Jeux de rôles

Militaire (1ère partie) : mon recrutement (publié par Chloe23 le 06-10-2016)
Militaire (2ème partie) : prisonnière! (publié par Chloe23 le 06-10-2016)
Militaire (3ème partie) : prisonnière ! (publié par Chloe23 le 04-11-2016)


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Jeux de rôles
Militaire (1ère partie): mon recrutement


J'avais rencontré Sharon, une jeune femme blonde, d'origine américaine, dans le bar où j'allais régulièrement boire un verre ou grignoter une salade. Comme moi, elle aimait porter de temps en temps des tenues sexy, et en particulier des hauts décolletés laissant apercevoir ses seins nus.



Nous avions engagé la conversation, et notre goût pour l'exhib nous avait rapprochées. Elle ne travaillait pas, et elle vivait en couple avec Léo, un architecte d'une trentaine d'années. En dehors de cela, elle était toujours restée assez discrète sur sa vie privée.

Jusqu'au jour où je la trouvai, assise à une table dans un coin du bar, avec Léo. Avec un grand sourire, elle me fit signe de les rejoindre à leur table, et elle fit les présentations. J'avoue que je trouvais l'homme très sexy...



Après avoir échangé quelques banalités, elle me fit une proposition.

- Nous participons régulièrement tous les deux à des jeux de rôles, organisés par un riche client de Léo. Il est propriétaire d'un manoir qu'il compte restaurer, avec d'immenses terrains tout autour, un vieux corps de ferme, plusieurs dépendances. Nous y jouons à la guerre : un commando de femmes contre un groupe d'hommes, et nous disposons de tout un matériel militaire et d'uniformes. C'est le prétexte pour nous livrer à un tas de jeux sexuels, mais je ne pense pas que ça te fasse peur !
- Ce serait plutôt excitant, répondis-je, avec une lueur dans le regard.
- A vrai dire, ça ne m'étonne pas !, reprit-elle en riant, et en me montrant sur son smartphone une photo d'elle, prise lors d'une récente séance.



- Et tu serais libre, le week-end prochain ?, me demanda Léo.
- Sans problème. Ce sera avec plaisir, lui répondis-je, toute émoustillée par la perspective de cette expérience inédite pour moi.
- Alors, nous passons te prendre chez toi, vendredi après-midi.

Je lui donnai mon adresse, et nous nous mîmes d'accord sur l'horaire et sur quelques détails. C'était un sentiment étrange : j'étais en même temps un peu inquiète, et très impatiente de savoir ce que ce week-end allait me réserver.

Le vendredi arriva enfin, et le couple vint me chercher, exactement à l'heure convenue. Léo conduisait en superbe 4X4, et il nous fallut près d'une heure pour arriver à la propriété de son client. Le portail était sécurisé par un système de vidéosurveillance, et il s'ouvrit à notre approche. Un long chemin bordé d'arbres menait ensuite à un vieux manoir et à un ensemble de bâtiments, en cours de rénovation.

Un couple était en train de siroter un cocktail sur la terrasse. Léo me précisa que c'était Alexandre, le propriétaire, et Natacha, sa compagne, et il fit les présentations.



C'est à peine s'ils me prêtèrent attention, et Sharon m'entraîna rapidement vers un bâtiment.

- Tu vas commencer par passer la visite d'incorporation dans le commando. Ensuite, tu rejoindras ton unité dans un dortoir, et tu auras droit à un repas avant d'aller dormir. On se lèvera tôt demain matin !
- On ne sera pas ensemble ?
- Non, les nouvelles recrues sont séparées des personnes qu'elles connaissent. Et je ne serai pas non plus avec Léo, qui est déjà parti pour retrouver son groupe, à l'autre bout du domaine.

Je commençai à flipper, mais Sharon ne me laissa pas le temps de réfléchir. Elle me poussa vers une dépendance dans laquelle un bureau était aménagé.

- Lieutenant, je t'amène Chloé, une nouvelle recrue, lança-t-elle à une femme blonde en uniforme, jolie mais l'air peu avenant, et elle s'éclipsa aussitôt.
- Montre-moi tes papiers, me demanda la militaire sur un ton sec. Je dois vérifier que tu es majeure.



Elle examina mon passeport sous toutes les coutures, avant de m'ordonner :

- Déshabille-toi entièrement, tu dois te soumettre à un examen physique, et à un test, avant d'être intégrée au commando, et d'être autorisée à participer au combat.

Je trouvais finalement la situation amusante. Je rentrai dans le jeu, et je commençai à me dévêtir.



Ingrid, mon examinatrice m'observait avec un regard froid, un peu comme un médecin, mais je sentais, dans ses yeux, une lueur plus érotique, surtout lorsque j'enlevai ma culotte, dévoilant ma chatte épilée.



- Mets-toi debout, que je puisse voir ça de plus près, me commanda-t-elle, lorsque je fus entièrement nue.

Elle se leva elle aussi, et commença à me palper, cherchant à évaluer la fermeté de mon corps et de mes muscles. Elle insistait adroitement sur des zones érogènes, et ma poitrine commença à durcir.

- Tes seins sont naturellement fermes, mais j'ai l'impression que ça t'excite de te faire toucher, me fit-elle remarquer. Tes pointes ne se dressaient pas comme ça avant.



Je me gardai de répondre, et elle poursuivit son examen.

- Allonge-toi maintenant, me dit-elle, et je m'exécutai.

Me sentir dirigée ainsi faisait naître en moi une excitation nouvelle, et les pointes de mes seins saillaient encore plus, dirigées vers le plafond.

- Écarte les cuisses, que je vérifie si ta chatte est bonne pour le service. C'est l'arme principale d'une combattante.

Je posai mes pieds sur le bord de la table d'examen, et j'écartai mes petites lèvres. Je sentis ses mains découvrir ma fente.



- Bien. Maintenant, nous allons procéder au test. Mets-toi à genoux, je vais faire venir mon assistante.

Pendant que je m'installais, Ingrid ouvrit une porte donnant sur un autre bureau, et appela :

- Sergent ! Viens par ici, on a une nouvelle recrue à évaluer !

Une jolie brune, aux cheveux longs, entra dans la pièce, et salua sa supérieure. Elle était en uniforme, mais je remarquai tout de suite sa veste ouverte sur ses seins nus.



- Regarde, dit la lieutenant à sa subordonnée. Tu as vu ce cul ? J'ai l'impression qu'elle sait s'en servir, mais tu vas vérifier qu'elle est suffisamment résistante pour faire face aux assauts de nos adversaires.

Tout en parlant, elle écartait mes fesses, pour montrer ma fente et mon petit trou.



- Notre sergent est passée maître dans l'art de se servir d'un gode ceinture, m'expliqua-t-elle. Elle va te faire l'amour le plus longtemps possible, jusqu'à ce que tu demandes grâce. Sache que, si tu es faite prisonnière par les hommes, c'est ce qui t'attend !

Nous étions entrées dans une autre pièce, dans laquelle se trouvait un lit et un canapé. Pendant qu'elle me parlait, son assistante - elle se prénommait Katia - se mettait nue, avec un sourire gourmand. Manifestement, elle prenait du plaisir à remplir sa mission avec moi !



Je regardais, incrédule, le gode qu'elle fixait autour de sa taille. C'était un engin impressionnant, d'une longueur incroyable.

- Ca t'excite, de prendre ça dans ta chatte ?, me demanda Katia.
- Je me demande surtout si je vais pouvoir l'accueillir, répondis-je en m'allongeant sur le lit, et en empoignant la longue tige, fabriquée dans une sorte de résine à la fois souple sous mes doigts, et très rigide.



Je m'appliquais à enduire de salive l'extrémité du gode, mais Katia vint à mon secours.

- Allons, je ne vais pas te pénétrer sans préparation. Je n'ai pas envie de te faire trop souffrir. Allonge-toi !

Je compris tout de suite ce qu'elle avait en tête. Je m'allongeai, en écartant les jambes, et elle plongea sa tête entre mes cuisses. Je sentis aussitôt sa bouche et ses doigts s'emparer de ma chatte, l'explorer, l'exciter. Elle écartelait mes petites lèvres, pour lécher mon petit bouton, et accéder à ma fente.



- C'est qu'elle doit aimer ça !, fit Katia à sa supérieure. Sa moule est déjà toute trempée, et ne demande qu'à s'ouvrir.
- Parfait, répondit Ingrid. Maintenant, vas-y ! On va voir combien de temps elle tient - et elle déclencha un chronomètre.

Katia m'allongea sur un canapé, les reins sur l'accoudoir pour mieux accéder à ma fente. Pour m'empêcher de réagir, elle me lia les poignets, puis je vis le gode avancer entre mes cuisses, et je le sentis pousser entre mes petites lèvres pour les écarter.

Je me mordais les doigts pour ne pas crier, quand il s'enfonça en moi. Il était vraiment énorme, mais ces préliminaires inhabituels m'avaient excitée.



- Waouh !, commenta Katia, elle doit vraiment aimer la baise : j'ai rarement pu pénétrer aussi facilement une nana avec ce truc... Et regarde, elle commence déjà à gémir de plaisir.

En effet, je ne cherchais même pas à m'en cacher : me faire pilonner l'abricot par Katia et son superbe gode me procurait des sensations indicibles.

- Détachez-moi les mains, je vous en supplie, demandai-je aux deux femmes.

Ingrid me détacha, et je ne sais trop comment, je me retrouvai sur un meuble, pendant que Katia continuait de défoncer mon minou, et que j'astiquais mon clito.



Malgré mon état d'excitation, je pris conscience que j'étais évaluée sur ma résistance. Il fallait donc que je me contrôle, et que je fasse durer le plaisir le plus longtemps possible. Un peu comme l'aurait fait un mec lorsqu'il se retient d'éjaculer, j'essayais de penser à autre chose lorsque je sentais l'orgasme monter.

Ingrid surveillait son chrono, surprise de ma résistance, et Katia changea de position. Elle s'assit, et me fit venir sur elle. Elle n'eut même pas à me guider: de moi-même, je vins m'empaler sur le gode dressé comme un mât.



Je poussai un cri lorsque l'engin s'enfonça au plus profond de mon ventre. C'était trop bon: je m'abandonnai à la vague qui montait doucement au creux de mon ventre, et je me mis à me soulever et me laisser retomber, frénétiquement, sur l'énorme olisbos. Je ne pensais plus qu'à mon plaisir, et la jouissance me tétanisa, m'arrachant un long cri aigu.

- Tu en as assez?, me demanda Ingrid.
- Oh non, j'ai encore envie de sentir ce gros truc dans ma chatte.
- Compte sur moi, petite salope, répliqua aussitôt Katia.

Elle m'empoigna, m'agenouilla sur un canapé, et me colla contre le mur. Je compris immédiatement ce qu'elle avait en tête, et je me cambrai. Et elle s'enfonça de nouveau en moi, d'un grand coup de reins.



Mon premier orgasme m'avait un peu calmée, et j'avais repris le contrôle de mon plaisir. Je le laissai monter de nouveau, ponctuant mes sensations de feulements plus ou moins sauvages, mais je parvenais à me retenir.

- Elle se retient de jouir, ça se voit, remarqua Ingrid. Essaie de l'enculer, on verra bien comment elle réagit.

Katia me jeta littéralement sur un autre canapé, à genoux, et elle saisit un vibromasseur qu'ingrid lui tendait, pour me préparer. Elle lubrifia sommairement ma rosette, déjà luisante de la cyprine qui coulait de ma grotte, et commença à forcer l'entrée de mon petit cul. A sa grande surprise, je ne manifestai aucune réticence, et j'écartais au contraire mes fesses pour faciliter la pénétration, tout en caressant mon petit bouton.



- Ele est prête, vas-y! ordonna Ingrid.

Katia exécuta aussitôt l'ordre de sa supérieure, avec zèle. Elle se plaça derrière moi, et enfonça la longue tige épaisse dans mon anus, sans brutalité, mais avec force.



Je poussai un long hurlement, qui laissait planer le doute: était-ce une plainte, ou un cri de plaisir? Mais Katia n'en avait plus rien à faire, et commençait à aller et venir au plus profond de mon ventre, chaque mouvement provoquant une sorte de décharge électrique dans l'entrée inervée de mon étroit fourreau.

Bientôt, mes gémissements ne laissèrent plus de place au doute: j'étais en train de prendre un pied d'enfer...

- Elle ne va jamais se calmer, s'écria Ingrid. Il va falloir que l'on s'y mette à deux!

En levant la tête, je vis qu'elle était en train de se déshabiller.



Elle avait un corps vraiment superbe. Sa vue, et imaginer ce qui m'attendait, m'excitaient tant qu'un orgasme violent, imprévisible, me surprit.

J'étais là, haletante, tandis que Katia continuait de défoncer mon anus. Pendant ce temps, Ingrid avait installé autour de sa taille un autre gode ceinture, d'un diamètre impressionnant.



- Tu as envie de goûter à celui-ci? me demanda-t-elle, en me montrant la tige sombre dressée sur son bas ventre.
- Oh oui, répondis-je d'une voix assourdie, je ne suis pas encore rassasiée.
- Laisse-la moi un moment, Katia, et récupère un peu. On la finira toutes les deux ensemble.

Katia était, elle aussi, essoufflée et commençait à être fatiguée de dépenser tant d'énergie pour me faire jouir. Elle m'abandonna, et Ingrid me plaqua contre un meuble bas. Elle m'embrassa à pleine bouche, sauvagement, et souleva une de mes cuisses. Mes fesses étaient calées sur le meuble, sur lequel je devais prendre appui pour ne pas perdre l'équilibre. Elle plia un peu les genoux, et me pénétra en se relevant.



Elle me fit l'amour longtemps, dans cette position. Heureusement, j'avais un peu repris mes esprits, et je me contrôlais de nouveau.

Ingrid me procurait des sensations délicieuses, que je savourais, tout en me retenant pour ne pas jouir. Ma résistance exacerbait son désir, et elle me jeta sur le lit. Elle vint sur moi, et je sentis le gode perforer de nouveau ma fente dégoulinante de cyprine, pendant que ses lèvres s'écrasaient sur les miennes.



Elle aimait manifestement m'embrasser, et s'y prenait très bien. Sa langue jouait avec la mienne, sa salive parfumée coulait doucement entre mes lèvres.

- Tu aimes ce qu'on te fait, hein, petite salope? me demanda-t-elle d'une voix rauque.
- Oui, oui, c'est bon, avouai-je.
- Tu es lesbienne, ou tu es aussi chienne que ça avec les mecs?
- J'aime autant les hommes que les femmes, je suis bi, vraiment.
- Attends, on va changer de position, me dit-elle.

Elle s'allongea sur le lit, et me fit venir sur elle. Elle écartait mes fesses, tout en suçant les pointes dardées de mes seins, et elle n'eut même pas à me guider pour que je vienne m'emmancher sur son gode.



Je m'empalai franchement, en feulant, jusqu'à ce je sente la ceinture en cuir toucher mon clito gonflé, et je commençai à me soulever, en appui sur mes bras et sur mes jambes, pour faire coulisser ma chatte sur le faux pénis. Je me laissais retomber lourdement, pour mieux recommencer, mais au bout de quelques instants, des mains se posèrent sur mon petit cul.

C'était Katia qui, en pleine forme, revenait à l'assaut. Ses intentions étaient évidentes, et je me cambrai. Alors, je sentis l'extrémité de son gode glisser dans la raie de mes fesses, pour s'introduire de nouveau dans ma rondelle.



A partir de ce moment, je ne sais plus exactement ce qui s'est passé. Les deux femmes se sont déchainées, et je n'étais plus qu'un jouet entre leurs mains.

Si je m'étais déjà fait prendre en sandwich par des hommes, je découvrais un nouveau plaisir, de nouvelles sensations sous les assauts d'Ingrid et de Katia. La dureté et la résistance des godes dépassaient tout ce que deux mecs, même endurants, m'avaient apporté jusqu'à présent.



Je me souviens d'avoir eu plusieurs orgasmes, criant et pleurant sous l'intensité de la jouissance. Les deux femmes ont échangé leurs positions, chacune investissant alternativement mon petit trou et ma grotte, jusqu'à ce que je sois incapable d'arriver à de nouvelles extases.

- Je vous en prie... Je n'en peux plus, suppliai-je.

Mes orifices brûlants étaient maintenant douloureux.

Katia eut pitié de moi, mais Ingrid me sodomisa encore un moment, jusqu'à ce qu'elle jouisse aussi. J'essayais de réveiller mon désir en me caressant, mais en vain.



Enfin, elle se retira, et je me redressai un peu, courbaturée, épuisée.

- Pouvez-vous me dire si mon test est concluant?, demandai-je à Ingrid



- Bien sur! me répondit-elle avec un grand sourire. Cela fait longtemps que je n'ai pas vu une recrue de ton niveau. Allons, viens, on va te donner maintenant ton uniforme et ton équipement.

Ingrid me conduisit, toujours nue, jusqu'à une grande réserve, où on me distribua mon uniforme et tout mon équipement. J'enfilai un tee-shirt et un short, et elle m'emmena dans ma chambrée, dans laquelle un groupe de filles, toutes sexy, discutaient. Ingrid fit les présentations, avant de quiiter la pièce.

- Si j'en juge par tes yeux cernés, me lança en riant Laura, une de mes voisines de lit, tu viens de subir le test d'incorporation. C'était dur?
- Oh oui! répondis-je, mais ce n'était pas du tout désagréable. Et je leur fis le récit de ce que je venais de vivre.
- Tu dois avoir la chatte et le cul en feu, reprit Laura. Montre-nous ça.

J'enlevai mon boxer, et elles m'entourèrent toutes.

- Si tu veux, je peux calmer ton irritation, proposa Laura.

Je ne refusai pas, et elle se mit en devoir de lécher doucement mon minou. Sa langue était douce et fraîche, et je dois avouer que j'appréciais ses soins.



Toutes les filles défilaient à tour de rôle, pour regarder mes deux orifices encore dilatés et écarlates. Mais j'étais trop épuisée pour imaginer de me livrer à de nouveaux ébats ce soir, et je m'endormis très vite.
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Jeux de rôles
Militaire (2ème partie) : prisonnière!


Le lendemain matin, je fus réveillée par une musique militaire, diffusée par des haut-parleurs. J'avais bien récupéré de mon "test" de recrutement de la veille, même si je ressentais encore une légère irritation au niveau de mes petites lèvres et de mon anus, et je me demandais, avec une certaine excitation, quelles surprises me réservait cette journée.

Avec toutes les autres filles, nous avons avalé rapidement un petit-déjeuner, et nous avons revêtu nos tenues de combat.



Je m'étonnai un peu d'avoir un pantalon différent de ceux des autres filles, mais j'allais bientôt en comprendre la raison...

Nous avons retrouvé nos "officiers" dans la cour. C'était Natacha, la compagne du propriétaire, qui dirigeait l'ensemble du commando de femmes. Elle nous expliqua le but de l'opération de ce jour-là, et distribua les rôles.

Nous devions nous infiltrer dans les "lignes ennemies", repérer leurs positions et éventuellement mener des actions de harcèlement. Pour mieux les repérer, Natacha avait décidé d'utiliser l'une de nous comme appât, pour faire sortir les hommes de leurs cachettes. Ce rôle ingrat et dangereux était traditionnellement dévolu à la dernière recrue: c'était donc moi...

Avant de nous mettre en marche, je vis Sharon, qui était la chef de mon groupe. Sa tenue de combat était plutôt sexy!



Nous nous sommes engagées sur un chemin, et nous sommes arrivées rapidement sur un terrain accidenté et broussailleux. Nous nous sommes déployées, sous la surveillance de Natacha.

Elle était armée jusqu'aux dents, mais je remarquai surtout qu'elle avait enlevé sa veste, sous lequel elle portait un bikini kaki, surprenant pour une femme soldat.



Après de longues minutes d'une marche fatiguante, le commando a commencé à prendre position. Les autres filles se plaçaient à couvert, derrière des rochers ou sous des buissons.

- Chloé, tu vas suivre mes instructions, m'ordonna Sharon. Tu pars dans cette direction, tu marches jusqu'aux rochers là-bas, et tu te mets bien en évidence. Ensuite, tu te dénudes progressivement, pour attirer les gars d'en face. Avec ton physique, ça doit marcher, et nous sommes derrière toi pour te couvrir. Ne crains rien.

J'exécutai l'ordre de Sharon, et je montai sur un rocher.



J'entendis bientôt des bruits dans les fourrés, et Sharon me commanda de me coucher, en position de tir, pour que le piège ne soit pas trop grossier. Avant, je devais enlever mon tee-shirt, et enlever les pressions qui fermaient, par derrière, mon pantalon de treillis (j'avais été étonnée par cette forme lorsque je l'avais enfilé, mais j'en comprenais mieux maintenant le but...)



Mes fesses nues apparaissaient, et constituaient un appel pour nos ennemis.

Manifestement, ça ne suffisait pas: il n'y avait aucun mouvement particulier dans les buissons aux alentours. Sharon me commanda donc de me relever, pour être plus facilement repérable, et de découvrir ma poitrine. Je m'exécutai...



Mais, quelques minutes plus tard, nous en étions toujours au même point. Nouvel ordre de Sharon: sortir de derrière le rocher qui me cachait un peu, déposer mes armes, et baisser mon string.

Je commençais à être sérieusement excitée, et la fraîcheur de la brise matinale accentuait l'érection des pointes de mes petits seins.



Toujours rien, du côté des rangs ennemis. Sharon fit reculer les filles du commando, pensant que leur présence tout près de moi avait été repérée par les hommes, et les dissuadait de passer à l'attaque.

Lorsque la manoeuvre fut exécutée, en silence, quelques branchages bougèrent dans les fourrés, mais sans qu'une attaque se déclenche. Pour ne pas éveiller les soupçons par des ordres proférés à haute voix, Sharon me fit signe de l'imiter: elle dénuda ses superbes nichons, ôta son treillis et son string, et exhiba sa chatte.



C'était un véritable appel au viol! Mais j'avais, moi aussi, de plus en plus envie de découvrir nos adversaires masculins et ce qu'ils seraient susceptibles de me faire.

Je m'assis sur un rocher, fit sauter les attaches de mon string, et je commençai à enlever complétement mon treillis. Imaginer les types en face, qui bandaient en me matant... Comme toujours dans cette situation, une agréable sensation de chaleur envahit mon bas-ventre.



Mon taux d'adrénaline remontait sérieusement: la séance de sexe que m'avaient fait subir Ingrid et Katia la veille n'était plus qu'un hors d'oeuvre, et montrer mon minou avait le don d'exacerber ma libido.

C'est à ce moment qu'un groupe de mecs, plus nombreux que nous, nous attaqua. Ils n'étaient pas cachés là où nous le pensions, et ils bénéficièrent de l'effet de surprise pour nous encercler.

Les armes crépitaient, et nous étions prises dans un giganteque laser game. Paniqué, notre commando se replia pour se dégager. Sauf que... je me retrouvai isolée. J'abandonnai mon équipement, et je m'enfuis, nue, vers le bois voisin.



L'un des hommes me repéra et, après la fuite de Sharon et des autres filles, un petit groupe se lança à ma poursuite.

Je courrus longtemps, à perdre haleine, me perdant dans l'immense domaine. J'empruntai des chemins, je traversai des prairies et des bois, sans me rendre compte que je tournais en rond. Jusqu'à ce que je tombe au fond d'un grand trou...



Il s'agissait sans doute d'un endroit où un engin était venu prendre récemment de la terre, pour l'exécution de travaux. Je me retrouvai engluée dans la boue. J'essayais de remonter à la surface, mais je glissais à chaque fois dans la glaise et je retombais, incapable de me dégager.



J'entendis soudain du bruit au dessus de moi. Je tendis l'oreille: c'était des voix graves, sans doute nos ennemis.

Instinctivement, je me cachai dans un renfoncement, mais je fis tomber des pierres qui attirèrent l'attention de deux soldats. J'étais sidérée de découvrir qu'un des deux était une femme: sans doute une nana recrutée dans notre groupe, qui nous avait trahies. En s'approchant, ils me découvrirent nue, le corps souillé de terre.



Je n'avais plus rien pour me défendre. Il ne me restait plus qu'à me rendre, sans résistance.

Ils se jetèrent sur moi, m'empoignèrent, et me lièrent les bras. Sans ménagements, ils m'emmenèrent vers de vieux batiments, qui leur servaient manifestement de base militaire. Là, ils me permirent de me doucher, pour me débarrasser de la boue.



Puis ils m'attachèrent les poignets à une barre horizontale, dont chaque extrémité était équipée de bracelets en cuir. Je me retrouvai debout sur la pointe des pieds, les bras en l'air, incapable de faire le moindre mouvement.

- Tu fais partie du commando avec lequel nous nous battons?, me demanda l'homme. Si je ne me trompe pas, c'est toi qui t'es exhibée, pour tenter de nous attirer dans un guet-apens.
- Attends, puisqu'elle a le feu au cul, on va l'exciter un peu, ajouta la fille.

Elle alla chercher un vibro-masseur, qu'elle tendit à son complice, et il commença à le passer sur ma chatte, insistant sur mon clito.



Ils s'échangeaient le sextoy, et bientôt je sentis un plaisir trouble me gagner. Je ne pensais pas que de me trouver soumise et entravée m'exciterait à ce point. Ils m'amenèrent au bord de l'orgasme, mais le femme se ressaisit la première:

- Viens Fred, il faut qu'on rejoigne notre unité. Ils ont peut-être besoin de nous. Qu'est ce qu'on fait d'elle en attendant?
- On va l'attacher sur le lit, ça lui apprendra à essayer de nous pièger. Et on va tous s'occuper d'elle en rentrant, répondit l'autre soldat.

Ils me trainèrent jusqu'à un lit métalique, m'y installèrent, et me passérent une sorte de collier pour chien. Mes poignets étaient solidement liés à mes jambes, et je me retrouvai, la chatte et le cul offerts, dans une position très inconfortable.



Ils m'abandonnèrent là, longtemps. J'avais mal partout, la faim me gagnait, et je regrettais amèrement de m'être laissée entrainer dans cette aventure.

Au bout de deux heures, j'entendis des bruits de pas dans la pièce voisine, des conversations, puis des bruits de verres et de bouteilles. Manifestement, le groupe des hommes était sorti victorieux du combat.

- On les a bien eues! Elles espéraient nous avoir, avec la petite brune qui nous aguichait.
- Oui, et finalement c'est nous qui les avons piégées. J'ai adoré quand on les a toutes obligées à se foutre à poil et à nous sucer.
- Au fait, Fred, leur nouvelle petite brune, tu l'as amenée ici?
- Elle est à côté, on va s'occuper d'elle!

Ils vinrent tous m'admirer, nue, garrotée et exhibée comme un trophée. Puis,Fred me détacha, pour mon plus grand soulagement, me conduisit jusqu'à la table du groupe, et me fit asseoir dessus, au milieu des hommes.



Cette situation me convenait beaucoup mieux!

Mon corps était l'objet de commentaires plutôt flatteurs. Je me doutais de la suite des évènements, mais j'étais décidée à prendre les choses du bon côté.

Les ceintures tombèrent, les braguettes s'ouvrirent. Je me retrouvai devant une belle brochette de bites, déjà bien raides!

- Montre-nous comment tu suces, exigea l'un des types, et je fus immédiatement entourée par plusieurs autres.

Je commençais à les branler et prendre leurs queues dans ma bouche, chacun leur tour.



Elles étaient bien raides, je sentais sous mes doigts leurs couilles remplies de sperme. Ils avaient hate de me prendre, et je me retrouvai vite allongée sur un lit. Ils continuaient de m'entourer, d'offrir leurs glands à ma bouche, puis une langue experte se mit à fouiller très vite ma fente.



J'étais incapable de rester de glace bien longtemps en étant l'objet d'un tel traitement. Je commençais à gémir, et j'étais certaine que les quatre types qui étaient sur moi allaient bientôt me baiser. Mais deux autres voix masculines se firent entendre: c'étaient Alexandre, le propriétaire des lieux, et Léo, l'ami de Sharon, qui était manifestement le numéro deux de son "état-major".

- Qu'est qui se passe ici?, demanda Léo, d'un ton autoritaire. Je vous rappelle les règles: quand vous faites une prisonnière, elle doit d'abord être remise à vos supérieurs. Ce n'est qu'ensuite que vous pouvez en disposer.

Tous les hommes s'écartèrent, pendant que Léo et Alexandre enlevaient leurs uniformes.

Alexandre fut le premier à découvrir sa queue, que je trouvais vraiment à mon goût: longue et dure, d'une belle taille, bien raide... Je me dirigeai vers lui, m'agenouillai, et pris délicatement l'engin dans ma main. Je le branlai doucement, le fis languir un peu, avant de commencer à lécher le gland, en l'agaçant de petits coups de langue.



Il appréciait visiblement, les yeux mi-clos, la tête renversée en arrière, poussant de petits grognements de satisfaction. Jétais concentrée sur la fellation que je lui prodiguais, lorsque mon regard tomba sur le membre dressé de Léo, nu.



Je sursautai: c'était une des bites les plus grandioses que j'avais vues!

Je repensai un instant à ce qu'Ingrid et Katia m'avait fait subir la veille au soir, avec leurs godes ceintures. Elles n'avaient pas exagéré, quand elles me décrivaient ce qui m'attendait si j'étais faite prisonnière.

- Occupe-toi un peu de Léo, m'ordonna Alexandre. Il le mérite bien: c'est grâce à lui et à Sharon si tu es là.

Je me penchai vers Léo, pour prendre sa verge dans ma bouche. Le gland, à lui seul, la remplissait presque!



Je me dis que Sharon ne devait pas s'ennuyer... Mais je n'eus pas le temps de réfléchir davantage: Alexandre se rappela à mon bon souvenir.

Je me retrouvai entre les deux mâles, et surtout entre leurs deux tiges dardées. J'étais de plus en plus excitée, je sentais le désir monter en moi, impérieux, et je me mis à lécher, sucer, pomper les deux mats dressés devant moi.



J'avais à faire à des partenaires expérimentés et endurants. D'autres auraient éjaculé, sous les caresses buccales et manuelles que je leur prodiguais: j'aspirais leurs glands et les titillais avec ma langue, je malaxais leurs couilles, je mordillais leurs longues tiges... Mais pour eux, ce n'était que des préliminaires.

Lorsqu'ils trouvèrent que ceux-ci avaient assez duré, ils m'assirent sur le bord du lit, et m'écartérent les cuisses.

- A toi l'honneur, lança Léo à Alexandre, et celui-ci présenta sa bite entre mes petites lèvres, inondées de ma sève.



- Tu la veux, dans ta chatte? me demanda-t-il.
- Oh oui, allez-y, bien profond, m'entendis-je répondre d'une voix assourdie par le désir. Vite, je veux la sentir me pénétrer.


J'étais comme hypnotisée par la superbe verge, immobile à l'entrée de ma chatte. Chaque seconde d'attente me paraissait interminable...

A suivre!^ ---------oOo---------

Jeux de rôle
Militaire (3ème partie) : prisonnière !



Alexandre ne demandait pas mieux que de combler mes attentes! Lentement, il s'enfonça en moi, de plus en plus loin dans ma grotte humide, pendant que je savourais la tige de Léo en le regardant dans les yeux.



Depuis le temps que je suçais des mecs, sans me faire pénétrer, j'avais la chatte en feu. Je criais à chaque coup de reins d'Alexandre, et le gland de Léo s'échappait régulièrement de ma bouche, tant j'étais secouée par ses assauts.

- Je vais changer de position, décréta Alexandre, et tu vas lécher son petit bouton pendant que je la baise. Elle va aimer ça, on va la faire gueuler de plaisir!

Alexandre s'installa sur le canapé, et me fit venir sur lui. Il n'eut même pas besoin de me guider: j'avais trop envie de me faire pilonner l'abricot par son énorme bite. Je m'empalai sur lui en criant et, lorsque mes fesses touchèrent son ventre, Léo s'attaqua à mon clito.



Ton mon corps était tétanisé, mes petits seins étaient devenus durs comme du bois, et leurs pointes se dressaient fièrement.

De moi-même, je me soulevai pour mieux m'emmancher en me laissant retomber brutalement sur le dard qui me perforait. Et bientôt, j'eus un violent orgasme.

- A mon tour de la faire jouir, réclama Léo.

Alexandre, beau joueur, me prit par les hanches pour se retirer, et laisser la place à son ami. Il n'avait pas éjaculé, et je commençais à mesurer son endurance. J'allais devoir mieux me contrôler aussi, pour tenir à ce rythme.

Léo s'installa sur le canapé, et je vins le chevaucher à son tour. Je lui faisais face et il empoigna mes fesses pour me guider. Son gland se fraya facilement un chemin dans mon antre, et Alexandre me présenta sa bite pour que je la suce.



Ma chevauchée reprit, à un rythme endiablé, m'arrachant au bout de quelques instants des gémissements de plaisir, et retrouver sur la tige d'Alexandre les effluves de ma moule ajoutait au piquant de la situation.

Léo ne ménageait pas ses efforts, faisant grimper mes cris dans les aigus, mais je ne m'abandonnais pas à l'orgasme que je sentais prêt à venir.

- Tu ne sais pas la faire jouir, Léo?, lui demanda Alexandre, ironique.
- Je suis certain qu'elle est sur le point de prendre son pied, mais elle se retient, cette petite salope. Ingrid et Katia m'avaient bien dit que c'était un sacré tempérament, mais je sais coment m'y prendre: il paraît qu'elle adore se faire enculer.

Décidemment, les deux filles avaient tout raconté de mon test de la veille!

Léo me fit mettre à genoux. Je me cambrais au maximum pour lui présenter mes fesses, et il entreprit de lubrifier ma rondelle.



- Putain, elle n'attend que çà!... Tu veux ma queue dans ton petit cul?
- Oui, vas-y, avouai-je d'une voix sourde.
- Dis-le plus fort, Chloé, que tout le monde t'entende! renchérit Léo.
- Oui, oui, je la veux, j'ai envie de la sentir s'enfoncer dans mon petit trou. Vas-y.... Ouiii, vas-y!

Il ne fit pas les choses à moitié. Il monta sur le canapé, pour planter son dard dans mon anus amoureusement préparé.



Il plongea sa tige en moi, avec un mélange de force et de douceur. J'avais repris dans ma bouche la verge dressée d'Alexandre, qui étouffait mes plaintes.

Mes cris étaient suffisamment révélateurs de mon plaisir, et Léo accéléra le mouvement. Dans cette position, il pouvait pilonner mon cul tout en puissance, s'enfonçant jusqu'aux couilles entre mes fesses, et je remuais mes hanches pour l'exciter et mieux goûter cette pénétration.

Au bout de quelques minutes, je ne pus me retenir davantage de jouir, en hurlant. Pour ma plus grande satisfaction, Léo éjacula presque en même temps, inondant mon petit trou, et giclant sur mes reins et mes fesses en se retirant.



A peine m'avait-il abandonné, qu'Alexandre réclamait sa part. J'avoue que, malgré cet orgasme, je n'étais pas rassasiée, et je me demandai, pendant une fraction de seconde, si je n'étais pas nymphomane.

Mon nouveau partenaire ne me laissa guère de temps pour ces réflexions philosophiques! Sans que j'ai le temps de me nettoyer, il souleva ma cuisse, pour libérer l'accès à mon petit orifice, encore tout dilaté, et son énorme gland s'y engagea sans la moindre difficulté.



- Suce-moi, m'ordonna Léo. Tu n'en as pas fini avec moi.

Sentir ces deux mecs bien montés me pénétrer par tous mes orifices, devant une alignée de types au garde-à-vous... J'en arrivais à me féliciter d'avoir été faite prisonnière!

Alexandre me sodomisait plus brutalement que Léo, à grands coups de reins, mais il estimait qu'il ne me défonçait pas encore assez fort à son goût, et il me fit changer de position.

Allongée sur le dos, il me força à remonter complétement mes jambes contra ma poitrine. Dans cette posture, mes fesses étaient écartées au maximum, et il pouvait s'enfoncer encore plus profondément dans mon ventre.



Là, ce fut un festival. Son pieu entrait et ressortait presqu'entièrement de mon petit trou, à un rythme fou. Je feulais, criais, l'intensité de mes sensations faisant même couler quelques larmes sur mes joues. Mais je parvenais encore à refouler l'orgasme qui montait...

Alexandre savait comment vaincre cette résistance. Il s'allongea, et me fit venir sur lui. Mes pieds en appui sur ses cuisses, je m'assis et je m'emmanchais sur son mât.



Il me laissa imprimer mon propre rythme à sa pénétration, et bientôt, ce fut moi qui me déchaînai. Je me lançai dans une chevauchée furieuse, jouant à exacerber mon désir.

Alexandre ne me laissa pas atteindre le point de non-retour:

- Léo, baise-là en même temps. Elle va s'en rappeler, de son passage chez nous!
- Oui, vas-y Léo... J'ai envie de vos deux bites... Dépêchez-vous, je vais jouir.

Léo, qui bandait de nouveau, vint se placer entre mes cuisses, pour investir ma chatte.



Alexandre se trouvait immobilisé sous mon corps secoué par les coups de boutoirs de Léo. Je sentais malgré tout sa tige coulisser dans mon étroit fourreau, à la cadence des allées et venues du dard qui labourait ma fente.

Je le savais, l'orgasme n'était pas loin, et il m'emporta dans un tourbillon de sensations.

- Oui, oui, ça vient!... Oooooh, c'est bon, je jouis!! Oh, quel pied... Ouiiiii!



Je n'en finissais pas de hurler, mais mes cris décuplaient l'ardeur de mes partenaires. Au lieu de m'abandonner, Léo se remit debout, sans se retirer de mon sexe, et Alexandre se plaça derrière moi. Il s'enfonça de nouveau dans ma rondelle, et je ne fus plus qu'un jouet dans leurs bras musclés. Impuissante, j'étais ballotée au gré de leurs mouvements, mes deux orifices coulissant sur les tiges qui les perforaient.



C'était un moment d'érotisme pur, brut. Si je ne parvenais pas à jouir de nouveau, j'éprouvais malgré tout des sensations indescriptibles, et je goûtais cet instant en feulant.

Mes deux amants, quant à eux, atteignaient enfin le septième ciel. Ils me posèrent à terre, et je m'agenouillai entre leurs verges dressées, prêtes à exploser. J'attendais avec impatience de voir le sperme gicler, et je n'eus pas à les branler bien longtemps. Je sentis entre mes doigts les deux tiges se contracter, trembler, et enfin de longs jets de foutre vinrent inonder ma bouche ouverte, mes joues, mes seins.



Les autres hommes applaudirent notre performance, et je les regardais les yeux brillants de plaisir, leur montrant ma langue couverte de semence.

Je me relevais, fatiguée, lorsque j'entendis Alexandre derrière moi.

- Maintenant, messieurs, vous pouvez disposer de Chloé. Je crois qu'on l'a bien chauffée. Fred, puisque c'est toi qui l'a capturée, à toi de diriger l'opération...

Encadré par le reste de la troupe, Fred se dirigea vers moi, et me saisit par les poignets.

- Tout à l'heure, on l'avait ligotée, elle était vachement bandante. On l'attache à nouveau?

C'était décidemment un maniaque du bondage! Ses acolytes approuvèrent sa proposition bruyamment, et je me retrouvai garrotée sur un lit de camp, dans une position où mon intimité était offerte à tous les regards.



Ce fut Fred, bien entendu, qui eut le droit de me baiser le premier. Je lisais sur son visage tout le désir que je lui inspirais, mais j'avoue qu'assister, sans pouvoir esquisser un geste, à l'approche de sa bite dure et gonflée, sentir son gland s'engager entre mes petites lèvres, s'introduire sans difficulté dans ma fente béante, et s'enfoncer en moi, était délicieusement excitant.



Il parvenait à se contrôler malgré tout, et me pénétrait par petites poussées. J'avais maintenant envie qu'il pilonne sauvagement mon petit abricot.

- Vas-y, baise moi, défonce-moi, lui demandai-je.

Ce fut comme un coup de fouet, et il se mit à aller et venir dans ma chatte, pendant que je criais sans la moindre retenue. Pour Fred, c'en était trop: la violence de ce coït, l'excitation liée au spectacle que j'avais offert avant, eurent raison de sa volonté. Je l'entendis pousser un grognement révélateur, je sentis sa tige se contracter dans ma chatte, et il éjacula, tout en se retirant.



Mon ventre était maculé de foutre. Je ne sais pas qui m'essuya, mais quelques secondes plus tard, je me retrouvai sur le ventre, toujours ligotée.

Un deuxième homme, que je ne pouvais pas voir, s'enfonça dans mon minou, tandis qu'un troisième me plantait son gland dans la bouche.



Ils étaient tous trop excités par le spectacle que j'offrais, un peu malgré moi, et je sentis très vite que le type qui me baisait giclait dans ma fente en rugissant.

Aussitôt, celui que je suçais se précipita pour se placer derrière moi. Cette fois, ce n'était pas mon minou qui l'intéressait! Des mains écartaient mes fesses.

- Oui, vas-y, encule-la! l'encouragea un des voyeurs. T'as vu, avec Léo, le pied qu'elle a pris?

Immédiatement, un gland gonflé força l'entrée de mon petit trou, et s'enfonça en moi.



Léo et Alexandre avaient largement préparé le passage, et mon nouvel assaillant n'eut aucun mal à me pénétrer, puis à coulisser dans mon petit cul.

Je commençai à gémir, mais mon nouveau partenaire éjaculait déjà. Il lâcha toute sa semence dans mon anus, et se retira. Sans que j'ai pu me nettoyer, un autre homme le remplaça aussitôt.

Il me sodomisait avec violence, et heureusement le foutre qui inondait ma grotte rendait ses allées et venues indolores. Au contraire, les sensations qu'éveillaient dans mon petit trou les assauts de ce mâle dont je ne devinais même pas le visage, toutes ces mains qui parcouraient, caressaient, malaxaient mes fesses, mes seins, tout celà m'amena à l'orgasme. Je jouis encore une fois, dans une sorte de vocalise suraigu.

Surpris et excité par mon hurlement, je sentis l'homme qui me pénétrait jouir, presque en même temps que moi, et sa semence jaillir, inondant le sillon de mes fesses.



Je me sentais épuisée, incapable de continuer à ce rythme, et même d'atteindre un nouvel orgasme. Cependant, des mecs continuaient de m'entourer, ne cachant pas leur intention de profiter de mon corps offert sans la moindre pudeur. Je négociai, pour pouvoir les satisfaire, sans que le gangbang tourne au viol.

- Détachez-moi, je vous en prie, suppliai-je.
- On n'en a pas fini avec toi, répliqua une voix grave.
- Je sais, mais laissez-moi faire, vous ne le regretterez pas! Il y a des choses que je ne pourrais pas faire, ligotée comme ça.

Après de brefs conciliabules, l'un des types me détacha.

- Laisse-moi te remercier, lui dis-je d'une voix suave. Allonge-toi.

Il s'étendit sur le sol. Comme je j'avais fait plus tôt avec Alexandre, je montai sur lui, les pieds en appui sur ses cuisses, et je m'emmanchai sur son dard, en prenant appui sur une bite dressée pour ne pas perdre l'équilibre. Lentement, le gland disparut entre mes fesses.



Tous les mecs faisaient cercle autour de nous, en se caressant. Je me rendais compte que j'éprouvais encore une montée de plaisir dans tout mon corps. Mes petits seins étaient redevenus tout durs, avec des pointes dardées, et je poussais à nouveau des gémissements d'animal blessé.

Une fois de plus, mon partenaire jouit très vite, et un autre me guida vers un canapé sur lequel il s'installa. Il m'empoigna par les hanches, pour que je vienne m'empaler sur lui. Lui aussi avait choisi mon petit trou, et les autres hommes m'offraient leurs bites à sucer.



Je poussais maintenant de petits cris, entrecoupés de paroles dénuées de toute pudeur.

- Oh, c'est bon, toutes ses queues... Continuez, allez-y, j'ai envie que vous me fassiez jouir une dernière fois.

C'était vraiment de l'irresponsabilité! Des mains puissantes empoignèrent mes chevilles, mes poignets, m'écartelant, dans une position à exciter un saint!

Et l'un des voyeurs vint planter son pieu dans ma fente.



J'avais perdu la conscience de ce qui se passait. Je n'arrivais plus à jouir, mais je ressentais un plaisir d'un autre genre, sensuel, lorsque les types qui se succédaient éjaculaient dans ma chatte, dans mon cul, sur mes seins, dans ma bouche...

Enfin, ils m'abandonnèrent, et je tombai à genoux, épuisée, le visage maculé d'un liquide épais et crémeux, entourée des phallus que j'avais menés au plaisir.



Je ne parvenais pas à comprendre comment il pouvait y avoir encore autant de types qui bandaient. J'étais là, haletante, quand l'un d'eux me demanda d'une voix enjoleuse:

- Chloé, tu as été géniale! Tu es la meilleure fille qu'on ait jamais capturée. Avant de partir, tu ne veux pas nous sucer une dernière fois?

C'était demandé si gentiment...

Je pris dans ma main la bite qu'il me présentait, la caressait doucement, et je posai mes lèvres sur le gland, encore parfumé par ma cyprine mélangée aux spermes.



Je les suçais les uns après les autres. Cette fois, c'était une suite de fellations empruntes de tendresse.

- Ouvre la bouche, me dit enfin le même homme. On va te faire un dernier cadeau!

Je me reculai, la tête renversée en arrière, et ils m'arrosèrent avec leurs dernières gouttes de foutre.



C'était terminé. Ils étaient tous redevenus des gentlemen, et ils me conduisirent jusqu'aux douches, où ils me laissèrent seule.

Je restais longtemps sous l'eau chaude puis, une fois essuyée, ils me ramenèrent en Jeep jusqu'au manoir, où m'attendaient Sharon et les autres filles. J'étais encore nue, puisque j'avais abandonné mon uniforme sur le terrain.

- Si j'en juge par les poches sous tes yeux, ta détention chez l'ennemi a été animée, persifla Sharon.
- C'est une excellente recrue que tu nous as trouvée!, renchérit Léo.
- Vous ne me tenez pas grief d'avoir été faite prisonnière?, m'étonnai-je.
- Pas du tout! Ca fait partie du jeu, et du bizutage des petites nouvelles, répondit Sharon en riant.
- Et tu ne m'as pas prévenue? m'indignai-je, les yeux brillants de colère.
- Avoue que ça aurait été moins excitant...

En réfléchissant, je devais reconnaître qu'elle avait raison.

Je me rhabillai, nous bûmes une flûte d'un champagne millésimé, et mes amis me ramenèrent à mon studio. Chemin faisant, je pensais à Nicolas: j'aurai des choses à lui raconter, la semaine prochaine, lui qui aime savoir que je me suis offerte à d'autres partenaires...