Vente immobilière

Vente immobilière - 1 (publié par Boris le 20-01-2017)
Vente immobilière - 2 (publié par Boris le 01-02-2017)
Vente immobilière - 3 (publié par Boris le 01-03-2017)
Vente immobilière - 4 (publié par Boris le 01-04-2017)


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Vente immobilière - 1

Après l'orgie qui s'était déroulée dans notre appartement, puis le vol de l'olisbos qui m'avait fait suspecter plusieurs voisines, il faut bien avouer que nos relations avec notre voisinage étaient devenues très particulières. Quand j'étais seul, les regards que les filles m'accordaient étaient pleins de sous-entendus et, au contraire, les mecs me regardaient avec une haine farouche. Fabienne subissait la même chose et il faut avouer que, à part avec les célibataires, il était devenu compliqué de croiser la plupart de nos voisins et nous en étions arrivés à les éviter. Au bout d'un mois, Fabienne me supplia de déménager. Nous prîmes donc la décision de vendre l'appartement.
Fabienne avait pris un rendez-vous avec un notaire qui devait venir faire l'estimation de notre appartement. J'étais assez mécontent quand elle m'annonça qu'elle ne pourrait pas l'accueillir avec moi à cause d'un rendez-vous avec une copine. Je ne porte pas vraiment les notaires dans mon cœur, considérant leur activité comme de l'escroquerie légalisée, mais je ne trouvais pas non plus productif d'annuler le rendez-vous. La bonne surprise, c'est que c'est une femme qui sonna à ma porte à l'heure du rendez-vous. Une très belle femme brune.
- Maître Drannoc a eu un empêchement, je suis Sarah, sa clerc de notaire, je le remplace.
- Bonjour, mademoiselle. Je vous en prie, entrez.
En passant devant moi, le dossier qu'elle tenait à la main butta contre mon bras et quelques feuilles tombèrent par terre. Elle se pencha aussitôt pour les ramasser. Sa mini jupe était si courte et serrée qu'elle remonta un peu sur ses cuisses par ce mouvement, me laissant presque l'opportunité de voir sa culotte. Elle s'en rendit compte et se redressa vivement en rajustant sa jupe.



Elle me fusilla du regard comme si c'était moi qui avais remonté sa jupe. J'étais si gêné par son regard que j'en vins à m'excuser même si je n'y étais pour rien :
- Désolé, je suis confus...
Après qu'elle ait regardé l'appartement autour d'elle, sans dissimuler le dégoût que pouvait lui inspirer la décoration plutôt humble de la pièce, je lui proposai de s'asseoir et je m'installai en face d'elle. Tandis qu'elle m'expliquait avec un air assez hautain comment elle allait procéder pour l'estimation de notre bien, je ne pus m'empêcher d'admirer ses longues jambes gainées dans des bas noirs.



Je sentis mon sexe se tendre, excité par cette jolie femme qui semblait me considérer avec dédain. Je me levai sous un faux prétexte :
- Excusez-moi, je vais chercher l'acte de vente, quand on avait acheté cet appartement il y a huit ans.
Je partis dans la chambre et j'ouvris le tiroir de la table de chevet de Fabienne pour prendre l'olisbos. Aussitôt, j'entendis un gémissement dans la pièce à côté. Je rejoignis la clerc de notaire qui, ayant déjà retiré sa veste, commençait à déboutonner son chemisier en s'avançant vers moi. J'eus tout juste le temps de poser l'olisbos sur la table basse avant qu'elle ne se jette sur moi et commence à me caresser l'entrejambe.



Je bandais déjà dur et je dus l'écarter un peu pour qu'elle ne me viole pas :
- Attendez, mademoiselle. Retirez votre jupe et finissez de déboutonner votre chemisier.
Le charme de l'olisbos opérant, elle se recula et termina de retirer ce que je lui avais demandé. Elle portait en-dessous un bustier sexy qui mettait en valeur une poitrine bien pleine.



Comme elle avait exécuté mon ordre, elle s'avança à nouveau vers moi avec ce regard trouble qui m'indiquait que son seul objectif était de me faire jouir. Je temporisai à nouveau :
- Attendez. Retirez aussi votre culotte.
Aussitôt elle commença à faire glisser son string, me révélant son entrejambe impeccablement épilée.



Quand la culotte fut au sol, je pus remarquer que sa moule était humide. Alors qu'elle avançait encore vers moi, je l'arrêtai d'un geste de la main et commençai à me déshabiller. Elle avait les yeux rivés sur mon érection. Dans la tenue où elle était, elle comprit que le meilleur moyen pour me faire jouir était de m'attirer avec sa croupe. Elle se tourna donc en se cambrant sur le dossier du canapé.



La croupe qu'elle m'offrait était splendide et je voulus prendre mon temps. Je commençai par caresser les fesses. Quand mes doigts commencèrent à effleurer les lèvres de sa chatte humide, elle commença à gémir. En écartant les fesses, j'eus une révélation en découvrant l'anus de la demoiselle. Je bandais à tout rompre et je jubilais de pouvoir baiser le cul serré de la clerc de notaire qui m'avait montré si peu de considération depuis son arrivée.



Quand j'engageai ma queue dans sa fente, Sarah poussa un petit cri :
- Hiiiii ! Elle est grosse...
Puis elle se mit à onduler du bassin tandis que je commençais à aller et venir dans son délicieux fourreau.



Je la fis se pencher complètement par dessus le dossier du canapé, l'obligeant à écarter largement les cuisses pour me permettre de la besogner le plus loin possible. Je pouvais enfoncer ma queue sur presque toute la longueur, c'était un vrai plaisir. La jeune femme gémissait de plus en plus et elle ne semblait plus très loin de l'orgasme. J'avais sous les yeux son petit anus qui semblait attendre son tour.



J'avais envie d'essayer aussi cette voie là. Quand je sortis, elle m'attrapa alors le poignet comme pour me retenir, m'empêcher de partir. Quand j'appuyais sur son anus, elle eut un frémissement. Je pense qu'elle aurait habituellement refusé d'être sodomisée mais le charme sous lequel elle était l'empêchait d'exprimer toute résistance qui serait allé à l'encontre de mon plaisir. Je pus donc engagé mon sexe tendu dans son petit canal qui semblait être rarement visité.



C'était véritablement divin. Elle se remit rapidement à gémir et elle eut son orgasme finalement avant le mien. Elle criait et faisait aller et venir son bassin sur ma queue pour aller au-devant de mes assauts. Elle était encore sous les spasmes de son orgasme quand je sentis la sève monter de mes couilles. J'éjaculai en râlant, inondant son cul de ma semence chaude.



Je ne m'étais par contre pas préparé à ce qui suivit. Comme j'avais joui, la clerc de notaire n'était plus sous le sortilège de l'olisbos et elle reprit ses esprits plus rapidement que moi. J'étais à genoux derrière elle quand elle se redressa et dit :
- Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce que vous m'avez fait ?
Je tentai de lui dire qu'elle avait succombé à mon charme :
- Vous vous êtes jetée sur moi... Vous vous souvenez ?
- Oui... Mais vous m'avez droguée, je ne sais comment.



- Je ne vous ai jamais droguée, ne dites pas n'importe quoi. Si vous regrettez ce que nous venons de faire, on en reste là et on en parle à personne.
- Ne vous foutez pas de moi, je sais que je n'étais pas moi-même. J'étais comme... possédée.
Elle avait hésité à prononcer ses mots, comme si elle ne pouvait y croire elle-même. C'était la première fois que j'essuyais une réaction aussi violente. Elle se releva pour s'habiller. Je ne pouvais pas en rester là. J'attrapai l'olisbos. Elle me vit faire et eut comme un regard de terreur en sentant qu'elle était à nouveau possédée.



Je fus moi-même terrifié en me disant que ce que je faisais s'apparentais quand même à du viol. Tout en retirant son bustier, elle venait à nouveau vers moi, le regard chaud et vitreux, avec à nouveau un désir de sexe, la volonté farouche de me faire jouir encore. Je ne pouvais pas remettre ça tout de suite et il était pourtant trop tard : l'olisbos ferait effet jusqu'à ce qu'elle me fasse jouir à nouveau. Je l'obligeai à patienter :
- Asseyez-vous et attendez...
- Non... je veux vous baiser !
Mais elle s'assit malgré tout, en écartant les cuisses largement.



Sarah m'implorait :
- S'il vous plaît, prenez-moi ! Je veux que vous jouissiez en moi.
Elle se caressait les mamelons, manifestement au comble de l'excitation.



Ma queue avait commencé à s'apaiser. Toutefois, le spectacle de cette moule encore humide et chaude, qu'elle m'offrait sous l'effet du sortilège, commença à me faire bander à nouveau. Elle me suppliait :
- S'il vous plaît, sil vous plaît...
Elle regardait avec avidité ma bite qui se redressait et elle patientait en se caressant le clitoris.



J'avais honte car ses supplications n'étaient que le résultat du sortilège et ne reflétait pas réellement son désir pour moi. Jusqu'à présent, quand le sortilège prenait fin, les filles semblaient satisfaites de ce qu'elles avaient vécues contre leur gré. Cela commençait à vraiment me perturber, d'autant qu'elle semblait vraiment en avoir envie. Elle se mit à quatre pattes, me présentant sa moule dont elle écarta les lèvres avec deux doigts en guise d'invitation.



De toute façon, maintenant que le processus était enclenché, il n'y avait plus qu'une seule issue : il me fallait éjaculer à nouveau. Je me sentis prêt et je vins la rejoindre. J'admirai à nouveau son petit trou. J'hésitai mais je me dis que puisque j'avais pris mon pied tout à l'heure, ça ne pouvait pas être moins bien. Je commençai donc par lui mettre un doigt dans le cul et la branler pour qu'elle comprenne ce qui l'attendait.



Je ne m'y attendais pas vraiment, mais rapidement, elle me supplia :
- Oh ouiiii ! Enculez-moi encore !
Je me demandais si me sortilège lui faisait dire ce que je voulais entendre ou si, malgré la possession, elle était maître de ses paroles et exprimait un réel désir. De toute façon, ce la ne changeait rien à l'issu. J'engageait donc à nouveau mon sexe dans l'anus de la clerc de notaire.



Le cul en l'air tandis que je commençais à aller et venir en elle, la jeune femme se laissa tomber en avant et se mit à gémir :
- Oh ouiiiii ! Allez-y ! Défoncez-moi !
Je ne me retenais pas. Je la limais avec entrain et plaisir. Cette fois-ci, elle eut son orgasme beaucoup plus rapidement.



Je sentis ma deuxième éjaculation arriver. Je sortis ma bite et me mis à l'astiquer au-dessus de la joile croupe. Mon sperme se mit à jaillir et j'éclaboussai joyeusement les fesses de Sarah. Quand ma jouissance prit fin, je vis à sa réaction que le charme était rompu :
- Mais qu'est-ce qu'il se passe ?



Libérée du sortilège, elle se releva aussitôt et me regarda, désemparée :
- Qu'est-ce que vous m'avez fait ?
Je tentai de la rassurer en lui donnant une réponse sensée :
- Je vous ai fait jouir une seconde fois... C'est vous qui me l'avez demandé.
- Moi ?



- Oui... Vous ne vous souvenez pas ?
- Si. Mais ce n'était pas moi !
- Ah, ne recommencez pas. Mettons-nous au travail, vous voulez bien ?
Elle sembla hésiter et, me regardant me rhabiller, elle dit :
- J'ai bien conscience d'avoir eu cet orgasme. Je me souviens de ce que j'ai dit, mais j'ai l'impression que quelque chose me poussait à le faire alors que je ne le voulais pas...
- Vous regrettez ?
- ...Non. Mais j'ai une curieuse sensation.



Elle prit son téléphone portable et tapa quelque chose :
- Je... Je ne suis pas certaine qu'il soit sage que je reste. J'ai envoyé un SMS à Maître Drannoc pour qu'il s'occupe de vous.
Quand elle reposa son téléphone, je la vis poser les yeux sur l'olisbos. Elle tendit la main pour l'attraper. Dans un geste de réflexe, surtout pour la protéger, je repoussai l'objet magique. Et, sans le vouloir, réenclenchai le processus... Elle se mit aussitôt à se caresser l'entrejambe :
- J'ai encore envie de vous... ça recommence... C'est votre godemiché, je crois... Mmmmmmh, prenez-moi.
Je la regardais se caresser en regrettant d'avoir déclenché tout cela.



Maintenant, il me fallait assumer à nouveau et jouir encore une fois pour la libérer du sortilège. Je me déshabillais rapidement, mais je me rendis à l'évidence que je n'étais pas en mesure de lui faire encore l'amour, pas tout de suite. Elle sembla le comprendre et vint s'agenouiller devant moi. Elle saisit ma queue qui commençait seulement à débander et se mit à la masturber en me léchant le gland. Rapidement, mon sexe retrouva une vigueur inespérée.



Elle me suça longuement, avec passion. Pourtant, je sentais qu'elle n'était pas habituée à cela car ce n'était certainement pas la meilleure fellation que j'avais eue. Toutefois, avec l'excitation, elle parvint à m'amener à l'éjaculation. Sentant que j'allais venir elle lâcha ma queue et ouvrit grand la bouche. Je pris le relais pour me masturber devant cette bouche béante.



Je me mis à râler tandis qu'un frisson me parcourait l'échine. Mon sperme monta dans ma queue et se mit à gicler. J'explosai alors dans sa bouche. Elle reçut l'intégralité mais n'avala rien, laissant le sperme s'écouler sur son menton et sa poitrine. Pendant que je me vidais sur elle, Sarah avait les cuisses écartées et se caressait l'entrejambe.



La bouche grande ouverte, elle me regardait. J'avais terminé de jouir. Elle semble épuisée mais, bien qu'elle ait normalement retrouvé son libre arbitre, elle ne se relève pas ni ne m'accuse. Je sens à son regard qu'elle est soumise. Elle murmure :
- Je ne comprends pas ce qu'il se passe... Qu'est-ce que vous attendez de moi ?



Je fis l'innocent :
- Que vous me fassiez une estimation de la valeur de mon appartement ?
- Vous faites une sorte d'hypnotisme, c'est ça ?
Je n'avais pas fait attention, mais elle réussit à se saisir de l'olisbos. Aussitôt, ma queue de regonfla juste devant sa bouche. Elle sembla comprendre qu'une magie s'opérait au travers de cet artefact. Me donnant un coup de langue sur le gland, elle sentit les vibrations de l'olisbos entre ses doigts.



Elle semblait fascinée :
- Fascinant ! C'est donc ce truc...
Elle se mit à caresser l'olisbos et replongea sa bouche sur ma queue pour la sucer à nouveau. Cette fois-ci, c'est moi qui étais sous l'effet du sortilège et il me fallait jouir encore.



Je crus que mon sexe allait réellement exploser, soumis à la dualité de cette masturbation et de cette fellation conjuguées. Je n'aurais pas cru que je puisse, mais une nouvelle éjaculation arriva et se déversa dans la bouche de la jeune femme qui, cette fois-ci avala tout.



Elle se releva et se passa le poignet sur la bouche :
- C'est avec ce truc que vous m'avez fait faire tout ça. C'est fou !!! Comment ça marche ?
Elle avait compris. Je lui devais quelques explications. Tout en allant rapidement à la salle de bain chercher une serviette, je lui donnais quelques informations sur cet artefact :
- Quand je le touche, les filles présentent ne me lâchent pas tant que je n'ai pas joui. Si une fille le touche, c'est moi qui dois impérativement jouir...
Je lui essuyai le menton, le cou et la poitrine
- C'est de la sorcellerie ! D'où est-ce que ça vient ?
- Un sorcier d'Amérique du Sud l'a sculpté pour moi.



Elle semblait fascinée mais soudain, elle prit conscience de ce qui venait de se passer :
- Mais vous avez utilisé ce pouvoir pour abuser de moi. Vous m'avez sodomisée !
- Je vous ai donné deux orgasmes.
- C'est vrai.
La petit clerc de notaire, si froide et coincée en arrivant, était si excitée par la situation que, sans l'aide de la magie de l'olisbos, elle se caressait l'entrejambe.



Considérant mon sexe qui commençait à débander un peu :
- C'est aussi ce truc qui vous permet d'éjaculer autant ?
- Je n'en sais rien... J'ai rarement eu l'occasion d'éjaculer aussi souvent. Mais c'est sans doute vrai.
- Et vous seriez capable d'éjaculer encore ?
J'étais étonné par sa question, d'autant qu'elle s'allongea sur le canapé et, cuisses écartées, murmura :
- J'ai très envie qu'on le refasse mais sans votre truc magique... pour voir.



Au point où j'en étais, j'acceptai. Je m'installai à côté d'elle, le sexe gonflé, mais plus vraiment dressé. Elle leva les yeux vers moi. Je l'interrogeai :
- Vous n'êtes pas fâchée ?
- Si. Je suis furieuse. Et maintenant, je veux en profiter mais selon mes règles.
Je ne pouvais rien dire et je la laissai donc faire, d'autant que la punition ne semblait pas si désagréable pour le moment : elle plongea sur ma queue et se mit à me faire une fellation.



Ce qui suivit fut incroyable. Alors que Sarah me suçait, on frappa à la porte. J'étais persuadé qu'il s'agissait de Fabienne et j'ai très excité à l'idée qu'elle puisse voir ça. Je criais donc :
- Entre ! Entre vite !
Mais quand la porte s'ouvrit, je fus bien décontenancé en voyant qu'il s'agissait d'un homme mûr et pas de Fabienne. L'homme ouvrit de grands yeux en nous voyant :
- Sarah ?
Je compris qu'il s'agissait du notaire. Sarah se redressa et sembla se décomposer. J'appuyai alors sur sa tête pour la forcer à reprendre sa fellation. Je tentai de gagner son patron à notre cause :
- Je crois que votre petite secrétaire ne serait pas contre une petite gâterie...
Il sembla hésiter, mais voyant que Sarah avait repris son activité sans se soucier davantage de sa présence, il accepta l'offre. Il vint s'agenouiller entre ses cuisses et commença à lui sucer la moule.



Cela me plaisait de savoir que le notaire léchait sans doute au passage quelques gouttes de ma semence. Il se redressa d'ailleurs et murmura :
- Je ne suis pas le premier de toute évidence...
Il sembla ne pas s'en formaliser davantage et tenta sa chance ailleurs. Après avoir admirer quelques secondes le petit trou du cul encore un peu dilaté de son assistante, il lui mit un doigt dedans.



Quand il retira son doigt, il me considéra avec dégoût :
- Bon, là aussi...
Il se releva et se débarrassa de ses fringues. Malgré sa répugnance d'avoir constaté que j'avais déjà joui en elle, il semblait très excité et bandait à tout rompre. Il la fit un peu pivoter sur le côté pour manifestement s'offrir son cul.



Il la redressa alors. Sarah se doutait bien de ce qui allait suivre. Elle tenta de se retourner pour exprimer son opposition, mais je jugeai cela inopportun et je lui maintins la bouche vissée sur ma queue pour qu'elle continue de me sucer. Son patron guida son sexe tendu dans son petit trou et ne sembla trouver aucune difficulté.



Il se mit alors à la besogner. Elle dut arrêter sa fellation et, ce qui me fit halluciner, se mit à gémir :
- Oh Maître ! Oui Maître !
Je me serais cru à une séance de sado-maso... Je m'écartai alors et, voyant qu'il avait le champ libre, le notaire la fit basculer sur lui pour s'asseoir, sans que son membre tendu ne quitte l'orifice étroit. Le notaire lui écartait les lèvres de la moule et me dit :
- Il reste une place, jeune homme.



Je ne sais pas si c'est ce que voulait réellement Sarah car elle semblait totalement soumise à son patron. Pourtant, elle se mit dire :
- Oh oui Maître, qu'il me baise aussi !
Je me sentis obligé d'accéder à cette demande insistante, d'autant que là, la jeune femme n'était sous l'emprise d'aucun sortilège. Je vins donc la baiser, la prenant en sandwich avec son patron.



IL y eut un concerne de gémissements, de râles et de cris. J'éjaculai pour la cinquième fois tandis qu'elle subissait son troisième orgasme. Je pense que le notaire aussi éjacula dans son cul. Après cette tempête de plaisirs synchronisés, on la laissa sur le canapé, épuisée. Le notaire se rhabilla :
- Sarah, je n'aurais jamais imaginé que vous puissiez être aussi perverse. Et m'envoyer un SMS pour que je vienne vous prendre avec un client, je ne l'aurais jamais cru ! Vous allez vite monter en responsabilité, ma petite.
Puis il partit. Je regardai Sarah qui avait toujours les cuisses grandes ouvertes :
- C'est la première fois que votre patron vous baise ?
- Oui...



Elle semblait encore sous le coup de son orgasme, mais je sentis quand elle se redressa qu'elle était quand même un peu chamboulée. Assise sur le bord du canapé, je l'entendis murmurer :
- Qu'est-ce que j'ai fait... Maintenant, ce gros porc croit que je suis une pute et va me baiser dès que nous serons tous les deux...



Elle se leva et ramassa son string. Je tentai de la rassurer :
- Ecoutez, je suis désolé. C'est un peu de ma faute. Je n'aurais pas dû vous soumettre au sortilège de l'olisbos...
Elle me regarda :
- D'un côté, je me suis bien amusée. De l'autre, je me dis que c'était limite du viol. C'est comme si vous m'aviez droguée...
Elle remonta son string.



Je n'étais pas tellement fier de moi et elle devait le sentir :
- Monsieur, ne faite pas cette tête-là. J'ai quand même eu trois orgasmes en moins d'une heure et ça ne m'était jamais arrivé. Même si je regrette qu'il ait fallu ce sortilège, je me dis que c'était une expérience incroyable.
Elle terminait de rajuster sa veste sur son chemisier :
- Et rassurez-vous, je garderais votre secret.
- Merci...
- Je vous enverrais l'estimation par mail.



Elle sortit. J'étais très confus sur ce qu'il venait de se passer. Malgré ma haine farouche pour les notaires, je n'étais pas vraiment fier de ce que j'avais fait, même si cela m'avait permis de jouir cinq fois !

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Vente immobilière - 2

Quand je racontai à Fabienne comment j'avais géré la rencontre avec le notaire et surtout la clerc de notaire, elle fut d'abord furieuse. Puis, elle se montra admirative en découvrant combien de fois j'avais éjaculé. C'est elle qui pris le rendez-vous avec l'agent immobilier. Je me disais qu'elle avait une revanche à prendre :
- Si tu veux, ma chérie, je te laisse seule avec lui pour que tu t'amuses un peu.
- Bof, je pense que, comme toi, j'apprécie aussi peu les agents immobiliers que les notaires. Ils sont pour beaucoup incompétents et ne montrent pas le moindre respect pour leur client.
- Celui-ci ne sera peut-être pas comme ça. Il ne faut pas généraliser.
- On verra. De toute façon, je compte m'amuser à l'exciter mais sans l'aide de la statuette. Et je préfère que tu restes.

Deux jours plus tard, l'agent immobilier sonna chez nous. Fabienne était dans la salle de bain pour terminer de se maquiller et c'est donc moi qui suis aller ouvrir.
- Bonjour, je suis Bertrand Idalgo, de l'agence Immo B.I., je viens pour l'estimation.
- Entrez, c'est ma femme que vous avez dû avoir au téléphone.
Sitôt la porte fermé, le jeune homme inspectait déjà tous les recoins de l'appartement. Je frappai à la porte de la salle de bain :
- Tu es prête ?
- Oui, qu'il entre que je le salue.
J'ouvris la porte pour laisser entrer l'agent sans me douter de ce que Fabienne avait déjà manigancé. C'est en voyant les yeux écarquillés de Bertrand que je compris que Fabienne avait déjà ouvert les hostilités. J'entrai et découvris qu'elle était nue dans la baignoire.



Bertrand était sidéré et, étant derrière lui, je l'empêchais de ressortir. Très naturellement, Fabienne se présenta :
- Bonjour. Je suis Fabienne, c'est moi que vous avez eu au téléphone.
- Bertrand... Désolé de vous déranger.
- Oh, il n'y a pas de mal. J'ai terminé.
Fabienne se redressa, faisant saillir sa poitrine.



L'agent, rouge comme une pivoine, me bouscula presque pour sortir de la salle de bain. Je me retins pour ne pas rire. Fabienne sortit de la baignoire et attrapa une serviette pour se sécher. Je m'apprêtais à sortir quand elle me murmura à l'oreille :
- Tu as vu la bosse ? Il bande déjà... Je vais bien m'amuser.
Elle s'enroula dans la serviette tandis que je sortais rejoindre l'agent. Elle se couvrit convenablement la poitrine mais la serviette, volontairement choisie trop petite, ne couvrait pas son entrejambe. Se mettant dans l'embrasure de la porte elle me demanda :
- Cédric, tu irais me récupérer mes fringues dans la chambre ?



L'agent regardait ailleurs, extrêmement troublé. Je répondis à ma femme :
- Désolé, je te laisse y aller. On va commencer avec monsieur Idalgo pour ne pas lui faire perdre trop de temps.
- Je comprends...
Retirant sa serviette pour la laisser au pied de la baignoire, Fabienne, intégralement nue, traversa lentement le salon pour aller rejoindre la chambre, en se cachant partiellement la poitrine.



- On commence l'estimation, monsieur Idalgo ?
- Heu... oui pardon... je réfléchissais.
Je lui fis l'inventaire des pièces et je le laissai prendre les mesures du salon avec un distance-mètre laser, qu'il reporta ensuite sur un formulaire. Je lui proposai ensuite d'aller voir la chambre. Avant d'entrer, je frappai :
- On peut entrer ?
- Oui, j'ai besoin d'aide.
J'ouvris la porte et entrai. Le lit étant dans le coin derrière la porte, j'attendis que l'agent soit rentré lui aussi pour refermer la porte. Nous découvrîmes alors Fabienne, presque nue. Elle était allongée sur le lit avec juste une paire de bas noirs gainant ses jolies jambes :
- Je cherche ma culotte en dentelle noire, mais je ne la trouve pas...



- Je vais t'aider à chercher pendant que monsieur Idalgo prend ses mesures.
L'agent immobilier avait bien du mal à se concentrer sur sa prise de mesures, surtout quand Fabienne se mit à quatre pattes sur le lit, lui tournant le dos pour inspecter sous les oreillers. Moi, de voir sa magnifique croupe, j'eus une trique d'enfer et j'imaginais que l'agent immobilier devait, lui aussi, bander sacrément.



- Ma chérie, tu es indécente. Tu mets mal à l'aise notre invité...
- Oh désolée...
Mais elle ne changea pas de position. Bertrand, après avoir jeté un dernier regard rapide à la sublime croupe, quitta la chambre :
- Je... je vous attends dans le salon.
- J'arrive dès que nous avons retrouvé cette culotte.
A peine eut-il fermé la porte que je sortis mon érection et la guidai dans la fente de ma chérie.



Nous essayâmes de rester discrets et je voyais que Fabienne se mordait les lèvres pour ne pas crier. Je voulus lui rendre la tâche plus difficile en changeant d'orifice. Je ressortis et m'engageais dans son anus. Elle feula :
- Oh non, déconne pas !
- Pourquoi, tu n'aimes pas ça ?
- Si, mais je vais crier... Il va savoir...
- Tu crois qu'il ne sait pas déjà.
Je m'enfonçais alors dans l'étroit canal, obligeant Fabienne à se mettre une main sur la bouche pour dissimuler ses cris.



C'était délicieux et il ne nous fallu qu'une ou deux minutes pour atteindre l'orgasme ensemble. Fabienne se mit le visage dans les draps pour dissimuler ses cris de plaisir tandis que je me vidais en elle en soufflant comme un phoque. Emmanché en elle, je laissai ma semence se répandre dans son cul brûlant. Reprenant ses esprits, elle me regarda et murmura :
- Il est timide, mais je suis certaine qu'on pourra l'avoir sans la statuette...



Quand je me retirai, Fabienne resta allongée :
- Tu t'habilles sexy pour nous rejoindre ?
- Attends, il reste encore des pièces à mesurer, non ? Retourne avec lui pour prendre les cotes de la cuisine. J'arrive.



Je ne savais pas exactement ce qu'elle avait en tête mais je savais que j'allais encore bien m'amuser même si on n'utilisait pas la magie de nos fétiches. Je rejoignis l'agent :
- Excusez-moi...
- Pas de soucis. Moi c'est souvent les chaussettes que j'égare...
Il semblait se détendre. Je lui montrai la direction de la cuisine :
- La cuisine ?
- Allons-y.
- Voilà et la porte sur le côté donne sur la buanderie.
A peine étions-nous dans la cuisine que Fabienne arriva et passa devant nous pour aller à la buanderie :
- Pardon, je cherche toujours ma culotte...
Sa tenue n'avait pas évolué et l'agent immobilier ne se priva pas d'admirer la magnifique croupe de ma femme.



Elle laissa la porte de la buanderie ouverte et nous la regardions tous les deux, subjugués. Je sentis mon érection se réveiller et j'eus un coup de sang quand Fabienne se pencha sur le sèche-linge en disant :
- Je me demande si elle n'est pas dans la machine. Mais il reste encore deux minutes.
- Tu veux que je regarde pour déverrouiller le hublot ?
- Si tu sais faire, oui, je veux bien.



- Monsieur Idalgo, je vous laisse prendre les mesures de la cuisine, je m'occupe de ma femme.
Je le vis me faire un sourire entendu avant que je ne referme la porte. L'instant d'après, ma queue reprenait sa liberté, dressée et prête à l'action. Fabienne releva une cuisse sur la machine, m'ouvrant sa fente humide pour que je puisse y plonger mon sexe tendu.



Nos gémissements étaient heureusement couverts par le ronronnement du sèche-linge. Tandis que j'allais et venait en elle, je vis avec amusement un peu de mon sperme de tout à l'heure s'échapper de son anus. J'hésitais à la sodomiser à nouveau mais il me semblait excitant de me vider cette fois-ci dans sa moule. Cette fois-ci, je me mis à éjaculer un peu avant qu'elle n'ait son orgasme.



Je me rajustai rapidement et retournai dans la cuisine rejoindre notre agent immobilier :
- Excusez-moi. Il nous a fallu attendre la fin du programme.
- J'ai pris les mesures. Je peux mesure aussi la buanderie ?
J'admirai son audace. Je lui rouvris la porte et Fabienne, toujours habillée de ses seuls bas, nous fit une grimace :
- Ma culotte n'est pas au sèche-linge... Peut-être dans le chambre d'amis...



Elle attendit que Bertrand commence à entrer pour sortir, en profitant pour frotter sa poitrine contre son torse. D'où j'étais, je pouvais voir qu'il bandait déjà beaucoup. Fabienne traversa la cuisine et le salon en direction de la chambre d'amis. Malgré l'humidité, une forte odeur de sperme se dégageait de la buanderie mais l'agent fit semblant de ne pas le remarquer tandis qu'il prenait ses mesures :
- Il vous restera à prendre les mesures dans la salle de bain.
- Et la chambre d'amis, si j'ai bien compris.
L'homme semblait plus à l'aise et se prêtait manifestement aux jeux coquins de Fabienne. De lui même, il se dirigea vers la chambre d'amis mais il attendit à la porte que ce soit moi qui frappe. Je ne frappai pas et ouvris en restant sur le côté pour le laisser entrer en premier. Fabienne était allongée sur le lit et, jambes relevées, offrant un spectacle bien sympathique sur sa moule encore humide.



- Ma culotte n'est pas ici non plus...
Bertrand fit semblant de regarder l'état de la pièce et son aménagement mais son regard retombait irrémédiablement sur le corps nu lascivement offert. Il prit malgré tout ses mesures sans que Fabienne ne change de position. Une bosse phénoménale déformait son entrejambe mais il ne semblait pas vouloir nous la dissimuler. Dès qu'il eut fini, je lui fis une proposition :
- Allez prendre les mesures dans la salle de bain pendant que je jette un œil avec ma femme pour voir si sa culotte ne traîne pas dans un coin...
Cette fois-ci, il me fit carrément un clin d'œil avant de quitter la pièce. Il n'était pas dupe de ce que nous faisions. Avant même qu'il ne referme la porte, Fabienne écartait grand ses cuisses et je me déshabillais. Je plongeai aussitôt ma queue raide dans la fente que j'avais quittée quelques minutes auparavant.



- Tu vas encore jouir en moi ?
- Oui, pourquoi ? Tu ne veux pas ?
- On pourrais varier les plaisirs... Dans ma bouche ?
L'idée était sublime, j'allais avoir exploré tous ses orifices. Je quittai donc son ventre pour me mettre debout et lui offrir ma belle bite à sucer. Elle ne tarda pas me faire jouir et, tandis que j'éjaculais, cette coquine n'avala rien et laissa toute ma semence s'écouler sur son menton et sa poitrine.



- Tu es presque plus diabolique quand on n'a pas recours à la statuette...
- Tu as des mouchoirs pour que je m'essuie un peu ?
- Tu ne veux pas qu'il te voit avec ça sur toi ? Ce serait excitant...
- Sans doute, mais j'empeste déjà le sperme à plein nez et je pense que ça suffit.
Dès qu'elle a essuyé toutes les traces de sperme, elle ressort et, dans le salon, tombe nez à nez avec l'agent immobilier qui venait d'en finir avec la salle de bain :
- J'abandonne ma culotte en dentelle, je vais en prendre une autre.



Fabienne retourne dans la chambre et je rejoins Bertrand :
- C'est bon, vous avez tout ?
- Oui, je crois. Il y a des placards intégrés dans la chambre ? Je n'ai pas fait attention tout à l'heure.
- Allez regarder, ce sera mieux.
Bertrand entra alors que Fabienne était en train d'enfiler une culotte.



- Excusez-moi, mademoiselle, je veux juste voir les placards.
Il passe plus de temps à regarder Fabienne que les placards et j'en profite pour la gronder un peu :
- Ma chérie, tu peux peut-être passer une tenue un peu plus décente, non ?
- Tu crois que ça gêne monsieur Idolago ?
Elle le regarda en souriant.



Même s'il était plus à l'aise, il rougit malgré tout :
- Heu... Vous êtes chez vous. Vous vous habillez comme vous voulez, ça ne me regarde pas.
- Mais vous, en revanche, vous me regarder...
Fabienne attrapa une minirobe noire qu'elle enfila. L'agent compris que la séance d'exhibition était terminée et il retourna dans le salon. Fabienne et moi et suivîmes aussitôt et on s'installa dans les canapés, Fabienne nous faisant face.



- Vous avez tout ?
- Oui, je vais juste prendre vos coordonnées et références civiles.
Nous répondîmes à ces questions et quand arriva la fin du formulaire, Fabienne lui demanda :
- Vous ne me demandez pas mes mensurations ?
- Pardon ?
Le gars ne sembla pas comprendre. Je rigole et complète :
- Ma femme est très fière de son corps et surtout de ses seins qui se passent magnifiquement de soutien-gorge. Regardez...
Bien que l'agent avait déjà pu admirer les seins de ma femme, je dégage les dégageai de la robe pour les sucer. Aussitôt, Fabienne se mit à gémir et écarta les cuisses :
- Oh... sucer moi les gars !
Je me penchai alors sur sa poitrine pour lécher les mamelons tendus tandis que l'agent immobilier, qui n'en pouvait plus, vint plonger son visage entre ses cuisses pour lui sucer la moule à travers la culotte.



Elle nous laissa nous amuser ainsi quelques minutes, puis alors que Bertrand entreprenait d'écarter la culotte pour commencer à enfoncer un doigt dans sa fente, elle se dégagea de notre étreinte et se releva :
- Doucement les gars. Sinon vous allez éjaculer avant de m'avoir baisée.
Debout, elle retira sa robe.



Elle se rassit en face de nous et commença à faire glisser sa culotte :
- C'est fou ce que vous vous excitez d'un rien vous les mecs.
Je regardais son entrejambe trempée de cyprine et lui fis remarquer l'abus de son procès :
- Tu es injuste. Regarde comme tu mouilles toi aussi !
Elle regarda son entrejambe, constatant l'indiscutable.



- Oui c'est vrai... Il faut dire que j'ai rarement l'occasion de voir un second bel homme sous mon toit.
L'agent pris la parole :
- Mademoiselle, vous n'avez pas arrêté de me faire bander depuis que je suis arrivé. Au début j'ai pensé avoir de la chance, que vous étiez seulement impudique. Mais j'ai rapidement compris que c'était de l'exhibitionnisme et que je n'avais pas à avoir honte d'en profiter.
- Voilà une magnifique analyse, cher monsieur !
Fabienne se tourna pour nous présenter sa croupe et terminer de retirer sa culotte.



J'avais beau avoir déjà joui trois fois, je bandais à nouveau comme un taureau et je ne pus pas résister plus longtemps au spectacle de la croupe parfaite de ma femme. Je la rejoignis et engageai mon sexe tendu dans sa moule déjà béante :
- Et voilà mon analyse à moi.



- Ce n'est pas poli de ne pas d'abord proposer aux invités. Tu pourrais...
Mais comme je venais en elle, elle ne put terminer sa phrase, se concentrant sur son plaisir. Du coin de l'œil, je vis Bertrand se mettre nu et se masturber en regardant Fabienne prise en levrette.



Je m'écartais alors de Fabienne :
- Monsieur Idalgo, il parait que je suis impoli. Je vous invite à venir baiser ma femme.
- C'est très gênant...
Fabienne s'impatienta :
- Laisse-le, Cédric. Je crois qu'il prend son pied à mater.



Bertrand sembla très vexé de cette remarque. Puisque l'agent immobilier ne semblait pas prêt, je revins plonger mon sexe dans la délicieuse fente de ma chérie. Elle aussi semblait vexée que notre invité ne montre pas davantage d'enthousiasme à venir lui faire l'amour. Tandis que Bertrand s'approchait de nous, se masturbant toujours je me déchaînais pour tenter de lui faire oublier cet échec.



Fabienne eut un petit orgasme, mais je parvins à me retenir pour faire durer le plaisir. Je la basculai sur le dossier du canapé du salon pour la prendre plus tranquillement en levrette. L'agent s'approcha encore, se masturbant juste sous le nez de Fabienne. Elle ouvrit la bouche et il arrêta de se masturber pour la laisser lui lécher la queue.



Fabienne était épuisée. Elle avait déjà joui et semblait impatiente que j'éjacule enfin pour lui laisser le champ libre avec l'agent. Elle se retourna et me lança un regard implorant :
- Tu fais durer le plaisir, salaud...
- Tu veux faire une pause ?
- Je veux bien oui...



Je me retirai et Bertrand s'écarta pour qu'elle s'assoie sur le canapé le temps de reprendre son souffle. Elle regarda l'agent et lui dit :
- Deux belles queues comme ça, rien que pour moi, c'est super, mais c'est crevant !
Ces mots n'étaient destinés qu'à exciter notre hôte puisque Fabienne avait déjà eu l'occasion à plusieurs reprises d'être prise par plusieurs partenaires en même temps.



Je me gardai de lui en faire la remarque. De toute façon, vu la manière dont elle avait accueilli l'agent immobilier, il m'était difficile de lui faire croire que ma femme était prude et réservée. D'ailleurs, tandis qu'elle reprenait son souffle, elle écarta lentement les cuisses pour nous révéler sa moule trempée de cyprine.



Elle ouvrit les yeux et nous sourit :
- C'est pour que vous ne débandiez pas pendant que je reprends quelques forces pour la suite.
- Au pire, tu sauras redresser la situation ma chérie.
Montant à côté d'elle sur le canapé, je lui présentai ma queue pour qu'elle la suce. Bertrand m'imita et elle m'abandonna pour lui lécher la tige.



Quand on fut tous les deux bien raids, elle se releva et fit face à l'agent immobilier :
- Asseyez-vous. Je voudrais que vous mesuriez le fond de ma chatte avec votre gros appareil...
L'image n'avait pas besoin d'être bucolique pour que le gars la comprenne. Il s'assit et Fabienne vint aussitôt s'empaler sur lui pour le chevaucher.



Je ne comptais pas rester à regarder et voir ma femme prise ainsi me donnait très envie de participer. Elle se tourna et me dit, désignant son cul :
- Il reste une place mon chéri.
Ce qui me frappa, c'est que, l'ayant déjà tant limée auparavant, sa moule était grande ouverte et ne semblait pas se suffire de la bite plus modeste de notre invité. Je m'essayai alors à cette nouveauté, guidant ma queue le long de celle de Bertrand dans la fente de ma femme. Elle cria et se retourna :
- Non, pas là !



Je sentais au ton qu'elle prenait que ce n'était pas un faux refus destiné à m'exciter. Elle n'avait pas envie d'être prise en double de cette manière. Je sortis donc ma queue, qui pourtant s'était accommodée de la présence de celle de Bertrand, et je la guidai dans le cul de ma chérie. Il ne me fallut qu'une dizaine de coups de reins pour que Fabienne atteigne l'orgasme et je sentis aussitôt les spasmes de l'éjaculation de l'agent immobilier. J'attendis qu'il ait terminé pour jouir à mon tour, pour la quatrième fois de la soirée et pour la seconde dans le cul de Fabienne.



Epuisée, est resta allongée sur le dos. Elle murmura :
- Merci les gars...
Je me tournais vers Bertrand :
- Alors, votre estimation ?
- C'est une femme magnifique !
Fabienne rigola et tourna la tête pour dire :
- Je crois que Cédric vous demandait votre estimation de l'appartement... Vous savez... votre métier...



Nous rigolâmes tous les trois. Pendant qu'il se rhabillait, il expliqua :
- Je dois rentrer tout ça en informatique. Cela nous donne un résultat que l'on pondère avec les critères négatifs et positifs du bien. Ensuite on compare avec les autres biens sur le marché dans la même commune et seulement après on est en mesure de pouvoir donner une fourchette de prix aux clients. Je peux vous donner cela sous deux jours si vous voulez.
- Ce sera parfait.
Fabienne se leva et l'accompagna jusqu'à la porte, sans prendre la peine de se rhabiller.



- Je repasserais pour vous donner le montant ?
- Envoyez-le par mail, on risque d'être pas mal occupé dans les jours qui viennent.
- Oui, je comprends. Au revoir.
Fabienne referma la porte et s'y appuya, ravie de son début de soirée.
- Félicitation ma chérie. Jamais je n'aurais cru qu'on puisse arriver à un tel résultat sans l'aide de la statuette !!!
- Je suis pleine de ressources, mon chéri...
- Et de sperme !

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Vente immobilière - 3

Avant même de nous avoir donné l'estimation de la valeur de notre appartement, l'agence Immo B.I. avait déjà fait paraître l'annonce sur internet. Si bien que deux jours après sa visite, l'agent nous recontacta pour nous donner la fourchette de prix dans laquelle il fallait qu'on fasse une proposition et nous proposait déjà un rendez-vous. On accepta et dès le lendemain, Bertrand se présenta à nouveau chez nous quelques minutes avant l'heure du rendez-vous donné à la cliente. Quand Fabienne lui ouvrit la porte, il sembla déçu de voir qu'elle était habillée mais il apprécia cependant de voir qu'elle portait une jolie petite robe sombre, courte et suffisamment moulante pour qu'on sache qu'elle ne portait rien dessous.



Nous avions décidé, elle et moi, de profiter de cette visite pour mettre l'agent immobilier à l'épreuve. Il semblait toutefois nettement plus à l'aise que la précédente fois. Il eut un sourire satisfait en voyant Fabienne aller dans la chambre d'ami, se disant qu'il allait encore sans doute pouvoir profiter d'elle. Mais notre plan était bien différent. Il fronça les sourcils quand il me vit mettre un tour de clé à la porte de la chambre d'ami et glisser la clé dans ma poche. La cliente sonna et il se permit d'aller ouvrir pour se présenter :
- Bonjour, je suis Bertrand de l'agence Immo B.I. Entrez. Voici Cédric, le propriétaire. Et voici le bien dont je vous ai parlé au téléphone.
- Alexandra.
La jeune femme était très jolie et portait, comme Fabienne, une petite robe noire très sexy.



Comme elle s'avançait vers moi pour me serrer la main, je vis que Bertrand la détaillait d'un air satisfait, tel un prédateur :
- Bel appartement, monsieur.
- On va vous le faire visiter pour que vous en ayez une idée complète.
Comme Alexandra regardait tout autour d'elle et que Bertrand était concentré sur ses jolies jambes nues, j'en profitai pour ouvrir la boîte posée sur la table basse. L'olisbos s'y trouvait et je l'effleurais rapidement avant de refermer la boîte. L'effet fut immédiat. Alexandra se mit à gémir et s'appuya contre le mur.



Bertrand la regarda, stupéfait :
- Qu'est-ce qui se passe ? Vous allez bien mademoiselle ?
A côté, j'entendais les gémissements de Fabienne dans la chambre d'amis, également sous l'emprise du sortilège. Enfermée, elle tentait d'ouvrir la porte pour me rejoindre et devait probablement déjà se masturber activement. Alexandra se redressa et releva sa petite robe pour se caresser l'entrejambe par dessus sa culotte tout en me regardant droit dans les yeux :
- Oui... Je vais très bien.



Sans me quitter des yeux, elle attrapa sa culotte et commença à la faire glisser. Bertrand ne savait pas où se mettre et, bien que ravi de l'évolution des choses, il semblait inquiet :
- Attendez... Vous me faites une blague ? Vous vous connaissez ?
Mais Alexandra continuait à me regarder et à faire glisser sa culotte.



Quand la culotte fut au sol, je répondis à l'agent immobilier :
- Je ne connais pas votre cliente, mais je crois qu'elle a très envie de faire l'amour...
- Vous plaisantez ! Qu'est-ce qui se passe ici ? L'autre fois votre femme, maintenant ma cliente. Comment vous faites ça ?
Il continuait à regarder autour de lui, à la recherche d'une éventuelle caméra. Peut-être songeait-il qu'on puisse vouloir le compromettre. En même temps, il n'arrivait pas à détacher son regard de la jeune femme qui continuait à s'exhiber en me fixant, commençant à dégager sa poitrine.



Elle avait le regard brûlant et à la fois brumeux, complètement sous l'emprise du sortilège. Elle murmura à mon attention :
- J'ai trop envie de vous...
Quand elle eut bien dégagé ses seins, elle se mit à se caresser la poitrine et l'entrejambe sous le regard ahuri de Bertrand.



Comme elle s'avançait vers moi, je lui désignais l'agent immobilier :
- Lui d'abord.
C'était la première fois que j'expérimentais cet aspect : donner un ordre à une fille qui était sous l'emprise du sortilège. Et je fus ravi de constater que cela fonctionnait parfaitement. Le sortilège l'obligeait apparemment à me satisfaire et elle se jeta donc sur Bertrand pour libérer son érection. Elle s'agenouilla devant lui et commença à le masturber.



Le pauvre semblait perdu mais résigné. Il laissa la jeune femme opérer, admirant sa poitrine tandis que sa main coulissait le long de son sexe tendu. Il lui demanda quand même :
- Mademoiselle, pourquoi faites-vous ça ?
Elle le regarda droit dans les yeux avant de répondre :
- Parce qu'il me l'a demandé.
Puis elle lui retira son pantalon et son caleçon et entrouvrit la bouche.



L'agent immobilier, pris par cette tornade sensuelle, se laissa tomber sur le canapé derrière lui. La jeune femme vint s'installer aussitôt entre ses cuisses pour reprendre sa masturbation. Elle semblait avoir une grande expérience de la fellation car elle commença par sucer le bout du gland comme s'il s'agissait d'une glace, tout en s'amusant à faire frotter ses seins contre les cuisses et les testicules de Bertrand.



J'avais une trique d'enfer à regarder cette scène et je me sentais tout puissant. Sans doute que si je demandai à la jeune femme de se faire enculer par un car de rugbymen, elle le ferait sans broncher. Je lui dis :
- Allongez-vous sur le canapé pour continuer à le sucer.
Alexandra obéit. Je me mis rapidement nu et vins m'installer derrière elle. Je retroussais sa robe et elle écarta instantanément les cuisses, précédent mon désir. Je n'eus aucune peine à la pénétrer et c'était délicieux de profiter de ce fourreau brûlant.



Mais je pris garde à ne pas jouir car je savais que cela signifiait que le sortilège serait rompu et qu'il me faudrait réutiliser l'olisbos. Or, nous voulions avec Fabienne mettre notre agent immobilier à l'épreuve et je ne voulais pas surexploiter l'olisbos comme j'avais pu le faire avec la clerc de notaire. Bertrand, par contre, ne se retint pas du tout. Il se dégagea soudain de la bouche de la jeune femme et vint se positionner au-dessus de sa poitrine pour éjaculer, laissant son sperme couler sur le menton et entre les seins d'Alexandra.



Je m'écartais également et j'en profitais pour aller ouvrir à Fabienne qui devait être épuisée à force de sa masturber. Quand j'ouvris la porte je la découvris assise par terre, cuisses écartées et la chatte en feu. Elle bredouilla :
- Putain, j'ai dû me masturber et j'ai bien dû jouir dix fois...
- Et tu es toujours sous l'emprise du sortilège ?
- Non, c'est curieux... J'ai très envie de te faire jouir mais j'ai l'impression qu'à chaque orgasme, je reprenais un peu plus le contrôle de moi-même.



- Bon à savoir. Viens, tu seras mieux avec nous qu'enfermée ici, même si c'était indispensable.
Quand je revins dans le salon, Alexandra s'était redressée et avait du sperme de Bertrand qui coulait toujours de son menton. Elle avait terminé la mission que je lui avais donnée. Elle s'adressa à moi :
- Maintenant, je veux vous faire jouir.



- Attendez, ma femme va vous nettoyer un peu avant.
Alexandra semblait trépigner, impatiente de pouvoir venir me faire jouir, mais elle devait m'obéir et elle attendit donc que Fabienne revienne avec une serviette. Fabienne lui retira sa robe et lui essuya méticuleusement le visage et les seins.



Fabienne la regarda :
- Voilà, vous êtes toute propre.
Dès que Fabienne se releva, Alexandra se tourna vers moi et se mit à nouveau à se caresser partout :
- J'ai trop envie de vous !



- Ok mademoiselle. Asseyez-vous et continuer à vous caressez.
Elle obtempéra aussitôt et je la vis, cuisses écartées, faire tourner son index sur son clitoris gorgé de sang. Bien que je bandais déjà au maximum, je voulais essayer cette bouche qui avait déjà fait merveille avec l'agent immobilier. Dès que je m'approchai, elle goba mon sexe et se mit à le sucer.



Bertrand, toujours nu, nous regardait, sans débander :
- Monsieur Idalgo, la bouche de votre cliente est sublime !
- Oui, je n'ai pas résisté...
- Moi je vous conseille sa moule, puisque vous semblez encore d'attaque.
Lui n'avait pas besoin d'être sous l'emprise d'un sortilège pour m'obéir. Son seul désir suffisait et il vint se positionner entre les cuisses d'Alexandra pour guider son sexe dans sa fente. La jeune femme faillit me faire jouir et je dus m'écarter quelques instants pour reprendre le contrôle, laissant le champ libre à l'agent immobilier.



Comme la jeune femme se redressait pour tenter de reprendre mon sexe en bouche, malgré Bertrand qui la pistonnait, Fabienne vient temporiser et se mit à lui caresser les seins :
- Doucement mademoiselle... Il faut faire durer le plaisir.
Mais elle voyait bien que ses mots n'avaient aucun pouvoir sur la jeune femme. Elle saisit donc mon sexe et l'écarta de la bouche d'Alexandra.



Je dus intervenir pour calmer Alexandra qui ne semblait pas apprécier qu'on lui retire sa friandise :
- Concentrez-vous sur notre ami, mademoiselle.
Elle se rallongea alors docilement et regarda l'agent immobilier continuer à aller et venir en elle. Bertrand parvint à la faire jouir et les soubresauts de la demoiselle déclenchèrent son propre plaisir. Il ne tint pas aussi bien que moi, mais c'était bien notre objectif. Au bord de l'éjaculation, il sortit de la jeune femme pour venir se positionner à nouveau au-dessus de ses seins. Le premier jet vint la fouetter en plein visage.



Cette fois-ci, Bertrand semblait avoir plus d'énergie et ses jets étaient nettement plus puissants que lors de sa première éjaculation. Le deuxième jet s'engouffra intégralement dans la bouche d'Alexandra, puis les suivants s'écoulèrent plus timidement sur les seins de la demoiselle. Quand l'éjaculation fut terminée, elle attrapa le sexe encore gonflé et le masturba pour en extraire les dernières gouttes. Constatant que c'était terminé, la jeune femme referma la bouche et avala ce qu'elle avait reçu.



Comme Bertrand commençait à débander, je pris les devant pour le garder au mieux de sa forme :
- Mademoiselle, continuez à branler notre ami pour qu'il conserve son érection.
Elle obéit aussitôt et se mit à masturber l'homme alors qu'elle avait du sperme plein les seins.



Fabienne me demanda :
- Je l'essuie encore ?
- Oui, merci ma chérie.
Fabienne vint alors lui essuyer à nouveau les seins. Pour ma part, j'étais assis à côté et mon sexe tenait une forme olympique. Dès qu'elle eut repris un peu ses esprits, Alexandra se releva et vint s'agenouiller sur le canapé pour se jeter sur ma queue, comme si sa vie en dépendait.



Je bandais tant depuis si longtemps qu'il n'en aurait pas fallu beaucoup pour me faire jouir et ma concentration commençait à être de plus en plus mauvaise. Alexandra jouait de sa bouche et de sa langue autour de mon gland et j'étais à deux doigts de la laisser m'achever, de succomber au plaisir d'exploser entre ses lèvres et de voir sa tête quand le sortilège serait rompu. J'allais me laisser aller quand Fabienne me tira de ma douce torpeur :
- Attention, elle va t'avoir...
Alexandra me regardait tout en me suçant le gland, sentant que j'étais au bord de l'éjaculation.



- Non, je ne veux pas jouir dans ta bouche.
Elle s'arrêta de me sucer et releva la tête. Je pus lire dans ses yeux qu'elle avait l'intention évidente de me chevaucher, mais Fabienne vint heureusement à mon secours. Elle s'était positionnée derrière la jeune femme et avait enfoui son visage entre ses fesses pour lui bouffer le moule. Prise dans une vague de plaisir, Alexandra ne put pas me retenir et je pus m'écarter pour m'installer sur le canapé en face, le temps de reprendre le contrôle, regardant ma femme faire minette à cette femme qu'on ne connaissait pas une demi-heure auparavant.



A cause du spectacle qui ne me le permettait pas vraiment, je ne débandais pas, mais j'avais repris le contrôle. Fabienne donna son second orgasme à la jeune femme. Je me dis que c'était une bonne chose car la succession des orgasmes allaient l'aider à reprendre le contrôle et mon éjaculation lui ferait moins l'effet d'une chute. Quand Fabienne la laissa, Alexandra se releva, les jambes flageolantes, encore sous le coup de son orgasme et elle vint me rejoindre pour me chevaucher.



C'était un vrai délice que de sentir ce délicieux fourreau évoluer autour de mon sexe. Elle devait être épuisée mais continuait coûte que coûte puisque je n'avais toujours pas joui. Parvenant à me contrôler, je profitais de cette pénétration sans trop bouger pour ne pas déclencher mon plaisir. Mais je ne me privais pas pour lui embrasser les seins et lui caresser les fesses.



Comme Bertrand commençait à débander, Fabienne vint s'agenouiller entre ses cuisses et commença à le masturber. Il était ravi :
- Aaaaah, Fabienne. Je ne comprends pas pourquoi Cédric vous a enfermé tout à l'heure mais c'est un plaisir de vous voir profiter de cette incroyable sauterie.
Sans lui répondre, elle lui suça les couilles puis lui lécha la verge, jusqu'à ce qu'il soit parfaitement en érection.



Puis, elle se leva et lui dit :
- Vous voilà à nouveau prêt.
Comme il ne semblait pas comprendre, elle précisa :
- Je crois qu'Alexandra a encore une place pour vous...
- Peut-être, mais moi, c'est de vous que j'ai envie maintenant.
- Cela ne fonctionne pas comme ça. Allez sodomiser votre cliente.
Un peu perturbé par le ton directif de ma femme, Bertrand se leva malgré tout pour nous rejoindre Alexandra et moi. Je ne tardai pas à sentir le sexe de Bertrand trouver sa place dans l'étroit canal de ma partenaire.



Prise en sandwich, Alexandra se mit à crier et, en moins d'une minute, elle eut un orgasme. Moi, je ne bougeais pas et laissait Bertrand donner le rythme à nos ébats. Quand Alexandra reprit ses esprits, je vis un changement dans son regard. Elle était en train de reprendre le contrôle. Mais elle ne semblait ni fâchée, ni perturbée. Elle semblait juste profiter de la situation. Je l'entendis soupirer :
- Quel pied !



J'en profitai pour la soulever par la taille et me dégager. Elle sembla contrariée, preuve que le sortilège fonctionnait quand même encore :
- Ne partez pas, j'ai trop envie de vous.
- Profitez de Bertrand, pour le moment.



L'agent immobilier ne semblait de toute façon pas vouloir la laisser partir avant d'en avoir finit. La saisissant aux avants bras, il continua à aller et venir en elle jusqu'à ce que l'éjaculation arrive à nouveau. Je le vis s'immobiliser. Ses couilles se contractèrent. Il devait être en train de décharger sa sève dans son cul tandis qu'elle gémissait de plaisir.



Mais Bertrand était plus robuste qu'il n'y paraissait. Malgré son éjaculation, il recommença à limer le cul d'Alexandra voulant de toute évidence lui donner un nouvel orgasme. Effondrée sur le canapé tandis qu'il la ramonait, la jeune femme criait. J'admirais ses seins qui ballotaient au rythme des assauts de Bertrand. Le corps de la demoiselle se mit alors à vibrer. Le plaisir était là à nouveau.



Elle s'effondra dans un gémissement strident. Bertrand se retira. Après une bonne minute, elle rouvrit les yeux et me regarda. Son regard avait un mélange de reconnaissance, preuve du réel plaisir qu'elle prenait, et de soumission, preuve que le sortilège était toujours effectif. Me voyant toujours en érection, elle se releva. Je vis à sa démarche qu'elle était épuisée. Pourtant, elle me tourna le dos et vint s'empaler sur ma queue en gémissant.



Je ne voulais pas jouir ainsi et pensais être capable de tenir encore un peu :
- Alexandra, je voudrais vous prendre en levrette.
Sans discuter, elle se leva et alla se mettre à quatre pattes sur le canapé d'en-face pour me présenter sa magnifique croupe.



Je vis que Bertrand était lui aussi obnubilé par cette sublime croupe et qu'il bandait à nouveau :
- Monsieur Idalgo ? Vous vous sentiriez encore d'attaque ?
- Je ne sais pas...
- Il faut essayer !
Il semblait lui aussi épuisé mais il alla rejoindre Alexandra et, comme je l'y invitais, il la prit en levrette. Elle me regardait avec un regard triste, contrariée que ce soit encore l'agent immobilier et non moi qui la prenne.



Je regardai Fabienne. Elle avait les yeux écarquillés :
- C'est dingue...
Je lui demandai :
- Tu crois qu'on va trop loin ?
- Non, je suis impressionnée par l'agent immobilier. Il a déjà joui trois fois !
Et il semblait ne pas vouloir en rester là et vu comment Alexandra gémissait, elle n'allait pas tarder à jouir à nouveau.



Fabienne me dit :
- Je crois qu'elle est à mi-chemin...
- Que veux-tu dire ?
- Elle a déjà eu pas mal d'orgasmes et elle doit commencer à être consciente de ce qu'il se passe. Le sortilège a moins d'emprise sur elle.
- Tu veux dire que le sortilège n'a plus d'effet sur elle ?
- Je ne sais pas... En tout cas, elle est encore en train de jouir...
La jeune femme avait effectivement un nouvel orgasme. Bertrand ferma les yeux et s'immobilisa. Il était évident qu'il éjaculait pour la quatrième fois.



Ils prirent une bonne minute à se ressaisir, tous les deux épuisés mais, semblait-il, heureux. Quand Bertrand se retira, Alexandra se mis assise et attrapa son sexe encore gonflé pour le sucer. Comme elle ne s'était pas jetée sur moi, je compris que le charme était sans doute rompu. Je m'approchais pour lui présenter mon érection. Elle la saisie pour la masturber tandis qu'elle finissait de nettoyer le sexe de l'agent immobilier.



Mon sexe était gonflé à bloc et je savais qu'il allait être impossible maintenant de pouvoir contrôler mon éjaculation. Quand elle délaissa le sexe de Bertrand, ce fut pour se concentrer sur ma tige raide. Elle avait une façon bien particulière de me tenir la base du sexe en faisant glisser la paume de sa main sur mes couilles, ce qui me fit frémir de plaisir. Je sentis mes couilles frétiller, ma sève se mit à monter.



Elle comprit que l'éjaculation était imminente. Elle ouvrit grand la bouche et se mit à me caresser plus franchement les testicules. Je saisis mon sexe pour l'orienter correctement vers la bouche béante qui attendait. Je râlais tandis que des frissons me parcouraient l'échine. Mon sperme se mit à jaillir, épais et chaud. Les yeux fermés, elle l'accueillit sur sa langue et au fond de sa bouche.



Quand elle rouvrit les yeux, je pus y lire comme un soulagement. Je venais de la délivrer du sortilège. Aucune colère, pas de protestation. Il me semblait même y lire de la reconnaissance pour le plaisir qu'elle avait pu prendre à tout cela. Elle n'avala pas mon sperme et le laissa s'écouler de sa bouche et regardant Fabienne.



Bertrand la regarda, admiratif :
- Vous avez un sacré tempérament !
- Vous trouvez ?
- Vous m'avez fait jouir quatre fois !
- Ah oui ?
Elle semblait surprise.



Elle se tourna vers Fabienne :
- Je ne comprends pas... Je suis venue visiter votre appartement. Puis c'est un peu flou, un désir immense, l'envie irrésistible de faire jouir votre mari, presque un besoin vital... Vous m'avez fait boire quelque chose tout à l'heure ?
Fabienne s'approcha d'elle et lui essuya la bouche et les seins :
- Rien du tout. Mais vous avez assuré.
- Je n'ai jamais autant joui...



Elle ramassa sa robe et commença à l'enfiler :
- En tout cas, merci pour la visite !
- Vous n'avez vu que le séjour.
- Oui, mais ça m'a suffit. De toute façon, je n'ai pas les moyens de me payer un appartement comme celui-ci.
Il ne lui restait plus qu'à ajuster sa poitrine dans la petite robe.



Bertrand était encore en hypnose devant la poitrine de la jeune femme. Dès qu'elle eut rajuster le haut de sa robe dessus, l'agent immobilier sembla sortir de son hypnose, comme s'il avait lui aussi été sous l'emprise d'un sortilège puissant : le charme féminin. Les mots de la jeune femme résonnèrent à ses oreilles :
- Attendez... Vous m'avez laissé vous faire visiter cet appartement alors qu'il n'est pas dans vos prix ?
- Oui, juste par curiosité...
Fabienne rigola :
- C'est un vilain défaut, la curiosité...
- Peut-être mais ça m'a permis de jouir comme jamais je n'avais joui.



L'agent immobilier se rhabilla rapidement sans commenter le comportement de sa cliente car lui non plus n'avait pas lieu de se plaindre. Il essaya même d'en profiter :
- Si vous voulez Alexandra, je peux vous faire visiter plein d'autres biens très intéressants.
Elle lui fit un clin d'œil et ils se dirigèrent tous les deux vers la sortie.
Quand la porte se referma, Fabienne vint se lover contre moi :
- Bravo mon chéri. Tu as été très performant.



- Toi tu n'as pas vraiment profité de la situation...
- J'ai quand même joui et c'est de toute façon ce qu'on avait prévu.

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Vente immobilière - 4


La première visite n'ayant pas été concluante, du moins concernant la vente de notre appartement, nous avons contacté régulièrement M. Idalgo pour savoir s'il avait de nouveaux clients. Il nous répondait systématiquement négativement, et Fabienne me fit part qu'elle le soupçonnait de n'accepter que les visites de jeunes filles célibataires. On décida donc de ne pas nous contenter des visites de l'agence immobilière et de déposer une annonce sur Le Bon Coin. Le soir même, on sonna à notre porte. C'est moi qui ouvris et j'eus la surprise de découvrir Pauline, la fille qui m'avait volé l'olisbos.



- Bonjour Cédric.
- Pauline ?
- Je recherche un appartement à acheter et je viens de tomber par hasard sur votre annonce sur internet... Je viens vous voir parce que je suis très intéressée.
L'accueillant avec un grand sourire et un début d'érection, je la fis entrer. Fabienne étant dans la chambre je commençai la visite par le salon, rapidement puisqu'elle le connaissait déjà, puis la cuisine.



Fabienne arriva derrière moi et reconnut Pauline :
- Pauline, je suis contente de revoir celle qui a fait bander et éjaculer mon mari sans avoir jamais baisé avec lui.
Pauline semblait très gênée même si Fabienne plaisantait.



- Oui, j'ai un peu honte quand j'imagine que j'ai dû vous l'épuiser...
- Oh, n'ayez aucun scrupule. J'en ai vraiment bien profité. Et vous savez, pour épuiser Cédric, il faut se lever tôt. Il y a quelques jours, il a pu enchaîner cinq éjaculations.
- Cinq fois ??? C'est impossible...



Fabienne semblait très fière d'annoncer cela.
- Je n'étais pas présente, mais quelques jours après il a joui quatre fois avec moi.
Je commençai à être un peu à l'étroit dans mon pantalon. Avec un regard de braise, Fabienne ajouta :
- Et il aurait sûrement pu faire mieux...



Pauline demanda :
- C'est grâce au godemiché magique ?
- Les cinq fois, oui. Mais les quatre fois avec moi, c'était sans aucun artifice.
Pauline semblait dubitative :
- Non, vous vous moquez de moi... Je ne crois pas que ce soit possible...
Fabienne, agacée, libéra mon sexe gonflé et commença à me masturber sous le regard éberlué de Pauline.
- Chérie, tu ne comptes quand même pas me faire jouir cinq fois de suite devant notre voisine ?
- Tu crois que tu n'en es pas capable ?
La coquine jouait avec ma fierté. Je la laissai donc faire et j'en profitai pour relever sa robe et lui caresser les fesses.



En voyant que Fabienne ne portait absolument rien sous sa petite robe, Pauline s'exclama :
- Ah tiens ! Moi non plus je ne mets pas de culotte.
Sous nos yeux ébahis, Pauline retira sa jupe, totalement impudique.



Le ton était donné pour la suite de la visite. Fabienne commença à me retirer mon pantalon :
- Bon, il semble que ce soit une visite "culs-nus"...
Fabienne acheva de me déshabiller, me retirant également ma chemise. Je bandais comme un taureau.



Pauline demanda :
- Heu, on fait quoi là ? On visite ou bien on teste l'endurance de Cédric ?
Fabienne répondit :
- Tu as mis en doute ses capacités... Je crois que la visite va attendre.
- Ok, mais c'est moi qui teste...
Pauline acheva de se mettre nue en retirant aussi son débardeur.



Fabienne répondit :
- On va en profiter pour vous faire visiter la chambre...
A peine entrée, Pauline s'allongea sur le dos, cuisses écartées, accueillante. Il était difficile pour moi de résister, d'autant que Fabienne me poussait vers elle. Je n'eus aucune peine à guider mon sexe tendu dans sa fente pour la pénétrer.



Une fois mon sexe plongé dans la fente humide de notre voisine qui commençait à gémir, j'eus le sentiment que ce n'était pas la première fois que je faisais cela, mais c'était l'olisbos qui avait pénétré la demoiselle à plusieurs reprises et c'est lui qui m'avait transmis ces sensations. Alors que je commençais à aller et venir dans le délicieux fourreau de Pauline, Fabienne me posa la main sur le torse :
- Vous me faites une petite place ?
Elle se pencha alors entre nous et se mit à lécher le clitoris de Pauline pendant que je continuais à la limer tranquillement.



Pauline gémissait de plus en plus. Je pense que la manœuvre de Fabienne, plus que ma propre pénétration, fut le déclencheur du premier orgasme de notre voisine. La brunette se mordit les lèvres et poussa de petits cris aigus tandis que son corps subissait de légères convulsions. Comme une réaction en chaîne, cela suffit à déclencher mon éjaculation. Je sortis alors ma queue prête à exploser pour éjaculer sur son ventre afin qu'elle ne puisse discuter cette première jouissance.



Elle redressa la tête et me sourit :
- Cela fait une fois... Allez hop ! Au boulot.
Elle saisit ma verge encore frétillante et la représenta contre sa moule avec le désire manifeste que je la pénètre à nouveau.



- Encore ?
- S'il faut me prouver que vous pouvez jouir cinq fois ce soir, autant ne pas perdre de temps. Et cette première éjaculation est arrivée un peu vite à mon goût...
J'obtempérais et plongeai avec plaisir ma verge encore tendue dans son sexe chaud.



Je sentais qu'elle s'amusait à contracter son ventre autour de ma queue, me redonnant rapidement une forme olympique. Elle se mit encore à gémir. Toutefois, je fus plus rapide qu'elle pour mon deuxième orgasme. Me sentant venir, elle eut un petit sourire et dit :
- Je crois que ça vient...
Je sortis à nouveau mon sexe turgescent pour exploser une deuxième fois, lui nappant à nouveau le ventre et l'entrejambe de ma semence épaisse.



Je m'amusai à étaler ma crème sur la fente encore entrouverte de Pauline. Fabienne se pencha sur elle et lui caressa un sein :
- Vous avez besoin d'aide ?
- C'est gentil, mais pour le moment, ça va. Cédric est un bon baiseur. C'est étonnant car j'ai l'impression de déjà connaître sa queue grâce au godemiché...



Fabienne fut un peu frustrée par la réponse car elle aurait volontiers profité elle aussi de mon sexe vigoureux. Vexée, elle se tourna vers moi et m'encouragea à continuer:
- Vas-y mon chéri. Prends-la encore jusqu'à ce qu'elle soit totalement recouverte de ta semence.
Malgré cela, elle ne semblait pas vouloir se contenter de regarder et elle retira sa robe pendant que je reprenais mon souffle.



Pauline dut trouver que l'idée de Fabienne n'était pas mauvaise car elle garda les cuisses ouvertes et me regarda droit dans les yeux :
- Vous êtes un homme docile. Vous allez obéir à votre femme, n'est-ce pas ?
Pas besoin d'être docile pour enfoncer ma queue dans sa fente brûlante, être un homme me suffisait. Je la pénétrai donc à nouveau.



Fabienne s'allongea sur le lit à côté de nous et commença à se caresser le clitoris. Ses gémissements commencèrent à se faire entendre et Pauline dut trouver cette concurrence dérangeante. Aussi se mit-elle à gémir de plus en plus, m'encourageant à continuer :
- Oh oui Cédric ! C'est si bon ! Continuez ! Ooooooh !
A côté, Fabienne se masturbait, sans prêter attention à ce qui semblait être de la provocation.



Pauline eut un second orgasme, nettement plus puissant que le précédent. Son bassin fut pris de convulsions au point que j'eus du mal à continuer à la prendre. Mon sexe finit par se retrouver éjecté de sa fente juste au moment où je me mis à éjaculer pour la troisième fois. Surpris, je n'eus pas la présence d'esprit de tenir ma queue alors que le sperme giclait en saccades en tout sens. Je ne le pris en main que lorsque l'éjaculation fut achevée.



Pauline était encore secouée de spasme et je considérais avec étonnement tout le sperme qui couvrait son corps : elle en avait sur le ventre et la fente, mais surtout sur les cuisses. Fabienne se leva pour nous rejoindre. Elle aussi était admirative mais ne voulait pas faire de commentaire pour laisser croire à notre invitée que c'était tout à fait normal et qu'elle était habituée à autant de semence. Pauline se calma et ferma les yeux quelques instants.



Fabienne profita que Pauline était à demi-inconsciente pour se pencher et me lécher le gland. Redressant la tête, Pauline ne se formalisa pas vraiment de sa présence mais montra son étonnement :
- Je n'en reviens pas d'une telle quantité de sperme !
Fabienne, avec un peu de sperme au menton, s'arrêta de me sucer pour lui dire :
- Rien d'étonnant avec l'entrainement que je lui donne.
- Oh, je vois... Puisque vous êtes dans les nettoyages, Fabienne, vous seriez bien aimable de me lécher tout ça avant qu'on continue.



Fabienne lui sourit :
- Bien volontiers ! Le sperme de Cédric est un véritable nectar.
Elle se pencha entre les cuisses écartées de Pauline et lui lécha les cuisses, le ventre et la moule, centimètre par centimètre.



Bien sûr, ma chérie s'attarda sur la fente trempée de cyprine de Pauline et plus particulièrement sur son petit clitoris. La jeune femme qui se remettait à peine de son orgasme se remit rapidement à gémir. Fabienne s'installa plus confortablement entre ses cuisses et s'amusa à faire tourner la pointe de sa langue autour du petit appendice de chair, jusqu'à donner un nouvel orgasme à notre amie.



Fabienne se releva alors et vint se placer au-dessus de Pauline. Celle-ci avait les yeux fermés et la bouche ouverte pour reprendre son souffle. Je fus alors ébahi de constater que Fabienne avait léché tout mon sperme, sans l'avaler ! Je vis un filet de sperme quitter ses lèvre et tomber dans la bouche de Pauline. Pauline ouvrit les yeux et sourit. Elle avala ma semence et dit :
- Effectivement, c'est bon...



Elle ouvrit alors grand la bouche pour recevoir la suite. Fabienne entrouvrit ses lèvres et laissa un nouveau petit filet atteindre la langue de Pauline. Pauline avala à nouveau et demande :
- C'est tout ce que vous m'avez gardé ?
Fabienne ouvrit alors grand la bouche et lâcha tout ce qu'elle avait encore. Pauline se rendit alors compte que ça faisait beaucoup plus que ce à quoi elle s'attendait...



Une fois la bouche vidée, Fabienne rigola :
- Cela vous suffit ?
Pauline avala ce qu'elle put avant de répondre :
- Je me suis faite avoir...
Ma chérie entreprit alors de lécher ce qui avait débordé de sa bouche.



Tout ceci m'avait encore sacrément excité et je ne débandais pas d'un millimètre. J'allais revenir à l'assaut de Pauline qui gardait encore les cuisses grandes ouvertes, pour tenter ma quatrième éjaculation. Mais on sonna à la porte. Fabienne se releva et s'essuya le menton du revers de la main :
- Je vais voir. Continuez.
Je ne me privais pas pour venir rejoindre à nouveau le délicieux fourreau de Pauline, sans prendre conscience que Fabienne était aller ouvrir la porte sans se rhabiller.



Un grand noir se tenait devant la porte. C'était un coursier qui tenait une grande enveloppe et n'en revenait pas de se faire ouvrir la porte par une magnifique jeune femme nue :
- Bonj...
- Bonjour.
- Je... J'amène ça de la part de maître Drannoc. C'est avec accusé de réception, il me faut la signature de monsieur.
Fabienne fit signe au gars de rentrer et m'appela :
- Cédric ! Un courrier à signer pour le monsieur.
Le noir ne se priva pas d'admirer la superbe croupe de ma femme.



Je répondis :
- Je suis dans la chambre mais je suis occupé. Il peut venir ?
Quand il arriva dans la chambre, le coursier fut subjugué de découvrir un couple en train de faire l'amour et moi je fus ébahi de voir la bosse incroyable qui déformait son entrejambe. Et tandis que je baisais Pauline, je vis qu'elle aussi venait de découvrir la proéminence phénoménale de l'entrejambe du coursier.



J'étais au bord de l'éjaculation et je ne me retins pas. Sans quitter le fourreau brûlant de Pauline, je me répandis en elle, laissant ma sève inonder son ventre. Je sortis, avec encore quelques gouttes de sperme qui s'échappaient de ma queue et vint à la rencontre du facteur pour signer. Pendant que je signais, je vis que le facteur gardait les yeux fixés sur Pauline. Il faut dire qu'elle gardait les cuisses écartées et qu'une partie de mon foutre s'échappait lentement de sa fente.



- Pauline, vous êtes indécente.
- Vous êtes bien placé pour me donner des leçons de décence.
Pauline resserra les cuisses et cacha sa poitrine nue avec une main.



Le noir intervint :
- Vous êtes chez vous. Vous faites ce que vous voulez...
Fabienne désigna alors l'entrejambe du coursier :
- Question décence, avec l'érection que vous avez, vous n'êtes pas mal non plus... Vous nous la montrez ?
- Pardon ?
- Vous avez deux filles à poil devant vous, la moindre des politesses seraient de respecter les coutumes vestimentaires de vos hôtes, non ?
Le gars hésita un instant mais, voyant l'opportunité qui s'offrait à lui, il décida de se mettre à poil.



Fabienne et Pauline étaient subjuguées de découvrirent la taille imposante du sexe du coursier. Celui-ci semblait amusé par leur réaction :
- Alors les filles ? On veut essayer une bite noire ? Vous allez voir, c'est bon l'ébène...
Pauline avait rouvert ses cuisses et se caressait la moule en regardant le formidable morceau de chair. L'homme s'avança vers elle, le sexe en main.



Fabienne me murmura :
- C'est prodigieux, mais il va la déchirer...
Pauline l'entendit et répondit :
- Cédric m'a bien préparée et je vais lui aussi le préparer. Approchez bel homme, que je goûte à ce morceau de choix.
Le black monta sur le lit et vint lui fourrer son sexe dans la bouche.



Pauline le suça jusqu'à ce qu'il soit bien raide. Quand elle arrêta sa fellation, l'homme comprit qu'il était temps de passer entre les cuisses de la demoiselle. Il eut un instant d'arrêt en voyant mon sperme qui s'écoulait encore un peu de la fente de Pauline, mais celle-ci acheva de le convaincre :
- Le passage a été préparé et lubrifié généreusement. Tu n'auras aucune peine...
Et effectivement, l'homme n'eut pas la moindre difficulté à faire pénétrer sa grosse queue dans la fente offerte.



Pauline gémissait déjà plus significativement, ce qui me vexa un peu. Mais elle fut moins heureuse quand il se dégagea en disant :
- Trop large par là... Je veux essayer l'autre.
Pauline avait parfaitement compris de quoi il parlait mais il était trop tard. Déjà il engageait son sexe immense dans l'anus de la jeune femme brune.



Pauline criait, mais moins d'une minute après le début de cette sodomie impressionnante, elle eut un orgasme terrible qui me fit craindre que des voisins n'appellent la police. Le coursier ne tint pas beaucoup plus longtemps et, quand il sortit son sexe de l'étroit fourreau, ce fut pour lâcher une quantité impressionnante de sperme sur l'entrejambe de Pauline.



Il semblait très satisfait :
- Je ne comprends pas très bien les liens entre vous, mais je vous remercie, j'ai passé un moment extra.
Comme si c'était naturel, il alla présenter à la bouche de Pauline son sexe dont le gland était un peu maculé de sperme. La jeune femme ne discuta pas et nettoya consciencieusement la tige noire.



- Merci ma belle.
L'homme descendit du lit et se rhabilla rapidement. Cette scène de pénétration incroyable m'avait empêché de débandé malgré ma grande fatigue et cela amusa Fabienne. Fabienne raccompagna le coursier noir à la porte, toujours nue :
- Merci pour la lettre. Au revoir !



Dès qu'elle fut revenue, elle félicita Pauline :
- Je suis sur le cul ! Que vous ayez pu le prendre dans la chatte est une chose, mais, dans le cul, c'était impressionnant.
- Du coup, tout votre travail de nettoyage est à refaire, Fabienne...
Fabienne n'était pas contre et vint s'agenouiller entre les cuisses de Pauline pour lui sucer la moule à nouveau. Notre voisine se remit à gémir aussitôt qu'elle sentit la langue de ma femme sur sa moule.



Pauline mit ses mains sur la tête de Fabienne pour l'obliger à continuer, désirant de toute évidence aller jusqu'à l'orgasme. Mais ma petite coquine voyait les choses différemment. Elle se dégagea et se tourna vers moi :
- Il te faut au moins égaler ta performance de l'autre jour, mon chéri !
- Pauline veut peut-être essayer une autre position ?
Fabienne répondit pour elle :
- Non, dans cette position, elle sera aux premières loges pour te voir gicler et c'est tout ce qui lui importe.



Pauline sourit, ne contredisant pas Fabienne. Elle avait encore les cuisses largement écartées, la fente offerte. J'en vins à me demander si elle n'était pas bloquée dans cette position. J'avais eu un peu de temps pour me ressourcer et ma queue était à nouveau raide. Je pénétrais sa fente que la bite gigantesque du noir avait laissée béante. C'était encore un délice de progresser dans ce fourreau humide et chaud.



La chatte de Pauline était malgré tout devenue hyper sensible à force de pénétrations et la jeune fille brune se mit aussitôt à gémir en écartant les lèvres de sa moule. Ma bite aussi était hyper sensible et il me fallu assez peu de temps pour sentir un nouvel orgasme monter. Je sortis immédiatement ma queue et me mis à l'astiquer jusqu'à ce que ma semence gicle et vienne s'écraser sur le ventre de notre voisine. Elle me souriait, de toute évidence satisfaite.



Fabienne, très patiente, commenta :
- Vous voyez ? Cinq fois ! C'est un étalon mon homme. Et il peut certainement y arriver encore une dernière fois.
J'étais passablement épuisé et je sentais que Pauline aussi avait eu son compte. Mais Fabienne insista :
- Allez mon chéri, montre-lui que tu peux une sixième fois.
Pauline gardait les cuisses écartées et murmura :
- Essayez, ça ne coûte rien...
Sans attendre que Fabienne vienne lui nettoyer le ventre, elle saisit à nouveau mon sexe, d'où s'écoulaient encore quelques gouttes de sperme, pour la guider dans sa fente offerte.



Cette fois-ci, Pauline eut un orgasme, mais elle était si épuisée que cela ne se vit que par de légères convulsions au niveau du bassin. Elle ferma les yeux et me laissa aller et venir en elle, tranquillement. Je regardais avec plaisir ses seins qui ballottaient au rythme de ma pénétration et je me félicitai de pouvoir maintenir une telle érection après autant d'éjaculations.



Finalement, après quelques minutes un peu longues, je sentis à nouveau le plaisir monter. Je quittai le délicieux fourreau de Pauline pour me masturber au-dessus d'elle. Elle ouvrit alors la bouche, mais ce qui était en réalité de la béatitude, je l'interprétais dans le feu de l'action comme un désir que je jouisse dans sa bouche. Je m'avançai alors autant que possible au-dessus d'elle en me masturbant et mon sperme se mit à gicler pour la dernière fois. Comment pouvais-je avoir encore autant de semence dans les couilles après toutes ces éjaculations ? Le premier jet vint s'écraser entre les seins de la demoiselle et lui éclaboussa une partie du visage.



Comme elle ferma aussitôt le bouche, je compris que je m'étais mépris sur son attente et je terminai de jouir en laissant mon jus s'écouler lentement sur son ventre, sans même tenir ma queue. Pauline leva une main et se mit à compter sur ses doigts.
- Donc un. Deux...
Fabienne la devança :
- Six ! Il a éjaculé six fois !



Pauline me regarda avec admiration. J'étais fier mais épuisé. D'ailleurs, ma queue se mit à débander presque aussitôt, estimant avoir mérité un peu de repos. Fabienne s'approcha de Pauline :
- Mon mari est généreux n'est-ce pas ?
Elle commença à lui lécher le ventre. Pauline répondit :
- Oui... Vous allez me manquer en tant que voisins.
- Si vous achetez ici, on pourra repasser vous voir à l'occasion.
- Volontiers...
Pauline redressa la tête et Fabienne avança sa bouche vers la sienne pour échanger un baiser probablement un peu au goût de la semence.



Le baiser fut long et Fabienne vint se mettre à quatre pattes au-dessus de Pauline. Celle-ci avait toujours les cuisses grandes ouvertes mais j'étais trop épuisé pour que ça me fasse bander à nouveau. Fabienne se laissa caresser les seins et Pauline glissa même une main entre ses cuisses pour lui caresser la moule trempée de cyprine.



Il est vrai que j'avais largement honoré notre voisine et que Fabienne s'était montrée d'une patience incroyable pendant que j'étais mis à l'épreuve. Leurs bouches ne se quittaient pas et Pauline avait désormais plongé deux doigts dans la fente de ma femme. Elle la branla ainsi doucement, tandis que Fabienne ondulait du bassin pour venir à la rencontre de cette pénétration salvatrice.



En peu de temps, Pauline parvint à donner un orgasme à Fabienne. Celle-ci s'affala sur elle tandis qu'elle gémissait en se tordant de plaisir entre les bras de notre voisine. Après quelques secondes, elle alla s'asseoir à côté de Pauline et me regarda en souriant :
- Alors, ça ne t'excite pas de voir des gouines ?
- Désolé, ma chérie. J'ai tout donné à Pauline...
Elle me sourit et se pencha sur Pauline pour l'embrasser à nouveau. Les deux filles se mirent les mains entre les cuisses pour se caresser la moule.



Quand leurs bouches se décolèrent, Pauline se leva et me dit :
- Bien, je crois que je suis vraiment convaincu par cet appartement. Je veux bien l'acheter au prix que vous en demandiez sur l'annonce. On fixe une date pour la signature du compromis ?
- Quand vous voulez.
Fabienne se releva et me désigna son buste et celui de Pauline : il y avait des traces de mon sperme qu'elle n'avait pas léchées et que leurs ébats avaient un peu étalées :
- Grâce à cette visite approfondie, elle a pu constater qu'il n'y avait aucun vice caché...