Transformation

Transformations 01 - Le commencement (publié par Evevincent le 15-03-2017)
Transformations 02 - Expérimentations (publié par Evevincent le 20-03-2017)
Transformations 03 - Retour au travail (publié par Evevincent le 22-03-2017)
Transformations 04 - D'autres rencontres (publié par Evevincent le 01-04-2017)
Transformations 05 - De retour au travail (publié par Evevincent le 02-04-2017)
Transformations 06 - La guérison de Morgane (publié par Evevincent le 08-04-2017)
Transformations 07 - Morgane se révèle (publié par Evevincent le 08-04-2017)
Transformations 08 - Morgane retourne au travail (publié par Evevincent le 01-05-2017)
Transformations 09 - le cercle s'agrandit (publié par Evevincent le 25-05-2017)
Transformations 10 : Le secret (publié par Evevincent le 14-06-2017)


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Transformations 01 - Le commencement


Chercheur et enseignant dans une université, j'ai consacré mon année de doctorat à essayer d'ouvrir des voies pour aider celles et ceux dont la libido s'est effacée à retrouver une vie et des désirs sexuels "normaux".
Rien à voir avec le Viagra et autres pilules.
Mon travail est plus en profondeur et cherche à modifier et à libérer certains blocages physiques et psychologiques.

Dernièrement, alors que je suis proche du but et que je n'ai plus qu'à lancer la longue série de tests de validation, je subis de plein fouet la réduction des lignes budgétaires que m'accordent mon université !

Je décidai donc, même si ma libido était ok, d'être mon propre cobaye.

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Je prévins donc mon service, prétextant un état de fatigue généralisé, que je ne serais pas joignable ce week-end.
Il n'y avait quoiqu'il en soit aucun cas urgent ou sensible.




Sachant que je vivais seul, Cindy, une infirmière de mon service, me proposa gentiment de passer chez moi le samedi matin à 9h00 pour vérifier que tout allait bien et pour procéder à quelques examens de routine.
J'acceptai et lui laissai les clés de ma villa.

Je décidai de ne pas attendre et de prendre mon "remède" dès le vendredi soir.
Je m'endormis immédiatement sous l'effet de ces produits que j'avais mis tant de temps à associer de façon très minutieuse.

En me réveillant le lendemain, je sentis en moi une envie de sexe énorme.
C'est à ce moment que j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir.
Comme convenu, Cindy vient vérifier que tout va bien et me poser des questions sur ma santé.
Bref, un examen routinier.

La chaleur en moi descendit en bas et je fus pris d'une terrible érection.
Cindy s'apprêta a faire demi-tour lorsque, sans savoir pourquoi, je lui mis une main aux fesses.



Autant surpris qu'elle, je m'attendais à une claque ou à une autre réaction.
Au lieu de ça, je sentis une petite décharge électrique dans ma main et je vis l'infirmière tressaillir.

Elle me regarda d'un air songeur, puis se pencha vers moi, sa poitrine en face de mon visage :
- Si vous vouliez un moment de sexe, Vincent, il suffisait juste de me le demander...




Je fus abasourdi par ce que j'entendis et mon érection redoubla.
Elle revint vers moi et me roula une pelle sauvage, nos langues se bataillant un chemin, tandis que sa main glissait vers ma verge.
- Je vois que vous avez très envie, dit-elle avec un sourire coquin.




Et là, tout dériva.
Elle fit valser mon drap, se pencha vers mon sexe et commença à le lécher de haut en bas.
J'étais aux anges.
Elle suça le gland en caressant mes couilles.

Savourant cette pipe, je fis glisser ma main vers sont cul, caressai ses douces fesses, et je fis descendre son string pour caresser sa chatte humide.
Elle redressa la tête lorsque j'insérai mes doigts en elle.




Elle me fit un sourire coquin et engloutit ma bite.
Je luis mis mon autre main sur la tète et appuyai, tout en activant mes doigts en elle.
Son sexe se serra, elle fut pris d'un frisson, puis jouit.

Elle se redressa et en déboutonnant sa veste me dit:
- Mon cochon, tu m'as rendu folle, alors en piste...

Ses gros seins à l'air libre, elle se posta au dessus de mon pénis et se l'inséra lentement, en gémissant au passage.
Une fois pénétrée en entier, elle remua un peu le bassin puis commença à monter et à descendre, ses gros seins bougeant en rythme.




J'étais au paradis.
Je lui serrais une fesse, tandis que mon autre main pinçait ses tétons.
Elle remuait super bien son bassin.

Je lui dis :
- Allonge-toi sur le lit, que je te finisse.

Elle obéit avec joie, sortit mon sexe du sien, le lapa avec plaisir puis s'étendit sur le lit, m'offrant son cul tout en caressant sa chatte.
Je n'hésitai pas et pénétrai son anus, lui arrachant un petit cri, puis je m'activai en elle.
Mes coups de bite la secouaient tandis que je serrais fort ses seins et qu'elle se caressait.




Je me sentis sur le point de jouir et, la prévenant, elle prit ma bite entre ses seins.
Tandis qu'elle me branlait avec, j'éjaculai une bonne dose de sperme sur elle, recouvrant son visage et ses gros seins.




Nous nous allongeâmes l'un sur l'autre pour nous reposer, tandis que dans ma tête se posait une question :
- Comment ai-je pu baiser une si belle infirmière avec qui, jusqu'alors, je n'avais que des relations strictement professionnelles ?




C'était le début de la prise de conscience de ma transformation...

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Cindy me laissa avec regrets pour rejoindre son petit ami qui lui avait déjà laissé plusieurs messages sur son portable.
J'avais la tête pleine de fantasmes et de questions.

Avais-je un don?
Celui de rendre une femme nymphomane ?
Il me fallait tester et, pour cela, je me devais de prendre pour "cobaye" une femme que je connaissais bien et avec qui mes chances de coucher étaient nulles.

Cette occasion se présenta en la personne d'Anne.
C'était une bonne amie de fac qui était depuis longtemps un de mes fantasme.




Elle était venue me rendre visite le samedi après-midi, après le départ de Cindy, pour savoir comment j'allais.
Nous nous sommes installés dans mon petit salon et avons bien papoté.
Pas de remarques salace, pas de proposition ou de provocation.
Rien de sexuel.

C'est là que je sentis en moi la chaleur de l'excitation et je me devais de trouver un moyen de la libérer.
Je renversai négligemment un verre d'eau sur elle.
Elle se leva d'un bond et, discrètement, je frôlai son corps.
Mais rien ne se passa.



Je pris un second risque et frôlai ses fesses.
Là, la décharge électrique se déclencha.
Nous sursautâmes en même temps.
- Me voila toute mouillée, se mit a geindre Anne...

Pour la taquiner, je lui répondis :
- Tu n'as qu'à tout enlever pour faire sécher.




Elle me glissa un regard en coin et, sous mes yeux ébahis, retira ses affaires, révélant un corps de rêve, des seins agréables, un sexe épilé avec un petit ticket de métro.
Il ne m'en fallu pas plus pour bander.




Anne me glissa que, si elle devait rester nue, autant partager cette condition.
Je me mis nu également, mon sexe fièrement dressé devant elle.

Elle se mit a rire de gêne puis s'avança vers moi, nos lèvres à quelques millimètres l'une de l'autre, puis, d'un coup, se pencha pour sucer mon sexe avec ardeur.

C'était trop bon, elle aspirait littéralement mon sexe, comme si elle voulait drainer mon sperme.
Je jouais machinalement avec ses seins qui se balançaient mais j'étais tout concentré sur cette fellation.

J'appuyai sur sa tête pour enfoncer mon sexe loin et un frisson me parcouru, je jouis tout dans sa gorge, l'étouffant a moitié.




Elle déglutit pour bien avaler et me dit d'un air coquin :
- C'était bon, mais tu vas être tout mou, maintenant !

Je la poussai alors sur une chaise, lui écartai les jambes et fis courir ma langue sur son sexe.
J'aimais les préliminaires et je ne m'en lassais pas.
J'introduisis mes doigts tout en léchant son petit bouton, et elle ne se retenait pas de gémir, sa main agrippant mes cheveux.




Je sentis ma verge durcie à nouveau et, sans prévenir, je plaçai mon gland devant son trou et enfonçai ma hampe d'un coup, ce qui la fît râler de plaisir.
- Vas-y, lâche-toi, vas-y vite et fort, me cria-t-elle

Alors je la besognai, la pénétrant avec ardeur, sans faux romantisme, agrippant sa belle poitrine tandis qu'elle poussait son bassin pour m'accueillir en elle.
En pleine action, son portable se mit a sonner.




Je pensais qu'elle allait l'ignorer, mais elle décrocha tandis que je continuais à la pénétrer.
- Alors Maryline ? Oui, je suis chez Vincent, tu me rejoins ? Entre sans frapper, on t'attend.

Je fus stupéfait !
Une autre fille allait venir alors que je baisais déjà Anne.
Une idée me vint et je l'expliquai à Anne, qui acquiesça tout en me demandant de la prendre encore plus fort.




10 minutes plus tard, je vis Maryline arriver par la fenêtre et je me dissimulai derrière la porte.
Anne était restée dans le salon.
Quand Maryline entra, je lui plaquai les mains aux fesses.


La décharge électrique la fit sursauter, autant que lorsqu'elle me vit nu, la verge dure, et Anne débouler, nue également.
- Vous faites du naturisme? Demanda-t-elle. Si vous baisiez, vous auriez dû me le dire !




Sous l'agréable surprise de sa phrase, Anne s'approcha d'elle et l'embrassa, tout en la déshabillant.




La situation s'était nettement améliorée.
J'étais dans le salon, avec deux femmes qui n'avaient qu'une envie : faire l'amour.

Ma transformation m'avait donné un don qui était une réelle bénédiction !




Anne tenait la tête de Maryline entre ses mains et lui roulait une pelle tout en la caressant.

Et moi, la queue fièrement dressée, je faisais glisser ma main sur leurs corps, passant les courbes de la belle poitrine d'Anne, caressant l'adorable fessier de Maryline, lui pinçant un téton, caressant le bouton d'Anne.
La main de Maryline se glissa sur mon sexe et elle fit de doux vas et viens agréables.




Ma main sur ses fesses, je glissai mes doigts entre elles, et frôlai l'anus de Maryline.
Un autre frisson la parcourut.

Je frôlai son anus sans y entrer, la faisant frissonner de plaisir, elle s'en mordillait la lèvre...

Pris d'une soudaine envie, je lui enfonçai un doigt dans son cul, ce qui la fit sursauter.
- Je suis vierge de ce côté là, s'excusa-t-elle.

Je me plaçai derrière Maryline et mon gland devant son cul, je poussai lentement en elle.

Je fis doucement des vas et viens en elle, tandis qu'elle reprenait son souffle.
Je sentais a quel point c'était serré a l'intérieur j'étais littéralement aux anges.

Maryline hurla littéralement tandis que je lui baisais le cul.
Les yeux révulsés, elle se mit à en demander encore plus.
Au final, elle hurla un bon coup et je sentis son anus se contracter.

Elle venait d'avoir son premier orgasme de cette façon.




À peine remise de son orgasme, elle me sussura d'une voix encore chaude et sensuelle :
- Mets-la moi dans la chatte, je veux la sentir aussi de ce côté...

J'obtempérai et, alors que je la baisais, elle s'inclina vers la chatte offerte d'Anne pour lui prodiguer un magistral cunnilingus.
Anne, excitée comme jamais, réclama en haletant :
- Oh ouiiiii, Maryline ! J'adore ta langue ! Elle me... rend folle...! Laisse-moi profiter aussi de la queue de Vincent !




J'étais tellement excité que je m'allongeai derrière Anne et la pénétrai sauvagement mais sans difficulté tant elle était mouillée par l'excitation.
En l'empalant sur mon sexe dressé, je lui arrachai des cris de plaisir.

Derrière moi, Maryline s'agitait mais je ne voyais pas en quoi.
Je fus surpris de la voir apparaître avec un gode.
Mise en appétit par ma bite, elle avait besoin de quelque chose de dur dans son sexe.
Elle l'utilisa d'abord pour se caresser la chatte tandis qu'elle titillait de l'autre main le clitoris d'Anne, érigé par la pénétration de ma queue.




L'une, pénétrée par ma bite, et l'autre, pénétrée par son gode, jouirent en même temps dans des cris et spasmes de plaisirs intenses.




Je me redressai, la bite raide, et la présentai aux filles.
Elles se redressèrent et je sentis leurs langues et leurs lèvres sur ma verge.
C'était si bon...

Je jouis, les arrosant de mon foutre qu'elles avalèrent à moitié.
Le reste glissa sur leurs corps.
Elles prirent plaisir à se lécher mutuellement pour en boire chaque goutte.




Épuisées, elles s'allongèrent côte à côte et s'endormirent.

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L'eau coulait sur mon corps, tandis que je réfléchissais à ce qu'il venait de se passer.
J'ai carrément baisé (plus que faire l'amour car, ici, il n'y avait eu que du sexe au programme) deux amies que je connaissais depuis quelques années.




Comment réagiront mes deux amies en se rendant compte de ce qu'on a fait ?
Il fallait que je fasse attention à ce pouvoir, pour ne pas perdre toutes mes amies juste pour un plan sexe...
Le monde regorge de jeunes filles inconnues.

Après cette bonne douche, je descendis voir si elles s'étaient réveillées.
Je ne vis aucune trace d'elles et, un peu déçu, je retournai dans ma cuisine.




Avec surprise, je découvris Anne, toujours nue, en train de grignoter des biscuits.
- Maryline est déjà partie, toute gênée, car elle devait rejoindre son copain, m'expliqua-t-elle.
- Et toi, tu ne t'es pas enfuie ?
- Pourquoi m'en irais-je ? J'ai pris un pied d'enfer tout a l'heure, maintenant j'ai faim.

Je fus abasourdi.
- Ça ne t'a pas dérangée un plan à trois avec Maryline et moi ?
- C'est vrai que j'ai été surprise que ça ait dégénéré, mais bon, c'est fait, alors autant en garder de bons souvenirs. Et toi, tu fais super bien l'amour. Je peux emprunter ta douche?




Un peu surpris par cet aveu, je lui indiquai le chemin d'un air absent.
En passant, elle glissa sa main sur mon sexe et me murmura à l'oreille :
- Je laisse la porte ouverte, puisqu'il n'y a que nous deux.




Je mis quelques secondes a comprendre et je courus la rejoindre sous la douche, où nous fîmes à nouveau l'amour.




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Transformations 02 - Expérimentations


Me voila dans mon salon, rêveur.
Anne était partie depuis 30 minutes, me laissant à mes pensées.
Elle avait spécifié qu'on ne formerait pas un couple mais des sexfriends.

Je fus pris d'une envie de sortir, de prendre l'air, pour penser tranquillement.
Je pris mes affaires de tennis et me rendit à mon club habituel avec l'idée de taper quelques balles.

Deux jeunes femmes retinrent mon attention.
Elles réalisaient des étirements avant de se lancer dans un entraînement amical.




Une idée me traversa l'esprit, osée mais excitante.
La chaleur envahit mon entrejambe et je rejoignis ces deux femmes pour leur demander si je pouvais me joindre à leur entraînement.
Elles s'appelaient Christine et Myriam.

Elles acceptèrent et je pus ainsi facilement leur toucher les fesses de façon innocente.



L'effet fut saisissant, Christine se tourna vers Myriam;
- Oh chérie, j'ai chaud ! Embrasse-moi s'il te plaît !

Sa main se glissa sans pudeur sur le renflement de mon entrejambe tandis que Myriam lui répondait :
- C'est vrai, tes seins sont brûlants ! Moi aussi, j'ai très chaud !

Je durcis vite et agrippai le cul de Christine pour le serrer fort.




Elle déboutonna mon short et sortit ma queue, qu'elle lécha avec gourmandise.
J'étais aux anges.

Pendant ce temps, Myriam léchait délicatement les seins de Christine tout en caressant sa chatte en feu au travers de son string.




Je retournai Christine, glissant ma verge, humide de sa salive, sous sa jupe.
Elle s'était rapidement débarrassée de son string pour avoir un accès direct à son intimité.

Myriam retira précipitamment tous ses vêtements et se coucha devant son amie, lui offrant son sexe à lécher.
Il était trempé d'excitation.
- Comme tu as bon goût ! J'adore te lécher, Myriam !
- Alors ne t'en prive pas ! Il y a si longtemps que j'ai envie que tu te décides à le faire... oh ouiiiiii c'est booonnn !




Je mis mon gland devant le trou de Christine et l'enfonçai doucement.
Elle gémit de plaisir.
J'entrai entièrement en elle.

Je me mis à la besogner.
Elle hurlait et arquait son corps tant le plaisir était intense.
Elle ne mit pas longtemps à serrer son sexe sur ma bite et je la sentis jouir.




Je sortis mon sexe et fis face a Myriam qui s'était rapprochée pour profiter de la vue de ma bite faisant jouir son amie.

Je l'allongeai sur le sol et pénétrai un doigts dans sa chatte.
Elle gémit aussitôt.
Elle mouillait abondamment.
Je pris ma verge, m'allongeai sur elle et m'enfonçai dans son sexe.

Je partis en force, la prenant comme son amie, mes couilles battant contre ses cuisses.
Myriam criait de plaisir tandis qu'elle léchait avidement la chatte de son amie qui était venue s'asseoir sur son visage.

Elle jouit aussi vite que Christine.




Je continuai jusqu'à sentir la sauce monter.
Je sortis de la chatte de Christine et leur présentai mon sexe suintant de désir.
J'éjaculai sur elles, les inondant d'abondants jets de sperme qu'elles partagèrent avidement.




Je leur proposai alors de m'accompagner pour prendre du plaisir chez moi.
Elle se consultèrent et acceptèrent rapidement avec des sourires très coquins.




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Nous marchions tous les trois côte à côte.
Les deux jeunes femmes profitaient de toutes les occasions pour se serrer contre moi, provoquant chez moi une érection presque douloureuse.
Je me retenais de courir chez moi avec ces jeunes femmes.

Bien m'en pris car, près de chez moi, nous croisâmes une autres très belle jeune femme qui marchait très lentement.




Je ralentis mon rythme et, pris d'un idée subite, je fis signe à mes deux compagnes de ralentir.
Sous leurs regards étonnés, je me glissai derrière cette femme pour l'envoûter.



Action réussie, elle se retourna, me regarda de haut en bas et on engagea la conversation.

Elles s'appelait Chloé.
Je lui proposai, par ce beau temps, de venir boire un verre chez moi, avec mes deux "amies".
Elle approuva avec le sourire, même si je remarquais une lueur de luxure dans son regard.
La journée promettait d'être...!!!




Nous arrivâmes tous les quatre chez moi, et je peux dire que j'étais excité comme jamais.
Est-ce que je serais capable de tenir avec trois femmes ?
Je ne sais pas, mais quitte a faire le fou, autant voir grand.

Je leurs dis de s'installer confortablement, le temps d'aller chercher à boire.
Je pris le temps de choisir les boissons et entendis de drôles de bruits, des rires nerveux et des exclamations.
Je revins voir ce qu'il se passait et j'en tombai des nues.

Je découvris 3 femmes presque nues dans mon salon, toutes jolies, en train de se chauffer mutuellement et ne demandant que moi.




Voila comment je me retrouvai avec mon pénis au stade maximum.
- Waouh les filles vous êtes canon ! m'exclamai-je.

Totalement nu, la verge gonflée a bloc, entouré de trois filles nues, j'étais au paradis.
La main de Chloé se plaça sur ma verge et elle commença a secouer mon sexe avec de doux vas et viens.
C'était divin et j'en profitai bien.




Je fis signe aux filles de se relever.
- On va faire un petit jeu les filles, mettez vous en ligne à genoux...

Elles se mirent en ligne, nues.
Je me plaçai devant la première, Christine, et je tendis mon sexe devant son visage.

Elle comprit ma demande, ouvrit la bouche et avala ma verge.
Elle fit des vas et viens, sortit ma verge et lécha ma bite des couilles jusqu'au gland.
Puis je glissai mon sexe jusqu'au fond de sa gorge et donnai de petits coups de bassin pour aller de plus en plus fort, ce qui la secoua.




A bout de souffle, elle repoussa mon sexe et je passai à la suivante, Chloé.

Elle rigola et secoua ma bite avec de vigoureux vas et viens tout en léchant mon gland, me provoquant des frissons de plaisir.
Elle savait y faire et elle avalait ma bite avec plaisir.




Du coin de l'œil, je vis que Christine regardait la scène, la main entre les jambes.




Je stoppai cette fellation avant de jouir et me dirigeai vers la troisième, Myriam.
Elle ouvrit la bouche, me faisant signe de venir moi même.
Immédiatement, ma queue pénétra sa bouche, s'enfonçant sur toute sa longueur, l'étouffant à moitié.




Je leur fis signe de se regrouper et éjaculai toute ma semence sur leurs minois,
Chloé ouvrit la bouche pour accueillir le jus et Myriam l'imita.




Je m'affalai sur un fauteuil.
Elles se relevèrent et s'installèrent dans les autres fauteuils.
Elles prirent des mouchoirs pour se nettoyer le visage et nous discutâmes naturellement.

Chloé, qui semblait être la plus salope, se pencha en arrière et écarta les jambes, affichant son sexe trempé, qu'elle caressait avec plaisir.




Chacune des filles fit pareil et je ne mis pas longtemps à oublier la conversation et à durcir.




Nous nous masturbâmes ensemble, les filles allant jusqu'à s'introduire des doigts, tandis que j'y allais doucement pour profiter de la vue.




Chacune haletait de plaisir, notamment Christine qui en venait à gémir de plus en plus fort.




Chloé n'y allait pas de main morte, elle remuait et gigotait tout en se caressant, puis jouit violemment.




Je leurs demandai de rester jambes écartées et m'approchai de Chloé.
Elle accueillit ma bite en elle avec un râle de plaisir, m'encerclant avec ses jambes, et je la pénétrai.
Encore sensible de son orgasme, elle couinait de plaisir, accompagnant mes coups de reins.
Plus j'y allais fort, plus elle en demandait.
Ses mains griffaient mon dos tandis qu'elle frémissait et je sentis son sexe se serrer sur ma verge, au point qu'elle jouit une nouvelle fois, enfonçant ses ongles dans mes épaules.




Je me retirai d'elle et allai m'introduire en Christine.
J'y allais plus doucement et glissai mon visage dans son cou, lui léchant l'oreille.
Elle saisit mes cheveux, posa ses jambes dans mon dos, et me souffla de la baiser fort.
Je ne me le fis pas répéter et je la pénétrai avec fougue, la faisant rebondir contre le dossier, tandis que je sentais ses mains serrer mes épaules et ses pieds taper mon dos.
Elle me serra fort contre elle au moment ou elle jouit, passant à deux doigts de me faire jouir.




Je sortis d'elle et, sans manière, je pénétrai avec fougue Myriam qui hurla comme une folle sous mes assauts, me tapant le dos et les fesses tandis que j'entrais profondément en elle.
Elle fut parcourue d'un grand soubresaut et elle suivit le même parcours que les deux autres; un orgasme terrible et fulgurant.




Chloé se releva, et alla à son sac, en sortant un gode et du gel.
- Si on jouait a un jeu plus... anal ? dit-elle avec un sourire coquin.

Avant de commencer, je leur demandai de respirer un peu, et donc nous nous posâmes dans les fauteuils.
Christine glissait déjà sa main sur son sexe, le frôlant plus que le masturbant, mais c'était déjà très érotique.




Chloé : Si on jouait alors?
Christine : À quoi?
Chloé : Vincent, tu restes où tu es et moi, je vais m'occuper de votre petit anus. Après, Vincent, tu pourras t'installer en chacune d'elles.

L'idée me plaisait, enculer trois salopes, me vider au fond d'elles...

Chloé commença par Christine.

Elle passa la langue sur sa rondelle, ce qui la fit couiner.
Chloé glissa deux doigts dans sa chatte trempée, puis les passa sur son trou pour bien l'humidifier.
Elle enfonça les doigts.
Christine se crispa et avança son fessier.

La salope prit le tube de gel, recouvra la zone, ce qui fit frissonner Christine, et suça le gode, me regardant pour me narguer.
Elle introduisit le gland du gode puis, petit a petit, l'enfonça plus profondément, faisant haleter Christine.

Christine : oh putain, vas-y plus profond, oh oui c'est...oh oui...aaaaaaaaaaaaaaaaah
Elle lâcha un grand râle, son corps parcouru de soubresauts.




Chloé retira le gode et passa à Myriam.
Elle lui lécha le cul longuement et Myriam couina comme une chienne.
Elle redoubla lorsque le gel lui recouvrit l'anus et serra fort les dents tandis que Chloé lui enfonçait le gode, élargissant son trou.
Plus elle l'enfonçait, plus elle criait et plus j'avais envie de la prendre par le même trou.

Myriam glissa un mot a l'oreille de Chloé, qui sourit avec un air coquin.
Elle replaça le gode devant son anus et enfonça le sextoy d'un coup.
Elle hurla, s'écroula le cul en l'air et tourna de l'oeil.
Elle me fit sursauter.
Chloé ne s'arrêta pas la et secoua le gode en elle pour la faire couiner encore.
Je sentais qu'elle crierait de la même manière quand je l'enculerais.




J'étais si dur que, si j'en venais a me caresser, je jouirais tout de suite.

Chloé : et voila, maintenant passons a l'étape deux.

Elle se releva, je fis de même mais elle me repoussa dans le fauteuil, m'enjamba et me roula une pelle.
Sa langue avait divers goûts.

Elle se releva et se posa sur ma verge, l'enfonçant dans son cul.
C'était si bon, si serré, et elle gémissait tandis que je distendais son intérieur.
Lorsque ses fesses heurtèrent mes couilles, elle se pencha vers moi, son souffle dans mon cou, elle remua ses hanches, me procurant un plaisir monstre, tandis qu'elle haletait.




Je plaquai mes mains sur ses seins, lui pinçant les tétons par la même occasion.
Elle accentua ses coups de bassin, de plus en plus fort, au point qu'elle me fit jouir dans son cul.
Je la serrais fort pour me permettre de me libérer au fond d'elle.
Chloé resta ainsi quelques minutes, prit une profonde inspiration et se libéra.




Je fis signe à Christine de venir, elle s'approcha, un peu mal a l'aise à cause de la sodomie par gode, et se pencha sur mon sexe, elle le lécha méticuleusement, suça le gland et le fit durcir à nouveau.

Elle se redressa et tenta de se positionner comme Chloé, mais mon sexe était trop gros pour son cul.
Je la fis se mettre à quatre pattes et me présentai à l'entrée de son anus.
J'enfonçai d'abord mon gland avec difficultés, et le reste suivit, arrachant des cris a la jeune femme.
Nous restâmes immobiles quelques secondes puis j'entamai de profonds vas et viens.
Christine se crispait sous mes assauts.

Christine : vas plus vite, baise-moi fort !




J'accélérai mes coups, et elle hurlait de plaisir.
Moi, je prenais un pied d'enfer.

Je me penchai tout en l'enculant et pris un sein entre mes mains pour le serrer.
Je glissai mon autre main entre ses cuisses, caressant son bouton du bout du majeur.
Elle gueula plus fort et je sentis un jet de mouille s'écouler sur le sol tandis qu'elle expirait un cri d'orgasme.
Je sortis d'elle et elle s'écroula au sol, ses cuisses arrosées de cyprine, le souffle court et le cul en feu.




Myriam se caressait la chatte et les seins en me matant baiser les filles.
Je repris position dans le fauteuil, l'invitant a venir s'empaler.

Elle m'enjamba, se plaça face à moi et introduisit mon sexe dans son cul, grimaçant pendant que toute ma verge entrait en elle.




Et elle partit au galop, montant et descendant sur ma bite, mes mains plaquées sur ses fesses.
Elle agrippa ma tête et la plaqua entre ses deux seins, m'étouffant à moitié.
J'étais en pleine jouissance.

Myriam : Oh oui j'aime, ça me défonce le cul, je la sens en moi ta grosse bite, c'est troooooooooooooooooooooop bon !

J'accompagnais ses chevauchées et, au moment où elle allait jouir, je lui donnai un dernier coup sec qui nous fit jouir en même temps.




Je remplis son cul de sperme comme avec son amie.
Je retirai vite ma bite de son cul, allongeai Myriam sur le sol et glissai mon sexe encore gonflé entre ses seins, pour finir en branlette espagnole.
Je finis de la recouvrir, elle et ses gros seins, de ma semence.




Nous nous écroulâmes tous.
J'avais la bite en feu, mais j'étais aux anges.

J'admirais chacune de ces filles, Myriam, le visage recouvert de sperme, Chloé à côté d'elle, léchant le sperme sur son visage, Christine, appuyée contre le mur, en train de dormir, les cuisses brillantes de cyprine.




Avant de piquer un somme, je les recouvris avec des couvertures, non sans avoir pris quantité de photos en souvenir.
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Transformations 03 - Retour au travail


J'ouvris un oeil en resserrant la couverture contre moi.
Je devais m'être reposé plusieurs heures, car le soleil était en train de se coucher à mon réveil.
La maison baignait dans un énorme silence.
Les filles étaient parties en catimini, laissant les couvertures au sol.

Le souvenir de cet après-midi me resterait en tête.




En me levant, je remarquai un papier sur la table avec le nom de Chloé.
Je le dépliai et vis un numéro de téléphone, avec écrit en dessous : Appelle-moi, coquin... bisous
Je me rassis en regardant la feuille, un sourire aux lèvres, puis l'appelai.
Après quelques minutes, on conclut de se revoir pour plusieurs parties de jambes en l'air, mais pas de couple.
Juste du sexe.

Avec Anne, c'était la deuxième qui voulait revenir sans que j'use de mon don.
Je raccrochai, rêveur.
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Le lendemain, j'avais un travail à faire pour les cours.
Donc direction la bibliothèque de l'université.
A mon arrivée, je m'installai à une table et me mis au travail.

Deux heures plus tard, concentré dans la conclusion, je sentis une main sur mes épaules.
Je me retournai et fis face à Laury.
Laury était une ancienne camarade.
Je la connaissais coquine de nature, en plus d'être libertine (elle et son copain vivaient éloignés à cause du travail, donc ils avaient conclu un accord tacite).




Elle s'installa a coté de moi, et on bavarda, ce qui me fit faire une bonne pause.
Je ne pouvais détacher mes yeux de son corps et l'envie me tarauda à tel point que je fus surpris qu'elle n'aperçoive pas mon érection.

Je me levai pour aller chercher un livre au bout de la bibliothèque, l'incitant à se lever aussi pour poursuivre la conversation.
Lorsque nous fûmes hors de vue, je la laissai me passer devant pour qu'elle se tienne involontairement entre moi et la bibliothèque et je lui mis ma main aux fesses.



Elle recula son fessier pour le plaquer contre moi.
Invitation reçue...
Sa posture devint plus langoureuse et son regard brillait d'une façon plus que coquine.




Laury me sauta dessus, et m'embrassa fougueusement.
Je déboutonnai son chemisier, libérant ses seins que je m'empressai de sucer.




Je posai ma main sur sa chatte.
Je la caressai doucement, pinçant ses lèvres et son bouton, elle mordillait sa lèvre inférieur.




Elle déboutonna mon pantalon, sortit ma verge, et me poussa d'un coup contre le bureau.
Elle s'agenouilla et me suça avec désir, léchant mes couilles, ma verge, aspirant mon gland.
Je gémissais tant c'était bon, elle levait les yeux, me jetant un regard des plus coquins, tout en se caressant le sexe.




Nous fûmes interrompus pas du bruit dans la bibliothèque, on attendit de voir si une personne arrivait, mais elle nous n'entendîmes plus rien.

Laury se releva, s'appuya sur le bureau et introduisit mon sexe en elle.
Je ne fus pas surpris de la facilité avec laquelle son sexe avala le mien, elle avait l'habitude de baiser avec des amants, je ne devais pas être le plus gros sexe qu'elle ait vu, mais je sentais bien la chaleur de son intimité.

J'enfonçai ma bite au fond d'elle.




Au bout d'un moment, je ne pus me retenir et je voulus me retirer pour jouir, mais elle me glissa à l'oreille :
- Remplis-moi, ne t'inquiète pas, mais jouis en moi !

Et je me lâchai, éjectant tout mon désir en elle en un dernier grand coup de bassin.
Nous fumes pris tous les deux de frissons.




C'est à ce moment que je découvris la main d'une personne avec un portable en train de filmer.

Je prévins Laury qui paniqua et se rhabilla en vitesse.
Si le voyeur était une voyeuse, je pourrais en faire mon affaire.
Mais j'en doutais fort.
Un mec nous regardait, l'air sournois.

Il nous montra son téléphone et dit :
- Alors, les obsédés, c'était bon hein?
- Qu'est-ce que tu veux, pervers? demandai-je d'un ton méfiant.
- Ta gueule, la vidéo me plaît, si tu ne veux pas que je la publie, ta salope doit s'occuper de moi.

Je me tournai vers Laury qui avait perdu son air paniqué et réfléchissait à la proposition.
Elle accepta.

Le mec abaissa directement son pantalon et sortit sa queue.
- Suce, salope !




Laury s'abaissa et se mit à lécher la bite, massant les couilles, léchant le gland.
Le voyeur gémissait de plaisir, l'insultant de chienne, de salope, ce qui excitait Laury, sans doute à cause de l'envoûtement.
Moi-même, j'étais excité à nouveau et j'avais envie de chasser le mec pour baiser à nouveau Laury.

Le gars dit à la fille de se relever et de s'appuyer contre le bureau et il se positionna pour l'enfoncer.
Laury se laissa faire, cambra ses hanches pour qu'il s'enfonce d'avantage et il commença à la prendre rapidement, comme un chien.




Je remarquai que, malgré ses coups, Laury ne prenait pas vraiment de plaisir, ce qui montrait bien combien il était un mauvais baiseur.

Elle me jeta un regard en coin et remua les lèvres sans parler :
- J'ai envie de toi.

Rien de mieux pour m'exciter encore.
- Putain tu es bonne sale chienne, une vrai pute, comme je la nique ta gonzesse.

Devant tant de vulgarité, j'eus du mal à ne pas rire de son cliché de voyou.
Il sortit sa queue et alla s'asseoir sur le fauteuil, pour que mon amie le chevauche.




Laury y alla sans conviction, enfonça le sexe en elle et joua des hanches.
Elle gémissait un peu plus car elle prenait le contrôle.
Puis elle se pencha et murmura un truc à l'oreille du gars qui glissa un regard vers moi.
- Allez, je suis gentil, viens enculer ta copine.

J'étais ravi de la proposition, mon sexe se serrant dans mon caleçon.
Je sortis mon sexe, m'accroupis légèrement et enfonçai ma bite dans le cul accueillant de Laury, qui poussa un râle de plaisir.
- Oh oui, c'est nettement mieux, baisez moi comme une chienne !



Je donnai le rythme et partis dans de puissantes et longues pénétrations, secouant les deux autres par leur force.
Le mec gémissait et se retenait de jouir, tandis que Laury y allait en couinant, avec des mots comme : défonce-moi, prends-moi, baise-moi, je ne suis qu'une salope.





Au bout de 10 minutes, les jambes flageolantes, je poussai un dernier coup qui eut pour effet de nous faire jouir tous les trois.
Je m'extirpai de la petite blonde, qui engloutit ma bite pour la nettoyer.




Le mec se releva :
C'était trop bon, on recommencera, mais d'abord, fais comme ta copine, lèche moi la queue.
Je le regardai de travers, m'approchai de lui... et lui chopai les couilles d'une main, les écrasant de force.
Il gémit de douleur et se tordit au sol.
- Maintenant, tu me donnes ton téléphone et tu disparais de ma vue.

Je pris son téléphone dans sa poche, vérifiai qu'il ne l'avait pas envoyée et transmis la vidéo sur mon portable avant de briser le sien.

Avec Laury, nous repartîmes.
Quelques mètres plus loin, Laury me dit qu'elle allait repartir chez elle mais qu'elle me reverrait avec plaisir.

J'en salivais d'avance.
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Je repris mon chemin, m'amusant à regarder la vidéo du jeune con.
C'était bien filmé, on nous voyait bien baiser.




J'avais une trique d'enfer et n'avais plus qu'une chose en tête : me taper une autre fille.

Je marchais de rue en rue, au gré du vent.
Il y avait beaucoup de jolies femmes.
L'une d'elles s'approchait vers moi à grands pas, l'air fâchée avec une personne au téléphone.
- Vas-y me casse pas les couilles, sinon je te défonce et tu vas morfler, petite pute à petite bite !




Bien foutue, mais complètement vulgaire !
Pas grave, son langage vulgaire sera excitant.
J'attendis qu'elle me double pour me retourner d'un coup et lui plaquer les deux mains aux fesses.



Elle sursauta et inspira un grand coup, comme si je lui avais glissé un glaçon dans le cou.
Elle se retourna, me dévisagea et raccrocha.
- Sale con va ! Ça va pas de me mettre la main aux fesses. T'es ouf ou quoi ?

J'étais surpris et paniqué en pensant que mon coup n'avait pas marché.
- Putain, maintenant je mouille, alors tu vas devoir me niquer et on sera quitte !




C'était vraiment bizarre d'entendre ça, mais finalement fort excitant, une vraie chienne.
Elle m'agrippa le poignet et m'emmena dans un parking, dans un coin sombre.
Je la poussai contre le mur, ouvris ma braguette et sortis ma queue toute raide.
- Vas-y, suce !
- Tu crois que je suis ta chienne ou quoi ? T'as fumé ?




Je fis mine de remettre mon pantalon, mais elle m'agrippa, me tira vers elle et avala toute ma bite. C'était bon et elle maîtrisait bien.
Elle jouait avec le gland, aspirant plus que suçant.
Un vrai délice.
Elle se mit à me branler tout en me disant des mots salaces du genre : tu es trop bon, ta bite m'excite, je suis trempée.




Elle reprit ma bite en bouche, mais j'appuyai sur sa tête pour m'enfoncer au fond dans sa gorge. Elle s'agita pour me faire sortir, mais je restai bien dans sa gorge, savourant ma domination, puis retirai ma verge, qui était recouverte de sa bave.
- T'es malade ? J'ai failli m'étouffer !

Je ne répondis pas, mais je lui claquai ma bite sur le visage, recommençant plusieurs fois, ce qui la fit taire et fermer les yeux.
Je la redressai en lui enjoignant :
- Allez salope, écarte les jambes que je te fasse du bien !

Elle ne dit rien mais se positionna contre le mur, bien cambrée, tremblante d'excitation, la chatte tout humide.
Je positionnai ma bite à l'entrée de sa chatte et m'introduisis en elle, la faisant gémir lentement.




Lorsque je fus bien installé, je commençai mes vas et viens sous ses encouragements :
- Hum, c'est bon, tu es trop bon, je te sens bien en moi. Ta bite me fait du bien. Vas-y baise moi. Tu es meilleur que mon ex avec sa petite bite. Vas-y plus fort....oui plus vite...oui je suis ta chienne, saute-moi comme une chienne !

Je partis en trombe en elle, abandonnant toute retenue, je la besognais comme dans un film porno, lui arrachant cris, râles et couinements.
Elle montait dans les aigus, les yeux révulsés.
Je sentis que sa chatte se serrait et j'accélérai encore.





Un bruit dans mon dos me fit retourner la tête et je vis deux hommes qui nous regardaient, la queue à la main et qui jouissaient du spectacle.
Je leur fis signe d'approcher tout en baisant la jeune femme.

Je continuai ainsi 10 min pendant que les mecs regardaient et que la fille jouissait de façon répétitive, ses jambes recouvertes de cyprine.
Je finis par me vider en elle après un dernier grand coup de bassin qui la fit jouir en même temps.




Je sortis d'elle et fis signe aux gars de se servir.

L'un d'eux s'approcha, se plaqua derrière elle et commença à la sodomiser.
Elle reprit vite ses couinements, et l'autre homme vint mettre sa queue devant elle, pour lui mettre dans la chatte.

Ce rythme endiablé les fit très vite jouir tous les trois simultanément.



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Un phare de voiture nous éblouit et nous nous redressâmes tous les quatre.
Quand nous avons vu la voiture de police, ce fut la panique.

Les deux hommes et la femme se rhabillèrent et partirent en courant.
J'allais les suivre lorsque :
- On ne bouge plus !

Je stoppai net dans mon élan et levai les mains.
Je ne vis pas tout de suite les deux personnes s'approcher jusqu'à ce qu'ils soient en face de moi.

Le premier était un homme, le deuxième, ou plutôt la deuxième, était une femme.




Un plan me vint en tête pour m'en sortir, même si cela était fort risqué.

Ils me récitèrent mes chefs d'inculpation (il est interdit de faire l'amour dans un lieu public, tentative de fuite, etc...) et que j'allais être emmené au poste.
La femme s'approcha de moi, les menottes à la main, et je lui tendis mes mains.
Mais, au dernier mot, je fis un écart et mis une main sur le cul de la policière.



L'effet fut double : une lueur coquine s'alluma dans le regard de la femme et le flic me plaqua violemment au sol.
Il me menotta tandis que sa collègue me regardait avec un sourire en coin.
Elle demanda à son collègue de me retourner sur le dos et se pencha vers moi :
- Alors, monsieur le pervers, malgré l'autre fille que tu t'es tapée, tu as toujours envie ?

Sur ce, elle glissa sa main sur mon entrejambe, caressant affectueusement mon sexe qui se gonflait.
- Ludivine, qu'est-ce que tu fais ? Demanda son collègue abasourdi
- Je prends un peu de bon temps, ça fait un mois que je n'ai rien fait, trop de travail. J'ai des envies, comme tout le monde, et là, j'ai envie de faire l'amour.




Elle extirpa mon sexe, le branla un peu et le suça de haut en bas, le léchant sur toute sa longueur, tandis que je me laissais aller.

Elle glissa une de ses mains sous son pantalon pour se caresser, soupirant de plaisir, sous les yeux ébahis et envieux de son collègue.

Elle se redressa et s'approcha de son collègue, qu'elle caressa au travers de son pantalon, avant de défaire le bas et de gober la grosse verge du mec.




Il la laissa faire, caressant ses cheveux.
Je commençais à avoir froid et leur proposai de les laisser s'amuser pendant qu'ils m'oublieraient.

Ludivine se redressa :
- Pas tout de suite. Luc, relève-le et qu'il s'allonge sur la banquette arrière.

Intrigué, il fit ce qu'elle demanda et je m'allongeai sur la banquette, la bite bien droite.

Ludivine déboutonna son haut et fit sortir de gros seins bien lourds, pas ceux refaits des bimbos mais des gros seins naturels.
Elle suça ma bite, la plaça entre ses seins, puis me branla avec.
C'était doux et chaud et surtout très excitant.
Elle glissait des coups de langue sur le bout de mon gland.




Quand je fus bien dur au maximum, elle abaissa son pantalon, se glissa au-dessus de moi et me chevaucha, sa chatte trempée aspirant ma verge avec avidité.
- Luc, prends mon cul, j'ai envie d'une double.

L'homme ne se le fit pas répéter et introduisit son gros sexe dans Ludivine, qui haleta, son cul se faisant écarter.
Elle attendit quelques secondes, le temps que la douleur se calme puis commença à jouer du bassin.
- Oh purée c'est trop bon !




Elle accéléra le mouvement, demandant à Luc de la baiser plus fort par le cul.
La voiture vibrait sous nos ébats, c'était délicieusement bon, ses gros seins ballottaient en tous sens au-dessus de moi.
Elle se mordait la lèvre pour ne pas crier, ses ongles enfoncés dans mes épaules.
Elle se plaqua contre moi, son souffle chaud dans mon cou, son poids ajouté au mien me fit mal aux poignets.

Nous continuâmes ainsi une quinzaine de minutes, puis je me vidai en elle, de longs jets tapissant son sexe.




Elle se redressa :
- Luc, sors, on va continuer à deux !

Je fus libéré, le sexe vidé mais sans problème.
Luc me remercia même de cette chance et tout, en m'éloignant, je vis la voiture de police secouée et entendis même quelques râles.




En m'éloignant du parking, je trouvai une autre voiture occupée par la jeune femme que j'avais abordée et l'autre inconnu, nus en train de dormir, le visage de la fille était recouvert de foutre.




J'étais exténué et endolori, je repris mon chemin, et restai tranquille chez moi.

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Transformations 04 - D'autres rencontres


Je me suis inscrit sur plusieurs sites de rencontre gratuits.
Oh bien sûr je ne propose pas de plan cul.
Mais, grâce a mon don, boire un verre peut fort bien tourner... pour moi...

Je réussis ainsi à discuter avec de nombreuses filles sur le net.
Je pris mon temps pour les mettre à l'aise avant de leur proposer un verre.
Et j'obtins quelques rendez-vous en ce début de semaine.


LUNDI :

Mon premier rendez-vous était une jolie femme du nom de Léna, avec un fort beau sourire et un corps agréable à regarder.
Nous nous retrouvâmes au café et je fus ravi de sa présentation.




Nous parlâmes de tout et de rien.
Au bout d'une heure, elle prétexta une envie d'aller au WC et me laissa seul à table.
Je demandai l'addition, payai, puis, avec une idée en tête, partis discrètement en direction des toilettes.

Je me glissai dans une des cabines vides et attendis.

Léna sortit et, avant qu'elle ne put réagir, je plaquai une main sur ses fesses, l'envoûtant, et l'autre la plaqua contre moi pour lui faire sentir mon sexe bien dur.




Elle se mit à gémir.
Je glissai ma main vers son sexe, passai sous sa robe et sa culotte pour la caresser.

Elle se mit à mouiller vite, et se frotta contre moi.
J'embrassai son cou, glissai un doigt sur son bouton, tripotai ses lèvres.
Ses soupirs se transformèrent en râles, elle serrait les jambes et les ouvrait alternativement.
Et elle finit par jouir d'un coup, arrosant mes doigts de cyprine.

Je la retenais tandis que ses jambes se dérobaient sous elle.
Je l'embrassais doucement car avec elle, j'avais plus envie de faire l'amour que de baiser.

Je l'attirai dans une cabine.
Elle s'assit, et avec un petit regard malicieux craquant, déboutonna mon jean et caressa ma bite à travers mon caleçon, puis la sortit et la lécha.




Un frisson me parcourut.
Elle glissa sa langue sur mon gland et en suçota le bout.
Elle commença alors par de lents vas et viens, mais elle accéléra le rythme en me regardant dans les yeux.
J'accompagnais sa fellation avec mes hanches et, lentement, j'arrivai au moment décisif et j'éjaculai dans sa bouche.




Elle essaya, avec conviction, d'avaler toute ma semence.
Elle m'adressa un beau sourire avec mon sperme sur son menton et sur ses seins.
- Prêt pour la suite ? Demanda-t-elle.

Léna se retourna, s'appuya contre le mur, et cambra ses hanches.
Une offrande d'un ange, ses jolies fesses m'invitant au plaisir.
J'approchai, m'accroupis, et léchai son abricot.
Léna se mordit la lèvre.
Elle mouillait beaucoup et j'en profitais avec plaisir.

Je me relevai, présentai mon sexe devant son trou et la pénétrai.
Léna soupira d'aise.
- Vas-y, oh purée, c'est bon !




Elle avait raison.
Sa chatte serrée était divinement bonne.
J'avançais et reculais lentement et, plus j'accélérais, plus Léna haletait.
Je passai à la vitesse supérieure, m'assis sur la cuvette, la soulevai pour aller plus profondément en elle, et la pénétrai puissamment.
Elle laissa passer un petit cri et se plaqua une main sur la bouche.
Elle haletait pour tenter de dire quelque chose, prit une grande inspiration et cria :
- Je jouis !




Sa chatte se serra encore plus sur ma verge et provoqua mon éjaculation, propulsant un long jet en elle.
Je sortis d'elle, et me laissai aller contre la porte.
Elle s'assit sur la cuvette et reprit son souffle.
Elle releva la tête et nettoya mon sexe.
Bizarrement, je sentis une chaleur parcourir à nouveau mon bas ventre, redoublant mon érection.




Ma bite prit 3cm de plus, sous mes yeux ébahis.

Je relevai Léna, l'embrassai à nouveau dans le cou tandis qu'elle soupirait d'excitation et me masturbait, puis glissai ma main sur sa chatte.
Elle fut prise d'un puissant frisson et, sous quelques petites caresses anodines, elle fut prise d'un puissant orgasme qui éclaboussa ma main de cyprine et lui coupa le souffle et les jambes.

Elle leva les yeux vers moi, en extase.
- Je suis totalement à toi, me dit-elle dans un souffle.




Je ne savais ce qu'il se passait avec mon don, mais j'allais y réfléchir plus tard.
Je la redressai, m'assis à sa place et la tirai pour qu'elle s'empale sur ma queue.
Elle présenta mon gland devant son anus et j'entrai difficilement en elle.

Elle montait et descendait avec fougue.
Elle se laissa aller en arrière, durement éprouvée mais au comble du plaisir.

Elle mit deux doigts dans sa chatte pour accompagner ma sodomie.
Puis, en regardant ma verge, elle me demanda, en criant sous un nouvel orgasme :
- Je veux que tu jouisses dans mon cul i




Ce que je fis avec beaucoup de plaisir.

Nous échangeâmes nos numéros et elle me murmura à l'oreille :
- Merci, je suis à toi maintenant, on baise quand tu veux où tu veux. Je suis ton objet.

Puis elle partit.


Les jours suivants révélèrent ce que je pensais.
Mon don avait évolué.
Non seulement mon sexe était plus gros, mais je rendais les filles folles de moi pour un long moment.

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MARDI:

Après avoir baisé Léna dans les toilettes du restaurant, je rentrai chez moi.
Mais je ne voulais pas rester seul, donc je pris mon téléphone et appelai Anne.
- Oui allô ?
- Coucou Anne, c'est Vincent. Dis, tu es libre ce soir pour dîner chez moi ?
- Et ?
- Faire comme l'autre fois.

Il y eu un petit silence, sûrement pour me faire languir.
- Ça marche, on dit 19h ?
- Va pour 19, et ne t'embarrasse pas de sous vêtements !

Elle rigola et raccrocha.
Je me préparai donc pour son arrivée.
A 19h, la sonnerie retentit.
J'ouvris et fis face a Anne, en robe blanche très moulante avec un beau décolleté qui laissait voir les courbes de ses seins.




A peine fut-elle entrée qu'elle se plaqua contre moi, m'embrassant à pleine bouche.
Nos langues se cherchèrent avec avidité, tandis que nos mains se baladaient sur le corps de l'autre.
Je quittai ses lèvres pour me glisser dans son cou, savourant ses soupirs près de mon oreille, sa main caressant mon sexe.
Je lui palpais les fesses sous sa robe, et elle sursauta sous la décharge électrique.
- Je mouille, je n'attendais que ça.

Sa petite voix, à peine plus forte qu'un murmure, m'excita et je relevai doucement sa robe.
Elle ne portait rien en dessous, ce qui m'excita grandement.
Je lui écartai les jambes et glissai ma langue sur son sexe.
Elle frissonna tandis que je léchais son intimité, bien humide d'excitation, m'attardant sur la zone de son bouton.




Je le titillais du bout de la langue.
Je glissais une main vers son sexe, dont j'écartais les lèvres, et enfonçai un doigts en elle.
Son souffle s'accéléra, elle gémissait de désir.
Un deuxième doigt, puis un troisième, s'enfoncèrent en elle, tandis que je suçais son bouton.

Elle gémissait plus fort, haletant vite, et murmurant des petits mots :
- Oh que c'est bon, vas-y, c'est trop bon, tu me rends folle, je te veux.




Je continuais mon petit cuni, même si la tentation était forte de la prendre.
J'accélérai les vas et viens de mes doigts en elle, de plus en plus fort, au point qu'elle s'arqua de plaisir.
Elle couina et, au bout de quelques minutes, poussa un long râle tandis que son sexe serrait mes doigts.
Elle respira un grand coup, se redressa et, me regardant droit dans les yeux, me dit :
- À mon tour.




Je me relevai et me mis debout devant elle.
Elle déboutonna mon pantalon, abaissa mon boxer et...
- Ta bite n'a-t-elle pas grossi ?
- Si, elle fait 25cm maintenant...

Anne écarquilla les yeux, la prit entre ses mains et me branla timidement.
Elle approcha ses lèvres vers mon gland, souffla son haleine tiède dessus, et lécha le bout.
Je fus parcouru d'un frisson.
Elle alternait coups de langue et fellation, caressant mes bourses de sa douce main.

Anne me glissait par la même occasion des regards coquins, avec ses beaux yeux verts.
Au bout de 5 minutes de ce traitement divin, je libérai ma sauce, remplissant sa bouche d'une bonne quantité de sperme qui s'écoula de ses lèvres et vint tacher sa belle robe.




Elle déglutit avec difficulté puis tira la langue pour me montrer qu'elle avait bien tout avalé.
- Maintenant, tu me dois une robe, dit-elle avec un grand sourire.
- Je peux sûrement te rembourser en nature, glissai-je mine de rien.

Tandis qu'elle se relevait, je me plaquai derrière elle et retirai les bretelles de sa robe, qui tomba à ses pieds.
Je reculai pour admirer ses courbes, sa poitrine bien ferme dont les tétons pointaient, ses fesses étaient a croquer.
Une vrai beauté.
Ma bite se dressa encore plus, comme une invitation à la débauche.

Anne s'allongea, redressa ses jambes et les écarta.
Je vins m'installer au dessus d'elle, positionnai mon gland devant son sexe, et poussai doucement.
Anne soupira d'aise.
Quand j'eus entièrement introduis mon sexe en elle, je pris une grande inspiration et je commençai de profonds vas et viens.




Anne entoura mes épaules de ses mains et redressa un peu ses hanches pour augmenter son plaisir.
J'allais de plus en plus vite, mon gland butant contre le fond de son sexe.
Je continuai ainsi pendant quelques minutes avant de sortir d'elle.

Elle se positionna en levrette, et je la pénétrai d'un puissant coup de rein, qui lui arracha un cri.
- Hmmm vas-y ne t'arrête pas, hmmm




Elle gémissait, passant une main sur son sexe, sur ses seins, qui rebondissaient au gré de mes coups.
Je la pris ainsi une dizaine de minute, ses gémissements devinrent des cris et je sentis la sauce monter.




Je me libérai de son sexe chaud, la retournai sur le dos et libérai ma jouissance.

Anne hurla de surprise lorsque le gros jet de sperme l'aspergea du sexe au visage, en passant par ses seins.
Elle nettoya ses yeux, ouvrit la bouche de stupeur et avala de travers ma semence qui glissa de ses lèvres.
- Putain, c'était quoi ça ?
- Ben une éjaculation...




Anne me regarda de ses yeux verts arrondis, un peu de sperme sur le front.
Elle sourit de toutes ses dents et se mit à avoir un rire nerveux.
Puis elle glissa deux de ses doigts entre ses seins, recueillit le sperme et le lécha
- Bon je n'ai plus qu'à aller me laver, ma grosse lance d'incendie !

Elle se dirigea nue vers la salle de bain où je ne tardai pas à la rejoindre.

Nous étions allongés dans le lit, Anne dormait paisiblement pendant que je tchatais avec Inès, sur un site de rencontre.
Inès était une métisse comme on en rêve.
Foncée de peau, long cheveux noir, lèvres pulpeuses, jolis seins naturels et fesses bien en chair.
Après plusieurs discutions, j'ai réussi a avoir un rdv le lendemain...
Elle se déconnecta et je m'endormis

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MERCREDI :

Le lendemain, je me levai tardivement avec Anne.
J'avais rendez vous avec Inès dans quatre heures, ce qui me laissait le temps.
Anne se glissa sous la couverture, saisit mon membre et commença à le sucer, alternant suçons et lèches.
Elle caressait mes boules d'une main et se caressait de l'autre.




Puis Anne rejeta la couverture, se dressa au-dessus de moi et s'embrocha sur mon sexe.
Elle gémit le temps de la pénétration puis commença à remuer du bassin.




Je décidai de changer de rythme et, la saisissant par les hanches, je me levai avec elle.

Un peu surprise, elle me laissa les commandes tandis que je heurtais le fond de son sexe à grand coups de bassin.
Elle partit petit a petit dans des gémissement, puis des cris.




Je me retenai encore un peu puis laissai sortir la sauce, inondant sa bouche, son visage et ses seins de ma semence.




Nous nous écroulâmes sur le lit, reprenant notre souffle.
Je fixai l'heure, il me restait trois heures avant mon rendez vous, je partis prendre ma douche, bientôt rejoint par Anne.


Il était 14h lorsqu'Inès arriva à notre rendez-vous.
Lorsque je la vis, mon sexe se durcit sur le champ.
Elle était assez grande, une paire de seins qui n'avaient besoin d'aucun soutien gorge, un déhanché de diable et une jupe bien serrée qui mettait en avant ses hanches.
- Waouh, Inès, tu es canon, nettement plus que sur les photos !
- Merci, dit-elle avec un petit accent.

Nous décidâmes d'aller boire un verre dans un bar.
Nous avancions côte à côte et, lorsque nous entrâmes, je la laissai passer, profitant pour admirer son cul que je ne tarderais pas à prendre.




Nous papotâmes longtemps, buvant plusieurs verres, puis l'occasion arriva enfin.
Inès alla aux toilettes.
Comme pour Léna je payai la consommation et allai me planquer dans le réduit jouxtant les toilettes.
Lorsqu'elle sortit, je me glissai à ses cotés et lui donnai une claque qui fit tressauter ses fesses et sa jupe.

Elle se retourna vers moi, m'agrippa la chemise et me plaqua contre elle.
Nos lèvres se joignirent et nous échangeâmes un baiser sulfureux.
Mes mains glissaient sur son corps, caressant ses cuisses, ses fesses, remontant sa jupe pour caresser sa...
- Tu n'as pas de culotte ? Remarquai-je
- Surprise ! Me fit-elle avant de plaquer sa main sur mon jean.




Elle caressa mon sexe, déjà hyper dur, puis, habilement, le sortit du boxer et commença à me branler.
Je sentais sa main experte monter et descendre, tandis que sa langue s'enroulait autour de mon gland.




Je présentai ma verge dure et excitée à l'entrée de sa chatte et commençai à la pénétrer.
Elle gémit doucement, bougeant quelques fois les hanches pour mieux sentir ma queue.
Elle accéléra ses vas et viens et je sentis mon jus monter.

Je plaçai ma paume sur son sexe et l'effet se déclencha, elle s'arqua d'un coup et fut parcourue d'un orgasme foudroyant.
Inès s'écroula au sol les yeux grands ouverts.
- Oh putain, dit-elle avec son accent.




J'approchai mon sexe de son visage, lui faisant comprendre que je voulais qu'elle me finisse.
Elle ouvrit la bouche, encore sous le choc, et suça mon gland.
Sa bouche chaude et sa langue possessive finirent le travail, je plaquai mes mains sur sa tête et lâchai mon torrent de sperme qui l'étrangla à moitié, tandis qu'une traînée de ma semence s'écoulait entre ses deux seins.




Je l'aidai à se relever et nous rajustâmes nos habits.

Je lui proposai de venir chez moi pour continuer.
Elle ne se fit pas prier.
Nous partîmes discrètement et, arrivé chez moi, je reçus un message de Chloé.
Je ne fis pas attention et répondit oui (c'était une question du genre, on peut se voir ?).

Arrivé au salon, je me plaquai dans le dos d'Inès et caressai ses deux seins.
Inès faisait bouger ses fesses contre moi, excitant mon sexe.
Je me défis de mes propres vêtements.

Tu en as vraiment une grosse, me dit Ines en regardant mon sexe que j'avais glissé à l'entrée de sa chatte pour lui prodiguer des caresses très excitantes.




Elle vint s'agenouiller devant moi, embrassa mon membre et mes couilles.
Elle suça le bout de mon gland doucement, tout en caressant mes bourses, puis glissa lentement mon membre dans sa bouche, jusqu'à la base avalant, toute ma verge.

Elle alterna ainsi gorge profonde et fellation, d'abord lentement puis à grande vitesse.
Je prenais un pied d'enfer et je retirai ma bite de sa bouche pour ne pas jouir.




Je vins m'asseoir sur un fauteuil et fis signe a Inès de s'approcher.
Sans que j'aie eu besoin de lui dire quoique ce soit, elle s'empala sans difficulté sur ma bite tendue.
Sa chatte était trempée.




J'avais envie de voir en direct ses fesses qui étaient si douces sous mes mains.
Je la relevai donc et la pris en levrette après l'avoir appuyée sur le bureau.
Cette vue, l'excitation accumulée et les sensations de sa chatte mouillée sur ma queue me firent perdre tout contrôle et je jouis soudainement et violemment, inondant ses fesses de mon sperme.




C'est alors que j'aperçu Chloé qui était en train de nous regarder.
D'un air coquin, elle me dit :
- Vincent ?! Tu aurais du me dire que tu étais pris !




J'étais un peu surpris des événements.
Je me relevai et enfilai machinalement un boxer, tandis qu'Inès fixait Chloé avec beaucoup de surprise.

Chloé m'expliqua ce qu'elle entendait pas son sms et par le mot : "venir".
Comme la porte était ouverte elle était entrée, espérant que je puisse la prendre dans mon salon, seul a seule.
- Ton sexe me manque. J'ai envie de le sucer.

En disant cela, elle ouvrit le frigo, prit un concombre et simula une fellation tout en fixant avec provocation Inès, qui avait pris le temps de remettre une robe.




Inès prit la parole.
- Ben il te manque, mais il est à moi pour le moment, c'est mon jouet alors revient un autre jour.
- Ce n'est pas ton jouet, répliqua Chloé. Vincent m'a prise bien avant toi.
- Oui, mais Vincent me préfère à toi, regarde comme je suis canon !
- Ça ne veut rien dire, je suis meilleure que toi !

Elles se retournèrent vers moi et me demandèrent :
- Qui préfères-tu ?

Je jurai intérieurement.
- Je ne peux pas choisir comme cela, vous êtes toutes les deux canons.
- Alors baisons et tu pourras juger, proposa Chloé.
- Chloé a raison, Inès, joins-toi à nous, je vous ferai l'amour, vous exercerez vos talents et je verrai après.

C'est ainsi que je me retrouvai sur le canapé, "coincé" entre ces deux femmes sublimes.




Les deux filles se regardèrent, puis Chloé retira ses vêtement, révélant son corps très plantureux, avec ses gros seins, mais tout aussi excitant que celui d'Inès...




Pour prendre de l'avance, pendant que Chloé se déshabillait, Inès avait retiré sa robe et était venue s'empaler directement sur mon sexe tendu.
Elle commença des mouvements de vas et viens très saccadés tellement elle était excitée et à nouveau proche de la jouissance.

Chloé, toujours très coquine et excitée par ce spectacle, se glissa derrière Inès pour masturber ma verge et la guider entre les lèvres de sa concurrente afin de lui donner encore plus de plaisir.

Inès profita de ce cadeau que lui offrait Chloé et cria sous le coup d'un orgasme très intense.




Inès, exténuée, s'allongea sur le dos pour reprendre ses esprits.
Mais Chloé n'en avait pas fini.
Elle vint se positionner tête bêche sur Inès, me présentant ainsi ses magnifiques fesses.
Inès, lui rendit la monnaie de la pièce en engouffrant ma verge dans sa bouche afin de la faire encore durcir.




Ma queue alterna ainsi longuement et à maintes reprises de la bouche d'Inès à la chatte de Chloé.
Chloé était folle d'excitation et ne put se retenir.
Elle jouit soudainement et violemment, contactant sa chatte sur ma queue tendue au maximum.




Inès continuait à lécher mes couilles, ce qui m'obligeait à de gros efforts pour ne pas jouir.
Je dû me retirer de la chatte de Chloé.

Inès, prise d'un excès de gourmandise, se mit à lécher la chatte de Chloé et fut surprise d'adorer ce goût de cyprine très agréable qu'elle n'avait jamais testé auparavant.




J'étais très excité, la verge presque douloureuse tant elle était bandée.
- Et si tu utilisais le cadeau dont la nature t'a dotée, proposai-je en pointant les obus de Chloé.

Elle vint aussitôt glisser mon membre entre ses seins, me procurant un plaisir énorme et excitant.




Je ne pus me retenir davantage, inondant la poitrine et le visage de Chloé de longues traînées de sperme.




Je vous laisse imaginer la suite et le résultat du "concours" !
Ce fut un bilan "gagnant - gagnantes".

Nous nous promîmes de recommencer chaque fois que l'occasion se présenterait !
Il n'y avait plus aucune rivalité entre les deux femmes qui étaient maintenant prêtes et envieuses de tout partager.

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Transformations 05 - De retour au travail


Me voilà de retour au travail.
Avec peu d'enthousiasme, car je venais de passer deux semaines à baiser toutes les femmes que je voulais, depuis des inconnues jusqu'à des amies.

J'en ai profité.
Il suffit que je touche leurs fesses et hop, c'est parti.
De plus, mon pénis s'est rallongé et épaissi et j'ai acquis une éjaculation énorme !
Ce qui peut être excitant.

Me voici donc arrivé au lycée où je travaille en parallèle de mes recherches.
C'est un établissement pour cas désespérés, avec beaucoup d'enfants délaissés par leurs parents et les problèmes qui vont avec.




J'arrivai au moment de la récré, beaucoup d'élèves me saluèrent, je discutai avec certains et repris mon travail naturellement.




Avec une différence prés : j'étais assoiffé de sexe et quelques unes des élèves de terminale éveillèrent mon envie.




Beaucoup de ces filles étaient provocatrices avec des vêtements qui révélaient leurs formes affriolantes et, surtout, elles avaient des visages de salopes avec leurs maquillages.

Ou alors c'était mon excitation qui me faisait voir ça ?




- Salut Vincent, enfin revenu !?

Je me retournai et fis face à Justine.
Nous discutâmes avant la sonnerie et ce fut le moment de faire difficilement rentrer les élèves.
Je rejoignis le bureau des surveillants.

Ce bureau m'apparut comme un "garde-manger de baise" : il y avait Marie, Émeline, Fanny, Amélie et Jenny.
Je parlai avec toutes et elles prenaient de mes nouvelles.
Ça discutait bien, même si mon esprit était ailleurs : un plan pour toutes me les faire.

Je dû d'ailleurs me forcer à reprendre mes esprits car je ne les voyais pas comme elles étaient, sagement installées dans la salle, mais plutôt comme des salopes plantureuses et offertes...




Le temps passa et la deuxième récré arriva.
Je vis passer une jolie jeune femme et demandai à une collègue qui elle était.
- La nouvelle infirmière, l'ancienne a été mutée.

Un plan se dessina dans ma tête.
L'après-midi fut calme, peu d'élèves à la permanence.
Je pris l'excuse d'aller aux toilettes pour m'éclipser et allai à l'infirmerie.




Stéphanie(c'est son prénom) était là et elle leva les yeux.
- Bonjour je peux vous aider ?
- Bonjour, moi, c'est Vincent, j'ai été absent et...
- Ah oui, enchantée ! Moi, c'est Stéphanie. J'espère que vous allez bien.
- Oh oui, j'ai pu me reposer. Je voulais juste me présenter, vu qu'on travaille dans le même bâtiment. Par contre, je voulais savoir si vous aviez un truc contre le mal de crâne.




Elle sourcilla, pris une boîte de médicaments et s'approcha de moi pour me toucher le front.
- Vous avez mal au crâne?
- En fait plus bas.

Au même moment, je plaquai ma main sur ses fesses et la décharge électrique fusa.
Elle était envoûtée.




Son regard se fit plus lubrique.



Elle se dirigea vers la porte, la ferma à clef et se retourna vers moi.
- Je vais voir ce que je peux faire, montrez-moi ça.




Elle commença à me dévêtir en enlevant la boucle de mon pantalon.
- Voyons voir ce renflement qui semble beaucoup vous gêner




Je brandis fièrement ma bite.
Elle écarquilla les yeux devant l'épaisseur de mon engin, mais je voyais à ses trémoussements qu'elle était excitée.




Elle s'approcha, et passa sa main sur ma verge tandis que je l'embrassais.
Elle introduisit sa langue dans ma bouche pendant qu'elle me branlait avec méthode.
Elle s'agenouilla devant moi et passa sa langue sur ma verge, avec douceur, avant de la prendre difficilement en bouche.

Je me laissais faire avec plaisir tandis qu'elle recouvrait ma bite de salive et qu'elle léchait ma bite...
J'avais une vue plongeante sur son magnifique décolleté qu'elle ne cherchait plus dissimuler, bien au contraire.




Je la fis se relever, dévoilant ainsi un corps de rêve, des seins bien fermes, un cul appétissant, un sexe très chaud et attirant.
Je la fis se pencher sur le bureau et commençai à lécher son sexe en caressant son bouton.

Elle gémissait de plaisir, une main sur la bouche pour ne pas se faire entendre.
Quand je sentis qu'elle commençait à venir, je plaquai ma main sur son sexe et l'effet fut net : elle eut un orgasme qui la renversa.




Je ne la laissai pas reprendre son souffle et j'introduisis mon sexe en elle, ce qui lui procura un autre orgasme, puis je la baisai à tout va, enfonçant mon sexe de plus en plus profond en elle.
Elle avait les yeux révulsés par tant d'orgasmes.




Son sexe était serré, à tel point que je prenais un pied d'enfer et, en quelques minutes à la secouer, je ne pus plus me contenir et sortis ma verge.
Je jouis sur son visage, ce qui déclencha encore en elle une vague de plaisir.
- Oh oui, Vincent, donne-moi toute ta semence ! J'adore !




Stephanie s'écroula.
- Merci Vincent, putain merci !
- On rebaisera vite, mais à une condition.
- Oh oui, je suis entièrement à toi, demande ce que tu veux.
- Quand je baiserai d'autres filles ici, tu ne diras rien et tu me laisseras utiliser la pièce à côté.
- Oh oui, si tu veux.

Et la première phase de mon plan s'enclencha : le lieu.
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Je sortis discrètement de l'infirmerie où je laissai ma dernière conquête.
J'avais enfin un lieu ou baiser toutes mes cibles, sans risque de me faire pincer, comme ce serait le cas dans une salle de cours.

Maintenant, il fallait que je profite de chaque occasion pour envoûter les femmes, notamment les petites salopes de terminale.
Et ce fut vite le bon moment.

Je traversais les couloirs lorsqu'une collègue me demanda d'aller chercher une élève, Margaux, qui se plaignait de maux de tête.
Je devais l'accompagner à l'infirmerie.

Lorsque nous arrivâmes, l'infirmière nous ouvrit la porte avec un sourire.
Je laissai passer l'élève en premier et lui donnai une claque sur les fesses.

Décharge électrique dans la main, c'était parti pour l'éclate.

Margaux se retourna vers moi avec un regard lubrique, et me dit :
- Vous devriez faire attention qu'on ne vous voit pas, Vincent, ce serait choquant.
- C'est pour cela qu'il faudra être discret.




Stéphanie, alla fermer la porte.
- Ça ne te dérange pas que je reste afin de profiter du spectacle ? me demanda l'infirmière. Je ferme juste la porte principale.

Je m'approchai de Margaux, relevai son menton et l'embrassai doucement.
Ce fut elle qui se plaqua contre moi et m'embrassa à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne. je plaquai mes mains sous ses fesses et la soulevai afin qu'elle s'accroche a moi.
Je sentais son cul sur mon érection.




Margaux retira son short, me révélant son sexe bien rasé.
- Prenez-moi, Vincent! gémit-elle.

Je m'agenouillai et commençai a lécher sa vulve.
Elle se mit vite a gémir.
- Vous êtes doué, Vincent. C'est trop bon, mon copain ne me lèche jamais qu'à contrecœur.

Je m'appliquai donc a lui lécher la chatte, en caressant toutes les zones sensibles et elle vint vite a jouir dans un gémissement étouffé.




Je la fis se relever sans lui laisser récupérer, elle s'agenouilla devant moi et je lui mis mon sexe sous le nez.
Elle écarquilla les yeux.
- Oh putain, vous êtes monté comme un chev...

Je ne la laissai pas finir et lui mis mon gland entre ses belles lèvres, suivi d'une bonne partie de ma verge.
Elle s'étouffa à moitié puis repris contenance, saisit ma verge et se mit à la lécher avec plaisir.
Sa langue fit le tour de mon sexe puis elle avala mon gland et le suça comme une glace.




- Putain j'adore, me dit-elle avec un grand sourire.

Je la relevai et la couchai à nouveau sur le bureau pour avoir mon gland face a sa chatte et j'entrai autant que possible mon sexe.




Son vagin était serré, un vrai plaisir, il entourait toute ma verge.
Margaux se mit à respirer lentement pour s'habituer a mon membre.
J'allais doucement en elle puis, à mesure qu'elle gémissait, je la besognais de plus en plus fort.

Elle reculait à chaque coup de bassin, gémissant de plus en plus fort, mordant sa lèvre inférieure.
Elle se mit a se caresser pendant que je la prenais.
Je soulevai ses jambes et plaquai mes mains sur ses fesses.
Effet immédiat, elle s'arqua tandis qu'un orgasme ravageur parcourrait son corps.




Son sexe se serra autour du mien encore plus.
Je me retirai cependant avant de la remplir car je voulais changer de position et voir son cul si ferme et excitant.

Après s'être déshabillée, elle s'appuya sur le bureau pour me faciliter l'accès à son intimité.
- Venez, Vincent ! Ma chatte est toujours excitée et mouillée et veut encore votre grosse queue !




Je la pénétrai sans difficulté.
La pointe de ses seins étaient durcies et tendues par l'excitation.

Les contractions de son sexe qui jouissait à nouveau étaient tellement douces et excitantes que je ne pus me retenir.
J'éjaculai un torrent de sperme qui recouvrit les fesses de la petite Margaux, haletante d'avoir reçu autant d'orgasmes.




Je sentis un corps chaud derrière moi.
Stéphanie venait de se plaquer contre moi pour saisir ma verge et finir de la branler avec beaucoup de soin.

Je repris mon souffle tandis que l'infirmière aidait l'élève à se nettoyer avec sa langue.
Je me mis vite à bander a nouveau et, plaquant la tête de Stéphanie contre la chatte de l'élève, je me plaçai derrière et, sans cérémonie, l'enculai.




J'étais a l'aise dans son cul et la pris avec force, provoquant des râles de plaisir et des orgasmes à répétition.




Je jouis vite à nouveau, en même temps que l'infirmière.

La jeune élève profitait de la scène au premier plan, dégustant ainsi à la fois mon sperme et l'abondante cyprine qui s'écoulait de la chatte de Stéphanie.




- Moi aussi, je veux que vous m'enculiez Vincent, me demanda Margaux
- Non ma petite, je t'initierai à l'anal dans un lieu plus intime.

Elle sourit de toutes ses dents et alla se rhabiller, marchant doucement à cause de son corps encore ankylosé par toute cette baise.

En chemin :
- Ta migraine est passée ?
- Oh oui, votre aspirine en sauce est efficace !

Je croisai en sens inverse Fanny, une surveillante aux cheveux châtains et aux formes excitantes.




- Ah Vincent, après l'avoir ramenée, j'aurais besoin d'aide pour les fiches des élèves.

Je lui promis de la rejoindre mais, dans ma tête, c'était la fête.
J'allais sans aucun doute me la faire prochainement !!...



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Transformations 06 - La guérison de Morgane


(inspiré de "L'évolution de la race Humaine" de SexFlag : [http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,sci-evolution-race-humaine,23572.html])

- J'ai réussi, soufflai-je en prenant le premier comprimé entre mes doigts. J'ai enfin réussi.

Elle s'approcha doucement de moi et posa délicatement sa main sur mon épaule.
- Vincent, est-ce que ça va ?

Elle s'arrêta brusquement et regarda avec des yeux ronds la gélule rose et bleue que je lui présentais.
- Je rêve ou ...
- Non, c'est bien ça.
- Tu veux dire que tu as fini par réussir ?
- Oui, c'est enfin terminé, dit-je avec une voix dans laquelle perçait une grande excitation. J'ai fini par trouver une réponse à ton problème et à celui de beaucoup d'autres femmes. Problème que je n'ai pu résoudre malgré mon "don" tactile. N'est-ce pas merveilleux ? J'ai enfin pu adapter mes recherches pour que les femmes puissent aussi bénéficier de ce "don"...
- Oui, mais il peut y avoir une erreur qui persiste...?
- Le seul moyen de savoir, c'est de l'essayer...




Elle sembla méditer durant une longue minute, hésitant à prendre une décision.
- Morgane, repris-je, grâce à cette gélule, tu ne seras plus jamais insensible au sexe. C'est ce que tu as toujours souhaité. De plus, elle augmentera grandement ta sensibilité ce qui fait que tu ressentiras plus puissamment chaque pénétration, vaginale ou anale, que n'importe quelle autre femme.
- Tu es sûr que ça ne comporte aucun risque ?
- Non, je ne suis pas sûr. Il y a toujours un risque. Mais il faut tenter l'expérience. Déshabille-toi et installe-toi je te prie.
- Je suis obligée de me déshabiller ?
- Oui ça vaudrait mieux pour que je puisse observer toutes les anomalies qui pourraient apparaître sur ton corps au cas où tu ferais une réaction allergique.




Alors qu'elle retirait ses vêtements, je ne pus me résoudre à détourner le regard et fus subjugué par la perfection du corps de Morgane.

Ses seins parfaitement galbés et lisses étaient surmontés par de petits mamelons roses et tendre que la fraîcheur de la pièce érigeait légèrement.
Ses hanches, délicatement dessinées, formaient une courbe parfaite et étaient gardées par des fesses fermes et lisses qui donneraient envie à n'importe qui de s'en saisir et de les malaxer à pleine main.




Morgane se positionna à quatre pattes sur le lit.
Dans cette position, j'avais une vue plongeante sur la vulve entrouverte de la jeune femme ainsi que sur son anus.
Je dus me détourner pendant un instant tant cette femme à quatre pattes sur le lit me mettait dans tous mes états.




- Deux comprimés. Un dans ton vagin et un dans ton anus. Quand je les aurai tous les deux mis, il faudra que tu jouisses, ce qui ne sera pas très compliqué...
- Tu es sûr que j'arriverai à jouir? Je n'ai jamais eu d'orgasme de ma vie. Et est-ce que je serai toujours consciente ?
- Le comprimé augmentera juste ta sensibilité mais tu resteras entièrement maître de tes émotions et de tes mouvements, ne te fait aucun souci pour ça. Es-tu prête ?
- Oui, répondit-elle, peu sûre d'elle.

Ce n'était pas le fait d'être nu devant moi qui troublait tant Morgane, c'était cette position qui la dérangeait.
Elle avait l'impression que tous ses orifices étaient béants et qu'elle m'appartenait toute entière.




Sans faire attention aux inquiétudes qui tourmentaient la jeune femme, je demandai à Morgane d'écarter avec sa main ses lèvres vaginales de Morgane et y introduisis la première pilule.
Une fois que celle-ci fut à l'entrée de son sexe, je la poussai de mon majeur le plus loin possible.
La chaude intimité de Morgane m'enserra le doigt et j'y restai plus longtemps que nécessaire, profitant de la chaleur et de l'humidité qui régnaient en elle.




Lorsque j'en ressortis, je pris la seconde pilule et la présentai devant sa jolie rondelle tout en caressant la moiteur de ses chauds rebords.
À l'aide de la gélule, je pénétrai cet orifice qui s'ouvrit délicatement sous ma poussée.
La réaction de Morgane fut immédiate : elle serra les fesses ce qui emprisonna mon doigt dans son cul.
- Détends-toi, c'est presque fini.

Mes paroles la rassurèrent et elle se décontracta.
Je pus enfoncer profondément mon majeur au fond d'elle.
Je fis plusieurs allers-retours, histoire de voir si l'objet restait bien à sa place et aussi pour profiter de l'anus de la magnifique femme puis je sortis d'elle et attendis quelques minutes.
- Il faut patienter le temps que les cachets se dissolvent et qu'ils commencent à agir.




"Heureusement qu'elle est dos à moi, me dis-je. Autrement elle aurait vu mon érection..."
En effet, depuis le début de l'opération, je n'avais su me contrôler et une puissante envie de sexe avait fait naître une bosse entre mes jambes.

Alors que je me disais cela, Morgane avait commencé à gigoter sur le lit, triturant nerveusement la couverture.
Lorsqu'un faible gémissement me parvint, je sortis de mes pensées et observai le visage de Morgane, attentif à la moindre de ses expressions.

Elle avait fermé les yeux et se mordait la lèvre inférieure comme pour contenir quelque chose en elle qui voulait impérieusement sortir.




Sa respiration s'était faite saccadée et sa généreuse poitrine se ballottait au rythme de son souffle devenu irrégulier.
Ses seins étaient parcourus de frissons tandis que ses mamelons durcissaient fortement.




Je fus pris de l'envie irrépressible de m'en emparer et de les pétrir sauvagement tout en suçant leurs tétons en érection.
La vulve de la sublime femme était maintenant enduite d'une grande quantité de liquide vaginal et était légèrement ouverte.
Ses fesses s'étaient écartées d'elles-même laissant son anus fortement dilaté.
Son souffle s'accentua et son dos se cambra de lui-même étirant délicieusement les lèvres de son sexe.
Finalement, elle émit un long gémissement qui exprimait toute l'excitation qu'elle ressentait.
- Vincent, je t'en prie ...




Elle ouvrit les yeux et tourna la tête vers moi en me regardant avec un regard suppliant rendu fou par l'intensité de son désir.
Sa bouche, entrouverte, laissait échapper par moments de langoureux geignement qu'elle essayait vainement de contenir.

- Que veux-tu, Morgane ? Demandai-je doucement en essayant de réguler mes pulsions du mieux que je le pouvais.
- Je veux que ... Je veux que tu me prennes. S'il te plaît, baise-moi ...




Je ne pus résister plus longtemps devant ce spectacle.
Je sortis ma verge et l'utilisai pour caresser son vagin déjà fortement lubrifié.
Elle gémit bruyamment quand j'entrai en contact avec son clitoris.
Mon gland, rouge et gonflé d'excitation, eut tôt fait de rendre Morgane folle de désir.
De la cyprine coulait de sa chatte et serpentait sur ses cuisses.
- Oui, vas-y, supplia-t-elle. Enfonce-la-moi! Je veux le sentir tout au fond.




Elle ne désirait qu'une chose : que je la prenne maintenant.
Les caresses de mon gland lui procuraient d'irrésistibles frissons de plaisir qui lui faisaient perdre la tête.
- Prends-moi maintenant ! Je ne peux plus résister. Vincent je t'en...

Incapable de lutter plus longtemps contre mon incroyable envie, je m'emparai fermement des hanches de la jeune femme et m'enfonçai profondément en elle tout en poussant un long râle.
Morgane hurla de plaisir en ouvrant de grands yeux.
Je me mis à la baiser tout en haletant bruyamment.




Cette dernière, au comble du désir, était comme entrée en transe et ne contrôlait plus aucun de ses mouvements.
Ses bras, sous mes coups de boutoir, cédèrent, sa tête tomba et vint se perdre dans les couvertures.
Mon sexe plongeait avec vigueur en elle lui arrachant à chaque fois des cris de plaisir.
Une grosse quantité de cyprine s'échappait du vagin de Morgane et mouillait abondamment ses jambes et son cul.




Je la limais rapidement en soufflant comme un taureau.
Les parois du sexe de la jeune femme étaient chaudes et trempées et comprimaient délicieusement ma verge.

Soudain, Morgane se mit à hurler et je sentis l'étau de sa chatte se resserrer autour de mon sexe. Tout son corps fut secoué de tremblements incontrôlables.
Pour la première fois de sa vie, la jeune femme jouissait.




Elle se tut, hors d'haleine, les cheveux en bataille.
Ses jambes étaient luisantes de sueur et de liquide vaginal qui avait coulé en grande quantité de sa vulve.

Je m'étais arrêté, ma bite toujours calée dans l'intimité de Morgane.
- Encore ! Gémit-elle, littéralement affamée de sexe. Continue ! Lèche-moi s'il le faut !
- Je n'ai pas encore joui, moi ... et je vois que tu n'as eu qu'un demi-orgasme ...

En disant cela, je m'étais retiré, le sexe plus que jamais en érection, et je me positionnai à l'entrée de son superbe cul.
- Comment ça un demi-orgasme ?
- Tu te souviens, j'ai aussi mis une pilule ici, dis-je en poussant légèrement avec mon gland sur son petit trou.





Surprise, elle ne put retenir un langoureux gémissement.
- Mmmh c'est ... bon! Vas-y, m'implora-t-elle.

Morgane écarta les jambes et cambra davantage le dos de façon à ce que son anus soit le plus béant possible.
Je sentis sa douce grotte s'ouvrir et je m'y enfonçai avec joie.
Je me sentis aspiré en elle et je la pénétrai jusqu'à la garde.

Morgane crut mourir tant la vague de plaisir émergeant de son cul la submergea.
Elle cria de bonheur alors que ma chaude bite enduite de cyprine l'envahissait.
Je me penchai sur son dos cambré et saisis d'une main ferme l'un de ses seins que je massai tout en pinçant son téton durci par le précédent orgasme.




De mon autre main, je passai sous le ventre de la jeune femme pour venir enfoncer un doigt dans son vagin.
Dans cette position, je me se mis à pilonner sauvagement ses fesses tout en la doigtant.
Ma main devint vite trempée ce qui m'excita grandement et j'accélérai mes mouvements.

Morgane perdait littéralement la tête sous l'assaut des vagues de plaisirs qui inondaient son corps. Finalement, le plaisir explosa dans son cul et elle eut son premier orgasme anal.
Jamais encore elle n'avait ressenti pareil plaisir.
Son anus se contractait de lui-même sous la puissance de l'inégalable orgasme qui la submergeait.




Je me retirai difficilement du cul de Morgane avant de jouir et la retournai sur le dos.
Je n'en avais pas fini avec elle.

Alors qu'elle était encore en train de jouir, je soulevai ses jambes et les positionnai de part et d'autre de la tête de Morgane.
Dans cette posture, son vagin et son cul m'offraient une vue imprenable.

Sans perdre de temps, je m'enfonçai à nouveau dans sa chatte.
Cette pénétration fit jouir une troisième fois Morgane.

Je m'enfonçai encore quelques fois en elle et, ne pouvant plus me retenir, jouis à mon tour, envoyant de longues salves de sperme sur la chatte de la jeune femme.




Nous restâmes dans cette position, cherchant tous deux notre souffle.
Je finis par me retirer dans un bruit de succion et m'assis à côté de la femme.
Cette dernière laissa retomber ses jambes et tenta de se relever.
- Est-ce que... ça va ?

Tout son corps était trempé de sueur.
Elle était éreintée et cherchait désespérément son souffle.
Elle finit par répondre :
- Oui ... Je crois ... C'était ... magique! Je n'ai jamais autant joui de toute ma vie. Et c'est grâce à toi.

Sans plus attendre, je lui saisis la main et la relevai.
Elle chancela une fois qu'elle fut sur pied mais recouvra rapidement son équilibre.
- J'ai soif.




Elle se dirigea vers le réfrigérateur pour prendre une bouteille d'eau.
« Ça ne m'étonne pas, pensai-je. Avec la quantité de cyprine qu'elle a rejetée ... ».

Elle s'empressa de boire toute la bouteille.
- Bon, je crois que le mieux à présent c'est que tu rentres chez toi et que tu te reposes. Nous verrons demain si le produit fait toujours effet ...
- Oui, tu as sans doute raison.




Elle s'habilla et se recoiffa rapidement.
Elle était sur le point de partir et se retourna.
- Vincent ?
- Oui ?
- Merci ... Merci pour tout ...
- Merci à toi d'avoir rendu tout ça possible.

Nous nous sourîmes tendrement.
Une étroite complicité venait de nous lier ...

Une fois chez elle, elle monta dans sa chambre, se dévêtit rapidement et s'affala sur son lit pour rejoindre le pays des rêves.



___________________________________________

« Boum boum boum »

Mes coups sur la porte réveillèrent Morgane.
Elle avait les yeux vitreux et une douleur lancinante au crâne, comme après une très grosse cuite.
Elle se hissa difficilement sur ses coudes tandis que mes coups sur la porte redoublaient d'intensité.
Elle prit son portable et regarda l'heure.
18 h...

Elle était comme dans un état second et mit un certain temps avant de remettre ses idées en place.
La jeune femme finit par se lever et chancela jusqu'à la porte de sa chambre.
La pièce tanguait dangereusement autour d'elle et elle dût se cramponner à son armoire pour ne pas tomber.

Je tambourinais depuis plusieurs minutes déjà sur la porte de la maison de Morgane sans qu'aucune réponse ne me parvienne de l'autre côté.
« Et si les pilules que je lui avait données la veille avaient eu un effet imprévisible ? Et si elle était tombée dans le coma ou pire...?».

Inquiet, je continuais de frapper, espérant de tout cœur qu'elle vienne m'ouvrir.




Morgane, exténuée, parvint enfin à m'ouvrir la porte.
Conscient de sa fatigue, je la guidai vers sa chambre et l'aidai à s'asseoir.
- Bon, pour commencer, je vais regarder si tout va bien...




Je lui demandai de se coucher sur le dos, les jambes à demi pliées.
Je me mis à caresser doucement ses lèvres vaginales tout en soufflant dessus délicatement.

Immédiatement, la jeune femme sentit des fourmillements de plaisirs parcourir tout son corps.
Elle frissonna malgré elle.

Je poursuivis mon exploration en écartant précautionneusement les douces parois ce qui libéra le clitoris de sa chaude prison de chair.
Quand je le caressai du bout de l'index, Morgane ne pût retenir un couinement de surprise.
Son souffle devint plus profond et son entrejambe s'humidifia.




Je souris devant la réaction de la jeune femme et titillai davantage le petit bouton rose.
La jeune femme, fermant les yeux, tenta de contrôler les pulsions qui émanaient de son bas-ventre et parcouraient tout son corps.

Encouragé par les gémissements de plus en plus pressants de Morgane, je m'emparai avec ma bouche de son vagin qui se liquéfiait à vue d'œil et me mis à le lécher comme un dément.
Quand mes lèvres entrèrent en contact avec son sexe, Morgane geignit intensément en cambrant le dos.




Alors que son bassin s'élevait dans les airs, j'agrippai les hanches de la jeune femme et poussai tout son magnifique corps vers moi pour que je puisse opérer le meilleur cunnilingus possible.
J'aspirais avidement l'énorme quantité de cyprine qui s'échappait du tréfonds d'elle-même tout en déglutissant fortement et en lapant les abords de son sexe.

Les hanches de Morgane, toujours surélevées, accompagnaient mes mouvements en douceur pour enfoncer plus profondément encore ma langue au fond d'elle et pour effectuer les plus amples vas et viens possible avec sa main.
- Oui ! Vas-y Vincent ! Je t'en supplie, plus loin ! Plus loin !




Sous ses encouragements, je lâchai une des fesses que je m'étais mises à pétrir et titillai la douce rondelle de la jeune femme.
Avant qu'elle ne puisse comprendre ce qui se passait, je lui enfonçai profondément deux doigts dans le cul.

Sous le coup de la surprise, Morgane ne pût réprimer un cri de jouissance.
Instinctivement, son bassin augmenta l'amplitude de ses mouvements, s'empalant involontairement sur mes doigts ainsi que sur ma langue.
- Oh... c'est bon, cria-t-elle. Plus profond, je t'en prie. Plus vite, Oui ! Oui !




Je rajoutai un doigt dans son anus, étirant délicieusement ce dernier qui coulait abondamment d'une substance dont je n'avais aucune idée de la provenance mais, pour l'instant, je m'en moquais.
Elle rendait la pénétration beaucoup plus aisée et procurait à Morgane une myriade de plaisirs qui manquaient à chaque instant de la faire exploser.

Elle ne se rendait même pas compte des cris qu'elle poussait.
La jeune femme avait complètement perdu la tête sous la puissance des ondes de plaisir qui balayaient tout son corps.
Ma langue faisait des ravages dans son bas-ventre, s'insinuant dans tous les recoins de son intimité et aspirant goulûment tout le liquide vaginal passant à sa portée.

Mes doigts, eux, étaient plus doux.
Ils rentraient dans ses fesses presque tendrement et en ressortaient en tournant délicieusement procurant un plaisir bien différent mais tout aussi intense à Morgane.




Finalement, ne pouvant plus résister, elle jouit.

Un double orgasme d'une ampleur et d'une violence telles que Morgane manqua de perdre connaissance.
Elle hurla.
Elle hurla son plaisir au monde entier.
Son anus et sa chatte se contractaient violemment laissant tous deux fuser des jets de liquides transparents que je m'empressai d'avaler.

Une quinzaine de secondes plus tard, l'orgasme cessait, laissant la jeune femme pantelante et exténuée sur son lit.




Les ébats que nous venions d'avoir m'avaient énormément excité et, quand je la vis, souriante d'extase, mon sang ne fit qu'un tour : je déboutonnai lentement mon pantalon et sortis mon sexe depuis longtemps en érection.




Lorsqu'elle vit ma queue, le sourire de Morgane s'agrandit, elle me lança un regard gourmand et écarta les cuisses...



___________________________________________

- Oh ... je jouis !

Je m'extirpai de Morgane et lui éjaculai dessus.
Elle était si belle et rayonnante.
La jeune femme était toujours étendue sur le lit et cherchait à récupérer son souffle.
Elle souriait de bonheur en pensant aux nombreux orgasmes qu'elle venait d'avoir.




- Vincent... Je... oh, c'était bon ! Je... j'ai soif.
Je m'empressai d'aller dans sa salle de bain pour lui prendre un verre d'eau.

En lui tendant le verre qu'elle but d'une traite, je lui précisai :
- Je dois analyser toutes les substances que tu sécrètes de façon si abondante et délicieuse...

Ma remarque fit sourire Morgane.

- Je vais aller faire mes analyses. Je sais que tu as dormi toute la journée mais penses quand même à te reposer un peu : ton corps n'est peut-être pas totalement remis de ... tout ça.

Morgane m'entendit quitter sa maison.
Elle attendit que le bruit de la voiture ait disparu au loin avant de se détendre complètement et profiter de son bain chaud.



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Transformations 07 - Morgane se révèle

« Quelle journée ! Je n'arrive pas à croire tout ce qui m'arrive. Ça s'est passé si brusquement. Bon, il faut que je me change les idées : ce soir, ma petite Morgane, on va en boîte ! Et au diable les conseils de Vincent. ».

Fière de sa décision, elle se prépara pour sortir.
Elle choisit inconsciemment ou non une tenue très affriolante.
Jupe très courte, t-shirt moulant et court, talons hauts Louboutin, lunettes qui lui donnaient un air innocent et s...exy...

Une fois qu'elle eut franchi la porte, elle parcourut la salle des yeux.
Il y avait du monde ce soir et Morgane, qui était une habituée, avait rarement vu la salle aussi pleine.




Elle trouva un coin un peu à l'écart d'où elle pouvait observer l'ensemble du night-club.
Il s'agissait d'un bar qui n'était ouvert que lors des périodes de forte affluence et qui, ce soir, était en stand-by.

Elle remarqua alors une jeune femme qui, à l'écart comme elle, dansait de manière langoureuse.
Elle était habillée de façon aussi sexy que Morgane, voire même un peu plus provocante et s...exy...

Elle n'avait pas mis de jupe mais un short moulant et des bas qui lui donnaient une allure très libérée.




Quand leur regard se croisa, la fille se figea et s'approcha de Morgane.
Sans crier gare, elle se hissa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur celles de Morgane, ébahie.
Cette dernière se laissa faire dans un premier temps mais finit par bouger timidement sa langue dans cette bouche inconnue et douce.




Elle s'enhardit en glissant ses mains le long de ses hanches et en caressant le bas de son dos.
La jeune femme se colla brusquement contre elle et introduisit ses doigts sous le fin tissus du t-shirt de Morgane.




Les caresses de la jeune femme étaient loin de laisser Morgane indifférente et elle sentait le sang pulser dans son bas-ventre, poussé par des vagues d'excitation grandissantes.

Elle eût un sursaut de conscience et regarda autour d'elle pour voir si quelqu'un les observait.
Tout le monde dansait, collés les uns contre les autres, et un écran de fumée les dissimulait au reste de la foule.
Elle fut momentanément rassurée.

La jeune femme, frustrée que le contact entre leurs bouches ait pris fin, prit la nuque de Morgane et la força à l'embrasser encore.
Morgane sentit avec horreur sa jupe remonter en même temps que la jeune femme la prenait dans ses bras.
Le fait qu'elle n'avait volontairement pas mis de culotte apparut ainsi à la vue de tous et décupla l'excitation de la jeune femme.




Cette dernière continuant ses caresses, souleva le t-shirt de Morgane, dévoila ses seins que ne protégeaient aucun soutien-gorge et commença à les embrasser de façon très gourmande.




Morgane ne savait pas quoi faire.
Elle se trouvait dans un état d'excitation incontrôlable, entourée de centaines de gens.

Elle poussa la jeune femme dans un fauteuil et entreprit de la dévêtir sans que celle-ci n'oppose aucune résistance.
Bien au contraire, la situation et cette exhibition semblaient l'exciter au plus haut point.




Morgane s'installa alors entre les jambes de la jeune femme pour lui prodiguer un cunnilingus dont seules les femmes ont le secret.
Elle introduisit un puis deux doigts dans cette chatte offerte et inondée par l'excitation, écartant grandement ses lèvres vaginales.

Son vagin était envahi par les doigts de Morgane comme jamais et elle ressentait puissamment chaque centimètre de cette pénétration.
Elle n'avait encore jamais été aussi comblée de toute sa vie.
Elle sentait les doigts glisser en elle de plus en plus loin sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit pour les arrêter.
Elle n'en avait aucune envie de toute façon.

La jeune femme jouissait en continu, chaque orgasme succédait à l'autre sans interruption.




La main de Morgane descendit ente ses jambes pour frotter son propre vagin fortement humidifié par l'excitation.

La jeune femme la releva doucement pour l'allonger sur le bar et s'occuper d'elle.

Morgane était aux anges.
Les doigts de la jeune femme étaient trempés de mouille ce qui rendait la lente pénétration sublime.




Morgane avait fermé les yeux et souriait d'extase, savourant la sensation d'être entièrement remplie.
Elle ne fut pas longue à réagir et se mit à crier de bonheur.
Elle eût un premier orgasme qui la cueillit et qui liquéfia davantage son sexe comblé.

Elle hurlait en continu sous les assauts de cette main qui l'enfournait, ne se souciant aucunement d'être remarquée par la foule autour d'elle.




La musique était assourdissante et personne ne remarquait cette étrange couple qui baisait à l'écart de la piste de danse.
Les gens se trémoussaient, chacun dans son monde...

Elles restèrent longtemps dans cette position, toutes deux incapables de faire le moindre mouvement.
Finalement, la jeune inconnue relâcha son étreinte.

Elles se regardèrent, complices.
La jeune femme se dressa sur la pointe des pieds pour poser un baiser sensuel sur les lèvres de Morgane, se rhabilla puis disparut, engloutie par la foule.

Morgane récupéra son sac et sortit de la boîte dans un état second.
Elle prit sa voiture et retourna chez elle sans penser à regarder son téléphone qui affichait une trentaine d'appels manqués...
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Quand elle arriva devant chez elle, Morgane fût surprise d'y voir ma voiture.
Elle m'aperçut, adossé à sa porte d'entrée.
- J'ai mis mon téléphone en mode silencieux et j'ai oublié de regarder une fois que je suis retournée à ma voiture. Je suis désolée. Bon dis-moi ce qui ne va pas maintenant.
- J'ai fait une découverte sur ton corps. On peut en parler à l'intérieur ?

Morgane ouvrit la porte.
Nous nous installâmes au salon et elle prépara du café.




Elle vit qu'il était une heure du matin et elle se dit que ça devait être important pour que je vienne la trouver chez elle à une heure si avancée.
- Morgane, j'ai commencé les analyses et je commence à prendre conscience de ce que j'ai fait... Tu secrètes une hormone qui te permet d'avoir des orgasmes intenses et multiples. Mais, effet secondaire imprévu, les gens qui la respirent sont pris d'une excitation sexuelle incontrôlable... Il va donc falloir que tu restes enfermée chez toi le temps que je trouve un remède, sinon tu vas déclencher des émeutes partout où tu passeras !

Morgane, choquée par cette nouvelle, me demanda de la laisser.
Cela faisait beaucoup trop en peu de temps.
Ce dont elle avait besoin, c'était d'un peu de repos et de solitude.
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Le lendemain, Morgane se réveilla difficilement.
Comme c'était lundi, elle appela son boulot pour dire qu'elle n'allait pas venir aujourd'hui, prétextant un mal de tête carabiné, puis se recoucha.

Son second réveil fût légèrement différent...
Elle avait dormi presque nue et rejeta la couette au loin.
D'une main, elle vint doucement caresser les abords de son vagin où perlaient déjà quelques gouttes de cyprine.




Elle se vit alors dans le miroir en face d'elle et se trouva terriblement excitante.
Sa main jouait malicieusement avec sa féminité, faisant s'ériger d'excitation ses deux mamelons.




Morgane aperçut alors entre ses fesses son anus et eût une soudaine envie de le combler avec quelque chose...
Elle abandonna la chaude humidité de sa chatte pour venir titiller la moiteur de son petit trou sombre.
Elle y enfonça son doigt jusqu'à la première phalange.
- Mmmh oui ... waouh je ne m'attendais pas à autant de sensations.




Elle poussa un peu plus et son doigt disparut bientôt entre ses fesses.
Elle gémit bruyamment et fit quelques allers-retours qui eurent tôt fait de la mettre dans tous ses états.

La jeune femme changea de position, souhaitant avoir une meilleure vue sur sa croupe.
Le cul dressé vers le miroir, elle recommença à se doigter l'anus.




Son trou s'enduisit soudainement d'un liquide qui facilita grandement ses mouvements.
Elle aimait tellement ça qu'elle poussa l'audace de rajouter un doigt, étirant délicieusement ses bords.
C'était fantastique.
- Mmmh j'adore ça ! Qu'est-ce que c'est bon ce doigt dans mon cul !




Ses deux trous étaient maintenant occupés par chacune de ses mains et elle avait plongé sa tête dans un coussin pour étouffer ses râles.




La jeune femme changea à nouveau de position : elle leva une jambe et, toujours face au miroir, doigta sauvagement son anus.
Ses fesses étaient maintenant trempées du lubrifiant qui s'écoulait de son trou.
Elle se trouvait extrêmement dépravée et elle adorait ça.




Toute sa vie durant, elle n'avait connu pareil moment d'extase que ces deux derniers jours.

Morgane se recoucha sur le dos, se sentant au bord de la jouissance.
Une jouissance extraordinaire la fit crier de plaisir, elle était essoufflée mais heureuse.

Elle ressentit tout à coup une grande soif, mais elle ne voulait pas de l'eau...
Elle voulait plus.
Elle voulait encore jouir.
Elle glissa sa main dans la raie de son cul tout humide et recommença à se doigter.




Tout à coup, la sonnette retentit alors qu'elle pourléchait avidement ses doigts et que son autre main était perdue dans les profondeurs de son postérieur en feu.
Elle jura.
-Qui est-ce qui peut bien venir me déranger à une telle heure ?

Elle se leva et marcha jusqu'à la fenêtre au-dessus de la porte d'entrée.
Elle tira les rideaux d'une main, l'autre n'ayant aucune envie de quitter sa chaude grotte, et regarda de biais qui osait la déranger pendant un tel moment.




C'était moi.
Elle aurait dû s'en douter.
J'attendais patiemment qu'elle vienne m'ouvrir.
Elle m'observa durant un moment en haletant tant ses doigts alternant entre sa chatte et son cul lui faisaient du bien.

Mais elle voulait toujours plus ...
- Mais... je suis bête ou quoi ?

Morgane dévala littéralement les escaliers et se jeta sur la porte.
Elle l'ouvrit en grand, m'agrippa et me tira à l'intérieur.
Je n'eus que le temps de commencer les salutations que déjà Morgane plaquait violemment ses lèvres sur les miennes.




Elle ôta prestement mon pantalon et mon caleçon.
Je ne comprenais vraiment rien à ce qui m'arrivait.
La jeune femme venait de lâcher ma bouche pour saisir mon sexe et l'enfourner dans sa bouche affamée.
- Qu'est-ce que... Morgane...




Je ne fus pas long à bander comme un cheval.
Morgane se releva et me regarda droit dans les yeux.
- Je veux que tu m'encules ! Maintenant, fit-elle en se retournant et en se collant à la porte. Vite ! S'il te plaît je ne peux plus attendre...

Je regardai cette femme contre le mur, la croupe légèrement surélevée et les fesses luisantes de ce que je croyais être de la cyprine.
Je ne réfléchis pas longtemps.
Je m'avançai, écartai les fesses incroyablement sexy de Morgane et embrochai de ma bite son trou dilaté.
Elle hurla de plaisir ...




Morgane se faisait violemment écraser contre le mur à chacun de mes coups de boutoir.
Elle était enculée sans ménagement.
J'avais saisi ses hanches pour pouvoir la perforer le plus puissamment possible.
- Oh mon Dieu, oui ! Défonce-moi mon Vincent ! Plus fort !

Je grognais en m'enfonçant dans les entrailles de la femme en chaleur.
Les fesses de celles-ci émettaient un claquement sonore à chaque pénétration.
Elle ne pouvait s'empêcher de crier de plaisir en sentant sa rondelle à ce point stimulée.
- Qu'est-ce que tu me mets... je peux même sentir ton gland dans le fond de mon cul ! Qu'est-ce que c'est bon putain ! Plus vite Vincent !




J'accélérai encore le rythme et mon bassin s'écrasa plus violemment encore sur le cul de la jeune femme qui commençait doucement à devenir rouge.
- Mais c'est qu'elle y prend goût la salope.
- Oui ! J'a... dore... ça !

Les coups étaient devenus tellement fort qu'elle n'arrivait plus à prononcer des phrases entières sans s'arrêter.
- Waouh ... qu'est... ce que ... tu me...mets !! C'est trop... Mmmh... bon putain !




J'avais saisi fermement les fesses de Morgane et les écartais pour pouvoir m'enfoncer le plus loin possible en elle.
- Oh... mon cul... putain ! Défonce... moi... mon Vincent ! Vas-y... donne tout... ce que... tu as !

Je n'avais jamais vu Morgane aussi obscène mais j'adorais quand elle était comme ça.
Je jubilais intérieurement car j'avais réussi à la rendre esclave au sexe et je pourrai à présent la baiser dès que je le voudrai.
Il suffira juste de l'exciter un peu...
- Ton cul est fantastique Morgane ! Je glisse en toi comme dans du beurre, c'est divin !
- Oui ! C'est trop... bon ! Je crois... que... je vais jouir... du cul !
- Moi aussi je vais jouir !




Je donnai encore trois coups de boutoir dans lesquels je mis toute ma force.
Morgane hurla lors de chaque pénétration et jouit à la dernière.
Son anus se contracta autour de ma verge et je jouis à mon tour !
Ma semence remplit la jeune femme.
Quand elle sentit les jets de sperme gicler dans le fond de son cul, elle jouit encore !
- Ouiiiiiii ! Cria-t-elle.




Elle s'écroula au pied, morte de fatigue, du sperme coulant de son anus béant.
Elle haletait bruyamment et ses seins tressautaient à chaque expiration.

Terriblement excité par cette vision, je voulais maintenant ardemment lui faire un cunnilingus.
Comme elle était sur ses genoux, les jambes écartées, j'en profitai pour me mettre sur le dos et venir me glisser sous son cul.




Elle gémit intensément, surprise, quand j'enfonçai ma langue dans sa chatte.
Je m'excitais sur le vagin de la jeune femme, aspirant, comme quelqu'un qui n'aurait rien bu depuis une semaine, toute la cyprine qui passait à ma portée.
- Mmmh oui... Bois-moi mon Vincent. Aspire-moi la chatte !




Morgane était aux anges.
Elle ne savait pas ce qui me prenait de lui faire ça, mais ce n'était pas elle qui allait s'en plaindre.
Elle prit ma tête et la pressa entre ses jambes pour me forcer à la lécher encore plus fort.
Elle gémissait sous mon travail linguistique.
Cette langue qui fouillait sans scrupules son intimité et le bruit de déglutition que je faisais à chaque gorgée de cyprine l'excitait au plus haut point.
- Alors, suis-je bonne mon Vincent ?




Elle adorait m'appeler « mon » Vincent.
Elle avait l'impression que je lui appartenais et qu'elle pouvait faire de moi ce qu'elle voulait.

Sentant l'orgasme venir, elle se mit à frotter sa chatte contre ma bouche qui lui procurait tant de plaisir.
Elle poussait maintenant d'incontrôlables râles de jouissances et sous le coup du plaisir, elle serra ses jambes, bloquant ma tête entre celles-ci.
J'agrippai les hanches de Morgane et tentai de m'enfoncer encore plus en elle.
Soudain, elle jouit et je reçus un flot de cyprine directement dans le fond de ma gorge.
- Oh, je viens mon Vincent ! Je viieeeeenns !




J'ouvris de grands yeux surpris sous la puissance des jets de cyprine et essayai tant bien que mal de tout avaler.
Je buvais à grands traits l'éjaculation vaginale de Morgane tout en m'agrippant à ses hanches tel un homme en train de se noyer qui tenterait de remonter sur son radeau.

Morgane cessa de jouir et relâcha la pression dans ses jambes.
Je m'écrasai sur le sol, essoufflé et le cœur battant la chamade.
J'avais le visage barbouillé de mouille.

La jeune femme se coucha à mes côtés, toute aussi épuisée et, ensemble, nous tentâmes de retrouver notre souffle.
- C'était bien hein ? Sourit Morgane.
- Oh oui ! J'adore te boire jusqu'à la lie. Tu devrais m'accueillir comme ça plus souvent, rigolai-je.
- Haha quand tu veux on remet ça ! D'ailleurs, pourquoi tu es venu ? Tu as avancé dans tes recherches ? Et comment tu savais que je ne comptais pas aller travailler aujourd'hui ?
- Heu ... En fait, avec tous ces événements, j'ai oublié qu'on était lundi ... Et je n'ai pas vraiment avancé dans mes travaux. Je voulais juste passer pour savoir comment tu allais, prendre un peu de tes nouvelles... et je constate que tu vas super-bien, ajoutai-je en riant à nouveau.




Morgane rit avec moi et se relava.
Elle alla dans la cuisine où elle but une grosse quantité d'eau.
- Est-ce que tu as remarqué quelque chose de nouveau sur ton corps ? demandai-je
- Laisse-moi réfléchir. Oui, je meure de soif à chaque fois que j'ai joui.
- Ça ne m'étonne pas. Ton corps dépense une quantité impressionnante d'eau pour lubrifier ton vagin et ton anus. Aussi, lorsque tu as un orgasme, tu te vides en un coup de beaucoup d'eau. Ton corps, voyant ses réserves d'eau baisser si subitement, envoie un message d'alerte à ton cerveau pour te faire savoir qu'il faut absolument que tu boives.
- Et, est-ce qu'il y a des risques ?
- Ça, je ne pourrais pas te le dire ...




Morgane réfléchit à ce qu'elle venait d'apprendre.
Elle comprit qu'elle ne devait pas trop abuser du sexe si elle ne voulait pas avoir de problème dans l'avenir.
Elle frissonna et se rendit compte qu'elle était toujours presque nue, en plein milieu de la cuisine avec moi qui ne pouvais détacher mes yeux de son corps.
Elle me sourit et grimpa jusqu'à sa chambre pour s'habiller.




- Je crois que je vais quand-même aller travailler, me cria-t-elle à travers toute la maison. Je me sens d'attaque après cette petite partie de jambes en l'air.
- D'accord, mais veille à ce que personne ne remarque quoi que ce soit et tiens-toi à distance.
- Bien sûr, je ne suis pas bête, rétorqua-t-elle.

Je souris intérieurement.
Évidemment qu'elle n'était pas bête, loin de là.
Mais je n'étais pas sûr qu'elle puisse résister longtemps à l'appel du sexe une fois qu'elle était excitée...




J'ajoutai donc :
- Non non, mais si jamais tu te retrouves dans une situation disons... dangereuse, évite de...
- Ne t'inquiète pas, me répondit-elle en descendant. Bon aller, j'y vais. On se revoit bientôt.
- Oui à bientôt. Et une dernière question, tu fais quoi déjà comme travail ?
- Je suis prof de terminales...
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Transformations 08 - Morgane retourne au travail


Morgane se fit violence pour détourner son regard du superbe cul d'une de ses élèves qui écrivait au tableau.




Elle assura malgré tout son cours et parvint à captiver l'attention de ses élèves même si, de son côté, ses pensées avaient grandement tendance à divaguer.




La sonnette annonçant la fin des cours la tira de sa rêverie et elle rougit en voyant toutes les têtes de ses élèves tournées vers elle.
- Bon allez, dit-elle en se mettant à essuyer le tableau pour cacher son embarras, vous pouvez y aller. À demain.

Alors que ses élèves sortaient un à un de la classe, la directrice de l'établissement, madame Figide, se présenta dans l'embrasure de la porte en tapotant le sol de son pied pour montrer sa contrariété.




Pour l'avoir souvent vue adopter cette posture, Morgane sût qu'elle allait se faire passer un savon...
- Oui ? demanda-t-elle innocemment.
- Ne me dites pas « oui » comme ça mademoiselle ! Vous savez très bien ce qui ne va pas. Pourrais-je connaître la raison de votre retard de ce matin ?
- Je ne me sentais pas bien. Une atroce migraine me clouait au lit.
- Il me semble que ce n'est pas la première fois que ça vous arrive, n'est-ce pas ? Venez dans mon bureau je vous prie.

Morgane jura intérieurement.
Depuis qu'elle était en cours elle avait une intense envie de se soulager sexuellement.
La vue de ses jeunes étudiantes habillées d'affriolants décolletés et de jupettes moulant à merveille leurs culs rebondis avait grandement entamé ses résistances.
Elle n'avait maintenant qu'une envie : foncer aux toilettes...




En soupirant, elle suivit la principale jusqu'à son bureau et s'installa sur une chaise en croisant les bras.
La directrice, quant à elle, resta debout.

Morgane savait exactement ce qu'elle allait lui dire et se prépara donc pour un sermon d'un ennui mortel.
- Mademoiselle, je ne passerai pas par quatre chemins. Je commence à en avoir marre de vos constants retards. Vous avez des élèves et vous ne pouvez pas vous permettre d'essuyer la moindre faute.
- Je comprends, répondit Morgane qui n'écoutait déjà plus. Je ferai plus attention la prochaine fois.
- Vous savez, reprit la principale, ignorant superbement la réponse de la jeune femme, nous faisons partie d'un établissement dans lequel je dois pouvoir compter sur chaque élément pour qu'il puisse fonctionner au mieux. Quand l'un de ses éléments ne se montre pas à la hauteur, mon devoir est de m'en débarrasser ...




La directrice marchait tranquillement autour de Morgane, comme un aigle faisant des cercles dans le ciel avant de fondre sur sa proie.
- Vous comprendrez évidemment, poursuivit-elle en posant ses longs doigts sur les frêles épaules de la jeune femme, que je... que je...

L'hésitation dans la voix de la principale surprit grandement Morgane.
Madame Figide était une femme sûre d'elle et ne laissait aucune place au doute quand elle prenait une décision.

À l'évidence, elle avait déjà réfléchi au sort de Morgane et tous ses beaux discours n'avaient pour but que de l'amener devant une sentence qu'elle avait choisie depuis longtemps.
- Que quoi ? Finit par demander la jeune femme que cet entretien commençait à énerver.
- Que je... je voudrais que... comme punition j'aimerais que...

Elle ne semblait pas trouver ses mots pour finir sa phrase.
Morgane sentit ses doigts sur ses épaules trembler légèrement et commencer à doucement caresser la naissance de son cou.
Ce changement de comportement inquiéta la jeune prof et elle se demanda ce qu'elle écopera comme sanction.
- Oui, s'impatienta-t-elle en se retournant.




Lorsqu'elle tourna la tête, elle eut la surprise de voir le visage de madame Figide à quelques centimètres du sien.
Elle sursauta et déglutit péniblement.
Mais qu'est-ce qui lui prenait ?
Elle était tout d'un coup devenue étrange.
La directrice l'observait avec une lueur bizarre dans le regard, comme de la lubricité ...

Avant que Morgane ait pu faire quoique ce soi, la principale saisit son visage et l'embrassa farouchement.
La jeune femme en fut littéralement tétanisée et ne pensa même pas à oser se dérober.




Elle sentit les mains de sa supérieure glisser le long de ses épaules et venir pétrir sa poitrine.
La situation et la façon dont cette dernière la pelotait excitèrent énormément la jeune prof.

La jupe de la jeune femme fut rapidement remontée par une directrice folle d'envie.
Elle poussa Morgane sur le bureau, dévoilant ainsi sa petite culotte rose qui dissimulait à peine ses jolies fesses.




Elle glissa ses mains sous celle-ci, découvrit la chatte épilée et excitée de Morgane et commença à lui prodiguer un cunnilingus très avide et gourmand.
- Je veux te lécher ta chatte et ton cul ! J'aime tellement le doux parfum qu'ils dégagent !




Le cunnilingus se transforma rapidement en un annulingus tout aussi avide, pour le plus grand plaisir de Morgane qui se délectait du plaisir que lui offrait la principale alors qu'elle s'attendait être réprimandée.
La jeune femme ne put s'empêcher de gémir sous l'intensité des caresses.




La principale lui malaxait les fesses et la léchait avec tellement d'impatience que ça en devenait sauvage.

Soudain, Morgane décida de sortir de son hébétude et de prendre les devants.
Elle se leva de sa chaise, déboutonna le tailleur de sa supérieure et, toujours en embrassant cette dernière, pétrit à son tour ses seins.
Ils étaient plus petits mais suffisamment fermes et très agréables au toucher.




Ce contact électrisait la jeune femme.

Morgane déposa prudemment un baiser sur le mamelon devenu tout rigide de la principale.
La voyant tressaillir, elle sourit et se mit à suçoter délicatement ce petit bouton rose.




Avec ses mains, elle abaissa la jupe de la femme en chaleur et vint titiller son sexe.
Elle vit rapidement que son vagin était enduit de mouille.
C'était le signe qu'elle attendait.




Elle prit la directrice par les hanches et la dirigea vers son bureau.
Une fois là, elle la força à s'asseoir dessus, ses fesses écrasant toute la paperasse.

Morgane caressa la raie de son cul à l'aide de ses doigts.
- Alors, je n'ai pas été sage c'est ça ? Vous vouliez me punir, non. Demanda espièglement la jeune femme.
-N... Non, haleta sa supérieure. Je voulais juste te demander de... d'essayer... enfin si tu le veux bien... de venir plus tôt... si ça t'arrange, bien sûr.




Morgane ricana.
Elle avait transformé le méchant loup qu'était la directrice de ce collège en un petit agneau serviable et docile.
-As-tu déjà eu une relation anale, Eugénie ?

Morgane se régala de l'expression outrée de la femme quand elle l'appela par son prénom.
-Quoi ? Mais... je ne te... permets...

La jeune femme enfonça un doigt dans son cul pour la faire taire.
Mais, au lieu de crier de surprise, la principale gémit bruyamment, comme si elle n'attendait que ça depuis le début de l'entretien.
De plus, son trou était plutôt dilaté.
-Oh mais je vois qu'on a l'habitude, n'est-ce pas ?




La directrice ne répondit pas.
- Bon, puisque tu as l'habitude, cette séance ne sert à rien... je vais me rhabiller.
- Non, attends ! s'écria la pauvre femme.
- Veux-tu bien me vouvoyer, ordonna Morgane en glissant un autre doigt entre ses fesses.
- Mmh... oui excusez-moi. Mais... Est-ce que vous voudriez bien... me...
- Te quoi ?

Morgane jubila intérieurement, sachant pertinemment ce qu'allait lui demander sa supérieure.
- Enculez-moi... finit-elle par soupirer. S'il vous plaît.
- Regardez dans le tiroir, là-bas sur la droite, ajouta-t-elle en pointant du doigt une section du bureau.

La jeune femme tira sur le tiroir et tomba sur un éventail de sex-toys tous plus farfelus les uns que les autres.
- Mmh, je vois que madame la directrice s'ennuie dans son bureau... Se sent-elle seule ? Souhaiterait-elle un peu plus de compagnie... ?
- Je...




Morgane choisit et enfila un gode ceinture de taille imposante.
Armée de son imposante queue, elle s'enfonça dans le cul de la directrice.
Celle-ci hurla quand la bite artificielle glissa en elle sans rencontrer de résistance.
Morgane poussa sans pouvoir s'arrêter jusqu'au moment où ses hanches vinrent percuter les fesses d'Eugénie.

Toutes deux en furent ébahies.
Morgane parce qu'elle n'avait jamais pensé que ce sexe entrerait entièrement et la directrice parce qu'elle n'avait jamais eu quelque chose d'aussi gros dans son cul.
-Oh ouiiiii ! Gémis cette dernière.
-Waouw ! Ton cul est si profond !




Morgane se pencha, poussant davantage sur le cul d'Eugénie qui gémit de plaisir.
Celle-ci s'accrochait vainement au bureau pour tenter d'endiguer les vagues de plaisirs qui menaçaient de la submerger à tout moment.

Morgane se retira du cul de la principale et y replongea violemment.
Cette dernière hurla de plaisir.

La jeune femme encula sa supérieure durant une bonne vingtaine de minutes, la faisant crier de bonheur.
Heureusement pour elles, le collège était vide et le concierge n'arrivait que le soir.
Elles avaient l'après quatre heure pour elles seules...
- Qu'est-ce que c'est bon ! Je vous sens tout au fond de moi ! Plus vite, je vous en prie ... plus vite !




La directrice jouit violemment, saisie de spasmes et de contractions incontrôlables.
- Oh Morgane, je jouiiiiiis !

Lorsqu'elles eurent toutes deux récupéré leur souffle, la jeune femme se retira doucement, faisant à nouveau gémir la dame qui gisait toute nue sur le bureau.


Morgane lui saisit doucement le visage à deux doigts et posa ses lèvres sur les siennes.
Ce fut un long baiser, empreint de tendresse et de complicité.
Leurs langues se frôlèrent, se caressèrent et se tournèrent l'une autour de l'autre exécutant une danse sensuelle.
Toutes deux gémissaient tandis que leurs mains et leurs lèvres caressaient les seins de l'autre.




_____________________________________________

Morgane rentra chez elle et fonça prendre une douche.




Une fois propre, elle s'apprêta à aller se coucher lorsqu'elle se rendit compte qu'elle avait oublié de rallumer son téléphone.
Une fois fait, son portable fut littéralement envahi de mes appels manqués.

Elle me rappela.
- Enfin ! répondis-je. Qu'est-ce que tu as fait pendant tout ce temps ?
- Bonjour Vincent, oui je vais bien et toi, comment vas-tu ? c'est vrai que ça ne fait que 12 heures que l'on ne s'est pas vus !
- Ha ha, très drôle ! Rétorquai-je. J'ai besoin de te parler. Est-ce que je peux venir ?




La jeune femme soupira.
Elle n'allait pas dormir de sitôt...
J'arrivai très vite chez elle.

- Bon, commençai-je. J'ai continué tes analyses et certains résultats sont inquiétants.
- Ah bon ? Qu'est-ce qui peut bien être si grave ? Demanda la jeune femme.
- OK, on va commencer par le liquide que j'ai recueilli dans ta chatte. Ce n'est pas que de la cyprine. Ce liquide est constitué de nombreux éléments dont certains stimulent les neurotransmetteurs
- Mhm, acquiesça la prof. Du coup en français ça donne quoi ?
- En gros, il donne plus de plaisir à ceux avec qui tu baises.
- Là c'est plus clair, sourit-elle.




- Le même liquide se trouve en bordure de ton anus.
- Donc, si quelqu'un me sodomise il va prendre son pied quoi ?
- Exactement ! Et je le confirme entièrement, dis-je, un sourire rêveur collé sur mes lèvres alors que je pensais à la fois où elle m'avait demandé de l'enculer... Evidemment, tu recevras toi aussi plus de plaisir.




- Ensuite, j'ai eu les résultats de ton sang et là, ça se complique...
- Pourquoi ?
- Ton sang, Morgane, est bourré, et je dis bien bourré, de phéromones sexuelles.
- Vincent si tu ne t'exprimes pas normalement je ne peux vraiment pas comprendre.

Je soupirai, exaspéré.
- C'est ton odeur, si tu veux. Le sang véhicule les hormones jusqu'à ta peau qui, après, éjecte ces dernière sous formes de phéromones et les gens identifient ça comme étant ton odeur.
- Et où est le problème ? Demanda la jeune femme en haussant négligemment les épaules.
- Le problème, c'est que ton parfum excite tout le monde. N'importe qui, s'approchant à une certaine distance de toi, sera immédiatement sous ton charme et, du coup, excité au point de ne pas pouvoir se contrôler.
- Oh, d'accord... Cela dit, je ne vois toujours pas où est le problème.
- Comment veux-tu résister toi, si tout le monde autour de toi veut te baiser ??
- Ah oui c'est vrai, dit-elle en se souvenant que c'était la directrice qui lui avait sauté dessus, et non l'inverse.




- C'est tout ?
- Heu ... Oui ... Pour l'instant du moins, bafouillai-je, surpris qu'elle réagisse de la sorte.

Morgane me regarda de façon suspicieuse.
Pour la première fois, elle avait l'impression que je lui cachais quelque chose.
Elle finit par hausser les épaules.
- Très bien, je vais me coucher, alors. Bonne nuit, fit-elle en se détournant.
- Attends... heu... ça va ?
- Bah oui... pourquoi me demandes-tu ça ?
- Je ne sais pas... Ces derniers jours, j'ai l'impression que tu es excitée tout le temps. Tu ne l'es pas ce soir ?




La jeune femme réfléchit à toute vitesse.
Elle était crevée mais si elle me répondait non, j'allais trouver ça bizarre et je la soupçonnerais d'avoir eu une relation à l'école.
- Si, bien sûr, dit-elle rapidement. Je comptais me masturber maintenant.
- Oh d'accord...

Un silence gênant s'installa.
Comme je ne faisais pas mine de partir, Morgane soupira et me proposa :
- Tu veux m'aider ?




Mon visage s'illumina.
Morgane n'allait pas dormir de si tôt...

_____________________________________________

- Mmh ! En fait, tu aimes vraiment me lécher la chatte, mon Vincent !

Morgane soupira d'extase quand elle sentit mon appendice buccal la pénétrer.
J'enfonçais le plus loin possible ma langue en farfouillant dans tous les recoins trempés du petit trou.
Incapable de répondre, je ne pus qu'acquiescer vivement.
Morgane était incapable de retenir ses gémissements de plaisir.




Je commençais à savoir comment la faire jouir rapidement.
Je savais où il fallait mettre une pression avec mes lèvres et où il fallait aspirer pour la faire gémir.
Elle se liquéfiait littéralement sous mes coups de langue.
Je ne perdais pas une goutte de ce délicieux breuvage.
J'émettais de grands bruits de succion en aspirant les méandres de Morgane.

Je vins caresser du bout de mon index la rondelle toute humide qui ne demandait qu'à ce qu'on s'occupe d'elle aussi.
Morgane geignit en se cambrant.
J'en profitai pour enfoncer mon index dans le cul de la jeune femme.

Cette dernière explosa de plaisir en hurlant et un flot de mouille fut éjecté de sa chatte.
Je collai ma bouche grande ouverte contre le trou qui m'aspergeait et avalai tout le liquide.
Ma gorge produisait de grands bruits de déglutition tandis que je me régalais de cet enivrant nectar.




Morgane caressa mes cheveux comme une maman qui regarde son fils téter à son sein.
Elle me couvait d'un regard brûlant de plaisir.
J'enfonçai un second doigt dans les tréfonds de la jeune femme et lui titillai ses parois humides.

Cette nouvelle pénétration fit éjecter une seconde salve de cyprine qui vint se perdre dans ma bouche.
Je me faisais littéralement asperger de mouille et j'avais un mal fou à tout ingurgiter.




Nous nous effondrâmes sur le lit, tous deux exténués.
La jeune femme revint lentement à elle.

J'étais aux anges.
Je me pourléchais les babines comme un enfant s'étant régalé d'une délicieuse glace.
- Waouw ! M'exclamai-je. Trop bon !
- Ah bon, tu trouves ? s'enquit la jeune femme.
- Oui, je trouve que tu as très bon goût, dis-je très sérieusement.

Morgane rigola.
Nous nous séparâmes.
Je rentrai chez moi et Morgane s'endormit bien rapidement.
Après une telle journée, il était normal d'être fatiguée...
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Le lendemain, la jeune femme alla en cours et rien de spécial ne se produisit durant la journée... jusqu'à la fin des cours...
Les élèves venaient de quitter la classe et Morgane corrigeait les dernières copies.
Elle râlait silencieusement devant les fautes stupides qu'une de ses élèves avait faites quand entra la prof de math.




- Salut Morgane, lança-t-elle joyeusement. Tu as vu la directrice aujourd'hui ? Elle est super nerveuse, je ne sais pas ce qu'elle a.
- Coucou Mathilde. Non je ne l'ai pas vue de la journée...

Morgane se doutait que l'humeur de la directrice avait probablement un rapport avec leur petite séance de baise de la veille, mais elle préféra taire ce détail à sa collègue.
Elle se tourna vers cette dernière.
Elle admira du coin de l'œil les courbes de ses hanches ainsi que la profondeur de son décolleté.




La collègue de morgane s'approcha et regarda par-dessus son épaule pour voir ce qu'elle faisait.

Elle lut la copie et esquissa un sourire quand elle vit les fautes.
- Je crois sérieusement que cette Manon devrait faire plus attention à son orthographe. Non mais regarde-moi ça : « attandre » avec « an ».




Morgane sourit.
C'était bien le style de son élève : faire plus attention aux beaux garçons de la classe plutôt qu'à sa propre copie.
Elle se tourna vers Mathilde qui était toujours plongée dans sa lecture.
- J'aurai sûrement un entretien avec cette demoiselle, annonça Morgane. Elle a de nombreux problèmes d'attention en cours, surtout depuis que ce jeune homme qui passe son temps à lire des mangas est arrivé en milieu d'année. Je crois qu'elle est...




Soudainement captivé par les yeux pistache de sa collègue, la jeune femme laissa sa phrase en suspens ne sachant plus comment la terminer.
Le silence s'épaissit entre les deux profs et rien ne semblait vouloir venir le perturber.
Mathilde se sentit tout à coup attirée par sa collègue.
Elle se pencha lentement, hypnotisée par l'aura de la jeune femme.




Morgane sentit que plus Mathilde s'approchait, plus son désir montait en flèche.
Elle eut soudain le besoin ardent d'embrasser les lèvres de sa collègue.
Elle se souleva mais, juste avant que leur bouche ne se rencontrent, Mathilde se détourna.
- Je ... Heu ... La directrice m'envoyait te demander d'aller la retrouver, bafouilla Mathilde. Je crois qu'elle ne retrouve pas le dossier d'Eduardo ou quelque chose dans le genre ...




Morgane en fut stupéfaite.
Elle ne sut pas comment réagir et resta plantée là.
Elle regarda sa collègue tenter de reprendre une certaine contenance et se remettre de ses émotions.
Mathilde murmura quelques excuses et partit comme si elle avait le diable à ses trousses...

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- Entre.

Morgane pénétra dans le bureau de la directrice encore toute choquée par ce qui venait de se produire.
- Si vous chercher le dossier d'Eduardo, il se trouve ...
- Bla bla bla. La coupa Eugénie. Tais-toi donc et viens plutôt me baiser.

Morgane sortit de sa rêverie et vit la directrice, vêtue (ou dévêtue) de façon très provocante et qui la regardait lubriquement.




Morgane ne fut pas longue à réagir : elle tira la fermeture éclair de sa jupe et laissa glisser cette dernière le long de ses jambes.
- Mhm, approuva la directrice. Je vois que tu n'as pas mis de culotte aujourd'hui.




La directrice s'empara de la jeune femme et la poussa contre le mur.
Elle la regarda intensément et lui enfonça sans prévenir deux doigts dans la chatte.
- Waouw, Eugénie !

Mais la directrice n'en avait pas fini.
Elle colla sa bouche à son son sexe pour en boire tout le jus.
De son autre main, elle se mit à titiller l'anus de Morgane.
Cette dernière ouvrit de grands yeux quand elle sentit le plaisir monter en flèche.
- Oui, je vais jouir !




La directrice enfonça alors trois doigts dans le cul de Morgane.
Ce fut comme appuyer sur un bouton pour faire exploser un barrage.

La jeune femme cria à s'en déchirer les cordes vocales.
Ses deux trous, qui étaient comblés, se contractèrent et laissèrent tous deux échapper des jets de cyprine qui inondèrent les mains de sa supérieure.




Apaisée, Morgane fonça vers l'évier et avala à grands traits des litres d'eau.
Une fois rassasiée, elle vint se frotter contre sa supérieure qui était toujours étendue par terre. Elles firent un câlin.




Morgane dit soudain :
- Il faudrait que tu m'aides pour quelque chose...
- Tout ce que tu veux...
- Donc voilà...

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Quand Morgane rentra chez elle, je l'attendais sagement sur le pas de la porte.
- Mais, tu es accroc à moi ou quoi ? s'exclama-t-elle, exaspérée.
- Pas du tout, rétorquai-je, sur la défensive. Je m'assure juste que ma petite protégée ne fait pas trop de bêtises.
- Mais oui, bien sûr ! Qu'est-ce que tu veux ?
- Juste savoir comment tu vas et passer un peu de temps avec toi.
- Tu veux qu'on baise, en somme !

Je ne répondis pas mais la tête que je fis indiqua clairement à Morgane qu'elle avait visé juste.
- Bon, soupira la jeune femme, entre.




Je passai l'heure suivante à aspirer la chatte de Morgane de manière consciencieuse et très avide. Nous nous séparâmes avant minuit et Morgane put enfin se reposer en se disant qu'elle ne tiendra jamais comme ça tous les jours.
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Le lendemain, à la fin des cours, une de ses élèves vint la trouver à son bureau.
- Madame ?
- Oui, Juliette ?
- Je ne comprends pas quelle est ma faute, ici, dit-elle en indiquant une phrase qui avait été biffée en rouge.




- Oh c'est parce que tu as conjugué le verbe au subjonctif et non à l'indicatif...
- C'est juste pour ça ? Vous ne pouv...
- Je ne peux pas quoi ? Demanda la prof en regardant son élève d'un œil suspect.

Juliette s'était arrêté en beau milieu de sa phrase et regardait sa prof avec un drôle d'air.
- Juliette ? Est-ce que ça va ?




La jeune adolescente ne répondit pas.
Elle avança brusquement, saisit la tête de Morgane entre ses mains et l'embrassa.
La prof ne sut pas comment réagir.
Morgane poussa son élève.
- Juliette ! Mais qu'est-ce qui te prend enfin ?!
- Je n'en sais rien, répondit cette dernière, sa respiration soudainement devenue haletante. Je mouille comme jamais, dit-elle en enfonçant sa main dans son string à peine dissimulé par sa jupe ultra-courte qu'elle avait remontée sous le coup de l'excitation.




Elle recommença à l'embrasser férocement.
Morgane la repoussa encore une fois.
- Juliette, lui-intima-t-elle, je ne crois pas que ce soit une bonne idée. Et si quelqu'un entrait, on pourrait...




La jeune élève se leva prestement, courut jusqu'à la porte et ferma cette dernière à clefs.
Elle revint s'asseoir sur le bureau à côté de Morgane.
Celle-ci ne trouva plus le courage de la repousser.

Elle glissa ses mains sous les fesses de son élève en l'embrassant fougueusement.
Elle glissa sa main sous le fin tissu de la culotte de son élève et caressa sa vulve gonflé et déjà fortement humide.




Juliette gémit :
- Madame... Doigtez-moi...
- Demande-le moi gentiment, jeune fille.
- Je vous en supplie, il faut que vous éteigniez le feu qui brûle en moi ! Allez-y maintenant.

Morgane enfonça un doigt dans le minou de sa jeune élève qui geignit intensément.
- Ouuiii, c'est bon ! Encore ! Encore ! Demanda-t-elle en retirant prestement sa chemisette et dévoilant de gros seins fermes retenus par un joli soutien-gorge noir.
- Waouw, tu es si serrée. C'est trop bon.




Morgane ajouta un doigt dans le vagin de son élève qui se cambra tellement qu'elle dû s'allonger sur le bureau.
Elle retira son soutien-gorge et joua avec ses seins, suçotant ses tétons devenus durs.




La jeune prof, quant à elle se mit à genoux et brouta sauvagement l'abricot luisant de sa jeune et superbe élève.
Celle-ci, ne s'attendant pas à recevoir de sa prof un cunnilingus si ardent, eut un cri de surprise mêlé de plaisir.
-Madame ! Ouuuiiiiii !!




Morgane poursuivit sa délicieuse dégustation en se caressant lubriquement sous son bureau.




Soudain, on frappa à la porte.
- Morgane, c'est Mathilde. Tu es là ?

La jeune prof retira vivement sa langue de l'intimité de son élève.
Elle paniqua un peu puis repris rapidement contenance.
- Oui, mais je suis occupée pour le moment.

Morgane regarda Juliette qui mordait son doigt pour s'empêcher de gémir.
La prof mit son doigt devant sa bouche pour lui faire signe de se taire.
La jeune fille approuva du chef.

Morgane lui lança alors un regard lubrique où brillait un immense plaisir et elle enfonça le doigt qui venait de lui intimer le silence dans l'anus de son élève.




Cette dernière se cambra violemment sous le coup du plaisir mais parvint malgré tout à garder le silence.
Morgane recommença à lui brouter avidement le minou tout en doigtant son délicat anus.
- Ah, d'accord. C'était juste pour te dire que la directrice nous convoque dans son bureau...
- Très bien, dis-lui que je finis d'expliquer les subtilités de la langue française à une élève et ensuite j'arrive.
- D'accord, à tout de suite.

Elles entendirent les pas s'éloigner dans le couloir.
- Madame, je vais jouir, geignit Juliette. C'est trop bon !




Encore quelques coups de langue puis elle jouit intensément en hurlant de plaisir dans la bouche de sa prof qui avala tout sans retenue.
Morgane, sous ses propres caresses, jouit à son tour, déversant sa cyprine avec abondance sous son bureau.
- Waouw, madame ! C'était... incroyable !




Morgane sourit.
- Rhabille-toi vite parce que la directrice m'attend.
- D'accord. Dites, est-ce qu'on pourrait recommencer ?

Morgane répondit par un sourire gourmand.
Elle se lécha les lèvres pour seule réponse.




La jeune élève lui renvoya son sourire puis s'en alla.
Morgane alla trouver la directrice.
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Transformations 09 - le cercle s'agrandit


Quand elle entra dans le bureau de sa supérieure, elle eut la surprise de voir cette dernière en train d'embrasser Mathilde.




Les deux femmes se retournèrent.
Mathilde eut un regard paniqué tandis qu'Eugénie lui lançait un sourire lubrique.
- Ah, je vois que vous avez déjà commencé sans moi, dit Morgane à la directrice.
- Je n'ai pas pu résister...
- Je ne suis pas sûre de comprendre, dit la pauvre Mathilde qui était toute perdue.
- Ne t'en fais pas, la rassura Morgane en enlevant sa jupe. Tu vas très vite saisir où on veut en venir...




Mathilde mit sa main devant sa bouche et ouvrit de grands yeux.
- Mais... Comment...? Morgane ?

La directrice vint enlacer Mathilde par derrière et fit glisser ses vêtements le long de ses jambes.
La jeune femme se laissa faire, comme si, dépassée par les événements, elle acceptait tout.

Eugénie retira aussi ses vêtements et se frotta aux fesses de Mathilde tout en massant son clitoris impeccablement épilé.
La jeune femme gémit entre deux baisers.




Morgane se dit que sa collègue était plus excitée que ce qu'elle voulait bien leur faire croire.
Mais elle dû admettre qu'elle se contrôlait remarquablement bien.

Elle se mit à genoux et embrassa langoureusement le délicieux sexe de sa collègue.
Celle-ci ne put retenir un gémissement tremblant d'excitation.




Eugénie, plus mesquine, se colla à son dos et commença à embrasser son dos nu en pétrissant ses seins.
La main de la directrice se fraya un passage jusqu'à ses fesses et caressa le délicat anus de Mathilde.
Sans prévenir, elle y enfonça son majeur jusqu'à la garde.




Mathilde se cambra violemment et Morgane reçut quelques jets de mouille au fond de la gorge.
- Pas là, gémit Mathilde. S'il vous plait, je ne l'ai jamais fait là.
- Où ça ? S'enquit innocemment la directrice.
- ... Dans les fesses, rougit la jeune femme.
- Tu n'as jamais pris dans le cul ? S'ébahit Eugénie qui était une grande adepte de cette pratique.

Elle lança un regard complice à Morgane qui lui répondit par un sourire entendu.
- ... N... non, mais je ne veux pas.
- D'accord, d'accord, la rassura Morgane. Eugénie, assieds-toi sur le bureau je te prie.




Elle s'exécuta sans rechigner et, une fois en place, se massa la vulve en attendant la suite des instructions.
- Mathilde, Eugénie n'a pas eu d'orgasme vaginal depuis très longtemps et elle se languit de cette sensation... Tu pourrais l'aider ?




Mathilde avait compris.
Morgane voulait qu'elle présente sa croupe en faisant un cunnilingus à sa directrice.

Elle hésita une pleine seconde mais, l'excitation l'emportant sur la raison, elle finit par coucher son buste sur le bureau.
Sa tête était à deux doigts du sexe de sa supérieure et elle reniflait ses effluves enivrantes.




Elle n'avait encore jamais goûté au jus d'une femme.
- Comment se fait-il que vous n'ayez pas eu d'orgasme, s'étonna soudain Mathilde. C'est la première fois que vous baisez ?
- Oh non, bien sûr que non, Sourit la directrice. Ça fait trois jours que ça se passe comme ça avec Morgane ! Je crois que j'ai eu neuf orgasmes en tout.
- Neuf, s'exclama la jeune femme. Mais vous venez de dire que...
- C'est parce que ce n'était pas des orgasmes vaginaux... Susurra Morgane à son oreille.

Mathilde eut un léger temps de réflexion avant d'ouvrir de grands yeux alarmés.
- Non, je ne peux ...




Avant qu'elle n'ait le temps de finir sa phrase, Morgane, après l'avoir glissé dans sa chatte afin de le lubrifier, enfonça l'un des plus petits sextoys d'Eugénie dans l'anus de Mathilde.




Elle poussa un puissant gémissement que la directrice étouffa en collant son sexe luisant contre la bouche de la jeune femme.
Elle croisa ensuite ses jambes dans le dos de la jeune femme pour que celle-ci ne se débatte pas trop.
Elle ondulait du bassin pour frotter sa vulve trempée contre le visage de la jeune femme.




Morgane commença de lents mouvements avec le sexe artificiel, qui allaient de plus en plus loin dans son cul.




Mathilde semblait grandement surprise des sensations que cette pénétration lui faisait ressentir.
Sa bouche avait beau être dans l'intimité de sa directrice, ses yeux exprimaient un plaisir sans cesse croissant.

Elle gémissait de surprise et de désir dans la chatte d'Eugénie qui accentuait ses mouvements de bassin pour son propre plus grand bonheur.
- Mets-moi un doigt dans l'anus, demanda la directrice à Mathilde.




Celle-ci s'exécuta et elle fut surprise de la facilité avec laquelle son doigt avait franchi les parois anales de sa supérieure.
Elle se saisit alors de l'un des sextoys de la directrice qui rentra tout aussi aisément.
Eugénie pencha la tête en arrière et gémit d'aise.




Ses deux trous étaient comblés et elle était très excitée par la vision de Mathilde enculée par Morgane.
- Oh Mathilde, tu as l'air d'aimer ça, gémit Morgane qui se caressait tandis qu'elle continuait à initier sa collègue au plaisir anal. C'est trop bon !
- Plus vite ! Supplia la jeune femme entre deux lèches vaginales. Vas plus vite !
- Tu es sûre ? tu es vraiment très serrée.
- Je veux le sentir au fond de moi !




Morgane n'en attendait pas moins.
Elle poussa fortement le sextoy contre Mathilde qui s'écrasa contre le bureau en geignant de bonheur.
- Ohhh ! Oui ! Vas-y, vas-y ! Mon cul, putain ! Mon cul est rempli et défoncé ! Baise-moi Morgane ! Encule-moi !

Morgane embrocha à nouveau sa collègue mais, cette fois-ci, un peu plus rapidement.
Elle réitéra l'opération sous un concert de gémissements venant des deux femmes.
Sa queue artificielle glissait dans les entrailles de Mathilde avec une étrange et délicieuse facilité.




Elle pénétrait Mathilde de plus en plus rapidement, accentuant ses gémissements.
À chaque fois qu'elle touchait le fond, sa collègue poussait un geignement à moitié de surprise, à moitié de jouissance.
- Oh ! Vas-y ! Morgane, Troue-moi l'anus ! Plus vite, encore plus vite ! Je vais jouir du cul !

Morgane se mit à pilonner sa collègue.
Cette dernière, sous les puissants coups de boutoirs, cria de plaisir en en demandant encore.

Soudain, Mathilde se cambra violemment et eut une série de contractions annales.
La jeune femme jouissait.
- Ooh c'est boon ! Gémit Mathilde.




La directrice planta son sexe sur la bouche de la jeune femme et le frotta frénétiquement.
- Je vais jouir moi aussi ! S'exclama-t-elle. Plus vite ! Mets ta langue ! Ouiiii ! c'est boon !

Elle s'effondra sur son bureau, éreintée par l'orgasme qu'elle venait d'avoir.




Morgane n'eut qu'à effleurer son clitoris très humide pour les rejoindre dans une jouissance fulgurante.




Les trois femmes restèrent là, attendant que leurs orgasmes s'estompent, comme un rêve qui s'efface doucement au réveil.

Morgane fut la première à réagir en allant se chercher un verre d'eau.
Lorsqu'elle revint, Mathilde et Eugénie la supplièrent pour pouvoir aspirer toute l'abondante et délicieuse cyprine qui s'écoulait encore de sa chatte.




Morgane accepta, bien entendu, et gémissait de bonheur sous les caresses linguales de sa supérieure et de sa collègue.
Ce breuvage semblait avoir un réel pouvoir aphrodisiaque sur les deux femmes qui étaient comme folles de désir et d'excitation.




Les trois femmes eurent leur orgasme simultanément en criant de bonheur.




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Transformations 10 : Le secret

Lorsque Morgane rentra chez elle, elle me trouva sur le pas de sa porte.
Je l'attendais.
- Vincent, dit-elle exaspérée, on ne va pas se voir tous les soirs...
- Voilà, heu... Lorsque j'ai fait tes analyses, j'ai remarqué quelque chose sur tes sécrétions vaginales. Mais je n'ai pas voulu t'en parler...
- Pourquoi ? Fit agressivement la jeune femme.
- S'il te plait, calme-toi. Ce n'est pas facile pour moi.
- D'accord, excuse-moi. Qu'as-tu de si important à me communiquer ?




Je n'étais pas à l'aise.
- Ton liquide vaginal... Il rend accroc.

Morgane en resta sans voix.
Elle m'observa.
- Tu veux dire que... tu es accroc à moi ?
- Je... je ne l'ai pas fait exprès, tu sais. Je voulais juste te procurer du plaisir.
- Tu aurais dû me prévenir, quelqu'un d'autre aurait pu être accroc.
- Tu veux dire que tu à fais l'amour avec d'autres personnes ?
- La directrice de l'école et une de mes collègues. Mais tu sais quoi ? J'en ai marre que tu essaies de contrôler ma vie. À partir de maintenant, je fais ce que je veux.
- Non, tu ne peux pas faire ça ! Je te l'interdis !
- Non, parce que si tu me l'interdis, tu ne me touches plus... Tu sais ce que ça signifie n'est-ce pas...?




Mon regard implorant se heurta aux yeux durs et sévères de la jeune femme.
Soudain, Morgane sourit et je crus que c'était bon signe.
Évidemment, je me trompais...
- J'ai une idée, lança-t-elle en se dirigeant vers la porte d'entrée. On va jouer à un jeu.
- Un jeu ? Répétai-je.
- Oui, un jeu.

Morgane prit sa clef et ferma la porte à double tour.
Je déglutis péniblement en entendant la serrure tourner mais tentai de garder mon calme.




- Voici les règles : ni toi, ni moi ne pouvons sortir d'ici. Ma maison sera notre arène. Si jamais, à sept heure du matin il ne s'est rien passé entre nous, je t'obéirai jusqu'à la fin de l'opération et j'agirai comme un parfait cobaye. En revanche, si, avant sept heure du matin, tu m'as fait un cunnilingus ou simplement tu m'as baisée, alors je serai libre de faire ce que je veux. Évidemment, je ne peux pas te toucher. Tu es le seul à pouvoir enclencher quoique ce soit.
- Et si je refuse ? Si j'arrive à m'échapper de ta maison ?
- Dans ce cas-là, j'estimerai que tu as abandonné et donc que je pourrai faire ce que je veux.
- Je... je...
- Bien ! Je prends cela pour une approbation.




Morgane commença à retirer ses chaussures.
- Qu'est-ce que tu fais, demandai-je.
- Je joue. Et toi ?
- Heu... Rien, je...

Je m'arrêtai au milieu de ma phrase quand je vis la jeune femme faire glisser sa robe le long de ses jambes.
Elle se retrouva en sous-vêtements au milieu du salon.
Je compris que le jeu tournait en mon désavantage.
- Bien, dit-elle. Il est dix-huit heures. Ça veut dire qu'il nous reste treize heures de jeu. Je sens qu'on ne va pas beaucoup dormir cette nuit...




Elle dégrafa son soutien-gorge dévoila deux seins impeccablement calibrés et d'une beauté fulgurante.
Je dus mettre toute ma concentration en œuvre pour ne pas craquer.
La jeune femme eut un sourire moqueur devant les efforts évidents que je faisais pour me contenir.
Lentement, elle abaissa sa culotte et dévoila son vagin parfaitement épilé, déjà un peu luisant de mouille, il semblait appeler quiconque à venir s'abreuver à sa source.




Assis dans le canapé, je ne pus détourner mon regard de l'objet de tous mes désirs.
Je mis ma main devant mon entrejambe pour cacher le début d'érection que je sentais poindre et regardai avec un mélange d'envie et de terreur Morgane approcher...




Je suais à grosses gouttes.
J'avais de plus en plus de mal à résister à mes pulsions et mon sexe me faisait souffrir tant l'érection que j'avais était forte.
Ma torture durait maintenant depuis deux heures.
Autant dire une éternité.

Morgane, sans état d'âme, s'était mise à quatre pattes et se doigtait langoureusement.
Elle poussait de terribles gémissements qui entamaient grandement mes résistances.
- Vincent, viens éteindre le feu qui brûle en moi. Je t'en prie.




Ses suppliques entraient en moi et faisaient vibrer mes instincts les plus primaires et sauvages.
J'étais comme un homme perdu en plein désert qui voit des oasis tout autour de lui mais qui sait que s'il les touche, ce sera la fin.
Finalement, à bout de nerf et sur le point d'explosé tant j'étais excité, je saisis ma verge et me branlai devant le spectacle de la jeune femme.




- Oui, c'est ça, mon Vincent ! Branle-toi ! je peux t'aider si tu le souhaites. Mon trou tout mouillé supplie d'être rempli. Laisse-moi m'asseoir sur toi, je t'en supplie.
- Non... arrête de... je ne peux pas...
- Ne t'en fais pas, tu n'auras rien à faire... Je veux juste que tu te sentes mieux. Regarde, dit-elle en écartant les lèvres de son vagin. Il t'appelle... Il te veut en lui. Il sait que tu es fait pour lui et qu'il est fait pour toi.




J'étais tout rouge et je haletais pour essayer de garder mon calme.
Je ne savais pas comment j'avais tenu si longtemps mais je devais continuer !
- Regarde comme...

La jeune femme mit un de ces doigts dans son vagin.
Celui-ci se liquéfiait littéralement et coulait en grosse gouttes sur les cuisses de Morgane.
Elle ne pensait pas qu'elle pourrait réussir pareil exploit et faisait plutôt ça pour le jeu.
- Oooh waa ! Mon Dieu ! Qu'est-ce que c'est bon !




J'étais aussi excité que la jeune femme et me branlais vivement.
- Vincent ! Vient dans mon anus ! Il me faut une bite dans mon cul, je t'en prie. J'ai besoin de toi !

J'observais avidement le derrière de Morgane se balancer presque de lui-même.
Son vagin était comblé par sa main et son anus était légèrement entrouvert.
J'avais plus que jamais du mal à résister.
- Regarde comme mon trou est profond ! Je te veux, Vincent !




J'étais sur le point de jouir et je savais que c'était maintenant que c'était le plus dur.
J'étais au summum du désir et de l'excitation et je ne devais en aucun cas céder !
- Je vais jouir, mon Vincent ! Viens vite en moi !
- Morgane...
- Oui ? Demanda-t-elle en se levant et en venant placer sa croupe au-dessus de mon sexe.
- Je...
- Oui ?




Elle écarta une fesse d'une main tandis que l'autre était toujours perdue au fin fond de son vagin.
Je vis ce trou avide d'être rempli.
Je lâchai ma queue, tendis mes mains vers les hanches de Morgane... puis me ravisai.
- Non... rien, dis-je en me masturbant à nouveau.
- Si, dis-moi mon Vincent. Tu veux entrer en moi ? Tu sais que tu n'as qu'un mot à dire et ton supplice prendra fin...




Elle s'approcha de moi et, dos à moi, elle mit un pied sur le canapé et s'abaissa jusqu'à ce que sa bouche soit juste en face de ma verge tant convoitée.
Ainsi, son cul tendu se trouvait à quelque centimètre à peine de mon visage.
J'étais sur des charbons ardents.
Pire, j'aurais aimé être sur des charbons ardents plutôt que dans cette situation.




L'odeur de cyprine était encore plus forte qu'avant et plus entêtante que jamais.
Elle passait en moi et me noyait le cerveau sous une cascade de désirs et de lubricité qui m'empêchait de réfléchir normalement.

De plus, le souffle haletant de Morgane caressait ma queue, augmentant mon désir.
Je n'avais qu'une seule envie, c'était de m'emparer de la bouche de la jeune femme et d'y enfourner mon sexe le plus profondément possible et puis d'aspirer goulûment les litres de cyprine qui s'échappaient de ses tréfonds.

La gorge sèche, la bouche pâteuse, j'étais littéralement assoiffé.
- Morgane ! Je viens !
- Oui, Baise-moi ! Encule-moi, mon cul ne demande que ça.




Je me cambrai et éjaculai quelques jets de spermes qui vinrent directement se perdre dans la cavité buccale de la jeune femme.
Celle-ci déglutit puis se retira du canapé.
Elle se masturba durant... quatre secondes puis jouit à son tour.
- Ooh Vincent ! C'est si bon, mais c'aurait été meilleur si tu étais venu en moi, déplora-t-elle.




Je la regardai, la trouvant plus belle que jamais.
J'étais essoufflé mais heureux d'avoir pu résister aussi longtemps.
Des larmes de sueurs perlaient à mes tempes, témoignant de l'effort que j'avais fourni.

Une fois qu'elle eut retrouvé ses esprits, Morgane s'assit et m'observa.
- J'ai réussi, dis-je victorieusement.
- C'est vrai, admit-elle. Un à zéro pour toi.
- Qu... Quoi ? Mais j'ai réussi à te résister !
- Et tu étais très impressionnant. Je suis étonnée que tu sois parvenu à tenir aussi longtemps. Il reste maintenant encore dix heure et demi de jeu... On a fait un peu plus qu'un cinquième du temps.

Je m'effondrai sur le divan, en proie au désespoir.
- Oh non...
- Tu n'aimes pas ? Minauda la jeune femme.




Bizarrement, Morgane était extrêmement excitée par la situation.
Elle s'était rarement... non, elle ne s'était jamais doigtée avec une telle intensité et le fait que je résiste exacerbait son envie.

Elle souhaitait plus que jamais que je la prenne sauvagement et la baise toute la nuit.
En fait, le jeu était plus difficile que ce qu'elle n'avait pensé de prime abord.
Elle aussi devait résister à l'envie de s'empaler sur mon sexe.

Cela pimentait agréablement le jeu, ajoutant une touche de risque qui n'était pas pour lui déplaire.
- Bon, si on se changeait les idées ? S'exclama-t-elle. Tu as faim ?

J'approuvai mais préférai rester dans le salon... le plus loin possible de l'envoûtante jeune femme.
- Je vais faire à manger.




Elle partit en secouant ses fesses nues et ses seins de manière provocatrice et extrêmement érotique.
J'eus un sursaut de désir que j'essayai de calmer aussitôt.




Morgane n'allait pas faire un plat très compliqué.
En revanche, elle avait un plan.
Avant qu'elle ne me rencontre, elle utilisait des pilules censées augmenter son désir sexuel.
Jamais elles n'avaient fonctionné...
Il lui restait donc des paquets entiers de comprimés et avait bien l'intention de s'en servir.




Quelques instants plus tard, Morgane déboulait dans le salon avec une casserole de pâtes.
- C'est prêt !

Je me levai et m'installai sur la table du salon.
La jeune femme me servit une assiette.
- Et voilà, un grand verre d'eau si jamais tu as soif.




Je m'en emparai, portai le verre à mes lèvres mais m'arrêtai en plein mouvement.
La jeune femme me regardait intensément.
Délicatement, je reposai le verre.
- Tu as mis quelque chose dedans ?

Morgane ne répondit pas et mangea ses pâtes.
Je l'impressionnais de plus en plus.
J'écartai mon verre d'un air dégoûté et attaquai le plat de pâtes.

Nous finîmes le repas en silence, chacun observant l'autre à la dérobée.
Le repas fini, Morgane débarrassa.
- Bon, dit-elle en revenant. Comment c'était ?
- Délicieux, avouai-je. Je crois bien que ... que ...




Soudain, je regardai mon pantalon où se dressait lentement une bosse.
Je tournai un regard paniqué vers la jeune femme et vit que sa sa chatte mouillait terriblement.
Morgane me lança un regard malicieux.
- C'est vrai, admit-elle, j'avais mis quelque chose dedans... mais pas dans le verre d'eau...
- Tu veux dire que... les pâtes ... ?

Elle acquiesça, un sourire lubrique étirant ses lèvres.
- Mais, tu en a pris aussi.




Une fois encore, elle hocha la tête.
- Mais, tu ne sais pas quel effet cela aura sur toi ? Tu risques d'être totalement incontrôlable ...

Elle s'avança lentement vers moi.
- Attends, attends, dis-je, alarmé. Si jamais c'est toi qui me touche, qu'est-ce qu'il se passe ?

Ma question surpris la jeune femme.
Jusqu'à maintenant, elle ne s'était pas dit que c'était elle qui pouvait craquer.
Elle réfléchit un moment.
- Si c'est moi qui craque, expliqua-t-elle, on pourra baiser jusqu'à ce qu'on jouisse tous les deux. Une fois qu'on a joui, la compétition reprend.




Je réfléchis un moment tandis que la bosse de mon pantalon n'en finissait pas d'enfler.
Finalement, j'approuvai, me disant que j'avais enfin une chance de réussir.
- Bien, fit la jeune femme en souriant tel un fauve observant sa proie. Que le meilleur gagne !




Les jambes de Morgane étaient trempées de mouille.
Son vagin déversait des litres et des litres de cyprine qui venaient imbibées la moquette du salon.
- Il faut que je boive ! Disait la jeune femme. Baise-moi mon Vincent ! Je veux ta queue en moi, maintenant ! S'il te plait, je ne peux plus attendre ! Donne-moi ton sperme !

La jeune femme n'avait pas imaginé que les effets du médicament seraient si extrêmes.
Elle avait été prise de violentes envies de sexe totalement incontrôlables.
Elle était là, folle de désir, devant moi tout aussi excité.
J'observais ses jambes ruisselantes de mouille et n'avait qu'une envie : m'en délecter.
Je ne savais pas combien de temps je pourrais encore tenir ainsi.




Ma verge était sortie depuis longtemps mais je refusais pour l'instant de me branler.
Je savais que si je commençais, j'aurais beaucoup plus de mal à résister à la jeune femme.
Malheureusement, les effluves vaginales de Morgane emplissaient de plus en plus la pièce et il m'était devenu très compliqué de me retenir de me masturber.




Au comble de mon envie dévorante, je me déshabillai.
J'ignorais si c'était une bonne idée mais l'état dans lequel je me trouvais m'empêchait de réfléchir normalement.
Toujours assis sur le canapé, mon regard était braqué sur les nombreuses gouttes de cyprine qui ruisselaient sur les jambes de la jeune femme.
Elles avaient l'air succulentes.

Morgane faisait de grands mouvements de bassin pour trouver une surface sur laquelle elle pourrait frotter son sexe luisant et affamé.
Elle sortit un gode de je ne sais où et l'utilisa jusqu'à atteindre un nouvel orgasme fulgurant.




Morgane avait les yeux révulsés.
Elle faisait peur à voir.
Je fus pris d'une subite inquiétude.
Et si elle mourrait de soif ?
Son corps était tout de même littéralement en train de se vider.
Ce n'est pas normal, me dis-je.
La pilule qu'elle a prise est peut-être dangereuse pour elle ...

Réagissant sur une pulsion, je courus dans la cuisine.
- Non, Vincent, je t'en prie ! Prends-moi, c'est tout ce que je demande. Ne pars pas ! Viens me baiser !




Je revins peu après avec une bouteille d'eau.
Je m'approchai d'elle comme s'il s'agissait d'un lion prêt à me sauter dessus ce qui, en fin de compte, n'était pas si loin de la réalité que ça...
J'ouvris la bouteille et donnai à boire à la jeune femme en restant le plus éloigné possible.
Morgane s'empressa d'étancher sa soif.
Elle vida la quasi-totalité de la bouteille.

Une fois qu'elle eut fini, elle me lança un regard de gratitude... et, contre toute attente, cracha sur moi.
Enfin, plutôt sur mon sexe dressé.




Je fus totalement surpris par le geste et je ne réussis pas à contenir la soudaine et totalement inattendue vague de désir qui monta en moi.
En une fraction de seconde, je lâchai la bouteille, m'emparai de la tête de Morgane et enfonçai mon sexe dans la bouche de la jeune femme.

J'avais perdu.




Morgane me fit une gorge profonde comme jamais elle n'en avait fait.
Elle était tellement avide de sexe qu'elle n'était pas encore consciente qu'elle avait gagné.
Ma queue touchait sa glotte et elle jubilait.




Je m'extirpai difficilement de la chaude cavité et me couchai sur le dos, juste entre les jambes de Morgane.
Je collai ma bouche contre cette fontaine de cyprine à laquelle je rêvais depuis tant de temps de m'abreuver et aspirai avidement.
Morgane jouit presque instantanément tellement le désir était important.




Elle déversa encore plus de cyprine dans ma bouche.
- Ouiii ! Oui, mon Vincent. Bois-moi ! Étanche ta soif ! Je veux te pomper ! J'ai encore envie de sperme. J'ai besoin de ton sperme !

Elle se jeta sur ma verge et cala mon sexe directement dans le fond de sa gorge.




Ma langue fouillait tous les recoins de la délicieuse vulve de Morgane.
À l'aide de deux doigts, j'écartai les tendres et juteuses lèvres vaginales afin de permettre à ma langue d'aller le plus loin possible.
La jeune femme gémissait intensément sous cette sublime incursion et frottait d'avantage son abricot contre ma bouche assoiffée.




Au bout d'un moment, je me dis que je devais essayer d'arrêter de boire, sinon la dépendance à la cyprine risquait d'être encore plus forte par la suite.
Je fis appel à toute ma volonté et, malgré le fait qu'elle était assise sur mon visage, je parvins à m'éloigner de l'inépuisable puits de la jeune femme.

Je vis la petite rondelle du superbe cul de Morgane et la tentation de m'y engouffrer fut tout à coup irrésistible.




De toute façon, me dis-je, j'ai perdu.
Autant en profiter...

Malgré le plaisir que je ressentais de l'incroyable pipe que me taillait Morgane, je réussis à m'extirper de sa bouche.
- Non ! Attends, j'en ai encore besoin ! Je n'ai pas fini... rends-la moi !




Sans prendre garde aux suppliques que me lançait Morgane, je me positionnai derrière le cul de la jeune femme et perforai violemment son anus, m'y enfonçant jusqu'à la garde.
- Oooh ! Ouiiii !

Morgane se coucha au sol et se laissa faire.
Je l'enculais profondément et la jeune femme gémissait en continu.
- Oh ! Je n'en peux plus, gémit-elle. Mon cul, putain ! C'est trop bon !




Je la sodomisai durant une pleine minute jusqu'à ce que je sente la sève monter.
J'étais tellement excité que je ne tentai même pas de résister et me laissai emporter par le plaisir.
- Vincent, plus fort ! Je vais jouir ! Oui ! Ouiiiii !

Un dernier coup de boutoir et elle s'écroulait en hurlant de bonheur.
Des giclées de mon foutre aspergèrent l'intérieur de son anus qui se contractait sous les vagues de jouissance.




- J'ai gagné, fit-elle en se levant. Mais la nuit est encore loin d'être finie...

Je fis un pas en arrière et mon regard tomba sur mon sexe qui était encore tout raide.
- Mais... combien de comprimés as-tu mis dans les pâtes ? Demandai-je, ébahi.

Morgane eut un rire gourmand.
- Je ne sais plus, dit-elle avec lenteur. J'avais très envie de gagner, tu comprends.

Elle continua d'avancer mais elle s'effondra avant d'avoir pu faire un pas supplémentaire...


Morgane se réveilla avec une très agréable sensation.
Elle était dans son lit, il faisait encore noir et elle sentit qu'elle était toujours excitée.
Elle gémit et souleva la couverture pour essayer de comprendre d'où venait ce titillement.
Elle ne fut pas surprise de m'apercevoir, coincé entre ses jambes, en train de pourlécher sa chatte encore tout luisante de cyprine.




Je faisais de grands coups de langues qui partaient de sa rosette et finissaient sur son délicat bouton d'amour.
C'était délicieux.
- Mmmh... Bouffe-moi, mon Vincent ! Chuchota-t-elle pour ne pas troubler sa concentration. Abreuve-toi de mon jus.

Elle glissa ses mains dans mes cheveux.
Ainsi, elle me faisait comprendre à quel point elle savourait mes merveilleuses caresses linguales.




Je poursuivais mon cunnilingus avec assiduité et gourmandise.
Ma langue se faufilait partout : d'abord autour de l'anus, tout de suite après elle plongeait entre les lèvres vaginales pour recueillir un filet de cyprine, puis retournait agacer les parois anales pour ensuite mordiller le bouton rose et gonflé qui surplombait la vulve de Morgane.

Cette dernière était aux anges.




Elle ne pouvait s'empêcher de pousser de langoureux geignements qui ne me laissaient pas insensible.
Je glissai deux doigts dans la rosette de la jeune femme et fis de lents vas-et-viens qui eurent tôt fait de conduire Morgane aux portes de la jouissance.




Je retirai mes doigts et tournai Morgane sur le côté.
Cette dernière se laissa faire, le cerveau trop engourdi par le plaisir qu'avait fait naître l'incursion anale en elle.
Je vins disposer mon sexe à l'entrée de la vulve de Morgane.
Ma queue fut rapidement lubrifiée et je n'eus aucun mal à pénétrer la jeune femme.
Cette dernière gémit lorsqu'elle sentit ma bite écarter ses lèvres vaginales et s'enfoncer en elle.




La jeune femme caressait son clitoris tandis que son vagin se faisait doucement limer.
À chaque poussée, elle ne pouvait s'empêcher de couiner de plaisir.




Je m'emparai d'un sein de la jeune femme et le malaxai tendrement.
- Vincent, baise-moi, je t'en prie. Ce rythme est insoutenable. C'est trop bon, mais je veux plus !
- Dans ce cas, met-toi à genoux...

Elle s'exécuta immédiatement, impatiente que je la prenne sauvagement.
Je fus surpris de la promptitude de la jeune femme mais compris après qu'elle ne souhaitait que se faire baiser dans les règles de l'art.
Je me positionnai derrière elle et l'enfilai profondément et en force.
Le coup fut si fort que Morgane dut s'appuyer contre le mur pour éviter d'être écrasée contre celui-ci.
- Mmmh ! Oui ! Comme ça !




Je la perforai à nouveau.
La jeune femme cria de plaisir et chaque pénétration qui suivit la propulsait plus en avant.
- Oh putain, Oui ! Mmmh... Que ça m'avait manqué... Mmmh... d'avoir une bite... Mmmh... à cette endroit-là ! Vas-y... Mmmh... mon Vincent ! Baise-moi !

J'accélérai le rythme et les claquements de mon bassin sur les merveilleuses fesses de la jeune femme résonnèrent dans la chambre.
Je mettais toute ma force dans chaque coup de boutoir et regardais avec satisfaction Morgane se faire écraser contre le mur en gémissant de bonheur.
- Ooh ouiii ! Plus vite, mon Vincent !... Mmmh... Plus vite !




Elle se mit à se caresser le clitoris sauvagement.
Ma queue entrait avec vigueur en elle, lui procurant de délicieuses sensations.
- Vas-y... Mmh... Mon... Mmh... Vincent ! Mmh !

Elle ne parvenait presque plus à parler tant mon sexe la perforait violemment.
Le plaisir montait en flèche en elle mais elle tentait de résister le plus possible afin de profiter au mieux de cette sauvage pénétration.
- Oui ! Mmh... Je... Mmh... Je vais... Mmh... Vincent, je... Mmh...Je jouiiiiiiis ! S'exclama-t-elle.




Une grosse quantité de cyprine s'échappa de son vagin.
Elle hurla de plaisir durant tout l'orgasme tandis que je continuais de la baiser avec rudesse.

Finalement, je sortis ma verge du vagin de la jeune femme qui était toujours en pleine jouissance et me positionnai devant l'anneau anal de Morgane.




Celle-ci crut mourir lorsqu'elle sentit ma queue plonger dans ses entrailles.
Je me mis à pilonner son superbe cul en soufflant comme un taureau.
- Mmmh... putain ! Vincent... Mmm... qu'est-ce que... Mmh... tu me mets !




Je fus pris de frénésie quand je sentis ma propre sève monter.
J'enculai Morgane à un rythme effréné.
La jeune femme se remit à crier de plaisir et j'éjaculai dans son cul.




Morgane eut un nouvel orgasme.
Son anus se contracta autour de mon sexe.




Exténués, nous nous recouchâmes dans le lit.
Les coussins étaient imbibés de sueur, de mouille et de sperme mais on s'en foutait... littéralement.

Nous nous enlaçâmes.
Il y avait quelque chose de nouveaux entre nous.
Un lien, peut-être...
Nous sourions aux anges, heureux comme rarement nous l'avions été durant toute notre existence...
Le soleil se levait.
La nuit fut longue ...

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