Chloéstories

Chloéstories (1) - au centre commercial (publié par Chloe23 le 02-05-2016)
Chloéstories (2) - la vente à domicile (publié par Chloe23 le 09-06-2016)
Chloestories (3) - Initiation à l'échangisme (publié par Chloe23 le 02-07-2016)


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Chloéstories (1) - au centre commercial


C'était une belle journée d'été, en semaine, et je m'ennuyais chez moi. Comme souvent dans ces cas là, j'ai décidé d'aller faire un tour au centre commercial, pour acheter quelques provisions, mais surtout pour faire un peu de shopping dans le rayon fringues.

Il faisait chaud, et j'étais en train de me prélasser, en tenue d'Eve. A mon grand regret, j'ai donc du m'habiller, mais j'ai opté pour le minimum : un débardeur à fines bretelles, et une minijupe. Je ne pensai même pas à enfiler des sous-vêtements - c'est si bon de sentir mon corps libre, et de penser que des gens peuvent se rincer l'œil ! Mon image dans la glace, pendant que je laçais les liens de mes chaussures à hauts talons, m'excitait déjà.



Je suis montée dans ma voiture, et me voilà partie pour l'hyper de la ville, et sa galerie marchande.

J'ai commence à déambuler dans les allées, au hasard et, en passant devant un miroir, je ne pus résister à la tentation de retrousser discrètement ma jupe, pour admirer le reflet de ma petite chatte...



Au rayon lingerie, j'ai découvert de minuscules strings, qui me paraissaient particulièrement sexy. Si j'aime ma balader sans culotte, il m'arrive de porter ce genre de slip qui ne cache rien, mais qui provoque toujours le désir de mon mec...

J'en pris donc quelques uns, et je me suis dirigée vers les cabines d'essayage. J'hésitai un bon moment, mais je finis par choisir un modèle vraiment minimaliste. A ce moment, pour faire grimper mon adrénaline, je décidai de le garder sur moi, pour passer à la caisse sans le payer.

J'ai reposé les autres strings dans le rayon, et j'ai continue mon shopping.



Je continuais de fureter, mais je trouvais bien trop pudiques les robes et les jupes qui étaient présentées sur les portants. Je devais bientôt partir en vacances, au soleil, et je n'avais aucune envie d'être raisonnable.

Je m'apprêtais à partir, quand j'aperçus un micro short, comme j'en avais envie depuis longtemps. Je le pris dans le rayon, pour l'examiner sur toutes les coutures, et il me plaisait vraiment... sauf le prix, qui dépassait de loin mon budget !

Je ne pus résister au plaisir de voir comment il m'allait, et je retournai donc en cabine d'essayage. Si je l'achetais, je le porterais avec des hauts très courts et, pour mieux juger de l'effet produit, j'enlevai mon débardeur.



Je me trouvais irrésistible... Le rideau de la cabine fermait mal, et un type attendait sa femme, qui essayait une robe dans la cabine voisine. Il ne manqua pas de me mater et ça m'excitait. Pour notre plus grand plaisir à tous les deux, je faisais semblant d'hésiter, je me tournais et me retournais devant la glace, pour me voir sous tous les angles.

Il n'y avait pas de doute, il me fallait ce short. Je le gardais sur moi, et je remis mon débardeur et ma jupe. Le short était si petit qu'on ne le voyait pas, et je glissai le string dans une petite poche de mon sac : tant qu'à jouer les voleuses, autant en profiter au maximum !

Je me dirigeai vers la sortie, mais en apercevant un vigile qui me regardait, je commençai à regretter le risque que j'avais pris, et je sentis mon cœur battre la chamade. Il se rapprochait de moi, et je me mis à paniquer, ce qui attira encore plus son attention. Je voulus faire celle qui ne l'avait pas vu, mais il me saisit par le poignet.



-Mademoiselle, me dit-il sur un ton autoritaire, je vous observe depuis un moment, et je sais que vous êtes en train de voler des vêtements.
-Mais pas du tout, et lâchez-moi, vous me faites mal, protestai-je.
-Je vous demande de me suivre au bureau, insista-t-il.

J'étais écarlate, et je me mis à le supplier, mais il était intraitable, et il appela sa direction.



-Ecoutez, je vais payer, on peut s'arranger, lui dis-je.
-C'est trop tard, me répondit-il, on vous attend au bureau pour une fouille.

Sans ménagement, le vigile m'emmena jusqu'aux bureaux, sous l'œil réprobateur des clients, et je me sentais morte de honte. Il frappa à une porte, et l'ouvrit sans attendre de réponse. Une jolie brune, en minirobe, délaissa son ordinateur, et me dévisagea des pieds à la tête.

-C'est la petite voleuse que tu as pincée, Pierre ? demanda-t-elle au vigile. Voyons quel gibier tu nous ramènes.



-Pas mal, poursuivit-elle, en me fixant toujours. J'ai prévenu le patron, il va arriver. Comment t'appelles-tu, la voleuse ?
-Chloé G..., répondis-je, toute penaude.
-Commence par vider ton sac sur cette table, Chloé.

Je m'exécutai, sans sortir le string dissimulé dans une petite poche intérieure. Mais la jolie brune examina soigneusement chaque objet et fouilla le sac, découvrant mon larcin.

-Et ça ? me demanda-t-elle, l'œil mauvais. Il y a encore l'étiquette du magasin !
-Attends, Amandine, intervint le vigile, je crois qu'elle a planqué aussi un short sous sa jupe. En plus, elle n'est pas discrète, elle fait tout pour se faire mater par les mecs.

C'est à ce moment que le patron entra, et Amandine lui expliqua la situation.



-Je vois à quel genre de fille nous avons affaire, dit-il sur un ton sévère. Nous allons vérifier si Pierre a raison de croire que tu planques un short sous tes fringues. Déshabille-toi !
-Ici ?... Devant vous ?... bredouillai-je.
-D'après ce que j'ai vu, tu n'as pas froid aux yeux, et t'exhiber ne te dérange pas, intervint le vigile.

Il ne me restait plus qu'à m'exécuter, et je commençai par enlever mon débardeur.



Dans un sursaut de pudeur, je cherchai à cacher ma poitrine.

-Allez, Chloé, continue, ordonna Amandine. Ne te fais pas d'illusion, tu vas finir à poil, c'est tout ce que tu mérites.

Pour le trio qui m'entourait, ma réticence en rajoutait à l'érotisme de la situation. Je fus obligée de découvrir mes petits seins aux pointes dardées, pour commencer à baisser ma jupe.



-Matez ses nichons ! s'exclama Amandine, ils sont en train de durcir, ça l'excite de se mettre nue devant nous.
-Regardez, intervint le vigile, j'avais raison : c'est bien un short de chez nous qu'elle planquait, il y a aussi l'étiquette.



J'essayai de négocier :

-Vous avez vu ce que vous vouliez, je vais vous rendre votre short.
-Tu penses t'en tirer à si bon compte, me répondit le patron, douchant mes espoirs. Commence par enlever ce short, pour voir si tu ne caches pas autre chose.

Je dus me soumettre, et dans les instants qui suivirent, je me retrouvai dans le plus simple appareil.



Mais je n'en avais pas terminé ! Je tendis le short au patron, et j'étais plantée là, nue, devant lui, quand il renchérit.

-Amandine, fouille-la au corps, pour voir si elle n'a pas planqué des bijoux dans sa chatte. Je sais que ça te plait de tripoter les jolies voleuses.
-Allonge-toi sur le bureau, m'ordonna la secrétaire, sur un ton sec et désagréable.

Je dus m'exécuter, mais je fus surprise, en voyant Amandine enlever sa robe, et en constatant que, elle aussi, ne portait rien dessous.

A peine installée sur le bureau, je sentis ses mains écarter mes cuisses, et sa bouche se poser sur ma chatte.



Je voulus me rebeller, même si la sensation était plutôt agréable.

-Ce n'est pas une fouille ce que vous faîtes là !, protestai-je.
-Tu n'es pas en position de dire quoi que ce soit, rétorqua Amandine, en me plaquant sur le bureau.

Pour me faire sentir sa domination, elle prit la pointe d'un de mes seins entre ses dents, et la mordit jusqu'à ce que je demande grâce.



M'avouant vaincue, elle se rattrapa en embrassant mon autre sein, pendant que ses doigts partaient explorer ma fente.



Petit à petit, je sentis le plaisir monter. Elle exigea que je tienne ma cuisse pour l'écarter au maximum, afin de pouvoir accéder plus facilement à ma chatte, et la fouille tournait à la séance d'exhib. Etre exposée dans cette position au regard du patron et du vigile renforçait mon excitation, et la jolie brune était particulièrement adroite, de ses mains, mais aussi de sa langue, qui avait débusqué mon clito tout gonflé.



Je m'étais mise à gémir, sans retenue, et bientôt un orgasme m'emporta au septième ciel.

Amandine continuait de fouiller mon intimité, prétextant de la nécessité de vérifier que je n'y avais rien caché. Enfin, elle se releva, et montra à son patron ma grotte entrouverte, luisante de cyprine.



-J'ai bien vérifié, elle n'a rien caché de ce côté-là, annonça-t-elle avec une expression perverse.

Cette fois, je pensais être quitte, mais une autre épreuve m'attendait encore.

-Je te laisse le choix, ma jolie, me proposa le patron. Tu fais ce qu'on va te demander, ou j'appelle les flics qui t'embarqueront, et je porte plainte contre toi.
-Non, je vous en prie, l'implorai-je, pas la police !
-Très bien. Pour commencer, tu vas reporter ce que tu as volé dans les rayons... Non ! sans te rhabiller, ajouta-t-il, voyant que je m'apprêtais à récupérer mes vêtements.
-Vous voulez dire que... je vais devoir traverser nue tout le magasin ?
-Oui, répondit le vigile. Et n'oublie pas qu'on te surveille, ajouta-t-il en me montrant les écrans de vidéosurveillance.
-Mais... tous les clients vont me voir. Personne n'a jamais fait ça !
-Détrompe-toi, m'interrompit Amandine, me montrant l'écran de son ordinateur. Ici, c'est une fille qui a voulu nous piquer des DVD.

Je découvris une jolie brune à lunettes, filmée à poil devant un écran télé allumé, une télécommande à la main.



-C'était il y a un mois. On l'a obligée à visionner un des DVD sur une télé en rayon, ajouta le vigile, hilare. Et celle-ci, elle avait essayé de voler des bocaux de foie gras et de caviar. Pas mal non plus ?



-Bien, tu as vu ? reprit le patron. Maintenant, c'est ton tour.
-En plus, vous avez remarqué ? reprit Amandine, en remettant sa robe. Elle est bronzée, sans aucune marque de maillot. Cette nana doit se faire bronzer à poil !

Vaincue, je pris le short et le string, les glissai dans mon sac, et je me dirigeai vers l'accès aux commerces, le cœur battant. Dans un dernier sursaut de pudeur, j'avais mis mes lunettes de soleil, pour éviter d'être reconnue mais, dès la porte donnant sur la galerie marchande franchie, je sentis tous les regards se poser sur moi.



Je lisais dans les yeux des clientes et des clients du centre tout le panel des réactions : stupeur, indignation, admiration (surtout chez les hommes), jalousie (chez les femmes)... En quelques instants, je m'habituai à cette situation et, après un sentiment de honte, l'excitation me gagna de nouveau.

J'en arrivais à me réjouir de m'être mise en danger. Sans cela, je n'aurais jamais osé tenter cette expérience extrême d'exhibition. Elle dépassait tout ce que j'avais fait jusqu'à présent, dans des lieux comme la plage ou dans des soirées, quand je m'étais mise nue devant un public qui pouvait plus ou moins s'attendre à ce genre de comportement.

Je commençai par remettre le string sur son présentoir, puis je me dirigeai vers le rayon vêtement, pour y restituer le short. De plus en plus à l'aise et excitée, je traînais même, pour détailler quelques robes.



Le vigile, qui me suivait à distance, m'adressa un signe pour que je m'approche discrètement de lui.

-Si tu veux, pour te récompenser de ta docilité, tu peux aller faire pour 20 euros d'essence à la pompe. Je surveille, et tu n'auras rien à payer... si tu restes nue ! Et tu repasseras après par le bureau, pour récupérer tes affaires.

Vu l'état de mes finances, cette proposition m'arrangeait. Je retournai à ma voiture, sur le parking, toujours suivie par des regards insistants, et quelques sifflets admiratifs. Mes seins étaient gonflés et durs, à un point que j'atteignais rarement pour une simple exhib.



Arrivée à la station service du centre commercial, je choisis tout de même la pompe la plus isolée, et je mis dans mon réservoir la quantité d'essence autorisée par Pierre, le vigile. Je me payais même le luxe d'adresser un coucou à la caméra de surveillance.



Puis je garai de nouveau ma voiture, et je remontai rapidement à l'étage du centre. En entrant dans le bureau, je retrouvai Amandine et son patron, devant les écrans de télésurveillance. Manifestement, ils n'avaient rien manqué de l'exhibition à laquelle ils m'avaient contrainte. Le vigile entra dans la pièce sur mes talons.

-Je peux me rhabiller maintenant, et partir ? demandai-je.
-On ne va pas se quitter comme ça, rétorqua Amandine. Martial, mon patron voudrait te montrer qu'il ne te tient pas rigueur de ta tentative de vol... et moi non plus d'ailleurs.
-Qu'est ce que vous voulez dire ?

Je posai cette question tout en devinant la réponse. Mais j'avoue que ma séance d'exhib m'avait copieusement émoustillée. Le directeur du centre était un beau mec, et je vis qu'Amandine commençait à enlever sa robe.



-Je suis certain que tu suces très bien, et que tu aimes autant ça que de te balader à poil, dit le patron, qui s'était débarrassé de sa veste et de sa cravate.

L'air soumis, je m'approchai de lui, je dégrafai sa ceinture pour ouvrir son pantalon. Je glissai ma main dans son slip, et je sentis aussitôt sa verge, déjà dure et dressée. Avant de l'avoir vue, je savais que c'était un superbe engin !

Je n'eus aucune difficulté à la sortir du pantalon, et avant de le déshabiller, je pris le gland gonflé dans ma bouche.



Amandine, maintenant entièrement nue, nous rejoignit, et déshabilla son patron, pendant que je continuais de le sucer.

Elle le caressa, se frotta contre lui avec une expression lubrique, puis s'agenouilla en face de moi pour m'accompagner dans ma fellation. Pendant que je me concentrais sur le gland, elle léchait et mordillait la longue hampe. Martial traduisait les sensations que nous lui procurions par des grognements, et par la pression de ses mains sur nos têtes.



Pendant ce temps-là, le vigile avait sorti une caméra vidéo, et nous filmait. J'étais tombée sur une équipe d'accros au sexe !

Il y avait un canapé dans un coin du bureau, et je m'aperçus soudain que c'était un convertible, ouvert discrètement par Pierre. Amandine s'allongea, en travers du matelas, et m'attira sur elle. Je sentis son corps musclé, ses seins fermes contre mon corps. Le patron revint planter son pieu dans ma bouche, tandis que sa secrétaire lui léchait les couilles.



Martial ordonna à Amandine de continuer à le sucer, pendant qu'il préparait ma chatte pour me baiser. C'était un dominateur, et nous nous exécutâmes toutes les deux.

Je m'allongeai sur le dos, cuisses largement écartées, et il commença à me bouffer la moule. Il était très adroit, et débusqua immédiatement mon clito dardé, m'arrachant un cri de plaisir. J'entendais en même temps les bruits de succion d'Amandine, pompant furieusement le mât dressé qui allait bientôt s'enfoncer dans mon minou.



Le désir montait en moi, de plus en plus impérieux, et ce fut presque une délivrance, lorsque Martial, allongé, m'empoigna par le bras pour me faire venir sur lui, sans ménagement. La secrétaire guida sa bite vers ma fente, tout en continuant à lécher la longue hampe, et je m'empalai lentement.



Je savourais chaque centimètre de la progression du gland gonflé dans mon fourreau inondé de cyprine. Pour me provoquer, Martial restait complètement immobile, attendant que je fasse coulisser ma chatte sur son énorme dard, pendant qu'Amandine embrassait mes fesses et m'excitait avec de légers coups de langue. La méthode était efficace car, très vite, je me déchaînai.



Bien campée sur mes cuisses, j'allais et venais sur la longue tige, variant le rythme de mes mouvements. Mais le patron se contrôlait sans difficulté, et c'est moi qui atteignis la première un orgasme foudroyant, en criant.

-Oooh, c'est bon ! Je jouis !... Oui, je jouiiis !
-Attends, petite vicieuse, me dit Amandine. Tu vas devoir aussi t'occuper de moi.

Elle s'allongea, et Martial m'installa sur elle, en 69, avant de replonger sa bite dans ma grotte.



J'étais maintenant dans un état second, que je connaissais bien, chaque fois que je m'abandonnais à mon insatiable appétit de sexe. Le patron me pilonnait la chatte à grands coups de reins mais, malgré la force de ses assauts qui secouaient tout mon corps et faisaient bouger mes petits seins, j'arrivais à explorer la fente de sa secrétaire, et à titiller son clito dressé comme une minuscule verge.



De son côté, Amandine dévorait aussi mon petit bouton, tandis que le sexe de son patron entrait et sortait sous ses yeux de mon minou, en effleurant ses lèvres. C'était un torrent de sensations excitantes, et nos gémissements, nos plaintes, nos cris remplissaient la pièce.



Je parvins à faire jouir Amandine avec ma langue, et je la suivis de près dans un second orgasme. Martial, quant à lui, se contrôlait toujours.

-J'ai envie d'essayer le petit trou de Chloé, je suis certain qu'elle aime ça, l'entendis-je dire.
-Je crois aussi qu'elle aime se faire défoncer le cul, lui répondit Amandine, sans me poser de question. Je vais vous la préparer.

J'avais vraiment l'impression d'être une femme objet, mais j'étais incapable de me révolter, tant le désir me menait. C'est même moi qui me mis à quatre pattes, cambrant les reins, et la secrétaire commença à lubrifier ma rosette avec sa salive.



Son patron l'interrompit.

-Ne t'en fais pas. Elle a tellement mouillé pendant que je la baisais, que sa cyprine a coulé jusqu'entre ses fesses.

C'était vrai, et il réussit à me pénétrer, doucement, mais sans difficulté. Je sentais son dard s'enfoncer lentement dans mon anus, et je fermais les yeux pour mieux apprécier les ondes de plaisir qui parcouraient mon ventre et mes reins.

Il se mit à aller et venir dans mon cul, d'abord doucement, puis lorsqu'il me sentit contracter mes muscles autour de sa tige, il se lâcha. Le rythme de ses coups de boutoirs suivait celui de mes cris, et nous basculâmes sur le côté, sans nous désunir. Il continuait de me défoncer, pendant qu'Amandine jouait avec les pointes de mes seins. Bizarrement, quand elle me pinçait, la douleur augmentait mon plaisir.



Amandine réclama un cunnilingus, et elle vint chevaucher le visage de Martial qui, calé entre ses cuisses, pouvait laper la sève qui dégoulinait de la fente de sa secrétaire. Très vite, elle se mit à gémir, et m'embrassa à pleine bouche. Sa langue tournait autour de la mienne, et nous sentions l'orgasme monter.



Quelques instants plus tard, nous jouissions toutes les deux ensemble, bruyamment, devant la caméra de Pierre qui continuait de nous filmer.

Amandine se releva, et les grognements de Martial, toujours planté entre mes fesses, révélaient qu'il allait éjaculer. Dans les secondes qui suivirent, je sentis de puissants jets de foutre gicler dans mon petit cul.

Quand il se retira, la semence coulait encore de son gland, et la secrétaire se rua entre mes cuisses pour lécher ma rosette et savourer le sperme de son patron.



Je restais un long moment, étendue, reprenant mos souffle et mes esprits. Martial quant à lui, en manager pressé, avait déjà remis chemise, cravate et costume, et nous quittait sans un mot pour se rendre à un rendez-vous.

Il croisa plusieurs membres du personnel, car c'était l'heure de la pause déjeuner pour certains, et du changement d'équipes pour d'autres. Quelques uns - et quelques unes - passaient par le bureau, et me découvraient, nue, sur le canapé déplié. Amandine raconta ma mésaventure, et il y avait peu de réactions de surprise chez ces salariés : je n'étais manifestement pas la première à me retrouver dans cette situation !

Je me relevai, mais Pierre s'approcha de moi, et me dit à mi-voix :

-La tradition, lorsqu'une jolie voleuse se fait pincer, c'est qu'elle s'offre en spectacle à certains membres du personnel.
-Votre patron ne m'a jamais parlé de ça, protestai-je mollement.
-Peut-être, mais il m'a dit avant de partir qu'il te laissait emporter le short que tu avais voulu nous piquer, insista Amandine.
-D'accord, mais on ne m'achète pas : si je fais l'amour, c'est pour le plaisir, répondis-je vexée, avec le sentiment d'être prise pour une pute.

Tout en discutant, le vigile s'était débarrassé de ses vêtements, découvrant sa queue dure et dressée à la verticale. C'est moi qui pris l'initiative, en le poussant sur le bureau, et en grimpant sur celui-ci pour me mettre à genoux. J'avais à nouveau une formidable envie de jouir, renforcée par le plaisir de m'exhiber sous les yeux d'une dizaine de personnes qui commençaient à nous encercler.

Lentement, je vins m'empaler sur le gland turgescent, pendant que Pierre, désarçonné par mon audace, me dévisageait, incrédule.



Je me mis à le chevaucher, faisant coulisser mes petites lèvres tout le long de sa tige, et bientôt les premiers cris de plaisir s'échappèrent de ma gorge.

-Retourne-toi, pour que mes collègues puissent mieux te voir, me demanda Pierre.

Sans discuter, je me dégageai pour faire demi-tour, et revenir m'empaler sur sa bite. Dans cette position, il était vrai que mes admirateurs profitaient davantage du spectacle de ma chatte béante, et de mes petits seins secoués par les coups de reins du vigile qui me tenait par les hanches.



Moi aussi, j'étais excitée par tous ses yeux rivés sur les parties les plus intimes de mon anatomie, scrutant sur mon visage la progression du plaisir. Pierre était déchaîné, et nous basculâmes sur le côté, juste au moment où je jouis en hurlant.



Le vigile était aussi endurant - et aussi bien monté - que son patron, et me voir me faire sodomiser quelques minutes auparavant lui avait donné des idées. Et un autre responsable du magasin s'approcha à son tour, en ôtant son jean.

-Tu en veux encore, Chloé ? me demanda Pierre.
-Tu profites de ma faiblesse, me lamentai-je en jouant les ingénues.
-Je crois qu'une bite dans ton petit cul, et une autre dans ta bouche te donneraient beaucoup de plaisir.

Je répondis seulement par un regard plein de promesses. Le vigile se plaça derrière moi, et je soulevai ma jambe, pendant que son collègue me présentait son gland, tout près de mes lèvres.



Je m'offris sans retenue à ces pénétrations, et je sentis avec des frissons de bonheur les deux glands se frayer un passage, entre mes fesses et dans ma bouche. Je gémissais de plaisir, et je ne sais pas combien de temps durèrent les va-et-vient en moi de ces deux dards. J'aurais voulu que ça ne s'arrête pas, mais je finis par jouir interminablement, ponctuant chaque vague de plaisir d'un long cri aigu.



Mes partenaires n'en avaient pas fini ! Insensibles à mon épuisement, ils me manipulèrent comme une poupée de chiffon pour me prendre en sandwich. J'étais à peine consciente de ce qui se passait, mais je me retrouvai, chevauchant Pierre, et offrant mon cul à son collègue. Je réalisai seulement la situation lorsque je sentis les deux dards s'enfoncer entre mes fesses et entre mes petites lèvres brûlantes.



Ils me pénétrèrent doucement, et bougèrent d'abord lentement, pour me laisser le temps de récupérer un peu. Ce qui ne tarda pas. Avec ravissement, je perçus à nouveau la montée du plaisir. Mes plaintes, d'abord étouffées, se transformèrent en gémissements évocateurs, et les coups de reins des deux hommes se firent de plus en plus rapides, de plus en plus violents.



L'orgasme montait de mon ventre, faisait durcir encore davantage mes seins. Mes deux amants d'un instant le comprirent. Sans se retirer, ils réussirent à se mettre debout, et à me faire sauter sur leurs bites qui me remplissaient totalement.



Et je parvins à jouir de nouveau.

-Oui ! Oui !!! C'est bon, je jouis !!!... Oooh, je vous veux, je veux sentir votre semence gicler !

Exauçant aussitôt ma demande, ils me posèrent par terre, à genoux. Leurs glands tremblaient, prêts à exploser, et à peine les touchai-je qu'ils éjaculèrent dans ma bouche et sur mon visage, les inondant d'un foutre épais.



Pierre et son collègue m'abandonnèrent, au milieu du personnel qui me matait avec un mélange d'incrédulité et d'admiration. Pendant que le vigile se rhabillait pour aller rechercher mon short dans le magasin, le responsable du prêt-à-porter réclama « sa part », pour laisser sortir le short que je convoitais.

Je me retrouvai de nouveau allongée sur le dos, les cuisses relevées et largement écartées. Ses autres collègues s'étaient rapprochés encore plus, pour observer la scène en gros plan. La proximité de ces voyeurs, la taille du sexe qui allait me pénétrer, réveillèrent chez moi un dernier sursaut de désir.

-Tu veux me prendre comment ? lui demandai-je.
-Ici, comme ça, dans ton joli cul, répondit-il d'une voix rauque.

Et l'énorme gland força l'entrée de mon petit trou, encore dilaté.



Mais j'avais présumé de mes forces. Je n'arrivais pas à atteindre l'orgasme, malgré les coups de boutoirs furieux de mon partenaire, et les encouragements de ses collègues. Il fallut près d'une demi-heure pour que je jouisse enfin, stimulée par les jets de sperme que je sentis jaillir au fond de mon ventre.



On me laissa enfin me remettre debout, et aller au sanitaire en titubant, pour une toilette sommaire. La fraîcheur de l'eau me permit de récupérer un peu et, sur le bureau d'Amandine, je trouvai le short responsable de ma mésaventure... Mais était-ce vraiment une « mésaventure » ?

J'enfilai donc mon micro short et mon débardeur, sans remettre ma minijupe que je fourrais dans mon sac, et je quittai le bureau, saluée par les sifflets admiratifs des employés encore présents. Quelques instants plus tard, je me retrouvai dehors, sur le parking, et j'appréciai la chaleur du soleil sur mes fesses largement découvertes.



Et c'est dans cette tenue très sexy que je repris ma voiture, pour rentrer chez moi.

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Chloéstories (2) - la vente à domicile


Depuis longtemps, je cherchais un moyen de gagner un peu d'argent, pour financer la fin de mes études, quand je découvris une annonce dans une revue féminine s'adressant à un public plutôt... libéré :
« Société distribuant des vêtements, de la lingerie sexy, et différents produits liés à l'érotisme, cherche jeune femme entreprenante pour la vente lors de réunions à domicile »

L'annonce demandait de joindre à la lettre de motivation un CV avec photo. Je m'empressai de répondre, en choisissant une photo sexy - mais je n'osai pas tout de même pas envoyer une de celles ou j'étais nue.



Je reçus une réponse très vite, et un rendez-vous me fut fixé au siège à Paris, où je fus reçue par une responsable des ressources humaines, âgée d'une quarantaine d'années, très belle. Dès le début de notre conversation, elle me précisa que les commerciales devaient être parfaitement à l'aise avec leur corps et, à titre de test, elle exigea que je reste nue pendant notre entretien.



Le courant passa entre nous et, à la fin du rendez-vous, elle me déclara que ma candidature était retenue. Dès la semaine suivante, je fus convoquée pour trois jours de formation aux produits et aux services proposés, et aux techniques de vente.

Je trouvais la gamme de lingerie et de vêtements tout à fait à mon goût, et les sextoys très excitants. Je n'aurais aucun mal à les vendre, étant moi-même déjà convaincue ! Quant aux autres « prestations » figurant au catalogue... je vous laisse les découvrir un peu plus tard.

Je devais maintenant organiser ma première réunion de vente à domicile et, pour cela, trouver le lieu et un groupe de clientes potentielles. Assez vite, je pensai qu'Agathe pourrait nous recevoir : c'est une jolie femme, qui est apparue dans une de mes histoires sur Lisastory, et qui possède une belle maison avec une piscine.



Elle accepta, et je contactai ensuite Carine, ma complice pour tout ce qui touche au sexe, certaines copines de fac, ainsi que Lisa, qui me proposa d'inviter quelques jolies membres de son site. Le jour dit, je mis donc dans ma voiture toute une collection de valises à roulettes qui occupait mon coffre et même les sièges passagers !

Je retrouvai Agathe - toujours aussi sexy - avec plaisir. Elle m'aida à décharger mes valises, à disposer mes produits, et elle me montra les chambres où les clientes qui le souhaiteraient pourraient se changer. Avant que tout le monde arrive, comme on me l'avait enseigné, j'enfilai une robe de la collection : d'une longueur très raisonnable mais légèrement transparente, sa particularité était un décolleté si profond qu'il découvrait entièrement mes seins. Idéale pour des soirées coquines !



Géraldine fut la première à nous rejoindre : c'était une jeune prof de la fac, qui nous avait organisé un stage de cohésion de groupe tout à fait mémorable (je l'avais raconté ici !).



Carine la suivait de près. Elle était accompagnée de Karim, son copain du moment, et je fus - agréablement - surprise de constater que plusieurs nanas étaient accompagnées de leur compagnon. Lisa arriva avec Simon, son mari, lui aussi très excité par les produits que je vendais, et par la perspective de voir un tas de jolies femmes les essayer et s'éclater. Ils étaient accompagnés de Fiona, une ″Lisanaute″ belle et délurée.

Les arrivées se suivaient de près. Plusieurs copines de fac : Barbara, Mélanie, Sandra, Ambre, Betty ; Inès, l'amie d'Agathe, et un autre couple, habitué de Lisastory, Fabienne et Boris.

Je commençai par présenter mes modèles de lingerie, suivant le déroulement de la réunion tel qu'il m'avait été appris. D'entrée de jeu, toutes les nanas se précipitèrent, examinant les sous-vêtements sous toutes les coutures, riant et échangeant des commentaires - parfois osés, mais qui trahissaient leur envie de les porter.

Ambre, une belle eurasienne nouvellement inscrite à la fac, partit la première dans une chambre, et revint en arborant un petit ensemble string blanc, l'un des plus sages de la gamme.



-Comment me trouvez-vous ? demanda-t-elle à l'assistance.
-Tu le portes très bien, répondis-je, et le string met bien en valeur tes fesses.
-C'est vrai, mais je trouve ça un peu sage, rectifia Carine.
-Je suis d'accord avec toi, approuva Lisa. C'est sans doute adapté pour une première soirée avec un mec qui ne te connait pas, mais je pense que ce que nous vend Chloé aujourd'hui est surtout destiné à des moments plus torrides encore !

Ambre avait été suivie, dans une autre chambre, par Inès, qui avait flashé sur un bustier en dentelle. Elle le portait sans soutif, ce qui lui allait parfaitement.



Pendant que je complimentais mes deux premières clientes, Laura, sans complexe, enlevait sa minijupe et son bustier, sous lesquels elle était nue, pour essayer un string et un soutien-gorge, dont les bonnets se réduisaient à des bijoux en strass posés sur les pointes de ses seins.



A partir de ce moment, plus personne ne s'isola dans une chambre pour se déshabiller. C'était un défilé de corps, nus ou mis en valeur par une lingerie minimaliste. Agathe était très « vamp », avec un ensemble en dentelle et crochet transparent, tendu par sa poitrine généreuse.



Carine - qui s'était fait décolorer en blonde - se contentait d'un string porte-jarretelles noir, avec des bas. Juchée sur ses talons, elle était particulièrement provocante.



Simon et Boris applaudirent à tout rompre. Quelques minutes après, je la retrouvai avec un micro-ensemble blanc, qui ressemblait furieusement aux bikinis que j'aimais porter à la plage.



Lisa, après avoir longtemps cherché, et s'être fait photographier par Simon seins nus avec un petit string...



... arrêta son choix sur un ensemble, très romantique.



Mais je ne ferai pas ici la liste de tout ce que j'ai vendu en ce début de séance ! Je n'arrêtais pas d'enregistrer les commandes sur mon ordinateur, et ce n'était que le début de la réunion...

-Je crois que vous avez fait le tour de ce que je peux vous proposer en lingerie. Si vous êtes d'accord, je vous suggère de passer aux robes et aux tenues de soirées. Vous pouvez d'ores et déjà admirer le modèle que je porte : Cette robe peut se porter discrètement sous une veste par exemple. En enlevant la veste, vous découvrirez vos superbes poitrines. Effet garanti !

Ma proposition fut accueillie avec enthousiasme, et toutes les filles - certainesp étaient restées nues ou en string - commencèrent à éplucher mon catalogue, et à me demander de sortir les vêtements qui leurs plaisaient. Plus personne ne passait par les chambres pour se changer.

Ce fut Géraldine qui, la première, se décida pour une robe en voile noir, entièrement transparente.



Fabienne examinait depuis un moment une autre robe blanche, toute en dentelle, sur laquelle Boris avait flashé.

-Tu crois vraiment que je pourrais mettre ça ? demanda-t-elle.
-Bien sur, répondit aussitôt Boris, avec un air entendu. Tu sais bien que, depuis nos dernières vacances, tu es prête à toutes les folies.
-Boris a raison, c'est un très bon choix, renchéris-je. Essaie-là, ça ne t'engage pas, mais je suis certaine du résultat. Je te conseille d'enlever ton string, elle se porte sans rien dessous.

Vaincue, Fabienne enfila le fourreau de dentelle.



Lorsqu'elle se vit dans la glace, ses yeux se mirent à briller - sans doute était-elle traversée par quelques pensées inavouables - et elle embrassa Boris pour le remercier.

Inès essaya deux robes blanches, hésita longuement et, encouragée par Agathe, finit par me les acheter toutes les deux. La première était un long fourreau très souple, translucide, qui mettait en valeur sa poitrine généreuse...



L'autre était du même couturier que celle que je portais. Elle était moulante et très courte et, comme la mienne, découvrait complètement les seins.



Ambre, décidemment toujours la plus sage, choisit une minirobe de plage, en coton fleuri, dont le décolleté permettait tout de même d'apercevoir ses petits nichons.



-Toi qui connait ta collection, et qui me connait sans doute aussi bien, qu'est-ce que tu me conseilles ? me demanda Agathe.
-Je te verrais bien dans celle-ci, répondis-je après avoir prolongé mon temps de réflexion, pour piquer sa curiosité. Avec ta plastique et ton audace, tu peux te le permettre.

C'était une sorte de long pagne, totalement ouvert sur les côtés. Suivant les mouvements d'Agathe, le tissu offrait aux regards des échappées vertigineuses sur ses seins et ses fesses.



Sans discuter, elle l'enfila, et circula parmi les invitées pour recueillir leur avis. Quelques minutes après, elle me validait sa commande.

Comme pour la lingerie, je parvenais à peine à suivre, sur mon ordinateur, la liste des références à enregistrer. Je ne me souviens pas de toutes, mais je me rappelle d'une très belle robe noire commandée par Lisa.



Lorsque la pression retomba, je filai discrètement dans une chambre pour me changer. Non pas par pudeur, mais pour ménager mes effets !

Je voulais passer à la présentation des maillots de bain, et j'enfilai l'un des mes préférés, pour mettre mes clientes en condition.



Voir tous ces corps féminins, pleins de sensualité, observer les réactions de Simon et de Boris qui mataient tout ce beau monde, repenser aux moments torrides que j'avais passés avec nombre de filles présentes, tout cela m'excitait. Depuis le début de la présentation, je sentais les pointes de mes seins darder, ce qui n'avait pas échappé aux deux mâles ! Me voir dans une glace, dans ce microbikini n'arrangea rien, et je sentis que je commençais à mouiller.

Je rejoignis le groupe, et je me dirigeai vers la piscine.

-Et si nous passions maintenant aux maillots de bain, lançai-je. En ce début d'été, c'est le moment où jamais. Qu'en dites-vous ?
-Excellente idée !, s'exclama Fiona. Surtout quand on voit le tien. Tu peux tout de suite enregistrer une commande à mon nom pour ce modèle.
-Tu compte porter ça sur une plage publique, et tu ne crains pas de provoquer une émeute ?, plaisanta Lisa.
-On croirait que tu ne me connais pas ! Une émeute, suivie d'un bon gang bang, voilà une perspective qui m'exciterait plutôt.

Ce fut une nouvelle séance d'essayage, et une autre rafale de commandes. Je me souviens de quelques unes : Barbara, par exemple, qui acheta un string séparé.



-Tu ne prends pas le haut ?, lui demandai-je.
-Ca ne servirait à rien, répondit-elle. Depuis que je te connais, je vais à la plage seins nus et, bien souvent, je finis à poil.

Mélanie choisit un microkini, qu'elle étrenna aussitôt dans la piscine.



-Vous pouvez me photographier, demanda-t-elle à Simon et Boris, mais envoyez-moi les photos par mail !

Les deux hommes en profitèrent pour surprendre Barbara, qui était en train d'enlever un string pour essayer un autre maillot.



Inès a opté pour un autre microbikini, qu'elle testa immédiatement en prenant un bain de soleil...



... bientôt imitée par Betty.



En une heure, chacune des invitées me commanda au moins un maillot.

Je n'étais pas la seule à être émoustillée par tous ces essayages. Mes clientes étaient maintenant bien excitées et, comme elles ne s'encombraient pas de tabous, elles avaient déjà évoqué leurs vies sexuelles en admirant ces vêtements qui mettaient en valeur leur plastique plus qu'ils ne la cachaient. Elles étaient donc « à point » pour les articles que j'allais maintenant leur présenter.

- Je suppose que, comme moi, vous avez plus ou moins souvent des envies de sexe, et qu'aucun partenaire n'est à vos côtés pour vous satisfaire. Vous pouvez, bien sur, vous caresser, mais il existe des « jouets », qui peuvent vous procurer des sensations plus profondes et décupler votre plaisir. Voulez-vous voir ces objets, et les découvrir dans une démonstration ?

L'approbation fut unanime, et le regard des hommes s'alluma.

-Pour commencer, voici le godemichet classique, simple, que vous devez toutes connaître, et peut-être utiliser. Y a -t-il ici une fille qui n'a jamais tenté l'expérience ?

Ambre leva timidement la main, provoquant les sourires des autres nanas.

-Et bien, Ambre, je te propose d'essayer ce modèle, repris-je en lui tendant.
-Ici, devant tout le monde ? bredouilla-t-elle.
-Mais oui ! Comme ça, chacune pourra se rendre compte de l'efficacité de ce sextoy. Vous verrez, il est particulièrement long, et il peut être utilisé par deux partenaires. A toi, Ambre, oublie que nous sommes là.

Ambre s'allongea sur un canapé, et prit l'engin entre ses doigts tremblants. Elle le frotta entre ses seins, pour le chauffer, mais aussi pour s'exciter. Progressivement, elle écartait les cuisses de plus en plus largement, au fur et à mesure de la montée de son désir, nous offrant ainsi le spectacle de sa petite chatte.



Elle embrassa délicatement la verge artificielle, avant de la présenter entre ses petites lèvres.

Elle fit aller et venir l'extrémité du gode entre son clito gonflé, et l'entrée de sa grotte, où nous vîmes bientôt perler quelques gouttes de cyprine. Son souffle devenait plus court, et elle introduisit enfin la longue tige dans sa fente, en poussant de petits gémissements de plaisir.



Très vite, Ambre sembla oublier que nous la regardions. Elle se pistonnait la chatte de plus en plus vite, de plus en plus profondément, tout en astiquant d'un doigt fébrile son petit bouton.

Elle poussait maintenant de petits cris, et se mordait les lèvres pour ne pas jouir trop vite. Je me penchai vers elle, pour lui faire une proposition :

-Si tu veux, tu peux utiliser deux godes en même temps. Tu vas retrouver tous les plaisirs d'une double pénétration. Et en plus, mes sextoys ne débandent jamais ! Tu veux essayer ?
-Oh, oui, répondit-elle d'une voix assourdie.

Les yeux clos, elle saisit le deuxième olibos que je lui tendais, et le frotta à son tour entre ses seins, tout en continuant de pistonner son minou avec le premier.



Elle le ressortit un court instant de sa chatte, pour le planter dans son petit trou. Il était tellement enduit de mouille qu'il s'enfonça doucement entre ses fesses, sans qu'elle ressente la moindre douleur.

-C'est bon ? lui demandai-je.
-Oh oui ! répondit-elle spontanément, sur un ton rauque. Et le fait que vous me regardiez m'excite davantage... Ooooh ! Je le sens bien... Oui, c'est bon !



J'avoue que le spectacle m'excitait aussi passablement, et j'étais convaincue que ma vente ne se terminerait pas sans que je me fasse baiser !

Pour Ambre, le plaisir était là. Elle empoigna le deuxième gode, et le fourra dans son sexe affamé. Les yeux clos, les lèvres humides, ses poignets s'activaient pour rythmer les va-et-vient des deux engins.



Tout le monde s'était approché pour jouir de ce spectacle. Pour une néophyte, Ambre était exceptionnellement douée. Elle variait la cadence et la profondeur des coups de boutoirs des deux infatigables jouets.

Elle se retint longtemps, pour que le plaisir atteigne son paroxysme et, au moment qu'elle choisit, elle se laissa emporter par la jouissance, en criant.



Elle s'abandonna alors sur le canapé, pantelante. Les deux godes restèrent plantés un moment dans ses deux orifices, avant qu'elle les retire pour me les rendre.

Simon et Boris s'étaient discrètement branlés pendant cette scène, mais les regards brillants des femmes trahissaient aussi leur excitation. Manifestement, je n'étais pas la seule à éprouver du désir... Mais je devais poursuivre ma vente.

-Pour celles qui sont intéressées par ce type de produit, je vous présente un autre modèle, plus luxueux, dédié surtout à un usage en double.
-On peut aussi l'essayer ? demanda Fiona.
-Bien sur. Mais il faut que tu te trouves une partenaire, répondis-je.
-Pourquoi pas notre jolie vendeuse ?, suggéra Simon. Ce serait normal qu'elle fasse la démonstration de son produit.

Plusieurs voix s'élevèrent pour approuver cette proposition, et Fiona n'était pas la denière.

J'avais du mal à cacher que cette idée me plaisait, tant mes seins durcis pointaient à travers mon microbikini. Il ne me fallut que quelques secondes pour me débarrasser des minuscules bouts de tissu de mon costume.

Agathe nous conseilla de nous installer dans leur chambre, très grande, avec un lit immense et confortable. Fiona, très excitée, me prit par la main pour m'entraîner.

-C'est à toi de mener la démonstration, me lança-t-elle, avec un regard provocant.

Elle s'était mise à quatre pattes sur le lit, reins cambrés, et m'offrait sa jolie chatte.



Je m'agenouillai derrière elle, et je plongeai mon nez entre ses fesses rondes et musclées, au parfum capiteux. Ma bouche, ma langue exploraient sa fente déjà humide, partant à l'assaut de son petit bouton.

-C'est trop bon, gémit-elle. Vas-y, plante moi ton engin dans mon minou.
-Allonge-toi, ma chérie, et continue de te cambrer.

J'avais empoigné le long gode, et lentement, je l'enfonçai entre ses petites lèvres.



-Oooooh !, feula-t-elle. Comme c'est bon... J'en veux plus... Oui, plus profond.

Je pénétrai plus loin dans son abricot gonflé, aussi loin que je le pouvais, et je fis aller et venir le sextoy, de plus en plus vite. Fiona gémissait maintenant comme une damnée, et se tordait de plaisir. Je ne voulais pas la laisser jouir aussi rapidement : je retirai le gode, et je lui ordonnai de se tourner.

Lorsqu'elle fut sur le dos, je la soulevai par les jambes, calai son dos contre mon ventre.

-Ecarte tes cuisses en grand, lui ordonnai-je.

Elle s'exécuta, et j'introduisis de nouveau le godemichet dans sa chatte.



Lorsqu'il fut entré assez profondément en elle, je me relevai en la tenant par les chevilles, et j'amenai ma chatte à la verticale de l'olisbos solidement planté à la verticale.

Je me laissai descendre sur l'extrémité libre de l'engin, sur laquelle mes petites lèvres et mon clito venaient frotter. A plusieurs reprises, elle s'écarta au moment où je voulais la faire pénétrer dans ma grotte. Plusieurs essais furent nécessaires, mais cette attente était terriblement excitante pour moi.



Enfin, je réussis à m'empaler sur la bite de résine, en poussant de petits cris de satisfaction.

Je me mis à monter et descendre sur ce mat, d'une rigidité incomparable. Chacun de mes mouvements se répercutaient dans la chatte de Fiona, qui manifestait bruyamment son plaisir.

-Oui, c'est bon, criait-elle. Continue... Oh, oui... continue !
-Comme ça ? Tu aimes ça, te faire défoncer par une autre fille ?
-Oui, ouiiii ! Vas-y encore, ma chérie !, m'encourageait-elle.

Nous parvînmes ensemble à l'orgasme, sous l'œil brillant de désir de mes clientes, et nous laissâmes tomber sur le lit, le gode planté dans nos deux fentes. Sans nous consulter, nous avons commencé à remuer des hanches, en nous regardant dans les yeux, nos bouches humides entrouvertes. Je caressai la plante d'un pied de Fiona avec mon propre pied.



Fiona renversa la tête en arrière, goûtant les sensations que je lui procurais.

-Ca te plait ? Tu vas m'en acheter un ?, lui demandai-je.
-Oui, promis, me répondit-elle, haletante. Mais avant, fais-moi jouir encore, comme une chienne.

Elle se retourna, pour s'agenouiller en levrette, enfonça elle-même le gode dans sa caverne inondée de cyprine. Je saisis ses longs cheveux bruns, et les tiraient en arrière à grands coups secs, pour la faire coulisser sur l'engin enfoncé en moi au maximum.



Fiona se mit à hurler, et je l'accompagnais de mes cris aigus. Pour moi, c'était un déluge de sensations, et ma partenaire partageait manifestement mon plaisir. Nous avons joui une seconde fois, toutes les deux, à quelques secondes d'intervalles, l'orgasme de Fiona déclenchant le mien.

Comblées, nous nous sommes abandonnées un moment sur le lit, nues et essoufflées, et nous avons échangé un long baiser.



Il me fallait un peu de temps pour récupérer, et passer à la dernière étape de ma vente. Ce répit me permis de présenter les derniers jouets que j'avais à vendre, et je les sortais de deux grandes valises.

-Si vous êtes intéressées, je vous propose de découvrir la dernière génération de sex machines, que nous distribuons. N'hésitez pas à les essayer, pour celles qui n'ont jamais fait cette expérience ! Le premier modèle, « Sybian », est à chevaucher. Pour le deuxième, vous pouvez en profitez allongées, ou en levrette, et il peut être équipé de deux godes pour une double pénétration.

J'installai les deux machines au milieu du salon, laissant mes clientes s'approcher pour les découvrir. Toutes connaissaient plus ou moins ce genre d'engins, mais elles étaient peu nombreuses à les avoir utilisés, ce qui se ressentait dans les commentaires entrecoupés de petits rires nerveux.

-Qui veut essayer ?, demandai-je pour susciter une première volontaire, car je sentais qu'aucune nana ne s'offrirait spontanément en spectacle.
-Moi, je veux bien ! déclara Carole, après un long moment d'hésitation. Puisque personne n'ose se lancer.

Elle s'allongea sur une table, à plat ventre, et se cambra en écartant les cuisses. Je mis en place un gode, à l'extrémité de l'une des barres de la machine, et je confiai à Carole le boîtier qui contrôlait le rythme et la vitesse des pénétrations.



Elle ferma les yeux lorsque l'olibos s'enfonça lentement dans sa chatte. Manifestement, Carole était surprise par l'intensité des sensations qui parcouraient son corps, tendu comme un arc.

Très vite, elle se mit à jouer avec la commande, accélérant ou ralentissement le rythme des coups de piston, pour faire monter son désir et son plaisir. Carole adorait se faire baiser en public, et ses gémissements se transformèrent en cris.



Elle atteignit bientôt l'orgasme, et se mit à hurler.

-Ooooh, c'est bon !... Oh, putain ! Qu'est-ce que c'est bon... Je jouis ! Ouaaaah ! C'est génial, ton truc !

Je connaissais trop bien Carole, et je savais qu'elle avait encore de la ressource.

-Tu en veux encore, ma chérie ? Tu sais que cette machine est inépuisable : elle peut te faire mourir de plaisir...
-Oui, oui, j'en veux encore, avoua-t-elle d'une voix haletante.
-Dans ton petit trou, ça te plairait ? lui demandai-je, connaissant d'avance la réponse.
-Bien sur... à condition que tu me prépares, petite cochonne.

Je pris un peu de lubrifiant dans ma valise, et j'en enduisis consciencieusement sa rosette. Puis j'amenai la bite de résine, luisante de la cyprine de Carole, entre ses fesses.



Elle raidit ses bras, pour s'empaler doucement sur le dard, avant d'accélérer progressivement ses mouvements grâce à la commande électrique. Très vite, elle se mit à gémir de façon très explicite.

Mais mon attention fut détournée à ce moment par les soupirs poussés par Barbara. Me retournant, je la découvris, commençant à chevaucher l'autre machine.



-Tu peux la faire gonfler et vibrer avec la télécommande, lui indiquai-je.
-Je sais, mais pour l'instant, je l'apprivoise. C'est délicieux cette sensation, et l'attente du déchainement de cette mécanique. Regarde comme elle me remplit bien !

Je n'étais pas la seule à goûter le spectacle offert par Barbara. Les hommes s'étaient assis par terre, leurs visages au niveau de son joli cul, et ils ne perdaient rien de ses mouvements de hanches accompagnés de bruits humides. Barbara mouillait !



-Prends la commande, me supplia-t-elle. J'ai trop envie que ce soit toi qui règle les mouvements de ce truc, et de me sentir à ta merci.
-Ne viens pas te plaindre après ! Tu me connais : tu vas en prendre plein la chatte !

Je me saisis du boîtier, mais j'attendis que Barbara soit folle de désir pour commencer à m'en servir. D'abord, je fis gonfler au maximum le gode, lentement, suivant sur le visage de Barbara l'effet produit par l'énorme engin qui la remplissait totalement. Ruisselante de sueur, elle continuait à monter et descendre sur le pieu qui la perforait.



Voir Barbara dans un tél état m'excitait comme une folle. Il fallait que je garde mon sang-froid pour poursuivre ma vente et que je me retienne de provoquer dès maintenant une orgie. Mais je ne pouvais pas laisser ma copine dans cette situation de manque.

Progressivement, j'accélérais les vibrations du « Sybian », faisant grimper dans les aigus les cris de Barbara. Elle jouit brutalement, sans que j'aie eu le temps de réduire le rythme. Je la laissai aller au bout de son orgasme, mais je ne lui accordai aucune pause.

A peine avait-elle reprit son souffle, que je relançai la machine à son maximum. Dès que ses cris retentirent à nouveau, je jouais à accélérer et ralentir les mouvements du pieu, que Barbara chevauchait dans une folle cavalcade.



Cette fois, elle arrivait à se contrôler, et c'est au bout de longues minutes que ses hurlements annoncèrent son deuxième orgasme.

Il était temps pour moi de passer à la dernière partie de ma séance de vente, avec une offre qui ne pourrait pas laisser ces femmes indifférentes !

Je pris tout de même le temps d'enregistrer trois nouvelles commandes, ce qui était très flatteur, compte tenu du prix des machines, avant d'annoncer :

-Avant de nous séparer, je vais vous présenter une prestation proposée par ma société. Nous pouvons vous offrir les services de très beaux mâles, pour animer vos fêtes. Ces messieurs sont en mesure de se livrer à un spectacle de strip-tease, mais aussi de combler vos désirs et ceux de vos amies, si la vue de belles queues vous donne des idées.

Une rumeur s'éleva du groupe des nanas, manifestement très excitées par cette perspective.

-C'est dommage que tu ne les aies pas amenés, me dit Lisa, l'air déçu.
-Mais... ils sont là ! Normalement, ils doivent attendre ans leur voiture, devant la villa, que je leur demande d'entrer. Si vous êtes d'accord !, ajoutai-je, ma voix étant aussitôt couverte par les cris des filles.

Je pris mon téléphone pour leur dire que nous les attendions et, pendant ce temps, toutes mes clientes se rhabillèrent pour les accueillir. Agathe apporta du champagne, et elles s'installèrent confortablement pour profiter du spectacle.



Ils entrèrent dans la pièce les uns après les autres. Je ne les avais jamais rencontrés, mais je disposais de fiches qui me permettaient de les reconnaître pour les annoncer.

-Voici d'abord Ken, le benjamin du groupe.

Il se planta devant les filles, et commença à soulever son polo pour découvrir un torse athlétique, et ce fut une explosion de cris aigus.



-Et maintenant, je vous présente Rocco, et je vous laisse deviner pourquoi il a choisi ce nom de scène....

Torse nu, il se présenta aux nanas dans la tenue du parfait chippendale, soulevant à son tour une réaction hystérique.



-Et enfin, voici Dimitri. Une confidence : c'est aussi un hardeur, que vous avez peut-être vu dans des films X. Côté endurance... je ne vous en dis pas davantage !

Dimitri prit une pose provocante, torse nu lui aussi, le jean déjà un peu déboutonné.



-J'imagine que vous voudriez en voir plus ! Si certaines d'entre vous sont effrayées par les sexes d'hommes, elles peuvent sortir, lançai-je en plaisantant.

Je provoquais une tempête de protestation. L'ambiance, dans le salon d'Agathe, était devenue électrique, lorsque Ken enleva son tee-shirt et commença à déboutonner son jean.



Il fit durer le plaisir, et les cris des nanas atteignirent un niveau insupportable, avant qu'il se décide à enlever son jean. Il ne portait pas de slip, et nous découvrîmes une superbe queue. Elle était d'une taille imposante, alors que Ken ne bandait pas encore.



Ce fut au tour de Rocco de se mettre à nu, et il se dirigea vers Géraldine pour demander de l'aide. Elle dégrafa la ceinture de son jean, mais pendant qu'elle libérait une bite déjà dressée, il souleva son débardeur, et se mit à l'embrasser à pleine bouche en lui malaxant les seins.



Géraldine répondait fougueusement à ce baiser, et nous pouvions voir sa langue jouer avec celle du stripteaseur, provoquant des protestations jalouses des autres filles.

Enfin, Dimitri se débarrassa de son jean, et commença à baisser son slip, en faisant durer l'attente.



Il s'approcha d'une table où plusieurs filles étaient installées, pour qu'elles finissent de le déshabiller. A ce moment, Agathe arriva doucement derrière lui, et cacha ses yeux avec ses mains.

-A vous de jouer, les filles. Il ne saura pas laquelle de vous profite de la situation !

Inès baissa le slip déformé par l'érection de Dimitri, et Mélanie prit la verge dressée dans sa main pour la branler, sous les applaudissements.



C'était le coup d'envoi d'une orgie bien prévisible. Les femmes présentes commençaient, pour certaines, à se déshabiller. Des seins gonflés apparaissaient, comme par enchantement. Dimitri se retrouva assis sur une banquette, et Mélanie posa sur sa tête un chapeau que je n'avais pas vu auparavant.

Inès n'avait pas lâché la queue du stripteaseur. Au contraire, elle la suçait, jouait à décalotter le gland pour le titiller du bout de la langue, puis à l'engloutir avec gloutonnerie.



Les autres spectatrices attendaient leur tour avec impatience.

Géraldine, quant à elle, poursuivait les préliminaires avec Rocco. Au milieu d'un autre groupe de filles, elle le suçait avec ardeur, plantant la longue tige jusqu'au fond de sa gorge.



Elle s'interrompait seulement pour reprendre son souffle, en proférant des commentaires enflammés :

-Oh, quelle bite ! Qu'est ce qu'elle est bonne... Ouiii ! Quand elle sera bien à point, je la veux dans ma chatte...

Mon troisième chippendale n'était pas délaissé non plus ! Betty, entièrement nue, était en train de dévorer son pieu, devant le reste des filles.



Je commençais à avoir beaucoup de mal à contrôler mon désir. Je ne pouvais pas faire autrement que de laisser la priorité à mes clientes, pour profiter des trois mecs, mais je ressentais de plus en plus le besoin d'un sexe mâle.

Je n'étais pas la seule... Carole avait trouvé la solution : à poil, elle déshabillait Simon - qui laissait Lisa s'amuser - et elle avait extrait de son slip sa bite qui arborait une spectaculaire érection. Elle observait avec gourmandise le gland turgescent, qu'elle s'apprêtait à engloutir.



Des cris révélateurs s'élevèrent, faibles et isolés d'abord, ils gagnèrent en intensité et en nombre. Mes clientes se lassaient de la fellation : elles exigeaient maintenant que les mecs que j'avais présentés comme des bêtes de sexe démontrent leurs talents. Et je savais que j'avais réuni là la plus belle brochette de cochonnes de la région !

Un petit attroupement s'était formé autour d'un couple. Je m'approchai pour voir : Lisa, installée en levrette sur un confortable canapé en cuir, se faisait ramoner la chatte par un Ken en pleine forme. Il allait et venait dans le minou de ma copine à grands coups de reins, et c'est à peine si elle pouvait éviter de tomber.



Lorsqu'elle m'aperçut, elle me lança, d'une voix hachée :

-Chloé... Tu es là... Oh regarde-moi, je ne vais pas tarder à jouir... Ouiiii ! Il baise comme un dieu, ce type...

Quelques mètres plus loin, Carole, cuisses repliées et largement écartées, attendait que Simon la pénètre.



-Ca ne te gêne pas que ta femme fasse l'amour devant tout le monde ?, lui demanda-t-elle, juste avant qu'il n'enfonce son dard dans la fente humide.
-Non, au contraire ! J'adore la voir prendre son pied, ça m'excite terriblement, et c'est réciproque. C'est son goût pour l'exhib sans tabou qui m'a séduit chez Lisa.

La conversation s'arrêta là, car Carole poussa un cri aigu lorsqu'elle sentit la queue s'enfoncer en elle.

Encore un peu plus loin, Fiona faisait l'amour, debout, avec Dimitri...



... Et Fabienne chevauchait Rocco, sur lequel elle s'apprêtait à s'empaler.



Boris la contemplait en se branlant. Manifestement, il aimait autant que Simon voir sa compagne jouir dans les bras d'autres hommes. Les autres femmes, envieuses, attendaient leur tour, en encourageant celles qui se faisaient baiser.

Je me promenais entre les groupes déchaînés, lorsque Karim s'approcha de moi. Bizarrement, j'avais encore ma robe ; d'habitude, dans ce genre de situation, j'étais plutôt une des premières à me mettre à poil ! Karim était assis sur le dossier d'un canapé, pour suivre les ébats de toutes ces chattes en chaleur, et il m'attira vers lui.

-Chloé, Carine m'a beaucoup parlé de toi. J'avoue qu'elle m'a donné très envie de te découvrir.

Il posa ses mains sur mes seins, découverts par ma robe. Elle remonta quand je m'assis, dénudant mon minou épilé, et Karim commença à jouer très adroitement avec mes mamelons durs et dressés.



Ses caresses arrivaient à point nommé pour répondre à mon désir, et je n'avais aucune envie de perdre du temps en palabres.

-Connaissant Carine, répondis-je, je crois que tu dois savoir très bien faire l'amour. Je suis certaine qu'elle serait d'accord pour te partager avec moi.

Je me relevai aussitôt pour commencer à le déshabiller.



Il me laissa faire, amusé, sans chercher à enlever ma robe. Bientôt, je découvris sa superbe bite : Carine avait vraiment bon goût !

Je m'agenouillai devant lui, et il se laissa tomber sur le canapé. Délicatement, je saisis la longue tige entre mes doigts, et je pris mon temps pour la caresser et la faire bander au maximum, avant d'embrasser l'énorme gland et de le glisser entre mes lèvres.



-Tu aimes quand je te suce ? demandai-je à Karim avec une expression de petite fille.
-J'adore !, répondit-il. Carine n'avait pas exagéré. Tu veux que je te baise maintenant ? J'ai l'impression que ta petite chatte est en feu.

Pour toute réponse, je me relevai, pris appui sur le dossier d'un fauteuil, et je lui tendis mon cul en me cambrant, la robe retroussée autour de ma taille. Sans autre préliminaire, il planta sa bite entre mes petites lèvres.



Il s'enfonça complètement dans ma grotte, sans marquer de pause, puis resta un moment presque immobile. J'avais l'impression de sentir le sang palpiter dans sa tige, dure comme de l'acier, et je me mis à contracter mes muscles autour du dard. Malgré mes efforts, Boris ne me prodigua pas un seul coup de reins, jusqu'à ce que je crie mon désir.

-Vas-y, allez vas-y ! Baise-moi, défonce-moi ! Qu'est ce que tu attends ? Je vais devenir folle !

Alors seulement, il se retira presque entièrement, puis s'enfonça brutalement, et se mit à limer ma chatte comme un forcené. Je me mis à pousser de longs cris aigus, emportée par un tsunami de sensations, et ces cris firent redoubler d'ardeur un Boris en pleine forme. Il se mit debout sur le canapé, pour me pénétrer plus profondément. J'avais l'impression que mon minou allait exploser, et j'écartais moi-même les globes de mes fesses, en ayant l'impression d'agrandir ainsi ma fente.



J'eus un orgasme dévastateur, mais Boris réussit à se contrôler. Pas pour longtemps : bientôt, il aperçut Fabienne, qui jouissait elle aussi sous les assauts de Rocco.



Et je sentis un déluge de sperme inonder ma chatte.

Il me fallut plusieurs minutes pour récupérer, et me relever. Le foutre coulait entre mes cuisses, et je dus aller rapidement dans la salle de bains pour une toilette succincte. Lorsque je revins dans le séjour, je tombai sur Laura, très occupée avec Dimitri.



Surtout, je remarquai Ambre, isolée dans un coin de la pièce. Elle était nue, mais elle n'avait pas osé s'imposer dans la compétition exacerbée à laquelle se livrait les filles pour accaparer un mâle.

-J'ai l'impression que tu t'ennuies, lui dis-je.
-Non, mais tu sais, je me croyais libérée, et je me rends compte que j'ai l'air d'une gourde par rapport aux nanas qui sont ici.
-Mais non, qu'est ce que tu racontes ?, protestai-je. Tu étais super excitante tout à l'heure, avec le gode. Et je suis certaine que mes stripteaseurs pourraient te faire passer un bon moment.

Je ne lui laissai pas le temps de réfléchir. Je fis signe à Dimitri, qui avait épuisé Fiona après une interminable séance de baise.

-Ambre a très envie de goûter ta bite, mais elle n'ose pas te demander.
-Tu as tort, il ne faut jamais résister à tes désirs, dit-il doucement à la belle asiatique, en lui présentant sa queue qui n'avait pas débandé.

Ambre oublia aussitôt sa réserve, et commença à sucer Dimitri.



Je restais à côté d'elle, et je caressais tendrement sa chatte. Très vite, je sentis quelques gouttes de cyprine sur mes doigts, et les premiers gémissements montèrent de la gorge d'Ambre.

Je fis signe à Dimitri, qui la prit dans ses bras, et l'installa sur une table. Il souleva la jambe d'Ambre, pour accéder à sa fente, et elle écarta l'autre cuisse pour mieux s'offrir. Avec des gestes délicats, il la pénétra lentement.



-Oh ! Qu'est ce qu'elle est grosse !!.. Oui, c'est bon, je te sens bien... Continue, je t'en prie, rentre toute ta queue, supplia Ambre, d'une voix assourdie.

Dimitri commença ses va-et-vient, dans l'étroit fourreau dont s'échappait un clapotis révélateur de l'émoi de la belle asiatique. Un attroupement s'était formé autour du couple. Elle feulait, criait, et Dimitri adaptait le rythme et l'intensité de ses pénétrations aux réactions d'Ambre.

En quelques minutes, elle atteignit l'orgasme, tétanisée par le plaisir. Dimitri continua de la limer, plus doucement, pendant quelques instants. Puis, il se retira, découvrant sa verge enduite de la sève qui luisait aussi sur les cuisses et entre les fesses d'Ambre.



-Tu en veux encore ? lui demanda-t-il.
-Oh oui ! Je n'ai jamais joui comme ça, répondit-elle.
-Alors, je te propose une autre expérience : dans ton petit trou. D'accord ?
-Mais ça va me faire mal ! Elle est trop grosse, paniqua Ambre.
-Fais-lui confiance, et laisse-nous te préparer, dis-je en saisissant un lubrifiant que j'avais aussi en vente.

J'enduisis sa rosette, et Ambre se détendit un peu. Dimitri présenta son gland à l'entrée du tout petit orifice, mais marqua un temps d'arrêt, sentant sa partenaire encore trop contractée.

-Astique ton clito, lui conseillai-je, ça va t'exciter et faciliter la pénétration.



Dimitri put enfin enfoncer son pieu, dans le joli cul de l'asiatique, et au bout de quelques minutes de mouvements très lents, elle se mit à gémir.

Il comprit qu'il pouvait maintenant la sodomiser sans retenue, et il alla de plus en plus profondément dans son ventre, de plus en plus vite.



Les gémissements d'Ambre se transformèrent en vocalises, de plus en plus sonores, et elle se mit à crier.

-Ouaaah ! Quel pied !!!!... Oh, je vais encore jouir... C'est presque meilleur que dans ma chatte... Oooh !! Ca y est, je viens.

Dimitri était, quant à lui, toujours au garde à vous ! Il se retira, pour installer Ambre à genoux, et la prendre en levrette. Entourée par un nombre croissant d'admirateurs des deux sexes, elle ne protestait pas. Dans un état second, la peau luisante de sueur, elle était emportée par l'érotisme de la situation.

Ken, qui avait lui aussi épuisé Barbara, présenta son gland turgescent au bord des lèvres d'Ambre. Elle le prit dans sa bouche, sans hésiter, et se tourna vers moi pour me lancer un regard plein de reconnaissance, en écartant sa fesse pour que je puisse admirer son petit trou subissant les assauts de Dimitri.



-Tu t'es déjà fait prendre en sandwich par deux mecs ?, lui demandai-je.... Ca ne vas pas tarder, ajoutai-je quand, bâillonnée, elle essaya de me répondre négativement par un mouvement de tête.

Comme pour me donner raison, Dimitri avait empoigné Ambre, et l'avait installée à califourchon sur le sexe dressé de Ken. Celui-ci la maintint solidement, pendant que Dimitri pénétrait sa rosette toujours dilatée.



Les deux hommes se mirent à la labourer avec leurs énormes queues, et Ambre hurlait de plaisir. Tout son corps était secoué par les coups de boutoir des deux hommes. Elle extériorisait ses sensations en termes très crus.

-Oh, deux bites, comme c'est bon... Allez-y, dans ma chatte, dans mon cul... Oui, encore, je jouis... Aaaah, je jouis.

Mais ils étaient infatigables, ils retournèrent la frêle jeune fille, en inversant leur position. Ken dans son anus, Dimitri dans sa chatte, ils lui procurèrent un dernier orgasme.



C'est seulement lorsqu'ils comprirent qu'elle était au bord de l'évanouissement qu'ils se retirèrent. Ils n'avaient toujours pas éjaculé...

Je pris alors conscience de l'ambiance qui régnait un peu partout dans la maison : des couples s'étaient formés et, les nanas étant plus nombreuses que les hommes, certaines faisaient l'amour entre elles.



C'était un concert de gémissements, de cris, d'encouragements très crus, et l'odeur des parfums mélangés aux effluves de stupre était entêtante.

Des cris plus aigus que les autres attirèrent mon attention : c'était Agathe, notre hôtesse, qui était en train de se faire sodomiser à fond par Boris.



A ce moment, trois personnes s'approchèrent de moi : c'était Lisa, entourée de Simon et de Rocco. Ce dernier était en train de caresser ses seins, tandis qu'elle les branlait tous les deux, regardant alternativement les deux pénis dressés.



Elle releva la tête, et me décocha un grand sourire. La connaissant, je savais que ce genre de sourire était révélateur d'une idée bien cochonne.

-Chloé chérie, je voudrais que quelqu'un fasse... disons, un essai comparatif, entre la bite de Simon et celle de Rocco. Enfin, surtout un comparatif des sensations qu'ils procurent à une femme. C'est difficile pour moi, qui connais si bien Simon, mais toi, ils pourraient te baiser tous les deux ensembles, et tu me donnerais ton avis. Qu'est ce que tu en dis ?
-Mais, les désirs de mes clientes sont des ordres !, répondis-je en riant.

J'étais toute heureuse de cette proposition. En ma qualité d'animatrice de cette vente à domicile, je n'avais normalement pas le droit de prendre une telle initiative, mais venant d'une invitée...

-Je vais commencer par goûter ces jolis glands tout gonflés de désir, dis-je en m'agenouillant devant les deux hommes.



Ma langue allait de l'un à l'autre. Je prenais tout mon temps, pour faire durer l'attente et exacerber mon désir. Les deux engins étaient aussi gros l'un que l'autre, et c'est à peine si les deux mecs réagissaient à ma fellation, tant ils savaient se contrôler.

-Ce sera meilleur, si je te lèche pendant que tu nous suces, proposa Simon.

Il n'attendit pas ma réponse. Il s'allongea, me fit venir sur lui en 69, et Rocco me planta sa queue dans la bouche.



Cette fois, c'est moi qui devenais un jouet entre les mains de mes deux partenaires, et ce n'était que le début.

La langue de Simon explorait chaque recoin de mon intimité, naviguant entre la naissance de mes cuisses, là où la peau est douce et sensible, les plis de mes lèvres, ma fente déjà trempée, le sillon séparant mes fesses, pour finir sa course en tétant mon clito dardé. La transpiration faisait luire mon corps et, incapable de les sucer tant je gémissais, je branlais les deux hommes furieusement.



-Elle mouille comme une grosse salope, elle est prête, dit Simon. Tu veux la baiser en premier ? demanda Simon à Rocco.
-Avec plaisir, elle a l'air sacrément chaude.

J'avais l'impression d'être une poupée dont ils disposaient à leur guise, mais j'étais trop excitée pour me révolter. Lorsque la bite de Rocco s'enfonça dans ma chatte, une question me traversa l'esprit : combien de femmes avait-il fait jouir aujourd'hui ?



Il me baisait avec une force incroyable, mais ses mouvements étaient suffisamment doux pour que je puisse sucer le pieu de Simon, en l'aspirant avec gourmandise tout en pensant à cette veinarde de Lisa.

Je gémissais depuis un moment, mais maintenant, j'avais du mal à retenir mes cris. C'est là que les rôles s'inversèrent : Simon s'installa sur un canapé, je vins le chevaucher, et je retrouvai les parfums de ma grotte en recevant Rocco dans ma bouche.



Je m'en donnais à cœur joie. Simon m'avait empoignée par les fesses, et me faisait coulisser sur son dard dressé à la verticale. Appuyée sur mes bras tendus, j'accompagnais sa pénétration de grands mouvements de hanches, ondulant comme un serpent. J'aurais voulu extérioriser mon plaisir, mais l'énorme gland qui remplissait ma bouche étouffait tout cri.

J'aurais succombé à l'orgasme, si Rocco n'avait pas décidé de me baiser à nouveau, dans une position plus acrobatique. Il grimpa sur le canapé, me saisit par les pieds, et replia mes jambes. Je me retrouvai en appui sur les épaules, la tête en bas, et c'est dans cette posture que je sentis son pénis s'enfoncer en moi.



Ainsi installée, j'avais l'impression que son pieu était encore plus dur, et il appuyait plus fort sur mon point G à chaque va-et-vient. Ma tête, renversée, se retrouvait au niveau du pénis de Simon, que je couvrais de baisers et de petits coups de langue.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, je sentis les vagues de la jouissance déferler, et j'abandonnai Simon pour crier mon plaisir, qui semblait ne pas pouvoir s'arrêter.

-Putain, elle aime ça ! , commenta Rocco. A ton tour, Simon.
-Merci. Je vais m'occuper de son petit cul. D'après Lisa, elle adore ça.
-Oh oui, vas-y ! dis-je, incapable de dissimuler mon envie d'être prise par tous les trous.

Je soulevai moi-même ma cuisse, pour permettre à Simon d'accéder plus facilement à mon petit trou.



Malgré la taille de son engin, il parvint à trouver son chemin entre mes fesses. J'étais détendue, la cyprine et la sueur qui inondaient mon entrejambe servaient de lubrifiant, et je râlai de plaisir lorsque je sentis le gland turgescent franchir la porte de mon anus.

Me pénétrer à fond prit tout de même un peu de temps, mais lorsque Simon eut réussi à s'enfoncer en moi, lorsque je sentis son pubis buter contre mon cul, je me mis à bouger les hanches et à contracter mes muscles pour l'encourager. Il se retira à demi, puis planta à nouveau son dard dans mon ventre en m'arrachant un cri aigu.



Et il recommença, encore et encore, sous le regard brillant d'excitation de Lisa.

-Ouah ! Il encule bien, ton mari ! Oh oui ! C'est bon !
-Continue, chérie !, m'encouragea Lisa. Après Rocco va s'occuper aussi de ton joli petit cul. Veinarde !

Rocco attendit que Simon m'ait fait jouir pour prendre son tour. Il me fit allonger, tandis que Simon maintenait mes cuisses repliées pour basculer mon bassin, et c'est dans cette position qu'il s'enfonça sans difficulté dans ma rosette dilatée par les assauts de Simon.

-Masturbe-toi et suce-moi, m'ordonna ce dernier.



C'était délicieux. Le gland de Simon venait frapper le fond de ma gorge, je sentais la tige de Rocco coulisser dans ma rondelle, et je fouillais ma chatte fébrilement avec mes doigts, gémissant chaque fois que j'effleurais mon clito.

Je ne pouvais plus crier ni parler. C'est par des borborygmes et les spasmes secouant mon corps tétanisé que je manifestais l'orgasme qui me transportait.

Les deux hommes se retirèrent, mais mon répit fut de courte durée.

-On va se la faire en sandwich, elle est bien excitée, décida Rocco sans me consulter.

Simon s'allongea, je m'empalai sur son mat, et j'offris mon petit trou à Rocco, en écartelant mes fesses.



Il s'enfonça de nouveau en moi, m'arrachant un long hurlement de plaisir. Et aussitôt, il se mit à aller et venir jusqu'au fond de mon ventre, me soulevant et me laissant retomber sur le pénis de Simon. J'avais l'impression que la mince paroi séparant mes deux orifices allait se déchirer, sous les coups de boutoirs des deux glands.



Je ne savais plus où j'en étais. Simon malaxait mes seins, Rocco était déchaîné. Il m'avait empoignée par les cheveux pour m'obliger à me redresse, pendant qu'il me défonçait de plus en plus fort, jusqu'à ce que je crie mon plaisir.



Les deux mâles étaient en rut, et ils intervertirent à nouveau leurs positions. Je me retrouvai assise sur le ventre de Simon, planté dans mon petit cul, tandis que Rocco me baisait à grands coups de sa queue, toujours dure comme du bois.



J'avais de plus en plus de mal à jouir, tant j'étais épuisée. Je me retrouvai empalée, entre mes deux partenaires debout, toujours infatigables, et ils parvinrent à m'arracher encore un orgasme.



Ils me posèrent enfin, mais Simon me sodomisait toujours. J'entendais sa respiration, de plus en plus courte, ses grognements, je sentais les mouvements de sa bite entre mes fesses, de plus en plus frénétiques, et je devinai qu'il allait jouir.

Ce fut pour moi une impression de victoire, lorsque je sentis les longs jets de foutre remplir mon anus, et couler entre mes cuisses quand il se retira.



Rocco s'était encore contrôlé, mais la crispation de ses traits indiquait qu'il avait, lui aussi, envie de décharger.

-Avec Ken et Dimitri, vous devriez jouir sur Agathe, pour la remercier de nous avoir reçus, lui proposai-je, en l'enlaçant pour le conduire jusqu'à Agathe.

Celle-ci, étendue sur un canapé, récupérait doucement de sa partie de baise avec Boris. Je fis signe à Ken et Dimitri, et ils nous rejoignirent, entourant Agathe, qui se demandait ce que je lui préparais.

-Agathe, je crois que ma séance de vente va bientôt se terminer, et je voudrais t'offrir un cadeau, pour te remercier de nous avoir accueillis chez toi.
-Je crois que je ne suis plus en mesure de faire face, répondit-elle en considérant les sexes dressés des trois hommes.
-Ces messieurs voudraient juste jouir sur toi, et t'offrir leur sperme.

Ken vint la chevaucher, et Agathe prit spontanément le gland décalotté dans sa bouche, tout en caressant les deux autres mecs.



Elle aspirait, mordillait, léchait l'énorme dard, y mettant toute l'énergie qui lui restait. Cette fois, mes strip-teaseurs, frustrés de s'être retenus trop longtemps, voulaient donner libre cours à leur désir. Ken enfonçait son pieu dans la bouche d'Agathe, comme il l'aurait fait dans sa chatte.

-Viens, je veux ton foutre, arriva-t-elle à murmurer, avant qu'il plonge à nouveau sa tige entre les lèvres gourmandes.

Ken ferma les yeux, poussa un long grognement, et lâcha sa semence dans la bouche de mon amie.



Agathe continuait de le sucer, cherchant à ne pas perdre une seule goutte de sperme. Mais il éjacula si longuement qu'elle ne pouvait tout avaler Elle se releva quand même, fixant les deux autres bites qui attendaient leur tour, à quelques centimètres de son visage barbouillé de foutre.

-A vous, j'ai envie que vous déchargiez sur moi, dans ma bouche. C'est trop bon.



Toute l'assistance faisait cercle autour du quatuor. Agathe branlait alternativement Rocco et Dimitri, allant jusqu'à plaisanter avec eux.

-Voyons, lequel de vous deux va jouir le premier ? C'est à votre tour, après avoir baisé autant de nanas !



Elle les reprit dans sa bouche, les suçant alternativement, tandis que ses doigts caressaient frénétiquement les longues tiges.

Ce fut Rocco qui céda le premier. Je fus impressionnée par la quantité de sperme qu'il déversa dans la bouche d'Agathe. La liqueur épaisse, crémeuse, refoulait de ses lèvres, coulait sur son menton.



Elle en avala le maximum, n'abandonnant la bite de Rocco que lorsqu'il eut déversé toute sa semence.

-A toi, Dimitri. Je ne suis pas rassasiée, ne me déçois pas, lança-t-elle, le regard provocant, à son dernier partenaire.



Et elle ne fut pas déçue ! Quelques instants plus tard, il éjacula longuement, violemment, dans sa bouche et sur son visage, la laissant à court de respiration.



Nous applaudirent tous la performance d'Agathe et de ses trois partenaires.

Tandis qu'elle allait prendre une douche réparatrice, plusieurs filles me proposèrent d'organiser des ventes chez elles, et me demandèrent comment réserver mes chippendales pour leurs soirées. Boris, quant à lui, se renseigna sur la possibilité de stripteaseuses, pour des prestations similaires. Encore quelques commissions en vue !

Tout le monde se rhabilla et partit, ma laissant seule pour quelques instants avec Agathe, radieuse, qui avait récupéré. Elle me remercia pour le final de cet après-midi.

Ma carrière commerciale démarrait sur les chapeaux de roues !
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Chloestories (3) - Initiation à l'échangisme


Je dois le fait de pouvoir vous raconter cette histoire à Nicolas, mon compagnon. Nous ne vivons pas ensemble, car il est marié, mais sa profession lui donne beaucoup de liberté, dont il use pour passer de longs moments (torrides) avec moi.

C'était l'an dernier, au début de l'été, et nous avions prévu un week-end en bord de mer, tous les deux. Quelques jours avant notre départ, il m'annonça une nouvelle.

-Pour notre escapade, nous ne serons pas seuls. J'ai proposé à Loïc, un ami, de se joindre à nous. Je t'ai déjà parlé de lui : nous avons souvent fait la fête ensemble. Il a rencontré récemment Julie, une nana canon, et il voulait lui aussi l'emmener quelques jours sur la côte. Comme j'ai loué une villa assez grande, je lui ai proposé de se joindre à nous. Ca t'ennuie ? ajouta-t-il, lisant la déception sur mon visage.
-Non, mais j'espérais me retrouver en tête à tête avec toi. Ce n'est pas si souvent...
-Je ne t'ai pas tout dit... Julie est encore un peu coincée, et Loïc cherche une solution pour disons... lui faire découvrir tous les plaisirs du sexe. Je lui ai raconté plein de choses sur toi, et tu pourrais être son initiatrice - ce serait plus facile entre filles.

Un sourire éclaira mon visage, et rassura Nico. Ce séjour au soleil prenait une tournure qui ne me déplaisait pas, et il me parla longuement de son ami et de sa nouvelle compagne.

A la fin de la semaine suivante, nous prîmes l'avion, et nous sommes arrivés les premiers dans la villa louée par Nico : l'endroit était superbe, et nous disposions d'une piscine avec peu de vis-à-vis. Ce n'était pas totalement intime, mais je ne déteste pas qu'on me mate... Je me débarrassai rapidement de mes vêtements, et je m'installai sur le solarium.



Il y avait environ une demi-heure que je bronzais, lorsque Julie et Loïc arrivèrent. Nico les accueillit, et les conduisit au bord de la piscine pour les présentations.

Loïc me dévora des yeux, de la tête aux pieds, et Julie réprima difficilement sa surprise en découvrant ma nudité. C'était une jolie blonde, pleine de fraîcheur, et elle arborait une petite robe rose, sagement sexy.



L'étoffe était tout de même un peu transparente dans la lumière du soleil, et on devinait une très belle silhouette. Elle portait manifestement un petit string, mais pas de soutien-gorge (ouf !).

Nicolas fit visiter la villa au couple, et leur proposa un rafraîchissement. Pendant ce temps-là, je filai dans notre chambre pour enfiler un mini maillot. Loïc avait en effet demandé à mon compagnon que je ne brusque pas Julie, pour l'amener doucement à se lâcher sans la faire fuir. Malgré tout, je ne pus m'empêcher de choisir un bikini minimaliste. On ne se refait pas !



Je m'installai sur un transat, et je les entendis bientôt revenir vers la piscine. Les deux hommes étaient en bermudas.

-Tu devrais te mettre aussi en maillot, et bronzer avec Chloé, conseilla Loïc à Julie.
-Je... en ouvrant ma valise, je me suis aperçue que j'avais oublié mon maillot, bredouilla Julie en rougissant.
-Chloé peut t'en prêter un, intervint Nicolas, et je m'empressai de confirmer sa proposition.

Julie était acculée, et ne pouvait refuser. Elle me suivit dans notre chambre, et je lui présentai mes maillots (j'en avais apporté une dizaine, mais ils ne prenaient guère de place dans mon sac de voyage...). Elle les considéra un long moment, repoussant un modèle qu'elle trouvait trop petit, pour tomber sur un autre, encore plus indécent.

-Tu sais, nous sommes entre nous, tu ne dois pas être gênée, lui dis-je pour vaincre sa réticence.
-Mais des voisins peuvent nous voir, objecta-t-elle.
-Et alors ?, répondis-je en riant. Ils ne sont pas nombreux, et j'étais nue il y a une heure sans provoquer de scandale. Tiens, mets celui-ci, je pense que c'est celui qui t'ira le mieux.

J'avais pris un ton plus directif, et Julie se soumit. Elle se déshabilla - elle avait une belle chute de reins et de jolis seins - et enfila le micro bikini. Lorsqu'elle arriva sur la terrasse, Loïc eut un instant de stupeur.



-Mais il est magnifique, ce maillot, il te va à ravir, dit-il. Tu vois, toi qui ne veux pas porter de tenues sexy, tu devrais en acheter un dans ce genre-là, j'adore.
-Il te va encore mieux qu'à moi, ajoutai-je. Moi, ma poitrine est trop plate, c'est super excitant de découvrir un peu des aréoles de tes seins.
-Mais... c'est vachement indécent ! s'offusqua Julie.
-Non, c'est juste très sexy, intervint Nicolas, et Loïc approuva. On va aller acheter ce qu'il faut pour le dîner, Loïc et moi, et je vais lui faire découvrir le centre historique. On en a pour un moment, profitez-en pour bronzer et dire du mal de nous !

Avant de me quitter, Nico me glissa à l'oreille :

-On compte sur toi pour dévergonder Julie, et on va rentrer un peu plus tôt qu'annoncé pour vous surprendre.

Je me demandais comment j'allais m'y prendre, mais je décidai de laisser les évènements se dérouler naturellement, et de saisir les occasions qui se présenteraient.

Petit à petit, Julie s'habituait à son minuscule bikini, et c'est elle qui a lancé la conversation sur les vêtements provocants, la nudité, les sensations que je pouvais ressentir en montrant mon corps en public. Je cherchais à la convaincre des joies de l'exhibitionnisme, mais sans insister trop lourdement, et je la sentais un peu ébranlée, quand elle décida de se baigner.



Elle nagea longtemps - elle était manifestement très sportive - tout en continuant, par bribes, notre conversation. J'étais restée sur le bord de la piscine, et je la rejoignis, pour pouvoir discuter plus facilement. Avant, j'avais enlevé mon maillot...



Julie commençait à se détendre, et à se sentir mal à l'aise face à ma nudité. Je ressortis de l'eau, pour reprendre ma séance de bronzage et, en me retournant, je découvris qu'elle avait enlevé son soutif pour se dorer au soleil sur un matelas gonflable.



Je me gardais de tout commentaire, mais je m'installai sur un fauteuil, en écartant généreusement les cuisses. Je sentais le regard de Julie, hypnotisée par ma chatte épilée, offerte sans pudeur à qui voulait la mater.



J'observais, du coin de l'œil, Julie, qui ne savait plus quelle attitude adopter. Elle avait envie de se mettre nue, elle aussi, mais sa pudeur résistait encore. Je la vis commencer à baisser son string, dans l'eau, mais elle se ravisa.



Elle hésitait, retardait l'instant où elle sortirait de l'eau pour me rejoindre sur le solarium. Au moment où elle se décida, je décidai de passer à l'attaque.

-Allez, Julie ! Qu'est-ce que tu attends ? Je vois bien que tu as envie d'être à poil. Connaissant un peu Loïc, je suis certaine qu'il ne te le reprochera pas.
-Tu as raison, avoua-t-elle en souriant.

Elle était manifestement ravie que je ne lui laisse pas d'échappatoire, et elle dénoua les liens de son string.



Elle alla s'étendre sur un transat, et récupéra ses lunettes de soleil. Petit à petit, toute gêne la quittait, et elle commença à écarter les cuisses, pour que le soleil dore des parties de sa peau jamais exposées.



La première partie de ma mission était réussie ! Et je m'aperçus, avec ravissement, qu'elle épilait elle aussi son joli minou. Je pouvais attaquer la deuxième manche !

-Je suis en train de cramer... Tu veux bien m'enduire d'huile solaire, demandai-je d'une voix suave.

Je sentis un peu de gêne chez Julie, mais elle prit le flacon que je lui tendais. J'étais assise, un peu renversée en arrière, et elle commença à me masser, sur les cuisses et sur le ventre.



Sa main remonta sur mes seins, et je poussai un petit soupir de satisfaction. Julie s'était agenouillée à côté de moi, pour être plus à l'aise.

-Tu es très douce, dis-je. J'adore me faire masser par une autre fille. Et toi ?
-Je... Enfin, ce n'est pas désagréable, répondit-elle, troublée.
-Mais toi, ça te gêne de me masser ?
-Non voyons !
-Tu devrais remettre un peu d'huile sur mon minou. C'est très fragile, ces petites choses !

La main de Julie descendit entre mes cuisses.



Je rapprochai mon visage du sien, pour qu'elle sente mon souffle contre sa bouche. Son massage devenait une caresse, et ses doigts s'attardaient plus que nécessaire sur mon mont de Vénus. Pour aller plus loin, il fallait que je prenne maintenant l'initiative.

-Mais toi aussi, tu risques de prendre des coups de soleil. Ta peau commence à rougir déjà ! Attends, je vais te masser aussi.

Julie prit ma place sur le transat, et je déposai une bonne dose d'huile solaire dans ma main. Elle était sur le dos, dans une attitude d'abandon, et je commençai par enduire d'huile des épaules, son buste, mes doigts jouant - pas trop longtemps - avec les pointes de ses seins, qui se dressèrent immédiatement.

Cette réaction, les petits gémissements qu'elle étouffait, trahissaient son excitation, et ma main descendit sur son ventre. Je la fis un peu languir. Elle n'osait pas exprimer ce qu'elle attendait, mais elle écarta à son tour largement ses cuisses fuselées, et elle ne protesta pas quand mes lèvres remplacèrent mes doigts.



-Mais, ma parole, ce n'est pas l'eau de la piscine, tu mouilles ! dis-je en prenant un air scandalisé.
-Ce n'est pas de ma faute, c'est trop bon ce que tu me fais, répondit Julie, qui commençait à perdre le contrôle de ses réactions.
-Et comme ça, tu aimes ?

Je glissai mes doigts dans sa grotte, que je trouvai inondée de cyprine, et ma langue partit à l'assaut de son petit bouton.



Elle réagissait au quart de tour. J'avais rarement sucé un clito aussi réactif ! Julie s'abandonnait complètement au plaisir, ponctuant mes caresses de gémissements sonores. Je m'en donnais à cœur joie, avec mes doigts...



... avec ma langue.



Bientôt Julie se mit à feuler, en ondulant des hanches, au bord de l'orgasme.

Je la fis se retourner, et je m'agenouillai à côté d'elle. Je continuai de couvrir sa chatte de toutes sortes de caresses, plus indiscrètes les unes que les autres. Lorsque ses premiers cris s'élevèrent, je glissai ma langue entre ses fesses, la pointe s'insinuant doucement à l'orée de son petit trou.



Quelques secondes plus tard, Julie fut secouée par un orgasme d'une violence indescriptible. Elle n'avait jamais connu manifestement de situation de ce genre, et elle se mit à crier.

En me redressant un court instant, je vis des voisins nous observer à la fenêtre de l'étage d'une villa voisine, mais je ne dis rien à Julie, me réservant pour plus tard son initiation à l'exhibition.

Je la laissai aller au bout de son plaisir, et récupérer un peu, avant de lui demander :

-Julie, j'aimerais bien que tu t'occupes un peu de moi. Te voir jouir m'a excitée, tu ne peux pas t'imaginer !

Tout en parlant, je m'étais allongée sur mon transat, offrant mon minou gonflé de désir. Elle comprit aussitôt ce que j'attendais, et plongea sa tête entre mes cuisses écartées.



Pour une novice, Julie était douée ! Elle trouva très vite comment me procurer un maximum de sensations, en aspirant, suçant, titillant mon clito.

-Oui, c'est bon, continue... Oui, comme ça !



Je me tournai sur le côté.

-J'ai envie de tes doigts dans ma grotte, dis-je à Julie. Je veux les sentir s'enfoncer en moi, tout au fond de ma chatte.



Collée contre moi, Julie glissa sa main entre mes cuisses. Elle trouva très vite le chemin de ma fente, y glissa deux doigts, d'abord timidement, puis elle prit de l'assurance.

-Ouiiii.... Comme ça, plus profond encore !... Attends...

Je m'agenouillai en levrette, cambrée au maximum, pour qu'elle puisse fouiller mon sexe sans retenue.



Julie caressait mes fesses, et je goûtais la douceur de ses mains, qui s'enhardissaient de plus en plus. Je glissai une main entre mes cuisses, pour écarter les lèvres de mon sexe, et exciter mon petit bouton gonflé de désir.

-Oui, vas-y... Comme ça, mets un autre doigt... Ooooh oui, c'est bon.



-C'est ça, fouille ma chatte... Oui, oui... Plus vite, plus profond.

Je sentais l'orgasme monter, mais Julie s'arrêta soudain, apeurée.

-Chloé, il y a des gens qui nous regardent dans la maison à côté, dit-elle d'une voix blanche.
-Je sais, je les avais vus. Continue !
-Mais... Ca ne te gêne pas qu'on te voit comme ça ?
-Mais non, idiote ! Ca m'excite au contraire. Vas-y, j'ai envie de jouir, c'est encore meilleur quand on te mate.

J'avais également aperçu Loïc et Nicolas, qui étaient rentrés et nous observaient, cachés derrière un massif. Mais je n'en dis rien à Julie. Subjuguée, elle reprit ses mouvements, sa honte d'être épiée s'évanouissant au fur et à mesure que montaient mes cris.



Au moment où je laissais mon plaisir me submerger, Loïc et Nicolas se montrèrent.

Prise de panique, Julie se releva, et plongea dans la piscine, pendant que j'accueillais nos deux hommes, haletante, avec le sourire d'une nana comblée.

-Vous êtes déjà rentrés ?
-Oui, répondit Nicolas, on a ce qu'il faut pour le dîner.
-Et je vois que Julie s'habitue très bien à l'ambiance de cette maison, ajouta Loïc, malicieux.
-Tout à fait, je crois qu'elle aime beaucoup. Julie ! Viens montrer à ton copain ton début de bronzage intégral.

Elle avait repris ses esprits, et elle sortit de l'eau, avec un regard trahissant le plaisir qu'elle découvrait.



Loïc la complimenta sur sa beauté, encore plus éclatante quand elle était nue sous le soleil. Elle rougit un peu, ce qui m'étonnait toujours pour une fille qui n'avait plus rien à cacher. Je voulais malgré tout faire encore monter la température, même si j'avais compris que Nico prévoyait l'initiation de Julie à l'échangisme plus tard dans la soirée.

-Julie, ça ne te choque pas que nous soyons à poil toutes les deux, et que ces messieurs soient encore habillés ?
-Si, tu as raison, répondit-elle, avec une audace toute nouvelle.
-Tes désirs sont des ordres, ma chérie ! déclara Loïc.

En un instant, il se débarrassa de son jean, de son tee-shirt, et du reste. Il plongea dans la piscine, puis vint s'appuyer sur le bord, exposant généreusement sa longue tige épaisse.



Je devais reconnaitre que Julie avait sacrément bon goût.

-Ca te plairait, de voir Nico à poil, lui aussi ?, demandai-je à Julie.
-Tu ne seras pas jalouse ? s'inquiéta-t-elle, en minaudant et en rougissant légèrement.
-Quelle idée ! Je suis fière du corps de mon amant, et j'aime que les autres filles puissent en profiter aussi.
-Alors, tout spécialement pour toi, Julie... dit Nicolas, en se déshabillant à son tour.

Lui aussi plongea dans l'eau, et il s'installa sur un matelas gonflable.



Julie ne quittait pas Nico des yeux, et son regard était rivé sur sa queue. Je profitai de sa curiosité, pour la pousser vers d'autres jeux.

-As-tu eu l'occasion de branler deux mecs en même temps ?
-Non, jamais !, protesta Julie.
-Alors, je te propose un petit comparatif : à toi de découvrir lequel des deux bande le plus rapidement et le plus fort.

Les deux mecs installèrent des transats, à gauche et à droite de Julie, et s'allongèrent. Julie hésita avant de poser ses mains sur les tiges déjà à demi dressées. Ses doigts commencèrent à effleurer les hampes, remontèrent vers le gland, puis se mirent à aller et venir sur les deux queues, qui gonflaient à vue d'œil.



Au bout de quelques instants, Julie n'y tenant plus, s'agenouilla pour embrasser Loïc, pendant que Nico lui caressait les fesses. Elle ne faisait rien pour le repousser, se cambrant au contraire au contact de sa main.



Les deux hommes se relevèrent alors, Et Julie reprit les deux dards dressés dans ses mains. Elle les caressait maintenant sans retenue, poussant de petits soupirs de plaisir.

-Je veux que tu me suces, ordonna Loïc.
-Ca ne te fait rien, que Chloé nous regarde, questionna Julie, prise d'un dernier scrupule.
-Non, au contraire, ça m'excite. Vas-y.

Subjuguée, Julie prit son amant dans sa bouche, sans lâcher Nico. Elle ne me quittait pas des yeux, et son regard brillant, autant que le spectacle offert, me faisait mouiller aussi.



Loïc, la tête renversée en arrière, les yeux mi-clos, goûtait les caresses des lèvres et de la langue de Julie sur son gland turgescent. Il appréciait aussi la libération de sa jeune compagne, et j'y étais un peu pour quelque chose... Je me permis d'intervenir.

-Oui, Julie, tu suces comme une reine ! Mais tu ne peux pas laisser mon Nico comme ça.
-Chloé a raison, renchérit Loïc. Suce-le aussi en même temps.

A notre grande surprise, Julie ne manifesta aucune réserve.



Au contraire, elle ne cachait pas son excitation, prenant dans sa bouche avec gourmandise le pénis dressé de Nico, nous gratifiant de bruits de succion plus qu'éloquents. Elle allait maintenant de l'un à l'autre, en gémissant, et les visages de nos compagnons traduisant le plaisir qu'elle leur procurait.

Il avait été convenu qu'aucun des deux ne se lancerait - pour l'instant - dans une pénétration. Loïc encourageait donc Julie, pour qu'elle poursuive ses fellations jusqu'à les faire jouir tous les deux. Il se rendit le premier, et je vis sa semence gicler dans la bouche et sur le visage de la jolie blonde.



Elle continua de branler et de sucer Nico, jusqu'à ce que, à son tour, il libère sa semence. Julie avala tout le foutre qu'elle pouvait, mais une grande quantité de sperme maculait son menton et sa poitrine. Malgré tout, elle semblait vouloir extraire encore un peu de jus de la bite de mon amant, en le branlant furieusement.



Elle se tourna ensuite vers moi, radieuse, caressant ses seins sur lesquels elle étalait le foutre comme s'il s'agissait d'une crème solaire.

-Putain, qu'est-ce que c'était bon ! me lança-t-elle. Tu dois être déçue que personne ne se soit occupé de toi.



-Ne t'en fais pas pour moi, répondis-je. Notre week-end n'est pas terminé !

En effet, Les deux hommes avaient en tête l'idée d'une soirée très chaude, après le dîner. Loïc pensait qu'un repas bien arrosé permettrait de venir à bout des inhibitions de Julie. Et il n'avait pas tort.

Il prépara un punch - diaboliquement traître - pendant que Nicolas allumait un barbecue. Pendant ce temps, Julie et moi allions revêtir une tenue légère, adaptée à la chaleur.




Nous attaquâmes l'apéritif sur la terrasse. Le punch était délicieux, et j'observais à la dérobée, amusée, Julie qui en consommait allègrement, sans se méfier. Moins d'une heure plus tard, elle se plaignait de mourir de chaleur, et elle ôta sa robe...



... avant d'aller s'exhiber le long du muret nous séparant de la propriété voisine, en me disant d'une voix forte :

-Tu avais raison Chloé ! C'est vachement bon d'être à poil et que des gens te regardent !


Le repas se termina avec une Julie complètement nue, les joues rouges et les yeux brillants d'excitation. Le vin rosé, bien frais, produisait aussi son effet, et lorsque nous arrivâmes au dessert, j'avais, moi aussi, enlevé ma robe, toute fière de montrer mon bronzage intégral.



Tout le monde avait en tête des idées grivoises, et je me décidai à prendre l'initiative.

-Julie, tu as sucé Nico, cet après-midi. Tu veux bien que je goûte la queue de Loïc ?
-Oui, répondit-elle après une courte hésitation, mais tu me le rends après.

Je me gardai bien de prendre un engagement pour la suite ! D'autant plus que nos hommes s'étaient mis à poil, en prévision de la suite des évènements. Loïc avait commencé à se caresser pour bander, et je pris entre mes lèvres sa tige qui gonflait et se dressait à vue d'œil.



-Mmmm ! Comme c'est bon.... Julie, si tu veux t'occuper de Nicolas, ne te gêne pas.
-Je peux ? Tu ne seras pas jaloux, mon amour, demanda Julie à Loïc.
-Bien sur que non !, répondit-il. Ce soir, tout est permis. Lâche-toi, prends du plaisir.

Julie accueillit l'autorisation de Loïc avec soulagement, et elle s'agenouilla entre les jambes de Nico pour le sucer.



Pendant de longues minutes, ce ne furent que soupirs, bruits humides qui accompagnaient les allées et venues des deux verges dans nos bouches avides. Je m'acharnais sur l'énorme gland de Loïc, le léchant, l'agaçant à petits coups de langue et de dents. Je m'arrêtai lorsque le désir d'être pénétrée devint irrépressible, consciente que Julie devait être dans le même état.

-Je veux ta bite dans ma chatte, lançai-je à Loïc.

Il se plaça derrière moi, souleva ma cuisse pour libérer le chemin vers ma fente trempée, et s'introduisit lentement en moi. Je poussai un long gémissement, sous le regard de Julie, accroupie face à mon sexe transpercé.

Nicolas caressait doucement son mont de Vénus, glissait ses doigts entre ses petites lèvres pour déloger son clito. Enfin, lorsqu'elle se mit à gémir elle aussi, il fit aller et venir imperceptiblement son dard à l'entrée de sa grotte, sans la pénétrer.

-Vas-y, Nico ! Baise-la, elle n'attend que ça !, lui cria Loïc, pour l'encourager.

Julie se cambra, pour montrer son désir et son abandon, et mon amant s'enfonça en elle.



Elle poussa un long gémissement de plaisir, et Nicolas attendit qu'elle se détende pour commencer à labourer sa chatte à grands coups de reins. De mon côté, Loïc ne me faisait pas grâce d'un seul centimètre de son énorme pieu, qu'il plongeait au plus profond de mon intimité.

-Ma chérie, on va changer de position, dis-je à Julie. Fais comme moi, tu vas pouvoir te faire ramoner la chatte à ta guise.

Loïc s'installa sur le dos, et je vins le chevaucher en lui présentant mes fesses, et en offrant le spectacle de mon minou perforé. Julie m'imita, et nous lançâmes toutes les deux dans un compétition, rivalisant d'énergie.



Nous ne tînmes pas longtemps à ce rythme. Julie partit la première dans un long orgasme, ponctué de hurlements, et je la suivis de près.

Nos partenaires mâles se réservaient pour la suite, mais nous décidâmes de rentrer dans la villa, pour éviter d'ameuter le voisinage.

Arrivée dans le salon, je m'affalai sur le canapé, pour récupérer, et Julie vint sur moi pour m'embrasser. Elle voulait me manifester sa gratitude, pensant que notre « partie » était terminée, mais c'était sans compter sur l'ardeur de nos mecs ! Loïc vint me planter sa queue dans la bouche, sous le regard incrédule de Julie, mais celle-ci sentit aussitôt Nicolas l'attraper par les cheveux, et introduire à nouveau son gland dans sa chatte gluante de cyprine.



La surprise de Julie fut de courte durée, car elle manifesta très vite son plaisir d'être prise de nouveau par Nico.

-Tu vois, Julie, ça te plait de te faire baiser comme ça, luit fit remarquer Loïc ;
-Oh oui ! C'est bon... murmura Julie. Et tu aimes me voir jouir avec d'autres hommes ?
-Oui... Ca m'excite... Regarde ce que je vais faire à Chloé !

Il m'attrapa par la taille, m'installa à genoux sur le canapé, et me prit en levrette. Julie, secouée par les coups de boutoirs de mon amant, parvint malgré tout à attraper mes seins.



Elle les malaxait, les embrassait, et les caresses de cette fille qui, quelques heures auparavant, osait à peine se montrer nue, me procuraient un plaisir pervers. Mais c'était surtout la pénétration du pieu impressionnant de Loïc, dans les tréfonds de ma chatte, qui soulevait un déferlement de sensations au creux de mes reins.

-On va les faire profiter, en gros plan, du spectacle de nos bites plantées dans la moule de leur copine, suggéra Nicolas à Loïc.

Nico nous installa en 69, moi sur Julie, et ils baisèrent à nouveau nos chattes. Je vis le gland de mon amant s'enfoncer dans le minou tout rose de la jolie blonde, et ma langue se glissa entre ses petites lèvres, rencontrant immédiatement son petit bouton dardé. Julie répondit à mon cunnilingus, et je sentis, avec délice, ses lèvres sucer mon clito, à quelques centimètres du dard de Loïc qui investissait ma fente.



La situation était d'un érotisme torride. Nos cris, les grognements des mecs, emplissaient le salon. Nous étions secouées, toutes les deux, par les assauts des deux hommes déchaînés, et nous leur répondions en ondulant des hanches. Je contractais spasmodiquement les muscles de mon fourreau autour de la verge qui le transperçait, pour essayer de le faire éjaculer, mais je fus perdante à ce jeu : la force des assauts de Loïc, et les cris de jouissance de Julie, me firent grimper au septième ciel, en feulant.

Nous tombâmes toutes les deux sur le sol, hors d'haleine, mais nos amants, infatigables, étaient toujours au garde à vous !!

-Nicolas, as-tu envie de goûter au petit cul de Julie ? demanda Loïc.
-Quelle question ! Mais je te conseille de découvrir aussi celui de Chloé.
-Chéri ! Tu es fou ! s'exclama Julie. Tu es le seul homme qui as eu le droit de me pénétrer de ce côté !
-Je sais, ma chérie, et je sais aussi que tu aimes ça, lui répondit Loïc. Il ne faut jamais se priver d'un plaisir.
-Si tu veux, Julie, Chloé va te montrer l'exemple, proposa Nico.
-Avec plaisir, mon amour, répondis-je en m'installant cuisses écartées, pour offrir ma rosette à Loïc.



Loïc prépara délicatement mon petit trou, avec ma mouille et sa salive, pendant que j'embrassais la bite de Nicolas. Je sentis le gland gonflé se frayer péniblement un passage entre mes fesses, mais je mettais un point d'honneur à ne pas manifester la moindre douleur, pour ne pas effrayer Julie. Lentement, la longue tige disparut dans mon cul, et des sensations agréables parcoururent mon ventre. Loïc était un artiste de la sodomie, et il adaptait ses mouvements à mes réactions.

Bientôt, je me mis à gémir de plaisir, et Julie, rassurée, offrit sa rondelle à Nicolas, en m'embrassant.



Je connaissais l'adresse de Nico, mais la manière dont Julie s'offrait à lui me stupéfia. Elle adorait vraiment se faire enculer, et elle manifesta son plaisir par des cris, dès qu'il la pénétra. Très vite, nous changeâmes de position, et nous nous retrouvâmes toutes les deux, sur nos partenaires, nous empalant allègrement sur leurs bites dressées.



Les cris et les commentaires de Julie couvraient tout autre bruit, et devaient s'entendre jusque chez nos voisins.

-Oui, ouiii !!... Oh, oui, comme ça, je te sens bien dans mon cul.... Aaah, c'est bon !... Oui, encore plus profond... Je vais jouir ! Ca vient !... Ouiiii ! Je jouis, je jouis !!

Les coups de piston de Loïc dans mon petit cul, autant que les vocalises de Julie, me conduisirent à un orgasme mémorable. Mais je n'en revenais pas : nos deux partenaires, comme des hardeurs professionnels, avaient réussi à se retenir...

Julie en prit conscience, un peu dépitée.

-Je ne suis pas assez bonne, Nico n'a pas joui. Je me demande ce que je pourrais faire de plus.
-Je sais ce qu'il aime, lui répondis-je. Il adore me prendre ensemble avec un autre mec. Tu devrais essayer !
-Deux hommes en même temps ? Tu es folle, je ne l'ai jamais fait, et je suis déjà épuisée.
-Attends, je propose que Chloé te fasse une démonstration, et tu pourras essayer après, suggéra Loïc.

J'avais beau être moi aussi fatiguée, je n'ai jamais su dire non à ce genre de proposition... Je pris dans mes mains les deux verges, toujours bandées, et les gratifiai d'un coup de langue d'encouragement.



Mais ils n'avaient nul besoin d'être encouragés.... Nicolas me saisit par les hanches, me souleva du sol, s'assit sur un canapé, et me laissa quasiment retomber sur lui. C'est à peine s'il eut besoin de guider sa tige entre mes fesses pour me pénétrer, m'arrachant un cri de surprise et de plaisir mêlés. Loïc se rua alors sur moi, et planta son dard dans ma fente déjà ouverte.



C'était un torrent de sensations dans tout mon corps. Je sentais la cyprine inonder ma fente, des décharges électriques parcouraient mon anus, mes seins dardaient, pointés vers le plafond.

-Regarde, Julie ! Regarde comme je prends mon pied !! Oooh, comme c'est bon, tu vas voir !



Les deux hommes étaient comme des bêtes en rut. J'étais un objet entre leurs mains. Loïc se dégagea, Nicolas me souleva de nouveau, et je me retrouvais entre les deux hommes qui, debout, me prenaient en sandwich.



Accrochée aux épaules de Nicolas, j'étais empalée sur sa verge, qui remplissait mon minou, tandis que Loïc défonçait mon petit trou. Ivre de plaisir, je prenais appui sur mon amant, pour me tringler moi-même plus profondément sur les énormes bites.

En moins d'une minute, je jouis comme une folle, ce qui eut pour effet d'exacerber encore plus le désir de mes partenaires. Cette fois, ce fut Loïc qui me prit par les hanches pour me soulever, et m'installer sur Nicolas, assis de nouveau sur le canapé. Le gland de mon amant trouva tout naturellement le chemin de mon abricot gonflé, et Loïc n'eut guère plus de difficultés pour s'enfoncer dans mon petit trou, dilaté.



J'avais l'impression que mon corps se réduisait à mes deux orifices investis par ces queues, qui me donnaient un plaisir fou. L'orgasme monta une dernière fois, impérieux, irrésistible, et je poussai un long hurlement. C'est alors que j'entendis les ahanements caractéristiques de Loïc, et je sentis un puissant jet de sperme gicler dans mon ventre. Il retira doucement son dard, secoué de spasmes, d'où jaillissaient toujours des flots de semence qui coulaient sur mes fesses et mes cuisses.



Nicolas m'attrapa alors par les épaules, m'allongea sur le canapé, et se vida dans ma bouche et sur mon visage. A peine consciente, j'avalais la crème au goût salé, qui coulait sur mes lèvres.



Lorsque je commençai à récupérer, mon regard se posa sur Julie. Elle avait suivi toute la scène en se caressant, et avait manifestement hâte de goûter à son tour aux joies du triolisme : j'avais été une bonne démonstratrice !

Mais il fallait d'abord réveiller les ardeurs des deux mecs, qui venaient de se dépenser sans compter. Je découvris bien vite que Julie était naturellement douée pour cet exercice.

Loïc était allongé, et elle se rapprocha, le branla doucement puis, quand sa verge reprit un peu de rigidité, elle commença à la lécher délicatement, faisant tourner sa langue tout autour de la longue hampe, parfumée par mes effluves. Elle me jeta un regard complice...



Lorsque Loïc se remit à bander complètement, elle lui offrit sa chatte et ses fesses à embrasser et lécher, pendant qu'elle suçait Nicolas, déjà excité par ces préliminaires pleins de promesses.



Julie ne mit pas longtemps pour parvenir à ses fins : en quelques minutes, elle avait redonné toute leur vigueur aux deux énormes queues.

-Tu es prête à te faire défoncer par deux mecs en rut, ma chérie ?, lui demanda Loïc, ravi de la tournure prise par la soirée.
-Mais oui, pour te faire plaisir, mon amour, répondit la jolie blonde, avec des mimiques de gamine perverse.

Elle reprit son amant dans sa bouche, pendant que Nicolas se plaçait derrière elle pour la prendre en levrette.



Elle n'interrompit pas sa fellation, lorsqu'il s'enfonça en elle, mais poussa de longs gémissements étouffés. Nicolas la baisa pendant plusieurs minutes, à un rythme lent et régulier, jusqu'à ce que Loïc demande à Julie de venir sur lui. Elle comprit immédiatement ce qu'il attendait, et elle vint s'empaler sur lui, offrant ses fesses sans défense.

Elle poussa un cri de plaisir lorsqu'elle sentit le gland forcer sa rosette, avant d'être bâillonnée par la queue de Nicolas.



Celui-ci attendit que Julie se détende, et commence à onduler des hanches pour suivre les mouvements du dard de Loïc, planté dans son cul, pour venir la prendre par devant. Julie espérait ce moment avec un mélange d'impatience, et de crainte inavouée. Elle émit un long cri de libération, lorsqu'elle sentit la bite de Nico investir sa fente.



A partir de ce moment, Julie se déchaîna. Elle prenait appui sur ses bras, pour accompagner de tout son corps les mouvements de ses deux partenaires, en les encourageant.

-Oui, oui, c'est bon ! Allez-y, oui comme ça !... Oh, allez-y, encore plus fort, faites-moi jouir.



Les mecs ne se faisaient pas prier. Ils la labouraient à grands coups de reins, mais elle semblait insatiable. Ils la retournèrent pour échanger leurs positions. Nicolas la prenait en levrette, la sodomisant de toutes ses forces.

-Ouiiii ! Je jouis, je n'ai jamais joui comme ça, cria Julie, méconnaissable.



Mais malgré cet orgasme dévastateur, son appétit de sexe n'était pas rassasié, et sentir les deux queues toujours raides, plantées en elle, relança son désir.

Elle était une poupée dans les mains de ses amants, mais s'en moquait totalement, à la seule recherche de sa jouissance. Loïc la sodomisait de nouveau, et contemplait, admirateur, l'expression de plénitude sur le visage de Julie, pendant que Nicolas investissait de nouveau sa chatte.



Ils se lâchèrent à nouveau, mettant toute leur énergie pour combler cette jolie blonde, si jeune et si surprenante. Pendant de longues minutes, ils la pilonnèrent, par devant et par derrière, la faisant jouir à trois reprises.



C'est seulement quand elle fut à bout de forces qu'ils se retirèrent. Loïc saisit Julie par les cheveux, pour la maintenir pendant que Nicolas lui crachait son foutre à la figure. Julie, épuisée mais radieuse, ouvrit la bouche pour recueillir son sperme.



Puis Loïc éjacula à son tour sur sa maîtresse, agenouillée entre ses deux partenaires. Malgré les cernes autour de ses yeux gonflés par le plaisir, Julie goûtait avec gourmandise la sève qu'elle avait fait jaillir.



Je me précipitai sur elle, pour la féliciter et l'embrasser.

-Chloé, je ne sais pas comment te remercier, me dit-elle. Sans toi, je crois que je n'aurais jamais connu un tel plaisir. Laisse-moi partager avec toi...

Sans finir sa phrase, elle laissa couler dans ma bouche un long filet de sperme, et j'y retrouvai la saveur de mon homme.



Après toutes ces émotions, nous prîmes un bain de minuit dans la piscine, avant de rejoindre nos chambres. Nous nous écroulâmes très vite tous les quatre, terrassés par le sommeil.

Le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel, quand je fus réveillée par des cris provenant de la chambre voisine, qui ne laissaient aucun doute sur ce que faisait son auteure ! Nos portes n'étaient pas fermées, et j'aperçus Julie, qui jouissait bruyamment dans les bras de Loïc. Notre soirée mouvementée n'avait pas tari son nouvel appétit sexuel...



Nous attendîmes qu'elle se calme pour nous lever. Il était près de midi.

-Je vous propose de prendre un repas léger, et d'aller ensuite à la plage, suggéra Nicolas.
-On pourrait aussi rester ici, pour profiter de la piscine. Ce serait plus... intime, objecta Julie, avec une expression coquine.
-Tu sais que la plage peut offrir aussi des opportunités, répondis-je avec une moue sensuelle, et même des situations que tu n'as pas encore vécues.

Julie se rallia à notre décision, et je lui prêtai un de mes maillots.

C'est juste vêtues de nos bikinis que nous montâmes en voiture avec nos compagnons. Nicolas prit un chemin cahoteux pour rejoindre une belle plage de sable fin qu'il connaissait. Elle présentait l'avantage de ne pas être surveillée, et les estivants qui la fréquentaient étaient plutôt tolérants.

A notre arrivée sur place, nous laissâmes nos hommes installer nos tapis, et avec Julie, nous allâmes directement au bord de l'eau.



Nous avons commencé à chahuter, et Julie s'attaqua à la fermeture de mon minuscule soutien-gorge.

-Tu ne nous as pas encore montré tes seins ! Je ne te reconnais plus, s'étonna-t-elle.
-Mais je comptais sur toi pour dévoiler tes seins la première, rétorquai-je, en riant et en dénouant le lien de son soutif.



Je lançai les triangles de tissu maintenant inutiles sur la plage. A ma grande surprise, ce fut Julie qui prit l'initiative de poursuivre notre séance d'exhib.

-Tu ne vas pas en rester là : montre-nous ta jolie petite chatte, reprit-elle en libérant les attaches de mon string.
-Si tu fais ça, je te fous à poil aussi. Et au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, personne ne fait de nudisme.



Mais c'était trop tard, j'étais déjà nue. Pour éviter que je mette ma menace à exécution, Julie s'agenouilla.

-Tu ne me ferais pas ça ! dit-elle sans conviction, tout en embrassant mes seins, et en écartant la main que j'avais posée sur mon pubis.



-On croirait que tu ne me connais pas, répondis-je en m'agenouillant à mon tour. Tu t'es déjà exhibée sur une plage publique ?
-Franchement, non.
-Alors, dis-moi si tu aimes ça.

En prononçant ces paroles, j'avais dénoué le lien de son string, et je tirai sur la ficelle pour dégager le triangle coincé entre ses cuisses.



Elle s'échappa en riant, pour rejoindre sa serviette. Nicolas nous avait installées à quelques mètres de son tapis et de celui de Loïc : les deux hommes avaient envie de jouer un peu les voyeurs...

-Tu vas prendre un coup de soleil, dis-je à Julie en la rejoignant.



Je remarquai que la jolie blonde écartait les cuisses très largement, et le souci de son bronzage à cet endroit ne suffisait pas à l'expliquer. Je pris mon flacon de crème solaire, et je me mis à enduire consciencieusement les épaules et le buste de Julie. J'insistai sur ses seins que je découvris déjà gonflés de désir, et les pointes dardèrent entre mes doigts.



Ma main descendit sur son ventre, et sa respiration se fit plus courte. Elle poussa un petit gémissement quand je touchai enfin sa fente.

-Ce n'est pas de l'eau de mer, que je sens couler, lui dis-je.
-C'est de ta faute, c'est toi qui m'a fait découvrir les plaisirs de l'exhib. Et elle ajouta, à destination de Nico et Loïc : et vous, ça vous excite aussi de nous mater ?



Je continuai mon massage, passant au dos de Julie, puis à ses jolies fesses cambrées. Je commençais à être, moi aussi, passablement excitée. Julie devait s'en douter, car elle me demanda :

-Au fait, tu ne dis rien, mais je suis certaine que tu mouilles aussi ! Laisse-moi regarder.

Sans chercher à me défiler, je m'allongeai sur le dos, jambes relevées et écartelées, pour lui offrir l'accès à ma fente, dans laquelle elle introduisit ses doigts.



C'en était trop pour Loïc, qui intervint :

-Oh, les filles ! Il faudrait peut-être penser à nous !

En nous tournant, nous le vîmes en train de se branler, sans dissimuler son érection. D'autant plus que, comme Nico, il avait enlevé son boxer.



Nous nous jetâmes littéralement sur eux et, sans nous consulter, nous échangeâmes nos partenaires. Je me mis à sucer Loïc...



... tandis que Julie se laissait tomber entre les jambes de Nico. Le couvrant d'un regard plein de sensualité, elle prit entre ses lèvres la tige dressée.



Notre petite séance d'exhib au bord de l'eau avait déjà attiré les regards sur nous, et maintenant, certains - et certaines - s'approchaient et nous observaient ostensiblement. J'avoue que, comme toujours, ça m'excitait, et je redoublai d'ardeur pour pomper l'énorme bite de Loïc. J'adorais toujours la sensation que me procurait une queue bien raide entre mes lèvres, l'excitation qui me gagnait en pensant que ce pieu s'enfoncerait bientôt au plus profond de ma chatte ou de mon anus.

Julie, dans un premier temps, n'avait pas porté attention aux voyeurs. Toute à sa fellation, elle éprouvait, elle aussi la montée du désir.

-Oh, Chloé ! C'est terrible, j'ai de nouveau envie de faire l'amour, me dit-elle à mi-voix.
-Je ne vois pas ce qu'il y a de terrible là-dedans, répondis-je. Pourquoi t'en priverais-tu ?
-Mais... nous sommes sur une plage publique ! Et elle ajouta, en découvrant le cercle d'hommes et de femmes autour de nous : tu as vu ? On nous regarde !



-Et alors ? Au contraire. Tu te rappelles, hier soir, quand tu t'es aperçue que les voisins te regardaient ?
-Oui, c'est vrai, concéda-t-elle, c'était excitant.
-Alors, lâche-toi, parce que moi, je compte bien en profiter !
-Avec Loïc ?
-J'ai mieux à te proposer : tu as aimé, hier soir, avec deux hommes ?
-Tu connais ma réponse, dit Julie, les yeux brillants.
-Moi aussi. Je voudrais te faire découvrir en plus le plaisir de baiser avec des inconnus. On va aller se chercher deux mecs sur la plage, en renfort de Loïc et de Nicolas.

Julie protesta, mais je la pris par la main pour l'obliger à se lever et à me suivre. Je me mis à circuler entre les estivants, étendus sur leurs serviettes ou déambulant au bord de la mer.



-Ceux-là me plaisent bien, dis-je à Julie qui était restée quelques pas en arrière, en avisant deux jeunes types qui sortaient de l'eau. Qu'est-ce que tu en penses ?
-Ils sont sexy, mais comment comptes-tu t'y prendre ?
-Je vais te montrer, répondis-je en me dirigeant vers les deux baigneurs, et en les apostrophant. Excusez-moi !... Comment trouvez-vous ma copine ?
-Très jolie, répondit le premier. Et elle n'a pas froid aux yeux : se promener comme ça, à poil sur la plage.
-Et moi, je vous plais aussi ?
-Bien sûr, confirma le deuxième. C'est un gage, ou c'est pour un sondage ?
-Ni l'un, ni l'autre. On voudrait faire l'amour toutes les deux sur la plage, avec nos copains et deux autres mecs. On cherche des volontaires.
-Ne cherchez pas plus loin ! répondit précipitamment le premier.
-Julie, je te laisse regarder les sexes de ces messieurs, pour valider leur candidature, demandai-je, avec un sourire vainqueur, à une Julie complètement décontenancée.

La jolie blonde s'approcha d'un des deux hommes. Une bosse déformait déjà son maillot, et elle se pencha un peu pour extraire la longue tige dressée.



Pendant ce temps, son copain sortit lui aussi sa verge, et la frotta contre les fesses nues de Julie.

Nous fîmes les présentations - ils s'appelaient Damien et Boris - et nous rejoignîmes nos compagnons, qui nous attendaient avec impatience. Nicolas était aux anges, Loïc ne revenait pas de la transformation de sa prude maîtresse...

-Veux-tu me faire plaisir, mon amour ?, lui demanda ce dernier.
-Tu sais que ne peux plus rien te refuser, répondit Julie.
-Alors, je voudrais que tu fasses l'amour la première, avec Nico et Boris. Je ne voudrais rien perdre de cette première ! Et après, on s'occupera de Chloé.

Ce programme m'allait bien : jouer les voyeuses, pendant que Julie se faisait défoncer par ses deux partenaires, m'excitait tout autant. Elle semblait ravie, elle aussi de la situation, et s'agenouilla entre Nico et Boris, pour les sucer.



Elle commença par Boris, découvrant dans sa bouche la saveur du gland décalotté. Elle lui prodiguait toutes les caresses buccales dont elle était devenue experte, pour le plus grand plaisir de ce parfait inconnu qui poussait des grognements de satisfaction.

Il avait envie de la pénétrer sans attendre, mais Julie voulut pomper avant quelques instants le dard de mon Nico.



Elle continuait de branler doucement Boris, tout en aspirant avec gourmandise la bite de mon amant. Boris ne lui laissa guère le temps de poursuivre sa fellation : il obligea Julie à se relever, souleva sa cuisse, et plongea sa queue dans sa moule affamée. Elle poussa un long cri, et fut obligée de prendre appui sur Nico, en passant un bras autour de son cou, et en se cramponnant à son pieu dressé.



Boris la perforait à grands coups de reins. Notre attitude avait porté son excitation à son paroxysme, et il donnait l'impression de ne plus se maîtriser, tant ses assauts étaient violents. Julie ne semblait pas détester d'être traitée de la sorte, si j'en croyais ses longs gémissements et, peu à peu, Boris ralentit un peu son coït.



Peut-être pour ne pas s'épuiser trop vite, le trio se laissa tomber sur le sable, sans vraiment se désunir. Le dard de Boris était resté planté dans la fente de Julie, dont s'échappait un clapotis provoqué par sa cyprine.



J'étais terriblement excité par ce spectacle, et je n'étais pas la seule : il y avait maintenant, autour du trio, un cercle d'hommes, mais aussi plusieurs femmes, qui regardaient fixement la bite de Boris disparaître dans la chatte de Julie, ressortir presqu'en entier, pour mieux s'enfoncer. La jeune blonde semblait apprécier d'être matée, si j'en jugeais par l'expression provocante de son visage.

Les deux mecs échangèrent alors leur position, et je vis le gland de mon Nico investir le minou gonflé de Julie.



Je suivais, sur le visage de Julie, la montée de son plaisir. Elle cherchait à le faire durer le plus longtemps possible, mais elle résistait de plus en plus faiblement à l'érotisme de sa situation, et aux sensations que lui procurait le dard de Nico, fouillant inlassablement son intimité. Soudain, un violent orgasme la tétanisa.

-Oooh, je jouis, je jouiiis !, hurla-t-elle... Oh, comme c'est bon, continuez, je vous en prie!

Ses deux partenaires restaient maîtres d'eux-mêmes. Encouragés par Julie, ils l'empoignèrent pour la mettre à genoux, les fesses dressées vers le ciel. Nicolas s'allongea pour se faire sucer, et Boris la prit par les hanches, pour la baiser de nouveau.



Boris était resté debout, pour pilonner l'abricot de la jolie blonde avec plus de force. Il s'en donnait à cœur joie, et les cris de Julie redoublèrent d'intensité.

Moi aussi, j'avais l'impression que mon corps brûlait, mais ce n'était pas seulement du au soleil ! J'avais hâte que mon tour arrive, de me faire prendre par tous mes orifices. Mais je devais m'armer de patience, car je connaissais l'endurance de Nico, et Boris semblait l'égaler.

Julie ne mit pas longtemps à jouir de nouveau. Elle était partie pour une succession d'orgasmes, comme elle n'en avait jamais connu. Boris se retira, et Nicolas vint s'agenouiller aussitôt derrière elle. Julie empoigna la longue hampe que lui présentait Boris pour la sucer.



A ce moment, elle poussa un cri strident. Elle venait de sentir le dard de mon amant s'insinuer entre ses fesses, pousser à l'entrée de son anus.

-Doucement, supplia-t-elle, je ne sais pas si je suis prête.

Nico se retira un instant, mouilla la rosette encore serrée avec sa salive, puis recueillit la cyprine qui coulait de la chatte de Julie pour lubrifier son petit trou. Il l'explora avec son doigt, jusqu'à ce qu'elle demande d'une voix rauque :

-Maintenant, vas-y... Oui, j'ai envie, encule-moi.



Mon mec la pénétra doucement, de plus en plus profondément, jusqu'à ce que ses cris grimpent dans les aigus. Alors il accéléra le mouvement.

Mon désir augmentait, au même rythme que les cris de Julie. Je n'en pouvais plus. Je m'allongeai sur le sable, les seins pointés vers le soleil, et je me mis à me caresser furieusement, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui contemplaient mes doigts, astiquant mon petit bouton dardé.



Concentré sur mon plaisir, j'oubliai quelques instants Julie, qui se rappela à moi avec des hurlements : Nicolas venait de lui donner un troisième orgasme, encore plus dévastateur que les précédents.

Elle commençait à s'épuiser, mais Boris avait d'autres projets pour la fiancée de Loïc :

-Ce n'est pas fini, ma jolie. Je n'ai pas encore goûté à ton petit cul.
-On la prend en sandwich ?, proposa Nico. Elle a découvert ça hier soir, et c'est une vraie bombe.
-Oh, oui, murmura Julie, essoufflée. C'était trop bon cette nuit.
-C'est une vraie petite salope, commenta Boris, d'un ton admiratif. C'est ta nana ?
-Non, c'est celle de Loïc, qui nous regarde, répondit Nicolas. La mienne, c'est la brune qui se caresse à côté.

Leur conversation s'arrêta là. Boris guida Julie, pour qu'elle vienne s'empaler sur la queue de Nico, dressée à la verticale. Elle feula de plaisir lorsque le gland se fraya un chemin entre ses petites lèvres et, d'elle-même, elle se cambra pour offrir son cul à Boris, sous les yeux exorbités de Loïc.

-Qu'est-ce qu'elle est grosse, commenta Julie... Oh oui, mais vas-y doucement... Oui, je la sens bien... Oh, oui ! ouiii !



Boris ne lui fit pas grâce d'un seul centimètre de son énorme bite. C'est à peine si elle pouvait coulisser dans l'étroit fourreau, et ses mouvements la faisaient surtout coulisser sur la queue de Nicolas, qui savourait des sensations délicieuses.

Julie ne paraissait pas souffrir de cette double pénétration, bien au contraire. Les yeux révulsés, tout le corps raidi, elle goûtait l'arrivée de son dernier orgasme, en sonorisant la plage de ses vocalises.

Lorsqu'elle se calma un peu, ses deux partenaires, à bout de résistance, se dégagèrent. Sans attendre leur demande, elle s'agenouilla entre les deux hommes, et les branla pour hâter leur éjaculation tout en caressant sa fente brûlante.

-J'ai envie de goûter votre foutre, eût elle le temps de prononcer, avant que le sperme gicle.



Je m'approchai d'elle pour la féliciter, et elle me regarda en souriant, et en continuant de caresser les deux bites qui venaient de lui donner tant de plaisir.

-C'est grâce à toi si j'ose faire ça. Je ne sais pas comment te remercier, j'espère que Loïc et Damien vont te faire jouir aussi fort que moi !



A peine Julie s'était-elle relevée, que mes deux partenaires m'empoignèrent, et ils me jettèrent littéralement sur leurs serviettes. Si le spectacle offert par Julie, Nico et Boris m'avait excitée à mort, il avait aussi exacerbé tous les fantasmes de Loïc et Damien, et leur érection était impressionnante.

Les préliminaires furent réduits au strict minimum. Je me penchai pour sucer l'énorme dard gonflé de Loïc, et j'écartai les jambes pour offrir ma moule à Damien. Il plongea aussitôt la tête entre mes cuisses, et je découvris avec ravissement l'adresse de sa langue.



Son cunnilingus fut bref, mais suffisamment long pour me procurer des sensations enivrantes. Mon clito se mit à saillir comme une minuscule bite, et je commençai déjà à gémir. Damien considéra ces gémissements comme un appel à me baiser - et il n'avait pas vraiment tort.

Aussitôt, il planta brutalement sa queue dans ma fente trempée. Il restait sans doute des traces de sel sur son gland après sa baignade car, malgré la cyprine, je ressentis une brûlure à l'entrée de mon minou.



Cette gêne fut de courte durée. Heureusement, car Damien, ignorant ce que je ressentais, continuait de me défoncer à grands coups de reins. Très vite, le plaisir reprit le dessus, et je me mis à extérioriser mon envie d'être prise sauvagement.

-Oui, comme ça ! Allez-y !.... Oui, encore plus fort... Bourrez-moi la chatte, faites-moi jouir...
-Attends, dis Loïc à Damien, on va échanger nos places. Je vais bien pilonner son abricot, et après, on va s'occuper aussi de son petit cul.

Je ne saurais pas dire comment je me suis retrouvée si vite à genoux, en levrette, avec le gland de Damien dans ma bouche, et le pieu de Loïc enfoncé entre mes petites lèvres.



Mais c'était délicieux. Le sexe de Loïc me remplissait totalement, et son gland touchait mon point G à chaque va-et-vient, déclenchant un tsunami de sensations dans tout mon ventre. A ce rythme, j'atteignis rapidement l'orgasme, et je poussai un long cri aigu.

J'étais dans un état second, pendant qu'il continuait de me limer. Je suçais toujours Damien et, les yeux embués par le plaisir, je fixais Julie, qui me demanda :

-Ca y est, il t'a fait jouir ? C'était si bon que ça ?



-Oui, c'était génial,... mais j'ai l'impression... que ce n'est pas terminé, répondis-je d'une voix hachée.
-Tu as raison, ma jolie, me dit alors Loïc. Tu m'as montré hier soir à quel point tu aimais jouir avec ton beau petit cul. Je vais le préparer, pour qu'on s'amuse un peu avec Damien, de ce côté-là.

J'avais de nouveau l'impression d'être un objet, de ne plus avoir d'existence que par mes seins, mon sexe et mes fesses, mais j'éprouvais trop de désir pour me révolter. Installée sur le ventre, je sentis les doigts de Loïc explorer ma fente pour récupérer ma cyprine et enduire ma rosette, puis poursuivre l'opération avec sa salive.



Je me laissais faire, en gémissant et en cambrant mes reins. Quand il me sentit prête, suffisamment excitée et détendue, Loïc me fit relever, et enjamber Damien, allongé sur le dos, son pieu dressé à la verticale. Il ne fut pas nécessaire d'exiger quoi que ce soit de moi, ou de me guider : de moi-même, je vins m'empaler sur la longue colonne de chair.



Je fermai les yeux un court instant, pour savourer le moment où le gland gonflé forçait l'entrée de mon anus. Puis je me laissai descendre lentement sur la hampe, qui me sembla interminable, pendant que Loïc se branlait en suivant la scène.

Il n'était pas le seul : un attroupement s'était formé autour de nous, avec Julie et Nicolas au premier rang. Beaucoup d'hommes et de femmes s'étaient mis nus et se caressaient, des maris pelotaient ostensiblement leurs femmes, et l'une d'elle branlait en même temps un autre type.

Bien chauffée, moi aussi, par ces spectateurs, je suçais maintenant Loïc, tout en chevauchant Damien.



Renversée en arrière, en appui sur mes bras tendus, et guidée fermement par les mains de Damien emprisonnant mes hanches, je montais et je descendais de plus en plus vite sur sa verge, dure comme de l'acier. Il m'encourageait en termes crus, ce qui décuplait mon excitation.

-Tu aimes ça, hein, petite salope ? Ca te plait de te faire enculer ?
-Oh oui, oui, c'est bon... Je te sens bien !
-Tu l'aimes, ma bite dans ta rondelle ?
-Oui, ouiiii !! Elle est toute dure, j'adore ça... Ooooh ! Je vais bientôt jouir, criai-je en contractant mon fourreau autour de sa queue.
-Vas-y, jouis ! Je veux t'entendre gueuler de plaisir !

L'orgasme arriva, énorme, et mes cris dépassèrent sans doute ce qu'espérait Damien.

-Je crois qu'elle a envie de goûter aussi à mon engin, suggéra Loïc, que je n'avais pas cessé de branler.
-On te prend en sandwich ?, me proposa Damien.
-Oui..., murmurai-je, n'ayant pas encore récupéré. Vous êtes des salauds, vous profitez de moi... Mais c'est trop bon.

Malgré cette protestation - symbolique - je me relevai, pour venir coiffer avec ma fente le dard de Damien, toujours dressé, et je cambrai mes reins pour offrir mes fesses à Loïc. Il s'accroupit derrière moi, et présenta son énorme gland entre mes fesses. Même si j'étais encore dilatée de ce côté, accueillir un tel engin restait un challenge. Heureusement, il savait s'y prendre, et le sentir me pénétrer avec douceur fut un moment de plaisir intense.



Arrivé au bout de sa pénétration, il commença à bouger lentement dans mon ventre. Ses mouvements réveillèrent en moi les souvenirs de notre soirée de la veille, et cette seule pensée suffit à donner un coup de fouet à mon désir.

-Oui, Loïc, vas-y, je te veux en moi, défonce-moi !
-Comme ça, Chloé ?, me demanda-t-il en se mettant à aller et venir dans mon petit trou.
-Oh, putain, c'est bon, s'exclama Damien. Elle coulisse sur ma bite en même temps... Qu'est-ce qu'elle mouille ! Elle aime ça !

Je jetai un coup d'œil vers les voyeurs qui nous épiaient, abasourdis, et je vis Nico m'adresser un signe d'encouragement, tout en pelotant Julie. Ensuite, je perdis conscience de ce qui se passait autour de moi, trop occupée à savourer le plaisir qui montait.

Un orgasme me tétanisa un long moment, m'arrachant de longs cris inarticulés, sans que mes deux partenaires ralentissent le rythme de leurs coups de queue. Je sentais venir de nouveau la jouissance, mais ils échangèrent encore leurs positions. Maintenant, je chevauchais Loïc, pendant que Damien me sodomisait comme une bête.



-Tu l'aimes aussi, ma bite dans ton petit cul ?
-Oh oui, c'est bon ! Tringle-moi plus vite encore... Oui ! C'est bon !... C'est trop bon, vous allez me faire jouir !!!

Le plaisir me foudroya, mais cette fois, je sentais que mes deux partenaires allaient bientôt se vider. En pensant au sperme jaillissant de leurs glands, un nouvel orgasme m'emporta. J'avais l'impression que j'allais mourir, tant c'était fort. Damien ne se retira pas, et lâcha ses longs jets de foutre dans mon cul, avant de se relever.



Loïc se contrôla davantage, et balança toute sa semence dans ma bouche et sur mon visage. Je me sentais épuisée, mais comblée.



Julie se précipita vers moi, et nous nous jetâmes à l'eau, pour nous rafraîchir après cette séance torride.

-Ça t'a plu ?, lui demandai-je.
-Jusqu'à hier je n'aurais jamais cru pouvoir éprouver autant de plaisir. C'est une révélation, grâce à toi. Laisse-moi te remercier.

J'étais assise dans l'eau. La jolie blonde plongea sa tête entre mes cuisses, et embrassa ma chatte avec fougue.



J'éclatai de rire. Mais Nicolas vint nous rappeler à a réalité. Il était déjà tard, et nous devions repasser par la villa pour nous changer, et reprendre le chemin de nos domiciles. Le week-end était terminé, mais nous nous promîmes de nous retrouver rapidement, pour d'autres moments torrides...