu'il ne me pénètre.




CHLOE

J'abandonnai la queue de David pour caresser le superbe cul de Lisa, et j'en profitai pour écarter les globes de ses fesses pour que David puisse admirer son petit trou offert. Lisa se cambra, et je pus observer en gros plan le gland de David appuyer contre sa rosette, puis y disparaître après quelques poussées.



Lisa poussa un cri, manifestement plus de plaisir que de douleur, et j'encourageai David.
- Vas-y, encule-la à fond, elle aime ça !
A grands coups de reins, David s'enfonça en elle. Le corps de Lisa était secoué à chaque assaut, et elle ne pouvait plus cacher son plaisir.



J'étais aux premières loges, mais tous les blacks s'étaient rapprochés pour profiter du spectacle. Les feulements de Lisa allaient leur donner des idées, et j'espérais qu'elle était prête à se faire sodomiser par plusieurs d'entre eux !
David se calma un peu, car il voulait se contrôler encore. Il se retira du petit trou de Lisa, mais c'était pour mieux planter son dard dans sa moule luisante de cyprine.



Avec des grognements de plaisir, il reprit ses allers et retours dans la fente de Lisa, qui ondulait des hanches en gémissant. Le souffle de David devint plus court, et il murmura :
- J'ai envie de jouir dans vos bouches.
David abandonna Lisa et se leva. Souriantes, nous commençâmes à le sucer, en jetant des coups d'œil aguicheurs aux blacks qui nous mataient.



- Laisse-moi bouffer sa grosse bite, me demanda Lisa.
Je ne pouvais rien lui refuser ! Je la laissai pomper à pleine bouche la queue de David, et je ne pus résister à la tentation de lécher et de mordiller les seins généreux et fermes de ma copine.



Ma caresse donna un véritable coup de fouet à Lisa, qui suça avec une sorte de rage le membre palpitant de David.



Son ardeur porta bientôt ses fruits. David râlait littéralement au rythme des coups de langue de Lisa, qui se comportait comme une chienne en chaleur, pendant que je me déchaînais aussi sur ses seins.
- Ouaaah !! Les filles, vous êtes géniales ! Oh, ça vient, je vais jouir sur vous !
J'étais excitée, et en même temps frustrée de ne pas encore m'être fait baiser. Je me redressai, pour avoir, moi aussi, ma part de foutre.




LISA

La queue de David était tendue à l'extrême. Elle palpitait et semblait prête à cracher sa semence d'une seconde à l'autre. Avec Chloé, nous nous amusions à donner alternativement de petits coups de langues sur la hampe ou sur le gland pour voir laquelle de nous deux allaient déclencher l'explosion. Après un coup de langue de Chloé sous la base du gland, David lâcha un profond râle significatif.



David dirigea son premier jet de sperme dans ma bouche grande ouverte. Je fus fière de recevoir cette première giclée et je plongeai machinalement sur la bouche de Chloé pour l'embrasser et partager avec elle cette première offrande. Nous nous embrassâmes ainsi avec passion alors que David, dépité, continuait à éjaculer en nous barbouillant le cou et les joues de son sperme chaud.



David nous avait gratifié d'une belle quantité de semence et je sentais son sperme couler de mes joues et de mon menton sur mes seins que j'avais pris garde de laisser juste en dessous de cette douche providentielle. Chloé, en bonne coquine, recommença alors à me lécher les seins, mais cette fois-ci pour en nettoyer le sperme.



La plaisir de cette langue sur mes mamelons me donnait envie de me caresser l'entrejambe mais je résistais. Si Chloé avait entrepris de me caresser la moule en même temps, elle m'aurait sans nul doute donné un orgasme. Mais elle s'était heureusement contentée de me faire une savante toilette pour que je sois prête pour la suite.



Plusieurs mecs s'approchèrent alors de nous, mais Bouba les arrêta :
- Messieurs, ce sont ces demoiselles qui vous choisiront. Tenez-vous prêts et attendez que les filles vous fassent signe.
Les mecs attendaient, bombant le torse, rentrant le ventre et surtout faisant tendre leur verge le plus possible. Je sentais Chloé gourmande mais elle ne choisit pourtant pas un mec avec une bite trop grosse, voulant sans doute y aller progressivement.



Pour ma part, j'avais encore la chatte et le cul en feu de la pénétration de David et j'avais envie de prendre mon pied. Je désignai donc un gars avec un sexe quand même plutôt conséquent.




CHLOE

Je m'approchai du mec que j'avais choisi. Il est très beau, et surtout, il me semblait que ma chatte allait pouvoir supporter les assauts de sa queue, bien que ses proportions fussent déjà impressionnantes.



Je m'agenouillai sur un canapé avec l'intention de le sucer, pendant que ses copains se branlaient en nous regardant... Mais je poussai un cri de protestation, quand je sentis soudain une autre bite forcer ma fente, au mépris des règles édictées par Bouba.



Immédiatement, Bouba qui ne perdait pas une miette de la partouze qui s'était engagée, se mit en colère.
- Moussa, espèce de connard ! Tu arrêtes ça tout de suite, ou je te vire !
Encore une fois, Bouba imposait son autorité, et Moussa se retira, penaud.
Je pus enfin prodiguer ma fellation au partenaire que je m'étais choisi. Il s'assit, et je me mis à genoux entre ses jambes écartées pour le prendre dans ma bouche.



Je le trouvais vraiment à mon goût, et je ne lui épargnais aucune de mes fantaisies buccales pour exciter un mec. Mais au fur et à mesure, je sentais que son gland grossissait de plus en plus, et que sa hampe s'allongeait démesurément... Je m'étais piégée toute seule : je ne m'étais pas rendu compte qu'il ne bandait pas à fond tout à l'heure, même si la vue de mon corps nu semblait le fasciner !
En le léchant, le suçant, le mordillant, j'avais exacerbé son désir, et il voulait maintenant obtenir ce que je lui avais, d'une certaine façon, promis. Il posa ses mains sur ma tête, et pesa de toutes ses forces pour s'enfoncer le plus loin possible, jusque dans ma gorge.



Je paniquais à moitié, et le gland qui emplissait totalement ma bouche m'étouffait. La seule solution : qu'il vienne dans ma chatte, pour libérer ma bouche.
Ce n'était pas pour lui déplaire, et il poussa un rugissement de plaisir quand je vins le chevaucher.



J'avais du mal à m'empaler sur lui, tant sa queue était énorme : elle était aussi grosse que celle de Bouba, et je la sentais me remplir totalement, quand elle s'enfonçait en moi, au fur et à mesure que je pliais mes jambes. Finalement, j'appréciais de plus en plus cette extraordinaire pénétration, et je me mis à aller et venir sur ce pieu.



Je me détendis, et je goûtasi ce gland qui venait se frotter contre mon point G. C'était fort et délicieux, je criais sans retenue. Je chevauchais alors mon black comme une folle, jusqu'à l'orgasme qui m'emporta, dans un hurlement qui dut s'entendre jusque dans le bar !



Et, dans un éclair de lucidité, je réalisai que j'allais à présent devoir m'offrir à deux hommes....


LISA

Le gars que j'avais choisi s'approcha avec un grand sourire :
- Tu m'as choisi parce que tu penses que j'ai la plus grosse ?
- Je pense que tu seras à la hauteur du plaisir que j'attends que tu me donnes.
- Tu ne seras pas déçue.
Il me fit m'allonger sur un matelas par terre et vint se positionner à quatre pattes entre mes cuisses pour me brouter la moule.



Il maniait sa langue avec délice dans ma fente trempée s'attardait sur mon petit bouton pour me faire vibrer. Je ne m'attendais pas à cela de la part d'un mec monté comme un taureau mais je me dis qu'il devait nécessairement s'y connaître en préliminaires pour pouvoir préparer ses partenaires à accueillir une telle queue. Quand il se redressa, j'écartai largement les cuisses, prête à l'accueillir. D'autres gars vinrent m'entourer et l'un d'eux profita pour me peloter. Mon partenaire planta son gland et resta sans bouger.



Puis, il se passa quelque chose d'étonnant. Les gars qui m'entouraient se mirent à me maintenir les épaules et les bras comme pour m'immobiliser. Je crus qu'ils voulaient abandonner les règles énoncés par Bouba et me violer à plusieurs mais il s'agissait d'autre chose que je compris bien vite. Mon partenaire, dont le sexe était toujours engagé dans ma chatte, ne bougeait toujours pas. Alors que je l'observais sans comprendre ce qu'il se passait, il me regardait, très fier de lui, puis vint se pencher à mon oreille :
- En fait, je n'aime pas baiser les petites blanches...
Je ne comprenais pas pourquoi il me disait cela et c'est quand il se retira pour planter son gland contre mon anus que je compris ce qu'il voulait. Je criai, car je craignais qu'il ne me fasse mal.



Bouba s'approcha et dit d'un air sentencieux :
- Ne t'inquiète pas Lisa, il n'a jamais blessé personne. David a déjà préparé le passage, je pense que tu vas aimer.
Je le laissai me pénétrer lentement, jusqu'à la garde. C'était extrêmement tendu mais c'est vrai que cela se passa bien et qu'il ne me fit pas mal. Plus confiante, je me détendis et il commença à aller et venir en moi. Le plaisir arriva rapidement et, entendant mes gémissements, les autres me lâchèrent et s'écartèrent.



Je prenais un pied d'enfer alors que cela aurait pu être une torture si je m'étais débattue et si je ne m'étais pas laissée faire. Il s'enfonçait en moi jusqu'à la garde et je sentais ses couilles contre mes fesses à chacun de ses assauts. Le plaisir monta plus rapidement que je ne l'aurais cru et l'orgasme m'envahit, incontrôlable.



J'hurlais de plaisir et je pris conscience que Chloé aussi avait eu un orgasme juste avant moi. Mon partenaire me laissa me tourner sur le côté, gardant sa queue plantée entre mes fesses. Il rigola :
- Je n'en ai pas fini avec toi, mais tu vas devoir maintenant accepter une bite de plus.
- Je suis prête.



Sans se dégager, il m'allongea sur le dos et continua à me sodomiser tandis que deux gars venaient tenter leur chance pour une fellation.


CHLOE

Je me remettais doucement de l'orgasme dévastateur que venait de me procurer mon premier black de la soirée, lorsque j'entendis Lisa hurler de plaisir. Son partenaire avait encore sa verge plantée dans son cul, et continuait à la sodomiser, infatigable, ce qui donna des idées au mec qui m'avait fait jouir, et qui n'avait pas débandé.
- Ca va être à ton tour d'y passer, Chloé ! Je veux t'enculer, me dit-il très crument.
- Tu es fou ! Elle est trop grosse, tu vas me déchirer, protestai-je - sans me faire d'illusion sur l'effet de ma supplique.
Mon black me fit venir sur lui, empoigna mes fesses qu'il écarta de ses mains puissantes, et fit venir ma rosette au contact de son gland. Sa bite était tellement raide qu'il n'avait aucun besoin de la guider.



Je pris la hampe dans ma main pour essayer de la ramener dans ma chatte, mais c'était trop tard...
Mon partenaire m'avait saisie par les cuisses, les écartant au maximum, et j'avais été obligée de prendre appui sur mes bras tendus, pour ne pas perdre l'équilibre. Je sentis le gland forcer mon petit trou, et s'enfoncer lentement dans mon anus.
- Ooooh ! Mon Dieu, elle est énorme, criai-je.



Ecartelée, dans cette position, toute la bande ne manquait rien du spectacle que j'étais contrainte d'offrir, et j'aperçus David, qui avait sorti une caméra pour nous filmer. Mais, malgré mes craintes, je devais m'avouer que cette pénétration ne m'était pas si pénible - au contraire - et je ne pus retenir mes premiers cris de plaisir.
L'énorme tige sombre ne progressait que très lentement dans mon cul étroit, et un autre black, très excité, vint me fourrer brutalement sa queue dans la bouche.



Les choses devenaient peu agréables pour moi, et Bouba s'en rendit compte à l'expression de mon visage.
- Doucement, les gars. Ce n'est pas comme ça que vous allez la faire jouir, et j'ai envie de la voir prise par trois mecs. Laissez la faire un peu, vous ne le regretterez pas !
Je me relevai, me retournai, et je chevauchai le black qui était resté assis.



Je me mis à aller et venir en gémissant sur cette bite que j'avais maintenant apprivoisée, et je me retournai vers l'autre black :
- Maintenant, viens que je te suce.
Dans la seconde, sa verge fut devant mon visage. Je me penchai pour prendre son gland entre mes lèvres, pendant que mes hanches allaient d'avant en arrière pour tirer toutes les sensations possibles du pieu emplissant ma fente.



Je sentais des mains écarter mes fesses, pour exhiber mon petit trou. Mais j'étais trop absorbée à savourer le plaisir que me procuraient les deux hommes pour me méfier.
Je suçai mon nouveau partenaire, ne pensant qu'à l'exciter au maximum avec ma langue et mes lèvres ; et cela marchait, si j'en jugeais par les palpitations du gland gonflé !
Soudain, il abandonna ma bouche, et se vint se placer derrière moi.
- Tu m'as bien chauffée, ma salope. Maintenant, je vais m'occuper de ton joli petit cul.
- Va doucement, je t'en prie, lui demandai-je.



En réalité, j'avais vraiment envie de me faire sodomiser, et de sentir son sexe dans mon anus. Il lubrifia un peu ma rondelle, et son gland, abondamment enduit de ma salive, me pénétra sans trop de difficultés.
Il ne me fit pas cadeau d'un centimètre de sa longue tige, et je sentis bientôt son pubis et ses couilles buter contre mes fesses. Alors, il se mit à aller et venir, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, jusqu'à se déchaîner. Chacun de ses coups de reins me soulevait, puis me laissait retomber sur l'autre bite toujours fichée dans ma fente.
C'était incroyablement excitant, je poussais des cris inarticulés, même si je craignais que la mince cloison séparant mes deux orifices ne résiste pas à la violence de ces assauts.
J'étais dans un état second, et je me demandai pourquoi le black que je chevauchais voulait se dégager. Abandonnant ma chatte en feu, il vint s'agenouiller devant moi, et me planta son gland dans la bouche, pendant que son copain m'enculait encore plus fort.



Je ressentais maintenant une sorte d'ivresse, et je crois que je n'aurais plus rien refusé, tant j'avais envie de sexe. Mon seul objectif était de faire gicler le foutre de ces deux bites grâce auxquelles je devais tant de plaisir... sauf que c'est moi qui succombais alors à l'orgasme !



Et je jouis, je criai à nouveau sans pouvoir me contrôler, pendant que mes deux partenaires ne faiblissaient pas, eux, bien au contraire. Je crois même que, à ce moment, l'idée de devenir ensuite le jouet de trois hommes décuplait mon plaisir...



LISA

Ma situation avait donné des idées à d'autres et je voyais que Chloé était aussi sollicitée pour une sodomie. Pour ma part, mon sodomite continuait à aller et venir en moi, et des queues tendues s'approchaient de mon visage, attendant que je fasse ma sélection. Toujours sous le coup du plaisir de mon orgasme, je ne me posais plus de question : je tendis le cou et gobai la bite la plus proche.



Je le suçais du mieux que je pouvais mais les assauts sauvages du premier gars n'aidaient pas à ce que je me concentre sur cette fellation. Soudain, il s'immobilisa en moi et je le sentis se vider, un flot de sperme inondant mes entrailles. Quand il ressortit sa longue tige, il écarta les lèvres de ma moule et dit à un de ses collègues :
- Vas-y, il reste de quoi explorer !



Le gars que je suçais s'assit et me posa la tête sur son ventre musclé. Je repris ma fellation avec délectation tandis qu'il en profitait pour me palper les seins et me triturer les mamelons. Je sentis un gland se glisser entre les lèvres de ma fente. D'un coup de reins, un pieu conséquent se planta en moi. La bouche prise par une autre queue, j'avais du mal à respirer.



Je devais régulièrement abandonner ma fellation pour reprendre mon souffle et également pour laisser échapper mes gémissements de plaisir. J'essayais alors de maintenir en condition le second gars en lui massant les couilles. Celui qui me baisait se débrouillait vraiment bien et j'avais toutes les peines du monde à ne pas succomber à un nouvel orgasme.



Le black entre mes cuisses fut en revanche moins résistant que moi. Je le sentis se tendre et tandis qu'il se déchaînait pour aller et venir en moi, il commença à éjaculer. Il était si fébrile qu'il sortit avant d'avoir fini et éclaboussa mon entrejambe avec une ultime giclée.



Le black que je suçais avait bien compris que son collègue avait jouit et il m'attrapa par les hanches pour m'attirer à lui. Il s'installa sur le canapé et m'enfila avec une précision chirurgicale, son dard dans la moule encore toute beurrée du sperme de son collègue. Comme il était un peu moins gros que le précédent, je m'empalai sur lui jusqu'à la garde d'une seule traite. Un nouveau gars vint aussitôt pour se faire sucer.



Le type me soulevait et me faisait monter est descendre sur sa hampe sans se lasser. J'avais bien du mal à me concentrer sur ma fellation mais je sentais surtout que mon partenaire commençait à s'impatienter de ne pas me donner d'orgasme. Il s'arrêta et dit :
- Attends ma belle.
Je le sentis me soulever et diriger sa tige toute lubrifiée de ma mouille vers mon petit trou. Il n'eut aucune peine à me pénétrer de toute sa longueur, et même s'il n'était pas très gros, cela fut délicieux.



Celui que j'étais censé sucer dut se lasser que je ne m'applique pas plus à la tâche et décida d'essayer autre chose. La place venant de se libérer entre mes cuisses, il se dit que c'était là une opportunité à ne pas manquer. Il vint guider son sexe dans ma fente et se mit à me baiser. Je ne savais plus bien où j'en étais tant le plaisir était intense. Deux longues bites noires me prenaient en double. L'orgasme monta, inexorable.



Je perdis un peu les sens des réalités et j'hurlais pendant plus d'une minute tant le plaisir était intense tandis que mes deux amants ne se lassaient pas de continuer à aller et venir en moi.


CHLOE

Les spasmes de l'orgasme qui secouaient tout mon corps commençaient à se calmer, lorsque je sentis le sperme chaud gicler dans mon cul, dans un long râle du black qui m'avait sodomisée. Il m'avait remplie d'un volume impressionnant de son jus, qui coulait de mes fesses, jusqu'à ma fente.



Il resta un moment fiché en moi, puis se retira.
C'était ce qu'attendait le type que je suçais. Il m'empoigna, et me fit venir sur lui. Complètement soumise, je me laissais faire, et je le chevauchais, pendant qu'il malaxait mes seins, dont les pointes dures se dressaient. Je vins m'empaler sur lui et, cette fois, son énorme bite s'enfonça d'elle-même dans ma chatte.
- Ooooh ! C'est bon, comme c'est bon, feulai-je.



Je n'eus pas l'occasion de commenter davantage l'invasion de mon minou : un autre black vint aussitôt me présenter sa tige à sucer. Elle était bien épaisse, mais il ne bandait pas vraiment, et je pris son gland entre mers lèvres. J'avais retrouvé toute mon envie de partouze, et je titillais cette superbe bite avec une expression provocante dans le regard.



En grognant de plaisir, le type que je suçais s'assit sur le canapé. Toujours empalée sur son copain qui remplissait ma chatte, je me penchai vers lui pour poursuivre ma fellation.
Dans cette position, je ne réalisais pas que mon cul cambré était offert à tous. C'était inévitable : je sentis d'autres mains se poser sur mes hanches. Je ne fis rien pour éviter ce nouvel assaut, ni pour savoir qui était ce troisième amant. Les yeux mi-clos, j'attendais maintenant de sentir cette nouvelle queue forcer l'entrée de mon petit trou.



Ce nouveau partenaire fut, pendant quelques instants, très doux, presque tendre. Ma rosette, encore dilatée et lubrifiée par le sperme dont son prédécesseur m'avait inondée, s'ouvrit sans résistance à cette nouvelle pénétration. Je sentis le gland s'enfoncer lentement, interminablement. Je me demandais quelle était la longueur de ce pieu, tant j'avais l'impression qu'il investissait tout mon ventre.
Prise en sandwich ! Comme c'était bon ! Je me penchai pour reprendre ma fellation. Trois blacks pour moi toute seule, et quels étalons !



En jetant un regard sur le côté, j'aperçus Lisa, elle aussi prise en double, et David qui, caméra à la main, ne perdait pas une miette de ce spectacle et bandait ferme.
D'un seul coup, celui qui me sodomisait se déchaîna. Il se mit à labourer mon cul à grands coups de reins.
- Tu aimes ça, hein ? Tu vas être servie ! Je vais te défoncer, aboya-t-il.
- Ouiiii ! Vas-y, encule-moi à fond... Oooh, comme ça, j'adore... Oui, encore plus fort.
Cette fois, je ne paniquai pas, et je me donnai totalement. Bouba observait la scène, en connaisseur, et n'intervenait pas.
J'étais comme une poupée de chiffons, secouée en tous sens, les assauts du mec qui me sodomisait faisant coulisser ma chatte sur l'autre queue. J'avais toutes les peines du monde à sucer mon troisième black, entre les coups de reins qui me faisaient perdre l'équilibre, et mes cris de plaisir.
Je sentis à nouveau la jouissance monter. C'était incroyable, chaque orgasme était plus fort que le précédent.



Cette fois, je jouis deux fois, coup sur coup, en hurlant.
Je sentis alors mes deux partenaires décharger, presque simultanément, dans mon anus et dans ma fente. Epuisée, je me laissais tomber sur le dos, le foutre dégoulinant de mes deux orifices, pendant que mon dernier partenaire m'obligeait à le sucer encore un instant.





LISA

Toujours prise en étau entre deux blacks, je me disais que j'allais enchaîner les orgasmes et qu'il allait devenir difficile pour moi de gérer l'augmentation du nombre de partenaires. Pour le moment, un troisième vint me présenter sa queue pour se faire sucer.



J'étais en sueur et l'un de mes amants s'amusait à me titiller le clitoris, espérant ainsi accélérer l'arrivée du prochain orgasme. Je me concentrais sur ma fellation, tenant bon, résistant aux assauts ininterrompus de mes deux autres partenaires.



Finalement, alors que je me disais que ces deux-la allaient jouir tôt ou tard en moi, je fus surprise d'entendre celui que je suçais me dire :
- Je viens ! Je viens !
J'ouvris grand la bouche et il éjacula généreusement sur ma langue laissant toutefois un jet me fouetter le menton alors que je reprenais mon souffle.



Celui qui m'enculait s'était sans doute ému de l'éjaculation de son collègue et il s'immobilisa. Je sentis sa sève me remplir à nouveau le cul, se mélangeant avec celle de son prédécesseur. Je n'eus pas le temps de respirer que celui qui me baisait toujours m'attira sur lui tandis qu'il s'asseyait. On me fourra aussitôt une queue épaisse dans la bouche et je sentis qu'on m'écartait les fesses en vue d'une nouvelle sodomie.



Un gros calibre venait de se planter entre mes fesses. J'avais du mal à bouger tant les deux bites qui investissaient ma chatte et mon cul étaient imposantes. J'avais du mal à respirer tant celle que je suçais envahissait toute ma bouche. Pourtant, je sentis le plaisir grandir.



Un nouvel orgasme me gagna. J'avais perdu le compte. Pourtant, reprenant mon souffle, je fis rapidement le calcul : trois amants, troisième orgasme. Un quatrième gars s'approchait déjà.


CHLOE

La bande, déchaînée, ne me laissa pas récupérer. Un nouveau black se rua sur moi, excité par le spectacle que je venais d'offrir.

- A mon tour, maintenant ! s'exclama-t-il. Je vais t'éclater ta petite chatte.

Il était effectivement solidement membré, mais pas beaucoup plus que celui qui venait de me baiser. Malgré ma fatigue, je le laissais faire, lorsqu'il m'empoigna, et m'obligea à m'empaler sur son dard dressé à la verticale.
Les autres hommes qui m'entouraient avaient saisi mes poignets, pour me forcer à les branler. Sans autre point d'appui, je me laissai dégringoler sur la queue qui s'enfonça entièrement dans ma chatte.



Mon partenaire me maintenait par mes cuisses écartelées. Il me soulevait et me laissait ensuite retomber violemment sur sa bite. Mais j'étais trop fatiguée pour goûter à sa juste valeur ce nouveau coït.
Les autres types n'avaient pas plus de considération pour mon épuisement. Ils s'approchèrent pour se faire sucer. Malgré tout, je ne pouvais pas rester de marbre devant cet étalage de verges noires, toutes plus longues ou plus grosses les unes que les autres. Je ne me fis pas prier, pompant et branlant au hasard toutes celles qu'on me présentait.



Soudain, le black qui me baisait poussa un cri rauque. Je sentis dans ma chatte les spasmes de plaisir traversant sa queue qui continuait d'y coulisser, et des jets chauds d'un sperme épais giclant jusque dans le fond de ma grotte.
Je ne parvins pas à jouir, mais cette éjaculation réveilla dans mon ventre en feu des ondes de plaisir. Je n'eus pas le temps de les apprécier. Le mec se retira, et me poussa par terre sans autre égard.
Aussitôt, je fus à nouveau entourée d'une forêt de bites.



Je me retrouvai à genoux sur le sol, couverte de sueur, mes cuisses gluantes de sperme. Les gars s'excitaient en me regardant, et ceux que je n'arrivais pas à sucer se branlaient avec une sorte de rage.
Un premier type éjacula, et sa semence vint maculer mon visage. Ce fut comme le signal de la curée. Un autre me planta son gland dans la bouche, et je reçus au fond de ma gorge un premier jet puissant de foutre, au goût salé. Les autres giclées finirent plus sur mes joues que dans ma bouche. Et les autres suivirent...



Je perdais le compte des types que je faisais jouir, et je battais tous mes records d'éjaculations faciales. J'avalais de temps en temps une gorgée de sperme, mais le foutre coulait maintenant partout, de mes lèvres, sur mon front, dans mes cheveux, sur mes seins...



J'en avais vraiment pris plein la figure, et j'avais l'impression d'être une de ces stars du porno qu'on voit dans les vidéos.
En reprenant mon souffle, je vis que Lisa subissait le même sort que moi et... ne semblait pas s'en plaindre non plus.


LISA

Les deux gars continuaient à aller et venir en se synchronisant dans mon cul et dans ma chatte. C'était délicieux. Un quatrième gars vint pour que je le suce en alternance avec l'autre. Mais j'étais tellement prise par les deux autres que je ne parvenais plus à les sucer, au plus je pouvais les masturber tous les deux en même temps.



L'un d'eux protesta :
- Doucement, la demoiselle n'arrive plus à nous sucer !
Bouba s'approcha pour voir et arbitrer mais il n'eut rien à dire, mes deux baiseurs m'abandonnèrent. J'étais un peu frustrée car eux n'avaient pas joui mais ça me soulageait car j'étais vraiment à bout de souffle et dans un état de fatigue avancé. Je laissai faire ce qui suivit sans m'y opposer et sans me poser de question. On me fit mettre à genoux et les blacks vinrent frotter leur queue sur mon visage, s'amusant parfois à faire entrer leur gland entre mes lèvres.



Ils se mirent à se masturber énergiquement. J'avais quatre bites à satisfaire et j'eus un regain d'énergie. Je saisis la plus grosse et me mis à la sucer du mieux que mon état de fatigue me le permettait.



J'essayais d'alterner les uns après les autres en essayant de les maintenir au mieux de leur excitation. L'un d'eux ne tint pas bien longtemps et éjacula pendant que je le suçais. Je le laissai se vider dans ma bouche, avalant sa semence au fur et à mesure, tout en le regardant droit dans les yeux.



Les autres s'astiquaient et, devinant que je venais de faire jouir leur collègue, se mirent eux aussi à éjaculer. Ils se vidèrent sur moi, sans se soucier d'où leur semence pouvait retomber. J'en eus sur les cuisses, sur la poitrine, dans le cou, au visage et dans le cou. Bien sûr une grande partie fut perdue et tomba par terre, mais tous avaient joui presque en même temps et j'en étais assez fière.



Quelques gars s'approchèrent et je vis que Chloé avait subit le même sort que moi. Certains des gars qui venaient de se vider sur elle venait vers moi tandis que ceux que je venais de faire jouir se dirigeaient maintenant vers elle.
Mais Chloé et moi avions besoin d'une pause.

^ ---------oOo---------

Mystérieux David - Episode 4, Acte 2


CHLOE

J'étais encore en train d'admirer Lisa, et je la trouvais incroyablement sexy. Elle ne cachait rien de son corps superbe, luisant de sueur, et le sperme qui maculait son corps témoignait de son succès. C'est alors que Bouba revint à la charge.
- Alors, les filles, ça vous plait ? J'espère que oui, car mes gars et moi, on ne compte pas en rester là.
- Je n'en peux plus, gémit Lisa.
- Moi non plus, ajoutai-je. Vous ne réalisez pas ce que vous nous avez fait subir depuis près de deux heures. Je suis épuisée, ma chatte et mon cul sont en feu... Et, même si vous nous baisez encore, on n'arrivera pas à jouir ni à vous donner vraiment du plaisir, repris-je.
Mais Bouba avait de la suite dans les idées.
- Pour vous reprendre, vous allez vous gouiner. Vous allez voir, entre filles, ce sera plus doux, et je suis certain qu'après, vous aurez de nouveau le feu au cul.
Lisa me lança un regard mutin.
- Tu as envie de moi, ma chérie ?
- Tu sais bien que je ne te refuse rien, répondis-je, heureuse de la perspective de cet intermède avec ma copine.
Lisa me prit dans ses bras, et m'embrassa voluptueusement.



Elle m'entraîna vers un matelas, et nous nous laissâmes tomber, à genoux, sans que nos lèvres se désunissent. Ma langue s'insinua dans sa bouche, et j'y retrouvais le goût salé du sperme.
Tous les hommes nous entouraient, et se caressaient en nous matant. Lisa me poussa, et nous retrouvâmes étendues toutes les deux, toujours enlacées.
- Ecarte grand les cuisses, me glissa-t-elle tout bas à l'oreille.
Je sentis sa main se poser sur mon minou, et je lui rendais sa caresse.



Je jouai avec son clito, et je fus surprise de le sentir autant gonflé de désir, après avoir fait l'amour aussi longtemps. Son doigt se glissa dans ma fente, où de la cyprine venait se mêler au foutre déposé par mes amants.
Le rythme de notre respiration s'accélérait. J'introduisis moi aussi deux doigts dans son abricot, et nous commençâmes à pousser de petits soupirs révélateurs.
- Viens sur moi, murmurai-je.
Lisa vint me chevaucher en soixante-neuf, et je plongeai immédiatement ma tête entre ses cuisses. Elle poussa un petit cri, et écarta ses jolies fesses d'une main, pour me permettre de lécher plus facilement son petit bouton et sa fente.



- Bouffe-moi aussi la chatte, lui demandai-je.
Je sentis son visage entre mes cuisses, ses cheveux chatouiller mon ventre, et enfin sa bouche se posa sur mon sexe béant.



Lisa me suçait le clito comme elle seule savait le faire. Je gémissais maintenant sans aucune retenue, et mes gémissements montèrent d'un ton quand elle décida de fouiller mon minou de ses doigts.



Je fis aller et venir ma langue, entre son petit bouton dardé et sa fente humide, et elle poussa un cri, quand ma langue se glissa entre ses petites lèvres.



A partir de ce moment, nous nous sommes déchaînées, rivalisant d'adresse et d'audace avec nos langues et nos doigts, jusqu'à ce que, enfin, l'orgasme nous saisisse, presque simultanément.




LISA

J'étais encore sous le coup de l'orgasme que Chloé venait de me donner quand me rendit compte qu'il y avait un nouveau venu. Le barman était venu rejoindre les autres pendant que nous nous donnions du plaisir Chloé et moi. Ce qui m'étonna le plus, c'était qu'il s'était mis nu et qu'il se masturbait en nous regardant. Bien sûr, tous les autres étaient dans la même tenue et faisaient pareil, mais ça me semblait curieux dans la mesure où il n'avait pas participé à la première partie de la soirée.



En fait, j'en étais même un peu triste pour lui car il n'avait pas dû avoir le droit de venir nous rejoindre tant qu'il y avait des clients de l'autre côté et il avait raté le meilleur de la soirée. Il se tenait derrière Chloé et celle-ci ne pouvait pas le voir. Je lui fis signe de s'approcher. Il bandait déjà bien dur et regardait en s'approchant la moule trempée de cyprine de Chloé. Je me redressai au moment où il fut sur nous, en ouvrant grand la bouche pour lui signifier que je voulais le sucer avant qu'il ne pénètre Chloé.



Sa queue était longue et bien dur et je la sentais palpiter entre mes lèvres. Je regrettais presque que le barman ne nous ai pas rejoint plus tôt car sa queue était vraiment pleine de promesse. Vu que je ne la suçais plus, Chloé risquait de s'impatienter, je mis donc fin à la fellation que je prodiguais à cet étalon pour le guider dans la moule trempée de Chloé. Elle eut un sursaut de surprise mais se mit presque aussitôt à gémir de plaisir, appréciant manifestement davantage cette pénétration que mes caresses buccales. Elle se déchaina alors sur ma moule et je me redressai pour profiter au mieux de sa langue qui tournoyait autour de mon clitoris.



Je me remis en soixante-neuf que je vis le barman ressortir de Chloé, me disant que ça allait sans doute être mon tour. Toutefois, il n'en avait manifestement pas terminé avec Chloé puisqu'il appuya son gros gland contre le petit trou de ma copine. Chloé eut un nouveau sursaut. Je ne savais pas si elle comptait lui autoriser ce passage, mais je me dis qu'il serait de toute façon sympa de ma part de la motiver dans ce choix en lui caressant la moule.



Chloé ne montra pas de réelle opposition à la sodomie et laissa le barman engager son sexe dans son cul. Il se mit à aller et venir en elle en lui arrachant des gémissements de plus en plus puissants. Je me mis à sucer la moule de Chloé et c'était fantastique de lui faire minette pendant qu'une longue tige d'ébène allait et venait dans son cul, juste sous mes yeux.



Chloé se mit à hurler. L'action de ma langue sur sa moule combinée à la grosse queue qui lui pénétrait son petit cul lui donna un formidable orgasme. Quelques gars de l'assemblée applaudirent même en la voyant se tordre de plaisir. Mais le barman n'avait pas terminé et semblait vouloir éjaculer dans son petit trou. Voulant donner un peu de répit à Chloé, je repoussai le barman et je me mis à quatre pattes entre les cuisses de ma copines pour lui lécher la cyprine abondante.




CHLOE

J'étais trop occupée à faire jouir Lisa, et sa chatte sur mon visage m'empêchait de voir quoi que ce soit autour de moi. Mais lorsque je sentis un énorme engin se glisser entre mes petites lèvres, je compris tout de suite ce qui allait se passer.



La longue bite s'enfonça en moi lentement, totalement. Le fait que je ne puisse rien apercevoir, les gémissements de Lisa juste au-dessus de moi, tout cela m'excitait follement, et je fus surprise d'être encore capable d'un tel désir après avoir joui si fort autant de fois.
Le mec se mit à aller et venir en moi, et je poussais des cris étouffés par l'entrejambe de Lisa qui me bâillonnait. Elle était obligée d'interrompre parfois son cunnilingus, tant le barman me limait fort.



Je connus une seconde de frustration, lorsqu'il se retira, mais je sentis aussitôt le gland forcer mon petit trou, et la bouche de Lisa accaparer mon clito.



Me sentir offerte à ces assauts sans rien voir, ni pouvoir me défendre était délicieusement érotique, et je ne mis pas longtemps à jouir, en hurlant. J'avais écarté mes fesses, pour élargir le plus possible mon anus, et j'étais encore dans cette position, quand le black se retira sans avoir déchargé.



Lisa se releva, me laissant enfin découvrir le barman qui venait de me prendre par mes deux orifices. Elle le repoussa brutalement, pour s'installer entre mes cuisses, et déguster la mouille qui s'écoulait en abondance de ma moule. Je ne sais pas si c'était volontaire de sa part, mais Lisa agenouillée, cambrée, offrait littéralement son cul au black, qui bandait toujours aussi fort.



Le barman n'hésita pas une seconde, et il planta son dard dans le petit trou de ma copine, qui poussa un long cri. Il se mit à la tringler à grands coups de reins, et Lisa était maintenant dans l'incapacité de poursuivre son cunnilingus. Je me redressai donc, et je m'agenouillai à côté du couple pour admirer cette sodomie. Lisa poussait un gémissement d'animal blessé, chaque fois que la queue s'enfonçait dans son ventre.



- Tu aimes ça, ma chérie ? lui demandai-je. Il t'encule bien ?
- Oh oui, répondit-elle... Oh, qu'est-ce qu'elle est grosse... Et ça m'excite encore plus quand je pense que cette bite vient de te défoncer l'anus à toi aussi...

J'écartais les fesses de Lisa, pour que le barman s'enfonce encore plus profond en elle - si c'était possible. Je vis le sexe se tendre, juste au moment où le black se vidait dans le cul de Lisa. Il émit un long grognement, vite couvert par les cris de Lisa qui jouissait.



Il resta un moment, planté en elle, pendant que tout le corps de Lisa était secoué des derniers soubresauts de l'orgasme. Puis, il se retira. J'admirai le trou dilaté de ma copine, et je léchai amoureusement la raie de ses fesses.



Le barman avait laissé la place libre, et je vins m'agenouiller à mon tour derrière Lisa. Je regardai sa rondelle se rétracter doucement, en expulsant un filet de sperme. C'était trop tentant : avec ma langue, je nettoyai le cul de Lisa, tournant autour de son petit trou.



- Oh oui, Chloé, continue ! C'est trop bon, murmura Lisa, en frissonnant sous cette caresse.

Je glissai la pointe de ma langue à l'entrée de son anus, d'où s'écoulait encore du foutre, et ma bouche redescendit entre ses fesses pour lécher les dernières gouttes.
Puis, nous nous désunîmes et nous nous sommes allongées sur le matelas, à bout de forces mais comblées.


LISA

Le barman se rhabilla et ressortit. Des mecs s'approchèrent mais on n'en pouvait plus. Je leur dis :
- Je ne ferais pas éjaculer une bite noire de plus, je n'en peux plus !
Bouba se fâcha :
- Ce n'est pas à vous de décider si la fête est finie ou non.
- Vous y êtes tous passés, je crois qu'il faut admettre qu'il y a une fin.
- Peut-être, mais vous n'avez pas le droit de vous refuser.
- Et vous allez faire quoi ? Nous attacher ?
Bouba sourit. Cela m'inquiéta et Chloé apparemment encore plus puisqu'elle commença à se rhabiller. Comme je voulais l'imiter, des mecs, toujours en érection, vinrent m'entourer pour m'empêcher de quitter le matelas.



Chloé fut aussitôt attrapée par trois gars costauds alors qu'elle n'avait pas encore eu le temps de remettre sa jupe. Ils la conduisirent de force dans un coin de la pièce où il y avait une grosse boule à facette accrochée à un anneau au plafond. Le plus grand d'entre eux décrocha la boule. Les deux autres prirent une corde et nouèrent avec les poignets de Chloé. La corde fut passée dans l'anneau et elle se retrouva ainsi avec les bras accrochés en l'air.



De toute évidence, Bouba n'avait pas l'air décidé à nous laisser partir :
- Puisque vous n'acceptez pas la soumission, nous allons devoir vous y contraindre. Cette soirée s'achèvera quand nous l'aurons décidé. Et je pense qu'il y aura encore matière à s'amuser.
Un black s'approcha de moi et commença à m'attacher moi aussi avec de la cordelette.



Il m'entrava ainsi les poignets et les chevilles, m'écartelant les jambes pour m'obliger à les maintenir écartées. David s'interposa :
- Arrêtez, vous allez trop loin !
Bouba l'écarta :
- David, tu nous as fait rencontrer ces deux chaudasses, maintenant, il est trop tard. Il faut qu'elles aillent au bout et qu'elles sachent ce que c'est qu'une soirée avec des blacks en ruts.
Je ne pouvais pas bouger et j'avoue que j'étais très excitée de connaître la suite, même si cela m'effrayait un peu.



Puis, je fus attachée au fauteuil. Un des gars me dit avec gentillesse :
- Ne t'inquiète pas, ça impressionne mais c'est surtout pour exciter les mecs. Tu ne subiras rien de pire que ce que tu as déjà subi.
- Vu que j'ai plutôt apprécié, ça me rassure. Merci ! A combien vous allez venir abuser de moi ?



Bouba qui avait entendu ma question s'approcha :
- Combien tu penses pouvoir en supporter ?
- Je t'ai déjà dit que j'avais mon compte de bite noire !
- Parfait, alors tu ne verras pas d'objection à ce que ton protecteur vienne profiter que tu sois entravée pour abuser de toi ?
- Mon protecteur ?
Bouba se retourna :
- David ! Montre-nous que tu as encore de la ressource !
David était en érection et semblait ne pas vouloir discuter les ordres du gangster.



Je lui demandai :
- Tu penses pouvoir encore faire des folies de ton corps ?
- Du mien, je ne sais pas, mais du tien, c'est certain...


CHLOE

Je ne pouvais pas faire autrement que de rester là, à regarder Lisa se faire quasiment violer, impuissante. Dans la position dans laquelle j'avais été attachée, mes bras levés remontaient ma poitrine. Petit à petit, je devinais que Lisa ne trouvait pas si désagréables que ça les attouchements des blacks sur son corps nu pendant qu'ils l'attachaient. De mon côté, je commençais à ressentir une certaine excitation, et les pointes de mes petits seins dardaient. Je ne sais pas s'ils avaient remarqué mon trouble, mais deux gars s'approchèrent de moi, et déchirèrent le haut de mon chemisier pour dégager complètement mes nichons.



- Regarde ta copine qui va se faire prendre... ça ne te donne pas envie ?, me demanda l'un d'eux.
- Non, j'ai eu mon compte pour aujourd'hui, rétorquai-je, et ma réponse était vraiment sincère.
- Attends un peu, on va te faire changer d'avis, aboya le deuxième black.

Cette fois, ils ouvrirent complètement mon chemisier en arrachant les boutons.



Je poussai un cri de protestation, qui ne découragea pas mes assaillants, mais attira plutôt l'attention d'autres mecs sur moi. Et cette fois, Bouba ne faisait aucun geste pour me défendre.
Toute la bande pouvait donner libre cours à ses pulsions. Ce qui restait de mon chemisier fut déchiré et retiré sans ménagement, avant d'être jeté dans un coin de la salle.



Dans la bataille, ma petite culotte avait été aussi abaissée et se retrouvait entortillée autour des mes cuisses, laissant nues ma petite chatte et mes fesses. C'était encore trop pour les mecs qui m'entouraient. L'un d'eux saisit les côtés de mon slip, dans ses grosses mains. J'entendis un craquement sec, et le bout de tissu alla rejoindre ma jupe. Pendant un court instant, je me demandai dans quelle tenue j'allais rentrer chez moi après cette soirée...



Ma mise à nue fut saluée par quelques cris admiratifs. Je jetai un regard sur Lisa : toujours attachée, elle était en train de sucer David, et semblait de moins en moins réticente à ce qu'on exigeait d'elle. De mon côté, je sentais que la situation commençait à m'exciter malgré moi. La pièce était remplie d'une odeur très particulière, faite du mélange des parfums de Lisa, du mien, et de ceux des hommes, associés à des fragrances musquées de sperme et de cyprine. Les blacks me laissèrent mariner comme ça quelques minutes, jusqu'à ce que mon regard brillant et la dureté de mes seins trahissent le désir qui renaissait en moi. Alors seulement, l'un d'eux s'approcha, et commença à toucher mon abricot gonflé.



Je basculai instinctivement mon bassin vers l'avant, pour lui faciliter l'accès à mon sexe. Il écarta mes grandes lèvres, et j'écartai les cuisses sans même y penser, avec un soupir révélateur.
- Regardez-moi cette jolie moule toute rose, lança-t-il à ses copains. Elle n'attend que nos bouches et nos bites !
Et il s'agenouilla devant moi pour me sucer le clito.



Je poussai un petit cri lorsque sa langue trouva le point le plus sensible de mon petit bouton, et je me mis à gémir, les yeux fermés pour goûter cette sensation.
Il me fit écarter les jambes, pour accéder plus aisément à mon intimité. Etrangement, les cordes qui commençaient à entamer mes poignets participaient au plaisir trouble qui me faisait frissonner.
Conscient de mon excitation, il glissa ses doigts dans ma fente.



- Elle mouille, cette cochonne, commenta-t-il. Et dire qu'elle prétendait être épuisée !



Je ne trouvai rien à répondre, et il passa derrière moi. Il me saisit par les hanches, m'obligeant à me cambrer, et je sentis cette fois sa langue explorer le sillon de mes fesses.



La pointe de sa langue se glissa dans ma rondelle. C'était trop bon...
Les cris de Lisa, qui était en train de se faire pénétrer brutalement par David, emportèrent mes dernières résistances, et je regardai les hommes qui m'entouraient avec une expression suppliante.
- Je vous en prie, baisez-moi ! J'ai trop envie, je n'en peux plus.
- Alors, tu avoues que tu as encore envie de te faire pilonner la chatte ? insista celui qui me léchait l'anus. Dis-le bien fort que tu veux ma queue.
- Oui, oui ! Je veux ta queue, je la veux dans ma fente, partout... Baisez-moi, faites-moi jouir.
Il me souleva en me tenant par les hanches, comme si je ne pesais rien, et il m'empala sur sa verge dressée, dure comme du bois.



Son gland s'enfonça facilement dans mon minou, largement préparé par toutes les bites qui s'y étaient succédées pendant cette soirée. Mon partenaire me faisait coulisser sur son pieu, par la seule force de ses bras. Je criais maintenant, mêlant mes plaintes à celle de Lisa, attachée elle aussi et soumise aux assauts d'un David déchaîné qui la sodomisait.


LISA

Quand David me rejoignit, il commença par s'excuser :
- Ne m'en veux pas, Lisa. Je sais que tu as eu ton compte mais je ne veux pas discuter les ordres de Bouba. Je n'ai pas le choix.
- Tu es bien à plaindre ! Au moins, je sais que tu sauras rester doux et me donner du plaisir.
- Je ferais tout ce que je peux...
- Vu comment tu bandes, ça ne fait aucun doute. Manifestement ça t'excite de me voir attachée...
- Je ne peux pas le nier...
Il approcha son sexe tendu vers ma bouche avec l'envie évidente que je le suce.



Après quelques minutes de savante fellation pour le rendre parfaitement raide en prenant garde de ne pas le faire jouir, David abandonna ma bouche et vint se placer derrière moi. Par défi, je lui lançai :
- Alors ? Tu te sens encore d'attaque pour explorer mon petit trou ?
David ne répondit pas mais il plongea plus de la moitié de son dard dans mon cul d'un franc coup de reins, m'arrachant un cri de plaisir.



Je pensais être trop épuisée pour pouvoir avoir du plaisir, surtout par une sodomie, mais le chemin de mon cul l'était déjà nettement moins étroit depuis les passages de multiples étalons noirs. David y coulissait avec une aisance à laquelle il n'avait jamais goûté et cela semblait le ravir. Je sentis le plaisir monter, inexorable. J'eus soudain les jambes et les bras en coton, à la fois épuisée et terrassée par le plaisir, je me sentis tomber sur le côté alors que mon partenaire continuait à me pistonner le cul allégrement.



David était vaillant et il se retint de jouir. Il attendit que je sois remise de mon orgasme pour se retirer. Je fus surprise :
- Tu ne veux pas jouir dans mon cul ?
- Si, mais là, je veux montrer à tous ces prétentieux blacks avec leurs grosses bites que les blancs ont aussi de la ressource. Je vais gicler sur ton visage.
A cause des liens, je me glissai avec difficulté sur le bord du canapé. David me fourra rapidement sa queue dans la bouche.



Je n'eus pas à le pomper beaucoup. Il était si excité qu'il se mit rapidement à éjaculer dans ma bouche et sur mes seins. Le l'avait connu plus généreux mais sa semence était déjà abondante pour quelqu'un qui avait déjà éjaculé durant la soirée. David avait à peine terminé que Bouba s'approcha :
- Alors, Lisa ? Cette bite blanche a quand même pu te faire jouir, non ?
- Oui mais là, je pense que ça suffit...



J'avais du sperme qui me coulait du menton et entre les seins. Bouba admira et répondit :
- David ne t'a donné qu'un avant-goût. Maintenant il faut que tu saches ce que ça fait avec des blacks.
Je n'en pouvais plus mais je me rendais bien compte que, de toute façon, je n'avais pas le choix. J'optais donc pour la diplomatie.
- Ok, mais après il faudra me détacher.



David me remit à quatre pattes sur le canapé et s'assura que mes liens étaient toujours bien serrés. Il s'écarta en faisant signe à ses hommes de s'approcher, voulant manifestement rester à l'écart pour profiter du spectacle. Un black s'approcha, en érection. Il me fourra son dard dans la bouche encore pleine du sperme de David et me dit :
- Tu es une gourmande, hein ? Tu préfères les grosses bites de noir, n'est-ce pas petite salope blanche ?



Bien entendu, vu que j'avais la bouche remplie par sa queue, il ne s'attendait pas à ce que je lui réponde. Pourtant j'échappai sa grosse tige quelques instants quand je sentis une grosse bite s'enfoncer dans mon anus sans le moindre ménagement. Un autre black m'enculait encore et je sentais encore le plaisir commencer à monter.



Celui que je suçais se mis à éjaculer dans ma bouche et je dus avaler une bonne partie de son foutre pour ne pas étouffer. A peine avait-il terminé qu'un autre gars vint prendre sa place pour se faire sucer. Les gars se succédaient dans mes orifices et j'eus encore deux ou trois orgasmes. On éclaboussait mes fesses, mon dos et mon visage de semence. Cela ne semblait jamais s'arrêter et certains jouissaient sans éjaculer tant leur bourses étaient déjà vidées complètement.



Quand ils me laissèrent enfin, je m'effondrais sur le canapé. Je sentis des mains me retirer les liens. C'était David :
- Ça va Lisa ?
- Je crois, oui...
- Ils t'ont fait mal ?
- Même pas ! J'ai eu plusieurs orgasmes mais je n'en peux plus. Tu crois que c'est terminé ?
- Je ne sais pas...
Je me relevais, avec du sperme un peu partout.



Bouba s'approcha de nous et tendit une serviette à David :
- Tiens David. Essuie-la.
David ne discuta pas et m'essuya méticuleusement chaque goutte de sperme. Pendant ce temps, je regardai Chloé qui était elle aussi attachée et aux prises avec quelques blacks.


CHLOE

Le black qui me baisait se mit à grogner, les yeux clos, et je pressentis qu'il allait bientôt jouir. Pour moi aussi, un nouveau moment d'extase approchait, et j'avais perdu le compte des orgasmes que j'avais eus ce soir. Cette fois, mon partenaire ne se soulagea pas sur mon visage, et je sentis les jets puissants de son sperme chaud remplir ma chatte. L'inondation de ma grotte me fit jouir, et pousser un cri strident.



Un autre spectateur eut pitié de moi, en me voyant tirer convulsivement sur les cordes qui blessaient mes poignets, et il me détacha. Je m'écroulai sur le matelas, encore secouée de spasmes, et le foutre se mit à couler de mon sexe.



Le type qui m'avait détaché regardait avec des yeux exorbités ma fente en feu. Malgré le jus de son copain qui dégoulinait en abondance, il vint lécher ma moule. Sa langue était douce, sur mes petites lèvres et mon clito irrités par les assauts de tant de mâles en rut.



Mais il n'entendait pas en rester là !
- Moi aussi, je veux te baiser, me dit-il.
- Non, je t'en prie ! Vraiment, je n'en peux plus, et je ne sens plus mon petit minou. Et avec la taille de ton engin, j'aurai trop mal, ajoutai-je après m'être rendu compte de la taille de son pieu dressé.
- Ne t'en fais pas, j'ai une solution !
Avant que j'ai pu protester, il s'était allongé, m'avait soulevée en empoignant mes hanches, et m'avait laissée retomber sur lui. Il avait bien visé, et mon petit trou vint s'empaler sur son gland.



Je jetai un long cri plaintif, que m'avait arraché la surprise, mais inexorablement, sa bite disparut dans mon cul. Mon nouveau partenaire était d'une force peu commune. Il me faisait aller et venir sur son dard enfoncé dans mon anus, sans que je touche le sol. Et bientôt, je poussai à nouveau des gémissements de plaisir. Un autre spectateur s'était approché. C'était sans doute un métis, car sa peau était plus claire, mais il était presque aussi bien membré que son copain.
- On se la prend en sandwich ? demanda-t-il à celui qui continuait à m'enculer.
- Si elle veut bien... Demande lui, à cette petite salope.

Je ne l'avouai pas, mais j'avais envie de cette nouvelle double pénétration, espérant que ce serait la dernière. Mon regard me trahit, et le métis vint aussitôt devant moi. Il souleva mes jambes, et s'enfonça dans ma chatte.



Coincée entre les deux hommes, j'étais devenue leur jouet. Ils fouillaient mon sexe et mon anus avec leurs verges puissantes, faisant monter le plaisir dans tout mon corps tendu comme un arc.



Mais cette fois, c'était trop, et malgré les spasmes que provoquaient les allées et venues des glands dans mes deux orifices, je ne parvins pas à jouir totalement. Ce ne fut pas le cas de mes partenaires, et j'eus à nouveau droit à deux éjaculations, au plus profond de mon ventre.



Et ils m'abandonnèrent, pantelante, tandis que le foutre gouttait entre mes cuisses.


LISA

Alors que Chloé était en train de se faire détacher, Bouba revint, en érection, et me reprit la serviette pleine de sperme. Il dit :
- Une petite dernière et on vous laisse.
- Non, je crois que je ne pourrais pas voir une bite de plus...
Bouba se fâcha encore :
- Tu n'as donc pas compris que ce n'était pas à toi de décider.
Il réfléchit quelques secondes avant de sourire :
- Tu ne peux pas voir une bite de plus ? Très bien. Dans ce cas, tu auras les yeux bandés pendant que je te soumettrais à tous mes désirs. Et Chloé en profitera pour sucer tous les autres gars jusqu'au final.
- Quel final ?
- Tu t'en doutes sûrement...
Il s'approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il m'aida à m'asseoir sur une chaise en plein milieu de la pièce. Il m'ordonna :
- Ecarte bien les cuisses qu'on puisse bien te voir mouiller.



Je sentais que je mouillais effectivement. J'entendais les mecs s'attrouper autour de moi. Certains s'étaient sans doute assis dans les canapés, les autres restaient debout. Je sentis soudain quelque chose et tiède et humide contre ma joue, puis la voix de Bouba :
- Allez ma belle, montre nous comment tu suces un noir.
Je saisis la bite de Bouba et l'engouffrai avec la ferme intention de le faire jouir le plus vite possible.



Il dut comprendre ce que je faisais et me calma rapidement en me repoussant sur ma chaise. Je l'entendis bouger, puis il me saisit le poignet pour m'attirer à lui. Je compris qu'il s'étais allongé par terre et m'attirait sur lui. Je me mis à cheval et je sentis sa verge entre mes fesses. Je me redressai un peu et pris sa queue pour la guider dans ma chatte, mais il me redressa et guida lui-même son dard vers mon petit trou :
- J'aime mieux ton cul ma belle...
D'un coup de reins, il m'empala sur son pieu en m'arrachant un cri de plaisir.



Bouba s'amusait à commenter sa prestation :
- C'est beau n'est-ce pas cette grosse queue brune qui s'enfonce entre tes fesses blanches ?
- Je ne sais pas...
Avec les yeux bandés, je pouvais difficilement aller dans son sens et lui même ne voyait pas bien ce qu'il faisait. Il me demanda de changer de sens :
- Retourne-toi, je veux voir mon sexe entrer et sortir de ton petit cul.
Il m'aida à me retourner. S'il pouvait mieux voir sa pénétration, ses hommes aussi profitaient d'un point de vue unique sur ma moule probablement dégoulinante de cyprine et sur mes seins qui devaient balloter à chacun de ses assauts.



J'entendais autour des bruits de sussions, signes que Chloé devait être à l'œuvre comme l'avait exigé Bouba.


CHLOE

Je respirai : Bouba n'exigeait pas que je me fasse pénétrer de nouveau ! De toute manière, j'en aurais été complètement incapable, tant ma fente et mon anus étaient endoloris et brûlants. Quatre blacks firent cercle autour de moi. Ces mecs-là ne débandaient jamais ! Mais c'était flatteur pour moi de faire autant d'effet sur des hommes, et je ne pouvais pas refuser de les sucer. Je me remis à genoux, mon visage à la bonne hauteur pour une fellation. Ils se branlaient doucement tous les quatre en me regardant avec des yeux brillants, et je levai la tête vers eux.
- Vous avez envie que je vous suce, mes chéris ? Vous n'êtes pas rassasiés de sexe après cette soirée.
- Bien sur qu'on a envie, me répondit le mieux membré des quatre. Des filles comme Lisa et toi, on peut les baiser toute la nuit.
Je ne pris pas le risque de le mettre au défi de tenir cette promesse..., et je le pris dans ma bouche, en caressant une autre queue.



J'allais maintenant de l'un à l'autre, suçant des glands, léchant de longues tiges noires, branlant chacun à tour de rôle. Tant et si bien qu'un premier black déchargea plus vite qu'il ne voulait. Son sperme coula sur mon menton, mes seins et mes cuisses.



Le premier mec que j'avais sucé, et qui exhibait une bite énorme revint à la charge, et je décidai de me concentrer sur lui.
- Tu as raison de t'occuper de moi, tu ne vas pas être déçue. Je vais te couvrir de foutre, me dit-il en s'asseyant dans un canapé, la bite dressée à la verticale.



Sans faire de manières, je pris son gland turgescent entre mes lèvres. J'avais du mal à le faire rentrer dans ma bouche, mais j'y parvins, et je lui offris une pipe inoubliable en lui massant les bourses.



Il était endurant, et manifestait son plaisir par des râles de satisfaction, mais il se retenait pour faire durer le plaisir. Je n'étais pas pressée et, agenouillée devant lui, mes lèvres allaient et venaient sur son membre tendu.
- J'aime ta grosse bite, lui dis-je en le regardant dans les yeux. J'ai envie de goûter ton jus.



Je ne sais pas si ce sont mes paroles qui déclenchèrent son orgasme, mais quelques secondes après, je le sentis se crisper, il se renversa en arrière sur le canapé, sa verge fut secouée de tremblements, il poussa un cri rauque, et un véritable geyser de sperme envahit ma bouche.
Surprise par la force de cette éjaculation et la quantité de liqueur qui jaillissait du gland palpitant, je me reculai, et le foutre continua d'éclabousser mon visage, retombant sur le ventre de mon amant d'un instant.



Bouba, bien que très occupé avec Lisa, avait suivi la scène du coin de l'œil.
- Bravo, Chloé, commenta-t-il. Mais ce n'est pas fini pour toi : tu vas me nettoyer tout ce sperme que tu n'as pas avalé, et tu vas t'occuper des autres.



Je dois reconnaître qu'obéir à Bouba ne me fut pas trop désagréable. Attirés autant par le spectacle, que par la perspective de se faire sucer aussi, les autres blacks se levèrent pour mieux voir et prendre leur tour. Je n'eus aucun répit...



Et quelques minutes après, l'un de mes partenaires déchargea à son tour dans ma bouche. Un long filet de sa sève épaisse et chaude coula sur mes seins.



Je trouvais de plus en plus de plaisir à être le centre d'intérêt de tous ces types, et je ne pouvais plus retenir quelques soupirs de plaisir lorsqu'une nouvelle bite s'engouffrait entre mes lèvres.


LISA

Je ne voyais pas ce qu'il se passait autour mais aux bruits de sussions et aux nombreux gémissements, je me doutais que Chloé était en train de sucer les uns après les autres les voyeurs qui s'étaient agglutinés autour de Bouba et moi. Bouba s'adressait parfois à Chloé, tout en continuant à me limer. Je n'y prêtais pas vraiment attention trop accaparée par le plaisir de plus en plus intense que me procurait cette sodomie. L'orgasme me fit hurler et je perdis l'équilibre, tandis que Bouba continuait à faire glisser son gros dard dans mon cul.



Chavirée sur le côté, je reprenais peu à peu conscience de la situation alors que Bouba continuait à m'enculer, se retenant manifestement de jouir. J'entendais Chloé qui prodiguait encore des fellations et semblait se donner davantage, sentant sans doute comme moi qu'on approchait de la fin de cette longue soirée.



Comme j'étais à terre, Bouba devait trouver que la position était plutôt inconfortable. De ses mains puissantes, il me fit basculer sur le ventre et me releva le bassin, sans que sa longue tige ne s'échappe une seconde de mon petit trou. Il se redressa alors et se mit à me ramoner comme je ne l'avais jamais été. J'étais épuisée et en sueur mais je sentis malgré cela le plaisir à nouveau monté. Un nouvel orgasme me fit à nouveau hurler au moment même où Bouba s'immobilisa et se déversa en moi. Je sentis sa semence chaude remplir mon cul meurtri.



Je sentis de l'agitation autour de nous. Tous les voyeurs étaient déchainés, probablement excités pas mon double orgasme et par la violente sodomie que leur chef venait de me faire subir. Mon bandeau avait légèrement glissé et du coin de l'œil je pus voir Chloé sucer un black qui lui triturait un mamelon.



Je rajustais mon bandeau, ne voulant pas être accusée de triche par Bouba et risquer de subir encore je ne sais quels sévices. Bouba se retira de moi, lentement, puis me murmura :
- Relève-toi et écarte les fesses pour que tout le monde voie comment je t'ai bien défoncée.
Je m'exécutais, sentant la semence du gangster s'échapper de mon petit trou dilaté.




CHLOE

Il y eut une courte pause dans les assauts de mes admirateurs, lorsqu'un hurlement strident couvrit les voix des participants à cette folle partouze et leurs grognements. C'était Lisa, que Bouba avait menée à un dernier et fantastique orgasme en la sodomisant comme un taureau en rut. Je sentais la queue du mec que je suçais se gonfler comme si le spectacle l'excitait encore plus que ma fellation. Lisa était en train de se relever, les yeux toujours bandés, le foutre sortant de son petit trou pour couler jusque sur ses cuisses.
- Garde ton bandeau, Lisa, ordonna Bouba. Tous les gars qui en ont envie vont maintenant pouvoir te couvrir de leur sperme.
Il la guida jusqu'au milieu de la pièce, pour la mettre à genoux.



- A toi l'honneur David, pour te remercier de nous avoir fait rencontrer deux nanas aussi chaudes.
De mon côté, j'étais à nouveau entourée par quatre verges en érection, mais je tentais d'apercevoir Lisa et David.



Quelques instants plus tard, je vis David se reculer, me laissant voir Lisa. Elle était encore agenouillée, le visage levé vers David, dont la semence coulait sur ses joues et son menton.



- Retire-lui son bandeau, pour qu'elle puisse voir le bouquet final, demande encore Bouba.
David obéit, et deux autres blacks s'approchèrent d'elle. Je ne sais pas si c'était la certitude d'arriver au terme de cette orgie épuisante, mais Lisa était radieuse. Elle suçait et branlait les deux noirs, en poussant de petits cris d'excitation, jusqu'à ce qu'ils jouissent sur elle l'un après l'autre.



- Chloé chérie, à toi de te faire arroser, les tiens ont l'air en pleine forme me lança-t-elle.
En effet, cinq hommes au garde-à-vous me cernaient de nouveau.



A mon tour, un sursaut d'énergie me fit redoubler d'ardeur. Je suçais mes cinq derniers partenaires de la soirée de toutes les manières que je connaissais. Au fil de leurs orgasmes, mon visage et mon corps se couvraient d'une liqueur chaude et épaisse, jusqu'à ce que j'aie du mal à ouvrir les yeux. Puis, enfin, le dernier qui s'était longtemps contrôlé laissa libre cours à son plaisir.




LISA

Devant moi c'était le défilé et chacun son tour les blacks venaient se vider sur moi, même si la plupart d'entre eux avait déjà éjaculé plusieurs fois dans la soirée.



Quand tout fut fini, Chloé avait elle aussi du sperme plein de visage. Bouba lui demanda :
- Alors, avais-tu déjà vu autant de sperme de black ?
- Non, j'avoue que c'est une première pour moi !
- Et ça t'a plu ?
- Malgré la fin un peu violente, oui, je crois que je n'avais jamais joui comme ça !



Bouba se tourna alors vers moi et me demanda :
- Et toi Lisa, qu'est-ce que tu en as pensé ?
- Tout n'était pas à mon goût mais j'espère surtout que tu es satisfait et que cette soirée te fera définitivement oublier la dette de David.
Bouba fronça les sourcils et se mit à rire.
- Quoi ?
Je ne comprenais pas sa surprise, alors je précisai ma requête :
- Si on a accepté tout ça, Chloé et moi, c'est pour que tu annules la dette de David et que tu ne le menaces plus de mort.
Bouba regarda David en rigolant :
- Mais qu'est-ce que tu leur as raconté, toi ?
Chloé demanda à Bouba :
- Vous n'êtes pas un gangster ?



- Bien sûr que non ! Je suis juste le capitaine de l'équipe de basket. David y est le seul blanc. Il nous avait dit qu'il connaissait deux filles très chaudes qui étaient d'accord pour se taper plein de black. Je serais curieux de savoir ce que ce mytho à inventer comme histoire pour que vous acceptiez de vous faire baiser par tous ses potes de basket.
J'étais sciée. David s'était servi de son côté mystérieux pour nous faire avaler une histoire digne d'un polar et nous inciter à nous livrer sans broncher à son groupe de copains.
Furieuse, je me tournai vers David :
- David, tu nous expliques ?



- Désolé les filles. Mais vous n'auriez jamais accepté un truc pareil si je vous l'avais demandé. J'ai juste donné un petit coup de pouce avec une histoire un peu dramatique pour vous aider à vous décider. Ceci dit, oseriez-vous me dire que vous regrettez votre soirée, l'une ou l'autre ?
Chloé et moi étions furieuses. Chloé prit la chemise de David pour essuyer tout le sperme qu'elle avait et j'imitai ma copine en utilisant le pantalon de David. Nous empestions quand même toutes les deux le sperme et aspirions surtout à rentrer chez nous pour nous doucher. Nous sommes reparties du bar à pied, en nourrissant de multiples plans de vengeance à l'encontre de notre mystérieux David.

^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 1


LISA

Après la soirée au "Club", nous avions pris nos distances avec David. Nous étions à la fois vexées que David nous ait menti et se soit servi de nous pour réaliser ses fantasmes mais nous ne regrettions pas cette incroyable soirée qu'il nous avait fait vivre à toutes les deux. Nous avions exigé de lui qu'il nous fournisse les différentes vidéos qu'il avait tournées avec nous et en particulier de cette soirée. Mais avant tout, nous étions déterminées, Chloé et moi, à nous venger et à l'utiliser lui-aussi pour nos fantasmes.
Quelques jours après cette mémorable soirée, j'invitai Chloé à la maison car je voulais lui proposer quelque chose. Dès qu'elle arriva, elle ne put contenir sa curiosité :
- Alors, c'est quoi ton idée de vengeance, car c'est bien de cela qu'il s'agit, non ?
- Oui. On va appeler David et lui proposer une ballade en forêt. Il faut qu'on trouve le moyen de le ligoter à un arbre et d'abuser de lui. Qu'est-ce que tu en dis ?
- Oui ! Je suis curieuse de voir l'effet que ça lui fera d'être attaché... Mais tu penses qu'il acceptera ?
- Il va falloir trouver comment faire, mais en jouant sur un peu d'exhibition, ça me semble possible...
- Et tu crois qu'il va accepter de nous accompagner à une promenade dans les bois ?
- On va l'appeler et lui dire qu'on veut qu'il nous ramène les copies des vidéos tournées pendant la soirée.
- Bonne idée. Comme ça il sera tout excité et ne se méfiera pas.

Le rendez-vous était pris avec David le lendemain dans une forêt à une demi-heure au nord de la ville. Il était arrivé en avance et semblait vraiment content en nous voyant arrivé.
- Salut les filles ! Je suis bien content de vous voir car je vous avoue que quand vous êtes parties l'autre soir, j'avais l'impression que vous m'en vouliez vraiment !
Nous gardâmes le sourire et Chloé répondit :
- Bien sûr que non ! On a passé une soirée inoubliable. C'est d'ailleurs pour ça qu'on voulait récupérer les vidéos.
- Les voici. C'est une clé de 64Go. Il y a aussi la soirée avec Bouba chez moi.
- Super, merci.
David se tourna vers moi :
- Et pourquoi ce rendez-vous ici ?
- Oh... Juste parce qu'on avait envie de se promener un peu en forêt avec Chloé et elle a eu l'idée de proposer que tu te joignes à nous.
- Pourquoi pas...
Chloé commença à avancer sur le sentier :
- Tu nous accompagnes, alors ?



- Bien sûr. Mais dans la forêt, il n'y a personne. Ce n'est pas l'endroit le plus amusant pour faire de l'exhibition...
Je le grondai :
- C'est juste une promenade, tu sais ! Tu penses pouvoir te retenir ?
- Evidemment, je ne suis pas un animal...
Chloé se pencha en avant pour regarder une fleur par terre :
- Tu en es certain ?
La courte robe qu'elle portait révéla alors son postérieur nu, libre de tout sous-vêtement.



David garda d'abord le silence avant de fanfaronner :
- Vous me prenez pour qui ? Je peux me retenir et contrôler mes érections.
- Ah oui ?
Je rejoignis Chloé et m'accroupis, cuisses écartées, devant la fleur, permettant à David de voir mon entrejambe nue mais également mon décolleté.
- C'est étonnant un rosier sauvage ici, en pleine forêt !



David rigola :
- Ok, les filles. Je commence à comprendre. Vous vous amusez à m'exciter, c'est cela ?
Chloé fit glisser une bretelle de sa petite robe et dégagea un sein :
- Voyons David, ne prends pas tes désirs pour une réalité.




CHLOE

- Tu n'es pas d'accord avec moi, Lisa ? Lorsqu'une fille montre ses seins, ce n'est pas nécessairement pour exciter un homme, renchéris-je.
- Tout à fait d'accord, Chloé ! ajouta Lisa. D'ailleurs, elle peut aussi montrer autre chose...
Elle dégagea aussi sa poitrine généreuse, à l'étroit dans sa robe moulante, et retroussa celle-ci pour caresser son entrejambe.



Lisa fit glisser totalement les bretelles de sa robe, et se tourna vers moi :
- Chloé, ce serait marrant que nous nous mettions nues, non ? J'ai une grosse envie d'exhib, et on pourrait voir jusqu'à quel point David est capable de se contrôler.
Avant que j'aie eu le temps de répondre, Lisa commençait à enlever sa robe.



Je pris mon air le plus candide, pour découvrir totalement mes seins, qui commençaient à durcir, mais je stoppai net mon geste pour demander à David :
- Ce n'est pas normal que tu restes habillé si nous sommes à poil. On veut être sûres que tu te contrôles vraiment, comme tu le prétends : enlève donc aussi ton pantalon !



David devait se poser des questions sur nos intentions, et il refusa tout net.
- Tu n'es pas drôle ! protestai-je. Je commençai à m'exciter à l'idée de me mettre nue dans cette forêt, où quelqu'un pouvait nous voir.
- Tant pis pour lui, rétorqua Lisa en tirant sur sa robe pour la remettre en place, et cacher sa poitrine et sa chatte.



David s'avoua vaincu.
- Bon, vous avez gagné les filles, je ne veux pas vous priver d'une séance d'exhib, je sais que vous adorez ça !
- Ose dire que tu n'aimes pas nous mater, espèce de salaud, lui répondis-je, en colère.
David se rendit compte qu'il n'avait pas intérêt à insister, et il baissa son pantalon.



Il devait faire des efforts surhumains pour ne pas bander, car son sexe était juste légèrement gonflé. Je retirai ma robe, pour me retrouver totalement nue, et je laissai Lisa et David me contempler, excitée comme chaque fois que je me mettais en tenue d'Eve en sachant qu'on me regardait.



- A toi de te mettre à poil, lançai-je à David. Et plus vite que ça, si tu veux que Lisa enlève sa robe.
Cette fois, David obtempéra sans protester... Et nous découvrîmes que sa queue commençait à se raidir, même si elle ne se dressait pas encore. Mais nous étions certaines d'arriver à nos fins !




LISA

Chloé avait mené les négociations avec brio. Je n'avais donc plus le choix et je terminai moi aussi de retirer ma robe. Chloé et David me mangeaient des yeux et cela m'excitait beaucoup de me mettre nue dans la forêt. Chloé me dit :
- Tu mouilles déjà, Lisa ! Je vois que je ne suis pas la seule à être excitée par la situation. Tu as du cran, David de parvenir à te retenir.
Portant la main à mon entrejambe, je me mis à faire glisser mon index entre mes lèvres humides.



David ouvrit grand les yeux et déclara :
- Puisqu'il est permis de se masturber, je vais t'imiter, Lisa.
Il saisit sa verge qui pendouillait encore et commença à se branler. Chloé cria au scandale :
- Non ! Tu n'as pas le droit ! Tu dois nous prouver que tu parviens à te maîtriser !
- Si vous vous avez le droit, je ne vois pas sous quel prétexte je ne peux pas me branler moi aussi.



Chloé me gronda :
- Lisa, arrête de te toucher ! Il ne faut pas donner ce prétexte à David. Je veux voir comment il va gérer cela.
J'eus alors l'idée de lancer un défi à David :
- David, si tu parviens à ne pas bander, tu pourras nous baiser après. Mais sinon, nous t'attacherons nu à cet arbre.



David devait être sûr de pouvoir se maîtriser car il accepta :
- Ok, les filles.
Chloé me fit un clin d'œil et alla s'appuyer à un arbre en cambrant son cul de manière totalement indécente vers David :
- Tu crois être capable de résister à cela ?



David joua le jeu et ne détourna pas les yeux, contemplant la sublime croupe de ma copine. A ma grande surprise, son sexe resta immobile. Il était certes gonflé et décalotté, mais il restait tristement à pendre. David semblait très fier du contrôle qu'il avait de lui-même.



J'étais moi aussi très excitée par la jolie moule trempée de Chloé et je me dis que je n'avais, pour ma part, pas de raison de ne pas profiter de quelques plaisirs saphiques, ce qui n'allait de toute façon pas manquer de faire réagir notre proie. Je vins alors rejoindre Chloé et me penchai pour lui lécher la moule et l'anus sous les yeux de David.



Chloé se mit à gémir en sentant ma langue courir sur sa fente et David se plaignit aussitôt :
- Ce n'est pas fair-play, les filles !
Nous pûmes enfin constater qu'il réagissait positivement et commençait à bander.




CHLOE

La langue de Lisa, allant et venant de mon petit trou à ma chatte me mettait dans tous mes états. Un petit filet de sa salive coulait dans mon entrejambe, et je commençai à gémir.
- Oh oui, ma chérie ! C'est bon, continue... Mets tes doigts dans ma fente.
Aussitôt, je sentis mes petites lèvres écartées doucement par une main adroite, et un doigt se lancer dans l'exploration de ma grotte humide. Mais Lisa ne se contentait pas de cette caresse, et sa langue tournait autour de mon anus, le vrillant comme pour s'y glisser toute entière.



Je poussais maintenant de petits cris, que Lisa savait interpréter à merveille, et elle se mit à ma pistonner la chatte avec ardeur. Elle allait de plus en plus vite, jusqu'à ce qu'un cri plus aigu lui fasse comprendre que j'avais atteint l'orgasme.
Elle retira sa main, et je me laissai tomber sur le sol. En me tournant vers David, je constatai qu'il bandait fermement !



- Tu as perdu, David ! m'exclamai-je, triomphante.
- Pas du tout, vous avez triché ! protesta-t-il.
- Non, on a gagné, renchérit Lisa, tu avais accepté le défi, tu vas être attaché.
- Essayez toujours !



David était costaud, et nous n'étions pas de taille pour l'attacher de force. Il fallait négocier.
- Ecoute, ne sois pas mauvais joueur, repris-je sur un ton conciliant. On t'attache, juste le temps que tu débandes.
- Et tu ne le regretteras pas, minauda Lisa.
Il finit par accepter, et nous lui liâmes les poignets, les bras en l'air, contre le tronc d'un gros chêne.



L'opération nous prit quelques minutes, et malgré la proximité de nos corps nus, l'érection de David faiblissait. Quelques instants après, sa verge ne se dressait plus.
- Ça y est, je ne bande plus, vous êtes contentes ? demanda-t-il. Soyez gentilles, détachez-moi maintenant !



Lisa et moi prîmes notre air le plus pervers, en adoptant des poses érotiques.
- On ne te fait plus d'effet, mon petit David ? lui demandai-je les yeux brillants, en me cambrant et en faisant saillir mes seins durcis.




LISA

David semblait fâché et regardait ailleurs. Il semblait que notre petit jeu ne l'amusait plus. Chloé s'approcha alors de lui et saisit sa verge pour commencer à le branler :
- Regarde comme on est belles et excitantes...



- Arrête, Chloé ! Détache-moi...
- Je ne peux pas, regarde : tu bandes à nouveau !
- Ça suffit ! Vous ne respectez pas les règles. Lisa, détache-moi.
Je pris moi-aussi une pose sensuelle pour lui montrez que je suivais la même voie que Chloé. Je souriais et lui répondis :
- Tu es à notre merci, David...



Chloé s'agenouilla alors et se mit à lui lécher le gland. Je pensais qu'il allait en profiter et se laisser faire mais il se plaignit pourtant :
- Ce n'est plus drôle, les filles. Libérez-moi immédiatement.
Chloé s'arrêta un instant et lui répondit :
- Impossible tant que tu bandes, bel homme !
Puis elle recommença à faire courir sa langue le long de la tige parfaitement raide.



David se mit alors à tirer sur ses liens et je craignis qu'il se fasse mal aux poignets :
- Chloé, je ne sais pas si c'est une bonne idée. Il a l'air de ne pas aimer être attaché.



David se calma et essaya de prendre un air charmeur :
- Allez, j'ai compris la leçon. Détache-moi Chloé, je profiterai mieux de ta fellation si j'ai les mains libres. Elle releva la tête pour lui répondre :
- Hors de question, tu as aimé nous voir attachées toutes les deux ? Maintenant, c'est à nous d'en profiter.
Je grondai Chloé :
- Chloé, il a raison. C'est effectivement de la triche. Mais je suis certaine qu'on peut le contraindre à nous demander de le faire.
- Tu es certaine ?
- Cela mérite d'essayer, non ?
Je me tournai et exposais mon cul vers eux.




CHLOE

J'avais renoncé à regret à ma fellation, mais la vue des fesses cambrées de Lisa m'inspira. Je m'agenouillai à côté d'elle, dans la même position, pour que David puisse apprécier ces deux culs offerts, nos sexes généreusement découverts.
- Tu crois qu'il va résister, murmurai-je à l'oreille de Lisa, juste avant que nos bouches se rejoignent.



La langue de Lisa s'était glissée dans ma bouche, partait à la recherche de la mienne, et nous aurions presque oublié la présence de David si ses soupirs ne nous avaient pas tirées de notre plaisir.
En nous retournant, nous vîmes qu'il bandait franchement, et sa colère explosa.



- J'en ai assez, vous n'arrêtez pas de tricher ! La plaisanterie a assez duré, libérez-moi !
Nous n'étions pas prêtes à nous laisser impressionner par ce mouvement d'humeur de David. Lisa me lança un regard plein de malice, et s'assit en face de lui en écartant les cuisses.



- D'accord, on veut bien te détacher, lui annonça Lisa. Mais d'abord, puisque tu n'arriveras pas à débander tant que tu nous verras, tu dois éjaculer !
- Tu es trop gentille, Lisa, dis-je. On va compliquer quand même un peu les choses : David devra gicler jusqu'à moi !
Et je m'assis à 1,50 m de David, les cuisses largement ouvertes pour découvrir ma fente luisante de mouille.



- Mais c'est impossible, gémit David. Je bande trop ! Et je ne peux même pas me branler.
- Fais un effort. Regarde nos chattes et imagine-toi en train des les pénétrer l'une après l'autre.
- Libérez-moi que je puisse au moins me branler !



- J'ai pitié de lui, avouai-je à Lisa. Fais ce que tu veux, mais je vais sucer ce pauvre David.
Je m'approchai de lui, et je pris de nouveau entre mes lèvres son gland turgescent.



Je me mis à le sucer, en le branlant, lui arrachant rapidement des plaintes de plaisir.


LISA

Chloé avait envie de le sucer depuis le début et je l'avais frustrée en lui demandant d'abandonner sa fellation. Elle avait trouvé le premier prétexte pour retourner le prendre en bouche et j'avoue que la vue de la magnifique verge de David m'incitait à lui donner raison. Je la rejoignis et me mis à genoux pour lui sucer les couilles pendant qu'elle lui pompait le gland.



Le sexe tendu à l'extrême palpitait et on sentait aux gémissements de David qu'il était prêt à jouir. Chloé me fit signe de nous arrêter :
- Attends Lisa. On va le laisser terminer tout seul. Je pense qu'il est mûr.
Elle se redressa et se contenta de lui caresser l'extrémité du gland avec le bout des doigts.



Debout j'admirai les soubresauts du sexe, juste avant l'éjaculation imminente. Cela m'excitait incroyablement : je sentais mes seins gonflés, les mamelons tendus et les lèvres de ma moule trempées de cyprine. Si je me délectais du spectacle qui allait arriver, je regrettai malgré tout que cette magnifique tige ne m'ait pas donné un peu de plaisir.



David poussa soudain un râle profond qui raisonna dans la forêt :
- Oh oui !!!
Le sperme se mit à s'échapper, sans grands jets, mais en s'écoulant par saccades.



Chloé et moi étions fascinées. David avait les yeux fermés et profitait de son orgasme en continuant à gémir. Le sperme épais coulait lentement le long de sa queue et commençait à glisser sur ses couilles, ce qui était magnifique.




CHLOE

C'est à ce moment que nous entendîmes des voix féminines, entrecoupées d'éclats de rire, qui s'approchaient. A travers la végétation, nous devinions des silhouettes sur le chemin qui conduisait là où nous nous trouvions. Sans réfléchir, nous ramassâmes nos vêtements, et nous allâmes nous cacher. Lisa se glissa derrière des fougères entre deux arbres.



Elle était restée nue, et je n'avais pas davantage l'envie de me rhabiller, malgré l'arrivée de ces promeneurs. Je me cachais derrière un énorme chêne, pour observer, et j'interpellais Lisa à voix basse.
- Viens ici avec moi, on peut voir David.
Mais il était trop tard, les promeneurs étaient là.



Je découvris un groupe de filles, habillées de manière plus ou moins sportive - marchant sans doute pour entretenir leur forme. Dès qu'elles aperçurent David, toujours attaché nu à son arbre, elles se mirent à le traiter de pervers et à crier au scandale. Toutes commencèrent à rebrousser chemin, sauf une superbe blonde.



- Attendez, les filles ! lança-t-elle à ses amies. On ne peut pas le laisser comme ça !
- Tu es folle, répondirent-elles à l'unisson, c'est peut-être un psychopathe, il peut y avoir des copains à lui qui nous regardent.
- Faites comme vous voulez, moi je vais le détacher, dit la blonde, en s'approchant de David, pendant que ses copines partaient en courant.

Elle arriva tout près de lui.
- Je peux vous aider ? demanda-t-elle.



Lisa avait réussi à me rejoindre en se mettant à quatre pattes sans être vue de la jeune fille blonde. David était écarlate. Il se rendait compte qu'il ne pouvait pas cacher son sexe, d'où coulait encore un peu de sperme. Très vite, la jolie blonde s'en aperçut, et son regard resta rivé sur sa bite.



- Le voilà dans une situation bien délicate, glissai-je à l'oreille de Lisa. Je crois qu'on tient notre vengeance...


LISA

Chloé avait raison. David était dans une bien fâcheuse posture à cause de nous mais cela semblait exciter Chloé autant que moi, car elle souriait et je voyais ses yeux pétiller de perversité.



En même temps, j'étais un peu jalouse d'abandonner David à cette inconnue alors qu'on l'avait fait jouir sans que lui nous rende la pareille. J'étais partagée entre l'envie que cette fille s'en aille pour qu'on puisse demander à David de s'occuper de nous et la curiosité de voir comment elle allait réagir à cette situation.



Nous étions heureusement suffisamment proches pour entendre leur conversation. La fille demanda :
- Comment vous êtes vous retrouvé ainsi ?
- Deux copines m'ont joué un mauvais tour...
- Vous vous êtes laissés attaché nu à un arbre ?
- Oui, j'ai perdu un pari stupide...
- Et elles ont abusé de vous ?
La fille écoutait, amusée par l'histoire de David et manifestement très excitée par le sexe encore gonflé.



- Vous savez comme l'homme est faible entre les mains d'une femme...
- Et elles vous ont abandonné ?
David marqua une pause avant de répondre car il savait pertinemment que nous étions à observer non loin de lui.
- Oui, elles m'ont heureusement laissé mes vêtements. Vous voulez bien m'aider ?
- Bien sûr !
David sembla se détendre mais, à sa grande surprise, au lieu de le détacher, la jeune fille retira son débardeur, dévoilant une magnifique poitrine pleine et ferme.



David, tout comme nous, fut stupéfait :
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Je vais vous libérer, mais avant cela, je me dis que je peux bien moi aussi profiter de vous. C'est une sorte d'avance sur dédommagement, qu'en dites-vous ?
David ne répondit pas, il semblait fasciné par cette inconnue blonde qui déboutonnait maintenant sa jupe sans la moindre pudeur.



Nous échangeâmes un regard complice avec Chloé en découvrant qu'elle portait une culotte sous sa jupe. Mais elle ne perdit pas de temps et la retira rapidement avant de revenir vers David en se caressant la poitrine :
- Je vois que je vous fais de l'effet.



La verge de David était effectivement en train de se redresser et David ne semblait pas du tout vouloir se contrôler cette fois-ci.


CHLOE

Je ne perdais pas une miette du spectacle qui se déroulait sous nos yeux, et nous n'aurions jamais imaginé que les choses prendraient cette tournure. J'étais tellement excitée que Lisa dut me rappeler à l'ordre, car j'oubliais toute prudence pour mieux voir, sortant de derrière le tronc d'arbre, au risque de me faire repérer.



La fille s'accroupit devant David, toujours attaché. Elle le branlait délicatement entre ses doigts, et se mit à lui lécher les couilles.



Elle semblait être particulièrement habile de sa langue ! David soupirait et recommençait à bander, pour la satisfaction non dissimulée de la jolie blonde. Ses lèvres remontèrent le long de la hampe dressée, et elle léchait le foutre avec gourmandise.



Au bout de quelques minutes, je la vis poser de petits baisers sensuels sur la tige de David, qui était de nouveau en pleine érection. Lorsqu'elle l'eut bien excitée, elle prit le gland gonflé entre ses lèvres, et se mit à le pomper.



J'avais totalement oublié notre vengeance. La situation avait réveillé mon désir, et je mourrais d'envie de les rejoindre. Appuyée contre mon arbre, je sentais durcir mes seins gonflés, et ma fente se remplir de cyprine.




LISA

Chloé faillit nous faire repérer car elle s'était décalée du tronc qui la cachait pour mieux voir. Elle semblait surexcitée et je devinais qu'elle mourrait d'envie d'aller aider cette jeune fille. Je la pris par le poignet et la tirait derrière le tronc. Je lui chuchotais :
- Calme-toi...
- J'ai super envie !
- Moi aussi... Fais comme moi, ça va te soulager.
Je me masturbais en observant cette fille qui suçait David.



Chloé m'imita mais je voyais bien qu'elle aurait préféré aller profiter de cette belle queue. Après tout, c'est vrai que c'est grâce à nous si cette fille pouvait profiter ainsi de David. Elle le suçait désormais avec ferveur et le visage de David trahissait l'immense plaisir qu'elle lui donnait.



David se mit à râler. Chloé et moi savions que c'était bientôt la fin. Il ferma les yeux et la fille eut un sursaut. J'imagine qu'elle venait de recevoir une giclée de sperme au fond e la bouche. Elle retira aussitôt le sexe de David et se mit à le branler devant son visage alors qu'il continuait à éjaculer, lui envoyant plein de sperme sur les joues et le menton. Cette scène superbe eut raison de moi et j'eus un orgasme alors que mon majeur continuait à asticoter mon clitoris. Un petit cri m'échappa et je m'accroupis aussitôt pour me dissimuler alors que la jeune fille tournait la tête dans notre direction.



Elle abandonna David et se redressa :
- Il y a quelqu'un ?
David, qui se doutait certainement que c'était nous, trouva une excuse plausible :
- C'est la forêt, il y a toute sorte d'oiseaux, vous savez...
Elle tendit l'oreille et écouta. Le chant de différents oiseaux parvint à ses oreilles et sembla la rassurer. Elle se passa la langue sur les lèvres :
- Bon, je pense que vous méritez bien d'être libéré.



Elle détacha David. En vrai gentleman, il commença par lui essuyer le visage avec un mouchoir. Puis, ils se rhabillèrent et partirent. Quand ils furent éloignés, je manifestai ma frustration :
- En fait de vengeance, on lui a rendu service à ce salaud !
Nous étions toutes les deux si furieuses qu'il ne nous vint pas à l'esprit qu'on aurait pu se donner du plaisir l'une l'autre pour se calmer. Chloé semblait mûrir un nouveau plan pour notre vengeance :
- Ne t'inquiète pas, on va trouver autre chose pour l'humilier.



- Tu as déjà une idée, Chloé ?
- Oui, je crois... Que dirais-tu de le faire éjaculer à la terrasse d'un bar, sous les yeux de tout le monde ?
- C'est un programme alléchant !
^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 2


LISA

Quelques semaines passèrent. Nous étions surprises Chloé et moi de ne pas avoir de nouvelles de David. Puis l'opportunité de nous venger arriva tout naturellement.
Chloé m'appela, surexcitée :
- Lisa ! On le tient ! David nous donne rendez-vous dans un bar, j'ai noté l'adresse.
Je n'avais pas oublié que Chloé voulait se débrouiller pour le faire éjaculer en public, à la terrasse d'un café. L'occasion était trop belle !
- Quand ?
- Il veut nous voir dans une demi-heure.
- Ok, je me change rapidement et je passe te chercher.
Mais en fait de me changer rapidement, je mis plus de temps que prévu pour choisir ma tenue et j'optai finalement pour un jeans très sage et un fin chemisier blanc, sans rien dessous, évidemment...

Chloé me gronda car j'arrivai chez elle avec pas mal de retard. Elle avait choisi une jolie mini-jupe et un petit gilet sous lequel ses seins pointaient fièrement et, de tout évidence, elle aussi libre de tout soutien-gorge.

Quand nous arrivâmes à l'adresse indiquée, David regardait sa montre avec impatience et sembla agacé de nous voir arriver :
- Vous avez presque une demi-heure de retard les filles !
- Bonjour David !
- Excusez-moi, bonjour. C'est que j'attends depuis un moment et j'ai un rendez-vous après.



Chloé se lança :
- Il est chouette ce bar, mais on serait mieux en terrasse, non ?
- Non, il faut que je vous parle et j'aimerai mieux faire ça ici.
- Allez, il fait sombre ici et ça ne prend que deux secondes de sortir.
Je voyais qu'elle était excitée d'avance car ses tétons pointaient à travers son petit gilet.



Voyant que la requête chaleureuse de Chloé ne semblait pas émouvoir notre homme, je vins en renfort :
- Oui et on étouffe dans cette salle. Au moins dehors on aura de l'air.
David regarda mon chemisier et sourit :
- Pourtant, tu n'as pas grand-chose sur le dos...



David ajouta même :
- Allons dans l'arrière salle, ce sera plus discret.
Là, Chloé et moi nous faisions un film sans doute assez semblable : David voulait nous baiser toutes les deux, vite fait, bien fait.. Chloé prit une pause sensuelle et, très décidée, lui dit :
- Si tu veux profiter de nous, ce sera en terrasse devant tout le monde, pas dans un coin obscur de ce bar !



Voyant l'air contrarié de David, je me dis qu'à défaut de la terrasse, la grande salle ferait toujours mieux l'affaire que l'arrière salle sans personne. Je m'assis donc à une table libre et me penchai un peu en avant dans l'espoir de le convaincre en le laissant admirer mon décolleté.
- Bon, restons ici, si tu préfères.



Chloé semblait contrariée que je baisse les armes.


CHLOE

Je commençai à craindre que notre plan tombe à l'eau, et je me décidai à sortir le grand jeu pour provoquer David.
- Tu ne veux pas nous faire plaisir ? Je vais t'avouer : nous étions excitées à l'idée de te revoir malgré tout ce que tu nous as fait. Tu veux une preuve ?
Je remontai juste un peu ma jupe, mais elle était si courte que c'était suffisant pour exhiber ma petite chatte épilée.



- Allez, sois chic, minaudai-je. Et puis, tu ne crois pas que les passants seront jaloux, en te voyant en terrasse avec deux filles comme nous ?
Mon insistance fut sans effet sur David qui, au contraire, ne cachait plus son agacement.
- Ce n'est pas la peine d'insister, je tiens à ce qu'on s'installe dans l'arrière-salle, et il faut que je vous parle vraiment sérieusement.
Lisa ne voulait pas encore s'avouer vaincue et, par jeu, écarta son chemisier, découvrant presque entièrement ses seins ronds et fermes.
- Quoi, tu t'es soudain pris de passion pour les soutiens-gorge et tu es fâché qu'on n'en ait pas mis ?



David accusa le coup, et ne parvint pas à cacher qu'il bandait. Mais il restait inflexible :
- Ecoutez les filles. Je vous adore mais ce que j'ai à vous dire est important et j'ai peu de temps.
Nous finîmes par le suivre dans l'arrière-salle, pendant qu'il dissimulait tant bien que mal la bosse qui déformait son pantalon.



- Alors, qu'est ce que tu as de si important à nous dire ?, lui demanda Lisa.
- Suite au mauvais tour que vous m'avez joué en forêt l'autre jour, j'ai fait la connaissance de Caroline, une superbe blonde, qui a eu la gentillesse, ELLE, de me délivrer. Nous nous sommes revus depuis, et j'en suis follement amoureux.
- Nous sommes contentes pour toi, répondis-je - avec un peu de mauvaise foi : qu'il nous préfère une blonde était un affront pour Lisa et moi... Mais ce n'est pas la première nana que tu dragues !
- Non, mais cette fois c'est sérieux, avoua David, avec une mine austère. Pour moi, la drague, c'est fini, et je ne voudrais pas qu'il y ait de quiproquo avec vous.
Avant que nous ayons eu le temps de réagir à cette nouvelle improbable, le téléphone de David, qu'il avait posé sur la table, sonna. Etant juste à côté de lui, je lus « Caroline », et j'eus le temps de mémoriser le numéro que je notai discrètement. La conversation fut brève.
- Excusez-moi, dit David en raccrochant. C'était Caroline. J'ai rendez-vous avec elle et elle est arrivée. Je vais vous présenter. Mais je compte sur vous : vous ne lui dites rien !
Sans nous laisser le temps de répondre, David se leva et s'éclipsa, pour revenir l'instant d'après accompagné de Caroline.



C'était bien la fille que nous avions vue, quand nous épiions David, cachées derrière les arbres. Elle portait une robe blanche très sexy.
- Caroline, je te présente Lisa et Chloé, dit David sur un ton cérémonieux. Ce sont d'anciennes amies.
- Enchantée, répondit Caroline, sans chercher à comprendre ce que le mot « amies » signifiait.
Pendant que nous échangions des banalités, David embrassait tendrement la jolie blonde dans le cou.




LISA

J'étais moins vexé par le « amies » qui nous nous reléguait à de simples connaissances que par le « anciennes » qui semblait nous indiquer qu'il tirait un trait définitif sur notre relation. J'étais écœurée et j'étais furieuse contre moi-même puisque nos projets de vengeance se soldaient systématiquement par de la frustration pour nous et d'heureuses surprises pour David. On ne lui fit même pas la bise et on s'éclipsa après leur avoir dit un simple « Salut ».
Quand on eu quitté l'arrière salle, Chloé m'attrapa par le bras :
- Attends un peu...
Elle avait laissé la porte entrouverte sur un centimètre pour qu'on puisse observer le couple. David, que l'on avait dû chauffer un peu trop, soulevait déjà la robe de Caroline. Elle protesta mollement avec un "Pas ici, David", peu convaincant.



On le vit attrape sa culotte et lui retirer. Elle chuchota :
- Arrête, t'es fou ! Pas ici.
Mais elle laissa la culotte tomber à ses chevilles et ne protesta pas quand David la souleva pour l'assoir sur une chaise. Il lui retroussa la robe sur ses fesses nues et libéra son érection.



J'étais fascinée de pouvoir assister à cela mais j'étais également extrêmement frustrée de me dire que ce n'étais pas moi qui allait profiter de cette belle queue. Il la pénétra en lui arrachant un profond soupir de contentement.
- Tu te rends compte, Chloé. C'est nous qui l'avons chauffé et c'est elle qui en profite !
- Je suis dégoûtée...
Dégoûtée et fascinée, comme moi, de voir la bite de notre amant s'enfoncer lentement dans le sexe de Caroline.



Elle feulait de plus en plus. Pendant que nous jouions aux voyeuses, je sentis un type qui s'approchait derrière nous pour voir ce qui nous intéressait autant. Il mit une main au cul de Chloé. Celle-ci se contenta de tourner la tête et de lui répondre sur un ton presque agressif :
- Dégage !
Le type n'insista pas et on put reprendre notre activité de voyeurisme. Caroline s'était redressée et David avait enlevé le tabouret pour continuer à la prendre en levrette.



Caroline se cambra soudain encore davantage et se mit à feuler :
- Oooooh, David...
Elle était manifestement en train d'avoir un orgasme et nous devinions que, si David restait immobile, c'est qu'il était en train de se vider en elle.



Nous ne restâmes pas davantage et quittâmes le bar. Nous étions vexées d'avoir encore raté notre vengeance. Dans la rue, Chloé me montra un bout de papier sur lequel était noté un numéro :
- C'est celui de Caroline. Je l'ai mémorisé quand elle a appelé et je l'ai noté.
- Bravo ! Mais qu'est-ce que tu veux qu'on en fasse ? Tu veux qu'on se venge en lui révélant la réalité sur David ?
- Mieux que ça. On la convainc de faire de l'exhibition et on la filme !
Je reconnaissais bien Chloé et j'étais contente qu'on ne reste pas sur un échec.

L'après-midi même, Chloé appela Caroline et lui proposa de se voir chez elle. Caroline accepta sans trop savoir ce qui l'attendait. Elle était même très souriante en nous retrouvant :
- Alors, les filles ? On se fait une petite sortie sans mec ou vous voulez des révélations sur David ?



- Parce que tu as des révélations à nous faire sur David ?
- Bah, je ne le connais pas depuis très longtemps...
- Nous, on le connait depuis un bout de temps et David reste un mystère sur de nombreux points. T'a-t-il dit quel était son métier ?
- Heu, non, dans le commerce, je crois ?
- C'est assez vague... Et tu sais s'il pratique un sport ?
- Nous n'avons pas encore abordé le sujet, mais je ne l'ai rencontré qu'il y a trois semaines.
- Et la façon dont vous vous êtes rencontrés ne t'a pas interpelée ?
Caroline ne répondit pas. Elle avait perdu son bel enthousiasme.



Elle comprenait qu'on savait des choses et attendait, inquiète, qu'on lui en dise plus. Nous lui racontâmes alors nos aventures avec David et la manière dont il nous avait trompées. Chloé alluma même son ordinateur pour lui montrer quelques bribes des vidéos qu'il avait faites de nous. Caroline semblait s'effondrer à chaque nouvelle révélation et à chaque extrait de vidéo. Elle semblait perdue et éclata soudain en sanglots.
- Pourquoi suis-je tombée amoureuse d'un obsédé sexuel ?...




CHLOE

Voir Caroline dans cet état nous a émues, mais je pensais qu'elle serait aussi plus coopérative pour s'associer à notre vengeance.
Lisa passa son bras sur son épaule, caressa ses cheveux, et j'enlaçai sa taille.

- Il ne faut pas te mettre dans des états pareils pour un homme, lui dit Lisa à mi-voix. Il ne le mérite pas.
- Je sais, répondit Caroline, entre deux sanglots, mais je suis amoureuse, et je croyais que c'était réciproque.

Nous ne répondîmes rien sur les sentiments de David. Nous croyions à sa sincérité, mais le doute de Caroline pouvait servir nos plans. Nous l'avons cajolée et prise dans nos bras, pendant que ses pleurs redoublaient.

- Ne te laisse pas aller, ma chérie, tu es si belle, lui murmurai-je à l'oreille. Une fille comme toi, rien ne lui résiste.
- Vous êtes si gentilles. Je vous connais à peine, mais vous cherchez à me consoler.
Et après un silence, Caroline ajouta avec un pâle sourire :
- Vous aussi, vous êtes très belles. Vous devez avoir plein de succès, attirer les caresses.

Elle se blottit contre nous, et nos gestes devenaient un peu plus intimes. J'appuyai ma poitrine contre le buste de Caroline, et elle devait se rendre compte que je ne portais pas de soutif, pendant que la main de Lisa se posait sur les fesses de la jolie blonde.
Je devinais le trouble de Caroline. Elle nous embrassa sur les joues pour nous remercier, mais sa bouche s'égara.



Elle se posa d'abord sur mes lèvres, et Caroline tourna la tête, affolée par son abandon, mais elle rencontra alors la bouche de Lisa, qui lui offrit sa langue.
Caroline s'écarta de Lisa, mais j'en profitai pour baisser le haut de son débardeur.



Elle non plus ne portait pas de soutien-gorge, et ses seins étaient ronds er fermes, avec des aréoles claires.
- Qu'est-ce que tu fais ? me demanda-t-elle en rougissant.
- Laisse-toi aller, Caroline, tu verras, tu te sentiras mieux et plus heureuse.

Nous avons commencé à la caresser, sa poitrine nue, le reste de son corps à travers ses vêtements. Petit à petit, elle s'est détendue, et s'est prise au jeu. Quand elle prit l'initiative de découvrir les seins de Lisa, je fis glisser la jupe et le bustier de Caroline, qui ne manifestait plus aucune réticence.



Nous continuions à nous caresser, de plus en plus fiévreusement, et à nous embrasser à pleine bouche. Petit à petit, nos fringues disparaissaient, sans que je me rappelle aujourd'hui qui déshabillait qui. J'étais la seule à avoir encore mon string.

- Je ne sais plus où j'en suis, je n'ai jamais fait ça avec des filles, confessa Caroline.
- Ma pauvre chérie, tu ne sais pas ce que tu perds, laisse-nous t'initier, répondit Lisa. Et d'abord, on va enlever le string de Chloé.

J'emmenai les deux filles dans ma chambre, et m'agenouillai sur mon lit. Elles s'installèrent de chaque côté, et se mirent à baisser l'élastique.



J'étais nue également, pour mon plus grand plaisir, et nous avons allongé Caroline entre nous.



LISA

Chloé s'était mise derrière Caroline et lui caressait les épaules. Bien vite, ses mains s'égarèrent sur les seins de notre invitée. Je me mis alors à quatre pattes entre les cuisses Caroline, et je les écartai lentement. Elle me laissa faire, autorisation muette à ce que j'accède à son sexe. Je plongeai mon visage entre ses cuisses et commençai à lécher sa fente.



Caroline tressauta au moment où ma langue entra en contact avec les lèvres de sa moule. Je commençai par simplement laisser la pointe de ma langue sur sa fente, sans tenter de m'immiscer, ni d'atteindre son clitoris. D'abord gênée et tendue, je la sentis peu à peu se relâcher. Ma langue pouvait enfin partir explorer sa fente et je sentais qu'elle commençait à mouiller.



Chloé bougea, souhaitant manifestement que nous échangions nos places pour qu'elle puisse, elle aussi, goûter à la liqueur de Caroline. Je me décalai sur le côté pour caresser et embrasser les seins de Caroline, tandis que Chloé venait s'installer entre ses cuisses écartées en grand pour lui déguster la moule. Caroline se mit à gémir.



Caroline semblait comblée. Ce début d'expérience saphique était prometteur. Caroline sentait monter le plaisir et semblait vouloir que Chloé lui donne un orgasme de cette manière. Elle appuya sur la tête de Chloé :
- Je t'en prie, glisse ta langue dans ma fente.



Chloé ne demandait pas mieux et elle satisfit à son attente. Caroline ne mit pas longtemps à jouir. Elle eut un orgasme rapide mais assez intense. Elle avait le souffle court et j'attendis qu'elle se soit remise pour lui proposer de nous donner elle aussi du plaisir.
- Maintenant, tu vas essayer toi aussi de nous faire jouir, d'accord ?
- Mais, je n'ai aucune expérience !
- Ne t'inquiète pas, nous allons te guider, lui répondit Chloé.
Chloé me fit signe et je m'allongeai à mon tour. Chloé vint se mettre entre mes cuisses et commença à lécher la moule. Je fis signe à Caroline de s'approcher :
- Embrasse-moi, Caroline.



Ses lèvres étaient douces et je la sentais beaucoup moins hésitante qu'avant. Je lui demandai :
- Tu n'as pas envie d'un soixante-neuf ?
- J'ai déjà fait avec des hommes, mais jamais avec des filles...
- Allonge-toi, je vais te montrer.



Je plongeai ma bouche sur la moule humide de Caroline. Elle eut un petit gémissement mais, l'instant d'après, je sentis sa langue commencer à se glisser entre les lèvres de ma chatte. Pendant que nous nous léchions mutuellement, Chloé se caressait en nous regardant. Caroline était plus douée que je ne l'aurais cru et après quelques minutes je sentis monter l'orgasme. Je fis alors tournoyer rapidement ma langue autour de son clitoris et je parvins à la faire jouir presque en même temps que moi. Quand je refis surface, je vis que Chloé avait l'air frustré, même si elle avait sûrement trouvé du plaisir à jouer la voyeuse et à se branler le clito.


CHLOE

Ces deux petites cochonnes m'avaient excitée à mort. J'avais envie d'être caressée, léchée, pénétrée, qu'on me fasse jouir.

- Soyez sympa, les filles, j'ai envie que vous vous occupiez aussi de mon minou, suppliai-je.

Lisa s'allongea, et je vins sur elle en 69. Je plongeai ma tête entre les cuisses largement ouvertes de ma douce complice, et ma bouche partit à l'exploration de sa fente. J'adorais cette chatte épilée avec soin, et qui semblait faite pour l'amour. J'écartelai ses petites lèvres, pour découvrir l'entrée de sa grotte, suintante de mouille, et ma langue commença à titiller son clito gonflé.



J'entendis le petit cri de Lisa, lorsque j'atteignis son point le plus sensible, mais elle me rendait déjà mon cunni avec la même ardeur. Je sentis que Caroline avait rejoint Lisa entre mes fesses, et j'avais du mal à distinguer à laquelle des deux appartenaient les langues qui me fouillaient.



Il y eut un bruit de porte. Je savais ce que cela signifiait mais je ne voulais pas inquiéter les filles. Lisa continuait à me sucer la moule mais Caroline se redressa.

- C'était quoi, ça ? s'inquiéta-t-elle.



- Un courant d'air... répondis-je

J'entendis Lisa conseiller Caroline.

- Chloé adore qu'on lèche sa rosette. Attends, je vais te montrer comment on fait.

Caroline se redressa un peu pour permettre à Lisa de faire aller et venir sa langue de ma fente à mon anus.



Je poussai un long gémissement de plaisir et, tout en suçant le petit bouton de Lisa, je glissai mes doigts dans sa grotte et dans son petit trou. Elle ne s'attendait pas à une telle attaque de ma part et marqua un temps d'arrêt dans le cunni qu'elle me faisait.



Lisa feula à son tour. Elle se concentra sur mon clito, et la langue de Caroline se glissa entre mes fesses D'abord timide, elle s'enhardit, et je la sentais tourner autour de ma rondelle, pointer dans mon petit cul. C'était délicieux, et je savais que je ne résisterai pas longtemps au plaisir qui montait en moi.



Lisa commença soudain à m'enfoncer plusieurs doigts dans mon sexe trempé. Elle me connaissait trop bien ! Elle se déchaîna, et je roulai sur le côté, secouée de spasmes. Elle se jeta sur moi, la main enfoncée dans ma chatte, et commença à mordiller les pointes de mes seins qui dardaient. Et je jouis, en hurlant, je jouis pendant de longues secondes.



Il me fallut un moment pour recouvrer mes esprits, mais une voix masculine me sortit de mon état second.
- Bravo ! ma Chloé. Je vois que tu ne t'ennuies pas, avec tes copines.
C'était Nicolas, mon mec. Nous ne vivons pas ensemble, car il est marié, mais nous sommes très complices pour tout ce qui touche au sexe.
Il nous matait, le sourire aux lèvres, et avait glissé une main dans son pantalon.



Caroline avait eu un mouvement de panique, mais elle se calma, en constatant que Nico ne me faisait pas de scène, et ne se précipitait sur elle pour la violer.
- Rassurez-vous, je ne veux pas gâcher votre trio torride. Mais si Lisa et ta copine sont d'accord, j'aimerais rester en spectateur.
Je présentai Caroline à Nicolas, et je ne laissai pas à notre jolie blonde le temps de répondre.
- Bien sûr, tu peux rester. On connait ton penchant pour le voyeurisme !
- Chloé, pourquoi ne proposes-tu pas à tes copines quelques uns de tes godes ? proposa Nicolas.
- Oui, super ! Tu as raison, à trois, ça va être génial, renchéris-je.
J'ouvris mon armoire, et j'en sortis une grande boîte contenant plein de sextoys : des godes simples, doubles, des godes ceintures...
Je vis une expression d'inquiétude sur le visage de Caroline.
- Attends, on va te faire découvrir toutes les façons de s'en servir, dis-je, pour la rassurer.
- Puisque ce sont tes godes, à toi l'honneur de la première démonstration, me répondit Lisa, qui ne détestait pas jouer les dominatrices de temps en temps. Mets-toi à genoux.

LISA

Chloé s'agenouilla, amusée de m'obéir. Je choisis un gode de taille conséquente que je présentai à l'entrée de sa chatte. Caroline s'était approchée juste à côté et semblait très intéressée par cette démonstration. Je commençai à faire pénétrer le jouet dans la fente encore trempée de Chloé. Caroline avança la main pour appuyer sur l'extrémité du gode afin de m'aider à le faire rentrer. Je limitais la progression de la pénétration pour qu'elle soit la plus lente possible et j'embrassai les fesses de Chloé pour montrer à Caroline qu'il ne fallait pas se presser.



Caroline sembla comprendre. Elle embrassa aussi les fesses de Chloé, et accompagna du bout des doigts les mouvements du gode. C'était le moment de la laisser prendre le contrôle.
- Je te laisse faire, à toi de jouer.
Caroline prit la base du gode et continua à le faire pénétrer lentement, tout en regardant Nicolas.



Nicolas se masturbait sans la moindre pudeur. Caroline, fascinée, lui demanda :
- Tu ne crois pas qu'elle préfèrerait que ce soit toi plutôt qu'un gode ?
- Moi, j'adore la regarder prendre du plaisir avec son gode.



Caroline n'insista pas et reprit les mouvements du gode dans la fente de Chloé.


CHLOE

Les maladresses et les scrupules de Caroline avaient finalement un côté excitant, mais je devinais qu'elle prenait goût à ce jeu sexuel, car les mouvements du gode dans ma chatte étaient de moins en moins hésitants. Des soupirs de la jolie blonde accompagnaient maintenant mes gémissements.



- Oh, oui, Caroline, criai-je, Ouiiii ! Je jouis, oh je jouis !!
Mes cris décuplaient l'excitation de Caroline, qui pistonnait ma chatte avec une sorte de rage. Elle-même gémissait maintenant, au bord de l'orgasme.
Et c'est Lisa qui reprit l'initiative, en lui confisquant le gode.
- A ton tour de te faire pénétrer, Caroline, lança-t-elle.
Sans se faire prier, Caroline prit ma place, et offrit son cul et sa chatte.



Je choisis un gros gode rose, et je l'enfonçais dans la fente dégoulinante de cyprine. Caroline poussa un long cri plaintif, mais continua à m'offrir sa moule.
- Oui, Chloé, c'est bon ! Continue, ça me fait du bien...
Lisa nous rejoignit, et embrassa Caroline sur la bouche. Leurs langues se cherchaient, pendant que j'enfonçais le sextoy encore plus profondément.



Caroline poussait des cris de plaisir, ondulant des hanches pour se faire pénétrer toujours plus loin dans sa grotte. A ses réactions, je devinai que j'avais trouvé son point G, et elle finit par jouir bruyamment.
Lisa était fascinée par Nicolas qui se masturbait en nous regardant.



Elle s'allongea sur le dos et écarta les cuisses :
- Nicolas, tu ne veux pas nous rejoindre ?



L'invitation était explicite, mais je ne voulais pas que Nicolas interfère dans notre projet de vengeance. Je la pris dans mes bras pour caresser sa chatte.
- Non Lisa, ça reste entre filles !



Caroline s'approcha, et je la laissai embrasser Lisa. Pendant ce temps-là, je m'installai entre ses cuisses pour la branler et lui lécher le clito.




LISA

J'étais un peu vexée par la réaction de Chloé mais je comprenais aussi qu'elle ne veuille pas partager Nicolas. Les filles s'occupaient heureusement bien de moi et je n'y pensai bientôt plus du tout. Chloé ne comptait de toute façon pas en rester là ! Elle sortit un gode double, et l'introduisit dans ma chatte toute trempée. Puis elle se mit à quatre pattes entre mes cuisses et lécha l'autre extrémité du gode pour la lubrifier. Caroline et Nicolas semblaient admiratifs de la croupe de Chloé. J'invitai Caroline à en profiter :
- Caroline, occupe-toi de son cul, pendant qu'elle prépare cet engin.
Maintenant débarrassée de ses tabous, Caroline léché la fente de Chloé, et glissa même un doigt dans son petit trou.



Puis, Chloé se redressa et annonça :
- Maintenant, je crois que vous êtes assez excitées toutes les deux. Laisse-moi te guider, Caroline.

Elle fit s'agenouiller la jolie blonde entre mes jambes écartées et Caroline vint d'elle-même s'empaler sur le double-gode planté dans ma fente.



Caroline semblait adorer et gémissait sans retenue : je voyais son cul onduler en même temps qu'elle montait et descendait sur le gode, me donnant par ses mouvements sauvages un plaisir inattendu. Mes gémissements vinrent rapidement accompagner ceux de la jolie blonde.



Caroline tournait régulièrement la tête pour regarder Nicolas qui se masturbait toujours, en la regardant avec intérêt. J'imagine que, d'où il était, il pouvait profiter de la vue des seins de caroline qui devaient se balancer au gré de ses mouvements. Moi aussi cela me mettait dans tous mes états de voir qu'un mec se branlait pendant nos ébats entre filles.



Je sentais que j'allais bientôt jouir. Chloé du le sentir aussi car elle se pencha sur moi et se mit à me sucer un mamelon. Caroline se déchaînait et je l'entendis jouir en criant tandis que mon propre orgasme était en train de m'envahir.



Engloutie sous une vague de plaisir, je perdis toute notion d'espace et de temps. Quand je me réveillais, probablement seulement quelques secondes après, Caroline avait retiré le double gode et se remettait elle aussi de son orgasme. Comme moi, Chloé semblait rassurée sur le tempérament de notre nouvelle copine.


CHLOE

Voir Lisa et Caroline se faire jouir avec ce gode m'avait excitée, et en même temps frustrée. Il me restait encore de quoi me satisfaire, et nous procurer quelques orgasmes !
- Il nous reste à te faire découvrir ceci ! dis-je à Caroline, en sortant un gode ceinture.
- Qu'est-ce que c'est ? demanda-t-elle innocemment.
- Une fille attache la ceinture autour de sa taille, expliqua Lisa, comme s'il s'agissait d'un string. Dans cette position, le gode est comme le sexe d'un homme, et celle qui le porte peut baiser une autre fille.
- Ce n'est pas douloureux, avec un engin de cette taille ? s'inquiéta Caroline.
- Non, bien au contraire ! répondis-je en riant. Lisa et moi avons une expérience certaine de la chose, crois-moi... Allez, essaie-le avec Lisa.
Caroline se leva, et j'attachai le gode ceinture autour de sa taille, pendant que Lisa s'installait en levrette.



J'étais allée chercher une caméra pour filmer la scène, en imaginant la tête de David quand il découvrirait cette vidéo !
Sa douce Caroline, les joues en feu, le regard brillant, guida le gode vers la fente de Lisa, qui suivait du regard l'arrivée de l'énorme queue synthétique.



Caroline commença à enfoncer l'engin doucement, timidement dans la grotte de Lisa, qui l'encouragea.
- Oui, vas-y Caroline ! Baise-moi, défonce-moi ! N'aie pas peur, j'ai envie que tu me laboures la moule !
Ce fut comme un coup de fouet, et Caroline, d'un grand mouvement de hanche, planta le sextoy dans le minou affamé de Lisa, qui poussa un cri de surprise et de plaisir.
Caroline se révélait très douée. Elle allait et venait dans Lisa, à grands coups de reins, et ne craignait plus maintenant d'exprimer ses sensations.
- Tu aimes ça, Lisa ? C'est ce que tu voulais ?... Oh, ce que ça m'excite de te faire l'amour avec cet engin !
Elle pistonnait Lisa comme un mec, et elle accompagnait ses gémissements de petits cris d'excitation.



Et Lisa jouit de nouveau, pendant que je continuais de filmer, et Nico de se branler.



Caroline se retira, toute essoufflée, mais je ne lui laissai pas le temps de penser à autre chose.
- A toi de te faire défoncer la chatte, Caroline, décidai-je.
Je récupérai le gode ceinture, et l'attachai autour de ma taille. Lisa empoigna Caroline, tétanisée, et l'obligea à s'allonger sur le dos. Elle lui écarta les cuisses, et lécha son clito dardé.



J'attendis que Caroline se détendit et commence à soupirer pour planter le gode dans sa chatte.



D'abord surprise, Caroline ne savait plus où elle en était. Au fur et à mesure que mes assauts gagnaient en violence, les cris de Caroline grimpaient dans les aigus. Bientôt, ce furent de véritables hurlements.
- Aaaah ! Je vais jouir !... Oooh, oui ! Oui !!!! Je jouis !
J'étais, moi aussi, incroyablement excitée. J'échangeai un regard avec Lisa, nous nous fîmes de petits signes, et je sortis le gode luisant de cyprine de la chatte de Caroline.

- Caroline, je t'en prie, vient me lécher, fais-moi jouir aussi !


LISA

Caroline, encore sous le coup de ce nouvel orgasme, ne savait peut-être plus vraiment ce qu'elle faisait et obéissait sans opposer la moindre résistance. Elle vint entre les cuisses de Chloé pour lui lécher la moule sans se rendre compte que j'étais en train d'enfiler le gode-ceinture.



Elle poussa un petit cri de surprise quand j'engageai cette bite en plastique dans sa moule pour la prendre en levrette. Elle interrompit son cunnilingus à Chloé tandis que je commençai à aller et venir en elle pour la baiser. Elle se mit à gémir et ferma les yeux quelques instants pour profiter de cette pénétration inattendue. Mais Chloé ne voulait pas être en reste et elle attrapa la nuque de Caroline pour la ramener entre ses cuisses. Entre deux gémissements, Caroline reprit à lécher le clito et la fente de Chloé.



Profitant de l'état de Caroline, Chloé se leva et sortit un deuxième gode- ceinture. Je compris ce qu'elle voulait faire et je me retirai de Caroline, la laissant quelques instants à quatre pattes sans trop savoir quoi faire. Je m'allongeai sur le dos à côté d'elle et lui fit signe de venir s'empaler sur moi. Docile, Caroline s'exécuta et vint me chevaucher en s'enfonçant toute la longueur du gode dans la chatte. Chloé vint s'installer derrière elle et commença à lui branler l'anus avec son majeur. Après avoir bien préparé son petit trou, Chloé enfonça le gode dans son cul.



Caroline commença à se plaindre, mais très vite le plaisir prit le dessus, et elle attint de nouveau l'orgasme.


CHLOE

Je retirai lentement le gode du petit trou de Caroline, qui frissonnait encore de plaisir, et Lisa aida la jolie blonde, épuisée, à se relever. Sur le moment, je ne remarquai pas que Lisa ne dégrafait pas sa ceinture, mais je réalisai ce qu'elle avait en tête quand je l'entendis proposer :
- Pour remercier Chloé de nous avoir prêté ses jouets, on va la prendre en sandwich à son tour.
Un fourmillement familier parcourut mes reins et ma chatte, et mon sourire valait toutes les réponses. Lisa tendit mon gode ceinture à Caroline, qui le mit en place et le fixa autour de sa taille. Je la regardai faire avec une excitation croissante.
Elle s'allongea sur le dos, et je vins la chevaucher.



Je goûtais la lente progression de cet engin dans ma chatte, et je le sentais s'enfoncer en moi de plus en plus profondément. Lorsque mes fesses rencontrèrent le haut des cuisses de Caroline, je marquai une pause, puis je me soulevai en appui sur mes bras de quelques centimètres.
J'attendais l'assaut de Lisa, et je me cambrai pour lui offrir mes fesses.



Le gode, lubrifié par la sève de Caroline trouva facilement son chemin dans mon anus.
Lisa était une véritable experte, et le pieu de résine se mit à coulisser dans mon petit cul. Elle variait le rythme de ses coups de reins et la profondeur de cette pénétration, en se fiant à mes cris, et Caroline parvint à synchroniser les mouvements de ses hanches, pour baiser ma chatte comme un amant aurait su le faire.
C'était génial, et lorsque je sentis l'orgasme monter, je ne fis rien pour me retenir.
- Oh oui, oui ! Je jouiiiis ! Je vous aime toutes les deux... Ooooh, comme c'est bon !
Savoir que Nicolas nous regardait décuplait mon plaisir. Lui aussi n'en pouvait plus. Il jouit presque en même temps, éjacula, et un long jet de sperme alla s'écraser par terre loin devant lui.




LISA

Nous libérâmes Chloé qui était terrassée par le plaisir que lui avait donné cette double pénétration. Nous la laissâmes à quatre pattes avec la moule dégoulinante de cyprine. Si j'avais été à la place de Nicolas, j'aurais attendu pour jouir et je serais venu décharger dans cette magnifique croupe. Encore excitée, je me penchai derrière elle pour lui lécher la moule et l'anus. Caroline, intéressée, vint me rejoindre tandis que Chloé se remettait à gémir.



Nicolas ne débandait pas, même s'il avait joui. Il alla s'assoir et nous remercia :
- Les filles, c'était un spectacle incroyable ! Je vous remercie de m'avoir permis d'assister à ça.
Tout en nous parlant, il continuait de se masturber pour entretenir son érection alors que du sperme s'écoulait encore de son sexe tendu.



Chloé, à bout de force, se laissa retomber sur le côté. Caroline vint l'enlacer :
- Merci, Chloé et Lisa de m'avoir fait découvrir tant de nouveaux plaisirs pour moi !
- C'était un plaisir partagé, répondit Chloé en souriant.
Je vins les rejoindre et me mis à quatre pattes pour poser ma tête sur le ventre de Chloé :
- Et on peut sans doute te faire découvrir encore d'autres horizons, Caroline, si tu es partante.
- Oh, ce serait merveilleux. Mais... serait-il possible que vous ne disiez rien de tout cela à David ?
- Il a bien des secrets pour toi. Je ne vois pas ce que tu aurais à te reprocher.



Nicolas se leva et annonça qu'il allait prendre une douche. Chloé nous repoussa alors et se leva aussi :
- Attends un peu mon chéri. Je voudrais te remercier d'avoir su rester regarder sans intervenir.
Elle alla le rejoindre et s'agenouilla entre devant lui. Elle tandis la langue et commença à lui lécher les couilles et le sexe pour le nettoyer du sperme.



Nicolas bandait toujours incroyablement. Je pense que si on lui avait proposé une petite partie avec trois filles, il aurait été d'attaque et aurait peut-être été capable de nous faire jouir toutes les trois. Je me levais à mon tour, fascinée par la toilette de chat que lui prodiguait Chloé.



Nicolas ne semblait pas insensible à mes charmes car il me regardait également avec intérêt pendant que sa copine était en train de le sucer. Je ne pus m'empêcher de proposer mon aide :
- Chloé, je peux te donner un coup de main ?
Chloé s'arrêta et me sourit :
- Tu veux plutôt dire un coup de langue, non ?
Elle se releva et vint me rejoindre avec un sourire coquin :
- Tiens, si tu veux goûter...
Elle m'embrassa alors à pleine bouche pour partager avec moi le sperme de son mec.



Quand Chloé me laissa, j'étais encore dans un état second, à la fois par l'ardeur de son baiser et par le fait que je venais de déguster un peu du jus de son mec. Je me tournai vers Nicolas pour lui dire :
- Nicolas, ton sperme est délicieux
Puis, très excitée, je demandai à Chloé :
- On pourra peut-être se revoir, non ?



Chloé voyait très bien ce que je voulais et répondit doucement mais fermement :
- Ce n'est pas prévu pour le moment, mais si tu veux tu peux aller lui dire au revoir.
Ce n'était pas exactement ce que j'attendais comme réponse, mais il fallait déjà se contenter de cela. Je rejoignis Nicolas qui avait suivi notre échange avec intérêt et m'attendait en souriant. Tandis que nos lèvres se mêlaient, je ne me gênais pas pour empoigner son sexe et le branler un peu tout en lui caressant les couilles. Nicolas ne se contenta pas non plus de m'embrasser et s'amusa à me caresser un mamelon tendu.



Chloé semblait plutôt amusée par notre petit manège, et elle finit par dire avec humour :
- Allez Nico, ta douche va refroidir...
Il me laissa et partit effectivement prendre une douche. Nous commençâmes à nous rhabiller. Caroline semblait toujours dans un état d'extase dû aux multiples découvertes sexuelles qu'elle venait de faire. Chloé et moi nous amusions à la caresser pour ralentir le rhabillage.



Quand nous fûmes enfin dans une tenue plus décente, Caroline nous dit :
- Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier pour tout ça ! Quand je pense que ce salaud de David tenait secret ce qu'il vous avait fait subir.
- Ne sois pas trop dur avec lui, répondis-je. S'il a fait ça, c'est surtout parce qu'il tient à toi et qu'il est probablement très amoureux.
- Je le suis aussi... Mais, vous ne lui en voulez pas de vous avoir fait ça ?
- Si, bien sûr, répondit Chloé, mais on va préparer notre vengeance...
- Si vous ne lui faites pas quelque chose de trop vache, je veux bien vous donner un coup de main.
Chloé me regarda et nous échangeâmes un sourire complice. Cette fois-ci, notre vengeance était en bonne voie.

^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 3


1. Préparation


CHLOE

Après notre trio de filles chez moi - avec Nicolas qui s'était invité en plus pour jouer le voyeur - Caroline paraissait acquise à l'idée de nous associer toutes les trois, pour nous venger de David. Nous devions nous retrouver pour en parler, et Caro proposa que notre "conseil de guerre" se tienne chez elle.
En début d'après-midi, Lisa arriva en même temps que moi chez la jolie blonde, qui nous invita à nous asseoir sur le canapé de son salon.
- On ne s'est même pas fait la bise, remarqua Lisa.
- Tu as raison, répondis-je, c'est très mal élevé.
J'étais assise au milieu, et Caroline me fit une bise bien sage sur la joue. Lorsque je me retournai vers Lisa, celle-ci posa directement ses lèvres sur les miennes. Je ne fus pas vraiment surprise, et nos langues se mêlèrent, pendant que Lisa commençait à soulever la jupe de Caro.



Lisa retrouva très vite son calme, pour en venir au but de notre rencontre. Elle expliqua à Caroline que nous pensions l'entraîner dans une séance d'exhib en public.
- On s'arrangera pour te filmer, ajoutai-je, en sentant Caro un peu perplexe. Comme ça, on montrera plus tard la vidéo à David, pour le rendre fou de jalousie.
L'idée de son amant déconfit emporta l'adhésion de Caroline.



- Je suis d'accord. Mais pratiquement, comment on fait ?
- D'abord, on doit s'habiller sexy, expliqua Lisa. Pour ça, tu peux faire confiance à Chloé, je ne connais pas de nana plus exhibitionniste.
Lisa commença à déshabiller Caroline.



Mais, comme Caro montrait quelques réticences, Lisa vint vers moi. Je n'eus pas le temps de protester. Déjà Lisa, qui adore me mettre à poil, commençait à me déshabiller et eut vite fait de me débarrasser de mes vêtements. Une fois nue, je me rendis compte que je commençais à être excitée, que mes petits seins durcissaient déjà, et j'annonçai à Caroline les règles du jeu que Lisa avait imaginé.



- On va aborder des mecs en leur demandant s'ils s'y connaissent en cunnilingus. En cas de réponse positive, on demande au gars de choisir l'une de nous trois et de l'embrasser. Si le baiser est jugé concluant par celle qui a été choisie, le gars peut choisir une des deux autres filles pour lui faire un cunni. S'il parvient à faire jouir la fille choisie en moins de cinq minutes, il peut s'arroger le droit de jouir de la manière qu'il souhaite avec la dernière fille.

LISA

Pendant que Chloé nous annonçait les règles, Caroline m'avait finalement laissée la déshabiller. Elle avait écouté attentivement Chloé et semblait avoir tout bien assimilé. J'avais même l'impression que cela allait au-delà car elle se mordait la lèvre inférieure et je voyais ses yeux pétiller. J'imagine qu'elle se voyait déjà avec un gars en train de lui brouter l'entrejambe. Dès que Chloé eut terminé ses explications, Caroline attrapa des vêtements et les enfila : une mini-jupe sans culotte et un léger top sans soutif.



Moi qui pour une fois avais mis un soutien-gorge et une culotte, il me fallait aussi m'en débarrasser. Chloé me gronda :
- Tu aurais pu aussi te préparer pendant que je donnais les explications.
Les deux filles, déjà prêtes, me donnèrent un coup de main en me mettant littéralement à nu. Chloé ne résista pas à l'envie de déposer un baiser sur mon ventre tandis que Caroline semblait fascinée par mes mamelons qui, déjà, étaient tout tendus d'excitation.



Caroline semblait pressée d'y aller. Se relevant, elle se dirigea vers la porte en me disant :
- Allez Lisa, on a beaucoup à faire. Remet ton débardeur et ta jupe.
Pendant que je me rhabillais, j'eus une idée :
- Caroline, tu aurais un paquet de lingettes démaquillantes ?
- Heu, oui pourquoi.
- Prends-le. L'expérience me fait dire que ce ne sera pas inutile.
Elle mit un paquet dans son sac à main et dit :
- Bon, maintenant, on peut y aller ?



A peine Caroline avait-elle refermée la porte de chez elle que s'ouvrit la porte d'en-face sur le palier. Le voisin sortait et semblait surpris de nos tenues. Aussitôt, Caroline engagea la conversation.
- Salut Pierre. Toujours à bosser comme un dingue ?
- Heu, non, je fais une pause, là...
- On a un petit jeu en trois étapes à te proposer. Tu choisis l'une de nous trois et tu l'embrasses. Si le baiser est convainquant on passe à l'étape deux...
Sans vouloir en savoir davantage, Pierre s'avança vers Caroline :
- Cela fait des années que je rêve de t'embrasser.
Il s'approcha d'elle et la serra dans ses bras avant de coller sa bouche à la sienne.



Il n'y avait pas besoin d'attendre la fin du baiser pour savoir que Caroline allait lui permettre de passer à la deuxième étape.

CHLOE

Lorsque Pierre se sépara de Caroline, il suffisait de voir ses yeux brillants et le rouge qui était monté à ses joues pour être fixées. Elle expliqua à son voisin, incrédule, la suite du jeu.
Pierre choisit Lisa pour lui faire minette. Pendant une fraction de seconde, je fus déçue, mais je réalisai aussitôt que j'avais toutes mes chances pour la dernière étape...
- Assieds-toi dans l'escalier, ce sera plus confortable, demanda-t-il à Lisa.
Amusée, je ne perdis pas une miette du spectacle. Ma copine s'assit sur une marche, retroussant sa minijupe, et Pierre s'aperçut à ce moment là qu'elle ne portait rien dessous.



Après cet instant de surprise, il se reprit, et commença par lécher le petit trou de Lisa, qui releva plus haut ses jambes.



Très vite, Lisa se mit à gémir.
- Si tu veux me faire jouir, occupe-toi aussi de ma chatte, lui conseilla Lisa.
Obéissant, il introduisit un doigt dans sa fente, qu'il trouva trempée. Il devait être adroit, car je pouvais lire sur le visage de Lisa toutes les sensations qu'il lui procurait.



Les gémissements de Lisa étaient de plus en plus intenses. Pierre comprit qu'il était sur le point de gagner son challenge. Sa bouche remonta sur la fente de ma copine, et débusqua son clito tout gonflé. Elle poussa un cri lorsqu'elle sentit la pointe d'une langue adroite tourner autour de son petit bouton et le titiller.



Pendant qu'il continuait de lécher et de mordiller le clitoris de Lisa, son doigt descendit vers son anus, et se glissa lentement dans son petit trou. Lisa feulait maintenant sans discontinuer. Il introduisit un deuxième doigt, et le cri de jouissance de ma complice retentit dans tout l'escalier.
Il avait fait jouir Lisa... Il avait gagné, mon tour allait venir.

LISA

Au moment où l'orgasme m'envahit, j'eus une pensée : Chloé allait avoir la chance de faire l'amour avec ce garçon. Quand Pierre se redressa, il demanda, un peu fébrile :
- Et quelle est la troisième étape ?
Chloé qui était au-dessus de lui dans l'escalier, se tourna et remonta sa jupe pour exhiber ses fesses magnifiques :
- Je vais te faire jouir. A toi de choisir comment...
Avec le spectacle qu'elle lui offrait, il lui aurait été difficile de faire un autre choix.



Il monta rejoindre Chloé qui se cambrait déjà en l'attendant tout en s'appuyant à la rambarde. Quand Pierre ouvrit sa braguette pour extraire son membre en érection, Caroline comme moi fûmes impressionnées, mais plus par la taille de ses couilles que par celle de son engin. J'étais presque déçue d'avoir été choisie pour qu'il me suce, mais Caroline semblait encore plus déçue. Le temps de ces réflexions et le jeune homme engageait déjà sa queue tendue dans la fente humide de Chloé.



Chloé se mit à gémir aussitôt et Pierre commença rapidement à aller et venir en elle. Caroline semblait fascinée de voir son voisin en action dans la cage d'escalier de son immeuble. A force de coups de reins répétés, le top de Chloé avait un peu glissé et une bonne partie de sa poitrine s'était échappée du décolleté.



Après quelques minutes intenses de gémissements qui résonnaient sur plusieurs étages, Chloé se mit à jouir. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier. Le gars la suivit presque aussitôt. Extrayant son sexe du ventre de Chloé, il se mit à se masturber frénétiquement en râlant tandis que plusieurs jets de sperme épais giclaient de sa queue pour venir s'écraser sur les fesses de sa partenaire.



Chloé se redressa et demanda à Caroline le paquet de lingettes. Je lui dis :
- Economisons-les, on va en avoir besoin... Tu peux peut-être remonter te laver chez caroline ?
Caroline lui tendit les clés de son appartement et Chloé y disparu avec plein de sperme sur les fesses. Pierre, qui s'était rhabillé, souriait bêtement. Comme il ne semblait pas vouloir partir, Caroline lui dit :
- C'est tout ! Il n'y a que trois étapes. Tu peux rentrer chez toi.
Nous remerciant timidement, Pierre rentra chez lui, obéissant.
============================================

2. En voiture !

CHLOE

Après une rapide toilette, je rejoignis mes deux amies, et nous sommes descendues au parking : nous nous étions mises d'accord pour prendre la voiture de Caro, que David reconnaîtrait sans hésiter sur nos vidéos.
Caro ayant un problème avec la fermeture centralisée de sa voiture, elle fut obligée de se pencher pour ouvrir la portière côté passager.



Je profitai de l'occasion pour la filmer...
Puis je m'installai à côté d'elle.
- Regarde Caroline, voilà comment on se tient en voiture, lorsqu'on a une jupe hyper mini, et pas de culotte, dis-je en m'arrangeant pour me retrousser copieusement.



Lisa s'était assise derrière, et ne faisait pas les choses à moitié ! Elle avait totalement dégagé ses seins, dont les tétons dardaient, et sa jupe était remontée jusqu'à la taille. Le chauffeur d'un camion, à côté duquel nous étions arrêtées à un feu rouge, cala lorsque nous avons redémarré...



Suivant nos instructions, Caroline alla se garer tout au bout d'un parking, dans une zone commerciale. A cette heure, il n'y avait pas foule, mais ce n'était pas complètement désert. C'était le lieu idéal pour nos projets !
Lisa descendit de voiture. Elle avait rajusté son débardeur, tout en s'abstenant - volontairement - de remettre en place sa jupe, qui découvrait à moitié ses fesses nues.



Je remarquai avec plaisir que Caro s'amusait autant que moi de l'audace de Lisa.

LISA

Un gars passa derrière la voiture et semblait rejoindre celle qui était garée juste à côté de nous. Il avait bien naturellement ralenti son allure quand il avait aperçu ma jupe retroussée très haut sur mes fesses nues. Mais il dut frôler la crise cardiaque quand il contourna notre voiture et tomba nez à nez avec Chloé juste au moment où elle sortait. Comme elle relevait largement une cuisse pour rajuster sa chaussure, elle lui dévoilait sans pudeur sa moule dénudée.



Coquine, Chloé lui sourit et lui dit :
- Bonjour. Belle journée n'est-ce pas ?
Le type resta sur le cul. Caroline, qui était sortie après nous, alla devant les voitures et, sans pudeur, releva sa jupe :
- C'est la journée idéale pour s'habiller légèrement, non ?
Notre homme ouvrait de grands yeux et n'osait rien dire, profitant du spectacle qu'offraient les deux jeunes femmes.



De l'autre côté de la voiture, je lui expliquais la situation :
- Excusez la désinvolture de mes copines, c'est que nous faisons un jeu. Vous voulez jouer ?
- Oui. En quoi ça consiste ?
- C'est très simple : vous choisissez d'embrasser l'une de nous trois. Si le baiser est réussi, vous gagnez le droit de faire un cunnilingus à une autre. Enfin, si vous parvenez à luidonner un orgasme, la troisième devra se soumettre pour vous faire jouir de la façon qu'il vous plaira.
- Oh, ça mérite d'essayer ! Je veux bien embrasser la demoiselle.
Il désignait Chloé. Celle-ci se leva et le rejoignit. Ils échangèrent un baiser très chaud qui me donna très envie.



Quand Chloé décolla sa bouche de celle du gars, elle nous sourit :
- Oui, il sait se servir de sa langue, c'est certain !
Sans perdre de temps, Caroline se tourna et souleva sa jupe en se cambrant pour montrer son cul et sa moule nue. L'incitation, plus qu'explicite, fut un succès et il se dirigea vers Caroline aussitôt, s'accroupissant derrière elle.



CHLOE

J'observais avec intérêt Caroline, qui commençait à se laisser aller. Elle s'était accroupie sur le siège passager de la voiture, dont la portière était grande ouverte, et elle montrait généreusement son cul et sa chatte.
Le passant s'agenouilla derrière elle, sur l'asphalte, et commença à lécher son minou tout gonflé.



Il était manifestement très adroit, et Caroline bien excitée, car très vite la blonde se mit à gémir.
Dans les quelques instants qui lui étaient impartis, le type fouilla sa fente de ses doigts, suça son clito, et finit par la faire jouir bruyamment en léchant son anus.



Je n'avais rien perdu de la scène, immortalisée par la vidéo, et je réussis même à faire un gros plan sur le visage de Caroline pendant l'orgasme...
Pour la troisième étape du jeu, notre homme choisit Lisa, en fixant son décolleté, les yeux exorbités.



- Tu veux faire ça où ? lui demanda Lisa, amusée.
- Dans la voiture, on sera bien, répondit-il. J'ai l'impression que vous êtes de sacrées salopes, toutes les trois, et que vous adorez vous exhiber.
Le mec s'installa sur la banquette arrière, baissa son pantalon, et libéra une bite d'une taille très respectable, dressée à la verticale. Pour être plus à l'aise, Lisa se débarrassa de sa jupe avant de remonter dans la voiture, et vint s'empaler sur le mât gonflé.



Elle releva son débardeur, pour que son partenaire puisse mater et toucher ses seins à sa guise.

LISA

Voyant l'intérêt que le gars portait à ma poitrine, j'avais retroussé mon débardeur sur mes seins. Il semblait ravi de les voir se balancer au rythme de mes mouvements sur sa queue. Sa queue n'était pas très longue mais elle était toutefois assez large et me donnait beaucoup de plaisir. Il se mit à me caresser la poitrine. Voyant que j'étais plutôt sensible des mamelons, il arrêta et me débarrassa de mon débardeur. Courbée en deux, je le laissai me prendre à la taille pour m'aider à me faire monter et descendre sur sa tige. C'était bon et je me laissais aller sans trop précipiter les choses.



Chloé observait à la vitre face à moi et je savais que Caroline n'en perdait pas une miette de l'autre côté. Après plusieurs minutes, je sentis qu'il était mûr et accentuai les ondulations de mon bassin pour le faire jouir. Sentant qu'il allait venir, le gars m'annonça soudain qu'il voulait le faire dans ma bouche :
- Prenez-moi dans votre bouche !
C'était loin d'être le plus pratique vu comme nous étions encastrés, et surtout je savais que je pouvais dire adieu à mon orgasme. Mais c'était les règles que nous avions établies et il avait ce privilège. Je me dégageai donc rapidement et m'accroupis en dehors de la voiture. L'instant d'après, il était debout devant moi et son sperme giclait déjà. La bouche grande ouverte, je réussis à accueillir les trois premiers jets.



Comme il perdait un peu le contrôle en jouissant, les dernières giclées furent moins bien dirigées et j'en reçus sur le front et sur la joue. J'avalai la semence et me redressai tandis que le gars se rhabillait en regardant autour de lui pour vérifier que personne ne l'avait vu. Caroline me dit :
- Lisa, les lingettes sont dans la boîte à gants...
Je remontai en voiture afin de profiter du rétroviseur pour me nettoyer le visage.



Le gars nous remercia avant de monter en voiture et de s'en aller. Chloé demanda à Caroline :
- Alors ? Qu'est-ce que tu penses de ce petit jeu ?
- C'est super excitant mais pour le moment je n'ai pas encore été en troisième choix...
- Ne t'inquiète pas, la journée n'est pas terminée. Mais vu comment tu lui as vendu ton cul, il ne risquait pas de choisir Lisa !
- Oui, c'est vrai qu'il ne faut pas dévoiler la marchandise trop tôt !
Chloé et Caroline rigolaient tandis que je terminais de me nettoyer et Caroline s'amusait à écarter son décolleté pour montrer ses seins à Chloé.



============================================

3. Ballade en ville

CHLOE

Nous avions quitté le parking du centre commercial, pour nous rendre en ville. Maintenant, Caroline était totalement dans le jeu, et suivait nos directives, quand elle ne prenait pas elle-même l'initiative. Le quartier neuf dans lequel nous nous promenions était parcouru par de nombreuses coursives en hauteur, et nous nous sommes amusées à y faire passer Caro.



Elle longeait les rambardes au plus près, pour que les passants, en dessous, puissent profiter de la vue sur sa chatte nue. Certains s'arrêtaient, incrédules pour la mater, et je filmais la scène. Pour pimenter la vidéo, je réalisai même un plan en glissant la caméra sous sa jupe.



Caroline aborda un grand type qui la regardait depuis un moment, en lui expliquant simplement qu'elle était soumise à un gage, et qu'elle devait se laisser embrasser - sans en dire plus, par précaution. Il se rua littéralement sur elle.



L'homme se comportait vraiment comme une brute, tripotant la jolie blonde, et lui fourrant sa langue dans la bouche sans la moindre sensualité. Dès qu'elle le put, Caro se dégagea, prétextant qu'elle avait rempli son gage, et vint nous rejoindre.
- Quel salaud, commenta-t-elle, il ne nous mérite pas !
Elle se remit en quête d'un nouveau partenaire et s'assit dans un escalier, cuisses écartées, retroussant même sa minijupe.



LISA

C'était incroyable de voir Caroline s'exhiber ainsi. Nous qui la pensions sage, nous découvrions une salope aussi exhibitionniste que nous. Les mecs passaient devant elle, parfois surpris, souvent ravis, en découvrant son sexe nu qu'elle affichait sans la moindre pudeur. Il était toutefois étonnant de voir qu'aucun ne s'arrêtait, peut-être trop suspicieux et craignant une caméra cachée destinée à les mettre mal à l'aise.



Après plusieurs minutes sans que notre appât ne fonctionne, je vis soudain Chloé sourire en regardant de l'autre côté de la rue. Elle me fit un petit signe de tête pour désigner un brun, assez jeune, qui s'était arrêté en face de nous, et semblait très occupé avec son téléphone portable. Chloé murmura à l'intention de Caroline :
- Il prend des photos. Je pense qu'il est mûr pour nous.
Caroline se leva soudain et fonça voir le gars. Celui-ci hésita à s'en aller, mais Caroline dut réussir à trouver les mots pour le convaincre de rester et d'écouter sa proposition. Après quelques secondes, il jeta un regard vers Chloé et moi, puis se pencha sur Caroline pour l'embrasser.



Le baiser dura un certain temps et cela devenait très excitant. Caroline semblait en profiter plus qu'il n'était nécessaire. Quand le type porta la main à sa poitrine pour la peloter, elle ne se défendit pas et en profita même pour vérifier l'effet de son baiser sur l'entrejambe de notre proie. Quand ils se décollèrent après une bonne minute, il vint nous rejoindre :
- Votre copine m'a dit que je devais voir avec l'une de vous deux pour la suite. Alors ? Laquelle veut se faire brouter le minou ?
Chloé souleva aussitôt sa jupe pour exhiber sa moule déjà luisante de mouille.



- Moi, je veux bien !
Elle avait été plus rapide que moi mais en même temps, mon précédent partenaire ne m'ayant pas donné d'orgasme, j'étais plutôt contente à l'idée que celui-ci allait me faire l'amour ensuite. Le gars fit reculer Chloé dans un petit renfoncement de l'immeuble, privilégiant quand même un endroit un peu plus discret. Puis il la fit se retourner contre le mur.



CHLOE

J'étais bien excitée, à l'idée de me faire lécher par un inconnu, quasiment en pleine rue.
Malgré cette situation, et le peu de temps dont nous disposions, il caressa longuement mes fesses.



Ses mains étaient douces et adroites. Il ne se contentait pas de mon petit cul, et ses doigts exploraient mon minou, m'arrachant déjà des gémissements.
- Vas-y, lèche-moi, le suppliai-je. J'ai envie de ta bouche et de ta langue sur mon sexe...
Il s'accroupit devant moi, retroussa ma jupe jusqu'à ma taille, et commença par embrasser ma chatte toute épilée.



Ses lèvres prirent possession de mon petit bouton, l'aspirant, le mordillant, jusqu'à ce que je crie. Puis sa langue s'insinua dans ma fente inondée de mouille, se glissa en moi...
C'était délicieux, et bientôt je sentis l'orgasme monter. Je ne fis rien pour le retarder, concentrant seulement mes efforts pour ne pas hurler.
Lisa se réjouissait déjà !
- Comment veux-tu que je te fasse jouir ?, lui demanda-t-elle alors qu'il venait seulement de se relever.
Je lus la déception sur son visage, quand le mec lui répondit qu'il voulait qu'elle le suce.



Bonne joueuse, Lisa prit sa queue entre ses lèvres, pour lui prodiguer une fellation comme elle savait si bien les faire. Elle embrassait le gland gonflé, le caressait avec sa langue, léchait la hampe dressée, puis suçait la bite qui palpitait sous ses doigts. A ce rythme, le gars ne put résister bien longtemps.



Il poussa un long grognement, et je vis sa semence jaillir de sa verge secouée de spasmes.


LISA

J'étais encore une fois frustrée de donner du plaisir à ces mecs sans avoir eu d'orgasme autre que le premier cunnilingus, dans l'escalier de l'immeuble de Caroline. Caroline me tendit des lingettes pour que je m'essuie la bouche et le menton. Un nouveau passant arriva à notre hauteur, alors que je terminais de me nettoyer. Je le vis s'arrêter soudain et ouvrir de grands yeux. Chloé, volontairement ou non, s'était penchée en avant pour relacer sa chaussure et offrait un magnifique point de vue sur ses jolies fesses.



Voyant sa mine, Chloé se redresse mais garde la jupe retroussée assez haut sur les fesse :
- Ne soyez pas surpris, il s'agit d'un jeu ?
Le gars s'approcha, sans doute plus intéressé par la vue que par ce que Chloé voulait lui dire. Chloé expliqua donc les règles du jeu. Au fur et à mesure de son explication, il semblait se désintéresser des fesses de ma copine pour se concentrer sur les conditions du challenge.



Quand Chloé eut terminé avec les trois étapes, notre nouveau candidat nous jaugea toutes les trois afin d'établir ses préférences. C'est vers moi qu'il vint, me désignant de toute évidence pour être le juge de son baiser. Il se pencha sur moi et m'embrassa. Il se débrouillait plutôt bien mais il eut un geste déplacé : il tira sur mon décolleté pour me dégager les seins et les malaxer comme de la pâte à pain.



Je me dégageai vivement de son étreinte :
- Hey ! Juste un baiser !
- Arrête, je suis certain que tu aimes te faire peloter les nichons.
- Ce n'est pas la question. Vous n'avez pas respectez les règles. Le jeu s'arrête là pour vous.
Il repartit, furieux. Chloé aussi n'avait pas l'air très contente de ma réaction :
- C'est bête, il avait l'air mignon et il me faisait déjà mouiller...
Elle souleva sa jupe pour nous montrer, sans se soucier que des passants puissent eux-aussi faire les mêmes constatations que Caroline et moi.



- Oui, mais un type qui ne respecte pas les règles, on ne sait pas comment ça peut finir. Je préfère qu'on en trouve un autre, plus respectueux. Est-ce que ça vous dit qu'on cherche un bar pour s'installer ?
Les filles validèrent ma proposition et on partit en quête d'un bar assez grand et pas trop vide.

============================================

4. Dans un bar

CHLOE

Nous finîmes par trouver un bar correspondant à ce que nous cherchions pour notre petit jeu : la salle était grande, pleine de recoins, et la clientèle plutôt jeune et masculine.
Nous nous sommes installées à une table et, dans l'instant qui suivit, Caro commença à exhiber sa moule.



Nous n'attendîmes pas longtemps avant qu'un mec s'approche.
- Simon ? demanda Lisa.
Il semblait qu'on était tombé dans le bar où se trouvait par hasard le mari de Lisa !
- Salut les filles ! J'ai l'impression que vous vous sentez un peu seules.
- Simon, je te présente Chloé et Caroline, dit Lisa.
- Je peux vous offrir un verre ? demanda-t-il.
- Non merci, lui répondis-je, mais nous sommes en train de jouer, et on te propose de participer.
Sans lui expliquer la première étape sans lui indiquer la suite, et le regard de Simon s'alluma.
- Je suis votre homme, dit-il en me fixant, et je te choisis pour l'épreuve du baiser, Chloé.
Il m'embrassa sensuellement, jouant avec mes lèvres offertes et avec ma langue.



Je validai... en regrettant de ne pas pouvoir être choisie pour la suite.
- Voilà. C'est tout ? demanda-t-il ?
- Non, lui répondis-je. Tu dois maintenant essayer de faire jouir Lisa ou Caro en lui faisant un cunnilingus.
Tout sourire, il se tourna alors vers Lisa, qui souleva sa minijupe pour le provoquer. Il s'accroupit aussitôt devant elle et entreprit de déboutonner la jupe pour la relever.



- Mmm, je crois que tu as le feu au cul, ma chérie, lui dit-il. Et comme tu aimes t'exhiber... on va carrément enlever la jupe. On sera plus à l'aise, et tout le monde pourra admirer ton joli cul, et te voir te faire bouffer la chatte.
Amusée par l'audace de Simon, Lisa s'exécuta, et lança sa jupe sur la banquette. Il s'agenouilla devant elle, et se mit à lécher la fente déjà entrouverte.



LISA

Je connaissais déjà les talents de Simon en la matière : il savait faire glisser sa langue dans ma fente et la faire tourner autour de mon clito. Quelques clients remarquèrent que j'étais cul nu en train de me faire bouffer la moule et semblaient faire des commentaires salaces. Simon me suçait mais me prit par surprise : il m'avait mis un doigt dans l'anus commençait à me branler le cul. A partir de là, il ne me fallut que quelques dizaines de secondes pour avoir un orgasme.



Je n'eus pas à expliquer aux filles que je validais cette étape pour la suite, mon état second parlait pour moi et je dus m'asseoir pour reprendre mes esprits. Simon demanda :
- Alors ? Il y a une autre étape ?
- Bien sûr. Puisque tu m'as donné un orgasme, la dernière fille doit te faire jouir de la manière que tu le souhaites.
Ravi, Simon n'attendit pas que Caroline lui dise d'approcher. Il vint à elle et lui retira sa jupe tout en l'embrassant. Je l'entendis lui murmurer :
- Sors ma queue et branle-la.
Pendant qu'il soulevait le débardeur pour lui caresser la poitrine, Caroline le débarrassa de son pantalon et dégagea son érection qu'elle empoigna aussitôt.



Voyant les regards choqués de quelques clients, Simon préféra s'asseoir derrière la table afin d'être moins visible. Caroline s'accroupit entre ses cuisses et continua à le masturber en concentrant ses caresses autant sur la hampe tendue que sur les testicules.



Comme un autre type s'approchait pour mieux voir, Caroline fut prise d'un sursaut de pudeur et rajusta son débardeur sur ses seins nus. Quand elle reprit la masturbation, Simon lui dit :
- Maintenant, tu peux me sucer.
Caroline se pencha et commença par lécher les couilles puis, lentement, elle fit remonter sa langue le long de la tige palpitante.



CHLOE

L'expression sur le visage de Simon ne laissait aucun doute : notre nouveau candidat allait jouir. Caroline s'en rendit compte à ses grognements, et elle voulut se dégager. Mais il lui attrapa la tête, et la maintint par la nuque, pour décharger dans sa bouche.



Elle reçut un maximum de foutre au fond de sa gorge, et eut un hoquet. Simon eut pitié et relâcha notre copine, que je m'étais remise à filmer. Pendant que Simon se rajustait, le second type qui nous regardait s'était rapproché encore plus, et il demanda à jouer. Après un échange de regards approbateurs, nous avons accepté sa candidature. Il avait compris les règles, et il choisit Lisa pour l'épreuve du baiser. Simon repartit, nous laissant à notre jeu. Pendant que Caroline nettoyait son visage avec une lingette, Lisa se retrouva dans les bras du gars, qui l'embrassait avec une expérience évidente. Il profitait de la situation pour glisser sa main sous sa jupe, et la caresser - ce qui était contraire à nos règles.



Mais Lisa, qui n'avait pas l'air d'être trop mécontente de cette entorse à notre règlement, valida quand même. L'homme n'hésita pas longtemps pour le choix de sa partenaire pour la deuxième épreuve, quand il aperçut Caro, qui se caressait déjà la moule.



Il s'agenouilla devant la jolie blonde, et se glissa sous la table. Nous ne pouvions pas voir grand-chose, mais les réactions de Caroline nous laissaient deviner ce qu'il lui faisait. La tête renversée en arrière, les yeux mi-clos, elle se mordait les lèvres pour ne pas crier, mais ne pouvait pas retenir ses gémissements, quand la langue experte titillait son clito, ou quand un doigt touchait un point particulièrement sensible de sa chatte.



Elle ne mit pas longtemps pour prendre son plaisir, secouée par des spasmes, en se tortillant sur sa chaise. C'était maintenant à mon tour.

LISA

Chloé savait qu'elle constituait la troisième et dernière étape du challenge pour ce gars-là. Même si elle ne montrait pas un grand enthousiasme à se faire baiser par ce type, elle se mit en position en se cambrant sur la table, dressant son cul vers l'homme. Dans cette position, il n'était pas nécessaire de relever la mini-jupe pour qu'elle révèle les fesses et la moule de Chloé.



Le mec semblait ravi. Il s'approcha et vint s'accroupir derrière elle. Il resta un long moment à admirer le postérieur de Chloé. Il faut dire qu'il s'agit d'un atout non négligeable de ma copine. Après avoir bien profité du spectacle, il fit glisser son index le long de la fente trempée de cyprine, de haut en bas, et remonta jusqu'à l'anus. Je vis Chloé frémir à ce contact. Le gars le sentit aussi. Il sourit et appuya un peu sur son index pour l'enfoncer dans le cul de Chloé.
- Hey ! Qu'est-ce que vous faites ?
- Je profite de la dernière étape. Ton petit trou est interdit ?
- Heu, non... il n'y a pas de restriction...
Il continua donc à lui branler un peu le cul, jusqu'à ce qu'elle se mette à gémir un peu.



Alors, la sentant mûre, il lui retira sa jupe et la fit se redresser pour lui enlever également son débardeur. Malgré les clients du bar qui ouvraient de grands yeux hallucinés, Chloé se laissa faire. Le gars la fit ensuite se cambrer à nouveau devant lui. Elle sentit alors contre sa moule la chaleur significative de son sexe qui pressait contre sa moule. D'un coup de reins, il la pénétra et, aussitôt, se mit à aller et venir en elle.



Comme il l'avait bien excitée avant en lui masturbant l'anus, Chloé ne mit pas longtemps à avoir un orgasme. Le gars ne se montra pas très endurant et Chloé se remettait à peine de son orgasme qu'il se mit à jouir. Juste avant d'éjaculer, il nous regarda successivement, Caroline et moi, comme pour s'assurer que nous regardions attentivement. Il se retira alors, laissant son sperme gicler sur les fesses et les cuisses de Chloé.



Il se rhabilla dès qu'il eut fini, et se contenta d'un élégant "Alors ? Heureuses, les filles ?" à destination de toutes les trois. Et il s'en alla sans un mot de plus, ni même un sourire. Je demandais à Caroline des lingettes pour pouvoir essuyer les fesses et les cuisses de Chloé afin qu'elle puisse se rasseoir et se rhabiller. Comme d'autres gars s'approchaient, intéressés, Chloé, encore essoufflée, proposa :
- J'ai besoin d'air. Ici ça devient un peu glauque... Est-ce que ça vous dirait qu'on termine au parc ?
Sa proposition fit bien sûr l'unanimité.

============================================

5. Ballade au parc

CHLOE

Nous étions toutes les trois heureuses de nous retrouver dehors, au soleil. Le parc tout proche était presque désert à cette heure, et nous sommes arrivées, sans l'avoir prémédité, sur une aire de jeux. Les enfants n'étaient pas sortis de l'école, et il n'y avait personne en vue, à l'exception de deux jeunes hommes. Caroline s'amusa à monter un toboggan à l'envers, les faisant profiter du spectacle de son cul nu.



Pour ne pas être en reste, je me mis à escalader une structure un peu haute. Arrivée au sommet, je devais enjamber un élément de bois. Je ne pouvais pas faire autrement que de relever ma courte jupe et d'écarter mes cuisses, montrant avec plaisir mes fesses et ma chatte nues à nos deux admirateurs.



J'étais encore juchée sur la structure, quand un des deux types sortit sa queue de son short pour nous montrer qu'il bandait. Après tout, nous aurions été mal placées pour lui reprocher de s'exhiber !



Caro, très excitée, se précipita vers nos voyeurs, et leur expliqua les règles de notre jeu, sans réfléchir à ce qu'une partie avec deux mâles impliquait... Le premier homme choisit Lisa. Le deuxième, celui qui m'avait matée le sexe à l'air, me désigna, et se dirigea aussitôt vers moi. Il était manifestement très musclé, et me serrait fortement contre lui. Il m'embrassa avec fougue, mais aussi beaucoup d'adresse, et je sentais sa verge dure et dressée contre mon ventre. C'est à peine si je me rendis compte que, pendant qu'il m'embrassait, il baissait le haut de mon débardeur. Je me retrouvai seins nus... ce qui ne me déplaisait pas vraiment.



LISA

Le gars qui m'embrassait n'était un champion du baiser mais il se débrouillait pas mal. Surtout, je n'avais pas envie de décevoir les filles qui attendaient la suite avec de plus en plus d'impatience. Chloé arrêta son baiser en même temps que moi. Elle me sourit et me tendit le poing, pouce vers le haut. Elle validait le baiser. Je l'imitai avec un clin d'œil pour valider aussi le mien. A notre grande surprise, aucun des deux gars ne choisit Caroline pour la suite mais ils décidèrent de nous échanger, Chloé et moi. Un peu triste pour Caroline, j'étais cependant ravie à l'idée de me faire lécher la minette. Je m'installai assise dans la pelouse, les cuisses écartées et la jupe retroussée.



Ce n'est qu'une fois assise par terre que je pris conscience que le gars d'avant avait profité du baiser pour me relever le débardeur au-dessus des seins. Chloé, qui avait aussi les seins à l'air, ne discuta pas non plus le choix des garçons. Elle se tourna et s'appuya à un arbre pour se cambrer un peu. Puis elle releva sa jupe sur ses fesses nues et attendit que son amant la rejoigne.



Mon partenaire aussi vint me rejoindre. Il s'installa entre mes cuisses et se mit à me lécher la fente. Il ne se contentait pas de faire glisser sa langue entre mes lèvres et sur mon clito mais utilisait sa bouche pour aspirer, caresser, mordiller. Il avait indéniablement une sacrée expérience. Il ne lui fallut que deux ou trois minutes pour me donner un orgasme.



Quand je repris mes esprits, l'autre type avait demandé à Chloé de se retourner pour pouvoir lui sucer la moule par devant. Chloé s'était retournée et l'avait laissé lui retirer sa jupe. Il lui léchait la moule en écartant les lèvres avec les doigts pour pouvoir faire glisser sa langue le plus loin possible dans la fente et atteindre plus facilement le clitoris.



Je vis Chloé vibrer. L'orgasme la gagnait. Le gars se releva avant qu'elle eut terminé de jouir et il l'aida à s'asseoir par terre.

CHLOE

Lisa et moi, assises dans l'herbe, récupérions doucement, et je lançai à Caroline, qui s'était assise sur le dossier d'un banc pour suivre nos ébats en s'exhibant :
- Ils ont réussi à nous faire jouir...
- Oui ils sont chauds ces deux là !
Caro s'exhibait, manifestement sans se rendre compte de la ce qui allait suivre.



- Il ne reste plus que toi pour la troisième épreuve, lui dis-je.
La jolie blonde réalisait enfin ce qui l'attendait, et elle blêmit. Les deux mâles l'entourèrent. Nous les avions chauffés au maximum, et Caroline devait s'attendre à un double assaut très chaud. Voyant qu'elle était apeurée, ils commencèrent par la caresser, d'abord à travers son débardeur et en glissant leurs mains sous sa jupe. Mais très vite, Caro commença à éprouver du plaisir, de l'excitation, et ses mains se posèrent sur les queues de ses deux partenaires. C'est elle qui prit l'initiative d'extraire les deux pénis dressés de leurs pantalons.



Encouragés, les types retroussèrent sa jupe et la débarrassèrent de son débardeur. Bientôt, elle se retrouva nue, dans ce parc public, oubliant toute pudeur. Un des gars la fit mettre à genoux pour qu'elle le suce. Cette fois, Caroline était submergée par son désir et son excitation. Elle prit dans sa bouche la bite qui s'offrait à elle, pour la pomper sans retenue.



Elle levait même les yeux de temps en temps, pour vérifier l'effet de ses caresses buccales sur son partenaire. L'autre homme ne pouvait pas rester seulement spectateur. Il enleva tous ses vêtements, et il attrapa Caroline par le poignet, pour qu'elle vienne se mettre sur lui, en soixante-neuf. Caroline ne rechigna pas à continuer sa fellation avec une autre queue.



Fascinée par cette scène, je finis par me ressaisir, et j'empoignai ma caméra pour filmer la suite.

LISA

C'était incroyable de voir ce couple nu en soixante-neuf au milieu d'une aire de jeux. On n'entendait des bruits de sucions, parfois des gémissements. Le premier gars observait en se masturbant. Je mourrais d'envie de le rejoindre pour lui proposer de me baiser et je pense que Chloé avait le même désir que moi, mais nous devions respecter les règles. Le type s'avança derrière Caroline et plia les genoux pour lui enfiler sa queue dans la moule et la prendre en levrette.



Caroline s'arrêta de sucer l'autre gars quelques instants quand elle sentit qu'elle se faisait pénétrer. Puis elle reprit sa fellation, mais plus timidement, trop occupée à gémir de plaisir. J'aurais bien voulu être à sa place : me faire baiser pendant qu'un autre homme me suce le clito, quel pied ! Je mouillais rien qu'à regarder cela et Caroline ne résista pas longtemps. Son corps fut pris de convulsions, elle poussa de petits cris et l'orgasme la submergea. Après cela, elle retomba tandis que les deux hommes semblaient ne pas en avoir fini avec elle. Ils se relevèrent et firent se mettre debout. L'un d'eux la saisit sous les fesses pour la soulever et l'empaler sur sa tige, tandis que l'autre se positionnait derrière pour la sodomiser. Prise en sandwich, Caroline criait encore de plaisir.



Heureusement, il n'y avait encore personne à proximité et nous étions seuls sur l'aire de jeux. Les gars finirent par être proche de jouir. Ils la déposèrent et elle se mit d'elle-même à genoux, sachant comment ils voulaient terminer. Elle branlait les deux bites et les suçait alternativement en nous regardant de temps en temps pour voir si nous apprécions le spectacle. Chloé, bien sûr, n'arrêtait pas de filmer.



A peine une minute après, le premier mec se mit à jouir tandis qu'elle le suçait. Il lui envoya tout son foutre dans la bouche en râlant. Caroline sembla surprise mais, comme il lui maintenait la tête sur sa queue, elle n'eut pas d'autre choix que d'avaler la semence. L'autre ne tint pas davantage et éjacula à son tour, laissant son sperme gicler contre la joue de la jeune blonde dont la bouche était déjà occupée. Quand Caroline se redressa, elle semblait dans un état second.



Les deux gars la félicitèrent et nous remercièrent de les avoir fait participer à notre petit jeu. Ils se rhabillèrent rapidement et j'entrepris de nettoyer le visage de Caroline avec des lingettes tandis que Chloé vérifiait la qualité de son enregistrement vidéo. Caroline finissait tout juste de se rhabiller quand s'approcha de l'aire de jeux une jeune nourrice accompagnée de trois jeunes enfants. Nous nous éclipsèrent discrètement. Caroline souffla :
- C'était moins une !
Je rigolai :
- S'exhiber devant des adultes est une chose, mais c'est toujours extrêmement gênant quand il y a des enfants. Là on a effectivement eu de la chance...
- En tout cas, les filles, on a une super vidéo. Je t'en déposerai une copie sur DVD pour que tu la montres à David.
Caroline semblait ravie à l'idée de rendre jaloux son homme et Chloé et moi ne pouvions pas non plus cacher notre satisfaction.

^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 4


LISA

Quelques jours plus tard, Caroline nous avoua qu'après avoir montré la vidéo de nos exhibitions à David, celui-ci lui avait fait l'amour comme jamais et que cela l'avait plus excité que rendu jaloux ! Il avait même encouragé Caroline à continuer à sortir avec nous en espérant pouvoir profiter d'autres vidéos similaires.

Tenant à notre vengeance, Chloé et moi décidâmes de nous retrouver pour échafauder un nouveau plan. Chloé proposa de m'accueillir chez elle pour en discuter. Quand elle m'ouvrit, je vis qu'elle avait déjà une idée derrière la tête.



- Ne penses-tu pas que si David assistait à une soirée durant laquelle Caroline se livrait à plusieurs mecs, cela le rendrait fou de jalousie ?
- Si certainement, c'est une bonne idée. Mais il risque de sentir le piège si on les invite tous les deux à une soirée...
- A moins qu'on ne leur dise pas qu'il y aura plusieurs mecs.
- Oui ! Pour que Caroline et David acceptent, on les invite à une soirée chez Bouba et sans préciser qu'il y aurait ensuite d'autres mecs à venir.



Chloé était ravie :
- On tient notre vengeance ! Je vais m'occuper de contacter Bouba pour lui proposer cette soirée. A quelle heure ?
- Propose-lui à partir de 22h et on dira à chacun des autres gars d'arriver à une demi-heure d'intervalle.
- D'accord, je m'occupe de trouver un mec qui arrivera à 23h et toi tu en dégotes deux autres. L'un arrivera à 22h30 et le dernier 23h30. Ça t'irait ?



- Bien sûr ! Et tu sais qui je veux inviter ?
- Non, mais ne dis rien. Je te propose qu'on garde secret nos autres invitations, comme ça on aura aussi chacune une surprise.
- C'est une idée effectivement très excitante, Chloé !




22:00

David et Caroline arrivèrent chez Bouba juste après nous. L'invitation n'avait été qu'une formalité. Caroline devait avoir très envie de se taper un black et cela devait certainement exciter David de voir sa copine entre les mains du capitaine de son équipe de Basket. C'est Chloé qui les accueillit. L'heure tardive ne laissait aucun doute sur la nature de la soirée et Caroline s'était, comme nous, habillée très sexy. Chloé ne tourna pas autour du pot et expliqua le programme officiel :
- Merci d'être venus. L'idée est que nous voulions Lisa et moi que Bouba nous baise toutes les trois, avec Caroline, pendant que David restera attaché nu à une chaise à observer.
Caroline fut un peu surprise que David doive être attaché mais sembla très excitée par la proposition :
- Si vous pensez que c'est mieux que David ne participe pas, ok. Mais j'avoue que je m'attendais un peu à un truc de ce genre de votre part, les filles, et je m'étais en fait habillée en conséquence...



David se montra quant à lui beaucoup plus frileux :
- Pourquoi devrais-je accepté d'être attaché ? Je peux très bien me contrôler et rester simple observateur sans participer.
Pour le convaincre du contraire, je tirai sur mon décolleté pour dégager ma poitrine :
- David, tu crois vraiment que dans le feu de l'action, quelques arguments ne te feront pas oublier ces belles promesses ? Nous te connaissons et on sait que la tentation sera trop forte, surtout avec la présence de Caroline.



CHLOE

Ce début de soirée m'excitait déjà, et la vue des seins de Lisa réveilla instantanément mon désir d'exhib et de sexe. J'avais choisi de porter une petite robe courte et décolletée, bien évidemment sans rien dessous.
J'étais installée dans un canapé profond, et j'écartai les cuisses, en fixant Bouba et David. Très lentement, je retroussai ma robe, jusqu'à la taille, découvrant ma fente déjà humide. J'étais incorrigible, le seul fait de sentir les regards se poser sur ma chatte provoquait des fourmillements dans le bas de mon ventre.



- Et toi, Caro ? Tu as pris goût à te promener sans culotte ? lançai-je à la jolie blonde.
Pour toute réponse, elle éclata de rire, et releva aussi sa jupe, en toisant David. Son minou épilé, et ses expressions de petite fille sage, étaient terriblement tentants.



Pour Bouba, c'était sa première rencontre avec Caroline, et la manière dont il la matait en disait long sur ce qu'il avait envie de lui faire subir. Compte tenu de notre expérience, à Lisa et moi, avec ce black, je pensai qu'elle n'allait pas être déçue.



- Sois sympa, David, lui dit Caroline en minaudant. Je trouve l'idée de Lisa et Chloé vachement excitante, on pourrait passer un bon moment. Et après, je ferai tout ce que tu voudras, tu ne le regretteras pas.
- David, tu serais un mufle si tu refusais ça à ta fiancée, alors qu'elle te le demande si gentiment, argumenta Lisa.
J'insistai aussi, et David finit par capituler, de mauvaise grâce. Caroline était radieuse, et elle l'embrassa longuement à pleine bouche pour le remercier. Prise dans son élan, elle s'accroupit devant son homme, et commença à déboucler sa ceinture et ouvrir sa braguette.



Elle n'en resta pas là, et branla David, en lui murmurant des mots tendres, tout en finissant de le déshabiller. Lorsqu'il se releva, il affichait une superbe érection.
- Attention, David, ce n'est pas la règle pour le déroulement de cette soirée, lui rappelai-je. Tu dois rester passif, quoi que Caroline fasse.
- C'est exact, renchérit Lisa. Et toi, Caroline, tu peux t'occuper seulement de Bouba, qui ne demande que ça.
Caroline nous obéit sans discuter, et je suis certaine qu'elle avait déjà envie de se faire baiser par Bouba. Tout en parlant, nous avons rejoint un David réticent et, pour le faire changer d'avis, Lisa et moi avons commencé à le branler.



David était incapable de résister aux caresses de deux filles - surtout que Lisa et moi, sans prétention, savions nous y prendre.
- Rappelle-toi, David, interdiction de nous toucher ! lui dit Lisa, qui devinait ses intentions.
Il n'en essayait pas moins de se frotter contre nous et, profitant que j'étais occupée à le masturber, il réussit à faire glisser les bretelles de ma robe et à découvrir mes petits seins tout tendus.



LISA

David profitait que Chloé le masturbait pour commencer à la déshabiller. Il allait lui empoigner les seins mais Chloé le repoussa juste avant qu'il ne la pelote :
- Interdiction de toucher, monsieur !
Elle le força alors à s'assoir. David se laissa faire. J'en profitai donc pour le rejoindre et je lui attachai les mains aux accoudoirs de la chaise. Il bandait comme un taureau et c'était aussi une torture pour nous de ne pas profiter de cette magnifique érection.



Une fois David attaché, je précisai les consignes pour David :
- Il faut aussi que tu saches qu'on a décidé avec Chloé de ne faire jouir aucun mec ce soir. Les mecs pourront profiter de nous mais ils n'auront le droit de jouir qu'avec Caroline.
David fronça les sourcils et semblait ne pas comprendre :
- Moi et Bouba ?
- Toi tu es attaché. Tu ne peux plus bouger. La règle s'applique donc à Bouba et aux autres gars.
- D'autres gars ? J'aurais dû m'en douter !
- Ne t'inquiète pas ça va être très excitant et Caroline va passer une excellente soirée.
Caroline était déjà bien occupée à embrasser Bouba qui la pelotait allègrement à travers sa petite robe. J'exhibai à nouveau mes seins à David, par pur sadisme puisqu'il ne pouvait pas venir me peloter.



Chloé donna quelques précisions :
- En revanche, Caroline n'a pas le droit de te faire jouir David, privilège que nous nous réservons Lisa et moi.
Chloé s'amusa à lui montrer son cul pour l'exciter aussi.



David tenta de résumer la situation :
- Donc Caroline va se taper Bouba et d'autres gars, et Chloé et toi allez vous occuper de moi ?
- Tu as tout compris mon grand. Mais comme tu es attaché, c'est nous qui allons mener l'action...
- Caroline n'a jamais subi de gang-bang...
- Pourtant ça t'exciterait, non ? Rassure-toi, les gars arriveront à une demi-heure d'intervalle chacun et ils ne seront pas plus de quatre. Je suis certaine que Caroline saura assurer.
Je retirai mon top pour indiquer que la soirée pouvait commencer.



David se montra un peu mal à l'aise, même s'il bandait toujours en regardant alternativement mes nichons, le cul de Chloé et sa copine en train de se mettre nue devant son camarade de basket. Caroline vit le regard un peu perdu de David :
- David, ça ne te gêne pas qu'on fasse comme elles disent ?



Je vis dans les yeux de David une lueur d'espoir.

CHLOE

- Tu es sûre que tu as vraiment envie de te livrer à ce jeu, ma chérie ? demanda David à Caroline, sans parvenir à cacher sa contrariété.
- Mais oui, mon amour, répondit-elle avec une expression gourmande. En y réfléchissant, c'est vachement excitant. Je t'en prie, dis-moi que tu es d'accord.
David finit par accepter, en bougonnant, et Lisa, toute joyeuse, m'embrassa. Ma langue se glissa entre ses lèvres et, sans nous désunir, je me laissai tomber sur le lit.
- Viens sur moi, j'ai envie de brouter ton minou, lui murmurai-je entre deux baisers.
Elle ne demandait que ça, et mes mains empoignèrent ses hanches pour amener sa chatte au niveau de mon visage. Ma bouche partit à l'assaut de sa fente, et je sentis Lisa se cambrer quand ma langue se glissa entre ses petites lèvres.



Pendant que Lisa gémissait de plaisir, je cherchais à voir ce que faisait Caroline. Elle n'embrassait plus Bouba mais commençait à le déshabiller. Très vite, sa chemise et son pantalon atterrirent sur le sol, et pour rien au monde je n'aurais voulu manquer le moment où elle libérerait le sexe du black.
Je voyais déjà sa mine interrogative quand elle avait découvert la bosse qui déformait son caleçon, et elle poussa un grand cri lorsque l'énorme bite jaillit, libérée par l'élastique qu'elle baissait.



Pendant un moment, Bouba pensa que les règles avaient changé depuis notre proposition initiale, et il demanda s'il ne devait s'occuper que de Caroline, ou s'il pouvait profiter de chacune des trois filles. Compte tenu du tempérament et de l'endurance du black, il n'était pas homme à se satisfaire d'une seule partenaire !



Je me dégageai de sous l'entrejambe de Lisa, et je le rassurai en lui disant qu'il était obligé de faire jouir Caroline, autant de fois qu'elle le pourrait, mais que ça ne l'empêchait pas de s'occuper de Lisa et moi. Aussitôt, il vint embrasser Lisa et je profitai de ma position pour le sucer.



Caroline prenait maintenant son rôle très à cœur : elle vint nous rejoindre, et me bouscula.
- Chloé, tu triches aussi ! Vous aviez bien dit que c'était moi que Bouba devait faire jouir avant tout !
Elle me poussa sans ménagement, s'agenouilla, et m'enleva la verge de la bouche pour coiffer le gland turgescent de ses lèvres pulpeuses.



LISA

Caroline avait l'air si excitée de pouvoir se taper un tel pieu, que Chloé lui laissa sa place sa place sans rien dire. Je m'écartai également du lit afin que Bouba s'y installe, et que Caroline puisse continuer à le sucer, plus à son aise. C'était fascinant de voir ses lèvres monter et descendre sur l'imposante tige.



Après quelques minutes de fellation, Bouba considéra qu'il était temps de passer aux choses sérieuses. Il se redressa en demandant à Caroline de garder sa position, à quatre pattes sur le bord du lit. Il descendit du lit et vint derrière elle pour la prendre en levrette. Caroline poussa un profond gémissement de plaisir quand elle sentit la colonne de chair s'enfoncer dans sa fente, et bien vite elle ne cessa plus de gémir tandis qu'il allait et venait en elle.



Caroline aurait joui en quelques dizaines de seconde si Bouba, fin connaisseur, ne marquait pas régulièrement des pauses pour que la jeune fille reprenne son souffle. Il se retira et la fit s'allonger sur le dos, cuisses écartées. Caroline tourna la tête vers nous et nous pûmes lire sur ses lèvres qu'elle nous disait « merci ». Bouba vint se placer entre ses cuisses écartées, le sexe tenu, prêt à la pénétrer à nouveau.



L'énorme pieu se glissa à nouveau dans la chatte de la jolie blonde. Aussitôt, elle se remit à gémir. Bouba admirait les seins qui s'agitaient à chacun de ses coups de reins. Pour faire durer le plaisir, il s'arrêtait parfois, planté tout au fond d'elle, et se retirait très lentement, ne laissant au final quand son gland entre les lèvres rougies de Caroline. Puis il reprenait ses assauts. A ce rythme, Caroline ne tarda pas à avoir un orgasme retentissant.



CHLOE

Attaché, David avait suivi toute la scène, les yeux exorbités. Je dois dire que j'avais été moi aussi fascinée de voir la gentille Caroline se faire pilonner par l'énorme dard, et jouir sans retenue devant son fiancé. Bouba, qui n'avait pas éjaculé, la laissa reprendre son souffle, et c'est à ce moment que la sonnette retentit.
- Va ouvrir, Chloé, me proposa Lisa, avec un air de conspiratrice. Mais tu devrais rester nue.



22:30

L'expression de Lisa me laissait dubitative, et je décidai de remettre ma robe pour aller ouvrir la porte. Effectivement, une surprise m'attendait...
- Nicolas ? Qu'est ce que tu fais là ? demandai-je à mon amant, que je ne m'attendais pas à rencontrer dans cette soirée.
- Et toi ? répondit-il. Lisa m'a demandé de venir. Tu sais pourquoi ?
- Pour ça ! répondis-je après m'être ressaisie, en sortant sa bite de son pantalon.



Lisa apparut alors dans l'entrée, intégralement nue, toute heureuse du tour qu'elle m'avait joué.
- Bonsoir Nico. Merci d'être venu, et d'être aussi ponctuel ! lui dit-elle, avant de lui expliquer la règle du jeu.
Je savais que Nicolas n'était pas insensible au charme de Lisa, et je ne fus pas très étonnée de le voir caresser ses seins pendant qu'elle lui parlait.



Manifestement, ça ne déplaisait pas non plus à Lisa, qui me fit un clin d'œil complice. Lorsqu'elle eut terminé son explication, Nicolas rejoignit Caroline, qu'il dévorait des yeux depuis quelques minutes. Bouba avait repris la jolie blonde en levrette, et elle gémissait de nouveau de plaisir. Nicolas s'agenouilla à côté du lit, et l'embrassa voluptueusement.



Quand elle reprit son souffle, il lui demanda :
- Tu as envie de sucer un mec, pendant qu'un autre te baise ?
- Oh oui ! répondit-elle, donne moi ta queue.
Nicolas se releva, ouvrit son pantalon, et exhiba sous son nez son long pénis que je connaissais si bien. Elle l'engloutit aussitôt, et Nico posa ses mains sous ses bras pour la faire aller et venir, profitant de la situation pour malaxer ses nichons.



Malgré le pieu qui la bâillonnait, Caroline poussait des gémissements qui en disaient long sur son plaisir.


LISA

J'étais plutôt contente de moi : la tête de Chloé quand elle avait ouvert la porte ! Nicolas n'avait pas perdu de temps et avait aussitôt rejoint Caroline pour se faire sucer. Puisqu'on n'était pas non plus simple spectatrice, j'avais bien envie de profiter moi aussi de Nicolas :
- Nicolas, tu ne viendrais pas d'abord t'occuper de moi, puisque c'est grâce à moi que tu es ici ?



Nicolas tourna la tête vers moi et, vit que j'étais en train de me caresser la fente. Il abandonna Caroline, mais prit le temps de l'embrasser à nouveau en lui disant :
- Je reviens, ma belle...
Cela me laissa le temps de me mettre à quatre pattes pour qu'il me prenne en levrette. Quand il me rejoignit, il savait ce que je voulais et il vint s'agenouiller derrière moi pour me planter sa queue dans la moule.



Comme il commençait à me baiser, il me demanda :
- Et c'est qui le gars attaché ?
- David, Chloé a dû t'en parler...
- Un peu oui. C'est son truc d'être ligoté ?
- Non, mais c'est le copain de Caroline et le challenge est qu'il doit la regarder se faire prendre par d'autres mecs sans pouvoir participer.
David semblait toujours contrarié, mais il bandait encore, signe que tout cela l'excitait quand même. Pendant ce temps Bouba continuait à aller et venir dans la chatte de Caroline, la faisant crier de plaisir.



Nicolas, bien plus endurant que moi de toute évidence, savait s'y prendre et j'étais si excitée que je ne pus empêcher l'orgasme d'arriver. Je gémis de plaisir en continuant à accompagner les coups de reins de mon amant, espérant déclencher son éjaculation. Je fus déçue de voir qu'il était très concentré et que je n'étais pas parvenue à le faire jouir. Quand j'eus repris mon souffle, Nicolas m'abandonna et retourna avec Bouba et Caroline. Comme Bouba la prenait en levrette, il chevaucha la jeune fille et se plaçant devant le balck, de manière à pouvoir atteindre la sublime croupe et la sodomiser.



J'étais surprise de l'audace de Nicolas. Caroline également, et elle ferma les yeux pour profiter de cette double pénétration. Après moins d'une minute, elle fut à nouveau terrassée par un orgasme. Quand, à l'issue, elle retrouva son souffle, elle demanda aux garçons un temps de répit pour se remettre de ses émotions. Elle continua cependant à les sucer et à les masturber, tout en regardant David droit dans les yeux.



CHLOE

Pendant toute cette scène, j'étais réduite au rôle de spectatrice, comme David. Je me retrouvais un peu dans la même situation que lui, matant mon partenaire qui baisait d'autres nanas - mais je dois avouer que ça m'excitait terriblement !
Après avoir joui, Lisa m'avait rejointe, et nous avons sucé délicatement David.



Caroline se remit à une vitesse incroyable des assauts qu'elle venait de subir.
- J'ai encore envie de jouir, dit-elle bien fort. J'ai envie de toi, Nicolas... S'il te plait, allonge-toi.
Nicolas obtempéra, et Caroline vint le chevaucher, s'empalant lentement, voluptueusement, en criant :
- Oui, oui ! C'est bon... Oh je la sens remplir ma chatte... Oh, ouiii ! Encore.
Elle montait et descendait sur la bite dressée. J'étais excitée, hors de moi, et je rejoignis le couple, m'allongeant à côté d'eux. Je voyais en gros plan mon copain baiser Caroline, et je lui caressais les couilles en l'encouragent.
- Vas-y, mon chéri, fais-la jouir, fais-la gueuler.
Je me mis à embrasser les fesses rondes de la jolie blonde, explorant la raie qui séparait les deux globes, avant de lécher son petit trou.



Caroline appréciait les sensations que lui procurait ma langue au creux de sa rosette, et je la prévins :
- Profites-en, détend-toi. Bientôt, ce ne sera plus ma langue qui s'enfoncera dans ton cul.
Bouba suivait la scène en se branlant, et il se rapprocha. Il me prit par l'épaule pour m'écarter, doucement mais fermement, et il monta sur le lit. Il vint se placer à la verticale de la chute de reins cambrée de Caroline, plia les genoux, et je vis son gland impressionnant s'enfoncer entre les fesses de la blonde. J'avais si bien lubrifié sa rondelle, et Caroline était dans un tel état d'excitation, qu'il parvint à la pénétrer sans trop de difficultés.



Elle hurlait de plaisir, se cambrait pour s'offrir aux deux bites qui la transperçaient. Bouba se déchaîna, perforant son petit cul à grands coups de reins qui secouaient le corps frêle de sa partenaire, en la faisant coulisser sur le mât de Nicolas. Incrédule, je vis Bouba se retirer de l'anus de Caroline, pour glisser sa verge dans sa chatte, déjà investie par Nicolas ! Je croyais qu'elle allait protester, mais elle manifesta au contraire son plaisir par une série de vocalises, montant dans les aigus.



Ayant perdu toute retenue, le black se mit à alterner ses pénétrations, entre le cul et le minou qui s'offraient dans l'abandon le plus total. Ses deux partenaires se contrôlaient et ne faiblissaient pas. Caroline paraissait, elle aussi, infatigable, et un orgasme d'une violence inouïe la submergea.
Bouba se retira, elle se releva à son tour, écarlate, ruisselante de sueur, la bouche aussi humide que sa chatte. Elle resta ainsi un long moment, cherchant à reprendre son souffle. Et à notre grande surprise, nous la vîmes bientôt, les yeux brillants, s'agenouiller devant Bouba pour le sucer.



Nicolas bandait toujours comme un taureau. La position de Caroline était trop tentante. Il s'approcha d'elle par derrière, planta sa verge dans la fente offerte, et la prit en levrette.



Soudain, je vis le visage de Nicolas se crisper, tout son corps se tendit, et il gicla au fond du ventre de la jolie blonde, qui le rejoignit dans un nouvel orgasme, avec un cri strident. Le foutre jaillissait encore quand il se retira, maculant ses fesses.



Bouba, à son tour, poussa un long grognement. Il branla furieusement sa tige sous les yeux de Caroline, et finit par lui exploser au visage. Caroline continuait à caresser la bite du black, comme pour en extraire les dernières gouttes de sa semence, tout en regardant David, radieuse. Elle n'essayait même pas d'essuyer les flots de sperme qui coulaient partout sur son visage, ses épaules et ses seins




LISA

Bouba, s'écroula à côté du lit, épuisé. Allongé sur le tapis, je le vis fermer les yeux et, en quelques secondes, s'endormir. Nicolas aussi semblait épuisé et il alla s'asseoir dans un fauteuil pour se calmer et reprendre un peu son souffle.


23:00

On sonna à nouveau à la porte. Chloé me fit un grand sourire et dit :
- Je crois que c'est ton tour d'aller ouvrir...
- On peut demander à Caroline, aussi ?
- Non, je vais lui faire un peu de toilette pendant que tu accueilles notre nouvel invité.
Je pris conscience que cela lui semblait important pour Chloé que ce soit moi qui aille ouvrir. Avant que je n'ouvre la porte, je vis Chloé aller s'agenouiller entre les cuisses de Caroline pour lui lécher l'entrejambe.



J'ouvris la porte, assez excitée de découvrir la surprise que Chloé voulait me faire.
- Simon ! J'aurais dû m'en douter !
J'ignorais comment Chloé avait eu son numéro mais je la savais pleine de ressources. Simon sourit. Comme j'étais intégralement nue, il savait parfaitement quel était le thème de la soirée, mais je pris malgré tout le temps de lui expliquer les règles de notre petit jeu.



Il regardait alternativement Caroline et Chloé tandis que je lui expliquais ce qu'on attendait de lui. Quand j'eus fini, il alla rejoindre les deux filles, toujours enlacées. Aussitôt, il se pencha entre les jambes de Chloé pour lui bouffer la moule. Celle-ci écarta aussitôt les cuisses pour lui faciliter la tâche. Simon savait se servir de sa langue et je fus assez fière de voir qu'il arracha rapidement quelques gémissements de plaisir à Chloé.



D'une main, Chloé lui maintenait la tête contre sa moule. Simon serait certainement parvenu à donner un orgasme à Chloé si celle-ci l'avait laissé continuer un peu. Mais elle voulait autre chose et se redressa pour échapper à sa langue habile. Simon se releva et empoigna aussitôt les deux seins de ma copine pour les malaxer et les embrasser.



Chloé semblait ravie de cette attention, sans doute croyait-elle que Simon avait une préférence pour les poitrines plus généreuses. Comme il se redressait pour embrasser Chloé, celle-ci lui échappa et s'agenouilla, emportant dans sa descente le pantalon qu'elle avait pris le temps de déboutonner pendant qu'il la pelotait. Le sexe de Simon apparut, raide et palpitant. Chloé s'émerveilla de cette tige tendue pour elle. Elle acheva de s'agenouiller et commença à donner de petits coups de langue sur la base du gland.



Simon frémit et j'avais une folle envie, moi aussi de le sucer.

CHLOE

J'étais en train de savourer le goût du gland de Simon, quand Lisa me rejoignit, et s'agenouilla.
- Tu veux bien que je suce la bite de mon homme avec toi ? me demanda-t-elle.
- Bien sûr, ma chérie, répondis-je. Tu sais bien qu'on partage plein de choses. Mais je veux qu'il me baise la première !



Simon était monté comme un étalon, et les caresses de nos langues et de nos lèvres le faisaient bander comme une bête. Depuis le début de la soirée, mon minou en feu attendait d'être pénétré par un sexe mâle, et l'envie était maintenant trop forte. Oubliant ma complicité avec Lisa, je la repoussai, et je fis allonger Simon sur le lit. Nos lèvres se rejoignirent. Son pieu dressé à la verticale était une invitation, et je le branlais avec sensualité et tendresse.



- Tu as envie de moi ? lui demandai-je d'une voix suave.
- Bien sûr, répondit-il. Viens me chevaucher, en me montrant ton joli cul.
En poussant des soupirs et de petits gémissements, je m'empalai sur sa verge. Sentir le mec de ma meilleure copine s'enfoncer en moi était hyper excitant, et le regard de Lisa rivé sur nous décuplait mes sensations.



- Ooooh... Oh Lisa, qu'est ce qu'elle est grosse la queue de ton mari ! Oh je la sens bien...
Je m'étais redressée, en appui sur mes bras tendus, pour monter et descendre sur la tige bien raide. Simon accompagnait mes mouvements, une main sur mes fesses, et je me mis à pousser de petits cris.



Je me tournai vers Nicolas, autant pour l'exciter, que pour deviner sa réaction en me voyant baisée par un autre homme.
Ses yeux hagards étaient rivés sur moi, et m'admirer dans cette position le faisait bander à nouveau.



- Tu aimes me voir comme ça ? lui demandai-je avec un sourire complice, entre deux gémissements.
- J'adore, tu es vraiment ma petite salope préférée, répondit-il. Continue, lâche-toi, je veux t'entendre gueuler.
Caroline, qui n'avait rien perdu de la scène et de notre dialogue, se leva d'un bond. Elle se jeta littéralement sur Nico pour le sucer.



Les encouragements de Nicolas, la vision de sa bite fourrée dans la bouche de Caroline, me firent l'effet d'un coup de fouet. Je chevauchais maintenant Simon comme une damnée, et je me renversais en arrière pour mieux goûter le frottement de son gland contre mon point G.
Un orgasme violent me prit par surprise, sans que je puisse me contrôler. Mes cris montèrent dans les aigus, et je finis par m'affaler sur Simon, à bout de souffle.



C'est avec un sentiment de regret que je sentis ses mains empoigner mes hanches et me soulever, pour qu'il se retire de ma fente dégoulinante de sève.

LISA

Vu l'orgasme qu'elle avait eu, Chloé semblait avoir eu son compte. Pourtant, je vis des regrets dans ses yeux quand Simon se dégagea d'elle. Je pense qu'elle était déçue de ne pas l'avoir fait jouir. Toutefois, Simon ne faisait rien de plus que respecter les règles que nous avions établies : seule Caroline avait le droit de le faire jouir. Il rejoignit donc la blonde occupée à sucer Nicolas, en position de quatre pattes idéales pour que mon homme vienne la prendre en levrette. En guise d'accueil, Caroline tourna la tête pour sourire à Simon. Celui-ci commença à aller et venir en elle, tranquillement, la faisant gémir de plaisir et l'obligeant à se contenter momentanément de masturber Nicolas.



David n'avait d'yeux que pour elle et, s'il bandait, il était difficile de déterminer à son visage impassible s'il appréciait ou non que sa propre copine se fasse baiser par deux mecs sous ses yeux. Je le rejoignis. Il me sourit :
- Ah ! Lisa, tu viens enfin t'occuper de moi.
- Est-ce que tu aimes que d'autres hommes donnent du plaisir à Caroline ?
- Je suis partagé. Cela m'excite terriblement mais j'aimerais tant être à la place de l'un d'entre eux...
Je m'agenouillai entre ses cuisses et saisit sa queue pour le masturber d'une main tandis que ma seconde main lui caressait les couilles.



En tournant la tête, je pus voir que Simon avait décidé de changer de position. Il avait basculé Caroline sur le côté et avait investi son anus. Caroline semblait peiner pour poursuivre sa fellation à Nicolas mais celui-ci ne semblait pas lui en vouloir. D'où il était, il était en admiration pour la moule béante de Caroline dont les lèvres s'écartaient, comme si elles étaient douées de vie propre, à chaque fois que Simon s'enfonçait dans le cul de la jeune fille.



Après avoir caressé la moule luisante de cyprine de Caroline, Nicolas eut envie lui aussi de changer. Il se redressa, forçant la jeune fille à abandonner sa fellation, et vint guider son dard dans la fente qui semblait n'attendre que cela. Prise en sandwich, Caroline se mir à gémir de plus belle, se caressant les seins tandis que les deux hommes allaient et venaient en elle de manière désynchronisée.



David, que je continuais à masturber pour maintenir son érection, avait les yeux exorbités de voir sa copine prise ainsi. Caroline hurlait et on sentait qu'elle était à deux doigts de l'orgasme. Les deux gars le sentirent également et se déchaînèrent. Les râles des deux hommes se mélangèrent aux cris d'orgasme de Caroline. Je pouvais voir les couilles de ses deux amants se contracter presque en même temps, signe qu'ils étaient en train de décharger généreusement en elle.



David se mit lui aussi à râler. J'eus tout juste le temps de tourner la tête pour me rendre compte qu'il était lui aussi en train de jouir. Son sperme s'écoulait, chaud et épais, sur mes doigts et mon poignet. Moi qui pensais que tout ceci dégoûterait David, j'avais la preuve gluante que cela l'avait surtout excité. Je m'arrêtai de le masturber pour juste le laisser éjaculer tranquillement.



J'étais dans un état second après tout ceci quand la sonnette se fit entendre de nouveau. Chloé regardait mes mains pleines de sperme avec amusement.


CHLOE

23:30

Un nouveau coup de sonnette retentit.
- Laissez, je vais aller ouvrir, nous annonça Lisa.
Entièrement nue, la main encore couverte du foutre de David, elle fit entrer le quatrième homme de cette soirée. C'était Jeff, un mec que je n'avais jamais rencontré, mais Lisa m'avait souvent vanté ses qualités de baiseur. Et dans ce domaine, Lisa est la fille la plus compétente que je connaisse pour en juger !...
Manifestement, il savait bien à quel genre de soirée Lisa l'invitait habituellement, et il l'embrassa en ouvrant sa braguette dans l'entrée, exhibant déjà un sexe d'une taille impressionnante.



- Il y a là des filles qui ont le feu au cul, et je crois que tu vas passer un bon moment, lui annonça Lisa. Je vais te mettre en condition avant de faire les présentations.
A ma grande surprise, elle se mit immédiatement à genoux pour le sucer.



Jeff l'avait saisie par les cheveux, pour donner le rythme à sa fellation. Lisa, à la limite de l'étouffement, avait toutes les peines du monde à prendre dans sa bouche l'énorme bite qui n'en finissait pas de grossir et de se tendre.
Au bout de quelques minutes, Jeff bandait parfaitement, et elle put se relever. Alors seulement, elle me le présenta.
- Voici Chloé. Je t'en ai déjà parlé, c'est la spécialiste de l'exhib, et une fine partouzeuse...
- Bonsoir, Jeff, heureuse de te connaître, dis-je. Pour ne rien te cacher, Lisa m'a aussi beaucoup vanté tes qualités. Assois-toi si tu veux bien, pour discuter un peu.
En fait de discussion, j'embrassai Jeff sur la bouche, et ma main partit à la rencontre de son superbe sexe.



C'était un délice de sentir entre mes doigts cette longue et dure colonne de chair. Que de jouissance en perspective !
Mais pendant ce temps, Simon avait retrouvé un peu de vigueur, et s'intéressait à nouveau à la croupe de Caroline. La jolie blonde ne paraissait pas plus rassasiée que nous, et semblait trouver beaucoup de plaisir à s'exhiber devant son fiancé, prise par tous ses orifices par tous les hommes présents.



LISA

Simon ne tarda pas à la prendre à nouveau en levrette tandis qu'elle admirait la queue de Jeff qui devenait de plus en plus impressionnante entre les doigts habiles de Chloé. Comme elle nous faisait face, nous voyions ses seins balloter aux grés des assauts de Simon.



Après un certain temps, Caroline fit signe à Jeff de s'approcher. Au grand regret de Chloé, celui-ci se releva l'obligeant à abandonner la tige monumentale. Il s'approcha alors du couple en train de baiser avec le sexe tendu.
- Moi c'est Jeff, et si j'ai bien compris ce que m'a dit Lisa, toi tu es Caroline et tu es la reine de cette petite fête ?



Simon précisa :
- On peut faire jouir Chloé et Lisa, mais seule la blondinette a le droit de nous faire jouir !
Caroline était fascinée par la gigantesque tige et ne répondit pas à Jeff. Il s'agenouilla devant elle et s'approcha pour qu'elle puisse glisser dans sa bouche l'énorme érection et la sucer.



Caroline semblait avoir bien du mal à refermer ses lèvres autour de cette tige trop grosse. Elle dut donc la sortir pour se contenter d'en lécher le gland. Simon continuait à la baiser de plus en plus vite. Il ne tint pas longtemps et se mit à râler. Juste avant d'éjaculer, il sortit sa verge palpitante et laissa sa semence se répandre en de nombreux jets sur les fesses de la jeune fille.



Simon était insatiable et, dès qu'il eut jouit, il replongea son sexe dans la moule béante de Caroline. Celle-ci se déchaina sur la queue de Jeff, menant celui-ci à la jouissance plus vite qu'il ne l'avait prévu. Il se mit alors à éjaculer et cela me sembla durer une éternité. Il envoyait dans la bouche de la jolie blonde une incroyable quantité de sperme qu'elle ne parvint pas à garder totalement et dont une bonne partie dégoulina sur le drap de lit.



Je connaissais cette particularité des prouesses de Jeff mais cela me fascinait toujours de voir sa douche à sperme entrer en action. Simon se dégagea alors de Caroline et, me connaissant, me fit signe de venir rejoindre Caroline. Je ne pus effectivement pas résister à l'envie de la rejoindre pour lui lécher le visage et ainsi profiter moi-aussi de la semence de notre étalon.



Je fis un clin d'œil à Chloé qui observait la scène, fascinée.

CHLOE

Le spectacle de Caroline, maculée de sperme, m'excitait aussi. Je me joignis à Lisa, pour une toilette de chat... ou plutôt de chatte. Je m'agenouillai derrière elle, et ma langue commença à parcourir les fesses cambrées de la jolie blonde. J'explorais sa raie, tournais autour de son petit trou, encore dilaté, et je savourais le goût salé du foutre de Simon.



Caroline était manifestement comblée, et nous lui avions fait découvrir ses dons pour l'amour à plusieurs. Souriante, elle alla s'assoir dans le canapé entre Nicolas et Simon.
- Merci, mon chéri, de ne pas m'avoir refusé de participer à ce jeu, dit-elle à David, qui bandait toujours. Je comprends mieux pourquoi tu aimes sauter plein de filles, c'est tellement bon de jouir comme ça.
Elle se mit à branler Simon et Nicolas, très naturellement, et ses seins recommencèrent à pointer. Elle écartait généreusement les cuisses, offrant sa moule luisante de sperme et de cyprine. C'était une véritable invitation, et Jeff s'accroupit entre ses jambes pour lécher son clito bien apparent.



L'effet sur Caroline fut immédiat. Elle ferma à demi les yeux, et se cambra pour tendre son abricot gonflé à la bouche de Jeff. Elle ondulait des hanches en gémissant. Nicolas et Simon se dressèrent alors sur le canapé pour se faire sucer.



Avec une force incroyable, Jeff saisit Caroline par la taille et la souleva du canapé, pour venir s'assoir à sa place, sans la laisser reposer au sol. En la maintenant par les hanches, il l'amena sur lui, sa fente à la verticale de son pieu, sur lequel il la laissa retomber, empalée.
Caroline poussa un cri, mais reprit aussitôt les bites de Simon et Nicolas dans sa bouche.



Ses cris, bien qu'étouffés, parvenaient à remplir la pièce. Je voyais le visage de Nicolas crispé par les efforts qu'il faisait pour ne pas éjaculer tout de suite.
Bientôt, n'y tenant plus, il vint se placer derrière Caroline. Il écarta ses fesses, et y planta son gland d'un seul grand coup de reins. Il allait et venait en elle avec une sorte de frénésie, et soudain, Caroline fut emportée par un incroyable orgasme, se tordant entre les bras de ses partenaires.



LISA

J'étais quand même impressionnée de voir que les garçons profitaient pleinement des règles que nous leur avions imposées car, bien qu'ils aient déjà tous éjaculé, ils semblaient opérationnels pour continuer à donner du plaisir à notre copine. Nicolas, dont je ne connaissais alors pas les prouesses, me surprit également par son endurance.
Dès que Caroline reprit son souffle, Simon lui fourra à nouveau son sexe dans la bouche et les deux autres recommencèrent à aller et venir en elle.



Elle sembla vouloir se concentrer sur la queue de mon mari et je vis celui-ci fermer les yeux et profiter des caresses buccales de Caroline. Il se tendit soudain, signe que je connaissais bien, et Caroline resserra ses lèvres autour de la hampe palpitante. Je devinais qu'il se déversait dans sa bouche et qu'elle avalait la sève au fur et à mesure. Quand elle rouvrit la bouche pour reprendre son souffle, Simon lui tartina le tour des lèvres des dernières gouttes de sperme qui s'échappaient de son gland.



Je félicitai mon homme :
- Bravo, tu lui as fait honneur !
Nicolas et Jeff, émoustillés par ce compliment, se dégagèrent de Caroline pour la laisser s'allonger sur le dos. Nicolas se mit alors à se masturber en restant à genoux entre les cuisses de la jeune fille tandis que Jeff vint lui donner son imposante tige à sucer. Rapidement, Nicolas éjacula, maculant le ventre de Caroline de sa semence. Jeff l'imita bientôt mais de manière moins spectaculaire que la première fois se contenant de seulement quelques giclées sur la poitrine et dans le cou de la jeune fille.



Simon et Nicolas vinrent rejoindre Jeff autour du visage de Caroline pour qu'elle les suce une dernière fois. Mais celle-ci avait encore du sperme plein la bouche et se contenta de les masturber à tour de rôle, gardant sa bouche résolument fermée.



Notre soirée touchait manifestement à sa fin. Je jetai un coup d'œil à David pour voir où il en était. Il bandait toujours et avait les yeux exorbités en regardant sa copine couverte du sperme de trois hommes. Je le vis soudain frémir et fermer les yeux. Son sexe eut un soubresaut. Je compris qu'il éjaculait à nouveau !



Il n'avait pourtant pas subi la moindre caresse, c'était dire à quel point tout cela avait excité ce salaud. Je me précipitai pour le branler un peu mais son sperme s'écoulait déjà le long de sa tige et mon intervention était parfaitement inutile.



CHLOE

Caroline, haletante, se redressa. De longues larmes de sperme coulaient sur son visage, ravageant son maquillage, et elle découvrit avec surprise que David avait déchargé sans aucun contact physique avec les filles présentes.
- Ça te fait tant d'effet, mon chéri, de voir ta petite femme se faire défoncer la chatte et le cul par trois mecs ? J'en suis contente pour toi, parce que moi, j'ai pris mon pied comme jamais. Tu voudras bien que je recommence, dis ?



David restait muet, pris entre sa jalousie d'amant et la satisfaction perverse que lui avait apportée le spectacle de sa Caroline se tordant de plaisir.
Je la trouvais désirable, dans sa nudité sans complexe. Sans nous consulter, Lisa et moi la prîmes dans nos bras, et nous nous sommes laissées tomber toutes les trois sur le canapé. Nous avons léchée Caroline partout, comme des chattes se faisant une toilette mutuelle, cherchant à reconnaître le goût de la semence de nos hommes dans le foutre que nous recueillions sur nos langues.



Nous devions offrir toutes les trois un spectacle délicieusement érotiques, car Simon, Jeff et Nicolas nous regardaient, admiratifs, avec une érection renaissante. Simon demanda tout haut pourquoi David n'avait pas droit, lui aussi, à une toilette, et les deux autres renchérirent.



LISA

Chloé, coquine, proposa :
- Et pourquoi vous ne vous en chargeriez pas puisqu'on s'occupe déjà de Caroline, nous ?
Les gars rigolèrent mais ne bougèrent pas. Par contre David manifesta aussitôt son dégoût pour une telle éventualité :
- Non, je préfère autant rester comme ça que de me faire sucer par un mec !
Je ne m'attendais pas à une réaction aussi vive de sa part mais cette surprise fut balayée par Caroline et Chloé qui m'avaient abandonnée pour aller lécher la verge de David qui commençait à perdre de la vigueur.




00:00

Aux alentours de minuit, les garçons nous laissèrent et nous détachâmes David. En se relevant, celui-ci poussa un profond soupir et exprima son enthousiasme :
- Super idée les filles. Merci ! J'ai adoré... même si je dois avouer que je n'aurais a priori jamais accepté un truc pareil si je n'avais pas été attaché !
Caroline fit un grand sourire :
- Moi aussi, j'ai adoré mon chéri. Et je suis très fière que tu sois parvenu à contrôler ta jalousie.
Chloé et moi ne fîmes aucun commentaire. On s'était vraiment bien amusées, mais nous devions cacher derrière nos sourires notre déception d'avoir raté une fois de plus notre vengeance. Vouloir à tout prix inclure Caroline dans nos plans de vengeance n'était de toute évidence pas une bonne idée pour arriver à nos fins.

Ce n'est qu'après le départ de David et Caroline que, malgré les ronflements de Bouba toujours étendu sur le tapis, une nouvelle idée me vint. Il me semblait qu'il nous était peut-être possible d'exploiter le dégoût qu'avait manifesté David quand Chloé avait proposé aux garçons de le sucer. David semblait très gêné par les relations homosexuelles. Peut-être nous fallait-il exploiter cette faille.
^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 5, première partie


LISA

Nos tentatives de vengeances sur David s'étaient jusqu'à présent toutes soldées par des échecs, de notre point de vue. Pour David, le dévergondage progressif auquel nous avions soumis sa copine, Caroline, lui avait fait découvrir de nouveaux horizons sexuels. Cependant, il dût commencer à se demander pourquoi nous faisions tout cela, Chloé et moi. Comme il nous semblait qu'il commençait à se méfier sérieusement de nos propositions, il nous fallait d'abord le remettre en confiance, mais en l'absence de Caroline, pour achever notre vengeance. Nous décidâmes donc d'aller lui rendre visite pendant un de ses matchs de basket.
A notre arrivée, le match était déjà commencé mais David nous remarqua alors que nous nous approchions des gradins. Chloé lui sourit et souleva brièvement sa jupe pour lui montrer qu'elle était habillée très légèrement.



Il n'y avait pas grand monde parmi les spectateurs : quelques jeunes regardaient le match, certains en couple mais pour la plupart des garçons non accompagnés. L'un d'eux ne montra aucune discrétion pour admirer mon décolleté quand je passai devant lui dans les gradins.



Le match opposait l'équipe de Bouba dont David était le seul blanc à une autre équipe composée uniquement de blancs. Je demandai à Chloé :
- Bon, comment on s'y prend pour le mettre en confiance ?
- Bah, comme d'habitude, en s'exhibant !
Je rigolai et appliquai aussitôt cette stratégie qui avait fait mainte fois ses preuves. Je tirai progressivement sur mon décolleté, dévoilant de plus en plus ma poitrine et allant parfois même jusqu'à faire sortir du décolleté mes mamelons tendus par l'excitation.



On se souciait bien peu que David ne soit pas le seul gars à en profiter et on s'amusait des regards en coins de Bouba et des autres blacks qui nous connaissaient déjà un peu... Chloé se contentait d'écarter les cuisses pour exhiber son sexe nu, libre de toute culotte, sous sa petite jupe.



Je notai que presque aucun des joueurs de l'équipe adversaire ne nous accordaient d'attention. Lors d'un contre, le ballon vola dans les gradins juste derrière nous. Chloé aussitôt se tourna pour attraper le ballon, sachant pertinemment que tout le monde allait pouvoir observer sa magnifique croupe nue.



Je lui donnai une claque sur les fesses :
- Espèce de petite salope !
Elle rigola et attrapa le ballon. Se retournant, avant de renvoyer le ballon que tout le monde attendait en nous regardant, Chloé se vengea en tirant sur mon décolleté pour dévoiler mes seins.




CHLOE

Nous avions atteint notre but : la plupart des joueurs regardaient maintenant dans notre direction - en particulier toute l'équipe de Bouba, qui savait déjà ce dont nous étions capables toutes les deux ! Quant aux entraîneurs, qui avaient compris notre manège, ils nous jetaient des regards noirs, pour nous dissuader d'aller trop loin dans notre exhibition.
Lisa se calma et n'osait rien faire de plus, à ma grande surprise car j'avais pu admirer son audace quand il s'agissait de montrer son corps. Mais pour ma part, j'étais trop excitée par cette expérience d'exhib dans les tribunes d'un stade, lieu qui manquait à mon palmarès. La jupe remontée sur mes hanches, je m'amusais donc toujours à écarter largement mes cuisses lorsque les entraîneurs ne regardaient pas dans ma direction.



Le jeu de l'équipe de Bouba était désorganisé par la distraction des joueurs, et les paniers marqués par l'équipe adverse se succédaient. Leur entraîneur pestait maintenant contre ses basketteurs trop déconcentrés, et il tentait de les recentrer sur le match en les engueulant en termes très crus.
Lisa et moi nous amusions à commenter les érections que nous suscitions dans les shorts de David et de quelques autres membres de l'équipe.
- Tu as vu celui qui vient de rater le ballon ? me demanda Lisa. Tu te rappelles comment il t'a fait jouir pendant la soirée gangbang de David ?



- Mmmh... Oui, bien sur ! répondis-je en riant. Quelle bite ! Et toi ? Les deux autres à côté, ce sont ceux qui t'ont prise en sandwich ?
- Arrête ! Rien que de me souvenir des deux orgasmes qu'ils m'ont donnés en quelques secondes, je mouille à nouveau.

Mais notre attention fut retenue par David, qui devait faire un tir au panier, et nous avons interrompu notre discussion. Il se détendit brusquement, pour son lancer de ballon, et le mouvement fit glisser son short.


Nous étouffâmes notre rire, en découvrant sa queue tendue soudain découverte, mais peu de spectateurs le remarquèrent, car il s'empressa de rajuster son short.
David avait toutefois sauvé l'honneur en réussissant son panier, mais quelques minutes plus tard, il prétexta un peu de fatigue, et l'entraîneur le fit remplacer. En fait, il se dépêcha de nous rejoindre dans les gradins, mi furieux, mi excité.
- David, ça me rend folle de vous voir, toi et tous ces mecs, lui dis-je pour l'amadouer. Ça me rappelle plein de souvenirs. J'ai envie que tu me bouffes la chatte.
- Tu es folle !, protesta-t-il, il y a trop de monde.
- Mais personne ne fait attention à nous, à part quelques uns de tes coéquipiers. Et je ne pense pas qu'ils seront choqués, ils m'ont tous baisée.
Je n'eus pas à insister davantage ! Après un regard circulaire pour vérifier que l'attention des spectateurs était monopolisée par le match, David s'agenouilla entre mes cuisses.



Je ne regrettai pas mon initiative. Parmi les qualités de David, il y avait son art de pratiquer le cunni ! Après quelques baisers légers, sa langue s'insinua entre mes petites lèvres, tourna autour de ma fente en récoltant la sève qui coulait, et remonta pour débusquer mon clito. Elle allait et venait sur mon petit bouton dardé, m'arrachant des gémissements suggestifs que j'essayais d'étouffer avec plus ou moins de réussite. Mais lorsqu'il se mit à me sucer, je sentis l'orgasme monter. Je tentai en vain de me contrôler, et je finis par jouir, en me mordant les lèvres pour ne pas crier.




LISA

Quand David se rassit entre nous, il avait une érection très nette. J'avais très envie de la sortir, même si ce n'était pas très raisonnable de faire ça dans les gradins, à la vue de tout le monde. Mais je voulais surtout voir ce que l'état d'excitation de David était capable de lui faire faire.
- Sors ta queue pour qu'on la voie.
A ma grande surprise, David ne fit pas la fine bouche, il se contorsionna pour la faire glisser par le côté de son short et la sortir.



- Pour vous les filles !
- Oh, David ! Elle nous avait manqué...
Je me mis à genoux devant lui, donnant ainsi un peu d'intimité à nos agissements puisque presque personne ne pouvait voir directement ce qui se passait. Je lui baissai le short pour être plus à l'aise et commençai à le masturber doucement.



David feula, de toute évidence surexcité à l'idée de se faire branler devant ses collègues de basket. Chloé se pencha pour me murmurer à l'oreille :
- Quand je te taperais dans le pied, décale-toi.
Je n'attendis pas dix secondes avant que le pied de ma copine ne vienne gentiment heurter le mien. Je me décalai donc et me retournai. Je compris que la manœuvre avait pour but de montrer à Bouba ce que nous faisions. Chloé avait attendu qu'il regarde vers nous à un moment où les entraîneurs étaient occupés à autre chose. Bouba sourit en voyant la bite en érection de David.



Voyant le sourire de Bouba, l'entraîneur se retourna vers nous, mais je repris rapidement ma place pour faire en sorte qu'il ne découvre pas ce que nous faisions. Aussitôt, je repris la masturbation de David, massant délicatement son gland du bout des doigts, le faisant frémir.



Il ne regardait plus vraiment le match. Il fermait les yeux tandis que mes doigts couraient sur son gland et sur ses couilles. Quand je sentis qu'il allait être mûr pour éjaculer, j'accentuai la branlette jusqu'à ce que le sperme commence à gicler.



Aussitôt, je me levai et m'écartai de David, imitée par Chloé qui avait bien compris la manœuvre. Nous descendîmes rapidement des gradins en gloussant comme des gamines, laissant David, la bite à l'aire, en train d'éjaculer sous les yeux horrifiés des autres spectateurs autour.



Nous étions prises de fou rire, ce qui attira aussi l'attention des entraîneurs. David tenta de remonter son short bien qu'il continuait à éjaculer, mais le short ne pouvait correctement dissimuler son érection encore palpitante. L'entraîneur de David entra dans une colère noire :
- David !!! Tu te crois où ! File au vestiaire et dégage ! Je ne veux plus te voir ici et je te garantis que tu vas entre parler de moi au prochain entraînement. !
Bouba et quelques autres gars que nous connaissions déjà pour la plupart rigolaient. Ils avaient bien compris le rôle qu'on avait joué dans cette affaire. Tandis que David allait, tout penaud, vers les vestiaires, l'entraîneur se tourna vers nous et nous jeta un regard noir :
- Quittez les lieux immédiatement, mesdemoiselles. Essayez de nous intéresser au sport, d'avantage qu'aux sportifs, vous gagnerez en maturité...


CHLOE

Un peu penaudes, nous nous sommes dirigées vers la sortie. Mais au lieu de sortir du stade, nous nous sommes faufilées discrètement dans les vestiaires, où nous étions sûres de retrouver David. Effectivement, il était là, en train de se doucher.
Lisa posa un doigt sur mes lèvres pour me recommander le silence, et commença à se déshabiller. Je l'imitai, et nous surgîmes à poil dans la douche.
- Qu'est ce que vous faites là ?, nous demanda David, sur un ton peu aimable.
- A ton avis ?, répondis-je en minaudant. On voudrait te consoler de ton exclusion.
Et je m'agenouillai devant David, pour caresser son sexe déjà dressé. Il réagissait vraiment au quart de tour !



- Vous vous foutez de moi !, vociféra-t-il, ne pouvant dominer sa colère. A cause de vous, je risque de me faire virer de l'équipe, et je suis certain que vous l'avez fait exprès.
Nous nous écartâmes, et je me collai contre le dos et les fesses de ma complice.
- Tu n'es pas sympa, protesta Lisa. Tout ce qu'on veut, c'est prendre du plaisir avec toi. Regarde cette pauvre Chloé, elle est au bord des larmes.
Lisa en rajoutait un peu, mais je jouai le jeu, prenant une expression attristée.



- Bon, on ne va pas se fâcher, mais avouez que j'ai des raisons d'être en colère, reprit David, déjà amadoué.
- Si tu veux, pour nous faire pardonner, je t'invite à venir chez moi demain soir, avec Chloé. Tu pourras nous filmer dans toutes les positions que tu aimes.
David hésitait encore. Lisa me prit dans ses bras, et fit couler la douche sur nous. Nos corps mouillés étaient encore plus excitants, et nous avons commencé à nous caresser mutuellement. Elle était d'une adresse diabolique, et je n'eus pas à simuler pour me mettre à gémir, au bout de quelques dizaines de secondes.



David ne nous quittait pas des yeux, hypnotisé par nos gestes sensuels, et il bandait maintenant franchement. Tout mon corps se cambrait et ondulait sous les caresses de Lisa, et ma main avait disparu entre ses cuisses.
- Bon, c'est d'accord pour ton rendez-vous, Lisa, finit par dire David. Mais après ce que vous m'avez fait, vous allez devoir vous surpasser.



- Tu es adorable David, répondis-je. Compte sur nous pour te réserver une soirée inoubliable. Et on va te faire profiter d'un avant goût.
Nous nous sommes rapprochées de lui, toutes les deux ensembles, et Lisa s'est mise à le sucer, pendant que je le caressais.




LISA

David semblait nous avoir déjà pardonné notre petite plaisanterie. Que les hommes sont faibles ! De mon côté, je me disais qu'il y avait peut-être une autre carte à jouer pour notre vengeance. J'abandonnai la queue de David pour me relever :
- Excusez-moi, je vais vous laisser un peu, je dois passer aux toilettes. Mais ne m'attendez pas pour commencer.
Je fis un clin d'œil à Chloé qui pour ne pas démotiver David écarta largement les cuisses et se cambra en lui disant :
- Lèche-moi la moule, David !
David s'accroupit derrière elle, docilement.



Tandis que je me séchais, j'entendais Chloé gémir. J'imaginais très bien la langue habile de David qui se glissait entre se lèvres pour atteindre son bouton d'amour. Avant de me rhabiller, je jetai un coup d'œil : David se relevait et guidait sa tige raide dans la fente de Chloé, appuyée au mur, pour la prendre en levrette.



Je récupérai mes vêtements et me rhabillai rapidement. Les gémissements de Chloé étaient de moins en moins discrets et j'imaginai que David allait la faire jouir en quelques minutes s'il continuait à ce rythme. Avant de sortir, j'allai regarder une dernière fois à la douche pour me rendre compte que Chloé s'était mise à genou et que, maintenant, David la sodomisait sans retenue.



Comme je sortais des vestiaires. Je croisai dans le couloir l'entraîneur qui me fusilla du regard.
- Excusez-nous pour tout à l'heure... On s'est comportée comme des gamines avec David, mais je vous jure qu'on ne voulait pas perturber le match.
- Je vous avais demandé de sortir.
- Tout de suite. Par contre attendez un peu avant d'entrer dans le vestiaire car je crois que David n'a pas encore terminé de baiser ma copine.
Bien sûr, je savais bien qu'en disant cela, j'allais surtout donner envie à l'entraîneur d'entrer se rincer l'œil. Et c'est ce qu'il fit aussitôt. Je regardai par la porte entrouverte. Il regardait Chloé et David discrètement et se caressait l'entrejambe. Il ne tarda pas à quitter ses vêtements et se branla en les regardant.



Je savais que Chloé saurait s'en débrouiller et j'avais un autre projet pour ma part.


CHLOE

Du coin de l'œil, j'avais vu l'entraîneur arriver dans les douches et se branler. Mais j'étais bien trop concentrée sur le va-et-vient de la queue de David dans mon petit trou pour réagir. Je sentais que j'allais bientôt jouir, et mon anus dilaté se contractait spasmodiquement autour de la longue tige qui le perforait. L'orgasme m'arracha une longue plainte, et c'est à ce moment que David aperçut notre voyeur.



- Viens nous rejoindre, lui lança David. Tu vas voir, cette fille est insatiable. Je crois que, plus il y a de mecs qui la baisent, plus elle se déchaîne.
L'entraîneur ne se fit pas prier, et oublia ses griefs contre moi. Surtout quand, agenouillée, je posai ma bouche sur sa verge !
Je pris tout mon temps, décalottant doucement le gland, le couvrant de baisers et de petits coups de langue pour exacerber son désir. Puis je l'engloutis progressivement, mes lèvres descendant lentement, de plus en plus bas sur la hampe qui tremblait de désir.
Pendant ce temps, David caressait mes fesses. Sa main se glissait entre mes cuisses, pour atteindre ma chatte, ses doigts s'insinuaient entre mes petites lèvres, cherchaient mon clito...



Je n'en pouvais plus. Je me relevai, cambrant mes reins pour découvrir ma fente.
- Allez-y ! Bouffez-moi le minou, baisez-moi, demandai-je d'une voix assourdie par le désir.
Je n'eus pas à attendre. L'entraîneur s'agenouilla derrière moi, et sa langue commença à explorer mon abricot. Je poussai un cri lorsqu'elle effleura mon bouton d'amour, et je me mis à branler David furieusement.



L'entraîneur se releva, et je sentis son dard s'enfoncer d'un seul coup dans ma grotte. D'une main, il astiquait mon clito, et je dois avouer que, même s'il bâclait les préliminaires, il savait s'y prendre.
- Ça te plait toujours d'avoir deux hommes pour s'occuper de toi, constata David avant de m'embrasser à pleine bouche, tout en se masturbant.



L'entraîneur pilonnait mon minou de toutes ses forces, en ahanant, et je devinais qu'il ne tiendrait pas longtemps à un tel rythme. Je ponctuais chacun de ses coups de boutoir d'un petit cri aigu, qui agissait sur lui comme un aiguillon.
Même si j'appréciais la force avec laquelle il me pénétrait, je savais qu'il ne me ferait pas atteindre l'orgasme avant d'éjaculer.
Mais j'éprouvais toujours du plaisir à provoquer les mecs et à faire gicler leur semence sur moi. Quand je sentis arriver le moment fatidique, je m'agenouillai entre les deux hommes.
- Allez-y, branlez-vous ! dis-je pour les encourager. Je veux sentir votre foutre couler sur mon corps.
Ils s'astiquaient tous les deux furieusement, les yeux fixés sur ma main qui fouillait ma fente et triturait mon clito. Lorsque mes gémissements remplirent la pièce, je vis leur semence jaillir des deux glands turgescents. Elle éclaboussa mon visage, mes épaules, mes seins, mais disparaissait au fur et à mesure, emportée par l'eau de la douche.



L'entraîneur, sans doute confus d'avoir cédé à la tentation, nous quitta précipitamment pour se rhabiller et sortir de la pièce. David, qui ne voulait pas aggraver son cas, se dépêcha de se sécher et de se rhabiller, et je restai seule sous la douche, me demandant ce que pouvait bien faire Lisa pendant tout ce temps.
A peine David était-il parti que j'entendis du bruit du côté des vestiaires : le reste de l'équipe arrivait...
Bouba, qui se déshabilla le premier, fut intrigué par le bruit de l'eau qui coulait. Il entra dans les douches, et me découvrit.
- Chloé !... J'aurais du m'en douter ! Il n'y a que toi pour venir à poil dans les douches des hommes !



La seule vue de mes fesses et de mes seins le faisait déjà bander. Le spectacle de cet énorme pieu, qui m'avait donné tant de plaisir, suffit à m'exciter, d'autant plus que l'entraîneur m'avait laissée sur ma faim. Je sortis de la douche et, sans prendre le temps de m'essuyer, je le pris dans ma bouche.



Le reste de l'équipe nous avait bien vite rejoints, et je constatai que, eux aussi, gardaient un souvenir impérissable de mon anatomie et de ma sexualité ! En un clin d'œil, leurs tenues furent jetées au sol, et une forêt de bites sombres se dressa autour de moi. Je ne savais plus où donner des mains et des lèvres.



Rapidement, Bouba prit la direction des opérations. Ce n'était pas pour rien qu'il était le capitaine !
- On va se taper cette petite Chloé, jusqu'à temps qu'elle demande grâce, pour la punir de nous avoir fait perdre le match. Dommage que sa copine ne soit pas là : elle y aurait eu droit aussi.
Il s'assit, et me prit par la taille pour me faire venir sur lui. Sa bite dressée était toujours aussi impressionnante, et si je n'avais pas eu l'expérience des soirées imaginées par David, j'aurais sans doute cru qu'elle allait me déchirer. Sans appréhension, je vins m'empaler doucement sur l'énorme gland, et les mains de Bouba, posées sur mes hanches me guidaient avec délicatesse. Il me fallut une longue minute pour faire disparaître l'interminable tige dans mon intimité, et dès que je me mis à gémir, le reste de l'équipe m'entoura pour se faire sucer.



Bientôt, je me mis à me soulever et à me laisser retomber sur le sexe de Bouba, de plus en plus vite, et mes cris grimpèrent dans l'aigu. Ma chatte dégoulinait de cyprine, lubrifiant la verge de Bouba, qui profita de mon abandon pour me demander :
- J'ai envie de ton petit trou, tu aimes ça je crois. Tu veux ?
- Oui, oui, répondis-je, emportée par le désir.
Je sentis ses mains puissantes me soulever, et amener ma rosette sur sa hampe dure comme une barre d'acier. Lentement, il investit mon anus, et je hurlai.



Les coéquipiers de Bouba me fixaient avec des yeux exorbités, et quand mes fesses touchèrent le pubis de Bouba, l'un d'eux vint me pénétrer par devant.
C'était délicieux d'être ainsi prise en sandwich par de tels engins. Bouba rythmait ses pénétrations au plus profond de mon cul en me soulevant comme si je ne pesais rien, et le black planté dans ma chatte avait réussi à synchroniser ses coups de boutoir. En quelques minutes, ils me firent jouir comme une folle, alors qu'un troisième joueur avait investi ma bouche.



Bouba n'avait pas éjaculé, mais il se dégagea pour pouvoir jouer au voyeur, tout en se branlant. Je me retrouvais étendue sur le dos, le mec qui me baisait continuant à pilonner ma chatte. Surfant sur des vagues de plaisir, j'empoignais et je suçais au hasard les queues qui m'entouraient et se trouvaient à ma portée.



La sueur ruisselait maintenant sur tout mon corps, et les pointes de mes petits seins dardaient. Un nouvel orgasme montait du plus profond de mon ventre, me tétanisant, et le black qui labourait mon minou comme un taureau se retenait pour ne pas jouir.



Mais je manifestais mon plaisir avec de tels cris, en me tordant sur le sol, qu'il ne tint pas longtemps. Je sentis ses puissants jets de sperme remplir ma chatte et, comme il se retira avant d'avoir fini d'éjaculer, la semence se répandit entre mes cuisses.



Les autres joueurs étaient eux aussi au bord de l'explosion, après qu'ils se soient masturbés et que je les aie caressés et sucés durant toute cette scène. Ils me prirent par les bras pour me faire assoir et ils m'entourèrent. La vue de ces bites sombres autour de moi, d'où émergeaient des glands turgescents, ne me laissait aucun doute sur ce qui m'attendait. Les uns après les autres, ils déchargèrent dans ma bouche et sur mon visage.



Je me redressai sur mes genoux, et je me retrouvai face au sexe de Bouba, qui était le seul à ne pas avoir encore éjaculé. Il s'astiquait en me regardant, et je levai les yeux vers lui, avec une expression gourmande.



J'avais si bien excité Bouba qu'il poussait des grognements de bête sauvage en se branlant à un rythme effréné. Délicatement, je pris sa verge dans ma main, mais aussitôt je la sentis secouée par des tremblements, et j'eus l'impression que des vagues de foutre déferlaient sur mon visage et ma poitrine.



Avec une délicatesse qui contrastait avec la force déployée pour me baiser, Bouba et ses équipiers m'aidèrent à retourner sous la douche pour me nettoyer.


LISA

Pendant que Chloé s'amusait dans le vestiaire, j'étais allée rejoindre le vestiaire de l'équipe adversaire afin de négocier de quoi nourrir notre vengeance contre David. Avant d'ouvrir la porte j'entendais déjà leur allégresse et les chants de victoires suite à la défaite de l'équipe de Bouba. Quand j'entrai dans le vestiaire, tous les mecs étaient à poil et tous les regards se tournèrent vers moi, en particulier vers mon décolleté qui exhibait généreusement ma poitrine.



Ils restèrent bouche-bée. Un mec eut une érection presque immédiatement. Les autres semblaient moins sensibles même si beaucoup des sexes que je voyais étaient quand même déjà assez gonflés.
- Messieurs, je m'excuse de vous déranger dans votre intimité, mais il se trouve que je recherche quelques mecs qui puissent être autant intéressés par les hommes que par les femmes.
Les gars me regardèrent sans oser répondre.



Mon idée était de dénicher quelques mecs qui soient bis pour une soirée avec David. Pour les désinhiber un peu, je commençai à me mettre nue :
- Ecoutez, tous les courageux qui accepteront de venir à une soirée bisexuelle seront récompensés d'une fellation.
Quelques yeux se mirent à briller alors que je commençais à retirer mes vêtements.



Trois mecs levèrent alors la main.
- Bravo, je vous félicite. Pour préciser ma requête, je vais organiser chez moi une soirée, demain soir, où vous serez sollicités pour vos doubles compétences.
Les mecs semblaient avoir compris tout ce que cela sous-entendait et s'approchèrent de moi en guise d'acceptation. Ils commençaient à bander franchement et, tous les trois en même temps, se mirent à se branler.



- Bien, chose promise, chose due !
Je rejoignis le gars le plus à droite et je commençai à le masturber. Je sentis sa main venir se poser sur mes fesses. Petit à petit, il dévia vers mon anus et y fit glisser son majeur.



Je me penchai alors pour le sucer. Les deux autres s'approchèrent. Le capitaine d'équipe s'approcha également en me disant :
- Je ne suis pas bi, mais si tu veux que mes gars gaspillent leur énergie avec toi, je crois qu'il va te falloir mon approbation.
Le message était clair et je ne comptais pas vraiment négocier car le capitaine d'équipe était plutôt beau gosse et bien membré. Quand il commença à me caresser les fesses, je compris ce qu'il attendait de moi.



- Ok, vous êtes le capitaine, j'obéirai.
Je me redressai et calai mes fesses contre son bassin. Je pouvais sentir son sexe tendu dans la raie de mes fesses. Je tournai la tête pour l'embrasser de manière à ce qu'il comprenne bien que j'acceptai ses conditions. Il ne perdit pas de temps et se mit aussitôt à me peloter.



Les trois autres gars se branlaient, en attendant d'avoir le feu vert de leur capitaine. Celui-ci me poussa contre le mur de la douche et me força à me cambrer. De toute évidente, il souhaitait me prendre en levrette. Je sentais sa puissante érection entre mes fesses et je gémissais déjà, rien qu'à l'idée qu'il allait me la glisser entre les cuisses.



En voyant les trois autres gars se masturber en nous regardant, je me demandai si c'était moi ou leur capitaine qui les excitait le plus. Quand il guida son gland dans ma fente, je donnai un petit coup de reins en arrière pour l'accueillir. Il me pénétra alors jusqu'au fond et commença à aller et venir en moi. C'est alors que je me rendis compte de la taille impressionnante de sa tige.



Il me limait avec entrain et me fit pivoter un peu, m'obligeant à relever une cuisse. Cela lui permettait de me pénétrer encore mieux et surtout de pouvoir continuer à me peloter tout en louchant sur ma poitrine qui semblait le fasciner au plus haut point. J'eus un orgasme violent.



Je continuai à crier de plaisir pour l'encourager à venir aussi. Il ne tarda heureusement pas trop et, s'immobilisant, il se mit à éjaculer abondamment en moi. Je me redressai, profitant de ce calme après la délicieuse tempête. Tandis que je me remettais, je vis du coin de l'œil les autres qui s'approchaient.



Le capitaine se retira et demanda aux autres de reculer :
- Laissez-la se doucher, elle va devoir y aller.
- Mais elle nous a promis de nous sucer...
Comme j'avais eu mon compte, j'avoue que je n'étais pas très motivée pour les sucer tous les trois. Je m'approchai de celui qui protestait et je le masturbai un peu :
- Ne vous inquiétez pas. Je vous promets que vous aurez votre fellation demain soir et bien plus encore.
- Pas d'arnaque ?
- Vous ne le saurez que si vous venez chez moi demain soir...



Le gars sembla accepter et les autres se rallièrent à sa décision :
- Quelqu'un a un papier et un crayon ?
Le gars que je venais de convaincre et dont j'avais encore l'érection en main me désigna son sac :
- Dans la poche arrière.
Je le lâchai et trouvai dans son sac un petit carnet et un stylo où je notai mon adresse et l'heure à laquelle je les attendrais. Pendant que je me rhabillais, les trois gars se remirent sous la douche mais avaient gardé une érection impressionnante. En sortant, j'entendis que le capitaine leur disait de se calmer et, me retournant, je pus voir que les trois mecs bis étaient en train de se branler les uns les autres.



Quand je ressortis, Chloé sortait également de l'autre vestiaire :
- Tu en as mis du temps pour aller aux toilettes ! Tu as raté le meilleur...
- Je n'ai pas perdu mon temps, ne t'inquiète pas. Je viens de recruter trois mecs bis pour demain soir. On va bien s'amuser !
- Demain soir ? Mais on a déjà invité David !
- Justement...
Je lui fis un clin d'œil et elle comprit aussitôt quel était mon plan.
- J'espère que notre vengeance va enfin pouvoir se faire grâce à ces mecs.
- Je suis certaine que David se sentira humilié de subir des rapports homosexuels.
- On verra ça demain soir...
^ ---------oOo---------

Vengeance(s) - Acte 5, seconde partie


CHLOE

Le lendemain soir, j'arrivai chez Lisa presque en même temps que David. Il nous déshabilla toutes les deux du regard, déjà excité en cherchant à imaginer l'exhibition que nous lui réservions. Mais il ne put cacher sa surprise, quand il découvrit la présence de trois des joueurs de l'équipe contre laquelle il avait joué la veille.
- Ah, je vois !, nous dit-il en se ressaisissant. Vous vous offrez un gang bang, vous ne pensez qu'à ça !
Nous n'avons pas démenti, et David installa calmement deux caméras dans la pièce et les mit en route, avant de se déshabiller. Quand il retira son pantalon, tout le monde put voir qu'il bandait déjà.



Lisa et moi étions impatientes de passer aux choses « sérieuses ». Je pris tout de même le temps de me livrer à un strip-tease très sensuel devant une des caméras, qui intéressa d'ailleurs aussi les gars, en particulier les trois qui ne me connaissaient pas encore.



Lisa m'imita devant la deuxième caméra, rassurant David sur nos intentions et, ne portant ni slip ni soutien-gorge, nous nous retrouvâmes vite à poil toutes les deux. Lisa m'aguichait en malaxant ses seins, et je me mis à lécher ses mamelons, lui arrachant des soupirs.



- Chloé chérie, occupe-toi de ma petite chatte, me demanda-t-elle d'une voix rauque, en posant un pied sur le canapé pour mieux découvrir sa fente.
Je m'agenouillai, et je posai mes lèvres sur son abricot épilé. Mes baisers la firent frémir, et j'écartai doucement les petites lèvres, pour accéder à sa fente et à son bouton d'amour. Je me mis à lécher sa grotte, glissant ma langue à l'intérieur, remontant vers son clito gonflé.



J'étais si occupée à donner du plaisir à Lisa, qui feulait, que je ne vis pas les trois autres mecs se mettre eux aussi à poil.
Je m'en rendis compte, quand Lisa me fit allonger, pour échanger les rôles et pouvoir me bouffer l'abricot à son tour.



J'avais écarté largement les cuisses, autant pour permettre aux mecs de me mater, que pour m'offrir à la langue experte de Lisa. Et bien vite, je fermai les yeux, pour mieux goûter les sensations que me procurait son cunni.


LISA

Je sentais Chloé vibrer sous mes jeux de langues mais je sentis une main sur mon épaule. Un des gars voulait manifestement prendre ma place :
- Lisa, je peux essayer ?
Je lui souris et lui laissai ma place m'installant à côté de Chloé pour l'embrasser. Je sentis à la fougue de son baiser et à ses gémissements étouffées par nos bouches collées que le gars savait bien se servir de sa langue.



Après quelques minutes, il se releva et regarda les autres :
- Les gars, Chloé a une chatte absolument délicieuse que je vous conseille d'essayer !
Comme je voyais les yeux embrumés de ma copine après cette petite dégustation, j'avais moi aussi bien envie de servir d'apéritif et de me faire bouffer la moule. Chloé dut lire dans mes pensées car elle me murmura :
- Mets-toi sur moi, je vais te sucer...
Je ne me fis pas prier pour venir la chevaucher et aussitôt je sentis sa langue commencer à s'immiscer dans ma fente de plus en plus humide. Tournant la tête je vis David s'approcher.



La langue de Chloé commençait à faire des merveilles. Je compris à la pause de quelques secondes qu'elle fit que David devait être en train de la pénétrer. Puis elle reprit à me lécher la moule, s'activant plus intensément sur mon clitoris et j'imaginais que David lui donnait beaucoup de plaisir vu ce qu'elle me rendait.



Je ne fus pas longue à jouir : Chloé me donna un orgasme assez vite et je pense que l'agilité de sa langue était proportionnelle à l'intensité des pénétrations de David entre ses cuisses. Je m'étais laissée aller à ce petit plaisir en me disant qu'après, les garçons seraient peut-être moins doux et attentionnés que ma copine.




CHLOE

David avait réussi à me faire jouir, mais mes cris avaient été étouffés par la chatte de Lisa, qu'elle appuyait sur mon visage pour mieux goûter les mouvements de ma langue et de mes lèvres sur ses petites lèvres et son clito. Il faut dire que, secouée par les spasmes du plaisir que me donnait David, j'avais deviné la jouissance de Lisa, à ses cris et aux contractions de ses fesses. Reconnaissante, elle se releva pour venir m'embrasser.



- Il te baise bien, ma Chloé ? me demanda Lisa.
- Oh oui, ouiii... regarde toi-même.
La bouche de Lisa descendit, s'attarda sur mes seins gonflés, continua sur mon ventre, pendant que David, infatigable, continuai de me baiser. Il se redressa, pour permettre à ma copine de sucer mon clito.



La bite de David dans ma chatte, la langue de Lisa sur mon petit bouton... C'était trop bon !
Je vis malgré tout l'un des mecs, qui arborait une superbe érection, s'approcher de David par derrière. Trop occupé, celui-ci ne comprit pas immédiatement qu'un homme était en train d'enfoncer sa verge dans son anus...



David ne voulait pas renoncer à me faire jouir une deuxième fois, et il essaya de déloger le sodomite en ruant, mais ses mouvements eurent pour seul résultat de faire pénétrer plus profondément le pieu dans son cul. Il se laissa alors tomber sur le côté pour tenter de désarçonner son sodomite




LISA

David parvint à se dégager et sembla ne pas comprendre ce qu'il s'était passé :
- Qu'est-ce que tu fous ?? T'as pas vu que c'était moi !?
Le gars souriait mais ne répondait pas, voulant laisser planer le doute d'une erreur. Mais comme David avait sa bite toujours en érection au-dessus du ventre de Chloé, un autre gars se pencha et commença à lui sucer le gland.



David le repoussa violement :
- Hey ! Mais tu es con ou quoi ?! On a deux magnifiques nanas prêtes à n'importe quoi, alors lâche-moi un peu...
Pour que ça ne dégénère pas, le gars se recula et décida de se faire sucer par Chloé. Celle-ci ne se priva pas d'engouffrer la queue qui lui était offerte. Un peu perturbé par ce qu'il considérait comme une agression, David posa son gland contre l'anus de Chloé et s'y engouffra d'un violent coup de reins qui arracha un cri de surprise à Chloé. Il la sodomisa tandis qu'elle reprenait la fellation qu'elle avait commencée.



Le gars que Chloé suçait mit peu de temps à jouir. Il sortit de sa bouche en continuant à s'astiquer le manche et commença à faire gicler sa semence dans la bouche de ma copine. Mais les jets partirent un peu partout et Chloé en reçu dans les cheveux et sur le menton. Le gars termina en dirigeant les derniers jets vers les seins aux tétons tendus.



David continuait tranquillement à sodomiser Chloé. Un gars vint se positionner derrière lui et lui appuya sur les épaules pour qu'il se penche sur la poitrine couverte de sperme :
- Sois gentil avec la demoiselle. Nettoie-la avec ta langue.



Toujours en train de sodomiser Chloé, David se raidit et se redressa :
- T'as qu'à le faire, toi ! C'est pas mon foutre !

CHLOE

Je me trouvais dans une position assez surréaliste, sodomisée par David, qui ne savait plus où il en était. Il refusa de nettoyer la semence qui perlait sur mon visage et ma poitrine. Le troisième mec s'approcha, et, sans la moindre hésitation, vint me lécher.



Déconcerté, David m'enculait avec moins de vigueur, et j'ondulais des hanches pour l'exciter, tout en savourant le contact de la langue qui parcourait mes seins. Pour le détendre, Lisa se mit à caresser les fesses et les couilles de David. Bientôt, il recommença à labourer mon petit trou à grands coups de reins. Je le sentais prêt à exploser, et je m'abandonnai à un nouvel orgasme en criant. Il jouit à son tour, sortant sa bite de mon anus en grognant, tout en éjaculant, giclant sur mon ventre.



David se releva, haletant, et aussitôt, un des trois gars vint s'accroupir entre mes cuisses. Je sentis sa langue lécher ma rosette, ma chatte et mon ventre, pour nettoyer le sperme qui les maculait.



David se laissa tomber sur un canapé, avec un air dégoûté.
- C'est quoi ce plan tordu, les filles ? nous demanda-t-il. Vous me prenez pour qui ? Vous pensiez peut-être me faire passer pour un homo sur les terrains de basket !
- Mais non, David, répondit Lisa, qu'est ce que tu vas chercher ! Nos invités sont juste larges d'esprit et malicieux. Allez, laisse-moi te rassurer.
Et Lisa prit sa queue dans sa main. Elle commença à la caresser, doucement, puis de plus en plus fort, et, quand elle se dressa, elle se pencha sur David pour le sucer.




LISA

David semblait se détendre grâce à ma fellation, du moins mentalement, car sa queue était quant à elle bien raide entre mes lèvres. David ferma les yeux pour bien apprécier ma caresse buccale. Aussitôt, un des gars s'approcha et sembla vouloir se joindre à moi pour sucer David. Si David avait ouvert les yeux, il aurait certainement hurlé.



Je fis donc signe au gars de patienter un peu. Mais j'avais quand même très envie que David se fasse sucer par un autre gars. Je vins me mettre en soixante-neuf sur lui en me disant qu'avec le visage coincé entre mes cuisses il ne pourrait pas voir qui le suce vraiment. David commença à me lécher la moule mais soudain, je sentis une bite me pénétrer la moule. Un des gars venait me prendre en levrette. J'entendis David se plaindre :
- Lisa, remonte un peu ton cul, cet abruti me fout ses couilles sur le visage...
Cela m'amusait d'imaginer les couilles de l'autre lui caresser le nez, mais je me cambrai un peu pour satisfaire à sa demande.



Je sentis soudain l'envahisseur se tendre et stopper ses va-et-vient. Je le sentis éjaculer en moi. Après quelques secondes à peine, il se retira. Je sentais que sa semence commençait à couler. Avant que David ne voit que du sperme allait sortir, je lui dis :
- Oh David, je n'ai pas encore joui. Lèche-moi le clito ! Fais-moi venir !
En vrai gentleman, il tendit la langue et commença à me lécher le clitoris, ne se rendant pas compte que le sperme du précédent gars s'écoulait sur sa langue.



Il me repoussa soudain les fesses et je l'entendis cracher. Il s'était rendu compte qu'il avait sucé le sperme de l'autre gars :
- Merde ! C'est dégueulasse !
- Ne fais pas ta chochotte ! Si on faisait tant d'histoires, nous, quand on subit des éjaculations faciales multiples ?
- Ouais, mais bon... C'est pas mon truc !
- Et bien il va falloir que ça le devienne car tu ne m'as pas encore donné d'orgasme. Si tu veux Chloé peut te sucer pendant que tu me lèches.
Je me retournai et m'assis à nouveau sur lui pour l'obliger à me lécher la moule. Il ne discuta pas. Chloé allait venir pour sucer David mais le gars que j'avais fait patienter auparavant avait compris ma manœuvre et était venu s'agenouiller à côté de David avant elle pour le prendre en bouche et le sucer.




CHLOE

J'aurais pu me sentir frustrée, de me retrouver reléguée au rôle de spectatrice, mais j'avoue que je découvrais un plaisir trouble à mater David en train de se faire sucer par un autre mec. Ce n'était pas une de ces situations dont j'avais maintenant l'habitude ! Tout en regardant le trio, je pris dans ma main la verge dressée d'un des mecs, et je me mis à le masturber. Ses grognements trahissaient le plaisir que lui donnaient ma main et la vue de son copain suçant David. Trop excité, il éjacula sur le cul de Lisa, laissant sa semence couler entre les fesses.



David en reçu bien sûr une partie au visage mais il préféra ne pas se plaindre de peur que Lisa ne le gronde encore. Notre troisième invité se précipita pour nettoyer la bite de son copain, à petits coups de langue pleins de sensualité. Il s'y prenait aussi bien qu'une fille, et David observait la scène, avec une expression d'incrédulité dans le regard.



Puis le mec se mit à lécher le foutre qui coulait sur les fesses de Lisa. Sa langue s'insinua dans le profond sillon qui les séparait, tourna autour de son petit trou, descendit vers sa fente. Elle feulait de plaisir, et avait glissé une main entre ses cuisses pour caresser son clito dardé. Le mec, comprenant qu'elle allait jouir, insista, et au bout de quelques minutes, le corps de Lisa fut secoué par un violent orgasme.



Cette scène m'avait terriblement excitée, et mon corps réclamait de nouveau sa ration de sexe.
- David, je veux que tu lèches aussi ma petite chatte, dis-je sur un ton impérieux.
- A ta disposition, ma jolie, répondit David, espérant une relation hétéro plus habituelle pour lui.
Il s'était étendu sur le dos, et je m'assis sur son visage. Aussitôt, sa langue se fraya un chemin entre mes petites lèvres. Comme c'était bon !




LISA

Chloé se tenait assise, droite, sur le visage de David qui semblait bien se débrouiller avec sa langue si j'en croyais l'expression d'extase de ma copine. Chloé jouait le même jeu que moi : faire en sorte que David ne puisse plus voir ce qui se passait et, surtout, qui le suçait. Les gars avaient eux aussi compris la manœuvre et, aussitôt, un gars vint s'agenouiller pour venir sucer David. Il ne fallait pas que fasse de bruit car David pensait certainement que c'était moi qui lui offrais ma bouche.



Le gars mit beaucoup de cœur à son ouvrage et il suçait si bien David que celui-ci dut arrêter de sucer la moule de Chloé. Sans voir, il dit en gémissant :
- Oh Lisa, tu as une bouche divine...
Je me gardai bien de répondre et admirai David qui se faisait sucer par un autre mec.



Chloé aussi était très excitée par ce spectacle. Elle eut un orgasme qui la fit chavirer sur le côté. David, relevant la tête, découvrit avec horreur que ce n'était pas moi qui le suçait. Il eut un sursaut et tenta de se dégager. Chloé, pourtant encore sous le coup de son orgasme, le réconforta aussitôt :
- Il n'y a pas de raison qu'un mec suce moins bien qu'une fille, au contraire... Laisse-le faire.
David se détendit et laissa le gars le sucer, préférant quand même fermer les yeux pour ne pas voir.



Le gars se redresse alors :
- Alors tu aimes que je te suce ?
David hésita mais sa bite raide parlant pour lui, il ne pouvait pas dire que cela le laissait indifférent :
- Oui...
- Bien, alors tu vas me rendre la pareille !
Avant que David ne puisse réagir, le gars se leva et vint lui fourrer sa queue dans la bouche. David grogna, mais, ne voulant pas se ridiculiser devant tout le monde, obtempéra et commença à sucer le gars.




CHLOE

Ca y était, nous étions arrivées à nos fins ! David avait accepté de sucer un autre garçon, et sa réserve commençait à fondre. Je ne perdais pas une miette de ce spectacle, et je pris la bite de David dans ma main.
- Tu vois, ce n'est pas si désagréable de sucer une belle queue. Tu peux maintenant imaginer ce que nous ressentons.



Tout en parlant, ma main avait commencé à aller et venir autour de la longue tige. Mes doigts tournaient doucement autour du gland, et je sentais David bander très fort, sans savoir si c'était la fellation qu'il était en train de prodiguer au mec ou mes caresses qui en étaient la cause.
Soudain, tout son corps se raidit, et de longs jets de sperme jaillirent, coulant sur ma main.



Quelques secondes après, j'entendis grogner le type que David suçait, et il éjacula à son tour, dans sa bouche. Cette fois, David n'avait pas manifesté de répulsion, et je me précipitai pour recevoir également ma ration de foutre. Mais j'arrivai trop tard, et je dus me contenter des dernières gouttes sur ma langue.



David avait du mal à réaliser ce qu'il venait de faire.
Nos trois invités, eux, se déchaînaient. Celui qui venait de décharger dans la bouche de David rejoignit un de ses coéquipiers pour le sucer. Quand il fut bien installé, en levrette, le troisième approcha et planta son pieu dans son joli cul de mec.




LISA

David semblait presque choqué :
- Vous vous foutez de ma gueule, les filles ? Ces gars sont pédés ! C'est quoi ce plan de merde ?
- Arrête de faire ton grognon homophobe. Sois plus ouvert d'esprit, tu vaux mieux que ça, voyons !
Le gars qui était en train d'enculer l'autre sortit soudain et nous rejoignit rapidement en se tenant la verge. Il était prêt à exploser et il libéra la pression dès qu'il fut au-dessus de David, lui envoyant tout son foutre sur le ventre, l'atteignant même au cou et au menton.



Avant qu'il ne puisse s'indigner de cette répugnante familiarité, Chloé et moi vînmes nous pencher sur lui pour lécher le sperme avec nos langues. Cela sembla l'amuser et il nous laissa faire, jusqu'à ce qu'on ait terminé de le nettoyer. Les lèvres de Chloé retrouvèrent les miennes autour du gland de David.



Quand nous nous redressâmes, David semblait plus détendu mais il ne souriait pas :
- Les filles, je ne sais pas jusqu'à quel point tout ceci était prémédité. C'est une expérience nouvelle pour moi et tout ne m'a pas plus, loin de là. J'aime autant que vous sachiez que je ne souhaite pas renouveler ce genre d'expérience.
- C'est dommage, on s'est pourtant bien amusé, non ?
- C'était vraiment... bizarre ! D'ailleurs, je préfère effacer ces vidéos et considérer que cette soirée n'a jamais eu lieu. J'avoue que j'aurais préféré que vous me disiez avant ce que vous comptiez faire ce soir, car je ne serais certainement pas venu, si j'avais su.
- Et toi, tu penses qu'on aurait accepté de subir un gang bang avec tes potes de basket si tu nous l'avais demandé ?
- Arrêtez les filles. Vous avez eu plein d'orgasme...
- Et alors, toi aussi, tu as joui ce soir pendant que tu suçais un mec !
- Ah, mais ça n'a rien à voir !
Chloé me fit un clin d'œil. Il était inutile de discuter davantage avec lui. Nous avions eu notre vengeance et nous pouvions enfin passer à autre chose, Chloé et moi.