Mutation

Mutation - épisode 1 (publié par Sylvie le 03-03-2017)
Mutation - épisode 2 (publié par Sylvie le 01-04-2017)
Mutation - épisode 3 (publié par Sylvie le 01-05-2017)
Mutation - épisode 4 (publié par Sylvie le 01-06-2017)
Mutation - épisode 5 (publié par Sylvie le 01-07-2017)
Mutation - épisode 6 (publié par Sylvie le 06-08-2017)
Mutation - épisode 7 (publié par Sylvie le 01-09-2017)
Mutation - épisode 8 (publié par Sylvie le 01-10-2017)
Mutation - épisode 9 (publié par Sylvie le 01-11-2017)
Mutation - épisode 10 (publié par Sylvie le 01-12-2017)
Mutation - épisode 11 (publié par Sylvie le 01-01-2018)
Mutation - épisode 12 (publié par Sylvie le 01-02-2018)
Mutation - épisode 13 (publié par Sylvie le 01-03-2018)
Mutation - épisode 14 (publié par Sylvie le 01-04-2018)
Mutation - épisode 15 (publié par Sylvie le 01-05-2018)


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Mutation - épisode 1


Cécile était une amie d'enfance. Nous nous étions perdues de vue pendant nos études respectives et nous nous sommes retrouvées quelques années plus tard, au hasard d'un concert. On se mit à sortir beaucoup ensemble, d'autant que ni elle, ni moi, n'étions encombrées par un mec, même si nous draguions beaucoup. Toutefois, Cécile était nettement plus sexy que moi et parvenait à ramener régulièrement des mecs dans son lit, ce qui était beaucoup plus rare pour mon cas.
C'est un samedi soir, alors que nous étions en boîte de nuit, que tout commença pour moi.
Cécile et moi, après avoir bu un peu trop, dansions sensuellement au milieu de la piste avec d'autres amies à elle.



Comme d'habitude, Cécile attirait tous les regards des mâles à elle et la plus grande responsabilité en revenait à sa poitrine pleine qui se balançait nue sous son débardeur. J'étais affreusement jalouse de ses seins, puisque j'avais la malchance d'être presque plate. Comme Cécile, je ne mettais pas de soutien-gorge, mais c'est surtout parce que je n'en avais aucune utilité. Une copine à Cécile s'amusa à lui exhiber les seins en tirant sur son débardeur. Cécile était si pompette qu'elle s'en rendit à peine compte et continua à danser, amusée des regards sidérés des garçons autour.



Un mec, plus hardi que les autres, vint se positionner derrière elle. Elle sentit aussitôt sa présence et, le décolleté vaguement rajusté, elle s'amusa à se frotter à lui en se déhanchant de manière dépravée. Vu le visage du gars, je pense qu'elle se frottait carrément les fesses contre son ventre et que cela le faisait bander. A force d'onduler du bassin contre le bas ventre du gars, sa jupe remonta peu à peu et je découvris, en même temps que tout le monde, que cette petite dévergondée ne portait pas de culotte.



A la fin de la chanson, le gars se pencha sur elle et lui murmura quelque chose. Cécile rigola et, sans prendre la peine de rajuster sa tenue indécente, elle vint me rejoindre et me dit :
- Ce mec propose de discuter tranquillement dans un coin. Tu nous accompagnes ?
J'étais un peu gênée car je savais bien ce qu'attendait le gars et j'étais surprise que Cécile ne l'ait pas compris. A moins qu'elle souhaitait que je la mâte pendant qu'elle se faisait tripoter. N'osant pas lui dire non, je les suivis. Le gars m'ignora superbement et, dès qu'ont fut à l'écart, Cécile le laissa lui retirer ses vêtements sans montrer la moindre opposition. Elle sortit ensuite le sexe en érection du gars. J'étais stupéfaite de la tournure de cette soirée. Le gars s'assit et Cécile vint s'empaler sur lui sans la moindre gêne, tournée vers la salle où tout le monde pouvait la voir monter et descendre sur la queue du gars, faisant balancer sa poitrine pleine au rythme de sa chevauchée.



Je savais que Cécile avait déjà ramené des gars chez elle et elle m'avait racontée s'être fait baiser dans les toilettes, mais c'était la première fois qu'elle faisait cela en public, sous les yeux de tout le monde. Je fus horriblement gênée quand elle proposa au mec que je me joigne à eux :
- Tu veux que ma copine vienne aussi ?
Par dessus l'épaule de Cécile, le mec me considéra et répondit :
- Elle est mineure ta copine.
Je savais qu'il disait cela surtout à cause de mon manque de seins. Sans plus s'intéresser à moi, il demanda à Cécile :
- Tourne-toi, que je puisse voir tes seins.
Cécile n'insista pas à mon sujet et se retourna docilement.



Cécile eut rapidement un orgasme. Elle était magnifique. Les quelques voyeurs présents étaient, tout comme moi, fascinés. Cécile resta inerte une longue minute sur les genoux du gars. Peu à peu, elle se remit à bouger au rythme de la musique. Le gars lui caressait les seins à pleines mains. Puis, elle se releva. Le mec bandait toujours et ne devait pas avoir encore joui. Elle s'agenouilla alors devant lui et se mit à le sucer.



Le gars ferma les yeux. Il semblait que Cécile était très douée pour la fellation. Je me demandais si elle allait aller jusqu'au bout et si elle le laisserait jouir dans sa bouche. Le gars tourna la tête vers moi :
- Si ta copine veut, elle peut aussi venir y goûter...
J'avais effectivement bien envie de le sucer mais j'étais trop gênée par le fait que tout cela se déroule en public. Je fis donc signe non de la tête. Cécile me sourit tout en continuant à le sucer.



Le gars ferma alors les yeux et, malgré le brouhaha de la musique, je l'entendis râler. Il était sur le point de jouir. Cécile abandonna le sexe turgescent prêt à exploser et s'écarta un peu. Elle ne désirait semble-t-il pas recevoir sa semence dans la bouche. Mais le gars se leva et se masturba devant son visage. Dès le deuxième coup de poignet, le sperme se mit à jaillir et vint fouetter le visage de Cécile.



Les autres jets de sperme s'écrasèrent sur ses lèvres ou sur sa poitrine. Tout cela semblait avoir dégrisé ma copine car je vis à ses yeux que ce n'était pas exactement ce qu'elle attendait pour terminer sa soirée. Elle fit quand même bonne figure et, se relevant, elle s'écarta du gars alors que du sperme coulait de sa bouche sur ses seins. Elle se tourna vers moi :
- J'ai pris mon pied. Je te conseille d'essayer.



- Je n'intéresse pas les garçons. Je ne suis pas bien foutue comme toi.
- Qu'est-ce que tu racontes, Sylvie ? Tu as un cul d'enfer !
- Apparemment ça ne suffit pas pour attirer les mecs... Tu t'es tapée combien de gars différents cette semaine ?



Cécile réfléchit quelques secondes. Elle essuya du dos de la main le sperme qu'elle avait au menton et le lécha. Puis elle se cacha la poitrine :
- Ça n'a rien à voir avec les seins, c'est juste que je suis une salope.
- Hihi, sans doute, mais je drague quand même pas mal sans obtenir le moindre résultat.
- Je ne pense pas que ce soit à cause de tes seins, Sylvie...



J'étais pourtant persuadée du contraire :
- Ne dis pas de connerie, les mecs ça ne les intéressent pas une nana qui n'a pas de poitrine.
Je soulevai mon débardeur pour exhiber mes seins plats.



Elle regarda autour d'elle et vit bien que j'avais raison. Tous les mecs la regardait et pas un regard ne se tournait vers moi. Elle remit rapidement ses vêtements et vint s'asseoir à côté de moi :
- Sylvie, j'ai l'adresse d'un médecin un peu spécial que je te conseille d'aller consulter. Il a une méthode hormonale pour développer naturellement la poitrine en seulement une semaine.
J'étais si désespérée que j'acceptai sa proposition et je pris rapidement rendez-vous avec le fameux médecin pour le lundi soir qui suivait. Quand je rentrai dans son cabinet, il m'accueillit avec une voix douce et rassurante :
- Qu'est-ce qui vous amène mademoiselle ?



- Une amie m'envoie vers vous pour un problème de... poitrine.
- Je vois... Dites-moi ce que vous attendez de moi.
- Je souffre de ne pas avoir de poitrine, mais je ne veux pas subir d'opération chirurgicale. Mon amie m'a parlée d'une méthode hormonale... C'est dangereux ?
- Non, ça ne l'est pas du tout. Toutefois, comme c'est encore à un stade expérimental, les effets secondaires sont encore mal maîtrisés. Je conseille donc cette méthode que si la patiente est réellement en souffrance.
Sans qu'il me le demande, j'ouvris un peu le décolleté de mon chemisier pour lui montrer ma poitrine toute plate :
- Vous-même avez peut-être plus de seins que moi, docteur...



- Je reconnais que ça peut constituer une souffrance. Mais pour séduire, vous avez d'autres atouts, mademoiselle.
- Vous croyez ?
- Oui, vous semblez avoir de très belles jambes.
- C'est vrai ? Vous trouvez ?
Je me tournai et soulevai ma jupe pour qu'il voie mes cuisses très haut. Mais je fus un peu généreuse dans mon geste et ma jupe remonta jusque sur ma taille, dévoilant mes fesses et ma moule que l'absence de culotte de couvrait pas.



Je remis précipitamment ma jupe en place :
- Désolée...
Il eut quelques secondes d'absence, comme s'il avait gardé gravé sur sa rétine le spectacle que je venais de lui offrir, avant de répondre :
- Vous avez d'autres atouts, c'est indéniable !
- Oui, mais je ne vais pas montrer mon cul à tous les mecs qui me plaisent. Je voudrais vraiment avoir plus de poitrine.
- Ok, mettez-vous nue.
Je retirai mon chemisier un peu intimidée car le médecin semblait rester impassible face à ma nudité.



Quand j'eux retiré tous mes vêtements, apparaissant totalement nue devant lui, il me détailla pendant de longue minutes des pieds à la tête. Il se leva et vint tourner autour de moi. Il se pencha même derrière moi pour mieux regarder mon cul. C'était un peu gênant mais je ne voulais pas l'interrompre car il avait l'air très concentré. Enfin, il retourna à son bureau et me dit :
- Il n'était pas nécessaire d'enlever le bas...



Je devins rouge comme une pivoine en me rendant compte qu'effectivement c'était inutile et je me rhabillai précipitamment. Le médecin continua :
- C'est un traitement sous forme de gélules. Une gélule par jour pendant 5 jours puis une gélule par semaine. J'adapte la concentration à votre morphologie pour que le gonflement de votre poitrine ne vous donne pas des proportions disgracieuses. Si vous êtes satisfaite de la taille de vos seins avant les cinq jours, vous avez tout à fait le droit d'arrêter le traitement. Si vous laissez vos seins trop gonfler, vous n'aurez plus l'opportunité de les faire réduire, donc n'abusez pas.
- Et ça nécessite d'entretenir, ensuite ?
- Non, le gain est quasi définitif.
Je lui fis un chèque conséquent et il me tendit une petite boîte contenant les précieuses pilules. En partant, j'étais vraiment heureusement à l'idée que j'allais enfin avoir une poitrine comme toutes les autres filles.



Je pris la première pilule le soir même avant de me coucher. Le résultat le lendemain matin était déjà impressionnant. Mes seins commençaient à saillir, à prendre du volume. J'hésitai à m'habiller sexy pour aller au boulot afin de voir l'effet de cette poitrine sur les garçons, mais je me ravisai en me disant qu'il serait plus intéressant de voir les effets une fois la transformation terminée. C'était déjà grisant mais je voulais que ça gonfle encore.



Quand je sortis, je passai donc des vêtements pas trop moulants de manière à ce que ce début de transformation passe pour le moment inaperçu. Mes collègues ne me portèrent pas plus d'attention que d'habitude, même si je guettai de mon côté des regards vers ma poitrine. Il semblait donc que personne ne remarqua le début du changement. Le soir, j'allai me coucher en ayant pris ma deuxième pilule. Le lendemain matin, devant la glace, je pus apprécier l'augmentation encore du volume de mes seins. C'était terriblement excitant de pouvoir enfin avoir ce volume, de pouvoir les tenir, les soupeser.



Là, j'avais vraiment envie de les montrer et je pris un petit chemisier pour aller travailler. Je n'osais pas pousser le vice jusqu'à en prendre un peu transparent car je pouvais déjà voir mes tétons qui pointaient légèrement à travers le tissu et je pensais que cela serait déjà remarqué. Pourtant, aucun collègue n'accorda un regard en direction de ma poitrine. Il faut dire qu'ils me connaissaient et qu'ils ne pouvaient sans doute pas imaginer qu'il puisse y avoir le moindre changement de ce côté. J'étais un peu frustrée en men couchant le soir après avoir pris ma troisième pilule. Dès que je me réveillai, je courus au miroir pour voir les transformations. C'était magnifique : ma poitrine était pleine et s'arrondissait superbement.



Cette fois-ci, j'hésitais quant à la tenue à choisir pour aller travailler... Pourquoi me dévoiler déjà alors que mes seins allaient encore prendre du volume. Mon échec de la veille m'incita à rester discrète pour le moment et à m'en tenir à des fringues qui ne mettent pas en valeur mes nouveaux atouts. Mes collègues masculins remarqueront bien assez tôt les changements. La journée se passa effectivement comme d'habitude. Je me couchai le soir après avoir pris ma quatrième pilule. Au matin, ce fut une réelle surprise : j'avais l'impression que mes seins avaient doublé de volume par rapport à la veille. J'avais désormais des seins que je pouvais qualifier de "gros.



Dans le miroir, je me fis la réflexion que ça me donnait un air de salope vicieuse... et cela me plut. Je restai nue pour prendre mon petit déjeuner et je me caressai la poitrine à la moindre occasion, appréciant ces nouvelles masses qui faisaient partie de moi mais que je n'avais pas encore complètement intégrées. C'est en approchant de la fenêtre pour la refermer que je pris conscience que mon voisin était en train de se rincer l'œil. Je fis mine de ne pas le voir et je restai un moment à la fenêtre pour qu'il puisse mater mes nouveaux seins.



Il commençait à devenir difficile de dissimuler cette poitrine à mes collègues. Pourtant, personne parmi les garçons ne remarqua le changement. Seule ma collègue à l'accueil vint me trouver dans la matinée :
- Tu t'es fait opérer ?
- Ah ? Tu as remarquée...
- Et bien, ça se voit un peu quand même...
- Non pas opérée, un traitement hormonal qui marche hyper bien. Toutes les nuits ça gonfle un peu. C'est presque magique !
- Wahou ! En tout cas ça te va hyper bien. Par contre les garçons vont te faire chier quand ils le remarqueront.
Elle repartit et le reste de ma journée fut calme. Le soir, je pris ma cinquième et dernière pilule. Au réveil, vendredi matin, je pus constater dans le miroir la troublante réalité : j'avais enfin de gros nichons, ceux dont j'avais toujours rêvé.



Aujourd'hui, j'allais pouvoir ne pas chercher à les cacher et il était tout simplement impossible que mes collègues masculins ne le remarquent pas. En boutonnant mon chemise sur mes gros seins, je me dis que, avec une paire de nichon comme celle-là, il allait aussi me falloir acheter des soutiens-gorges car des seins nus comme ceux-là sous mon petit chemisier, cela faisait quand même un peu vulgaire.



Une fois habillée, je décidai de téléphoner au bureau pour prendre ma matinée afin de de procéder à ces courses indispensables.
Dans le magasin, pendant que je regardais des fringues dont la taille serait plus appropriée à ma nouvelle poitrine, je vis qu'un jeune homme s'amusait à me mater sur le côté. Je compris rapidement qu'il profitait surtout de l'entrebâillement du chemisier tendu par la masse de mes seins.



Je ressentis alors des petits picotements dans mes seins. Puis, quand les picotements, s'estompèrent, je sentis comme une irrésistible envie de sexe. Je sentis un besoin irrépressible de me masturber ou de me faire prendre par un mec. C'était une sensation très déstabilisante car il me semblait ne pas pouvoir la contrôler. Heureusement, j'étais pleinement consciente de la situation et je maîtrisais mes actes, évitant de me livrer à une scène de débauche en public. Il me fallait malgré tout épancher cette soif de sexe : j'entrepris donc d'aborder le gars :
- Excusez-moi, monsieur. Je vois que vous êtes costaud et, comme j'ai un gros meuble à déplacer chez moi, je me demandais si vous accepteriez de me donner un coup de main.



Le gars semblait ravit :
- Bien sûr mademoiselle !
Il me suivit jusqu'au parking. Je pouvais sentir son regard sur mes jambes et mes fesses jusqu'à ce qu'on arrive à la voiture.



Dans la voiture, il se présenta :
- Moi c'est Kevin.
- Sylvie... je n'habite pas très loin, rassurez-vous.
En lui serrant la main, je fis tomber mon ticket de parking entre ses jambes. En me penchant pour récupérer le ticket par terre, j'appuyai une main assez haut sur sa cuisse. Je ne manquai pas alors de remarquer qu'il était en érection :
- Oh, mais vous bandez !



- Désolée, c'est un peu incontrôlable... Et vous êtes si belle.
- Ne vous en souciez pas. C'est une réaction naturelle et c'est toujours plaisant pour une fille de voir qu'elle fait bander un mec.
Je démarrai le moteur et j'attachai ma ceinture. La pression de celle-ci sur mon chemisier trop étroit pour mes nouveaux seins fit sauter les trois boutons du haut, permettant à mon passager de profiter d'un entrebâillement particulièrement indécent.



Une fois la voiture garée, je m'arrangeai pour marcher à côté de lui pour lui permettre de continuer à mater mon décolleté en toute liberté. IL ne s'en priva pas et il bandait toujours significativement. Quand nous fûmes dans le salon, il me demanda :
- Alors ? Il est où ce meuble ?
- Oh... finalement, je n'ai pas trop envie qu'on s'occupe de ça.



Voyant son petit sourire entendu, j'ajoutai en désignant la proéminence de son entrejambe :
- Et puis, je pense que vous n'êtes pas en état. Il semble plus urgent de vous soulager, non ?
Pendant que je le débarrassais de son pantalon, il terminait d'ouvrir les boutons de mon chemisier. Il tenait une érection formidable et je ne pus pas me retenir de saisir sa longue tige pour la masturber.



Après m'avoir laissé le caresser un peu, il vint se mettre derrière moi et m'embrassa dans le cou. Il était très doux et cela me plaisait énormément. Il me chuchota à l'oreille :
- Vous avez des seins extraordinaires... Ils sont naturels ?
- Touchez-les. Vous verrez qu'il n'y a pas d'implant.
Il les empoigna et se mit à les malaxer.



Il fit beaucoup de zèle pour sa vérification. Quand il abandonna mes seins, ce fut pour me retirer ma jupe. Je le laissai faire mais le mis en garde :
- J'adore voir les éjaculations, donc, si ça ne vous dérange pas, je vais vous sucer...
Il ne marqua aucune opposition à ce programme. Je m'agenouillai donc devant lui et commençai à prendre en bouche sa grosse queue.



Comme il se penchait régulièrement pour me caresser, chose que mes précédents mecs ne faisaient pas quand je les suçais, je lui proposai une cravate de notaire :
- Si vous voulez, je peux vous prendre entre mes seins ?
- Oh oui !
Il semblait adorer regarder sa bite coulisser entre mes deux gros nichons.



Après une petite minute, je le vis se tendre :
- Ça vient ?
- Ouuuuui !
Il ferma les yeux et son sexe eut un soubresaut. Je me reculai un instant pour saisir sa tige. A peine je l'eus empoignée que je sentis la sève monter le long de la hampe et, aussitôt, se mettre à gicler entre mes seins.



Il râlait de plaisir et moi je sentais que je mouillais abondamment. A la troisième giclée de sperme entre mes seins, je sentis l'orgasme monter. Sans avoir fait l'amour ni stimuler mon clitoris, l'excitation de voir cette éjaculation était si forte que j'en eus un petit orgasme. Je fus quelques secondes dans les vapes avant de le voir regarder mes seins couverts de sa semence :
- Je suis désolé...
- Il n'y a pas de mal. Moi j'ai trouvé ça c'est très bien.



J'allais dans la chambre récupérer mon peignoir et, revenant dans le salon, je m'essuyai les seins avec. Le gars s'était déjà rhabillé et il me proposa son aide :
- Je peux vous essuyer si vous voulez ?
- Non, ça va aller, je vous remercie.
Je pris un malin plaisir à m'essuyer seulement les seins et à laisser tout le sperme qui maculait le haut de mon buste.



J'enfilai ensuite le peignoir sans prendre la peine de le fermer. Il me demanda :
- On s'occupe de votre meuble ?
Je lui fis un petit sourire :
- Vous savez parfaitement qu'il n'y a pas de meuble à déplacer...
- Oui. Je vais vous laisser.
Je le raccompagnai à la porte, laissant mon peignoir ouvert sur mes gros seins nus :
- Au revoir.



Il me fit un sourire charmant avant de s'en aller. Je refermai la porte. J'étais heureuse : enfin, j'avais la poitrine dont j'avais toujours rêvé et j'allais pouvoir m'en servir pour amener des hommes dans mon lit. Par contre, je me demandai si les petits picotements que j'avais ressentis dans mes seins avant d'avoir envie de faire l'amour étaient normaux. Peut-être faudra-t-il que je demande au docteur si cela fait partie des effets secondaires connus. Je me rendis à la salle de bain et ouvrant mon peignoir en grand, j'admirais sans me lasser cette providentielle transformation de mes seins.



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Mutation - épisode 2


Je fus réveillée par des petits picotements au niveau des seins, les mêmes que la veille. Et comme la veille, j'eus cette irrésistible envie de jouir. Etant dans mon lit, seule, je ne me privais pas pour ma masturber un peu. Le simple fait de me caresser suffit à me calmer et je n'eus pas à aller jusqu'à l'orgasme. Quand je me redressai dans mon lit, j'admirais fièrement mes seins, gros et fermes. Je me sentais d'attaque pour aller draguer tous les beaux mecs du monde et les ramener dans mon lit.



Ne cherchant pas du tout la discrétion, je sortis du placard une jolie robe rouge. Elle était un peu étroite pour ma nouvelle poitrine et se trouvait un peu trop moulante à mon goût, mais elle avait l'avantage de vraiment mettre mes formes en valeur. Je l'enfilai sans mettre de sous-vêtements qui se seraient nécessairement vus sous la robe. Une fois mon petit déjeuner pris, je décidai d'aller faire un tour. En passant devant la glace dans l'entrée, je ne pus m'empêcher de tirer sur le décolleté afin de dégager mes seins pour les admirer encore.



J'entendis alors un bruit dans la cage d'escalier. Mon voisin sortait de chez lui. C'était l'occasion rêvée ! Je fantasme sur ce beau gosse depuis que j'ai aménagé ici mais il est si timide que je n'ai jamais réussi à discuter plus de deux minutes avec lui. Je sortis donc sur le palier avec une idée bien précise de mon objectif. J'espérais que ma nouvelle poitrine allait lui donner envie de prolonger un peu plus la conversation. Il était en train de fermer sa porte à clé :
- Bonjour Luc !
- Oh ? Bonjour Sylvie.
Il resta quelques secondes surpris par le changement de ma silhouette.



Quand il sortit de sa stupéfaction, il dit :
- Tu as l'air en forme...
- Oui, je me sens terriblement bien.
Je me penchai, faisant mine de rajuster une chaussure, pour qu'il puisse profiter de mon décolleté.



Il ouvrit de grands yeux puis, pris de panique, il commença à descendre :
- Je dois y aller, j'ai rendez-vous. Bonne journée.
- Attend !
Mais Luc dévalait déjà les escaliers dans ce qui me semblait être une fuite. Je partis à sa poursuite mais gênée par mes chaussures, ce fut difficile de le rejoindre. Je le rejoignis alors qu'il cherchait son badge pour la porte d'entrée dans sa sacoche. J'étais hors d'haleine et je dus reprendre mon souffle quelques secondes. Ma position lui offrait encore une vue superbe sur mon décolleté.



Il en profita quelques secondes avant de me demander :
- Tu as quelque chose d'important à me dire Sylvie ?
- Heu... non, juste que ce serait sympa si on trouvait un moment pour discuter. On est voisin et on se croise juste dans les escaliers, c'est dommage.
Je me redressai et crus que mon invitation l'avait scotché. Je ne m'étais pas vraiment rendu compte que les bretelles de ma robe avaient glissé de mes épaules. En me redressant, une partie de mes seins s'était échappée du décolleté et c'était la raison de son émotion soudaine.



Il bégaya :
- Je... désolé... Il faut que je file !
Et il sortit précipitamment.
Je me retrouvais comme une conne. Je rajustai ma robe en me disant que ce n'était sans doute pas la bonne technique d'approche avec un gars timide et qu'il me fallait peut-être trouver quelque chose de plus sobre. Je décidai donc de remonter mon changer. En remontant l'escalier, je sentis que j'étais encore très excitée et j'hésitai à me masturber une fois la porte de mon appartement refermée. Je retirai la robe et passai une culotte, un jeans et un débardeur blanc. J'avais envie de jouir, mais pas de me masturber. Je voulais un mec et j'enrageais de m'être précipitée ainsi sur le voisin. Je me disais qu'il fallait que je me calme avant de sortir sinon j'allais violer le premier mec venu, quelque soit son âge ou son état sanitaire.



J'étais à essayer de me calmer quand j'entendis à nouveau du bruit dans la cage d'escalier. Quelqu'un frappait à la porte de Luc. Je me précipitai et entrouvris la porte :
- Oh, excusez-moi, je pensais que c'était chez moi que ça frappait...
- Heu, non. Je suis François, un copain de Luc.
- Il vient de sortir. Je peux vous aider ?
- Je voulais lui proposer d'aller prendre une bière au bar juste en bas... Tant pis.
- Ah mais moi, je suis disponible, si ça vous tente ?



Le gars fut surpris de cette proposition. Il me regarda plus en détail et sembla découvrir un intérêt soudain à la voisine de son copain, et plus particulièrement quand ses yeux se mirent à briller en découvrant ma poitrine nue sous le débardeur. Il répondit aussitôt :
- Bonne idée ! Ce sera l'occasion de discuter un peu...
Il me précéda dans l'escalier et cinq minutes après, nous étions installés à une table. Les commandes étaient au bar. Il se proposa de m'inviter, ce que j'acceptai, mais je me proposai pour aller chercher les bières au bar. En revenant avec les deux grandes pintes, je restai plus longtemps que nécessaire penchée au-dessus la table afin qu'il ait le temps d'admirer mes seins nus dans le décolleté du débardeur.



On discuta un peu de Luc, puis, nos pintes terminées, François me dit avoir une course à faire. J'étais angoissée à l'idée de remonter seule chez moi sans avoir pu faire l'amour. Je n'allais pas le laisser filer aussi facilement que Luc :
- Venez prendre un verre à la maison avant.
François sourit. Il devait bien sentir mon désir et ma demande maladroite trahissait mes intentions à son encontre. Il accepta et me suivit jusqu'à mon appartement. Une fois la porte refermée, il s'avança vers moi et tira un peu sur mon débardeur pour dégager un peu mes seins :
- Luc sait qu'il a une voisine aussi délicieuse ?
- Je crois qu'il est trop timide pour s'en rendre compte...



Comme il se permettait de jouer avec mon débardeur, je me dis que je pouvais bien moi aussi me permettre de le déshabiller un petit peu. Je lui retirai donc sa ceinture et ouvrit les boutons de son jeans derrière lesquels je sentais déjà une certaine pression. Il fut un peu troublé que j'ose faire cela :
- Vous faites quoi ?
- D'après vous ?
J'ouvris le jeans et plongeai ma main dans son caleçon pour saisir son sexe gonflé. Il eut un frémissement quand ma main entra en contact avec sa queue. Je lui sortis :
- C'est une belle bête...



François était rouge mais semblait ne pas vouloir résister à mes manipulations. De toute façon, j'avais tellement envie de baiser que je ne l'aurais pas laissé filer. Je me demandai quand même si sa gêne n'était pas à cause d'autre chose :
- Mince, si ça se trouve, vous avez une copine, ou même une femme ?
- Heu non... Je suis célibataire depuis quelques mois...
- Parfait. Je n'ai donc aucun scrupule.
J'entrepris de le masturber un peu tandis qu'il en profitait pour admirer mes seins dans mon décolleté.



Au fur et à mesure que son sexe se tendait, lui semblait se détendre. Il retira son débardeur et demanda :
- Avec Luc, vous avez déjà... ?
- Baisé ? Non. J'aimerais bien mais il est timide et me fuit comme si j'étais l'incarnation du démon.
François s'assit pour me regarder me déshabiller. Je retirai mon jeans et m'assit en face de lui. Il regarda ma poitrine :
- Comment Luc peut fuir une demoiselle aussi charmante ?
- Vous parlez de mes seins ?
Je tirai sur le débardeur pour lui exposer mes gros seins.



Il sourit :
- Il n'y a pas que vos seins...
- Sans doute, mais ceux-ci sont tout nouveaux, alors j'en suis assez fière !
- Chirurgie ?
- Pas du tout. Un traitement curieux, sur les hormones. J'étais plate comme une limande avant...
- Etonnant !
- N'est-ce pas ?
Je me levai, seins sortis du débardeur et entrepris de retirer ma culotte.



François retira aussi son jeans et son caleçon, apparaissant totalement nu. Sa queue était magnifiquement tendue et je mouillais déjà à l'idée qu'il allait me l'enfiler. Je le fis s'asseoir sur le canapé et vins m'installer à côté de lui. Je saisis à nouveau sa tige et repris ma masturbation. Il me lança un regard amoureux :
- Vous êtes magnifique !
Je me penchai sur lui pour l'embrasser.



C'était assez curieux car malgré mon irrésistible envie de baiser, je ressentais également le désir de faire durer le plaisir aussi longtemps que possible. Je savais qu'il n'allait pas s'enfuir maintenant et je pouvais donc prendre tout mon temps :
- Vous êtes gentil.
- Je suis sincère. Vous avez un corps parfait...
- Vous dites cela en regardant mes seins...
- Je vous ai suivi dans les escaliers et, d'après ce que j'ai vu dans ce jeans, je sui certain que vous avez des fesses superbes.
Je l'abandonnai un instant me mis à genoux sur le canapé :
- Mes fesses, vous aimez aussi mes fesses ?



Il rigola :
- Vous me refaites Le Mépris de Godard ?
- Je ne pense pas arriver à la cheville de Brigitte Bardot...
- Pourtant, ce que je vois me convient beaucoup plus.
Je me tournai pour bien lui montrer ma croupe.



- Monsieur est connaisseur ?
- Je regarde quelques pornos de temps en temps sur le web et je peux vous assurer que vous pouvez soutenir la comparaison avec la plupart des actrices sans rougir.
Je savais bien que mon cul était mon meilleur atout avant la transformation de ma poitrine mais c'est toujours agréable à entendre. Je relevai mon débardeur pour qu'il puisse se rincer l'œil.



- Superbe !
- Et qu'est-ce que vous préférez ? Mon cul ou mes nichons ?
Je me retournai avec le débardeur relevé au-dessus des seins.



Il sourit et dit calmement :
- Quelle chance j'ai ! Une superbe fille me demande de l'admirer et de lui dire ce que je préfère chez elle !
- Et donc ?
Je retirai le débardeur et allai nue devant la fenêtre, attendant sa réponse.



- La question est simple mais la réponse est plus complexe : j'ai très envie de vous caresser les seins, de les embrasser, mais je sens que mon sexe prendrai un pied énorme à investir cette magnifique croupe.
- C'est une réponse de Normand, ça !
Je m'avançai vers lui saisis son érection :
- Moi, je sais ce que je préfère chez vous. Tout simplement parce que c'est ce qui va me donner le plus de plaisir.



- Vous m'en voyez ravi !
Il prenait ce petit ton un peu désintéressé qui me plaisait. Il faisait comme s'il était au-dessus de tout cela mais, quand mes lèvres se refermèrent sur son gland, le frémissement qu'il eut me prouva qu'il était bien plus sensible aux plaisirs de la chair qu'il ne voulait bien le laisser croire.



Sa queue était délicieuse à sucer. Son gland était gros et remplissait bien ma bouche. Je caressais du pouce ses testicules et me rendis compte avec bonheur à quel point elles semblaient pleines. Je sentis la mouille couler sur mes cuisses rien qu'à l'idée de tout ce sperme que j'allais faire gicler. François tendit la main pour me caresser les seins. Je me redressai alors pour lui faciliter la tâche, abandonnant ma fellation :
- Vous voulez que je vous prenne entre mes seins ?
J'avais pris un certain plaisir à pouvoir expérimenter cela hier et il me plaisait de pouvoir recommencer. Je me redressai donc sur lui pour positionner sa tige tendue entre mes gros seins.



Je m'amusais à les faire glisser le long de la hampe et à caresser les couilles de François avec. Après une minute de ce traitement, il me prit à la taille pour m'attirer à lui :
- Doucement, vous allez finir par me faire jouir...
- C'est l'objectif !
Je me glissai contre lui pour l'embrasser.



Je m'assis ensuite sur ses cuisses et repris à le masturber un peu :
- Vous ne croyez quand même pas que vous allez partir d'ici sans avoir éjaculé ?
- Je crois que... aahh...
J'avais l'intention de m'empaler sur lui et ne compris pas tout de suite son émotion.



C'est en sentant sa queue se tendre et palpiter entre mes doigts que je compris qu'il était en train de jouir. C'était beaucoup trop tôt ! Mais il était déjà trop tard pour revenir en arrière. J'avais trop joué avec lui. Maintenant, il fallait en profiter : je le masturbai donc lentement tandis que sa sève giclait, maculant son ventre de sperme puis s'écoulant lentement de sa tige, sur les doigts qui continuaient à monter et descendre sur la queue turgescente.



Quand il eut fini d'éjaculer, il se leva et s'excusa :
- Je suis désolé... Vous êtes douée... Je n'ai pas su me contrôler...
- Ne vous en faites pas. Ce n'est pas bien grave.
En moi-même, j'étais quand même extrêmement déçue de n'avoir pas eu d'orgasme. Je ne montrai pas ma frustration et je me léchai tout le sperme que j'avais sur la main. Puis, m'allongeant sur le ventre face à lui, je lui saisis sa queue pleine de sperme pour le nettoyer avec ma langue.



Je pris bien mon temps, lui léchant même le ventre et les couilles, jusqu' à ce qu'il ne reste plus la moindre trace de sperme. Après quelques minutes, ce qui me frappa, c'est qu'il ne débandait pas. Et j'avais même l'impression qu'il grossissait dans ma bouche. Je décidai donc de tenter ma chance et continuai à le sucer dans l'espoir qu'on puisse prolonger un peu nos ébats.



- Vous êtes encore en forme ?
- Vous êtes incroyablement stimulante...
- Vous me devez un orgasme.
- Je crois que je devrais y arriver.
Il se recula et fit le tour du canapé en observant mon cul.



- Je n'ai pas le moindre doute là-dessus.
- Comment voulez-vous jouir ?
- J'aime tout, mais quand vous me direz que le moment venu pour vous, je vous ferais savoir ce qu'il faut faire...
Il fronça les sourcils en entendant ce programme mystérieux et vint s'agenouiller derrière moi. Je me redressai à quatre pattes et il me pénétra pour me prendre en levrette.



Si était évident qu'il pouvait me donner un orgasme dans cette position ou une autre, moi, je voulais que l'on termine par une éjaculation sur ma poitrine, en espérant qu'il ait encore un peu de réserve. Il commença à aller et venir en moi de plus en plus fougueusement et je gémissais de plaisir. Je me retrouvai allongée, écrasée sous ses assauts. Il me fit pivoter pour pouvoir me caresser un sein en même temps.



Essoufflé, il me dit :
- Je préfère... vous voir... face à moi...
- Comme ça vous verrez mes seins.
Il sourit et continua à me faire pivoter, et me positionnant sur le dos. Il me saisit une cuisse et la releva pour pouvoir me pénétrer le plus loin possible.



Mes seins roulaient sur mon buste au rythme de ses assauts. Je trouvais cela rigolo et cela sembla fasciner François. Je gémissais de plus en plus, ce qui inquiéta François :
- Je ne dois pas vous faire jouir ?
- Si... peu importe... mais dites moi quand vous vous y serez à nouveau.



François dut considérer qu'il n'avait pas de raison de se sentir brider et il se déchaina en me pistonnant. L'orgasme arriva effectivement. Je sentis mes pointes de seins se tendre tandis que je tentais de limiter autant que possible les spasmes de plaisir de mon bassin pour ne pas faire jouir mon amant en moi. Il dut craindre comme moi et s'immobilisa pour se calmer un peu.



Gardant sa queue en moi, il me demanda :
- Je crois que je ne vais plus tenir longtemps...
- Bien, alors je crois que j'aimerais vous reprendre un peu entre mes seins.
Il ne contesta pas mon choix et, lentement, il fit sortir son long sexe de ma fente encore brûlante.



- Venez vous mettre à cheval sur moi.
Il m'enjamba et laissa sa queue reposer entre mes seins. Je lui donnai les instructions pour le final :
- Quand vous serez prêt à jouir, branlez-vous au-dessus de mes seins et arrosez-les généreusement.
J'enserrai sa queue entre mes seins.



Il ne se montra pas résistant mais comme j'étais épuisée, je ne me sentais pas la force de patienter encore. Il se redressa soudain :
- Je viens, ça y est !
Il se mit à se masturber et son sperme gicla à nouveau, éclaboussant ma poitrine de petites flaques épaisses.



Ce que j'espérais arriva. Un nouvel orgasme m'envahit, presque plus puissant que le précédent. Mon corps fut pris de convulsions que je ne retins pas cette fois-ci. Cela sembla surprendre François et il eut comme un sursaut qui lui fit envoyer un ultime jet de semence, plus puissant, qui vint s'écraser pil sur ma bouche. Il semblait stupéfait de ce qui venait de se passer. Je le branlai un peu pour extraire les dernières gouttes.



Il me demanda :
- Vous avez eu un orgasme, là ?
- Oui. Je jouis quand on m'éjacule au visage...
- Pas en faisant l'amour ?
- Si aussi. Vous m'avez fait jouir tout à l'heure. Mais les éjaculations faciales me font vibrer différemment. J'adore voir le sperme gicler...
- Apparemment...
Il regarde avec admiration tout le sperme qu'il a laissé sur mes seins.



Comme il commence à se rhabiller, je me relève également :
- Vous ne direz rien à Luc, n'est-ce pas ?
- Bien sûr ! Mais je compte bien repasser vous voir à l'occasion, si vous êtes d'accord.
- Avec plaisir.
Je me léchai les doigts sur lesquels il y avait quelques gouttes de sperme.



Il me semblait que j'avais épanché mon besoin de sexe et je me sentais apaisée. Et pourtant, ma journée était loin d'être terminée...


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Mutation - épisode 3


L'après-midi, il me fallait faire quelques courses. En effet, ma précédente tentative du vendredi matin pour acheter un soutien-gorge à ma taille n'ayant pu aboutir à cause d'une crise de désir sexuel, il me fallait retourner au magasin. J'avais enfilé une petite robe noire. En arrivant à la boutique de vêtements, je découvris un jeune homme qui me fit un grand sourire. C'était Kevin :
- Bonjour Sylvie. Encore à la recherche d'un mec pour déménager des meubles ?
Je ne lui répondis pas car je sentis à nouveau les picotements dans les seins et je commençais à savoir ce que cela signifiait.



Je tentai de me maîtriser mais je commençais déjà à mouiller et j'avais très envie qu'il me fasse l'amour. Je me gardai bien de le lui dire et le complimentai sur la chemise qu'il essayait :
- Chouette chemise, bravo...
- Vrai ? Vous aimez ?
Il me tourna le dos et je ne me privai pas alors pour admirer son joli cul moulé dans son jeans.



Quand il se retourna à son tour, il détailla ma robe :
- Vous êtes venu acheter une robe ?
- Non, des soutifs. Je n'en ai plus à ma taille.
Sans doute à cause de l'excitation grandissante, je tirai sur le décolleté pour lui montrer un sein nu, comme s'il était indispensable que j'illustre mon propos.



Kevin ouvrit de grands yeux :
- Vous avez tort !
- De vous montrer mes seins ?
- Non, de vouloir mettre un soutif. Ils sont si beaux, nus sous votre robe...
Je vis alors la bosse proéminente de son entrejambe :
- Oh mais vous bandez encore ?
- Désolé... C'est incontrôlable...
- Je ne vais pas vous blâmer. Moi aussi j'ai des problèmes de contrôle en ce moment... Vous me la montrez ?
Le jeune homme fut surpris de la demande mais, en voyant mon regard insistant sur son bas-ventre, il m'attira dans une cabine et, sitôt le rideau tiré, il m'exhiba son érection.



- Elle est magnifique !
Je ne pus m'empêcher de saisir la tige de chair palpitante pour la caresser. Kevin ne perdit pas son temps et dégagea mes seins de la robe pour les caresser. Mes pointes étaient toutes dures et cela sembla lui plaire. Rapidement, je me baissai pour m'accroupir et prendre son sexe dans ma bouche.



Il émit un profond soupir de contentement. Toutefois, il semblait ne pas avoir compris que je pouvais jouir en subissant une éjaculation faciale et il me fit asseoir en disant :
- Attendez. Cette fois-ci, c'est à moi de m'occuper de vous.
Il m'écarta les cuisses et commença à me caresser la moule.



Il était particulièrement délicat et je cela étais difficile de ne pas gémir de plaisir. Je finis par lui écarter les mains en espérant qu'il comprenne que je voulais qu'il m'enfile sa queue. Il ne se vexa pas mais ne comprit pas ce que j'attendais. Il se pencha sur ma fente et se mit à me lécher le clitoris du bout de la langue. Même si ce n'était pas ce que j'attendais, c'était divin.



Dans un souffle, je lui exprimai alors plus explicitement mon attente :
- Pénétrez-moi...
Est-ce qu'il était simple d'esprit ou bien voulait-il jouer avec moi ? Il se redressa mais ne guida pas son sexe en moi, se contentant de me masturber avec deux doigts tandis qu'il continuait à me caresser le clitoris de l'autre main.



Il aurait probablement réussi à me faire jouir ainsi, mais je lui demandai le plus clairement possible ce que je voulais :
- Mettez-moi votre queue dans la chatte !
Je compris à son sourire qu'il me faisait patienter pour que je sois bien chaude. Effectivement, à peine eut-il glisser son gland entre mes lèvres que je me mis à gémir.



Lentement, il fit pénétrer sa longue tige en moi. C'était délicieux. Une fois qu'il fut au fond, il commença de lents va-et-vient. Il semblait particulièrement apprécier de voir mes seins rouler sur mon buste au rythme de ses assauts. Tout en me baisant, il recommença à faire tourner son index sur mon clitoris et je le suspectai de vouloir s'assurer que j'allais jouir avant lui.



Comme j'avais une idée assez précise dont je voulais que les choses se terminent, je simulai un orgasme que je fis durer un peu en faisant comme si je retenais mes gémissements pour ne pas éveiller l'attention des autres dans le magasin. Je dus paraître assez convaincante et, me redressant, je lui dis :
- Vous accepteriez de jouir sur mon visage ?
Il sembla un peu surpris par ma proposition mais quitta sa place entre mes cuisses pour venir se masturber au-dessus de mon visage.



Je me caressais les seins en même temps pour le stimuler. Il ne tarda pas à éjaculer. Quand la première giclée de sperme atteignit ma joue, je sentis mon orgasme monter, pour de vrai cette fois-ci. Quelques jets parvinrent sur ma langue et dans ma bouche. Sa semence était chaude, épaisse et salée. L'orgasme était là, me faisant vibrer discrètement. Les dernières gouttes de sperme coulèrent sur mon menton. Je tendis la main pour lui caresser les couilles afin de m'assurer qu'il allait bien tout me donner.



Quand il eut fini, il se recula et bredouilla :
- Je... j'ai eu l'impression que vous aviez joui pendant que j'éjaculai...
- Et c'était bien le cas !
Je me redressai et rajustai ma robe. Il me tendit un mouchoir en papier pour que je m'essuie le visage avant de se rhabiller lui aussi. Nous sortîmes ensemble de la cabine et je le laissai :
- A une prochaine fois...



Il repartit et je continuai à errer dans la boutique, regardant finalement plus les accessoires et les robes que les sous-vêtements puisque Kevin m'avait dit que le soutif était superflu. Alors que j'étais au rayon des accessoires, je sentis un gars qui me suivait, en mâchant bruyamment un chewing-gum. Pendant que je me hissais pour attraper un collier en hauteur, je vis du coin de l'œil qu'il s'accroupissait derrière moi, soi-disant pour faire son lacet, mais je le soupçonnais d'essayer de voir ma culotte. Je repris alors ma déambulation et quittai le rayon pour voir s'il me suivait.



Il n'était pas très discret et quand je m'arrêtais plus loin, il s'arrêta à nouveau derrière moi. Prenant conscience de ce qu'il attendait, je me dis qu'il pouvait être amusant de l'exciter. Le choix était vaste : je pouvais à nouveau me hisser pour attraper quelque chose en hauteur, je pouvais aussi m'accroupir en écartant les cuisses mais, finalement, je décidai de simplement me pencher pour inspecter quelques débardeurs sur un présentoir. Ma courte robe, révéla rapidement à mon voyeur qu'il ne pourrait pas voir ma culotte puisque je n'en portais pas.



De surprise, il en avala son chewing-gum et manqua de s'étouffer. Cela m'amusa et je décidai de quitter le magasin pour aller boire quelque chose de frais. IL y avait une brasserie pas très loin et, même s'il y avait quelques places en terrasse, je m'installai à l'intérieur pour profiter de la fraicheur. Une jeune serveuse prit aussitôt ma commande et me l'apporta dans la foulée. C'est alors que je vis que le voyeur m'avait suivi et s'était installé non loin de moi. D'où il était, il devait certainement pouvoir voir sous ma table. Sans regarder dans sa direction, j'écartai les cuisses pour qu'il puisse voir ma moule.



Je profitai de quelques miroirs au mur pour le surveiller indirectement. Quand je le vis se lever, je me dis qu'il allait aller dans les toilettes pour se soulager en pensant à ma minette. Au lieu de cela il vint s'installer en face de moi et me regarda droit dans les yeux, sûr de lui :
- Bonjour mademoiselle.
- Bonjour...
J'étais surprise et intimidé qu'il ose m'aborder aussi directement. J'en fis tomber ma cuillère par terre. Il se pencha la ramasser et profita du même coup d'une vue directe entre mes cuisses que je n'eus même pas le réflexe de resserrer.
- Elle est un peu courte, cette robe, non ?
Je ne lui répondis pas mais tirai nerveusement sur ma robe. Cela eut pour effet de faire sortir une bonne partie de mes seins du décolleté.



En voyant mes tétons tendus, il rigola :
- Ah oui. vraiment trop courte !
Je rajustai mes seins dans le décolleté. Il ajouta :
- Ceci dit, si je portai aussi peu de tissu sur moi, je crois que ce serait encore plus indécent vu mon état...
Je comprenais qu'il faisait référence à son érection. D'imaginer sa queue tendue commença à me provoquer à nouveau des picotements aux seins. Par défi, je tirai sur ma robe pour dégager complètement ma poitrine :
- Parce qu'une bite est plus indécente qu'une paire de seins ?



Il écarquilla les yeux, stupéfait de ma désinvolture. Il se ressaisit rapidement :
- Je m'appelle Gérald.
- Moi, c'est Sylvie.
- Vous êtes stupéfiante Sylvie.
- Et vous inviteriez une fille stupéfiante à venir boire un verre chez vous ?
Il accepta aussitôt et moins de dix minutes plus tard, nous entrions dans son appartement.



- Installez-vous, je vous serre un verre.
Gérald m'apporta presque aussitôt un verre d'apéritif. J'avais une idée assez précise de la façon dont les choses allaient évoluer et j'essayais de le mettre mal à l'aise en écartant à nouveau les cuisses alors qu'il s'installait en face de moi :
- Trinquons à notre rencontre.



Je pensais qu'il allait poser son verre et venir me rejoindre, répondant ainsi positivement à mes provocations, mais il resta assis à siroter son apéritif tout en me gardant les yeux fixés sur mon entrejambe. Il me demanda :
- Vous ne buvez pas ?
- Hein ? Oh si. Juste je pensais que vous alliez me proposer autre chose...
- Ce Banyuls ne vous convient pas ?
- Oh si ! Il est délicieux...
Je bus, un peu frustrée qu'il ne tente rien.



En m'invitant chez un inconnu après lui avoir montré ma minette, je pensais qu'il serait suffisamment excité pour me sauter dessus et me baiser. En écartant largement les cuisses, je lui manifestai mon étonnement :
- Gérald, je ne comprends pas. Vous me mater la chatte. Vous m'invitez chez vous. Je vois que vous bandez. Je m'exhibe et vous ne me sautez pas dessus ? Qu'est-ce qui se passe ?



- Oh, ne vous méprenez pas. Vous êtes tout à fait attirante. C'est juste que j'aime faire durer le plaisir et mon désir à moi c'est le voyeurisme. Et comme il me semblait que vous étiez adepte de l'exhibitionnisme, cela me semblait coller parfaitement.
- Personnellement, je préfère m'exhiber en public...
- Parfait ! Allons en boîte.
- En plein milieu d'après-midi ?
- Oui, j'en connais une qui est ouverte à toute heure, même si à cette heure-ci, il faut reconnaître que ce sera probablement un peu déserté...
Je me levai mais rajustai à peine ma robe pour le plaisir de mon voyeur.



Pendant tout le trajet, pas une fois, Gerald ne me toucha, même dans la voiture quand ma robe était suffisamment retroussée pour révéler mon sexe nu. Quand on arriva à la boîte, il y avait un videur qui ne voulait pas nous laisser entrer :
- Désolé, c'est réserver pour un enterrement de vie de garçon.
Là, les picotements de mes seins devenaient de plus en plus réguliers et j'étais si excitée que j'en étais à me demander si je n'allais pas violer le videur devant la porte. Je tentai pourtant de le soudoyer en dégageant un sein de mon décolleté :
- Allez, soyez sympa...



Le gars hocha la tête et sourit :
- C'est gentil, mais le gars qui a réservé a demandé l'exclusivité.
- Et alors, vous avez peur que je détone dans un enterrement de vie de garçon ?
Je dégageai mes deux seins.



- Mademoiselle, vous avez de très beaux seins. Vraiment. Mais c'est inutile d'insister.
Gérald intervint alors :
- Allez, ayez pitié d'elle. Elle fait une crise de nymphomanie et elle va finir par se foutre à poil devant vous si vous ne nous laissez pas rentrer.
Gérald releva un peu ma robe pour lui laisser voir que je n'avais pas de culotte.



Je le grondai :
- Hey ! N'exagérez pas !
Je retirai aussitôt sur le bas de la robe pour cacher mon sexe.



Si le videur n'avait pas été convaincu par ma soi-disant nymphomanie, il commençait à être sérieusement excité de me voir m'agiter devant lui avec les seins à l'air. Voyant l'intérêt qu'il portait enfin à ma poitrine, je lui fis une proposition :
- Si je vous laisse me peloter, vous nous laisser entrer ?
Il hésita puis dit :
- Ok...
Aussitôt sa main puissante couvrit un de mes seins et le malaxa généreusement, s'attardant sur le mamelon dressé.



Quelqu'un arriva dans la ruelle où se trouvait l'entrée de la boîte. Le videur s'écarta rapidement comme sa réputation allait être entachée s'il était surpris en train de me peloter. Je me reculai et me rajustai. En haut des escaliers, derrière le videur, il y avait un gars qui me regardait avec insistance. Il n'avait manifestement rien raté de mon entrée et il semblait m'attendre.



Gérald m'emboîtant le pas dans les escaliers, il comprit que j'étais accompagnée et il tourna les talons avant que je n'arrive à son niveau. Dans la boîte, il y avait effectivement assez peu de monde. Que des mecs groupés au fond, certains déguisés et la plupart avec un taux d'alcool ne leur permettant plus d'avoir un jugement digne de ce nom. Seul le gars que j'avais vu en haut de l'escalier semblait être en forme. Nous nous installâmes avec Gérald. L'autre gars me regardait et semblait apprécier la découpe de ma robe sur le côté qui lui permettait d'admirer le profil de mon sein.



Gérald m'apporta un verre. La musique n'était heureusement pas trop forte et on pouvait discuter un peu :
- Alors Gérald, vous me faites l'amour ou vous préférez me regarder baiser un autre mec.
- Ne vous vexez pas, Sylvie...
- C'est bon j'ai compris.
Je me tournai vers l'autre gars qui regardait toujours dans ma direction et j'écartai les cuisses tout en buvant une gorgée de bière.



Ma petite exhibition ne sembla pas l'émouvoir. Toutefois, il vint quand même nous retrouver :
- Mademoiselle, je vous regarde depuis tout à l'heure et j'ai la curieuse impression de vous connaître.
- C'est possible, vous vous appelez comment ?
- Simon...
- Non, ça ne me dit rien.
- Est-ce que je peux vous offrir quelque chose pour m'excuser de vous avoir importunée ?
- Oui. Mon ami ici présent adore mater et moi j'ai très envie de baiser. Donc si vous êtes d'accord...
Après un regard à Gérald qui lui fit signe que ce n'était pas une blague, le gars dit :
- Je suis votre homme.
Aussitôt, je lui ouvris la braguette et sortis son sexe déjà bandé pour lui faire une fellation.



Le gars restait calme pendant que je le suçais, regardant quand même de temps en temps vers Gérald pour voir comment il prenait la chose. Mes seins continuaient à me picoter. Après quelques minutes de cette savante caresse buccale, je me relevai et proposai au gars de prendre ma place sur la chaise. Il retira son pantalon et s'assit, le sexe dressé. Je remontai alors ma robe sur ma taille et je vins m'empaler sur sa tige raide.



Gérald nous regardait attentivement. Je ne pouvais le voir d'où j'étais à cause de la table mais il me semblait qu'il se masturbait. Quelques autres gars, sans doute un peu moins bourrés que les autres, s'approchèrent pour voir ça. L'un d'eux baragouina :
- Alexandre ? C'est qui cette fille ?
Mais le gars, Alexandre donc, ne s'occupa pas de lui et préféra faire glisser de mes épaules les bretelles de ma robe pour dégager mes seins.



Je me levai alors et me retournai pour venir m'empaler sur sa queue en lui faisant face. Il admira ma poitrine une :
- Qu'est-ce qu'une fille comme toi vient foutre dans un endroit pareil ?
- Grosse envie de sexe...
Je commençai à monter et descendre sur queue déjà engagée dans ma fente.



Alexandre dus trouver que j'étais encore trop habillée et, malgré la présence de quelques mecs saoules autour de nous, il n'hésita pas à me la retirer complètement. Il semblait particulièrement apprécier de voir mes gros seins s'agiter sous ses yeux au rythme de ma chevauchée. Je voulais par contre le prévenir de ce que j'attendais de lui :
- N'éjaculez pas en moi, OK ?
- Quoi ?
- Je veux que vous me fassiez une éjaculation faciale... Dites-moi quand vous sentirez que ça vient.
Il sembla comprendre et donna des coups de reins plus prononcés pour accompagner ma chevauchée.



Après quelques minutes, Alexandre me souleva en disant :
- J'y suis...
Il me fit me lever et se mit debout devant moi. Je m'accroupis alors pour avoir le visage à hauteur de sa queue.



C'est alors que je me rendis compte qu'il était assez petit. Et qu'il allait falloir un peu de pression pour que son sperme atteigne mon visage. Je tentai de saisir son sexe pour le branler et serrer la base de sa queue pour que la première giclée aie une puissance suffisante. Malheureusement, il repoussa ma main et se mit à jouir. Manquant de pression, son sperme s'écoula en flaques qui vinrent éclabousser ma poitrine.



J'étais surexcitée par tout cela mais surtout très frustrée qu'il ait manqué mon visage, me privant ainsi d'un bel orgasme. Gérald apparut alors, tel un sauveur :
- La demoiselle vous a demandé une éjac' faciale, pas sur les seins.
Il tenait son sexe en main et je vis qu'il en serrait la base, contenant peut-être depuis déjà un moment son éjaculation. Dès qu'il fut devant moi, il relâcha la pression et une impressionnante giclée de sperme vint s'écrasée sur mon visage. Je sentis l'orgasme monter. Déjà une seconde salve m'atteignit au nez et dans la bouche. Mon corps fut pris de convulsions et je ne me souviens plus exactement de la fin de son éjaculation.



Quand je repris conscience. Alexandre était parti retrouver la table où se passait l'enterrement de vie de garçon. J'espérai qu'il n'était pas en train de leur dire qu'il y avait, juste derrière, une nymphomane qui attendait de se faire baiser car je ne me sentais pas le courage de gérer une trentaine de mecs alcoolisés. Gérald était rhabillé et me tendit des mouchoirs en papier :
- Tenez. Essuyez-vous et rhabillez-vous. Je pense qu'il serait sage de ne pas traîner.
Je m'essuyai le visage et le buste, et je remis ma robe.



Les picotements à la poitrine avaient cessé. Après avoir quitté Gérald, j'eus un sentiment étrange. Je me rendais compte que je ne me contrôlais plus vraiment et que, ces dernières heures, je venais de baiser avec un peu n'importe qui... Cette prise de conscience m'effraya. Je suspectais le traitement hormonal pour mes seins d'être responsable de ce phénomène et je me dis qu'il fallait que je retourne voir le médecin pour en savoir plus.
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Mutation - épisode 4


Je ne suis pas une sainte Nitouche mais je ne suis pas non plus une Marie-couche-toi-là. J'avais le sentiment que le traitement hormonal que j'avais suivi pour faire gonfler ma poitrine était responsable de ma soudaine nymphomanie. Il me fallait absolument retourner voir le médecin pour lui expliquer la situation. J'avais heureusement pu obtenir un rendez-vous en urgence pour le matin même. En arrivant chez le médecin, je me rendis compte qu'un mec me suivait. Aussitôt, je sentis revenir les picotements au niveau des seins et cet irrésistible besoin de jouir. Ma robe était courte et je n'avais pas mis de culotte. Le sachant derrière moi, je m'amusais à monter les marches deux à deux, m'obligeant à de grandes enjambées qui devaient révéler ma moule au gars.



Une ou deux fois, je vis qu'il regardait vraiment avec intérêt ma croupe. Arrivée sur un palier, je m'assis par terre en faisant mine de devoir raccrocher ma chaussure. J'étais en plein milieu pour l'empêcher de passer et l'obligeant ainsi à patienter et à regarder mon entrejambe nu que mes cuisses écartées ne manquaient pas de lui révéler.



Il bafouilla :
- Mademoiselle, je... excusez-moi...
- Oh merde ! Désolée ! Je ne mets jamais de culotte...
Me mettant à genoux, je vis la bosse de son pantalon. Aussitôt je passais les doigts sur cette bosse :
- Oh ! Je vous ai mis dans un bel état ! Laissez-moi vous soulager, je vous dois bien ça...
Il n'eut pas le temps de réagir que déjà j'avais baissé son pantalon et extrait son érection. Ma bouche se referma sur son gland et je me mis à pomper.



Je lui prodiguais une fellation comme d'autres aident les personnes âgées à monter leurs courses. Il ne semblait pas s'en plaindre. Il se pencha même pour me caresser les seins dans le décolleté. Pour lui faciliter la tâche, j'ouvris ma robe pour laisser sortir mes deux gros seins. Je sentis sa queue se tendre encore plus et je mouillais comme une folle.



Il ne fut pas très long à venir. Il récupéra sa bite et se mit à l'astiquer devant ma bouche ouverte. Une première giclée puissante passa au-dessus de moi et s'écrasa quelques marches plus haut, ne me laissant que quelques gouttes de sperme dans les cheveux. L'orgasme montait. Le jet suivant vint s'étirer depuis mon menton jusqu'à mon front.



L'orgasme me gagna et je me mis à gémir tandis que le gars continuait d'éjaculer dans ma bouche et sur mon visage. Il continua à se masturber jusqu'à ce qu'il n'y ait plus la moindre goutte et je gardais la pose aussi longtemps que nécessaire. J'avalai alors ce que j'avais reçu en bouche. Son sperme était salé et avait un goût très fort.



Il se recula et me regarda :
- Incroyable ! Vous avez vraiment eu un orgasme ?!
- Oui...
- Waouh ! C'est la première fois...
- Que vous vous faites tailler une pipe par une inconnue ?



- Oui et que je vois une fille jouir juste en recevant du sperme au visage !
- Je suis un peu particulière...
- Je peux vous prendre en photo ?
Il avait déjà dégainé son téléphone et de toute façon je trouvais plutôt flatteur qu'il veuille garder un souvenir. Je me redressai et pris la pose.



Une fois la photo prise, il rangea précieusement son téléphone et sortit un paquet de mouchoirs en papier de sa poche qu'il me tendit :
- Tenez. Je ne sais pas où vous allez, mais je pense qu'il serait sage d'essuyer un peu tout ça...
- Merci.
Il m'aida en s'occupant bien sûr de nettoyer les seins, s'amusant de voir mes mamelons durcirent au passage du mouchoir. Une fois ceci fait, je repris mon ascension de l'escalier, m'amusant à relever le bas de ma robe sur mes fesses pour que le gars continue à profiter de la vue sur ma moule.



Nous nous séparâmes quand j'arrivai devant la porte de mon médecin. Je remis de l'ordre dans ma tenue dès que je fus entrée. Le médecin sortit de son bureau pour m'inviter à y entrer :
- Bonjour Docteur. Excusez-moi pour le retard...
- Bonjour Sylvie. Pour cinq minutes, ce n'est pas très grave.
Il gardait les yeux fixé à mon décolleté et semblait assez fier de lui.



Une fois dans le bureau, je ne pus m'asseoir car le siège était encombré d'une pile de magazines de mode :
- Oh, excusez-moi. Attendez, je vous libère la place. En attendant, dites-moi ce qui vous amène.
Je m'appuyai à la console sur le côté de son bureau :
- Le traitement a fonctionné mais il y a un effet secondaire un peu dérangeant...



- La nymphomanie ?
- Oui... Vous le saviez ?
- Non, une autre patiente est venue me voir hier avec le même problème. Dites-m'en davantage.
- Et bien quand un homme semble me désirer, j'ai d'abord de petits picotements aux seins puis une irrésistible envie d'avoir des rapports sexuels quel que soit l'endroit où je me trouve.
- Et ça vous est arrivé aussi aujourd'hui ?
- Oui, tout à l'heure. J'ai fait une fellation à un gars dans votre escalier...
J'avais d'ailleurs les genoux encore un peu meurtris d'avoir gardé cette position et je levai une jambe pour me masser un genou, sans prendre garde que j'offrais à mon médecin une vue dégagée sur ma moule.



Le médecin jeta un œil vers moi mais sembla garder son sang froid. Pourtant, je commençai à ressentir à nouveaux des picotements dans mes seins. La chaise était enfin libre :
- Venez vous asseoir, Sylvie
Je m'installai et il se mit derrière son bureau. Je vis qu'il regardait avec insistance dans mon décolleté.



- Bien. D'abord, dites-moi si le traitement hormonal a eu l'effet escompté ?
- Oui, c'est parfait ! J'ai maintenant les seins dont je rêvais et c'est un vrai bonheur de sentir le regard des garçons se poser enfin sur ma poitrine ou dans mes décolletés.
Je tirai sur le décolleté pour qu'il puisse voir un peu mieux.



Sans s'enflammer, il me dit :
- Dégager complètement la poitrine que je voie cela.
Je retirai les bretelles et je fis glisser ma robe sur ma taille pour lui révéler mes seins.



- Effectivement, le traitement semble avoir parfaitement fonctionné. On va voir ce qu'on peut faire pour les effets secondaires. Depuis votre fellation dans l'escalier, les picotements ont disparu ?
- Oui, mais ils sont revenus...
- Vous en avez, là ??
- Oui...



Il prit un carnet et se mit à griffonner des notes.
- Vous avez envie de jouir actuellement ?
Je ne répondis pas. Me laissant aller en arrière sur le siège, j'écartai grand les cuisses. Ma moule trempée de mouille montrait à mon médecin à quel point j'étais excitée...



Il sembla un peu gêné mais reprit son sang froid rapidement. Très professionnel, il me demanda :
- Il n'y a que l'orgasme qui vous soulage ?
- Mmmmm, oui...
- Bien, on va essayer quelque chose. Vous allez vous masturber.
- Mmmmm, d'accord...
Sans attendre, je fis aller et venir mon majeur dans ma fente.



- Si vous préférez, je peux sortir ?
- Oh non, restez.
Je me levai pour retirer la robe, totalement impudique.



- Être nue devant moi ne vous dérange pas ?
- Non, au contraire... ça m'excite !
- Devant n'importe quel inconnu ?
- Aucune importance...



- Et pudique avant le traitement ?
- Il m'arrivait de m'exhiber un peu mais ce n'était pas au point où j'en suis...
- Je comprends. Et vous masturbez devant moi, ça vous excite ?
- Oui. Et vous ?



Il ne répondit pas et me fit un signe de tête pour me dire que je pouvais commencer. J'écartai donc à nouveau les cuisses et je me fourrai le majeur dans la chatte pour continuer à me masturber. Il m'observait avec un sang froid déconcertant mais cela ne m'empêchait pas de continuer.



L'orgasme arriva enfin :
- Oh oui !!! Aaaaaaaaaah...
Je m'effondrai dans mon siège, prises de petites convulsions.



Le médecin attendit que je rouvre les yeux et que je reprenne mon souffle pour me demander :
- Dites-moi, y a-t-il encore ces picotements aux seins ?
- C'est passé... Mais... j'ai l'impression que ça revient...
Je me levai et me rendis compte que j'étais toujours aussi excitée.



- Vous avez pourtant eu un orgasme, non ?
- Oui mais... Docteur, n'y voyez aucune malice de ma part, mais je pense que la masturbation n'a aucun effet et qu'il fait que ce soit un homme qui me donne ce plaisir.
Je m'appuyai au mur, croupe cambrée, offrant mon cul à mon médecin, espérant qu'il me prenne.



- Je n'abuserai pas de la situation, Sylvie.
- Mais je...
- Ne vous inquiétez pas. Venez vous asseoir, je vais vous expliquer le traitement que je vais vous prescrire.
J'obtempérai mais j'étais terriblement frustrée.



Une fois assise, il me tendit une ordonnance :
- Vous allez acheter en pharmacie avant de rentrer chez vous. Vous prendrez un comprimé tous les soirs avant de vous coucher.
- Cela va stopper mes pulsions sexuelles ?
- Au moins les atténuer. Mais vu votre degré de nymphomanie, je pense que c'est indispensable.
- Combien de temps, je prends ça ?



- Deux semaines. Si ça ne fonctionne pas, revenez me voir. Sinon, on prend rendez-vous tout de suite pour faire le point dans deux semaines.
- D'accord, merci docteur.
- Pensez à vous rhabiller avant de sortir...
Je rigolai de sa plaisanterie en enfilant ma robe mais je n'avais pas perdu mon envie de sexe.



En rajustant mon décolleté, je m'interrogeai sur les effets de ce nouveau traitement sur ma poitrine :
- Docteur, pour mes seins, ça ne change rien ?
- Rien du tout. Ne vous en faites pas.
- Tant mieux, j'y tiens à ma nouvelle poitrine.



Je sortis un peu dubitative et surtout toujours excitée. Vu mon état d'excitation, il me semblait plus sage de prendre l'ascenseur pour éviter de croiser du monde. Une fois les portes de l'ascenseur refermées, je me remémorai la mise en garde du médecin concernant l'alcool mais je me dis alors qu'il devait craindre que je tienne mal l'alcool et qu'en plus de ma nymphomanie on tente d'abuser de moi. Je me rendis alors compte que l'ascenseur était en train de monter. Prises par mes pensées, j'avais oublié d'appuyer sur le bouton. Quand la porte s'ouvrit, un gars apparut, radieux de découvrir ma présence : c'était le gars que j'avais dans l'escalier.
Elle pense que la mise en garde concernant l'alcool tient au fait qu'elle le tient mal et qu'on pourrait abuser d'elle.



Les picotements dans ma poitrine se firent plus intenses. L'homme entra et les portes se refermèrent. Il n'appuya sur aucun bouton, laissant l'ascenseur en attente. Il regardait mon décolleté et semblait beaucoup plus à l'aise que toute à l'heure. Il finit par me dire :
- Mademoiselle, vous dégagez quelque chose, je ne saurais dire quoi, qui m'excite énormément.
- Faites-moi voir ça !
Je désignais la bosse de son entrejambe. Il ne se défila pas et me sortit son érection.



Il bandait déjà énormément. Je bloquai alors les portes de l'ascenseur et m'approchai du gars. Je fis glisser mes doigts sur le membre raide, lui déclenchant un petit soubresaut sympathique. Je fis glisser le pantalon du gars à ses chevilles et je restai à genoux à ses pieds, saisissant cette magnifique tige que j'avais très envie de sucer à nouveau :
- Je peux vous sucer à nouveau ?



Le gars semblait hésiter :
- J'ai le choix ?
- Oh oui ! Si vous préférez une autre manière de jouir, demandez-moi.
- Cool ! Déjà j'aimerai beaucoup que vous vous mettiez nue.
Sans discuter, je me levai et commençai à retirer ma robe. Il manifestait un intérêt très marqué pour mes seins.



Le gars m'admira tandis que je terminais de retirer ma robe :
- Voilà, je suis nue. Maintenant, il faut me dire ce que vous voulez.
- J'adore vos seins...
- Si vous voulez, je peux commencer par vous prendre entre.



- C'est un bon début !
Je me remis à genoux devant lui et j'enserrai sa queue tendue entre mes deux gros seins. Après mon aventure avec le copain de mon voisin, c'était la deuxième fois que j'avais l'occasion de faire cela et ça me plaisait énormément ! Il donnait des coups de reins pour aller et venir dans le sillon de ma poitrine et je tentais quelques coups de langue sur son gland quand il était à portée de bouche.



Peut-être que j'aurais pu jouir en le faisant éjaculer ainsi mais il s'arrêta après quelques minutes et me dit :
- Ce serait égoïste de jouir ainsi. Je veux que vous preniez aussi du plaisir.
J'étais un peu vexé qu'il ne se souvienne déjà plus de l'orgasme qu'il m'avait donné en m'éjaculant au visage. Je pris malgré tout le parti de varier les plaisirs et je me mis à quatre pattes, lui présentant ma croupe.



- Sublime !
Sa queue corroborait son enthousiasme. Il demanda :
- En levrette ?
- Vous avez le choix...
J'écartais les lèvres de ma moule inondée de mouille mais je me cambrais pour qu'il puisse voir ma rosette.



- Si je choisis de vous sodomiser, vous n'aurez par d'orgasme...
- Bien sûr que si ! N'hésitez pas si c'est ce qui vous fait envie.
Je semblai l'avoir convaincu. Il vint se positionner au-dessus de moi et plongea son long sexe dans mon petit tour.



L'ascenseur se mit à trembler sous ses assauts de plus en plus impétueux. Le gars me défonçais et il finit par m'arracher un terrible orgasme qui dû s'entendre dans tout l'étage, au moins. Lui-même ne tarda pas à venir. Il choisit de sortir de mon étroit fourreau pour éjaculer, maculant la raie de mes fesses et ma moule de sa semence épaisse et tiède.



Je me relevai et appuyai sur le bouton du rez-de-chaussée. L'ascenseur se mit en branle et obligea le gars à se rajuster rapidement au cas où il y aurait du monde en bas quand les portes se rouvriraient. Je pris ma robe et, tournant le dos à mon amant, je l'enfilai en trois secondes. Le gars m'arrêta :
- Attendez, vous avez plein de sperme sur les fesses, vous allez tâcher votre robe !
Il releva la robe sur mes épaules :
- Je vais vous essuyer.



Je me retournai vivement, l'obligeant à lâcher ma robe et laissant celle-ci retombée sur ma croupe souillée :
- Laissez, ce n'est pas grave. Cela me fera un souvenir...
Les portes s'ouvrirent. Nous sortîmes et nous nous embrassâmes pour nous dire au revoir :
- Vous vous appelez comment, mademoiselle ?
- Sylvie. Et vous ?
- Moi c'est Damien.
- A bientôt Damien.
Les picotements dans mes seins avaient cessés mais il me fallait quand même aller tout de suite à la pharmacie pour acheter les médicaments prescrits. Même si c'était amusant de baiser avec des inconnus, il me fallait me soigner pour éviter que tout cela ne dégénère.

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Mutation - épisode 5


C'était officielle : Cécile avait trouvé un mec. Elle m'avait invitée à venir prendre un verre chez elle pour me le présenter. Le traitement donné par mon médecin semblant être efficace, j'acceptai cette invitation en étant plutôt rassurée. Faire la nymphomane avec son nouveau mec aurait probablement dégradé notre belle amitié. Je ne l'avais pas revue depuis qu'elle m'avait conseillé d'aller voir son fameux médecin, aussi, quand elle m'ouvrit et me découvrit avec ma mini-jupe et mon débardeur mettant en valeur mes nouveau seins, elle marqua un arrêt. J'étais très fière de moi.



Elle semblait admirative :
- Tu es allée le voir ?
- Oui... tu vois.
- Mince, ça valait le coup ! Regarde-toi ! Tu as des seins plus gros que les miens !
Elle se pencha en avant pour mieux regarder.



Je vis qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge. En se redressant, elle remarqua mon sourire amusée :
- Tu sembles épanouie, ainsi ?
- Oui, c'est super agréable de sentir enfin le regard des hommes sur ma poitrine.
- J'imagine que ça devait te peser. Aucun effet secondaire ?
- Si... ça m'a rendue carrément nympho !



Cette remarque sembla l'inquiéter :
- Hola ! J'hésite à te laisser entrer, alors !
- Ne t'inquiète pas, le médecin a trouvé un traitement qui fonctionne.
- Tant mieux, car je ne tiens pas à ce que tu me piques mon Tristan !



Cécile me fit entrer dans le salon et me présenta au fameux Tristan :
- Tristan, voici Sylvie, la copine avec laquelle je sors souvent.
- Enchanté Sylvie.
Il sembla lui aussi surpris en me découvrant, peut-être parce que Cécile lui avait dit que j'étais plate ! En tout cas, je remarquai, une fois qu'on fut installé autour de la table basse, qu'il regardait souvent en direction de mes seins.



Il se releva pour sortir les verres et nous ramener à boire. On se présenta, nos métiers, nos activités, nos goûts tout en commençant à trinquer. Au bout de quelques minutes seulement, je vis que Tristan était mal à l'aise. Je constatai alors une impressionnante bosse dans son pantalon. C'était incroyable que juste quelques coups d'œil à ma poitrine moulée par mon débardeur suffise à le faire bander ainsi. Mais c'était pourtant indéniable que c'était cela. Il bandait tant que cela fit sauter un bouton de son jeans et que je pus apercevoir un peu de son membre tendu.



Se rendant compte que je regardais son entrejambe, il se leva et fila dans la cuisine. Cécile ne semblait pas avoir remarqué quoi que ce soit. Elle fronça les sourcils en le voyant aller dans la cuisine. Elle me murmura :
- Il est un peu timide...
- Non, c'est moi, je suis désolée...
- Comment ça ?
- Mes seins semblent lui faire de l'effet. Il bande...
Cécile se leva :
- Quoi ? Tu déconnes ?




Elle fila à la cuisine rejoindre Tristan. Elle avait repoussé la porte mais je pouvais entendre leur conversation et voir un peu ce qu'il se passait grâce au grand miroir qui servait de crédence sur presque toute la longueur de la cuisine. Tristan se faisait engueuler :
- Tu te fous de moi ? C'est vrai que tu bandes ?
- Oui, mais je en comprends pas...
- Arrête ! Tu matais ses seins ?
- Un peu, mais je pouvais difficilement faire autrement...
- Fais voir.
- Quoi ???
- Sors ta queue. Je veux la voir.
Tristan commença à baisser son boxer.



Il sembla hésiter un instant et voulu se justifier :
- Ecoute, je n'ai jamais bandé comme ça. D'habitude, je peux me contrôler. Mais là c'est plus fort que moi...
Cécile ne disait rien, fascinée par ce qu'elle voyait tandis que le boxer glissait et faisait apparaître le sexe en érection. Quand celui-ci jaillit enfin, Cécile en tomba à genoux et saisit le sexe :
- Oh putain ! C'est dément !



Le jeune homme semblait tout aussi surpris qu'elle :
- Merde ! J'ai jamais bandé autant !
- C'est douloureux ?
- Non...
- En tout cas, je ne laisse pas passer une telle occasion.



Cécile se pencha sur l'énorme pieux et commença à lécher le gland :
- De toute façon, je suis bien obligée de te soulager sinon tu ne vas pas pouvoir revenir avec nous...
Elle goba le gland et fit coulisser ses lèvres autour du colosse de chair.



Pendant qu'elle le suçait, elle dégagea sa poitrine du décolleté de sa robe. Je commençais à mouiller sérieusement à les voir faire. Même si d'où j'étais je n'avais qu'une vision partielle de la scène, je savais parfaitement ce qu'ils faisaient. Pour patienter, je repris une gorgée de mon apéritif. Je n'eux finalement pas à attendre car Tristan poussa un petit râle et il sembla éjaculer dans la bouche de Cécile. Elle avala tout et attrapa même au vole une ultime goutte de sperme qui s'échappait du sexe tendu.



Elle se releva et regarda le sexe de son compagnon :
- Bon, maintenant tu devrais débander.
- Ouais.
Voyant que le sexe ne semblait pas vouloir obéir à cette requête, elle lui dit :
- Bon, je vais me changer. Rejoins-nous dès que tu pourras.



Elle traversa le salon pour rejoindre la chambre et je vis au passage qu'il y avait quelques traces de sperme sur sa robe. Cécile ressortis en jupe et débardeur et revint s'asseoir :
- Je lui ai réglé son petit problème. Il arrive.
Après quelques minutes, Tristan réapparut, mais son problème ne semblait pas vraiment réglé vu la déformation de son entrejambe. Je pris mon verre et bu une gorgée pour me calmer. Au moment où Tristan s'assit à côté de Cécile, son sexe en profita pour tenter une sortie malgré le jeans.



Cécile le remarqua et posa sa main sur le ventre de son mec pour dissimuler à mon regard ce gland baladeur :
- Désolée Sylvie. Je crois que Tristan à du mal à contrôler ses pulsions quand il se trouve en présence de plusieurs jolies filles.
- Je peux vous laisser, si tu préfères...
- Non, ne t'inquiète pas. Je vais réussir à le calmer.



Elle se leva et obligea Tristan à la suivre à nouveau dans la cuisine :
- Qu'est-ce que tu fous ?
- Je ne comprends pas... je devrais débander...
- T'as pris un truc ? Du viagra ?



- Bien sûr que non...
- Allez, sors-la. On remet ça.
Tristan eut des difficultés à extraire son sexe tendu de son jeans.



Cécile se remit à genoux et dit :
- Bon ça va peut-être être plus difficile cette fois-ci...
Elle prit le sexe de son compagnon en bouche et recommença sa fellation.



Encore une fois, elle avait sortie les seins de son décolleté. La porte était encore ouverte et je compris aux coups d'œil que jetaient régulièrement Cécile en direction du salon qu'elle l'avait fait exprès pour que je puisse les voir et les entendre. C'était très excitant de les voir faire. J'avais très envie de me caresser mais je jugeais cela inconvenant de faire cela chez ma copine, même si elle ne se gênait pas. Après quelques minutes, Tristan se recula et je pus voir une incroyable giclée de sperme jaillir et venir s'écraser sur les seins de Cécile.



Cécile était surprise :
- Comment tu peux avoir autant de sperme alors que tu viens d'éjaculer ?
- J'en sais rien.
Moi aussi, cela m'excitait terriblement. Mes mamelons étaient tendus et cela m'inquiétait car je craignais que les picotements ne reviennent. J'en avais la gorge sèche et je repris une gorgée d'apéritif pour me calmer.



Dans la cuisine, il se passa un truc incroyable. Cécile s'apprêtait à aider Tristan pour remettre son sexe, toujours tendu à l'extrême, dans le pantalon, mais celui-ci se mit à râler à nouveau :
- Rhaaaa ! Putain... qu'est-ce qui se passe ?
Un nouveau jet de sperme épais gicla alors et vint fouetter Cécile au visage.



Ce jet fut suivi de plusieurs autres et Tristan, par réflexe, dirigea ceux-ci autant que possible dans la bouche de sa copine. Quand enfin les jets cessèrent, Cécile avait la bouche et les lèvres pleines de sperme :
- Putain ! Mais d'où tu sors ça ?!
- J'en sais rien... C'est dingue !



Cécile se nettoya le visage avec un torchon et rajusta sa robe. Quand elle sortit de la cuisine, elle vint directement jusqu'à moi, avec un air contrarié :
- Tu l'as drogué ?
- Quoi ?
- Tu as mis un truc dans le verre de Tristan, non ?



- Je te jure que non.
- Tu as vu ?
- Oui...
Cécile semblait persuadée que j'étais responsable de l'état de Tristan :
- Comment tu expliques cela ?



- Ecoute, j'en sais rien. C'est complètement fou. Il a peut-être pris un truc lui-même ?
- Il ne débande plus...
Tristan vint nous rejoindre, un peu hébété. Il n'était pas parvenu à remettre son sexe tendu dans son jeans et le laissait donc libre pour le plus grand plaisir de mes yeux.



Cécile ne semblait même pas fâchée que je vois la bite de son mec. Elle semblait surtout inquiète par le priapisme soudain de Tristan :
- Ses couilles semblent se remplir plus vite qu'on ne les vide ! Comment je vais faire ?
Je lui fis un clin d'œil et dis :
- En tout cas, si tu veux, je peux te donner un coup de main avec plaisir.



Elle me jeta un air soupçonneux, puis considérant le gigantesque sexe tendu, elle me dit :
- Je te vois venir. Ce qui m'aiderait, c'est de comprendre ce qu'il se passe...
- C'est peut-être lié à mes nouveaux seins ?
- Une paire de nichons, mêmes parfaits, ne fait pas un tel effet...
Elle regardait avec compassion la queue de son mec alors que moi je la considérais surtout pour son potentiel.



Voyant mon regard, elle fit lever Tristan :
- Regarde. Tu penses sincèrement que tes seins dans ton débardeur, aussi sexy soit-il, suffisent à le maintenir dans un tel état.
J'étais fascinée par la tension incroyable de cette longue tige.



J'eus alors un flash :
- Mince, si ça se trouve, ce sont les hormones !
- Quoi ?
- Le médecin m'a filé des hormones pour faire grossir mes seins et ces hormones m'ont rendu nympho. Il m'a ensuite donné un autre médicament pour contrer cet effet, mais il est possible que cela soit un autre effet secondaire non prévu...
- Donc tu penses que c'est dû à ta présence ?
- Oui. Mon désir doit me faire produire des hormones qui font bander Tristan.
- Dans ce cas, si tu jouis, il sera libéré ?
- Sans doute.
Ce qui suivit, je ne m'y attendais pas : Cécile se leva et se colla à moi en me caressant les seins.



Elle me fit m'asseoir et me dit :
- Je vais te faire jouir. On va faire l'amour entre nous.
Je comprenais surtout qu'elle ne voulait pas que son mec me baise. Mais j'avoue que Cécile était belle et m'attirait depuis toujours. Je fis glisser les bretelles de son débardeur pour dégager ses seins :
- Ok.
Elle me tendit mon verre et nous bûmes une gorgée d'apéritif.



Tristan semblait très stimuler par notre projet de plaisirs saphiques. Nous rigolâmes en voyant la tête qu'il faisait tandis qu'il retirait son jeans :
- Tu n'es pas prêt de débander mon pauvre...
- J'avais l'impression que si, mais là, je crois que ça recommence de plus belle...



Cécile me fit me lever et me retira ma jupe. J'en profitais pour lui retirer complètement son débardeur. Puis elle le retira le mien, dégageant ma formidable poitrine. Elle et Tristan écarquillèrent les yeux en les découvrant :
- Wahou ! Plus vrai que nature !
Je la fis ensuite se lever pour terminer de la mettre nue elle aussi. Après l'échange d'un long baiser, elle me fit m'allonger sur le canapé et s'allongea derrière moi :
- Tu as vu Tristan, comme ils sont beaux les nouveaux seins de ma copine ?



Tristan ne répondait pas mais bandait toujours comme un taureau. Cécile posa une main sous mes cuisses et souleva ma jambe, m'obligeant à exhiber ma fente trempée de cyprine. Encore une fois, elle mobilisa l'attention de son mec :
- Regarde Tristan, comme elle mouille ma copine !
Elle me fourra deux doigts dans la moule et commença à me branler. Je tournai la tête et nous échangeâmes un baiser sensuel.



Quand nos lèvres se séparèrent, je me laissai aller aux gémissements de plaisir que je retenais. Cela encouragea Cécile à continuer à me masturber :
- Aaaah, je savais que tu aimais ça !
Mais si ses doigts allant et venant dans ma fente me donnaient du plaisir, j'avais surtout envie de l'énorme queue de Tristan.



Il nous regardait, presque stoïque. Cécile lui demanda :
- Tu ne te branles pas ?
- Non, si je me branle, je crois que je vais éjaculer aussitôt...
Cécile semblait croire qu'en me donnant un orgasme, cela apaiserait son homme mais j'avais de sérieux doute sur ce mécanisme. Cela la stimulait en tout cas à continuer à me masturber sans relâche.



Elle accélérait, semblant s'impatienter. Moi-même j'étais épuisée par le plaisir qu'elle me donnait même si cela ne me faisait pas jouir. Je m'étais déjà tournée sur le côté pour l'empêcher de trop accélérer et j'en vins à me mettre sur le ventre, mais cela lui donna encore plus le loisir de me branler.




Pourtant, je n'avais toujours pas d'orgasme. Après cinq minutes à supporter mes gémissements incessants, elle s'arrêta, furieuse et dit :
- Puisque c'est ça, c'est Tristan qui va te baiser, moi, je n'en peux plus !
A peine avait-elle suggéré l'idée que le jeune homme venait docilement prendre place. Bien que contrariée, Cécile le fit s'allonger derrière moi et me releva une cuisse pour qu'il puisse fourrer son énorme queue dans ma fente. Mes cris montrèrent à ma copine à quel point je préférais cette gigantesque tige qui me pénétrait plutôt que deux doigts fins.




Furieuse de voir que j'allais enfin jouir, mais pas sous ses doigts, elle ordonna à son mec de changer d'orifice :
- Encule-la, cette pute ! Elle ne vaut pas mieux.
Sans lui demander son avis, ni le mien, elle retira l'énorme mât de ma fente et vint le planter dans mon cul. Comme moi, Tristan prenait son pied et tentait de faire durer le plaisir même s'il savait que l'éjaculation était imminente. Il me sodomisa lentement mais sûrement jusqu'à ce que l'orgasme me fasse hurler et que tout mon corps soit pris de tremblements. Cécile tentait de le faire éjaculer dans mon cul en lui léchant les couilles.



Quand Tristan ne put se retenir plus longtemps, il se retira de mon petit trou et laissa sa queue gigantesque cracher plusieurs jets de sperme entre mes cuisses. Cécile se pencha sur lui amoureusement :
- Voilà, mon chéri. Tu vas enfin être libéré.



Tristan se redressa alors et deux derniers jets de sperme impressionnants vinrent s'écraser sur mon menton et entre mes seins. Personne n'en revenait :
- Désolé, je pensais avoir fini...
- Pas de soucis...



Enfin, Tristan débanda. Cécile poussa un profond gémissement de soulagement. Je savais qu'elle n'était pas prête de me réinviter. Quant à Tristan, malgré son air de victime, je me demande s'il n'avait pas adoré avoir cette érection permanente et surtout que l'on soit deux nanas à s'occuper de lui ! Pour ma part, j'étais encore assez surprise de la situation et ne comprenais pas encore les raisons de ce qui venait de se passer, même s'il me semblait indéniable que j'en étais la cause.

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Mutation - épisode 6


Malgré l'incident survenu chez Cécile la veille, j'étais bien décidée à profiter de cette nouvelle poitrine qui semblait enfin avoir de l'effet sur la gente masculine. Mon terrain de jeu fut facile à déterminer : une plage. En plus de pouvoir en profiter pour bronzer un peu, le temps caniculaire m'assurait la présence de nombreux mecs sur lesquels j'allais pouvoir tester l'exhibition de mes seins. J'arrivai en ayant quand même un bikini noir plutôt sage. Dès mon arrivée sur la page, je sentis quelques regards intéressés et cela était bien agréable.



J'étendis ma serviette et m'installai assise. Autour de moi, il y avait pas mal de monde. Des couples, des gars entre eux, des filles entre elles. J'avais quand même soigneusement évité la zone plus familiale où se trouvait les enfants mais aussi les retraités. Après avoir évalué tout le potentiel de mon emplacement, je décidai de retirer mon soutien-gorge et de libérer mes seins.



J'étais si excitée que mes mamelons pointaient terriblement. Quelques mecs autour commençaient à tourner de plus en plus la tête vers moi. Cachés derrière leurs lunettes de soleil ou les yeux à l'ombre des chapeaux et casquettes, je n'avais jamais la certitude que c'était moi qu'ils regardaient mais j'avais quand même le sentiment que mes seins étaient l'objet de leur attention. Un beau jeune homme passa devant moi en souriant. Je lui rendis son sourire mais je ne pense pas qu'il le vit vu qu'il avait les yeux rivés à ma poitrine. Le plus amusant est que je vis son maillot commencer à gonfler de manière indécente.



Il se rendit compte de son état et passa rapidement son chemin. J'étais contente de moi. J'avais déjà réussi à faire bander un mec en exhibant mes nichons sur la plage. C'était une première pour moi ! Après quelques minutes, je vis le gars revenir avec sa serviette et s'installer non loin de moi. C'était une proie facile mais il fallait que je diversifie ma chasse et que je ne me contente pas de l'érection de ce gars. Je me levai pour aller me baigner.



Bien sûr, beaucoup de regards se tournèrent vers moi. Une nana donna même un coup de coude à son mec qui se rinçait l'œil sans la moindre discrétion. Je partie vers la mer. Un mec revenant de se baigner arrivait face à moi. Il était plutôt bien fait et semblait m'avoir repérée. Alors qu'il avançait vers, je pus voir que lui aussi commençait à avoir une érection, son maillot humide moulait magnifiquement bien son sexe tendu.



J'étais bien excitée. Je tenais le compte : deux. Une fois dans l'eau, j'avançai jusqu'à avoir de l'eau à la taille, gardant bien ma poitrine en vue. Deux gars vinrent se baigner près de moi en s'amusant à s'arroser l'un l'autre. Je pense que c'était un prétexte pour s'approcher et se rincer l'œil. Je réagis quand je reçus une gerbe d'eau froide sur les seins :
- Hey ! Attention !
- Désolé, mademoiselle... Mais ce n'est que de l'eau.
- Vous avez raison.
Pour bien montrer que j'avais compris toute la philosophie de leur jeu, je leur envoyai à tous les deux une généreuse gerbe d'eau.



Les gars rigolèrent mais ne contrattaquèrent pas, semblant attendre que je recommence. Ils devaient avoir apprécié de voir mes seins se balancer tandis que je les arrosais. Je m'amusais de cette attente expectative :
- Et bien, les gars ? L'eau froide vous a figés ?
- Heu, non... On est un peu distrait...
Je constatais surtout pour celui qui était plus grand et qui avait la taille hors de l'eau, qu'il était en érection. Trois.



C'était presque trop simple. J'étais heureuse en tout cas de voir que, si les mecs bandaient, ce n'était pas systématique et surtout que ça ne prenait pas l'ampleur que ça avait pris avec Tristan, le copain de Cécile. Cela faisait moins de vingt minutes que j'étais sur la plage et l'effet de mes seins sur les garçons était un franc succès. Mais c'était trop simple. A ce rythme, je pouvais faire bander toute la plage. Il me fallait un challenge un peu plus difficile et c'est à ce moment-là que je me dis que sur une plage nudiste, les mecs se contrôlent nettement plus. Je demandai à un des deux gars :
- Il y a une plage nudiste dans le coin ?
- Juste après les rochers. Mais pour faire du topless, vous pouvez rester ici.
Cela semblait le contrarier que je parte plus loin. Pourtant, ma décision était prise et je regagnai ma serviette, encadrée par les deux garçons.



En me voyant ramasser mes affaires, ils comprirent que j'étais décidées :
- Vous êtes sûr de vouloir aller là-bas ?
- Oui. Mais vous pouvez m'accompagner si vous voulez...
- Non, ce n'est pas trop notre truc. A une prochaine alors ?
Je partis d'un pas décidé vers ce challenge qui me semblait plus à ma hauteur. Une fois les rochers passés, je retirai ma culotte afin de respecter le dress-code. Il y avait essentiellement des jeunes couples et peu de voyeur. Je m'installai à proximité de quelques autres personnes et commençai à me passer de la crème.



Des regards se posèrent sur moi, mais je ne décelai aucune réaction au niveau des entre-jambes masculines. En m'installant sur ma serviette, je vis arriver un gars, à poil, poussant dans le sable une petite roulotte à énormes roues et criant qu'il vendait des glaces et des boissons fraîches. J'avais soif et lui fis signe de s'approcher. Je notais au passage qu'il regardait mes seins mais ne bandait pas :
- Mademoiselle ?
- Qu'est-ce que vous avez à boire ?
- Jus d'orange, jus de pomme, sirop de menthe.
- Que des trucs pour enfants ?
- Je n'ai pas le droit de vendre d'alcool...
- Même pas une bière ?
Il se pencha sur moi et murmura :
- J'en ai quelques unes pour ma consommation personnelle. Si vous voulez, je vous en laisse une.
Je hochai la tête en souriant. Il repartit à sa roulotte et revint en tenant un chiffon dans lequel il avait envelopper la bière.



J'attrapais la bière et la glissait dans mon sac :
- Combien ?
- Je vous l'offre, mademoiselle.
- Merci !
Il repartit en souriant. J'étais dubitative : je semblais l'avoir charmé, mais pourtant, il n'avait pas bandé. Je pris une gorgée de bière et je partis me baigner. Il y avait un couple devant moi et j'entendis la fille demander au mec :
- C'est l'eau froide qui t'excite ?
Je me demandai si le mec avait vu mes seins et si c'était la raison de la remarque de sa nana.



Mais en arrivant à leur niveau, je vis que le sexe du gars était seulement un peu gonflé et qu'il tentait pourtant de se justifier pour si peu :
- Bah c'est curieux...
- D'habitude tu arrives à te contrôler... Un coup de mou ?
- Du coup, c'est pas exactement ce que je dirais...



Ils rigolèrent mais la nana s'arrêta immédiatement en me voyant et surtout en remarquant le regard de son mec vers mes seins. Elle lâcha :
- Hey ! Faut pas t'emmerder !
Je vis alors son sexe se mettre à gonfler. C'était prodigieux ! Ils faisaient tous les deux une tête pas croyable et je me retins pour ne pas rire : quatre.



La fille se mit à engueuler le mec :
- Putain ! Mais c'est pas possible ! Tu ne bandes pas quand tu me mattes les seins, moi ! Qu'est-ce qu'elle a de plus que moi ?!
J'avais bien une petite idée de la réponse mais cela ne changeait rien au fait que le gars était en train de bander magnifiquement et qu'il semblait ne rien contrôler du tout.



La fille semblait halluciner :
- Si tu n'es plus capable de te contrôler, avance dans l'eau froide, ça va te calmer.
Vue la tournure que cela prenait au sein du couple, je préférai retournai à ma serviette. Je m'y allongeai sur le dos pour bronzer.



Après quelques minutes à me dorer au soleil, j'avais la gorge sèche et envie de boire. Avant de sortir ma bière de mon sac, je regardai autour de moi pour voir si ma nudité était parvenue à déclencher quelques nouvelles érections. Il y avait un homme seul allongé non loin qui était tourné vers moi. Son sexe pendait gentiment sur ses cuisses. Pas la moindre érection.



Derrière moi, un couple s'était levé et buvait. Le mec regardait souvent dans ma direction mais son sexe restait tranquille. Sa copine, très sexy, s'approcha même de lui et s'amusa à lui caresser du bout des doigts. Le gars avait un contrôle total et son sexe ne montra pas le moindre signe d'excitation.



Enfin, derrière moi, il y avait un autre couple. La nana était sur le ventre mais le mec, sur le dos, lançait régulièrement des coups d'œil furtifs dans ma direction. Malgré cela, son sexe restait au repos. Finalement, c'était dur que je ne l'aurais cru. Les mecs contrôlaient particulièrement bien leurs pulsions et c'était très frustrant pour moi.



Je pris ma bouteille de bière en avalait deux gorgées avant de me rallonger sur ma serviette. Sur le dos, je m'amusai à me cambrer un peu pour faire saillir ma poitrine pleine, sachant que cela pouvait exciter des mecs. Je restai ainsi quelques minutes, les yeux fermés, espérant que quelques mecs allaient en profiter pour se rincer l'œil.



Quand je rouvris les yeux, je commençai par tourner la tête du côté de l'homme seul. J'écarquillai les yeux tant je fus surprise : il bandait incroyablement ! Sur le dos, il me regardait en souriant, sans montrer la moindre pudeur pour son sexe gonflé et dressé de manière totalement obscène.



Quand il vit mes yeux écarquillés, il baissa les yeux et sembla horrifié : il ne s'était manifestement pas vraiment rendu compte à quel point il bandait ! Il se retourna vivement sur le ventre pour dissimuler sa terrible érection. Cela sembla l'incommoder car il devait trop bandé et il dut se tourner sur le côté, me laissant le loisir d'apercevoir sa belle queue tendue.



C'était curieux que ce gars se mette ainsi à bander alors qu'il était parvenu à se contrôler jusqu'alors. Pourtant, rien n'avait fondamentalement changé. Je me redressai et regardai mes seins. Pas de picotements... A part quelques gorgées de bière, je ne voyais pas ce qui avait pu enclencher le phénomène. Et puis, soudain, cela me revint : l'apéritif chez Cécile et surtout la mise en garde du médecin concernant l'alcool. Etait-ce l'alcool que je buvais qui pouvait être la cause des érections que je suscitais ?



Je vis un couple s'approcher le long de la plage. Le mec regardait dans ma direction et je vis que son sexe se gonflait très légèrement alors qu'il s'approchait. J'entendis sa femme lui en faire la remarque :
- Dis donc, tu n'aurais pas un début d'érection ?



Le gars semblait gêné mais son sexe ne sembla pas réagir davantage. C'était le moment de voir si mon hypothèse était juste. J'attrapai la bouteille de bière et en bus une grosse gorgée. A peine avais-je reposée la bouteille que je pus voir le sexe du gars se redresser significativement. Il bandait carrément, le gland sorti. Il semblait ne pas savoir où se mettre et croisait surtout les doigts pour que sa femme ne voit pas dans quel état il était.



C'était donc cela ! L'alcool... Si simple. Je regardai le gars passer devant moi, la queue magnifiquement dressée. Je ne pus m'empêcher de prendre mon téléphone portable et de prendre en photo cette bite splendide. Le gars me vit et me jeta un regard noir mais il était bien trop gêné par son état pour oser venir m'engueuler. Il se contenta de détourner les yeux quand il vit que je commençais à me caresser la moule en le regardant.



Il accéléra et passa rapidement. J'entends juste après sa femme le réprimander :
- Mais tu déconnes complètement !
C'était amusant. Je regardai le couple allongé derrière moi, le gars bandait cette fois-ci assez significativement.



J'étais dans un état d'excitation indéfinissable. Non pas parce que je voyais toutes ces queues tendues, mais parce que je savais surtout comment faire pour que ces queues se redressent. Par jeu, je repris une petite gorgée de bière en observant le gars. Aussitôt, son sexe eut comme un soubresaut. Il se redressa :
- Merde, je bande...



Sa copine s'assit à côté, incrédule. Elle regarda tout autour pour s'assurer que personne n'avait remarqué l'état honteux de son homme :
- Qu'est-ce que tu fous ?
Volontairement, je me tournai vers eux, cuisses écartées, pour montrer à la fille la source de l'excitation de son mari.



Elle me jeta un regard noir et demanda à son mec :
- C'est cette fille ?
- Mais non ! Je n'avais même pas vu...
Quand je regardai devant, je vis l'autre couple qui était debout. Ils regardaient tous les deux la bite de monsieur qui était dressée :
- Et bien mon chéri, tu perds le contrôle ?
- Je crois que tu m'excites trop...
- Mmmm, toi aussi tu m'excites.
La fille embrassa le gars et commença à le masturber.



C'était fascinant de me dire que j'étais à l'origine de cela. J'entendis la femme murmurer :
- Attention quand même à ne pas jouir...
Cela me donna une idée. Je repris une bonne gorgée de bière. Ce que j'avais prévu arriva : Le gars repoussa la main de sa copine et se mit à se masturber. Le sperme se mit à jaillir et vint s'écraser sur le ventre de la fille.



C'était fou ! J'étais donc capable de faire éjaculer un mec seulement en buvant de l'alcool. Plus j'étais saoule, plus les mecs bandaient. Le phénomène était donc directement lié au traitement hormonal qui m'avait fait gonfler les seins. Je mouillais à l'idée du contrôle que j'allais pouvoir avoir sur les mecs rien qu'en buvant de l'alcool. Je ne résistai pas à la tentation de me caresser l'entrejambe pour fêter cela.



Quand je relevai la tête, il y avait le type seul qui se tenait debout à côté de moi, en érection, bien sûr :
- Mademoiselle, excusez mon état. D'habitude, je me contrôle mais là j'ai l'impression que vous déclenchez en moi un désir irrésistible.
C'était curieux car, malgré la politesse de son approche, il y avait dans son regard comme des reproches ou comme s'il attendait que je lui rende des comptes sur son état.



- Monsieur, rien n'est plus naturelle qu'une érection, ne vous en faites pas...
- Peut-être mais d'habitude, je me contrôle parfaitement ! Et là je vois que tous les mecs autour de vous sont dans le même état que moi... Par quelle magie parvenez-vous à faire ça ?



- Je ne sais pas ce qui se passe. Mais regardez, la fille derrière moi est en train de branler son copain, c'est peut-être elle ?
Il resta interdit en voyant que la fille était à genoux entre les cuisses de son homme et qu'elle le masturbait franchement.



- Vous voyez, je pense que c'est juste l'ambiance générale qui vous donne cette érection. Rien de plus.
Sans trop croire à mon explication, il continuait à regarder le couple derrière moi. Je voulais m'amuser un peu à nouveau. Je pris ma bière et en bus une rasade. Aussitôt le gars derrière moi se mit à râler et nous vîmes le sperme jaillir tandis que sa copine continuait de le masturber.



C'était génial d'avoir ce contrôle. Le gars semblait gêné d'avoir assisté à l'éjaculation d'un autre gars et il commença à s'éloigner. Je le rappelai :
- Attendez...
- Oui ?
Je me levai.
- Avec cette ambiance générale, moi aussi je suis excitée...



L'homme se retourna :
- Qu'est-ce que vous voulez dire ?
- Vous avez parfaitement compris. Vous bandez comme un âne et je vous propose de vous soulager. Vous voulez vous sauver ?
- Non...
Je te rejoignis et saisis sa queue tendue à l'extrême.



J'aurais pu boire une gorgée d'alcool, mais ça l'aurait peut-être fait éjaculer trop tôt. Je voulais le faire jouir sans artifice, en utilisant mes armes habituelles. Je me mis donc à genoux et je pris son sexe dans ma bouche pour le sucer tandis que je lui massais les testicules avec le creux de ma main.



J'avais peut-être déjà ingéré trop d'alcool car il se tendit soudain et je sentis sa semence envahir ma bouche. J'aurais bien voulu une éjaculation faciale mais c'était trop tard. J'avalais tout son jus et quand il se retira, une dernière grosse goutte de sperme s'écrasa dans le sable.



J'avais la bouche pâteuse et j'attrapai machinalement ma bière pour la terminer. A peine avais-je avalée la dernière gorgée que le gars, toujours devant moi, eut comme un sursaut. Il se mit à éjaculer à nouveau comme s'il n'avait pas encore joui. Plusieurs jets de sperme jaillir et vinrent s'écraser sur ma poitrine.



J'étais stupéfaite mais je comprenais ce qui venait de se passer. Le gars, lui, était subjugué :
- Qu'est-ce que...
Je fis quand même celle qui était surprise :
- Je croyais que vous aviez terminé... Sinon, je vous aurais gardé en bouche.
- Mais c'est la première fois que ça arrive.
- En tout cas, vous aviez de la réserve !
Le gars débandait et semblait presque traumatisé. Il retourna à sa serviette, la ramassa et s'éloigna. Autour, les gens partaient. J'avais passé un super après-midi et surtout j'avais découvert l'étendu du pouvoir que j'avais désormais sur les hommes. J'avais hâte d'expérimenter encore ce pouvoir.

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Mutation - épisode 7


J'étais si fascinée par ma découverte que j'eus envie dès le lendemain de me prêter à quelques expérimentations. Pour cela, je proposai à ma copine Fabienne, célibataire, de venir me rejoindre et de lui montrer ce que j'appelai mon "superpouvoir". Dès qu'elle eut passé la porte, elle plongea son regard dans le décolleté de mon débardeur. Je me rendis compte que même le regard d'une fille sur moi me faisait de l'effet :
- Dis-donc, Fabienne, tu mattes mes seins ?



- Désolée, Sylvie, mais... Tu t'es fait opérer ?
- Non, j'ai suivi un traitement... efficace, non ?
- Wahou, je suis bluffée.
Fabienne s'amusa à faire glisser une bretelle de ma petite robe grise.



Quand je remontai la bretelle, elle attrapa le décolleté et le tira vers le bas :
- C'est dingue ! On dirait que tu t'es faite siliconée.
- Et pourtant, ce sont de vrais seins, sans chirurgie !



Elle tira encore plus le décolleté et dégagea ma poitrine nue.
- Pfff. Franchement, je suis jalouse. Ils sont parfaits !
- C'est ce que je me dis quand je sens les regards des garçons... Si tu savais comme c'est excitant !
- Je vois ça... tu as les mamelons tout tendus.



Je rajustai ma robe et m'allongeai dans le canapé. Fabienne se mit en face de moi et demanda :
- Alors ? De quoi voulais-tu me parler ?
- Et bien, j'ai trouvé une technique pour faire bander les mecs...
En repensant à ce que j'avais fait sur la plage la veille, mes cuisses s'écartèrent naturellement, révélant ma fente humide.



Ce détail n'échappa pas à Cécile :
- C'est exposer ta chatte toute mouillée ta technique ou ce sont tes nouveaux seins ?
- Non, c'est à cause de l'alcool...
- De l'alcool ?
- Oui, les hormones que j'ai prises pour développer mes seins m'ont rendue complètement nymphomane et le médecin m'a donné un traitement. Mais ce traitement, couplé à mes hormones et à de l'alcool, a pour effet de faire bander les mecs.
- Tu déconnes ?
- Je me suis rendu compte de ça hier, sur la plage...
- Tu es allée faire bander des mecs sur la plage ?
- Oui, je me suis bien amusée...
- Je vois ça vu comment tu mouilles en en parlant !
Effectivement, ma fente était complètement trempée.



Fabienne eut un regard trouble et murmura :
- Je crois que ça a aussi de l'effet sur moi...
Je savais que Fabienne avait des tendances lesbiennes mais c'était la première fois que je sentais qu'elle me désirait ainsi. Elle vint s'agenouiller devant moi. Je ne la repoussais pas et écartai les cuisses. Elle se pencha et se langue commença à me lécher la moule.



C'était un délice mais je voulais jouer à autre chose avec elle :
- Attends...
- Tu ne veux pas ?
- Si mais je veux qu'on fasse autre chose.
- Tu es sûre ?
Elle m'embrassa à pleine bouche.



Je sentais qu'elle voulait me faire fondre et m'inciter à ce que l'on termine ce qu'on avait commencé. Quand elle reprit son souffle, j'en profitai pour me redresser :
- Voilà ce que je te propose. On va aller au parc et on va attirer l'attention d'un mec. Je vais boire pour le faire bander et tu n'auras plus qu'à le faire éjaculer comme bon te semble.
Fabienne ne réfléchit pas longtemps. L'idée de faire jouir un mec dans un lieu public lui plaisait :
- Ok, on y va.
A peine étions-nous arrivé sur place quelques dizaines de minutes plus tard, elle alla s'installer à une table de pique-nique face à une autre où un mec était installé, en train de pianoter sur une tablette. Je me cachai derrière les jeux pour enfants, déserts, et j'hallucinai de voir Fabienne retirer sa culotte.



Malgré sa concentration sur sa tablette, le gars releva la tête et ouvrit de grands yeux en la voyant faire. Tandis qu'elle s'installait en s'asseyant sur la table, le gars lui demanda :
- On se connait ?
- Non, mais j'ai l'impression que je vous intéresse...
- Un mec s'intéresse nécessairement à une fille qui retire sa culotte devant lui, non ?
Fabienne écarta les cuisses mais laissa sa main pendre devant son entrejambe pour ne pas lui montrer sa moule.



Elle lui demanda :
- Je vous excite ?
- Ce serait difficile qu'il en soit autrement...
- Vous bandez ?
Le gars rigola :
- Vous, vous êtes une fille directe. Pour être franc, non pas encore. Mais je suis certain que vous allez y parvenir.
D'où j'étais, seule Fabienne pouvait me voir. J'écartai les cuisses pour signifier à Fabienne de lui montrer sa chatte.



Elle hésita un peu et demanda au gars :
- Et si je vous montre ma minette ? Vous me montrerez votre engin ?
- C'est envisageable.
Fabienne releva sa robe et dévoila sa fente nue.



Le gars tint sa promesse et sortit son sexe. Il ne bandait pas mais il était quand même un peu gonflé. Fabienne soupira :
- Je suis déçue...
- Vous espériez une bite plus grosse ?
- J'espérais que vous seriez en érection... Mais peut-être avez-vous besoin d'être un peu plus stimulé ?
Fabienne commença à faire glisser les bretelles de sa robe.



Le sexe du gars se gonfla encore mais sans se dressé. Le gars semblait stressé d'être dehors à la vue d'éventuels promeneurs et regardait régulièrement autour de lui. Quand Fabienne dégagea complètement sa poitrine et fit glisser sa robe, il sembla encore plus gêné et sembla même débander.



Fabienne me fit un clin d'œil. C'était le signal. De toute évidence, le gars n'allait pas bander sans aide. Je pris une gorgée d'un échantillon de Cognac que j'avais amené dans mon sac pour l'occasion. L'effet ne se fit pas attendre : la queue du gars se redressa de manière fulgurante.



Fabienne applaudit en voyant cela. Le gars était subjugué lui-aussi. Fabienne le rejoignit et lui caressa le sexe avant de lui tourner le dos pour se lover contre lui. La queue callée entre ses fesses, il en profita pour la peloter. Ce qui suivit n'était pas prévu. Un groupe de quatre jeunes joggers passèrent à proximité. Ils virent le couple et, les queues sortant de leurs shorts, ils s'approchèrent. Fabienne, trop occupée avec son étalon ne se rendit pas compte de leur présence et encore moins sur le fait qu'ils se mettaient à poil.



Le premier gars par contre les remarqua. Il paniqua et, sans parvenir à remettre son sexe dans son pantalon, il repartit rapidement, laissant la pauvre Fabienne aux prises avec les quatre joggers. Fabienne était dans un autre monde. La situation ne l'effrayait pas car elle croyait être dans un rêve avec ces quatre queues dressée rien que pour elle. Elle les laissa l'entourer et commença à les masturber à tour de rôle.



Je pris conscience que nous jouions à un jeu dangereux car si d'autre groupes venaient à passer, il était certain que Fabienne, ou d'autres filles, allaient subir les désirs de nombreux mâles en érection. Il fallait en terminer rapidement pour que l'on puisse repartir. Fabienne était déjà à genoux pour commencer à la sucer les uns après les autres.



POur lui donner un coup de pouce et accélérer le processus, je repris une gorgée de Cognac. Fabienne était en train de masturber un gars. Ce fut incroyable : le sperme du gars se mit à jaillir presque aussitôt, un jet si puissant qu'il passa au-dessus d'elle pour aller s'écraser sur la table de pique-nique derrière elle.



Un second gars s'approcha vivement. De toute évidence, il était lui aussi sur le point d'éjaculer. Dès qu'il fut la queue au-dessus du visage de Fabienne, sa semence se mit à sortir s'écrasa, épais, sur le front et les joue de ma copine. Fabienne n'en croyait pas ses yeux :
- Hey ! Les gars, vous êtes éjaculateurs précoces, ou quoi ?



A peine avait-elle dit cela qu'un troisième gars lui posa la main sur la tête pour l'obliger à se tourner vers lui. Fabienne ouvrit la bouche et le gars eut juste le temps de poser son gland sur sa langue avant que son sperme ne jaillisse et emplisse la bouche de ma copine.



Elle n'avala pas et laissa tout retomber entre ses seins en se relevant. J'avais pour elle un sentiment curieux de pitié mêlée de jalousie. Le quatrième gars semblait ne pas vouloir se presser et prenait tout son temps pour se masturber. J'eus alors un doute sur mes supers-pouvoirs. Et si certains mecs étaient immunisés. Fabienne semblait attendre sans s'impatienter.



Je repris une petite gorgée, pour voir. Cela sembla suffire. Le gars s'approcha de Fabienne en serrant la base de son sexe pour contenir l'imminence de l'éjaculation. Fabienne s'agenouilla devant lui et il relâcha d'un coup la pression, libérant une incroyable quantité de sperme qu'il dirigea systématiquement sur les seins de ma copine.



Moins d'une minute après, les quatre gars avaient disparu. Fabienne récupéra sa robe et vint me rejoindre pour se cacher dans les jeux pour enfants. Je la nettoyai rapidement avec des mouchoirs en papier :
- Alors ?
- La vache, c'est dingue, ton truc !
- Tu me crois ?
- Evidemment ! Tu as vu comment ça les a fait gicler ? J'avais jamais vu un truc pareil. C'est épatant ton truc !
- Par contre, on a eu du bol que personne d'autre ne soit passé...
Fabienne avait remis sa robe et semblait ne plus m'écouter :
- Holala, ça me donne une idée ! Viens, on va chez moi.
Elle m'expliqua en chemin qu'elle fantasmait sur un jeune black qui lui livrait les pizzas mais qu'elle n'avait jamais su comment l'aborder. Son plan était simple : elle commande une pizza ; je me cache dans le placard pour boire et le faire bander ; elle se le tape.
Vingt minutes plus tard, j'étais coincée dans la placard de son salon avec mon échantillon de Cognac alors qu'elle attendait son livreur et je pouvais difficilement cacher mon excitation.



Elle avait commandé sa pizza pendant que nous retournions chez elle, si bien que nous n'eûmes pas longtemps à attendre avant que la sonnette ne retentisse. Fabienne avait passé une petite robe rose très sexy : courte, sans bretelle, sans rien dessous. De mon placard, j'avais un angle de vue sur l'entrée et l'ensemble du salon, ce qui était idéal. Fabienne alla ouvrir :
- Bonjour !
- Votre pizza, mademoiselle.
- Entrez.



Le gars, un beau noir effectivement, la suivit à l'intérieur. Fabienne prit son porte-monnaie pour le régler :
- Tenez.
- Merci. Vérifiez quand même que c'est bien ce que vous vouliez...
Dans mon placard, je pris une petite gorgée de Cognac. Le gars eut un petit tremblement alors qu'il ouvrait le carton. Fabienne regarda :
- Je vous fais confiance. Ce n'est pas la première fois que vous venez.



Le gars bandait et semblait très gêné. Fabienne se doutait que ça avait commencé. Elle lui demanda :
- Quelque chose ne va pas ? Vous êtes bizarre.
- Heu, non rien, je...
- Oh, mais vous bandez !!!
Le gars ne savait plus où se mettre surtout quand Fabienne tendit la main pour toucher la proéminence de son entrejambe.



- Vous me la montrez ?
- Pardon ?
- Si vous me montrez votre queue, je vous montre mes seins. C'est un bon deal, non ?
Mais avant qu'il ne puisse négocier quoi que ce soit, Fabienne avait déjà ouvert son pantalon pour en extraire une prodigieuse érection. Elle tira sur le haut de sa robe et ce simple mouvement suffit à dégager totalement sa poitrine.



Le gars souriait bêtement et semblait subir les décisions de ma copine. Finalement, si ça se trouve je n'avais même pas besoin d'intervenir. Fabienne le rassura :
- Ne soyez pas gêné. C'est naturel qu'un homme et une femme soient attirés l'un par l'autre.
Elle s'agenouilla et plaça le sexe dressé entre ses deux seins. Elle commença à le masturber ainsi, en lui léchant le gland à chaque fois qu'il était à portée de bouche.



Elle regardait en direction du placard où je me trouvais pendant qu'elle faisait cela. Je dois dire que c'était particulièrement excitant d'être voyeuse. Fabienne se débrouillait si bien que je n'avais pas besoin d'utiliser mon superpouvoir et cela me laissait le champ libre pour me masturber tranquillement en voyant comment ma copine s'occupait de cette belle queue d'ébène.



Après quelques minutes, Fabienne se releva et alla s'allonger dans le canapé en écartant ses cuisses largement :
- Venez me bouffer la minette !
Le gars n'hésita pas une seconde et vint s'agenouiller entre ses cuisses. D'où j'étais, je pouvais voir sa grande langue vicieuse s'immiscer entre les lèvres de la moule de ma copine et remonter jusqu'à son petit clitoris.



Il semblait très doué pour le cunnilingus mais Fabienne voulait autre chose :
- Mmmmm... Maintenant, je suis prête.
Le gars avait compris ce qu'elle attendait. Il se redressa et guida sa queue dans la fente trempée de cyprine. C'est quand je le vis s'enfoncer en elle, que je pris conscience à quel point sa bite était imposante !



Les gémissements de Fabienne furent instantanés et dès que le gars commença à aller et venir en elle, les gémissements se transformèrent en cris :
- Ooooh oui ! Baisez-moi ! C'est boooon !!!
Cela stimula encore plus le livreur qui accéléra la cadence de ses pénétrations.



Je dois dire que je n'en menais pas large de voir ça. J'étais extrêmement jalouse car j'aurais bien voulu être à la place de ma copine. Je me caressais frénétiquement mais je faisais attention à rester totalement silencieuse pour ne pas tout gâcher. Le gars s'était allongé derrière elle et continuait à aller et venir à un rythme plus que soutenu. Fabienne eut un terrible orgasme qui dut s'entendre dans tout le quartier.



Je profitais de ses cris pour me lâcher moi aussi, espérant que Fabienne couvre mes gémissements de plaisir. Mon orgasme fut évidemment moins intense que le sien, mais j'étais très heureuse d'avoir vu ça. Désormais, le livreur était debout et Fabienne était accroupie devant lui pour le sucer. Elle voulait sans doute le faire jouir dans sa bouche. Elle était parfaitement tournée vers moi pour que je vois bien l'énorme queue glisser entre ses lèvres.



Le gars éjacula enfin. Fabienne le masturba pendant que le sperme s'échappait en de multiples petits jets qui vinrent fouetter sa langue, et parfois le bas de son visage, et qu'elle laissait s'écouler sur ses seins. Pendant tout le temps où le gars éjacula, elle regardait en direction du placard où je me trouvais. Peut-être pensait-elle que j'étais intervenue davantage que ce n'était le cas en réalité ?



Le gars finissait d'éjaculer et Fabienne s'apprêtait à le reprendre en bouche pour aspirer les dernières gouttes et nettoyer l'énorme tige. J'eus alors l'idée de voir ce qui se produirait si je reprenais une bonne gorgée de Cognac. Je ne réfléchis pas et portai le flacon à ma bouche pour en avaler une grosse gorgée. L'effet fut incroyable. Le livreur poussa un râle terrible et il se mit à éjaculer à nouveau. Le sperme gicla avec une force inouïe, éclaboussant le visage et le buste. Jamais je n'avais vu une telle quantité sortir aussi rapidement.



Cette seconde éjaculation dura presque une minute. Fabienne était couverte de semence gluante et le tapis de son salon était lui aussi couvert de sperme. L'odeur arrivait jusqu'à moi, cachée dans mon placard. Le gars semblait paniqué :
- Je... je suis désolé... C'est la première fois que ça arrive. D'habitude, il n'y en a pas tant que ça !
Fabienne rigola et le rassura :
- Eh bien ! C'est prodigieux de pouvoir avoir les couilles aussi pleines ! Vous n'aviez pas éjaculé depuis plusieurs années, non ?
- Je ne comprends pas... Je suis désolé.
- Ne le soyez pas. J'ai pris un pied incroyable.
Le gars se rhabilla et repartit dans un état de confusion indescriptible.
Aussitôt, je poussai les portes du placard :
- Alors ? Tu as eu ce que tu voulais ?



- Et bien plus encore ! Merci de l'avoir fait bander comme ça !
- Tu sais, j'ai pris une micro gorgée quand il est entré et plus rien jusqu'à la seconde éjaculation. Je pense que tu aurais pu faire tout ça sans mon aide...
- Ne me dis pas que tu n'es pas responsable de la douche de sperme !?
- Effectivement, désolée pour le final. Je crois que j'y suis allée un peu fort sur la quantité.
- T'inquiète, c'était géniale ! Mais tu dois être complète saoule pour que autant de sperme soit sorti. Tu as vidé la bouteille ?
- Même pas... C'est vrai que c'est curieux car je ne suis même pas bourrée.
- En tout cas, j'avais jamais vu autant de sperme sortir d'une seule paire de couilles !



Je sortis du placard et vins la rejoindre. Du bout du doigt, je pris un peu de sperme sur la pointe du sein droit de Fabienne et le portai à ma bouche :
- Pas mal... Attend, je vais m'occuper de toi.
Je me penchai sur elle et me mis à lui lécher le visage, avalant au fur et à mesure tout ce sperme que j'avais fait gicler comme par magie.



Fabienne me laissa faire jusqu'à ce qu'il ne reste plus aucune goutte. J'avais gardé à la fin tout ce que j'avais léché et je l'embrassai à pleine bouche pour qu'elle puisse elle aussi goûter à ce nectar. Quand nos bouches se séparèrent elle regarda le tapis et me dit :
- Tu lèches aussi le tapis ?
Nous rigolâmes de bon cœur à cette plaisanterie. Pour ma part, j'étais très contente de ces petites expériences car cela m'aidait à comprendre le fonctionnement de ce pouvoir et le contrôle que je pouvais avoir en fonction de la quantité l'alcool ingéré.

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Mutation - épisode 8


Après avoir fait généreusement profiter à Fabienne de mon pouvoir récemment découvert, je me dis que je pouvais bien aussi en profiter moi-même. Luc, mon voisin sur lequel je fantasme depuis un moment, n'allait, cette fois-ci, pas pouvoir me filer entre les doigts. Je sentis que je commençais à mouiller rien qu'à l'idée que j'allais forcément me le faire ! Je passai ma jolie robe rouge, celle avec laquelle je n'étais pas parvenue à le charmer quelques jours plus tôt, et j'allai sonner chez lui après avoir avalé une toute petite gorgée d'alcool. Il m'ouvrit :
- Bonjour Sylvie, je... tu... Là mes potes m'attendent pour boire un coup...
- Et bien ils vont attendre encore un peu car tu vas d'abord me payer un verre.
J'étais un peu vexée qu'il ne me propose pas d'entrer et j'ouvris moi-même la porte pour rentrer chez lui.



Il me regarda passer devant lui, plongeant son regard dans mon généreux décolleté, et referma la porte, résigné :
- Ok... Je te sers quoi ?
- Ce tu veux.
- Un jus de fruit ?
- Plutôt de l'alcool.
Vautrée sur le canapé de son salon, j'attendis qu'il revienne. Il me servit un petit verre de rhum.



Sitôt servie, je bus une gorgée de rhum et regardai Luc :
- Est-ce que tout va bien Luc ? Tu as l'air bizarre...
Je voyais qu'il bandait déjà comme un cheval.
- Oui, je... j'ai un peu chaud là...
- C'est vrai qu'il fait super chaud chez toi !
Je tirai sur mon décolleté comme pour m'aérer un peu la poitrine.



Je me laissai aller en arrière dans le fauteuil, laissant mon décolleté glisser un peu et révélant une bonne partie de ma poitrine dont un mamelon tendu par l'excitation. Mon voisin ouvrit grand les yeux mais se garda de me dire que ma tenue était indécente. Il se rinçait l'œil en se trémoussant sur place pour dissimuler son érection galopante.



Je rebus une gorgée. Il bandait à fond et se leva précipitamment :
- Heu, excuse-moi... il faut que j'aille au toilette...
Je désignai l'énorme bosse de son pantalon :
- Une envie soudaine de te soulager ? Tu ne crois pas qu'on pourrait trouver une solution ensemble à ton problème ?
Je me levai aussi et commençai à faire glisser les bretelles de ma robe pour dégager mes seins.



Il était béat et semblait accepter que je m'occupe de lui. Ma robe tomba au sol. Je vins vers lui et je lui retirai sa chemise. Il se laissa faire, sans m'aider, et me laissa aussi retirer son pantalon et son boxer. Son érection était incroyable :
- Mmmmh, j'ai l'impression que je te fais de l'effet.
Lui-même en semblait stupéfait. Je saisis son érection à deux mains et je commençai à le masturber.



Peu à peu, il se détendit mais, heureusement, pas de la queue. Je le mis à l'aise :
- Si ce sont mes seins qui t'excitent autant, tu peux les caresser, si tu veux...
- Oui... Ils sont prodigieux !
Il se mit à les malaxer et à jouer avec mes tétons pour les durcir davantage.



Je sentis que cela l'excitait au plus haut point de me peloter et rien que pour cet instant, je n'aurais eu aucun regret d'avoir suivi ce traitement pour faire gonfler mes seins. Soudain, sans que je m'y attende, un puissant jet de sperme partit à la verticale et vint s'écraser juste sous mes seins. Puis le sperme s'écoula par saccades sur mes doigts et mon poignet tandis que mon voisin râlait de plaisir.



En lui faisant un petit sourire complice, je le grondais gentiment :
- Tu aurais pu être un peu plus patient, j'aurais bien voulu te sucer, moi.
- Désolé.
- Ne t'inquiète pas, On fera ça une autre fois.
Je repris ma robe et commençai à la remettre.



Il resta à me regarder me rhabiller, l'air hagard :
- Tu pars ?
- Oui, tu m'as dit que tu devais aller boire un coup avec tes copains.
Je lui fis signe de la main et ouvris la porte.


Il se rhabilla alors précipitamment et m'arrêta :
- Attends !
Je refermai la porte :
- Ecoute, je ne peux pas m'arrêter là. Tu me plais beaucoup et je n'ai jamais bandé comme ça pour aucune fille.
- C'est vrai que c'était impressionnant.
- Et je ne débande pas !
- Fais voir ?
Il rouvrit son pantalon, sortant sa queue encore totalement raide malgré l'éjaculation. J'avais peut-être un peu forcé sur l'alcool... Je ne pouvais pas le laisser dans cet état :
- Il semble que je vais quand même pouvoir te sucer alors...
Je m'accroupis devant lui et pris son sexe en bouche.



Pendant que je le suçais, il retira à nouveau ses vêtements. Il tenta de tempérer mon ardeur :
- Tu sais, c'est pas sûr que tu puisses y arriver alors que tu viens tout juste de me faire jouir...
Je considérai cela comme un challenge et j'avais en plus assez confiance en mon pouvoir que j'avais vu à l'œuvre sur Fabienne. Je me mis à lui lécher les testicules.



Il se mit rapidement à râler de plaisir et je sentis que ses couilles qui se contractaient :
- Oh putain ! Je jouis encore !
Il saisit sa queue et la dirigea vers ma bouche. Le premier jet, puissant, vint s'écraser sur mon épaule et dans mes cheveux. Les suivants atteignirent ma bouche avec plus de succès.



Je sentis un petit orgasme m'envahir. Je pris alors le membre turgescent entre mes lèvres pour le pomper et je fus surprise par deux autres généreuses giclées de sperme. Luc grognait de plaisir :
- Rhoooooo. Quel pied !
Je ne voulais pas avaler toute sa semence et je trouvais bien pour le spectacle qu'il se rende compte de la quantité qu'il venait de me laisser.
Tout en le pompant, je laissai un épais filet de sperme couler le long de ma main.



Il me regarda les yeux écarquillés :
- Comment tu fais ça ?
- Comment je fais quoi ?
- J'ai jamais autant bandé, jamais autant éjaculé et j'ai l'impression que je ne débande toujours pas. C'est incompréhensible !
- Probablement une sorte d'alchimie entre nous...



Ma remarque sembla le pétrifier. Il rajusta ses vêtements précipitamment et s'enfuit dans la cage d'escalier sans me dire au revoir ni refermer la porte. Je m'essuyai rapidement la bouche du revers de la main et renfilai ma robe aussi vite que possible. Saisissant la bouteille de rhum sur la table basse, je me précipitai à sa suite dans les escaliers sans comprendre pourquoi il avait soudain paniqué. Dès que je l'eus en visuel, je rebus une gorgée de rhum. Il s'arrêta soudain, tétanisé. Je le rejoignis et posai la bouteille par terre.



Il tourna la tête vers moi :
- Qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce que tu m'as fait ?
- Mais rien voyons. Tu es excité par mes seins, je pense, c'est tout.



- Là, à l'instant, j'ai cru que j'allais éjaculer dans mon froc !
Je dégageai mes seins du décolleté :
- Tu pensais à moi, c'est tout. Je peux t'arranger ça...



Son pantalon était atrocement déformé par son érection. Il semblait paniqué mais se calma quand j'ouvris son pantalon pour extraire son sexe. Plus posé, il me dit :
- Je ne comprends pas... Tu m'as fait jouir déjà deux fois et j'ai l'impression de bander toujours plus.
Je me mis à genoux pour le prendre entre mes seins :
- Et je pense que je vais encore te faire éjaculer...



- Mais tu m'as déjà vidé les couilles. Qu'est-ce qui se passe ? Est-ce que ça vient de toi ou de moi ?
- C'est désagréable ?
- Ah ça non ! C'est le pied, mais je n'ai pas l'habitude et ça me fait un peu peur...
- Ne te pose pas de question et profite.
Je faisais coulisser sa queue entre mes seins.



Enfin il sembla se résigner et je le félicitais :
- Quand on a une belle bite comme la tienne, ça me semble dommage de ne pas en profiter.
Luc ferma les yeux et rejeta la tête en arrière. Il jouissait à nouveau. Je laissai son sexe entre mes seins et penchai la tête pour regarder le sperme jaillir.



Si le premier jet fut normal, les deux suivants furent carrément puissants et virent me fouetter au visage et déclenchèrent à nouveau un petit orgasme. Luc râlait de plaisir, sans retenue, même si nous étions dans la cage d'escalier de notre immeuble et qu'on pouvait être surpris n'importe quand par nos voisins. Quand il eut terminé, il regarda tout le sperme qu'il m'avait à nouveau mis sur le visage et sur la poitrine et me dit :
- C'est dingue !
- Et tu ne débandes toujours pas...



Je commençais à sérieusement ressentir l'effet du rhum que j'avais ingurgité et je n'avais pas les idées très claires. Je me relevais et rajustai ma robe, remettant mes seins dans mon décolleté. Luc s'étonna que je n'essuie pas le sperme :
- Tu... Tu restes comme ça ?
- Non, je pense que je vais remonter me doucher.



Luc eut pitié de moi et sortit un mouchoir pour m'essuyer, n'en revenant toujours pas :
- Tout ce sperme...
- C'est tout ce que tu retiens ? Moi, ce que je vois, c'est qu'on est sur la même longueur d'ondes, non ?
- Oui, c'est vrai que, même si, je te l'avoue, j'ai pas mal fantasmé sur toi, je ne t'avais jamais envisagée comme une relation potentielle.
- Et pourtant ! Maintenant, tu vas devoir me présenter à tes parents et à tes amis...
Il rigola :
- Si tu veux, mes amis, je te les présente tout de suite, ils sont à la cave en dessous en train de picoler...
Je pris conscience que j'étais saoule quand je m'entendis répondre :
- Ok, je te suis.
Il eut un temps d'arrêt en entendant ma réponse, puis commença à redescendre les escaliers. Il me fit entrer dans une grande cave où il y avait quatre autres gars :
- Alors, Luc, tu t'es perdu ?
Mais les sarcasmes cessèrent dès qu'ils me virent et que Luc referma la porte :
- Les gars, voici Sylvie, ma voisine.
Tout le monde resta silencieux à m'observer. A cause du rhum, j'avais la tête qui tournait et je dus m'appuyer au mur.



Un des gars dit tout bas :
- Elle sent le sperme et me file la trique...
Luc regarda alors ses amis l'un après et l'autre et se rendit compte qu'ils bandaient tous :
- Du calme, les gars ! Elle me fait aussi cet effet là...
- Tu viens de te la faire ? Elle empeste le sperme...
- Oui... Elle vient de me faire jouir entre ses seins...
Un des gars s'approcha et tira sur ma robe pour dégager ma poitrine :
- Fais voir ?



Je le laissai faire et restai les seins nus exposés à la vue des garçons. Moi, j'avais encore envie de jouir et la présence de ces cinq mecs en érection pouvait me laisser espérer un bel orgasme. Luc s'approcha pour rajuster ma robe mais je le repoussai :
- Laisse. Comme ça ils vont comprendre pourquoi tu étais en retard.
- Mais tu ne vas pas les laisser te foutre à poil ?
- Pourquoi pas ? De toute façon j'ai trop chaud...
Sans attendre que les gars viennent me retirer ma robe, je commençai à la faire glisser.



Luc m'engueula :
- Mais Sylvie, qu'est-ce que tu fous ?
Voyant que j'avais la ferme intention de me mettre nue, il se tourna vers ses copains :
- Les gars. Soyez raisonnables. Elle est bourrée. Elle ne sait plus ce qu'elle fait.
Ma robe tomba au sol et je fus nue, offerte à ces hommes.



Un des copains de Luc s'approcha :
- Moi, je sais très bien ce que je vais faire.
Il commença à me caresser. Un second gars vint le rejoindre aussitôt.



C'était un délice de sentir ces mains viriles sur mon corps. En entendant mes gémissements de plaisir, les deux derniers copains vinrent nous rejoindre aussi. Luc s'approcha, tentant de nous raisonner :
- Arrêtez ! C'est n'importe quoi !
Comme il était à portée, j'empoignai son pantalon et le déboutonnai pour extraire son érection. Une fois que je l'eus en main, je sentis que Luc perdit toute envie de raisonner qui que ce soit. Les autres gars sortir aussi leurs queues et je me mis à les masturber les uns après les autres tandis que leurs doigts s'immisçaient dans mon anus et dans ma fente.



Peu à peu, les derniers vêtements tombèrent. Ils tournaient autour de moi, explorant mes courbes et mes orifices à tour de rôle. Je les masturbais autant que possible en faisant en sorte de ne pas les faire éjaculer car j'avais une idée assez précise du final que je souhaitais.



Quand je les sentis bien mûrs pour la plupart, je m'agenouillai et les mis au parfum :
- Les gars, je veux que vous gicliez tous sur moi.
Les gars s'approchèrent et je commençai à sucer Luc qui était le plus près.



Luc se sentit obligé de me prévenir :
- Tu m'as déjà fait éjaculer trois fois en moins d'une demi-heure, ça m'étonnerait que tu puisses en tirer la moindre goutte supplémentaire.
- Ne doute pas de mes capacités ni de tes ressources...
Je continuais à sucer les sexes qu'on me présentait les uns après les autres.



Les gars ne se privaient pas pour me peloter quand je ne m'occupais pas d'eux. S'ils avaient pris la peine de me caresser la moule, ils se seraient alors rendu compte que je mouillais comme une folle. L'orgasme n'était pas loin et pas la moindre goutte de sperme n'avait pourtant encore jailli.



Luc s'approcha en râlant :
- Hannn... J'y suis...
Il me présenta sa queue que je m'empressais de sucer avant que la semence ne jaillisse.



Je sentis le sperme arriver et je sortis le sexe de ma bouche juste à temps. Luc râlait :
- Haaaaaaaaaaaan !
Son sperme giclait et venait éclabousser ma bouche et mes seins. L'orgasme montait. Je le sentais puissant mais je me concentrais pour retarder son ascension.



Un second gars se mit devant moi :
- A mon tour !
Aussitôt il se mit à éjaculer, éclaboussant mon visage et mes seins de sa semence. Je me concentrais encore. Difficile.



Un troisième arriva. Je saisis sa queue palpitante et je me mis à la branler jusqu'à ce qu'elle se mette à gicler. Le sperme vint s'écraser sur mon front et mes joues. Impossible de tenir plus longtemps. Terrassée par l'orgasme, je me mis à crier de plaisir tandis que le gars continuait de vider sa semence dans ma bouche.



Luc fit remarquer à ses copains :
- Putain, les éjaculations faciales la font jouir !
Dans un état second, les yeux fermés, je sentis deux gars venir en même temps. Les jets de leur semence chaude vinrent s'écraser sur mon visage, entretenant mon incroyable orgasme.



Quand ils eurent terminé, je commençai à reprendre conscience. Luc s'approcha alors de moi, la queue à la main, et me dit :
- Tiens, comme tu aimes ça, je crois qu'il m'en reste un peu...
Il éjacula à nouveau, plus modestement, mais compléta le masque de sperme qui me recouvrait le visage, cherchant à ce qu'aucun millimètre de mon visage ne soit épargné.



Tout cela, et en particulier mon terrible orgasme, m'avait fait un peu dessaouler. Les gars débandaient enfin. Luc semblait soulager de voir qu'il n'était pas atteint de priapisme.
- Sylvie, pourquoi tu as fait tout ça ?
- Par plaisir... Mais rassure-toi, j'ai réellement des sentiments pour toi.



Il me sourit :
- Allez, viens. Tu vas te doucher dans mon appartement.
Luc attrapa une vieille couverture pour m'enrouler dedans et m'aida à remonter jusqu'à chez lui. Il m'aida à me doucher et n'essaya pas d'abuser de moi. Rentrée chez moi, je m'allongeai sur mon lit et m'endormis aussitôt, satisfaite d'avoir enfin pu mettre la main sur mon voisin.


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Mutation - épisode 9


Durant cette période, j'étais assistante sociale dans une structure hospitalière. Une collègue médecin me parla un jour d'un patient qui, suite à un accident, ne pouvait plus bander. Elle semblait avoir bien pitié de lui et me confia qu'elle avait même tenté, sans succès, de le masturber. Je me dis qu'il pourrait être opportun de tester mon nouveau pouvoir sur ce cas particulier. Je parvins à récupérer le dossier du patient en question et je décidai d'aller aussitôt lui rendre visite dans sa chambre.
J'avais avec moi une petite bouteille de sirop avec un taux d'alcool assez important. En entrant dans la chambre du gars, celui-ci me détailla et poussa un profond soupir en voyant mon chemisier tendu par mes seins nus.
- Bonjour. Vous n'avez pas l'air très content de me voir...



Il regarda par la fenêtre, comme si la vue de ma poitrine lui était insupportable, et répondit :
- Vous êtes très belle. Excitante, même ! Mais vous savez sans doute que je ne peux plus bander...
J'approchai et tirai la couverture. Comme il faisait très chaud dans la chambre, mon patient avait retiré sa chemise d'hôpital et restait nu. Il était bel homme et son sexe, bien que de taille conséquente, restait à pendre sur son ventre.



Il ne s'offusqua pas que je regarde ainsi son sexe, sans doute habitué à avoir été examiné particulièrement à cet endroit. J'ouvris son dossier :
- Ne soyez pas défaitiste. Je suis venue voir si on pouvait essayer autre chose...
- Vous êtes la plus belle des infirmières qui sont passées mais je doute que ça suffise.
- Je suis assistante sociale et j'ai d'autres ressources que les infirmières.



Le gars leva les yeux au ciel, doutant de mon optimisme :
- Une médecin a essayé en me masturbant, sans succès. Vous voulez essayer de me sucer ?
- Ne soyez pas vulgaire.
- Désolé, je suis surtout désabusé...



- On peut le comprendre.
Je regardai son nom sur sa fiche :
- Rudy, je vais essayer quelque chose...
Je commençai à déboutonner mon chemisier, laissant apparaître mes seins nus.



Rudy regardait mais sans grande conviction :
- Si vous croyez que ma femme n'a pas essayé...
Je bus alors une gorgée de sirop et l'alchimie opéra : je vis le sexe du gars se mettre à gonfler et à se redresser. Rudy se redressa sur son lit, n'en croyant pas ses yeux.



- C'est dingue ! J'avais pas bandé depuis mon accident ! Comment avez-vous fait ?
Appuyée au mur, je terminai d'ouvrir mon chemisier et répondit :
- Je crois que c'est l'effet que font mes seins sur tous les hommes...



Il regardait son érection comme si c'était la huitième merveille du monde. Je dois dire que je le trouvais drôlement bien monté et que je ne comptais le laisser comme ça :
- Par contre, professionnellement parlant, il faut bien sûr que je contrôle que vous parvenez à éjaculer.
- Heu, je peux vérifier ça tout seul, vous savez...
- Ne vous inquiétez pas. C'est purement professionnel.
Il ne répondit pas mais dut ne pas avoir trop de doute sur mon intention réelle quand je retirai mon pantalon et ma culotte.



- Heu, c'est vraiment nécessaire que vous vous mettiez à poil ?
- Pourquoi, je ne suis pas à votre goût ?
- Bien sûr que si, je crois que sexe exprime bien mon désir. Mais vous n'avez pas besoin d'être à poil pour me masturber...



- Qui vous dit que je vais me contenter de vous masturber ?
Je terminai de retirer mon chemisier. Il me regardait avec les yeux exorbités :
- Vous savez, je suis marié...
- Vous savez, vous êtes mon patient et nos rapports sont exclusivement professionnels.



Il n'osa pas s'opposer à moi quand je vins m'agenouiller à côté de lui sur le lit :
- Bien, Rudy. Voyons un peu ce qu'on va pouvoir tirer de cette belle queue.
Il eut un frémissement quand mes mains se posèrent sur son sexe dressé. Je me mis à le masturber lentement.



Il bandait déjà si bien que je ne le fis pas grossir davantage :
- Rudy, il me faut maintenant vérifier que vous serez en mesure d'honorer convenablement votre femme, sans aide médicale.
Je me redressai et vins le chevaucher, m'enfonçant son membre dans la fente. Il ferma les yeux et me laissa analyser son état de santé. En tournant la tête, je me rendis compte de la présence d'un homme en blouse.



Il me sourit :
- Je suis l'interne. Je vois que tu as trouvé le moyen de soigner Rudy. Si ça ne te dérange pas, je vais rester pour prendre des notes.
En fait de notes, l'interne retira son pantalon. Il s'assit sur une chaise le long du mur et commença à se masturber en me regardant chevaucher notre patient.



Après une minute, l'interne prit la parole :
- Est-ce que ça te dérangerait de te tourner, Sylvie ? Cela me permettrait de mieux juger de l'érection de Rudy.
J'étais si confuse que cet homme me tutoie et puisse connaître mon nom que je lui obéis sans discuter, m'empalant sur la queue de Rudy en faisant face au nouveau venu.



En fait d'inspecter l'érection de Rudy, c'était surtout ma moule et mes seins qui semblaient l'intéresser. Moi j'étais dans un état second, surexcitée par la présence de cet inconnu qui se masturbait en nous regardant faire l'amour. Je sentis que l'orgasme n'était pas loin mais je parvins à me retenir, me concentrant surtout sur le plaisir que je donnais à mon patient.



Rudy se mit à râler :
- Aaaaah putain ! Je crois que ça y est !! Je jouiiiiiis...
Effectivement, je sentais sa semence chaude envahir mon ventre. Il me souleva alors les fesses pour se dégager et je sentis un épais filet de sperme s'échapper de ma chatte béante et s'écouler le long de la tige tendue de Rudy.



L'interne regarda cela avec un intérêt particulier et s'astiqua le manche avec précipitation. Rudy me déposa et je descendis du lit, épuisée par ma petite prestation. L'interne se leva soudain, le sexe tendu à l'extrême, prêt à exploser. Je m'étais mise à genoux pour reprendre mon souffle et il fit un pas vers moi. Son sperme se mit à jaillir vers moi.



Je reçu cette épaisse giclée sur le haut du visage et il me rejoignit tandis que les suivantes arrivaient. L'orgasme arriva. J'ouvris la bouche pour crier mon plaisir et je sentis la main de l'interne sur ma tête pour me la tirer en arrière. Sa semence continuait à couler et il en dirigeait tout dans ma bouche grande ouverte. Mon corps était pris de convulsions tandis que l'interne terminait d'éjaculer dans ma bouche.



Dès qu'il eut terminé, il retourna s'assoir. J'avais sa semence. Rudy était subjugué. L'interne me demanda :
- J'ai eu l'impression que tu avais un orgasme quand tu as reçu mon sperme au visage...
Il était difficile de nier. Je me contentai de hocher la tête et, toujours à genoux, je pris un coin du drap du lit pour l'essuyer le visage.



Pour me rincer la bouche, j'eus un réflexe malheureux. Je bus une bonne gorgée de mon sirop. Aussitôt, les deux hommes, qui avaient commencé à débander, retrouvèrent une érection phénoménale à laquelle ils ne s'attendaient pas. L'interne me dit :
- Mince, j'ai jamais bandé comme ça auparavant ! Tu es vraiment douée. Je crois que tu vas devoir venir me baiser moi aussi...
Même si l'interne ne formalisait pas un chantage pour me forcer à le satisfaire, je savais que je n'avais pas le choix et, de toute façon, cela ne me déplaisait pas de chevaucher ce beau jeune homme. Je rejoignis donc et vins m'empaler sur sa tige tendue.



Il grogna de plaisir tandis que sa queue s'enfonçait en moi. Quand je commençai à monter et descendre sur sa tige, il se pencha sur le côté pour s'adresser à Rudy :
- Rudy, si vous bandez encore, vous pouvez vous masturber et voir si vous pouvez encore éjaculer.
Notre patient ne se fit pas prier et empoigna son sexe pour se branler en nous regardant.



L'interne, en bon professionnel, l'encourageait dans ce nouveau test :
- Rudy, admirez un peu ce magnifique cul. Sylvie noue laissera peut-être essayer aussi son petit trou.
- C'est hors de question !
Je tournai la tête et vis que Rudy portait effectivement un intérêt tout particulier à mes fesses.



Il s'astiquait lentement, profitant d'un plaisir retrouvé qu'il n'espérait plus. Il semblait donner à sa masturbation le même rythme que ma chevauchée sur la queue de l'interne, comme s'il s'imaginait être à sa place. Soudain, il se rejeta en arrière et ferma les yeux. Son sperme se mit à jaillir et vint s'écraser sur son ventre.



Voir gicler ce sperme m'excitait au plus haut point, même si ce n'était pas sur mon visage. Ce spectacle magnifique, en plus du plaisir des pénétrations de l'interne finit par me déclencher un orgasme. Je fus prise de soubresauts et je craignis que cela ne déclenche une nouvelle éjaculation de mon partenaire mais il parvint à se contrôler.



Tandis que je me calmais et reprenais mon souffle, l'interne continuait à aller et venir lentement en moi. Rudy nous regardait, le sexe encore en érection avec une flaque de sperme sur le ventre. L'interne me dit alors :
- Si tu aimes le sperme, je pense qu'il serait dommage que tu ne profites pas de ce que Rudy vient de laisser...
Le pire c'est que j'en avais réellement envie. Je rejoignis donc notre patient et je me mis à quatre pattes sur le lit pour lécher son ventre et le sucer.



Etant de côté par rapport à Rudy, il n'eut qu'à tendre le bras pour atteindre ma moule. Je sentis son doigt s'immiscer dans ma moule et fouiller mon intimité. Je dus abandonner ma fellation quelques secondes pour reprendre mon souffle et, dès que j'ouvris la bouche, ce furent des gémissements de plaisir qui en sortir. L'interne se leva :
- J'ai l'impression que tu es difficile à combler... S'il t'en faut encore, ça tombe puisque j'ai l'impression que je ne vais pas débander de sitôt.
Il vint se positionner derrière moi et remplaça les doigts de Rudy par les siens, me masturbant lentement. Il se pencha et se mit à me lécher le cul.



Je dus à nouveau abandonner ma fellation, pour exprimer le plaisir que me procurait cette langue. L'interne semblait ravi de ma réaction :
- Oh ! Rudy, je crois que votre assistante sociale préférée adore qu'on lui lèche le cul. J'espère que ça vous fait bander de savoir ça.
Tout en continuant à faire courir sa langue dans le creux de mes fesses, il plongea son index dans mon anus.



Je sentis la cyprine couler de ma moule tandis que l'interne me branlait le cul et je ne pouvais plus sucer Rudy convenablement :
- Oh ouiii... Plus loin...
- Attends ma belle, mon doigt n'est pas assez long.
Il se redressa alors en remplaça alors son doigt par un morceau de chair effectivement beaucoup plus conséquent.



Il me saisit aux hanches et me baisa tranquillement, sans se précipiter. Je continuai à branler Rudy mais je peinais à me concentrer sur la fellation. L'interne me rappela à l'ordre :
- Dis donc. Essaye de te concentrer un peu. Je te rappelle que tu auscultes un patient. Le plaisir que tu peux en tirer n'est qu'accessoire...



Mais j'avais bien du mal à sucer la queue de Rudy en subissant les assauts de l'interne. Il interrogea Rudy :
- Rudy, tu aimes me voir baiser ton assistante sociale pendant qu'elle te suce ?
- Oui...
- Mais tu préfèrerais peut-être que je l'encule ?
Je m'opposai farouchement à cette proposition :
- C'est hors de question !
Rudy hocha alors la tête et l'interne en profita :
- Sylvie. Ta priorité, c'est ton patient. Fais preuve d'abnégation.
Sans attendre mon consentement, il se retira de ma moule et plongea son sexe dans mon anus, se penchant au-dessus de moi pour peser et faire pénétrer d'une traite sa longue tige dans mon petit trou.



Je retins mes hurlements, consciente que cela aurait pu alerter le personnel hospitalier. Malgré cette intrusion de l'interne dans mon cul, je ne pouvais pas dire que c'était désagréable. En fait, je prenais mon pied à sentir son membre aller et venir dans mon petit trou. Je tendis mon cul vers lui et je tentai de reprendre en bouche le sexe de Rudy.



Il se contracta soudain et appuya sur ma tête. Je ne voulais pas avaler sa semence et je voulais la recevoir sur mon visage, je me dégageai alors de son étreinte et me redressai juste au moment où il se mit à gicler. Le premier jet de sperme vint s'écraser sur mon visage alors que l'interne se tenait immobile dans mon cul à observer la troisième éjaculation de notre patient.



Un nouvel orgasme me gagna alors que son sperme jaillissait et que plusieurs gouttes venaient s'écraser sur mon visage. Dès qu'il eut terminé, je repris ma fellation pour le nettoyer. L'interne en profita pour reprendre sa sodomie avec enthousiasme :
- Bravo Rudy, je vois que vous êtes parfaitement remis d'aplomb de ce côté-là.
L'interne avait à peine fini sa remarque qu'il se retira. Je sentis alors plusieurs jets de semence venir fouetter mes fesses et mon dos, puis les derniers s'écouler le long de mon anus béant et de ma moule déjà trempée de mouille.



Tant d'émotion semblait avoir anéanti notre patient : Rudy était en train de s'endormir alors que je le suçais encore. L'interne me regarda attraper mon chemisier et me dit :
- Bravo. Je ne sais pas comment tu fais mais je dois avouer que je ne connais aucune fille qui soit capable de faire bander comme tu le fais. Tu l'as fait jouir combien de fois ?
- Trois fois, Rudy. Et vous deux fois...
J'enfilai mon chemisier.



L'interne semblait songeur et ne se rhabillait pas :
- Regarde, je bande encore. C'est dingue !
Je remis mon pantalon et commençai à reboutonner mon chemisier :
- Je crois que ce sont mes seins qui font cet effet-là...



Regardant le décolleté que j'étais en train de reboutonner, l'interne me demanda :
- Mmmmmh, c'est vrai qu'ils sont superbes... Tu accepterais de me branler entre tes seins ?
En dehors du contexte où nous étions et ce que nous venions de faire, cette demande aurait pu paraître incongrue, mais là, cela m'amusait. Sans répondre, je rouvris mon chemisier et vins m'agenouiller devant lui pour placer son sexe encore tendu entre mes seins.



Il ne lui fallut pas longtemps :
- Putain, ça monte déjà !
Il se recula d'un pas et dirigea son sexe vers ma poitrine. Le sperme jaillit et vint s'écraser entre mes seins me procurant un nouvel orgasme.



- Haaaaaaan... La vache ! Il m'en reste encore !
Il se laissa retomber sur la chaise, le sexe encore secoué des soubresauts du plaisir. Aussitôt, je vins m'agenouiller devant lui pour lui sucer la queue et aspirer les dernières gouttes de sa semence, mettant mes mains sur mes seins pour que le sperme ne coule pas sur mon chemisier.



Une fois que j'eus bien nettoyer son sexe, je pus constater que l'effet de mes hormones conjuguées à l'alcool du sirop commençait à s'estomper : l'interne débandait enfin, tout comme Rudy qui ronflait, étendu nu sur son lit. L'interne se rhabilla. Tenant mon chemisier pour qu'il n'entre pas en contact avec le sperme, je demandai à l'interne :
- Vous pouvez me passer des essuie-mains, s'il vous plaît ?



Il me sourit :
- Non. Je pense que tu vas rentrer comme ça. Tu reboutonnes ton chemisier en laissant le décolleté assez ouvert pour que les gens que tu croiseras puissent voir qu'il y a du sperme. Tu verras, c'est très excitant.
Comme à sa première injonction, il ne faisait pas peser le moindre chantage et j'aurais pu refuser ce challenge un peu douteux. Malgré tout, je sentis qu'il était capable de ruiner ma réputation au sein de l'hôpital, voire de me faire perdre ma place si je refusai. Par mesure de sécurité, j'obtempérai sans discuter et refermai seulement deux boutons à mon chemisier.



Mon retour à la maison fut effectivement amusant et excitant. Il me sembla que seulement deux hommes et une femme avaient remarqué ce qui s'écoulait lentement entre mes seins. Arrivée chez moi, je n'allai pas voir Luc et commençai par prendre une bonne douche avant d'aller le voir. J'aurai pu lui raconter ma journée, mais je n'étais pas sûre qu'il comprenne très bien ce genre de zèle professionnel.

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Mutation - épisode 10


Quelques semaines après mon intervention spéciale à l'hôpital, je reçus un mail étonnant. Un photographe me proposait une séance gratuite de shooting. Ma curiosité sollicitée, je ne pus m'empêcher d'appeler au numéro de téléphone qui figurait en bas du mail. Une jeune femme me répondit qu'il s'agissait d'une offre que le studio faisait occasionnellement. Rassurée par l'existence d'une véritable structure, et pas un simple photographe amateur, je pris rendez-vous.
J'arrivai sur place à l'heure indiquée dans une jolie petite robe sexy et c'est la secrétaire qui m'accueillit :
- Bonjour. C'est moi que vous avez eu au téléphone. Je suis Maella. Je vais vous demander de patienter dans la pièce ici car il est occupé encore quelques minutes.



La fille, très sympa, me désigna un canapé à côté d'une porte portant la mention "Shooting en cours, ne pas déranger". Je m'installai pour attendre et Maella retourna à l'accueil en refermant la porte derrière elle. Je fus surprise d'entendre des gémissements féminins venant de derrière la porte. Je me demandai alors si je n'étais pas tomber sur un photographe pervers qui se sentait obliger de se taper ses modèles. Malgré la mention sur la porte, je me risquai à entrouvrir celle-ci et je découvris une femme blonde, la robe retroussée sur la taille, en train de se faire bouffer la chatte par un gars.



Ses gémissements augmentèrent et, rapidement, elle finit par avoir un orgasme. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, son corps vibrait sous la langue agile de son amant. Moi je commençai à mouiller ma culotte significativement. Je me dis qu'il ne serait pas très présentable de me présenter comme cela s'il me demandait de retirer ma robe et, ayant déjà fait le choix de ne pas mettre de soutien-gorge, je décidai de retirer aussi la culotte pour la ranger dans mon sac à main. Quand je risquai à nouveau un coup d'œil dans l'entrebâillement de la porte, la femme se rajustait.



Elle s'adressa alors sèchement à son amant :
- Désolée de t'imposer cela mais en tant qu'épouse, tu comprends que j'ai des besoins...
- Je ne me plains pas.
- Mais moi si ! Depuis ton accident, il n'y a plus qu'avec ta langue que tu parviens à me faire jouir.



- Je suis désolé...
- Pas autant que moi. Au moins, depuis cela, je sais que tu ne baises plus ta salope de secrétaire ou tes modèles.
- Maella n'est pas une salope. Et je vais devoir te demander de partir car je dois travailler.
- Au moins, tu ne te taperas pas ce modèle.



Le ton était sec et peu aimable. La femme sortit et traversa la pièce pour sortir sans même se rendre compte de ma présence. L'homme apparut alors à la porte et son visage, familier, me fit sursauter :
- Rudy ?
- Oui... Désolé de ne pas vous l'avoir dit... Un de vos collègues à l'hôpital à accepter de me donner votre adresse. Mais entrez, nous allons commencer tout de suite et je vous expliquerais.
Comme il semblait sûr de lui, je le suivis. Il me désigna une chaise blanche. Je m'assis et il saisit un appareil photo pour commencer à me photographier.



Tout en me shootant, il m'expliqua :
- La femme que vous avez vu sortir est mon épouse. Elle est plutôt dure avec moi depuis mon accident car je ne bande plus. Comme vous êtes la seule à avoir réussi à me donner une érection, j'ai utilisé ce petit stratagème pour vous revoir...
Je comprenais bien la situation et j'étais déjà très excitée à l'idée de lui rendre à nouveau service. Sauf que je n'avais pas amené d'alcool avec moi. Je tentai la méthode traditionnelle et écartai lentement les cuisses pendant qu'il continuait à appuyer régulièrement sur le déclencheur.



- Oh, pas de culotte ?
- Non... ça vous aide sans doute, non ?
- Malheureusement non, pas encore. Pourtant, à l'hôpital, vous avez réussi.
Je soulevai franchement le bas de la robe.



- Vous n'êtes peut-être pas assez près ?
- Vous croyez ?
Il vint s'agenouiller entre mes cuisses et plongea sa bouche sur ma moule luisante de mouille.



Sa langue se mit à monter et descendre le long de ma fente, s'immisçant peu à peu plus profondément entre mes lèvres. J'aurais pu le laisser continuer et me donner un orgasme ainsi puisque, à ce que j'avais vu quelques minutes auparavant, il semblait exceller en la matière. Mais je me dis que ce n'était pas lui rendre service que de le traiter comme sa femme le faisait même s'il était maître en cunnilingus.



Je l'écartai et me relevai. Il me demanda :
- J'ai fait quelque chose de travers ?
- Aucunement, mais je veux savoir où vous en êtes.
Il poussa un profond soupir de désespoir.
- Malheureusement, toujours rien...
J'abaissai alors le haut de ma robe pour dégager mes seins.



- Et avec ceci ?
Sans me répondre, il se pencha sur moi et commença à m'embrasser les mamelons tout en me malaxant les seins. Mes tétons étaient tendus d'excitation à sentir sa langue venir tourner autour. Dans un feulement, je lui demandai :
- Et maintenant ?



Il s'écarta et semblait déçu :
- Rien...
Je m'avançai vers lui et entrepris de lui retirer ses vêtements. Il se laissa faire. Son sexe était effectivement mou mais offrait, déjà au repos, des perspectives intéressantes.



Malheureusement, je n'avais pas d'alcool. Je décidai alors, sans le mettre dans la confidence de mon pouvoir, de prendre les choses en main. Rajustant ma robe, je lui dis :
- Si vous m'offrez à boire, je vous promets d'arranger cela.
Il sembla surpris mais trouva ma condition amusante :
- Je n'ai que du vin rouge...
- Ce sera parfait !



Il me servit un grand verre de vin. C'était un vin de la Vallée du Rhône et le parfum qu'il dégageait me faisait penser au soleil de ces régions du sud. J'allai boire une gorgée quand je me ravisai, me rendant compte que si je le faisais bander alors que j'étais seulement en train de boire, il allait pouvoir comprendre une partie de mon secret.



Je m'installai donc dans un fauteuil et, robe retroussée haut sur mon ventre, j'ouvris les cuisses pour lui permettre de voir ma moule et dis :
- Cette fois-ci, ça va marcher...
Buvant une gorgée de vin, je vis d'abord ses yeux s'exorbiter puis aussitôt son sexe se gonfler et se redresser.



- C'est dingue ! Tout à l'heure, ça ne faisait rien...
- Il faut de la patience, voilà tout.
Le voyant s'approcher, je dégageai à nouveau mes seins et l'attendis, cuisses écartées, pour qu'il me pénètre. Mais, arrivé à moi, il plongea son majeur dans ma fente humide.



Il murmura :
- Ce doit être votre cyprine...
Et il se mit à me masturber. Je me redressai pour retirer ma robe et il m'attira à lui pour que je l'embrasse.



Sa langue dansait dans ma bouche un ballet endiablé, exprimant tout l'enthousiasme qu'il avait de pouvoir bander à nouveau. Quand nos bouches se séparèrent, ce fut pour s'accroupir et plonger la sienne à nouveau entre mes cuisses. Sa langue me fouilla encore la fente et je mouillai de plus belle :
- Ooooh... Vous n'êtes plus obligé de faire ça...



Il se redressa, très fier de lui :
- Non, mais il faut que je vous prépare.
Effectivement, sa queue dressée avait des proportions qui méritaient quelques préliminaires pour en profiter pleinement.



Je ne résistai pas en voyant ce sexe dressé devant moi à demander :
- Je peux goûter ?
- Ce n'est pas meilleur que mon vin, mais ce sera avec plaisir.
J'engouffrai donc son gland entre mes lèvres.



Saisissant son sexe, je me mis à le masturber tout en lui suçant le bout et en jouant avec ma langue. Il frémissait et me dit :
- Doucement... J'aimerais ne pas finir dans votre bouche...
Cela me semblait évident et levant les yeux vers lui, je compris que l'abstinence ne l'avait probablement pas rendu endurant.



Même si moi cela ne m'aurait pas déplu qu'il gicle dans ma bouche ou sur mon visage, je me redressai et lui dis :
- D'accord, je vais vous laisser diriger, comme ça vous ferez à votre rythme...
En disant cela, j'avais l'impression d'être une éducatrice ou une infirmière avec un patient. Pourtant, mon désir était vraiment de jouer avec lui et de le faire éjaculer. Pas spécialement de le soigner d'une quelconque problème. Il me fit mettre à quatre patte et vint s'agenouiller derrière moi. Me saisissant à la taille, il fit pénétrer son sexe tendu dans ma fente, lentement, profitant de chaque millimètre de cette pénétration.



Une fois au fond, il se mit à aller et venir, sans précipitation. C'était délicieux et je ne me privai pas d'exprimer mon plaisir :
- Oh putain, oui ! C'est booooon...
M'empoignant un sein, il se pencha pour me chuchoter à l'oreille :
- Doucement, on pourrait nous entendre...



- Votre femme pourrait revenir ?
- Non mais ma secrétaire est juste à côté... Même si elle sait qu'il m'arrivait de faire quelques écarts avec mes modèles, avant mon accident, je préfèrerai que l'on soit aussi discret que possible.
Je tournai la tête et nous nous embrassâmes.



C'était un baiser à la fois tendre et fougueux. S'il n'y avait pas de sentiment et d'amour entre nous, on pouvait déceler une passion, quelque chose de bestial. J'eus le sentiment que son sexe grossissait en moi tandis que nos langues se cherchaient dans nos bouches collées. Le baiser terminé, je me redressai un peu pour changer de position. Rudy continua à aller et venir en moi, suivant le mouvement, sans perdre le rythme.



Il me saisit alors à la taille, toujours fiché en moi et me dit :
- Venez sur moi...
Je le laissai me soulever et me tenir contre lui tandis qu'il s'allongeait au sol sur le dos. Je me retrouvai sur lui et il me saisit à la taille pour me faire monter et descendre sur son manche.



Il sembla fatigué vite à me soulever et me laissa retomber sur son ventre. Sa queue frémissait en moi et je sentais les palpitations de mon orgasme imminent. Pourtant je voulais que cela dure encore. Comme il n'y avait plus que moi qui bougeai d'avant en arrière pour faire aller et venir sa queue entre mes cuisses, je décidai de marquer une pause pour ne pas jouir tout de suite.



Rudy m'empoigna alors les seins et m'attira à lui pour les malaxer. Presque allongée sur lui, j'avais les cuisses grandes écartées et le bassin redressé, libérant son propre bassin. Il en profita pour reprendre ses lents va-et-vient en moi. Cela déclencha alors mon plaisir et je me mis à gémir sans pouvoir me retenir :
- Ooooooh ouiiii ! Je viens...



Rudy s'arrêta de bouger tandis que mon corps vibrait tout entier sous le coup de mon orgasme. Je crus qu'il allait alors se vider en moi mais il se montra plus résistant que je ne m'y attendais. Après une ou deux minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits, une fois l'orgasme retombé, je me dégageai, un peu épuisée par la position dans laquelle j'avais joui. Rudy me regarda me relever sans bouger, me souriant. Je me retournai donc et vint m'empaler sur son dard en lui faisant face.



Là, ce fut moi qui contrôlait mais cela semblait lui convenir. Il semblait très fier de m'avoir fait jouir et je me demandai même s'il ne s'en serait pas contenter. Pour ma part, je voulais le voir éjaculer. Alors que je commençais à monter et descendre sur son sexe tendu en moi, il souriait béatement en regardant mes seins bouger au rythme de mes mouvements. Après quelques secondes, n'y tenant plus, il tendit les mains pour les caresser.



Caresser mes seins sembla déclencher son plaisir. Je le sentis se tendre. Je pense qu'il aurait voulu jouir en moi mais je voulais voir son sperme gicler. Je redressai donc ma croupe et donnai un petit coup de reins vers le haut pour le dégager, au moment précis où il commençait à éjaculer. Je reçus la première giclée de sperme contre ma fente béante. Puis, me baissant sur son ventre, les jets de sperme suivants vinrent s'écraser un à un sur mes fesses.



Ce n'est qu'à ce moment-là que je pris conscience de la présence de Maella, la secrétaire. Depuis combien de temps était-elle là ? Rudy sembla la découvrir en même temps que moi. Elle semblait extrêmement contente de ce qu'elle venait de voir et dit :
- Rudy, ça y est ! Tu peux bander et éjaculer à nouveau !
Je lus dans le regard de la jeune fille les étincelles d'un amour sincère.



Rudy semblait gêné. Pour ma part, comprenant que Maella était la maîtresse de Rudy, j'étais fascinée de voir qu'elle ne manifestait aucune jalousie à voir ce que nous avions fait. Je saisis le sexe de Rudy :
- Oui. C'est indéniable. D'ailleurs, il me semble qu'il ne débande pas...



Je me relevai pour libérer le photographe. Il se releva à son tour et regarda, incrédule, son sexe encore parfaitement tendu :
- Comment est-ce possible ?
- Il faut croire que vous êtes guéri...
- Mais même avant, je ne bandais pas comme ça !
Il tenait son sexe bandé, ne sachant manifestement pas qu'en faire.



Je vins rejoindre Maella et la poussai vers Rudy :
- Moi j'ai déjà donné de ma personne. C'est votre tour de soulager ce pauvre homme.
Maella se laissa faire et se mit à genoux devant Rudy.



- Je te fais une petite gâterie, comme autrefois ?
Rudy me regarda, surpris de cette situation, et considérant le sourire engageant de sa secrétaire, avança d'un pas vers elle pour mettre son sexe à portée de la bouche de la jeune-fille. Maella saisit le membre dressé et le guide entre ses lèvres pour le sucer.



La fellation dura plusieurs minutes. Je craignis alors d'avoir épuisé les ressources de Rudy et décidai de donner un petit coup de pouce à Maella. M'écartant du couple, j'attrapai le verre de vin que Rudy m'avait servi et j'en bus discrètement une petite gorgée. Le temps de rejoindre le couple, Rudy se mit à râler. Maella dirigea le sexe dans son cou et le laissa jouir en le masturbant. Je pus voir son sperme jaillir à nouveau et venir s'écraser sans le cou de la jeune secrétaire, s'écoulant peu à peu dans son décolleté, entre ses seins.



Quand Rudy reprit ses esprits, il me regarda en fronçant les sourcils :
- Je ne comprends pas. Maella a essayé plusieurs fois. Juste avant votre venue, j'ai fait un cunnilingus à ma femme et je n'avais même pas le début d'une érection... Vous, c'est la deuxième fois que je vous vois, et à chaque rencontre, je bande et je jouis... plusieurs fois, même.
Je ne répondis pas à sa question :
- Il faut croire que j'ai de la chance... Et Maella aussi !
J'étais effectivement un peu jalouse car j'aurais bien voulu que Rudy éjacule aussi dans mon cou et sur mes seins.



Maella se redressa. Elle avait du sperme entre les seins et même sur son débardeur :
- Rudy, si tu savais comme c'est bon de te voir à nouveau jouir !
- Pourtant, tu n'as pas joui, toi...
- Je m'en fiche. Je vois surtout qu'on va pouvoir s'amuser à nouveau, comme avant.



J'eus un sentiment de culpabilité en prenant conscience que, sans ma présence et mon pouvoir, le pauvre Rudy allait sans doute retomber dans son impuissance totale. Je ne pouvais malheureusement pas vivre avec lui pour résoudre son problème.
Après m'être rhabillée, je laissai les deux amants qui semblaient si contents de se retrouver.

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Mutation - épisode 11


Rudy me rappela dès le lendemain, souhaitant me revoir. Je compris que ni Maella, ni sa femme ne parvenaient à obtenir ce que je parvenais à faire avec Rudy. Mais vu la situation avec sa femme et sa maîtresse, je me dis qu'il serait sans doute dangereux que je m'immisce dans cette histoire compliquée. Je décidai donc de ne pas donner suite. Rudy me rappela quand même deux semaines plus tard pour me proposer une dernière séance de photos pour me remercier. Après hésitation, je me dis que je pouvais lui accorder cette dernière faveur avant de couper les ponts. Maella n'était pas présente au studio et Rudy semblait mal à l'aise. Avant que nous commencions, il m'offrit un verre. Je crus alors qu'il avait compris l'origine de mon pouvoir et qu'il me proposait de l'alcool. Mais je me rendis compte que ce n'était pas le cas, il s'agissait juste d'un jus de fruit et je le bus sans crainte. Presque aussitôt, je sentis mes jambes se dérober sous moi et tout se mettre à tourner rapidement avant de sombrer dans un abîme.
Quand je rouvris les yeux, j'étais nue, attachée à un lit.



Une femme était présente. Je reconnus la femme de Rudy. Elle sourit en me voyant tirer sur mes liens :
- Inutile de vous débattre. Je suis Marion, la femme de Rudy. Vous vous rappelez ?
- Qu'est-ce que je fais ici ?
- C'est très simple, Rudy m'a raconté que vous parveniez à le faire bander. Nous sommes persuadés que vous dégager une hormone particulière qui permet de lui rendre sa vigueur. Moi, je pense que c'est votre cyprine. Alors on va vous prélever votre cyprine.
Je tirai à nouveau sur mes liens, mais sans succès.



- Ne vous en faites pas. Ce que nous allons vous faire pour vous prendre votre cyprine sera nécessairement agréable.
Je savais que ma cyprine n'était pour rien dans l'effet que je pouvais produire sur son mari mais je ne voulais surtout pas révéler mon secret.
- Pitié, je pense que vous vous trompez. Ce qui arrive à Rudy, c'est psychologique.



- Allons, n'ayez pas peur puisque je vous dis que vous allez prendre du plaisir.
J'obtempérai :
- Allez-y, prenez de ma mouille et relâchez moi.
La femme s'approcha de moi et écarta mes cuisses pour dégager ma moule. Elle en écarta les lèvres :
- Bon, vous ne mouillez pas mais ce n'est pas vraiment étonnant..;



Elle attrapa à côté du lit un appareil ressemblant à une sorte de selle de cheval :
- Mettez-vous à genoux.
Elle posa l'objet devant moi. Il y avait un godemiché en plastique rose fiché dessus et une barrette de petits picots arrondis devant. Elle prit un petit flacon d'huile qu'elle utilisa pour lubrifier le godemiché.
- Asseyez-vous là-dessus.
J'avais bien compris ce qui m'attendait et je m'empalai sur l'engin en espérant que cela me ferait mouiller rapidement.



Marion attrapa un petit boîtier muni d'un bouton de potentiomètre qu'elle commença à tourner. La machine se mit à ronronner et le godemiché commença à aller et venir en moi. Quand elle tourna un peu plus le bouton, je sentis une légère vibration, délicieuse, qui me fit gémir instantanément. Ma tortionnaire me donna un conseil :
- Empalez-vous à fond de manière à ce que votre clitoris entre en contact avec la plaquette de picots vibrant. Vous verrez, c'est extraordinaire.
Je laissai donc le godemiché s'enfoncer en moi aussi loin que possible, jusqu'à ce que mon clitoris atteigne la fameuse barrette. L'effet fut terrible d'autant que Marion continuait à tourner le bouton de sa télécommande et augmentait la puissance des vibrations. Je sentis que j'allais pouvoir avoir un orgasme terrible grâce à cet engin.



Je poussais mes cris de plaisir. Je sentais la sueur perler sur mes seins. La cyprine commençait à affluer. Marion comprit que c'était le moment :
- Bien, nous y voilà...
Elle approcha un petit tube qu'elle installa dans ma moule et je sentis une petite aspiration se mettre en marche. Le plaisir que me procurait la machine était heureusement plus fort que le désagrément de cet aspirateur à jute et l'orgasme qui suivit me le fit oublier totalement pendant quelques instants.



L'intensité de mon orgasme m'avait presque fait perdre conscience et, quand je rouvris les yeux, j'étais à nouveau allongée sur le lit, toujours attachée. Marion était à côté de moi et inspectait un petit flacon contenant un liquide presque transparent :
- Ecoutez, vous avez ce que vous voulez. Maintenant détachez-moi.
- Ce ne sera pas suffisant, il faut recommencer.
- Pitié. Laissez-moi au moins quelques minutes pour me reposer.



- Je n'ai pas la patience d'attendre. Mais je vais trouver autre chose.
Elle commença par m'attacher les chevilles avec des cordelettes qu'elle fixa aux pieds du lit. J'étais écartelée et totalement offerte. Elle apporta alors une autre machine. Une grosse boîte munie d'une longue tige métallique au bout de laquelle un godemiché était fixé. Je savais dès lors ce qui allait suivre. Elle positionna le godemiché contre ma fente humide et actionna une molette. L'engin s'enfonça en moi.



Je ne pouvais pas bouger et n'avais pas d'autres choix que de subir ce bout de plastique mou qui entrait et sortait avec une régularité métronomique. Marion augmenta la cadence et la pénétration prit un rythme soutenu. Je commençais à prendre du plaisir à ce viol mécanique. Voyant que je semblais accepter ma condition, Marion vint à nouveau fourrer son aspirateur en moi, pompant ma cyprine au fur et à mesure où je la produisais. Malgré tout cela, un deuxième orgasme me fit hurler.



Marion attendit que je reprenne mes esprits pour retirer l'aspirateur et arrêter la machine. Elle regarda le flacon qui avait gagner très légèrement en contenu :
- Pas grand-chose... ça va être long !
Elle repoussa la boîte et vint s'agenouiller entre mes cuisses, regardant ma moule trempée :
- Comment fait ton jus pour faire cet effet-là à Rudy ?



A ce moment-là, Rudy entra et sembla terrorisé par ce qu'il découvrait :
- Tu l'as attachée ??
- C'était indispensable.
Il s'approcha de moi :
- Sylvie ! Vous allez bien ?
- Mis à part le fait que je suis écartelée sur ce lit ?
- Oh, je suis désolé. Ma femme s'est mise en tête de vous prendre votre cyprine pour me faire bander...
Marion me fourra alors son majeur dans la moule et y fit quelques va-et-vient.



Puis elle plongea sa main dans le pantalon de Rudy, sans doute pour mettre en contact sa queue avec ma mouille :
- Alors ?
- Non, j'ai pas l'impression...
- Attends, on va faire autrement. Branle-la un peu pour qu'elle mouille.
Rudy me fourra son index et son majeur dans la fente et me masturba pour me faire mouiller.



Sa femme, se déshabillant, continua à lui donner des instructions :
- Dès qu'elle mouillera, tu boiras directement à la source.
Quand il sentit que ses doigts étaient bien humectés, il se pencha et me lécha la moule, remontant jusqu'à mon clitoris.



Je retrouvais le Rudy que j'avais rencontré, attentionné et attentif à mon plaisir. Il me caressait même les seins en faisant tourner mes mamelons tendus entre ses doigts. Sa langue fouillait ma fente comme si elle cherchait à entrer toute entière en moi. Il se délectait d'une cyprine probablement abondante mais qui n'avait aucune influence sur son érection, j'en étais certaine.



Alors que je sentais l'orgasme monter grâce au cunnilingus de Rudy, Marion, qui s'était mise nue dans l'espoir de profiter aussitôt de son mari, s'agaça que je puisse encore prendre du plaisir :
- Je pense que ça suffit, redresse-toi !
Rudy se releva mais ne bandait pas du tout. Il me laissait, moi, la chatte béante et trempée qui aurait bien accepté une bite ou même un godemiché pour calmer son ardeur.



Marion était furieuse. Je la vis attraper une bouteille de vin blanc et boire directement au goulot. Je vis alors là la façon d'être sauvée :
- Oh s'il vous plaît ! J'ai très soif moi aussi...
- Tu veux boire ? Ok, alors tu vas me lécher les seins.
Elle versa une partie de sa bouteille sur sa poitrine en me regardant.



Bien sûr, c'était pure perversion puisque ce qu'il restait sur sa poitrine ne pouvait pas me désaltérer mais ce serait sans doute suffisant pour déclencher mon pouvoir. Dès qu'elle approcha sa poitrine de ma bouche, je me mis à la lécher. Comme ses tétons étaient le point le plus bas de ses seins, les gouttes y glissaient et il me suffisait de téter pour boire ce qu'il y avait.



Nous entendîmes la voix de Rudy derrière nous :
- Putain ! Ça marche ! Je bande !
Rudy était en caleçon et celui-ci était outrageusement déformé par son érection.



Marion s'apaisa et me regarda d'un air suspicieux :
- Ta jute a mis du temps à faire effet, mais ça fonctionne...
Aussitôt ,elle alla le rejoindre et le débarrassa de son caleçon :
- C'est merveilleux mon chéri, ça fonctionne !
Et elle se mit à le sucer avec délicatesse, comme si elle redécouvrait la queue de son mari.



Rudy semblait lui aussi redécouvrir le plaisir de la bouche de sa femme sur sa queue et après moins d'une minute de fellation, il se recula soudain :
- Attention ! Je vais jouir !
Et effectivement, un premier jet puissant gicla en faisant se redresser le sexe tendu.



Marion le reçut à travers le visage. Aussitôt, elle s'avança pour replonger sur la queue en pleine explosion et récolter la suite de la l'éjaculation dans sa bouche. Il me sembla qu'elle en avalait et pourtant, quand ce fut terminé, elle ouvrit la bouche et me regarda stupéfaite, laissant échapper une quantité importante de la semence de son mari :
- C'est dingue !



Rudy commençait à débander. Heureusement pour moi, j'ai absorbé juste assez d'alcool pour qu'il ait une érection et qu'il éjacule. Marion était ravie. Le menton dégoulinant de sperme, elle se léchait les lèvres :
- Bon sang, il va nous falloir plus de cyprine de Sylvie... car je compte bien rattraper le temps perdu !



Me regardant, elle dut voir ma mine déconfite à cette annonce. Je vis comme de l'animosité dans son regard, sans doute de la jalousie vis à vis de l'effet qu'elle pensait que j'avais sur son mari. Elle se tourna vers lui et lui dit :
- Va donc la voir qu'elle te nettoie un peu la bite.
Rudy vint s'agenouiller sur le lit à côté de moi. De bonne grâce, j'ouvris la bouche et il y fourra son sexe débandé.



Mais il y avait un goût curieux, dissimulé par la forte odeur du sperme, que je ne parvenais pas à définir. Tandis que je le suçais, son sexe se mit à gonfler et à se tendre dans ma bouche. Et je compris soudain. Marion avait beaucoup bu tout à l'heure et son haleine alcoolisée s'était sans doute fixée sur la queue de Rudy pendant qu'elle le suçait. Et maintenant, plus je suçais Rudy, plus je m'alcoolisais et plus je le faisais bander à cause de mon pouvoir.



Rudy regarda sa femme avec un air ahuri :
- Je... je bande à nouveau !
- Cette petite salope sait sucer...
Je tentais de faire stopper la fellation mais il me maintenait la tête pour que je ne puisse pas lui échapper.



Bien sûr, cela se termina comme je m'y attendais. Rudy regardait sa femme pendant qu'il baisait ma bouche et lui dit :
- Je... je crois que je vais éjaculer encore...
Marion semblait très agacée mais elle n'eut pas le temps de lui dire d'arrêter. Il se redressa et, dirigeant sa queue vers ma bouche ouverte, son sperme se mit à gicler mais éclaboussant autant mon visage, mon cou et mes épaules que se déversant sur ma langue.



J'en avais partout et Marion semblait furieuse :
- Bon, ça suffit. Je crois qu'il faut que tu te reposes, maintenant...
Rudy me regarda et sembla avoir pitié :
- Désolé pour tout cela.
- C'est pas grave...



J'eus alors dans l'idée d'essayer d'énerver davantage Marion. Je savais que ce n'était pas une bonne idée, mais, d'une certaine manière, j'avais vraiment envie de me venger. Je dis à Rudy :
- Laissez-moi vous nettoyer un peu...
Puisque je lui proposais, il plongea à nouveau son sexe entre mes lèvres encore poisseuses de son sperme.



Et bien sûr, cela eut le même effet qu'auparavant grâce à l'alcool qu'il avait sur la queue. Son sexe se tendit à nouveau et j'en profitai pour le pomper vraiment afin de récupérer le maximum d'alcool. Marion était furieuse :
- Arrête Rudy, ça suffit comme ça !
Mais c'était trop tard, il sortit précipitamment de ma bouche et son sperme se mit à jaillir à nouveau, inondant cette fois-ci mon cou et mes seins.



Marion repoussa Rudy et se pencha sur moi :
- Ne fais pas ta maligne ! Maintenant qu'on connait ton secret, on va te garder pour profiter de ta cyprine. J'ai encore soif du sperme de mon homme.
Elle se mit à me lécher le visage, avalant au fur et à mesure la semence visqueuse de son mari.



Quand elle eut terminé, elle remarqua que Rudy bandait encore. Elle se redressa et lui dit :
- Passe-moi la machine. Comme elle semble bien chaude, on va en profiter pour lui prendre encore un peu de sa liqueur.
Rudy s'avança et écarta sa femme :
- Non. Je bande, je vais en profiter pour la baiser.
Le ton assuré de Rudy ne laissait pas le choix à Marion. Elle posa donc sa main sur mon ventre et écarta mes lèvres comme pour signifier qu'elle autorisait son mari à me baiser.



Je dois dire que je préférais nettement me faire prendre par Rudy que par une machine, même si celle-ci profitait de réglages qui assuraient une cadence qu'un homme n'était pas capable de suivre. Sa femme restait à côté mais je sentais qu'elle était au bord de la crise de nerfs de devoir supporter la vue de son mari en train de me faire l'amour.



- Baise-la fort cette salope !
Mais Rudy ne me baisait pas : il me faisait l'amour. Il lui répondit calmement :
- Le but n'est pas de lui faire mal, mais de lui donner du plaisir pour qu'elle mouille, non ?
J'eus alors un orgasme.



Quand je fus calmée, Rudy se retira et Marion s'approcha entre mes cuisses écartées pour observer un épais filet de cyprine qui s'échappait de ma fente béante :
- J'espérais un peu plus...
J'étais un peu désemparée qu'elle me traite ainsi, comme un vulgaire animal, une vache que l'on trait pour son lait.



Elle recueillit ma liqueur dans son petit flacon et dit à Rudy :
- Je crois que quand tu l'as baisée, tu as fait refluer sa mouille au fond. La prochaine fois, ce serait bien d'essayer en l'enculant.
Rudy, qui n'avait pas débandé, s'avança :
- Alors, essayons !
Il vint reprendre position entre mes cuisses et je vis avec bonheur le regard haineux que me lançait Marion.



Ma précédente sodomie remontait au jour de ma rencontre avec Rudy mais c'était le médecin de Rudy qui en avait profité. Si Marion espérait que je sois vierge de ce côté-là, c'était raté car ce n'était pas une première pour moi. Marion garda son sang-froid et demanda à son mari :
- Alors ? Elle mouille ?
Rudy me redressa le bassin pour bien exposer ma moule. Il fallait bien avouer que c'était loin d'être la fontaine attendue...



Marion réagit aussitôt :
- Pas la peine de continuer, ça ne fonctionne pas.
Mais, entrant dans son jeu, Rudy insista :
- Si mais je pense qu'il faut alterner.
Il sortit alors de mon cul et plongea dans mon sexe béant pour y faire quelques allers-retours avant de retourner à mon cul. C'était divin et il continua cette alternance jusqu'à me donner un nouvel orgasme alors qu'il était dans ma chatte.



Replongeant alors dans mon anus, il se déchaîna. Je sentais ma mouille couler en abondance. Rudy s'interrompit soudain s'immobilisant :
- Merde...
Je compris qu'il allait éjaculer. Je donnai alors un coup de reins qui le fit sortir de mon cul, juste au moment où son sperme se mit à jaillir, inondant mon ventre et giclant jusqu'entre mes seins.



Marion se mit à l'engueuler :
- Putain ! Mais t'es con ! Tu viens de mettre plein de sperme sur sa moule ! Comment tu veux que je récupère sa mouille, maintenant ?
- C'est pas grave. Le plus important c'est que mon sexe fonctionne correctement, non ?
Je le regardais en souriant :
- Plus que correctement...



Marion bouillonnait de jalousie. Rudy débandait enfin et annonça partir prendre une douche. J'étais épuisée :
- Vous allez me séquestrer longtemps ?
- Le temps qu'il faudra pour avoir assez de votre jus.
- Je peux prendre une douche ?
- Je m'occupe de vous.
Sans me détacher, Marion parti chercher un seau et un gant. Elle me nettoya à l'eau froide, comme un animal. J'avais du mal à envisager une issue rapide et heureuse à ma situation.


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Mutation - épisode 12


J'étais séquestrée dans un vieux bâtiment sans fenêtre et, ne voyant pas la lumière du jour, je n'avais plus trop la notion du temps. D'après le nombre de repas que l'on m'avait donné, cela faisait sans doute seulement un ou deux jours mais Marion, la femme de Rudy avait déjà dû me sollicité une dizaine de fois avec sa terrible machine pour m'aspirer ma cyprine. Je n'avais pas revu Rudy et me dis qu'il se reposait sans doute. Juste après m'avoir encore une fois pompé ma mouille, Marion me détacha et s'apprêtait à sortir quand elle reçut un SMS. Elle sortit alors précipitamment et il me sembla qu'elle avait oublié de refermer la porte à clé. J'eus soudain l'espoir de m'échapper. Sans un bruit, j'ouvris la porte. Personne. Marion partait toujours vers la droite dans le couloir. Je tentai ma chance vers la gauche.



Le couloir tournait à angle droit. Je risquai un œil. Il s'agissait d'une grande pièce éclairée artificiellement mais d'où provenait un courant d'air frais. Ne voyant personne, je fis un pas pour inspecter cette pièce. Malheureusement, il n'y avait ni porte, ni fenêtre. Mais la lumière du jour et l'air frais venait d'une grille donnant sur le mur. J'entendis alors une voix masculine venant justement de cette grille.



Il ne s'agissait pas de Rudy et j'eus l'espoir de trouver de l'aide. J'allai jusqu'à la grille et parvins à la démonter. Le trou faisait une trentaine de centimètre et le mur n'était épais que d'autant. Peut-être que je pouvais m'y faufiler. J'hésitai à appeler à l'aide car je ne savais pas sur qui j'allais tomber. Je décidai de tenter de sortir par ce boyau. Je réussis à passer tout juste mes épaules et ma poitrine. Je me hissai pour me glisser dans le trou. Ma tête et mes épaules ressortirent à l'extérieur. Je pris une profonde inspiration en sentant cet air de liberté. Soudain, ce fut la panique : mon bassin ne passait pas ! Mes hanches étaient trop larges pour passer dans le boyau et je n'avais pas moyen de me hisser davantage.



Regardant autour, je pus voir que deux jeunes hommes étaient en train de faire le tour du vieux bâtiment industriel à environ une centaine de mètre de là où je me trouvais, cherchant apparemment un moyen d'entrer. Ils furent surpris par l'ouverture d'une porte métallique rouillée et Marion apparue. Je n'entendis pas ce qu'elle leur dit mais cela sembla les convaincre de faire demi-tour. Ils revenaient vers moi. Mes mains appuyées mur, de chaque côté, je poussai dans l'espoir de passer malgré tout, avant qu'ils ne me voient. Mais je ne parvins qu'à dégager mes seins, ce qui me permettait quand même de mieux respirer.



- Merde ! Mate un peu ça !
Un des gars m'avait repéré et rapidement, ils furent à mon niveau :
- Et bien mademoiselle ? Voilà une tenue étonnante et une position pour le moins curieuse.
- S'il vous plaît, aidez-moi. J'ai été retenue ici contre mon gré.
- Vous voulez qu'on vous aide à sortir ?
- Je suis coincée. Je pense qu'il faudrait me tirer depuis l'intérieur.
- Peut-être, mais nous on ne peut pas rentrer. Une nana nous a déjà dit de foutre le camp.
- S'il vous plaît, ne me laissez pas entre leurs mains.
- Qu'est-ce qu'on y gagne à prendre le risque de rentrer là-dedans, nous ?
- Ok... je vois ce que vous voulez. Dans ce cas, oui. J'accepte. Vous pourrez abuser de moi comme vous voudrez.
- Payable d'avance.
Le gars déboutonna son pantalon pour sortir son sexe.



Je n'avais pas besoin de mon pouvoir pour le faire bander. La situation semblait suffire à lui avoir donné une érection. Son copain ne disait rien et observait en souriant. Je tentai de négocier :
- Libérez-moi d'abord, s'il vous plaît.
- Allons, ça ne change rien pour toi et comme ça on est sûr que tu tiendras ta promesse.
Moi, je n'avais aucune garantie qu'eux allaient la tenir ensuite mais je voyais bien que je n'avais pas le choix. Je le laissai donc s'approcher et je lui léchai le gland pour montrer ma bonne volonté.



Le gars poussa un profond soupir de soulagement et s'adressa à son copain :
- Je fais ça vite et après ce sera ton tour.
Il me fourra son sexe dans la bouche et je me mis à le sucer.



Après quelques minutes, il se mit à râler. Je sentis qu'il allait éjaculer mais je ne voulais pas qu'il le fasse dans ma bouche. Je sortis sa queue et, d'une main, me mis à le masturber fébrilement en dirigeant sa queue sur le côté. Il comprit ce que je faisais et me prit le poignet pour m'obliger à diriger sa tige palpitante vers mon visage. Le sperme se mit à jaillir, m'éclaboussant le visage et les cheveux.



J'entendis alors une voix étouffées dans mon dos :
- Alors, petite traînée, tu pensais pouvoir t'échapper ? Il semble que tu sois coincée dans une vilaine posture.
C'était Marion et pour me signifier qu'elle avait le contrôle sur moi, elle m'enfonça deux doigts dans la fente et me caressa le clitoris de son autre main.



Même si ces caresses étaient subies, je dois avouer que j'y trouvai un certain plaisir. Marion commençait à bien connaître mon intimité et je me demandai même dans quelle mesure elle ne prenait pas du plaisir elle-même à me faire mouiller et à me sentir vibrer sous ses caresses. Je fus presque convaincue quand je sentis sa langue se mettre à investir ma fente. Elle se régalait de ma liqueur et ne semblait alors plus éprouver ce besoin de la recueillir dans un flacon dans l'espoir de faire bander son mari.



Dehors, les garçons me regardaient, hilares :
- Elle a l'air de prendre son pied !
- Tu crois que c'est le sperme que je viens de lui balancer au visage qui la met dans cet état ?
- Non, je crois que quelqu'un s'occupe d'elle de l'autre côté...
Ils avaient compris et ne furent pas déçus de la suite puisque Marion m'enfila un godemiché dans la moule pour me masturber.



Je gémissais de plus en plus et je sentais l'orgasme proche. Marion me branlait avec une régularité métronomique qui me faisait un sacré effet. Si le premier gars débandait, le second lui affichait une terrible érection, mais il semblait vouloir attendre que j'ai mon orgasme pour mieux profiter de ma bouche. Cela ne tarda pas, surtout quand Marion sortit le godemiché de ma moule pour me l'enfiler dans le cul. Elle n'eut que quelques allées et venues à faire pour me faire jouir.



Les garçons dehors étaient ravi de voir mon visage se tordre sous l'effet de l'orgasme. Le premier gars s'accroupit pour regarder mes seins :
- Regarde un peu la pointe de ses seins. C'est tendu à fond !
Alors que je reprenais mon souffle, je sentis derrière que Marion me passait le doigt sur ma moule trempée. Je pense qu'elle récupérait ce qu'elle pouvait de ma cyprine. Devant moi, le second gars s'approcha, me présentant sa queue.



Alors qu'il positionnait son gland juste devant ma bouche, son copain me dit :
- Tu es une petite fille gâtée. Tout le monde s'occupe de toi !
J'avais envie de lui répondre que pour leur cas, c'était plus moi qui m'occupais d'eux que l'inverse mais je me contentais de faire ce qu'ils attendaient de moi dans l'espoir qu'ils me libèrent ensuite. Je commençai donc à lécher le gland du second gars.



Il était déjà bien raid et je sentais qu'il se concentrait pour ne pas jouir trop vite. Je mis donc tout mon savoir-faire à lui administrer une savante fellation pour abréger mon calvaire. Le gars dut le sentir et disait régulièrement :
- Doucement... On a le temps...
Mais ma langue tournait dans ma bouche et je le pompais sans répit, si bien qu'en moins de deux minutes je le fis éjaculer. Après avoir reçu une puissante giclée au fond de la gorge, je le laissai soritr de ma bouche et terminer de jouir sur ma joue et ma bouche.



A peine avait-il terminé que j'entendis à nouveau Marion derrière moi. Elle s'adressait à Rudy :
- Cette petite idiote a tenté de s'échapper mais elle s'est retrouvée coincée. Je viens de la faire jouir pour récupérer encore un peu de son jus mais ce serait bête que tu ne viennes pas en profiter toi-même à la source.
Je sentis le souffle de Rudy sur mes fesses. Ses doigts commencèrent à me caresser la moule tandis qu'il commençait à me lécher la rondelle.



Malgré mon orgasme récent, je sentis le plaisir me gagner à nouveau. Les deux jeunes hommes dehors me regardaient à nouveau en souriant :
- Je crois qu'elle est en train de se faire baiser à nouveau.
- Si ça se trouve, ils sont une dizaine derrière et ils passent tous les uns après les autres.
- Dans ce cas, on va peut-être attendre qu'ils aient terminé avant d'aller négocier sa libération.
Je me dis que s'ils comptaient passer par des négociations, il y avait peu d'espoir pour que je sois libérée. Mais je ne pus leur exprimer ma crainte car Rudy était en train de me lécher généreusement la moule et je gémissais sans discontinuer.



J'entendis Marion demander :
- Alors ? Elle mouille ?
- Un peu oui. J'en ai bu.
Rudy se mit alors à me masturber avec son majeur tandis qu'il recommençait à me lécher l'anus.



J'eus à nouveau un orgasme. Tandis que je reprenais mes esprits sous l'œil amusé des deux garçons, j'entendis Marion demander à Rudy :
- C'est bon ? Tu bandes ?
- Bah, non... pas encore...
Il montrait probablement son sexe tristement débandé à sa femme.



Je crains alors qu'ils ne s'énervent, ne comprenant pas pourquoi ma cyprine ne le faisait pas bander. Je demandai aux gars :
- Vous n'auriez pas à boire, par hasard ?
- Si mais de la bière...
- Parfait !
Il sembla surpris que j'accepte mais il sortit une petite bouteille de sa poche et la décapsula pour me faire boire.



Et la magie opéra. Derrière moi, j'entendis une exclamation victorieuse :
- Regarde, ça marche !!!
Et devant moi, c'était aussi la mise au garde-à-vous. Les deux gars, incrédules, regardaient leurs bites se tendre sans comprendre ce qu'il se passait :
- Putain, je bande à mort !



Pendant que les gars admiraient fièrement leurs majestueuses érections, derrière moi, j'imaginais que Marion allait profiter de cette opportunité pour se taper Rudy, ce qui allait peut-être faciliter mon évasion si mes deux sauveurs intervenaient pendant que le couple baisait. Mais j'entendis Rudy dire :
- Tu veux en profiter ?



Marion hésita :
- Evidemment, mais si tu veux, tu peux commencer par profiter de cette belle croupe accueillante généreusement offerte.
Rudy s'accroupit entre mes cuisses et inspecta ma moule :
- Oui, elle est bien mouillée. Je vais prendre mon pied !



Me saisissant à la taille, il fit pénétrer sa queue dans ma fente trempée et s'enfonça s'une traite de toute sa longueur en moi. Mon plaisir revint immédiatement et les garçons devant moi me regardaient, surpris :
- Ce sont nos bites tenues qui te font cet effet-là ou bien il y a à nouveau quelqu'un qui profite de ton cul, là derrière ?
Je ne pus répondre à sa question mais l'expression sur mon visage, mes soubresauts de mes seins à chaque assaut et mes gémissements permirent aux garçons de supposer que j'étais effectivement en train de me faire prendre en levrette.



Le premier ne résista pas et s'approcha pour me fourrer sa queue dans la bouche. Mais mon pouvoir le faisait bander beaucoup plus que la première fois et sa queue tendue m'obligea à me redresser pour pouvoir lui sucer le gland. L'autre gars se mit accroupi à côté pour admirer mes seins tendus qui ballotaient :
- Dommage qu'elle n'ait pas une deuxième bouche, mais le spectacle mérite que j'attende mon tour.



Bien sûr, avec l'effet de l'alcool sur mes hormones, celui que je suçais ne fut pas long à jouir :
- Putain ! Je viens déjà !
Il se recula, espérant sans doute que l'interruption de la fellation allait lui permettre de reprendre le contrôle et de faire durer le plaisir mais cela ne fonctionna pas. Ses couilles se contractaient déjà et son sperme se mit à gicler violemment.



Voyant qu'il était trop tard, il se dit que c'était dommage de se répandre dans l'herbe. Il s'approcha donc de moi et visa ma bouche. Mais je ne comptais pas ingérer son sperme et je la gardai fermée pendant qu'il éjaculait son sperme épais contre ma joue et mon menton. Il s'arrêta soudain et sembla serrer la base de sa queue et attendre. Je ne me méfiai pas et rouvris la bouche pour reprendre ma respiration. C'est alors qu'il en profita pour relâcher la pression et m'envoyer une ultime giclée qui vint fouetter mon palais.



Le gars sembla ravi de son coup :
- Alors, tu ne voulais pas y goûter, hein ?
J'étais en peu hébétée mais ne pus le réprimander, trop prise par le plaisir de plus en plus intense que me procurait la bite de Rudy qui me prenait en levrette.



Mes gémissements s'étaient peu à peu changés en cris de plaisir. Je sentais que je n'étais pas loin d'avoir un troisième orgasme, même si la fatigue rendait celui-ci plus long à arriver. Rudy dut sentir mon épuisement et m'aida en passant sa main par devant pour me caresser le clitoris tout en continuant à me pénétrer tranquillement.



Devant moi, le second gars semblait attendre que j'ai mon orgasme pour venir se faire à nouveau sucer. Marion dû sentir que j'étais près de jouir car je l'entendis dire :
- Attends un peu. Je pense que c'est le bon moment pour lui récupérer un peu de sa mouille.
Rudy s'écarta et se sentais effectivement une vraie fontaine couler de ma chatte béante.



Pour le coup, j'étais assez frustrée que Rudy n'attende pas que je jouisse pour se retirer. A la place, je sentis le bord froid du flacon de verre contre ma fente brûlante pendant une longue minute. Quand il retira le flacon pour observer la quantité de cyprine recueillie, sa femme lui demanda :
- Il en reste ?
- Je ne sais pas...
Marion s'agenouilla entre mes cuisses et je sentis sa langue s'immiscer dans ma fente.



Cela me fit gémir à nouveau. Marion se releva et dit à son mari :
- Puisque tu bandes encore et qu'elle n'a pas joui, je pense que tu peux continuer mais je te suggère de plutôt l'enculer.
- Tu crois que ça la fera mouiller davantage ?
- Essaye, je vais te dire.
Je sentis alors la queue de Rudy forcer mon anus puis s'engager lentement. Cela me fit ouvrir grand la bouche et le second gars devant moi crut que je voulais le sucer et s'approcha. Il s'interrompit quand je me mis à crier parce que Rudy commençait à s'enfoncer en moi.



Marion était sans doute rester entre mes cuisses car je sentis à nouveau ses mains sur mes fesses. Elle me les écartait pour aider son mari à aller plus loin en moi. Le plaisir remontait à nouveau. J'entendis Marion dire :
- C'est bon ! Elle mouille !
Elle avança le visage pour me lécher la fente.



Devant moi, le second gars patientait encore en se masturbant tranquillement :
- Un autre gars te baise, c'est ça ?
- Non, c'est toujours le même mais cette fois il m'encule !
Cela sembla le surprendre et je crus qu'il allait jouir sur place à m'avoir entendu dire cela. Mais il se calma et patienta, voyant que je gémissais de plus en plus et j'allais bientôt atteindre l'orgasme.



Rudy ne me gâcha pas mon plaisir cette fois-ci et je sentis des frissons me secouer l'échine tandis que l'orgasme m'envahissait. A demi-consciente, je sentis à nouveau le flacon contre ma fente et Marion exhorta son mari à continuer :
- Continue, ça coule !
Mais Rudy ne tenait plus, lui non plus. Se retirant brusquement de mon cul, je le sentis éjaculer entre mes fesses, son sperme épais s'écoulant sur mon anus jusqu' à ma fente.



Marion avait retiré le flacon avant que le sperme n'en atteigne le goulot :
- Bravo, ça fait une belle quantité.
- On la laisse comme ça ?
- Oui, quelques heures. Que ça lui serve de leçon !
Comme je reprenais mes esprits, je vis le gars approcher avec son sexe tendu.



Il me fourra son pieu dans la bouche et j'entrepris de le sucer rapidement afin que les gars profitent ensuite du départ de Rudy et Marion pour me libérer. Du coin de l'œil, je vis que le premier gars se masturbait. Il n'avait pas du tout débandé et je me demandais si je n'avais pas bu trop de bière. Je continuai malgré tout ma fellation et espérant que les gars tiendraient parole ensuite.



Je sentais qu'il était proche de l'éjaculation, mais soudain, son copain s'approcha et lui dit :
- Ecarte-toi ! Vite !
Le gars eu tout juste le temps de se reculer quand un puissant jet vint me fouetter au visage.



Plusieurs autres giclées de sperme vinrent s'écraser sur mon front, mes joues ou dans mes cheveux. Quand il eut fini, il s'excusa auprès de son copain :
- Désolé, tout ça est devenu incontrôlable !
- Oui, jamais une fille ne m'avait fait autant bander.
Je m'impatientais :
- Bon, on peut en finir pour que vous me libériez ?



Le second gars me répondit :
- Ce ne sera pas long...
Il s'approcha de moi à nouveau tout en se masturbant, voulant de toute évidence que je le suce à nouveau. Mais avant qu'il n'arrive à me fourrer son sexe dans la bouche, il se mit à éjaculer, inondant lui aussi mon visage de sa semence.



J'avais le visage plein de leur sperme et, l'effet de la bière s'estompant, les gars commençaient heureusement à débander. Le premier gars me prit par les épaules et me dit :
- Bien, je pense qu'il ne manque pas grand-chose. Tu vas reculer un peu et te tourner sur le côté, car j'ai l'impression que ce trou est un peu plus haut que large.
Je fis comme il me disait et, effectivement, mon bassin parvint à passer. Le second gars vint l'aider et, me prenant chacun sous une épaule, ils me tirèrent lentement, m'évitant même de me griffer les hanches aux parois. Quand je fus enfin à l'extérieur, les gars regardèrent ma croupe, pleine du sperme de Rudy :
- Wahou ! T'as vu ça ce qu'elle a pris dans le cul aussi ?
- Ouais, je me demande si elle voulait vraiment qu'on la libère...
Rigolant, les deux mecs s'éloignèrent, me laissant comme une conne, nue et couverte de sperme, en pleine nature.


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Mutation - épisode 13


Ne sachant que faire, je pris quelques minutes pour faire discrètement le tour du bâtiment afin de voir s'il y avait une route ou un indice me permettant de savoir dans quelle direction partir. Malheureusement, il y avait un chemin de terre qui longeait le complexe mais pas moyen de savoir dans quelle direction le suivre. En plus, dans la tenue où j'étais, rester sur le bord de la route n'était pas forcément une bonne idée, d'autant que Rudy et Manon me retrouverait alors très facilement. Je décidai tardivement de prendre à travers la forêt la direction qu'avait empruntée mes deux sauveurs, par un petit sentier à peine matérialisé. Au bout d'une dizaine de minutes, je trouvai au pied d'un arbre une bouteille de bière abandonnée et je reconnus celle que les garçon m'avait fait boire. Comme j'avais très soif, je la ramassai. Il en restait encore plus de la moitié et je la bus en me disant qu'en étant seule l'absorption d'alcool n'aurait pas de conséquence. Mais à peine j'eus reposé la bouteille vide au sol que j'entendis un bruit. Je m'empressai alors de me cacher derrière un tronc d'arbre.



Manque de chance, j'avais mal jugé la direction de l'origine du bruit et je découvris un gars à une dizaine de mètres sur ma droite qui m'observait, fasciné par ma nudité. J'étais bien contrainte de donner quelques explications à cette situation :
- Bonjour. Je... J'ai été enlevée et séquestrée. J'ai réussi à m'enfuir mais je n'ai plus de vêtements... Vous pouvez m'aider ?



Le gars ne répondit pas mais je vis soudain une bosse impressionnante déformer son entrejambe. Je compris que l'alcool faisait effet et qu'il bandait carrément. Il faut dire aussi que, un peu paniquée, j'en avais un peu oublié de montrer un peu de pudeur et que je n'avais pas eu le réflexe de dissimuler mes parties intimes. Comprenant que je n'obtiendrai rien de ce type tant que je ne l'aurai pas soulagé, je pris le parti de ne pas perdre de temps :
- Ecoutez, je vois bien que je vous excite. Si vous voulez, je vous suce et, en contrepartie, vous me donnerez votre tee-shirt.
Le gars ne répondit pas mais ouvrit son pantalon pour extraire une érection colossale.



Sa queue était magnifique et je l'aurais sucée sans contrepartie mais je ne devais pas perdre de vue mon objectif :
- Vous me promettez de me donner votre tee-shirt ?
- Quand tu m'auras soulagé, il sera à toi...
J'hésitais car je savais que, avec la bière que je venais de boire, le faire éjaculer une fois n'allait sans doute pas suffire à le faire débander.



- Ok.
- Super. Tu es très excitante. Tes nichons sont incroyables. Jamais je n'avais bandé comme ça avant.
Sans se soucier d'être en pleine nature et que d'autres promeneurs puissent nous surprendre, le gars se débarrassa de ses vêtements et s'avança vers moi, totalement nu. Je me mis accroupie devant lui. Sa queue était bien tendue et ses couilles semblaient bien pleines.



Je ne pouvais pas lui avouer que je n'étais sans doute pas si excitante que ça et que ce n'était pas ma poitrine qui lui faisait cet effet-là. Je saisis sa queue dressée et il frémit en disant :
- Mmmm, tu la mérites bien !
Je pris en bouche son gros gland pour le sucer et je me caressais discrètement la moule en même temps.



Je m'appliquais à faire ma fellation aussi bien que possible pour le soulager rapidement. Je me disais que si d'autres promeneurs se pointaient, avec l'effet de l'alcool, j'allais me retrouver au beau milieu d'une véritable orgie. Ma prestation sembla satisfaire le gars. Il se retira soudain de ma bouche et s'astiqua frénétiquement. Je fus surprise par une première puissante giclée de sperme qui vint me fouetter le visage.



J'ouvris alors la bouche pour recevoir la suite. Le gras râlait de plaisir tandis que sa semence jaillissait dans ma bouche. Je ne m'étais par trompée sur ses couilles bien remplies. Ne voulant pas avaler son jus, je laissais sa crème s'écouler de ma bouche complètement pleine de sperme tiède et épais.



Quand il eut fini son éjaculation, il lâcha sa queue et la présenta devant ma bouche, me signifiant qu'il souhaitait que je la lèche pour la nettoyer. Bonne poire, là où j'en étais, je me dis que cela ne ferait pas grande différence et que je pouvais lui offrir cela dans la prestation. Je pris donc en main son sexe encore complètement raide pour le lécher une fois cela fait, je levai la tête pour demander mon dû :
- Alors, vous me donnez votre tee-shirt ?



- Tu rigoles ? Tu ne m'as pas soulagé. Je bande encore à mort ! Et puis, tu as eu ta récompense : jamais encore je n'avais laissé autant de crème à une fille !
Il se rhabilla, tee-shirt compris, et reparti, me laissant comme une conne, à poil, avec du sperme plein le menton. Je me penchais en avant pour recracher par terre tout ce que j'avais en bouche. Je m'essuyai le menton du revers de la main et me maudit d'avoir été si naïve. Ceci dit, cette petite fellation m'avais bien excitée et j'avais la moule toute chaude. Je regrettai presque de ne pas lui avoir proposé de me baiser.



J'empestais le sperme. J'avais envie d'une douche mais ma situation ne se prêtait pas vraiment à un tel confort. Aussi, quand j'entendis le bruit de l'eau, je me dis qu'un petit bain dans une rivière allait au moins me permettre de me laver un peu. Alors que je m'approchai, j'entendis des voix : un garçon et une fille. Je m'approchai discrètement et, cachée derrière des buissons, je pris le temps d'observer le couple.



J'entendis la voix du garçon :
- C'était une bonne idée de venir, ça fait longtemps qu'on n'est pas venu ici. Tu te souviens ?
- Oui, déjà en collège, on venait se baigner ici. Y'a pas plus tranquille.
D'abord, je vis le gars, un jeune homme bien fait. Il se baignait nu, probablement avec sa copine. L'eau devait lui sembler un peu froide car il ne bandait pas du tout.



A quelques pas devant moi, j'aperçus leurs affaires : des vêtements et un sac à dos d'où émergeait deux bouteilles de bière. Puis, je vis la fille s'approcher de lui. Elle était blonde et avait une superbe poitrine dont je fus très jalouse. Son entrejambe était impeccablement épilé. Je me demandai comment son copain pouvait rester insensible à une fille aussi magnifique.



J'eus une idée. Restant cachée, je m'approchai de leurs affaires et j'attrapai une bière. Je la décapsulai et j'en bus d'un coup, plus de la moitié. L'effet ne se fit pas attendre. J'entendis la fille rire :
- Oh putain, mais tu bandes à fond !
- Merde, désolé... je ne comprends pas.



La fille fascinée, s'approcha de lui en souriant. Il semblait très mal à l'aise. Elle le prit par la main et l'entraîna vers la berge :
- Viens, on va arranger ça.
Je reculais discrètement pour ne pas être vue. La fille fit asseoir le gars et s'agenouilla entre ses cuisses pour saisir sa tige raide et mettre un coup de langue sur le gland.



Le gars attendit ce coup de langue pour réagir et demander :
- Putain, mais qu'est-ce que tu fous ?
- Bah, tu vois, je m'occupe de toi...
- Mais tu ne peux pas faire ça !
La fille ne sembla pas se préoccuper de ses curieux scrupules et entama une savante fellation.



J'étais exaltée de me dire que j'avais aidé cette fille à s'occuper de son copain curieusement très distant. Les laissant à leurs ébats, je me dis que je pouvais en compensation emprunter ses fringues à la nana. Ramassant ses affaires, je trouvai une jupe et une culotte mais pas de haut. Relevant la tête, je vis qu'elle avait accrocher son débardeur et son soutien-gorge à une branche basse de l'arbre, juste à côté du tas de vêtements. Je me hissai pour attraper le débardeur.



Je jetai un œil au couple. La fille suçait toujours le gars qui protestait mais se laissait quand même faire :
- On devrait pas faire ça ! On va le regretter.
Un instant, je me demandai si ce n'était pas de simples amis et qu'ils étaient par ailleurs en couple. Mon intervention les avait donc poussés à l'infidélité. J'enfilai le débardeur alors que la fille se redressai.



Elle semblait agacée que le gars soit aussi stressé :
- Tais-toi donc et profite.
Elle se mit alors à quatre pattes à côté de lui et se cambra pour lui offrir sa croupe en disant :
- Je suis certaine que tu as déjà fantasmé sur mon cul !



Le gars se défendit :
- Evidemment, mais ça reste un fantasme.
- Et moi je t'autorise à le réaliser aujourd'hui.
Un peu comme un robot, le gars vint la rejoindre et, à genoux derrière elle, il enfila sa tige tendue dans la fente de la jeune fille blonde.



Il y eut alors un concert de gémissements qui me fit dire qu'aucun des deux ne regrettait cet écart de conduite. J'avais quand même un peu honte d'être à l'origine de ça et espérais de tout cœur que leurs conjoints respectifs ne découvrent jamais ce qui vient de se passer. Je ramassai par terre la jupe de la fille et l'enfilai.



Je lui laissais ses sous-vêtements, ce qui était déjà pas mal. Alors que je terminai d'ajuster la mini-jupe, les gémissements atteignirent leur paroxysme. La fille avait un orgasme t le gars, immobile, se vidait en elle. Une fois finit, il se retira et s'assit à côté :
- Putain, c'est dingue. Je bande encore.
- Faut croire que ça te démangeait depuis un moment de te taper ta grande sœur.
Je restai en arrêt en entendant cela. Je venais de faire baiser ensemble un frère et une sœur ! Je comprenais mieux les réticences du garçon...



Très embarrassée, je m'éloignais discrètement. Après quelques dizaines de minutes, j'arrivai à une petite route goudronnée. Une voiture apparut au loin alors que je m'apprêtais à enjamber le fossé. C'était inespéré et je n'hésitai pas une seconde. Je fis signe de la main alors que la voiture approchait et elle s'arrêta en arrivant à mon niveau. Un homme souriant me fit signe de monter. Je m'installai :
- Vous allez où ?
- En ville, n'importe où, je me débrouillerai.
- Vous êtes tombé en panne ?
Le gars était mignon et semblait apprécier que je ne porte pas de soutien-gorge sous mon débardeur. Je préférais ne pas rentrer dans les détails de ma situation mais je me rendis compte que la bière que j'avais bue faisait encore effet : le gars bandait déjà... Je ne pus m'empêcher de regarder l'énorme bosse et il s'en rendit compte :
- Oh, désolé... Vous être très excitante et vos seins, là...
- Quoi, mes seins ?
Innocemment, je tirai sur le décolleté pour les dégager.



Le gars poussa un profond soupir :
- Pfiou ! Jamais une paire de seins ne m'avait fait autant bander...
- Dans ce cas, pour vous remercier de m'avoir pris en stop, je vous autorise à les regarder autant que vous voulez.
Je tirai sur le décolleté pour les sortir complètement.



Il ne redémarrait pas, les yeux rivés à ma poitrine. Je lui souris :
- Vous ne redémarrez pas ?
- Heu, ça me semble dangereux. J'ai peur de ne pas pouvoir me concentrer sur la route.
- Vous avez raison, la sécurité, c'est important. Si vous voulez, je prends le volant.
- Vous feriez ça ?
Je sortis de la voiture, seins à l'air et je vins prendre sa place au volant.



Il ne disait pas un mot et se tortillait sur son siège, gêné par son érection. Tout en conduisant, je le mis à l'aise :
- Vous devez vous sentir à l'étroit là-dedans, non ?
J'ouvris son pantalon et je n'eus aucune peine à sortir un long sexe bien tendu. IL me laissa le prendre en main et commencer à le masturber, ouvrant béatement la bouche.



Après quelques minutes, je vis qu'il commençait à se tendre et je supposai l'éjaculation proche. Je m'arrêtai avec le warning sur le bord de la route et me concentrai sur sa tige turgescente :
- Je crois que ça vient... Voilà. On y est.
Je le masturbais lentement et son sperme s'échappa tranquillement de gland, coulant sur mes doigts et mon poignet.



Quand ce fut terminé, je me léchai les doigts et la main, par pur jeu, et je m'amusai de son regard incrédule. Je lui souris :
- Vous allez être plus à l'aise maintenant. Vous allez pouvoir conduire.
Je ressortis de la voiture pour que l'on échange à nouveau nos places. Il se décala derrière le volant mais se battait avec son sexe pour le remettre dans son pantalon :
- Bon sang, c'est dingue. Je ne débande pas !



J'en connaissais bien la raison :
- Vous êtes un coquin, vous. Vous ne voulez pas vous contenter d'une petite branlette. Vous voulez davantage.
- Mais non, je...
Il n'eut pas le temps de répondre. Je venais d'engouffrer son sexe dans ma bouche et je lui taillais une pipe.



Tandis que je le suçais, il fit glisser les bretelles de mon débardeur et tira ensuite celui-ci sur ma taille pour dégager mes seins. Il se débarrassa aussi de sa chemise et de son pantalon en me disant :
- J'adore sentir vos seins frotter contre mes cuisses.
Ce petit détail m'amusa beaucoup.



Pendant quelques minutes, je m'appliquais, en plus de la fellation, à faire frotter mes mamelons contre sa cuisse. Soudain, il se tendit à nouveau. Je tournai la tête pour voir son visage et vérifier qu'il allait effectivement jouir. Son sexe profita des quelques secondes hors de ma bouche pour se mettre à déverser encore quelques giclées de sperme qui vinrent s'écraser sur ma joue et mes lèvres.



Je me redressai et il ouvrit la boîte à gant pour en sortir un paquet de mouchoirs qu'il me tendit afin que je m'essuie. Ceci fait, il regarda son sexe et dit :
- Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Je bande encore !
Il sortit de voiture, le sexe à l'air, et marcha un peu dans l'espoir que cela le fasse débander. Quand il revint à la voiture, il semblait dépité :
- C'est dingue ! Je reste dur comme du bois !
- Vilain garçon. Jamais rassasié ? Voyons ce que je peux faire de plus pour vous...
Faire éjaculer est une chose, mais là j'avais moi aussi envie d'en profiter un peu. Je retirais le débardeur et la jupe. Ainsi nue, je me mis en arrière sur les sièges et j'écartai les cuisses pour lui offrir ma moule.



Il me regarda sans trop comprendre :
- Non mais, j'y suis pour rien... Faut pas vous sentir obligée.
- J'ai l'air de vous proposer ça sous la contrainte ?
Rangé à mes arguments, il s'avança et plongea son sexe encore parfaitement tendu dans ma fente humide.



Pendant qu'il me baisait, il tentait de s'excuser :
- Je suis désolé... D'habitude... C'est vous qui me faites cet effet sans doute...
- Taisez-vous et baisez-moi.
Il obéit et se concentra sur ses pénétrations. En quelques minutes, il m'amena à l'orgasme. Les spasmes de mon plaisir firent éjecter son sexe de ma fente juste au moment où il éjaculait à nouveau. Son sperme jaillit en tous sens, éclaboussant mes cuisses, mon ventre, mes seins et aussi les sièges.



A nouveau, il me donna des mouchoirs en papier pour que je m'essuie. Je sortie de la voiture pour être plus à l'aise pour procéder à cette toilette de chat. La voiture commençait à sentir le sperme et le gars prit le temps de nettoyer ce qu'il avait mis sur les sièges. Quand il sortit, il me tendit ma jupe et mon débardeur :
- Je n'ai pas trouvé votre culotte...
- Je n'en avais pas.



Je pris mes vêtements et m'interrompis un instant pour le regarder se rhabiller. Il bandait encore terriblement et avait toutes les peines du monde à refermer son pantalon. J'étais responsable de son état et j'eus pitié de lui :
- Toujours pas soulagé ? Encore un petit coup de main ?
J'espérai qu'enfin l'alcool dans mon corps s'amenuise pour cesser ses effets. Je plongeai à nouveau ma bouche sur sa longue tige pour le sucer.



J'étais nue, la bouche vissée sur son sexe, au bord de la route, quand j'entendis le bruit d'un moteur. Mon amant ne se rendait plus trop compte de ce qu'il se passait dans le vrai monde, celui qui existait au-delà de sa bite. Une voiture s'arrêta à côté de nous. J'hésitai à interrompre ma fellation mais comme de toute façon, j'étais déjà prise sur le fait, autant aller jusqu'au bout.



Un homme sortit de la voiture, tout sourire et s'approcha en ouvrant sa braguette :
- Ta femme veut en goûter une autre ?
Mon chauffeur ne répondit pas, trop concentré sur son plaisir. Il ne sembla réagir que lorsque je cessai la fellation et que je me tournai pour sucer le nouveau venu. Je dus onduler un peu du bassin, frottant mes fesses contre son érection pour qu'il comprenne que je voulais qu'il me prenne en levrette. Ce qu'il fit, alors que je taillais une pipe au gars qui venait d'arriver.



Après quelques minutes, celui que je suçais, fatigué de rester debout, s'assit parterre contre la carrosserie de la voiture. Je me mis à quatre pattes pour continuer ma fellation. Mon amant se trouva un peu délaissé et regarda mon cul sans trop savoir que faire. Sans le regarder, je me mis le majeur dans l'anus pour lui signifier ce que j'attendais de lui. Il comprit aussitôt et remplaça mon doigt par sa longue tige. Il n'eut que quelques coups de reins à donner pour s'emmancher en moi sur toute sa longueur et cela me donna un terrible orgasme. Il sortit alors et je sentis qu'il éjaculait, pour la quatrième fois, sur mes fesses et mon dos. L'autre gars que je suçais se mit aussi à éjaculer. Je sortis son sexe de ma bouche juste à temps pour que son sperme gicle sur mon visage et non dans ma bouche.



J'étais à nouveau couverte de sperme. Je poussai un profond soupir de soulagement en voyant que les deux hommes débandaient peu à peu. J'étais enfin libre. Le nouveau venu ne s'attarda pas : il se rhabilla sans même essuyer son sexe encore dégoulinant de sperme et retourna dans sa voiture, sans un mot. Dès qu'il fut parti, mon chauffeur me dit :
- Vous êtes une fille incroyable ! Et, enfin, vous avez réussi à me soulager... Je vous avoue que ça commençait à m'inquiéter cette érection persistante.
- Moi, j'ai trouvé cela très intéressant...
Souriant, il m'essuya le dos et les fesses avec des mouchoirs en papier qu'il abandonna dans le fossé. Ce n'est qu'une fois remonté dans la voiture qu'il me demanda :
- Vous ne voulez pas essuyer votre visage ?



J'étais encore tellement sous le coup de tout ce qui venait de se passer que j'en avais oublié de nettoyer l'éjaculation faciale que j'avais subie. Nous rigolâmes alors qu'il redémarrait. Il me ramena jusque devant chez moi. J'étais heureuse d'être enfin rentrée.


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Mutation - épisode 14


Dès le lendemain de mon évasion, je reçus un SMS de Rudy :
"Sylvie, je suis désolé de la tournure qu'ont pris les choses. Franchement je ne pensais pas que Manon irait aussi loin. Je veux m'excuser de vive voix. Accepteriez-vous qu'on se voit en tête à tête dans un bar ?"
Je sentis beaucoup de sincérité dans ce message de Rudy et, malgré ce qu'il m'avait fait subir, j'eus pitié de lui et acceptai son invitation. L'après-midi même je me rendis dans le bar que m'avait indiqué Rudy. Il semblait ravi de me voir et accueilli avec un grand sourire la petite robe fuchsia que j'avais choisie.



Une fois installés, nous commençâmes à discuter et Rudy se confondit en excuse :
- Vraiment, Sylvie, je suis désolé de ce que nous vous avons fait subir. Manon était comme folle avec cette histoire de cyprine...
- Vous n'avez pas fait grand-chose pour l'en dissuader.
- J'étais, comme elle, obnubilé par la résolution de mon problème. Mais après votre évasion, j'ai compris que votre cyprine n'était pas à l'origine de mes érections.
- Si vous m'aviez écoutée...
J'étais partagée entre la colère et la pitié mais je sentais à la voix de Rudy qu'il était sincère.



Il continua :
- Ecoutez, je veux me faire pardonner. Vous buvez quelque chose ?
- Heu, une grenadine, s'il vous plaît.
Rudy se leva et alla chercher la commande au bar. Je surpris un étrange sourire entendu sur le visage du patron. Quand Rudy revint avec les verres, il me tendit ma grenadine. Un peu suspicieuse, je sentis le verre avant d'avaler une gorgée. Cela ne semblait pas sentir l'alcool et j'en bus une gorgée en toute confiance.



En sentant le liquide passer dans ma gorge, je compris que j'avais été dupée : la grenadine contenait du rhume et je vis au sourire de Rudy que ce n'était pas un accident. Ainsi, il avait compris. Je posais mon verre :
- Vous avez donc deviné ?
- Oui... Et je peux vous dire que ça marche déjà !
- Vous bandez ?
Rudy se leva et je vis la bosse magistrale qui déformait son pantalon. Cela me fit mouiller instantanément et j'eus aussitôt envie qu'il me prenne. Je me levais et l'entrainais dans les toilettes du bar. Dès que la porte fut fermée, je relevai ma petite robe pour lui offrir ma croupe, libre de toute culotte.



Rudy se libéra et exhiba un sexe magnifiquement tendu qu'il admira avec fierté :
- Génial !
Il semblait d'autant plus satisfait en voyant le regard ébahi que je lançais à son érection. Me soulevant une cuisse, il guida son sexe dressé dans ma fente humide.



Il m'arracha très vite de profonds gémissements alors qu'il glissait lentement en moi :
- Oh Sylvie ! Quel pied !
- Taisez-vous et baisez-moi !
C'était un vrai bonheur de sentir sa longue tige aller et venir en moi.



Rapidement, il m'arracha un orgasme et je dus me mordre les lèvres pour en pas crier et révéler à l'ensemble de la clientèle du bar ce que nous faisions. Rudy ne résista pas beaucoup plus longtemps et, quand il s'immobilisa, je compris qu'il allait éjaculer. Je sentis son sperme chaud envahir mon ventre et, tandis qu'il se répandait en moi, il se retirait lentement, de sorte que, quand son gland se glissa hors de ma fente, celle-ci laissa aussitôt s'échapper plusieurs filets de sperme qui commencèrent à dégouliner le long de mes cuisses.



Rudy bandait encore beaucoup. Le rhume, je le sentais, faisait encore beaucoup effet. Pourtant, Rudy se rajusta, tant bien que mal avant de me dire :
- Quel bonheur de vous avoir rencontré, Sylvie !
- C'est un plaisir partagé, Rudy. Surtout quand votre femme n'est pas dans le coin.
- Oh, vous savez, là, elle dort.
- Elle dort ?
- Oui. Quand j'ai soupçonné que c'était l'alcool qui vous permettait d'avoir cet effet sur moi, j'ai fait boire Manon plus que de raison en espérant que le phénomène fonctionne aussi avec elle.
- Mais là, vous bandez encore.
- Oui ce n'est pas grave. Pour vous remercier, je veux vous emmener voir un concert de rap. Est-ce que ça vous tente ?
Même si le rap est loin d'être mon style de musique, cela faisait longtemps que je n'avais pas été à un concert et j'acceptai sa proposition avec plaisir. Quelques dizaines de minutes plus tard, je me trémoussais face à la scène où évoluait six noirs dans une petite boîte du centre-ville. Ce n'est qu'en voyant les regards de quelques garçons autour de moi que je pris conscience que je faisais peut-être une bêtise. L'alcool semblait faire encore effet et des garçons se rapprochaient dangereusement de moi. Rudy s'amusait même à se frotter contre moi pour que ma robe remonte et je tardai un peu à me rendre compte qu'il m'avait mise cul nu au milieu de cette foule.



Plusieurs gars m'entouraient et commencèrent à me tripoter à travers ma robe. Des mains glissèrent le long de mes cuisses et remontèrent ma robe au passage. Sur la scène les blacks me regardaient avec envie mais restaient concentrés sur leur musique. J'adorai sentir ces caresses et, fermant les yeux de plaisir, je ne fis rien pour arrêter les mains baladeuses qui se faisaient de plus en plus nombreuses. Je me rendis à peine compte que ma robe était retroussée sur ma taille. Je poussais de profonds gémissements de plaisir quand je sentis un doigt se glisser dans ma fente et un pouce tourner autour de mon clitoris.



Je ne savais même pas si les mains de Rudy faisaient partie des mains qui parcouraient mon corps. Quelqu'un fit glisser les bretelles de ma robe et on me dégagea la poitrine. Je m'attendais à ce qu'on termine de me l'enlever et que je me retrouve totalement nue au milieu de tous ces mecs en rut. C'est alors que j'entendis la voix de Rudy :
- Viens, ça va dégénérer !
Il m'attrapa par le poignet et m'extirpa du groupe et de toutes ces mains baladeuses. Une fois arrivée à la porte, je pris conscience de ma tenue et je commençai par tirer sur ma robe pour cacher mon entrejambe avant que Rudy n'ouvre la porte pour sortir.



Heureusement, il n'y avait personne à l'extérieur quand nous sortîmes et je pus prendre le temps de rajuster ma robe. Rudy se confondit en excuse :
- Désolé... je ne pensais pas que l'alcool faisait encore effet...
- Moi aussi, j'avais oublié. Partons avant qu'ils ne viennent me chercher.
Rudy eut un sourire triste en regardant son entrejambe :
- Non, je crois que c'était la fin. L'alcool n'a plus d'effet... Ils vont tous se calmer rapidement.
- Dommage, j'ai bien aimé le concert. J'écoute peu de rap et là, j'avoue avoir bien aimé. Ce groupe a une belle énergie.
- Je les connais. Si tu veux, je peux te faire les rencontrer après le concert.
- Oh oui, ce serait chouette !
Rudy passa quelques minutes à pianoter sur son téléphone, échangeant des SMS. Au bout d'une vingtaine de minutes, il rangea son téléphone :
- C'est bon, ils viennent de terminer leur concert. On peut les rejoindre dans l'appartement au-dessus de la salle.
Comme l'alcool n'a plus d'effet, je suis Rudy volontiers pour rencontrer ces gars. Une fois dans l'appartement, les gars sont assis à boire et me regardent avec intérêt. Je suis un peu intimidée car je prends conscience que ma robe est quand même très sexy et surtout que je suis la seule fille présente.



Un des gars se leva et tendit un verre à Rudy et un autre à moi. Je déclinai et il sembla se vexer :
- C'est pas très poli de refuser un verre !
- Je supporte mal l'alcool. Mais je vous remercie.
- Une jeune fille polie ferait la bise aux gens qui l'accueillent.
Je ne voyais pas d'objection à cela. Je fis la bise au gars. Les autres se levèrent alors pour que je leur fasse la bise. Le second m'enlaça très familièrement et m'embrassa sur la bouche.



Les suivants, bien sûr, l'imitèrent. C'est en sentant l'érection du sixième gars contre ma hanche que je pris conscience de la situation. Tous ces gars venaient de boire de l'alcool et je venais de les embrasser sans me méfier. Le dernier gars vit mon regard paniqué et dit :
- Faut pas avoir peur. On ne va pas vous manger. Et vous aviez l'air moins farouche pendant le concert quand ces gars vous tripotaient et vous foutaient à poil.
Je ne savais pas quoi répondre. Les gars m'entouraient et, comme pendant le concert, plusieurs mains se mirent à me caresser à travers ma robe, certaines osant se glisser dessous.



Rudy observait, amusé. Il avait compris ce qui se passait et ne semblait pas avoir envie de me venir en aide cette fois-ci. Un des gars dit :
- Putain, les gars ! Elle me donne une trique d'enfer, la petite ! Regardez un peu !
Sans la moindre pudeur, le gars quitta ses fringues et exhiba son érection.



J'étais fascinée par cette queue et aussi complètement conquises par toutes ces mains qui me caressaient doucement. Le gars à poil s'assit et dit à ses copains :
- Je crois qu'elle a un peu chaud... Virez-lui sa robe.
Il se mit à se masturber en regardant ses amis se rapprocher de moi.



Les gars agrippèrent le bas de la robe et la firent remonter sur ma taille. Quand mon sexe et mes fesses furent dévoilés, les gars en profitèrent pour ma tripoter. On malaxa mes fesses, on écarta les lèvres de ma chatte, on me mit des doigts dans la moule et un gars s'autorisa même à me mettre un doigt dans le cul. Je gémissais de plaisir sous le regard ravi de Rudy. Puis la robe remonta encore et on la passa par-dessus ma tête. Plusieurs mains abandonnèrent mes fesses et ma chatte pour venir me peloter les seins et me pincer les mamelons.



Un gars s'écarta et retira ses vêtements. Il affichait une superbe érection. Quand il revint pour me caresser à nouveau, un autre se recula pour se mettre nu à son tour. Chacun leur tour, ils se mettaient à poil mais je ne fus en permanence sollicitée par des caresses intimes, comme si les gars voulaient s'assurer que je n'allais pas m'enfuir.



Le gars assis prit la parole :
- Ecartez-vous, les gars.
Je fus surprise de voir que les gars obéirent aussitôt sans la moindre objection. Le gars, qui semblait donc être leur chef, s'adressa à moi :
- Approche. Comment tu t'appelles ?
- Sylvie.
- Sylvie, tu aimes les rappeurs ?
- Pas plus que d'autres musiciens...
- Oui, mais on est des noirs ! Et comme tu peux le constater, la taille de nos bites n'est pas une légende urbaine...
- C'est clair !
J'étais un peu intimidée, surtout ne sachant pas quelle était la suite du programme.



Le chef se tourna vers le plus jeune des six :
- Prépare-la moi.
Deux gars me poussèrent contre un mur. L'un d'eux souleva ma cheville et me cala le pied sur la poignée de la porte. Ainsi offerte, croupe tendue, le jeune black n'eut aucune difficulté à à me prendre en levrette. C'était un vrai délice et je me mis aussitôt à gémir.



Alors que je sentais le plaisir monter, il y eut un claquement de doigts. Le jeune black se dégagea, me laissant un peu frustrée de cette interruption. Deux autres gars, en érection me prirent par les bras pour me guider jusqu'au chef. Ils me tournèrent et je me sentis soudain soulevée, comme une plume entre leurs mains puissantes. On me fit m'empaler sur l'énorme queue du chef. J'hurlais aussitôt de plaisir tant il me remplissait bien.



Après m'avoir donné un orgasme, le chef s'arrêta et se racla la gorge :
- Hum, je crois qu'elle n'avait pas besoin d'être préparée. Elle a déjà joui... On va essayer autre chose.
Je le sentis me soulever par les fesses et il se dégagea de ma moule. Son sexe restait parfaitement dressé et je compris ce qui allait suivre quand il positionna mon anus sur son gros gland. Me laissant retomber, il donna un coup de reins puissant pour accompagner la pénétration. Il était énorme et j'hurlais à la fois de douleur et de plaisir.



Malgré mes cris, le chef, sous moi, gardait un calme olympien tandis qu'il me sodomisait tranquillement. Après m'avoir donné un second orgasme, il s'adressa à ses amis :
- Les gars, je crois qu'il reste de la place, non ?
Si j'imaginais bien que j'allais devoir faire jouir ces six gars, je n'avais pas envisagé que ce puisse être plusieurs en même temps. Le jeune vint me pénétrer la moule et commença à me baiser. C'était un vrai délice de sentir ces deux grosses queues bouger en moi. Je criais de plaisir mais mes cris furent interrompus par une grosse queue noire qu'on me fourra dans la bouche.



Quand il vit que j'étais à nouveau en train de jouir, le jeune noir me baisait avec tant d'entrain que cela dégagea la queue du chef de mon cul. Le chef ne sembla pas s'en formaliser et, au lieu de reprendre position, il se souleva pour m'allonger à côté de lui sur le canapé. Je sentis alors le jeune black se mettre à éjaculer, inondant mon ventre de sa semence chaude. Il se retira avant d'avoir terminé pour me beurrer la moule de son sperme épais. Je crus que le gars je suçais allais jouir dans ma bouche en voyant cela mais il parvint à se contrôler.



Il y eut à nouveau un claquement de doigt. Le gars que je suçais s'écarta, m'abandonnant seule sur le canapé, dans un état de semi-transe après les trois orgasmes successifs que je venais de subir. J'entendis la voix du chef dire :
- Laissez-là reprendre son souffle. La soirée est loin d'être terminée et il faut ménager la petite si on veut en profiter longtemps. Je suis déjà surpris qu'elle tienne si bien le choc.
Je remerciai mentalement le chef de cette pause opportune, alors que, transpirante, je reprenais mon souffle et mes esprits.



Après quelques minutes, je me redressai. Tout le monde était encore là, nus et en érection, à l'exception de Rudy qui gardait encore ses vêtements. Le chef était assis, cuisses écartées et sexe gonflé :
- Je vois que ça va mieux. Si tu veux tu peux venir me sucer un peu.



Son sexe me semblait moins impressionnant que je ne l'avais imaginé quand il me sodomisait. Je vins m'asseoir à côté de lui et je plongeai ma bouche sur sa tige. La surprise fut de taille. Sous l'action de mes lèvres et de ma langue, son sexe se mit à grossir et à se tendre, emplissant complètement ma bouche. C'était bien là l'énorme queue qui avait visité mon cul et je me décrochais presque la mâchoire pour pouvoir continuer à le sucer.



J'eus soudain une peur panique que le chef n'éjacule dans ma bouche sans me prévenir et, vu la taille de ses couilles, qu'il m'étouffe d'une terrible quantité de sperme. Pourtant, il me releva la tête pour me redresser et me dit :
- Tu es douée. Ce n'est pas facile.
Puis se tournant vers un autre gars, il dit :
- Au suivant !
Le gars me fit mettre debout et, me relevant une jambe avec son bras, il fourra son énorme sexe dans ma moule.



Bien qu'il n'ait pas les dimensions colossales de celle cde son chef, la bite de ce gars me faisait terriblement du bien. Je crus que j'allais jouir mais le gars s'interrompit et, toujours empalé en moi, m'emmena au canapé où il s'assit pour que je continue à le chevaucher. J'entendis alors le chef dire :
- Allez, vous autre. La petite a l'air de s'ennuyer.



Trois gars s'approchèrent alors et vinrent me donner leur queue à sucer. Le premier que je suçais me demanda :
- Alors, tu aimes sucer des bites de rappeurs ?
Il emplissait bien ma bouche et je devais bien avouer que j'étais folle de désir de voir toutes ces magnifiques colonnes de chair que je pouvais sucer autant que je voulais.



J'essayais d'alterner autant que possible entre les trois gars, branlant ces magnifiques queues pour les garder bien rigides, même si cela était sans doute inutile puisque ces sexes restaient dressés grâce à l'alchimie de mes hormones liées à l'alcool. Je sentis soudain un gland assez conséquent commencer à faire pression contre mon anus.



Me retournant, je vis que c'était le chef et je tentai de l'arrêter :
- Ooooh, s'il vous plaît, non. Vous êtes trop gros.
- Mais ma queue est déjà passée dans ton petit trou, ma belle !
- Oui... Oooooh... Mais le gars qui me baise cette fois-ci en a une plus grosse et vous allez me déchirer.



- Mais non. Ne t'inquiète pas. Tu vas adorer.
Il força et commença à faire entrer sa colonne de chair dans mon trou du cul. Je criais. Le gars sous moi, arrêta de bouger. Lui aussi devait se sentir à l'étroit avec l'énorme queue qui se pressait près de la sienne. Lentement, le chef fit progresser la pénétration jusqu'à faire entrer presque toute sa queue. Alors, il commença à coulisser en moi. Celui qui me baisait reprit aussi ses mouvements et il ne me fallut moins de deux minutes pour avoir un nouvel orgasme, m'obligeant à abandonner temporairement le sexe que je suçais.



Curieusement, le chef se retira, laissant sa place :
- La route est tracée. Qui veut prendre la suite ?
J'étais à peine remise de mon orgasme que je sentis un nouveau sexe s'introduire dans mon petit trou qui commençait à ne plus être si petit que ça.



Le nouveau gars qui me sodomisait étant moins bien membré que son chef, je pus me calmer de mon orgasme et reprendre ma fellation. Comme le chef, le gars n'éjacula pas dans mon cul. Avant d'atteindre le point de non-retour, il se retira, laissant la place à un autre. Et je crois que chacun vint à tour de rôle visiter mon cul, mais sans y jouir, ce qui m'étonnait plutôt.



Pourtant celui qui m'avait baisée, la première fois que le chef m'enculait, s'était bien laissé jouir en moi. Je me fis d'ailleurs la réflexion que c'était le seul à avoir joui et qu'il faisait partie de ceux qui, en bonne forme, venait visiter mon cul. Rudy, assis dans un fauteuil, me regardait me faire prendre par tous ces mecs, semblant se réjouir de mes orgasmes successifs. J'étais prise en sandwich par deux gars quand le chef claqua à nouveau des doigts.



Les gars se retirèrent et le chef, toujours avec une érection colossale, s'approcha de moi :
- Mets-toi à genoux. Tu vas avoir ce que tu veux. Tu l'as bien mérité.
Les cinq autres noirs vinrent m'entourer en masturbant leurs gros engins. Vu la taille de leurs couilles, je me disais que ça allait être une vraie douche !



Je suçais ceux qui me présentaient leur queue. Je masturbais les autres autant que possible. Je caressais les couilles de ceux qui voulaient se masturber eux-mêmes. Je sentais que certains étaient prêts d'atteindre le point de non-retour mais ils se retenaient pourtant, comme s'ils attendaient l'autorisation de leur chef.



Celui-ci, qui se masturbait face à moi, à quelques mètres, émis un grognement :
- Allez-y les gars.
Presque dans la seconde qui suivie, un des gars se mit à gicler. Une partie de son sperme jaillit dans ma bouche béante mais d'autres jets, trop puissants, éclaboussèrent ma poitrine ou s'écrasèrent sur ma cuisse. Un orgasme monta et je me mis à gémir. Je sentais qu'un second était prêt à venir. Attendant les dernières gouttes du premier, je massais les couilles du second pour le stimuler.



La surprise fut de taille car le gars se mit à éjaculer avant que je ne tourne la tête vers lui, m'envoyant sur le front, dans les cheveux et sur la poitrine une incroyable quantité de foutre. Et avant qu'il ne termine, je sentis d'autres jets m'atteindre. Les trois autres gars giclaient en même temps et je sentais le sperme gicler dans mes cheveux, dans mon cou, sur mon visage, sur mes bras et mes cuisses.



Plus qu'une douche, c'était un véritable déluge ! Un puissant orgasme me gagna qui me fit hurler de plaisir. Rudy n'en croyait pas ses yeux et les autres gars non plus. Il faut dire que ce doit être assez exceptionnel de rencontrer une fille qui jouit quand elle reçoit une éjaculation faciale. C'est effectivement mon péché mignon et je dois avouer que j'étais bien servi cette fois-ci. Quand mon orgasme s'effaça et que je pus reprendre mon souffle, je vis que ce n'étais pas terminé. Le chef n'avait pas encore éjaculé. Il semblait avoir attendu que je lève les yeux sur lui. Aussitôt, son sperme se mit à jaillir. Il était pourtant à presque deux mètres de moi mais sa semence m'atteignait assez précisément au visage, sans discontinuer. Je pense qu'il y eu près d'une dizaine de giclée. Je sentais le sperme chaud et gluant couler partout sur mon corps et un terrible orgasme me gagna alors que le chef s'approchait pour que ses derniers jets, moins puissants, m'atteignent avec la même précision que les précédents.



Quand je rouvris les yeux, Rudy se tenait devant moi avec une serviette. Il y avait du sperme plein la moquette et ça empestait à plein nez. Un des gars entreprit d'ouvrir les fenêtres en grand sans se soucier que le voisinage puisse nous voir. Rudy commença à m'essuyer le visage :
- J'espère que vous ne m'en voulez pas...
- Vous plaisantez !? J'ai pris un pied comme jamais ! Mais pourquoi n'avez-vous pas participé ?
- J'ai déjà eu ce que je voulais et cette petite rencontre était ma façon de vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi et également pour m'excuser de ce que je vous ai fait subir. Vous voulez prendre une douche ?
- Oui et après je vais rentrer...
Mais la douche était déjà prise par le chef et d'autres attendaient leur tour. Je laissai donc Rudy essuyer le sperme autant que possible et je remis ma robe pour rentre à la maison et me doucher chez moi. Avec l'odeur que je laissais derrière moi, je ne trainai pas en chemin et rentrai au plus vite. Sitôt ma douche prise, je m'effondrai, nue sur mon lit et, épuisée, m'endormis.


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Mutation - épisode 15


Le lendemain matin, c'est Luc qui me réveilla :
- Sylvie ? Tout va bien ?
- Oui... Pourquoi ?
- On devait se voir à 10h. Il est 11h... J'ai essayé de t'appeler mais ça ne répondait pas... Je me suis inquiété. Je me suis permis de rentrer.
- Tu as bien fait. Dure journée hier...
M'asseyant sur le bord du lit, je racontais ce qui s'était passé la veille avec Rudy et le groupe de noirs.



Luc était horrifié et il semblait ne pas vraiment comprendre que j'avais pris un pied incroyable à subir toutes ces éjaculations faciales. Sitôt mon récit terminé, il me tendit mon téléphone et me dit :
- Appelle ton médecin. Celui qui t'a filé les médocs.
Je composais le numéro et il me reprit le téléphone pour imposer au médecin un rendez-vous immédiat. J'eus à peine le temps d'enfiler un petite robe noire, Luc m'entrainait à sa suite.
Une fois sur place, il exposa ma situation au médecin sans rentrer dans les détails. Celui me sourit :
- Vous avez de la chance, mademoiselle.
- De la chance ?



- Oui. Un collègue américain vient de trouver un médicament qui ferait contre effet à l'alcool. J'en ai reçu hier. Je vous propose de le tester ici même. Jeune homme, acceptez-vous de servir de cobaye ?
Luc accepta aussitôt. Le médecin dit donc :
- Procédons par étapes. Mettez-vous nue, mademoiselle.
Alors que je commençais à retirer ma robe, Luc m'arrêta :
- Qu'est-ce que tu fais ? Tu ne vas pas te mettre à poil devant lui ?



- Bah, il est médecin...
- Et je dois voir si mademoiselle vous fait de l'effet sans la moindre intervention médicamenteuse.
Luc sembla gêné mais se rangea à nos arguments. Je pus donc terminer de retirer ma robe.



Le médecin regarda Luc :
- Bien, mettez-vous nu également pour que l'on puisse observer votre rédaction.
Luc hésita mais, voyant que j'attendais également, il se décida. Son sexe était légèrement gonflé mais encore au repos.



Le médecin sortit de son bureau une petite bouteille qui semblait contenir de l'alcool plutôt fort. Il me la tendit :
- Buvez-en une gorgée.
Je m'exécutais.



Luc hallucina alors de voir son sexe se tendre et prendre des proportions incroyables :
- C'est dingue ! C'est l'alcool qui fait cet effet-là ?
- Oui... Un contre-effet du traitement hormonal pour mes seins...



Le médecin semblait satisfait :
- Parfait. Techniquement, si votre ami éjacule, il débande ?
- Avec une petite gorgée de bière, oui. Mais là, avec ce que je viens d'avaler, ça risque de nécessiter trois ou quatre éjaculations...
- OK, prenez le médicament.
Je pris le petit comprimé et l'avalai. Aucun résultat ne fut observable sur le sexe de Luc :
- Il faut combien de temps pour que ça fasse effet ?
- C'est censé être immédiat mais il faut peut-être simplement assouvir le besoin initial.
- Pardon ?
- Faites-le éjaculer. Nous verrons ensuite si le médicament a fait effet.
Sans discuter, je me mis à genoux devant Luc pour le prendre en bouche et le sucer.



Le médecin observait avec attention. Bien sûr, lui aussi devait bander mais, à tout, prendre, j'étais contente que ce soit Luc qui serve de cobaye plutôt que le médecin lui-même. Pourtant, il fit une demande qui me sembla plus tenir de la perversion que de la curiosité médicale :
- Il serait possible qu'il n'éjacule pas dans votre bouche afin que je me rende compte de la quantité de sperme produite ?
Il demandait cela très sérieusement mais je me doutais que c'était surtout que cela l'excitait.



Je repris donc ma fellation jusqu'à ce que Luc soit au bord de l'éjaculation. Le médecin lui-même s'en rendit compte :
- Attention, je crois qu'il va jouir...
Je retirai le sexe de ma bouche juste à temps. Je dirigeai volontairement les jets sur mes seins pour éviter d'avoir un orgasme devant le médecin.



Dès qu'il eut fini de jouir, Luc commença à débander. Consciencieuse, je le suçais encore un peu pour le nettoyer. Je me tournai alors vers le médecin :
- Alors ? Ça semble fonctionner, non ?
- Oui ! Vous allez désormais pouvoir profiter sereinement de vos seins et de l'alcool.
- Excellente nouvelle.



Je repartis avec deux boîtes et l'adresse d'un site web américain où il me serait possible d'en commander d'autres.

Ma vie fut ainsi plus simple. Il me suffisait de prendre un comprimé juste avant de consommer de l'alcool pour que cela ne fasse pas bander les hommes présents. Bien sûr, je m'amusais souvent à oublier de prendre le comprimé quand je désirais justement avoir cet effet-là, en particulier quand j'étais avec Luc.

Un soir, en rentrant du travail, j'avais très envie de lui. Je décidai donc de prendre un peu d'alcool, sans comprimé, et d'aller lui faire la surprise chez lui. Très excitée, je pris même le risque de traversée nue le pallier pour me glisser discrètement chez lui. J'ouvris la porte du salon en grand et fis une entrée fracassante :
- Si tu veux savoir pourquoi tu bandes, la réponse est devant toi !



Je me rendis compte trop tard de mon erreur. Luc n'était pas seul et son frère était avec lui. Luc rigolait :
- Je crois que tu as oublié de prendre le comprimé...
- En fait, je dois en recommander... Je ne pensais pas que Samuel serait là...



Samuel n'en croyait pas ses yeux :
- Mais c'est du délire ! Je bandais avant même de l'avoir vue !
Luc rigolait encore :
- C'est le magnétisme de Sylvie. Tu ne peux rien y faire.
Luc retira sa chemise et baissa son pantalon, exhibant son sexe tendu sans la moindre pudeur devant son frère :
- Petit frère, fait comme moi car tu n'auras pas de repos tant qu'elle ne se sera pas occupé de nous...



Samuel hésita mais voyant que je ne semblais pas m'opposer à cette idée, il commença à retirer ses vêtements, exhibant à son tour son érection.
- Bon, les garçons, j'ai fait une erreur, je vais la réparer. Mais on est bien d'accord qu'il ne s'agit pas d'une partouze. Je vous soulage et on ne parle plus de cette histoire, ok ?
Tous les deux hochaient la tête pour acquiescer. Je m'approchai d'eux pour saisir leurs sexes.



Luc se pencha sur moi et empoigna un sein :
- On a quand même le droit de te caresser et de profiter de la situation ?
- Evidemment...
Il se mit à me sucer le mamelon.



Je masturbais tranquillement Samuel pendant ce temps. Celui-ci finit par bégayer :
- Moi... moi aussi ? Je peux ?
C'est Luc qui lui répondit :
- Bien sûr !
Il tendit aussitôt la main pour me caresser l'autre sein.



Après une petite minute de branlette, je me relevai :
- Les garçons, si ça ne vous gêne pas, j'aimerai bien ne pas juste vous masturber mais que vous me fassiez l'amour, histoire que j'en profite un peu aussi.
- Excellente idée ! Samuel, vas-y. Vous aurez le plaisir de la découverte tous les deux.
Je ne reconnaissais pas vraiment le voisin timide que je connaissais mais cela m'allait parfaitement. Je me mis à quatre pattes, en position pour que Samuel me prenne en levrette.



Il attendait quelques secondes avant de réagir, sans doute pour profiter du spectacle, plus que par timidité. Il finit par me rejoindre et guida son sexe dans ma moule en feu. Je mouillais tellement qu'il me pénétra jusqu'à la garde d'une seule traite. Luc avait raison, c'était un délice de découvrir une nouvelle bite me pénétrer et il semblait que Samuel était lui aussi très satisfait de sa position.



Luc me demanda :
- Alors Sylvie ? Il baise bien mon petit frère ?
- Oui... Mais au lieu de rester à loucher sur mes nichons qui ballotent, tu serais mieux avisé de venir te faire sucer !



- A tes ordres !
Luc vint s'asseoir juste devant moi et je n'eus qu'à baisser la tête pour engouffre sa queue dans ma bouche et le sucer. Samuel ne semblait pas vouloir précipiter les choses et prenait son temps, ce qui m'allait parfaitement car je n'avais pas vraiment envie qu'il jouisse en moi.



Luc se mit à gémir et je dus arrêter de le sucer et me contenter de lui lécher le gland pour ne pas déclencher son orgasme. Samuel ne bougeait presque pas derrière moi mais il passa sa main sous mon ventre et ses doigts atteignirent rapidement mon clitoris tout tendu. Il se mit à le caresser très vite et je fus prise par un petit orgasme qui me fit chavirer sur le côté. Cela ne déstabilisa pas Samuel qui resta fiché en moi et continua à me doigter le clitoris jusqu'à ce que mon orgasme se calme.



Luc proposa que l'on échange :
- Samuel, tu devrais goûter à sa bouche, c'est divin !
Je n'en revenais toujours pas que Luc me livre ainsi à son frère. Cela tenait sans doute de la relation qu'il entretenait avec lui mais aussi au fait que je n'avais pas vraiment montrer beaucoup de pudeur avec lui depuis le début de cette histoire. Je me tournais donc pour sucer Samuel. Luc en profita pour me fourrer deux doigts dans ma moule dégoulinante de mouille et, se penchant sur moi, il me suça l'anus.



C'était absolument divin et mes gémissements l'encouragèrent à aller plus loin. Quand il retira ses doigts, ce ne fut pas pour me prendre en levrette mais bien, comme je m'y attendais, pour appuyer son sexe turgescent contre mon petit trou. Lentement, il s'y enfonça, millimètre par millimètre, m'arrachant des gémissements de plaisir. Quand il fut bien au fond, il commença à bouger doucement et je pus reprendre la fellation de Samuel.



Quand il commença à accélérer, j'interrompis ma fellation pour le mettre en garde :
- Doucement ou tu as tout balancer dans mon cul !
- Ne t'inquiète pas, je sais ce que tu veux...
Il accéléra alors son pistonnage, me plaquant contre Samuel, comme s'il comptait terminer ainsi.



Mais, comme annoncé, il se retira soudain et me fit mettre à genoux. Il fit signe à Samuel de se lever :
- Debout !
Je ne m'y attendais pas mais Samuel était au bord de l'éjaculation et, à peine était-il debout qu'il me gratifia d'une giclé de sperme qui m'atteignit heureusement au visage. Je sentis le plaisir monter. Je saisis son sexe pour guider les jets suivants.



Manquant de puissance, beaucoup s'écrasèrent sur mes seins. Luc se mit alors à éjaculer à son tour et visa avec bonheur ma bouche et mes joues. L'orgasme arriva alors. Le visage couvert de sperme, je me mis à gémir de plaisir alors que mon corps était couvert des spasmes du plaisir, ce qui semblait surprendre Samuel au plus haut point.



Quand il eut repris son souffle, Samuel bégaya :
- Tu... tu as eu un orgasme ?
- Oui... je ne sais pas d'où ça vient, mais j'adore les éjaculations faciales...
Luc me tendit une serviette pour que je m'essuie les seins et le visage. Quand j'eus terminé, je regardai les garçons et me dis que j'avais sans doute trop forcé sur l'alcool :
- Merde...



Samuel avait commencé à remettre son pantalon et Luc l'avait imité. Mais ils bandaient tous les deux encore très fort et il leur était techniquement impossible de remettre leurs vêtements. Samuel restait incrédule :
- Putain, qu'est-ce qui m'arrive ?
- C'est rien petit frère, je crois qu'on va encore avoir besoin tous les deux de l'aide de Sylvie.



C'était de ma faute et j'avoue que ça me plaisait assez de remettre ça :
- Ok, je vais vous arranger ça.
Samuel vint me caresser les seins et j'en profitai pour le masturber à nouveau. Luc ne se gêna pas et vint me fourrer son sexe dans la bouche pour que je le suce.



Samuel abandonna ma poitrine et se redressa aussi, désirant de toute évidence que je le suce aussi :
- C'est ma bouche que vous préférez, les garçons ?
- Ta bouche, c'est du velours...
Je pris alors la queue de Samuel pour la sucer, tout en lui massant les testicules.



Quand je me retournai vers Luc, il me demanda :
- Tu peux me masser les couilles, à moi aussi ?
- Bien sûr !
Tout en le regardant, je le masturbais d'une main tandis que la seconde caressait ses testicules.



Je souriais en regardant son visage se tordre de plaisir et ne vis pas arriver la première salve. Un puissant jet jaillit et me couvrit de la poitrine au visage. Les suivants s'écrasèrent plus timidement sur mon menton. J'étais à deux doigts de l'orgasme quand je me tournais vers Samuel pour le sucer.



Lui aussi me surprit. Son sperme se mit à gicler et m'inonda de plusieurs jets directement au visage. Il lui restait encore beaucoup de ressources. C'est au troisième jets que je sentis l'orgasme monter à nouveau. Samuel se donnait la peine de bien diriger tous ses jets sur mon visage. Quand je repris mes esprits, Luc le souriait :
- Il t'a gâtée, mon petit frère, hein ?
J'avais du sperme plein sur le bas du visage et je ne pouvais lui répondre.



Mais les deux garçons voyaient bien que j'avais pris mon pied. Presque avec regret, je vis que les sexes des deux hommes débandaient. J'avais du sperme plein le visage et les seins mais je n'aurais quand même pas craché sur une troisième tournée histoire de vraiment en profiter. Tout en essuyant un peu le sperme qui me coulait dans les yeux, je me dis qu'il serait toujours temps d'oublier le comprimé d'antidote quand Samuel viendra rendre visite à son frère.



Je m'éclipsais dans la salle de bain sous les regards amoureux des deux frères. L'eau chaude nettoya rapidement la semence épaisse de mes amants. J'avais l'impression que la faire disparaître était comme tourner la page, mais j'envisageai aussi que c'était l'occasion de recommencer.



Quand je sortis de la douche pour prendre une serviette, Luc entra :
- Samuel est reparti.
- Il va bien ? Je ne l'ai pas traumatisé ?



- Au contraire ! Et j'ai dans l'idée que je vais le voir beaucoup plus souvent, désormais.
Après m'être séchée, j'emmenai Luc dans sa chambre et je m'allongeai sur lit, cuisses relevées :
- Tu te sens capable de me faire l'amour ?
Il bandait fort et me demanda :
- Tu as pris de l'alcool ?
- Non, c'est sans artifice...



- Alors, tu vas avoir ce que tu préfères, sans artifice...
Restant à un mètre de moi, il se mit à se masturber en me regardant. Je me demandais ce qu'il attendait :
- Tu ne veux pas que je m'occupe de toi ?
- Non, regarde-moi me branler. Et devine ce qui t'attends...
- Tu ne dois plus avoir grand-chose en réserve.
- Tu ne me connais alors pas suffisamment.
Et il me surprit effectivement. Après cinq minutes à se masturber, il finit par s'approcher de moi, tendant sa queue vers mon visage. Et il se mit à jouir. Son sperme gicla en abondance, éclaboussant tout mon visage.



Comme je fermai la bouche pour ne pas avaler, je retenais mon souffle alors que je sentais arriver un nouvel orgasme, très intense. Je rouvris la bouche pour reprendre ma respiration et Luc profita de cet orifice béant pour y envoyer encore une giclée de son sperme épais. L'orgasme était là. Mon corps était secoué de spasmes et Luc semblait ne plus vouloir s'arrêter d'éjaculer.



Quand je repris conscience, la queue de Luc était encore au-dessus de moi, débandée mais encore un peu gonflée. J'avais se semence partout sur mon visage et je n'en revenais pas qu'il puisse avoir éjaculer autant alors même qu'il avait déjà éjaculé deux fois auparavant ! Cela faisait décidément beaucoup d'atouts pour un seul homme.



Luc connaissait maintenant tous mes secrets et j'avais envie de continuer ma vie à ses côtés. Notre amour sut s'accommoder de mes seins, de l'alcool sans trop de modération et parfois de comprimés pour la tranquillité, parfois sans...