Plaisirs inoubliables avec des copines coquines - 1 (publié par Davidhandballeur le 23-04-2018)
Plaisirs inoubliables avec des copines coquines - 2 (publié par Davidhandballeur le 04-06-2018)
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Plaisirs inoubliables avec des copines coquines - 1
D'après http://www.xstory-fr.com/lire-histoire,etait-une-simple-soiree,25521.html

Elles étaient là. Toutes les cinq en ce samedi soir de mai dans cette boite de nuit.

Elle était trois magnifiques blondes que je dévorais des yeux.

Je remarquais également les deux brunes installées à leurs côtés.

La première a une courte robe noire qui volète agréablement. Elle s'appelle Jessica et son parfum m'enivre. Je n'ai d'abord d'yeux que pour cette jeune femme qui est en train de me rendre fou.

Je me rapproche d'elle et engage la conversation. Quelques minutes après, elle me présente ses amies que je salue d'un sourire et d'un hochement de tête.

Elles sont également magnifiques.

J'observe les quatre filles. Vanessa est une petite brune à l'épaisse chevelure noire et bouclées. Sa robe rouge foncée moule en cache cœur une époustouflante poitrine. Assise à l'extrême gauche, elle est la seule que je vois en entier et je jette un coup d'œil intéressé à ses jambes gainées de nylon, notamment ses cuisses rondes, en haut desquelles apparaît la dentelle de sa jarretière.

A sa gauche, Caroline, une blonde qu'on croirait créée dans le même moule que Jess. Yeux verts en amande, rouge à lèvres flashy en rupture avec son teint très clair et son haut blanc à col carré.

La troisième fille, dénommée Jennifer, est celle qui me regarde le plus souvent. Un regard noir sous des sourcils épais et bien taillés, une bouche minuscule très rouge elle aussi, des cheveux noirs. Je ne sais pas pourquoi mais je trouve qu'elle dégage un côté mystérieux.

Enfin, Élise que j'aperçois en vitesse car sa silhouette est ensuite masquée par Jessica. Je ne vois en fait que ses pieds et ses talons compensés vertigineux. Jessica tourne vers moi un visage contrarié.

Vanessa est fatiguée. Jessica me demande de la raccompagner. La petite brune se lève et nous sortons après avoir saluée les trois filles. C'est au dehors que je me rend compte de la beauté de Jessica et notamment ses immenses et si fines jambes, mises en valeur par des talons hauts.

Avec Vanessa, le contraste est saisissant entre la grande mince et la petite rondelette, la blonde et la brune, les cheveux lisses et les boucles.

Malheureusement, Jessica doit faire demi-tour. Elle me laisse seul avec Vanessa. Cependant, nous échangeons nos numéros et elle file.

Galant, je raccompagne Vanessa.

Elle sourit et me remercie.

Nous traversons un parc très arboré. Elle s'arrête alors que nous sommes encore dans le parc. Je lui dis que c'est une femme magnifique, tout à fait désirable.

Je dépose un rapide baiser sur ses lèvres. Ses yeux parlent pour elle et je l'embrasse alors délicatement. Sa bouche s'ouvre et nous langues s'emmêlent.

Mes mains glissent sur son corps, ses hanches, ses fesses.

Sous sa robe, je caresse un large cul.

Vanessa tressaille. Sans un mot, elle me prend la main. Nous nous dirigeons vers l'immeuble, mais juste avant de sortir du parc, elle bifurque à droite et m'entraine derrière une serre. Nous descendons trois marches pour en atteindre l'entrée. Coincé entre la serre et une haute haie, chapeauté par une épaisse branche de sapin, l'endroit est on ne peut plus discret. Vanessa se jette à mon cou et m'embrasse à nouveau.

Je reprends vite mon exploration sous sa robe. Je dois remonter tout en haut des fesses pour trouver trace d'un string qui n'est qu'une ficelle.

A bout de souffle, elle cesse de m'embrasser.

J'entreprends de déboutonner lentement son manteau. Appuyée sur le muret, elle ne dit rien, regarde ma main qui ouvre les pans de sa veste et respire plus vite. Je pose les mains sur ses hanches puis remonte jusqu'à ses gigantesques seins. Elle halète toujours autant.

Je constate avec ravissement que sa robe n'est fermée qu'à l'aide d'une boucle en double D. Je peux l'ouvrir en tirant simplement dessus. Je l'embrasse à nouveau, insistant sur ses seins puis ma main gauche glisse entre les pans de sa robe et se pose sur sa cuisse nue juste au dessus de son bas.

J'écarte les deux pans au bas de la robe. Ses jambes son découvertes, tout comme son entrejambe. Je m'y agenouille, embrasse l'intérieur des cuisses de Vanessa et remonte jusqu'à son string noir que j'embrasse et lèche.

Elle ne dit rien, respire fort et vite.

J'écarte le string et me délecte de son abricot odorant, couvert d'une fine couche de poils compacte et bien taillée. Il ne faut que quelques secondes à Vanessa pour jouir.

Puis, inquiète, soudainement, elle me repousse, ferme sa robe.

Cependant, elle vient m'embrasser et après un petit échange amical, elle éclate de rire.

Après un nouveau baiser. Je commence à ouvrir ma ceinture, puis mon jeans. Vanessa recule et observe. Je descends mon boxer et sors ma queue tendue comme un arc.

Je l'invite à revenir m'embrasser. Elle n'ose pas s'appuyer contre moi. Je prends sa main et la pose sur ma hampe.

Vanessa tremble. Je monte et descends sa main le long de mon sexe avant de la lâcher.

Elle poursuit lentement et j'attrape la boucle de sa robe. J'attends. Nos regards se croisent. Je tire sur la boucle. La robe s'ouvre. Je ne vois plus que ses seins. Ou plutôt, on ne voit que ça. Deux énormes mamelles retenues dans un soutien-gorge noir. Je les embrasse l'une après l'autre. Dessus. Vanessa sourit.

Vanessa est vraiment attirante.

Je l'attire contre moi, la forçant à lâcher mon sexe. Je plie les genoux afin d'avoir ma verge contre son string. Nous nous embrassons goulûment. Je passe les mains sous sa robe, sur ses fesses et maintiens ses hanches contre les miennes. Je fais de petits mouvements de haut en bas. Elle me regarde droit dans les yeux.

Ma bite glisse désormais contre sa vulve et entre ses lèvres humides. Je suis surexcité car j'ai terriblement envie de faire l'amour avec elle. J'aimerais que nous passions la nuit ensemble.

Vanessa esquisse un sourire dans son excitation. Elle jouit soudain de cette masturbation improvisée. Elle recule, baisse les yeux sur mon sexe puis se penche dessus.

Elle le prend timidement dans la bouche, peu à peu, les lèvres pincées. Elle se redresse juste après m'avoir mieux pris en bouche.

Elle sourit. Elle arrête soudainement sa fellation. Elle se rhabille, ferme son manteau. Je fais de même. Elle me donne son numéro de téléphone en me disant qu'elle a mémorisé le mien tout à l'heure.

Vanessa me fait un dernier baiser et monte les escaliers.

Elle rit et sa robe se soulève. Son cul me fait fondre. Je lui lance un baiser et elle s'en va.

Je reprends le chemin à l'envers. Mon téléphone sonne. C'est Jessica qui me donne rendez-vous.

Quinze minutes plus tard, j'atteint une zone résidentielle. La maison est la dernière au bout d'une allée.

Il fait nuit mais la distance entre le portail et la maison me laisse pantois. C'est le grand luxe. Des tableaux, des statues, des dorures, c'est clairement "too much", mais ça fait son effet.

Sur un pas, elle retire ses talons puis sa veste tombe par terre. Elle se tourne vers moi et m'embrasse. Je bande illico.

Jessica me prend la main et nous empruntons un escalier pour descendre au sous-sol. Dans la pénombre, nous traversons un vaste pièce puis un couloir et pénétrons dans une chambre. Elle n'allume pas, préférant tamiser une fine lueur. Suffisant pour se voir, suffisant pour découvrir un lit immense face à une baie vitrée qui ne l'est pas moins. Un bureau encombré, une bibliothèque contenant autant de classeurs que de livres, des tas de vêtements éparpillés, la chambre semble être le QG de la jeune fille.

Je n'ai même pas eu le temps de finir mon "tour d'horizon". Déjà, Jessica est agenouillée devant moi et me suce avec un entrain et une fougue remarquable.

Je pose la main sur sa tête, elle me regarde sans ralentir le rythme de sa caresse.

Quand elle la cesse, c'est pour descendre mon jeans jusqu'à mes pieds, me forçant à le retirer. Je n'ai plus que mon boxer. Lentement, je descends mon sous-vêtement. Mon sexe est tendu dans sa direction.

Je la rejoins sur le lit. Elle écarte les jambes. Je l'embrasse. Mes baisers, mes caresses, mon corps sur le sien, tout cela l'excite rapidement.

Elle a véritablement envie que je la pénètre.

Elle a un pubis juvénile et glabre, certainement le plus appétissant qu'il m'ait été donné de voir de toute ma vie.

En glissant mon sexe à l'intérieur, je regrette de ne pas pouvoir y goûter immédiatement. Je pistonne la jeune femme qui gémit bruyamment. Elle jouit et c'est adorable.

Je me retire, Jessica est vraiment mince et très svelte, elle a pour seules formes celles de ses hanches.

Elle sourit, me repousse dans le lit avant de passer une jambe au-dessus de mes hanches afin de s'empaler sur ma verge. Je la laisse faire. Sensuelle et lascive, elle se balance en douceur et mon plaisir est immense. Elle jouit une nouvelle fois et s'allonge sur mon torse.

J'adorerai qu'elle se mette à quatre pattes. Elle doit lire dans mes pensées car elle change de position et exécute mon fantasme.

J'observe Jessica qui se redresse et se met en position. Dos à moi. Pour que j'aie son entrejambe devant les yeux, mais juste trop loin pour que je puisse la toucher. Ses cuisses fines, son tout petit cul, son abricot ouvert, son anus saillant, je n'avais jamais vu une telle beauté pornographique que sur des sites spécialisés aux photos retouchées.

Je dois me pincer. Je m'agenouille derrière elle et sans dire un mot, je la pénètre doucement.

Jessica apprécie manifestement que je sois lent et doux dans les premiers instants. Elle comprend vite que je suis à son écoute et me fait monter à son rythme. J'éjacule en douceur.

Jessica est aux anges.

Après un passage par la salle de bains, je commence à me rhabiller. Jessica fait la moue. Elle a envie que je reste. Mon boxer retourne alors sur la chaise du bureau et nous glissons sous la couette. Jessica se blottit contre moi.

Elle m'avoue, du haut de ses 18 ans avoir vécu sa meilleure expérience. Je n'ai pas fait de longues études et mes neurones ne sont probablement pas tous connectés à cette heure-là., mais nous avons 16 ans d'écart. Et là, il y a un problème. Je la regarde sans rire. Elle comprend son erreur. Je ris un peu jaune.

Je ne regarde même pas ses papiers. Je la regarde elle, nue, sublime et divine.

Elle rit et revient au lit pour m'embrasser. Sa vivacité d'esprit la rend encore plus attirante.

De mon côté, ça cogite un peu, mais elle me parle de ses amies. Je lui avoue qu'il sait passer quelque chose avec Vanessa. Son rire se poursuit quelques instants et s'envole avec lui la boule qui venait de se nouer dans mon estomac. La belle blonde ne semble absolument pas jalouse qu'il se soit passé quelque chose avec sa copine. Elle me demande de lui raconter et à mesure que le récit avance, ma bite durcit. A moins que ça ne soit le fait de la main de Jessica qui me masturbe lentement.

Jessica vient à cheval sur moi et glisse mon sexe dans le sien, en m'annonçant que Vanessa est vierge.

Elle me chevauche en accélérant rapidement le rythme. Pour une femme peu expérimentée, elle semble très bien savoir ce qu'elle fait. Elle m'emmène à un orgasme intense.

Nous repassons par la salle de bains. A notre retour dans le lit, nous nous endormons quasi instantanément. Il est près de 6h du matin. La clarté du jour me réveille à 9h30. Jess dort à côté de moi, à plat ventre. Son petit cul est vraiment à tomber.

Jessica est allongée sur le côté, découverte, une beauté affolante.

Je la rejoins, l'embrasse. Elle a dû se lever juste avant mon réveil car elle sent le dentifrice elle aussi. Ses intentions sont vite claires, surtout quand elle descend sur mon sexe pour le sucer avec douceur.

Je prends conscience du tableau qui se déroule sous mes yeux : j'ai 38 ans, je suis séparé depuis trois mois, j'ai deux enfants et je me fais pomper un dimanche matin ensoleillé, dans l'immense lit d'une petite bombe de 18 ans au corps de mannequin.

Une ambivalence des sentiments. De honte et de plaisir. J'oublie la honte, pour le moment, et attire les jambes de Jess au-dessus de mon visage pour goûter à son bel abricot humide que je lèche avec avidité.

L'excitation de Jessica la fait stopper sa fellation pour jouir. La mienne d'excitation me dicte de passer à son petit trou. J'hésite. La lumière tombe juste sur ce petit orifice noueux. Dois-je ? Puis-je ? Ose-je ? Après tout. Au point où j'en suis. D'abord du bout du doigt. Pas de réaction. Puis ma langue. Après quelques secondes, Jessica arrête de me sucer et pose sa tête sur ma cuisse. Ma langue glisse dans les pourtours de son anus avant de s'immiscer très lentement à l'intérieur. La belle gémit, son plaisir semble réel, nouveau. Je la pénètre de quelques centimètres avant de déposer un baiser.

Jessica se retourne et me roule une pelle divine. Elle me félicite car je luis fais l'amour comme un Dieu. Il faut dire que la jolie étudiante en est à son cinquième orgasme. Yeux dans les yeux, notre ébat est pour le moins intense. Jessica attire mon visage, m'embrasse tendrement et m'annonce qu'elle a envie d'essayer la sodomie.

Je la prépare longuement, tranquillement. Jessica est très réceptive. Elle est surprise que je lui parle autant, que je lui demande sans arrêt si "ça va". Quand elle semble prête, elle se met sur le côté, en cuillère, et je glisse mon gland. Après quelques secondes, je m'allonge derrière elle. Je commence mes va-et-vient. Jessica répète que ça n'a rien à voir et que c'est agréable. Elle me fait stopper au deux tiers de mon sexe et je poursuis mes doux allers-retours jusqu'à cette limite.

Jess veut changer de position. Elle veut se mettre à quatre pattes.

Je me retire lentement et l'attire au bord du lit, sur le dos. Elle lève et plie ses jambes et je me réintroduis petit à petit dans son anus. J'atteins rapidement la limite qu'elle m'avait fixée mais dans cette position, elle m'invite à aller plus loin. Jessica prend un pied incroyable quand mes hanches heurtent ses fesses : je suis entièrement en elle.

Jessica y tient, c'est la seconde fois qu'elle me le dit. Après plusieurs minutes de sodomie sur le dos, elle me dit d'arrêter. Dès ma sortie, elle roule sur le lit et vient se place au milieu de celui-ci, à quatre pattes. Ce petit cul étroit avec cet orifice ouvert et rougi. Un fantasme. Je me place derrière elle et effectue la sodomie la plus excitante de mon existence. Je ne peux me retenir d'exploser, trop vite à mon goût, dans ce sublime popotin. Jessica est aux anges et vient m'embrasser avec passion.

Plus tard, nous passons tour à tour à la douche. Je ne dois pas tarder. Mon portable n'a plus de batteries et ma femme doit appeler pour que je parle aux enfants qui sont en vacances avec elle. Je finis de me rhabiller alors que Jessica est toujours dans la salle de bains. Sur le bureau traine le passeport que Jess n'a pas rangé. Je le prends en main machinalement et l'ouvre. Son nom. Son âge aurait pu me faire pâlir, son nom m'horrifie. J'ai chaud, j'ai froid. Je dois partir d'ici sans plus attendre. Jessica sort de la salle de bains et j'essaye de garder mon calme. Un mensonge, vite.

Je prétexte un rendez-vous avec ma mère.

Elle m'accompagne en peignoir à la porte d'entrée. Un smack scelle mon départ. Je cours dans l'allée, le téléphone éteint collé à l'oreille. Le portail s'ouvre et se referme rapidement. Un coup d'œil sur la boite aux lettres confirme ce que je pensais : je viens de passer la nuit, je viens de baiser et sodomiser la fille du directeur de ma boite !

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Plaisirs inoubliables avec des copines coquines - 2
D'après www.xstory-fr.com/lire-histoire,etait-une-simple-soiree,25700.html
Je m'engouffre dans un tea-room, prends trois cafés de suite avant d'appeler un taxi. Je rentre chez moi, déphasé et hébété. Je branche mon téléphone. J'ai un message de Vanessa qui me dit qu'elle est libre mercredi car elle n'a pas cours.

Et plusieurs de Jessica qui n'a qu'une envie, me revoir.

Je ne réponds ni à l'une ni à l'autre. Je vais prendre une douche presque froide avant de faire le point. La situation reste sous contrôle malgré tout. Je parle avec mes enfants au téléphone puis je m'endors sur le canapé. Le stress a, sur moi, un effet soporifique.

En fin de journée, à tête reposée, je me surprends cependant à penser à revoir les deux jeunes femmes. Fuite en avant ? Goût du risque ? La nuit que je viens de passer comporte bien assez d'ingrédients pour me guérir de toute poursuite de telles aventures. Mais mon nouveau célibat agit désormais sur moi comme un poison dans mes veines.

Aussi, vers 21h, je prends mon téléphone et écris à Vanessa que j'aimerais bien la voir mercredi et que nous pourrions manger ensemble à midi.

Elle accepte.

Pour Jessica, une rencontre est plus compliquée. Parce qu'elle souhaite coucher avec moi. Parce qu'il est hors de question que je retourne chez elle ou qu'elle vienne chez moi. Parce qu'il faut trouver un lieu confortable et du temps. Elle me dit qu'elle va y réfléchir. Et je ne peux m'empêcher de prier pour qu'elle trouve une solution quand elle m'écrit qu'elle a "agréablement mal au cul" et qu'elle veut réessayer.

Aussi égoïste que cela puisse paraître, j'abandonne ensuite toute idée de rédemption. Je ne baisais plus depuis plusieurs mois. Je fonce. Je réfléchirai après.

Lundi matin, j'ai le cœur qui bat la chamade lorsque je vais prendre le café. En regardant le boss, je ne peux m'empêcher de penser à sa fille. Je fais mon possible pour l'éloigner de mon esprit durant quelques minutes, mais les flashes de la nuit reviennent, aussi agréables que déplacés.

Il ne remarque pas mon trouble, heureusement. Je mets tout en œuvre pour m'enfermer dans ma bulle au travail, le lundi comme le mardi. Il m'arrive parfois de me plonger ainsi, presque à corps perdu, dans mes tâches professionnelles. Mes collègues savent alors qu'il ne faut pas m'adresser la parole. Ils posent des feuilles sur mon bureau et je fais le nécessaire. Ils acceptent d'autant plus facilement mon état que j'abats une somme considérable de travail car je ne compte pas mes heures. Le soir, vanné, je me couche tôt. Je me masturbe en pensant aux deux filles.

Mercredi matin, je fais la grasse matinée. Presque 12h de sommeil d'affilée. Je suis réveillé par un message de Vanessa qui me donne rendez-vous chez son amie Jennifer. Je clique sur le prénom de son amie et l'adresse de son domicile apparaît sur l'application de cartes de mon smartphone.

A l'heure dite, je me gare à proximité de la maison des parents de Jennifer. Une maison jumelée au cœur d'un quartier qui semble très calme. J'envoie un message à Vanessa qui apparaît quelques minutes plus tard, accompagnée de Jennifer.

Vanessa est vêtue de la même manière que samedi soir et cela me ravit. J'ai compris qu'il s'agissait là de sa tenue la plus sexy et je suis flattée qu'elle l'ait remise.

Jennifer n'est pas en reste : short court, collants fins et bottines à semelle compensée noirs pour le bas, t-shirt lacé en lin blanc laissant transparaître un soutien-gorge rouge.

Une demi-heure plus tard, Vanessa et moi sommes à la terrasse d'un restaurant dans une ville voisine de la notre. La jeune femme est un peu gênée et mal à l'aise. J'essaye de la faire rire et m'intéresse à sa personne. Ses réponses sont souvent courtes et nous ne nous attardons pas à table. Vanessa semble bien plus décontractée et détendue lorsque nous nous promenons, main dans la main, dans la partie la plus ancienne de la ville. Plusieurs tendres baisers égayent nos pas qui nous mènent lentement jusqu'à l'embarcadère. Nous prenons place à l'arrière du pont inférieur du bateau, dans un petit canapé à tribord. Il y a très peu de monde en ce début d'après-midi. Il faut dire que le beau temps s'est levé d'un coup. Nous faisons un aller-retour avec la ville côtière sur la rive opposée du lac. Une heure et demi de baisers et de caresses. La main dans le décolleté et dans le string de Vanessa, je la ferai jouir à l'aller et au retour.

De retour sur la terre ferme, Vanessa et moi remontons dans la ville ancienne et je l'entraine dans un petit hôtel où j'avais séjourné le temps d'un week-end avec ma femme. Je prends une chambre pour la nuit et la paie directement, Vanessa me regarde, interloquée, mais elle ne dit rien. Dans l'ascenseur, elle proteste. Elle comprend et nous nous embrassons. La chambre est telle que je l'imaginais. Pas très grande, mais lumineuse, avec une vue magnifique sur le lac. Vanessa en fait le tour, pose son sac à main sur un petit bureau et vient admirer la vue. Je viens derrière elle, l'enlace, l'embrasse dans le cou.

Elle se tourne et passe ses bras autour de mon cou avec sensualité. Baiser. Long, tendre, doux. Je défais la boucle en double D et la robe rouge de Vanessa s'ouvre avant de tomber à terre. Je la regarde quelques instants, ronde et sublime en lingerie. Elle sourit, rougit. Revenant contre moi, Vanessa ouvre ma chemise, embrasse mon torse.

Nous nous allongeons sur le lit. Caresses, baisers. Je dégrafe le soutien-gorge de la belle, libérant sa formidable poitrine. Je passe ensuite sur elle, embrasse son visage avant de descendre sur son corps. Vanessa frissonne lorsque mes lèvres glissent sur ses aréoles et ses tétons. Lorsque je franchis son nombril, je sens son corps se raidir. J'embrasse son string. Plusieurs fois. La respiration de la jeune femme se raccourcit et s'accélère à mesure que j'embrasse son entrejambe. Je me décide enfin à retirer la fine étoffe. Vanessa écarte à nouveau les jambes sans hésiter. Je me délecte alors doucement de cette vulve en mode ticket de métro et inexplorée.

Vanessa est très réactive et son corps se raidit soudain, parcouru par l'orgasme.

Elle m'attire à elle, m'embrasse encore et encore. Je prends sa main et la pose sur mon jeans. Vanessa sourit et défait ma ceinture avant de me déboutonner. Je retire mon pantalon puis mon caleçon.

Je suis nu, Vanessa ne porte que ses bas. Elle me masturbe doucement. Le sourire de Vanessa est un peu forcé. Elle vient à califourchon sur moi. Regards complices. Je ne bouge pas. Elle dirige mon sexe dans le sien et glisse lentement dessus. Courts va-et-vients. Vanessa semble aussi stressée qu'heureuse.

Soudain, elle vient plus loin, grimace un peu avant un sourire sublime et furtif. Vanessa monte et descend lentement, changeant l'orientation de son bassin, cherchant la position la moins douloureuse pour elle.

N'y parvenant pas, elle se retire et s'allonge à côté de moi. Je la pénètre lentement en cuillère. Très peu de douleur. Le buste tourné de mon côté, nous nous embrassons tandis que je vais et viens en elle.

Le sourire lumineux est désormais imprimé sur son visage et quelques instants plus tard, je jouis en elle.

Vanessa fond en larmes. De joie.

Remise de ses émotions, Vanessa passe à la salle de bains avant moi. Quand j'en ressors, elle est sur son téléphone portable en train d'écrire à ses copines .

Vanessa vient visiblement d'engager la conversation via un "ÇA Y EST !" suivi de plusieurs smileys souriants au sein d'un groupe de discussion.

La suite est aussi touchante pour Vanessa qu'agréable pour mon égo.

Jessica, Jennifer, Elise et Caroline ne se contentent pas, en effet, de féliciter et d'envier Vanessa pour la perte de sa virginité.

Non. Rapidement, la première vante la taille de mon engin et surtout, mon aptitude à donner du plaisir, précisant que je l'ai faite "monter aux rideaux".

Jennifer fait par de sa curiosité à mon égard et Caroline, de son excitation. Enfin, Elise indique son intérêt pour les gros sexes et sa jalousie amicale envers Jessica et Vanessa d'avoir couché avec moi.

Les échanges des messages durent quatre ou cinq minutes avant que Vanessa ne pose son téléphone. Je la repousse dans le lit. Je viens sur elle, nous roulons, elle se retrouve sur moi. Baisers. Je la caresse, la pelote, la couvre de compliments. Elle m'embrasse puis s'allonge sur mon torse, l'embrasse. Je recommence à bander. Je laisse Vanessa s'occuper de moi, découvrir, prendre ses marques. Curieuse et impatiente, elle descende rapidement à mon sexe. Hésitante, elle le caresse avec douceur, le prend entre ses doigts, le relâche. Elle le serre, le malaxe, le masturbe un peu. Elle me regarde, un peu gênée. Elle l'embrasse enfin. Un baiser suivi d'autres le long de ma verge qu'elle finit par prendre lentement dans sa bouche. Elle lèche mon gland, l'embrasse, j'apprécie ses caresses et la laisse gérer à son rythme. Mon sexe emplit petit à petit sa bouche.

Elle cesse, me masturbe, me regarde.

Vanessa sourit, rougit, et me reprend dans sa bouche et monte et descend, toujours très lentement.

Vanessa me pompe ainsi durant près de dix minutes et j'avoue qu'il n'en aurait pas fallu beaucoup de plus pour que j'explose dans sa bouche. Elle remonte sur moi, m'embrasse, et m'annonce qu'elle a envie de moi.

Tandis que Vanessa s'allonge sur le lit, je m'introduis entre ses jambes ouvertes. Les mains sur mon ventre, Vanessa maitrise la pénétration. Elle n'a pas mal et je commence mes mouvements de hanches. Yeux dans les yeux, nous faisons l'amour avec tendresse.

Aujourd'hui, seul son plaisir compte et j'ai envie qu'elle en prenne un maximum.

Je suis à son écoute, tout en faisant en sorte de l'emmener à la jouissance. Elle l'atteint quelques minutes plus tard, à deux reprises consécutivement.

Après quelques secondes enlacé dans ses bras, je me retire et reviens en elle en cuillères. Caressant son clitoris, je la fais jouir une troisième fois.

Vanessa se couche ensuite sur le ventre et je suis le mouvement en me couchant sur son dos. Derrière elle, je continue d'aller et venir puis, lentement, je me redresse et l'entraine avec moi. Vanessa se retrouve à quatre pattes. Avant que je ne bouge en elle, elle me jette un coup d'œil par dessus son épaule, souriante. Sa première levrette.

Large et rebondi, son cul me rend fou et dans cette position, Vanessa donne vraiment envie de sexe très vigoureux. Je me permets tout de même 2 ou 3 coups de rein plus appuyés qui font gémir la jeune femme. Augmentant progressivement l'intensité, je jouis en elle quelques minutes plus tard.

Affalés sur le lit, nous nous embrassons ensuite durant de longues minutes. Vanessa est aux anges, heureuse et comblée de sa première fois. Après la douche, elle passe une tenue bien plus soft composée d'un jean et d'un tee-shirt. Nous quittons l'hôtel comme si nous sortions manger. Dans la voiture, sur le chemin du retour, un magnifique sourire ne quitte plus le visage de Vanessa.

Elle rit. Un dernier baiser à un feu rouge avant de la laisser à un arrêt de bus à deux cents mètres de chez elle.

Il est 17h30 et je reprends la route, ravi moi aussi de cet agréable journée. A proximité de mon domicile, arrêté à un feu rouge, j'aperçois sur une publicité, un célèbre joueur de tennis. Il me vient une idée parfaitement saugrenue. J'attrape mon téléphone portable, entre l'adresse de Jennifer et cherche alentour...

Le lieu le plus proche pour jouer au tennis est le Centre Sportif de Saint-Angel, un magnifique complexe sportif à la campagne. Demi-tour. Évitant les grands axes un peu chargé en cette fin d'après-midi, il me faut une vingtaine de minutes pour atteindre le centre. En arrivant, je saute de la voiture et me dirige d'un bon pas vers les courts de tennis. Je ne me suis pas trompé : Jennifer s'entraine sur le second court de tennis, seule avec un entraineur. Les premiers coups de raquette que j'aperçois me surprennent : Jennifer semble très douée.

Mais à peine cinq minutes après mon arrivée, le coach met fin à la séance et Jennifer réunit l'ensemble du matériel. Elle salue l'homme et sort du court, remplacée par une autre tenniswoman.

Alors que Jennifer se dirige vers le club house, je me rends alors compte de l'incongruité de ma présence ici. Mais il est trop tard pour me cacher. Je suis la seule personne alentours et Jennifer m'a vite aperçu. Elle s'approche de moi, sourire aux lèvres.

Elle me demande si la journée s'est bien passée avec Vanessa. Jennifer rougit et rit. Je croise les doigts pour que mes flatteries noient sa curiosité et cela semble marcher.

Alors qu'elle me parle, je la dévore sa tenue des yeux. Je pensais qu'il s'agissait d'une robe, mais c'est en fait un débardeur moulant et une jupe plissée, tous deux blancs, comme ses chaussettes et ses chaussures. Sous le débardeur, je devine un brassière de sport.

Je lui demande si elle a le temps de boire un verre . Elle répond qu'elle préfère boire un verre chez elle et je l'a raccompagne.

Nous sommes chez elle en un quart d'heure, malgré la circulation. Elle est ravie d'être rentrée si rapidement pour une fois et nous buvons un soda dans la cuisine, quand elle me dit que Vanessa a beaucoup apprécié cette journée.

Jennifer me regarde. Elle cherche visiblement à savoir si je bluffe ou si je suis sincère. Elle pose alors son verre et fait un pas en ma direction. Elle dépose un baiser sur mes lèvres.

Elle m'annonce que Vanessa a apparemment perdu sa virginité avec un homme adorable qui aurait été particulièrement gâté par la nature.

Nouveau baiser auquel je réponds cette fois-ci.

Jennifer a de la suite dans les idées et préfère donc vérifier.

Baiser profond et long. Je commence à bander. Jennifer caresse mon torse, mes flancs, mes fesses avant de passer à mon entrejambe. Elle me déboutonne, sort ma bite et me masturbe

S'agenouillant devant moi, la jeune femme prend mon sexe dans sa bouche et se lance dans une agréable fellation au milieu de la cuisine. Courte mais vive.

Elle m'entraine ensuite dans le jardin. Nous franchissons une belle terrasse puis contournons une piscine avant de nous engouffrer dans un abri de jardin. Elle s'agenouille à nouveau pour me pomper. Plus tranquillement.

Quand bien même j'ai envie de prendre du bon temps, je n'ai pas la moindre envie de croiser les parents de la jeune femme. Malgré tout, quand Jennifer se relève, je ne peux m'empêcher de m'accroupir à mon tour après l'avoir embrassée.

Je ne réponds pas et descends son shorty. La tête sous sa jupette, je lèche une vulve très odorante, humide et collante, à la pilosité courte qui forme un magnifique triangle inversé. Jennifer gémit, souffle, m'incite à continuer, avant d'atteindre un orgasme sonore.

Elle se tourne ensuite face à la porte de l'abri. J'observe un instant ce petit cul est juste parfait, étroit, haut et très musclé. Je pénètre la jeune femme qui réclame rapidement plus de vigueur. Jennifer halète sans bruit. Intense mais court. Je jouis. Je sais que Jennifer reste sur sa faim.

Elle rit et je lui donne mon numéro de téléphone.

Échanges. Dernier baiser. Départ et retour chez moi. Après une bonne douche, je grignote devant la télévision. Mon téléphone tinte avec un message de Vanessa.

La discussion se termine peu après, car Vanessa doit aller manger. Mais quelques minutes plus tard, Jennifer écrit à son tour.

Je reçois ensuite une photo d'elle en train de frapper un coup droit, la jupette levée au dessus du shorty. Sexy.

Nous nous souhaitons bonne soirée et bonne nuit.

Jennifer est plus réservée que Jessica et Vanessa.

D'ailleurs, je ne tarde pas à recevoir des nouvelles de Jessica qui m'envoie elle aussi un message dans la soirée.

Elle me donne rendez-vous pour vendredi soir et je me masturbe en lisant tout de désir de la jolie blonde d'être sodomisée à nouveau puis, éreinté, je vais me coucher.

Le jeudi débute normalement, y compris avec le café avec le père de Jessica. Mais vers 11h, je reçois des messages de Vanessa qui veut absolument manger avec moi à midi, mais pas dans un restaurant. J'accepte et je passe la chercher devant une épicerie qui fait d'excellents sandwiches, non loin de son école. Nous allons à la campagne et nous installons sur un banc. Vanessa m'explique alors qu'elle est harcelée par Elise pour qu'elle organise un rendez-vous entre Elise et moi. Et Elise veut en savoir plus, pour être certaine de me plaire. Ainsi, pendant que nous mangeons, Vanessa écrit à Elise.

Elle prend rendez-vous avec Elise. Vanessa ne répond pas tout de suite. De mon côté, je suis curieux de savoir jusqu'où est capable d'aller Elise. Si je ne vais pas la faire sortir dans un tenue dépravée, je vais néanmoins être très précis dans les préférences que je vais indiquer à Elise.

Vanessa écrit que j'adore les tailleurs avec jupe courte avec un chemisier moulants et des talons hauts.

Je souris. De son côté, Vanessa s'amuse comme une folle, parce qu'Elise est une habituée du combo jeans-baskets. Elle me confirme qu'Elise n'a pas froid aux yeux.

Vanessa annonce alors que je souhaiterais un porte jaretelle ou guépière.

Vanessa ne croit pas une seconde qu'Elise osera tenir compte de tous les détails que nous lui avons indiqués. Je lui promets de lui envoyer une photo. Nous avons fini de manger, le cas "Elise" est réglé et nous avons encore un peu de temps.

Nous nous embrassons. Je caresse la poitrine de Vanessa.

La jeune femme obéit. Elle se lève, regarde alentours et soulève son débardeur. Elle déboutonne ensuite son jeans et le descend avec son string. Peu gênée en réalité. Je la rejoins, l'embrasse, goûte à ses seins avant de m'agenouiller devant elle pour un court cunnilingus, suffisant pour qu'elle jouisse.

Vanessa sourit et me glisse un mot à l'oreille que je ne comprends pas.

Vanessa rougit et répète.

Je n'en reviens pas. Vanessa me regarde avec une telle envie, un tel désir. Je l'ai déflorée la veille, c'est fou. Je glisse dans le vagin trempé de Vanessa qui s'est tournée. Tandis que je la prends, je provoque.

Elle m'annonce qu'elle s'est masturbée toute la soirée et encore ce matin en pensant à moi.

Cette fois, je défonce l'arrière-train de la jolie brune et jouit très agréablement en se caressant. Elle semble ravie.

Peu après, nous reprenons le chemin de son école. Au moment de me quitter, elle dit qu'elle a envie de me voir ce soir.

Avant le rendez-vous avec Elise

Je réponds par l'affirmative pour une nouvelle belle soirée.