Lisa Story et les fantasmes

Lisa Story et les fantasmes - 1 (publié par Davidhandballeur le 06-06-2016)
Lisa Story et les fantasmes - 2 (publié par Davidhandballeur le 09-06-2016)
Lisa Story et les fantasmes - 3 (publié par Davidhandballeur le 21-06-2016)
Lisa Story et les fantasmes - 4 (publié par Davidhandballeur le 07-07-2016)
Lisa Story et les fantasmes - 5 (publié par Davidhandballeur le 27-07-2016)
Lisa story et les fantasmes - 6 (publié par Davidhandballeur le 13-08-2016)


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Lisa Story et les fantasmes - 1

Elle était là. Seule. Assise confortablement dans un fauteuil en cuir. Belle, souriante, sensuelle et très sexy dans sa tenue. Cette jeune fille aux longs cheveux blonds portait un petit short noir avec une belle ceinture dorée, des collants, un débardeur noir et un léger pull clair. Je remarquais surtout ses longues bottines noires et ses yeux bleus. Elle me fixait droit dans les yeux comme sa future proie.



Mes yeux étaient attirés par sa beauté. Il me semblait que je l'avais déjà croisée dans la rue. Dans mes souvenirs, ce jour-là, elle m'avait également fait forte impression dans sa tenue d'été. Sa jupe en jeans assez courte et son débardeur rouge la mettaient une nouvelle fois en valeur. Elle marchait de manière élégante avec ses hautes bottines à talons aiguilles.



Cette jeune fille blonde aimait les belles tenues. Je savais qu'elle pouvait éventuellement se promener en robe noire et qu'elle appréciait les collants pour ses belles et longues jambes. Dans cette tenue, elle adorait passer quelques temps dans un parc, assise sur un banc. Elle savait que les hommes la regardaient et ne restaient pas insensibles à sa beauté.



J'étais évidemment de ces hommes là, rêvant à cette femme fatale. Pourtant, timide, je n'osais pas l'aborder. Mais, son visage d'ange m'obsédait suffisamment pour ne pas l'oublier.



Chaque matin, je lançais mon navigateur internet pour me livrer à une occupation divine. Pleins d'énergie, mes doigts tapaient l'adresse du fameux site, connu de tous, Lisa Story, un site d'histoire et de photographies érotiques que j'avais découvert en 2014.



Machinalement, j'allais sur la page d'accueil et inscrivais sans réfléchir mon pseudonyme et mon mot de passe. Comme cela, je pouvais avoir accès à mon album de photographies qui contenait majoritairement des poupées blondes dans des poses suggestives.



Même si parfois, je tentais de me raisonner, je me mettais le plus souvent à la recherche de mes photographies favorites. Evidemment, ces images représentaient des jeunes filles blondes, comme cette jeune fille seule dans les transports en commun que je souhaiterais éventuellement trouver un jour sur mon chemin.



Habitué, j'arrivais ainsi sur une page qui contenait une série de photographies d'une jeune fille blonde, une belle bourgeoise dans sa salle de bain. Elle portait un pull léger de couleur rose, une jupe en jeans et des collants. Elle paraissait assez jeune et décontractée dans sa tenue et semblait attendre le prince charmant.



Comment ne pas oublier cette fille, qui pouvait très bien avoir une trentaine d'année et qui me fixait droit dans les yeux en passant ses mains sur sa jupe. Elle m'appelait, j'en étais presque certain.



A cet instant, elle se retournait, m'offrant une belle vision de son postérieur. J'avais envie de le caresser, et de passer mes mains sur ce corps sublime.



Plongé dans mes pensées, cette coquine n'hésitait pas maintenant à remonter une partie de sa jupe pour me dévoiler encore plus une partie de plus intime de son intimité. Il me semblait ainsi que je commençais à deviner une partie de ses cuisses.



Toujours assise, elle me fixait toujours. Mon imagination continuait à me jouer des tours. Cette jeune fille blonde souhaitait certainement se retrouver dans les bras d'un homme.



Sa posture ne laissait plus de place au moindre doute. Elle attendait l'homme qui allait parvenir à la combler.



Je fixais de plus en plus cette fille, qui continuait à me regarder dans les yeux. Son regard était de plus en plus coquin. Interrogative, elle m'avait sûrement aperçue. Qu'importe ! C'était ce que je souhaitais après tout.



Je ne pouvais pas faire la fine bouche après tout, d'autant plus qu'elle dévoilait, peut-être sans s'en rendre compte, une partie de son postérieur en se penchant. J'étais pratiquement comblé et heureux, même si ce n'était qu'un début.



Je ne souhaitais pas que l'attirance pour ces filles blondes tourne à l'obsession, mais, je devais me rendre à l'évidence. Les yeux bleu vague et les comportements relâchés m'intéressaient tellement que je rassemblais de plus en plus de photographies en me disant que l'homme qui croisait réellement ces beautés féminines et qui parvenait ensuite à les rendre heureuse, était un être très chanceux.



Voyageant dans l'espace infini des sites érotiques, j'explorais ainsi chaque planète, à la recherche de ces personnages imaginaires, qui livraient si volontiers quelques secrets intimes.



Développant pour elle une affection particulière, je les voyais comme mes protégées, mes amies, mes confidentes, liées à moi par leurs secrets.



Cependant, comment pouvais-je perdre mon temps à regarder ces images dignes d'exciter des personnes beaucoup plus jeunes que moi ?



Je devais toutefois me rendre à l'évidence. J'accumulais de plus en plus de photographies dans mon album personnel sur ce site Lisa Story.



Le souvenir de ces filles, pour la plupart blondes, revenait sans cesse, lancinant, tel un innocent moyen d'entacher ma soif d'érotisme.



D'un clic à l'autre, mes mains s'égaraient et mes yeux s'impatientaient de retrouver les plus belles photographies.



Sous mes yeux, apparaissait dorénavant, cette très jolie blonde. C'était encore un de mes fantasmes, quasiment inavouables.



Lisa, ton site est toujours aussi formidable. Il me procure encore des moments de plaisir. Surtout, il permet de redécouvrir une imagination, parfois enfouie, au plus profond de la mémoire.



Cette jeune fille était une vraie bombe. Sur l'échelle des valeurs, elle méritait probablement la note maximale. C'était l'une des plus belles blondes qu'il m'avait été donnée de croiser.



Elle avait les cheveux d'un blonds clairs et des yeux bleus d'une sensualité incroyable, avec un débardeur rose, un belle jupe en jeans.



Je la suivais des yeux, et de chance, elle écartait subtilement ses cuisses, dévoilant sa petite culotte blanche. Je n'avais rien manqué du moment. L'envie me prenait immédiatement.



Je n'étais cependant pas au bout de mes surprises, même si je me perdais de plus en plus dans les yeux bleus de ma belle blonde. Souriante, elle entrait dans mon jeu. Elle ne cachait plus et commençait à caresser ses seins à travers son débardeur.



Comment, un homme pouvait-il résister à cette sensualité débordante ? Mais, ce n'était pas fini, car, dans un geste brusque, elle baissait son débardeur, montrant ses jolies seins. Elle me souriait. J'allais peut-être craquer. J'imaginais même me retrouver en face de certaines filles de ce forum, avec qui j'échangeais régulièrement par le forum.



La première fille qui me venait à l'esprit était Chloé, une rédactrice hors norme sur le site. Je savais naturellement que cette fille n'était pas blonde. Elle m'avait en effet dévoilé au cours d'une de nos discussions que ses cheveux étaient de couleur châtains.



Je sombrais rapidement dans mes rêveries en l'imaginant. Je caressais, manipulais doucement ses cheveux.



Cette fille était décidément parfaite. Très jolie, elle était mince, mais doté d'un corps à faire rêver la plupart des garçons. Ses cheveux descendaient en cascade et atteignaient ces seins, caché par un décolleté très révélateur. Ses yeux bruns étaient également très jolis. Son visage était pâle, avec une petite touche de maquillage qui lui donnait un petit teint angélique.



Instinctivement, mon regard se perdait rapidement à l'intérieur de son décolleté plongeant. J'avais terriblement envie d'y enfouir ma main et de caresser sa belle poitrine. Il n'en fallait pas plus à ma bite pour se réveiller d'autant plus qu'elle était là, seule dans sa chambre de jeune fille. Elle m'accueillait amicalement dans une tenue qui me plaisait : une jupe en jeans et un débardeur rouge à motif.



Elle se redressa et souriait. Elle était de plus en plus attirante physiquement avec son joli visage et ses yeux. Je la dévorais littéralement.



Je me demandais si elle avait déjà sucer un mec. Probablement, vu la beauté de son visage et la sensualité de son corps. Mes yeux se posèrent sur ses seins, si rapproché l'un de l'autre, de taille moyenne, ferme et si attirants. Utilisant ses mains, Chloé se touchait partout sur le corps et me regardait dans les yeux tout au long de ses manoeuvres.



Elle dégageait une sensualité incroyable qui m'empêchait de demeurer indifférent à ces regards. J'avais les yeux grands ouverts, je devais ressembler à un chien qui attendais son morceau de steak, alors que son maître le suspendait dans les airs devant lui. Elle descendait tranquillement ses mains le long de son dos pour toucher à ses jolies petites fesses rondes que je venais d'apercevoir. Elle m'exposa longuement ce petit derrière et je pouvais apprécier la rondeur de ses petites fesses.



Je n'en pouvais plus. Je ne voulais qu'une chose ! Qu'elle vienne me sucer. Chloé le savait, mais elle continuait son spectacle et relevait son débardeur pour dévoiler ses seins à ma vue.



Ses bras bougeaient de sorte que ses seins se rapprochaient l'un de l'autre de façon invitante. Constatant que je la matais avec passion. Ses seins étaient petits, sans trop l'être par contre, en forme de poire. Elle me demanda alors si cette vision me plaisait. Ma réponse ne pouvait qu'être affirmative devant cette beauté qui était installé devant moi.



J' avais une vue parfaite sur son corps et particulièrement sur sa poitrine. Ses seins étaient de tailles parfaites et tellement rapprocher l'un de l'autre que je ne pouvais pas décoller mon regard de ceux-ci. Je plongeais dans ses jolies yeux. J'étais complétement séduit par cette petite femme.



Coquine, elle se caressait le bout des seins. La chaleur commençait à monter dans cette chambre. Pour ajouter au désir, elle poussait un petit gémissement. De plus, elle bougeait son corps de telle sorte que l'excitation montait naturellement.



Je n'en pouvais plus. J'avais envie de la prendre, de lui enfoncer mon membre directement dans sa bouche.



Je la suppliais alors de me prodiguer une fellation. Je désirais profiter de cette jolie bouche pour me faire sucer.



Chloé atteignit la naissance de mon boxer. Elle utilisa sa main et la mit directement dans mon boxer. Je gémissais de plaisir lorsque je sentis le contact de sa main chaude de sur mon membre.



Cholé riait et me complémentait sur la grosseur du sexe. Elle pensait qu'elle allait avoir de la difficulté à tout enfoncer.



Cependant, sans réfléchir, elle prit ma bite dans sa main. Elle débuta par lécher le membre tout du long en me regardant dans les yeux.



Je l'a contemplais. Elle s'en donnait à cœur joie et débutait alors de façon plus intensive sa fellation.



Elle ouvrit la bouche et goba directement mon gland. Je pouvais l'observer. Elle léchait le contour de mon membre, pour ensuite descendre plus bas sur ma verge et aspirer longuement.



Alors qu'elle continuait sa fellation, je l'a regardais s'amuser avec mon membre.



Je pris ses cheveux dans ma main et pouvait ainsi mieux la regarder. Elle descendait et remontait à un rythme rapide et incroyablement doux qui me rendait très excité.



Elle utilisait parfois ses mains pour tenir la base de mon membre, mais préférait y aller directement avec sa bouche sans utiliser ses mains, donnant ainsi un résultat encore plus sensuel.



J'utilisais ma main et poussa sur sa tête afin qu'elle gobe entièrement mon membre. Réussissant mon coup, mon membre était maintenant entièrement enfoncé dans la bouche de Chloé qui ne semblait pas avoir trop de difficulté à l'engloutir.



Au contraire, sentant l'éjaculation proche, elle accéléra le rythme et descendit puis remonta le plus rapidement possible et le plus loin possible.



Je terminais en beauté et je déchargeais alors complètement dans sa bouche. Je voulais qu'elle goûte à mon sperme tellement elle m'avait sucer comme une petite cochonne.



Chloé retira mon membre de sa bouche, me regarda et avala une partie du sperme.



Chloé était satisfaite et honorée de procurer du plaisir alors que j'étais en transe, soulagé d'avoir éjaculer mon sperme dans la bouche d'une des plus belles filles. J'étais convaincu qu'elle avait aimé cela.

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Lisa Story et les fantasmes - 2

Je songeais encore à Chloé. Cette fille sublime au visage d'ange m'obsédait de plus en plus.



Au fil des discussions virtuelles avec elle, j'apprenais que cette jeune fille aimer pratiquer la fellation. Dans mes pensées, elle était toujours aussi jolie, ses cheveux châtains descendaient en cascade sur ses épaules. Sa poitrine était toujours aussi alléchante. Une aussi jolie fille ne méritait pas d'être seule.



J'apprenais alors au fil des mois que ma charmante Chloé aimait se balader sans sous-vêtements. Cela augmentait évidemment mon excitation.



Elle aimait se dévoiler. En levant les yeux vers moi et en me faisant un sourire, elle augmentait mon désir sexuel. Elle avait une jupe noire, qui laissait voir la véritable forme de ces fesses. Elle avait de jolies fesses. Tellement petite, et attirante. Et son déhanchement me donnait encore plus envie.



Je l'imaginais alors seule dans un bureau. Je lui avais ordonné de porter un chemisier clair. Volontairement, elle avait entrouvert les deux derniers boutons pour laisser respirer ses seins. Elle avait une jupe plissé et des bas. Elle était ravissante dans cette tenue.



Comme d'habitude, et pour se retrouver beaucoup plus à l'aise, Chloé portait le minimum de sous vêtements. J'apercevais alors sa petite chatte à l'air quand, elle commençait à écarter ses cuisses. Je profitais de ce spectacle avec le plus grand plaisir.



Chloé se retournait et je me trouvais à hauteur de ses fesses. Ravissantes, je souhaitais les toucher, mais surtout les caresser. J'étais quasiment certain que cette ravissante jeune fille aimait cela.



Elle était de plus en plus près de moi. Une sorte de gêne m'empêchait de bouger, tandis qu'elle me fixait de façon étrange. Mais, elle était détendu et installa directement ses fesses à ma hauteur.



Avec cette belle vision de ses fesses, mon membre réagissait aussitôt. Elle me regardait en souriant et je lui rendais alors ce sourire.



La chaleur était intense. Chloé commençait alors à se caresser. Elle débuta par ses bras, pour ensuite rejoindre ses épaules, ses seins et ses jambes. Pour ma part, je fermais les yeux et imaginait la scène.



Quand j'ouvrais enfin les yeux, après quelques minutes, Chloé avait malheureusement disparu. Elle avait été remplacé par une autre jeune fille, qui pouvais également être considéré comme une bombe sexuelle. Blonde, elle était jolie dans ses sous-vêtements roses.



Constatant que je la matais avec passion, cette fille blonde me demandait de me rapprocher. Ces seins étaient petits, sans trop l'être par contre, en forme de poire. J'approchais mon visage de sa fente et me mis à lécher un peu partout au hasard.



Je la suçotais. Elle n'était pas indifférente à mes caresses.



Elle me demanda alors de lécher le clitoris.



J'enlevais alors sa petite culotte et entamais mon action son petit bouton. Je mettais ma langue directement dessus. Cela me plaisait énormément. Elle aussi n'était pas indifférente et commençait à pousser de petits gémissements.



J'accélérais le rythme pour son plus grand plaisir.



Je relevais alors ses jambes. Elle tentait de pousser des petits cris. Je continuais à lécher son bouton de plaisir. Elle semblait apprécier. Sa chatte était toute mouillée.



La sensation était très agréable pour moi. Elle appréciait mes coups de langue de plus en plus intime et soudainement, elle poussait de larges gémissements.



Chloé devait également apprécier quand un homme jouait avec son petit bouton d'amour. J'en étais intimement persuadé et je voulais tenter l'expérience.



Cette jeune fille blonde au regard charmeur appréciait les cunnilingus. Soudainement, elle changeait de position. Elle prenait ma bite dans sas main et la pointait directement en direction de sa fente. Elle voulait que je l'enfonce. Elle ouvrait les cuisses et enfonçait doucement ma bite dans son antre. C'était chaud et très serrée. Cette simple sensation me donnait envie de venir immédiatement.



Toutefois, je me retenais pendant qu'elle enfonçait par elle même le restant de ma queue dans son antre. Elle était grosse et la jeune fille échappait un petit cri de douleur. Soudain, alors qu'elle s'était habituée à ma queue, elle positionnait ses mains sur mon ventre, ce qui fit évidemment rapprocher ses seins l'un de l'autre. Elle se mettais à monter et descendre sur ma verge. Je l'aidais à l'empaler et le mouvement se faisait de plus en plus vite et de plus en plus profond ce qui demandait tous mes efforts de contrôle.



Elle poussait de petits cris d'excitation et souhaitait maintenant que je la prenne par derrière. Elle savait que je désirais la posséder, la dominer.

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Elle se mettait en position et je la prenais comme une chienne. Elle était perspicace, car j'avais envie. Je voulais une pénétration violente pour l'entendre crier de plaisir.



Crier de plaisir, Chloé le faisait quand elle se faisait pénétrer par un homme. Elle semblait en outre apprécier ma belle queue qui la faisait monter au septième ciel.



Ma vision sur ses petites fesses bien rondes était alors à son mieux. Je n'avais qu'une seule envie qui était d'aller les défoncer avec mon membre . Je me positionnai derrière elle et approchait ma bite de sa fente, mis mes mains sur ses hanches et enfonçais complètement mon membre.



Ses petites fesses bien rondes étaient déformées par mon membre entièrement en elle. Elle poussait un petit cri, mais me demandait de continuer. Je faisais alors un mouvement de va et vient en observant ses fesses. Je la défonçais le plus rapidement et le plus profondément possible. Elle m'encourageait. L'action terminée, elle s'écroulait sur le côté en sueur, satisfaite de ma prestation.



Il fallait que je trouve un nom à cette mystérieuse blonde. Après quelques secondes d'hésitation, je décidais qu'il s'agissait tout simplement de Laura, l'héroïne imaginée par Lisa. Je devais faire une confidence, les chapitres de cette histoire interactive était tellement excitante que j'appréciais la lecture. J'imaginais Laura, secrétaire, seule assisse dans son bureau. Pour attirer le regard des hommes, elle portait une jupe noire qui montrait évidemment ses formes et des collants. Elle croisait ses jambes quand elle m'apercevait.



Laura répondait à mes demandes. Elle s'installait dans la salle des archives, me dévoilait ses belles et longues jambes. J'appréciais de plus en plus ses tenues. J'aimais également, quand elle portait ses lunettes qui la rendait encore plus coquine.



Soudainement une douce sensation parcourait mon corps. Surpris, je relevais la tête et apercevait la tête de Laura qui montait et descendait sur mon membre.



Celle-ci léchait tout le contour de mon membre, tout en me donnant des baisers délicieux sur mon gland.



Elle prenait alors ma verge dans sa main et enfonçait profondément mon membre dans sa bouche. Elle aspirait doucement dessus pour me procurer encore davantage de plaisir. Incroyablement excité, je fermais les yeux et laissait ce petit ange m'amener vers la jouissance absolue.



Elle était aussi doué que la ravissante Chloé dont les images me revenaient en mémoire.



Elle suçait de plus en plus rapidement. Je sentais mon orgasme proche. Elle utilisait alors ses mains.



L'effet était explosif. Il n'en fallait pas plus pour décharger. Elle acceptait le verdict et mon sperme giclait sur le menton, les seins et sur
ses lèvres.



Heureuse, elle souriait. De mon côté, je la regardais avec un regard plein de reconnaissance pour le moment incroyable qu'elle venait de me faire passer. Je la remerciais et lui lançait même un regard interrogatif.

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Lisa Story et les fantasmes - 3

J'étais complètement perdu. Je me demandais même si je n'avais pas effectuer une confusion entre Laura et Eve, une participante très assidue du site. Inutile de vous préciser qu'à l'instar de l'héroïne de Lisa, Eve était très jolie. Ses cheveux blonds doux et soyeux virevoltait dans tous les sens pour se mêler au rayon de soleil qui me donnait envie de la serrer dans mes bras en sentant ses cheveux.



Au cours du temps passé sur le forum, je comprenais que les cheveux blonds de la belle Eve, sa bouche pulpeuse et ses yeux clairs me faisaient un effet non négligeable. Elle aussi, avait vraiment un visage d'ange.



J'enviais l'homme qui avait la chance de partager sa vie avec cette jolie créature. Mon imagination me jouait de plus en plus de tours. Mais, je ne voulais pas reculer et j'appréciais les situations coquines imaginées par Eve.



Son corps me faisait de plus en plus envie.



Des situations coquines qui mettaient souvent la jeune fille, en position de secrétaire, plus ou moins perverse. Je décidais donc de m'engouffrer dans la brèche. Eve correspondait par le biais du forum. Assidue de l'érotisme par correspondance, elle me décrivait ses tenues et les positions favorites.



Elle aimait s'habiller avec des jupes noires, souvent assez courtes. La couleur noire contrastait avec la couleur de ses cheveux blonds. Mais, elle attirait l'oeil, surtout que son sourire était ravageur.



Seule, elle cherchait de la fraîcheur sur le parquet. Elle était toujours prête à se faire prendre un homme. Surtout, j'apprenais au fur et à mesure de ses messages et de ses histoires, toujours magnifiques, qu'elle avait un petit faible pour le sexe par correspondance. J'allais peut-être en profiter au cours d'une petite conversation érotique



Je commençais alors à l'imaginer dans ses tenues coquines. Elle était accroupie sur le parquet avec une jupe et un débardeur qui laissait entrevoir son dos. Evidemment, j'avais envie de passer un moment agréable avec elle.



Mais, mes pensées étaient soudainement interrompus par un message qui apparaissait sur mon écran. Un message qui ne laissait place à aucune ambiguïté, avec une belle photographie de filles blondes dans une tenue de secrétaire.



Je lisais alors complètement le message et m'apercevait qu'il s'agissait de la belle et douce Laura, qui portait sur l'image une robe rose et un pull noir. Elle était attirante dans cette tenue.



Surtout, elle commençait à dévoiler ses jambes en tirant sur sa jupe. Et je comprenais alors qu'elle aimait particulièrement porter des bas.



Elle m'appelait dans son bureau. Je décidais alors de la rejoindre. J'ouvrais la porte sans me poser de questions et la voyais devant moi dans une tenue qui ne me laissait pas indifférent. Elle avait décidé de porter une robe bleue avec des bas.



Elle me souriait et jouait avec ses cheveux. Coquine, elle croisait ses jolies jambes.



Je me rapprochais d'elle très lentement et je remarquais son joli sourire. Une des bretelles de sa robe commençait à tomber très doucement, la rendant de plus en plus sensuelle.



Je posais mon regard sur ses jambes et j'apercevais de mieux en mieux sa petite culotte noire à dentelle.



Dans un mouvement soudain, Laura se mettait à genou sur sa chaise de bureau. Elle relevait sa robe en dévoilant ses cuisses. J'avais envie de la toucher.



Coquine et vicieuse, elle s'installait à nouveau sur son fauteuil. Les deux bretelles de sa robe étaient maintenant descendues. Je ne pouvais de plus ne pas rester insensible à son regard perçant. J'avais envie d'elle. Cela ne faisait aucun doute.



Laura le sentait bien. Maintenant debout, elle remontait soudainement sa robe. Je voyais maintenant très bien, sa culotte en dentelle.



La jupe relevée, les deux bretelles légèrement descendues, elle reprenait sa place assise. Elle me regardait certainement impatiente de sentir mon corps près de son corps.



Elle était craquante dans cette position et son corps me faisait rêver. Timide, je ne pouvais reculer. Elle était là devant moi en position d'attente.



Cependant, je ne pouvais m'empêcher de poser des regards très subtiles sur ses fesses. Ses fesses, jolies, très rondes et petites, m'amenaient beaucoup de fantasmes. Ses petites fesses m'attiraient et je souhaitais la prendre en position levrette.



Laura était vraiment craquante et toujours souriante. C'était un délice de la regarder.



Eve aussi était craquante avec ses cheveux blonds et ses yeux verts. Elle était belle. C'était un plaisir de passer de longs moments avec elle à discuter. Elle avait, et ce n'était pas anodin, toujours des paroles
réconfortantes.



Je pouvais passer de très longs moments à la regarder. Elle appréciait ces instants intimes où elle était allongée sur le lit en sous-vêtements. Elle portait à cette instant un ensemble rouge fort joli.



Sans perdre une miette au spectacle, j'attardais mon regard sur ses seins. J'avais envie de les toucher.



Coquine, elle se retournait et ses yeux me lançaient des appels. Elle voulait certainement me faire craquer.



Je n'allais pas pouvoir résister trop longtemps, surtout que ses regards étaient de plus en plus coquins.



Elle se retournait et montrait maintenant son petit derrière. Elle était feu et flamme, prête à subir mes assauts.



Elle avait également de jolies fesses qu'elle savait mettre en valeurs. Je bandais en la regardant. Elle le savait.



Mais, je devais rester patient, car ce n'était qu'un fantasme pour le moment.



Un soir, elle me donnait rendez-vous. Timide, je ne pouvais plus reculer. Elle était là devant moi, les cheveux mouillés, descendant en cascade le long de ses épaules, vêtue d'une simple nuisette noire.



Cette nuisette était plutôt ouverte et laissait apercevoir la moitié de ses deux seins et la séparation très attirante qui les délimitaient.



Cela me donnait des envies.



Elle s'approchait de moi et s'excusait. Elle n'avait pas simplement eu le
temps d'enfiler un petit quelque chose avant de sortir de la douche. Elle savait que sa tenue est un peu indécente, surtout à ma façon de la mater.



Elle riait. Elle savait qu'elle me plaisait. Par ma simple façon de la regarder, elle le voyait dans mes yeux.



Elle se rapprocha encore davantage. Son parfum sentait drôlement bon. Cela ressemblait fort à du bain moussant.



Je l'imaginais, alors seule dans une baignoire, avec des effluves de bain moussant. Elle passait certainement du bon temps et se caressait.



Elle sentait ses seins. Elle les caressait. Ses pensées faisait grossir mon sexe. Instantanément.



Je la trouvais de plus en plus jolie, et toutes les images se bousculaient dans ma tête.



Je pensais même un instant que je n'avais pas de chance. J'aurais tant voulu la surprendre dans son bain.



Eve me trouvait mignon, très mignon même. Sa main caressait mon ventre et se rendait jusqu'à l'intérieur de mon boxer. Elle prenait en main ma queue et se mettait à la caresser.



Elle frôlait mon gland avec ses doigts.



Elle accélérait la cadence et se mettait à me branler plus rapidement. Mon coeur se mettait à battre plus rapidement et mes muscles se relâchaient grâce à la douceur de cette main qui me procurait tant de plaisir.



Soudain, la situation était drôlement excitante. Elle était à genoux entre mes jambes. Ma bite devait présentement se retrouver directement devant son visage. Une douce chaleur envahissait alors mon membre. Elle aspirait mon gland et mon sexe comme une véritable professionnel et ma bite se gonflait aussitôt à son maximum dans sa bouche



J'avais l'impression de mourir sous cette possession tellement sa langue s'affairait bien à me donner du plaisir. Je pouvais deviner sa bouche qui faisait de long va et vient le long de mon membre. C'était si doux et si chaud à la fois.



J'apercevais alors ses jolies yeux bruns qui me regardait, ma queue directement dans sa main.



Elle léchait alors tout le long de ma verge en ne cessant de me regarder durant tout ce temps. Elle recommençait ensuite.



Elle me pompait aussi loin qu'elle le pouvait. Je mettais alors ma main sur sa tête et la contraignait à me pomper encore plus loin. Ma bite était presque recouverte par sa bouche. Le résultat était délicieux mais je n'en pouvais plus. J'allais venir dans sa gorge.



Coquine, Eve enfonçait le plus loin possible ma queue dans sa bouche. Elle poursuivait ses mouvements de plus en plus rapidement. J'explosais alors aussitôt.



Mon sperme se déversait alors directement dans sa bouche et sur ses seins. Elle stoppait son va et vient et gobait tout. Elle ôtait le membre de sa bouche et se mettait à le lécher tout du long. Elle le nettoyait bien comme il fallait et me demandait si j'avais aimé cela.



Je répondais par l'affirmative.



Eve mouillait énormément et elle me dévoilait son fantasme.



Elle s'imaginait avec mon engin dans sa petite chatte.



Elle souhaitait que je la prenne en levrette.



Mais avant, elle me demandait de lui lécher le clitoris. Je rapprochais alors ma langue de sa fente. J'ouvrais la bouche et je trouvais
immédiatement son bouton de plaisir.



Elle poussait un petit gémissement alors que je léchais dans tous les sens. Quelquefois, j'insérais un doigt ou deux dans son vagin, rempli de mouille.



J'utilisais mon autre main pour caresser ses seins de rêve dont les mamelons pointaient curieusement. Elle jouissait de bonheur et criait. Mais, elle n'en avait pas encore assez.



Elle me demandait de me mettre sur le dos. Alors que j'étais confortablement installé, elle montait sur moi et vient m'embrasser d'un doux baiser. Elle se relevait, prenait ensuite ma bite dans sa main et la pointait directement en direction de sa fente. Elle voulait que je l'enfonce. Elle ouvrait les cuisses et enfonçait doucement ma bite dans son antre. C'était chaud et très serrée.



Cette simple sensation me donnait envie de venir immédiatement. Je me retenais. Elle poussait un petit cri de douleur devant la grosseur de ma queue.



Soudain, alors qu'elle s'était habituée à ma queue, elle positionnait ses mains sur mon ventre et se mettait à monter et descendre sur ma verge. Je mettais mes mains sur ses fesses et l'aidais à s'empaler encore plus rapidement. Le mouvement se faisait de plus en plus vite et de plus en plus profond ce qui demandait tous mes efforts de contrôle. Quand à elle, elle s'empalait littéralement et poussait de petits cris d'excitation.



Elle désirait alors se faire prendre par derrière. Elle voulait que je la possède.



Elle était perspicace. C'était ce que je voulais. Elle prenait place. Ma vision sur ces petites fesses bien rondes était alors à son mieux. Je n'avais qu'une seule envie qui était d'aller les défoncer avec mon membre . Je me positionnai derrière elle et approchait ma bite de sa fente. Je mettais ma main sur ses hanches et enfonçais complètement mon membre.



Plus tard, j'entreprenais de la sodomiser. Ses petites fesses bien rondes étaient déformés par mon membre entièrement en elle. Elle poussait un petit cri, mais me demandait de continuer. Elle semblait apprécier ce changement de situation. Elle m'encourageait.



Ses petites fesses cognaient alors littéralement contre mes couilles.



Impossible de me contenir davantage, ma semence explosait dans son antre. J'enfonçais mon membre au plus profond. Je tentais bien de lui envoyer deux ou trois autres coups de rein, mais ma bite était complètement épuisée. Je m'écroulais sur le coté en sueur.



C'est alors qu'un message de Fionaa apparaissait sur l'écran. Belle et sulfureuse brune, elle souhaitait faire partager sa dernière expérience sexuelle avec des membres de la communauté.



Fionaa en voulait toujours plus. Plus elle baisait et plus il fallait baiser. Elle se demandait bien ce que son corps voulait de plus: elle faisait l'amour tous les soirs ou presque.



Un soir, Fionaa sentait qu'il lui fallait du sexe plus bestial, moins policé, plus spontané.



La jeune femme allait dans son dressing et chercha la tenue adéquate. Pas la peine de faire l'élégante, ce soir c'est soirée salope.


Elle finissait par dénicher une mini robe blanche qu'elle n'avait pas mise depuis des lustres. Cela faisait bien chienne en chaleur. Elle se dépêchait de l'enfiler et de regarder le résultat dans son miroir.



Fionaa sortait de son appartement. Elle prenait sa voiture et commençait à se balader nonchalamment. Sa démarche chaloupée était encore plus accentuée par sa robe.



Les rares personnes qu'elle croisait la détaillaient des pieds à la tête, certains d'un air surpris ou scandalisé. Certains l'avaient bien sifflé, mais personne ne l'avait abordée.



Finalement, elle s'installait sur un banc dans un parc, seule.



Deux jeunes apercevaient alors Fionaa sur ce banc. Ils s'installaient à côté de la belle brune. Les deux jeunes la regardaient avec un large sourire. Les deux jeunes étaient noir, certainement africain. Ils interpellaient notre belle italienne et la complimentaient. Sans se démonter, Fionaa commençait la discussion, souhaitant allez plus loin avec ses deux jeunes.



Finalement, ils décidaient d'inviter Fionaa dans leur appartement. Ils se levaient et marchaient tous les trois. Sans un mot ils commençaient à laisser traîner leurs mains sur le corps de la jeune femme.



Ces mains qui parcouraient son corps, Fionaa attendait cela. Elle était sans dessus dessous, et son côté de petite salope ressortait.



Après une trentaine de minutes de marche, ils arrivaient dans un appartement. Après une petite visite où Fionaa apercevait les trois chambres, elle s'installaient sur le fauteuil.



L'un des jeunes, attrapait Fionaa par l'épaule et l'embrassait. Pendant ce temps, le second jeune complimentait la belle brune.



Fionaa posait ses mains sur les braguettes. Les jeunes semblaient déjà bander.



La chaleur aidant, Fionaa proposait alors de se mettre à l'aise. Ils retiraient alors les vêtements et se retrouvaient nus. Fionaa constatait alors les belles bites de ses futurs partenaires. La bite du premier fait près de vingt centimètres et était très épaisse.



L'autre jeune a une bite qui paraît plus fine et moins longue.



Fionaa commençait également à se dévoiler son corps.



De son côté, Fionaa pensait que prendre ces bites dans son cul ne pouvait pas lui faire de mal.



Assurément, ils allaient être un bon petit coup.



Elle prenait ces deux belles queues entre ses mains et commençait à les masturber lentement.



Elle suçait ensuite la première bite à disposition. Elle se penchait et enfournait la queue en pleine bouche. Cette queue était énorme, tellement grosse qu'elle ne parvenait pas à la prendre entièrement.



Elle remontait sur le gland, le prenait entre ses lèvres, le titillait avec sa langue, puis l'engouffrait dans sa bouche.



Pendant ce temps, le second jeune malaxait les seins de la belle brune qui changeait de position. Fionaa s'agenouillait cuisses écartées afin qu'il puisse aussi prendre du plaisir. Le jeune comprenait le message, se plaçait derrière elle et pénétrait sa chatte en levrette. Fionaa remuait les fesses pour l'exciter, tout en continuant à pomper lentement la queue du premier jeune dont le rythme de respiration s'était accéléré.



Le second jeune la pénètrait lentement et allait jusqu'au fond de mon vagin. Après l'avoir bien l'avoir bien mise, il arrêtait de bouger pendant quelques secondes. Fionaa continuait ses allers- retours sur la queue du premier jeune, qui n'en pouvant plus explosait dans ma bouche au moment même où le second jeune se mettait à la pilonner à grands coups de reins. La première bite sortait de sa bouche et elle envoyait des giclées de sperme sur le visage de Fionaa. Le second ne s'était aperçu de rien. Il continuait à la limer profondément. Fionna sentait les couilles rebondir sur ses cuisses !



C'était très bon mais il inondait le vagin de la belle brune avant l'orgasme.



Un des deux mâles reprenait vigueur. Fionaa se penchait aussitôt vers lui et le prenait en bouche. Elle n'arrivait pas à l'engloutir entièrement mais la fellation devait être bonne puisque quelques minutes après il était parfaitement raide.



Elle le suçait lentement ne voulant surtout pas le faire jouir trop rapidement.



Il fallait bien que Fionaa en profite également.



Le deuxième mâle reprenait aussi de la vigueur.



Fionaa se mettait donc à les sucer et les branler tous les deux.



Elle leur proposait ensuite de se faire prendre le cul par les deux hommes à tour de rôle.



Sans hésitation, les deux jeunes acceptaient cette proposition en traitant la belle brune de salope et de bonne baiseuse.



Le premier la poussait au fond sans difficultés et commençait à l'entreprendre à grands coups de reins. Il lui limait bien le cul, en malaxant les seins et en la traitant de chienne, de salope.



Fionaa sentait qu'il allait bientôt venir. Elle tentait de se défaire de son étreinte pour offrir son cul au deuxième homme.



Ce dernier se masturbait en regardant son compagnon prendre la belle brune.



La belle Fionaa qui sentait que le jeune homme ne l'entendait pas ainsi et redoublait la cadence de ses allers- retours. Ce qui devait arriver arriva et il déchargeait dans le cul.



Fionaa demandait alors au deuxième mâle de la pénétrer lentement pour laisser le temps à son sphincter de s'adapter à ses dimensions. Il positionnait son gland sur la rosette et entreprenait son exploration.



Fionaa le sentait avancer dans son anus. Elle vivait un moment magnifique avec cette énorme bite qui s'enfonçait au fond de son cul.



Elle voulait se faire défoncer, crier de plaisir, jouir. Sans problème, l'homme commençait des allers- retours de plus en plus rapides et rapidement, Fionaa criait de plaisir. Elle enchaînait les orgasmes. Elle reprenait tout de même ses esprits et tortillait son cul quand l'homme se vidait au plus profond de Fionaa.



C'est alors que Fionaa voyait une nouvelle tête dans la pièce. Fionaa apercevait alors un homme grand et apparemment musclé, avec de larges épaules. Très vite, il enlevait ses vêtements et Fionaa découvrait une nouvelle queue, assez épaisse et longue. Elle allait continuer à s'amuser.



Il se couchait à côté de Fionaa, l'embrassait, lui pétrissait les seins d'une main et commençait à la masturber de l'autre.



Fionaa le pompait goulument.



Elle avalait profondément sa queue et agaçant son gland avec sa langue.



L'homme déchargeait rapidement au fond de la gorge de la belle brune.



Devant la bonne fellation de Fionaa, il n'avait pas pu se retenir au grand désarroi de la belle brune.



Un des hommes qui avait pris Fionaa rebandait déjà. Il invitait la brune dans la chambre et la prenait.



Il limait activement Fionaa.



Il demandait à Fionaa de venir sur lui. Il lui suçait les seins en continuant ses vas et vient jusqu'à ce que la belle brune atteignait l'orgasme. Il ralentissait alors la cadence.



Les deux autres, debout, la bite à la main, attendaient leur tour.



Fionaa demandait à l'homme de cesser de la pilonner. Il s'arrêtait mais gardait ses mains sur ses hanches pour rester dans son ventre.



Fionaa parlait et voulait se faire prendre à deux : un par devant et un par derrière. Les hommes étaient d'accord. Déjà prise par la chatte, elle proposait à l'un deux de venir la prendre par le cul.



Un homme posait son gland sur sa rosette et prenait lentement son cul. Dès qu'ils étaient tous les deux au fond, Fionaa avait l'impression de défaillir. Elle perdait sa respiration. Elle criait de plaisir. Ces deux bites dans son ventre, c'était merveilleux.



C'était l'explosion. Elle avait orgasme sur orgasme. Elle était comblée de bonheur avec une jouissance extrême.



Elle avait mal au ventre, mais il restait à homme à satisfaire. Elle le suçait une nouvelle fois pour faire reprendre vigueur.



Ensuite, il la prenait en levrette. Il besognait bien. Fionaa avait plusieurs orgasmes.



L'homme montait à l'étage au dessus et l'enculait sans problème. Il limait rapidement lui amenant un nouvel orgasme. Il continuait ses allers- retours et se vidait les couilles dans son cul.



Fionaa passait une excellente soirée. Sa chatte, sa bouche, son anus étaient pilonnée. Qu'est ce qu'elle avait pris!



Ces hommes lui avaient explosé la chatte et le fion comme pas permis.



En plus elle avait mal à la mâchoire de les avoir sucés à la chaîne.



Mais quel pied d'enfer! Heureuse et comblée, elle prenait le chemin du retour.



Quand elle racontait cette anecdote à ses amies et sur le site Lisa Story, la jalousie et l'envie s'emparaient des jeunes femmes.



Elles aussi voulaient participer à ce genre de festivités.

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Lisa Story et les fantasmes - 4

Sur le chemin du retour, Fionaa était tout simplement heureuse. Elle avait pris un pied d'enfer lors de cette soirée improvisée.



Chaque fois qu'elle parlait de ce moment agréable, elle devinait l'effet immédiat sur sa petite culotte.



Elle était décidée à faire partager son expérience à une des ses amies.



Elle s'installa devant son ordinateur.



Sans hésitation, elle entrait en contact avec Marie.



Marie était une belle femme blonde qui ne connaissait pas encore le sexe interracial.



Un soir, Marie sortait d'un magasin et marchait vers sa voiture.



Elle apercevait deux jeunes hommes qui, à en juger par leur style racaille, semblaient tout droit sortis de leur cité de banlieue. Les deux racailles échangèrent un regard furtif en jetant leurs regards sur la jeune femme.



Elle portait une jupe rouge, un chemisier noir, des collants noirs et des petites chaussures rouges à talons.



D'aucun aurait qualifié sa tenue de sexy mais Marie, avec toute l'innocence qui la caractérisait, aurait plutôt dit que c'était mignon si on lui avait demandé.



Bien sûr, elle savait l'effet que ça pouvait avoir sur les hommes qui la croisaient, mais l'important pour elle était de se sentir jolie.



Marie était vraiment belle de visage. Elle avait presque un physique de mannequin. La plupart des hommes qui la connaissait la trouvait attirante.



Elle aurait d'ailleurs été très étonnée si on lui avait dit que de nombreux hommes fantasmaient secrètement sur elle et que beaucoup se masturbaient en l'imaginant dans des situations insolites.



Son coté petit bout de femme plaisait tant à ses admirateurs secrets.



Les mots mignonne, rigolote ou adorable, belle et jolie étaient souvent employés pour la décrire.



Malgré sa taille, ses seins était très généreusement développés.



Elle avait un tour de poitrine atteignant les 95 centimètres et elle portait des bonnets de taille C.



Elle portait de larges décolletés offrant une vue imprenable sur cette poitrine avantageuse.



Car Marie adorait être regardée et s'habillait toujours de façon à attirer le regard. Elle affirmait que c'était juste agréable de se sentir belle, ou plutôt jolie comme elle aurait dit elle même, mais que ça s'arrêtait là.



En réalité, c'était beaucoup plus que ça. Car Marie ne cherchait pas à être jolie, mais plutôt à être attirante et à susciter le désir.



N'allez pas croire que Marie était secrètement une coquine qui cachait son jeu au reste du monde.



C'est avant tout à elle même qu'elle le cachait.



Elle avait une multitude de barrières psychologiques qui s'étaient solidement enracinées dans son esprit durant toutes ses années d'existence.



Pourtant, nombreux étaient ceux qui pensaient que sa façon de s'habiller ne trompait pas.



Ils la soupçonnaient d'être une sacrée cochonne dans l'intimité.



En tout cas, c'est ainsi qu'ils aimaient se la représenter dans leurs rêves masturbatoires.



En réalité, Marie n'avait jamais été très loin en matière de sexe.



C'était une femme bien sage.



Elle s'était toujours contenté de séances de sexe plutôt classiques.



Les séances étaient basées principalement sur la pénétration vaginale.



Elle appréciait particulièrement la position du missionnaire.



Par contre, elle n'appréciait pas spécialement la levrette.



Elle n'aimait pas se mettre à quatre pattes pendant l'amour car elle trouvait ça dégradant.



Elle n'avait jamais pratiqué la sodomie.



Les quelques petits copains qu'elle avait eu jusqu'à présent, floués par son tempérament doux et innocent, n'avaient jamais été très insistant là dessus, n'osant pas la choquer.



Cela correspondait à l'image douce et timide de ce petit bout de femme que de ne pas se laisser aller à de telles pratiques, comme de se faire prendre à quatre pattes comme une animale.



Elle s'adonnait souvent à la fellation.



Mais, c'était toujours de son propre chef et jamais sur la demande de l'heureux bénéficiaire.



Ce prétexte de faire plaisir lui permettait de s'accorder avec l'image qu'elle souhaitait donner aux autres et, bien sûr, l'image qu'elle voulait se donner d'elle même.



Sa façon frénétique de sucer les garçons intéressait les hommes. Elle pouvait donc s'y adonner sans se sentir mal à l'aise vis-à-vis de son partenaire et surtout vis-à-vis d'elle même.



Ainsi, c'est quand elle prenait le sexe tendu d'un homme dans sa petite bouche qu'elle exprimait tout son potentiel de perversité, sans même s'en rendre compte.



Elle n'était pas du genre à échanger des anecdotes sexuelles avec ses copines, encore moins du genre à regarder des films pornos, si bien qu'elle n'avait aucune idée de la façon dont s'y prenait les autres femmes et qu'elle ne se rendait pas compte de ce que ces fellations avaient d'impressionnant.



Il n'y avait pas de préliminaires, pas d'introduction inutiles sous formes de caresses, contrairement à ce que la douceur habituelle de Marie pourrait laisser présager.



Aussitôt que le dard se mettait à durcir, elle le secouait sans vergogne.



Elle accélérait toujours plus.



Elle appréciait ce geste.



Tout homme ayant eu un jour la chance de se faire sucer furieusement de la petite bouche de Marie ne pouvait que s'ennuyer avec les autres partenaires quand il était question de fellation.



En effet, Marie suçait divinement bien.



Son autre petit travers, mais encore une fois elle ne pouvait pas s'en rendre compte car elle n'avait aucun moyen de se comparer aux autres femmes pour les choses sexuelles, c'est qu'elle aussi aimait se faire masturber et lécher de manière plutôt musclée.



Elle n'était pas du genre à gémir la bouche grande ouverte pour exprimer son plaisir ou à demander d'y aller plus fort, mais ses partenaires n'avaient aucun mal à comprendre qu'ils pouvaient y aller de bon coeur et qu'elle prenait clairement son pied quand c'était vraiment fort .



Ils leur suffisaient d'entendre les halètements étouffés de Marie qui accéléraient d'autant plus qu'ils agitaient leurs doigts avec hardeur.



Elle était particulièrement réceptive au mouvement de levier de bas en haut ou de gauche à droite plutôt que par les allers retours en ligne droite.



Son vagin, assez profond pour une femme aussi petite, se mettait a mouiller sans retenue lorsqu'il se faisait dilater dans tous les sens, avec un doigt, deux doigts, trois ou même quatre doigts.



Quand elle mouillait vraiment, il y avait largement moyen d'y glisser une main, même si personne n'avait jamais tenté d'aller jusque là, par peur de sa réaction.



Son troisième péché mignon, c'était l'amour dans les endroits publiques.



Bien sûr, ce fantasme restait dans les limites des barrières psychologiques qui lui entravaient l'esprit. Le plus loin qu'elle avait été dans cette voie, c'était d'avoir un rapport expéditif, avec son copain de l'époque, dans un wagon de train quasiment vide de passagers.



Une seule fois, elle avait admise à demi mots que ce qui lui plaisait dans cette idée, c'était le risque de se faire surprendre.



En réalité, Marie était une véritable exhibitionniste refoulée.



Elle ne l'aurait jamais admis et pour cause, c'était le genre de chose qu'elle s'interdisait de penser d'elle même.



Mais sa façon de s'habiller parlait pour elle.



Il suffisait de jeter un regard à sa garde robe.



Le paradoxe était flagrant.



En effet, la différence était grande entre une femme si timide à propos des choses sexuelles et les tenues qui y étaient suspendues.



Des tenues qu'elle partageait le plus souvent avec Fionaa, adepte de ce
genre de vêtements pour mettre en valeur son corps.



Robes en tous genre plus courtes les unes que les autres, toutes hyper moulantes et toutes avec un décolleté si largement ouvert que même les plus cochonnes de ses copines, à part Fionaa, n'auraient jamais osé porter.



Des jupettes à foison, de toutes les couleurs et de toutes les coupes, mais uniquement au format mini.



Marie se sentait à l'aise dans sa garde robe.



Des collants de toutes sortes, dont certains étaient imprimés de motifs simulant la présence d'élastiques de bas nylon brodés, de jarretières en dentelle ou de portes- jarretelles, ce que Marie considérait comme étant le summum du mignon.



Il y avait aussi un large choix de bas nylons.



Plusieurs avaient de larges élastiques brodés façon rococco, la plupart de couleur blanche, crème ou chair.



Enfin, quelques ensembles de lingerie de style victorien, avec grands renforts de dentelles, de froufrous et de petits noeuds en soie.



Dans l'esprit de Marie, tout ceci n'était qu'un jeu innocent, comme une petite fille jouant à s'habiller en princesse pour se faire jolie.


D'ailleurs, chacune des ces tenues comportait toujours un petit élément qui le rendait mignon, comme un petit coeur, des motifs en forme de fraises ou ce genre de chose.



En fait, tout ce qui permettait à Marie de voir avant tout l'aspect amusant et adorable de ses tenues, plutôt que l'aspect diablement sexy et provocateur.



Quand il arrivait que certains hommes aperçoivent par accident le rebord brodé de ses bas nylon ou la petite pincette qui les retenaient à un porte jarretelle, ils n'avaient pas que des pensées aussi innocentes que celles de Marie en tête.



Marie parlait rarement de sexe, sauf sur le ton de la plaisanterie.



Mais les rares fois où ses compagnons avaient réussis à en discuter avec elle, elle s'était toujours affirmée heureuse et comblée de ce coté là, considérant qu'elle n'avait pas besoin d'extravagances pour l'être.



Les deux racailles restaient plantés là après que Marie les eût remerciés, se contentant de la regarder.



Ils ne se gênaient pas pour jeter des coups d'oeil à ses jolies petites jambes bien faites, ses hanches dont la courbe était bien visible.



Ils n'oubliaient de regarder ses seins.



Marie se sentit mal à l'aise d'être ainsi observée.



En même temps, elle ressentait la légère sensation de picotement au niveau du bas ventre, plutôt agréable, qu'elle ressentait chaque fois qu'on la regardait comme ça.



Marie se disait que c'était une sensation dû à la simple satisfaction d'être considérée comme jolie.



Rien de sexuel là dedans, bien entendu.



Elle les regardait encore une fois, surtout pour mettre fin à ce silence gênant.



Elle faisait le tour de sa voiture pour y monter.



Ils ne décrochèrent pas du regard pendant que Marie montait dans sa voiture.



Elle passa une jambe à l'intérieur et garda l'autre tendue à l'extérieur pendant qu'elle se penchait pour introduire la clef dans sa commande.



Marie aurait répondu qu'elle se comportait naturellement si on le lui avait demandé, entrant dans sa voiture comme elle le faisait tout le temps, en enfilant d'abord une jambe et se penchant de coté en gardant l'autre pied sur la chaussée pour mieux voir le trou de la clef, et elle l'aurait sincèrement pensé.



La vérité c'est qu'inconsciemment, elle voulait garder cette sensation qui lui chatouillait le ventre quelques secondes de plus, en laissant voir sa jambe un peu plus longtemps.



Les deux racailles ne se privèrent pas pour observer le galbe parfait de cette jambe tendue qui se laissait observer.



Grâce à la mini-jupe, ils pouvaient profiter des courbes harmonieuses de la jambe jusqu'en haut de la cuisse.



Marie portait un de ses collants imprimés qui donnait l'illusion de bas nylon retenus par un porte jarretelle.



Comme la jupe se retroussait légèrement, ils purent même apercevoir le faux élastique brodé sur sous la jupe.



Ils échangèrent un regard entre eux, mais surtout un sourire.



Ils espéraient entrevoir les fesses de la jeune femme.



Marie souriait tout le temps, c'était dans sa nature.



Elle glissa sa jambe à l'intérieur et claqua la portière avant de démarrer.



Les deux racailles restèrent sur place en regardant la voiture manoeuvrer et s'éloigner.



Marie jeta plusieurs coups d'oeil dans son rétroviseur pour voir si les deux jeunes regardaient toujours.



Le plus innocemment du monde, Marie se disait que c'était sans doute cette démonstration inattendue de gentillesse qui provoquait ces vagues agréables dans son ventre et elle en fût immédiatement convaincue.



La bretelle qui partait du parking pour rejoindre la route décrivait un U serré, si bien qu'après avoir tournée l'épingle, elle repassa au niveau du parking.



Sans s'en rendre compte, elle se recoiffa d'un geste de la main par deux fois.



Elle passait de nouveau devant les jeunes de banlieue qui n'avaient pas bougé d'un centimètre.



Marie s'apprêtait à leur faire un dernier signe de la main par politesse, comme il se doit.



Elle fût coupée dans son élan.



Elle s'apercevait que l'un d'eux avait la langue sortie dans sa direction et la tournait dans le vide avec obscénité.



L'autre, hilare, faisait un geste tout aussi obscène dans sa direction.



Il formait un cercle avec le pouce et l'index d'une main tandis que de l'autre il faisait des allers retours explicites dans cet orifice imaginaire.



Marie détourna vivement le regard, étonnée autant que choquée par ce retournement de comportement.



Pendant le bout de chemin qui lui restait à faire pour rentrer chez elle, la vision obscène du grand doigt noir allant et venant dans le cercle formé par les deux autres doigts lui revint régulièrement.



Elle se sentait en colère.



Elle sentait aussi un peu autre chose, mais elle n'arrivait pas à déterminer ce que c'était.



En tout cas, c'est sur le compte de la colère qu'elle mit la sensation de chaleur étouffante qu'elle ressentait.



Elle ouvrît sa vitre pour laisser entrer un peu d'air frais. Elle passa un doigt dans encolure de son décolleté et le secoua pour s'éventer. Elle suait à grosses gouttes et lorsqu'elle jeta un oeil dans le rétroviseur, elle se rendit compte qu'elle était toute rouge, comme si elle sortait d'un four.



Elle ne se rendit pas compte, par contre, ou plutôt ne voulut pas se rendre compte, que la sensation dans son ventre n'avait pas disparue.



Elle ne releva pas non plus que chaque fois qu'elle éventait son décolleté et que l'air pénétrait sous son pull, ses tétons durcissaient jusqu'à devenir aussi solides que des diamants.



Elle n'eût pas plus d'égard, pour son clitoris gonflé à bloc et sa chatte.



Une grosse tâche blanche apparaissait au fond de sa culotte.



Elle avait un don pour ignorer ce genre de choses et faire comme s'ils n'existaient pas.



Pourtant, elle savaient qu'elle avait fait de l'effet aux deux hommes.



Fionaa voulait jouer sur ce point pour faire basculer Marie dans un monde qu'elle ne connaissait pas.



Mais, Fionaa appréciait les grosses queues, elle qui savait que son voisin, un homme noir, en avait une grosse, car elle avait pu la goûter à un moment donné pour son plaisir.



Sans fausse modestie, Fionaa était assez jolie.



Elle le jugeait par les regards insistants qu'elle percevait sur la plage



Elle avait plus jeune effectué une courte carrière de mannequin.



Fionaa était tout simplement heureuse.



Aujourd'hui, elle était devenue une accroc des situations érotiques et appréciait les longues tiges.



Elle aimait s'exhiber sur les plages, alors que ce n'était pas le cas auparavant.



En effet, il y a quelques années, elle avait rencontré son premier homme, un jeune cadre dynamique dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels. Cette homme était promis à une carrière des plus brillantes. Fionaa et son homme avaient été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur.



Pour cette soirée et pour faire honneur à son homme, Fionaa je décidait de s'habiller très élégamment.



Elle avait opté pour une robe noire en satin très moulante.



Cette robe dévoilait son dos. C'était dans sa garde robe de l'époque, la seule tenue vraiment sexy.



Le regard que lui lança son homme quand était empreint de tendresse et de reconnaissance.


Il appréciait la beauté. Fionaa lui souriait heureuse de contribuer modestement au futur succès de son homme.



La tenue plaisait visiblement beaucoup au client qui n'hésitait pas à complimenter Fionaa plusieurs fois au cours de la soirée. Surtout, il lui jetait des regards furtifs qui en disaient long sur l'attrait que Fionaa sur lui.



Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur le corps de Fionaa : sa poitrine aux volumes sensuels, sa taille extrêmement fine, ses reins cambrés, la courbe de ses hanches et ses fesses bien rondes.



Tout au long de la soirée, Fionaa faisait l'objet de regards insistants des invités.



Certains n'hésitant pas à la frôler dans la cohue qui s'était formé près du buffet.



Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d'aménité à son égard.



Elle commençait à regretter son audace.



Son homme et son client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite femme, elle restait près de son homme tandis qu'ils se mirent à discuter du projet. Elle les écoutait attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de son homme.



Les regards que le client jetait sur Fionaa finirent par me mettre mal à l'aise.



Le sentiment d'être déshabillée du regard accrut son malaise.



D'autant plus que la gêne eût sur elle un effet inattendu.



Ses tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe.



Sa honte fût à son comble quand cet homme par son regard insistant lui en fît prendre conscience. Ses yeux détaillaient les seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si Fionaa avait été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne sont pas énormes.



Fionaa croisait ses bras devant sa poitrine, rouge de honte. Le client la regardait avec un étrange sourire aux lèvres.



Fionaa et son homme le quittèrent peu après, pour le plus grand soulagement de la jeune femme. C'était la première fois qu'elle sortait ainsi vêtue pour aider son homme à conclure une affaire. Intérieurement, elle lui voulait un peu, tant la soirée avait été désagréable pour elle.



Quelques jours après cette soirée, le compagnon de Fionaa devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi son client ne voulait plus signer dans l'immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cour. Le stress commençait à le ronger. Deux semaines plus tard, le téléphone sonna en pleine journée. C'était le client.



Il désirait parler à Fionaa en privé et ce, à l'insu de son compagnon.



Il lui donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage.



Il lui dit que c'était très important et que cela concernait directement son compagnon.



Fionaa hésitait longuement à y aller sans en parler à son compagnon.



Finalement, elle se résignait et se rendait à l'hôtel.



Elle portait un pantalon de jersey beige.



Le client accueillait Fionaa dans le salon de sa suite et avisant sa tenue, il eût une petite moue peu engageante.



Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, elle le suivit néanmoins jusqu'au salon de la suite et là, avant même que Fionaa prenne le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il lui dit qu'il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, elle
acceptais de coucher avec lui.



Offusquée, Fionna giflait sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, elle tournait les talons et rentrait chez elle.



Le soir même, son compagnon est rentrait à la maison dans un état épouvantable en annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C'est là que Fionaa comprenait que le gars ne bluffait pas. Elle se sentait responsable de cet échec et, inexplicablement, elle avait honte de son comportement, honte d'avoir ruiné les projets de son compagnon.



Toute la nuit, elle retournait dans sa tête ce cruel dilemme : elle avait le pouvoir de sauver le projet de son homme. Le lendemain, en prenant son courage à deux mains, afin de sauver la situation de son compagnon, elle décida de contacter le client, la mort dans l'âme.



Elle lui demanda d'une voix blanche s'il pouvait revenir sur sa décision si elle acceptait sa proposition. Elle entendait un bref rire, puis il lui demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. Elle allait raccrocher quand il ajouta d'être plus sexy et de mettre une jupe et des bas, avec des escarpins à talons car il aimait les longues jambes et les jolies cambrures.



Il raccrocha.



En proie à des vertiges, elle se rendit dans sa chambre telle une automate.



Là, elle choisit une jupe, un chemisier et des bas et une culotte avant de partir à son rendez-vous.



Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, Fionaa frappait d'une main mal assurée.



Il ouvrit, après un long moment, comme pour montrer qu'elle était assujettie à son bon vouloir.



Il la toisa un long moment dans l'encadrement de la porte, la détaillant des pieds à la tête, s'attardant sur ses jambes gainées de nylon sombre puis sur ses pieds cambrés par les escarpins à hauts talons.



Il lui fît signe d'entrer, s'effaça et lui désigna le salon. Là, il s'est assis dans le fauteuil, laissant Fionaa debout devant lui.



Les jambes de Fionaa tremblaient.



Elle restait immobile, subissant son regard évaluateur. Puis, après un moment interminable, elle entendit pour la première fois sa voix, empreinte d'une extrême courtoisie : une voix qui lui demandait de se tourner.



Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, Fionaa se tournait de façon à lui présenter le côté postérieur de son anatomie.



Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, elle sentait son regard qui devait jauger sa chute de reins, la rondeur de ses fesses. Elle avait l'impression de sentir physiquement son regard sur son corps, comme s'il la touchait.



Puis, sa voix retentit à nouveau pour signaler que la marque de la culotte était parfaitement visible et que cette forme devait dévoiler bien les fesses.



L'homme lui demanda d'ôter son chemisier.



Fionaa crût défaillir en entendant ces mots. Elle restait tétanisée. Le silence avait envahit la pièce.



Elle poussait un profond soupir, et maladroitement, tant ses mains tremblaient, elle enleva son chemisier.



Sa vue se brouillait lorsque l'homme lui pria de se tourner avec un ton et une courtoisie ferme. Fionaa se tourna en fermant les yeux, prête à défaillir.



Elle sentit un des doigts de l'homme se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de son sein gauche. Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de son buste. Son geste eût pour effet de soulever son sein et de le faire passer au dessus du balconnet, sur lequel il reposa.



Il renouvela l'opération sur l'autre sein, d'un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité. Ses seins reposaient sur les bonnets affaissés. rehaussés. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de son majeur les tétons et s'amusa à suivre les contour des aréoles minces et roses.



La panique et la honte firent darder les tétons de Fionaa qui fût obliger de dégrafer son soutien-gorge.



L'homme approcha alors sa main en coupelle sous le sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui parût interminableà Fionaa, à un tel point que son sein commença à être douloureux.



Les seins étaient souples et fermes et les tétons pointaient.



Mais, l'homme alla plus loin et commença à détailler les fesses de Fionaa, lui demandant de retirer sa jupe. Elle était maintenant là, nue, portant uniquement ses bas et ses escarpins.



Imperturbable, l'homme se leva, ouvrit la fermeture de son pantalon, puis, s'approcha de Fionaa qu'il fixa dans les yeux avec une telle fermeté. Il demanda à la belle brune de se mettre à genou. Tétanisée, incapable du moindre geste, Fionna fléchît toutefois , pour tomber sur les genoux et se retrouver le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, ostensiblement, l'homme sortit son sexe à demi rigide et le tenant entre son pouce et son index, le décalotta et commença à le balader sur les lèvres de Fionaa.



Court mais très épais, le membre était surtout dotée d'un gland très volumineux, d'un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre les lèvres, il posa fermement sa main sur la nuque et demanda à Fionaa d'ouvrir la bouche.



Fionaa ouvrit alors les lèvres sous la pression conjuguée de son gland et de sa main et son sexe s'insinua dans l'étroit passage.



D'un coup de reins puissant il entra sa verge le long de la langue et bientôt, il envahit la bouche de Fionaa.



Rapidement, sa queue devint très grosse. l'homme entamait alors un lent va et vient dans la bouche de Fionaa qui fût contrainte de subir cette pénétration.



Elle gémissait, elle suffoquait sous l'assaut brutal. Ses mouvements dans la bouche prenaient de l'ampleur. Il allait presque à chaque fois buter au fond de la gorge.



Tout à coup, il éjacula.



Fionaa sentit un flot de sperme envahir son palais et couler dans sa gorge. Une semence épaisse et salée.



Elle en avala une bonne partie.



L'homme demanda à Fionaa de continuer à sucer sa verge pour la rendre rigide à nouveau.



Comme un pantin désarticulé, elle guida son visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans sa bouche inerte et entrouverte.



L'homme prenait du plaisir à plaquer en pénétrant la cavité buccale de toute l'ampleur de sa verge.



Il promenait sa verge contre les lèvres, les joues, le menton et le nez, les maculant sciemment d'un mélange de sperme et de salive.



Visiblement, cette humiliation lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur.



Dès qu'il eût une nouvelle érection, il se leva, fît relever Fionaa et la poussa pour la mettre à genoux sur le fauteuil.



Il posa ses genoux entre les jambes de Fionaa, lui écarta fermement les genoux. Fionaa sentait son gland se frayer un chemin entre ses grandes lèvres closes. Il la pénétra violemment sans fioritures.



Fionaa poussait un véritable hurlement tant la brûlure était vive. Il était d'une vigueur exceptionnelle et elle sentait son gland écarter les parois de son vagin.



Il la tenait aux hanches et assénait de grands et violents va-et-vient qui arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron.



Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s'estompa, et littéralement horrifiée, Fionaa se rendait compte que son vagin s'était lubrifié, comme si son corps acceptait ce que tout son esprit refusait avec la dernière énergie.



Abattue, Fionaa posa sa tête contre le dossier du fauteuil et continuait à se faire baiser. L'homme malmenait son vagin pendant un interminable moment. Il la tenait par la taille.



Fionaa sursauta quand elle sentit un doigt toucher son oeillet anal. Il appuya sur les contours de l'anus, comme pour en éprouver l'élasticité. Elle tentait de se dégager mais l'homme l'immobilisa.



Il préleva un peu de cyprine à l'entrée du sexe et la déposa consciencieusement sur l'anneau serré.



Le fragile orifice céda, et Fionaa sentit la première puis la deuxième phalange investir son intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans l'anus en écartant le plus possible le sphincter pour l'assouplir.



Fionaa avait très mal, elle gémissait.



L'homme comprît alors que Fionaa était vierge de ce côté là et qu'elle n'avait jamais pratiqué la sodomie.



L'homme murmura que Fionaa était délicieuse.



Il dégagea alors son sexe du vagin de Fionaa. Il posa le gland contre son oeillet anal. Il le guidait d'une main et poussait inexorablement. Fionaa sentit, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s'ouvrir pour laisser le gland écarter l'anneau pour entamer sa progression.



Elle sentait le gland progresser le long de l'oeillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement son anus.



Rien ne l'arrêtait. Son gland avait franchi l'oeillet et la douleur se faisait moins vive.



Elle sentait le pieu de chair repousser les parois de sa gaine anale, la distendant à l'extrême.



Sans lui laisser un instant de répit, il sodomisa Fionaa sans aucune douceur.



La douleur était très vive. La violence de ses coups de butoir était telle que Fionaa était à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil.
Chaque coup était rythmé du claquement que son bas-ventre produisait contre les fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l'anneau la laissant pantelante un instant avant de lui labourer à nouveau les reins. Elle sentait ses sphincters anéantis, son anus restait béant sans se refermer même lorsqu'il le libérait complètement.



La douleur irradiait Fionaa.



Lorsqu'il fût sur le point d'éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène.



Il retourna Fionaa sur le dos comme une poupée de chiffon. Il l'enjamba et s'assit littéralement sur ses seins et mît sa queue dans la bouche de Fionaa.



Il éjacula dans la bouche de la belle brune.



Pour la deuxième fois de la soirée, elle reçut son sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant son sexe à la main.



Il le dirigea vers son visage et elle reçut plusieurs jets abondants sur les joues et le menton.



Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait son visage, lui brûlant les yeux.



Il se releva et se rajusta. Il regardait Fionaa, le visage maculé de sperme en souriant.



Il lui demanda d'essuyer le visage.



Il la remerciait t de lui avoir offert trois orifices délicieux.



Il espérait avoir à nouveau l'occasion de les utiliser.



Peut-être à l'occasion de la signature d'un autre contrat.



Fionna se levait péniblement, se rhabilla.



L'homme conserva toutefois la petite culotte de Fionaa en souvenir.


Elle partit.



En arrivant dans sa maison, elle prît une longue douche pour se refaire une beauté.



Le compagnon de Fionaa signa le nouveau contrat.



Sans rien se douter.



Mais, malgré ses réticences, la belle brune avait découvert un pan nouveau
de sa sexualité.



Un pan qui l'avait mené quelques années plus tard à se retrouver avec plusieurs blacks.


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Lisa Story et les fantasmes - 5

Trois hommes noirs arrivaient prés d'un immeuble sordide et s'y engouffraient. Après être descendu aux caves, ils s'arrêtaient dans une d'elles. Sordide à souhait, elle comportait un vieux canapé, un petit frigo. Les trois blacks contemplaient leur prise : une superbe blanche blonde :



Fine, avec deux bons gros seins bien fermes.



Un cul à damner un saint.



Et surtout, soumise au moindre de leurs désirs jusqu'aux plus pervers.



Putain, qu'ils allaient bien s'amuser !



La jeune fille était maintenant seulement vêtue de ses bas au milieu de la pièce.



Les commentaires allaient bon train de la part des hommes :
« T'a vu sa bouche? Elle doit sucer comme une reine! » dit l'un.



« Tu crois qu'elle avale ! » dit l'autre.



Le troisième prit la jeune beauté blonde.



Il la fit mettre à genoux et lui présenta son sexe devant la bouche.



Un gros sexe noir de vingt-cinq centimètres, déjà dressé.



Sans même faire un geste de recul, la blonde laissa la bite tendue s'introduire dans sa bouche, et commença sans s'en rendre compte un mouvement de va et vient de ses lèvres sur la verge.



L'homme lui tenait les cheveux et imprimait le rythme.



« Putain comme elle est trop bonne, sa langue m'entoure la bite»



Au bout de quelques minutes de ce traitement, l'homme ne tarda pas à envoyer toute sa purée dans la bouche de la jeune blonde.



La jeune blonde avala toute la semence sans broncher.



L'homme se rajusta et dit aux deux autres de s'occuper de cette belle blonde pendant son absence.



Les deux comparses n'en demandaient pas autant. Leurs bites respectives allaient exploser.



De plus, ils voulaient baiser cette beauté.



Quel spectacle s'offrait à eux : une magnifique blonde à gros seins, entièrement nue.



Une jeune femme blonde qui allait quasiment se soumettre aux derniers outrages.



Les deux blacks se déshabillèrent et ne tardèrent pas à se jeter sur la belle blonde pour profiter d'elle.



Plus rapide, le premier prit possession de ses seins qu'il léchait comme un fou tout en soulevant les fines jambes de cette beauté pour darder son sexe dans son minou. Le deuxième, lui, se plaça derrière la jeune femme et,sans autre forme de procès, entreprit de la sodomiser d'importance.



Ainsi doublement pénétrée par deux gros sexes noirs, sans pouvoir se défendre, la blonde commençait tout de même à ressentir les premières chaleurs de plaisir venant de ces pénétrations sauvages.



Elle commença à haleter, de plus en plus fort, provoquant chez les deux blacks une excitation décuplée qui se traduisait par des coups de bite de plus en plus puissants.



Au bout de dix à quinze minutes de ce sexe bestial, et d'au moins deux orgasmes de la part de la jeune femme, les deux blacks, dans de longs râles de plaisir, se vidèrent presque en même temps dans la chatte et dans l'anus.



Ils se retirèrent pour profiter de la scène : pantelante, ravagée par les orgasmes, l'anus et la chatte de la jeune femme dégoulinaient de belles goutes de sperme.



« La vache que c'était bon. Elle est trop bonne» dit l'un des hommes.



-C'est clair, elle est existante » renchérit le deuxième qui souhaitait recommencer.



Mais, il vit revenir son ami qui n'était pas revenu tout seul. Il avait rameuté cinq hommes. Évidemment tous noirs d'ébène et fort intéressés par la possession d'une jeune oie blanche soumise à toutes leurs perversions.



« Amusez vous » dit-il aux autres hommes, avant de s'installer au fond de la cave.



Les types de sa bande ne tardèrent pas à s'approcher de la jeune femme et commencèrent par la caresser.



Dix mains tripotaient ses seins, ses fesses, s'insinuant dans la raie jusque dans son anus.



D'autres mains s'enhardissaient vers son pubis et bientôt, deux doigts furent introduits dans la chatte encore gluante de sperme.



L'un des blacks embrassa la jeune femme à pleine bouche, sans que celle ci fasse le moindre geste pour se défendre, bien au contraire.



Un autre black, placé derrière elle, attendit la fin du baiser pour introduire deux de ses doigts dans la bouche de la belle blonde.



Il constata avec le plus grand plaisir que la jeune femme les suçait comme s'il s'agissait d'une bite !



« J'en peux plus » dit l'un des blacks.



Les cinq blacks se déshabillèrent et lui présentèrent leur bite pour se faire sucer.



Comme dans un rêve, la jeune femme se retrouva au centre d'une scène qu'on ne voyait habituellement que dans les films pornos un peu crades: elle suçait une et parfois deux bites en même temps, pendant qu'elle branlait une bite dans chaque main.



Puis, quelques minutes plus tard, un black se plaçait derrière elle.



Il lui ramonait consciencieusement la chatte avant d'exploser dedans.



Chaque black qui s'était ainsi fait sucer prenait la place de celui qui venait d'éjaculer dans la chatte.



Il venait s'y soulager les couilles à son tour.



Les deux derniers lascars préféraient juter dans sa bouche et la voir avaler sa semence.



Chaque membre de la bande vidé, le premier homme s'approcha de la jeune fille blonde, encore secouée du gang bang qu'elle vient de subir, la chatte débordante de sperme, un goût aigre dans la bouche.



Elle fut rhabillée sommairement et conduite à sa voiture par l'homme. Celui ci la conduisit vers son domicile non sans s'être copieusement fait sucer durant le trajet.



N'ayant pas joui en route, la jeune femme dut terminer sa besogne dans la voiture garée au pied de son immeuble.



Au bout de quelques minutes, ayant avalé son énième jet de sperme, elle put regagner son appartement.



Mais l'homme la suivit pour se payer une petite tranche de chatte blanche pour lui seul.



La jeune blonde était assise sur le plan de travail, la robe relevée, les cuisses écartées, le black en train de la pistonner comme un malade.



La sonnette retentit alors. Les acolytes blacks du jeune homme étaient sur le pas de la porte. A peine entrer dans l'appartement, ils se rapprochaient.



Ils ne perdaient pas de temps pour ce faire sucer.



Elle avait déjà une bite dans la bouche.



Un autre, profitant de sa fente offerte, y introduisait déjà son gland.



La jeune femme était au centre des attentions.



Elle chevauchait un des blacks qui s'était assis dans le canapé pendant qu'un autre, debout, lui baisait la bouche.



Un autre homme s'approcha:



Il se positionna derrière la jeune blonde.



Il entreprit de lui introduire son imposant membre dans l'anus.



Curieusement, la grosse verge n'eut aucun mal à entrer.



Le spectacle offert était grandiose pour le premier homme noir. La jeune pouliche blonde se faisait triple pénétrer par ses sbires.



Le tout accompagné de râles de plaisir qui ne laissaient aucun doute quand à ce qu'elle ressentait !



Au bout de cinq minutes de ce traitement, la jeune blonde ne tarda pas à crier son plaisir, accompagnée de ses trois baiseurs qui éjaculèrent presque en même temps en elle.



Les trois hommes se relevèrent et partirent se chercher à boire, laissant la jeune femme récupérer de ses orgasmes dans le canapé, et vider quelque peu ses orifices du sperme qui les remplissait.



Le premier homme présenta de nouveau son sexe à la jeune femme qui se mit à genoux pour offrir une caresse buccale. Elle commença par lécher le gland puis poursuivit par une fellation des plus sensuelle.



L'homme finit par éjaculer copieusement sur les seins de la jeune femme.



Elle était toujours nue au centre de cette horde avide de sexe qui ne pensait plus qu'à exploser ce petit cul blanc bien soumis.



Trois blacks la menèrent vers la chambre à coucher.



Ils commencèrent à caresser ses seins, ses fesses, sa vulve.



L'un d'eux enfonça sa langue dans la bouche.



Il s'allongea sur le lit, nu et guida la jeune femme qui vint doucement s'empaler sur son phallus, sans aucune difficulté.



Il commença de profonds va et vient dans le vagin ainsi conquis.



Au bout de deux minutes de ce traitement, un deuxième black se plaça face au visage de la jeune blonde, empoigna ses cheveux et introduisit son membre gonflé dans sa bouche, manquant de l'étouffer tellement il s'enfonça profondément.



Après un haut le cœur, elle commença sa fellation.



L'autre, comme à la parade, vint remplir un peu plus le vagin.



L'entrée d'une bite de plus en elle la fit tressaillir mais la douleur de la pénétration initiale laissa bientôt place à un intense plaisir dû aux va et vient des deux hommes.



Dans la chambre à coucher, on entendait les cris de plaisir qui se faisaient de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés.



Ses trois baiseurs ne lui laissaient aucun répit.



Il la pilonnaient comme des malades.



Celui qui se faisait sucer lui baisait carrément la bouche, tenant sa tête des deux mains, lui enfonçant sa bite au fond de la gorge.



L'un des deux autres blacks était passé de son minou à son anus, qu'il investissait avec rage.



Au bout de cinq minutes de ce traitement intensif, les trois blacks n'y tinrent plus et lâchèrent leur semence.



Puis, sans même lui jeter un regard, ils allèrent se doucher, laissant la jeune femme pantelante mais repue de sexe sur le lit, les orifices dégorgeant le sperme.



La bouche ouverte, elle était remplie de sperme et s'endormit.



Marie se réveilla en sursaut et se retrouva seule dans son lit. C'était un rêve mais les grosses queues blacks l'intriguaient de plus en plus.



Pour Fionaa, ce n'était pas un rêve.



Elle s'était préparée en conséquence.



Jupe écossaise, bas à résille, des chaussures à talons et un petit pull, elle était prête.



Laissant sa voiture à l'orée de la cité, elle finit le chemin à pied.



En route, elle avait imaginé tout ce que ces lascars allaient lui faire subir, ce qui eut pour effet immédiat de tremper sa petite culotte.



Devant l'entrée d'une des barres d'immeubles, elle vit un groupe d'hommes encapuchonnés deviser. Elle passa devant eux sans les regarder mais en mettant sa poitrine en avant et en roulant ses hanches de façon très appuyée.



Médusés par cette apparition, le groupe la regarda passer.



Puis le moment de surprise passé, ils se mirent à suivre Fionaa à quelques mètres. Elle entra dans un autre immeuble puis fit semblant de chercher un nom sur une boite aux lettres. Elle se pencha comme pour mieux lire les noms ce qui eut pour effet de faire remonter sa jupe et de découvrir le bas de sa petite culotte.



Le groupe de lascars ne tarda pas à arriver éclatèrent de rire.



Il parlait sur sa tenu et savait qu'il allait s'amuser.



Les lascars se mirent en cercle autour de Fionaa et sortirent leurs bites.



L'un des types appuya sur les épaules de Fionaa pour la forcer à s'agenouiller. La jeune femme se retrouva alors encerclée par une demi-douzaine de bites déjà tendues.



Elle commença alors à pomper les bites avec avidité, passant de l'une à l'autre, branlant avec ses mains deux autres racailles.



Les plus impatients ou les plus pervers l'attrapaient par ses cheveux pour imprimer eux-mêmes le mouvement de ses lèvres sur leur bite.



Après quelques minutes de ce traitement, les lascars ne tardèrent pas à commencer à décharger leur foutre. Certains lâchèrent leur semence sur les seins de Fionaa, d'autres l'obligèrent à avaler leur sperme.



A la fin, le spectacle était saisissant: Fionaa agenouillée dans l'entrée de l'immeuble, laissait voir ses seins maculés de sperme, de sa bouche s'échappant quelques filets de foutre.



Mais les racailles ne comptaient pas en rester là. Une foule de mains caressa le corps de la jeune femme, palpant ses seins, s'insinuant sous sa jupe, tirant sur sa culotte. Ces types étaient visiblement décidés à lui en faire voir de toutes les couleurs. Mais en même temps, elle était un peu venue là pour ça.



Comme s'ils faisaient ça tous les jours, les mecs passèrent à l'action avec une précision et une entente parfaite.



Elle fut allongée sans ménagement sur la table, un lascar enfourna tout de suite sa bite dans son vagin, un autre lui introduit son sexe dans la bouche et un troisième dans son cul.



Le spectacle de cette jeune femme blanche et blonde se faisant défoncer par une horde de racailles décuplait l'excitation de ceux qui attendaient impatiemment leur tour assis sur les canapés.



Les premiers ne tardèrent pas à jouir, et comme ils l'avaient promis ils se vidèrent dans les orifices de la jeune femme.



D'autres déjà se présentaient, sexe à la main, pour avoir leur part de chatte blanche. Un des mecs s'allongea sur la table à la place de Fionaa et la fit s'empaler sur son mandrin.



Un autre s'enfonça dans son anus et un dernier prit possession de sa bouche.



Très excités par la possession d'une bombasse pareille qui se laissait faire et jouissait de leurs coups de boutoir, les trois types labourèrent Fionaa comme des malades, la faisant crier de plaisir, cris étouffés par la belle bite qui lui bâillonnait la bouche.



Les trois racailles eurent tôt fait de cracher leur foutre dans les orifices.



La fête n'était pas finie. Elle se mit à genoux et commença à sucer tour à tour les trois types qui étaient assis sur le canapé. Cette position laissait voir sa croupe, qui ne manqua pas d'exciter un des voyous qui s'empressa de glisser son dard dans la fente de la jeune femme.



Au petit jour, le spectacle de la cave était tout bonnement apocalyptique. Fionaa était étendue sur le canapé, du sperme coulant de sa bouche, de sa chatte, de son anus et sur ses seins.



Après s'être habillée, elle remonta prestement, escortée parles jeunes, jusqu'à sa voiture. En roulant vers son domicile, elle se dit qu'elle allait peut être devenir une habituée de la cave.



Fionaa appréciait sentir le sperme de ses nouveaux amis blacks.



Et, elle avait pris du plaisir.


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Lisa story et les fantasmes - 6

Marie se préparait pour sortir, ce soir elle allait au restaurant avec ses collègues. Benoit, son mari, une fois de plus était en déplacement, en effet, avec son travail de consultant en informatique, il réalisait souvent des missions assez longues chez des clients dans toute la France. Marie avait finie par s'accommoder de cette situation, et c'est souvent qu'elle sortait avec ses collègues Chloé et Lisa . Elles travaillent toutes les trois au service comptabilité d'un groupe français d'agro-alimentaire et ont à peu près le même âge.



Lisa a la trentaine, vit en concubinage avec Simon.



Brune, plutôt grande est élancée, 1m75 pour 58 kg.



Elle a un corps à faire tomber les hommes et rendre jalouse les autres femmes.



Elle s'habille souvent classique mais chic, tailleurs cintrés, pantalons en toile près du corps.



Ces sorties hebdomadaires lui permettent un peu de s'échapper du train-train quotidien.



Elle est jolie et sensuelle.



Chloé a un peu moins que la trentaine, elle est encore célibataire, elle est également brune et un peu plus petite que Florence mais avec des formes plus généreuses.



Elle se contente pour l'instant de papillonner ici et là, parfois avec des hommes noirs.



Il lui arrive parfois de raconter ses aventures à ses collègues, ce qui a souvent pour effet de gêner la prude Marie et au contraire d'émoustiller Lisa.



Marie quant à elle va bientôt avoir 26 ans.



Elle mesure cent soixante cinq centimètres.



Elle est blonde assez mince et avec une jolie petite poitrine.



Avec son mari Benoit, ils n'ont pas encore d'enfants.



Marie ne sent pas encore prête pour assumer le rôle de mère, de plus les fréquents déplacements ce Benoit ne l'incitent pas non plus à franchir le pas.

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Marie finissait donc se préparer pour sa sortie du jeudi soir, on était en plein mois de septembre, il faisait encore assez doux.



Elle avait choisi de mettre une petite jupe bleue assez légère.



Elle lui arrivait au dessus du genou.



Elle portait aussi un haut bleu.



Elle portait également un joli petit string noir.



Elle avait longuement hésité entre un collant et une paire de bas.



Elle avait finalement opté pour les bas.



Ce soir elle avait envie de se sentir belle et désirable.



Une fois au restaurant, elles passèrent, comme d'habitude, la soirée à refaire le monde. Tout le monde y passa, les hommes, le boulot, les collègues, mais une fois de plus, leur chef de service occupa une place de choix parmi ces discussions. Il devait avoir une quarantaine d'années, petit, un peu enrobé avec un physique banal. Mais c'est surtout son regard et ses attitudes qui dérangeaient les filles, il était notamment très tactile.



Quand il allait voir une de ses collaboratrices, il ne pouvait s'empêcher de la toucher.



C'était souvent innocent, comme une main sur l'épaule, mais c'était systématique.



Il avait également tendance à reluquer les jambes de ces dames.



Surtout quand celles ci portaient des jupes.



Le directeur aimait que les femmes portent des jupes.



Il souhaitait qu'elles mettent leurs atouts en valeur.



Souvent son regard avait une fâcheuse tendance à plonger dans les décolletés.



Ses collaboratrices et notamment Marie, étaient désirables.



Au restaurant, Lisa apostropha Marie :
" Dis donc Marie, t'es es toute pimpante ce soir.



Ce n'est pas souvent qu'on te voit en jupe.



- Oh merci du compliment.



Mais c'est sur que ce n'est pas au travail que tu me verras avec une jupe, sauf quand notre directeur, Monsieur Albert est en congés ou en déplacement.



Et puis ce soir, je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie de me faire belle.



Chloé continua la discussion :
- Monsieur Albert, quel gros dégueulasse celui là, l'autre jour en faisant le point sur les impayés, il est venu à coté de moi et comme d'habitude, il n'a pas pu s'empêcher de mettre la main sur l'épaule.



- Vous comprenez pourquoi je me mets rarement en jupe quand il est là.



Avec ses mains baladeuses et son regard vicelard;



Cela ne me tente pas vraiment.



Chloé reprit :
- Moi aussi j'ai bien vu son petit manège, mais moi, je fais tout le provoquer.



Lisa continua :
- Et bien dis donc tu n'as pas froid aux yeux toi. Moi je ne m'y risquerai pas, mais tu fais quoi pour l'allumer ?



- Et bien souvent quand je suis en jupe, je mets une paire de bas.



Et je sais que dès que je recule ma chaise d'un mètre il a une vue imparable sur ses jambes.



Je lui donne la matière à regarder.



Marie était stupéfaite :
- Mais tu es folle, il va croire que tu le dragues.
- Mais ne t'inquiètes pas, je fais ça de manière discrète, je lui fais croire que c'est involontaire.



En fait j'ai une technique, je recule ma chaise d'un bon mètre, je me tourne un peu sur la droite et je me penche pour faire sembler de chercher quelque chose dans mon sac qui est à terre.



Quand je fais ça, ma jupe a tendance à remonter;



Il peut alors constater que je porte des bas.



Parfois, il voit même la couleur de ma culotte.



Cela ne dure que 5-6 secondes, mais je suis certain qu'il en prend plein les yeux.



Lisa reprit :
- Et bien dis donc, je ne vais plus jamais oser prendre quelque chose dans mon sac.



Chloé conclua :
- En plus quand je lui fais le coup, il devient tout rouge et peu de temps après il quitte son bureau pour aller aux toilettes.



Je suis sur qu'il va soulager en se faisant une petite branlette."



Sur ce commentaire, les trois jeunes filles éclatèrent de rire, la soirée se poursuivit et au moment de quitter le restaurant pour aller prendre un verre dans un pub juste à coté, Lisa leur fit faux bond.



" Pour le dernier verre, ce sera sans moi les filles.



Je suis fatiguée.



Je ne me sens pas très bien.



Marie aussi signifia à ses deux copines :
- Bon bah tant pis, et puis moi aussi je suis un peu fatiguée.



Je crois que je vais rentrer également, tu ne nous en veux pas Chloé ?



- Non ce n'est pas grave, vous pouvez rentrer. Comme ça en plus vous ne me ferez pas concurrence ce soir.



Je vais essayer de me dégotter un mec pour la soirée.



Marie reprit :
- Décidément, tu es incorrigible



Lisa aussi y alla de son commentaire :
- Bon et bien amuses toi bien.



Je compte sur toi pour nous dire si la pèche a été bonne".



Sur ce, Lisa et Marie rentrèrent respectivement chez elles.



Tandis que Chloé les quittait pour se mettre en chasse.



La chasse avait été bonne pour Chloé qui était tombé sur votre narrateur.



Cette fille était assez mignonne.



Plutôt mince



Un joli petit cul.



Une petite poitrine.



Après quelques minutes, nous sommes arrivés chez elle. Après avoir ranger la voiture dans le garage, nous sommes rentrés dans la maison. Elle était somptueuse.



Les meubles étaient très classes.



Nous nous sommes rendus dans sa chambre.



Elle était joliment rangée et aménagée.



Elle a commencé à se déshabiller.



Elle a défait un à un les boutons de son chemisier.



Elle se découvrait maintenant en dessous devant moi.



Celui ci laissaient deviner la pointe de ses seins.



Sa culotte très échancrée confirma l'esthétisme de ses fesses que laissaient déjà entrevoir ses jupes ajustées.



Sans montrer la moindre gêne, elle a enlevé son soutien gorge.



Elle découvrait une poitrine qui, bien que petite, était très bien
dessinée.



Ses seins semblaient fermes avec les pointes qui se dressaient de façon légèrement arrogante. Elle enleva alors sa jupe.



Le spectacle auquel j'assistais ne me laissait pas indifférent. Il provoqua un début d'érection.



Elle enleva alors le dernier rempart de sa pudeur en faisant glisser sensuellement sa culotte à ses pieds.



Cette fille était réellement canon.



Ses fesses se confirmaient être superbes quant à son pubis, il laissait apparaître des lèvres dégagées et magnifiquement bien dessinées. Elle devait se raser de façon à ne laisser qu'un minimum de poils sur son pubis.



J'ai alors enlevé mon pull. Je continuais tout aussi lentement à défaire les boutons de ma chemise. Elle me regardait maintenant attentivement sans faire semblant de détourner son regard. J'étais torse nu. Je retirais mes chaussures, puis je m'attaquais au bouton de mon jean. Je fis donc glisser mon slip le long de mes jambes lui laissant découvrir ma queue molle ainsi que mes fesses. Elle trouvait mes fesses bien faites.



Je la sentais intrigué. Elle prit ma queue en main et commença une masturbation lente et agréable.



Ma bite prit immédiatement sa taille maximum.



Elle me donnait un plaisir fou avec ses caresses douces mais énergique à la fois. Ses longs doigts entourés entièrement ma queue.



Elle se mit à genou devant moi et prit ma queue dans sa bouche. Elle entama une magistrale fellation.



Comme à mon habitude, je serais pas long à venir, ce dont je l'ai informé :
"Tu devrais t'arrêter car je ne résisterai pas encore longtemps à ce que tu me fais.



- Je te l'ai dit, j'ai l'intention de finir ce que j'ai commencé. Je n'ai pas pour habitude d'exciter un mec et de le laisser en rade.



Je ne suis pas une salope.



Elle a alors repris de plus belle.



Ce qui devait arriver, arriva, ! Je l'ai gratifié de cinq à six giclées de sperme dont l'abondance a semblé la surprendre dans un premier temps.



Elle a malgré tout avalé la totalité sans en laisser tomber une goutte.



Elle me surprit encore :

- Je n'aurais jamais cru que tu me laisserais éjaculer dans ta bouche et qu'en plus tu avalerais tout.
- Je le fais systématiquement. J'adore le sperme et je trouve dommage de le laisser perdre.



- M'autorises tu à te rendre la pareille.
- J'y compte bien.
Elle s'est alors installée sur son lit et a écarté largement les jambes de sorte que je puisse avoir accès à son sexe.



J'ai aussitôt placé ma bouche au niveau de ses lèvres.



J'ai commencé à lui lécher le sexe passant ma langue autour, sur ses lèvres puis sur le clitoris qui commençait à pointer.



Je me suis alors consacrer à lui, le léchant abondamment, le suçant.



Du liquide commençait à s'échapper de manière abondante de son sexe.



Son goût était très agréable.



Je sentais à sa respiration s'accélérer de plus en plus signifiant que son plaisir était intense.



Elle se contracta resserrant les cuisses sur mon visage presque violemment atteignant l'orgasme.



Pour me signifier son plaisir, elle s'est mise à passer sa main dans mes
cheveux avec douceur.



Elle a prit alors ma main m'attirant vers elle. Nous étions maintenant couchés tous les deux l'un à côté de l'autre. Elle me serra dans les bras et nos lèvres se sont jointes.



Nous sommes partis dans un baiser langoureux mêlant nos langues.



J'ai alors rapproché mon bassin du sien plaçant ainsi mon pénis redevenu dur à l'entrée de sa caverne.



Avec deux doigts, elle a prit mon sexe et l'a conduit dans son vagin encore tout lubrifié.



Je suis parti dans des mouvements de va et vient lents et amples faisant presque sortir ma queue de sa chatte à chaque mouvement de recul.



Quelle joie ! Quel plaisir ! Visiblement pour elle aussi.



Je ne souhaitais pas qu'elle ait l'orgasme tout de suite.



Je me suis donc retiré et je lui ai proposé de la prendre en levrette.



Elle accepta immédiatement. Elle se plaça à quatre pattes devant moi. Je me suis alors placé derrière elle approchant ma queue de son sexe tout ouvert.



Je repris immédiatement mes mouvements de va et vient.



Comme tout à l'heure, elle se crispa serrant au maximum son sexe sur ma bite.



Elle parvint à nouveau à l'orgasme.



Elle s'écroula sur le ventre visiblement fatiguée par ce nouvel assaut.



Je me suis alors allongé à côté d'elle également à plat ventre. Tout en lui déposant des petits baisers sur les épaules et sur le dos, je lui caressais les fesses. Ma main s'approchait de plus en plus de l'objet de mes convoitises à savoir sa rosette.



Insérant ma main entre ses cuisses, je lubrifiais mes doigts en profitant des sécrétions qui coulaient encore de son vagin. J'ai alors placé un doigt à l'entrée de son anus.



Elle s'est crispée immédiatement. J'ai insisté un peu mais en douceur. Elle m'a laissé faire. J'ai introduit lentement mon majeur dans son petit trou. Elle y prenait visiblement du plaisir puisqu'elle avançait légèrement ses fesses pour forcer la pénétration. Je l'ai massé comme cela pendant quelques minutes, passant de un à deux doigts.



J'ai alors avancé mon bassin de ses fesses positionnant ma queue contre son anus.



Je lui ai alors demandé de se mettre à califourchon sur ma tête de façon à ce que je puisse attendre son anus. Je me suis mis à lécher abondamment sa rosette.



Ses gémissements montraient qu'elle prenait visiblement un grand plaisir. Il en était de même pour moi.



Sa caverne s'ouvrait lentement sous mes assauts. Je faisais pénétrer ma langue dans son petit trou. Le goût était plutôt agréable. Son plaisir semblait s'accroître à en croire les soupirs qui s'échappaient de sa bouche. J'y déposais toute la salive possible de façon à lubrifier au maximum son anus.



Je lui ai alors demandé de venir s'asseoir sur ma queue après qu'elle y ait déposé, elle aussi une bonne quantité de salive. Elle s'est donc placée face à moi, à écarter ses fesses de ses deux mains et est venue s'installer lentement sur mon membre en érection que je tenais fermement de ma main.



C'est sans mal qu'elle est descendue sur ma queue jusqu'à pénétration totale.



Elle m'a dit que le bonheur était intense et qu'elle n'aurait jamais cru 'on pouvait ressentir un tel plaisir avec une pénétration anale.



Elle s'est alors agitée dans d'amples et lents mouvements de va et vient sur ma bite.



Après quelques minutes, j'ai eu envie de changer de position. Je lui ai demandé de se lever et de venir s'allonger sur le lit à ma place. Elle s'est positionnée au bord du lit. J'ai alors pris ses jambes que j'ai relevées pour les placer sur son ventre, me permettant ainsi d'avoir un large accès à son petit trou.



Je l'ai de nouveau sodomisée pendant quelques minutes avant de me retirer lorsque j'ai senti l'éjaculation proche.



Reprenant ma queue en main, je lui ai expédié cinq à six giclées de sperme qui ont atterri sur son visage, sur ses seins, sur son ventre puis sur son pubis.



Elle s'est alors massée les seins puis le clitoris étalant ainsi ma semence et la faisant pénétrer dans son vagin.



Nous n'allions pas nous arrêter en si bon chemin.



J'ai approché mon sexe toujours en érection de son vagin largement ouvert.



Je l'ai pénétré d'un seul coup reprenant des va et vient vigoureux.



Le plaisir renaissait chez elle comme pour moi.



Je n'aurai peut être plus jamais l'occasion de faire l'amour avec une aussi jolie fille, il fallait que j'en profite.



Nous avons à nouveau échangé nos positions. Je me suis donc allongé sur le
lit et elle est venue s'asseoir sur moi faisant pénétrer ma queue dans son
vagin.



Nous avons poursuivi pendant près d'un quart d'heure ne nous lassant ni l'un ni l'autre. Son orgasme est arrivé presque soudainement la conduisant cette fois encore à se contracter sur mon sexe déclenchant mon propre orgasme.



J'ai lâché encore de nombreux jets mais cette fond au fond de son vagin.



Elle s'est écroulée sur moi



Je crois que j'avais passé des moments que j'aurai du mal à oublier.