Chloé à la Réunion

Chloé à la Réunion - Rando (1) (publié par Chloe23 le 09-02-2016)
Chloé à la Réunion - Rando (2) (publié par Chloe23 le 03-03-2016)
Chloé à la Réunion - Rando (3) (publié par Chloe23 le 01-04-2016)


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Chloé à la Réunion - Rando (1)


J'avais fait la connaissance, à la fac, de Joce, une fille originaire de la Réunion, qui me parlait sans cesse de la beauté de son île. Elle avait fini par me donner envie d'y aller ; comme elle retournait chez elle en février, elle me proposa de voyager avec elle, et de me trouver un logement.

J'acceptai, et c'est ainsi que je me retrouvais un beau matin à l'aéroport Roland Garros de St Denis. En sortant de l'avion, je fus saisie par la chaleur tropicale, bien différente de la température à Paris lors de mon départ ! J'ai loué une petite voiture, et je me suis rendue à St Gilles, où des amis de la famille de Joce me prêtaient un petit studio.

L'endroit était magnifique, et les réunionnais très accueillants - mais peut-être que ma manière de m'habiller y était pour quelque chose...



Par contre, j'étais un peu déçue lorsque je me rendis pour la première fois sur la plage de St Gilles : je ne pouvais guère y envisager le bronzage intégral. Je ne me gênais pas pour enlever mon soutif, mais je dus garder mon string. Heureusement, c'était un petit modèle, à la limite de ce qu'on peut porter sur une plage publique...



En téléphonant le soir à Joce, je lui parlais vaguement de naturisme - ma copine n'était pas complètement au courant de mes penchants exhibitionnistes... Elle m'indiqua un lieu fréquenté par les nudistes de l'île : la plage de la Souris Chaude... Ca ne s'invente pas, et ce seul nom me fit fantasmer.

Dès le lendemain matin, je repérai l'endroit sur la carte, et je pris ma voiture pour m'y rendre. La plage était très belle, parsemée de rochers assurant un peu d'intimité. Mais je ne cherchais pas particulièrement à me cacher, et je m'installais sur une partie bien visible de la plage.

Ma robe atterrit aussitôt sur le sable, et je ne portais rien dessous. J'avais vraiment envie d'être nue, et la chaleur du soleil décuplait mon envie de m'exhiber. Je m'installai sur ma serviette, faisant en sorte que les personnes qui passaient près de moi puissent se rincer l'œil.



Je ne sais pas si mon audace intimidait les hommes, mais si tous me mataient, aucun ne me dragua. Je rentrai donc seule dans mon studio, et je me couchais tôt : en effet, je m'étais inscrite pour une randonnée le lendemain, dans le cirque de Mafate.

Le départ était prévu à 6 heures du matin, et l'hôtesse de l'office de tourisme m'avait mise en garde : le parcours était sportif ! Nous devions passer une nuit dans un refuge, compte tenu de la distance à parcourir.

A l'heure dite, je retrouvai Thierry, le guide, et les autres randonneurs, qui se limitaient à un couple : Eve et Vincent. Mes trois compagnons étaient plutôt jeunes. Je trouvais Thierry et Vincent à mon goût, et Eve était vraiment sexy.

Outre nos sacs à dos, nous avions revêtu, tous les quatre, des tenues adaptées au terrain, et je portais un short et un débardeur.



Après un trajet en voiture assez long, nous avons rejoint l'entrée du cirque, et nous avons attaqué le chemin, dans des paysages d'une beauté à couper le souffle.



Tout en marchant, nous discutions de choses et d'autres et, naturellement, je me retrouvais avec Eve, tandis que Thierry et Vincent parlaient ensemble. Eve et moi, nous échangions sur les tenues de vacances, le bronzage, et je me rendis compte assez vite qu'elle ne devait pas être « coincée ».

Rassurée, je lui parlai de la plage de la Souris Chaude, et elle fut toute heureuse de ma découverte : elle me confia qu'elle était nudiste, et elle comptait bien s'y rendre avec Vincent.

Comme on me l'avait dit à l'office de tourisme, la marche était physique. Au bout de deux heures, Thierry nous proposa une pause au bord du chemin qui, à cet endroit, surplombait une rivière. Assis sur des rochers, nous avons mangé des barres chocolatées et bu de l'eau.

-J'ai envie de descendre au bord de la rivière pour me rafraîchir, dis-je à Thierry. On peut y accéder ?

Thierry me montra un passage dans la végétation, et je me retrouvai seule au bord de l'eau.



J'avais chaud. Je me déchaussai pour tremper la pointe d'un de mes pieds dans l'eau. Cette eau fraîche, qui me débarrasserait de ma sueur... Je ne pouvais pas résister !



Mon débardeur et mon short se retrouvèrent vite dans l'herbe. Je m'agenouillai dans la rivière, pour asperger mon corps d'eau fraîche. Les pointes de mes seins se dressèrent aussitôt.



Mais j'entendis du bruit dans la végétation qui envahissait le talus. Ne sachant de quoi il s'agissait - et craignant surtout une bête sauvage, je sortis de l'eau, montai sur un rocher pour guetter et écouter.



Un rire cristallin me fit sursauter. C'était Eve, qui me rejoignait.

-Tu n'as sans doute pas remarqué, me dit-elle, mais de là où nous nous sommes arrêtés, nous avons une vue sur cette partie de la rivière, entre les arbres.

Je levai les yeux, et j'aperçus Thierry et Vincent qui me mataient, n'en perdant pas une miette. Je n'eus pas le temps de réagir qu'Eve commençait à déboutonner sa chemise.



-En te voyant te baigner, tu m'as donné envie, ajouta-t-elle, tout en baissant son short.

Comme moi, elle ne portait pas de slip.



Elle rentra dans la rivière, s'ébroua, mais ressortit rapidement car elle trouvait l'eau vraiment froide. Nous sommes restées nues à nous sécher au soleil, pendant que les deux hommes au-dessus de nous profitaient du spectacle.

-Ca ne dérange pas Vincent, que tu te montres nue ? demandai-je à Eve.
-Au contraire ! Il adore que je m'exhibe, me confia-t-elle, amusée.

Nous remontâmes sans nous rhabiller. Thierry et Vincent nous dévoraient des yeux, ce qui m'inspira ! Eve se rhabilla, mais je rangeai mes vêtements dans mon sac à dos, je remis mes chaussures, et c'est entièrement nue que je repartis avec mes compagnons de randonnée, médusés.



-J'ai une question indiscrète à te poser, me déclara Eve à mi-voix. Lisastory, ça te dit quelque chose ?
-Bien sur, répondis-je en riant. Tu penses à Chloé23, peut-être.
-C'est donc toi ! Je ne m'étonne plus que tu te ballades à poil.
-Et si je comprends bien, Evevincent...
-C'est nous ! avoua Eve.

Eve accéléra le pas pour rejoindre Vincent.

-Vincent, je te présente Chloé23, lui lança Eve.
-Je peux comprendre ? interrogea Thierry.
-Lisastory est un site d'histoires érotiques, où Chloé raconte ses aventures et ses fantasmes. Attends, tu vas comprendre.

Eve avait sorti son Smartphone. Elle se connecta, chercha un moment, puis montra l'écran à Thierry en faisant défiler quelques images de mon album.





Thierry resta bouche bée, et me regarda un long moment, incrédule. Puis nous reprîmes notre marche, sur un chemin difficile, entrecoupé de marches taillées dans la roche volcanique.

Au bout d'une longue heure d'efforts, nous avons atteint les Pierres Plates, un site superbe au bord d'un torrent, où Thierry avait prévu une pause déjeuner.



Nous étions en sueur. Eve et moi avons décidé de nous baigner avant d'attaquer nos sandwichs. Nous avons cherché un endroit propice, et découvert une sorte de plage naturelle, constituée d'énormes rochers usés par l'érosion, qui avaient donné leurs noms à ce lieu.

En quelques secondes, sans nous consulter, Eve et moi nous sommes retrouvées nues dans le torrent. L'eau était toujours aussi froide, et nous sommes ressorties rapidement pour nous allonger, et nous sécher au soleil.



La chaleur de ses rayons, et la vue de la plastique d'Eve éveillèrent mon désir.

-Aimes-tu faire l'amour avec d'autres filles ? lui demandai-je.
-Oui, je suis bi, répondit-elle pour mon plus grand plaisir. Avec Vincent, on a cherché une partenaire pour du triolisme mais, là où nous habitons, ce n'est pas évident.
-Et, tout de suite... tu as envie ?
-On ne va pas avoir beaucoup de temps, mais j'aimerais bien te découvrir.



A ma grande surprise, ce fut Eve qui prit l'initiative.

Elle vint se coller contre mon dos, et je sentis les pointes déjà dures de ses seins s'écraser contre mes omoplates. Sa main gauche se posa sur ma poitrine, et commença à la caresser. Je me cambrai, pour plaquer mes fesses contre son pubis.



Elle m'embrassait maintenant dans le cou, avec beaucoup de sensualité. Puis ses lèvres descendirent sur mon épaule.

Je me retournai pour lui offrir mes lèvres. Sa bouche se posa sur la mienne, et je lui répondis en glissant ma langue entre ses dents.



Sa salive était fraîche et agréablement parfumée.

-J'ai envie de goûter ton petit abricot, lui murmurai-je.

Sans me répondre, elle s'assit sur sa serviette de bain, et me présenta sa chatte, impeccablement épilée.



-Elle te plait ? me demanda-t-elle d'une voix troublée par le désir.

Sans hésiter, je plongeai la tête entre ses jambes.

Je commençai par l'embrasser doucement, en appuyant à peine ma bouche contre son pubis, et en effleurant de mes doigts son ventre et la naissance de ses cuisses. Rapidement, elle se mit à gémir et à onduler des hanches, pour me faire comprendre qu'elle en voulait plus.

Alors seulement, j'écrasai mes lèvres contre sa chatte. J'écartai les lèvres de son sexe, et ma langue partit à l'assaut de son clito.



Elle poussa un petit cri, quand je dégageai son petit bouton de son étui, pour le lécher et le mordiller tendrement. Je le suçais longuement, glissant de temps en temps la pointe de ma langue à l'entrée de sa fente.

-Tu mouilles comme une petite cochonne, Eve, lui dis-je.
-Oh oui, Oh c'est bon !... Mets tes doigts, me répondit-elle en se tournant sur le côté, et en se cambrant.

Elle exhibait maintenant ses fesses et sa moule, et ma main partit explorer sa grotte.



Je la fouillais, avec deux doigts, puis trois, de plus en plus vite, tout en branlant son clitoris. A ce rythme, elle ne résista pas longtemps : elle eut soudain un orgasme foudroyant, et elle laissa s'échapper un long cri.

Nous nous attendions à voir nos deux compagnons arriver, mais nous nous en fichions.

-A toi de me faire jouir, lui dis-je en m'étendant à mon tour sur la serviette.



Eve était largement aussi douée que moi pour les plaisirs saphiques ! Je goûtai à leur juste valeur l'adresse de ses doigts, et l'audace de sa bouche.

Bientôt, je poussais des petits cris de plaisir, qui eurent pour effet de réveiller l'excitation d'Eve.

-Laisse-moi venir sur toi, me demanda-t-elle.

Je ne demandai pas mieux. Je bougeai un peu pour qu'elle puisse se mettre en 69, et elle m'offrit de nouveau sa chatte.



Elle mouillait encore plus, et quelques gouttes de cyprine coulèrent sur ma langue. Elle replongea sa tête entre mes cuisses largement écartées, Sa main branlait ma chatte avec force, pendant qu'elle suçait mon clito dardé.

Et nous jouîmes de nouveau follement, mêlant nos plaintes et nos gémissements.

Nous nous relevâmes enfin et, en échangeant un dernier baiser, nous découvrîmes Thierry et Vincent qui nous mataient, à peine cachés par un fourré.



-Vous vous êtes bien rincé l'œil, espèces de voyeurs, lança Eve, simulant - très mal - l'indignation.
-J'avoue ! répondit Vincent, mais le spectacle en valait la peine. N'est-ce pas, Thierry ?

Notre guide ne savait que répondre, partagé entre un réel plaisir, et un peu de gêne pour nous avoir épiées sans notre accord. Pour rompre le silence, il nous proposa de déjeuner au bord du torrent.

La nature, à cet endroit, était vraiment magnifique, et il n'y avait personne. Thierry avait emmené du rhum, en guise d'apéritif. Eve et moi ne nous étions pas rhabillées. L'alcool et le soleil exacerbaient mon envie de sexe, et je m'aperçus assez vite que je n'étais pas la seule.

Pendant qu'Eve sortaient des victuailles de son sac à dos, Vincent s'éclipsa un court instant. Quand il réapparut, il était dans le plus simple appareil.



Je ne pus m'empêcher de regarder son sexe, au repos, et d'en apprécier en connaisseuse les proportions.

-Tu as raison de t'être mis à poil, mon chéri, lui dit Eve. Il n'y a pas de raison que seules les filles soient nues, et je suis certaine que tu plais à Chloé.

Thierry, quant à lui, savait de moins en moins quelle attitude adopter. Il bredouilla une excuse pour nous dire que ça lui était impossible de faire comme nous... sans nous convaincre.

Nous étions en train de manger au bord de l'eau, quand une fille apparut sur l'autre rive. Elle était très belle, toute en rondeurs, et portait un chemisier largement déboutonné.



Elle semblait venir chercher de l'eau, et Thierry nous expliqua qu'il y avait tout près une case très rudimentaire, louée à des touristes en mal de nature sauvage. En nous voyant, elle nous adressa un grand sourire et un signe de la main.



-La randonnée se passe bien ? nous demanda-t-elle. C'est une bonne idée de vous mettre nus pour bronzer.
-Oui, c'est vachement agréable, répondis-je. Tu ne profites pas de la tranquillité du lieu pour faire comme nous ?
-Tu as raison, et je suis certaine que mon mari apprécierait, dit-elle, en se relevant et en commençant à déboutonner entièrement son chemisier.



-Tu as de très jolis seins, la complimenta Vincent, quand elle dévoila ses seins.
-Merci, répondit-elle, mais vos amies n'ont rien à m'envier.



Elle enleva son chemisier, baissa sa jupe, découvrant sa petite culotte. Elle était vraiment très sexy ! Elle prit de l'eau dans la rivière, puis reprit le chemin de sa case, entièrement nue.



-Et bien, s'esclaffa Eve, on peut dire que nous suscitons des vocations, même si nous avons moins de succès avec Thierry.
-Tu as tort de ne pas te mettre au nudisme, ajouta Vincent. Surtout qu'Eve te trouve à son goût.
-Et moi, Vincent ? minaudai-je, je ne te plais pas ?
-Bien sur que si, me répondit-il à l'oreille en me prenant par la taille.



Je me retournai pour l'embrasser à pleins bouche. Je collai mes seins contre son torse, pour qu'il les sente bien durs, et je pris sa queue dans ma main.



Nos langues se cherchèrent, et je sentis son gland gonfler doucement dans ma paume.

-Tu ne vas pas me laisser toute seule, Thierry, gémit Eve.

Cette fois, Eve avait vaincu la retenue de notre guide. En un instant, ses vêtements furent jetés sur son sac à dos, et nous pûmes le découvrir nu.



Il était, lui aussi, bien monté et, avec Eve, nous échangeâmes un sourire complice.

Vincent bandait ferme dans ma main, et je ressentais une furieuse envie de baise avec lui. Lentement, je m'agenouillai devant lui, en laissant courir mes lèvres sur son thorax, sur son ventre, jusqu'à son sexe dressé.

Je caressai un long moment encore cette queue, qui prenait des proportions impressionnantes, décuplant mon excitation. Lorsque Vincent se mit à soupirer, je jugeai qu'il était à point, et je le pris dans ma bouche.



Son gland palpitait entre mes lèvres. Je l'excitais autant que je pouvais, en le suçant, en mordillant la longue hampe déployée.

-Tu aimes ?, lui demandai-je en levant les yeux.



-Oh oui, c'est trop bon... Tu suces comme une reine... Ooooh, continue !
-Regarde ta femme, lui dis-je, elle n'a pas l'air de s'ennuyer non plus.



-Ca ne m'étonne pas, avoua-t-il, en plus ça m'excite de la voir sucer d'autres mecs, et elle le sait.

Vincent s'assit sur sa serviette, et je poursuivis ma fellation agenouillée, le cul bien cambré, me plaçant de manière à offrir à Eve le double spectacle de la queue de Vincent dans ma bouche, et de ma chatte déjà humide.



Nous dûmes inspirer encore Eve, qui redoubla d'énergie sur la bite de Thierry.



-Occupe-toi un peu aussi de ma chatte, demandai-je à Vincent, en m'installant à califourchon sur son visage. Et caresse-toi en léchant mon petit bouton.



C'était délicieux de sentir sa langue sur mon clito, et il était adroit dans cet exercice. Je ne quittais pas des yeux son pieu dressé, avec l'envie de plus en plus forte de me faire pénétrer.

J'étais folle de désir. Je vins placer ma chatte à la verticale de la bite de Vincent, et je m'empalai moi-même sur elle en poussant de petits cris.



Vincent avait placé mes mains sous mes fesses. Il me soulevait et me laissait retomber en cadence, m'arrachant un nouveau cri à chaque pénétration.

Il baisait vraiment bien, et se contrôlait parfaitement. Je savais qu'il allait me faire jouir, et je savourais l'attente de ce moment.

Pour varier les sensations, il me fit retourner. Je continuais de le chevaucher, mais bientôt, il introduisit son majeur dans mon petit trou.



-Oh oui, c'est bon, hurlai-je.

Il me labourait toujours la chatte, et me branlait l'anus, de plus en plus profondément, de plus en plus vite. Je sentis l'orgasme monter, et j'hurlai de plaisir.

Mais Vincent s'était retenu, et il n'en avait pas fini avec moi.

Eve, de son côté, chevauchait elle aussi Thierry, tout en suivant des yeux la performance de son mari, en l'encourageant.



-Vas-y, mon amour ! Fais-lui prendre son pied !

Vincent me fit relever, et m'appuyer contre un arbre. Il vint derrière moi, et je cambrai mes reins pour lui faciliter l'accès à ma fente.



De mes doigts, j'écartais les lèvres de mon sexe, mais je l'entendis me demander à l'oreille :

-J'ai envie de ton petit trou... Tu veux bien ?
-Oh oui, répondis-je, aussi surprise qu'excitée.

Et je sentis son gland forcer doucement ma rosette.



Très lentement, avec beaucoup de douceur, il me pénétra. Il progressait en moi millimètre par millimètre, avec des coups de reins à peine perceptibles, que je ponctuais de petits cris de plaisir. Quand la moitié de sa queue eut disparu entre mes fesses, il marqua une pause, et je me mis à contracter ma rondelle spasmodiquement autour du dard qui la transperçait.



-Tu aimes ?, demandai-je à Vincent, d'une voix troublée par l'excitation.
-Oh oui, répondit-il. Je ne croyais pas que ton cul était aussi serré.
-Et comme ça ? ajoutai-je en contractant encore plus mon anus, et en imprimant à mes hanches de petits mouvements circulaires, pour que sa bite vrille de nouveau mon petit trou.

Le sexe de Vincent s'enfonça plus profondément, sans qu'il bouge, et le plaisir lui arracha une sorte de plainte grave, qui fit retourner Eve.

-Et ta femme ? elle aime aussi se faire sodomiser ?
-Bien sur, me répondit Vincent. Vas-y, Thierry, ne te gêne pas, tu peux enculer Eve, elle n'attend que ça.
-Salaud ! Qu'est ce que Thierry va penser de moi ? s'indigna Eve, sans grande conviction.

Et effectivement, elle se souleva elle-même pour permettre à Thierry de se retirer de sa chatte, et de guider son gland luisant de mouille vers son petit trou.



Il l'empoigna par les fesses pour la faire coulisser sur son pieu dressé, et Eve poussait des cris stridents, sans cesser de nous regarder.

Voir sa femme chevaucher notre guide, planté dans son cul, redoubla l'excitation de Vincent. Sans se retirer de mon anus, il m'obligea à me redresser, me souleva comme si je ne pesais rien et, en me tenant par les cuisses, il me fit aller et venir sur sa verge dure comme du bois.



J'hurlais à nouveau de plaisir. Je faisais face à Eve et Thierry, et j'écartais les lèvres de ma moule pour qu'ils puissent mater ma fente béante, dégoulinante de cyprine, et mon petit trou défoncé par Vincent.

Thierry devint comme fou de désir. Il fit allonger Eve sur des troncs d'arbres et, malgré l'inconfort de cette position, il releva ses jambes pour pénétrer à nouveau son superbe cul.



Il la perforait de plus en plus profondément, de plus en plus fort, et Vincent avait adopté le même rythme. Eve jouit la première, je la suivis à quelques secondes, et nos cris retentirent bientôt ensembe, se répercutant entre les montagnes.

Nos deux hommes s'étaient retenus d'éjaculer, mais ils ne pouvaient plus tenir encore bien longtemps.

-On les suce, pour les faire jouir ? demandai-je à Eve.
-D'accord, me répondit-elle. Celle de nous deux qui recevra la première sa dose de sperme aura gagné !
-Et elle gagne quoi ?
-Vincent lui fera l'amour en public sur la plage de la Souris Chaude...

A peine avait-elle terminé sa phrase que je m'étais jetée sur la bite de Vincent. Je me mis à la pomper avec gourmandise, en lui présentant ma chatte pour qu'il puisse la contempler, et la caresser s'il en avait envie.



J'espérais ainsi pousser son désir à son paroxysme, et lui faire perdre tout contrôle pour finir vainqueur !

Mais Eve n'était pas du genre à renoncer. Elle empoigna le dard dressé de Thierry, et joua avec sa langue tout autour du gland gonflé, comme prêt à éclater.



-Regarde-les tous les deux, murmura-t-elle à notre guide. Je suis certaine que le seul spectacle de cette petite cochonne pourrait te faire jouir... Et pense que tu vas surement lui faire l'amour à elle aussi, avant la fin de notre randonnée.

Thierry, les yeux mi-clos, poussait des grognements annonciateurs d'une éjaculation imminente, et je repris de plus belle le gland de Vincent dans ma bouche. Je le suçais avec une frénésie résultant autant de mon excitation que de mon désir de gagner.



Mes efforts furent vains. J'entendis bientôt le râle de plaisir de Thierry, et je vis sa semence jaillir et s'écraser sur le visage d'Eve.



-J'ai gagné ! s'exclama-t-elle.

C'était de peu ! Vincent, excité autant par ma fellation que par la vision de sa femme maculée de foutre, m'envoya une longue giclée de sa liqueur dans ma bouche et sur mon visage.



Mais Eve était trop occupée à recueillir les derniers jets de foutre qui jaillissaient encore du gland de Thierry. Il semblait intarissable !



Moi aussi, je repris dans ma bouche la queue de Vincent, pour recevoir dans ma bouche et sur ma langue les dernières gouttes de son jus, délicieusement parfumé.



Je l'abandonnai enfin, comblée, et je vis qu'Eve continuait de regarder avec envie la tige qui venait de lui donner tant de plaisir.



Il nous fallut plusieurs minutes, à tous les quatre, pour reprendre nos esprits.

Thierry, le premier, revint à des considérations moins... érotiques, et nous rappela qu'il restait peu de temps pour rejoindre le gîte où nous devions dormir la nuit prochaine.

-Tu nous laisses un peu de temps, à Eve et moi, pour que nous allions enlever les traces de votre sperme ? objectai-je.



Nous sommes allées toutes les deux dans la rivière, et cette fois, nous n'avons même pas ressenti la fraîcheur de l'eau.

-On continue la rando à poil ?, me demanda Eve.
-Pas de problème pour moi, répondis-je. On peut essayer de convaincre les hommes de nous imiter.

Nous sommes remontées jusqu'au chemin. Thierry et Vincent admirèrent encore nos corps nus, dans ce décor superbe.



-Chloé et moi, on poursuit la marche sans nous rhabiller, lança Eve. Vous faites comme nous, les hommes ?

Vincent accepta tout de suite, mais Thierry n'osa pas, toujours pour des raisons professionnelles. J'étais un peu déçue, en suivant Eve et son mari, qui me précédaient sur le chemin.



Nous croisâmes encore quelques marcheurs, qui nous regardèrent avec incrédulité. Mais avec le jour qui déclinait, la température de l'air baissa rapidement, et nous dûmes nous arrêter pour remettre nos tenues de randonneurs.

Nous arrivâmes bientôt en vue du gîte, un ensemble de petites cases, sur les hauteurs d'un hameau.



-Nous y serons dans un quart d'heure, nous annonça Thierry. Le refuge appartient à Victoria et Joseph, un couple de jeunes réunionnais. Vous allez voir, ils sont super sympa et, comme ils sont eux aussi assez libérés, je crois qu'ils vont vous plaire.

J'échangeai un sourire avec Eve : cette étape s'annonçait très agréable !
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Chloé à la Réunion - Rando (2)


Nous arrivions au terme de la première étape de notre randonnée dans le cirque de Mafate, et le gîte dans lequel nous devions faire étape était en vue.



Heureusement, car j'étais fourbue, de même qu'Eve et Vincent, mes compagnons de rando, avec qui je venais de passer des moments très agréables.

Tous les trois, nous avions hâte de faire la connaissance de nos hôtes, Victoria et Joseph. Les quelques mots prononcés par Thierry, notre guide, avaient éveillé notre curiosité. « un couple de jeunes réunionnais, assez libérés... » Il n'en fallait pas plus pour que je me mette à fantasmer !

Enfin, nous atteignîmes le gîte. L'architecture était celle des cases de la région, mais l'intérieur, décoré simplement et avec goût, était confortable. Ce fut Victoria qui nous accueillit, très chaleureusement.



Elle portait une robe ultracourte, rose fuchsia. Sur le moment, je me demandai si elle était nue dessous, mais je finis par apercevoir un petit string noir. Par contre, elle ne portait pas de soutif, et on devinait ses petits seins bien fermes.

Spontanément, elle nous embrassa tous les trois, et Thierry fit les présentations.

-Vic, voici mes clients : Chloé, Eve et Vincent son mari. Nous avons fait une superbe ballade dans le cirque. En plus, j'ai découvert que ces deux femmes sont adeptes du bronzage intégral... et d'autres choses encore.
-Génial ! s'exclama Victoria, moi aussi. J'espère que vous n'êtes pas trop fatigués ?
-Pour être franche, oui, un peu, avouai-je. Mais après une bonne douche, ça ira mieux.
-J'espère, reprit Victoria, avec un petit rire. Vous êtes nos seuls clients pour cette nuit, et je compte bien vous organiser une soirée très chaude, avec Joseph.

Ces derniers mots de notre hôte excitèrent encore plus ma curiosité et mon impatience. En échangeant un regard avec Eve, je compris que je n'étais pas la seule.

Victoria nous fit faire le tour du gîte, et nous conduisit à nos chambres respectives. La mienne était éclairée par une grande porte-fenêtre, que j'ouvris aussitôt en grand. Dès que je fus seule, je me débarrassai de mes vêtements humides de sueur.



Je goûtai pendant quelques minutes la fraîcheur de l'air du soir sur mon corps, et compte tenu de ce que nous avait dit Victoria, c'est nue que je me dirigeai vers la salle de bains.



Je restai un long moment sous la douche, et l'eau chaude me relaxa complètement. En m'essuyant, je me dis que j'étais prête pour passer une bonne soirée...

De retour dans ma chambre, je m'habillai pour le dîner. Avant de partir, j'avais hésité à prendre quelque chose de sexy, ne sachant pas où et avec qui je me retrouverais pour cette soirée. Finalement, j'avais glissé dans mon sac à dos une minirobe en voile blanc, assez transparente, et je ne le regrettais pas.



C'est dans cette tenue que j'allai rejoindre la salle à manger. J'étais la première arrivée, et je croisai Joseph, qui allait et venait dans la cuisine pour préparer notre repas. Il se présenta.



C'était un superbe mec, plutôt jeune et musclé, et je ne pus m'empêcher de penser à ce que nous allions sans doute faire ensemble. De son côté, il me dévorait des yeux, et me complimenta sur ma robe

Quelques instants plus tard, Eve et Vincent arrivèrent à leur tour. Nous fûmes prises d'un fou rire en découvrant nos robes respectives, car Eve avait suivi le même raisonnement que moi : elle aussi avait emporté une minirobe transparente, sauf que la sienne était noire.



Autre point commun : l'une comme l'autre, nous ne portions ni slip, ni soutif !

Puis ce fut au tour de Victoria et de Thierry de nous rejoindre. Notre hôtesse avait gardé sa minirobe rose, et elle nous félicita elle aussi sur nos tenues.

-Vous êtes hyper sexy toutes les deux ! C'est génial d'avoir amené des robes comme ça, je crois qu'elles sont bien dans l'esprit de notre soirée.

Elle n'en dit pas plus ! Elle avait décidemment le don d'exciter notre curiosité.

Nous nous installâmes autour d'une grande table, et Joseph nous servit l'apéritif : un rhum arrangé particulièrement fort et fruité, qui avait sans doute des propriétés aphrodisiaques.

Après deux tournées, nos joues devinrent plus rouges, nos yeux plus brillants, et quelques mains commençaient à s'égarer sous la table.



Puis vint le repas, un délicieux et copieux cari poulet préparé par Joseph, suivi d'une salade d'ananas et de fruits exotiques arrosée par un punch.

La tête me tournait un peu, mais ma sensualité était exacerbée, et je me sentais prête à toutes les folies. Je n'étais manifestement pas la seule...

Après une dernière tournée de punch, Victoria demanda le silence pour nous proposer un jeu érotique.

-Eve, Chloé et moi, nous allons écrire chacune notre prénom sur un bout de papier. Ensuite, sur une autre série de petits papiers, Joseph écrira différentes combinaisons possibles pour un rapport amoureux.
-Mmmmh, je commence à trouver ta proposition intéressante, commenta Eve.
-Ensuite, on tire au sort les papiers contenant nos prénoms : Si le nom de Chloé, par exemple, sort en premier, c'est elle qui tirera la première un papier du deuxième tas. Si sur ce second papier, elle lit « deux hommes », elle devra alors choisir deux partenaires, et faire l'amour avec eux, pendant que les autres personnes présentes seront spectatrices, et n'auront pas le droit de se livrer à une autre activité sexuelle. Lorsque Chloé et ses partenaires auront terminé, celle dont le prénom aura été tiré au sort en deuxième fera de même, et ainsi de suite. Ca vous tente ?
-Quelle question ! Bien sur ! répondîmes-nous d'une seule voix.
-Je crois que nous avons, toutes les trois, un gros appétit, dit Victoria, et je vous propose que Joseph invite deux de ses copains qui habitent le hameau.

Eve et moi ne pouvions qu'être d'accord, et cette perspective excitait Vincent.

Pendant que Joseph téléphonait à ses amis, Victoria, Eve et moi, écrivions nos prénoms. Puis Joseph installa un grand lit pliant au milieu de la pièce, avant de s'isoler pour mettre au point les combinaisons qu'il retranscrit sur d'autres papiers. Lorsqu'il revint dans le séjour, il suggéra à Victoria :

-En attendant, tu pourrais nous faire un petit strip, en l'honneur de nos invités. Ca nous mettra dans l'ambiance.

A priori, Victoria ne demandait que ça... et nous aussi ! Elle se planta au milieu de la pièce, et retroussa sa minirobe, dévoilant un joli string en dentelle noire.



-Ne vous réjouissez pas trop, les filles, ce sera bientôt votre tour, dit-elle à Eve et moi en riant.
-Qui te dit que l'idée de me foutre à poil ne me réjouit pas ?, lui répondis-je.

En un clin d'œil, le robe de Victoria s'envola. Elle ne portait pas de soutien-gorge, comme je l'avais deviné, et ses petits seins fermes s'en passaient très bien. Leurs aréoles sombres pointaient, et elle resta un moment à nous fixer avec un regard provocant, ses mains tirant doucement sur l'élastique de son string.



Elle se tourna pour nous faire découvrir son cul cambré, en baissant son string.



C'est à ce moment que Fabrice et Olivier, les copains de Joseph, arrivèrent.

-Salut, les gars, leur lança Victoria. Vous arrivez au bon moment ! Ca vous dit de mater une petite réunionnaise toute nue ?
-Bien sur que ça nous dit ! Mais nous ne sommes pas seulement amateurs de réunionnaises, répondit l'un des trois en nous détaillant des pieds à la tête, Eve et moi.

Sans écouter leur réponse, Victoria s'était débarrassée de son string et, entièrement nue, nous laissait apprécier sa plastique parfaite.

Il y eut quelques secondes de silence admiratif, et Joseph nous présenta nos nouveaux partenaires de soirée.

-Je vous propose que Victoria procède au tirage au sort de vos noms, dit Joseph. Il n'y a pas de tricherie possible : vu sa tenue, elle ne peut pas cacher de papiers dans ses vêtements !

La jolie black s'approcha de la table sur laquelle se trouvaient les trois papiers pliés, les mélangea, et tira le premier :

-Eve, ce sera à toi l'honneur, annonça-t-elle... Puis, ce sera... moi !... Et enfin, il ne reste que Chloé... Et voilà, me dit-elle en me montrant le dernier papier.

J'étais un peu frustrée d'être la dernière, mais je me consolai en pensant que, à ce stade, mes partenaires seraient sans doute bien excités et en pleine forme.

Eve se leva, enleva sa robe d'un geste gracieux, et s'approcha de la table, où Joseph venait de déposer le second paquet de petits papiers.



Avec des gestes lents, elle en choisit un, le déplia, et lut à haute voix :

-Un homme...

On sentait poindre un peu de déception dans sa voix. Elle espérait sans doute une séance de baise moins conventionnelle !

-Choisis ton partenaire, maintenant, s'impatienta Victoria.
-Et bien, je choisis... Joseph !

Il se leva, et se débarrassa de ses vêtements en un éclair. Eve l'embrassa sensuellement sur la bouche, sa main posée sur sa verge qui gonflait et se dressait à vue d'œil, et il s'allongea sur le lit. En découvrant la taille du sexe qui allait la pénétrer, Eve ne regretta pas ce tirage au sort, et elle commença par le caresser et l'embrasser pour l'apprivoiser.



-Tu veux que je te suce ? demanda-t-elle avec un regard provocant.
-Bien sur, répondit Joseph, prends ma queue dans ta bouche, pompe-la bien fort.

Eve prit l'énorme pieu entre ses doigts, sa bouche se posa sur le gland turgescent, que nous vîmes disparaître entre ses lèvres distendues.



Eve suçait avec fougue le dard, qui remplissait sa bouche et étouffait ses gémissements de plaisir. Joseph appréciait cette fellation, et malaxait entre ses doigts les petites pointes dressées des jolis seins de sa partenaire.



Cette caresse décuplait le désir d'Eve, qui dévorait littéralement la bite de Joseph, en jetant des regards pervers en direction de Victoria, dont les seins gonflés trahissaient l'excitation.



Mais Joseph ne voulait pas se laisser entraîner trop loin à ce stade, pour pouvoir se contrôler et faire durer cette séance de baise. Il fit allonger Eve, plongea sa tête entre ses cuisses qu'elle ouvrait largement, et embrassa sa chatte gonflée.



Eve poussa des cris de plaisir quand la langue habile débusqua son clito dressé, puis s'insinua dans sa chatte inondée de mouille.

Ce cuni dura un long moment, et nous n'en perdions pas une miette. Lorsque Joseph estima qu'Eve était « à point », il se redressa, et posa sa verge dressée sur son ventre. Eve la prit dans sa main, et la branla doucement.

-Tu as envie de cette grosse bite dans ta petite chatte ? demanda-t-il à Eve.
-Tu veux bien me la prêter, demanda Eve à Victoria, en guise de réponse.
-Vas-y, ne te prive pas, répondit Victoria. Je veux que vous jouissiez bien fort tous les deux.



Joseph s'étendit sur le lit, et Eve vint le chevaucher. Elle prit le mât dressé entre ses doigts pour le guider vers sa grotte, et elle s'empala lentement sur lui.



En contractant tous les muscles de ses cuisses, elle se mit à aller et venir sur le pénis de Joseph, qui accompagnait le mouvement de petits coups de reins. Ils étaient synchrones, et bientôt, les cris d'Eve montèrent dans les aigus.

-Oooohh ! Je jouis ! Je jouis !... Oh, comme c'est bon...



Eve, secouée de spasmes, n'en finissait pas de jouir, mais Joseph se contrôlait. Nous comprîmes rapidement pourquoi...

-Tu aimes la sodomie ? demanda Victoria à Eve, qui avait du mal à reprendre son souffle.
-Elle adore ça, répondit Vincent à sa place. Ce n'est pas Thierry qui dira le contraire, n'est-ce pas ?
-Je confirme ! dit Thierry. Elle a pris un pied d'enfer cet après-midi... et moi aussi !

Eve s'était laissé tomber sur le côté et, sans lui offrir de répit pour se reprendre davantage, Joseph présenta son gland luisant de cyprine à l'entrée de l'anus d'Eve.

-Je t'en prie, vas-y doucement, supplia-t-elle. Elle est tellement grosse.

Joseph écarta les deux globes des fesses d'Eve et, avec beaucoup de douceur, s'enfonça dans son petit trou.



Il progressa lentement dans sa rosette, et marqua une pause. Comme elle se détendait, il lui demanda :

-Ca va, tu aimes ?
-Oh oui, c'est bon. Je te sens bien dans mon petit cul.
-Tu veux que je plonge ma bite jusqu'au fond de ton ventre ? Dis-le moi.
-Oui, oui, j'ai envie ! Encule-moi à fond, supplia-t-elle.



Il s'enfonça en elle d'un grand coup de reins, et elle hurla de plaisir.

Joseph se mit à faire coulisser son dard dans l'étroite rosette, avec des mouvements de plus en plus amples. Sa queue ressortait presque entièrement, avant de replonger au plus profond du petit cul d'Eve.



Elle poussait des cris inarticulés, et un nouvel orgasme la tétanisa.

Joseph la laissa reprendre son souffle. Il n'avait pas éjaculé, et sa bite était toujours aussi raide.

-Viens sur moi, lui commanda-t-il.

Et il la saisit par les cuisses pour la faire venir sur lui. Son gland trouva sans difficulté le chemin du petit trou d'Eve, qui poussa un cri lorsqu'il investit de nouveau sa rosette.



Il la soulevait comme un fétu de paille, et la laissait retomber sur son pieu. Eve poussait des cris inarticulés, et jouit de nouveau. Sans lui laisser de répit, il la fit retourner, et c'est elle qui, cette fois, vint le chevaucher, avec une sorte de rage.



Elle fut saisie par une dernière série d'orgasme, et s'avoua vaincue.

Joseph se retira, s'agenouilla devant Eve, et se branla à hauteur de son visage. Il ne mit pas longtemps à prendre son plaisir, et se mit à grogner. Eve ouvrit grand la bouche, pour recevoir les longues giclées du sperme épais du black.



Les joues et le menton maculés de foutre, Eve se releva, épuisée mais souriante, sous nos applaudissements.

Pour moi, l'expérience avait été aussi très excitante. Je m'étais rarement retrouvée cantonnée dans une position de spectatrice, dans les orgies auxquelles j'avais participé, et j'y prenais finalement du plaisir. Mes seins tout durs, et ma chatte trempée ne laissaient aucun doute !

-A ton tour, Victoria, lui dit son mari en nous rejoignant.

Elle se leva, et se dirigea à son tour pour choisir un petit papier. Je voyais qu'elle aussi était passablement excitée : ses yeux brillaient, les pointes de ses nichons dardaient...



-Deux hommes ! annonça-t-elle, avec une expression gourmande. En premier, je choisis... Vincent. Tu veux bien me le prêter, Eve ?
-Bien sur, répondit celle-ci. Après ce que je viens de faire avec Joseph, c'est la moindre des choses.
-Et en deuxième, ce sera Thierry. Ca fait une éternité qu'il ne m'a pas fait jouir.

C'est seulement lorsque les deux mecs se levèrent que je m'aperçus qu'ils étaient déjà nus. Ils s'approchèrent de Victoria, qui s'agenouilla.

-Tu es notre invité, à toi l'honneur, Vincent, dit-elle en prenant sa queue dressée entre ses mains.



Lentement, elle découvrit le gland et l'embrassa, avant de le glisser entre ses lèvres pulpeuses. Vincent ferma les yeux, pour mieux gouter la progression de son sexe dans la bouche de la belle réunionnaise, qui se mit à le sucer avec une adresse diabolique.

Elle le pompa de longues minutes, variant les mouvements de sa langue et de ses lèvres, jusqu'à ce que Vincent ne puisse plus retenir ses gémissements de plaisir. Alors, elle leva les yeux vers lui.

-Tu veux bien que je te délaisse quelques minutes, pour m'occuper de ce pauvre Thierry ?

Vincent ne répondit que par un grognement approbateur, et Victoria se tourna vers Thierry, qui bandait comme un taureau. A son tour, il eut droit à une fellation qu'il n'oublierait pas de sitôt.



Lorsque Thierry fut au bord de l'éjaculation, Victoria revint vers Vincent, qui s'allongea sur le lit. Elle se remit à le sucer, et regarda Eve avec un air malicieux.

-J'adore la bite de ton mec. J'ai hâte qu'il me défonce, lui dit-elle.



Eve se caressait en regardant la scène, et Victoria s'agenouilla pour poursuivre sa fellation. Avec un art consommé de l'exhibition, elle se cambrait pour nous faire admirer son superbe cul et sa moule luisante de cyprine.



Encore une fois, elle excita son partenaire au maximum, avant d'en changer. Elle reprit dans sa bouche le gland de Thierry, qui s'était étendu sur le lit, à côté du couple.



Mais Victoria avait elle aussi envie d'être caressée, et elle ne pouvait plus tenir. Elle s'installa en 69 sur Thierry, et celui-ci commença à lui caresser la chatte.



Elle était restée maîtresse d'elle-même jusque là, mais la langue de Thierry déclencha chez elle une réaction soudaine, et elle se mit à pousser de petits cris en ondulant des hanches.

-Je veux qu'on me baise ! cria-t-elle soudain, d'une voix méconnaissable, j'ai envie de bites dans ma chatte.

Et elle s'agenouilla, la tête sur le lit, cambrée, les fesses dressées.

-Viens, Vincent, dit-elle, enjôleuse, montre à ta petite femme comme tu fais bien l'amour.



Vincent monta sur le lit, et se plaça à la verticale de Victoria, pour plonger sa queue dans la chatte trempée et offerte, béante.

Vincent s'enfonça dans la fente de la belle réunionnaise d'un seul coup, sans la moindre difficulté. Il se mit aussitôt à coulisser en elle, de plus en plus vite, et les cris de Victoria emplirent la pièce. Il ralentit alors, pour ressortir presque totalement sa hampe du fourreau sombre, exciter les petites lèvres avec son gland, et replonger lentement dans la grotte accueillante. Et recommencer ainsi, encore et encore.



Victoria eut un premier orgasme, et c'était un spectacle inoubliable de la voir jouir. Elle hurlait, se cambrait, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Mais elle se ressaisit en quelques secondes.

-A toi, Thierry, réclama-t-elle, sans changer de position.

Notre guide remplaça Vincent, et se mit, à son tour, à pilonner sauvagement le minou de Victoria.



Elle feulait de nouveau, et le couple, sans se désunir, changea de position. Thierry se retrouva sur le dos, et Victoria prenait maintenant l'initiative. Renversée en arrière, en appui sur ses bras tendus, c'est elle qui donnait le rythme du coït, tout en nous regardant dans les yeux à tour de rôle.



Cette fois, elle se contrôlait et faisait durer le plaisir. Elle se retourna, pour chevaucher Thierry, qui se retenait d'éjaculer à grand peine. C'est elle qui jouit de nouveau, toujours aussi bruyamment.



Elle se dégagea, se laissa tomber sur le côté, et roula sur le dos. Je crus un instant qu'elle était épuisée, mais pas du tout !

Elle prit une pose provocante, écartant les jambes et exhibant sa fente rougie par le frottement des verges, et elle fixa Vincent de manière provocante.



-Tu as encore envie de ma petite chatte ? Elle n'est pas rassasiée...

Vincent, excité par le spectacle, bandait toujours aussi dur, et il sauta littéralement sur le lit, pour enfoncer son gland dans ce minou offert sans défense. Il se mit à baiser Victoria, avec une ardeur incroyable, lui arrachant un cri à chaque coup de reins.



-Attends, dit-elle au bout de quelques minutes. On va se placer pour qu'Eve puisse bien voir ta queue dans ma chatte.

Ils se désunirent un court instant, et Victoria vint s'empaler sur le pieu de Vincent, à demi étendu.



A côté de moi, Eve n'en perdait pas une miette, et me glissa à l'oreille :

-Quel tempérament, cette fille ! Je l'envie : deux mecs pour elle toute seule.
-Ne sois pas frustrée, lui répondis-je - sans savoir vraiment quelle tournure prendrait cette soirée - la nuit n'est pas finie.

Victoria en voulait encore plus ! Tout en continuant à chevaucher Vincent, elle interpella Thierry.

-Thierry chéri, tu veux bien nous rejoindre, pour me prendre en sandwich ?

Notre guide s'approcha aussitôt, pendant que Joseph se plaçait de manière à ne rien perdre du spectacle offert par sa compagne.

-Joseph t'a bien enculée tout à l'heure, Eve. J'ai envie de voir si ton mari est aussi performant, ça ne te gêne pas ?
-Au contraire, répondit Eve, ça m'excite de le voir faire ça avec une autre fille.

Et Victoria se souleva, aidée par Vincent qui lui malaxait les fesses, pour venir placer sa rondelle sur le gland turgescent. Son petit trou était lubrifié par toute la cyprine qui avait coulé de sa chatte, et la bite dressée s'enfonça sans difficulté.



Thierry s'était approché, et Victoria ouvrait grand la bouche pour le sucer.

Vincent la soulevait et la laissait retomber sur son pénis, et Victoria poussait des cris étouffés par le sexe de Thierry. C'était prodigieusement érotique.

Au bout de plusieurs minutes, elle se fatigua, et se retourna pour être plus à l'aise. Mais elle poursuivit encore un long moment cette séance de sodomie...



... Jusqu'à ce qu'elle jouisse encore, longuement.

-Ooooh ! Je jouis, cria-t-elle, tout en continuant de branler Thierry. Ouiiii ! Je jouis !... Comme c'est bon... Essayez de vous contrôler encore les gars, je vous veux autrement.

Thierry, qui connaissait bien Victoria, comprit ce qu'elle voulait. Il la souleva, se laissa tomber sur le lit, et l'encula d'un seul coup.

-Vincent, baise-là en même temps ! C'est ce qu'elle veut.

Et effectivement, Victoria poussa un long cri de plaisir quand il planta sa queue dans sa chatte.



-Oh, comme c'est bon ! gémit-elle... Ouiii, je vous sens bien... Oooh !!! Oui, comme ça ! Défoncez-moi, allez-y.. Bien à fond ! Aaaaaah !! Je jouis.

Cette fois, tout alla très vite. Mais l'orgasme de Victoria semblait ne jamais devoir s'arrêter. Ces deux partenaires étaient au bord de l'explosion, et ne pouvaient plus se retenir. Elle était encore secouée par des spasmes de plaisir, quand ils se retirèrent. Ils la firent mettre à genoux, et des flots de sperme jaillirent des deux bites, inondant la bouche, le visage et les seins de la jolie black.



Victoria, comblée, exultait et, autour du trio, les hommes bandaient, tandis qu'Eve et moi mouillions comme des salopes.

Je ressentais un désir irrésistible, et je réalisais que mon tour était venu de m'offrir en spectacle. Je me levai, et je me dirigeai vers le centre de la pièce, tout en enlevant ma robe.



J'étais la dernière à me mettre nue ! Ce n'était pas dans mes habitudes, et je pris sur la table un des papiers préparés par Joseph.

-Deux hommes, lis-je. Comme Victoria. C'est normal qu'il y ait des papiers identiques ?
-Oui, répondit Joseph, ça permet à chaque fille de nous dévoiler ses goûts et sa personnalité, car chacune fait l'amour différemment.

Je cherchai du regard les partenaires que j'allais choisir. Seuls les copains de Joseph n'avaient pas encore participé. Ils étaient particulièrement bien membrés, et j'avais vraiment envie de m'offrir à des blacks. Je désignai Fabrice et Olivier.

Les deux hommes me rejoignirent au centre de la pièce, et le silence se fit. Notre trio monopolisait l'attention des autres participants, et mes partenaires partirent à l'exploration de mon anatomie.



Leurs mains se firent de plus en plus indiscrètes, et je me laissais faire en appréciant leurs caresses. Ils prenaient leur temps, mais bientôt ils me demandèrent de me mettre à genoux. Sans surprise, je me retrouvai avec deux superbes bites dressées, à la hauteur de mon visage.

Je me mis à les branler, et les deux hommes manifestaient leur satisfaction par de petits grognements. Je les fis languir un peu, avant de me décider à prendre un premier gland dans ma bouche.



Je le suçai doucement, le mordillant, l'excitant de petits coups de langue. Mais mon second partenaire commençait à s'impatienter, et je pris sa longue tige, à son tour, entre mes lèvres.



Il devait trouver ma fellation trop timide car, au bout de quelques instants, il appuya sur ma nuque pour s'enfoncer jusqu'au fond de ma gorge. Je n'aurais jamais cru pouvoir le prendre en entier dans ma bouche, mais son gland atteignit le fond de ma gorge, m'étouffant presque.



Déjà passablement excitée par le spectacle offert par Eve et Victoria, je n'avais plus qu'une envie : sentir une queue bien raide me pénétrer - ou plus... Sucer Fabrice et Olivier décuplait mon désir, et ce fut une délivrance quand j'entendis l'un des deux (je ne sais plus lequel) me demander :

-Auquel de nous deux veux-tu t'offrir en premier ?
-Je ne sais pas, répondis-je, prise au dépourvu - de toute manière, j'avais envie des deux. Disons... Fabrice.

Il me semblait que c'était lui qui avait la plus grosse verge, et il s'étendit sur le lit. Je le pris de nouveau dans ma bouche, pour lubrifier son énorme gland en l'inondant de ma salive.



Je le sentais gonfler encore plus entre mes lèvres, et je craignais qu'il n'entre pas si facilement dans ma petite chatte, même si elle avait souvent accueilli des males bien membrés. Malgré ça, mon désir ne faiblissait pas, et je caressai discrètement ma fente pour mouiller au maximum.



Je me mis à gémir, avant même d'être pénétrée, et je me relevai, pour venir chevaucher Fabrice. Je pris son dard dressé dans ma main, pour le guider vers ma grotte.



C'était fabuleux, à la limite de la douleur, mais je tremblai finalement de plaisir et d'excitation quand mes petites lèvres furent écartelées pour livrer un passage au gros mat de Fabrice. Je contrôlais sa progression dans ma chatte, et je m'empalais tout doucement, millimètre par millimètre. Rarement, j'avais ressenti quelque chose d'aussi fort, et je poussais déjà des petits cris.



-Tu la sens bien ? me demanda Fabrice.
-Oh oui, oui... Qu'est ce qu'elle est grosse... Oooh, c'est bon !

J'étais parvenue à recevoir tout son pieu dans mon minou, et je me mis à monter et descendre sur lui. Chaque intrusion de la longue hampe dans ma fente atteignait mon point G, et provoquait dans mon bas ventre un véritable feu d'artifice.

Je ne m'y attendais pas aussi rapidement : un premier orgasme me fit hurler.

Fabrice me força à me relever, et je découvris Olivier, allongé lui aussi. Fabrice m'installa en levrette, entre les cuisses d'Olivier, et je devinai sans difficulté la suite. Lorsque je pris le pénis d'Olivier dans ma bouche, Fabrice empoigna mes hanches, et je le sentis me pénétrer par derrière, cette fois sans effort.



Il se mit à besogner ma fente à grands coups de reins. Il était vraiment endurant, et me démontrait toute l'étendue de ses qualités d'amant, accélérant ses mouvements, les ralentissant, marquant des pauses, tantôt avec son gland presque immobile entre mes petites lèvres, tantôt enfoncé au plus profond de mon ventre.

Il réglait ces mouvements en fonction de mes réactions et de mes cris, mais soudain, alors que je sentais monter encore la jouissance, il se retira.

-Olivier va s'occuper maintenant de ton petit trou, me dit-il, et il ne s'agissait pas d'une question.

J'étais tellement excitée que j'étais incapable de refuser quoi que ce soit. Je me laissai allonger sur le lit, des mains relevèrent et écartèrent mes cuisses et, instinctivement, j'écartais les globes de mon petit cul pour l'offrir à ce second amant.



Olivier était, lui aussi, gâté par la nature, et mon anus était étroit. Heureusement, ma rondelle était généreusement lubrifiée par ma mouille, et sa bite par ma salive. Pour me préparer, il ne s'enfonça pas d'un seul coup, mais introduisit d'abord l'extrémité de son gland, le retira, me pénétra de quelques millimètres supplémentaires, et ainsi de suite, jusqu'à ce que mon petit trou soit assez agrandi.



A partir de ce moment-là, il se mit à me sodomiser doucement, puis de plus en plus vite. Je ne parvenais plus à contrôler mes cris.

-Tu aimes ça, hein, Chloé, me demanda-t-il, à peine essoufflé.
-Ah, j'adore, j'adore... Continue, encule-moi à fond !

Comme s'il n'attendait que ça, il me souleva, et me fit coulisser sur sa queue. Tous les autres s'étaient rapprochés, se baissaient pour mieux me voir défoncée par la verge d'Olivier.



Et je jouis encore, avec des cris aigus, mais Olivier s'était retenu, et Fabrice nous rejoignit. Il me saisit à son tour, et amena ma fente sur son gland, qui perfora de nouveau mon minou. Et Olivier se replaça derrière moi, pour me sodomiser encore.



J'étais prise en sandwich, debout. C'était délicieux, mes seins dardaient, ma mouille dégoulinait sur la longue hampe de Fabrice.

Les deux hommes, conscients de mon abandon le plus total, me traitaient comme une poupée de chair, dans laquelle ils s'enfonçaient avec délice. Je n'étais plus qu'une chatte et un cul, et je savais que je ne pourrais pas retarder bien longtemps l'explosion de mon prochain orgasme.



Ils parvenaient à coordonner parfaitement leurs mouvements, et j'avais l'impression que leurs glands allaient déchirer la mince paroi qui les séparait. Mais ils se contrôlaient toujours, malgré mes cris quand je me laissai emporter par la jouissance.



La position debout devenait inconfortable, et Olivier s'allongea. Encore secouée de spasmes, je vins le chevaucher, mais je réalisai soudain que, ainsi installée, j'offrais mon cul à Fabrice ! J'étais incapable de la moindre résistance, et je me raidis quand je sentis son gland contre mon anus.



Je ne le vis pas, mais je crois qu'il utilisa un lubrifiant, car il parvint à me pénétrer, avec d'infinies précautions. Malgré cela, il ne put s'enfoncer totalement, et réussit tout de même à aller et venir en moi, me faisant chevaucher Olivier, et m'arrachant des cris de plaisir.



Ayant pitié de moi, ils me firent me retourner. Olivier se retrouvait de nouveau dans mon petit trou, et Fabrice labourait ma chatte.

La fatigue me gagnait, mais c'était si bon que je me remis à hurler.

-Oh oui, c'est bon ! Vous allez encore me faire jouir, je vous adore... Ouiii, continuez... encore... Oooh, j'aime ça !



Et je jouis, interminablement. Comme cela m'arrive lorsque je suis arrivée au summum du plaisir, les orgasmes se succédaient, me tétanisaient.

Fabrice se retira le premier, pour décharger sur mon visage, pendant qu'Olivier, sous moi, ne pouvait se retenir plus longtemps. Je sentis son dard trembler au fond de mon ventre, il grogna, et un flot de sperme jaillit dans mes entrailles. Lorsque sa verge eut dégagé mon petit trou, sa semence s'écoula lentement.



Fabrice me prit par la main, pour me faire asseoir. Il me présenta sa queue, et je titillai quelques secondes son gland turgescent. Je n'eus pas longtemps à attendre : de longs jets de foutre jaillirent, finissant dans ma bouche, sur mon visage, sur mes seins.



Il se laissa tomber sur le lit, fatigué par ce long coït, et j'allai rejoindre les autres, épuisée aussi, mais comblée.

Victoria me félicita, ainsi qu'Eve et Vincent.

-Nous arrivons à organiser de temps en temps des soirées libertines avec des randonneurs, mais vous serez un de nos meilleurs souvenirs !

Joseph renchérit, et nous proposa d'aller nous rafraîchir dans les salles de bains. Avant que nous quittions la pièce, Victoria suggéra :

-Après la douche, nous vous servirons un petit rhum arrangé comme vous n'en avez jamais dégusté. Et si vous voulez, on peut faire une deuxième manche.

Eve me regarda : elle était d'autant plus partante qu'elle avait eu droit à un seul mec pendant la première manche ! Nous éclatâmes de rire.

-Si les hommes sont d'accord, on est partantes !
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Chloé à la Réunion - Rando (3)


Après la première manche du jeu inventé par Victoria et Joseph, nous nous sommes tous dirigés vers les salles de bains pour nous rafraîchir, avant de reprendre cette orgie ludique.

Eve m'a proposé de prendre sa douche avec moi, et nous sommes allées toutes les deux dans ma chambre. Il n'était pas question d'ébats saphiques, car nous devions garder les quelques forces qui nous restaient, après notre marche et cette première partie de soirée. Nous nous sommes tout de même aspergées et savonnées l'une l'autre, et nous avons du résister à la tentation d'aller plus loin.



Nous avons profité de ce tête à tête, pour échanger nos impressions sur ce que nous venions de vivre.

-C'était bien, avec Joseph ? demandai-je.
-Génial ! J'étais un peu déçue de me taper un seul homme, mais quelle queue ! Et il sait s'en servir !
-C'était la première fois que tu faisais ça avec un black ?
-Franchement, oui. Je ne crois pas trop à la réputation qu'on leur fait, mais pour Joseph, j'avoue que c'est sans doute la plus grosse bite qui m'ait jamais pénétrée. Et pourtant, Vincent est bien équipé ! Et toi ? Ce n'était pas la première fois que tu te faisais prendre en sandwich, non ?
-Pas vraiment, répondis-je en souriant. Mais Fabrice et Olivier savent s'y prendre. Si tu as l'occasion, tout à l'heure...

Puis, nous nous sommes essuyées mutuellement et, dans le plus simple appareil, nous sommes revenues dans le séjour du gîte. Tout le monde y est arrivé presque en même temps, et Victoria et Joseph nous attendaient déjà.

-Prêtes pour la suite ? nous demanda Victoria, étendue sur le lit dans une position particulièrement provocante.



-Bien sur, répondîmes-nous d'une seule voix, Eve et moi. Et on espère que les mecs sont en forme, ajoutai-je.
-C'est bien ce qui nous semblait, reprit Victoria. Joseph a donc pris l'initiative de « corser » les combinaisons pour la 2ème manche, et il a appelé deux autres copains en renfort. Ils ne devraient pas tarder.
-Cela fait... sept types pour trois filles ?, commentai-je après avoir fait le compte mentalement. Il va falloir qu'on assure !

En attendant, Joseph nous servit une tournée d'un délicieux - et explosif - rhum citron.

Quelques minutes plus tard, Christian et Mickael arrivaient, et Joseph ressortit ses trois petits papiers, pour la première phase du tirage au sort.

-Chloé, tu étais la dernière à jouer tout à l'heure. A toi l'honneur, me dit Joseph.
-La première sera... Victoria ! annonçai-je. Puis... Eve... Et enfin... je serai encore la dernière, conclus-je en montrant le troisième papier.

Victoria, rayonnante de désir, se dirigea vers la table où se trouvaient les fameux nouveaux petits papiers pliés et, après avoir excité notre curiosité par une hésitation feinte, elle déplia lentement celui qu'elle avait sélectionné.

-Mmmmh ! Voilà quelque chose d'original, commenta-t-elle : une femme et deux hommes ! Pour la femme, je choisis... Chloé, pour la consoler d'être encore la dernière. Quant aux hommes, bienvenue aux nouveaux arrivants, ce sera Mickael. Et je laisse Chloé choisir le deuxième.
-Et bien, j'invite Vincent à faire partie de notre quatuor. Deux hommes et deux femmes, deux blacks et deux blancs, c'est la parité !

J'étais ravie de ce tirage au sort, et de l'initiative de Victoria, d'autant plus que Mickael était séduisant et bien membré. Mais Victoria gardait l'initiative.

-Pour commencer, chacune de nous va « chauffer » le partenaire qu'elle a choisi, dit-elle en s'agenouillant devant Mickael.



Je l'enviai un peu, car la verge de Mickael était impressionnante. Cependant, j'avais déjà eu l'occasion, pendant la rando, de sucer la tige de Vincent, et je savais que je n'avais pas à me plaindre. Je m'installai à mon tour, pendant qu'Eve se rapprochait pour profiter du spectacle.

Je commençai par prendre le gland gonflé entre mes lèvres, pour l'embrasser, le mordiller, l'exciter avec des petits coups de langue.



Très vite, il grossit encore. Je fis durer le plaisir, et quand je le pris dans ma bouche, j'étais incapable d'engloutir en entier le membre dressé.



Du coin de l'œil, j'essayais d'observer Victoria. Elle suçait le gland de Mickael avec gourmandise, mais elle aussi ne pouvait le prendre en entier dans sa bouche. Les petits grognements de satisfaction de son partenaire en disaient long sur la sensualité des caresses buccales de notre hôtesse !



De mon coté, Vincent ne se plaignait pas non plus, si j'en jugeais par ses soupirs, et par les caresses de sa main dans mes cheveux, plus pressantes quand ma langue touchait un point sensible de sa bite.

Cependant, Victoria aimait varier les plaisirs - je n'y étais pas opposée non plus... - et elle dirigeait toujours la partie.

-On échange nos mecs, Chloé ? me demanda-t-elle.
-Comme tu veux, répondis-je en me dirigeant vers Mickael, sans que les hommes aient eu leur mot à dire.

L'énorme gland rose, au sommet de la longue hampe sombre, avait des allures de friandise. Je posai délicatement mes lèvres sur son extrémité, caressant le méat avec ma langue. Mickael tressaillit, et je descendis lentement ma bouche le long de sa tige.



Victoria suivait ma fellation d'un œil connaisseur, tout en léchant le gland de Vincent. Elle s'interrompit un court instant, pour me demander :

-Tu aimes la bite de Mickael ?
-Mmm, oui ! Quel engin !, répondis-je.
- Ta chatte va pouvoir l'accueillir ?
-Bien sur ! Et j'espère bien que ce ne sera pas que ma chatte !

Victoria éclata d'un rire cristallin, avant de se jeter littéralement sur Vincent.



Il profitait de sa position pour caresser sa fente, et on voyait la cyprine briller sur ses doigts. Ce contact sur son clito et ses petites lèvres excitait Victoria, qui démarra au quart de tour.

-Lèche-moi, bouffe-moi la chatte, ordonna-t-elle en venant chevaucher Vincent.



Le visage enfoui entre les fesses de la jolie réunionnaise, il s'activait, titillant son clito dardé, insinuant la pointe de sa langue dans sa fente. Victoria feulait déjà de plaisir, et Vincent la fit allonger, pour mieux plonger entre ses cuisses.



J'avais du mal à suivre la scène, car je pompais la queue de Mickael comme une vraie salope, tout en le branlant de mes deux mains. Mon partenaire poussait maintenant de petits gémissements, et se concentrait pour ne pas jouir.



Victoria, elle, ne cherchait pas à se contrôler : elle savait qu'un orgasme rapide ne l'empêcherait pas de reprendre ensuite très vite son pied. Je l'entendis jouir avec des cris aigus.

Mais elle récupéra à une vitesse époustouflante, pour nous donner d'autres ordres :

-Mickael, viens bouffer ma chatte à ton tour. Et sois aussi adroit que Vincent.

Mon partenaire m'abandonna - mais je savais que je ne serais pas seule longtemps, et que j'allais retrouver Vincent. Le black plongea à son tour la tête entre les cuisses écartelées de Victoria.



Pendant que Victoria ponctuait par de véritables vocalises les sensations que lui procurait Mickael, Vincent s'allongea, et je m'installai sur lui en 69.

Sa queue, dressée à la verticale, s'offrait à ma bouche. Je la pris dans ma main, avec des gestes pleins de tendresse, et mes doigts glissèrent sur la longue hampe, montant et descendant des couilles jusqu'au gland.



Vincent avait pris position entre mes cuisses, et devait dévorer des yeux ma chatte... avant de la dévorer autrement. Je sentis ses mains écarter les globes de mes fesses, ouvrir mon sexe pour débusquer mon petit bouton. Et enfin, sa langue partit à l'exploration de mon intimité. Elle pointait entre mes petites lèvres, lapait ma sève, descendait jusqu'à mon clito tout gonflé.



Moi aussi, je poussais de petits cris, tant cette langue me faisait du bien et, pour remercier Vincent, je m'appliquais à sucer et à mordiller son gland turgescent.

Je sentis les vagues du plaisir envahir mon ventre, me tétaniser. Je me cambrai, en écartant un peu plus les jambes, pour m'offrir totalement à la bouche et aux doigts adroits de Vincent. Je le suçais avec gourmandise, enfonçant sa verge jusqu'au fond de ma gorge.



J'étais au bord de l'orgasme, quand Victoria nous sépara.

-Chloé chérie, tu as bien chauffé Vincent. Tu veux bien qu'il me baise ? demanda-t-elle en minaudant.

Je me sentais un peu frustrée d'avoir été interrompue alors que j'allais jouir, mais il me semblait normal que Victoria mène le jeu. Elle s'en rendit compte.

-Merci, c'est gentil de ta part. Je te promets de te revaloir ça tout à l‘heure.

Vincent et moi étions encore allongés, enlacés, et la réunionnaise vint le chevaucher, en lui montrant son superbe cul, et sa fente luisante de sa sève et de la salive de Mickael. Bonne joueuse, je guidai la bite bien raide de Vincent vers la chatte de Victoria.



Il s'introduisit sans difficulté dans la grotte de notre hôtesse, tandis qu'Eve se rapprochait pour mieux apprécier le spectacle offert par son mari. Victoria ponctuait de petits gémissements la lente progression du pieu.

Mais Vincent avait envie de prendre davantage le contrôle des opérations. Sans se retirer, il réussit à se dégager, et à se placer derrière Victoria pour la prendre en levrette.



-Oooh ! C'est bon, dit-elle en me regardant. Tu devrais t'occuper un peu de Mickael, pendant ce temps-là...
-
Dans cette position, Vincent se mit à labourer le minou de la jolie black à grands coups de reins. Déjà bien excitée par Mickael, elle se déchaîna aussi.

Hypnotisée par la scène, je suivis néanmoins le conseil de Victoria. Mickael s'était installé sur le canapé pour jouer au voyeur, et je le rejoignis pour le sucer.



Je savourais l'énorme tige, que Victoria avait déjà prise aussi dans sa bouche. Je me redressai un instant en entendant les cris de Victoria.

-Ouiiii ! Je vais jouir !... Laisse-moi te chevaucher...

Avec une force étonnante pour un si petit gabarit, elle empoigna Vincent, et le plaqua sur le canapé, avant de venir s'empaler sur sa queue.



Elle se lança dans une chevauchée dantesque, hurlant de plaisir. Subjuguée par la violence de l'orgasme de Victoria, j'en avais délaissé Mickael.

Lorsque les cris de notre hôtesse se calmèrent un peu, je crus qu'elle allait prendre un peu de temps pour récupérer. Mais non ! Elle me bouscula, et vint s'empaler de nouveau, cette fois sur le pieu de Mickael. Nous restions tous là, bouche bée.



-Ouaaaah ! Je jouis !... Je jouis encore ! cria-t-elle entre deux longues plaintes.... Retiens-toi, Mickael, il va falloir s'occuper de cette pauvre Chloé qui n'a pas encore pris son pied.

C'est à peine si j'avais eu conscience de ce qu'elle disait. Un désir fou ne me quittait plus, et j'aurais été incapable de refuser n'importe quelle proposition sexuelle.

Je réalisai seulement lorsque Mickael, libéré, et Vincent se dirigèrent vers moi. Je me demanderai longtemps comment ils pouvaient ne pas avoir encore éjaculé.

Victoria fit allonger Vincent, me guida pour que je m'empale sur lui. Je sentis son dard s'enfoncer lentement dans ma fente, pendant que la black lubrifiait maintenant ma rosette avec sa salive, et la préparait avec ses doigts. Quand elle m'estima prête, Mickael vint derrière moi, et son gland se fraya un chemin dans mon petit trou.



Pendant qu'il s'enfonçait dans mon anus, Victoria me caressait les seins. C'était délicieux.

Le black qui m'enculait me pistonnait de plus en plus profondément, de plus en plus vite. Déjà excitée par la performance de Victoria, je cherchais à retarder l'orgasme qui montait, sans succès.

Je gémissais encore, lorsque Mickael me fit changer de position. Il me souleva, me retourna sans effort apparent, et vint empaler mon petit cul sur la verge dressée de Vincent. Lorsque mon anus fut bien rempli, il planta sa bite dans ma chatte.



Je poussai un cri de plaisir. Victoria, juste derrière moi, suivait la scène en se caressant.

Mickael continua à pilonner ma chatte, jusqu'à ce que je sois de nouveau au bord de l'orgasme. Mais Victoria lui chuchota quelques mots à l'oreille. Il se retira encore, et échangea sa place avec Vincent.

Quand le gland du black s'enfonça entre mes fesses, j'avais l'impression qu'il avait encore grossi. Je contractais tous mes muscles autour des deux bites, excitant les deux hommes, et c'est alors que Victoria vint mettre son sexe sur mon visage.



Je n'hésitai pas une seconde. Mes lèvres et ma langue se lancèrent dans l'exploration de sa fente et de son petit bouton.

Tous les quatre, nous ne savions plus ou nous en étions. Victoria et moi, nous jouîmes encore, formidablement.



Mickael et Vincent ne pouvaient plus se contenir. Pour hâter leur plaisir, ils se relevèrent, sans que nous nous séparions, et ils me prirent encore quelques instants en sandwich, debout. Et un dernier orgasme me terrassa, pendant que les grognements des deux hommes annonçaient l'éjaculation prochaine.



-Oh, putain ! Je sens que ça vient, je ne peux plus me retenir ! grommela Mickael.
-Moi aussi. Ooooh, comme ça va être bon, renchérit Vincent.

Ils eurent tout juste le temps de me poser par terre. Victoria se rua sur Vincent, pendant que je prenais Mickael dans ma bouche en le branlant. Le sperme gicla des deux glands gonflés à éclater, emplissant nos bouches, éclaboussant nos visages et nos poitrines.



Victoria me regarda, triomphante.

-Tu veux goûter le foutre de Vincent, me demanda-t-elle, en approchant sa bouche de la mienne.

Nous nous embrassâmes voluptueusement toutes les deux, mélangeant la semence de nos partenaires en jouant avec nos langues.



Je me relevai, fourbue, et rejoignis les autres participants à la soirée qui me regardaient avec une expression admirative. Eve se précipita sur Vincent, encore essoufflé, et lui prodigua un long baiser.

-Je suis fière de toi, mon amour, lui avoua-t-elle, les yeux brillants.



Victoria lui rappela que c'était à son tour de « jouer ». Eve se dirigea vers la table, et prit un des papiers pliés. Elle le lut à haute voix, en nous le montrant :

-Deux hommes !
-Il te faut les choisir, maintenant, lui rappela Joseph.

Eve prit son temps pour choisir, déambulant devant tous les mâles avec des poses érotiques, la mine gourmande.



-Je choisis... Fabrice et Olivier ! Ca te rappelle quelque chose, Chloé ?

Les deux blacks s'approchèrent d'Eve, qui jetait des regards gourmands vers les deux sexes qui commençaient à grossir, excités par la perspective de la pénétrer.

Elle me demanda :

-Combien de fois t'ont-ils fait jouir, tout à l'heure ?
-Quatre fois, répondis-je après avoir réfléchi pour me remémorer la scène.
-Alors, essayez de faire mieux avec moi !, dit Eve aux deux hommes.
-Compte sur nous pour faire le maximum, renchérit Fabrice.

Eve s'agenouilla sur le sol. Sans qu'elle demande quoi que ce soit, les deux hommes se plantèrent de chaque côté de son visage, et elle prit leurs bites dans ses mains. Elle les branlait avec sensualité, prenait alternativement chaque gland entre ses lèvres, s'attardant particulièrement sur celui d'Olivier, en fixant Vincent dans les yeux.



Olivier la fit allonger sur le canapé, et s'installa en équilibre sur le dossier, présentant sa longue tige maintenant complètement en érection à la portée de la bouche affamée d'Eve. Celle-ci reprit aussitôt sa fellation, pendant que Fabrice lui écartait les cuisses.



La cyprine brillait sur les petites lèvres entrouvertes. Lentement, Fabrice planta son dard dans la fente de la jolie brune, qui lâcha un cri étouffé quand elle sentit le pieu progresser dans sa chatte.

Il ménageait ses effets, s'enfonçant doucement, centimètre après centimètre, marquant de longues poses, jusqu'à ce qu'Eve soit obligée de clamer son désir. Enfin, la bite disparut entièrement entre ses cuisses, et il se mit à la pilonner.

Nous ne pouvions pas ignorer l'état dans lequel elle était : elle poussait des cris révélateurs d'un premier orgasme proche. Mais les deux hommes échangèrent quelques mots à voix basse, et soudain ils saisirent Eve par les bras et par les cuisses. Fabrice lui fourra sa queue dans la bouche, tandis qu'Olivier investit de nouveau sa chatte, et ils commencèrent à lui imprimer un mouvement de balançoire.



Le spectacle était, pour nous, fascinant. J'imaginais ce qu'Eve devait ressentir, impuissante, complètement soumise aux assauts des deux blacks. Bientôt elle se mit à hurler, en se tordant de plaisir, et elle jouit. « Et d'une... » comptai-je mentalement.

Elle n'eut droit à aucun répit. Mais elle ne semblait pas en demander : les cheveux collés par la sueur qui ruisselait aussi sur son corps, son regard fiévreux trahissait son désir. Fabrice s'assit sur le canapé. Eve le chevaucha. Sa grotte inondée de sève s'ouvrit sans difficulté.



-Approche, que je te suce, commanda-t-elle d'une voix rauque à Olivier.

Elle se mit à pomper le gland, parfumé par sa mouille, pendant que Fabrice allait et venait dans sa chatte, furieusement. De nouveau, les cris de ma copine de rando grimpaient dans les aigus et, à nouveau, ses partenaires l'obligèrent à interrompre sa chevauchée.

-As-tu envie que je te prenne par ton petit trou, lui demanda Fabrice.
-Oh oui, murmura Eve.
-Allez-y, j'ai envie de voir ça ! s'écria Vincent pour les encourager.

La jeune femme se redressa, se retourna, et guida elle-même l'énorme bite vers son anus.



Olivier la regardait faire, en se branlant. Elle lui fit un petit signe, et se jeta littéralement sur sa verge, quand elle fut à sa portée, pour le sucer, encore et encore.



Fabrice la tenait par les hanches, pour la soulever, et la laisser retomber sur son pieu dressé. Mais il n'avait guère d'effort à faire, tant elle se démenait elle-même sur le mandrin qui la perforait. Elle était déchaînée à un point tel qu'Olivier se retira de sa bouche, et resta à la contempler en se caressant.



-Ouiiiii ! Je jouis, cria-t-elle soudain.
-Et de deux... pensai-je
-Vincent, mon chéri... ajouta-t-elle en reprenant un peu son souffle. Ca te plait de voir ta petite femme se faire défoncer le cul ?
-J'adore, mon amour, répondit-il. Continue, tu me fais bander.

Olivier voulait maintenant profiter du petit trou étroit de la jolie brune. Fabrice s'était assis sur le canapé, et elle s'agenouilla pour le sucer, cambrant les reins pour s'offrir au nouvel assaut qu'elle devinait et qu'elle attendait.



Olivier lubrifia un peu la rosette avec sa salive, et s'enfonça lentement dans son ventre.

Elle se détendit rapidement, et ses feulements rassuraient Olivier. Il se mit à la pilonner avec force, de plus en plus vite. Eve était maintenant dans un état second, aux frontières du plaisir, et c'est à peine si elle se rendit compte qu'ils échangeaient leurs places.



Les deux hommes étaient toujours aussi endurants, et nous entendîmes bientôt Eve crier.

-Oooh ! C'est bon... Oui, je viens encore... Ooooh ! Ca y'est, je jouis.
-Et de trois, dis-je, à haute voix cette fois, et Vincent me regarda en souriant.
-On va la prendre en sandwich, je suis sur que ça va lui plaire, annonça Fabrice.
-Oh, oui, faites-moi ça, approuva Eve d'une voix essoufflée.

Malgré ce qu'elle venait de subir, les pointes de ses seins étaient toujours aussi gonflées et tendues, confirmant son désir.

Elle s'empala de nouveau sur la queue de Fabrice, et Olivier s'approcha.



-Vas-y, Olivier ! Qu'est ce que tu attends, défonce-moi, réclama Eve.

Elle regretta bientôt son impatience, car il la pénétra cette fois d'un seul coup de reins, et le cri d'Eve ne marquait pas seulement sa surprise !



Très vite, la douleur disparut, remplacée par un plaisir nouveau. Malgré la taille des deux sexes qui coulissaient dans ses orifices, elle se ressaisit, et ondulait doucement des hanches pour mieux goûter ses sensations.

-Oui !... C'est bon... Comme c'est bon... commentait-elle, entre deux gémissements.



Vincent s'approcha, pour mater en gros plan le cul et la chatte de sa compagne, d'où sortaient et disparaissaient, à un rythme effréné, les deux énormes bites. Et Eve écarta elle-même une de ses fesses, pour s'exhiber devant son mari.



Nous ne savions pas si c'était l'excitation de s'offrir ainsi en spectacle en public à son mari, mais elle jouit dans les secondes qui suivirent.

-Et de quatre, m'annonça Vincent, triomphalement.

C'était maintenant un festival insensé. Fabrice et Olivier avaient échangé leurs places une fois de plus.



Le trio était déchainé. Fabrice éjacula le premier, dans la chatte d'Eve, bientôt suivi par Olivier, dans son petit trou. La puissance des jets de sperme au fond de son ventre provoqua un raidissement de tout le cops de la jolie brune, qui jouit une dernière fois en hurlant, les yeux à moitié révulsés.

Lorsque ses deux partenaires se retirèrent, Eve s'écroula, au bord de l'évanouissement, et le foutre commença à couler lentement de sa fente et de son petit trou.



Vincent dut venir la soutenir, pour qu'elle arrive à se relever, mais son regard était éclairé par le plaisir qu'elle venait de prendre.

-Cette fois, c'est moi qui détient le record a battre pour cette soirée, me lança-t-elle, radieuse malgré la fatigue.
-Je n'ai pas dit mon dernier mot !, répondis-je crânement - mais dans mon for intérieur, je ne m'imaginais pas capable de jouir plus de cinq fois, après notre longue randonnée et ce début de soirée.

Joseph me fit signe d'aller choisir mon papier, pour la dernière manche. J'hésitai un instant, et j'en choisis un que je dépliai. En découvrant ce qui y était écrit, je fus partagée entre la panique et l'excitation, et je restai silencieuse quelques secondes. Pressée par les autres, je finis par lire à haute voix :

-« Tu viens de gagner le gros lot de la soirée - choisis quatre hommes » !

Un tonnerre de cris et d'applaudissements éclata dans la pièce, et je finis par me ressaisir.

-En premier, je choisis Christian, qui doit commencer à se morfondre... Puis Joseph, l'organisateur plein d'imagination de ce jeu.

Les deux premiers nommés se levèrent, et m'entourèrent. Je pris leurs énormes sexes à moitié dressés dans mes mains, tout en parcourant l'assistance du regard.



-Ensuite... Mickael, qui m'a donné un aperçu de ses talents tout à l'heure... Et enfin Thierry, notre guide. Pour ne pas être traitée de raciste !, ajoutai-je en riant.

Mes deux derniers partenaires me rejoignirent à leur tour et, en guise de bienvenue, je les gratifiai de petits coups de langue sur leurs glands.



Je commençai à prendre goût à cette fellation, mais j'entendis une voix derrière moi :

-Regarde la surprise que je te réserve.

Je me retournai : c'était Christian. Il se masturbait en me regardant, et son sexe avait pris des proportions sidérantes. Hypnotisée, je m'agenouillai devant lui, et je me mis à embrasser la hampe impressionnante.



« Comment est-ce que je vais réagir tout à l'heure, quand il voudra me pénétrer ? » pensai-je. Mais le désir et l'excitation reprirent bien vite le dessus, pendant que je mordillai la longue tige, tout en souriant à Eve, dont je devinais la jalousie...



... avant de prendre le gland dans ma bouche, pour l'apprivoiser.



Mes trois autres partenaires trouvaient que ces préliminaires duraient bien longtemps, et commençaient à s'impatienter. Je n'avais pas non plus l'intention de les faire languir. Je me penchais en prenant appui sur le lit, me cambrant pour découvrir ma fente et mon petit trou, dans une pose provocante.



-Je crois que mon minou est affamé, lançai-je avec une expression mutine. Qui veut commencer ?

Mickael fut le plus rapide. Je m'étendis sur le dos, il vint se placer entre mes jambes, et me pénétra doucement, dans la position du missionnaire. C'était bien conventionnel, mais cette mise en route tout en douceur me convenait, et la suite ne pouvait qu'aller crescendo...



Je sentais la grosse bite de Mickael s'enfoncer tout au fond de moi. Il me connaissait déjà, avec mes points sensibles, et il savait prendre son temps. Très vite, il m'arracha les premiers soupirs de plaisir.

Joseph s'installa à côté de moi, et je m'allongeai sur ses cuisses musclées. Tout naturellement, mon visage se trouva au niveau de son sexe, et je le pris dans ma bouche. Son gland turgescent gonflait encore plus dans ma bouche.



Je me mis à émettre des gémissements étouffés, révélateur de l'excitation qui me gagnait, et ces gémissements, l'ondulation de mes hanches à chaque coup de reins de Mickael, constituaient une provocation pour les deux autres heureux élus.

Ils s'approchèrent de nous. Mickael me pilonnait maintenant l'abricot, et j'avais du renoncer à sucer Joseph. Je le branlais tout de même, et Christian exhibait son sexe impressionnant sous mes yeux.



-Ouahou ! Quelles bites, mes chéris, m'exclamai-je en riant. Qu'est ce que vous comptez me faire avec ça ?

Thierry, au garde à vous, ne perdait pas une miette de la scène.

-Je crois que Christian est le seul à ne pas avoir fait l'amour avec toi, remarqua Joseph. Tu pourrais commencer avec lui, on vous materait un peu, avant de rentrer dans la danse. Qu'en penses-tu ?

Joseph était décidemment un meneur de jeu né. Si je n'avais pas envie de lui refuser, je considérais tout de même avec inquiétude la taille du sexe de Christian. Mais tant pis ! Il était installé sur un fauteuil, en érection, et je me dirigeai vers lui pour le chevaucher.



Je saisis d'une main son énorme pieu, pour le guider vers ma fente.

J'écartais au maximum mes petites lèvres, pour que le gland se fraie un chemin. Heureusement, Christian me laissait l'initiative, et je marquai un temps d'arrêt, bougeant imperceptiblement pour que ma chatte se prépare à la pénétration. Le frottement du dard, qui se répercutait jusque dans mon clito, m'excitait et me faisait mouiller. Lorsque le désir fut le plus fort, je m'empalai doucement.



C'était incroyable, délicieux. Cette bite me procurait autant de sensations et de plaisir que les pénétrations de plusieurs types en même temps. Je me mis à bouger en gémissant, pour faire coulisser mon fourreau sur ce pieu, mais c'est à peine si j'y parvenais.

Sans doute frustré par la faiblesse de mes mouvements, Christian me souleva, me fit mettre à genoux, le visage au-dessus du sexe de Joseph, et il me prit en levrette.

En utilisant toute sa force, il s'enfonça avec moi, profondément, et se mit à pilonner mon petit abricot, sans me faire mal, mais sans me faire grâce d'un seul centimètre de son prodigieux phallus. Je ne pus retenir des cris stridents, et j'étais obligée de prendre appui sur les cuisses de Joseph pour résister à ces assauts.



Je ne pus cependant pas résister à la vue du gland dressé sous mes yeux, et je me mis à sucer Joseph, autant que me le permettaient les coups de reins de Christian.

Il y eut quelques protestations dans nos spectateurs, qui estimaient ne pas voir suffisamment bien comment la chatte d'une fille d'un petit gabarit comme moi arrivait à accueillir un tel engin. Nous changeâmes donc à nouveau de position, et je me retrouvais sur le dos, cuisses largement écartées, empalée sur la verge de Christian. Il me soulevait et me laissait retomber, pendant que je suçais alternativement Joseph, et Thierry, qui s'était approché.



Je sentais l'orgasme monter, mais j'étais maintenant un jouet, dans les bras puissants de mes quatre partenaires, et nous changions sans cesse de position.

-Je vais m'occuper de son petit trou, annonça Thierry, qui avait déjà eu l'occasion de me sodomiser.

Il vint se placer derrière moi, et je le sentis glisser un doigt enduit de salive, puis un deuxième, dans mon anus, avant de me pénétrer.



Ses premiers allers et retours en moi décuplèrent les sensations que provoquaient dans mon ventre et dans mon clito la queue de Christian.

-Ooooh, je vais jouir ! sanglotai-je.... Comme c'est bon... Oh je jouis, ouiiii !

Thierry continua à labourer mon petit cul, et je ne savais plus où j'en étais. Je me retrouvai prise en sandwich, et c'était maintenant Mickael qui tringlait ma chatte de toutes ses forces.



Des mains malaxaient mes seins, et je pompais toujours la verge de Joseph, jusqu'à ce qu'un nouvel orgasme me tétanise.

Les mecs que j'avais choisis étaient infatigables.

-Qui veut essayer son cul ?, demanda Thierry.

Joseph réclama son tour, et Christian voulait encore me baiser. Thierry nous guida tous les trois, et je sentis bientôt les bites des deux blacks coulisser en moi.



C'était un festival, et je me sentais naviguer au bord de l'orgasme, dans une forme de plaisir continu. Jusqu'au moment où j'entendis Christian dire qu'il voulait aussi me sodomiser.

Une panique incontrôlable m'envahit, mais j'étais paralysée, incapable de fuir ou même de protester. Christian s'installa sur le canapé, il m'empoigna par les hanches, et me laissa doucement descendre sur sa queue dressée.



Heureusement, ma rosette était inondée par la cyprine qui coulait sans arrêt de ma fente depuis une demi-heure, et l'énorme gland trouva son chemin sans même être guidé.



Je hurlai malgré tout, quant il força mon orifice si étroit, mais Christian marquait de petits temps d'arrêt, et attendit patiemment que mes cris se transforment en feulements de plaisir pour pistonner mon petit cul.

Thierry s'approcha alors, présentant son mandrin à la porte de mon minou.



-Tu aimes ça, hein ? me demanda-t-il.
-Oh oui... Oh c'est si bon, une grosse bite, répondis-je, sans la moindre pudeur.
-Alors, tu veux la mienne dans ta chatte ?... Dis-le bien fort, insista-t-il comme je tardais à avouer mon désir.
-Oh, oui ! oui ! baise-moi.

Thierry s'enfonça en moi d'un seul coup de reins, et il coordonna tout de suite ses mouvements avec ceux de Christian. Je ne résistai pas bien longtemps à ce rythme, et j'eus un orgasme foudroyant.

Mon attitude avait porté à son comble l'excitation de mes partenaires, et à partir de cet instant, je perdis conscience de qui me baisait, me sodomisait, se faisait sucer.



Je n'étais plus qu'un corps offert à toutes les caresses, à toutes les pénétrations, et je serais incapable de dire combien de fois j'ai joui.



Ce n'est que lorsque je me retrouvais au bord de l'évanouissement que mes partenaires se décidèrent à se laisser aller eux aussi à leur plaisir. Un concert de grognements commença à remplir la pièce, et je sentis un torrent de sperme jaillir dans mon petit trou, et couler entre mes fesses et mes cuisses.



C'était Mickael, qui venait de décharger le premier. Christian, Joseph et Thierry me mirent à genoux, pour éjaculer dans ma bouche, sur mon visage, sur mes seins.



J'étais trop épuisée pour jouir de nouveau, mais le plaisir que je ressentais résidait plutôt dans la satisfaction de m'être offerte à tous ces mâles, et d'avoir atteint tant de fois l'extase. Victoria et Eve se ruèrent sur moi, pour me féliciter, m'embrasser, et Eve dégusta même un peu du foutre qui coulait sur mes joues.



Fabrice, Olivier, Christian et Mickael prirent congé, et nous sommes restés tous les six. Il était tard, Eve, Vincent et moi étions à bout de forces, et nous devions reprendre notre marche de retour dès le matin !