Sex-chat plein de surprises (publié par Evevincent le 11-06-2018)
Sex-chat plein de surprises - 2 (publié par Evevincent le 20-06-2018)
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Sex-chat plein de surprises
histoire publiée par Tortue675 [http://revebebe.free.fr/histoires/rvb184/reve18415.html]

« Écarte les cuisses, j'arrive. »
« Euh... pardon ? »
« Oh...! excuse-moi Lisa, je me suis trompé de destinataire. »
« Bravo, Simon ! je vois que tu t'amuses bien ! »
« Euh, oui. Je dois tout t'avouer ;). Oui je tentais de lancer un sex-chat avec Lara, une fille rencontrée sur le web, avec qui on fait parfois ce genre de chose. »
« Un quoi ? »
« Un sex-chat, tu ne connais pas ? »
« Non. Désolée. »
« Bah, tu parles de sexe, tu te chauffes avec la personne, soit en racontant la vérité, soit des scénarios. Ça peut aller aussi avec des photos et pourquoi pas des appels. Que du virtuel !
« Oh, c'est intéressant ;). »
« Ça t'intéresse ? »
« C'est ce que je viens de dire, non ? Gros bêta ! »
« Euh... maintenant c'est moi qui suis perturbé. On se connaît depuis longtemps quand même. »
« Ah, et ce n'est donc pas possible ? »
« Si si, c'est possible, il n'y a pas de règle en fait :). »
« Bah écoute, tu as titillé ma curiosité, je suis intéressée de voir si ça peut me plaire. »
« C'est top ! »
« Je suis sûr que tu sauras garder ça entre nous. »
« Ah oui, tu me connais quand même. »
« Oui. Faire n'importe quoi virtuellement ça peut me plaire. Mais attention, tu sais que dans la réalité je suis avec Jean et je compte le rester. Ça n'a pas été facile, maintenant je fais attention. »
« Bien entendu. Ce sera notre petit jardin secret. »
« Oui et on n'en parle à personne ! D'ailleurs on se voit toujours dans 3 jours pour le week-end ? »
« Oui je descends chez vous. Mais tu as un peu de temps, là, devant toi ? »
« Oui, Jean regarde une connerie à la télé, je suis sur le fauteuil à jouer sur mon téléphone. »

« Cool alors. Tu es joueuse ou tu veux rester tranquille ? »
« Assez joueuse, tu m'as mis l'eau à la bouche. »
« Coquine ! »
« Pourquoi ? »
« J'aime te mettre l'eau à la bouche ;). Et ça me donne d'autres idées aussi :). »
« Hmm, c'est rigolo ton petit jeu, ça me plaît. »
« Je suis un peu intimidé de le faire avec toi, mais c'est comme un doux rêve quand même. »
« C'est toi le grand coquin. Attends deux minutes... »
« Pourquoi ? »
Dix minutes plus tard :
« C'est bon, j'ai dit à Jean que j'étais fatiguée et que je voulais me reposer et il m'a demandé s'il pouvait aller boire un coup avec un pote, donc je vais pouvoir aller dans ma chambre. »
« Ah, top, je t'ai pour moi tout seul alors. »
« Virtuellement, je suis à toi, initie-moi à ton jeu. »
« Tu es habillée comment, là ? »
« Oh à toi d'imaginer, mon p'tit chat ;). Et toi ? »

« Boxer et t-shirt, je suis sur mon canapé-lit avec la télé en fond, inutile. »
« Hmmm... »
« Comment ça ? »
« Bah, j'essaie d'imaginer, et ça doit être pas mal. »
« Tu veux une photo ? »
« Ah oui, pourquoi pas. »

« Merci. »
« Oh de rien ce n'est que le début. »
« Oh cool. »
« Tu es dans ta chambre ? »
« Je suis sur mon lit. Il fait assez chaud dans la chambre. »
« Parfait alors. Ouvre tes vêtements. »
« C'est fait, ça va un peu mieux, ouf. Un peu d'air sur mes seins ça fait du bien. »
« Tu n'as pas de soutien-gorge ? »
« Je n'en avais pas, non :). »
« Rhhaaaaa... »
« Je peux te faire une photo aussi si tu veux. »
« Je n'osais demander. »

« Très joli, tu veux me faire deviner le reste, hein ? »
« Oui, bien sûr. »
« Si j'étais à côté de toi, je ne pourrais pas te laisser comme ça. »
« Tu ferais quoi ? »
« Veux-tu vraiment savoir ? »
« Oui, énormément. »
« Je m'occuperais de tes seins avec mes doigts et ma bouche, ma langue, faisant subir à tes tétons toutes sortes de traitements. »

« Oh ça m'excite de lire ça. Je lis ça en boucle ;). »
« Y penser m'excite aussi Lisa, il faut que j'arrête. »
« Non surtout pas ! »
« Ah, je vois que tu te prends au jeu. »
« Oui, j'avoue que mon bas-ventre chauffe un peu. Je te laisse donc t'occuper de moi. »
« J'attrape tes seins à pleines mains et je lèche tes tétons l'un après l'autre. »
« Hmmm... tu ne sais pas mais c'est une partie très sensible et érogène chez moi :). »
« Je m'en doutais, Lisa, tu m'avais déjà laissé croire ça lors d'une discussion. »
« Oups. Mes tétons pointent maintenant, je te lis et les caresse. »

« Parfait. Ma main va vers ton cou, je tiens ta tête et t'embrasse goulûment. »
« Ma langue aime suivre ton mouvement, hmmm. »
« Le démon dans mon slip commence à se réveiller. »
« C'est bon ça ; -). »
« Je passe une main sur ta culotte et je la sens mouillée. »
« Tu n'y vas pas par quatre chemins ! »
« Non. »
« Et tu as raison :) Je viens de vérifier, et c'est bien le cas... »

« Hmmm j'aimerais passer mes doigts sur ta culotte, puis les sentir pour me rendre fou. »
« Tu m'autorises à le faire ? »
« Je t'oblige, même ! »
« J'aime assez bien mon odeur, je dois avouer que ça m'excite encore plus. »
« Ah, ça me fait bander de t'imaginer. »
« Tu me montres ? »
« Avec plaisir ! »

« Ah oui, c'est assez impressionnant, je dois avouer. Et très excitant. »
« Merci. »
« Tiens, un cadeau. »

« Oh les belles fesses, hmmm. »
« J'ai des grosses fesses :( »
« Non, ton cul est parfait Lisa, je l'ai toujours apprécié, et là sur cette photo, il me donne de belles envies. »

« Je m'approche de toi et passe ma main sous ton t-shirt. »
« Je l'enlève de suite alors. »
« J'embrasse ton torse et tes pectoraux. Ta peau est magnifique, je la caresse partout. »
« Tu as carte blanche :) »
« Je pose des bisous autour de ton boxer, je sens cette barre toute dure toute proche de mon visage, ça me rend folle. »
« Et je bande comme un taureau, ne me fais pas attendre. »
« Je soulève ce boxer, et le gland apparaît. Je l'embrasse et retire complètement ce dernier tissu de ton corps. »
« Mon sexe est tout dur face à toi. »

« Et énorme si j'en crois la photo que tu m'as envoyée. »
« J'enlève mon slip, là, tu veux vraiment une dick-pic ? »
« Je n'ai pas envie de m'arrêter maintenant ! »

« Oh, c'est vraiment impressionnant. J'ai envie de m'en occuper maintenant. »
« Elle est à toi !!! »
« Mes lèvres entourent ce gland et je descends au plus profond que ma gorge accepte. »
« Ohhh. »
« Je goûte ta bite, je la dévore. »
« Ah j'aime entendre ça, j'ai envie de me branler maintenant. »
« Laisse-moi le faire pour toi. »
« Coquine. »
« Ma main est autour de ta bite et je la suce goulûment. Je te regarde et tu me dévores des yeux. »

« Je ne peux pas bander plus là, hmmm te lire me fait du bien. »
« Occupe-toi de moi. »
« Quand tu veux. »
« Tout de suite. »
« Je suis debout derrière toi et je te colle à moi. Tu tournes la tête et je t'embrasse, je dévore ta bouche. Mes mains parcourent ton corps, excitent tes seins avec ces tétons comme des pointes. »

« Oh oui, j'adore continue. »
« Ton ventre est doux, ta peau glisse sous mes doigts, ta chair est parfaite. J'arrive à ta culotte et mes doigts passent dessous. Je sens cette chaleur et cette humidité. »

« Ahhh j'adoooore. Allez, j'enlève ma culotte. »
« Tu es rasée ? »
« Oui, mais pas intégralement. »
« Parfait. Mes doigts caressent ces poils et je pars vers cette vulve chaude et trempée. Ton clito passe entre mes doigts, ta grotte est pleine de mouille que je récupère sur mes doigts.

« Bon Simon, tu as gagné, il faut que je me caresse maintenant, je n'en peux plus. »

« Moi pareil. »
« Et je ne vais pas pouvoir écrire longtemps d'une seule main... déjà que là, ce n'est pas facile. »

« Je peux t'appeler ? »
« Tu veux continuer à l'oral ? »
« Si ça te dit. Je voudrais t'entendre jouir. »
« Et moi voir ta bite et toi qui te branles ! »
« Un facetime alors ? Encore mieux ! »
- Coucou Simon !
- Coucou Lisa, ah oui tu es bien nue. Magnifique !

- Oh je peux voir ta main sur ta bite, c'est bon, hmmmm...
- Je n'ai pas envie de te faire attendre, je vais te baiser.
- Si tu continues comme ça, je vais vite venir.
- Ça me plaît comme idée, tu sais.
- Je suis trempée là, allez, fais-moi plaisir, montre-moi tes talents de conteur pour déclencher mon plaisir.
- Je commence tout de suite, et je vais me caresser en même temps, tu pourras voir ça.
- J'y compte bien, beau mec !
- Je me penche vers toi et tu écartes les jambes pour m'accueillir. J'attrape ta bouche et t'embrasse. Ma main saisit mon sexe, et avec mon gland je le frotte contre ton entrejambe.
- Ohhh, c'est bon, je me caresse le clito là, doucement.
- Je fais entrer quelques centimètres du gland entre tes petites lèvres gonflées, ta mouille est sur ma bite.

- Hmmm...
- Puis de haut en bas je t'excite et ensuite j'entre en toi, sans résistance aucune. Mon coup de bassin te pénètre, ta chatte chaude et gluante m'accueille.
- Oh, que c'est bon de t'entendre comme ça. Merde... si j'avais su. Je sens que je ne vais pas durer longtemps, et te voir te branler me donne de ces envies...

- Je suis au fond de toi, mes mouvements de va-et-vient commencent. Tu sens ma bite frotter en toi de toute sa longueur à chaque instant.
- Ah j'adore, encore...
- Tu gémis et je t'attrape les tétons avec chacune de mes mains. Mes doigts glissent sur tes tétons, tes gémissements se font intenses, ma bite creuse ta grotte humide.
- Hmmmm... je dois accélérer mon mouvement, je ne peux plus tenir.
- Je me retire de cette chaleur, ma bite luit de ta mouille. Je me mets à genoux à côté de ta tête et la présente à ta bouche. Tu l'attrapes goulûment et je pousse au fond de ta gorge.
- Ah... oui... je vais venir... hmmmm... cette chaleur au bas-ventre... vite...
- Je baise ta bouche, je sens ta langue, mais je te baise comme je viens de baiser ta chatte...

- Ahhh... ça vient, je ne contrôle plus !
- Je défonce ta petite bouche avec ma bite, ma grosse bite, au fond et je jouis, j'éjacule sur tes lèvres, au fond de ta gorge, je suis en toi et tu m'avales, tu ne peux plus respirer, tu me bois.

- Ouiiiiiii... ahhhhh... ouiiiiiii...
- Ah, j'adore t'entendre jouir.
- Oui Simon, j'aime ta bite, ouiiiiiiii ahhhhh je tremble, c'est fort... ahhhh j'adore hmmm.

- Oh, je sens que je viens aussi, continue.
- Ohhh... oui je veux tellement ta bite là, en moi.
- Hmmmm ahhhhhhh...
- Oh quelle belle éjaculation sur ton ventre ! Quelle quantité... je peux goûter ?

- Quand tu veux, ma belle.
- Allez, je raccroche maintenant.
- OK, quand tu veux par texto alors.
...nous raccrochons...
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« Hmmmm c'est encore en moi, fort... c'est trop bon de jouir comme ça... et j'ai honte. »
« Il ne faut pas avoir honte de ce qui donne du plaisir. »
« Hmmmm... je sens que dès que Jean va rentrer, je vais lui sauter dessus. »
« Cool pour lui ça. »
« Oui, enfin c'est toujours compliqué, il n'est pas très porté sur le sexe... c'est toujours la même chose avec lui, missionnaire, quatre pattes et zou c'est fini, rien d'autre. »
« Pas de préliminaires ? »
« Non rien, je n'arrive même pas à le sucer... pas son truc. »
« Oh... le pauvre. »
« Oh la pauvre tu veux dire. »
« Aussi ! »
« Enfin bon, il me faut ma dose de concret ce soir, alors je vais le violer s'il ne veut pas, lol. »
« Hé, tu pourrais m'appeler pendant que vous baisez, que j'entende ça ? Ça m'exciterait beaucoup. »
« T'en as pas eu assez déjà ? »
« Non. »
« OK. Bah écoute, quand il est dans la chambre, je t'appelle et je mets le téléphone proche sans qu'il le voie. Je vais lui donner du spectacle et, à toi, ce que tu veux. »
« Oh un grand merci alors. »
« Tu vas te branler en nous écoutant ? »
« Oui, très probablement. »
« Alors oui, ça va me plaire d'imaginer ça en même temps. »
« Deux mecs pour toi en même temps ;) »
« Oh, je n'avais pas pensé à ça, intéressant :) »
« À toute ! »
« Bisou ! »
Plus d'une heure plus tard, Jean rentre, avec une bonne odeur de bière sur lui. Bourré mais pas trop. Lisa l'accueille en nuisette.

- Oh mon p'tit Jean, enfin de retour, je t'ai longtemps attendu.
- Je suis là, que veux-tu ?
- Ta bite. Et vite.
- Oh comme ça maintenant ? C'est direct.
- Oui et tu n'as pas le choix, viens dans la chambre.
- Bon OK.
Lisa appelle Simon et pose le téléphone à l'envers sur la table de chevet.
Quand Jean entre, il se déshabille rapidement et rejoint Lisa dans le lit. Il s'aperçoit qu'elle est chaude bouillante, prête pour le sexe, alors de suite son érection est là, malgré l'alcool. Il n'attend pas grimpe sur elle et la pénètre sans sommation.

- Oh oui, Jean, mets-la-moi au fond.
- La voilà, j'espère que ça te va.
- Oui, mais active-toi maintenant, j'ai la chatte brûlante.
- Tiens prends ça, chienne. Hmmm.
- Ahhh oui, j'aime comme ta bite me défonce.
- Ahhh, tu parles enfin quand on baise, ça me plaît.
- J'ai envie de te faire plaisir.
- Et moi de t'arracher la chatte.
- Mais n'hésite pas, j'aime ça... ouiiiii... continue.
- Oh mais t'as envie de donner de la voix ce soir, attends un peu.
- Ouiiii continue, hmmm hmmmm hmmmm ohhhhh c'est bon, ta grosse queue en moi.

- Tiens prends ça, petite chienne.
- Hmmmm ouiiii, j'adore ça.
- Oh ta chatte coule, tiens, je te lime un bon coup, hm hm hm.
- Ouiiiii continue. Oui oui ohhhhh je sens que ça vient.
- Tu m'étonnes avec ce que je te donne, oh oui ahhhhh.
- Ahhh oui oui ouiiiiiiiiiii.
- Hmmmmmmmm, prends ce jus ahhhhh.
- Hmmmm oui, j'aime te sentir couler en moi, mon beau.

- Hmmmm... allez, bonne nuit.
Jean s'écroule sur le côté en laissant Lisa à genoux. Qui pleure seule, en silence. Et raccroche l'appel avec Simon. De chaudes larmes lui coulent sur les joues, alors que le sperme de Jean commence à s'échapper d'elle pour finir sur les draps.
« Il dort ? »
« Oui. »
« C'est rapide. »
« Toujours. »
« J'ai bien aimé ta simulation en tous cas ;) »
« Toi, tu entends que je simule. »
« Lol. »
« Ce n'est plus drôle, j'ai envie de belles aventures. »
« J'aurais bien des conseils là-dessus, on peut en discuter plus tard. »
« Oui, j'ai besoin de dormir ou réfléchir. »
« Dors, pas besoin de se torturer. »
« Merci encore pour ce soir. »
« Merci à toi, j'ai adoré ! Même là, je suis le seul de nous deux à avoir vraiment aimé ;) »
« Oui, je l'ai fait pour toi. »
« Merci, ça me touche beaucoup. »
« J'espère que t'en as bien profité en tout cas. »
« Oui, comme ce soir ensemble, c'était bon et intense pour moi. Merci. »
« Parfait, ça me plaît alors. »
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Le vendredi soir, Simon arrive en fin d'après-midi. Le soleil est encore bien présent. Jean et Lisa viennent le chercher à la gare pour l'emmener chez eux à une vingtaine de kilomètres dans une petite ville tranquille.
Ils ont une petite maison, charmante, qui vient de l'héritage de Jean.
Lisa est très élégante. Dire qu'elle est jolie est un euphémisme. Cette tenue lui va à ravir et ses cheveux bruns mi-longs complètent la vision de fort belle manière.

Après l'apéro assez classique, agrémenté de discussions sans réel intérêt sur les derniers évènements concernant le couple et Simon, Jean annonce qu'il doit aller à son sport du vendredi soir. Un match de foot amical qui risque d'être assez long avec certainement une troisième mi-temps amicale aussi.
Simon et Lisa se retrouvent ainsi à deux sans l'avoir prévu ni prémédité.
- Il a toujours plein de choses à faire, j'existe à peine dans sa vie.
- Pourtant il semble assez heureux.
- Oui mais seul il se sentirait mieux je pense.
- Il ne faut pas dire ça, vous êtes ensemble depuis quand ?
- Deux ans et demi.
- Oui, c'est court et long en même-temps, lol.
- Je n'ai pas encore envie de le quitter ni de le tromper d'ailleurs.
- Oui, prends ton temps, ne fais pas les choses trop vite.

- Mais j'ai envie de jouer quand même.
- J'ai vu ça cette semaine, oui.
- On recommence ?
- Maintenant ?
- Oui.
- OK. Toujours partant. On fait quoi ?
- Viens dans la chambre.
- Ça devient intéressant.
Lisa emmène Simon dans la chambre, change les draps du lit pour en mettre des propres.
- Maintenant on adoucit la lumière au max et on se déshabille, ça te va ?
- OK, comme tu veux.

Lisa est rapidement toute nue, ce qui plaît beaucoup à Simon. Il aime son corps, ses fesses charnues, ses seins assez lourds avec de belles courbes. Cela ne le laisse pas insensible de la voir ainsi malgré la faible luminosité. Il a déjà une demi-érection lorsqu'il se met tout nu, le boxer sur les pieds.
- Hmmm c'est mignon ça, allez viens à côté de moi.
- C'est toi qui diriges aujourd'hui je vois.
- Oui, pour le moment.
- J'aime aussi.
- Maintenant je te propose qu'on se raconte une petite aventure qu'on a vécue, et si tu veux te masturber, fais-toi plaisir bien sûr.
- Ça me plaît comme idée. Tu commences ?
- Oui OK.
Alors c'était avec un mec que j'avais rencontré juste avant d'être avec Jean.
Une rencontre internet.
Le gars avait 22 ans et, au bout de deux rencontres, il m'invite chez lui.
On s'entendait bien et on parlait beaucoup de sexe finalement.
On est donc rapidement passés à l'acte, dans sa chambre.
À un moment donné il me met à genoux et me prend en levrette.

J'aime cette position, je l'ai exprimée comme il faut, si tu vois ce que je veux dire.
Mais j'ai remarqué la porte de la chambre entrouverte et quand j'ai réussi à voir ce qui se passait, c'était le frangin qui nous regardait discrètement, certainement en train de se branler.

J'ai donc accentué la voix, simulé comme il fallait.

Ensuite, au moment où j'entendais mon mec qui était à bout, je me suis fait le trip comme dans un porno, je me suis retournée et je l'ai pris en bouche, le faisant jouir sur ma langue et sur mon visage.

Le p'tit frère voyait parfaitement la scène et n'en pouvait plus.
Je l'ai vu partir en trombe et entendu la porte de sa chambre.
J'imagine qu'il s'est bien branlé après ça...
Quelques minutes plus tard, mon mec est parti prendre sa douche.
Je suis alors allée dans la chambre du frangin qui m'a laissé entrer.
Il n'en revenait pas.
Je lui ai souri, j'ai dit que j'aurais aimé qu'il puisse en profiter plus, puis j'ai enlevé ma culotte et la lui ai donnée.

Et je suis partie comme ça.
Je ne les ai plus revus après cette soirée-là, mais j'imagine que le p'tit jeune rêve encore de la scène qu'il a pu voir...

- Ah oui quand même, c'est top ça. Hmmmm ça m'a bien excité d'imaginer ça. J'en peux déjà plus, je ne peux pas m'empêcher de me caresser là.
- Je vois, ça fait déjà quelques minutes.
- Et je sens que je peux venir rapidement.
- Alors continue !

Simon se penche vers Lisa et l'embrasse sur la bouche.
Il lui met la langue et l'embrassade devient fougueuse.
Il se masturbe frénétiquement et au bout de deux minutes, au moment d'éjaculer, ses petits bruits ne laissent aucun doute à Lisa qui admire ces beaux jets puissants.

- C'était magnifique !
- Oui merci de m'avoir laissé t'embrasser, cela m'a bien aidé.
- Oh je peux faire mieux tu sais. Mais d'abord raconte-moi ton histoire que je sois encore plus excitée, si c'est possible.
- Allez, celle-là devrait te plaire alors :
Un printemps, je suis invité lors d'un long week-end dans une résidence secondaire de ma copine d'alors.
Je rencontre sa famille et, par la même occasion, sa grande sœur, ultra-jolie, et sa maman qui est une bombe.
Elle avait dû avoir ses deux filles très jeune.

Piscine, jacuzzi, tout était à dispo dans la maison et dans le jardin.
Juste top de tomber sur une famille qui n'a pas de problèmes d'argent.
Un après-midi, on va se baigner dans la piscine, la sœur se prélasse.
Un corps parfait, bikini triangle, très petit, et un décolleté...!

Je ne peux pas m'attarder à la regarder.
La maman est déjà en train de nager, maillot de bain bleu turquoise, très provocante.

À tomber par terre !
Je vais directement dans l'eau pour me calmer.
Ma copine est super-jolie aussi...

Alors, au bout d'une demi-heure d'embrassades et de jeux dans l'eau, on a des envies qui montent et on prétexte une petite sieste pour aller se retirer dans la chambre, avec le regard appuyé de la maman...
Elle me retient par le bras, discrètement, en disant que si je veux un café et du gâteau après, il y aura ce qu'il faut dans la cuisine...
On monte alors et on fait l'amour comme il faut.

Et elle s'écroule ensuite dans une sieste profonde.
La connaissant, c'est parti pour deux heures, nue comme un ver sur les draps de ce lit king-size, fenêtres ouvertes avec une brise chaude qui vient agréablement caresser son corps.

Je repense alors à la mère, et descends en short de bain à la cuisine.
Je la vois là, toujours, attendant avec un café.
Elle engage la conversation et me chauffe assez directement.

Puis elle me prend le bras et me dit yeux dans les yeux : « C'est maintenant ou jamais ! »
Je la suis alors dans sa chambre, lui enlève ses vêtements et profite de son corps, de son expérience.

Lui faire l'amour, la baiser, a été une des plus belles expériences de ma vie.

Elle m'a appris des choses, surtout le fait qu'une femme, qui savait ce qu'elle voulait, était une des plus belles choses qui pouvait arriver dans la vie.

Elle m'a fait jouir deux fois, elle s'est donnée entièrement et ne m'a rien refusé.

Le reste du week-end a été ensuite très agréable, regarder ces corps se prélasser et réussir à profiter de l'une ou de l'autre selon les situations...
Je pourrais en écrire un petit livre érotique...

- Hmmm, quelle belle histoire, j'adorerais lire ça le soir sous ma couette.
- Moi-même, je rebande et toutes les images sont encore là.
- Je suis trempée, mon clito brûle de mes caresses... Je pourrais me faire venir rapidement mais...

- Mais ?
- Bon... je n'ai pas envie de tromper Jean, mais ce qu'il ne veut pas me faire, si tu le fais, ce n'est pas le tromper n'est-ce pas ?
- Ahaha, bien sûr que non, s'il ne te donne pas ce que tu veux, tu as le droit de le chercher ailleurs.
- Alors si préliminaires, fellation, cunnilingus, sodomie sont des pratiques qu'il n'aime pas, tu en penses quoi ?
En lieu et place de mots, Simon grimpe sur Lisa et va l'embrasser.
Son corps frôle celui de Lisa.
Ses mains viennent sur ses seins pour les caresser et ses tétons sont honorés comme il le faut.

Simon descend le long de son corps en l'embrassant et le léchant.

Puis il descend entre ses cuisses, les mordillant, faisant patienter Lisa au maximum.
Enfin, il plonge sa bouche dans cette grotte humide, trempée par cette mouille depuis si longtemps.
Il lèche les grosses lèvres, puis les petites et passe ensuite un gros coup de langue sur la fente du clitoris vers l'entrée de cette vulve à laquelle il n'aura pas accès ce soir.

Mais il la lèche, la pénètre avec le bout de sa langue, et descend ensuite vers le périnée et lèche la petite rondelle de Lisa, qui n'attendait que ça en secret.

Elle gémit, elle frotte son clitoris avec ses doigts experts, mais son cerveau est obnubilé par la vision de ce sexe tendu à l'extrême avec une taille impressionnante et qu'elle voit pour la première fois en vrai.
Elle veut le voir de plus près.
Elle demande donc à Simon de s'allonger à nouveau à côté d'elle.
Dès que c'est fait, elle n'attend pas pour partir à la rencontre de cette bite d'ébène.
Elle l'attrape à pleine main et la porte à sa bouche comme une goulue, sentant ses effluves, léchant les veines de cette majestueuse bite dressée pour elle.
Elle la gobe, la dévore.
Elle est très grosse, elle la lèche sur toute la longueur, la masturbe.

Puis elle décide de passer ses jambes autour du corps de cet amant, qui vient immédiatement se perdre dans son intimité avec sa bouche et ses doigts.
Un 69 dans cette pénombre, cette chaleur, cette odeur de sexe et des deux corps qui se mélangent...
Ces fluides qui sont appréciés de part et d'autre, cette tension sexuelle qui fait faire n'importe quoi sans regret immédiat.

Lisa gémit au fur et à mesure des actions de Simon, son corps est de plus en plus pris de spasmes, elle se fait de plus en plus bruyante pour en arriver à un orgasme au moment où Simon mordille longuement son clitoris. Plusieurs longues secondes, des cris brefs, soudains et forts qui ne sont pas pour déplaire à Simon qui sent à nouveau sa sève monter.

Mais il doit se calmer vite pour continuer encore leurs jeux. Il retourne donc Lisa sur le dos, en sueur, les yeux dans le vague, encore ailleurs.
La tête pleine de sa mouille, il vient sur elle pour l'embrasser, jouer avec ses seins ultra-sensibles.
Elle ne proteste pas et gémit à chaque action comme si elle pouvait re-jouir dans la minute.

Mais Simon n'oublie pas la demande de Lisa, qui voulait se faire enculer.
Lui, aurait voulu pouvoir profiter de sa belle chatte, mais il ne peut faire qu'avec ce dont il a droit.
Ne pas abuser tout de suite...
Il écarte alors bien les jambes de sa maîtresse d'un soir, et place son gland sur le petit anneau qui se dilate facilement.
Toute cette mouille qui a coulé, toute cette salive sur cette bite font que le gland glisse tout seul dans cette entrée qui n'attendait que ça aussi.

Au moment où la couronne passe l'entrée, Lisa pousse un soupir de plaisir puis c'est une bonne partie de cette verge qui pénètre la belle dans son intimité rarement explorée.
Elle l'accueille avec plaisir, elle se sent bien remplie, elle est totalement relâchée et cela la met en transe, dans un état de bonheur rarement atteint qu'elle exprime en saccades suivant les va-et-vient de cette bite dans son anus.
Elle se caresse le clitoris et très rapidement un nouvel orgasme encore plus intense la parcourt, elle ne peut le taire.

Simon non plus ne peut contenir son plaisir et se met à pousser des râles de jouissance et explose dans les fesses de la belle, sa semence allant se répandre dans ses intestins.

Une explosion de bonheur simultanée après laquelle les deux s'écroulent pendant quelques minutes dans un silence et une plénitude absolue.
- Je suis désolée mais... je crois que j'aime ça.
- La sodomie ?
- Non. Enfin oui dans ce contexte c'était parfait. Mais me faire plaisir.
- Ah bah bienvenue alors.
- Ouais... désolée mais je ne peux pas être avec toi...
- Non mais ça va hein, je ne demande pas ça, t'avoir en amie me suffit, surtout si on peut s'amuser comme ça.
- Oui voilà, mais je vais quitter Jean, ma petite vie tranquille ne me va plus.
- Ah bah voilà une belle idée ! Tu attends la fin du week-end pour lui annoncer ? Je ne veux pas vivre ça ou être responsable.
- Tu ne l'es pas. Je te remercie même.
- Si tu veux venir vivre sur Paris...
- Oui ?
- Eh bien je pourrais peut-être t'héberger un peu.
- Intéressant...
- Ou bien, si tu as envie de jouer, de découvrir un certain monde du sexe, je peux te présenter quelques personnes et te faire découvrir d'autres plaisirs...

- Je ne veux pas être pute ou travailler dans le sexe.
- Non ce n'est pas ce que je veux dire. Disons qu'on essaie de mettre en place un jeu et on chercherait quelques filles pour animer des soirées privées et, pourquoi pas, en faire des lots de récompense.
- Oh, mais c'est terrible ça !
- Je sais oui...
- Non mais ça m'intéresse !

- Ah, c'est top. Donc en fait tu n'auras pas non plus de problème de logement sur Paris alors, si tu es dans notre petite communauté, ça va être simple.
- Bon, je viens quand ?
- Dès que t'as viré ton con de mec.
- Ça va être rapide.
- Et ensuite je n'ai pas terminé avec toi, j'aimerais pouvoir t'offrir une vraie nuit comme il faut.
- Tu l'auras, dès mon arrivée à Paris.
- Bon, on n'en parle plus sinon ça va m'exciter encore et faudra me calmer.
- Tentant petit coquin.

Le week-end se passe ensuite très joyeusement.
Jean ne se doute de rien, et la complicité entre les deux amants est au top.
Comme avant, mais elle est passée à une étape supérieure avec cette belle soirée de sexe et celles qui sont promises à un futur proche.
Bien sûr, après le week-end, c'est toute une histoire entre Lisa et Jean...
Lisa profite de la situation et converse beaucoup avec Simon, les sextos sont nombreux avant son arrivée sur la capitale une semaine plus tard.
Vient ensuite une explication sur les règles de ce nouveau jeu...^ ---------oOo---------
Encore du virtuel mais pas que...
Lisa s'octroya un bain chaud dans son immense baignoire avec un verre de très bon vin.

La séparation avec Jean ne fut pas facile, mais elle était désormais libre.
Avec Simon, ils décidèrent de garder une certaine indépendance et elle avait trouvé un appartement très cosy à 1/4 d'heure de chez lui.
Déménagement, recherche d'appartement, emménagement, décoration, travaux, ... cela ne fut pas de tout repos mais c'était désormais terminé et elle était épuisée.
Heureusement, trouver un emploi fut très facile grâce à son charme et à son sex-appeal, elle devait se l'avouer.
Elle voulait maintenant se détendre et vider son esprit.
Elle savait comment faire.
Lisa fixa ses pensées sur des moments vécus des années plus tôt.
Il lui suffit en général d'un seul regard pour attirer l'attention des hommes qu'elle croise, le plus souvent dans les entreprises qu'elle audite.

Très vite, le souvenir torride d'un jeune stagiaire lui embrasa les sens.
Elle commença d'abord par positionner son bas-ventre sous le robinet qui coulait pour remplir la baignoire.
L'eau s'insinua avec douceur dans son intimité.
Deux humidités qui se rencontrent...

L'eau rentrait dans son sexe comme une bite inépuisable.
Elle adorait cette sensation qui la mettait rapidement dans un émoi délicieux.

Elle se mis alors sur les genoux, penchée en avant, et sa main droite glissa au travers de la mousse onctueuse vers le triangle de son pubis soigneusement entretenu, alors que l'autre attaquait un bout de sein qui prenait de l'ampleur.

Le plaisir vint vite, son corps se tendit avec une telle violence que de l'eau du bain vint inonder le carrelage.
Longtemps, elle resta ainsi, profitant de la chaleur.

Elle aimait son corps, qu'elle savait désirable, son ventre un peu rebondi, ses seins légèrement imposants mais si sensibles, ses fesses qu'elle mettait souvent en valeur.

Elle regrettait de ne pas le partager avec un homme qui resterait à ses côtés.
Aucun de ceux rencontrés ne lui avait apporté la moindre satisfaction, et elle avait choisi de laisser le hasard décider d'une hypothétique histoire idéale et de ne pas précipiter les choses avec Simon.
Il était plus de 23 heures quand elle composa un numéro de portable.
Ce n'est qu'au bout d'une dizaine de sonneries qu'une voix basse et rugueuse lui parvint :
- Bonsoir. Qui est-ce ?
- Lisa. répondit-elle.
Un silence se fit.
Simon devait tenter de reprendre ses esprits, mais sa tentative fut balayée par une voix féminine pas plus claire, ponctuée de légers râles qui ne laissaient aucun doute sur leur activité du moment.

Il continua néanmoins, laissant échapper à plusieurs reprises des soupirs mal contenus :
- Tu ne peux pas attendre demain ?
- Simon, raccroche, j'ai trop envie de jouir, reprit la voix inconnue à l'autre bout du fil.
S'ensuivit un râle que Lisa perçut clairement dans l'écouteur.

- Je suis désolée de vous avoir dérangés, Simon, profite de ta nuit avec ta petite copine. Je voulais te demander si tu étais disponible pour un petit dialogue coquin comme on les aime...
- Je suis vraiment désolé, Lisa... Une autre fois, avec beaucoup de plaisir... murmura Simon.
- Pas de souci, Simon, nous avons décidé de vivre librement et tu n'as pas de compte à me rendre... tu me raconteras afin de me permettre de vérifier si la vérité est conforme à ce que j'imagine ! (rire) Bonne nuit.
- Bonne nuit Lisa.
Lisa fut troublée par cette « conversation » qui fit ressortir sa solitude de ce soir.
Elle avait envie de voir du monde et décida de sortir, même si elle avait conscience que cela ne lui apporterait rien.
S'ensuivit une longue période d'habillage car elle n'était pas vraiment décidée sur l'effet qu'elle voulait provoquer.
Un ensemble en dentelle très fin et translucide ?

Une simple robe rutilante, légère, classe mais provocante, qui ne lui permettrait pas de dissimuler qu'elle ne porte aucun sous-vêtement ?

Une tenue stricte, sombre et bcbg (jupe et tailleur) qui fera contraste avec le décolleté de son chemisier blanc qu'elle tiendra très ouvert ?

Dans le même style, mais moins sévère, une robe moulante et décolletée de couleur sombre, un soutien-gorge rouge faisant contraste et attirant les yeux ?

Elle se rendit finalement dans une discothèque privée située à proximité de chez elle, le « Top Down ».
L'enseigne annonçant le « Top Down » était des plus discrètes.
Une modeste plaque de métal vert foncé portant le nom du club en caractères dorés était fixée sur un des piliers encadrant un haut portail.
Une hôtesse la conduisit au cœur du club, une vaste cave accessible par un escalier en colimaçon.
Elle leur désigna une table un peu en retrait de la piste, sur laquelle rafraîchissait une bouteille de champagne dans un seau argenté

Alors que l'hôtesse se penchait pour lui servir une coupe de Champagne, Lisa ne put ignorer le décolleté qu'elle lui offrait (volontairement ?).
Les seins de l'hôtesse étaient parfaitement libres sous un chemisier très léger, voire vaporeux.
Lisa, à sa grande surprise, dut se ressaisir pour détacher son regard de ces seins galbés et d'une sensualité exceptionnelle.

Elle fut beaucoup plus troublée qu'elle ne voulût se l'avouer.
Surprise aussi, car, jusqu'à présent, seuls les hommes avaient déclenché son intérêt.
Heureusement, une gorgée de Champagne la fit sortir de ses émotions.

C'est alors qu'elle aperçut Delphine.
Elle était au bar et sa robe noire, souple et évasée, découvrait très, presque trop, largement une jolie poitrine ferme et arrogante.

Delphine, visiblement lasse d'être seule, rejoignit la piste en se faufilant entre les danseurs.
Autant les estrades où se trouvaient les petites tables bénéficiaient d'un calme relatif, autant la piste était le lieu de tous les excès.
Le DJ jouait avec dextérité avec les sons et les lumières, passant des nuances les plus violentes aux plus douces, redonnant vie aux tubes plébiscités par la clientèle du club.
Mue par une impulsion aussi soudaine qu'inhabituelle, Lisa se leva et chercha des yeux Delphine.

Très vite elle la repéra, son corps souple épousant le rythme.
Sa robe légère virevoltait autour d'elle, dévoilant parfois ses cuisses ou un peu de ses seins quand les fines bretelles quittaient ses épaules.
Lisa se fraya un passage à travers la foule et se trouva enfin près d'elle.
Face à elle, Lisa accéléra son déhanchement avec un sourire.
La jeune femme le lui rendit aussitôt.

Lisa reprit son manège sans pouvoir s'empêcher d'admirer cette poitrine mise en valeur par le tissus tendu et presque transparent de son top.
Alors que la foule les avait encore rapprochées, Delphine sourit plus franchement et prononça quelques mots que Lisa ne comprit pas.

Elle se rapprocha et lui cria :
- J'adore ce DJ. Il sait exactement ce qui nous fait du bien. Vous ne trouvez pas ?
- Super. C'est la première fois que je viens ici, répliqua Lisa.
- Vous verrez, vous ne pourrez plus vous en passer. Il sera à nouveau ici la semaine prochaine. Et je ne le manquerai en aucun cas !
Tout en parlant, Delphine s'était encore rapprochée de Lisa.
- Profitons du moment, reprit Delphine. Restez près de moi si vous le voulez.

Lisa acquiesça d'un nouveau sourire.
Pendant plusieurs minutes, les deux jeunes femmes dansèrent de concert, échangeant un regard de temps en temps.
Soudain le rythme de la musique s'accéléra, et la pression de la foule augmenta encore.
Delphine se retrouva contre Lisa, plaquée contre son dos.
Ce qui troublait le plus Lisa était le rythme que Delphine marquait de son bas-ventre et qu'elle ressentait contre ses fesses.
Une sensation de plaisir irradiait peu à peu ses sens, qui lui procurait à la fois découverte et incompréhension.
Elle avait l'impression qu'elles étaient nues l'une contre l'autre tellement leur contact était intime et leurs vêtements étaient légers...

Tout était tellement nouveau pour elle...
Presque instinctivement, et parce qu'elle ne savait plus quoi faire, ses mains se posèrent sur les hanches de Delphine qui ne réagit pas.
À travers la fine étoffe, Lisa perçut l'élastique de la culotte et le léger relief qui marquait les fesses.
C'était trop d'intimité : un saut dans l'inconnu qu'elle ne savait comment assumer.
Elle retira ses mains.
Mais, dissimulées heureusement par la foule, leurs seins s'étaient dégagés de la faible barrière de leurs décolletés et étaient délicieusement en contact l'un contre l'autre, tandis que Delphine prenait l'initiative de l'embrasser.

Le rythme changea à nouveau.
Il se fit plus langoureux et les éclairages violents firent place à une obscurité ponctuée d'embrasements rouges.
Les danseurs changèrent de position ou de partenaire, pour les rares qui en avaient et les filles prirent soin de dissimuler à nouveau leurs merveilleuses poitrines.
Lisa chercha du regard Delphine qui avait disparu.
Soudain, deux mains légères se posèrent sur ses épaules par derrière, leur imposant un balancement lent en accord avec le nouveau tempo.
Tournant la tête, son regard accrocha celui de Delphine où elle découvrit une nouvelle lueur.
À nouveau, elle perçut contre ses fesses le troublant mouvement du ventre et des cuisses de sa partenaire, lent et insistant.
Les mains légères descendirent peu à peu le long du chemisier.
Il lui sembla même que les doigts de Delphine avaient cherché à rentrer en contact avec sa chatte, protégée par un string très léger.

Lisa sursauta.
Delphine la retourna face à elle.
Ses mains avaient atteint sa taille et s'avançaient doucement vers son ventre, par petites touches, directement contre sa peau.
Troublée et hésitante face à un plaisir qu'elle ne pouvait ignorer, elle la laissa faire.
Les doigts délicats remontèrent jusque sous les seins, s'y arrêtèrent un instant avant de les dégager encore une fois tout en les caressant contre les siens.
Lisa était comme anesthésiée par la combinaison des sensations qui passaient par ses seins et son ventre.

À la grande surprise de Lisa, ses tétons durs et érigés et pointaient contre ceux de Delphine.
Soudain, les doigts descendirent encore et Lisa les sentit descendre entre ses jambes jusqu'à son string très fin.
Ils s'insérèrent entre le tissu et la peau, découvrant le tissu de dentelle, l'explorèrent et l'abaissèrent un peu.

Lisa comprit que sa toison n'était maintenant protégée par aucun rempart.
Heureusement, la densité des danseurs interdisait aux regards de s'y poser.
Les doigts de Delphine jouaient légèrement avec son petit triangle.
Lisa était envahie par l'excitation et son bassin se frottait contre ces doigts providentiels.
Elle succomba complètement sous le charme de ces caresses nouvelles mais si douces et sensuelles.
Delphine devenait de plus en plus perverse, salope et déchaînée.

Mais c'était trop.
Saisissant doucement mais fermement les mains qui exploraient son corps, Lisa les détacha et les plaqua sur ses hanches.
Très vite, elle remit en place ses vêtements et se tourna vers Delphine avec un sourire contrit.
- Désolée. Je dois m'en aller.
- Si vite ? répondit Delphine avec une visible tristesse dans le regard.
« Vous n'y êtes pour rien » furent les derniers mots de Lisa avant qu'elle se fonde parmi les danseurs.
Néanmoins, avant de quitter Delphine, sans qu'elle s'en rende compte, Lisa lui avait glissé ses coordonnées de mail dans la lisière de ses bas.
Peut-être voudra-t-elle lui reparler malgré cette séparation brutale ?
Le lendemain, elle entreprenait de vider sa boîte mail débordant d'offres alléchantes qu'elle rejeta sans les ouvrir, quand son attention fut attirée par un intitulé inhabituel : « Êtes-vous là ? »

Elle l'attribua d'abord à un des sites de rencontres qui la sollicitaient en permanence, comme s'ils avaient deviné son désert effectif ; mais son cœur fit un bond quand elle en découvrit l'auteur : DelphineS.
Le texte était bref : « Chère inconnue, vous fuyez, mais vous laissez les moyens de vous rattraper. Je ne comprends pas bien... »
Lisa répondit à Delphine en trouvant un prétexte plausible pour expliquer ton départ précipité...
À peine eut-elle répondu qu'un autre e-mail arriva dans sa boîte aux lettres.
Ce n'était pas Delphine mais son amie de toujours, Zoé, qui lui annonçait qu'elle serait de passage dans sa ville pour une conférence et qui lui demandait si elle pouvait l'héberger pour une nuit.
Lisa était ravie de cet e-mail de sa meilleure amie, cela lui permettrait, pensait-elle, de penser à d'autres choses.
Elle répondit bien sûr qu'il n'y avait pas de problème et Zoé lui indiqua qu'elle arriverait demain vers quinze heures.
À quinze heures précises, Zoé se présentait chez elle avec un sourire très agréable.

Lisa cacha sa surprise devant sa tenue très légère, sans être provocante.
Elle tombèrent avec effusion dans les bras l'une de l'autre et se mirent très vite à discuter de leurs vies respectives et de beaucoup d'autres choses, comme le font deux amies qui ne se sont,pas vues depuis longtemps.
Au fil de la soirée qui s'annonçait, Lisa se sentait de plus en plus perturbée.
Zoé s'avéra être une femme de caractère avec une forte personnalité et un sourire ensorcelant qui lui permettait d'obtenir tout ce qu'elle voulait.
Zoé s'assit sur un des fauteuils, face à Lisa qui était restée debout.

Le regard de Zoé auscultait Lisa.
- Il te faudrait une autre tenue. Une vraie femme apprécie les matières souples.
- Très bien, approuva Lisa.
- D'abord, Lisa, déshabille-toi.

Lisa s'exécuta.
Sur ordre de Zoé, elle effectua un tour complet sur elle-même, sans croiser le regard acéré qui la scrutait.
- Bien. Maintenant, ouvre ton chemisier. Et sans commentaire, anticipa Zoé.
Après quelques secondes d'hésitation, les boutons furent libérés l'un après l'autre, dégageant les seins de Lisa.
Elle retarda le moment où ses seins, un peu tombants, apparurent libres.

- Pareil pour la jupe, imposa celle-ci sans élever la voix.
Lisa hésita à nouveau une fraction de seconde avant de se résigner à faire glisser le tissu doucement le long de ses cuisses.
La gêne la faisait trembler légèrement.
Elle n'était désormais protégée que par son string.

- Maintenant, va à la fenêtre et reviens. Tu te sens comment ?
- Un peu désemparée.
- Il ne faut pas. Tu dois être sûre de toi à tout moment. Enlève ce qui te reste.
- Non... supplia-t-elle.
- Fais-le immédiatement ! ordonna fermement Zoé.
À nouveau, Lisa fit ce qui lui était demandé et le petit triangle de sa toison brune fut exposé au regard de Zoé.

- Toujours gênée ?
- Plus que jamais.
- Alors va chercher la bouteille de Sauternes qui est dans le réfrigérateur, et apporte deux verres.
- Je peux prendre un peignoir ?
- Non. Tu dois être naturelle, oublier comment tu es et te concentrer sur ton objectif.

Lisa fit exactement ce que Zoé demandait.
Elles trinquèrent et burent quelques gorgées.
La douceur du nectar doré glissant sur son palais lui fit un bien fou.
Alors qu'elle commençait à oublier la situation, Zoé reprit :
- Passons à l'étape suivante, déclara-t-elle brusquement. Séduis-moi.
Lisa se figea, puis répondit avec un sourire désolé :
- Mais je ne sais pas.
- Fais comme si j'étais un homme.
- Dans ce domaine, j'ai toujours préféré que ce soit eux qui prennent l'initiative.
- Alors laisse-toi faire, répondit Zoé, conciliante. Je vais t'apprendre. Viens sur le fauteuil et ferme les yeux.

Nue face à cette femme entièrement vêtue, Lisa ne ressentit d'autre issue que d'obéir.
Zoé s'installa à son côté puis prit quelques secondes avant déposer un baiser sur sa joue tandis que sa main légère se posait sur les seins de Lisa.
Celle-ci sentit involontairement les pointes se dresser alors que les caresses les enveloppaient, jouant avec la sensibilité de la peau.

Une sorte d'envoûtement avait envahi Lisa dont les défenses s'évaporaient peu à peu.
Les mains continuèrent leur chemin descendant, d'abord vers le ventre, vers les cuisses, et enfin elles remontèrent vers le sexe.
Quand Lisa comprit qu'un doigt tentait de franchir sa fente, elle contracta involontairement ses cuisses en un barrage éphémère qui céda presque immédiatement sous son insistance.
La caresse se fit encore plus intense, plus profonde, et tous les repères de Lisa cédèrent.
Très vite, sous l'action des mains douces et fermes qui envahissaient son intimité et ses zones les plus sensibles, sa respiration se fit plus forte, puis s'affola sans qu'elle ne la retienne.
Ses mains avaient saisi celles de Zoé et les guidaient.

Soudain, ses traits se tendirent encore alors qu'un râle s'échappait de sa bouche.
Puis son corps se redressa, son bassin se souleva, et ses cuisses enserrèrent avec force la main qui lui prodiguait son plaisir.
Ensuite, doucement, elle se rabattit sur le dossier du canapé, la tête rejetée en arrière, un sourire presque surpris aux lèvres.

Elle se tourna vers Zoé.
- Je crois que je me suis laissée aller.
- Oui, c'était le but. Tu as aimé ?
- C'est tellement nouveau pour moi... J'ai été emportée par mes sensations.
- À ton tour de me rendre la pareille, maintenant.
- Je veux bien essayer, mais tu risques d'être déçue, prévint Lisa.
- Je te guiderai. Viens...
Avec hésitation, la main de Lisa vint se poser sur le ventre de Zoé.
Alors qu'elle rapprochait son visage des lèvres de la jeune femme, la main remonta jusque sous les seins, puis plus haut encore jusqu'à les enrober totalement.
Zoé ouvrit elle-même la chemise mais laissa ensuite faire sa partenaire.

Prenant de l'assurance, ses doigts exploraient les deux lobes, jusqu'à s'insérer entre le tissu et la peau tendre jusqu'aux tétons ou ils s'arrêtèrent longtemps.
Enfin, Lisa fit elle-même redresser sa partenaire et commença à lui retirer sa chemise.
Une poitrine fière et galbée lui apparut, offerte.

Sans qu'elle puisse se retenir, elle vint y porter les lèvres, s'arrêtant aux tétons et aux aréoles roses.

Inquiète de l'effet, elle constata que Zoé semblait apprécier, les yeux mi-clos.
Lisa s'enhardit encore, glissant une main entre le ventre et le tissu rêche du pantalon jusqu'à l'élastique de la petite culotte avec lequel elle joua un instant avant de descendre plus bas.
Elle ne rencontra aucun poil jusqu'à la fente.
Alors, elle défit la boucle de la ceinture, baissa la fermeture et fit glisser le jean sur les jambes de Zoé.
Puis ce fut le tour de la culotte qu'elle baissa par petites touches jusqu'aux genoux.

Presque indépendamment de sa volonté, la main remonta, cherchant les fentes les plus intimes de la jeune femme.
Celle-ci gémit, et Lisa s'en trouva encouragée.
Ses doigts progressaient, et elle sentit Zoé s'ouvrir, les jambes abandonnées.
Jamais elle n'avait vu un corps réagir autant à de simples caresses.
Elle commença un va-et-vient lent qui lui arracha un nouveau soupir.
Elle ne pouvait détacher le regard de cette peau souple et soyeuse qui frémissait sous ses doigts.

D'un regard, Zoé lui intima de continuer.
Lisa comprit que le plaisir allait s'emparer de sa partenaire quand le rythme qu'elle imposait à sa main augmenta.
Elle plongea alors ses yeux dans le regard exalté de Zoé et vit ses lèvres s'ouvrir d'extase, la langue pointant délicieusement entre les dents.
Son corps se tordit.

Pendant plusieurs minutes, les deux femmes restèrent ainsi, imbriquées l'une contre l'autre, reprenant doucement leur respiration.
La première à se relever fut Zoé.
- Je suis heureuse de constater, dit-elle à Lisa, que je n'avais rien à t'appendre.
- J'en aurais été incapable si ce n'avais pas été toi, objecta celle-ci doucement en regardant encore une fois le corps dénudé de Zoé.

Elles refirent l'amour jusqu'au petit matin et, lorsque Zoé partit, elles se promirent de se revoir très vite.
Un peu désorientée, Lisa consulta rapidement ses mails.
Un message l'attendait : « On se parle demain soir ? Je serai libre. »
C'était signé DelphineS.
Il était près de vingt-deux heures.
Un signal indiqua à Lisa qu'un correspondant cherchait à la joindre en FaceTime.
Delphine apparut sur l'écran.
Lisa fut à nouveau saisie par sa blondeur et l'innocence qu'elle dégageait, rehaussées par un peignoir d'un bleu très clair.

Après quelques instants d'hésitation, la conversation commença.
Pendant près d'une heure les deux jeunes femmes échangèrent des banalités sur leurs occupations supposées jusqu'à ce que Delphine évoque la soirée au « Top Down ».
- Pourquoi êtes-vous partie si vite samedi soir ? lança-t-elle.
- C'était trop nouveau pour moi et j'étais trop troublée.
- Vous vivez seule ?
- Oui, je suis seule, ma meilleure amie, de passage, est partie ce main, répondit Lisa sans préciser qu'elles étaient devenues plus que des amies...
- Alors vous êtes complètement libre ce soir ?
- Oui.
Delphine se détendit visiblement :
- Nous allons pouvoir continuer.
- Continuer quoi ?
- Vous savez bien. J'ai adoré vous toucher.
- Pour moi aussi c'était bien. Même si je n'ai pas trop l'habitude, confia Lisa.
- Oui, j'avais remarqué, confirma Delphine avec un sourire. Mais ça n'en était que mieux. On se tutoie ?
- D'accord.

- Je t'ai trouvée adorable et tu es belle !
- Beaucoup d'autres l'étaient plus que moi, objecta Lisa.
- Quelle banalité ! Bien sûr ! Mais toi, tu as le « truc » qui fait craquer !
Un long silence se fit.
Lisa se sentait transpercée par le regard clair de Delphine.
Soudain, celle-ci reprit d'une voie un peu rauque :
- J'ai envie de te découvrir.
- Me découvrir ? Comment ?
- Ici, maintenant. Voir ce que j'ai si peu touché samedi soir.
- Tu aurais voulu plus ? demanda avec difficulté Lisa.
- Bien sûr. Alors, tu vas faire ce que je vais te demander ?
- Quoi ?
- Mets-toi debout face à ta caméra. Je veux te voir toute.

Lisa s'exécuta.
Elle avait soigné sa tenue.
Elle avait opté pour une tenue noire assez courte et un haut décolleté qui mettait en valeur sa poitrine.
- Mets-toi de profil.
Lisa fit ce que Delphine demandait, sachant que le tissu élastique dessinait précisément ses seins mis en valeur par un soutien-gorge rouge.

Le visage de cette dernière s'était approché de l'écran.
- Reste où tu es. Retire ta ceinture et pose-la sur le bureau.
Lisa obéit.
- Baisse ta jupe jusqu'à tes genoux. Je veux voir ta culotte.
Lisa tremblait un peu, balançant entre la gêne et le plaisir qui montait.

La culotte en dentelle translucide apparut, se détachant sur la peau claire que le haut blanc un peu remonté laissait apparaître.
Delphine fit se tourner Lisa, dont les fesses rebondies emplissaient à la perfection la fine étoffe.
- Maintenant, baisse-le.
- Non, pas cela...
- S'il te plaît, n'hésite pas. J'ai envie...

La dentelle vint se perdre dans le tissu de la jupe.
Lisa fondait sous ce regard inquisiteur qui détaillait sa toison, sa fente qu'elle laissait deviner, ses fesses qu'elle enserra de ses mains à la demande de Delphine.
- Tu es belle, répéta celle-ci alors qu'elle s'était un peu enfoncée dans le canapé.
Son bras gauche était animé de légers mouvements.
Lisa fut réconfortée de constater que Delphine n'était pas indifférente au spectacle qu'elle donnait, malgré le trouble qu'elle tentait de contenir.
- Enlève tout maintenant, et mets tes vêtements sur le bureau. Je veux les voir, ordonna avec douceur Delphine.
- Tout ?
- Oui, avec tes chaussures et tes bijoux. Je veux te voir intégralement nue.

Encore une fois, Lisa obéit.
Un petit tas s'était formé à côté de son écran.
Sa montre, son bracelet et sa chaîne, puis ses légers escarpins suivirent.
Jamais elle ne s'était sentie aussi vulnérable mais ravie.
Le bras gauche de Delphine avait accéléré son mouvement.
Son visage avait rosi et s'était tendu.
Par moments, un petit bout de langue s'insérait entre les dents parfaites.

- Je veux te voir jouir. Caresse-toi... implora-t-elle.
- Debout ?
- Oui, vite, vite...
Lisa aimait cette position, qu'elle pratiquait souvent dans sa douche ; mais là, c'était différent, sous ce regard incisif qui la dominait.
À nouveau, elle décida de se laisser aller.
Ses doigts descendirent puis se mirent en action.

Soudain, le buste de Delphine fut secoué de spasmes.
Sa bouche était ouverte comme pour aspirer plus de plaisir.

Le spectacle suffit à achever d'enflammer Lisa.
Sa bouche s'ouvrit en un râle qu'elle ne chercha pas à contenir.

Pendant de longs instants, les deux jeunes femmes s'observèrent en silence, chacun d'elles récupérant peu à peu le souffle que le plaisir leur avait ôté.
Delphine parla la première :
- J'ai tellement aimé... Tu penses qu'on pourrait se voir ?
Lisa ne sut comment répondre.
Elle commençait à apprécier cette jeune femme et son désir de plaisir.
Mais il y avait Zoé, aussi.
Beaucoup de perturbations et de remises en question en seulement quelques jours avec ces deux jolies blondes...
Comment tout cela allait-il se terminer ?

Lisa finit par répondre :
- Oui, bien sûr.
- Très bien. Je te rappelle dès que je trouve une occasion...
Une heure plus tard, Lisa était toujours sous le choc du plaisir brutal qu'elle avait ressenti, qui avait dépassé de loin ceux qu'elle avait connus auparavant.