Sandrine, ma voisine (publié par Davidhandballeur le 16-03-2017)
Sandrine, ma voisine-2 (publié par Davidhandballeur le 15-04-2017)
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Sandrine, ma voisine
Il m'arrive de fréquemment croiser ma voisine dans notre cage d'escalier. Je dois avouer que depuis le premier jour où je l'ai vu j'ai eu envie de me la faire.

C'est une jolie femme.

Elle a de longs cheveux blonds qui lui descendent jusqu'au milieu du dos.

Je ne me prive pas de la mater. J'ai plus souvent les yeux fixés sur son opulente poitrine que dans ses yeux.

Elle le voit bien, mais ne dit rien. J'ai le sentiment qu'elle aime que je la regarde comme ça.

Au fil des semaines, je remarque qu'elle aussi me fixe différemment. Ses yeux ont tendance à se perdre vers mon entrejambe.

J'aime bien ce petit jeu de séduction sans conséquence.

Plus les semaines passent, et plus j'ai le sentiment que ses hormones la travaillent.

Elle ne se contente plus de me regarder, il lui arrive de plus en plus souvent de me caresser doucement le bras, ou mieux encore, de poser une main sur mes cuisses.

Je me contente de lui sourire. Je commence de plus en plus à me dire qu'il va peut-être se passer quelque chose, mais je ne fais rien pour accélérer les choses. Je ne veux pas être celui qui prend l'initiative, il faut que ça vienne d'elle.

Un après-midi, je descends dans le parking et croise ma voisine Sandrine.

Elle me demande de l' aider à porter ses courses. J'accepte.

Toutes les affaires montées, elle se retourne vers moi toute souriante pour me demander de monter un meuble.

Je n'ai malheureusement pas le temps, j'ai moi aussi des courses à faire.

Je lui promets cependant de m'en occuper à mon retour.

Trois heures plus tard, je suis enfin de retour. Je sonne à la porte de Sandrine.

Elle ouvre et affiche un large sourire en me voyant et m'invite à entrer.

En passant auprès d'elle, je ne peux m'empêcher de plonger mes yeux dans son décolleté.

Elle porte une robe qui met ses seins en valeur.

Sa magnifique poitrine est visiblement libre de tout soutien-gorge.

Là encore, elle surprend mon regard, mais ne dit rien.

Mieux encore, je la vois sourire.

Elle passe devant moi et me guide dans sa chambre. Sa façon qu'elle a de marcher, j'ai l'impression qu'elle roule des hanches bien plus que d'habitude.

Est-ce qu'elle cherche à m'allumer ?
En tout cas, elle fait son effet, je me sens plus à l'étroit dans mon jean.

Me voilà donc en train de monter les meubles sous le regard constant de Sandrine qui reste sur le pas de la porte.

En une petite heure, tout est fini. Sandrine s'approche enfin pour vérifier la qualité de mon travail.

Elle est satisfaite et me sourit.

Bon sang, ce que j'aime quand elle fait ça.

- Merci. Tu m'a rendu un sacré service. Je ne sais pas comment te remercier.

« Pompe-moi la queue jusqu'à me faire dégorger dans ta bouche. » Voilà ce que je brûle de lui dire.

Au regard que je lui lance, elle semble comprendre mon envie.

Elle me sourit de plus belle et rougit légèrement.

Malheureusement, elle s'arrête là. En guise de remerciement, je dois me contenter d'une bière.

Là encore pourtant, elle continue de me dévorer des yeux.

Je la trouve vraiment différente aujourd'hui. Elle semble en proie à une lutte intérieure.

Son corps semble lui dire de céder et de se jeter sur moi, mais sa raison lui dit l'inverse. Sa raison continue de l'emporter.

Je dois partir. Sandrine me raccompagne.

Elle s'apprête à ouvrir la porte quand je la vois soudain refermer le verrou. Elle se retourne vers moi et se jette brusquement à mon cou. Ses
barrières viennent de céder. Elle enroule ses bras autour de moi et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue qui tente de forcer son passage. Je la laisse faire et nos langues s'emmêlent. Ce baiser dure une trentaine de secondes et a le don de me rendre complètement dingue.

Quand elle s'arrête et se desserre de moi, je suis remonté comme un pendule. Hors de question que je laisse filer ma chance, hors de question que son excitation retombe. Je l'empêche de fuir. J'empoigne ses fesses pour l'empêcher de redescendre avant de me retourner et de la plaquer contre le mur. Elle pousse un soupir sous l'effet du choc. Je profite de ce moment et de sa bouche ouverte pour plonger ma langue en elle.

Elle reste un moment sous le choc. J'en profite pour cunnilingus.

Quand je la libère enfin, elle est haletante, son visage est écarlate et ses yeux brillent.

- Bon sang, toi, quand tu fait un cunnilingus, tu ne fais pas semblant.
- Et tu n'as encore rien vu.

Je la repose par terre. Mes mains quittent ses belles fesses rondes pour venir se poser sur le décolleté de sa robe. Je la fixe du regard au moment où je tire dessus d'un coup sec. Elle pousse un petit cri de surprise avant de doucement rire devant l'audace de mon geste. La moitié de ses boutons a craqué et s'est envolée. Sa délicieuse poitrine sur laquelle j'ai tant fantasmé est là sous mes yeux. Je ne résiste pas une seconde, je les empoigne à pleines mains. Ils sont vraiment lourds et tendres, mes doigts s'enfoncent dedans. Je presse un peu plus son sein droit et je l'étire pour le porter à ma bouche. Je referme mes lèvres sur son large téton. Je lui tète le sein comme un bébé. Sandrine soupire de bonheur. Avant de passer au sein gauche, je referme mes dents sur son téton et je tire doucement dessus. Elle pousse un petit cri aigu.

Je m'attaque ensuite à son sein gauche auquel je réserve le même traitement. Elle est ultra sensible des seins. Depuis que je m'en occupe, sa respiration est haletante et elle n'arrête pas de pousser des petits gémissements délicieux à attendre.

Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je la pousse à l'intérieur de l'appartement jusqu'au salon. Je la place au milieu de la pièce.

- Ne bouge plus, ordonné-je.
Sandrine sourit. Je ne sais pas si elle s'attendait ou bien si elle espérait que je me comporte ainsi, mais visiblement ma façon de la traiter lui plaît. Je lui tourne autour comme un prédateur avec sa proie. Je la dévore du regard et elle aussi ne me quitte pas des yeux. .Je m'arrête devant elle, pose sa main sous son menton et lui redresse la tête pour qu'elle me regarde en face.. Je défais la boucle de ma ceinture et ouvre mon jean qui tombe à mes chevilles. Je plonge une main dans ses longs cheveux et je tire dessus pour la faire se redresser. La voilà à genou à quelques centimètres de mon sexe déjà bien dur.

- C'est ça que tu voulais ma salope ?
- Oui, soupire-t-elle, ses yeux fixés sur ma bite.
- T'aimes ce que tu vois ?
- Oh oui. Tu as une belle queue, elle est énorme, comme je l'espérais.
- Alors, prouve-le-moi.

Elle se saisit de ma bite et me sourit en me lançant un regard de pure salope en voyant que ses deux mains sont loin de recouvrir tout mon sexe. Elle la branle doucement pour lui faire prendre un peu plus forme. Elle ne résiste pas à me donner déjà quelques coups de langue sur le gland.

Ma queue devient de plus en plus dure sous ses caresses. Elle la libère de temps en temps pour la lécher sur toute la longueur de sa hampe avant de cracher un bon coup dessus et de se remettre à me masturber énergiquement.

- Putain, vas-y, suce-moi.

Elle donne une série de coups de langue sur mon gland ultra sensible puis elle referme enfin ses lèvres dessus. Je pousse un long soupir de bien-être. Elle me prend progressivement en bouche, sa langue s'agite avec avidité autour de ce bout de chair qu'elle avale.

Le rythme de sa pipe ralentit arrivé aux deux tiers de mon sexe. Elle a du mal à en prendre davantage en bouche. Je sens mon gland qui vient frapper à l'entrée de sa gorge.

Bon sang, ce que j'ai envie de venir y plonger. Je reste pourtant bloqué à l'entrée de ce paradis.

Sandrine recrache ma bite, elle lèche mon gland du bout de sa langue avant de glisser le long de ma hampe.

D'une main, elle soulève mon sexe pour dégager mes bourses qu'elle s'empresse de goûter.

- Hum, tes couilles sont énormes. Elles doivent être pleines de sperme.
- Je vais te noyer sous des flots de foutre.

Elle me regarde avec des yeux de salope. Je pousse un râle de plaisir quand sa bouche se referme sur l'une de mes couilles. Elle la tire doucement tout en faisant tourner sa langue dessus. Elle alterne ainsi plusieurs fois entre chacune de mes couilles.

- Hum, il est temps de les dégorger.

Sandrine me reprend en bouche. Elle est vraiment la reine des suceuses. La fellation qu'elle me prodigue est la meilleure. J'ai le sentiment qu'avec elle je peux aller plus loin. Alors que mon gland revenait visiter le fond de sa bouche, je décide de tenter ma chance.

Je pose ma deuxième main à l'arrière de son crâne et la maintiens immobile.

- Tu m'as sucé, maintenant c'est à moi de te baiser la bouche.

Je maintiens sa tête immobile et mon bassin rentre en action. Je recule mon sexe jusqu'à ce qu'elle n'ait plus que le bout du gland entre les lèvres puis je replonge doucement jusqu'à la longueur à laquelle elle est parvenue à me sucer.

Je vais à un rythme tout d'abord lent pour l'habituer et tester ses réactions. J'ai l'agréable surprise de voir qu'elle se laisse entièrement faire. Devant sa réaction, mes coups de reins vont crescendo.

Je prends un pied énorme à limer sa bouche, mais je veux encore plus.

Je ralentis donc le rythme puis quand mon gland arrive à la limite de ce qu'elle peut avaler, je tente de forcer le passage.

Sandrine a un mouvement de recul et pose ses mains sur ses hanches pour me retenir.

Elle a décidé de se donner à moi et elle ira jusqu'au bout. Je retente donc ma chance et essaie de passer l'obstacle de sa gorge. Les bras de Sandrine se tendent à chacun de mes assauts. Elle fait de gros efforts pour maintenir la position que je lui ai demandée. Elle a des mouvements de gorge, ma queue est noyée dans toujours plus de salives.

Malgré tous mes efforts, je reste frustré. Je n'arrive pas à la lui mettre en entier et je veux à tout prix y arriver. Il est temps d'employer les grands moyens. Je pousse un grognement.

- Putain, cette fois ça va passer !
J'appuie de toutes mes forces à l'arrière de son crâne en même temps que j'avance mes hanches. Sandrine a un hoquet. Ça y est, j'ai réussi à forcer le passage de sa gorge. Je lui ai mis en entier.

- Jusqu'aux couilles ! hurlé-je, fou d'excitation.

Je maintiens la position plusieurs secondes avant d'enfin la libérer. Sa régurgite une énorme quantité de salive qui dégouline le long de son menton et de son cou pour venir maculer sa poitrine. La voir comme ça me rend vraiment dingue.

- Allez, on y retourne.
Alors que je m'attendais à la voir résister ou me demander d'arrêter, Sandrine ouvre grand la bouche pour m'accueillir. Cette fois-ci, je n'attends pas et m'impose de la même façon dans sa gorge. Je répète l'opération à une dizaine de reprises. À chaque fois, elle recrache une épaisse quantité de salive, néanmoins il y en a moins à chaque fois et le passage est progressivement plus facile.

Je sens que le rythme est pris. Je me lance alors dans une séance de grattage du fond de sa gorge avec mon gland. C'est délicieux, je n'arrête pas de râler, je prends un pied énorme. Je commence à devoir faire des efforts pour me retenir de ne pas tout lui décharger à l'intérieur.

Le comportement de Sandrine continue de me surprendre. Elle accepte tout ce que je lui fais avec une facilité étonnante. Je suis curieux de voir jusqu'où elle peut aller. Je veux voir ce dont elle est capable. Je relâche ma prise sur sa tête et sors mon sexe de sa bouche. Ma bite est enveloppée d'une épaisse pellicule de salive. Je me saisis de ma queue et donne des gifles baveuses sur son visage. Même comme ça, elle reste magnifique. Ce que j'aime la voir souillée.

- Maintenant à ton tour. Prouve-moi que tu l'aimes ma queue.
Sandrine reprend son souffle avant d'enfin me reprendre en bouche. Elle essaie de me prendre en entier, mais elle a du mal toute seule. Je m'apprête à reprendre les choses en mains quand elle pose ses mains sur mes fesses. Elle les agrippe avec force et me tire à elle. Je ne peux retenir un soupir de plaisir quand je sens mon gland disparaître dans sa gorge.

Sandrine est devenue folle, elle se déchaîne sur mon pieu. Sa gorge fait des gargarismes d'une obscénité délicieuse. Elle arrive désormais à me prendre jusqu'aux couilles à une vitesse impressionnante, j'ai toutes les peines du monde pour me retenir de ne pas gicler. Et croyez-moi, ce n'est pas l'envie qui m'en manque.

Sandrine ne me laisse aucun répit. Je suis sur le point de craquer, il faut que je la calme.

Je repose mes mains sur sa tête et la bloque au moment où ses lèvres viennent s'écraser sur mon pubis. Je la maintiens dans cette position de longues secondes. Elle commence à suffoquer, mais je refuse toujours de la libérer.

Je sens sa prise autour de mes fesses ramollir, elle est sur le point de tourner de l'œil. Enfin, je la libère. J'étais à ma limite moi aussi.

Sandrine s'écroule par terre, elle a du mal à reprendre son souffle. Je profite de ce moment pour faire retomber la pression.

Je me déshabille complètement puis je vais m'asseoir sur le grand fauteuil en face d'elle.
- Ça t'a plu ?
- Espèce de salaud, tu as failli m'étouffer.
- T'as eu ce que tu méritais ma salope. Et puis je sais que t'as aimé ça.

- Et qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Parce que tu as beau râler, tu n'arrives pas à me regarder en face, tu as les yeux constamment fixés sur ma queue. Tu as aimé t'étouffer avec cette belle queue.

Je la fixe d'un air arrogant tout en me branlant doucement.

Cette salope n'arrive vraiment pas à quitter ma bite des yeux.

- Tu te crois tout-puissant avec ta grosse queue ?

Tu vas voir, je vais te mater, je vais t'essorer les couilles, mon salaud.

Sandrine se lève, monte sur le fauteuil en posant un pied sur chacun des accoudoirs avant de s'accroupir devant moi.

Elle se saisit de mon sexe dressé qu'elle présente à l'entrée de sa chatte.

Enfin, je vais la baiser.

- Emmanche-toi sur ma grosse matraque. Tu vas voir ce que c'est d'avoir une vraie queue en toi. Tu vas devenir une salope. Ma salope.

Sandrine me saisit le menton pour me forcer à la regarder en face et que j'arrête de fixer mon sexe prêt à l'empaler. Ses yeux brillent de désir.

- Je vais te remettre à ta place. Je vais vider les couilles comme jamais. Tu vas couiner comme un bébé !

Et elle se laisse retomber sur moi. Ma bite s'enfonce dans sa chatte brûlant en entier. Nous poussons tous les deux un énorme soupir de plaisir.

Cette sensation est absolument divine, elle est trempée et étroite. Elle ne me laisse pas le temps de me remettre. Elle remonte pour mieux s'effondrer à nouveau, elle s'empale sur mon pieu une bonne dizaine de fois. Je n'arrête pas de râler.

Après cette entrée en matière plutôt intense, elle pose ses mains sur le dossier du fauteuil et se lance dans une folle chevauchée, elle rebondit sur ma bite dans un rythme furieux.

- Tu es bien silencieux tout à coup. Tu fais moins le fier.
- Je savoure juste la sensation de ta chatte autour de ma queue. J'ai l'impression d'enfiler une vierge tellement tu es étroite. Ça se sent que tu n'as pas l'habitude des gros calibres.
- Arrête de croire que tu es le seul à pouvoir avoir une grosse queue. D'ailleurs si j'avais vu que tu en avais une plus petite, jamais je ne t'aurais laissé m'enfiler.

J'ai vraiment du mal à la croire étant donné son état extrême d'excitation.

- Les grosses queues, j'ai l'habitude de les traire.

Sandrine s'empale sur toute la longueur de mon sexe. Elle reste immobile plusieurs secondes à me sourire. Je pousse soudain un gros râle de plaisir. Cette salope joue avec les muscles de son vagin, elle masse ma bite. Je comprends mieux la réflexion qu'elle vient de me faire. J'ai vraiment l'impression qu'elle est en train de traire ma queue.

La sensation est extraordinaire.

- Il en faudra plus que ça pour me faire jouir, dis-je en guise de défi.
Sandrine me sourit, se penche sur moi et me roule un patin baveux avant de se relancer dans une chevauchée infernale. Elle monte et descend sur mon pieu à un rythme infernal dans des mouvements amples, elle manque à chaque fois de me faire sortir de sa chatte.

Ses seins se balancent dans tous les sens à quelques centimètres de mon visage. Je ne peux plus supporter ce spectacle. Je les empoigne et arrête leur danse. Je me jette dessus, je les lèche, les mordille. J'en suis dingue.

Les soupirs de Sandrine se font de plus en plus lourds. Elle prend son pied. Elle ne ralentit pas le rythme de ses coups de hanches. Elle y va de toutes ses forces, sa chatte claque sur mon pubis.

C'est vraiment elle qui me baise.

Après de longues minutes à alterner folle chevauchée et massage de ma queue avec sa chatte, la respiration de Sandrine se fait plus difficile, ses mouvements sont de moins en moins coordonnés.

Elle est sur le point d'avoir un orgasme.

Je joue avec ses tétons pour faire monter un peu plus son plaisir. Elle est vraiment très sensible, il ne lui faut que quelques secondes pour être emportée par un tourbillon de plaisir. Elle hurle comme une démente.

Heureusement que nous sommes seuls dans l'immeuble à une telle heure. Sa chatte est agitée de spasmes terribles. Je dois me mordre ses lèvres pour ne pas la suivre et inonder sa chatte de sperme.

- Oui ! Ah ! Oui ! Putain ! Oui ! Oui !

Dans un dernier râle, elle s'effondre complètement sur moi. Elle est haletante.

- T'étais pas censé me faire couiner et essorer mes couilles ? demandé-je tout en massant son gros cul à pleines mains.
- Je n'en ai pas fini avec toi, dit-elle par défi, sans être bien convaincante. Laisse-moi juste le temps de reprendre mes esprits.

Il lui faut plus d'une minute avant de trouver la force de se redresser. Elle essaie de recommencer à me chevaucher comme tout à l'heure, mais elle manque clairement d'énergie, elle a les jambes qui flageolent. C'est à mon tour de jouer désormais.

- On va passer aux choses sérieuses. Il est temps que je redessine ta chatte à la forme de ma queue !

Ma bite toujours plantée en elle, je me lève. Elle gémit sous la pression de ma bite dans sa chatte. Elle passe ses bras autour de mon cou et enroule péniblement ses jambes autour de ma taille. J'empoigne ses fesses et la soulève jusqu'à n'avoir plus que mon gland en elle. Je la lâche alors et laisse faire la gravité. Elle pousse un couinement suraigu au moment où je l'embroche.

- Je vais t'ouvrir en deux. Tu vas gueuler.

Je répète l'opération une vingtaine de fois la faisant toujours plus gémir.

Elle tente bien de se retenir avec les jambes et de limiter la pénétration, mais elle manque toujours de force. Je finis par la soulever et sortir d'elle. Instinctivement, elle déroule ses jambes de ma taille.

Sa chevauchée de tout à l'heure l'a vraiment épuisée, elle a du mal à tenir debout.

Je la pousse vers le fauteuil et la fais se mettre à quatre pattes devant. Je gifle ses fesses pour qu'elle se mette en position pour que je la prenne en levrette.

La vision de sa belle chatte me donne pourtant envie de prendre mon temps.

- Pose tes mains sur tes fesses et offre-moi ta chatte. Je veux goûter à ta mouille de chienne en chaleur.

Sandrine m'obéit. Elle va même jusqu'à glisser ses deux index sur ses grandes lèvres pour m'offrir une meilleure vue. Le spectacle qu'elle offre est délicieux. Sa petite chatte est rougie par tous les coups de bite qu'elle a reçus et elle dégouline de cyprine.

Je me penche vers elle et hume avec délice ce parfum. Je donne un coup de langue appuyé à l'entrée de sa chatte.

Sandrine feule. Je la lèche un long moment ainsi, savourant son goût sur ma langue.

- Hum, j'adore le goût de ta chatte de salope qui vient de se faire ramoner par ma grosse bite.

- Et moi j'aime ce que tu me fais. Fais-toi plaisir. Avale en autant que tu peux.

Je referme mes lèvres autour de l'entrée de son vagin. Je plonge ma longue en elle, je la fouille avec avidité de longues secondes avant de m'arrêter et d'aspirer tout le jus qu'elle vient de produire.

Sandrine tremble de tout son corps. Je décide de lui faire perdre complètement pied et tout en continuant de la lécher, je viens glisser deux doigts sur son clitoris. Dès que je me mets à le caresser, ses gémissements redoublent.

- Oui, c'est bon, continue, ne t'arrête surtout pas. Oui ! Là ! C'est bon.

Je joue avec elle. Je la tiens au bord d'un orgasme que je lui refuse en arrêtant ce que je fais. Je la rends folle.
- Je t'en supplie, pitié, laisse-moi jouir.

J'adore sa voix suppliante. J'ai l'impression qu'elle serait prête à tout pour que je la laisse jouir. Je décide de lui donner ce qu'elle demande. Je la stimule au maximum. Ma langue se transforme en véritable tourbillon dans son vagin et mes doigts font vibrer son clitoris.

Il lui faut que quelques secondes pour exploser. J'accueille avec délice le flot de mouille qu'elle m'envoie dans la bouche. C'est une véritable fontaine. J'adore vraiment le goût de son jus.

Sandrine est encore dans son orgasme quand je m'accroupis derrière elle et présente mon gland à l'entrée de sa chatte ruisselante.

Je pose mes mains sur ses hanches pour bien la maintenir et dans un grognement, je l'enfile jusqu'aux couilles. Ses mains se crispent sur le fauteuil et elle redresse la tête en sursaut en hurlant.

- Ah ! Oui ! Putain !

Je ne lui laisse pas le temps de se remettre. Je ressors et l'embroche dans un nouvel énorme coup de reins qui la fait une fois de plus hurler. Je lui donne une série de coups de bite surpuissants, le claquement de ses magnifiques fesses sur mon corps résonne dans toute la pièce.

Je la saisis par les cheveux et tire dessus pour lui faire redresser la tête. Je tire un peu plus pour qu'elle se retourne et je lui roule une pelle bien baveuse.

Quand nos langues se séparent enfin, je me lance dans un ramonage intensif.

Sandrine couine comme une folle.

- T'aimes ça te faire tringler par une grosse bite ?
- Oh ! Oui ! J'adore. Ça m'avait trop manqué. Continue, n'arrête surtout pas.

Elle me rend dingue. Je n'arrive vraiment pas à me calmer. Je l'enfile à grands coups sur toute la longueur de ma queue.

- Ah ! putain, Sandrine, t'es vraiment une belle salope !
- Oui ! je suis ta salope, ton vide couilles, ton sac à foutre. Défonce-moi.
- Je vais te faire gueuler, sale chienne ! Je vais noyer ta chatte sous des flots de foutre !

Je lui claque les fesses et j'augmente encore l'intensité et le rythme de mes coups de queue.

Sandrine hurle comme une folle. Je sens sa chatte qui dégouline un peu plus sur ma queue. Je suis vraiment fasciné en constatant à quel point elle encaisse bien.

Je peux me lâcher. Je ne retiens pas mes assauts. Je la défonce comme jamais.

J'adore sentir sa chatte céder sous mes coups de queue. D'une chatte bien étroite qui me compressait délicieusement je suis arrivé à en faire un gouffre béant dans lequel je rentre avec facilité. Je ressors régulièrement d'elle pour profiter du spectacle. Hum, la vue est absolument magnifique. Je replonge chaque fois dedans avec délice. Je suis devenu accro.

Nos corps dégoulinent de sueur. Sandrine est de plus en plus haletante, ses mains s'agitent nerveusement sur le fauteuil. Sa chatte est agitée de spasmes et dégouline.

Elle se met soudain à pousser des gémissements et des cris sans queue ni tête. Je lui ai donné un deuxième orgasme, je peux enfin arrêter de me retenir.

Alors que sa jouissance n'est pas encore passée, je me lance dans un pilonnage furieux. Ses cris reprennent de plus belle.

- Oui ! Oui ! AH ! Putain ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Défonce-moi !

Je voudrais continuer de la baiser pendant des heures tant je prends mon pied avec elle, mais je suis arrivé à mes limites. Mes coups de reins deviennent vite étatiques. Je vais bientôt jouir.

- Putain, ça vient. Je vais jouir.
- Vas-y, jouis, ne te retiens pas. Remplis-moi de foutre !
- Je vais gicler, je vais inonder ta chatte de salope.

Je plonge au fond d'elle et reste planté là. Je pousse un puissant râle au moment où je me libère enfin et gicle en elle.

Un premier énorme jet de sperme vient remplir son vagin, puis un deuxième, un troisième. Je ne m'arrête pas de gicler. Je suis au septième ciel, cette salope est en train de m'offrir ma plus grosse éjaculation.

Sandrine n'arrête pas de gémir, elle prend son pied à se faire arroser la chatte.

Ma queue continue de pulser, mais plus rien n'en sort. Je reste encore de longues secondes enfoncé en elle avant de retomber en arrière.

Sandrine reste immobile. Je fixe avec avidité sa chatte désormais béante. Je vois les premières gouttes de mon sperme apparaître. Mon foutre s'écoule le long de ses jambes et sur le sol. Putain, je lui en ai vraiment mis la dose.

J'ai le gland sensible après une telle baise et une si grosse éjaculation. J'adore me faire lécher dans ces cas-là, mais Sandrine n'est visiblement pas en état.

Elle a glissé du fauteuil pour s'asseoir par terre. Elle me regarde d'un air béat. Mon foutre continue de s'écouler doucement de sa chatte.

Je décide de la laisser tranquille. Elle n'arrive pas à quitter ma queue des yeux.

- Tu n'es peut-être pas parvenue à me faire couiner, mais tu m'as bien essoré les couilles.

Sandrine rit. Cette femme est vraiment magnifique.

Il ne me faudrait pas grand-chose pour rebander et l'enfiler une seconde fois.

Mais il se fait tard et je dois partir.

De retour chez moi, je meurs déjà d'envie de la rejoindre pour lui faire sa fête.

J'espère qu'elle ne tardera pas à venir réclamer mon jus de couilles.
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Sandrine, ma voisine-2
Après cette superbe baise avec Sandrine, je suis resté une semaine sans la moindre nouvelle d'elle.

Pas une fois nous ne nous sommes croisés, pas une fois elle n'a fait appel à mes services pour l'aider.

Je n'ai pas fait le premier pas, pourtant j'étais convaincu qu'elle m'accueillerait et que j'aurais l'opportunité de remettre ça.

Je voulais que ce soit elle qui s'offre à moi.

Au bout du sixième jour pourtant, je commence à me dire qu'elle regrette et qu'elle a des scrupules, que ses hormones sont redevenues normales.

Vous ne pouvez pas imaginer ma joie le matin lorsque je suis de retour d'une nouvelle nuit de travail et que les portes de l'ascenseur s'ouvrent sur mon palier et que je la découvre là.

Elle est habillée de manière très sexy.

Je lui lance un sourire ravi auquel elle me répond.

Je n'ai plus le moindre doute. Ça y est, elle vient se donner à moi.

N'hésitant pas un instant, j'ai trop faim de son corps, je marche vers elle. Elle recule d'un pas et tend une main pour que je m'arrête.

- Attends. Avant toute chose, on va mettre les choses aux clairs.

Premièrement, nous deux, ce n'est que du cul.

Deuxièmement, je veux de l'intense, du sauvage, comme l'autre jour.

Troisièmement, pas de sortie ensemble, sauf si c'est moi qui le décide.

Notre lieu de baise sera cet étage.

Enfin, et le plus important, quand je dis non, c'est non.

C'est bien compris ?

- C'est on ne peut plus clair et ça me convient parfaitement.

Tu parles. Qui refuserait une telle offre avec si peu de contreparties ?

Je m'approche d'elle et pose une main sur son cou que je caresse doucement.

- Tu as dit que cet étage sera notre lieu de débauche.

Ça inclut le palier donc.

- Tu es fou, on pourrait nous surprendre, dit-elle, visiblement surprise par mon envie.

- Ça, c'est ton problème. Tu ne vas pas déjà revenir sur ta parole ?

Je la vois qui hésite.

Il suffirait qu'elle dise non et je devrais lui céder.

Elle observe l'ascenseur et l'escalier.

Nous sommes au dernier étage, en dessous un seul des deux appartements est loué.

Les chances d'être surpris sont minimes et si quelqu'un vient, nous pourrons l'entendre arriver à temps et nous cacher.

Sandrine se mord les lèvres avant de finir par céder. ndballeu

Elle s'agenouille devant moi et défait mon jean.

Elle caresse mon sexe au travers de mon caleçon. Il a déjà pris une bonne forme.

Elle me lèche au travers de mon tissu en me dévorant de ses yeux emplis de désir.

Elle se saisit de mon caleçon et le descend enfin. Elle se lèche les lèvres en voyant ma queue bondir vers son visage. Elle frotte ses joues dessus. Ma bite tressaute et retombe à plusieurs reprises sur son visage, accueillie par la pointe de sa langue.

Elle me lèche avec envie sur toute la longueur de ma hampe. Je bande de plus en plus dure.

D'une main, elle se saisit de ma queue et referme ses lèvres autour de mon gland. Elle l'embrasse avec passion, fait rouler sa langue dessus. Elle me rend complètement dingue. J'ai vite envie de plus.

- Suce-moi comme j'aime.

Elle sourit en posant ses mains sur mes fesses. Elle a bien compris ce que je souhaite. Elle me prend en bouche et m'avale lentement centimètre par centimètre. Sa bouche est du velours.

Je sens que j'arrive à l'entrée de sa gorge.

En bonne salope, elle ne ralentit pas le rythme, elle raffermit sa prise sur moi et m'avale encore.

Elle salive abondamment, je sens sa bave couler sur mes couilles.

- Ah ! Oui ! Brave fille !
Je viens de sentir ses lèvres se poser sur mon pubis. Elle a ma queue en entier en elle. Je lui caresse la tête comme je flatterais une chienne. Elle me garde en entier en elle avant de lentement me libérer. Mon sexe est recouvert d'une gangue de salive épaisse. Elle tousse, reprend son souffle pour mieux me ravaler.

Quel pied de se faire bouffer la queue par une magnifique femme comme elle.

Pendant de délicieuses minutes, Sandrine me fait une démonstration de tout son talent de suceuse.

Elle alterne entre gorge profonde et léchage de mon gland.

Elle me branle doucement tout en gobant mes couilles.

Par moments, elle se fige en entendant l'ascenseur ou des bruits dans la cage d'escalier. À chaque fois, j'en profite pour prendre le relais et imposer mon rythme dans sa bouche. J'y vais fort et vite. Je fais tout pour rendre ce moment le plus bruyant possible. Le palier est empli de bruits de succions et de clapotis absolument délicieux.

Après un bon moment à profiter d'elle à genoux devant moi, je libère ma queue de son merveilleux écrin.

Les yeux de Sandrine brillent. Cette femme aime vraiment sucer.

- Tu en veux encore ? demandé-je, tout en me branlant à quelques centimètres de son visage.
- Oui, soupire-t-elle d'une voix emplie d'excitation.
- Tu es une vraie nympho accro aux grosses bites ?
- Tais-toi et fourre ta grosse queue dans ma bouche. J'ai besoin de ton foutre.
- Ne t'en fais pas, tu vas l'avoir mon jus, mais avant je vais encore profiter de ta bouche. Je vais te montrer ce que c'est de se faire vraiment ramoner la gorge.

C'est le moment pour moi de la posséder.

Je pose mon sexe dresser devant sa bouche.

Elle ouvre ses lèvres et je glisse lentement en elle.

Dans cette position, je vois sa gorge se déformer au passage de mon gland.

Son visage devient vite écarlate et se recouvre toujours d'un peu plus de salive qu'elle recrache quand je sors de sa bouche pour la laisser respirer.

Malgré tout, hors de question que je la libère, je suis trop bien.

Je compte profiter d'elle au maximum.

Je savoure la sensation du mouvement de mon gland à l'intérieur.

Toutes les bonnes choses ont une fin, je sens mon jus monter.

Impossible de me retenir davantage.

Je raffermis ma prise dans les cheveux de Sandrine et plonge ma queue aussi profondément que possible dans sa gorge.

Je râle de plaisir.

Je jouis après ce super défonçage de bouche, je jouis de voir sa gorge déformée par ma queue, je jouis en contemplant chacune de ses déglutitions
au moment où mes couilles crachent leur précieux jus.

Je jouis à l'idée de la quantité de foutre que je vais déverser dans cette délicieuse bouche durant les mois à venir.

Mes jets se tarissent enfin. Je lui ai vraiment fait boire une énorme dose de sperme.

Je profite encore de ce délicieux moment, je me retire de sa gorge avec une infinie lenteur.

Ma queue abandonne sa bouche dans un « pop » bruyant absolument divin.

Tout son visage est englué de salive. On pourrait croire en la voyant dans cet état qu'elle a souffert, que je l'ai forcée, mais la lumière dans ses yeux ne trompe pas.

Elle a pris son pied elle aussi.

Elle voulait une relation hard, elle l'a eue.

- Tu as fixé tes règles, je vais fixer les miennes. Tu verras, elles sont simples. À partir du moment où tu franchis la porte de chez moi, tu dois être prête pour mes assauts.

Je te veux en bas et jupe.

Chaque matin, tu m'attendras sur le palier pour mon dégorgeage de couille
matinal.

Le déroulement du reste de la journée dépendra de mes seules envies.

Enfin les week-ends, je te laisserai libre de venir me retrouver quand tu
veux.

Ça te convient ?

Sandrine me répond dans la seconde qui suit.

- C'est parfait.

Sa spontanéité me surprend toujours autant.

Cette femme est une vraie salope droguée au foutre et elle est en manque. Je compte lui donner sa dose.

Je lui donne un double de mes clefs et la renvoie chez elle d'une claque sonore sur ses fesses.

Elle me dit à tout à l'heure, un large sourire aux lèvres.

Après une bonne douche, je vais me coucher. Je m'endors en quelques minutes comme un bien heureux. J'ai les couilles vides et je sais que dans quelques heures je me les viderais encore.
J'ai hâte de voir comment Sandrine va s'y prendre pour me réveiller.

Je me réveille de la plus belle des façons.

J'ai peut-être l'esprit encore embrumé, mais la sensation ne trompe pas. Mon sexe complètement bandé est prisonnier d'un merveilleux écrin chaud et humide. J'ouvre les yeux et découvre Sandrine, nue, comme je lui ai demandé, qui ondule sur moi, ma bite entièrement enfoncée dans sa chatte.

Mes mains se referment sur ses grosses fesses.
- Eh bas, ma salope, t'étais vraiment en manque.
- Tu bandais tellement fort que je n'avais même pas besoin de te sucer. À quoi rêvais-tu pour être dans un tel état ? À moi ?
- À une chienne en chaleur que je farcissais de foutre pour la calmer.
- Hum, c'est tout moi.

Alors qu'elle redescend sur moi, je donne un violent coup de reins. Elle hurle sous la puissance de ma pénétration. Je ne lui laisse pas le temps de récupérer, je me lance dans un pilonnage intensif la faisant décoller toujours un peu plus du lit.

Elle me lance un regard vicieux.

J'empoigne à pleine main ses fesses.

Je la retourne brusquement sur le dos.

Sandrine pousse un petit cri de surprise.

- Je vais te faire couiner.

Je me redresse, me saisis de ses chevilles et écarte au maximum ses cuisses pour une meilleure pénétration. Je sors entièrement ma queue de sa chatte et replonge en elle de toutes mes forces. Elle hurle comme une folle. Je la perfore ainsi pendant près d'une minute avant de me lancer dans un ramonage furieux.

Je la tringle comme la dernière des salopes et le pire que tout c'est qu'elle adore ça. Elle n'arrête pas de couiner, sa chatte dégouline autour de ma queue.

- C'est bon ! Oui ! Encore ! T'arrêtes pas ! hurle-t-elle.

Sandrine se tord de plaisir. Elle a refermé ses jambes autour de moi et m'écrase contre elle. Sa chatte vibre, c'est absolument divin. J'ai du mal à me retenir de ne pas l'inonder de foutre. Mais si elle peut enchaîner les orgasmes, moi j'ai un nombre de cartouches limité et je compte bien la baiser encore.

Sandrine se calme enfin et me libère.

Elle se caresse la chatte, la fouille avec ses doigts et les portes à sa bouche et les lèche.

Elle reste encore un moment à se caresser, à se doigter.

Elle cherche à m'allumer pour que je la reprenne et que je me finisse en elle.

Voyant que je ne ferais rien, elle prend une moue boudeuse et finit par se lever et se dirige vers la cuisine.

Quand je la retrouve, il me faut toute ma volonté pour ne pas plonger sur elle.

Elle est dos à moi en train de cuisiner.

Ce nœud et ces ficelles qui descendent dans le creux de ses fesses me donnent une envie folle de me jeter dessus.

Je me calme et je m'installe à table.

C'est très agréable de se faire servir par une petite soubrette.

C'est d'autant plus appétissant que je sais qu'au dessert, je la renverserais sur la table et je me la ferais une fois de plus.

Pendant tout le déjeuner qu'elle partage avec moi, Sandrine m'allume. Elle se montre étonnamment maladroite. Une maladresse pourtant bien précise, car tout tombe miraculeusement sur sa poitrine que le tablier peine à cacher. Elle récupère tout du bout des doigts avant de le lécher en me souriant. Je déjeune avec une vraie matraque entre les jambes. Les préliminaires promettent d'être expéditifs. Je vais la trousser comme elle le mérite cette magnifique chienne en chaleur.

Le jeu est enfin terminé. Je la laisse débarrasser la table pour que j'aie la place de l'y prendre. Une fois suffisamment dégagé, je la retiens en refermant une main sur l'une de ses grosses fesses.

- Maintenant, ça va être ta fête.

Je glisse un doigt entre ses cuisses. Mon dieu, ce qu'elle est humide ! Je la place devant moi et glisse mon visage entre ses fesses. Ma langue plonge entre ses lèvres inondées de cyprine. J'adore son goût. Je la fouille avec avidité, j'enfonce ma langue aussi profondément que possible. Céline frémit sous mes coups de langue. Elle a les jambes qui tremblent. Ses gémissements redoublent au moment où mes doigts viennent se poser sur son clitoris. Je le fais doucement rouler entre mes doigts, le pince légèrement. Sandrine dégouline un peu plus dans ma bouche. Je savoure avec délice cette merveilleuse liqueur.

Je frustre Sandrine en abandonnant sa chatte au moment où elle est sur le point d'avoir un orgasme.

Je me lève, me place derrière elle et la force à se cambrer.Elle pose ses mains sur la table. J'empoigne ses hanches d'une main et présente ma queue à l'entrée de sa chatte. Je rentre mon gland sans le moindre effort. Elle est bouillante. Je raffermis ma prise en enroulant ma main dans ses longs cheveux.
- Tu es moi, salope.
D'une seule poussée, je plonge en elle jusqu'aux couilles.
- Putain !
Elle avait beau être excitée, avec mon calibre, elle l'a senti passé. Je ne compte pas la ménager.

Je ressors d'elle pour mieux la reprendre sur toute la longueur de ma queue. Ses fesses claquent avec force contre mon pubis.

- T'aimes ça, chiennasse, te faire ouvrir par une grosse queue ?
- Oh...
- Réponds, salope !
- Oui, oh, c'est trop bon !
- Je vais t'en donner de la queue.

Je me lance dans un pilonnage furieux sous les cris de plaisir et un peu de douleur de Sandrine. Je ne la ménage pas.

Elle accepte tout ce que je lui fais avec une facilité qui me surprend toujours autant.

Je la retourne, pose ses fesses au bord de la table et l'enfile. Elle hurle de plus belle. Elle enroule ses jambes autour de ma taille pour limiter l'intensité de mes va-et-vient. Ce que je perds en amplitude, je le comble en accélérant encore le rythme. Je mitraille littéralement sa chatte. J'y vais tellement à fond que la table se met à avancer sous mes coups de boutoir. Ma course est arrêtée lorsque je rencontre un mur.

Sandrine est emportée par un nouvel orgasme et bascule en arrière. Elle se retrouve couchée sur la table. Je profite de son relâchement pour libérer ma taille de ses jambes que je pose sur mes épaules. Je peux à nouveau la prendre sur toute ma longueur et je ne m'en prive pas.

Je sens enfin le jus monter. Cette fois-ci, hors de question de me retenir, je vais la remplir de sperme. Elle reconnaît mes mouvements hérétiques et m'encourage à me lâcher.

Je me plante au fond de sa chatte au moment où je sens le premier jet monter le long de ma queue. Je ne m'arrête pas de gicler, je la remplis d'une énorme quantité de sperme. Sandrine jouit comme une folle.

Je sors enfin d'elle et admire le spectacle. Mon foutre dégouline de sa chatte béante le long de ses cuisses pendantes et de son sillon fessier. J'ai vraiment pris mon pied.

Contrairement à l'autre jour où je l'avais laissé tranquille après, je compte bien profiter d'elle et soulager mon gland sensible. Je vais sur le côté de la table, la saisie par les cheveux pour la faire pivoter et placer sa tête dans le vide. Elle pousse un petit cri de surprise et de douleur dont je profite pour planter ma queue dans sa bouche. Je fais quelques va-et-vient avant de me planter au fond de sa gorge.

Je gratte le fond de sa gorge avec mon gland sensible. J'adore vraiment cette sensation et elle aussi. Si elle est restée passive au début, je sens désormais sa langue remuer le long de ma tige.

Je débande tranquillement dans la bouche de cette merveilleuse salope.

Tous ces fantasmes que je vais pouvoir assouvir, conjugués avec sa bouche et sa langue, produisent ce que je n'avais pas espéré si vite. Je rebande et ce n'est pas une petite érection. Je me sens aussi dur que si je ne l'avais pas prise de la journée. J'ai un moment d'hésitation en me disant que si je la prends une fois de plus, je n'aurais plus de jus pour une éventuelle baise avant de partir travailler. Puis je me dis que gâcher une telle érection avec une telle salope serait une honte.

Malgré son état déplorable, je me penche sur elle et tire sa tête vers moi pour lui rouler un patin. Nos langues s'emmêlent dans le mélange de nos fluides. Cette femme me rend dingue.

Toujours une main dans les cheveux, je la fais de nouveau pivoter, écarte ses cuisses sans douceur et me plante en elle d'un coup de reins magistral. Nous hurlons notre plaisir.

Je l'ai ainsi prise de longues minutes sur la table avant de l'amener dans le salon pour m'installer sur le canapé où je l'ai fait rebondir d'un bon rythme. J'ai tiré ma crampe méticuleusement, sans me presser.

Enchaîner les rapports m'a permis de tenir bien plus longtemps. Lorsque j'ai fini par me répandre en elle, j'étais en train de la chevaucher alors qu'elle était à quatre pattes au milieu de l'appartement. Nous avons encore tous les deux joui comme des fous.

Voyant que je ne suis plus d'attaque, elle renonce à m'aguicher et vient se lover contre moi. Après toute cette débauche, elle a envie d'un peu de tendresse.

Moi, j'en profite surtout pour la caresser. Je profite de ce corps qui m'est offert.

Je fais glisser mes doigts sur ses seins, sur ses hanches, sur ses fesses.

J'adore les courbes de cette femme.

Puisque je ne peux pas l'enfiler, je vais la dévorer. Je la fais glisser sur le carrelage pour me retrouver le visage entre ses cuisses. J'écarte ses jambes et plonge en elle. Après avoir été tant baisée, la chatte de Sandrine est particulièrement sensible.

Elle gémit comme une folle, je ne lui laisse pas un moment de répit. Je glisse trois doigts en elle pour mieux la fouiller.

Mais tout à une fin.

Les heures suivantes, je les passe à repenser à Sandrine et à tout ce que nous avons fait et ce qu'il nous reste à découvrir.

Je suis emplie d'images toutes plus érotiques les unes que les autres.

Des visions qui ont le don de faire doucement reprendre vie à mon sexe.

Je vais peut-être être capable de tester jusqu'où va la perversion de Sandrine.