Un weekend de folie

Un week-end de folie - 1 (publié par Davidhandballeur le 15-01-2018)
Un week-end de rêve - 2 (publié par Davidhandballeur le 24-01-2018)
Un week-end de rêve - 3 (publié par Davidhandballeur le 06-02-2018)


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Un week-end de folie - 1


D'après une histoire de Sykes - 10 octobre 2016
[http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,baby-sitter-par-des-jumelles,25794.html]


- Et t'en penses quoi d'Arthur ? Il est mignon !
- Ça c'est sûr !
- C'est vrai. Et t'as remarqué, il n'a pas arrêté de nous regarder depuis qu'on est arrivé.
- Oui très bien. On lui fait de l'effet apparemment.
- Et comment. On est parfaite en même temps.


- Haha, t'as bien raison. Eh, tu crois qu'il est encore puceau ?
- Et alors. C'est une expérience comme une autre, et il est plutôt mignon et musclé. Pendant le weekend on peut essayer de lui faire des avances discrètes et on voit s'il est réceptif. Tu me suis sur ce coup ?
- Je sais pas. C'est vrai qu'il est mignon mais... Je sais pas si c'est une bonne idée.


- En quoi ce serait une mauvaise idée. Au pire il accepte pas, et si ça se trouve il ne sera même pas réceptif à nos avances. En plus, ça fait combien de temps que t'as plus de petit copain et que t'as pas fait l'amour ? Je crois bien que ça fait quelques temps et moi aussi. Y'a pas de mal à se faire du bien.



- Bon ok. On peut essayer ce weekend alors.
- Ah, enfin une décision sensée de ma copine ! Viens là que j'te fasse un bisou.



J'entendis le bruit caractéristique du bisou à travers la cloison.



- Ah mais Léa ! Pourquoi tu m'embrasses sur la bouche ?!


- On va peut-être bientôt faire l'amour au même garçon en même temps, j'espère qu'il faudra plus qu'un bisou pour te dégoûter.



- Mouais. Bon, bonne nuit.
- Bonne nuit !

A ce moment, ma meilleure amie m'appela sur mon portable. La sonnerie était au maximum, je fus pris d'un élan de panique et sans réfléchir j'ai décroché et dit : « Euh salut Inès, j'te rappelle plus tard... ». J'ai lancé mon portable, toujours paniqué, et me suis rendu compte que j'avais peut-être parlé un peu fort. De l'autre côté de la cloison j'entendis que Léa et Manon se réveillaient.



- T'as entendu ça ? En fait on entend super bien à travers les murs.
- Ça veut dire que lui aussi nous a entendu à l'instant. Il a sûrement entendu toute notre conversation à son propos.
- Ah oui, mince. Bah on n'a qu'à aller le voir et lui dire franchement.
- Ok, j'te suis.

« Merde », pensais-je. Comment j'allais bien pouvoir me sortir de cette situation. J'entendis les pas devant ma porte de chambre puis la poignée tourna. Je vis la tête de Léa dépasser du battant de la porte. « On peut entrer ? » demanda-t-elle. J'acquiesçai timidement de la tête. Les deux filles entrèrent.



Mon appréhension diminua proportionnellement au volume de mon sexe qui augmentait sous ma couette. Deux des plus belles créatures que je connaisse se trouvaient dans ma chambre, un vendredi soir, en tenue légère.


Perdre ma virginité avec elles n'étaient peut-être pas si mal finalement.



Mais je gardais toujours une certaine réserve. Elles s'avancèrent un peu plus dans ma chambre, chacune d'un côté du lit double, puis s'y assirent.



- Euh, excuse-nous de te déranger mais... on voulait parler de certaines choses avec toi. Voilà, en fait, on te trouve plutôt attirant et on se demandait si, euh, comment dire... si on te plaisait aussi, ou pas ?
- Euh oui, enfin, vous êtes toutes les deux très gentilles et sympathiques... donc oui.
- Merci, c'est gentil, mais on voulait plutôt savoir si... je sais pas comment dire...
- Est-ce que t'es puceau Arthur ? demanda sans détour Manon, au grand étonnement de Léa (et de moi aussi).
- Euh... oui... enfin, quel est le rapport ?
- Est-ce qu'on te plaît assez pour que tu veuilles bien nous faire l'amour à moi et Léa ?
- Euh... je... c'est que...

A ce moment Manon commença à enlever sa nuisette. Elle l'enleva si délicatement, on aurait dit un ralenti. J'admirais ses formes, ses deux magnifiques seins, peut-être du 85C. Ses cheveux retombèrent telles des plumes sur sa peau blanche. Je devinais qu'elle rougissait. Elle me regarda.



Je ne pus contenir mon érection, mon caleçon et ma couette n'y faisaient rien, une bosse s'était formée et les jumelles n'avaient pas manqué de la remarquer.

- Je crois que ton corps parle pour toi Arthur. Je prends ça pour un « oui » alors, dit Manon.
Elle se pencha alors vers moi et déposa un baiser aux coins de mes lèvres. Je ressentis un frisson dans ton mon corps. Jamais je n'avais éprouvé une telle chose.



Quand je rouvris les yeux Léa était en train d'enlever elle aussi son haut. Elle était tout aussi élégante. J'avais deux déesses aux seins nues dans mon lit. Je me pinçais pour me prouver que ce n'était pas un rêve.



Léa posa sa main sur la couette et avança jusqu'au niveau de mon pénis dressé. Elle le toucha quelques secondes puis retira la couette. Le caleçon était la toile du chapiteau et mon sexe en était le mât. Elle décala les morceaux de  tissus pour faire apparaître mon sexe en érection. Les deux filles se jetèrent un regard complice.



Léa pris alors mon membre entre ses doigts délicats. Elle se mordillait la lèvre inférieure, rajoutant un aspect de fragilité à son visage d'ange. Telle Eve, ses cheveux bruns tombaient sur ses seins pâles. A ce moment j'avais perdu toute ma crainte et mon seul souhait fut qu'elle croque ce fruit défendu.



Elle commença à faire de doux mouvements de va-et-vient.



Je pus remarquer qu'une tâche se formait au niveau de l'entrejambe de Léa : apparemment l'excitation et le désir était très forts chez elle vu toute la mouille que sa chatte produisait. Mais ce fut Manon qui s'approcha de ma verge la première.



Elle y déposa délicatement ses lèvres et y déposa un baiser. Elle me regarda dans les yeux, je crus défaillir tellement ses deux émeraudes sur son visage étaient jolies. Elle continua à embrasser ma verge tandis que Léa me branlait.



Puis elle commença à mettre quelques coups de langue et vint finalement englober mon gland avec ses lèvres parfaitement dessinées.



Léa descendit sa main sur mes boules et les malaxa avec beaucoup de doigté, et en même temps me pris la main et la fit monter sur ses seins bien fermes.



Elle descendit ensuite son autre main qu'elle glissa et commença à se masturber.



Elle voulait sûrement que ceci dure plus longtemps mais apparemment pas Manon car elle me suçait de plus en plus le frein du pénis pour que j'éjacule vite.



Je ne tenais plus et en quelques secondes je sentis mon sperme remonter et sortir de mon sexe pour venir s'étaler sur mon bas-ventre et sur les lèvres de Manon.



- Eh Manon, pourquoi tu le fais éjaculer tout de suite ? demanda, agacée, Léa.



- T'inquiète pas, avec nous il va repartir direct.
- Euh, je suis pas sûr de ça, leur dis-je.



Elles comprirent qu'il faudrait sûrement m'exciter un peu avant que mon sexe ne reprenne sa forme dressé. Léa proposa alors à Manon de me faire un petit show lesbien. Manon accepta avec plaisir mais elle revint d'abord vers mon pubis pour y lécher ma semence. Elle l'avala sans frémir et en proposa à Léa. Cette dernière accepta de la tête et Manon vint lui faire un baiser avec mon sperme sur les lèvres et dans la bouche. Leurs langues s'emmêlèrent devant mes yeux.



Manon mis la tête de Léa en arrière et se plaça au-dessus pour y verser le sperme. Un filet de sperme et de bave coula dans la bouche de Léa qui l'engloutit en un instant.



Je sentis alors que mon sexe reprenait des forces mais je ne voulais pas que le spectacle s'arrête. Les copines continuèrent de s'embrasser passionnément. Leurs lèvres se mêlant les unes aux autres, leurs langues dansant dans leurs bouches.



Je trouvais ce spectacle magnifique. Leur souffle court, leurs mouvements et leur beauté d'ange les faisaient paraître si fragiles et désirables à la fois.



Puis Léa entrepris de descendre petit à petit le long du corps de sa
soeur. Elle l'embrassait à chaque endroit, s'arrêta plusieurs secondes sur ses seins, léchant et suçant ses mamelons. Manon avait l'air de particulièrement apprécier, ses légers gémissements la trahissaient et elle s'allongeait de plus en plus sur le lit.



Puis Léa continua sa descente, ses mains glissant sur la peau nacrée de Manon, elle embrassa le ventre et arriva juste au-dessus du pubis.



Les deux filles échangèrent un regard. Manon parut d'abord un peu gênée et voulut un instant cacher son sexe parfaitement rasé mais rapidement un magnifique sourire se dessina sur son visage. Léa lui écarta doucement les cuisses et fis quelques baisers à l'intérieur tout en se rapprochant de sa vulve.



Ses lèvres se posèrent délicatement sur son mont de Vénus.



Puis elle sortit sa langue de sa bouche et lécha le clitoris de Manon.



Cette dernière fut prise d'une espèce de frisson qui lui traversa le corps, elle inspira fortement puis sa respiration s'accéléra.



Léa suçait ce bouton d'amour avec passion, comme si sa copine avait été son plus grand amour.



Elle variait parfois en léchant les lèvres de la vulve ou en insérant sa langue à l'entrée du vagin et revenait ensuite au clitoris. Les gémissements et la respiration de Manon se faisaient de plus en plus bruyants. Son corps était parcouru de légers spasmes de plaisir.



Elle écarta ses bras et sa main vint buter contre mon sexe qui s'était déjà redressé à la vue de ce magnifique spectacle. Manon me regarda en souriant puis pris mon membre dans sa main. Elle le masturba au rythme des coups de langue que sa soeur lui procurait.



Si seulement vous pouviez voir ce que je vois actuellement : deux princesses de conte de fées sur mon lit en train de se donner et de me donner du plaisir. Cette première fois est pour l'instant très réussie. Et je crois que c'était aussi la première expérience lesbienne pour Manon vu le plaisir qu'elle prenait.



Elle dit à sa copine que j'avais repris des forces. Léa leva la tête, vit mon sexe tendu entre les mains de Manon et sourit. Elle me proposa de venir la rejoindre. J'acceptai avec joie. Je me plaçai à côté de Léa entre les jambes de Manon. Elle me montra comment faire puis se fut mon tour. Je suçais doucement son clitoris et ses lèvres puis j'insérai ma langue dans son vagin.



Manon se cambra légèrement et soupira : « Oh oui, j'en veux plus ». J'enfonçai alors doucement mon index et mon majeur dans son vagin.



Elle se cambra encore un peu plus.



Pour lui procurer encore plus de plaisir je léchais en même temps son bouton d'amour.



Je sentais la cyprine qui commençait à couler de sa vulve.



Manon lui prit la tête entre les mains et apporta sa bouche contre la sienne. Elles s'embrassèrent passionnément puis j'entendis Manon murmurer à l'oreille de Léa : « Viens, je veux te donner autant de plaisir que ce que tu m'as donnée ».



Léa vint alors placer sa chatte humide devant le visage de Manon.



Manon s'agrippa à la taille de sa copine et commença à lécher cette vulve toute offerte.



Cela faisait plusieurs minutes que Manon dévorait Léa et je sentais que l'orgasme n'était pas loin, j'augmentai alors la cadence de mes va-et-vient dans son vagin et de mon suçage intensif de son clitoris et quelques secondes plus tard les deux coquines eurent un orgasme simultané. Leurs corps se raidirent et leurs respirations devinrent plus courtes, puis des petits cris de plaisir vinrent accompagner l'orgasme.



Les deux filles et moi nous étendîmes sur le lit et nous nous embrassâmes pendant plusieurs minutes. Je sentais leurs deux corps chauds m'enlacer et j'adorai ça.



Après avoir récupérées un peu de force, Manon commença à me masser les boules et le sexe et dit avec un brin de malice dans le regard :

- Je crois que maintenant c'est à Arthur de se faire bichonner.
- T'as bien raison, à toi l'honneur, dit Léa avec mystère.



Je ne compris pas immédiatement puis Manon redressa son buste puis mon sexe et se plaça au-dessus de moi. Elle humidifia ses doigts avec sa salive et m'en étala sur le gland, mais vu comme elle avait mouillé quand je l'ai doigtée je pense que cela était inutile. Ses yeux verts émeraude se plantèrent dans mes yeux bleus saphir puis elle s'empala doucement sur mon phallus qui me faisait mal tellement je bandais.



Elle descendit doucement en fermant les yeux et en soupirant de bonheur, je sentais son vagin se serrer autour de mon sexe.



Elle débuta alors de lents mouvements de va-et-vient. Je remontais mes mains sur sa taille pour l'aider dans ce mouvement. Son vagin était tellement lubrifié que nous n'avions aucun mal à coulisser l'un dans l'autre. L'expression sur son visage montrait qu'elle s'abandonnait totalement.



Après avoir regardé sa copine se faire empaler, Léa continua à m'embrasser. Elle approcha ses seins de ma bouche et je ne tardais pas à les dévorer tels deux petits bonbons.



Puis elle me glissa discrètement à l'oreille : « Moi aussi j'ai envie que tu me bouffes la chatte ». Elle se positionna alors au-dessus de mon visage et j'ai commencé à la lécher.



J'ai ensuite enfoncé deux doigts dans son vagin. Elle ferma les yeux et un sourire apparut sur son visage. Elle mit ses mains sur ma tête et la poussa doucement vers sa vulve pour qu'elle puisse avoir encore plus de plaisir. On aurait dit qu'elle voulait la faire rentrer. Je sentais qu'elle en voulait encore plus alors je mis trois doigts dans son vagin et avec mon autre main je glissai mon index dans son anus.



Elle poussa un petit cri de surprise mais bien vite ses mouvements de bassin me firent comprendre qu'elle en voulait un peu plus profond, ce que je lui donnai sans hésiter. Son orgasme arriva dans la minute. Je me dis qu'elle n'avait peut-être jamais pratiqué de sodomie et que ce pourrait être une première pour nous deux.



Son orgasme l'avait privé de force et elle s'était affalée autour de ma tête. J'embrassai ses cuisses, ses bras, son ventre, sa bouche ;



Je voulais tout embrasser de ce si magnifique corps.



Après quelques minutes à s'embrasser Léa alla croquer les seins de sa copine. Manon était en plein extase. Puis Léa l'embrassa, elles se dévoraient la bouche, j'avais l'impression qu'elles se mettaient la langue le plus loin possible dans la bouche.



Pendant ce temps je montais mes mains jusqu'aux seins de Manon et les malaxait. Je faisais rouler ses mamelons durs entre mes doigts. Petit à petit les mouvements de Manon sur mon sexe s'amplifièrent.



Sa respiration se faisait plus saccadée. Léa vint alors placer ses doigts au niveau du clitoris de sa copine pour la faire jouir plus vite et lui mit en plus un doigt dans l'anus. Manon eut l'air surprise un instant mais son orgasme arrivait. Elle amplifia elle-même ses allers-retours sur mon sexe, du coup je l'accompagnais encore plus fort pour que mon pénis rentre encore plus loin dans sa chatte et Léa accéléra ses mouvements sur le clitoris.



Quelques secondes plus tard, Manon fut submergée par une vague de plaisir immense et elle s'effondra sur moi, haletante et encore parcouru par les spasmes de son orgasme.



Manon n'avait pas encore récupérée que Léa me dit : « Viens, j'ai envie de me faire prendre en levrette ».



Elle se positionna alors à quatre pattes, son dos cambré et ses magnifiques fesses offertes à mes yeux qui n'en demandaient pas tant. Je vins placer mon sexe à l'entrée de son vagin et le fis se lubrifier avec la cyprine qui coulait sur le sexe de Léa. J'enfonçai lentement mon membre dans sa chatte humide. L'intérieur était chaud comme la braise. Je m'agrippai à ses hanches pour m'aider à aller encore plus loin en elle, puis je débutai mes va-et-vient.



Mes cuisses et mes boules claquaient contre ses cuisses et sa chatte. Parfois je me penchais pour attraper ses seins et les toucher en même temps que je la ramonais. 



Pendant ce temps Manon nous regardait en se masturbant et en se léchant les doigts.



Elle vint ensuite placer son sexe devant Léa qui y fourra la tête immédiatement.



Sa langue entrait dans le vagin au rythme de mes coups de boutoir.



A un moment, Léa me dit : « J'ai adoré quand ton doigt était dans mon cul, ça te dis d'aller un peu plus loin ? ». Elle n'eue pas le temps de finir sa phrase que j'étais déjà à l'entrée de son anus.



Elle tempéra mes ardeurs en disant que si on ne lubrifiait pas cela risquerait de faire mal. Elle mit alors de la bave sur ses doigts et s'en enduisit l'anus. Je fis de même avec sa cyprine, sur son anus et sur mon gland. Je mis ensuite mon gland sur son anus et commençai à rentrer mon sexe à l'intérieur.



Léa serra ma couette du plus fort qu'elle put. Même lubrifié avec de la cyprine c'était plus difficile de rentrer dans ce trou.



Je dis alors à Léa de se détendre si elle voulait que mon sexe rentre sans faire trop mal. Elle détendit alors ses muscles, dont son anus, et je pus lentement y insérer mon phallus.



C‘était beaucoup plus étroit que le vagin et je sentais les muscles se contracter autour de mon sexe. Une fois que j'en eus enfoncé la moitié, je commençai les allers-retours. D'abord tout doucement puis de plus en plus vite et loin.



La respiration de Léa était bruyante, apparemment elle sentait bien que j'étais là. Une légère grimace barrait son visage mais une fois que je fus entré jusqu'à la garde et que mes mouvements étaient plus régulier elle commença à prendre beaucoup de plaisir.



Je titillais en plus son clitoris avec une main.



Les mouvements de son magnifique cul sur mon sexe m'hypnotisaient, et ses muscles à l'intérieur de son anus me faisaient encore plus de sensations, si bien que je sentais que je n'allais pas tarder à éjaculer.



J'augmentai alors la cadence de mes coups de boutoir dans l'anus de Léa : « Oh oui ! Encule-moi plus fort ! Vas-y ! Jouis en moi ! ». Sa tête et son corps entier s'agitaient et aux bouts de quelques secondes elle eut son premier orgasme anal.



Ses yeux furent à la limite de se révulser, son corps fut parcouru de spasmes et ses muscles se contractèrent autour de mon pénis, ce qui me fit jouir encore plus vite. Comme elle me l'avait dit, je jouis en elle tout le sperme que j'avais.



Ma semence chaude remplit son anus entièrement.



Je me retirai et m'allongeai sur mon oreiller, histoire de reprendre des forces. Léa était encore sous le coup de l'orgasme, la tête dans la couette et le cul en l'air.



Manon s'empressa d'aller derrière Léa et elle lécha l'entrée de son anus. Mon sperme en dégoulinait encore.



Elle récupéra tout ce qu'elle put avec ses doigts et sa langue.



Apparemment le goût lui plaisait.



Manon me regarda avec envie :

- Moi aussi j'ai envie de me faire enculer.



- Ok, j'arrive.



Je regardai alors Léa et elle me faisait « oui » de la tête, avec un grand sourire en plus.



La gorge de Léa m'était offerte et je n'allais pas m'en priver. J'approchai mon sexe de la bouche de Léa et elle se mit à le lécher, puis je commençai à m'enfoncer dans sa gorge. Je voyais sa gorge se soulever à l'endroit où passait ma bite.



Je l'enfonçai jusqu'à la garde puis Léa eut un haut-le-cœur. Je retirai alors mon membre pour qu'elle puisse reprendre sa respiration.



Une fois cela fait je me réintroduisis en elle et commençai des va-et-vient. Ses bruits de gorge me faisaient encore plus bander et régulièrement je sortais mon sexe pour qu'elle reprenne sa respiration.



Des filets de bave commençaient à se former et à couler sur son visage et sur ma bite.



Mais Manon se montra impatiente : « Dépêche-toi Arthur, j'en peux plus, je veux te sentir bien profond en moi ».



Je sortis alors de la gorge de Léa et me présenta devant l'anus de Manon.



Je mis ensuite mon gland à l'entrée, puis commençai à pousser. La rentrée se fit plus rapidement qu'avec Léa et je pus presque immédiatement commencer à ramoner le cul de Manon.



Elle se cambra d‘avantage pour que mon sexe racle bien sur les bords et que cela lui procure un maximum de plaisir.



Comme je sentais qu'elle était un peu plus sauvage je pris ses cheveux dans une main pour lui tirer la tête vers l'arrière et pour que ma bite vienne encore plus s'enfoncer dans son cul.



Je mettais toute mon énergie à enculer Manon puis je leur dis que j'allais jouir.



Les filles se placèrent alors à genoux au sol en tendant leurs langues.



Je compris ce qu'elles désiraient et me masturbais du mieux que je pus. La jouissance mettait du temps à arriver alors les filles sucèrent encore mon sexe et mes boules.



La bave sur mon pénis et dans leur bouche faisait faire du bruit à chaque aller-retour autour de mon sexe ce qui m'excita encore un peu plus.



Au bout de quelques instants je sentis que l'orgasme arrivait.



Les filles se remirent dans leur position et ma semence sortit alors de mon sexe et vint s'étaler sur leurs visages, dans leurs bouches et sur leurs seins.



Elles avalèrent tout le sperme, chacune léchant le corps de l'autre, puis s'embrassèrent pendant de longues secondes.



J'avais à mes côtés les deux plus belles femmes que je connaissais, elles étaient dans mon lit et nous venions de faire l'amour. C'était, je pense, une première fois plus que parfaite. Et peut-être pas la dernière du weekend.



L'écran du téléphone se ralluma pour signifier la fin de la communication. L'appel avait duré plus d'une demi-heure...

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Un week-end de rêve - 2

D'après une histoire de Sykes - 10 octobre 2016
[http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,baby-sitter-par-des-jumelles,25794.html]

Cette nuit a sûrement été la meilleure de toute ma vie. J'ai excellemment bien dormis, j'ai fait plein de rêves érotiques, mais je suis tout de même impatient de me réveiller pour pouvoir profiter de mes deux copines préférées durant ce weekend qui s‘annonce être le meilleur depuis bien longtemps. J'ouvre les yeux et ma crainte d'avoir fait un rêve se dissipe : Manon et Léa sont bien là, confortablement blotties contre moi. Leurs deux corps nus de déesses sont collés à moi.



Je regarde leurs seins et leur entrecuisse, une érection me prend déjà.



Moi qui était puceau il y a encore quelques heures voilà qu'un de mes fantasmes est déjà réalisé : me réveiller avec autour de moi deux sublimes femmes avec qui j'aurais fait l'amour la veille.



J'ai très envie de leur faire l'amour immédiatement mais je n'ai pas envie de réveiller ces deux Belles aux Bois dormant.



Finalement, une d'elle se réveille et devant mon air dubitatif, Léa décide de prendre les choses en main : elle se met alors sur moi, sa vulve offerte à moi,. Je ne me fais pas prier et je fourre mon visage dans sa chatte qui a l'air très appétissant de bon matin.



Léa met sa tête en arrière et émet des gémissements de plaisir. Je lèche son bouton d'amour, l'aspire dans ma bouche, le relâche.



Ma langue explore toute sa fente rose. J'excite son clitoris avec mes doigts et lèche son vagin déjà humide.



Son orgasme arrive un peu après.



Elle laisse sa place à Manon, qui se positionne au-dessus de moi et que je commence à lécher.



Elle doit aimer ce que je lui fais car elle effectue des ondulations avec son bassin qui me font plus appuyer sur son clitoris.



Aux bouts de plusieurs minutes nous décidons de sortir de ma chambre pour aller jouer au salon. Bien sûr nous ne nous habillons pas, c'est plus sympa, et puis ça me permet de toujours admirer leur corps de rêve : leurs fesses rebondis, leurs seins biens fermes, leurs cheveux qui tombent sur leur poitrine. Nous passons la matinée à jouer, puis nous déjeunons vers 13h.



Vers 15h, alors que nous regardions la télé, la sonnette de l'entrée retentit. Nous nous regardons, étonnés. Mes parents sont en weekend et nous n'attendons personnes. Il faut vite que nous nous habillions car je vais aller ouvrir. Nous allons dans nos chambres et j'enfile rapidement un short et un t-shirt puis je me dirige vers l'entrée. Quelle surprise quand j'ouvre la porte et que je découvre Inès, ma meilleure amie.



Elle a l'air un peu gênée alors qu'elle est d'habitude plutôt extravertie.



- Salut Inès. Qu'est-ce que tu fais là ? demandé-je, interloqué.
- Euh Salut Arthur. Je crois savoir que tes parents ne sont pas là et ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu alors je passais juste pour voir si t'allais bien.
- Euh oui ça va, merci. Et toi ?
- Bien. T'es tout seul ?
- Oui, réponds-je sans réfléchir, comme si la présence des coquines n'était pas autorisée.
- Très bien... Euh je voulais te parler... Enfin... Hier soir je t'ai appelé et... comment dire ? Oh, et puis merde !



Elle me fixe alors dans les yeux, s'avance rapidement vers moi et m'embrasse à pleine bouche. Le baiser dure plusieurs secondes.



Je suis très surpris et je ne parviens pas à me libérer de son étreinte. Elle stoppe finalement ce baiser et me dit : « Arthur, je t'aime ».



Je la regarde, plus que surpris. C'est une très jolie fille mais c'est aussi ma meilleure amie ; mais en un baiser elle vient de me faire prendre conscience qu'autre chose existe entre nous. Je rapproche alors ma tête de la sienne et nous nous embrassons une nouvelle fois. Ce deuxième baiser est bien plus profond, nous le voulons tous les deux. Il dure presque une minute et pendant ce temps nous nous enlaçons le plus fort possible.



Le baiser s'arrête et elle me demande, toute joyeuse : « On rentre ? ». Je l'embrasse encore et la tire à l'intérieur tout en fermant la porte avec le pied. Je la dirige vers le salon et nous nous jetons sur le canapé.



Je prends alors conscience que deux filles sont dans la chambre voisine et je ne veux pas qu'Inès sache qu'elles sont là et ce que nous avons fait les heures précédentes. Je lui dis donc que nous ne devrions peut-être pas faire ça immédiatement mais Inès me retire déjà mes vêtements et je me laisse emporter par sa fougue. Elle est à califourchon sur moi et elle me dévore la bouche. Nos langues s'emmêlent, nos respirations s'accélèrent, nos esprits chavirent.



Elle se redresse pour enlever son haut et son soutien-gorge. J'ai alors le temps d'admirer son visage, ses yeux bleus, ses longs cheveux blonds attachés en queue de cheval, ses petits seins et ses hanches parfaitement dessinées.



Elle se met debout sur le canapé et entreprend désormais de retirer le bas. Elle se met dos à moi et descend sensuellement sa jupe le long de ses jambes. Je peux voir qu'elle ne porte pas de culotte. Etrange. Mais la vue de son petit abricot me fait vite passer à autre chose. Elle se remet face à moi, m'embrasse puis descend vers  mon sexe. Elle a un sourire quand elle voit la bosse sous mon short et s'empresse de retirer la barrière de tissu.



Ses mains entourent alors mon sexe et elle commence à doucement me branler. Elle n'est pas aussi experte que les deux filles mais elle fait ça avec amour. Elle me regarde dans les yeux et entreprend de sucer mon gland. Ses petites lèvres entourent mon gland et elle agite sa langue dessus. Elle voit que ceci me satisfait pleinement alors elle commence à mettre mon membre de plus en plus profondément dans sa bouche jusqu'à ce qu'il soit entièrement engloutis.



Elle n'arrive pas à le maintenir longtemps entièrement dans sa bouche car elle s'étouffe un peu alors elle le relâche puis réessaie. Elle commence quand même les va-et-vient de sa bouche autour de mon sexe. Elle me regarde dans les yeux et alterne entre branlette et fellation.



Ses mains et sa langue jouent avec mes boules, ce qui me procure encore plus de plaisir.



Alors que je l'embrasse dans le cou, sa bouche est à côté de mon oreille et elle me susurre avec sensualité : « Je veux te sentir en moi, Arthur. J'en ai toujours rêvé. ».



Ceci m'excite encore plus et je la retourne sur le dos. Je suis à genoux devant son intimité et je lubrifie mon sexe avec la cyprine qui a commencé à couler du vagin d'Inès. Elle me regarde alors et me dit : « Vas-y doucement, c'est ma première fois. Je suis restée vierge pour que ce soit toi qui me dépucelle. ». Ces paroles me font très plaisir et j'humidifie encore plus mon sexe pour que tout se passe en douceur. Quand je suis prêt j'avance mon membre vers le vagin d'Inès et elle me guide avec sa main pour que je le pénètre le plus délicatement possible.



Sa respiration se fait plus courte à mesure que je m'enfonce en elle. Je sens les parois de son vagin se contracter autour de mon sexe. Et quand j'entre plus rapidement pour en faire entrer le reste elle pousse un gémissement de plaisir : « Oh ouuiiiii ! C'est tellement bon d'enfin te sentir en moi ».



Je prends ses hanches entre mes mains et commence de doux mouvements de va-et-vient. Ses mouvements de bassins accompagnent les miens et elle pousse de petits soupirs de plaisir chaque fois que mon membre remonte dans sa chatte qui s'humidifie de plus en plus.



Elle me regarde, se mord la lèvre et se touche les seins pour se procurer encore plus de plaisir. Petit à petit une de ses mains descend vers sa vulve et atteint son clitoris qu'elle excite entre ses doigts. Sa chatte est à présent bien humide et mes coups de bassin se font de plus en plus engagés.



Elle ferme les yeux et se cambre en arrière, ses mouvements de bassin se synchronisant avec les miens, afin que mon sexe aille stimuler tous les recoins de son intimité.



Ce traitement doit fonctionner car elle gémit de plaisir. Ceci m'encourage à augmenter la cadence de mes va-et-vient en elle.



Mes mains s'agrippent plus fortement à ses hanches, nos soufflent s'accélèrent. Le visage d'Inès est parcouru par une grimace de plaisir qui s'amplifie lorsqu'elle reprend la stimulation de son clitoris. Je continue quelques minutes à enfoncer ma queue dans cette chatte humide mais le rythme élevé de la pénétration et la vue de ce magnifique corps me font chavirer.



Je sors mon sexe du vagin d'Inès et je me positionne au-dessus de ses seins. Elle prend la relève pour me branler et en quelques secondes ma semence chaude sort à grands jets de mon sexe.



Le liquide blanchâtre vient s'étaler sur sa poitrine et sur son visage.



Inès m'a fait jouir, c'est maintenant à mon tour.



Je place mon visage entre les cuisses de ma nouvelle amante. Je vois qu'elle devient un peu plus nerveuse mais je veux qu'elle profite pleinement de ce moment. J'embrasse alors délicatement l'intérieur de ses cuisses en me rapprochant petit à petit de sa vulve.



J'effleure ses lèvres du bas avec les miennes, en soufflant légèrement dessus. Puis ma langue commence à explorer plus avant cet endroit interdit. Jamais je n'aurais imaginé un jour lécher la chatte de ma meilleure amie.



Je passe ma langue sur ses lèvres, sur son clitoris et je m'aventure parfois à l'entrée de son vagin. Puis mes lèvres se déposent autour de son bouton d'amour que j'aspire très légèrement et que ma langue vient alors exciter encore un peu plus. La réaction est immédiate et Inès se cambre de plaisir.



Je lèche plus rapidement son clitoris et l'entrée de son vagin. Elle presse ma tête contre son sexe pour augmenter son plaisir et fait mine de vouloir l'enlever quand je l'excite trop.



Je passe alors mes mains autour de ses cuisses pour bloquer ses mouvements de bassin et pour garder ma tête tout proche de son sexe : je la ferai jouir, qu'elle le veuille ou non. Je varie le rythme et l'intensité de mes coups de langues et je sens que ceci l'excite grandement.



Son corps se cambre, elle essaie d'éloigner ma tête de son sexe pour reprendre ses esprits mais je ne l'entends pas ainsi et j'intensifie encore mon cunnilingus.



Ses gémissements de plaisir deviennent des cris de plaisir. Quelques secondes suffisent pour que son orgasme se déclenche. Un cri de jouissance extrême accompagne des spasmes de plaisir. Son corps en est parcouru pendant plusieurs secondes. Quand ils s'arrêtent elle s'allonge complètement essoufflée sur le canapé.



Je viens me blottir contre elle et l'embrasse.



Dans un souffle elle me dit : « C'était tellement bon, j'aurais voulu que ça dure toute la vie. Mais maintenant j'ai envie d'être un peu plus ta chienne : baise-moi la bouche et éjacule-moi dedans. ».



Je parais un peu surpris au début mais un baiser accompagné d'un « s'il te plait » très sensuel finirent de me persuader.



Nous nous embrassons encore quelques minutes le temps qu'Inès reprenne des forces puis elle se met à quatre pattes sur le canapé. Je me positionne devant elle et elle entreprend une fellation pour commencer. C'est un peu plus habile que la première fois mais elle manque toujours un peu d'expérience.



Je prends alors sa tête dans mes mains et commence à l'enfoncer sur mon sexe dressé dans sa bouche. Elle a parfois quelques haut-le-cœur quand mon membre touche sa glotte mais elle s'habitue peu à peu.



De la bave commence à apparaître sur mon sexe, et les bruits de gorge profonde sont de plus en plus forts.



Parfois je colle sa tête contre mon ventre pendant quelques secondes puis je la relâche pour qu'elle reprenne sa respiration.



De longs filets de bave joignent alors mon sexe et sa bouche, ce qui m'excite encore plus. Je reprends alors la pénétration de sa bouche avec ma queue.



Je continue les va-et-vient de mon membre dans sa bouche et je vais parfois mettre un ou deux doigts dans sa petite fente, ce qui lui procure encore plus de plaisir. Je remonte ses cheveux en queue de cheval pour lui dégager le visage et pour avoir une meilleure prise sur sa tête.



Je sens la jouissance monter petit à petit en moi. J'accentue ma prise sur la tête d'Inès et j'accélère mes mouvements dans sa bouche et sa gorge.



Les bruits de bave dans sa gorge sont de plus en plus fort et au bout de quelques minutes je décharge mes jets de sperme dans la bouche et la gorge de mon amante.



Elle avale une première partie mais garde un peu du liquide blanchâtre dans sa bouche pour que je puisse le voir.



Elle penche la tête en arrière, me montre sa bouche pleine de ma semence en me regardant dans les yeux puis l'avale en entier.



Après ça elle me dit : « C'est tellement bon d'être ta chienne ».



Je souris puis nous nous embrassons plusieurs minutes sur le canapé.



Nous sommes un peu fatigués après ces ébats et nous décidons d'aller faire une sieste. Je la porte telle une princesse pour l'amener jusqu'à ma chambre. Je la dépose sur mon lit et nous continuons à rire et à nous embrasser.



- Arthur, il faut quand même que je te dise pourquoi je suis venu chez toi aujourd'hui.
- Ah parce qu'au départ tu ne venais pas du tout pour ça ? plaisanté-je.
- Si, enfin je sais pas vraiment, dit-elle en rigolant. En fait hier soir je t'ai appelé et t'avais l'air un peu pressé. Tu m'as dit que tu rappellerais plus tard mais tu as mal raccroché ton téléphone. Du coup j'ai tout entendu : les copines, quand vous avez fait l'amour ensemble, tout. A ce moment j'ai fait comme une crise de jalousie, j'ai failli raccrocher, puis j'ai eu comme un fantasme voyeuriste et j'ai continué à vous écouter faire l'amour.



Ma jalousie et mon fantasme ont fait émerger ce que je ressentais pour toi depuis des années. J'ai alors commencé à me masturber en pensant à toi et en vous écoutant.



J'étais totalement surpris par ce qu'Inès m'apprenait mais cela m'excitait.
- Et comment tu t'es masturbée exactement ? demandé-je d'un ton malicieux.
- Haha comme ça...

Inès se redresse sur le lit et met une main au niveau de sa vulve. Ses doigts passent entre ses lèvres. Ils se posent ensuite sur son clitoris et commencent des petits mouvements circulaires. Elle fait rouler son bouton d'amour entre ses doigts agiles.



Puis elle enfonce son majeur dans son vagin, fait quelques allers-retours et me tend son doigt. Je suce alors le délicieux nectar qui coule déjà de son sexe. Elle a maintenant son majeur et son annulaire dans son vagin et elle intensifie les mouvements.



A la vue de ce magnifique spectacle j'ai moi aussi envie de participer. Inès voit que je trépigne d'impatience.



Elle jouit alors que je viens l'embrasser. Nos langues s'emmêlent, nos esprits chavirent. Nous nous serrons l'un contre l'autre.



- Je t'aime.
- Moi aussi, ma beauté, je t'aime.



- Ça te dirait de sortir avec moi ? dit-elle en plaisantant.
- Oui, avec plaisir. Mais je crois qu'on a grillé quelques étapes là.



- C'est pas grave. J'aime bien cette ordre-là moi.



Sur ces mots et après un dernier baiser nous nous couchons. J'attends qu'elle s'endorme. Elle est si belle que j'ai envie d'en profiter le plus longtemps possible.



Mais la fatigue me gagne et je m'endors à mon tour dans les bras de ma nymphe.



Deux jours, trois amantes : je crois que c'est un weekend de rêve.

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Un week-end de rêve - 3

D'après une histoire de Sykes - 10 octobre 2016
[http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,baby-sitter-par-des-jumelles,25794.html]

J'étais en plein rêve érotique quand j'ai commencé à me réveiller. Je suis un peu déçu que cette branlette onirique se finisse aussi rapidement. Mes yeux s'ouvrent doucement, je reprends mes esprits mais j'ai encore la sensation de me faire masturber. Je baisse les yeux et je vois effectivement  qu'une main m'excite le sexe. Je remonte le bras : c'est Léa, tout sourire :
« Ah bah enfin, espèce de paresseux. J'ai bien cru que mon petit traitement n'allait pas fonctionner. 



Je regarde sur ma droite et je constate qu'Inès est, heureusement, encore endormie.
- T'en fais pas, on vous a réservé des petites surprises pour cette soirée à toi et ta nouvelle petite amie, dis Léa, malicieusement. Et on commence tout de suite avec une petite vidéo.

Manon me mis alors un téléphone devant les yeux et lança la vidéo. On y voyait les coquines, dans la chambre de mes parents, en train de rire le moins fort possible. Manon chuchota à la caméra :
- Salut Arthur. Pendant que tu es en train de découvrir le magnifique corps de ta nouvelle petite amie dans la pièce à côté, nous on te fait une petite vidéo souvenir. 
En arrière-plan on voyait Léa en train de chercher dans les armoires, sous le lit. Au bout d'un moment elle vint poser une boite sur le lit.

- Eh Manon, vient voir ce que j'ai trouvé.
 - Mais qu'est-ce que c'est que tout ça ? dit Manon en pointant la caméra vers une boite remplie de sextoys en tout genre.



Comment de telles choses pouvaient bien se trouver dans la chambre de mes parents ?

- Regarde celui-là, dis Léa en soulevant un double gode rose.


- Oh, il est énorme, dit Manon, toujours en chuchotant.
- Ça te dit de le tester ?
- Carrément ! s'exclama doucement Manon.


- Mets-toi sur le lit alors.

Manon s'exécuta et continua à filmer la scène. On voyait parfois ses beaux seins au premier plan et son pubis derrière. Léa vint se positionner à genoux entre les jambes de sa copine. Elle commença à humidifier une extrémité du gode avec sa salive, tout en mimant une fellation.



On voyait que seulement une petite partie du gode rentrait dans sa bouche tellement il était volumineux.



Elle mima ensuite une branlette espagnole en se passant le gode entre les seins, toujours en l'enduisant de salive.



Pendant ce temps Manon se masturbait le clitoris afin de commencer l'excitation. Puis quand le gode fut assez humide, Léa l'approcha de l'entrée du vagin de Manon qui mouillait déjà.



- Mais il est trop gros. Ça ne va jamais rentrer, dit-elle à Léa, un peu inquiète.



- Ne t'inquiète pas. Tout rentre dans le vagin de ma coquine chérie. Il est capable de prendre plus de chose que tu ne peux l'imaginer, la rassura ironiquement Manon.



Sur ces mots Léa commença à pousser contre l'entrée du vagin. Avec ses doigts elle essayait d'écarter les lèvres et d'augmenter le diamètre de ce puit d'amour. Elle réussit à enfoncer le gland d'un coup ce qui arracha un petit cri à Manon :
- Oooh ooouuiii ! Je sens que ça va être bon. ». Léa lui mit alors une main sur la bouche et lui rappela de faire le moins de bruit possible. Manon acquiesça et Léa repris sa pénétration. Millimètre par millimètre le gode disparaissait dans la chatte de Manon.



On entendait bien dans la caméra que le souffle de Manon s'accélérait. Léa poussa le gode encore une dizaine de centimètre et Manon chuchota :
- Oh oui ! Tu touches le fond ». Léa commença alors à faire des va-et-vient dans la chatte.



On voyait le gode s'enfoncer chaque fois de plus de 10cm dans le vagin de Manon. Elle se masturba le clitoris et Léa vint l'aider en le léchant à grand coup de langue.


- Oooh c'est tellement bon », s'exclama Manon.


- Enfonce-toi aussi ce gode dans la chatte, j'ai envie de te voir prendre ton pied. 

Léa ne se fit pas prier. Elle avait déjà un peu mouillé ce qui permit de le faire rentrer plus rapidement.



Le gode entier dans sa chatte lui arracha un râle de plaisir qu'elle essaya de dissimuler.



Léa vint ensuite se positionner sur Manon, comme en position du missionnaire, mais toujours avec le gode dans leurs chattes. Chacune mimait l'action du coït grâce au pénis factice qui reliait leur deux corps magnifiques. Elles s'agitaient l'une sur l'autre pour se faire jouir plus vite.



- Alors ? Ça t'a plu ? me demanda Manon.



- Je crois que tu peux le voir grâce à sa queue, dit Léa en rigolant.

J'ai effectivement une gaule d'enfer. Léa en profite pour se mettre à genoux sur le lit et me masturber. Il ne faut que quelques secondes pour que mon orgasme vienne.



Elle place alors sa bouche autour de mon sexe et des jets de sperme viennent la remplir.  Elle aspire jusqu'à la dernière goutte.



- Bon, maintenant je crois que c'est à Inès de prendre un peu de plaisir, n'est-ce pas ? dit Léa d'un ton malicieux.
- Tout à fait. Arthur en a eu bien assez, il faut partager lui réplique Manon.
- Eh non ! Qu'est-ce que vous faites ? Elle va vous voir. Sortez de la chambre, dis-je.
- Non, on ne va pas sortir. Quant à nous voir... c'est le but. Inès va très bien nous voir, même. Nous voir, nous écouter, nous sentir, nous toucher... nous goûter, chuchota Léa au creux de mon oreille.



Elle se redresse et pose son doigt sur la cuisse nue d'Inès. Elle remonte doucement à l'intérieur de la cuisse, passe sur le clitoris, va jusqu'aux seins dont elle fait plusieurs fois le tour, titille un mamelon, remonte le cou et arrête son doigt sur la bouche d'Inès. Elle se penche alors sur elle et l'embrasse du bout des lèvres.



Les coquines commencent à caresser ma nouvelle amante. Leurs mains passent sur ses seins et sa vulve.



Au bout d'un moment Inès se réveille. Elle garde les yeux fermés
Je ne savais pas que tu avais les mains si douces Arthur 
Les filles ne peuvent retenir un petit rire, ce qui fait ouvrir ses yeux à Inès.
- Eh mais qu'est-ce qu'il se passe ? Qui êtes-vous ? ».
Elle n'a pas le temps d'en dire plus que Léa lui met déjà une main sur la bouche.
 
- Shhhh, calme-toi. On est là pour te faire du bien.

Léa s'approche alors du visage d'Inès et l'embrasse. Inès est très surprise et essaie de se dégager.

- Eh mais attendez, je ne suis pas lesbienne.
- T'inquiète pas, avec nous tu vas le devenir vite fait bien fait. Peut-être même que tu n'auras plus envie de ton nouveau chéri, après, dit Léa en me regardant avec un sourire.



Puis elle reprend la bouche d'Inès. Elle est de moins en moins réticente. Au bout d'un moment c'est même elle qui prend le dessus pour faire les baisers. Elles s'arrêtent un peu essoufflées. Inès baisse les yeux, comme si elle était un peu honteuse d'avoir pris du plaisir à embrasser une fille.



- Tu vois, tu aimes déjà, lui dit Léa.
- Si elle aime ça je pense qu'elle va adorer ce que je lui prépare, dit Manon.
- Je t'en prie, à ton tour.



Manon va embrasser Inès mais sa main vient aussi se balader entre les cuisses de sa nouvelle amante. Ceci surprend Inès, mais Manon la rassure.



Elle la fait s'allonger et se place entre ses jambes. Manon embrasse l'intérieur des cuisses et vient petit à petit vers la vulve d'Inès. Elle effleure ses lèvres puis passe quelques coups de langue dessus. Inès soupir de plaisir. Manon écarte légèrement les lèvres et lèche le clitoris. Sa langue enduite de salive glisse sur ce bouton d'amour et le titille par quelques mouvements rapides. Elle excite ce clitoris en le faisant rouler entre ses doigts et l'embrasse de quelques baisers.



Puis Manon commence à tapoter le sexe d'Inès, ce qui l'excite très fortement. Manon revient ensuite coller son visage sur la vulve d'Inès.



Elle pénètre le vagin avec sa langue et fait des mouvements de haut en bas sur les lèvres et le clitoris. Inès ne peut plus résister à l'appel du sexe lesbien.



Elle appuie sur la tête de Manon, elle en veut plus.



Manon ne demande que ça et augmente la cadence de sa langue sur la chatte d'Inès. Cette dernière se cambre de plaisir et l'orgasme l'atteint en quelques secondes. Un cri de jouissance accompagne des spasmes de plaisir dans son corps. Elle se couche encore plus sur le lit, haletante. Un sourire se dessine sur son visage.



Maintenant que tu as pris du plaisir tu vas apprendre à en donner, dit Léa.
Elle brandissait un gode qu'elle était allée chercher dans la chambre de mes parents pendant qu'Inès se faisait manger la chatte.



- On va t'apprendre à faire une bonne fellation.
Inès se penche sur le gode, le prend d'une main et commence une fellation.



Au bout d'une minute Léa l'arrête :

- Ok, c'est pas mal pour une fille qui vient juste de perdre sa virginité, mais tu manques encore de technique, c'est normal. Regarde comment on fait. 



Léa commence par passer sa langue de haut en bas sur le gode. Elle entoure parfois le gland du bout de ses lèvres et aspire un petit peu. Puis elle fait quelques baisers sur le sexe factice.



Une fois fait, elle englobe tout le gland dans sa bouche et commence les va-et-vient autour du sexe. Une main vient en plus masturber le gode. La salive coule dessus ce qui permet à Léa de l'enfoncer de plus en plus loin dans sa bouche.



A un moment elle retire ses mains et essaie d'enfoncer le gode le plus loin possible dans sa gorge. Les bruits caractéristiques de gorge profonde se font entendre mais Léa tiens plus longtemps le sexe dans sa gorge qu'Inès. Elle finit par se relever en reprenant sa respiration puis reprend le gode dans sa bouche et recommence à le sucer et à le branler.



Léa continue toujours sa démonstration.



Ses deux mains sont maintenant sur le gode en train de le branler. Elle continue la fellation quelques minutes puis s'arrête et dit à Inès de réessayer.



Inès revient prendre le gode en bouche et applique tous les conseils de Léa.



Au bout de quelques minutes Léa l'arrête :

- C'est bon Inès, je crois que tu es prête maintenant. Et pour le vérifier quoi de mieux qu'un cobaye. Je crois qu'Arthur n'attend que ça.

Effectivement ce spectacle m'avait fait dresser le mât et je ne voulais qu'une chose : qu'Inès me suce.



Elle s'approche de moi à quatre pattes, vient presque jusqu'à mon visage, je m'avance pour l'embrasser mais elle recule et nos lèvres ne font que s'effleurer. Elle me regarde, taquine, elle sait qu'en faisant ça je la désire encore plus. Elle approche sa tête de mon sexe dressé et commence à le branler doucement avec ses deux mains. C'est déjà bon.



Elle me regarde dans les yeux, je la désire. Elle vient déposer un peu de salive sur le haut de mon gland, passe ses lèvres autour, et descend doucement le long de mon sexe. Je sens ses lèvres passer autour de chaque centimètre de mon membre.



Inès accélère petit à petit la vitesse de ses va-et-vient. Une main vient caresser mes boules pendant que l'autre me masturbe toujours. Puis elle vient gober mes boules en entier dans sa bouche. Elle les fait rouler avec sa langue, joue avec. Je ne pensais pas que ça pouvait faire autant de bien. Elle remonte ensuite mon sexe en le léchant de bas en haut et s'arrête au niveau du frein de mon pénis.



Elle le titille avec sa langue et quelques secondes suffisent pour que mon orgasme vienne. Elle place sa bouche autour de mon gland et les jets de sperme chaud viennent s'écraser dans sa gorge.



Elle avale tout et vient à côté de moi m'embrasser.



Je la soulève alors et la place à califourchon sur moi. Elle commence des mouvements de bassin mais seulement en frottant sa vulve sur mon pénis, ce qui a pour effet de rapidement lui faire prendre sa taille maximale. J'en profite pour prendre ses petits seins entre mes mains, sucer et jouer avec ses mamelons. A force de se frotter à mon sexe le sien s'humidifie rapidement et Inès en profite pour les faire se combiner.



Elle continue alors ses mouvements de bassin, telle une cavalière sur un cheval au galop. Ceci permet à mon membre d'aller explorer tous les recoins de son intimité et Inès n'a pas l'air de s'en plaindre vu le sourire sur son visage.



Je l'embrasse puis descends mes mains jusque sur ses fesses que j'attrape fermement. J'augmente alors le rythme et la pénétration des va-et-vient.



Puis j'enlève mes mains de ses fesses et lui demande de garder ce rythme. Elle le garde pendant un petit moment puis je sens que le rythme baisse. Je lui mets alors une petite fessée pour la rappeler à l'ordre, et elle augmente alors le rythme d'elle-même.



Je crois qu'elle aime ces fessés car je sens qu'elle fait exprès de baisser le rythme des va-et-vient sur ma bite juste pour en recevoir.



A chaque fessée elle pousse d'ailleurs un petit cri de contentement.



Inès continue de me chevaucher encore quelques minutes puis elle se retire dans ma bite.



Elle se retourne, se met à quatre pattes, la chatte devant mon visage.



Je passe quelques coups de langue sur sa vulve puis je me positionne derrière elle. J'insère doucement mon sexe en elle, agrippe ses hanches et commence mes va-et-vient.



Pendant ce temps Inès a approché sa tête de celle de Léa qu'elle embrasse. Mais je leur rends la tâche complexe à cause de mes coups de boutoir dans la chatte d'Inès.



Elle va d'ailleurs maintenant lécher celle de Manon qui lui est offerte.



Léa et Manon viennent se placer chacune d'un côté d'Inès que mes mouvements de bassin font toujours tressauter.



Ces deux culs sont toujours aussi magnifiques, bien rond, presque une forme de cœur.



Manon en profite pour aller s'asseoir devant Inès afin de se faire bouffer la chatte. Inès ne se fait pas prier et enfonce sa langue dans le vagin de Manon. Mes coups de boutoir dans le vagin d'Inès sont ainsi transmis vers celui de Manon, auxquelles Inès ajoute des coups de langue.



Pendant ce temps Léa s'est placé au niveau des fesses d'Inès. Elle embrasse ces deux belles formes puis commence à les écarter l'une de l'autre. Sa langue vient alors se poser sur la rosette d'Inès, qui semble un peu surprise au début mais qui s'habitue finalement très vite. Léa titille les bords de l'anus puis écarte le trou afin d'y enfoncer un peu sa langue. Ce sont des sensations nouvelles pour Inès qui en redemande plus.



Léa enfonce alors un doigt dans ce trou interdit, puis deux et fait quelques va-et-vient.



Inès a arrêté de bouger sur ma queue, elle se concentre sur ses sensations anales.



Je sors alors ma bite de son vagin et la place à l'entrée de son cul.



Je pose alors mon gland sur l'anus d'Inès et commence à doucement enfoncer mon membre. Le souffle d'Inès se fait plus court mais elle arrive à se détendre : elle sait que je ne la forcerai pas et que je ne lui ferai pas mal. J'enfonce délicatement mon gland en elle.



Mon sexe dur disparait petit à petit dans ce trou étroit. Une fois que je suis arrivé au bout je commence les va-et-vient. Au début ils sont tous petits, pour ne pas faire mal à Inès, mais ils s'amplifient lorsque je sens qu'elle prend du plaisir.



Au bout de quelques minutes Inès n'a plus du tout mal et je peux presque faire sortir toute ma bite pour ensuite la refaire entrer au plus profond d'elle. Son petit trou serré m'appuie sur la queue et en quelques minutes ma jouissance vient. Inès le sens.



Alors que l'orgasme monte en moi, c'est Inès qui jouit juste avant. La pénétration anale lui a plu on dirait. Ses muscles se contractent, y compris ceux de son cul, ce qui me fait venir encore plus vite. J'exécute les désirs d'Inès et déverse tout mon sperme dans son trou interdit.



J'ai à peine le temps de me retirer d'elle que Manon et Léa se précipitent déjà pour récolter le plus de sperme possible.



Les coquines lèchent goulument l'anus d'Inès.



Du liquide s'échappe encore du petit trou. On dirait presque qu'elles se chamaillent pour en avoir plus que l'autre.



- Ce weekend était vraiment super, me dit-elle.
- Rien ne serait arrivé si vous n'étiez pas venu dans ma chambre.
- C'est vrai. Il faudrait qu'on se refasse des weekends comme ça.



On s'embrasse à nouveau puis Léa s'agenouille avec les deux filles. J'ai à mes pieds les trois plus belles filles sur Terre et en plus elles sont en train de me branler et me sucer.



Leurs langues passent sur ma bite et sur mes boules, je passe mon sexe d'une bouche à l'autre.



Puis quand je sens que la jouissance vient je passe ma bite à ma nouvelle petite amie.



Elle me suce encore mieux que toutes les autres fois. Elle s'agrippe même à moi pour faire une gorge profonde.



Ma semence arrive et Inès me masturbe fortement.



Les trois filles sont à genoux face à moi, leurs bouches grandes ouvertes, tels des oisillons attendant leur mère. Cette fois mon sperme sort et je déverse le liquide sur les visages et dans les bouches des trois filles.



Chacune avale sa part.



Elles s'embrassent et se lèchent encore une fois.



Nous allons ensuite tous les quatre nous allonger sur le lit.

- C'était le weekend des premiers fois on dirait, fait remarquer Léa.
- Première expérience lesbienne pour Manon et moi, et Inès aussi. Première fois tout court pour Arthur et Inès. Première partouze pour tout le monde.



Nous attendons que Manon et Léa sortent de la chambre puis nous nous regardons avec Inès et nous rions ensemble. Nos lèvres se rejoignent. Nous nous embrassons longtemps. Nous nous enlaçons. C'est si bon de partager le même lit que la personne que l'on aime.



- Je t'aime tellement, lui dis-je.
- Moi aussi. J'ai envie que cette journée ne s'arrête jamais.
- T'as raison. Je crois que c'est la meilleure journée de ma vie.
- A moi aus...



- Oooh oui, baise-moi comme une chienne !



- Ah, apparemment Manon et Léa sont déjà reparties pour un tour, dis-je
amusé.



- Ça m'excite de les entendre baiser. On y retourne nous aussi ?



- Si tu es chaude ça me va.
- Je serai toujours chaude pour baiser avec toi.
- Alors c'est parti.



Inès vient alors se mettre sur moi. Je sens une nouvelle fois son vagin se glisser autour de ma bite. Une fois que tout mon membre est pris Inès commence ses va-et-vient.



Je commence aussi à en faire, de plus en plus vite. Ceci fait gémir Inès de plaisir.



Manon et Léa ont entendu dans la pièce à côté et elles commencent aussi à crier de plaisir.



Je redouble la cadence.



Inès crie encore plus fort.



Je crois que la nuit va être longue.



Pour nous.



Et pour les voisins