Mélanie et les blacks - 1 (publié par Davidhandballeur le 26-04-2016)
Mélanie et les blacks - 2 (publié par Davidhandballeur le 03-02-2017)
Mélanie et les blacks - 3 (publié par Davidhandballeur le 06-02-2017)
Mélanie et les blacks - 4 (publié par Davidhandballeur le 07-02-2017)
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Mélanie et les blacks - 1
"Bonjour, je m'appelle Mélanie. Aujourd'hui, je vais m'occuper de vous".

Comme les autres employées de cette enseigne de coiffure d'une zone commerciale de moyenne taille, Mélanie accueillait les clients de manière agréable avec un joli sourire.
Elle poursuivait son travail de manière professionnelle en posant, comme un rituel, deux autres questions :
"Quel est le jour de votre dernier shampoing ? Comment souhaitez-vous que je vous coupe les cheveux aujourd'hui ?"

Ensuite, elle lavait la tête de ses clients ou de ses clientes, réalisait le shampoing en massant délicatement le crâne, avant de commencer la coupe de cheveux.

Pendant la coupe, Mélanie n'hésitait pas à engager la conversation avec les clients et les clientes. Elle gardait toujours son joli sourire et ses doigts délicats effleuraient à peine les cheveux.

Sa tâche achevée, elle conservait son sourire en présentant l'addition et, à l'instar de ses trois autres collègues, elle prenait les coordonnées des clients ou clientes pour les besoins de la carte de fidélité.

Enfin, avant de prendre congé, elle avait toujours un petit mot doux pour ses clients et clientes et leurs souhaitait une bonne fin de journée.

Mélanie, coiffeuse d'environ vingt-cinq années, était un beau petit lot selon l'appellation des garçons. Ses cheveux blonds, ses yeux clairs, son joli fessier bien rebondi, sa poitrine ferme étaient ses atouts.

Depuis quatre mois, elle était de nouveau célibataire après la rupture avec son dernier compagnon. Pourtant, cette jeune blonde avait un regard à faire tomber les hommes. Elle savait que les hommes la regardaient souvent à travers la vitrine du salon, ou se retournaient sur son passage lorsqu'elle se baladait dans la rue.

Parfois, devant le regard insistant des hommes, elle se sentait atrocement gêné. Elle détestait cela mais, elle reconnaissait pourtant que cela était fort agréable.

Les regards nombreux encourageaient en effet Mélanie à prendre soin de sa tenue et de son apparence au quotidien. Dans ce domaine, elle n'avait aucune leçon à recevoir de personnes et était toujours bien présentée.

Ce samedi matin, du début de printemps, Mélanie se préparait tranquillement dans son appartement. Elle savait que la journée serait
bien remplie, à l'instar de tous les samedis où elle travaillait. Elle choisissait donc une tenue correcte et agréable à porter pour sa dernière journée de la semaine avant un repos bien mérité. Elle commença par ajuster une petite culotte blanche.

Elle se contempla dans une glace et fît un léger sourire. Elle se trouva fort désirable et apprécia ses seins.

Mélanie aimait prendre le temps le matin. Elle continua donc à se vêtir de manière sensuel avec un soutien-gorge blanc et des collants. Sa beauté ressortait de plus en plus.

Elle choisit alors un débardeur rouge qui tranchait avec la couleur de ses cheveux. Mais, Mélanie aimait cette couleur, surtout qu'elle avait déjà prévu la suite de sa tenue.

Avant d'enfiler sa jupe, Mélanie ajusta une nouvelle fois ses collants et son débardeur. Elle savait qu'une nouvelle fois, les hommes allaient la regarder.

Elle enfila alors sa jupe en cuir noire. Elle avait un cul d'enfer dans cette jupe. Mais, elle se sentait à l'aise.

En souriant, elle ajusta une nouvelle fois ses collants.

Elle était très belle dans cette tenue qui lui allait parfaitement et correspondait à son caractère.

Elle se pencha alors un petit peu et s'aperçut que l'on pouvait apercevoir une petite partie de sa poitrine. Mais, cela ne gêna pas Mélanie, bien au contraire.

Avant de quitter son appartement, elle se regarda une dernière fois dans la glace. Mais, maintenant, il était l'heure de se rendre au salon de coiffure pour l'ouverture.

Elle se retourna et heureuse se rendit au salon de coiffure pour une longue journée de travail.

Finalement, après sa journée de travail, Mélanie marchait tranquillement dans la rue pour rentrer à son domicile. Il était un peu plus de vingt et une heure car Mélanie aimait flâner dans la zone commerciale. De plus, une de ses collègues payait un petit pot pour fêter son anniversaire. Mélanie avait bu un petit peu d'alcool mais se sentait encore bien. Alors qu'elle remontait doucement une rue, un black l'aborda

"Bonsoir mademoiselle, vous êtes belle comme un rayon de soleil, s'exclama-t-il.

- Vous êtes seule ? questionna-t-il.

- Mademoiselle, vous êtes très jolie, mais vous savez il faut faire attention c'est dangereux, vous devriez être accompagnée» enchaîna-t-il.
- Vous avez de la chance, je suis très gentils avec les belles femmes.
Vous souhaitez peut-être de la compagnie", continua-t-il.

Mélanie continua doucement sa marche, accompagnée par cet homme noir qui ne semblait pas forcément méchant mais collant selon elle.

Sans se douter que son destin allait basculer dans quelques minutes, Mélanie répondait très gentiment avec un petit sourire aux questions de ce black.

Pourtant, alors qu'elle était proche de son appartement, l'homme commença à coller Mélanie.

Elle accéléra le pas mais l'homme accéléra aussi. Mélanie fût stupéfaite et surprise lorsqu'il sortit un sexe d'au moins vingt-cinq centimètres.

Mélanie n'en avait jamais vu d'aussi grosses en vrai.

- Allez, poupée, ça se voit qu'elle te plait. Cela se voit que tu la veux ? s'exclama le black.

Mélanie protesta quelque peu, mais elle ne pouvait rien faire devant cet homme plus fort qu'elle.

C'est alors que deux hommes noirs qui apercevait la scène se rapprochaient. Ils parvinrent sans difficulté à mettre en fuite, l'homme qui menaçait la belle blonde. Ils proposaient très poliment un petit verre dans l'appartement de l'un deux. Pour se remettre de ses émotions, Mélanie accepta l'invitation.

Accompagnée de deux noirs, Mélanie se sentait rassurée. Les deux hommes en profitaient pour donner leurs prénoms à la belle blonde qui les remercia. Les deux blacks, Steve et Moussa arrivèrent près de l'appartement où Mélanie pouvaient se remettre de cette agression. Les deux hommes, toujours très polis contemplaient toutefois Mélanie.

Ils n'en revenaient pas. Ils étaient en compagnie d'une superbe femme blanche, blonde et fine.

Ils regardaient ses seins bien fermes à travers ses vêtements

Ils observaient de loin son cul à damner un saint.

Les deux hommes toujours aimable proposèrent donc un petit verre d'eau à Mélanie. Dix minutes plus tard, alors qu'elle s'apprêtait à prendre congé, un troisième homme fît son apparition dans l'appartement. Mélanie, surprise et de nouveau angoissé reconnu son agresseur qui s'exclama :
- "Bonsoir, je m'appelle Badara et je vais m'occuper de toi ce soir. Depuis quand, n'as-tu pas faire l'amour avec homme ? Quelle est ta position préférée ?"
- Putain, Badara va bien s'amuser cette nuit ! ricanèrent Moussa et Steve.

Mélanie comprit alors qu'elle était tombée dans un piège. Elle allait devoir passer la nuit avec ces trois individus. Elle prit peur en pensant ce qu'il attendait, elle qui n'avait jamais pratiqué l'amour interracial, ni pratiquer l'amour à plusieurs.

Mais, la jeune femme blonde n'était pas au bout de ses surprises. En effet, alors qu'elle croyait que les trois hommes allaient se jeter sur
elle, il n'en fît rien. Badara mit alors de la musique et demanda à Mélanie de se lever pour danser. Mélanie n'avait pas le choix et s'exécuta.

Très vite, les trois blacks l'entourèrent et commencèrent à la tripoter, caressant ses fesses, malaxant ses seins et aventurant même leurs mains vers la chatounette.

Mélanie dansait et éprouvait des difficultés pour contrôler la situation. Pourtant, en voyant les trois jeunes, une bouteille de bière à la main, elle demandait un peu d'alcool à ses trois hôtes qui lui donnèrent de quoi se rafraîchir.

Badara prît Mélanie dans ses bras et lui roula un patin d'enfer.

Ensuite, il toucha une dernière fois les seins de Mélanie à travers le tissu. Mélanie fût surprise mais compris rapidement que les trois jeunes hommes étaient de plus en plus excités.

Badara décida alors de faire apparaître les seins de Mélanie. Il fût subjugué quand les deux globes laiteux aux auréoles roses virent le jour.

"Mate moi ces nibards, de vraies merveilles !, signala-il à ses deux comparses.
Il ne résista pas longtemps et il se mit à téter les mamelons comme un bébé.

Mélanie commençait doucement à se détendre et Moussa et Steve attendaient le tour pour profiter de la belle poitrine. Badara se retira et ordonna alors à ses deux amis de toucher les seins de Mélanie. Ils ne se firent pas prier pour s'exécuter.

Ils léchèrent les seins de Mélanie pendant quelques minutes tout en
caressant son entre- cuisse. Réticente au départ, Mélanie commençait à apprécier le manège des trois lascars qui avaient l'envie de prendre leur temps avec elle.

Jugeant que le manège avait assez duré, Badara, qui regardait la scène, s'exclama :
« Vous avez vu sa bouche ? Elle doit sucer comme une reine!

- Je le pense aussi et en plus avec nos engins, elle va se régaler. Je suis certain qu'elle n'attend que cela. J'ai hâte de la voir inonder de sperme" ajouta Steve.

Badara calma les ardeurs de ses deux comparses mais allongea Mélanie sur le dos. Très vite, Steve et Moussa placèrent leurs impressionnantes queues devant les yeux de la coiffeuse.

Badara avait une vue magnifique sur les seins de Mélanie qui ne voyait plus rien.
- Comme on doit être bien entre les deux ! commenta alors Badara.
Joignant le geste à la parole, il plaça son sexe entre les seins de Mélanie et entreprît une cravate de notaire. Sans même faire un geste de recul, Mélanie laissa la bite tendue de Badara s'introduire dans sa bouche. Elle commença même sans s'en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge.

Badara continua alors à donner ses propres instructions à ses deux acolytes qui obéissaient. Ainsi, il ordonna à Moussa et à Steve de retirer leurs bites des yeux de Mélanie pour que cette dernière profite du spectacle. Moussa et Steve obéissait immédiatement à Badara qui semblait donc être le chef de la bande et retiraient rapidement leurs queues noires des yeux de Mélanie. Mélanie se surprît alors à prendre en main les bites de Moussa et Steve pour les branler et les maintenir en érection.

Pendant quelques minutes, Badara laissa faire Mélanie qui voyait les appendices grossirent à vue d'oeil. Elle avait perdu tous envie de résistance et était maintenant soumise aux moindres désirs des trois hommes.

Moussa et à Steve se retirèrent à quelques mètres pendant que Mélanie continuait la fellation. Mélanie était même déçu et souhaitaient reprendre les deux bites en main et les mettre rapidement en bouche.

Mais Badara lui demanda de patienter gentiment, expliquant que Moussa et Steve auraient droit aussi à leur récompense plus tard.

Dès lors, Mélanie avala fermement alors l'appendice de Badara qui releva lui-même les cheveux blonds qui masquaient le spectacle pour pouvoir en profiter. Il en profitait aussi pour imprimer le rythme.

La bouche menue de Mélanie eut du mal à engloutir la totalité du pénis
rugueux de Badara.

Sa langue eut du mal à se mouvoir, plaquée entre le maxillaire inférieur et le pénis remplissant sa bouche.

Durant une éternité, la tête de Mélanie fit des va -et- viens, guidée par Badara qui lui tenait toujours les cheveux dans sa main.

« Putain comme elle est trop bonne, sa langue m'entoure la bite, oh je sens que celle là elle sera pas trop dure à dresser, on va vite en faire une bonne petite pute » s'exclama Badara.

En effet, Mélanie s'appliquait pour satisfaire Badara. De temps en temps, elle passait même délicatement une main sur le pénis. Le jeune homme pensait même que Mélanie allait opposer une résistance plus grande. Mais, il s'était trompé car Mélanie, craintive, avait décidé d'être docile pour ne pas subir un plus grand outrage.

Mélanie le sentait venir mais elle n'avait pas envie que Badara jouisse dans sa bouche. Mais, Badara plaqua la tête de la sa proie bonde contre son pubis.

Mélanie croyait s'étouffer par la longueur du pénis au fond de sa gorge.

La première giclée, lourde et puissante se déversa directement au fond de la gorge de Mélanie.

La seconde lui tapissa le palais.

Le reste inonda sa langue.

Une fois achevé, Badara maintint sa pression pour que la tête de Mélanie reste en position. Son pénis, à peine dégonflé bouchait toujours l'orifice buccal de la femme blonde.

Mélanie devait avaler la semence du black. Elle le fît finalement non sans mal.

Satisfait, Badara saisit le bras de Mélanie et reprit son souffle durant de longues minutes.

"Ranime-le, je vais te sauter", cria Badara.

Mélanie obtempérait et repris le sexe noir en bouche. Il ne tarda pas à bander à nouveau.

Mélanie se relevait quand il fut au maximum à en faire mal.

Badara s'exclama alors :
"Allez, ma belle, maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu vas ramasser!"

Pendant que Mélanie se déshabillait complètement, Badara s'astiquait pour maintenir son érection au maximum.

Mélanie devenait de plus en plus inquiète devant la grosseur du pénis.

Badara poussa Mélanie en arrière en se positionnant sur son corps dénudé, la forçant à s'allonger sur le sofa.

Elle allait pour la première fois se faire enfiler par un noir.

Presque sans effort, Badara s'enfonça dans le vagin. Mélanie ne pût retenir un gémissement de douleur. Elle n'était pas préparée à le recevoir.

"Détends toi, tu vas aimer" la rassura Badara.

Il opéra un va-et-vient avec ses hanches, explorant largement l'appareil génital de Mélanie.

Le corps de la jeune fille commença à se réveiller et répondit petit à
petit au coït sous les assauts de Badara. Un feu commença à consumer le ventre de la jeune blonde accueillant de mieux en mieux ce pénis qui l'envahit, l'ouvrait.

Un houlement anima ses hanches, accompagnant les propres coups de reins Badara qui fît monter le plaisir dans le corps de Mélanie qui se détendît alors.

Elle cherchait son souffle et gémit sans pouvoir se retenir, le plaisir montant crescendo. Elle pétrissait les fesses de Badara. Son fessier était dur et musclé.

Badara avait accéléré le rythme de sa pénétration et donnait de profonds coups de boutoir dans la chatte de Mélanie, ce qui la faisait gémir de plus en plus fort.

Alors que la jeune femme était en bonne voie pour un orgasme, Badara se retira :
- « Tourne-toi, bébé, je veux te prendre en levrette »

Mélanie se mit à quatre pattes et tendit ses fesses vers le sexe triomphalement érigé de Badara qui replongea aussitôt dans le vagin de la jeune femme.

Badara se projeta d'un coup dans mon ouverture béante. Malgré sa brutalité, Badara coulissa comme un piston trop huilé dans la chatte de Mélanie.

Mélanie commença à crier et Badara lui parla :
- Tu es bonne !

Mélanie continua à crier et Badara accéléra la cadence.

Badara, tout en pistonnant Mélanie, introduit un doigt dans l'anus de Mélanie. Au bout de quelques minutes, il sentait l'orgasme arriver.

"Je vais t'arroser la chatte. Comme ça, tu porteras au plus profond de ton être mon empreinte, annonça Badara.
- Non, ne jouis pas dans mon ventre, implora Mélanie.

- Trop tard !C'est trop bon ! C'est trop bon !" hurla Badara.

Badara inonda et remplit longuement la chatte de Mélanie. La puissance de Badara la balaya. Ses lourds jets de sperme furent autant de salves qui firent abdiquer les dernières résistances de Mélanie, lui arrachant quelques miettes de plaisir supplémentaires.

Elle était en nage malgré la fraicheur de cette nuit printanière. Elle n'était plus qu'un animal craintif à la merci de trois hommes. Badara venait de l'ensemencer avec l'assurance d'un lion dévorant sa proie. Elle était sa victime.

Il se retira tout aussi brusquement de Mélanie qui était exténuée.

Mais Badara n'en avait pas finit avec Mélanie. Trente minutes plus tard, il releva le bassin et d'un coup de rein puissant força mon ouverture serrée.

Badara, sans coup férir, lui défonça le petit trou.

Vierge du petit trou, Mélanie n'avait plus le courage de crier. Elle se mordit les lèvres pour étouffer le cri de douleur.

Badara lui laboura longuement l'anus et Mélanie était comme une proie soumise.

Pour atténuer ses souffrances, Mélanie suivait la cadence des coups de reins de Badara, la soumettant du même coup à cette humiliation suprême.

Mélanie souffrait mais commença à simuler un plaisir avec des petits gémissements.

Badara triompha et d''une résistance hors du commun, il sodomisa Mélanie
durant presque une heure.

L'anus de Mélanie ne méritait plus l'appellation de 'petit trou' : ce n'était plus qu'une plaie béante qui s'écartait encore et encore sous les va- et- viens du long pénis.

Les corps de Mélanie et Badara ne faisaient plus qu'un depuis longtemps.

Mélanie fût fauchée plusieurs fois par des orgasmes tout aussi durs et intenses les uns les autres.

Satisfait, Badara inonda à gros bouillons les entrailles de Mélanie.

Badara se retira et porta Mélanie comme un trophée. La jeune femme n'avait
plus la force de protester.

Pourtant, conscient d'en avoir trop fait et se rallongea auprès de Mélanie. Il se mit à caresser la tête de la jeune blonde.

Il l'embrassa sur sa bouche langoureusement. Mélanie lui rendis le baiser,
baveux, tendre.

Mélanie somnola à côté de Badara. Mais, deux heures plus tard, tel un serpent, elle goba de nouveau entre ses lèvres,le morceau mou de chair
qui l'avait sodomisée quelques heures plus tôt.

Badara ne se réveilla pas ou fit mine mais sa massue se redressa au fur et à mesure que la langue de la coiffeuse coulissait le long.

Lorsque Mélanie le sentit proche, elle voulut s'écarter mais un étau serra son cou, m'obligeant à garder la position tandis que Badara donna des coups de reins sévères dans le vide, écrasant son visage contre son pubis.

Piégée, Mélanie eût un haut-le- coeur avec l'arrondi qui écrasait sa luette mais réussit à ne pas vomir.

Badara attira le visage de Mélanie à son niveau en tirant ses cheveux blonds.

La bite de Badara agité de soubresauts cracha un sperme lourd, épais directement au fond de la gorge Mélanie.

"Mélanie, tu es bonne ! Tu seras ma reine, tu veux bien. Ici c'est moi le chef, alors celle qui sera ma femme aura le même respect que moi", annonça-t-il.

Mélanie sursauta en attendant ses mots. Elle n'imaginait pas être comme cela. Traitée comme une poupée gonflable par cet homme black. Traitée comme la dernière des salopes, en recherche de belle bite black.

Badara, certain de sa puissance et de son emprise sur Mélanie, rentra ses coordonnées téléphoniques sur le smartphone de la coiffeuse. En dédicace, il inséra même une image de sa belle bite noire dans la bouche de Mélanie qu'il avait prise pendant la première fellation.

En souvenir, il entra dans son smartphone, le numéro de Mélanie, pour garder le contact, en souvenir de cette soirée où il avait possédé la jeune blonde. Une soirée qui en appelait certainement d'autres.

Pendant un mois, Badara venait en conquérant à la fin de la journée de travail de Mélanie, sûr d'avoir rendu accro à sa grosse bite cette superbe fille.

En général, à peine entré dans son appartement, il sortait sa grosse bite pour se faire sucer par Mélanie. Elle était à genou et Badara lui fourrait sa pine dans la bouche.

Badara adorait la bouche de Mélanie qui, de plus, suçait divinement bien.

Elle administrait de sublimes fellations. Léchage de la hampe, gobage de testicules et gorge profonde, tout l'éventail de la parfaite fellatrice y passait.

Mélanie avait découvert qu'elle adorait le goût du sperme et Badara ne se privait pas de lui faire boire le sien directement à la source !

Mélanie était ainsi souvent souillée mais avait pris l'habitude des giclées de Badara.

Badara l'observait alors quelques instants avec le fruit de sa semence. Il dominait réellement Mélanie.

Puis un moment de repos passé, Mélanie se rendait dans la salle de bain pour se nettoyer. Badara qui reprenait des forces pendant ce moment entraînait ensuite Mélanie dans la chambre pour la baiser comme la petite chienne qu'elle était devenue.

Toutes les positions y passaient. Badara avait un petit faible pour la levrette, position dans laquelle, il avait la sensation de dominer cette belle pouliche blanche, comme il l'appelait parfois.

Evidemment, le black ne se privait pas pour au minimum une fois par semaine, honorer le petit trou de Mélanie, qui acceptait la sentence sans broncher.

Il s'essayait également à la position cavalier où il prenait un malin plaisir à diriger sa bite au coeur de la fleur de Mélanie. Elle poussait alors son bassin vers le pubis. Sa bite disparassait alors sans le ventre de la femme blonde qui allait finalement prendre son orgasme.

Après l'avoir pilonnée et avoir joui dans tous ses orifices, Badara était satisfait, laissant Mélanie étendue, épuisée, les trous pleins de sperme.

Mélanie, qui acceptait sa nouvelle condition, se disait que tout de même, Badara l'utilisait un peu comme une poupée gonflable ou un vide couilles.

Pourtant, elle devait se rendre à l'évidence quand Badara donna une formule magique pour montrer sa force : 2x diamètre x longueur x 3,14. Depuis un mois, elle prenait 452 cm3 à chaque pénétration du black. Elle était devenu accro à sa grosse bite et Badara le devinait de plus en plus.

Il allait pouvoir après ce premier mois à apprivoiser Mélanie, à la deuxième partie du plan pour le plus grand plaisir de Steve et Moussa qui devenaient de plus en plus pressant avec Badara.
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Mélanie et les blacks - 2
Un jour, Badara fixa rendez-vous à Mélanie. Elle décida de partir avec une jupe assez courte et sans sous-vêtements.

Mélanie était heureuse d'arriver à l'appartement de Badara, où se trouvait déjà Moussa et Steve, la bite bien bandée. Ils ne perdirent pas de temps et enlevèrent le peu de vêtements que Mélanie . Elle savait ce qui l'attendait.

Comme elle restait crispée malgré son excitation, ils prirent l'initiative. Badara l'embrassa pendant que Moussa et Steve lui bouffaient, respectivement les seins et la chatte.

Comme ils bandaient bien dur, ils décidèrent rapidement que Mélanie les suce. Elle s'agenouilla donc, et contempla ces trois grosses et belles queues.

Elle allait se faire un plaisir d'avaler à tour de rôle.

Après quelque minutes de ce traitement, elle finit par être baisée.

A tour de rôle, elle était baisée dans son vagin, en levrette, pendant qu'elle avait toujours une queue en bouche. Elle avait, au départ, des difficultés à prendre le rythme, mais elle finit par s'y habituer. Elle était martelée sans cesse, lui donnant un plaisir intense. Elle sentait leurs grosses bites qui la remplissaient bien.

A la fin de cette séquence, ils avaient tous les trois joui. Badara l'ayant fait dans sa bouche, et elle se fit un devoir de ne pas gâcher la moindre goutte.

Sa chatte était toute poisseuse de sperme.

Ce fut ensuite son cul qui fut prit.

L'enculage à sec, il n'y a rien de mieux pour ça. Et bien sûr, elle continuait à les sucer, leurs couilles bien grosses lui laissant bien voir qu'ils gicleraient encore une bonne quantité de sperme.

C'était jouissif.

C'est Badara qui proposa de passer aux choses sérieuses, et pour la première fois de sa vie, Mélanie se retrouvait avec tous les trous comblés.

Les gars se relayant dans chacun des trois, ils la baisèrent à un rythme incroyable.

Elle était partagée entre un plaisir absolument énorme et quelque douleurs dûes à leur grande vigueur.

Elle sentait ses trous se remplir de sperme alors qu'elle jouissait encore en encore.

Elle n'avait jamais connu un tel plaisir. Et aucun des trois gars ne relâchait ses efforts, rebandant très rapidement après s'être vidés, grâce à quelque coups de langue.

La chatte était baisée, le cul était baisé et la bouche aussi. Mélanie avait même, parfois, des difficultés à respirer et était donc essouflée par moments. Des claques sur son cul étaient données à une bonne cadence. Coincée en sandwich entre ces trois blacks, elle aurait voulu que ça dure l'éternité.

Mais ils avaient aussi leurs limites et lui demandèrent, pour l'assaut final, de s'agenouiller. Là, ils recouvrirent en grande partie son visage de sperme, qu'elle avalait ensuite, n'en laissant pas non plus une seule goutte sur leurs queues.

Après avoir pris autant de fois son pied, ils la congédièrent, satisfaits de la salope qu'elle avait été et qu'ils comptaient bien souvent revoir.

Mélanie se rhabillait et quittait l'appartement les trous pourtant encore pleins de sperme. Elle était partagée entre honte et excitation. Honte de s'être comportée comme une salope, mais surtout, grande excitation de ce que ce petit gang bang lui avait donné comme plaisir.

Son côté salope ne risque plus de la quitter, maintenant.
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Mélanie et les blacks - 3
Un matin, Mélanie se rendit chez Moussa qui l'avait appelé.

Elle commençait à retirer ses vêtements. Elle avait omis de mettre des dessous.

Une manie héritée de sa pudeur d'avant lui faisait également faire le même rituel : elle retirait toujours le bas avant le haut car elle estimait que la vision des seins nus était plus choquante que la nudité du pubis.

Après avoir retiré le bas, elle marquait un temps d'arrêt.

Moussa n'attendit pas la suite car il s'était deshabillé aussi.

Mélanie connaissait la grosseur de son sexe.

Il lui comprima la lourde poitrine nue et se colla derrière elle, son pubis rêche et poilu collé aux fesses glabres et dénudées de Mélanie. Le pénis déjà en érection se moula dans la raie des fesses.

Mélanie se penchait en avant tandis qu'il mordillait le cou blanc offert, puis il lui susurra à l'oreille d'une petite voix des mots doux.

- Tu m'as manqué Mélanie ... Est-ce que je t'ai manqué un peu aussi ?
- Oui
- Dis-moi ce que tu veux ... Est-ce que tu veux qu'on fasse l'amour ?
- Oui
- Oui, quoi ?
- Oui ... Je veux que vous me fassiez l'amour
- Tu veux quoi ? Tu veux qu'on fasse la totale ?
- Faites-moi la totale ...

- C'est-à-dire ?
- La totale ... Tout ... Baisez-moi ...

- Mais encore ?
- Enculez-moi ... Etouffez-moi avec votre belle bite ... Je veux vous nettoyer le corps avec ma langue ... Gavez-moi avec votre sperme ...

- C'est tout ?
- C'est tout ce qui me vient en tête ... J'ai tellement envie de vous ... Vous avez de si belles idées ...

- A la bonne heure ... Passons aux choses sérieuses.

Cela faisait plusieurs minutes qu'il avait enfoncé ses doigts dans la chatte de Mélanie et avait écarté son pouce et son index pour écarter la vulve.

Mélanie poussait son bassin vers le pubis affalé sur le sofa , s'empalant sur le pieu.

Sa propre précipitation fit mal à Mélanie car elle était mal préparée. Elle ne put retenir un gémissement de douleur.

- Doucement Mélanie. Tu vas te faire mal même si tu en as envie ...

Ce faisant, Moussa libéra sa main de sa bite qui disparut dans le ventre.

- Tu sais quoi ? J'ai décidé de ne pas m'occuper que de moi aujourd'hui ... Je vais te récompenser ... On n'arrêtera que lorsque tu auras pris ton plaisir.

Moussa lui souffla doucement dans le cou, derrière les oreilles. Son pincement se transforma en longues caresses sur la poitrine dont les mamelons s'érigèrent bientôt au bout de longues minutes , trois quarts d'heure peut-être. Et durant tout ce temps, son érection fichée resta intacte.

Mélanie fermait les yeux . Elle adorait qu'on lui souffle dans le cou . Il lécha de sa langue les parties sensibles, il lui tourna la tête et l'embrassa. Il savait embrasser . Il savait tout faire .

Un frisson parcourut Mélanie .
- C'est trop bon Moussa !
- Je sais.

Moussa s'enfonça encore un peu plus dans le ventre, écartelant bien les pâles globes fessiers qui contrastaient avec l'ébène de la peau de Moussa.
Les muscles internes se crispèrent autour de la massue de chair qui la possédait. Il n'avait presque pas besoin de se mouvoir.

Mélanie coulait comme une fontaine et sa mouille s'écoulait le long du pénis.

Elle allait prendre son orgasme .

Non, Moussa se retira brusquement.

Il releva le bassin et sans coup férir, lui défonça le petit trou.

Paradoxalement, plus bas, la chatte dégoulinait du plaisir frustré. Il lui laboura longuement l'anus .

D'une résistance hors du commun, Moussa la sodomisa durant presque une heure.

L'anus de Mélanie ne méritait plus l'appellation de 'petit trou' : ce n'était plus qu'une plaie béante qui s'écartait encore et encore sous les va-et-viens de son long pénis.

Les corps ne faisaient plus qu'un depuis longtemps. Mélanie fût fauchée plusieurs fois par des orgasmes tout aussi durs et intenses les uns les autres.

Satisfait, Moussa se retira de l'anus sans éjaculer :
- Prépare-toi, petite Mélanie : je vais te satisfaire en me soulageant dans ta jolie bouche.

Il se mit sur les genoux et fit pendouiller son érection intacte au dessus de la bouche grande ouverte de Mélanie.

Il provoqua son éjaculation puissante en effleurant à peine son pénis. Les jets s'engouffrèrent au fond de la gorge de la jeune femme. Un peu de liquide fut perdu et s'écoula le long de la commissure des lèvres mais le gros du débit fut ingurgiter.

- Allez, un peu de nettoyage pour finir ...
Mélanie s'enroulait comme un serpent autour de ses hanches pour lisser avec sa langue toute les scories des ébats amoureux.
Moussa lui caressa à nouveau la tête :
- Suce, lèche.

Mélanie était comblée et était tombé réellement accroc aux sexes ébènes. Mais, elle n'était pas au bout de ses surprises.
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Mélanie et les blacks - 4
Un matin, alors qu'elle était en congé, Mélanie reçut un coup de fil de Badara. Elle était conviée à se rendre dans l' appartement de Steve. Badara n'avait rien précisé d'autre. Mélanie enfila donc une tenue sexy.

Elle prit la route et frappa à la porte de l'appartement où se trouvait Steve et trois autres hommes, à la peau blanche.

La journée commença très vite pour Mélanie par un round robin entre les quatre hommes.

Se faire baiser par les quatre à tour de rôle était le moins pire des châtiments qu'elle allait subir.

Le premier lui déchira ou presque la chatte. Sans préliminaires et sans vaseline, elle souffrait toujours.

Le premier homme, Steve lui défonça la chatte et entrepris un va-et-vient lourd qui élargissait ses parois de moins en moins intimes à chaque passage.

Sans un mot ni autre démonstration de tendresse, il la défonça ainsi durant presque une demi-heure.

Des gémissements de douleurs filtraient des lèvres de Mélanie.

Il finit par éjaculer puis se retira.

Le deuxième, Maxime lui ordonna de s'accroupir puis d'évacuer le trop-plein de sperme de son acolyte.

Elle obéit et, avec ses doigts, elle raclait son vagin pour laisser écouler la semence qui venait de le remplir.

Aussitôt fait, elle se remit sur le dos pour recevoir Maxime, qui sans plus de préparation, lui enfonça le pénis dans le vagin et avec la même ferveur mécanique que son prédécesseur, lui laboura le ventre.

Le premier passage de Steve l'avait ouverte et elle n'eût plus aucun mal à recevoir Maxime.

Il finit, à son tour, par s'épancher grassement.

Le troisième, Thomas l'enjoignit de réopérer le même rituel pour se nettoyer la chatte.

Sa vulve était irritée. Ses doigts la raclèrent.

Les quatre hommes restaient inexpressifs devant le spectacle de son corps auto nettoyé, accroupi comme lors d'un lavement intime.

Ses cheveux blonds lâchés, un peu hirsutes, pendaient devant son visage penché en avant pour surveiller ce qu'elle faisait plus bas.

Ses seins pendaient également lourdement, les déformant sous l'effet de la pesanteur.

Le troisième homme, Hugo l'interrompit :
- C'est bon ... Lèche-toi les doigts et remets-toi en position !

Elle suçait ses doigts longuement tout en se rallongeant. Le goût douceâtre des spermes mélangés lui irrita les papilles.

Hugo la couvra et la pénétra.

Hugo la laboura alors de tout son aise puis éjacula comme ses prédecesseurs dans sa chatte .

Il se releva et Mélanie allait à nouveau entamer ma petite toilette.

Mais, le quatrième homme, Clément l'arrêta :
- Pas la peine, je vais t'enculer ! Retourne-toi !

Mélanie obéit et tout aussi brutalement que ses comparses, il la pénétra.

Son anus fut sauvagement agressé par l'intromission.Lui fut moins endurant que ses partenaires car en cinq minutes il se déversa avec un grognement déçu dans les entrailles.

Deux heures après, Clément et Thomas l'honorèrent à nouveau.

Mélanie enjambait Clément qui s'enfonça d'un simple mouvement de reins dans la chatte encore béante des précédents accouplements. A cheval sur le corps de Clément, il lui saisit fermement les hanches de ses bras très musclés .

Il la fit coulisser de haut en bas puis de bas en haut sur sa rampe qui lui explorait la chatte.
- Cela te plait, salope ?
- Oui !

Mélanie se penchait puis se couchait sur son torse musclé. Les lourds globes mammaires s'écrasèrent contre tandis qu'elle enfonçait sa tête dans le creux de son épaule, attendant la sentence.

Elle mouillait effectivement . Il valait mieux.

De cette façon, le bassin de la jeune femme se releva légèrement pour offrir un peu plus d'ouverture à Thomas. Tout en manipulant avec douceur la vulve, il écarta un peu plus les lèvres intimes de sa main laissée libre.

Cela y est ! Clément et Thomas étaient conjointement fichés profondément.

Clément et Thomas commencèrent à onduler en rythme.

La mouille de Mélanie s'écoula abondamment sous les assauts des deux hommes.

L'orgasme la faucha en la surprenant totalement.

La bite de Clément cracha toute sa semence aussi loin qu'il put dans le vagin. Quelques instants plus tard, Thomas éjacula à son tout

Une fois terminé, ils restèrent en position le temps que le corps de Mélanie assimile totalement leur sperme.

Ils se retirèrent enfin, laissant l'ouverture aussi béante qu'une balle de tennis.

Mélanie s'assoupit d'un sommeil lourd, nue, allongée sur le ventre.

Le réveil fut brutal. Une brûlure éclata, montant de ses fesses et remontant jusqu'au cerveau. Elle tentait de se retourner, sans succès ou presque.

Elle réussit à détecter Maxence. Il avait, profitant de son sommeil, pénétré l'anus sans semonce.

Maxence éjacula éjacula au fond des intestins au bout d'une demi-heure, faisant montre de sa maîtrise de son plaisir.

Après une énième séance en groupe où tous les quatre étaient à nouveau impliqués, Moussa lui fit faire une fellation où il la força à avaler la semence.

Badara entra alors dans l'appartement et Mélanie sans résistance avait envie de le sucer.

- J'ai envie de vous sucer ! J'ai envie que vous vous déchargiez dans ma bouche !

- Attends, je vais appeler des amis,ils ne me croient pas quand je leur dis que tu es la meilleure suceuse que j'ai jamais connu.

Plus tard, Badara se déchargea avec de violents soubresauts dans la bouche menue.

Triomphalement, il se tourna vers ses amis avec son anglais abject :
- So !
- You're right Badara ! She's licking very well !

Plus tard, en grand seigneur, il lui fit faire la tournée de fellation de ces mêmes amis.

Dix bites d'affilée dont celles de Moussa et Steve ont outragé la belle bouche.

Badara prenait des clichés en gros plans sur son visage maculé de foutre comme une oeuvre d'art.

Ces photos allaient bien évidemment être partagées dans le quartier, finissant de ruiner la réputation de Mélanie.

Elle avait bien remarquée plusieurs fois que des hommes la regardaient avec des yeux d'envie d'autant plus que Badara l'obligeait à porter des jupes de plus en plus courtes et moulantes.

Les tenues lui moulaient entièrement le corps et faisait ressortir sa poitrine, ses cuisses et son cul.

Un jour, plusieurs hommes virent cette femme au corps bien dessinés et ils ne mirent pas longtemps à se rapprocher d'elle afin de mieux la reluquer.

Mélanie ne sachant que faire ne put que se coller contre un des hommes qu'elle n'avait pas vu se mettre derrière elle.

- Hummm belle femme dit l'individu, une belle pouliche qui doit être bon à monter !

Elle se retourna et le vit se branler et se tenant contre ses fesses, tu veux ma bite hein la belle, tu veux gouter à mon engin et il se mit à rire bruyamment.

- Alors salope tu viens faire quoi ici !

Ils se ruèrent presque sur elle. Elle fut vit saisie par les épaules et mené dans la cour de l'immeuble puis ensuite expédiée sans ménagement dans une allée encore plus sordide, des mains lui tripotaient les seins, d'autres les fesses, elle sentait des queues excitées se coller contre elle et elle fut conduite rapidement dans un petit réduit qui était au fond de l'impasse. Là ses vêtements presque arrachés, ses dessous retirés sans ménagement, elle se retrouva entièrement nue devant ses jeunes mecs semblant déchainés âgés entre dix-huit et vingt cinq ans et tous bandaient dur et se tripotaient la queue en la regardant.

- On t'as déjà vu dans le quartier !

Mélanie aperçut que les huit jeunes qui allaient certainement lui faire la fête étaient les huit jeunes qui s'étaient fait sucer chez Badara. Elle était à leur merci.

Elle se sentit poussée contre un matelas qui trainait au sol, matelas qu avait dû servir à de nombreux rapports sexuels.

Puis d'un coup elle fut maintenue fermement sur le sol, des mains nerveuses lui pelotaient ses seins, son cul et sa chatte avait le même traitement, sa bouche ouverte par une bouche excitée était envahit par une langue pleine de salive qui s'activait au fond de sa gorge.

- Tu aimes hein salope, allez suce moi la bite avant que je te l'enfile dans le cul.

Mélanie dût faire plusieurs fellations plus nerveuses les unes que les autres, des flots de sperme recouvrait déjà son corps et sa bouche ne mit pas longtemps a être aussi emplit de jus chaud et abondant.

Maintenu fermement sur le matelas elle sentait des doigts pénétrer dans sa chatte et son cul pendant que sa bouche était toujours le foyer de fellations profondes.

L'un des hommes la pénétra de toute ses forces et un autre s'assit sur elle afin de lui faire profiter de sa queue plus profondément.

Elle sentait ses couilles contre son visage pendant que l'autre s'activait à la limer de plus en plus rapidement.

Elle fut à un moment retournée, celui qui lui pinait la chatte se mit alors
sous elle, celui qui se faisait sucer avait toujours sa pine bien enfournée et un troisième vint lui cracher deux ou trois mollards sur sa rondelle.

Il lui plongea un ou deux doigts dans l'anus, lui passa ensuite un genre de liquide gras, du gel lubrifiant pensa-t-elle et sans prévenir lui enfonçà sa queue à l'intérieur.

Elle était bien prises par les trois trous, ceux qui ne la baisaient pas encore encourageaient leurs partenaires de mots crus.

Les coups de queues la faisaient remuer dans tous les sens sur le matelas et c'était à celui qui la ferait hurler le plus fort.

Chaque partenaire l'ayant ensemencée laissait sa place à un autre encore plus excité d'avoir vu ses potes baiser cette meuf bien foutue.

Ils redoublaient d'ardeur pour lui faire sentir qu'elle était là pour les servir de vide couilles et eux pour bien la défoncer.

- Salope,tu nous excite et plus tu nous excites plus on va te baiser !

Elle reçue plusieurs coups de bites qui la firent danser sur le matelas tant tous l'a défonçaient avec plus de fougue et de hargne.

Il y en avait un avec une queue énorme qu'elle eu du mal à sucer.

Alors lorsqu'elle vit son engin s'approcher de son anus, le type en question porta ses mains sur ses cuisses les replia sur elle et de toute ses forces lui enfourna sa bit dans le cul.

Mélanie hurla de douleur mais il s'en foutait pas mal et lui déchira le cul sous les rires de ses potes qui l'encouragèrent a encore plus la détruire.

"Passe moi ton portable il faut que je fasse venir Jean, tu sais le vieux du cinquième depuis le temps qu'il a pas baisé et avec la queue qu'il a il va la défoncer encore plus "

Il téléphona à un autre individu, lui parla et raccrocha en rigolant. Le mec ne mis pas longtemps à rappliquer, il était âgé de quarante ans environ, une vrai bête, large, grand, avec des épaules de déménageur, des cuisses énormes et un sexe hors dimension.

Lorsqu'il vit Mélanie allongé sur le matelas, les seins bien pelotés, la chatte dégoulinante et le cul offert, il se plaça derrière elle et sans ménagement aucun lui enfonça son pieu dans l'anus.

Prenant un réel plaisir à baiser il lui défonça le cul à grands coups de bite.

Après l'avoir limé pendant plus de vingt minutes, il lui expédia au fond de son intimité son sperme que depuis pas mal de temps il avait gardé en lui car peu de femmes voulaient coucher avec lui.

Quand tous se furent bien vidés les couilles ils partirent comme des voleurs laissant Mélanie nue dans la pièce.

Mélanie était fatiguée, et elle rentrait chez elle se reposer.

Après une bonne nuit de repos, Mélanie se leva en pleine forme. Ses lèvres intimes un peu irritées tout de même.

Elle alla donc prendre une douche revigorante et passer une crème réparatrice sur sa chatte malmenée.

Elle pensait à la journée d'hier. Elle s'était faite défoncer et avait joui comme une petite pute. Mais quelle salope elle faisait !

Et le pire c'est qu'elle languissait recommencer !