Les cambrioleurs

Les cambrioleurs 1. Travail en couple (publié par Boris le 06-08-2017)
Les cambrioleurs 2. L'étrange boîte (publié par Boris le 01-09-2017)
Les cambrioleurs 3. Recherches en bibliothèque (publié par Boris le 01-10-2017)
Les cambrioleurs 4. Premiers essais (publié par Boris le 01-11-2017)
Les cambrioleurs 5. En repérage (publié par Boris le 01-12-2017)
Les cambrioleurs 6. La main dans le sac (publié par Boris le 01-01-2018)
Les cambrioleurs 7. Pris au piège (publié par Boris le 01-02-2018)
Les cambrioleurs 8. Les négociations (publié par Boris le 01-03-2018)
Les cambrioleurs 9. L'intrusion des mercenaires (publié par Boris le 02-04-2018)
Les cambrioleurs 10. Dans le hangar (publié par Boris le 01-05-2018)
Les cambrioleurs 11. Phénomènes étranges (publié par Boris le 01-06-2018)
Les cambrioleurs 12. La mission imposée (publié par Boris le 01-07-2018)
Les cambrioleurs 13. Le supplice de Luc (publié par Boris le 01-08-2018)
Les cambrioleurs 14. Le prix de la libération (publié par Boris le 01-09-2018)


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Les cambrioleurs 1. Travail en couple


Luc est ravi. Ce soir, Oriane a passé une mini robe de cuir noir pour l'occasion :
- Mmmmm, tu es magnifique ma chérie, mais on ne sort pas en boîte ce soir. On fait un cambriolage...
Oriane et Luc ont pris l'habitude d'arrondir leurs fins de mois en visitant quelques luxueuses demeures et en forçant les coffres de leurs riches propriétaires. Oriane travaillant dans une agence de sécurité électronique, elle connait les failles et les moyens de contourner la plupart des systèmes.
Oriane sourit à Luc :
- Je sais que tu aimerais bien que je m'habille plus sexy alors, ce soir, j'ai décidé de te faire plaisir...
- Wahou ! C'est surprenant mais ça me plaît beaucoup.
Oriane voit la bosse qui commence à se former à l'entrejambe de son mari :
- Allez, on reste concentrés sur la mission.
Ils montent en voiture. Luc conduit et parvient à garder les yeux sur la route malgré son envie d'admirer la robe sexy de sa femme. Ils arrivent devant un luxueux hôtel particulier pour lequel ils savent que les propriétaires sont absents. Dix minutes après, ils sont à l'intérieur et commencent à rechercher le coffre-fort. Oriane trouve un placard fermé à clé :
- Je crois que c'est derrière ces portes.



En voyant sa femme se retourner face au placard, Luc ne peut s'empêcher d'admirer sa splendide silhouette mise en valeur par la petite robe de cuir :
- Chérie, même si on ressort bredouille, je dois t'avouer que ce casse restera un de mes préférés.
- Obsédé... Laisse -moi me concentrer.



Oriane se penche pour regarder la serrure. Luc ne dit rien mais il voit que la petite robe remonte un peu sur ses cuisses, à la limite de ses fesses. Quad Oriane comme à passer les doigts sur le pourtour de la porte dans l'espoir de sentir une légère source de chaleur émanent d'un système de sécurité électrique, la robe remonte carrément sur ses fesses. Luc s'approche sans bruit pour admirer.



Quand il arrive juste derrière elle, il n'en croit pas ses yeux : sa femme ne porte pas de culotte ! C'est bien la première fois qu'elle fait cela malgré plusieurs demandes de son mari en ce sens. Au mieux, il a réussi à la convaincre de se mettre topless sur la plage l'été, mais se passer de culotte a toujours été inenvisageable jusqu'à présent. Luc s'accroupit et admire les jolies fesses de sa femme et surtout sa moule dénudée.



Luc ne résiste pas. Il tend la main et plonge son majeur dans la fente d'Oriane. Celle-ci sursaute :
- Hey ! Qu'est-ce que tu fous ?
- Je profite de ta tenue.
Oriane tente de se dégager mais Luc, de son autre bras, la maintient par la taille, tandis qu'il commence à lui branler la moule. Oriane commence à feuler :
- Arrête... Il faut qu'on bosse... On fera ça après, à la maison... S'il te plaît.
Mais le souffle court de la jeune femme ne laisse aucun doute sur le plaisir qu'elle prend. Elle n'ose plus dire à Luc d'arrêter quand celui-ci commence à lui lécher l'anus.



- Oooooh... C'est bon. Continue, Salaud.
Luc ne se prive pas. En moins de deux minutes, il arrache un orgasme à sa femme. Quand elle reprend ses esprits, elle se retourne :
- Merci, c'était délicieux... Mais ce n'est pas sérieux.
- Ce n'était pas sérieux de ta part de ne pas mettre de culotte...
- Il n'y en avait plus de propre et j'espérais que tu ne t'en rendrais pas compte...
Luc tira sur le haut de la robe et dégagea la poitrine nue de sa femme :
- Plus de soutif non plus ?



- Non. Là, c'est que ça ne s'y prêtait pas avec cette robe...
Alors qu'Oriane s'apprête à rajuster sa robe, Luc déboutonne son pantalon et sort un sexe imposant en érection :
- Tu ne vas quand même pas me laisser dans cet état !
- Bon, je te suce, mais après on termine rapidement le boulot, ok ?
- Promis.
La jeune femme s'agenouille et prend le sexe de son mari entre ses lèvres pour lui faire une fellation.



Luc se met à souffler fort. Avec les bruits de succion que fait Oriane, aucun des deux n'entend que la porte du salon s'ouvre et que quelqu'un les observe. Ce n'est qu'en faisant une pause pour reprendre son souffle qu'Oriane tourne la tête et prend conscience d'une présence, alors qu'elle recommence à lécher le gland de son mari.



Une jeune fille blonde vient d'entrer dans le salon. Elle est en culotte et nuisette et tient à la main un téléphone portable :
- Je viens de vous prendre en photo et elle est déjà sur ma dropbox. Si vous tentez quoique ce soit contre moi, vous le regretterez !
Luc et Oriane se figent. Luc se rend compte que la nouvelle venue, probablement la fille des propriétaires, ne se rend pas compte qu'ils sont cambrioleurs :
- Nous sommes désolés, nous pensions que la maison était vide et on voulait profiter des lieux pour s'amuser un peu.
La jeune fille sourit :
- Dans ce cas, continuez. Sinon la photo sera diffusée sur tous les réseaux sociaux.



Oriane n'en croit pas ses oreilles :
- Quoi ?
- Je veux voir éjaculer ton mec. C'est pas tous les jours qu'on peut profiter d'un tel spectacle en vrai. C'est quand même mieux qu'un porno !
Après quelques secondes d'hésitation, Oriane s'exécute même si c'est la première qu'elle fait une fellation devant un spectateur et que cela la gêne.



Pendant qu'Oriane suce Luc, la jeune fille commence à ouvrir sa nuisette et dévoile ses seins :
- Est-ce que ça l'aider à éjaculer s'il peut voir mes seins ?
Orianne ne répond pas mais elle sent le sexe de Luc se tendre davantage dans sa bouche. Le jeune homme ne se prive effectivement pas de se rincer l'œil sur les gros seins de la jeune fille.



Une fois débarrasser de sa nuisette, la jeune fille, voyant qu'elle contrôle parfaitement la situation, semble prendre confiance en elle :
- Suce le fort mais ne le laisse pas jouir dans ta bouche. Je veux voir le sperme gicler. Et toi, remonte lui ses cheveux que je puisse bien voir ta queue.
Luc ne discute pas et relève les cheveux de sa femme.



La jeune fille se caresse l'entrejambe, une main dans la culotte, en les regardant. Après une minute, elle finit par carrément retirer la culotte trempée de mouille. Luc ne peut s'empêcher de la regarder. Il en a un peu honte puisqu'il se fait sucer par sa femme mais il se dit qu'il aurait tort de se priver puisque c'est ce que veut la jeune fille. A nouveau, elle prend son téléphone portable et photographie le couple.



Oriane commence à en avoir marre. Elle sent que l'éjaculation de Luc est plus longue à venir que d'habitude. Toutefois, malgré l'excitation de cette situation, elle comprend que Luc puisse avoir un certain blocage d'être regardé par une autre fille. Oriane plonge le sexe au fond de sa gorge en espérant le faire jouir plus rapidement.



La jeune fille réagit aussitôt :
- Attention ! Pas dans la bouche. Je veux voir son sperme jaillir et éclabousser tes seins.
Oriane continue sa fellation de manière plus traditionnelle. La jeune fille s'assoit par terre et saisit un godemiché. Elle écarte alors les cuisses de manière indécente et se met à sucer le godemiché comme s'il s'agissait d'une queue.



Luc hallucine de la voir faire. La jeune fille sourit et dit :
- Arrête de le sucer et de le branler. Tiens sa queue face à ta bouche ouverte. Je veux qu'il me regarde et que ce soit moi qui déclenche son éjaculation.
La jeune fille commence à faire glisser le godemiché dans sa fente. Oriane prend la pose demandée et attend en regardant son mari.



La jeune fille gémit de plus en plus. Luc la regarde se masturber avec le godemiché, l'osant plus regarder Oriane, de peur de sentir la désapprobation dans son regard. La jeune fille, l'interpelle :
- Regarde ! Je suis sûre que ça va te plaire !
Elle ressort le godemiché de sa fente béante et commence à le faire pénétrer dans son petit anus.



Elle regarde Luc droit dans les yeux et commence à gémir. Luc sent qu'il ne peut plus se contenir. Il baisse les yeux sur sa femme et est surpris de constater qu'elle semble amusée par la situation. Il s'apprête à lui dire qu'il va éjaculer mais Oriane le devance :
- Je crois qu'il va jouir...
Le sperme se met aussitôt à jaillir et plusieurs jets viennent s'écraser sur le menton et sur les seins de la jeune femme.



La fille rigole :
- Bravo ! C'est excellent !
Retirant le godemiché de son cul, elle le pose par terre et interpelle Oriane :
- Tu as goûté à la semence de ton mec, maintenant tu vas venir goûter à ma liqueur.
Oriane vient la rejoindre et se met à quatre pattes entre les cuisses écartées de la fille pour lui lécher la moule.



C'est la première fois qu'elle fait cela mais elle sait parfaitement comment fonctionne cette partie anatomique. Sa partenaire en est surprise :
- Mmmm, tu sais bouffer les chattes, c'est un vrai bonheur.
Oriane ne répond pas mais elle est assez fière de voir qu'elle arrive à donner du plaisir à cette fille.



- Ooooh, c'est bon, continue ! Et toi, viens donc la baiser puisqu'elle a le cul en l'air.
Luc n'avait pas débandé. Il est particulièrement émoustillé de voir sa femme brouter la chatte d'une autre fille et surtout de voir son cul tendu vers lui. Il vient s'agenouiller derrière elle et fait pénétrer son sexe tendu dans sa fente trempée de mouille.



Les va-et-vient de Luc font se balancer Oriane et lui impose un autre rythme pour lécher la moule de leur maître-chanteuse. La jeune fille ferme les yeux et exhorte Luc :
- Oooh oui ! Baise-la ! Ta copine me suce avec encore plus de fougue !
Luc se déchaîne mais ne tient pas bien longtemps. Quelques secondes après, il sent la sève monter de ses couilles. Il se retire alors et laisse sa semence asperger la magnifique croupe de sa femme.



Oriane sent le sperme qui coule le long de ses cuisses. Sa partenaire semble ne plus être loin de l'orgasme. Quand elle la voit se tendre, elle se redresse et plonge deux doigts dans la fente trempée de mouille. La regardant droit dans les yeux, elle se met à la masturber à toute vitesse tandis que la jeune fille subit les convulsions de plaisir.



Les deux amantes se laisse tomber l'une contre l'autre. La jeune fille demande :
- Tu es bi ?
- C'est la première fois que je fais ça avec une fille...
Oriane se penche pour embrasser la bouche que la jeune fille tend vers elle.



Quand leurs bouches se séparent, Oriane demande :
- Et toi ? Tu es lesbienne ?
- Non... je préfère carrément une bonne queue... Dis à ton mec que je veux qu'il me fasse jouir.
Oriane regarde Luc. Il a entendu la demande et, voyant le sourire d'Oriane, il sait qu'il a son accord. Il s'approche de la jeune fille qui l'attend, cuisses écartées. Lentement, il plonge son sexe tendu dans la fente trempée.



La jeune fille blonde gémit :
- Oooooh oui ! C'est bon de sentir cette bite.
Fascinée par les seins de la jeune fille qui roulent sur le buste au gré des assauts de son mari, Oriane tend une main et caresse la poitrine aux tétons tendus.



La blonde l'arrête :
- Laisse-nous et va plutôt te mettre dans le fauteuil en face pour te caresser.
Oriane, un peu frustrée de se faire envoyer balader, obtempère et va s'installer comme demandé. Cuisses écartées, elle commence à se caresser la moule.



La jeune fille regarde Luc :
- Regarde ta femme qui se branle bandant que tu me baises. N'est-celle pas magnifique ?
- Si...
- Elle pourra venir nous rejoindre dès qu'elle se sera donnée un orgasme.



Oriane comprend qu'elle n'a pas de temps à perdre si elle veut retourner s'amuser avec eux. Elle s'allonge donc dans le fauteuil et se met à se caresser le clitoris à toute vitesse :
- Aaaaah ! Oooooh... Mmmmm ouiiiii.
Luc et sa partenaire la regarde se tordre de plaisir alors qu'elle jouit.



La jeune fille semble satisfaite :
- Elle est belle quand elle jouit ta copine...
- Et toi ?
- Moi, si tu veux me voir jouir, il va falloir me la mettre dans le cul...
Luc ne demande pas mieux. Oriane, qui les a rejoints, prend le sexe de son homme et le guide dans l'anus de la jeune fille. Luc plonge avec délice dans l'étroit canal.



Oriane se penche alors sur la fente encore béante et commence à en lécher le clitoris. La jeune fille blonde se met à crier :
- Ooooh putain ! Ouiiiii ! C'est bon, ça !
Luc se met à accélérer ses assauts alors que l'orgasme est en train de gagner sa partenaire.



Elle est en train de hurler quand il sent qu'il va jouir. Oriane voit le regard trouble de son mari. Elle sait qu'il est sur le point d'éjaculer :
- Sors, elle veut voir !
Elle saisit la base du sexe de son mari et l'oblige à se retirer juste au moment où il commence à éjaculer. Son sperme se met à gicler et vient fouetter le bas ventre de la jeune fille qui crie encore de plaisir.
Quand chacun retrouve son souffle, la blonde sourit à Oriane :
- Tu as vu ce que ton mari m'a mise ?



Oriane sourit, fière que l'on vante les exploits de son homme. Quand la jeune fille lui fait signe de venir lui lécher la moule, Oriane comprend qu'elle souhaite une petite toilette personnalisée. C'est le sperme de son mari et cela ne la dégoûte pas. Elle vient de bonne grâce lécher méticuleusement toute la semence de son homme et s'amuse à s'attarder sur la fente ultra-sensible de la blonde, lui arrachant quelques soubresauts de plaisir.



- Mmmmmm... Quel pied ! Jamais je n'avais ressenti cette puissante. Pouvoir diriger un couple et lui faire faire ce que je veux, c'est vraiment le top. J'aimerais bien pouvoir vous garder à jamais mais je ne peux pas vous contraindre à cela. Après tout, il s'agit juste d'une effraction pour venir baiser, pas un cambriolage.
En entendant ce mot, Oriane s'active un peu plus sur le clitoris en espérant que cette idée ne tourne pas trop longtemps dans la tête de la jeune fille.



Un nouveau petit orgasme la fait se tendre sous la langue habile de la jeune femme. Sitôt l'orgasme passé, la fille se relève et regarde le couple :
- Vous êtes des sacrés baiseurs, tous les deux ! Quelle chance que vous ayez voulu baiser dans la maison de mes parents !
Oriane demande timidement :
- On peut partir ?
- Bien sûr, mais revenez quand vous voulez ! Quand mes parents ne sont pas là, bien sûr...



Oriane et Luc se rhabillent rapidement et quittent la propriété. Dans la voiture, ils n'échangent pas un mot. Le cambriolage est un fiasco mais pourtant, ils ont tous les deux pris un plaisir immense à cette soirée. Oriane finit par dire :
- On a eu beaucoup de chance !
- Oui... Mais dis-toi que si tu n'avais pas choisi cette tenue, les choses auraient pu se terminer très mal pour nous...
La remarque de Luc fait son chemin dans la tête de la jeune femme et elle réfléchit déjà au prochain cambriolage.
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Les cambrioleurs 2. L'étrange boîte


Cette nuit Luc et Oriane ont décidé de ne pas prendre de risque. La maison qu'ils ont choisi de cambrioler est censée être inoccupée mais Luc va quand même sonner en se faisant passer pour un démarcheur. Personne ne venant ouvrir, il fait signe à Oriane de le rejoindre et ils font le tour de la maison. Une fois la porte de derrière forcée, ils entrent. Oriane sent le regard de Luc sur elle :
- Concentre-toi sur la mission !
- Avec la robe que tu as mise, ça va être compliqué...
Oriane a une minirobe moulante à fine bretelle particulièrement sexy. Leur précédente expérience l'a incité à choisir une tenue qui fasse plus "soirée" que "cambrioleur".



Quand ils arrivent dans la bibliothèque, Luc répartit les tâches :
- Fouille le bureau, je regarde derrière les livres de la bibliothèque.
Oriane s'appuie au bureau et entend Luc lui demander :
- Tu as mis une culotte ?
Oriane se retourne :
- Concentre-toi sur la mission.



Mais la question excite Luc. Il vient derrière sa femme et s'accroupit pour découvrir qu'elle a effectivement décidé de se passer du superflu. Une érection le gagne immédiatement. Oriane ne se rend pas compte qu'il la matte car elle vient de découvrir une étrange petite boîte oblongue en bois et métal, munie d'un mécanisme complexe et d'un bouton à l'extrémité. L'objet est très élégant et semble très ancien. Luc profite de la concentration de la femme pour se rincer l'œil.



Oriane enclenche le bouton avec le pouce pour voir ce que cela fait mais la boîte ne semble pas s'ouvrir ou actionner un élément particulier même si Oriane sent une légère vibration indiquant qu'un mécanisme s'est enclenché. Quand elle désenclenche le bouton, elle prend conscience de la respiration de Luc derrière elle. Elle se retourne et le découvre accroupi, les yeux perdus sous sa robe :
- Qu'est-ce que tu fais ?



- Bah, tu vois, je me rince l'œil...
- Au point de retenir ton souffle pendant que tu me regardes ?
- Je n'ai pas retenu mon souffle... Pourquoi tu dis ça ?
Oriane n'insiste pas car la porte du bureau s'ouvre soudain.



Une femme rousse appelle :
- Robert ! Il y a des gens !
Un homme arrive derrière elle et reste en extase devant Oriane et sa robe sexy :
- Tu les connais, Viviane ?
- Non.
Luc réagit et sort une arme qu'il avait pris en prévision d'un tel problème :
- Ne bougez pas. Faites ce que l'on dit et il ne vous arrivera rien.
La femme prend conscience de la situation :
- Robert, ce sont des cambrioleurs !



Oriane vient rejoindre Luc :
- Donne-moi le pistolet.
Luc lui tend l'arme. Elle lui sourit et dit :
- J'ai eu l'impression que la nana de l'autre soir c'était bien amusée quand elle nous tenait en son pouvoir. J'ai bien envie de m'amuser aussi...



Pointant l'arme sur Viviane, elle dit :
- Toi, tu vas retirer ta robe.
- Mais... Je ne peux pas. Je n'ai rien dessous...
- Tiens ? Intéressant. Montre-nous ça. Retire ta robe.
Voyant l'insistance de la jeune femme, Viviane déboutonne sa robe et la retire.



- Qu'en penses-tu Luce ?
- Elle est très appétissante.
- Tu veux la baiser ?
- Tu veux me voir la baise ?
- Je crois oui...
Viviane prend peur :
- Pitié, ne nous faites pas de mal !



- Mon mari ne va pas te faire de mal. Il va te faire jouir.
- Mais c'est du viol !
- Si tu te refuses à lui. Mais je pense que tu vas vite être d'accord.
- Et pourquoi je serais d'accord ?
- Parce que je vois bien les regards que tu lui jettes depuis que tu es entrée dans ce bureau.
Viviane semble gênée par cette révélation.



Robert fronce les sourcils mais ne fait absolument rien pour aider sa femme. Oriane lui donne les instructions :
- Va déshabiller mon mari.
- Il est peut-être assez grand pour le faire seul, non ?
- Ne discute pas !



Viviane prend peur en entendant le ton autoritaire d'Oriane. Elle va rejoindre Luc et lui retire sa chemise. Elle en profite pour laisser ses mains sur son torse musclé. Puis, elle lui abaisse le pantalon, emportant en même temps le caleçon :
- Oh ! Mon Dieu !
Elle est subjuguée en voyant que le sexe de Luc est déjà dans un état d'érection assez avancé.



Oriane sourit. Elle apprécie de pouvoir donner des ordres et d'avoir cette fille à sa merci pour l(offrir à son mari :
- Bien, Viviane. Comme tu le vois, mon mari est prêt à t'honorer et tu sembles à son goût.
Luc se garde bien de dire qu'il bande surtout depuis qu'il a découvert que sa femme ne portait rien sous sa robe. IL va s'assoir dans le canapé et laisse Viviane venir s'empaler sur sa queue tendue.



Elle regarde son mari avec un air désemparé, comme si tout cela lui était imposé et qu'elle le regrettait. Mais Luc se rend vite compte qu'il n'a pas besoin de bouger. D'elle-même, Viviane se met à bouger sur sa tige et commence à onduler du bassin jusqu'à ce que la bite de Luc soit totalement en elle. Puis elle se met à monter et descendre. Rapidement, elle se met à gémir et elle finit par lâcher à son mari :
- Oooh Robert ! C'est un super baiseur !



Robert ne semble même pas fâché et se rince l'œil à voir sa femme se faire baiser par un inconnu. Après quelques minutes de chevauchées intenses, Oriane propose de changer de position :
- Allonge-toi sur le dos, Viviane.
Viviane se dégage et, comme son mari est assis sur le canapé, celui-ci se lève pour lui laisser la place mais Oriane lui ordonne de rester :
- Non Robert. Reste assis. Viviane va s'installer contre toi.
La femme rousse s'allonge en s'appuyant sur les jambes de son homme et elle écarte les cuisses pour que Luc puisse la pénétrer.



Viviane se met à gémir de plus en plus. Oriane admire le sang-froid de Robert :
- Robert, ça ne te donne pas chaud toute l'activité de ta femme ?
Oriane fait glisser les bretelles de sa robe, agrandissant le décolleté de sa robe :
- Je pense que tu seras mieux sans tes vêtements, Robert.



L'homme ne discute pas et retire ses vêtements en quelques secondes, affichant une terrible érection. Oriane rigole :
- Oh, je vois que ça t'excite bien de voir ta femme se faire baiser.
Robert, gêné, ne répond pas. Oriane, le voyant à poil avec sa femme nue contre lui, s'adresse à Viviane :
- Viviane, tu vas faire une pause et sucer un peu Luc.
En lui demandant cela, elle sait bien que la rousse aura la croupe sous les yeux de Robert et que celui-ci voudra la prendre. Un simple échange de regards entre Robert et Oriane suffit à ce qu'il comprenne ce qu'il doit faire. Il soulève donc une cuisse de sa femme et la pénètre.



Oriane est ravie de voir que le couple lui obéit au doigt et à l'œil :
- Vous êtes parfaits. Si vous continuez comme ça, je pense que chacun pourra repartir content de cette soirée.
La jeune femme s'assoit et commence à retirer sa robe.



Viviane a bien du mal à sucer Luc car elle gémit de plus en plus à cause des pénétrations de son homme et son souffle court l'empêche de garder le sexe de Luc en bouche trop longtemps. Alors qu'elle quitte sa robe, Oriane n'en revient pas de voir à quel point cette femme s'investit dans sa tâche alors qu'elle semblait si prude quand elle les a surpris. Maintenant, il est indéniable que Viviane veut faire jouir Luc et avoir un orgasme.



Une fois nue, Oriane se lève et admire le trio :
- Bien. Viviane, on va changer de position. Tu vas te faire enculer par Luc.
Oriane sourit en voyant le visage horrifié de Viviane.



Reprenant son souffle alors que les deux hommes se relèvent, elle proteste :
- Non. C'est hors de question. Je ne pratique pas la sodomie.
Son mari vient à son secours :
- C'est vrai. Elle me l'a toujours refusé.
Oriane pointe le pistolet sur elle :
- Tu crois vraiment que tu as le choix ?



Viviane se lève :
- Ok. Calmez-vous. Je vais le faire...
Oriane sourit de voir à quel point une arme lui donne du pouvoir. Comme elle baisse l'arme, Viviane se détend :
- Mais par contre, il y va doucement.



- C'est lui qui décidera. Mais le connaissant, je pense qu'il fera tout pour que tu prennes autant de plaisir que lui.
Viviane se met à quatre pattes, la croupe en l'air. Elle sourit à Luc :
- Je suis prête...



Luc s'approche et guide son sexe, non pas dans son anus mais dans sa fente trempée de mouille. Oriane proteste :
- Chéri, faut-il que je te rappelle le principe de la sodomie ?
- Non. Je veux juste la préparer convenablement. Elle semble un peu effrayée.



Viviane le remercie :
- C'est sympa... C'est vrai que ça me fait un peu peur...
Oriane intervient :
- Dans ce cas, tu vas sucer Robert, ça te changera les idées.
Robert acquiesce et vient s'asseoir devant sa femme pour qu'elle le prenne en bouche.



Oriane adore être ainsi maître de la situation. Elle s'allonge dans le canapé en face, laissant le pistolet à portée de main, et commence à se caresser les seins. Robert n'arrête pas de la regarder depuis qu'elle est nue. Pour l'exciter, elle écarte largement les cuisses, révélant sa fente inondée de mouille.



Viviane semble bien apprécier de sucer son mari d'autant qu'il bande exceptionnellement bien. La voyant bien concentrée, Luc se dit que c'est le moment de changer d'orifice. Lentement, il ressort son sexe tenu et lubrifié par la mouille de sa partenaire. Puis il le guide dans l'étroit canal et le fait pénétrer progressivement. Viviane interrompt sa fellation quelques instants pour profiter de ce début de sodomie. Quand Luc commence à aller et venir entre ses reins, elle reprend la fellation à son mari.



Luc ne fait pas de commentaire mais il se rend compte que cet orifice est loin d'être vierge. Si le mari n'y a jamais eu droit, la femme ne semble pas s'être privée de l'offrir à des amants. Après quelques minutes, Viviane a un terrible orgasme. Oriane sent que Luc ne va pas tarder à jouir non plus. Elle donne donc les dernières instructions à leurs otages :
- Robert. Lèves-toi et branles-toi jusqu'à éjaculer en regardant ta femme faire jouir mon homme.



Robert se lève, un peu frustré mais commence à se masturber. Oriane continue :
- Viviane, suce les couilles de Luc et dès qu'elles se contracteront, tu prendras son sexe dans ta bouche pour qu'il s'y vide.
Viviane, encore un peu sous le coup de son orgasme, se dégage, presque à regret, et vient s'agenouiller devant Luc pour lui sucer les testicules.



Le sexe de Luc se tend. La femme rousse semble avoir plus de ressource qu'elle ne le laisse paraitre au premier abord. Quand elle sent que les couilles de son amant se contractes, elle se redresse et prend le gland palpitant entre ses lèvres. Luc se met à râler. Un flot de sperme se met alors à jaillir dans la bouche de la jeune femme. Ne voulant pas avaler, elle se retrouve avec une forte pression qui l'oblige à entrouvrir la bouche. Du sperme se met alors à gicler un peu partout.



Oriane est fascinée. Elle entend alors des gémissements à côté. C'est robert qui est sur le point d'éjaculer. Mais contrairement à ce qu'elle pensait, il n'est pas en train de regarder sa femme mais c'est elle qu'il regarde en se masturbant. Oriane le gronde :
- Stop ! Arrête de te branler !
Robert lâche son sexe turgescent mais il est trop tard, le sperme, épais, se met à s'écouler lentement de son sexe qui a des soubresauts.



Quand Oriane tourne la tête vers Viviane et Luc, elle se rend compte que la jeune femme est en train de s'essuyer le visage d'une impressionnante quantité de sperme. Elle demande à Luc :
- Alors ?
- Merci, c'était génial ! Regarde un peu ce que je lui ai mis !
- Je vois ça...
Oriane est presque jalouse en voyant toute la semence de son mari sur le visage de cette femme.



Quand elle tourne à nouveau le regard vers Robert, celui-ci éjacule toujours, lentement et son sperme s'écoule, goutte à goutte, sur le parquet du bureau. Oriane ramasse sa robe et sourit :
- Parfait. Il n'y a que moi qui n'ai pas joui.
Robert tente sa chance :
- Si vous voulez...
- Inutile. Nous allons rentrer et Luc s'occupera de moi comme il se doit.
Robert ne répond pas mais reste immobile tandis que son sperme termine de s'écouler.



Quand il a terminé, il demande à sa femme :
- Il ne semble pas t'avoir fait mal avec la sodomie...
- Non, c'était très bien.
- Alors on pourra essayer aussi, non ?
- Non, je ne l'ai fait que sous la menace d'une arme.



Oriane termine de remettre sa robe et ramasse le pistolet. Robert ajoute alors :
- Tu parles d'une menace ! Leur pistolet est un jouet en plastique.
Oriane est stupéfaite :
- Tu t'en étais rendu compte ?



- Bien sûr, mais je voulais voir ce que vous vouliez. J'avoue ne pas avoir été déçu...
Viviane est furieuse :
- Tu le savais depuis le début ? Espèce de salaud !!!
Luc se rhabille et, tandis que le couple commence à s'engueuler, le couple de cambrioleur s'éclipse discrètement. Une fois dans la voiture, Luc dit :
- Intéressante soirée, mais ces soirées de sexe ne nous rapportent pas grand-chose financièrement. Encore une fois, on revient bredouille.
- Pas tout à fait.
Oriane sort de son sac la jolie petite boîte en bois et métal qu'elle avait trouvée juste avant l'irruption des propriétaires.

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Les cambrioleurs 3. Recherches en bibliothèque


La petite boîte en bois et métal est indéniablement ancienne. Luc et Oriane l'inspectent en détail pour tenter de comprendre son utilisation. Ils appuient sur le bouton, mais sans obtenir le moindre résultat. Ils perçoivent pourtant un mécanisme à l'intérieur, mais ne voient aucun moyen d'ouvrir la boîte. La finesse des décors laisse penser qu'il s'agit de quelque chose d'élaborer et le seul indice dont ils disposent est une petite phrase latine "fugit irreparabile tempus". Luc et Oriane décident donc d'aller en bibliothèque faire quelques recherches dans l'espoir de trouver quelques informations sur l'origine de cette boîte. Tandis qu'ils se préparent, Luc admire la jolie robe de sa femme :
- Tu es superbe. C'est ta tenue de bibliothèque ?
- Pourquoi, il y a une tenue dédiée pour aller en bibliothèque ?



- Tout dépend de ce que tu veux y faire... Là, je vois que tu n'as pas de soutien-gorge : c'est presque une incitation à ce que je te tripote pendant que tu consultes les vieux grimoires.
- Ah oui ? Seulement me tripoter ? Alors il va falloir que je trouve une tenue plus adaptée à mes attentes...
Oriane se retourne et relève sa robe. A attrape sa culotte et, lentement, la fait glisser en se penchant en avant.



Luc peine à avaler sa salive :
- Ok, je crois que nos recherches vont être très longues...
- Allez, mettons nos chaussures et allons-y.
Oriane s'assoit par terre pour attacher ses chaussures, cuisses écartées pour le plus grand plaisir de son homme.



Sur le trajet, la jeune femme demande :
- Tu as déjà baisé dans une bibliothèque ?
- Pas que je me souvienne et je crois même n'avoir jamais bandé dans une bibliothèque...
Ils entrent dans la bibliothèque et prennent l'escalier menant à la section Histoire et Archéologie. Oriane passe devant Luc, lui permettant d'admirer ses fesses nues sous sa courte robe :
- Et là, tu bandes ?



- Petite coquine ! Comment ne pas bander ?
- Tu devrais apprendre à te contrôler...
- Oh mais, montre-moi ça !
Luc se jette sur elle et soulève la jupe. Il plonge un doigt dans la fente humide de sa femme :
- C'est la nana qui dégouline de mouille qui me parle de contrôle ?



Oriane se dégage de son étreinte :
- Moi, ça reste plus discret !
- Tu crois vraiment qu'une petite robe ras-du-cul est discrète ?
- Tu n'as qu'à regarder tes chaussures au lieu de regarder mon cul.



Oriane reprend l'ascension de l'escalier. Luc la rattrape :
- Et ton décolleté, tu crois qu'il est discret ? Tout le monde voit au premier coup d'oeil que tu n'as pas de soutif.
- Un joli décolleté c'est élégant. La bosse d'une érection, c'est vulgaire !
Agacé, Luc tire sur le décolleté, dégageant la poitrine de sa compagne :
- Et ça, c'est pas vulgaire ?



- Dis-donc chéri, d'autres lecteurs pourraient nous surprendre. Tu crois vraiment que l'escalier est le bon endroit pour faire de l'exhibition ?
- On est entre deux étages, on aura le temps d'entendre venir.
- Ah, donc tu as des projets ?
- Et comment, à force de m'exciter, tu vas devoir me soulager.
Luc lui appuie sur les épaules pour la forcer à se mettre à genoux.



Oriane, toujours les seins à l'air, ne proteste pas. Elle relève la tête et le regarde ouvrir sa braguette et sortir son érection. Oriane sourit :
- Oh oui ! Je suis vraiment vilaine de te faire bander comme ça. Je crois que je vais être punie...
Saisissant le sexe tendu, elle commence par le masturber.



Luc ferme les yeux mais reste attentif à d'éventuels bruits dans les escaliers qui lui indiqueraient que quelqu'un approche. Oriane porte alors le membre raide à sa bouche et commence à le sucer. Des deux mains, elle lui masse en même temps les testicules jusqu'à ce que sa queue devienne parfaitement raide.



Luc sait qu'il ne va pas tenir longtemps à ce rythme, mais Oriane se lève soudain :
- Une petite pause, c'est toujours sympa, mais là, on a du pain sur la planche.
- Quoi, tu me laisses comme ça ?
- Je ne te laisse pas puisqu'on va faire nos recherches ensemble.
Oriane rajuste sa robe.



Ils arrivent à la section Histoire et Archéologie de la bibliothèque, presque déserte à cette heure-ci, mis à part quelques retraités qui compulsent des ouvrages pour leur érudition. Oriane voit un écriteau indiquant d'une flèche "Catalogue informatisé". En suivant la direction, ils trouvent dans un petit recoin un ordinateur permettant d'accéder au catalogue de la bibliothèque :
- Par quoi on commence : le texte ou sur les objets de musée ?



- Le texte, c'est du latin. On trouvera bien un dictionnaire en salle.
- Ok... "Objet" ne donne rien de probant... On va y passer des semaines à éplucher tout ça...
- Attends, essaie avec artefacts, peut-être. Il me semble que c'est le terme consacré en archéologie.
- Ah oui, bravo ! Une trentaine de résultats seulement. Et regarde celui-là, "Les artéfacts impossibles de l'Histoire", ce sera un bon début.
- Je te fais confiance.
Oriane se rend compte que Luc est accroupi derrière elle et qu'il se rince l'œil sur sa croupe nue.



- Arrête gros malin. Tu vas bander comme un âne et ça va se voir.
- Trop tard...
Sans la moindre pudeur, Luc déboutonne son pantalon et sort son sexe tendu.



Oriane note rapidement la cote de l'ouvrage qui les intéresse et sourit :
- Et quoi ? Tu veux que j'utilise ta queue pour noter la cote ?
- Non, ce n'est pas un crayon. Je te montre comment ça marche.
Sans préavis, il saisit sa femme par la taille et, d'un coup de reins, plonge sa tige raide dans la fente humide d'Oriane.



Celle-ci pousse un profond gémissement de plaisir en sentant la longue queue de son mari entrer en elle. Mais aussitôt, elle se dégage et lui échappe :
- T'es con ! Pas ici.
Luc, la queue à l'air, fronce les sourcils en admirant la splendide croupe qui vient de lui échapper.



- Ah, donc tu es prête à ce qu'on le fasse mais ailleurs ?
- Oui, en entrant j'ai repéré les rayonnages sur l'art contemporain. Ce n'est certainement pas le sujet que visera le rare public d'âge avancé qui hante ces lieux.
Oriane laisse Luc encore admirer un peu sa tenue débraillée qui laisse apparaître sa croupe et sa poitrine.



Puis elle se rajuste rapidement et, passant devant son mari dont le sexe est toujours à l'air, elle lui remet de force dans le pantalon :
- Remballe ça. Les armes sont interdites dans la bibliothèque.
- surtout qu'elle est chargée !
Oriane sourit et se mord aussitôt les lèvres pour ne pas rire aux éclats. Dès que le couple arrive dans le rayonnage jugé le plus tranquille de la bibliothèque, Oriane commence à retirer sa robe en dégageant ses seins.



- Si un petit vieux te voit, il va faire une crise cardiaque.
Oriane termine de retirer sa robe et s'expose nue à son mari :
- Si c'est un jeune bibliothécaire, j'espère qu'il viendra te donner un coup de main !



Tout en se débarrassant de son pantalon, Luc dit à Oriane :
- Tu aimerais réellement essayer de te taper deux mecs en même temps ?
- A vous voir baiser Viviane, toi et Robert, ça m'a donné envie d'essayer... Alors si l'occasion se présente, je ne dis pas non.
Elle fait s'allonger Luc et, lui tournant le dos, elle s'empale sur sa tige.



Oriane monte et descend lentement sur la tige tendue de son mari, retenant avec difficulté ses gémissements de plaisir. Luc la rappelle à l'ordre :
- Chut, tu vas attirer le jeune bibliothécaire...
- Aaah... ou un vieux pervers...
S'appuyant aux rayonnages, la jeune femme essaie d'accélérer la cadence.



Soudain, ils entendent des pas dans la rangée juste à côté :
- Merde ! Quelqu'un...
- Le jeune bibliothécaire ?
- Je ne vais pas attendre qu'il arrive pour le savoir...
Précipitamment, Oriane se relève et renfile sa robe.



Luc se relève en renfilant son pantalon, frustré de cette nouvelle interruption alors qu'il était persuadé que cette fois-ci était la bonne :
- Tu es vite effarouchée pour une fille qui est prête à se taper deux mecs...
- En public, c'est différent... Je vais chercher le bouquin sur les artéfacts.
Luc peine à remettre son érection encore tendue dans son pantalon.



Luc retourne s'installer à une table et prend au passage un dictionnaire de latin. Quand Oriane revient avec le livre sur les artefacts, Luc lui annonce fièrement :
- Le temps s'enfuit irrémédiablement !
- Quoi ?
- C'est la traduction de la phrase en latin sur la boîte.
- Ouais... ça ne nous avance pas beaucoup...
Oriane s'assoit à côté de Luc et commence à feuilleter l'ouvrage. Luc s'amuse à tirer sur son décolleté et dégage un sein. La jeune lui sourit :
- Tu t'occupes bien ?



Luc la laisse rajuster son décolleté et reprendre la lecture de l'ouvrage. Après un feuilletage rapide, elle revient consulter le sommaire et tombe sur un titre intriguant :
- La boîte de Cristofari ?
Oriane tourne les pages et atteint le chapitre dédié à cette boîte. Après quelques minutes de lecture, elle explique à Luc :
- C'est un mécanisme fabriqué par un savant Italien que l'on tenait pour fou. Lui et sa boîte ont disparu soudainement sans laisser la moindre trace. La légende dit que cette boîte permettrait de ralentir le temps de celui qui l'utilisait de façon à ce qu'il ait l'impression que le temps s'était arrêté...
- Mince ! Tu crois que c'est notre boîte ?
- La description correspond et ça donnerait du sens à la phrase latine...



Oriane pousse un petit gémissement que Luc reconnaît :
- Tu viens d'avoir un orgasme ?
- Bien sûr que non !
- Fais voir ?
Luc lui écarte les cuisses pour voir sa moule.



- Quand même, tu mouilles un peu...
- Avec ce qu'on a fait avant, ça t'étonne ?
- Attends...
Luc glisse deux doigts dans la fente de la jeune femme, la faisant gémir de plaisir.



- Aaaah... qu'est-ce que tu fais ?
- Simple contrôle.
Le jeune homme retire ses deux doigts et les porte à sa bouche pour les sucer :
- Mmmm, c'est de la mouille fraîche, j'en suis certain.
- Idiot ! Tu es spécialiste de la liqueur féminine ?
- Essaye, tu vas voir...
Oriane plonge un doigt dans sa moule. Tant qu'elle y est, elle en profite pour faire quelques va-et-vient.



Puis elle porte son doigt à ses lèvres :
- Bof... De toute façon, je ne sais pas quel goût aurait ma mouille pas fraîche.
- C'est un délicat nectar mais au fumet plus suave, ma chérie.
Oriane rigole et Luc s'agenouille sous la table, entre ses cuisses. Il plonge le visage contre sa moule et commence à la sucer.



Oriane le laisse faire et se dit qu'elle ne va pas pouvoir résister à un orgasme si généreusement offert. Elle se laisse aller en arrière et écarte son décolleté pour se caresser les seins. Elle essaye de retenir ses gémissements mais ne parvient pas à retenir de petits cris au moment où l'orgasme la gagne. La langue de Luc s'active jusqu'à ce qu'elle le repousse. Reprenant son souffle, Oriane rouvre les yeux et découvre qu'un jeune bibliothécaire est en train de l'observer, béat. Elle rajuste précipitamment son décolleté.



Quand Luc ressort de sous la table, le bibliothécaire a disparu. Oriane rigole :
- Il y avait un mec... Le jeune bibliothécaire.
- Tu déconnes ?
- Non, mais il a pris peur quand tu es ressorti. Il est reparti.
- Tant mieux parce qu'il va vraiment falloir que tu t'occupes de moi !
Luc ouvre son pantalon et sort son sexe en érection.



Caché par la jeune femme, son exhibition ne peut être vue par quelqu'un qui arriverait à l'improviste. Oriane sourit :
- Te sucer ne serait pas très discret mais je peux te branler.
Oriane saisit le sexe tendu et commence à le masturber sous toute la longueur.



Luc ferme les yeux. Sa femme l'a tant excité auparavant qu'il sait qu'il ne va pas mettre longtemps à jouir :
- Je crois que ça vient...
Oriane donne encore quelques vigoureux coups de poignet et s'arrête soudain pour écarter le livre poser sur la table. Luc éjacule alors, son sperme jaillissant et venant s'écraser sur la table.



Oriane sourit :
- Je vois que notre petite découverte t'a autant excité que moi...
Peu à peu le sexe de Luc se détend et le gland finit par reposer sur la table.



Oriane prend des mouchoirs en papier dans son sac et essuie le sperme sur la table pendant que Luc se rajuste :
- Tu crois que c'est juste une légende ?
- Ne dis pas de bêtise. C'est impossible que ce truc existe.
- Pourtant, elle est à la maison, cette boîte...
- Je ne sais pas... Il faut essayer et voir. En tout cas j'ai hâte de rentrer.



Luc ramasse les deux ouvrages et va les ranger en rayon. Le couple quitte la bibliothèque et rentre avec la ferme intention de percer le secret de cette mystérieuse boîte.
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Les cambrioleurs 4. Premiers essais


En arrivant devant chez eux, il tombe nez à nez avec leur voisin :
- Vous n'avez pas oublié mon invitation ?
- Heu, non non, Léonard. On rentre se changer et on arrive.
Dès que la porte est refermée, Oriane peste :
- Quelle poisse ! J'avais complètement oublié cette invitation...
- Préparons-nous vite, on testera la boîte dès qu'on sera revenu.
Oriane enfile des dessous noirs et enfile une robe noire et des bas. Luc l'attend dans le salon. Dès qu'elle est prête, ils vont frapper chez leur voisin, Léonard :
- Entrez. Installez-vous. J'ai un petit blanc moelleux qu'il faut absolument que vous essayez !
Luc s'assoit sur le canapé et Oriane s'installe dans un fauteuil face à lui.



Profitant que Léonard est parti dans la cuisine, Luc demande :
- Tu as mis une culotte ?
- Evidemment ! Tu ne crois pas que je vais m'exhiber chez notre voisin...
Oriane relève un peu sa robe pour montrer sa culotte à Luc.



Luc fronce les sourcils :
- Tu ne m'avais pas dit que tu le trouvais sexy ?
- Si, mais je ne suis pas sûre qu'il s'intéresse à moi.
Luc vient la rejoindre et chuchote :
- C'est parce qu'il est timide et qu'il n'osera jamais te dire que tu lui plais mais je suis certain qu'il suffirait de le mettre à l'aise...
Luc commence à la chatouiller, la faisant se tordre dans son fauteuil et faisant glisser le coussin d'assise par terre.



Alors qu'elle se lève et se penche pour remettre le coussin en place, Luc plonge la main dans la poche de sa veste. Oriane s'immobilise soudain. Le temps semble s'arrêter. Luc a appuyé sur le bouton de la boîte de Cristofari. Il est stupéfait de découvrir qu'ils sont en possession de la fameuse boîte légendaire. Voyant la croupe d'Oriane, il se dit qu'il peut trouver un moyen amusant d'annoncer sa découverte à sa femme. Il retrousse la jupe pour dévoiler les fesses qui encadrent le string noir.



Il admire quelques secondes le cul sublime de sa femme. Il lui caresse les fesses en se demandant si, une fois qu'il aura réenclenché la boîte pour relancer le cours du temps, sa femme ressentira l'effet de ses caresses qui pour elle n'auront durées qu'un bref instant.



Dans le doute, il se dit que la meilleure solution pour qu'elle se rende compte du bon fonctionnement de la boîte est certainement de lui retirer son string. Luc attrape le bord de la culotte et commence à la faire glisser sur les cuisses de sa femme, dévoilant la moule de sa chérie.



Aussitôt, une érection le gagne. Il a très envie de se masturber mais n'envisage pas de le faire puisqu'ils sont chez Léonard. Mais il prend conscience que, le temps étant arrêté, il peut faire absolument tout ce qu'il veut sans que personne ne le sache. Enthousiasmé par sa découverte, il se libère et se masturbe.



Il fait coulisser une main sur son sexe tendu et, de l'autre, il caresse les fesses d'Oriane. Il se dit qu'elle ne peut pas refuser non plus qu'il la masturbe et lui fourre un doigt dans la fente :
- Oh ma chérie... Mais tu es trempée ! Notre petite conversation concernant Léonard semble t'avoir excitée. Il la fait se pencher en avant pour mieux voir la moule humide.



Sa queue a un sursaut devant ce spectacle sublime et cette situation particulière :
- Ma chérie, je crois que tu as besoin d'un coup de queue... et moi aussi !
Il la pénètre, se rendant compte que malgré le temps arrêté, son intimité reste souple et chaude.



Il se met à aller et venir en elle, lentement, la surveillant, au cas où le temps repartirait tout seul. Après tout, il n'a aucune idée si l'effet dure jusqu'au désenclenchement du bouton ou si temps reprend son cours après un certain délai. Il se dépêche de terminer en se disant qu'il joue quand même un peu à l'apprenti-sorcier, allant et venant en elle de plus en plus vite.



Enfin, Luc sent la sève monter. Il hésite à éjaculer en elle et préfère finalement sortir pour laisser sa semence se répandre sur les fesses de sa compagne immobile. Il regarde son sperme épais jaillir et venir s'écraser sur la peau douce d'Oriane.



Une fois terminé, il utilise son gland comme un pinceau pour étaler le sperme sur les fesses de sa fesse, se disant qu'ainsi elle se rendra compte, au moins à l'odeur, de ce que c'est mais ne risquera pas de tâcher sa robe. Il rajuste ensuite la robe et désactive le bouton sur la petite boîte. Oriane pousse un gémissement :
- Ooooh, mais qu'est-ce que... !
Elle se demande ce qu'il se passe, se rendant compte surtout compte que son string a disparu.



Elle regarde Luc, qu'elle découvre souriant, et fronce les sourcils :
- Tu m'as... ? Tu viens d'utiliser la boîte ?
- Oui, pour te débarrasser de ton string.
- Salaud ! Et je me demande si tu n'as pas aussi...
Mais elle est interrompue par Léonard qui revient avec les verres et l'apéro. Elle se rassoit rapidement et croise les jambes.



Léonard pose le plateau sur la table :
- Voilà, désolé pour l'attente. Mince, j'ai oublié le tire-bouchon...
Léonard retourne à la cuisine. Oriane décroise les jambes :
- Tu m'as juste retiré mon string ?
- Pourquoi cette question ?
- Parce que j'ai eu l'impression qu'on m'enfilait un gode dans la chatte pendant une seconde...



Luc est presque vexé qu'elle ne se rende pas compte du sperme qu'il a étalé sur ses fesses. Il se dit qu'il peut remettre cela puisqu'Oriane semble avoir des doutes. Il enclenche à nouveau la boîte. Il se lève et vient la rejoindre pour lui retirer sa robe. Puis il lui écarte les cuisses et dégage les seins du soutien-gorge.



Même s'il sait qu'elle ne l'entend pas, il lui dit :
- Ma chérie, je suis vexé que ma pénétration de tout à l'heure ait pu te faire penser à un simple gode...
Luc s'accroupit et commence à lui branler la moule et l'anus avec ses doigts.



Il constate que la sécrétion de cyprine ne semble pas totalement affectée par l'arrêt du temps car Oriane mouille énormément. Mais cela est peut-être juste une impression car il est possible que la jeune fille mouillait déjà abondamment suite à sa pénétration. Il se redresse et lui retire le soutien-gorge, libérant ses deux magnifiques seins.



La somptueuse poitrine de sa femme lui fait toujours le même effet : il bande comme un taureau quand il la voit. Son sexe est tendu dans son jeans et cela lui est presque douloureux. Dès qu'il entreprend de déboutonner son pantalon, le sexe se dresse en dehors, tel un diable hors de sa boîte.



Pliant les genoux, Luc vient se positionner entre les cuisses ouvertes d'Oriane :
- Ma chérie, cette fois-ci, je vais te laisser ma semence en toi, comme cela tu sauras vraiment à quoi t'en tenir.
Lentement, le sexe du jeune homme pénètre la fente humide de la jeune fille totalement immobile.



Luc commence à aller et venir en elle. IL remarque le regard vide de sa compagne et se dit, qu'à part pour cette petite plaisanterie, cela pas grand intérêt de faire l'amour à une sorte de poupée améliorée. Il lui soulève une jambe et accélère le rythme jusqu'à se répandre en elle.



Quand il se retire, la jeune femme glisse du canapé et se retrouve assise par terre cuisses écartées et moule béante. Luc ne résiste pas à ce spectacle magnifiquement obscène. IL se rajuste rapidement et désenclenche le bouton de la boîte.



Oriane a une seconde s'arrêt avant de se rendre compte de la situation :
- Putain, espèce de connard !
Elle se relève, surprise :
- Où est ma robe ?
Luc lui sourit. Oriane sent un filet de sperme qui s'écoule le long de sa cuisse :
- Salaud ! Tu as utilisé la boîte pour me baiser ?



- Oui... ça fait quel effet ?
- Je ne sais pas... C'est curieux... comme un plaisir inachevé...
Oriane semble troublée :
- Je veux rentrer et qu'on fasse l'amour, mais sans la boîte...



- On ne peut pas quitter notre hôte ainsi.
Oriane sa rassoit en guettant vers la cuisine, craignant que Léonard ne la surprenne dans cette tenue :
- Arrête le temps et remets-moi ma robe, vite !



Luc fait mine d'appuyer sur le bouton et dit :
- Voilà, j'ai arrêté le temps, juste pour nous deux. On va pouvoir faire l'amour.
- Juste pour nous deux ? Tu peux faire ça ?
Pour la mettre en confiance, Luc sort son érection.



Oriane s'accroupit devant le canapé et admire l'érection de son mari :
- Comment tu fais pour choisir qui n'est pas affecté par la suspension du temps ?
- C'est assez simple, mais on verra ça plus tard. Pour le moment, je veux te voir te caresser.



Oriane sourit :
- Tu veux te rincer l'œil avant de me prendre ?
- Oui et que tu sois bien mouillée.
La jeune fille écarte les cuisses et se caresse sans remarquer que Luc rajuste son érection dans son pantalon.



Léonard surgit :
- Merde ! Oriane, qu'est-ce que tu fous ?
Oriane semble stupéfaite et lance un regard interrogatif à Luc. Elle comprend qu'il lui a joué un tour en voyant son sourire satisfait. Voyant qu'Oriane est désemparé, il décide de tenter d'expliquer la situation à Léonard.
- Tu vois Léonard, on n'a pas fait l'amour depuis longtemps et Oriane a tellement envie qu'elle veut que je lui fasse l'amour tout de suite...
- Bah oui, mais chez moi, quand même...
Luc se tourne vers Oriane :
- Ma chérie, c'est peut-être l'occasion de réaliser ton fantasme de te taper deux mecs.
- Mmmm ? Oui, pourquoi pas...
Après quelques secondes à analyser la situation, Léonard vient la rejoindre pour l'embrasser et lui caresser les seins.



Luc est plutôt content qu'Oriane se laisse faire et cache l'existence de la boîte. Quand Léonard se redresse après son baiser, Oriane lui déboutonne aussitôt son pantalon pour libérer une érection déjà conséquente :
- Dis donc, Léonard ! Tu m'avais caché que tu étais si bien monté !
La jeune fille saisit le sexe tendu et plonge sa bouche dessus pour le sucer.



Après quelques minutes de fellation où Léonard regarde régulièrement Luc pour s'assurer qu'il a bien son consentement, Oriane se redresse :
- On peut s'installer sur ton lit ?
Léonard l'amène dans sa chambre, suivi de près par Luc. Oriane fait s'allonger leur hôte sur le lit et vient s'empaler sur lui.



Elle commence à monter et descendre sur le pieu de leur voisin :
- Oooooh, c'est bon !
Léonard se rend alors compte que Luc est en train de se mettre nu et qu'il est en érection. Il vient prendre position derrière sa femme et guide son sexe entre ses fesses.



S'il a un peu de difficulté à la pénétrer, c'est surtout que Léonard prend déjà pas mal de place. Luc finit par s'enfoncer en elle jusqu'à la garde, lui arrachant de nombreux gémissements de plaisir. Quand il est bien au fond, il se redresse et commence à la pistonner. Rapidement, la jeune fille hurle sous la puissance de l'orgasme qu'elle subit. Presque aussitôt, Léonard se met à éjaculer, se déversant en elle, et Luc, dans la foulée, libère à son tour sa semence en elle, alors qu'elle crie toujours.



Oriane met du temps à se remettre de sa double pénétration. Les deux hommes se dégagent, la laissant à quatre pattes, encore haletante. Une fois qu'il a repris son souffle, Léonard se lève :
- Vous voulez prendre une douche ?
- Merci, c'est gentil. On va rentrer en prendre une chez.
- Ok, alors je vous laisse, moi je vais en prendre une.
Sitôt Léonard parti, Oriane soupire :
- La vache, quel pied !



Luc est content qu'elle ne soit pas fâchée qu'il l'ait mise dans cette situation :
- Tu ne m'en veux pas d'avoir utilisé la boîte ?
- Tu plaisantes ? C'était super d'être prise en sandwich !
- Tant mieux, moi aussi, j'ai pris mon pied à te voir jouir comme ça.
Oriane lui lance quand même un regard soupçonneux :
- J'espère que tu n'abuseras pas de cette boîte trop souvent.



Luc lui sourit et la rassure :
- Voyons ma chérie, juste pour s'amuser de temps en temps.
- Oui, mais pas à mes dépends...
- Cela va de soi. J'imagine surtout qu'on peut l'utiliser professionnellement.
- Professionnellement ?
- Oui, pour un cambriolage sans risque !
- Ah oui, super idée.
Luc regarde Oriane, toujours allongée nue sur le lit de Léonard.



- J'aurais bien remercié Léonard avant de partir mais on va peut-être rentrer se doucher, non ?
- Oui. Léonard ne se vexera pas. Et j'ai dans l'idée qu'on va le voir de plus en plus souvent...
Luc acquiesce en souriant et aide Oriane à se relever pour rentrer chez eux.
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Les cambrioleurs 5. En repérage


L'après-midi qui suit, Oriane et Luc décide d'aller en repérage dans un parc qui borde la grande propriété qu'ils envisagent de cambrioler le soir-même. Quand Luc voit Oriane enfiler une culotte, il ne peut s'empêcher de sourire. La jeune femme croit qu'il se moque d'elle :
- Quoi ? Tu crois que je vais maintenant sortir systématiquement sans sous-vêtements ?
- Ce serait une bonne idée...
- Dans tes rêves. Profite déjà que je ne mets pas de soutien-gorge.



Une fois la voiture garée près du parc, ils sortent de la voiture. Oriane, regardant vers le parc, demande à Luc :
- On fait juste un repérage autour de la propriété ?
- Oui. Passe-moi l'appareil photo. Il est sous ton siège.
Oriane se penche dans la voiture pour récupérer le petit appareil photo. Luc soupire :
- Mettre une culotte avec une robe aussi courte, c'est du gâchis !



Oriane se redresse :
- Hey, espèce de pervers !
- J'aime te regarder, ma chérie. Rien de plus.
- Et même avec ma culotte, je suis certaine que tu commences déjà à bander.



Le couple pénètre dans le parc arboré et essaye de se comporter comme n'importe quel promeneur, se dirigeant malgré tout vers la droite où se situe leur objectif. Luc s'amuse à laisser Oriane prendre de l'avance afin de pouvoir admirer sa jolie croupe moulée par la minirobe et ses longues jambes dénudées.



Luc, la main dans la poche, actionne le mécanisme de la petite boîte. Quelques secondes plus tard, Oriane se rend soudain compte que se robe est franchement remontée sur ses hanches. Elle se rajuste en pestant :
- Mince, je ne pensais pas que cette robe remonterait autant !
- Oui. Si on doit courir, tout le monde verra ta culotte dès les premières foulées.
Luc ne dit rien de plus car Oriane ne s'est pas encore rendu compte qu'il lui a retiré sa culotte.



Oriane se retourne tirant sur sa robe :
- Cela perturbera nos poursuivants et nous pourrons nous enfuir.
- Où bien cela les stimulera pour te rattraper !
- Et toi ? Est-ce que ça te stimule ?
- Un peu, mais il faut qu'on s'approche encore.
Ils repartent et longe le bord du parc. Luc fait comme s'il prenait des photos d'Oriane, mais en réalité, il fait des photos de la maison de l'autre côté de la clôture du parc, afin d'en étudier tous les potentiels moyens d'intrusion. Oriane remarque dans le fond du parc que la clôture est endommagée :
- Regarde un peu ! On passerait, là, non ?
- Oui, ça mérite d'essayer. D'autant que les buissons et les arbres dans la propriété nous cacheront aux yeux de la maison.
Comme Oriane se glisse dans l'étroit passage, la robe remonte naturellement sur ses hanches, sans l'intervention de Luc cette fois-ci.



Se redressant une fois passée, Oriane se rend compte de sa tenue et, surtout, remarque l'absence de sa culotte :
- J'y crois pas ! Tu as utilisé la boîte ?
- Oh non, ma chérie. Je pense que ta culotte a glissé toute seule sans que tu t'en rendes compte...
- Fous-toi de moi...
Oriane tire sur le bas de sa robe pour cacher son entrejambe.



Elle se rend compte que cette minirobe, certes très sexy, est assez peu adaptée à leurs activités de cambrioleurs. Luc s'approche :
- On voit encore trop le haut de tes cuisses.
D'un geste vif, il empoigne le bas de la robe et tire sèchement, la faisant glisser sur le bas mais faisant se dégager la poitrine nue de sa femme.



Oriane rigole :
- Pfff ! Tu tiens vraiment à poursuivre se repérage en me laissant à poil ?
- J'avoue que ça me plairait assez.
- Vieux cochon, va !
Oriane tire sur le haut de sa robe pour cacher ses seins, mais le vêtement, trop court, dévoile alors à nouveau son entrejambe nu.



Oriane peste à nouveau :
- Bon, tant pis pour mon cul... ce sera plus discret que d'avoir les seins à l'air.
La jeune femme reprend alors la progression vers la maison et prenant garde de rester à couvert des arbres et buissons de la propriété. Luc, toujours derrière elle, enclenche à nouveau la boîte qui interrompt le temps. Quand il rétablit le temps, Oriane pousse une exclamation virulente en se rendant compte qu'elle a quelque chose d'enfoncé dans l'anus.



- Mais t'es con ! Un god dans le cul ? J'y crois pas.
- Désolé, c'était trop tentant !
- Mais on s'est peut-être fait repérer avec le cri que ça m'a fait pousser...
- Ce n'était quand même pas un orgasme.
- Non. Pour ça, tu aurais eu tes chances en me le mettant, là.
Oriane retire le godmiché de son anus et se l'enfile dans la moule, luisante de cyprine.



Luc sourit :
- Espèce de petite salope. Tu aimerais terminer la mission en gardant ça entre les cuisses ?
- Ce serait envisageable mais j'avoue que je préfèrerais autre chose...
Elle retire le godmiché et se cambre pour faire saillir sa croupe. Luc, la main dans la poche, agit alors sur l'interrupteur de la petite boîte. Le temps arrêté, il en profite pour retirer complètement la robe à sa femme.



Quand il désactive l'interruption temporelle, sa femme pousse une exclamation :
- Salaud ! Tu as utilisé la boîte !
Pudiquement, elle cache son entrejambe.



Luc rigole :
- Tu semblais moins gênée à te mettre le god entre les fesses tout à l'heure ?
- Le god, je pouvais le cacher. Là, si quelqu'un vient, je fais comment ?
Oriane regarde autour d'elle et cache sa poitrine derrière ses bras.



Luc la rassure mais ne semble pas vouloir lui rendre sa robe :
- Ma chérie, nous ne sommes plus dans le parc. Nous sommes sur une propriété privée et je ne pense pas que qui que ce soit vienne nous chercher ici au milieu des buissons.
- Dans ce cas, on peut peut-être en profiter ?
La jeune femme s'appuie à un arbre.



Luc fait mine de ne pas comprendre ce qu'elle veut :
- En profiter pour terminer notre mission de reconnaissance ?
- Tiens, regarde un peu ce qu'il faut que tu espionnes...
Oriane écarte ses fesses, révélant sa moule.



Luc ne veut plus jouer la comédie. Il bande comme un fou depuis qu'ils sont arrivés au parc et, maintenant que sa femme est nue, il n'a plus du tout envie de préparer leur cambriolage de ce soir mais surtout de faire l'amour à Oriane, ici, sans attendre. En quelques secondes, il se débarrasse de ses vêtements et, la queue parfaitement dressée, il vient rejoindre la jeune femme pour guider sa virilité dans sa croupe accueillante.



Comme Luc commence à aller et venir en elle, Oriane se met à gémir de plus en plus fort. Luc la met en garde :
- Attention à ne pas attirer l'attention des occupants de la maison...
- Tu en as de bonnes, toi !



- Mords-toi les lèvres. Résiste !
- Parce que tu résistes, toi ?
Oriane ondule sur le membre de son amant et ajoute :
- Et si tu ne voulais pas que je jouisse, il ne fallait pas me prendre en levrette.



- Alors tant pis si on se fait gauler...
- En même temps, on n'a pas vraiment l'air de voleurs !
Luc hoche la tête et, relevant une jambe de sa femme, il accélère sa levrette.



Oriane se met à gémir de plus belle. Luc lui-même ne retient pas ses râles de plaisir alors qu'il va et vient dans le délicieux fourreau de sa femme. Oriane, instinctivement, tourne soudain la tête :
- Merde ! Quelqu'un vient...



Quand Luc tourne la tête, il voit effectivement un type arriver, l'air sévère. Oriane pousse un cri de surprise en découvrant que l'homme porte à la main un pistolet. Quand il le lève vers eux, Luc se dégage et se met devant sa femme, formant un bouclier humain, nu.
- Qu'est-ce que vous foutez là ?
Le couple est paralysé par le pistolet tendu vers eux.



Le gars réitère sa question :
- C'est une propriété privée. Que venez-vous faire ici ?
Luc retrouve son sang-froid et répond calmement :
- On pensait que c'était une autre partie du parc. Il y'a une ouverture dans le grillage, là derrière. On est passé pour se mettre à l'écart et... je pense que vous avez compris la suite ?
- J'ai compris. Ecarte-toi.
Le gars semble vouloir se rincer l'œil sur Oriane. Luc obtempère et Oriane se tourne pour dissimuler au maximum sa nudité.



Après quelques secondes, le gars dit :
- J'appelle les flics.
Il sort son portable mais Oriane vient le rejoindre et commence à caresser son entrejambe :
- Oh, mais vous semblez bien tendu... Voulez-vous que je m'occupe de vous ?
Sans lui laisser le temps de réagir, elle s'agenouille et libère son érection. Le gars a juste le temps de remettre son portable dans sa poche que déjà le pantalon est baissé sur ses cuisses et la jeune femme commence à sucer sa queue.



Le gars râle de plaisir mais la repousse :
- Attends. Tu suces bien, mais je préfère te baiser d'abord et tu ne vas pas le regretter.
Il jette un œil à Luc pour s'assurer que celui-ci ne s'oppose pas à cet arrangement. Oriane se met à quatre pattes, cul en l'air.



Le gars retire sa chemise et son pantalon :
- Mince quel cul ! Je crois que la police ne va pas venir tout de suite...
Alors que le gars achève de se mettre nu, Oriane jette un œil à Luc.



Celui-ci hoche la tête pour lui signifier qu'elle doit se soumettre. La jeune femme ne montre donc aucune opposition lorsque le gars vient s'agenouiller derrière elle et guide son sexe dans la fente qu'explorait Luc avec tant d'ardeurs quelques minutes auparavant.



Oriane semble soumise et subit les assauts du type sans trop réagir. Pourtant, Luc remarque que le sexe du gars, excité par cette pénétration improvisée, semble gagner en volume. Et le masque impassible de sa femme semble peu à peu disparaître au profit de mimique trahissant un plaisir évident.



Quand Oriane se met à gémir, Luc sent son érection se remettre en route. Ce gars semble donner beaucoup de plaisir à sa femme et, curieusement, Luc n'est ni jaloux ni en colère. Il est excité de la voir prise ainsi en levrette par un autre et il se masturbe même quand il se rend compte que le gars est en train de lui donner un orgasme.



Oriane crie de plaisir et Luc sait qu'elle ne simule pas. Quand elle se calme, le gars se retire mais ne semble pas encore avoir joui. Il s'adresse à elle :
- Alors salope, je t'avais dit que tu ne le regretterais pas.
Oriane, accroupie, reprend son souffle.



Mais son répit est de courte durée. Le gars, voyant que Luc se masturbe encore en la regardant, lui dit :
- Je crois que ça excite ton mari que tu te fasses baiser par un inconnu. Tiens, suce-moi et avale ma liqueur.
Sans lui laisser le temps de reprendre son souffle, le type fourre son érection dans la bouche d'Oriane.



Jouant le jeu, la jeune femme engloutit le sexe turgescent et se met à le sucer. De toute façon, elle veut en finir rapidement avec ce type. Elle s'applique à le sucer avec toute la dextérité dont elle peut faire preuve. Rapidement, elle l'amène au bord de l'éjaculation. Tout en râlant, le gars ressort sa queue et se met à se masturber frénétiquement devant la bouche béante de la jeune femme. Son sperme se met à jaillir et il accompagne chaque jet d'un "Tiens !" rageur.



Quand il a terminé, il dit à Oriane :
- Maintenant, avale toute ma liqueur !
Oriane déglutit mais laisse quelques gouttes s'écouler sur son menton.
- Bien ! Justice est faite pour votre intrusion.
Se tournant vers Luc, il lui dit :
- Toi, j'ai baisé ta femme. Mais comme elle y a pris du plaisir, je pense que tu devrais la châtier en te terminant sur elle avec une belle éjaculation faciale.



Pendant que Luc vient se masturber au-dessus d'Oriane, toujours accroupie, le type renfile ses fringues en les surveillant du coin de l'œil. Luc murmure à sa femme :
- Désolé, ma chérie...
- Vas-y. Finissons-en qu'on se débarrasse de ce crétin.
Luc sent alors la sève monter de ses couilles. Le sperme épais gicle et vient s'écraser en plusieurs points du visage de la jeune femme.



Quand Luc reprend ses esprits après avoir joui, il se rend compte que le gars est reparti chez lui. Tandis que Luc se rhabille, Oriane lui dit :
- Finalement, on s'en tire bien !
- Oui, en étant à poil, on apparait vulnérable et personne ne se doute de notre véritable activité.
- Tu veux dire que la nudité est un bon camouflage ?
- Oui et aussi ce masque que tu portes à merveille.
Oriane sourit en comprenant qu'il parle du sperme qui macule son visage.



- Mais pourquoi tu n'as pas utilisé la boîte ?
- Elle était dans mon pantalon, hors de portée...
- Mais tu aurais pu la prendre pendant qu'il me baisait, non ?
- J'aurais pu, oui... Mais ne t'inquiète pas, on prendra notre revanche sur cet abruti cette nuit.

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Les cambrioleurs 6. La main dans le sac


Quand le soir arrive, Luc et Oriane retournent dans le parc pour s'introduire discrètement dans la maison qu'ils avaient repérée. Restant en planque quelques minutes, ils découvrent avec bonheur que le type qu'ils avaient rencontré plus tôt dans l'après-midi s'en va en voiture. Rassurés d'avoir la maison pour eux, ils forcent rapidement la porte arrière et s'introduisent dans le salon. Oriane dit à Luc :
- Conditions idéales ! Tranquilles pour travailler. On peut même allumer la lumière et pas besoin d'utiliser la boîte...



Luc rend le temps d'admirer la mini robe que porte sa femme et ajoute :
- Mmmm, je vais peut-être l'utiliser quand même pour te retirer ta culotte...
- Et non ! Je m'en suis déjà débarrassée avant qu'on ne rentre dans la maison.
Se retournant, elle se cambre et relève la petite robe pour présenter son cul magnifique.



Luc a instantanément une érection. Il s'apprête à venir rejoindre sa femme quand la porte donnant sur le couloir s'ouvre soudain, laissant apparaître aussitôt une jeune femme en robe blanche qui pointe un pistolet sur Oriane :
- Qui êtes-vous ? Qu'est-ce que vous faites là ?
Luc met la main dans sa poche pour activer la petite boîte de Cristofari mais la fille pointe aussitôt son arme sur lui :
- Stop ! Sors lentement la main de ta poche.



Luc ressort la main de sa poche alors qu'un homme entre derrière la fille :
- Merde ! Des cambrioleurs ?
- Oui. Et pas des bons. Ils ont allumé les lumières et parlé comme s'ils étaient seuls... Le gars a une arme dans sa poche, je crois.
- Ah, ils pensaient sans doute que Gaëtan vivait seul ici. Ils ne devaient pas savoir que sa sœur et son beau-frère habitaient aussi ici
L'homme s'approche de Luc et met la main dans sa poche pour en ressortir l'étrange petite boîte. Il l'examine et la pose sur la table basse :
- C'est une boîte. Pas une arme et...
Alors qu'il parle, l'homme découvre la tenue d'Oriane :
- Oh ! Mais elle est habillée très légèrement, la petite cambrioleuse !



Oriane constate qu'une bosse se forme à l'entrejambe du gars. Il fait un pas vers elle et dit :
- Elle va peut-être pouvoir nous en montrer un peu plus, avant qu'on appelle les flics.
Oriane s'insurge :
- Allez vous faire foutre !
La femme pointe alors son arme sur elle :
- Fais ce qu'il te dit ! Sinon, je vous colle une balle dans le ventre à chacun.
Oriane ne discute pas. Elle fait glisser sa robe, dégageant sa poitrine pour la plus grande satisfaction du gars.



Celui-ci ne semble pas vouloir se contenter du spectacle et il commence à quitter ses vêtements :
- Tu es carrément bandante. On va s'amuser un peu. Mets-toi à quatre pattes sur le canapé.
Oriane s'exécute et le gars vient la rejoindre pour lui fourrer son sexe tendu dans le bouche. Finalement plus excitée qu'apeurée, Oriane suce l'homme en y mettant tout son cœur. Il se tourne vers sa femme :
- Putain, ce que c'est bon de se faire sucer !
- Profite de cette salope car tu n'obtiendras jamais ça de moi.



L'homme sourit :
- Oui... mais je crois que je ne vais pas me contenter de sa bouche.
Se reculant, il contourne Oriane et vient mettre sa queue contre la fente humide de la petite cambrioleuse. D'un coup de reins, il la pénètre et commence à aller et venir en elle. Luc tente de s'approcher de la table basse pour attraper la boîte mais la femme pense qu'il tente de s'échapper :
- Ne bougez pas ! Asseyez-vous ici et regardez donc votre salope de femme se faire baiser par mon mari.
Luc obéit et regarde sa femme se faire prendre en levrette par le gars.



Oriane gémit très vite, ne pouvant dissimuler le plaisir qu'elle prend. La femme du gars semble agacée qu'elle accepte au facilement cette situation :
- Vas-y chéri, elle en veut encore !
Luc demande à Oriane :
- Ça va ?
Oriane redresse la tête et répond entre deux gémissements :
- Oh putain, ouiiii !



La femme commence à s'énerver. Cela fait sourire Luc qui s'installe confortablement dans le fauteuil pour apprécier le spectacle. La femme voit alors la bosse qui déforme son pantalon :
- Ah ? Tu trouves ça excitant que ta femme se fasse baiser par mon mari ? Fous-toi à poil toi aussi que je puisse profiter du spectacle.
Luc obtempère et retire ses vêtements, exhibant son sexe tendu.



La femme change d'attitude en voyant cela. Elle semble avoir une idée :
- Chéri, change de position. Assieds-toi. Je veux que ce cambrioleur de merde puisse bien voir ta queue qui pénètre sa petite salope.
Le mari s'assoit et prend Oriane par la taille pour qu'elle vienne s'empaler sur sa tige luisante de mouille.



Luc se rassoit, le sexe fièrement dressé. La femme lui demande :
- Tu aimerais pouvoir la baiser, toi aussi ?
Luc la regarde et, très honnêtement, lui répond :
- Non, ça je le fais quand je veux. Pouvoir la voir se faire prendre sous la menace d'une arme est par contre une expérience intéressante.



La femme n'aime pas trop la réponse de Luc. Elle veut punir le couple de cambrioleurs mais ils semblent trouver plus de plaisir qu'elle à cette situation. Elle interroge Oriane :
- Et toi ? Tu aimes te faire violer ?
Entre deux gémissements, Oriane répond :
- Ooooh... Il ne me... viole pas... Il me... Oooooh... baise divinement bien...



La femme semble être hors d'elle. Luc s'en rend compte et se dit que cela est peut-être une mauvaise idée de l'énerver puisqu'elle est armée. Pour la calmer, il décide de se masturber en la regardant. Le voyant faire, elle lui demande :
- Je t'excite ?
- Oui... carrément...



- Je croyais que c'était ta femme qui t'excitait...
- Non, c'est vous qui porter ce pistolet. C'est vous qui avez cette arme.
A ces mots, la femme pose l'arme sur la commode à côté d'elle et dit à Luc :
- Continue. Branle-toi jusqu'à ce que ça gicle...



Luc n'a pas vraiment besoin qu'elle lui demande. Il aurait préféré regarder Oriane mais il se trouve que l'excitation manifeste de la femme commence à l'exciter aussi. Elle se caresse à travers sa robe et Luc se rend compte qu'elle semble avoir un corps somptueux. Elle ne s'occupe plus du tout d'Oriane et son propre mari, fascinée qu'elle est par la masturbation de Luc. Se forçant un peu, Luc jouit et se met à éjaculer. La femme pousse un petit cri de satisfaction en voyant le sperme s'écouler lentement de la tige.



- Oh, tout ce sperme...
- Vous voulez goûter ?
- Aaah, non ! C'est dégoûtant ! Va plutôt te faire sucer par ta femme.
Luc est content de cette injonction. IL se lève et monte sur le canapé pour qu'Oriane puisse prendre son sexe en bouche et lui nettoyer la queue.



Oriane en profite un peu et fait du zèle, continuant à sucer son mari même une fois la queue impeccablement nettoyée. La femme s'en rend compte et s'apprête à reprendre son pistolet. Voyant cela, Luc redescend et retourne s'assoir dans le fauteuil, la queue toujours dressée. La femme est surprise :
- Tu ne débandes pas ?
- C'est que vous êtes très excitante...



La petite phrase fait mouche et la femme recommence à se caresser. Luc demande :
- Vous aussi, ça semble vous exciter de me voir me branler, non ?
- Oui...
- Alors profitez-en puisque je suis à votre merci. Excitez-moi !
A ces mots, la femme commence à dégager le haut de sa robe pour exhiber sa poitrine. Elle esquisse un sourire en voyant la queue de Luc avoir un soubresaut.



- Ils t'excitent mes seins ?
- Oh oui ! Ils sont parfaits ! Je bande comme jamais !
- Continue de te branler. Je veux te voir gicler une deuxième fois.
Luc obéit.



A côté, l'homme a demandé à Oriane de se retourner pour pouvoir lui caresser les seins et lui sucer les tétons. Dans cette position, Oriane est forcée de se concentrer sur son plaisir et, rapidement, un orgasme la gagne. Après un petit concert de gémissements, elle reprend peu à peu ses esprits. Elle se retourne alors régulièrement pour voir ce que fait son mari. En fait, elle essaye de voir s'il va avoir l'occasion d'atteindre la boîte pour les sortir de cette situation.



Croisant le regard de sa femme, Luc comprend ce qu'elle attend mais il voit aussi soudain un voile couvrir son regard. Il comprend qu'elle est à deux doigts de l'orgasme. Sans qu'il ne puisse contrôler quoi que ce soit, cela déclenche sa deuxième éjaculation. La femme, terminant de retirer sa robe pousse un nouveau gémissement de plaisir en voyant la semence blanche s'échapper à nouveau.



Comme Luc ferme les yeux, elle s'approche et l'encourage :
- Regarde-moi. Continue à te branler jusqu'à la dernière goutte. Fait gicler ton sperme. Je veux le voir exploser, pas s'écouler lentement.
Luc la regarde, totalement nue, juste devant lui, et obéit.



Se caressant les couilles d'une main, il se masturbe vigoureusement de l'autre et fait en sorte que son sperme sorte en jets et vienne s'écraser sur son ventre. A nouveau, la femme pousse un gémissement en voyant cela. Alors que les dernières gouttes arrivent Luc se demande même si elle n'a pas un petit orgasme. Il termine de se masturber jusqu'à la dernière goutte.



A peine a-t-il terminé que la femme lui fait signe de se lever :
- Va te faire sucer par ta femme. Il faut que ta queue soit parfaitement propre.
Luc se lève à nouveau et s'approche de sa femme. Elle commence par lécher les trainées de semence visqueuses sur le ventre de son mari avant de prendre le sexe en bouche pour achever de le nettoyer.



- Descends !
Le ton autoritaire de la femme ne laisse pas la possibilité à Luc de profiter davantage de la bouche de sa femme. Sitôt au bas du canapé, la femme le rejoint et se met à genoux pour le masturber :
- Le sperme me fascine mais il me répugne encore davantage. Maintenant que tes couilles sont parfaitement vides, tu vas pouvoir me baiser...



Se relevant, elle désigne à Luc le fauteuil :
- Assieds-toi.
Luc s'exécute et la femme vient s'empaler sur son dard dressé. Sa chatte est étroite mais c'est un délice de glisser sa queue dedans.



Luc glisse ses mains sous ses cuisses pour la faire monter et descendre. Quand le gars demande à Oriane de se lever, elle fait un pas en arrière espérant pouvoir atteindre la boîte, mais le gars croit qu'elle tente d'aller prendre le pistolet. Il la retient donc fermement par le poignet et la fait se mettre à genoux. Il attrape le pistolet et vient la rejoindre :
- Je voudrais finir dans ta bouche. Tu acceptes ?
Considérant le pistolet, Oriane répond :
- Je crois que je n'ai pas vraiment le choix...
Elle se penche en avant et referme ses lèvres autour du dard tendu.



Tandis que Luc la fait monter et descendre sur sa tige, la femme regarde Oriane sucer son mari et lui dit :
- Vas-y salope ! Suce-le ! Moi je trouve ça répugnant le sperme. Il est frustré que je ne veuille jamais le sucer. On peut dire que votre cambriolage raté est tombé à pic pour lui. Toi, tu vas tout prendre dans ta bouche et tu vas avaler son jus jusqu'à la dernière goutte.
Luc continue à la faire monter et descendre sur sa queue tandis qu'elle déblatère.



L'homme se met soudain à râler :
- Ahhh ! Je viens...
Il sort alors sa queue de la bouche d'Oriane pour se masturber. Oriane ouvre sa bouche et le gars pose son gland sur la langue avant de commencer à éjaculer.



Sa femme regarde avec dégoût le sperme qui gicle en de multiples jets dans la bouche de la petite cambrioleuse. Malgré cela elle semble vouloir jouir elle aussi et commence à se masturber le clitoris :
- Ooooh, tu aurais pu m'attendre, chéri...



Le gars regarde ses dernières gouttes couler sur la langue d'Oriane.
- Raaaah ! Désolé... cette salope m'a trop bien sucé !
La bouche pleine de sperme, Oriane n'a pas vraiment envie d'avaler. Un haut le cœur lui en fait perdre une partie qui s'échappe de sa bouche et s'écoule dans son cou et sur sa poitrine.



Le gars se recule et dit à sa femme :
- Quel pied ! Dommage que tu ne veuilles pas essayer. Refuser les pipes mais accepter la sodomie... Je ne te comprends vraiment pas.
La femme jette un regard noir à son mari. Comme par défi, elle se redresse et vient positionner la queue de Luc à l'entrée de son anus. Se caressant le clitoris en même temps, elle se laisse lentement descendre sur le pieu et s'empale progressivement.



Luc la prend alors sous les fesses et s'occupe de la faire monter et descendre sur sa tige. La jeune femme se met à crier :
- Ooooh Oui ! Va au fond ! Encoooooore !!!
Le mari est si absorbé par sa femme se faisant sodomiser par un inconnu qu'il ne se rend pas compte qu'Oriane vient d'atteindre la table basse et d'attraper la petite boîte. Juste au moment où la femme a son orgasme, Oriane enclenche le mécanisme, arrêtant le temps alors que la femme a la bite de Luc plantée dans son cul.



- Comment sauver Luc ? se demande-t-elle.
S'approchant de lui, elle lui saisit la main et, d'un geste vif, appuie deux fois successivement sur le bouton. Après un bref mouvement de la scène, tout se fige à nouveau, mais Luc tourne la tête vers elle. Il reste stupéfait quelques secondes avant de comprendre :
- Tu as pu récupérer la boîte, bravo !
Oriane ne lui répond pas mais se met debout sur le fauteuil pour se positionner au-dessus de la femme. Elle ouvre alors sa bouche au-dessus de la sienne et laisse tout le sperme du gars s'écouler lentement dans la bouche de la femme immobilisée.



Luc rigole en voyant cela et gronde gentiment Oriane :
- Tu aurais quand même pu attendre que je termine de la sodomiser...
Oriane redescend et prend la robe de la femme pour s'essuyer la bouche et les seins :
- Venge-toi en lui mettant tout sur la bouche puisque cette pétasse est dégoûtée par le sperme.
Luc trouve l'idée excellente, même si les deux précédentes éjaculations ne lui ont probablement pas laissé beaucoup de ressources. Il se dégage et repose la femme sur le fauteuil puis monte à son tour en se masturbant. Rapidement, la sève monte de ses couilles et il se met à éjaculer, répandant son épaisse semence sur le visage de la femme.



Lui aussi prend la robe de la femme pour essuyer sa queue alors qu'Oriane termine de renfiler sa robe. Elle lui demande :
- Qu'est-ce qu'on fait ? On prend le pistolet, on relance le temps et on les tient en joue avant de partir ?
- C'est risqué et ils risquent de se poser des questions sur la boîte. Mieux vaut regarder ce qu'on peut emporter et attendre d'être dehors pour réactiver le cours du temps.
- Oui, mais j'aurais bien voulu voir la tête de cette connasse quand elle verra tout le sperme qu'elle a dans la bouche et sur la tronche...



Oriane se range quand même à l'avis de Luc. Dès qu'il est rhabillé, Luc fouille un peu partout pour voir ce qu'ils peuvent emporter. Pendant ce temps, Oriane va mettre le pistolet dans les toilettes. Revant dans le salon, elle découvre Luc brandissant victorieusement une enveloppe pleine de billet :
- Il y a eu moins 10000€ là-dedans !
- Bravo !
- On y va ?
- Attends, encore un détail...
Oriane trouve un feutre indélébile et marque "Trou du cul" sur le front du mari. Puis elle enfonce le feutre dans l'anus béant de la femme. Une fois sortis, ils réenclenchent le mécanisme de la petite boîte et le temps repart. Après trois secondes de silence, des cris d'hystérie se font entendre. Oriane imagine le mélange d'incompréhension, de dégoût et de peur de la femme. Luc voit la mine réjouie de sa femme :
- C'était tendu mais on a réussi !
- Oui et maintenant on sait qu'on peut arrêter le temps à deux.

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Les cambrioleurs 7. Pris au piège


Oriane arrête de mettre des culottes Puisque Luc utilise la boîte pour lui retirer sa culotte à chaque fois qu'elle en met pour les activités nocturnes, Oriane a décidé d'arrêter d'en mettre. Ce soir-là, alors qu'ils viennent d'investir une nouvelle villa déserte pour la cambrioler, Oriane soulève sa minirobe pour montrer sa moule à son mari :
- Tu peux économiser l'utilisation de la boîte de Cristofari...



- Héhé ! Petite coquine. Je ne vais pas me retenir, tu le sais ?
- Evidemment... Rappelle-moi quel est le dernier job qu'on ait fait et durant lequel on n'a pas baisé ?
Luc tente de se remémorer :
- Effectivement, depuis qu'on a cette boîte, nos conditions de travail ont été grandement améliorée.
- Je suis entièrement d'accord.
Oriane se retourne et dégage ses fesses nues.



Devant ce spectacle on ne peut plus exaltent, Luc s'approche de sa femme :
- J'en viens même à me demander si on ne passe pas plus de temps à faire l'amour qu'à cambrioler ces pauvres riches...
Oriane se retourne et écarte les cuisses :
- Le plaisir avant tout !
Luc s'agenouille et commence à lui lécher la moule.



Après quelques minutes de cunnilingus appliqué, Luc sent la cyprine couler sur sa langue :
- Ma chérie, ton nectar est toujours aussi stimulant. J'ai une gaule d'enfer !
Oriane se retourne alors et répond :
- Dans ce cas, passons aux choses sérieuses.



La jeune cambrioleuse écarte les cuisses et se caresse la moule. Luc se relève et commence à retirer ses vêtements tandis que sa femme continue de se caresser la fente, entretenant son plaisir avant que son mari vienne la rejoindre. Dès qu'il est nu, il vient enfourner son sexe tendu dans le fourreau brûlant d'Oriane.



Celle-ci se met à gémir mais retient ses cris de plaisir tandis que Luc commence à aller et venir en elle :
- Ne retiens pas tes cris, ma chérie. Nous sommes seuls, tu ne réveilleras personne.
Passant la main sous son ventre, il descend et commence à lui caresser le clitoris, sachant qu'elle ne pourra pas retenir ses gémissements avec de telles caresses.



Le couple est si bien parti qu'ils sont stupéfaits de voir apparaître dans la pièce une jeune femme blonde, armée d'un pistolet. Le premier réflexe de Luc est d'essayer d'atteindre son pantalon, dans la poche duquel se trouve la boîte qui pourra les sauver. Mais la femme pointe son arme sur lui :
- Ne bougez pas !



Un homme arrive derrière elle et jauge la scène :
- Putain, je rêve. On ne peut pas cambrioler une villa sans tomber sur un couple nymphomane !
Luc n'en croit pas ses oreilles : ce sont également des cambrioleurs. Sans qu'ils ne puissent réagir, l'homme a attrapé Oriane et l'a traînée dans une chambre. Quand la femme fait signe à Luc de les suivre, Luc ne discute pas et entre dans la chambre, découvrant sa femme dont les membres sont déjà écartelés aux montants du lit.



Sans ménagement, l'homme attrape alors Luc et le fait s'asseoir sur une chaise. Il lui ligote étroitement les mains dans le dos :
- On va bien trouver des cravates quelque part pour vous bâillonnez que vous ne nous emmerdiez pas pendant qu'on bosse.
Il ouvre alors un placard et rigole :
- Haha ! Les proprios sont de drôles de zèbres ! Regardez un peu la machine que je viens de trouver à côté des cravates !
Il brandit alors une lourde boîte muni d'un manche au bout duquel se trouve un godemiché. Sans attendre, il vient placer la machine entre les cuisses. La femme, amusée, l'aide à brancher la machine et rapidement, le godemiché se met à aller et venir dans la fente d'Oriane.



- Pitié ! Laissez-nous !
Luc tente de se relever mais il semble que l'homme maîtrise parfaitement l'art des nœuds. Oriane gémit. Luc comprend que ce n'est pas de douleur et qu'elle commence à prendre du plaisir avec cette machine. La femme s'approche de lui :
- Tu as l'air en colère de voir ta femme ainsi. Mais écoute-là ! Elle prend du plaisir. Sois heureux pour elle. Ecoute et ne regarde pas. Prenant alors une cravate, elle bande les yeux de Luc qui, impuissant, ne peut que se laisser faire.



Le ronronnement de la machine s'arrête. Luc entend alors des bruissements de tissu, identifiant très bien que l'homme est en train de se dévêtir. La femme vient murmurer à l'oreille de Luc :
- Mon mec est en train de masturber ta copine. Si tu ne l'entends pas gémir c'est qu'elle a la bouche pleine...



La femme se redresse alors et lui soulève son bandeau. Luc constate qu'elle ne lui a pas menti et qu'Oriane est effectivement en train de sucer le gars, contre sa volonté. Voyant le regard exorbité de Luc, la femme lui dit :
- Allons. Regarde plutôt par ici, le spectacle de mes seins te sera peut-être plus réjouissant ?
La femme a effectivement ouvert le haut de sa combinaison et exhibe une poitrine superbe aux tétons gonflés par l'excitation.



Quand l'homme retire sa queue de la bouche d'Oriane, Luc en profite pour lui demander :
- Oriane ? Est-ce que ça va ?
- Oui... ne t'inquiète pas... Je vais le faire jouir et ils nous foutront la paix...
Elle tourne alors la tête vers le gars et entreprend de lui sucer les couilles.



L'homme n'en revient pas :
- Wahou ! Elle me suce les boules ! C'est dément ! J'en profite, c'est pas tous les jours que ça arrive.
La femme répond :
- Si tu en es aux inaugurations, pourquoi ne pas la sodomiser puisque tu n'auras jamais mon cul ?
Mais l'homme est trop pris par l'exquise sensation de la bouche de la jeune femme brune sur ses testicules. De voir sa femme sucer ce gars, Luc se rend compte qu'il se met à bander énormément. Agacée, la femme lui remet le bandeau en place sur les yeux.



Oriane met tout son talent au service de sa caresse buccale dans l'espoir d'échapper à la menace de sodomie énoncée précédemment. Le gars ne tient pas longtemps. Se redressant, il vient positionner sa queue au-dessus de la bouche de la jeune femme écartelée et se met à éjaculer abondamment. Une bonne partie de son sperme jaillit en tous sens, éclaboussant le cou et le visage d'Oriane mais les derniers jets, moins puissants, viennent s'écouler dans la bouche grande ouverte.



La femme commente la scène pour Luc :
- Ta copine est très maline. Elle laisse mon mec se vider les couilles dans sa bouche sans rechigner. Elle espère ainsi éviter la sodomie. Mais il a de la ressource et il va se remettre pendant que moi je vais m'occuper de toi.
Aux bruits des froissements de tissus, Luc devine qu'elle retire sa combinaison.



Quand elle lui retire le bandeau, elle n'a plus qu'un petit string noir sur elle. Sans doute un peu plus âgée que lui, elle dégage pourtant une sensualité qui ne laisse pas Luc insensible. Elle sourit en voyant le sexe tendu :
- Une si belle queue pour moi, ce serait un crime de ne pas en profiter.



Luc la voit alors s'agenouiller entre ses cuisses et saisir son sexe tendu. S'adressant à son mari, elle lui dit :
- Regarde-nous, si ça peut te remotiver pour la suite.
- Ne t'inquiète pas, j'ai de quoi retrouver la forme.
Tandis qu'il s'amuse à pincer les tétons d'Oriane, sa femme commence à lécher le gland de Luc.



Puis, elle se relève :
- Voilà. Tu me sembles prêt.
Luc ne se débat pas. Bien cette femme abuse de lui, il se dit qu'elle ne pourra lui faire que du bien qu'il serait dommage de ne pas en profiter. Elle baisse alors lentement son string.



Luc constate que sa fente est bien humide. Tout cela l'a donc bien excitée. Elle s'approche de lui et lui tourne le dos. Lentement, elle se laisse descendre sur le sexe tendu :
- Ooooooh ! Il est presque aussi gros que toi, chéri !
Et elle commence à monter et descendre sur la tige raide de Luc.



D'abord à un rythme lent, la jeune femme accélère peu à peu la cadence pour arriver à un rythme plus soutenu. Luc voit juste à côté l'homme. Il a cessé de torturer les mamelons d'Oriane et se masturbe, assis sur le lit, en regardant les seins de sa femme se balancer en cadence. La femme gémit de plus en plus. Luc ne peut rien faire d'autre que subir. Assez rapidement, elle atteint l'orgasme :
- Aaaaaaaah ! Ouiiiiiiiiiiiii !!!



Dès que a fini de jouir, elle se redresse et se dégage, laissant la queue de Luc :
- Merci. Ta bite m'a fait un bien fou !
Luc la regarde, un peu hébété. Elle rigole :
- Ne t'inquiète pas, je vais t'achever...
Elle se penche alors à nouveau entre ses cuisses et suce le gland fébrile.



Luc, qui était proche de l'éjaculation, apprécie ces attentions délicates et sens rapidement la sève monter. Quand elle le sent prêt à jouir, elle se contente de le masturber lentement. Alors que le sperme commence à jaillir, la femme commente :
- Oh, que c'est mignon tout ce jus qui s'écoule !
Le sperme s'échappe lentement et coule le long de ses doigts.



Se relevant, elle se tourne vers son compagnon qui lui aussi, la regarde, un peu hébété :
- Alors quoi ? Tu veux que je te branle toi aussi au lieu de profiter du cul de cette petite salope ?
L'homme reprend ses esprits :
- Heu, non !
- Bien, alors aide-moi à la retourner.



Chacun d'un bord du lit, ils détachent Oriane qui, épuisée, se laisse faire. La femme semble mener l'opération :
- Attache-la en lui écartant les cuisses au maximum.
Quelques minutes après, Oriane se retrouve à plat ventre sur le lit, écartelée.



Alors que l'homme s'apprête à venir la rejoindre sur le lit, érection en main, la femme l'arrête :
- Attends. Ne te précipite pas. Il faut la préparer.
Elle positionne alors la machine entre les cuisses d'Oriane et engage le godemiché contre son anus. Oriane tente de se dégager mais elle ne peut pas bouger du tout. La femme met alors la machine en marche. Le godemiché se met à pénétrer l'anus de la jeune cambrioleuse.



La femme ne précipite pas la cadence et semble se contenter d'un rythme assez lent. Après quelques minutes, Oriane commence à gémir de plaisir. La femme s'approche de Luc et lui murmure à l'oreille :
- Tu entends comme elle aime se faire sodomiser ?
Luc ne peut pas cacher que la situation l'excite car il sent son érection reprendre. Satisfaite, la femme va arrêter la machine et la retire, laissant Oriane le cul tendu, manifestement en attente.



S'adressant à son homme, elle lui dit :
- Je crois qu'elle t'attend. Encule-la bien cette salope, je crois qu'elle adore ça.
Revenant à Luc, elle lui retire le bandeau pour qu'il puisse voir sa femme se faire sodomiser. Luc s'apprête à injurier le mec mais une langue experte commence à lui sucer le gland, le coupant net dans son envie de se rebeller.



Tandis que la femme lui lèche la queue, l'homme commence à appuyer son gland contre l'anus d'Oriane. Celle-ci implore sa pitié :
- S'il vous plaît, ne me faite pas mal...
- C'est pas un petit morceau à passer mais une fois que j'y serai, je te garantis que tu vas t'éclater !
D'un coup de reins sec, il engage son gland dans l'étroit canal, arrachant un cri à la jeune femme.



Tandis qu'il la sodomise, sa femme interrompt sa dégustation de la bite de Luc pour lui dire :
- Il est trop gros. Je lui ai toujours refusé cette voie de peur qu'il me déchire. Mais ta femme semble supporter. J'ai même l'impression qu'elle apprécie...
Luc peut effectivement voir les lèvres de sa moule qui suintent de mouille.



L'homme se déchaîne. Oriane ne réfrène pas ses gémissements et semble finalement bien apprécier son sort. Après quelques minutes, Luc voit que son dos est pris de frisson et il devine qu'elle a un orgasme. Alors qu'elle crie son plaisir, le gars se plante tout au fond d'elle et, immobile, se met à râler. Luc voit alors les couilles du gars se contracter plusieurs fois et il devine qu'il décharge plusieurs saccades de son foutre au fond du cul de sa femme.



La femme regarde d'un œil ce qui se passe mais concentre surtout ses caresses buccales sur le gland de Luc. Elle devine ce que son mari fait à Oriane en voyant les yeux de Luc. Celui-ci est fasciné par l'énorme queue que l'homme ressort lentement du cul de sa femme. Quand le gland sort enfin, une bonne quantité de sperme sous pression s'échappe de l'orifice béant.



La femme redresse la tête quelques secondes et observe la scène :
- J'espère que c'était des cris de douleur et pas de plaisir...
L'homme sourit à sa femme :
- Dans le doute, je peux continuer un peu...
Et il replonge sa queue dans la grotte déjà pleine de sa semence, faisant gicler quelques gouttes sous la pression.



Oriane, épuisée, ne réagit plus. Luc est rassuré d'avoir pu constater qu'elle avait quand même pris du plaisir à ce viol. C'est en sentant un petit picotement à ses testicules qu'il sent que la femme est près de le mener à l'éjaculation. Il cache aussi longtemps que possible qu'il est sur le point de jouir, contrôlant sa respiration, et laisse soudain le sperme s'échapper. La femme est surprise par l'arrivée d'une quantité importante de sperme sur sa langue et dans sa bouche.



Furieuse, elle se relève :
- Connard ! Tu aurais pu dire que tu allais jouir !
Et elle crache par terre la semence de Luc tandis que celui-ci termine d'éjaculer, laissant son sperme former une flaque épaisse sur l'avant du siège. Quand Luc retrouve ses esprits, c'est pour constater que la femme s'est rhabillée et que l'homme a détaché Oriane du lit. Celle-ci reste pourtant allongée sur le ventre cuisses écartées :
- Oriane ? Tu vas bien ?
- Oui...



La femme, pointant à nouveau son arme sur Luc, le détache et le pousse vers la porte principale de la maison. Oriane est traînée juste derrière lui par l'homme. Ils les font alors monter à l'arrière d'une voiture. La femme les tient en joue tandis que l'homme démarre. Dix minutes plus tard, ils les abandonnent nus, en pleine nature alors que la précieuse boite de Cristofari est dans la poche du pantalon de Luc, dans la villa...

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Les cambrioleurs 8. Les négociations


Luc et Oriane regardent la voiture faire demi-tour et s'éloigner. Même s'ils sont nus en pleine nature en pleine nuit, il fait heureusement assez doux et ils n'ont pas froid. Luc demande :
- Bon... Quelles sont nos options ?
- Il faut y retourner pour récupérer la boîte !
- A pied, le temps qu'on arrive, ils risquent d'être partis avec nos fringues.
- Il faut qu'on trouve une voiture. Regarde !
Oriane désigne à Luc une lueur plus loin le long de la route. Ils s'approchent et découvrent uen grand maison au fon d'un jardin. Oriane :
- Bon, on ne va pas voler une voiture, on ne sait pas faire. Alors il va falloir négocier de l'aide...
- Ok. Je vais sonner.
- Merci mon chéri.
Oriane reste derrière Luc cachant comme elle peut sa nudité.



La port s'ouvre sur un gars costaud qui rigole en voyant Luc :
- Héhé ! C'est un enterrement de vie de garçon ?
- Pas exactement, non...
Le gars découvre alors Oriane derrière et change aussitôt de ton :
- Mince ! Je ne vous avais pas vu mademoiselle. Entre, entrez.
Il laisse le couple entrer et referme la porte. Il appelle :
- Tom ! Viens voir !
Un second gars arrive et reste en arrêt en découvrant le couple nu. Oriane sourit et dit :
- Vous auriez des fringues ?



- Bien sûr, je vais vous chercher ça.
Le premier gars l'arrête :
- Attends William, j'aimerai d'abord qu'elle nous raconte ce qui leur est arrivé.
Le gars désigne le canapé pour qu'ils s'installent. Luc s'assoit, cachant toujours son sexe. Par contre, Oriane, plus en confiance, s'installe en arrêtant de dissimuler ses seins et son entrejambe :
- On s'est fait agresser, piquer nos fringues et on nous a laissés à plusieurs kilomètres de l'endroit où on a laissé notre voiture. On aimerait que vous nous rameniez là-bas...



- Et qu'est-ce qu'on a en compensation ?
Oriane sourit en sachant parfaitement quel idée Tom a derrière la tête. Elle se lève et vient, impudique, entre William et Tom.
- Ce peut être moi...
Aussitôt, sans prêter la moindre attention à Luc, les gars se mettent à la caresser laissant leurs doigts parcourir ses seins, ses fesses et sa fente déjà humide.



Luc laisse faire mais s'assure que l'accord est bien clair pour tout le monde :
- Bon. Donc vous tripotez un peu ma femme et ensuite vous nous amener là-bas, OK ?
William, sortant son érection lui répond :
- Non, on va baiser ta femme. Après on verra si on vous amène là-bas ou si on la rebaise encore.
Oriane sort la queue de Tom et saisit une érection dans chaque main :
- Je propose qu'un de vous accompagne mon mari là-bas pendant que l'autre me baisera.



Tom réagit aussitôt :
- Je reste !
Oriane s'agenouille entre les deux hommes et se met à les masturber :
- Non, c'est moi qui vais décider après avoir goûter à vos queues.



Les deux hommes se laissent faire tandis qu'Oriane, à genoux, les suce à tour de rôle. Pendant qu'elle suce William, Tom en profite pour se débarrasser de tous ses vêtements. Quand elle vient s'occuper de lui, William profite de ce répis pour quitter lui-aussi ses vêtements. Laura les suce à tour de rôle pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce que les deux bites soient parfaitement tendues.



William et Tom s'amuse de voir que Luc, toujours nu, est en érection à regarder sa femme sucer deux inconnus. Il commence quand même à s'impatienter :
- Bon, il ne faudrait pas trop tarder quand même...
Oriane se redresse et considère les deux bites. A celui qui a la moins grosse, elle demande :
- Vous, c'est Tom ?
- Oui.
- Tom, vous pouvez accompagner mon mari jusqu'à sa voiture ?
- Putain, fais chier.
- Mais si vous vous dépêchez, il ne sera peut-être pas trop tard pour que vous en profitiez aussi...
Restant nu, Tom prête les vêtements de William à Luc. Oriane s'allonge lassivement sur le fauteuil, cuisses écartées :
- Dépêchez-vous de rentrer, les garçons...



Tom se met à chercher ses clés de voiture et s'agace de ne pas les trouver :
- William, t'as pas vu mes clés de voiture ?
William ne répond pas. N'aynta pas pu résister à la jolie fente qu'Oriane lui présente et il est déjà accroupi entre ses cuisses pour lui lécher la moule. Luc regarde Oriane et lui dit :
- Ça ira chérie ?
- Oui, regarde. Je trouve que ça commence bien...



Tom fouille les poches de différents manteaux et ouvre différents tiroirs de commodes, toujours à la recherche de ses clés, s'énervant que William soit déjà en train de profiter d'Oriane alors qu'il n'est même pas parti :
- Bon sang, mais où sont ces putains de clés !!!
William, se redressant, affiche une érection impressionnante. S'agenouillant entre les cuisses de la jeune femme, il guide son sexe dans la fente humide et commence à la pénétrer. Oriane feule déjà de plaisir.



Luc attend et en profite pour admirer sa femme. William ne semble pas la violenter, bien au contraire, ce qui rassure Luc. Sa femme semble prendre beaucoup de plaisir à cette pénétration. Luc est content d'être rhabillé et que personne ne voit à quel point il bande à voir sa femme se faire baiser ainsi par un inconnu sous ses yeux.



Tom, toujours nu et en érction, a du mal à se concentrer ses recherches à cause des gémissements de la jeune femme et le Luc le voit explorer pour la troisième fois le même tiroir. Comme William se met à caresser les clitoris d'Oriane tout en la pénétrant, les gémissements de la jeune femme montent en gamme et elle se met la main sur la bouche pour ne pas crier de plaisir.



Tom a abandonné la recherche des clés. Se masturbant, il s'approche de William qui pénètre allègrement Oriane et la fait bien gémir :
- Tu ne trouves pas tes clés ?
- Non, et là je ne tiens plus à voir cette salope crier comme ça...
Entre deux gémissements, Oriane lui dit :
- Approchez !



Le gars ne se fait bien sûr pas prier. Oriane lui fait alors signe de venir à sa tête. Dès qu'il est à portée de main, elle lui saisit la queue et le guide pour qu'il vienne vraiment juste derrière sa tête. La jeune femme rejète alors la tête en arrière et se met à sucer les couilles de Tom tandis qu'elle le masturbe lentement.



En peu de temps, Tom arrrive au bord de l'éjaculation :
- Putain, je crois que je viens déjà !
Se reculant un peu, il place son gland au-dessus de la bouche béante d'Oriane. Luc voit alors le sperme épais sortir et se mettre à couler dans la bouche de sa femme.



De voir cela déchaîne William qui besogne encore plus vite sa partenaire, empêchant ce qui reste de sperme d'atteindre la bouche de la jeune femme. L'épaisse semence s'écoule donc alors un peu partout sur le nez, les yeux, les joues et le menton d'Oriane. Luc est fasciné de voir sa femme ainsi et n'est tiré de son hypnotisme qu'en entendant la voix de Tom lui dire :
- Elle est belle ta femme, mec.



Tom se rhabille alors. En enfilant son pantalon, il entendant un bruit métallique dans sa poche :
- Merde, j'avais pas vérifié mon falzar !
Luc le suit dehors, abandonnant william et Oriane, toujours en train de baiser. Une fois dans la voiture, Luc indique à Tom la direction à prendre. Quelques minutes après, ils arrivent en vue de la maison d'où sort de la lumière, indiquant une présence. Tom ne s'attarde pas et, sitôt Luc déposé, il repart rejoindre William et Oriane. Resté seul, Luc pénètre discrêtement dans chez ses tortionnaires dans l'espoir de récupérer leurs fringues et la boîte de Cristofari. Il est stupéfait de découvrir le couple en train de baiser dans le salon.



Le couple est si occupé que Luc parvient à entrer dans la pièce sans se faire remarquer. Atteignant l'endroit où sont ses vêtements, il sort de la poche de son pantalon l'étrange petite boîte et actionne le bouton qui arrête le temps. Il ramasse alors tous les fringues et s'apprête à repartir, mais regardant le couple immobilisé en pleine action, il se dit qu'il peut en profiter pour se venger de la situation dans laquelle ils les ont mis. Posant les vêtements près de la porte, Luc se met à poil et se masturbe jusqu'à ce que son sexe soit parfaitement dressé. Il se tient alors derrière le couple et désenclenche le mécanisme d'arrêt du temps de la petite boîte qu'il garde en main :
- Je crois avoir compris que vous ne vous étiez jamais fait sodomiser, madame ?
Sans trop comprendre ce qu'il se passe, la femme tourne la tête.



Elle est horrifiée de voir que Luc se tient en érection juste derrière elle :
- Merde !!! Arrête, les cambrioleurs sont revenus !
Elle s'apprête à se relever mais Luc enclanche à nouveau le bouton pour arrêter le temps. Rejoignant le couple, il écarte les fesses de la femme blonde et engage son gland contre son anus. Une petite poussée lui permet de forcer l'étroit passage. Une fois bien emmanché en elle, il s'amuse à relancer le temps. Après une seconde délicieuse où la femme se demande ce qui lui arrive, elle pousse un cri strident.



Avant qu'elle ne tente de se dégager, Luc arrête à nouveau le temps et commence à bouger dans l'étroit fourreau. Il en profite pour s'enfoncer jusqu'au bout, faisant cogner ses testicules contre la queue immobile du mari, puis ressortir complètement pour à nouveau réinvestir cet adorable passage. Et il continue ainsi jusqu'à être au bord de l'éjaculation. Il s'immobilise alors à mi-chemin et prend la boîte de Cristofari.



Il réactive le temps juste au moment où sa sève monte de ses couilles. La femme crie mais s'interrompt en sentant la semence chaude envahir ses entrailles :
- Non, pas ça !!!
Sous elle, son mari semble ne rien comprendre. Il découvre seulement maintenant le visage de Luc, au-dessus de l'épaule de sa femme, déformé par le plaisir que lui procure cette sodomie alors qu'il se déverse généreusement en elle.



Sitôt son éjaculation terminé, il arrête à nouveau le temps et sort son sexe dégoulinant de sperme du cul de la femme. Contournant celle-ci, il vient s'essuyer sur le visage du gars, se doutant que cela le dégoûtera au plus haut point. Puis, il se rhabille et sort ses clés de voiture. Dans l'embrasure de la porte, il réactive le temps et admire son oeuvre. La femme hurle :
- Putain ! Mais... Comment a-t-il fait pour m'enculer comme ça ?! Il m'a mis tout son foutre dans le cul !
Le mec met plus de temps à réagir. Tandis que sa femme se dégage et regarde, incrédule, Luc qui rigole en les voyant, il porte les mains à son visage et se rend compte à son tour de la nature du liquide visqueux qui macule son visage :
- Ooooh merde ! L'enculé ! Il m'en a foutu sur la tronche !!!
Luc, ravi, les salue :
- Je pense que je suis trop rapide pour vous ! La prochaine fois, assurez-vous que vous ne vous attaquez pas à Flash Gordon.
Il referme la porte, content de sa petite plaisanterie et court jusqu'à sa voiture. Il démarre en trombe et retourne aussi vite que possible pour récupérer Oriane. Il est surpris de voir au loin les feux arrières d'une voiture. Ayant beaucoup agi en ayant arrêté le temps, il se dit qu'il est tout à fait possible que Tom ne soit pas si loin que ça devant lui. Quand il arrive en vue de la maison, il voit Tom se précipiter dans la maison. Quand il y entre à son tour, Tom termine seulement de se mettre nu et se masturbe pour réactiver son érection. Oriane est en train de gémir alors qu'elle chevauche William.



Tom, William et Oriane sont tous bien occupés et ne se rendent pas compte que Luc vient de rentrer. IL hésite à utiliser la boîte pour libérer sa femme mais, la voyant gémir de plaisir, il se dit que ce serait égoïste de ne pas la laisser terminer. Sans un bruit, il referme la porte et s'installe sur une chaise dans un coin de la pièce où la lumière fait défaut. Tom vient rejoindre le couple et positionne son gland entre les fesses d'Oriane.



D'un coup de rein, il fait pression et engage sa longue tige dans l'étroit canal. La jeune femme crie de plaisir en sentant ce sexe pénétrer son anus. Les deux hommes se mettent à bouger, essayant de synchroniser leur pénétration. Oriane crie de plaisir et, tournant la tête pour essayer de voir Tom, se rend compte de la présence de son mari dans le coin sombre de la pièce.



Elle fait un signe de la tête à Luc. Mais celui-ci ne comprend pas ce qu'elle attend. Voudrait-elle qu'il utilise la boîte pour arrêter le temps ? Cela étonne Luc car elle semble prendre un pied d'enfer. EN plus, il se dit qu'il est préférabel que le moins de monde possible connaisse l'existence de cet objet incroyable. Alors qu'Oriane s'aprête à l'interpeler, Tom se redresse et se met à la besogner sauvagement. Oriane est alors submergée par un violent orgasme.



Luc bande comme un fou à entendre sa femme jouir ainsi. Il hésite même à aller rejoindre le trio, mais il se dit que sa participation n'a pas été prévu dans le contrat et que les deux hommes pourraient en prendre ombrage. Et de toute façon, Luc trouve incroyablement excitant de voir ces deux queues pénétrer les orifices de sa femme, tandis que celle-ci hurle de plaisir.



Quand elle se calme et retrouve son souffle, elle se tourne à nouveau vers lui, le visage presque implorant :
- Chéri...
Les deux hommes se rendent alors compte de la présence de Luc mais continue à baiser Oriane comme si son mari n'était pas là. Luc lui répond :
- Tu te débrouilles très bien, ma belle. Dès que Tom aura joui, nous pourrons partir.
- Mais William non plus n'a pas joui ! Ils sont incroyablement résistants...



Les deux hommes se dégage d'Oriane et la font se mettre debout. Se tournant vers Luc, William lui dit :
- Mets-toi à l'aise, mec. On en a encore pour un moment avec ta femme.
Tournant la jeune femme entre eux, Tom l'attrape par la taille et la soulève pour emmancher sa queue tendue dans sa fente trempée de mouille tandis que William plonge son sexe dans l'anus béant d'Oriane.



Gémissant à nouveau de plaisir, la jeune femme regarde son mari. Tom lui dit :
- Tu aimes que ton mari nous regarde te prendre en sandwich ?
- Ooooh oui...



Les gémissements d'Oriane gagnent en volume :
- Ooooh ouiiii !
Luc se souvient alors qu'elle a choisi de rester avec William parce qu'il a une queue plus grosse que celle de Tom. A y regarder de plus près, il constate que le sexe de William est effectivement plus imposant et qu'il remplit de manière conséquente l'étroit fourreau de sa femme.



Fatiguant sans doute à porter Oriane, Tom demande à William de la porter. La soulevant, celui-ci décide de se laisser tomber en arrière sur le canapé. Dans la chute, Oriane s'empale sur la queue de William jusqu'à la garde et pousse un cri strident. Luc se demande si c'est du plaisir ou de la douleur. Mais, comme Tom reprend aussitôt à la pistonner vigoureusement, les cris de la jeune femme qu'entend Luc sont indéniablement signes d'un intense plaisir.



Sous elle, William ne bouge presque plus. Luc se demande s'il ne s'est pas déjà déversé en elle. Par contre, il force la jeune femme à écarter bien franchement ses cuisses. Luc se demande si c'est pour faciliter la tâche à Tom ou si c'est pour qu'il puisse, lui, mieux voir sa femme se faire défoncer par deux inconnus. Oriane hurle de plaisir tandis que son corps est à nouveau secoué par les spasmes d'un nouvel orgasme encore plus puissant.



En l'entendant, Luc se demande s'il ne va pas éjaculer dans son pantalon. Les garçons se calmant, Oriane se remet peu à peu de son orgasme. William lui demande alors :
- Dis-moi, ma belle, est-ce que tu veux qu'on te fourre tous les deux de notre crème ?
La jeune femme, encore sous le coup de son orgasme n'a pas le temps de répondre. Tom, regardant Luc, annonce :
- Non, je crois que son mari préfèrera nous voir gicler dans sa bouche.
Les deux hommes reposent alors Oriane au sol et appuient sur ses épaules pour la faire mettre à genoux entre eux. A peine est-elle en position que Tom se met à râler. Elle ouvre la bouche et l'homme vient éjaculer sur sa langue son sperme épais.



William commente :
- Mmmm, petite gourmande ! Tu en veux d'autre ?
Tom n'a pas terminé de se vider dans sa bouche que William se met à éjaculer à son tour mais son sperme, moins épais, gicle en puissants jets qui viennent fouetter la bouche de la jeune femme. Oriane ne veut pas avaler toute cette semence et la chasse avec sa langue, la laissant dégouliner de sa bouche sur ses seins.



Quand les deux hommes ont terminé de jouir, Oriane a plein de sperme sur le menton et sur la poitrine, et ça a aussi couler sur ses cuisses et par terre. Tom et William regardent Luc en souriant :
- Elle est douée ta femme. Tu dois téclater au quotidien.
- Je ne me plains pas. Est-ce que ça va ma chérie ?
- Oui... Ils m'ont fait jouir plusieurs fois...



Tom va chercher une serviette qu'il donne à Luc pour qu'il essuie le sperme sur sa femme. Quand il a terminé, William donne à Oriane une robe d'été toute simple :
- C'est une copine qui a oublié ça ici il y a longtemps. Heureusement qu'on ne l'a pas jetée.
La jeune femme enfile la robe.



Se contentant d'un bref "merci", le couple gagne la sortie. A peine ont-ils refermé la porte qu'Oriane engueule Luc :
- Pourquoi ne pas avoir utiliser la boîte pour me sauver de ces deux types ?
- Te sauver ? Tu semblais prendre ton pied... Tu m'as dit avoir joui plusieurs fois. J'ai au moins vu deux orgasmes.
- Oui... c'est vrai... mais quand même.



Ils montent dans la voiture et Luc démarre. Voyant que sa femme semble un peu fâcher, il s'explique :
- Ecoute, ne m'en veux pas, je ne pense pas que ce soit une bonne chose d'abuser de l'usage de cette boîte. Si trop de monde est au courant de son existance, je pense qu'on finira par avoir des problèmes. Et puis, je me disais aussi que ces deux gars nous ont aidés et qu'ils méritaient une petite récompense...
- Tu t'es surtout bien rincé l'oeil, salopard !



- Je ne me plains pas...
- Et les autres, ça n'a pas été trop compliqué de récupérer la boîte ?
- Non. Je me suis même autorisé une petite vengeance en sodomisant la femme.
- J'aurais bien voulu voir ça...
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Les cambrioleurs 9. L'intrusion des mercenaires


Le lendemain matin, Oriane et Luc se réveillent tardivement. Les événements de la nuit précédente fait qu'ils se sont couchés très tard et ont eu un peu de mal à trouver le sommeil. Après une nuit réparatrice, Oriane ouvre les yeux. Luc dort encore. Elle passe la main sous les couvertures et trouve ce qu'elle cherche. Luc a son habituelle érection matinale. Alors qu'elle le masturbe, il ouvre les yeux :
- Mmmmm, bonjour ma chérie.
- Bonjour. Tu es en forme, j'ai envie d'en profiter.
Oriane se glisse sur lui, écrasant ses seins sur son torse pour l'embrasser.



Sans avoir trop à bouger, elle sent le sexe raide de Luc se glisser dans sa fente en même temps que sa langue se glisse dans sa bouche. Lentement la queue de Luc la pénètre et Oriane interrompt son baiser pour profiter de cette délicieuse sensation. Quand Luc est bien enfoncé en elle, la jeune femme se redresse et commence à monter et descendre sur le sexe de son compagnon. Celui-ci, oyant les seins d'Orianne bouger juste sous son nez ne résiste pas à redresser la tête pour lui lécher les mamelons.



Ils font l'amour ainsi pendant un long moment, restant à l'écoute l'un de l'autre pour synchroniser leur jouissance. Oriane est en extase quand l'orgasme la gagne car elle sent exactement en même temps que Luc est en train de déverser en elle sa chaude semence. Après quelques minutes étendues sur lui, Oriane, reprenant ses esprits se dégage et se redresse :
- C'est ce qui s'appelle un excellent réveil.



Luc se lève et file à la salle de bain pour prendre une douche. Oriane se rendort un peu, quelques minutes. Quand elle l'entend ressortir de la douche, elle se lève. Luc, avec juste une serviette enroulée autour de la taille, lui dit :
- Il faut qu'on trouve une cible rapidement.
- Pourquoi ? On manque d'argent ?
- Non, mais j'ai très envie de retourner cambrioler avec toi, surtout pour les parties de jambes en l'air qu'on y fait !
- Moi aussi...



Oriane, se mettant face à un miroir, demande à Luc :
- On peut profiter de l'après-midi pour faire de la reconnaissance, non ?
Luc, admirant les courbes de sa femme, bande encore :
- Oui, mais même si on trouve, ça va être court pour se préparer pour cette nuit.
- Se préparer ? Moi je sais déjà quelle tenue je vais mettre !



- Ah oui ? Tu me montres ?
- Ok.
Oriane se dirige vers le placard et attrape au fond d'une étagère une combinaison noire brillante. Luc ouvre de grands yeux :
- Du latex ?
La jeune femme ne répond pas mais enfile la combinaison sans rien mettre dessous, remontant le zip depuis l'entrejambe jusqu'au haut du décolleté :
- Alors ?



- Magnifique !
- Et ce sont les détails qui vont surtout te plaire.
- Les détails ?
Oriane se retourne et, cuisses écartées, montre à Luc que le zip du devant se prolonge jusqu'entre ses fesses. Un second zip permet d'ouvrir dans l'autre sens, ce dont Oriane fait la démonstration en l'ouvrant pour dégager sa moule.



Luc est subjugué :
- Génial !
- Oui, mais ce sera pour notre prochaine mission.
Espiègle, la jeune femme referme le zip. Elle est alors surprise par le bruit de la porte d'entrée juste derrière elle. Oriane, intriguée, suit Luc dans le salon.



Ils restent interdits en voyant quatre hommes qui viennent de faire irruption dans leur salon. Il s'agit de quatre mercenaires armés. L'un d'eux tient le couple en joue tandis que les autres se mettent à ouvrir les placards et les tiroirs, cherchant de toute évidence quelque chose de bien précis. Oriane est hypnotisée par cette intrusion et s'exclame :
- Mais qu'est-ce que vous voulez ?



Un des gars, qui semble être le chef de l'opération, se tourne vers elle et plonge un regard intéressé dans le décolleté de la jeune femme avant de lui répondre :
- Dites-nous où est la boîte.
- De quoi parlez-vous ?
Oriane fait l'innocente mais elle se doute que cela ne fonctionnera pas puisque les gars semblent bien au courant pour être entrés ainsi chez eux.



Le gars ne semble pas vouloir plaisanter :
- Ecoute-moi bien, petite salope. Puisque tu veux faire la maligne, tu vas retirer ta combinaison pour qu'on s'assure que tu n'as pas caché la boîte sur toi.
- C'est hors de question !
- Tu crois que je te laisse le choix ?
L'homme pointe l'arme vers son visage. Oriane, sous la contrainte, obtempère et abaisse le zip de sa combinaison, libérant le sillon de sa poitrine.
- Espèce de sale pervers.



Une fois le zip sous le nombril, Oriane s'interrompt :
- Voilà, vous êtes content ?
- Non. Je suis certain que tu peux encore descendre un peu cette fermeture-éclaire.
Oriane est obligée de descendre le zip jusqu'en bas, révélant sa moule nue. Sous la pression des seins nus, la combinaison s'écarte, révélant la sublime poitrine de la jeune femme.



Oriane toise l'homme :
- Vous vous rincez bien l'œil ?
- Oui. Ce n'est pas la partie la plus désagréable du job quand on est de ce côté-ci du pistolet. Mais tu vas retirer complètement ta combinaison.
Oriane, agacée, peine à retirer les manches de la combinaison, trop ajustées.



Le gars s'impatiente :
- Dépêche-toi un peu. On n'a pas toute la journée.
- C'est que c'est un peu ajusté et c'est dur à retirer. Ce sera pire pour les jambes...
- Je m'en fous. Tu la retires.
Oriane termine donc de retirer les manches puis commence à faire glisser la combinaison sur ses hanches. Sans que le gars lui demande, elle lui tourne le dos pour qu'il puisse admirer ses fesses.



Un des gars qui menait la fouille demande à son chef :
- Patron, on pourra la baiser, cette salope ?
- On va voir. Pour le moment, tu peux peut-être lui donner un coup de main pour qu'elle termine de retirer cette putain de combinaison.
Le mercenaire, ravi, vient rejoindre Oriane et, tout en l'aidant à abaisser la combinaison, il en profite pour lui sucer un mamelon.



Une fois la combinaison enfin retirée, le mercenaire reste les yeux exorbités à admirer la magnifique jeune femme nue exposée devant lui. Son chef lui demande :
- Elle te fait bander, hein ?
- Ouais, carrément !
- Alors elle va te sucer pour sa peine !
Aussitôt le gars retire ses vêtements, exhibant son érection. Luc intervient :
- Arrêtez ! Je vais vous...
- Non, Luc, ne dis rien. Ce n'est qu'une fellation. Ça ira.
Oriane l'avait interrompu car elle avait senti qu'il s'apprêtait à révéler où se trouvait la boîte de Cristofari. Sans attendre, elle s'agenouille et saisit la queue du mercenaire pour le sucer.



Le mercenaire semble apprécier :
- Oh putain ! C'est une merveille, cette fille, les gars !
Oriane se met à lui caresser les couilles en même temps pour accélérer l'arrivée de la jouissance. Cela ne semble pas déplaire non plus au gars.



Oriane sent qu'il va bientôt venir. Elle se demande si elle le laisse jouir dans sa bouche, si elle le sort pour une éjaculation faciale ou si elle le laisse se répandre sur la moquette. Cette dernière option ne l'enchante pas vraiment et elle se dit que le plus simple sera d'avaler. Mais elle n'a finalement pas le temps de prendre la décision car le gars se retire de sa bouche et son sperme jaillit éclaboussant le visage de la jeune femme d'une généreuse quantité de sperme chaud et épais. Oriane trouve cela répugnant mais, pour ne pas risquer d'envenimer la situation, elle se force à sourire et reprend le gland en bouche pour le nettoyer.



Le chef s'approche alors de Luc et lui arrache sa serviette d'un coup sec :
- Oh, je vois que ça te fait bander de voir ta femme sucer un de mes gars !
Luc est très gêné de son érection ainsi dévoilée. Le chef tend la serviette à Oriane :
- Essuies-toi.
La jeune femme s'exécute. A peine a-t-elle terminé que le chef la saisie par un bras et la jette sur le canapé.



Puis, se tournant vers Luc, il dit :
- Tu vas nous dire où se trouve cette putain de boîte ou, moi et mes gars, on va tous baiser ta femme à tour de rôle.
- Ok ok. Ne lui faites pas de mal. Je vais vous dire où...
Oriane l'interrompt à nouveau pour qu'il ne révèle rien :
- Non chéri ! Ne leur dit rien. Qui sait ce qu'ils en feront quand ils l'auront ?!
- Ok, tu l'auras voulu !
Le chef retire alors son pantalon exhibant une érection bien tendue et, sans la moindre préparation, plonge sa queue dans la fente d'Oriane, à quatre pattes sur le canapé.



Celle-ci tente de ne pas réagir et laisse l'homme la pénétrer. Luc se rend compte qu'elle retient ses gémissements et il voit bien à son visage qu'elle commence à prendre du plaisir à cette pénétration forcée. Luc ne parvient alors pas à réprimer une nouvelle érection. Un mercenaire vient s'asseoir à côté d'Oriane et lui attrape le poignet :
- Dis-donc, tu pourrais sûrement me sucer en même temps, non ?



Le chef, qui est en train de la prendre en levrette, s'interrompt alors et se dégage de sa croupe :
- Non, elle va déjà me sucer moi. Il parait qu'elle assure !
S'asseyant, il prend Oriane par la nuque et l'oblige à plonger sa bouche sur son dard dressé.



Celui qui avait proposé de se faire sucer en profite pour venir la prendre en levrette mais avant d'enfiler son sexe dressé dans la fente d'Oriane, il admire son petit trou :
- Hey, par là aussi ça a l'air sympa.
Sans préavis, il engage sa queue dans l'anus de la jeune femme et commence à la sodomiser. Oriane tente de s'y opposer mais le chef des mercenaires lui maintient la tête sur sa queue pendant que l'autre prend possession du cul d'Oriane.



Luc veut intervenir mais un mercenaire le tient en joue pour le dissuader de faire quoi que ce soit. Pendant ce temps, l'autre gars sodomise lentement Oriane. Luc se calme, il voit qu'Oriane ne semble pas souffrir. AU contraire, tout en continuant sa fellation au chef, elle tourne la tête vers lui et Luc voit bien à son regard qu'elle prend du plaisir.



Le gars qui l'encule commence à accélérer et pilonne la pauvre Oriane qui peine à poursuivre sa fellation. Le chef dit au gars :
- Vas-y doucement quand même. Je veux qu'elle puisse continuer à me sucer.
Le gars donne alors un dernier violent coup de reins, plaquant la jeune femme à plat ventre sur le canapé, avec toujours la queue du chef entre les lèvres.



Le chef s'énerve :
- Arrête ça ! On échange.
Il se relève tandis que l'autre se retire du cul d'Oriane. Le chef l'attrape par la taille et la force à se remettre à quatre pattes. A son tour, il pénètre la jeune femme par l'anus. Oriane pousse un cri de surprise mais l'autre gars l'empêche de s'exprimer davantage en lui fourrant sa queue dans la bouche.



Le sexe du chef est plus conséquent et ses assauts font un bien fou à Oriane qui ne réprime plus ses gémissements. Elle se met soudain à trembler. Luc comprend qu'elle a un orgasme. Le chef, comprenant aussi, se met à accélérer ses va-et-vient. La jeune femme crie et perd l'équilibre basculant sur le côté. Malgré ce changement de position, le chef continue à la besogner sans relâche.



Oriane tremble de plaisir. Luc bande comme un fou à la voir prendre ainsi du plaisir. Le chef se retire et râle :
- Merde ! Je voulais jouir dans son cul avant qu'elle ne prenne son pied.
L'autre qu'Oriane suçait demande :
- Alors on fait quoi ?
- On attend qu'elle reprenne ses esprits. Là, elle n'est plus bonne à rien. On va continuer.
Oriane, allongée sur le dos, reprend son souffle et profite de ce répit.



Luc est surpris de voir le chef se rhabiller alors qu'il n'a pourtant pas joui. Mais sitôt rhabillé, il s'assoit à côté d'Oriane et lui dit :
- Il y a encore un de mes gars qui ne t'est pas passé dessus.
D'un signe de tête, il indique au gars en question de s'approcher. Le mercenaire, nu et bien sûr en érection, attrape une jambe d'Oriane et la soulève pour guider son sexe dans sa fente.



Le gars n'en revient pas :
- Putain, elle mouille à fond ! Ça glisse tout seul la dedans, c'est le pied !
Et il se met à aller et venir entre les cuisses de la jeune femme sous le regard sérieux de son chef.



Alors que le mercenaire y va franchement, le chef le calme :
- Attention, n'éjacule pas encore. J'ai d'autres projets pour toi.
- Ok, mais je peux la faire jouir ?
- Si tu y arrives, ne te prive pas.
Le gars se met alors à ralentir et se redresse à chaque fois qu'il s'enfonce dans la moule de la jeune femme, sollicitant ainsi le clitoris. Oriane n'y reste pas insensible. Tout en regardant Luc, elle exprime un nouvel orgasme qu'elle n'a plus la force d'essayer de cacher.



Satisfait d'être parvenu à la faire jouir, le gars se retire et admire la moule béante et trempé de cyprine de la jeune fille. Luc se demande pourquoi personne ne jouit en elle mais est plutôt content de cet état de fait. Une fois encore Oriane reprend son souffle et profite qu'aucun mercenaire ne l'importune. Faisant le calcul, elle sait qu'ils ont chacun visité au moins un de ses orifices mais un seul a éjaculé.



Le chef se tourne alors vers Luc :
- Si tu ne nous dis pas où est la boîte, on va tous se vider les couilles sur elle. Ta salope de femme ne sera plus qu'une éponge à foutre. Donne-nous ce qu'on veut et on partira. Oriane fait non de la tête pour signifier à Luc qu'il ne doit pas parler. Aussitôt un des mercenaires s'approche d'elle et se met à éjaculer, faisant jaillir plusieurs puissants jets de sperme qui viennent éclabousser le cou et la poitrine de la jeune femme.



Sentant le sperme couler dans son cou, Oriane se redresse. Un second gars s'approche :
- Tu as l'air d'aimer ça, petite salope !
Et, à son tour, il se vide les couilles, maculant le ventre de la jeune femme avec sa semence épaisse.



A peine eut-il terminé que son chef, juste le pantalon baissé sur les cuisses, vient se positionner devant Oriane. Quelques coups de poignets suffisent à déclencher l'éjaculation et plusieurs giclées atteignent Oriane au visage. Luc bande toujours, excité, même si tout ce sperme qui recouvre sa femme le dégoûte. Une fois qu'il a terminé, le chef des mercenaires demande à Oriane :
- Tu veux que ton mari aussi vienne éjaculer sur toi ?
- Va te faire foutre, espère de salopard !



Se rhabillant, un des mercenaires demande :
- Elle va dire quoi, la patronne, si on revient sans la boîte ?
- Elle a envisagé le cas de figure et elle a dit d'en prendre un des deux en otage.
Luc se sent complètement démuni. Oriane voit à son regard qu'il s'apprête à dire où se trouve la boite et elle le devance en lui disant :
- Non. Ne dis rien sinon j'aurais subi tout ça pour rien...
Luc, démuni, ferme les yeux. Oriane, ne voulant pas se laisser abattre, ramasse la serviette de Luc par terre et s'essuie avec.

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Les cambrioleurs 10. Dans le hangar


Oriane et Luc attendent, nus, la décision des mercenaires. Ceux-ci, n'ayant pas trouvé la boîte demandée par leur patronne, doivent ramener Luc ou Oriane en otage pour forcer l'autre à céder la boîte de Cristofari qui a le pouvoir d'arrêter le temps. Le chef prend rapidement la décision. S'adressant à Oriane, il dit :
- Toi, on t'embarque.
Comme elle va pour prendre ses vêtements, le chef ajoute :
- Pas la peine de t'habiller. Comme ça on pourra te tripoter dans la camionnette.
- Quoi ! Mais c'est hors de question !!!



Les mercenaires rigolent. Oriane ramasse quand même son débardeur et cache sa poitrine :
- Ce ne serait pas prudent pour vous...
- Qu'est-ce qui te fait croire ça ?
- Si quelqu'un me voit sortir à poil et monter dans votre camionnette, ça risque d'éveiller les soupçons, non ?



Le chef semble trouver l'argument recevable :
- Ok, enfile ton débardeur, ça suffira...
Oriane enfile rapidement son débardeur. Un mercenaire approche et lui malaxe les seins à travers le fin tissu :
- C'est parfait comme ça.
Les mercenaires admirent le débardeur qui dissimule finalement assez mal la poitrine de la jeune femme.



Ajustant le tissu, Oriane voit que le débardeur est trop court pour cacher ses fesses et son entrejambe :
- Je peux passer une jupe ou un jeans ?
- Pas question.
- Mais les passants risquent de se demander pourquoi j'ai les fesses à l'air...



Agacé, le chef s'approche et la bascule sans ménagement sur la table basse :
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Je vais te montrer pourquoi je veux que tu gardes le cul à l'air.
Il lui redresse alors un genou sur la table basse, l'obligeant à se cambrer et à exposer encore davantage son cul et sa moule.



Les mercenaires ricanent. Oriane a peur de ce qui va suivre mais elle voit qu'un mercenaire pointe toujours son arme sur la nuque de Luc. Le chef se libère et sort de son pantalon une érection prête à l'emploi. Saisissant la jeune femme à la croupe il guide son sexe bandé dans la fente humide et chaude, faisant aussitôt gémir Oriane.



Luc essaie de rester impassible mais il meurt d'envie de casser la figure à tous ces mecs. L'arme pointée sur sa tête lui rappelle l'urgence de ne rien faire. Un autre mercenaire commence à se dévêtir. Lui aussi affiche une belle érection. IL s'approche de la tête d'Oriane :
- J'ai pas eu le plaisir de me faire sucer toute à l'heure...
Appuyant sur la tête de la jeune femme, il la force à engouffrer son sexe turgescent.



Oriane ne peut pas vraiment le sucer tant les assauts du chef sont violents. Soudain, il s'immobilise. Luc comprend qu'il est en train de se vider les couilles en elle. Quand il se retire, un peu de sperme s'écoule de la moule béante d'Oriane sur la table basse. Un autre mercenaire approche pour le remplacer mais, considérant la fente souillée de la jeune femme, il décide de plutôt investir son cul. Il se redresse et plante son long dard dans l'anus d'Oriane. Luc voit au regard d'Oriane qu'elle ne prend pas particulièrement de plaisir à toutes ces pénétrations. Il s'apprête à lui demander d'arrêter et à révéler la cachette de la boîte mais elle semble comprendre et lui fait non de la tête.



Luc sait qu'elle a raison. Même s'il donne la boîte aux mercenaires, ceux-ci ne se gêneront sans doute pas pour abuser d'elle. Pire, ayant eu ce qu'ils voulaient, peut-être ne leur auraient-ils pas laissé la vie sauve. Le gars finit par éjaculer dans ses entrailles et se retire alors que quelques gouttes de sperme sortent encore de son gland et tombent par terre, tâchant la moquette. Celui qui se fait sucer se retire soudain et laisse sa semence épaisse se répandre sur le charmant visage d'Oriane. Puis il lui fourre à nouveau son sexe encore frémissant dans la bouche pour qu'elle le nettoie.



Oriane épuisée, est enfin laissée tranquille par les mercenaires. Luc tente sa chance :
- Maintenant que vous avez vu qu'on n'avait plus la boîte et que vous avez bien profité d'elle, vous allez nous laisser.
Le chef sourit et s'approche de lui :
- Tu rigoles. On emmène ta femme avec nous. Et toi, tu te démerdes pour nous ramener la boîte avant qu'on ne l'aie tellement défoncée que tu auras l'impression qu'elle aura pris cinquante ans d'un coup !
Il ramassa le jeans de Luc et se tourna vers Oriane :
- Lève-toi. Il faut que tu enfiles ce jeans.
Oriane se redresse péniblement.



Sitôt le jeans enfilé, les mercenaires l'obligent à les suivre jusqu'à leur camionnette. Luc les regarde partir par la fenêtre. Il se sent totalement démuni puisqu'ils viennent de donner son jeans à Oriane. Et la boîte tant convoitée se trouve justement dans la poche ! Dans la camionnette, les mercenaires lui ont fait retirer le jeans. Ce n'est qu'en l'enlevant qu'Oriane sent la présence de la boîte. Un gars lui prend le jeans. Alors qu'un autre s'approche pour lui caresser les fesses et l'entrejambe, Oriane décide de jouer le jeu dans l'espoir qu'ils ne se rendent pas compte de la présence de la boîte dans la poche. Mais le gars qui voulait la tripoter s'écarte, dégoûté :
- Merde, elle dégouline encore de sperme !



Il prend alors le jeans des mains de l'autre gars et utilise une jambe pour essuyer le sperme qui goutte entre les cuisses de la jeune femme. Quelques minutes plus tard, ils arrivent à un hangar et Oriane est débarquée de force. Elle menée sans ménagement devant une femme brune qu'elle reconnait aussitôt : Vivianne, celle à qui ils ont volé la fameuse boîte de Cristofari. Habillée de cuir, elle tient une arme et ne semble pas vouloir rigoler :
- Si vous me ramener cette pute en otage, j'en déduis que vous n'avez pas récupéré la boîte.



Les mercenaires semblent gênés. Oriane note qu'ils ont peur de Viviane. Celle-ci continue :
- Vous l'avez baisée ?
- Comme vous l'aviez demandé, madame.
- Vous l'avez amenée cul à l'air ?
- Non, son jeans est là mais on lui a retiré dans le camion.
- Et pourquoi lui laisser son débardeur ?
Comprenant la question comme un reproche, le chef des mercenaires s'approche d'elle et lui déchire complètement son débardeur.



- Bon. Est-ce que tu vas nous dire où se trouve ma boîte ?
- Je... je... n'en sais rien...
Oriane se dit qu'avec tout ce qu'elle a déjà subi, elle ne va pas baisser les bras.
- Tu veux que je te livre en pâture à mes hommes ?



Oriane lui lance un regard froid de défi :
- Ils ne se sont déjà pas privés.
Viviane fait un signe de tête. Aussitôt deux hommes viennent attacher les poignets d'Oriane et accroche la corde au plafond. En même temps, le chef des mercenaires avale une petite pilule et commence à se déshabiller. Oriane, découvrant le sexe prodigieusement long et large du gars, comprend qu'il a pris un produit qui double presque son érection. En voyant l'homme s'approcher, elle comprend qu'il va la pénétrer.



Viviane sourit en voyant la peur dans les yeux de la jeune femme :
- Impressionnant, non ? Tu sais que cette incroyable bite a mis au supplice plus d'une fille ? Si tu ne te décide pas à parler, Minotaure va te déchirer.
Oriane reste silencieuse. L'homme vient se placer derrière elle et lui soulève soudain les cuisses. Oriane se sent soudain soulevée de terre et sa fente vient s'empaler sur le dard colossal.



A sa grande surprise, elle n'est pas déchirée. Sans doute qu'elle mouille suffisamment. Si la violence lui arrache des cris de douleurs, ceux-ci se changent peu à peu en véritables cris de plaisir. Après quelques minutes, sans avoir joui, Minotaure se retire et laisse Viviane s'approcher :
- En fait tu aimes ça, petite salope ?



Oriane est trop épuisée pour réfléchir ou pour répondre. Viviane insiste :
- Tu veux qu'il continue ?
- Non...



- J'ai mal entendu, ma chérie... Je prendre ça comme un oui.
Viviane fait un signe de tête en direction de Minotaure. Celui-ci s'approche alors derrière Oriane et, la soulevant, cette fois-ci, c'est dans son anus qu'il plonge. Oriane remercie en pensée celui qui l'avait enculée peu avant et qui a ouvert la voie, lui évitant de se faire exploser l'anus.



Quand la gigantesque tige est plantée en elle, elle se met à hurler de douleur. Rapidement, la douleur s'estompe mais elle continue à crier comme si la couleur était insupportable. Tout en la sodomisant, le gars achève de lui arracher son débardeur. Soudain, elle fait mine de tomber dans les pommes et reste inerte, pendue par les poignets. Un peu paniqué, Minotaure se retire rapidement et lui détache les mains. Oriane se laisse tomber au sol.



A quatre pattes, elle voit le jeans juste à côté de sa main. Avant que Viviane ou le chef des mercenaires ne puissent réagir, elle plonge la main dans la poche et active la petite boîte. Le temps arrêté, elle évalue la situation. Elle commence par prendre toutes les armes des mercenaires et les jette au fond d'une grande fosse de vidange. Puis, elle s'empare du pistolet de Viviane. La tenant en joue, elle réenclenche le temps.



Viviane est abasourdie :
- C... Comment as-tu fais ça ? Tu... tu l'avais sur toi ?
En voyant le jeans par terre, elle comprend et se tourne vers ses hommes :
- Bande d'incapables ! Vous n'avez même pas fouillé ses poches ! La boîte était là et aucun de vous ne s'en est rendu compte ? Vous n'êtes que des demeurés décérébrés !
Oriane jubile de sa victoire, mais elle a bien l'intention de se venger :
- Retirez tous vos fringues !
Les mercenaires et Viviane retirent leurs vêtements. Viviane semble ne pas comprendre :
- Et à quoi ça t'avance ?!



Oriane lui lance un regard noir.
- J'ai envie que vous subissiez ce que vous m'avez fait subir.
- Peuh ! J'ai déjà couché avec chacun de mes hommes, qu'est-ce que tu crois ?
- Tournez-vous.
Viviane obéit mais ne semble pas vraiment rassurée.



Oriane sait ce qu'elle veut lui faire subir. Elle continue à lui donner des instructions :
- Appuyez-vous sur cette caisse.
Se tournant vers un mercenaire, Oriane lui lance un ordre :
- Allez lui bander les yeux !
Viviane, se retourne, surprise :
- Quoi ? Pourquoi ?



- Ne posez pas de question !
Le mercenaire va lui bander les yeux. Oriane fait alors un signe à Minotaure :
- Enculez-la.
Viviane croit alors deviner ce qu'il l'attend et elle supplie :
- Non ! Non ! Pas Minotaure ! Pas Minotaure !!!
Mais Minotaure ne semble pas vouloir discuter l'ordre d'une femme qui pointe son arme sur lui et il plonge allègrement son énorme queue dans l'anus de Viviane qui se met aussitôt à hurler.



- Bien ! Branlez-vous, vous autre. Je veux que toute à l'heure vous la couvriez de votre sperme.
Les gars ne discutent pas et leurs mains s'activent sur les érections, stimulés par le spectacle de leur patronne qui se fait défoncer la rondelle par son propre lieutenant.



Un des gars semble pourtant un peu gêné de faire ça et, malgré sa branlette, ne parvient pas à obtenir une érection digne de ce nom. Oriane sait pourtant que c'est un des gars qui a abusé d'elle quand les mercenaires se sont introduits chez eux :
- Vous ! Allez vous asseoir sur la caisse pour que Viviane vous suce.
Le pistolet pointé sur lui, il obtempère. Viviane ne proteste pas et suce le gars autant que possible tandis que Minotaure continue de lui pistonner l'anus.



Soudain, Viviane interrompt sa fellation et se met à hurler. Oriane voit le visage déformé du chef des mercenaires et comprend qu'il est en train d'éjaculer dans les entrailles de sa patronne. Alors qu'il s'apprête à se retirer, Oriane lui intime de rester :
- Non, vous allez la pistonner encore quelques coups.
Minotaure s'exécute et finit par se retirer, laissant un trou béant par lequel sa semence s'échappe.



Viviane se redresse péniblement :
- Tu me paieras ça, salope !
- On verra. Pour le moment, vous allez terminer la pipe que vous avez commencée.
Voyant l'arme pointée sur eux, le mercenaire se relève et Viviane s'agenouille devant lui pour le sucer.



Peu à peu, elle voit le visage du mercenaire se contracter et devine qu'il va bientôt jouir :
- N'éjaculez pas dans sa bouche. Je veux voir gicler sur son visage.
Le gars sortit sa queue juste à temps pour que son sperme se répande généreusement sur le menton de sa patronne et coule dans son cou jusqu'à sa poitrine.



Viviane se tourne alors vers Oriane :
- Voilà, vous êtes vengée ?!
- Non, les autres aussi vont faire comme lui.
- Je t'en prie, non !



- Tu préfères prendre une balle entre les deux yeux ?
- Non...
Un autre mercenaire s'approche alors et, dès qu'il est devant elle, se met à éjaculer une impressionnante quantité de sperme, inondant le visage et la poitrine de Viviane.



A peine a-t-il terminé que le dernier s'approche et se met aussi à éjaculer. Il dirige volontairement ses jets vers la bouche entrouverte de la patronne, malgré la demande explicite d'Oriane. Mais Oriane laisse faire en voyant que Viviane n'avale pas mais recrache le liquide blanchâtre au fur et à mesure.



Alors que les gars se reculent, Viviane se tourne vers Oriane :
- Tu es contente ? Tu m'as humiliée auprès de mes hommes !
- Oui, je pense qu'ils ne vont plus travailler pour vous maintenant...
Le visage englué de sperme, Viviane murmure :
- Tu vas me payer ça...



S'éloignant de Viviane et gardant un œil sur elle, Oriane pose au sol son arme et la boîte, le temps d'enfiler son débardeur déchiré. Mais au moment où elle s'apprête à les reprendre, elle est bousculée par Minotaure. Quand elle se relève, elle s'attend à ce que Minotaure pointe une arme sur elle. Mais l'arme est toujours au sol et Minotaure a disparu, avec la boîte dont il semble avoir compris le fonctionnement. Oriane reste quelques secondes démunies à ne pas savoir quoi faire.



Quand elle se rend compte de la situation, elle voit que Viviane se précipite sur arme, toujours par terre. Elle ne pourra pas la récupérer avant elle. Elle décide de s'enfuir et fonce vers la porte devant laquelle elle ramasse le jeans de Luc. Elle a tout juste le temps de faire tomber une lourde caisse derrière elle avant de refermer la porte. Une balle vient percuter le métal. Oriane place une lourde barre contre la poignée pour bloquer l'ouverture de la porte. Viviane, paniquée, se met à hurler :
- Minotaure ! Reviens ici immédiatement !
Viviane fait le tour du hangar à la recherche d'une autre issue mais n'en trouve pas et les trois autres mercenaires semblent avoir disparu.



Prenant le temps d'enfiler le jeans de Luc, Oriane rentre en courant chez elle en passant par des ruelles sinueuses. Elle prie pour que Viviane les oublie et concentre sa colère sur Minotaure qui venait de la doubler en lui subtilisant la boîte de Cristofari.
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Les cambrioleurs 11. Phénomènes étranges


Luc a été soulagé de voir revenir Oriane saine et sauve, même s'il semblait déçu d'avoir perdu la boîte. Au réveil, le lendemain, Oriane trouve Luc debout à côté du lit en train de la regarder amoureusement :
- Bonjour, ma chérie.
- Bonjour. Tu sembles moins contrarié ce matin.
- Oui, je me suis fait à l'idée. On a bien profité de cette boîte magique mais si elle met nos vies en danger, je préfère qu'on s'en passe.
Oriane se redresse et s'assoit sur le bord du lit :
- Je suis heureuse que tu le prennes si bien. On a peut-être le temps de fêter ça ?



- Heu non, je dois aller bosser. Et tu dois te préparer car il est déjà tard...
Oriane regarde l'heure et constate qu'elle n'a effectivement pas beaucoup de temps pour se préparer :
- Mince. J'ai oublié de mettre la lessive au sèche-linge hier soir et j'ai plus de soutif...
Luc sourit :
- Tes collègues vont être content, alors !
La jeune femme enfile un chemisier blanc sous lesquels on devine un peu ses seins libres.



Non sans la peloter un peu, Luc l'embrasse. Ils partent chacun de leur côté. Durant la journée, Oriane a une désagréable sensation d'excitation. Ses mamelons sont perpétuellement érigés et elle n'ose pas quitter son bureau. Elle met cela sur le compte de l'absence de soutien-gorge mais trouve quand même cela curieux car parfois ses tétons lui font mal comme s'ils avaient été pincés. En fin d'après-midi, avant de repartir, elle est conviée par deux collègues à venir prendre un café. Bien vite, ils remarquent la particularité de la tenue d'Oriane et un silence gênant s'installe. Quand Oriane s'apprête à relancer la conversation pour rompre cette gêne, elle se rend compte que son chemisier est entièrement déboutonné et qu'il baille largement sur ses seins nus.



Les garçons pensent avoir une hallucination car, l'instant d'avant, le chemisier n'offrait qu'un joli décolleté tout juste décent :
- Merde, Oriane, ton chemisier !
D'un geste vif, la jeune femme rabat les pans du chemisier sur sa poitrine pour dissimuler celle-ci aux regards intéressés de ses deux collègues :
- Excusez-moi... Les boutons doivent déconner un peu...



- Oh mais ne t'excuse pas. C'était un plaisir.
Oriane retourne à son bureau et se rajuste avant de rentrer chez elle. En chemin, elle se demande si cela est vraiment le fruit du hasard ou si le mercenaire qui a volé la boîte de Cristofari, Minotaure, n'est pas derrière ce qui vient de se passer. Elle se retourne régulièrement pour voir si elle n'est pas suivie mais ne remarque rien de suspect. Quand elle retrouve Luc à la maison, elle hésite à lui en parler, se demandant si elle n'est pas paranoïaque. Comme ils sont invités chez un collègue de Luc, Oriane ne repense plus à cette histoire de chemisier et profite de sa soirée, voyant bien que le collègue de Luc a rapidement remarqué qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa petite robe noire assez décolleté.



Dans le courant de la soirée, Luc ouvre de grands yeux à l'attention d'Oriane, désignant son décolleté. Oriane, ne comprenant pas ce qu'il veut, finit par lui demander :
- Quoi ?
- Il y a quelques boutons de ta robe qui ont sauté, me semble-t-il...



- Oups, désolée.
Le collègue de Luc sourit car il avait lui aussi remarqué ce détail intéressant. Rajustant sa robe, Oriane se confie :
- C'est une malédiction ces boutons, aujourd'hui !
- Ah oui ?
- Oui, au travail cet après-midi, mon chemisier s'est ouvert entièrement...
- Entièrement ? Ce n'est pas possible...
- Je te jure que si... Mes collègues ont apprécié.
Alors qu'elle prononce ces mots, elle constate les regards exorbités des deux hommes face à elle. Baissant les yeux, elle découvre que, non seulement les boutons ont à nouveau sauté mais que ses mamelons prennent l'air hors du décolleté.



Luc rigole :
- C'est la pression de ta poitrine, c'est tout. Tu aurais dû mettre un soutien-gorge.
Oriane rajuste à nouveau sa robe et commence à vraiment s'inquiéter :
- Je n'en avais plus de propre...



Oriane, très gênée, veut rentrer :
- On ne va peut-être pas tarder, nous...
Luc comprend le malaise et se lève pour aider son collègue à ramener les verres et les bouteilles à la cuisine. Oriane a soudain un flash affreux : Minotaure se tient debout devant elle, la bite à la main. Ses seins sont à nouveau hors du décolleté et du sperme épais coule sur son visage et sa poitrine. Il lui dit :
- Bien pratique ta petite boîte, ma jolie !



L'instant d'après, il a disparu, laissant la jeune femme avec du sperme au visage et sur les seins. Oriane réagit au quart de tour et attrape un paquet de mouchoirs en papier dans son sac à main. Elle s'essuie le visage et les seins et parvient à se rajuster juste avant que les garçons ne reviennent. Dès qu'ils sont sur le chemin du retour, Luc, voyant le visage inquiet de sa femme, lui demande :
- Qu'est-ce qui te tracasse ? Mon collègue faisait une drôle de tête en te faisant la bise sur le palier. C'est ça qui te chiffonne ?
- Non... S'il faisait une drôle de tête, c'est qu'il s'est rendu compte que je sentais le sperme...
Luc se penche sur elle et réagit :
- Putain, c'est vrai ! C'est quoi ce délire ?!
- Minotaure. Il a la boîte. C'est lui les boutons de mon chemisier et de ma robe. Il a profité que vous étiez à la cuisine pour se branler et éjaculer sur mon visage.
- L'enfoiré !!!
Luc comprend enfin la situation. Arrivés à la maison, ils ferment la porte à double tour et vérifient chaque fenêtre. Luc demande :
- Tu veux qu'on laisse la fenêtre de la chambre ouverte, sinon on va crever de chaud.
- Non, c'est pas grave, je vais dormir à poil...
Et Oriane se couche nue sur le lit.



Le lendemain, au réveil Luc admire sa jolie femme endormie. Toujours nue, elle dort avec les cuisses écartées et le bassin légèrement cambré laissant une vue magnifique sur sa croupe. Luc admire ce spectacle et constate qu'Oriane n'a pas été souillée par Minotaure pendant la nuit. Entendant que l'on frappe à la porte, il l'abandonne, non sans jeter un dernier regard à ce charmant spectacle qui lui donne un début d'érection.



Quand il ouvre la porte, il ne trouve personne derrière. Inquiet, il la referme à double tour et décide d'aller se doucher. Dans la chambre Oriane dort encore. Quand elle sent un gland se presser contre sa moule, elle se contente de se redresser un peu, sans ouvrir les yeux :
- Mmmmm, bonjour, mon chéri...



Le sexe la pénètre lentement. Oriane se laisse aller au plaisir de cette queue bien dure qui va et vient en elle :
- Merci... Après le stress d'hier soir, je suis contente que tu prennes le temps de t'occuper un peu de moi...
Une main vient lui caresser les fesses.



Un événement étrange la fait soudain paniquer : le sexe qu'elle avait dans la fente vient soudain de se retrouver, instantanément, dans son anus et continue à aller et venir. Oriane comprend qu'il ne s'agit pas de Luc et qu'elle est en train de sa faire abuser par Minotaure. Elle tente de se débattre mais, assis sur ses cuisses, l'homme puissant l'empêche de bouger :
- Ne bouge pas ma belle, c'est presque terminé.



Oriane appelle au secours :
- Luc ! Il est là !!!
Le poids qu'elle avait sur les cuisses et la queue dans son cul disparaissent soudain. Elle sent quelque chose de chaud et gluant entre ses fesses. Luc arrive dans la chambre et découvre avec stupeur la croupe d'Oriane souillée de sperme :
- Merde, l'enfoiré ! Est-ce que ça va ma chérie ?



Oriane se retourne sur le dos :
- Cette ordure m'a baisée pendant que je dormais... Comme je me réveillais tout juste, je croyais que c'était toi... Puis il m'a sodomisée et c'est là que j'ai compris et que je t'ai appelé.
- Il faut récupérer la boîte...
- Oui, mais comment ?



- Le piéger, peut-être ?
- Oui apparemment, il a préféré me baiser alors que j'étais consciente plutôt que de le faire avec le temps arrêté...
- On a une carte à jouer, effectivement. Habille-toi sexy. Il faut l'attirer et le forcer à faire une erreur.
Oriane se dit qu'elle n'a effectivement rien à perdre à servir d'appât et elle enfile une petite robe transparente du meilleur effet.



Ils attendent ainsi chez eux toute la matinée et le début d'après-midi sans événement notable. Un peu impatiente, Oriane finit par dire :
- Il ne vient pas...
- Il faut peut-être qu'on sorte ?
- Dans cette tenue ? Tu rigoles ! Non, je vais retirer cette robe, ce sera peut-être plus stimulant pour lui...
Oriane retire donc sa robe.



Luc rigole :
- Là, c'est certain que moi ça me stimule. Tu es bandante à souhait, ma chérie...
- Oui, mais tu vas devoir te retenir car, pour l'heure, mes cuisses sont un piège à mouche.
Oriane s'assoit lascivement, sachant parfaitement l'effet qu'elle fait sur son mari.



- C'est une torture pour moi, ma chérie !
- Je m'en doute. Mais il ne faut pas perdre espoir. Il va venir et il ne résistera pas...
Pour montrer l'efficacité du piège, Oriane écarte largement ses cuisses et dévoile à Luc sa magnifique moule.



Luc se lève aussitôt :
- Moi, c'est certain, je ne résiste pas !
Et il vient aussitôt s'agenouiller entre les cuisses de la jeune femme pour lui sucer la moule. Oriane ne résiste pas et le laisse faire, plaquant ses mains sur sa tête pour l'inviter à ne pas s'arrêter.



Mais soudain, Oriane a un nouveau flash : Minotaure est assis dans le fauteuil en face d'elle et, entièrement nu, il se masturbe en les regardant. Le mercenaire demande :
- Alors ma belle, tu préfères te faire bouffer ou te faire fourrer ?



Luc se redresse en entendant la voix du gars mais, quand il se retourne, il ne voit personne. Minotaure a disparu. Il se lève et fait le tour de la pièce pour voir s'il n'est pas derrière un fauteuil ou un rideau. Oriane dit :
- Mon Dieu ! Il était là ! Il... il va revenir ?
- Je n'en sais rien mais j'ai l'impression qu'il est parti...
- Oooooh...
- Oriane ? Est-ce que ça va ?
- Heu oui, je crois que je n'étais pas loin de l'orgasme quand tu t'es arrêté...



Luc vient la rejoindre :
- Dans ce cas, on va finir ça en espérant ne pas être à nouveau dérangé...
S'agenouillant entre les cuisses de sa femme, Luc reste en arrêt quelques secondes :
- Merde ! Ce salaud vient de te baiser pendant que je le cherchais !
La moule d'Oriane est effectivement encore entrouverte et du sperme commence à s'en échapper.



- Quoi ? Tu déconnes !!!
Oriane se penche pour constater l'effroyable vérité. Incrédule, elle observe la semence blanchâtre s'écouler lentement de sa fente et former une flaque sur le cuir du canapé.



Après cet événement, Oriane prend une douche mais semble très perturbée. Elle sursaute au moindre bruit et passe beaucoup de temps devant le miroir à vérifier son visage, sa bouche, sa moule et ses fesses, s'attendant à tout moment à y voir apparaître du sperme du mercenaire. Quand elle sort de la douche, elle enfile une petite robe noire sans mettre de culotte. Arrivée dans le salon, Luc la siffle :
- Très sexy chérie ! Tu espères toujours le prendre au piège ?
- De toute façon, il fera de moi ce qu'il veut, donc autant essayer de le mettre hors d'état de nuire si l'occasion se présente...



- Tu as raison. Mais encore une fois, tu me mets dans tous mes états...
- Désolée mon chéri. Tu veux que je te soulage ?
- Bah, je ne veux rien t'imposer, vu la situation.
- Moi, j'ai besoin de tendresse et d'amour...
Oriane commence à retirer sa robe :
- Je t'excite ?



- Oui, carrément !
- Et ça ne te dégoûte pas que l'autre porc ait éjaculé en moi ?
- Tu t'es douchée et ça ne semble pas entamer mon désir, regarde.
Luc libère une érection impressionnante.



Luc la regarde terminer de retirer sa robe :
- Et toi, tu es sûre de vouloir faire l'amour avec ce que tu subis depuis hier ?
- Oui, je crois que j'en ai bien besoin.



Luc termine de retirer ses vêtements :
- Et si Minotaure revient ?
- Tant pis, j'ai trop envie de te sentir en moi et si la place est prise, il devra attendre son tour.



- Très bien. Alors approche, ma chérie.
Oriane vient le rejoindre et le fait s'asseoir sur le canapé. Puis elle se penche pour le masturber un peu :
- Mmmm, c'est celle-là que je veux en moi...
Enfourchant Luc, Oriane vient s'empaler la fente sur la queue tendue de son mari. Ils s'enlacent en commençant à faire l'amour.



Très vite, Oriane sent le plaisir monter et elle gémit vivement :
- Oh ouiii ! C'est bon, Luc !
Luc a envie de la faire crier encore plus. La saisissant sous les fesses, il se lève en la laissant plantée sur sa tige tendue.



Oriane crie rapidement et sent l'orgasme monter mais, soudain, un frisson la parcourt. Elle se penche à l'oreille de Luc qui, pris dans sa folle chevauchée, se rend à peine compte que la jeune femme lui parle :
- Je... je crois qu'il est là...
Elle sent alors quelque chose entre ses fesses. Le mercenaire est là et présente sa bite contre l'anus d'Oriane :
- Eh oui ma belle, je suis là !
D'un coup de reins, il fait entrer son gros gland dans l'étroit orifice, arrachant un nouveau cri à Oriane qui est pourtant aux portes de l'orgasme.



Elle voit le visage de Luc horrifié, regardant celui de Minotaure à quelques centimètres de lui. C'est maintenant le mercenaire qui a saisi la jeune fille à la taille et la fait monter et descendre sur sa bite mais aussi sur celle de Luc. Luc, abasourdi, ne se rend pas compte qu'il est au bord de l'éjaculation et, quand Oriane se met à vibrer sous l'effet de son orgasme, il sent la sève monter de ses couilles et libère sa semence chaude dans le ventre de sa femme. Bien qu'à demi-consciente, la jeune fille sent aussi que Minotaure se vide dans ses entrailles.



Oriane a quelques secondes d'absence alors qu'elle se remet de son orgasme. Quand elle reprend conscience, elle est debout, appuyée au chambranle de la porte et ses deux orifices suintent de la semence encore tiède des deux hommes, comme s'ils venaient tout juste d'en sortir. Mais regardant autour d'elle, Oriane constate que le mercenaire a disparu, mais que Luc, lui aussi, n'est plus là. La jeune fille se doute que la boîte de Cristofari est derrière ce qui vient de se passer.



Allant s'assoir sur le canapé, elle découvre un mot griffonné à la va-vite sur le dos d'un magazine :
"Je garde ton mec en otage. Si tu fais ce que je te dis, tu le reverras peut-être."
Elle relit plusieurs fois le mot et se met à feuilleter le magazine, au cas où un autre message y aurait été laissé, mais sans succès.



Oriane est seule et le mot laissé par le mercenaire ne la rassure pas du tout. Elle sait que la vie de Luc dépend de sa docilité face aux exigences lubriques du mercenaire. Elle s'imagine mille et une choses qu'il va pouvoir lui faire subir en toute impunité. Intérieurement, elle maudit le jour où ils ont mis la main sur cette petite boîte.



Les jours suivants, Oriane attend des nouvelles. Pourtant, elle sait que Minotaure est dans le coin. Au travail, elle s'est rapidement rendu compte qu'il ne sert à rien qu'elle mette une culotte car celle-ci disparait systématiquement durant la journée.



Aussi après la deuxième culotte disparue, Oriane décide de ne plus en mettre et de mettre des jupes un peu plus longues pour que ses collègues ne s'en rendent pas compte. Mais le plus désagréable est quand elle se rend compte en marchant dans le couloir qu'elle a du sperme qui coule de sa fente, signe que Minotaure vient de la baiser pendant une interruption temporelle.



Cela la panique tant qu'elle décide de ne plus aller au travail et elle reste enfermée chez elle. Elle sait que même sous son toit, Minotaure parvient à s'infiltrer. Quand il la baise pendant son sommeil ou sous la douche, Oriane trouve que c'est presque le moins pire, même quand elle se réveille avec le visage couvert de sperme.



Pour éviter de sortir et d'être confrontée à d'autres gens, Oriane se fait livrer ses courses directement chez elle, passant commande sur internet. Minotaure l'humilie alors, comme à son habitude. Alors qu'elle s'apprête à remercier le jeune livreur en lui donnant son chèque, Oriane sent une grande quantité de salive s'écouler de sa bouche.



C'est en voyant le regard médusé du gars qui hésite à prendre le chèque qu'elle comprend la situation : Minotaure l'a mise à poil mais surtout il a éjaculé dans sa bouche et le sperme encore chaud coule de la bouche d'Oriane, maculant sa poitrine nue.



Après cet épisode, Oriane est a deux doigts de la crise de nerf. Heureusement, Minotaure finit par se manifester.^ ---------oOo---------

Les cambrioleurs 12. La mission imposée


Un matin, Oriane reçoit par la poste un petit pendentif très élégant qui se révèle être une toute petite clé USB. La mettant sur son ordinateur, elle y découvre un petit fichier texte signé de Minotaure. Celui-ci explique qu'il veut qu'elle accomplisse une mission pour elle. Elle doit voler un milliardaire. Il s'agit de copier un fichier informatique sur la clé et de la transmettre au mercenaire. Sa cible est réputée pour s'endormir profondément après avoir fait l'amour. Oriane comprend donc que Minotaure veut qu'elle couche avec lui.



Oriane sait que si elle veut revoir Luc, elle est obligée de se plier aux exigences du mercenaire. De toute façon, elle n'a pas vraiment le temps de se poser la question de savoir si elle doit accepter ou non la mission, car Minotaure indique l'adresse et lui explique comment se faire passer pour une escort-girl. Elle doit y arriver avant 20 heures, et cela l'oblige donc à partir dans moins de dix minutes.



La jeune femme a tout juste le temps de se changer. Si elle doit coucher avec cet homme, autant mettre toutes les chances de son côté pour que la mission réussisse. Dans la chambre, elle regarde ses tenues et opte pour une petite robe rouge moulante. En l'essayant, elle se rend compte que ses sous-vêtements se voient beaucoup sous le tissu trop fin. Elle décide donc de mettre la robe mais sans sous-vêtements.



Quand elle arrive à l'adresse indiquée, elle est accueillie dans le hall par un garde du corps :
- Bonsoir, je suis l'escort-girl.
- Ah parfait.
- Montrez-moi ça.
- Pardon ?
- Pour mon patron, je dois vérifier votre état sanitaire. Relevez la robe, s'il vous plaît.
Oriane se demande si le gars n'en profite pas un peu mais elle joue le jeu et soulève un peu sa robe pour dévoiler sa moule nue.



- Pas mal. Retirez-la.
- Non mais c'est bon. Vous avez vu ce que vous vouliez.
- Mademoiselle. Si vous refusez de vous soumettre au contrôle, je vais vous demandez de sortir sans attendre.
- Qu'est-ce qui me prouve que vous ne voulez pas juste vous rincer l'œil ?
- Je fais mon boulot. Rien de plus.
Un peu dépitée, Oriane commence à relever sa robe.



Elle la fait passer par-dessus sa tête dévoilant sa jolie poitrine nue. Le garde du corps semble ravi :
- Bien ! Très bien. Hé, les gars, venez voir !!!
A sa grande stupéfaction, trois autres hommes arrivent d'une porte située derrière le guichet d'accueil. Elle cache aussitôt ses parties intimes. Les commentaires fusent :
- Regardez un peu ce que le patron a commandé, cette fois !
- Vache, c'est un sacré p'tit lot ! Sûrement la plus canon qui soit passé ici.
- Allez ma belle, montre-nous ça.
Oriane se dit qu'elle n'a sans doute pas le choix. Appuyée au mur sous les regards inquisiteurs, elle dévoile son entrejambe et sa poitrine.



Les trois nouveaux venus s'approchent :
- Regarde, elle a les tétons tout tendus.
- Elle doit être un peu excitée...
- Par nous ?
Les gars commencent à lui peloter les seins et à lui pincer les mamelons.



N'ayant pas le choix, Oriane les laisse faire. Mais quand ils commencent à retirer leurs vêtements, elle s'imagine qu'ils vont abuser d'elle. Elle ramasse alors sa robe pour la remettre mais le garde du corps dit :
- Non non non. Restez comme ça...
- Mais qu'est-ce que vous faites ? Et c'est qui ceux-là ?
- Ceux-là ? Vous voyez les Rois au Moyen Age, ils avaient des goûteurs pour éviter d'être empoisonnés. Et bien ces deux gars sont un peu les goûteurs du patron. Les filles qui sont passées avant vous ne vous ont pas prévenue ?
En voyant les trois hommes nus, le sexe bandé, la jeune femme sait qu'elle ne peut pas faire marche arrière et qu'elle doit accepter ces goûteurs.



- Venez par ici et allongez-vous sur le lit.
- Et ma robe ?
- Laissez-là ici. Je vous la rendrais en sortant.
Oriane est conduite dans une petite pièce au milieu de laquelle se trouve un grand lit. La pièce semble dévolue aux filles que les goûteurs doivent tester avant qu'elles ne rejoignent le patron. Sachant que c'est un passage obligé, elle s'étend sur le lit, sur le dos et cuisses écartées.



Elle voit alors le garde du corps venir se mettre à genoux entre ses cuisses et plonger son visage sur son ventre. Elle sent le contact de la langue sur sa moule, puis s'immiscer entre ses lèvres pour remonter jusqu'à son clitoris. Gémissant de plaisir elle prend à peine conscience que les trois autres gars sont venus l'entourer. L'un lui prend la main et la pose sur sa tige pour qu'elle le branle tandis qu'un autre lui fourre son sexe dans la bouche.



Soudain, les gars s'interrompent et s'écartent de la jeune femme. Le garde du corps demande :
- Alors ? Vous en pensez quoi ?
- Elle a l'air bien chaude.
- Oui, mais elle ce qu'elle acceptera tout ?
Toujours allongée sur le dos, Oriane, craignant qu'ils ne lui fassent subir toutes sortes de choses, répond :
- Oui, j'accepterai tout !
Le garde du corps rigole en comprenant sa manœuvre :
- Super, on va voir ça, alors.
- Salauds...
Oriane lui fait un doigt d'honneur.



- Ne le prenez pas mal, mademoiselle. On a des instructions très claires. Si on vous laisse monter voir le patron sans s'être assurés de tout ça et que le patron est déçu, on se fait virer.
L'homme s'avance alors et vient lui fourrer son sexe épais dans la moule déjà rendue bien humide grâce au cunnilingus



Bien que dégoûtée d'être ainsi testée, Oriane ne peut réprimer un gémissement de plaisir alors que l'homme commence à coulisser en elle. Les autres demandent :
- Alors ?
- De ce côté-là, j'avoue que c'est extra. Elle est chaude et bien ouverte. C'est le pied.



Oriane pense qu'il va continuer à la baiser jusqu'à éjaculer en elle mais, quand elle le voit se retirer, elle se dit qu'il n'a peut-être pas le droit de jouir en elle. Elle se redresse alors :
- C'est bon ? Je peux y aller ?



Un autre gars rigole :
- Ah non, moi il faut que je vérifie ton anus.
Son collègue s'insurge :
- Je ne vois pas pourquoi c'est toujours toi qui les encule.
- Parce que c'est moi qui ai la plus grosse.
Le gars s'installe sur le lit et attrape Oriane pour venir la faire s'empaler sur son sexe, aux proportions effectivement impressionnantes.



Si les gémissements de la jeune femme sont d'abord dû à la douleur de la pénétration forcée, en quelques minutes, les gémissements changent de ton et les hommes n'ont aucun doute sur le plaisir qu'Oriane prend à cette sodomie. Excités, ils viennent présenter leurs sexes tendus à la jeune femme pour qu'elle les suce.



Pendant qu'elle suce les sexes qu'on lui enfourne dans la bouche l'un après l'autre, Oriane entend un des gars s'émerveiller :
- Oh ! Regardez comment elle mouille !
Les bites s'éloignent alors de sa bouche et, rapidement, Oriane voit un homme venir s'installer entre ses cuisses et plonger son sexe dressé dans sa fente dégoulinante de mouille.



- Merde ! C'est vrai que c'est le pied ! C'est comme dans du beurre !
- T'as déjà baisé du beurre, toi ?
- Ta gueule, ducon ! Tu verras quand tu auras essayé.
Il se met alors à pistonner la jeune femme en se synchronisant sur les mouvements de son collègue qui la sodomise.



Les deux autres s'impatientent :
- Bon, tu nous laisses essayer ?
- Ok.
Lentement, il se retire et un autre gars vient prendre sa place entre les cuisses d'Oriane, plongeant son sexe dans la moule béante. Le dernier gars, plutôt que d'attendre son tour, retourne donner sa queue à sucer.



Oriane gémit de plus en plus. Son plaisir n'est plus très loin. Un des gars demande :
- On a le droit de la faire jouir ?
- Oui, mais il faut qu'il lui reste encore des forces pour le patron, sinon on est foutu.
Celui qui la baise, encouragé, continue à aller et venir en elle.



Accélérant légèrement la cadence, il déclenche l'orgasme d'Oriane dont le corps est pris de soubresauts alors que les gars continuent de commenter :
- Ouais ! Elle est bien chaude, il va adorer !
Celui qu'elle suce dit soudain :
- Merde ! Je viens !



- Pas dans sa bouche !
Le gars se retire aussitôt et laisse son sperme gicler sur les seins de la jeune femme. Voyant cela, son collègue l'imite presque aussitôt et, à son tour, il macule de son foutre la jolie poitrine.



Les deux autres gars qui la prennent en sandwich se retirent aussi presque en même temps et Oriane sent leur semence chaude gicler contre ses fesses et ses cuisses. Les seins et la moule couverts de sperme, Oriane se redresse et demande :
- Votre patron veut que vous me testiez mais pas que vous éjaculiez en moi ?



- Oui, c'est exactement ça. Il veut être sûr que vous êtes au top mais il ne veut pas savoir comment on peut l'en assurer.
Le garde du corps attrape alors une boîte de mouchoirs en papier et en tire quelques-uns pour essuyer la poitrine de la jeune femme. Puis, il lui essuie méticuleusement l'entrejambe et les fesses, s'assurant qu'il ne laisse aucune trace. Oriane dit :
- Une douche, ça aurait été mieux, non ?



- Le patron aime l'odeur du sperme sur le corps d'une fille.
- Même si ce n'est pas le sien ?
- Peu importe. En tout cas, vous êtes prête. Vous pouvez monter.
- Je peux reprendre ma robe ?
- Non, vous montez comme ça. Je vous garde votre robe au chaud à l'accueil pour quand vous redescendrez.
Oriane retourne alors dans le hall et monte les escaliers.



En arrivant en haut, elle découvre un vaste espace avec un grand lit et un bureau derrière lequel est assis un bel homme. Elle s'attendait à trouver un vieillard et est agréablement surprise de rencontrer un homme dans la force de l'âge et bien entretenu. D'autant que le sexe qu'il masturbe lentement semble plein de promesse.



La jeune femme s'approche, un peu intimidée :
- Bonjour...
- Approche. Comment tu t'appelles ?
- Oriane.



- Mes hommes ont été respectueux avec toi ?
- Oui...
- Bien. Mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Oriane s'exécute, se positionnant pour être prise en levrette.



L'homme se lève alors et retire ses vêtements, prenant le temps de les plier méticuleusement et de les poser sur le coin de son bureau :
- Sais-tu qui je suis ?
- Non. Mais vous semblez être quelqu'un d'important.
- De très important, oui. Les gens actuellement au pouvoir me mangent dans la main et rien ne s'oppose à mes désirs.
En prononçant ses mots, il fait pénétrer son sexe dans la fente encore humide d'Oriane.



Par défi, Oriane murmure :
- Vous êtes un Dieu...
- Voilà ! Tu te fais baiser par un Dieu !
Et il se met à la besogner, lui arrachant des gémissements de plaisir.



Oriane se laisse aller :
- Ouiiiii ! C'est bon !
- Evidemment ! Tu croyais être déçue ? C'est toi qui devrait payer pour avoir le plaisir d'être prise par un Dieu.
Si Oriane goûte assez peu à cette arrogance démesurée, elle ne peut cependant pas réprimer la montée de son plaisir.



L'orgasme la gagne et elle sent ses bras et ses jambes chanceler sous les assauts du patron. Alors qu'elle gémit de plaisir, le patron crie :
- Voilà ! Dieu t'a terrassée, faible femme !
Alors qu'elle est affalée à plat ventre sur le lit, l'homme continue d'aller et venir en elle.



Enfin, à demi-consciente, elle sent la semence chaude envahir son ventre. Tout en râlant son plaisir, à bout de souffle, l'homme dit :
- Voilà. Tu as obtenu ce que j'ai de plus précieux ! Il te faudra le chérir...
Lentement, l'homme se retire.



Oriane le sent s'effondrer à côté d'elle. Alors qu'elle reprend son souffle, elle n'attend pas vingt secondes avant de l'entendre ronfler comme un bœuf. Se redressant, elle constate qu'il dort à poings fermés, le sexe encore bandé. Lestement, elle se glisse au bas du lit et va jusqu'au bureau du patron.



Les indications données par Minotaure sont bonnes et elle trouve le fichier recherché en moins de trente secondes. Puis, elle le copie sur la clé USB de son pendentif. Sitôt fait, elle remet le pendentif autour de son cou et redescend. Le garde du corps à l'accueil lui sourit :
- Aux cris, j'ai l'impression que ça s'est bien passé.
- Oui... Mais chut. Il dort.
Le garde rend sa robe à Oriane et l'observe tandis qu'elle l'enfile. Puis, avec un grand sourire, la jeune femme prend congé.



En sortant, Oriane se dit qu'elle est tombée sur des fous et qu'elle a bien de la chance d'en avoir réchappé sans blessure. Elle est assez fière d'avoir mené sa mission à bien.

^ ---------oOo---------

Les cambrioleurs 13. Le supplice de Luc


- Où se trouve la boîte ?
Luc reprend ses esprits et ouvre les yeux. Il est dans un hangar. Il se lève péniblement. Viviane, la femme à qui il avait volé la machine de Christofari se tient devant lui et semble s'impatienter. A côté d'elle, se tient Minotaure, le mercenaire. Luc ne comprend rien à la situation dans laquelle il se trouve puisque la dernière chose dont il se souvient c'est d'être en train de faire l'amour à Oriane. Viviane s'agace :
- Parle ! Où est la boîte ?!



- Je... Je ne comprends pas. On ne l'a plus. C'est Minotaure qui l'avait.
Le mercenaire sourit et dit calmement :
- Pffff. Ce n'est pas avec des manœuvres aussi grossières que tu nous feras croire ça. Tu penses que je serais revenu voir ma patronne si j'avais encore la boîte ? Réfléchis...
- Mais je ne sais pas où est cette putain de boîte !
- Ok. Ta femme m'a humiliée devant mes hommes. Alors, en compensation, je vais moi aussi profiter de toi.
Luc la voit commencer à déboutonner son minishort en jeans.



- Heu, vous... Vous me torturez en vous mettant à poil ?
Viviane commence à baisser le short.
- Attends de voir. D'abord, je veux prendre du plaisir. Tu en prendras aussi. Mais tout ne te plaira pas.



Luc se demande ce qu'elle a en tête mais sachant qu'elle est capable de faire appel à des mercenaires, il se doute que ses menaces ne sont pas à prendre à la légère. Luc demande quand même :
- Et si je refuse ?
- Ahah ! Si tu refuses, on va te couper la bite et les couilles. Ce sera ta petite Oriane qui sera déçue. Mais après ce sera son tour d'être torturée jusqu'à ce qu'elle révèle où vous avez planqué ma boîte.



- Vous pouvez nous faire ce que vous voudrez, on ne pourra pas vous dire où elle est puisque c'est Minotaure qui l'a.
Minotaure soupire :
- Ne te fatigue pas. Ma patronne me paie très bien et je n'ai aucun intérêt à la trahir.
- Il ment !
Sans avoir terminé de retirer son short, Viviane commence à relever son top sur ses seins.
- Ah oui ? Et qui dois-je croire : l'homme qui est menacé par une arme ou celui que je paie grassement ?



- Mais c'est lui qui vous l'avait volée dans le hangar !
- Il m'a expliqué. Il a essayé de la mettre en sécurité car ta femme l'avait utilisé pour me nuire. Après votre fuite, il est revenu aussitôt me voir pour raconter comment Oriane l'a assommé pour lui reprendre la boîte.
- Mais c'est faux ! Il a toujours eu la boîte !
- Ne te fatigue pas. Ta version ne tient pas debout.
Viviane termine de retirer son top et son short, apparaissant intégralement nue.



Relevant la tête vers Luc, elle lui demande :
- Je te plais ?
- Pour une frappa-dingue dans votre genre, vous êtes plutôt bien foutue.
- Ne sois pas mal aimable. Mais tant mieux si je t'excite un peu car je vais solliciter ta queue comme elle ne l'aura jamais été.



Viviane s'approche alors de Luc :
- Montre-moi ça.
Elle lui déboutonne son pantalon et l'abaisse pour libérer le sexe déjà bien gonflé de Luc, excité d'être déshabillé par cette femme très sexy. Viviane recule d'un pas pour observer.



- Bien ! Tu bandes déjà un peu.
- Je pense à Oriane.
- Menteur.
- Pas du tout. Votre vue me donne plutôt la nausée.
- Ne joue pas à ce jeu avec moi ou on pourrait passer à l'étape de la castration bien plus rapidement !



Viviane se rapproche :
- Et ce serait dommage de couper un si bel engin, non ?
- Laissez-moi !!!
- Non. Je vais m'occuper de toi. Là tu me repousses. Dans quelques minutes, tu me supplieras de continuer et, plus tard, tu m'imploreras d'arrêter.
La femme saisit le sexe dans sa main pour commencer à le masturber.



Luc se recule. Viviane rigole :
- Tu crois vraiment que tu es crédible ? Tu veux montrer à quel point tu es fidèle à Oriane, c'est ça ? C'est très honorable, mais tu es un homme et ta bite n'a que faire de ta fidélité... Regarde-moi. Ne suis-je pas désirable ?
Luc regarde le corps magnifique de Viviane et ne peut effectivement que reconnaître qu'il a très envie d'elle.



Il se défend malgré tout :
- Je ne suis pas qu'une bite !
- Mais bien sûr. Tu as aussi un cœur...
- Ce qui vous fait défaut.
- Tu crois que tes sarcasmes me touchent ? Voyons voir qui de ta bite ou de ton cœur commande à ce cerveau.
Viviane se tourne et écarte ses fesses pour exposer sa moule au jeune homme.



Cette vision magnifique fait se dresser immédiatement le sexe de Luc pour la plus grande satisfaction de Viviane :
- Tu vois ? Ton cœur ne contrôle rien. Tes yeux sont directement connectés à ta bite et celle-ci a réagi en conséquence.
- Je bande sous la menace d'une arme.
Viviane s'énerve de sa mauvaise foi :
- Alors, je t'ordonne de ne plus bander.
Luc sourit en voyant qu'il est parvenu à l'énerver.



- Arrête de sourire bêtement. Tu sais que j'ai raison. D'ailleurs regarde...
Elle saisit le sexe turgescent et le masturbe jusqu'à ce qu'une petite goutte de liquide pré-séminal en sorte.
- Tu vois ! Regarde ton plaisir qui arrive. Ta stupide fidélité n'y pourra rien.



Luc ne répond pas et lutte pour se montrer aussi désintéressé que possible, mais son combat n'échappe pas à sa tortionnaire qui s'agenouille devant lui :
- C'est difficile de résister, n'est-ce pas. Tu n'es qu'un homme. Quoi que tu penses, c'est ta bite qui décide et là elle veut jouir, comme n'importe quelle bite.
Elle prend alors le sexe de Luc entre ses seins et entreprend de lui faire une cravate de notaire.



Luc commence à gémir. Viviane se tourne alors vers Minotaure :
- Vous êtes si faibles, vous, les hommes. Toi aussi, tu bandes ?
- Carrément oui.
Viviane, tout en regardant le mercenaire, penche la tête et se met à lécher le bout du gland de Luc à chaque fois qu'il est à portée de bouche. Elle se dit que son homme de main prendrait volontiers la place de leur otage.



Luc voit bien qu'il succombe. Son plaisir monte. Viviane redresse la tête et l'encourage :
- Bien, lâche-toi ! Donne-moi ton sperme.
Le jeune homme ne veut plus résister. Il se dit qu'en lui donnant ce qu'elle veut, elle le laissera tranquille. IL s'abandonne donc au plaisir et laisse sa semence monter jusqu'à gicler sur les seins de la femme.



Viviane regarde ses seins, satisfaite :
- Bravo. Tu as bien mérité un peu de repos.
Luc se laisse tomber sur une chaise, épuisé davantage par la résistance qu'il a tenté d'opposer à la femme que par son éjaculation.



A peine a-t-il repris son souffle que Viviane vient le rejoindre et lui place ses seins plein de sperme sous le nez :
- Lèche !
- Mais c'est mon sperme. Essuyez avec une serviette.
- Ah oui ? Alors les femmes doivent avaler votre sperme mais toi ça te répugne ?
Voyant qu'il n'a pas le choix, Luc se met à lécher son propre sperme sur les seins de Viviane.



Une fois la toilette effectuée, Viviane se relève :
- Tu vois, je savais que tout ne te plairait pas. D'ailleurs, tu débandes déjà.
- Vous avez eu ce que vous vouliez, alors laissez-moi maintenant.
- Oh, petit chéri. Il croit que c'est déjà terminé ?



Comme Luc semble ne pas comprendre, elle s'assoit en face de lui et écarte les cuisses :
- Tu vas bander encore. Et éjaculer. Et lécher. Et bander encore. Tu n'arrêteras que quand je l'aurais décidé ou si tu consens à te souvenir de l'endroit où tu as caché ma petite boîte...



Luc ne résiste pas et en voyant la jolie chatte humide de Viviane et son sexe se redresse presque aussitôt pour la plus grande satisfaction de la femme :
- Ah ! Vois comme tu es faible !
- Ce n'est pas une faiblesse, c'est instinctif. Si ma queue avait une volonté propre, elle viendrait certainement plonger entre vos cuisses. Mais, comme vous le constater, même si elle se dresse, je suis toujours assis ici.



- Quel dommage !
Viviane s'étend sur sa chaise et commence à se caresser la fente. La mouille fait luire de plus en plus sa chatte et Luc ne peut s'empêcher de regarder, fasciné. La femme enfonce un puis deux doigts dans sa moule. Elle commence à se masturber, exprimant le plaisir qu'elle se donne par des gémissements de plus en plus puissants.



Luc réfrène son envie de se lever pour la rejoindre, par détermination mais aussi à cause de la menace de l'arme de Minotaure. Un coup d'œil au mercenaire lui fait se rendre compte que celui-ci est aussi fasciné que lui par l'action de sa maîtresse. Quand elle atteint l'orgasme, Luc bande à tout rompre.



Il se dit que c'est peut-être le moment d'essayer de désarmer Minotaure mais, alors qu'il commence à se relever, le mercenaire tourne la tête vers lui, l'arme dirigé vers sa tête. Comme il lui fait signe de se rasseoir, Luc obéit. Encore essoufflée de son orgasme, Viviane vient s'agenouiller entre ses cuisses et entreprend de le masturber :
- Tu vois, elle est à nouveau mûre, prête à donner encore.



Le jeune homme se dit qu'il est inutile de résister. Il se détend et laisse faire Viviane qui se rend compte qu'il ne s'oppose pas à ce qu'elle lui inflige :
- Tu as compris que c'était pour ton bien ?
Luc ne répond pas, se concentrant sur son plaisir. Soudain, le sperme monte et se met à jaillir, inondant la poitrine de la femme, penchée sur lui.



Viviane est ravie :
- Voilà ! Et de deux...
Elle se lève et s'assoit sur les genoux de son otage :
- Maintenant, tu vas lécher à nouveau pour ta punition.
Même si cela le dégoûte au plus haut point, Luc sait qu'il n'a pas vraiment le choix. Il s'applique donc à lécher et avaler le sperme que sa tortionnaire vient de faire gicler sur ses seins.



Une fois la poitrine à nouveau nettoyée, la femme se relève :
- Mets-toi debout. Cette fois-ci pas de repos.
Avant que Luc n'ait le temps de débander, Viviane s'agenouille devant lui et le prend en bouche pour lui faire une fellation.



Au début, Luc se dit qu'elle va avoir du mal à le faire éjaculer à nouveau en si peu de temps :
- Vous n'y arriverez pas...
C'est Minotaure qui lui répond :
- Ahaha ! C'est bien mal la connaître !
Et Luc est bien forcé de constater que sa tortionnaire lui administre une des plus belles pipes de sa vie.



En moins de temps qu'il ne l'aurait cru, il sent ses couilles se contracter et la sève monter dans sa tige. Viviane l'a sentie, elle aussi. Elle arrête de le pomper et, le sexe au fond de sa bouche, posé sur sa langue, elle laisse la chaude semence envahir sa bouche par petits jets saccadés.



Quand l'éjaculation est terminée, la bouche pleine, elle regarde Luc en lui souriant de manière sadique. Elle se penche alors sur son sexe en le masturbant un peu pour en extraire les dernières gouttes. Mais, en entrouvrant la bouche, elle laisse échapper une partie du sperme qu'elle a en bouche, celui s'écoulant sur sa main.



Aussitôt, Viviane abandonne le sexe de Luc et porte la main au-dessus de sa bouche pour lécher sa main et reprendre le sperme perdu. Elle se relève ensuite, la bouche pleine, et tourne la tête vers Luc lui présentant sa bouche. Luc pense qu'elle a avalé tout son sperme et veut l'embrasser mais, dès que ses lèvres s'ouvrent sur les siennes, un flot de sperme chaud vient envahir sa bouche. Luc ne s'y attendait pas et cela le dégoûte un peu mais, n'ayant pas le choix, à nouveau, il avale au fur et à mesure sa propre semence.



Viviane s'écarte et s'essuie la bouche d'un revers de la main :
- Je vois à ta tête que tu n'apprécies pas beaucoup cette partie de mon petit jeu.
- Disons que je ne suis pas habitué...
La femme brune se met alors à quatre pattes par terre, cuisses écartées :
- Il te fait bander, mon cul, hein ?



Luc n'ose pas répondre mais le fait est qu'il ne débande pas malgré son éjaculation toute récente. Viviane rigole :
- Toujours à brandir l'étendard de ta fidélité à la con ? Tant pis pour toi... Minotaure, baise-moi.
Le mercenaire n'hésite pas une seule seconde et se débarrasse de son pantalon. Il en extrait une impressionnante érection qu'il semble soulagé de pouvoir enfin sortir. Tenant toujours l'otage en joue, il vient se positionner derrière Viviane et fait pénétrer son gros dard dans la moule trempée de mouille.



Viviane se met à gémir. Luc se demande si Minotaure est réellement concentré sur lui pour lui tirer dessus en cas de tentative de fuite. Il préfère ne pas essayer de le savoir et reste à observer. Après quelques minutes, Viviane est prise par les convulsions de l'orgasme et elle peine à articuler son ordre à Minotaure :
- Ne... Ne jouis pas... pas en moi !
A peine la phrase est-elle arrivée au cerveau du mercenaire qu'il se retire au dernier moment et laisse son sperme épais gicler contre la moule et les cuisses de sa patronne.



Minotaure se recule vivement en disant :
- Moi, vous ne me ferez pas lécher !
Reprenant son souffle, Viviane, sans changer de position, lui répond :
- Tu n'es pas otage, que je sache...
Puis elle se tourne vers Luc qui, horrifié, vient de comprendre ce qu'elle insinue :
- Luc, tu as le choix : soit tu me dis où se trouve la boite, soit tu viens me nettoyer la moule avec ta langue.
Luc est dégoûter mais, ne sachant pas où se trouve la boîte, il demande pitié :
- S'il vous plaît... Pas ça...
- C'est ça ou on te tranche la bite...
Luc se soumet et vient s'agenouiller derrière sa tortionnaire pour plonger son visage entre ses fesses.



Il tente d'en prendre le moins possible en l'étalant avec sa langue tout autour de la moule de Viviane. Celle-ci se met à gémir :
- Quelle conne de ne pas avoir commencé par là ! Tu suces drôlement bien les moules... Ooooooh.... Peut-être que Minotaure aimerait que tu le suces après ?
Le mercenaire se recule, opposé à cette idée :
- Non, non, c'est bon !
Luc se relève et s'apprête à cracher mais Viviane l'arrête :
- Non ! Si tu craches, je t'oblige à sucer Minotaure jusqu'à ce qu'il éjacule encore. Avale.
A la limite de la nausée, Luc avale la semence du mercenaire. Celui-ci ricane en le voyant faire puis s'adresse à sa patronne :
- Il est têtu ! Vous n'en tirerez rien. Laissez-moi essayer de récupérer la boîte en m'occupant de la fille.
- D'accord... Tu as le champ libre. Fais ce que tu veux de cette salope.
Luc se demande comment ils vont pouvoir se sortir de ce guet-apen.

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Les cambrioleurs 14. Le prix de la libération


La petite musique caractéristique de l'arrivée d'un nouveau message interpelle aussitôt Oriane. Elle vient s'asseoir devant son ordinateur et ouvre la messagerie. Il s'agit d'un message de Minotaure. Celui-ci indique une adresse où elle doit se rendre avec la clé USB contenant le précieux fichier qu'elle a dérobé. Minotaure promet de libérer Luc en échange.
Laura enfile rapidement une robe zippée devant et se rend à l'adresse indiquée. Il s'agit d'un petit immeuble en ville avec un appartement au-dessus d'une boutique de parfum. La porte d'entrée est ouverte. Oriane monte l'escalier et frappe à la porte de l'appartement.
- Entre !
Elle reconnait la voix de Minotaure. Elle pousse la porte et entre.



Elle découvre Luc assis sur une chaise, sous la menace de l'arme du mercenaire.
- Bonjour Oriane. C'est très simple, tu me donnes la clé USB et je relâche ton mec.
Luc est surpris :
- C'est quoi cette histoire de clé USB ?
Minotaure rigole :
- Luc, ce que tu peux être naïf ! J'ai vraiment réussi à te faire croire qu'Oriane avait la boîte ? Toute cette histoire, c'est pour berner ma commanditaire mais dès que j'aurais le fichier que va gentiment me remettre ta petite femme, j'aurais une source de financement qui me permettra de me passer d'elle.
S'appuyant à une commode dont un tiroir semble entrouvert, Oriane demande :
- Quelle garantie j'ai que vous n'allez pas nous tuer ensuite ?



- Ma belle, ta garantie, c'est ton corps. Je compte bien venir profiter de toi à l'occasion.
- Justement. Je ne vous donnerai la clé USB que si vous me promettez que vous nous laisserez tranquille après.
Minotaure semble contrarié :
- Mmmmm, tu n'es pas vraiment en mesure de négocier, tu sais ?
- Je vous laisse vous rincer l'œil une dernière fois et on est quitte.
Oriane commence à abaisser le zip de sa robe mais elle décroche sans le vouloir son petit pendentif cachant la clé USB qui tombe par terre. Elle fait comme si cela n'avait pas d'importance et continue à ouvrir largement le décolleté sur ses seins nus. Constatant le trouble du mercenaire, elle en profite pour entrouvrir discrètement le tiroir de la commode derrière elle, espérant y trouver la boîte de Christofari.



Mais sa manœuvre n'a pas échappé à Minotaure. Celui-ci brandit fièrement la boîte :
- C'est ça que tu cherches ?
Oriane a un frisson en voyant le doigt du mercenaire enclencher la boîte. L'instant d'après, Oriane voit que Minotaure s'est téléporté dans un autre coin de la pièce mais surtout elle sent qu'un liquide chaud et poisseux lui coule sur le visage. Elle comprend immédiatement qu'il s'agit du sperme de Minotaure.



Toujours armé, le mercenaire lui lance un paquet de mouchoirs en papier pour qu'elle s'essuie :
- Ecoute-moi bien. Si tu tentes quoi que ce soit, j'utilise la boîte pour te rappeler à l'ordre, c'est clair ? Et n'oublie jamais que je suis armé et que Luc est une cible potentielle.
Oriane rajuste un peu son décolleté :
- Ok, j'ai compris.



Minotaure continue :
- Mais ton idée de profiter de toi maintenant me plait bien...
- Juste vous rincer l'œil !
Espérant le convaincre de se contenter de cela, Oriane ouvre son zip jusqu'au nombril.



Minotaure sourit :
- Non. Je crois que je vais faire un peu plus. Mais Luc, lui, va se rincer l'œil en nous regardant. Je suis sûr que ça lui plaira autant que quand Viviane s'occupait de lui.
Oriane tente de récupérer sa clé USB avant que Minotaure ne demande à la récupérer. Elle s'accroupit donc mais révèle ainsi au mercenaire son entrejambe nu.



- Voilà, ma belle ! Tu es raisonnable. Tu me montres tout et je ne te ferais peut-être pas de mal quand je te prendrais.
Oriane, comprenant qu'il est quand même subjugué par son corps, écarte les pans de la robe pour dévoiler sa poitrine. Minotaure est si captivé par ses seins qu'elle peut ramasser discrètement le pendentif et le mettre dans la poche de sa robe.



Minotaure semble content qu'elle ne résiste pas :
- Parfait, tu sembles avoir compris que te soumettre est dans ton intérêt. En cas de refus, je peux utiliser la boîte et te violer sans que tu puisses t'y opposer. Mais je t'avoue que je préfère te baiser quand tu es consciente. Retire ta robe.
Oriane termine de dézipper la robe et la laisse tomber au sol. Une fois nue, elle serre les cuisses et se cache la poitrine avec les mains.



- C'est excitant de te voir pudique, que tu ne te livres pas à moi comme une salope. Par contre, j'entends que tu m'obéisses sans résister. Allonge-toi sur le canapé et écarte les cuisses.
Oriane s'exécute et dévoile au regard avide du mercenaire sa moule humide.



- Bien, tu mouilles. C'est déjà ça. Mais je ne suis pas une brute et si tu te montres gentille, tu ne le regretteras pas. Tu vas même avoir le droit à des préliminaires.
Venant s'agenouiller entre les cuisses d'Oriane, l'homme commence à lui caresser la fente. Il lui insère doucement son majeur et se met à la masturber lentement.



Oriane a le souffle court et commence à gémir. Elle regarde Luc et lui dit :
- Je suis désolée, chéri...
Minotaure regarde Luc et dit à Oriane :
- Oh, ne t'inquiète pas pour lui. Je suis certain qu'il bande déjà.
Luc ne dit rien car c'est effectivement le cas. Le mercenaire se penche entre les cuisses de sa femme et entame un cunnilingus.



L'action de la langue du mercenaire sur la moule et le clitoris ne laisse pas Oriane sans réaction. Les gémissements se font vite entendre et elle a honte d'exprimer ainsi son plaisir devant son mari. Minotaure se redresse, souriant, et dit à Luc :
- Sa liqueur coule comme une fontaine. Elle est bien chaude, ta femme !
Se relevant, il guide son sexe entre les cuisses de la jeune femme et l'introduit dans sa fente. Gêné par son arme et la boîte, Minotaure les pose sur le bord du canapé, gardant Luc à l'œil en permanence pendant qu'il baise sa femme. Oriane tente de cacher son plaisir, regardant Luc avec autant de sérieux que si elle regardait les informations à la télévision. Mais Luc sait bien qu'elle fait cela pour l'épargner et il ne lui en veut pas. Il voit bien à ses seins gonflés et à ses mamelons érigés que sa femme prend beaucoup de plaisir à cette pénétration.



Après quelques minutes assez calme, Minotaure ressort. Oriane s'apprête à changer de position, pensant qu'il voudra la prendre en levrette. Mais il la maintient sur le dos en lui tenant les chevilles :
- Bouge pas !
Elle comprend alors ce qu'il veut quand elle sent son gros gland s'appuyer contre son anus. Elle pousse un petit cri de surprise quand, d'un coup de reins sec, il fait entrer son sexe dans l'étroit canal.



- Oh putain ! Elle est étroite ta femme Luc ! Je ne vais pas l'enculer longtemps sinon je vais tout lui balancer dans moins d'une minute.
Oriane aimerait bien que ce soit le cas pour qu'ils en terminent rapidement mais Minotaure se retire après quelques secondes et, se positionnant derrière elle sur le canapé, il plonge à nouveau sa longue tige dans la fente trempée de cyprine.



Tandis qu'il la pénètre, il dit à Oriane :
- Je sens à tout ton corps que tu aimes ça...
Oriane se redresse :
- Oui... Caressez-moi les seins.
Luc hallucine que sa femme propose cela au mercenaire. Celui-ci répond avec plaisir à la demande de la jeune femme et lui pelote les seins.



Oriane profite alors qu'il a les mains bien occupées pour faire discrètement glisser avec son coude l'arme et la boîte dans le creux du canapé, entre l'assise et le dossier. Luc comprend alors la soudaine docilité de sa femme. Quand Minotaure se retire d'elle pour se relever, elle sait que, debout, il va chercher à reprendre la boîte et son arme. Aussitôt, elle se redresse et plonge sur son énorme sexe pour le sucer.



Cela fonctionne ! Minotaure ferme les yeux devant le plaisir que la bouche d'Oriane lui donne :
- Aaaaah ! regarde un peu ta femme. C'est une salope assoiffée de bite. Il faut dire qu'elle doit commencer à prendre goût à profiter d'une grosse queue.
Oriane évite les temps morts pour que le mercenaire ne prenne pas conscience que son arme est hors de portée. Elle le masturbe et le fait s'asseoir sur le canapé, du côté opposé où se trouvent le pistolet et la boîte.



Minotaure profite des heureuses initiatives d'Oriane sans se douter que ce n'est pas réellement désintéressé :
- Ma belle, tu es finalement plus salope que je ne l'aurais cru.
Oriane le fait s'allonger et s'empale sur la queue du mercenaire. Comme Luc a compris la manœuvre de sa femme, il joue le jeu et prend un air dégoûté comme s'il était maladivement jaloux.



Même si elle n'a pas besoin de simuler puisque le plaisir qu'elle prend est réel, Oriane en rajoute un peu pour stimuler Minotaure et endormir sa vigilance :
- Oooooh... Il est si gros en moi !
- Eh oui ! On ne m'appelle pas Minotaure à cause de mes poils...
Le mercenaire empoigne les seins de la jeune femme et les malaxe.



Malgré le peu de délicatesse dont l'homme fait preuve, cela excite Oriane et elle sent que ses mamelons s'érigent significativement. Minotaure la fait se pencher sur lui pour lui sucer les seins. Telle qu'elle est cambrée, Minotaure en profite pour lui caresser les fesses. Oriane frémit quand les doigts de l'homme effleurent son anus. Amusé, le mercenaire insiste et s'amuse à lui mettre un doigt dans le cul.



Il tourne la tête vers Luc :
- Je crois qu'après ça, elle va trouver bien fade vos parties de jambes en l'air.
Comme Oriane se redresse et accélère ses mouvements sur la tige de Minotaure, celui-ci semble être au bord de l'éjaculation. A nouveau, il se tourne vers Luc :
- Merde ! Je crois que j'ai oublié de mettre une capote... Et là, dans quelques secondes, je vais lui balancer toute ma purée ! J'espère pour toi qu'elle prend la pilule...



A peine a-t-il terminé sa phrase qu'il ferme les yeux et se met à râler. Oriane sent alors le sperme chaud envahir son ventre. Alors qu'il n'est plus vraiment conscient, Lisa fait tomber du canapé la petite boîte, profitant que ses râles de mâles couvrent le bruit de la chute de la boîte sur le sol. Dès que Minotaure a terminé de jouir, la jeune femme s'extrait et s'allonge sur le divan tandis qu'il se relève, lui cachant ainsi son arme qu'il semble avoir oublié grâce aux talents d'Oriane.



Fièrement il regarde la jeune femme :
- Tu as pris ton pied, hein ?!
Oriane préfère lui cacher qu'elle n'a pas eu le temps d'avoir un orgasme :
- Oui, vous êtes un sacré étalon...
Cuisses écartée, elle sent la semence de Minotaure qui s'échappe de sa moule encore ouverte.



- Allez. Viens me sucer la bite pour qu'elle soit bien propre !
Oriane se redresse et croise les doigts pour qu'il n'aperçoive pas l'arme derrière elle. Elle plonge sur son sexe et le suce avec autant d'application que possible pour qu'il se concentre à nouveau sur son plaisir.



- Oh, la gourmande !
Minotaure voit bien qu'elle ne se contente pas de lui nettoyer la queue et il pense qu'elle cherche à le faire éjaculer de nouveau. Se tournant vers Luc, il demande :
- Elle aime la bite, ta femme ! Elle met autant de ferveur quand elle te suce, toi ?
Maintenant la tête d'Oriane à deux mains, il laisse son sexe grossir à nouveau dans sa bouche.



Oriane se concentre plus particulièrement sur le gland pour tenter de le faire jouir à nouveau, se disant qu'en l'épuisant ils trouveront peut-être plus facilement le moyen de le mettre hors d'état de nuire. Le mercenaire semble en tout cas ravi de cette attention :
- Quelle salope ! Je crois que c'est la plus belle pipe que je n'ai jamais eue...



Luc regarde sa femme, extrêmement jaloux de la voir faire cela, mais comprenant parfaitement la stratégie employée. Minotaure sort soudain sa queue de la bouche en disant :
- Tiens ! Tu l'as bien mérité, ma belle !
Et il laisse son sperme épais se répandre sur le visage d'Oriane.



Alors que son sperme continue de s'écouler lentement sur la jeune femme, le mercenaire se tourne vers Luc et lui dit :
- Je vois bien que tu bandes ! Tu aimerais lui faire la même chose ?
Luc ne répond pas.



Minotaure regarde le visage d'Oriane où le sperme s'écoule lentement pour venir goutter entre ses seins :
- Tu veux encore du sperme ? Tu veux celui de ton mec ?
Oriane répond :
- Oui, je veux bien...



- Espèce de salope...
Minotaure s'adresse à Luc en lui désignant une boîte de mouchoirs au pied du fauteuil où il se trouve :
- Passe-lui les mouchoirs, qu'elle s'essuie un peu avant. Branle-toi, en attendant.
Luc voit là une occasion inespérée. Il donne un coup de pied dans la boîte pour la faire glisser jusqu'au pied du canapé, juste à côté de la petite boîte. Oriane se penche aussitôt pour prendre des mouchoirs et en profite pour ramener la boîte de Christofari derrière ses fesses. Ceci fait, elle s'essuie le visage et les seins, regardant Minotaure droit dans les yeux pour qu'il ne regarde pas ailleurs.



Le mercenaire ne se rend compte de rien. Tandis que Luc est en train de se masturber, Oriane a réussi enfin à se saisir de la boîte derrière elle et elle enclenche le mécanisme. Le temps s'arrête. Elle va prendre l'arme. Puis elle attrape Minotaure et parvient à l'allonger par terre. Enfin, elle va rejoindre Luc et le masturbe jusqu'à le sentir près à éjaculer. Alors seulement, elle appuie sur le petit bouton pour relancer le temps. Minotaure a quelques secondes de surprise en voyant la jeune femme pointer l'arme sur lui. Luc, quant à lui, pousse un gémissement et se redresse :
- Qu'est-ce que... !?
- Tout va bien mon chéri. Termine de te branler et éjacule sur ce porc.
Luc se lève en s'astiquant et, quelques secondes après, son sperme se met à jaillir au-dessus de Minotaure.



Le mercenaire reçoit alors le sperme en plein visage et sur le torse. Il peste :
- Bande de petits merdeux ! Vous allez me payer ça !
- Vous croyez vraiment être en position de nous menacer ?
- Et vous allez faire quoi, maintenant, me tuer ?



- Effectivement, il n'y a que mort que tu ne représenteras plus une menace pour nous...
Dès que Luc est rhabiller, Oriane lui donne l'arme :
- Tue-le !
- Quoi ? Mais je ne peux pas faire ça...
- Je sais, moi non plus, mais j'ai une autre idée.
Oriane renfile sa robe.



Soulagé qu'ils ne soient pas capables de le mettre à mort, le mercenaire est quand même inquiet de l'idée qu'a pu avoir Oriane. Celle-ci lui dit :
- Déjà, je vais rendre son fichier au milliardaire et lui expliquer que je lui ai dérobé sous la contrainte, en mentionnant bien qui sont les commanditaires : Viviane et Minotaure. Je suis certaine que ça va vous amuser de devenir des cibles et de devoir vous cacher jusqu'à la fin de vos jours. Minotaure crache par terre :
- Vous prenez le risque qu'un snipper vous tue à distance.
- Non, tu ne feras pas ça. Car il m'a semblé voir dans le tiroir quelque chose de très intéressant.
Oriane rouvre alors le tiroir dans lequel elle avait jeté un œil à son arrivée.



Elle en sort une petite clé et la brandit fièrement :
- Cette clé est celle d'un coffre à la banque et je suis certaine que l'enveloppe en-dessous contient le code qu'un esprit aussi pauvre que le vôtre est bien incapable de mémoriser. Et ce coffre contient sûrement de quoi vous envoyer en prison pour longtemps. Nous allons donc prendre ça et faire en sorte que cela arrive aux autorités s'il nous arrivait quoi que ce soit à Luc ou moi.
Minotaure, abattu, sait qu'il a perdu. Il a sous-estimé ses adversaires et il n'envisage pour sa tranquillité que de quitter le pays, laissant le couple de cambrioleurs en paix, pouvant jouir enfin librement de la boîte de Christofari.