La carotte

La carotte - partie 1 (publié par Lisa le 16-07-2018)
La carotte - partie 2 (publié par Lisa le 24-07-2018)
La carotte - partie 3 (publié par Lisa le 02-08-2018)
La carotte - partie 4 (publié par Lisa le 20-08-2019)


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La carotte

LUNDI

Comme tous les jours, Jérémy travaille au supermarché de son quartier. Cela fait quatre ans qu'il est caissier, mais cela ne le dérange pas : contrairement à ce que ses proches pensent concernant l'aspect peu reluisant de ce métier, il représente un formidable vivier de rencontres. Il ne se passe une seule journée sans qu'une sublime créature ne vienne à sa caisse. Par chance, il est le plus séduisant de ses collègues, ce qui peut expliquer l'affluence à sa caisse... Cela fait à présent quelques jours qu'une cliente en particulier a attiré son attention : une nana très sexy, qui règle ses dépenses avec un petit sourire aguicheur. De taille moyenne, de longs cheveux noirs tombant soyeux, et, aujourd'hui, un t-shirt moulant parfaitement ses formes.



Outre son physique très avantageux, elle a une particularité : elle n'achète à chaque fois qu'une seule et unique carotte. Au fur et à mesure des journées, il constate que le légume gagne en longueur et en épaisseur. Un jour, il commente en souriant :

- C'est bon pour le bronzage.
- C'est surtout bon pour ma chatte.

Surpris qu'un félin puisse manger des carottes, le caissier demande :

- Ah, vous avez un petit compagnon ?
- Non, pourquoi cette question ?

Le rouge lui monte un peu aux joues, comprenant enfin à quoi elle faisait allusion. Ne se laissant pas démonter, il rétorque :

- Pour rien. J'aurais pourtant été ravi de connaître votre chatte...

Elle ne répond rien, se contentant d'emporter son achat, mais avec une étincelle lubrique dans le regard.



Jérémy espère la revoir le lendemain, afin de poursuivre plus en avant la conversation. Ce qui arrive effectivement. Cependant, il ne s'était pas attendu à ce qu'elle se présente au supermarché vêtue de la sorte.


MARDI

Jérémy l'aperçoit dès qu'elle rentre dans le supermarché et la première chose qu'il remarque c'est le dos nu. Elle porte un haut blanc dont le dos nu ne laisse place à aucun soutien-gorge. Elle porte aussi une jolie petite jupe rouge.



Jérémy se retient de quitter sa caisse pour la suivre et voir cela de plus près. Mais il y a des clients à sa caisse et il a quand même une conscience professionnelle. Pourtant il s'empresse de passer les deux clientes précédentes pour être certain de ne pas faire attendre la demoiselle.
Quand elle se présente à la caisse, armée de son habituelle carotte, Jérémy sent son sexe se gonfler dans son pantalon.



Le top qu'elle porte est en fait un maillot une pièce blanc ou un body, mais de toute évidence plusieurs tailles en-dessous car il moule et écrase les seins de la jeune femme et fait déborder ceux-ci sur les côtés. La fille a bien vu les yeux exorbités du caissier et ne peut s'empêcher de sourire, ayant de toute évidence obtenu l'effet escompté avec cette tenue.



Quand elle dépose sa carotte sur le tapis de la caisse, Jérémy se ressaisit et lui dit :
- Vous allez à la piscine ? Je vous envie...
- Non, j'ai une piscine à la maison, mais c'est surtout que j'ai très chaud.
- Oui... moi aussi...

Jérémy n'ose pas lui dire qu'elle est en grande partie responsable de sa suée actuelle. La jeune femme lui sourit :
- Alors, profitez de votre jardin ce soir...

Elle reprend sa carotte et s'en va, laissant Jérémy sur un doux nuage.



Il pense à cette fille et à son maillot toute la journée. Le soir en rentrant chez-lui sous une chaleur harassante, il se souvient de ce qu'elle lui a dit concernant le jardin. Il a récemment quitté son appartement du centre-ville pour aménager dans une petite maison de banlieue avec un micro jardin mais dont il n'a pas encore trouvé le temps de profiter. Sitôt rentré, il y sort une chaise longue et s'y installe en fantasmant sur la fille. Il est tiré de sa rêverie par le bruit du moteur de la voiture de son voisin. Il n'a pas encore eu l'occasion de les rencontrer mais il sait qu'il s'agit d'un jeune couple et que monsieur est souvent en déplacement. Par la fenêtre ouverte de la cuisine, il entend malgré lui la conversation :
- Tiens ! Tu rentres finalement.
- Oui, j'ai oublié un dossier important.
- Tu manges-là ?
- Non, je mangerai dans l'avion. Je t'appelle en fin de semaine pour te dire si je rentre vendredi après-midi ou samedi matin.
- Ok, bon voyage.

La voiture repart et Jérémy se dit que cette fille doit se sentir bien seule avec un homme toujours absent pour son boulot. D'ailleurs, le bref échange qu'ils ont eu ne respirait pas la passion, ni même la complicité. En souriant, il se fait la réflexion qu'elle serait bien mieux avec un simple caissier aux horaires fixes. Il est à nouveau tiré de sa rêverie, mais cette fois-ci pas par un bruit. Sa voisine vient de passer devant la baie vitrée du rez-de-chaussée, totalement nue !



C'était bref et il ne l'a vu que de dos dans la pénombre de la pièce mais il a pu apercevoir une magnifique paire de fesses et de longues jambes fuselées absolument délicieuses. Il sent son sexe gonfler pour la deuxième fois de la journée et se dit que c'était une journée avec des surprises bien sympathiques. Il hésite à rester encore un peu jouer les voyeurs, au cas où sa voisine repasserait, ou à rentrer dans la maison pour se masturber et libérer toute la tension accumulée. Ne s'imaginant pas se masturber ouvertement dans le jardin, il décide de rentrer mais surveille la maison de sa voisine par la fenêtre de sa cuisine. Après quelques minutes d'attentes, il quitte son poste d'observation pour prendre un verre d'eau. Quand il revient à la fenêtre, il s'aperçoit que la baie vitrée de sa voisine est ouverte et que la jeune fille est sortie dans le jardin. De dos, il voit les cheveux mouillés qui lui laissent suggérer qu'elle sort de la douche. Mais ce qui retient surtout l'attention de Jérémy, c'est qu'elle est en culotte et porte un tee-shirt très ample. Il sent son sexe se gonfler à nouveau quand elle se penche pour saisir une bouteille d'eau en plastique.



Même si elle lui tourne presque le dos, il aperçoit le profil d'un sein par la large échancrure du tee-shirt. Jérémy s'en veut d'avoir raté sa sortie mais ne se prive pas de libérer son érection et de se caresser en regardant la jeune fille. Celle-ci s'agenouille devant un petit parterre de fleurs franchement plantées et arrose lentement les délicates plantes. Ses cheveux la gênant, elle pose la bouteille et se redresse pour les rassembler.



Puis elle se met à quatre pattes pour reprendre son arrosage. Jérémy n'en revient pas de pouvoir profiter d'un tel spectacle et il se régale de la vue des seins qui pendent librement sous le tee-shirt et de la croupe délicieusement cambrée.



Il retient sa respiration quand il voit que la bouteille est vide. Comme il s'y attendait, elle se redresse en une pose sublime, lentement, sans doute trop lentement pour que ce soit totalement innocent, si bien que Jérémy se demande si tout cela n'est pas une mise en scène qui lui est destinée.



Le soleil est presque couché quand enfin elle rentre chez elle et referme la baie vitrée. Jérémy se dit que le spectacle est terminé et décide d'aller se finir sous la douche en se remémorant les belles images de la journée.




MERCREDI

Le lendemain matin, il prend son poste à la caisse comme chaque jour. Il se révèle beaucoup plus distrait que d'ordinaire, tant ses pensées sont tournées vers les quelques scènes auxquelles il a assisté la veille. Lorsqu'il s'est ensuite masturbé, il n'a pas été long à venir, tellement l'excitation de la journée a été intense. Il s'était imaginé sa voisine en train de se caresser en rythme avec lui, seule dans sa chambre...

Il est brusquement tiré de sa rêverie par le nouvel article qu'il vient de passer : une carotte, d'une taille fort respectable. En relevant la tête, il reconnait sa cliente favorite. Un sourire aux lèvres, il sent son sexe gonfler de nouveau, tellement sa tenue la rend attirante. Encore en short, elle porte cette fois un débardeur décolleté, offrant une vue plongeante sur sa magnifique poitrine.



Pendant qu'il pèse l'article, une idée lui vient. Et connaissant son interlocutrice, quelque chose lui dit qu'elle jouera le jeu...

- Pardonnez-moi, mais il faudrait que vous me montriez votre sac. La direction s'est plainte d'une augmentation des vols, nous devons vérifier que les clients n'emportent pas des produits sans les payer.
- Oh mais bien sûr, répond-elle avec un grand sourire. Je comprends.

Et là, l'idée de Jérémy s'avère être un franc succès. Avec une lenteur calculée, elle se penche pour ramasser le sac qu'elle avait laissé à ses pieds. Pendant qu'elle ramasse la sangle, elle reste immobile quelques secondes, suffisamment pour permettre à Jérémy de bien profiter du spectacle.



Son sexe est tellement gonflé que ça en devient douloureux, mais il ne regrette rien. Elle se relève, et lui montre son sac à main. Et là, il remarque la présence d'un magnifique plug anal, posé bien en évidence à l'intérieur. Le sourire lubrique de la jeune femme lui laisserait même entendre qu'elle s'en est servi très peu de temps auparavant...

Jérémy peine à avaler sa salive et il se contente de hocher la tête pour signifier à la jeune femme que tout va bien. Prenant la carotte, elle la met dans son sac et repart, laissant le pauvre caissier abasourdi.



Le reste de la journée passe sans autre rencontre notable. Il hésite à aller se masturber durant sa pause, mais préfère se réserver pour le soir, au cas où sa magnifique voisine décide de se donner de nouveau en spectacle comme la veille...

De retour chez lui, il se replace de nouveau à la fenêtre de la cuisine, aux aguets. Cependant, il doit vite déchanter : elle ne se montre pas. Peut-être est-elle sortie ? Ne pouvant rester toute la soirée immobile à la fenêtre, il finit par vaquer à ses occupations, sans omettre de jeter régulièrement un œil au-dehors. Ce n'est qu'à la fin de la soirée qu'il remarque du mouvement. Il cesse toute activité, et se concentre : à cause de l'obscurité montante, il ne parvient pas à distinguer son visage. Elle vient de sortir dans son jardin, en legging.



Elle se lance dans une série d'étirements. Ses mouvements sont encore une fois trop lents et amples pour être réellement naturels. Ses formes ressortent très bien, et excitent de plus en plus Jérémy. Sans presque y prêter attention, il sort son sexe et commence à se masturber en observant sa magnifique voisine qui multiplie les positions à la limite de l'obscénité, écartant les cuisses et se cambrant plus que nécessaire.



Le point culminant est atteint lorsqu'elle finit ses étirements. Retournant vers la maison, elle s'appuie au chambranle de la baie-vitrée et commence à faire quelques petits sauts nerveux sur place. Jérémy trouve cela curieux mais néanmoins très intéressant, surtout quand il constate que le legging, à l'élastique un peu trop lâche à la taille, glisse à chaque fois un peu plus de ses fesses nues, offrant une magnifique vue sur sa croupe.



Jérémy prend conscience qu'il est en train de se masturber frénétiquement en voyant cette magnifique croupe et qu'il est à deux doigts de l'éjaculation. Alors que sa voisine se rajuste et referme la baie vitrée, il s'interrompt et lâche son sexe palpitant, mais c'est trop tard. La sève monte de ses couilles tendues et le sperme se met à s'écouler lentement sur le carrelage de la cuisine, formant peu à peu une petite flaque.




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JEUDI

Après une nuit peuplée encore de rêves érotiques où il se trouve mis en scène à la fois avec la fille aux carottes et avec sa voisine, Jérémy commence une nouvelle journée. Au magasin, il attend sa cliente préférée. Quand elle apparaît à l'entrée du magasin, il la voit aussitôt et reste en arrêt. Elle a enfilé un débardeur noir et un legging blanc qui met délicieusement ses formes en valeur.



Alors qu'elle s'engage dans les rayons, Jérémy pense en lui-même :
- Bon sang, c'est à la mode les legging... Mais je ne vais pas m'en plaindre !
Il passe distraitement deux ou trois clients, attendant fébrilement l'arrivée de la jolie brune. Il la voit arriver au bout du rayon qui est dans l'axe de sa caisse. Elle n'a pas la traditionnelle carotte mais semble s'intéresser aux petites bouteilles d'eau minérale. Il s'arrête de scanner les articles d'un client en la voyant se pencher pour attraper une bouteille, lui offrant une vue bien agréable dans le décolleté de son débardeur.



Se redressant, elle le regarde et sourit, sachant manifestement qu'il vient de se rincer l'œil. Alors elle se repenche à nouveau pour remettre la bouteille en place et en saisir une autre juste à côté. Une vieille dame qui cherche un produit dans le rayon en face la bouscule alors, manquant de la faire tomber. La jeune femme se retrouve à quatre pattes mais se relève aussitôt. Jérémy écarquille les yeux en voyant qu'un sein s'est partiellement échappé du décolleté et qu'un mamelon est exposé. Se rendant compte de la raison de la grimace de Jérémy, elle se rajuste en lui adressant un large sourire.



En proie à une érection galopante, Jérémy se tortille sur son siège. Quand la jeune femme arrive à sa caisse, elle lui dit :
- Désolée de cet incident...
- Ne le soyez pas. C'était ravissant.
- C'est une tenue confortable pour le sport mais peu adaptée pour faire ses courses.
Comme elle tend le tissu sur sa poitrine, Jérémy a la confirmation de ce qu'il suspectait : elle ne porte encore pas de soutien-gorge.



Voyant que Jérémy n'ose pas faire de commentaire sur sa tenue, elle lui demande :
- Vous ne contrôlez pas aujourd'hui ?
Voyant le regard de sa cliente sur son entrejambe déformé, il est persuadé qu'elle parle de son érection manifeste :
- Pardon ?
- Mon sac. Vous ne le contrôlez pas ?
Sans attendre qu'il réponde, elle lui ouvre alors son sac mais, en dehors d'un petit porte-monnaie, celui-ci est incroyablement vide, trop vide pour le sac d'une femme. Jérémy sent alors sa gorge s'assécher car il devine qu'elle veut lui montrer que le plug ne s'y trouve plus... et qu'elle le porte probablement ! Le voyant sans voix, elle lui sourit et referme son sac :
- Au revoir.
Quand elle sort du magasin, Jérémy regarde attentivement la croupe moulée par le legging pour voir s'il distingue le plug. Il ouvre alors de grands yeux comme si une révélation venait de le foudroyer : non pas qu'il a distingué le plug, mais parce qu'il vient de reconnaître la croupe de la jeune femme !



Il en est persuadé, la fille à la carotte n'est autre que sa propre voisine ! Jérémy reste plusieurs minutes sous le choc se demandant à quel point tout ceci est un hasard ou si sa voisine, frustrée de son mariage, a jeté son dévolu sur lui.

Complètement perturbé par cette révélation, il passe le reste de la journée dans un état second. C'est à peine s'il pense à échanger quelques mots avec les différents clients, lui qui est si affable d'ordinaire. Son érection a fini par se calmer, même s'il ressent toujours une chaleur diffuse au niveau de son entrejambe. Il sent que s'il se masturbe ce soir, ce sera... explosif !

Une fois de retour chez lui, il se précipite dans son jardin, espérant revoir sa voisine, et avoir l'ultime confirmation que c'est bien elle qu'il a vue au magasin.

S'installant sur sa chaise longue, il fait mine de fermer les yeux mais les garde entr'ouverts pour ne pas rater une miette du spectacle potentiel. Il n'a pas à attendre bien longtemps pour la voir repasser dans son champ de vision. Il ne distingue que sa silhouette mais, cette fois, elle reste bien en place, semblant profiter du soleil filtrant à travers la fenêtre. L'érection de Jérémy devient de plus en plus importante au fur et à mesure qu'il se délecte de cette image et elle le gêne presque quand la jeune femme ouvre la baie-vitrée et apparaît vêtue d'une minirobe rose moulante à manches longues.



Elle sort sur la terrasse et, ayant vérifié qu'il matte, elle s'installe sur un petit banc de son jardin, face à Jérémy. Le garçon est tétanisé : outre l'incroyable sensualité que dégage sa voisine, la voyant en pleine lumière, il est désormais certain qu'il s'agit bien de la cliente aux carottes. Tout en regardant dans sa direction, elle se bascule en arrière et écarte les cuisses, exhibant sa moule.



Jérémy n'en revient qu'elle s'exhibe ainsi aussi facilement devant lui. Son sexe, congestionné dans le pantalon, commence à lui faire mal tant l'érection est tendue. Mais sa voisine n'en reste pas là. Se hissant légèrement au-dessus du banc, elle sort lentement de son anus le fameux plug, celui qui n'était plus dans le sac lors de la fouille au magasin.



Ayant vérifié qu'il la matte, elle se relève et rentre chez elle. Laissant la baie vitrée grande ouverte pour que Jérémy puisse la voir, elle retire sa robe et va s'installer sur son canapé dans le salon, face à la baie vitrée, bien en vue de Jérémy. Cuisses écartées, elle se caresse. Jérémy observe un long moment ses doigts agiles faisant de rapides mouvements circulaires autour de son clitoris.



Au fur et à mesure, il la voit se tortiller sur place, sans doute à cause du plaisir qu'elle se procure. A cette idée, sa propre excitation monte encore d'un cran. N'osant pas se masturber dans le jardin, Jérémy rentre et se masturbe derrière la porte vitrée en la regardant se caresser elle aussi dans son salon.



Il pense qu'elle a terminé quand elle se penche pour ramasser quelque chose par terre. Jérémy imagine aussitôt un godemiché. Non. C'est juste une bouteille de soda en verre. Pour boire ? La bouteille semble vide. Surtout, c'est ce qui donne un choc électrique à Jérémy, il s'agit de la bouteille qu'elle a achetée plus tôt au magasin. L'empoignant fermement par la base, elle s'enfonce le goulot dans la fente.



Jérémy s'astique fébrilement mais, alors qu'elle jette un regard vers lui, il se calme. Est-ce qu'elle le voit derrière la vitre de sa porte fenêtre ? Tout au moins, elle peut imaginer ce qu'il est en train de faire. Et vu comment elle-même se masturbe sans la moindre pudeur avec une bouteille de soda, Jérémy se dit qu'il s'amuser à se masturber au même rythme qu'elle, donnant à sa main la même cadence que la bouteille en verre.



Mais la fille enfonce la bouteille de plus en plus loin dans son sexe, élargissant sa fente de manière exagérée. Comme elle regarde de plus en plus souvent dans sa direction, Jérémy commence à se demander si elle ne le voit pas parfaitement. Il est si excité à cette idée qu'il sent la jouissance arriver. Ses couilles se contractent et le sperme monte dans sa queue, jaillissant par saccade et maculant la vitre.



Quand il relève les yeux, il voit qu'elle n'est plus là. Quelle déception, il aurait pourtant bien aimé voir quel effet sa masturbation pouvait bien avoir sur sa voisine... Il se rhabille, puis vient nettoyer la vitre.


VENDREDI

Le lendemain, il reprend son poste en conservant à l'esprit les images de sa voisine en train de se masturber sur son canapé. Il n'en a pas conscience, mais il se passe la langue sur les lèvres toutes les deux secondes, tellement il s'imagine pouvoir lui bouffer la chatte. Il essuie les regards interrogateurs des quelques clients, mais il s'en fiche. Il garde les yeux rivés sur la porte d'entrée, attendant de voir la jeune femme venir à lui. Ce n'est qu'au bout de plusieurs heures interminables qu'il la voit enfin. Cette fois, elle est habillée par un t-shirt largement ouvert sur le devant, offrant une généreuse vision sur son décolleté.



Elle a également un jean taille-basse. Il la suit du regard tandis qu'elle déambule à travers les allées. Au bout de quelques minutes, elle se dirige vers la caisse, mais cette fois-ci avec un petit concombre. Puis elle s'arrête, et fait mine de regarder le comptoir où sont entreposés les chewing-gums. Comme si son choix était cornélien, elle prend bien le temps de regarder chaque boîte, en descendant petit à petit. Elle se baisse ensuite pour regarder celles stockés le plus en bas. Sur le coup, Jérémy a cru qu'elle voulait lui faire contempler le string qu'elle portait. Il ne s'est pas trompé sur ses motivations, à ceci près qu'elle ne portait rien du tout ! Son jean descendit sur ses fesses, pas énormément, mais suffisamment pour offrir à Jérémy la vue de ses magnifiques fesses.



Rien qu'à les voir, il imagine leur douceur. Il se voit les prendre en main, les caresser doucement, avant de faire redescendre ses doigts le long de sa raie jusqu'à sa chatte...

Il est tiré de sa rêverie par l'arrivée du concombre sur le tapis roulant, suivi de près par le sourire aguicheur de la jeune femme. Il reste immobile sur son siège, espérant presque qu'elle remarque son érection et qu'elle constate ainsi l'effet produit sur lui. Elle coule effectivement un regard vers son entrejambe, et son regarde brille quelques instants d'une lueur lubrique. Cette fois-ci, ils n'échangent pas un mot, se contentant de communiquer par le regard. Pendant qu'il lui rend la monnaie, il la voit jouer négligemment avec le bouton de fermeture de son jean.



Il n'a plus qu'une envie : glisser sa main dans l'espace entre le tissu et sa peau... Mais cela ne reste qu'un fantasme et la jeune femme s'en va, les abandonnant, lui et son érection, à des rêves érotiques.

Le reste de la journée, Jérémy ne pense qu'à elle, et n'a qu'une envie : rentrer chez lui et reprendre son petit jeu d'exhibition et de voyeurisme. Il ne sait pas quand les choses pourront aller plus loin avec elle, mais il a hâte de franchir le pas.

A peine l'heure de départ a sonné que Jérémy se précipite au-dehors et se dépêche de rentrer chez lui. Il imagine déjà ce que sa voisine pourrait faire pour l'exciter cette fois. Il échafaude plusieurs scénarios, jusqu'à ce qu'il arrive en vue de son quartier. Et là, une grande déception l'emplit : devant la maison de sa voisine, la voiture du mari est garée. Il vient sans doute de rentrer de son voyage... S'il est là, certainement qu'elle ne s'amusera plus à ses petits jeux d'exhibition. Il ne peut s'empêcher d'être un peu énervé de cette mauvaise surprise.

Il va tout de même s'installer avec un livre dans le jardin, faisant semblant de lire. Même s'il n'espère plus assister aux spectacles de ces derniers jours, peut-être pourra-t-il l'apercevoir ? Peut-être même pourra-t-il voir le couple en train de faire l'amour ? Après quelques jours de séparation, ce serait surprenant qu'il ne se passe rien entre eux. Pourtant, au bout de quelques instants, force est de constater qu'il pourrait bien ne rien se passer : chaque fois que sa femme essaie de lui parler, lui demander des nouvelles du voyage, il répond de façon distante, comme s'il est concentré sur autre chose. L'énervement de Jérémy revient. A sa place, il aurait à peine pris le temps de poser les bagages par terre avant de lui sauter dessus et de la baiser comme jamais... A cette idée, il sent revenir un début d'érection. Comme il suppose qu'il ne se passera sans doute rien d'intéressant pour lui, il décide d'aller se soulager de la tension de la journée avec une vidéo porno.

Il s'installe sur son lit avec son ordinateur portable. Il se connecte à internet, et se branche sur un site pornographique. Il fait défiler quelques vidéos, puis sélectionne l'une de ses catégories favorites : les vidéos d'éjaculations faciales. Il fait durer le plaisir, en regardant plusieurs vidéos en évitant de se caresser.



Au bout de plusieurs minutes, il n'y tient plus, et commence à se masturber devant une superbe blonde entourée de plusieurs mâles bien membrés. Un peu de liquide pré-séminal commence à juter et s'écoule entre ses doigts, signe que le plaisir ultime n'est plus bien loin.



Il sent que le moment fatidique approche, quand il entend la sonnette de sa porte retentir. Pestant contre ce visiteur intempestif, il se contente d'enfiler un short et va ouvrir sans même prendre la peine d'éteindre l'ordinateur. Quelle surprise en reconnaissant sa charmante voisine !

- Bonjour, je suis votre voisine, Angelica.
- Oui bonjour, on se croise au supermarché...

En voyant le regard de la jeune fille s'allumer quand il se pose sur son entrejambe, Jérémy prend conscience que son sexe encore tendu déforme de manière plus que suggestive son caleçon.



Elle relève la tête et sourit :

- Oui, vous êtes le caissier...
- Heu... oui, Jérémy, répond-il en lui tendant la main.

Ce n'est qu'au moment où leur peau rentre en contact qu'il se rend compte qu'il ne s'est pas lavé la main et qu'elle est poisseuse de sa masturbation. Au départ effrayé par cette idée, il se dit qu'en fin de compte, ce n'est peut-être pas plus mal...

- Mais entre donc. Si on peut se tutoyer ?
- Mais bien sûr, répond-elle avec un grand sourire.

Elle pénètre à l'intérieur. Jérémy en profite pour la détailler : elle porte un legging et un large tee-shirt plutôt informe.



Pendant qu'il referme la porte, il la voit porter rapidement la main à son visage, sans doute pour sentir l'odeur de ce contact humide qu'il lui a laissé. Un sourire plus tard, il la voit étouffer un bâillement en mettant la main devant la bouche, et remarque le bout de sa langue venir goûter sa peau.

- Heu... que puis-je pour toi ? Tu as oublié d'acheter un article au supermarché ?
- En fait, oui... Est-ce que tu aurais du beurre ?
- Je crois qu'il doit m'en rester. Si tu veux bien venir avec moi à la cuisine...

Il n'en revient pas qu'elle se trouve chez lui, dans cette même cuisine où il s'est masturbé en l'observant. En passant devant la fenêtre, il regarde machinalement vers la baie vitrée. Il n'en est pas certain, mais il lui semble voir le mari en train de surveiller derrière une fenêtre à l'étage. Jérémy fouille le frigo, quand elle lui demande :

- Je t'ai dérangé ?

Se retournant pour la regarder, il remarque que le haut du tee-shirt a glissé de ses épaules. Elle ne porte pas de soutien-gorge !



Se ressaisissant de sa découverte, il demande :

- Pardon ?
- J'entends des cris chez toi. Soit des gens sont en train de faire une partouze dans ta chambre, soit je t'ai dérangé pendant que tu te soulageais du stress de la journée...

Jérémy ne répond pas, tellement la situation prend un tournant inattendu. Il sort la plaquette de beurre du bas du frigo et demande :

- Du demi-sel, ça t'ira ?
- Fais voir ?

Relevant la tête, Jérémy la voit, penchée vers lui, offrant le spectacle splendide de ses seins totalement libres dans le large décolleté du tee-shirt.



Troublé, Jérémy ne sait pas si elle joue avec lui ou si c'est un accident. Ce qui est sûr c'est qu'il bande encore plus et que son caleçon est plus qu'indécent. Il se relève avec la plaquette de beurre à la main, cachant maladroitement son érection. Sans attendre, Angelica s'approche pour prendre le beurre, et d'un geste presque innocent, en profite pour lui effleurer l'entrejambe. Le sexe de Jérémy fait un bond à ce contact et le gland s'échappe par le côté du caleçon.



Jérémy remet son sexe en place dans le caleçon et devient rouge pivoine :

- Oh merde... Je suis vraiment désolé... ça... et le film dans la chambre... Tu dois me prendre pour un gros pervers...

Angelica rigole :

- Je te prends pour un célibataire, rien de plus. Et puis, c'est aussi un peu de ma faute... j'espère !

Alors qu'elle se penche sur lui pour lui faire la bise, il ne se prive pas pour admirer une fois encore les seins nues dans le décolleté du tee-shirt.



Jérémy est persuadé qu'elle le fait exprès car elle prend tout son temps pour lui faire la bise. Quand elle se redresse, elle lui adresse un sourire coquin avec un regard plein de malice :

- Merci pour le beurre. Je te le ramène dès que j'ai terminé.
- Oh, il n'y a pas urgence. Ça peut attendre demain.
- Ok. A demain alors !

Quand il referme la porte, il pousse un profond soupir. Même s'il sait qu'il va sans doute la revoir au magasin, le fait de savoir qu'elle va repasser chez lui le lendemain l'excite au plus haut point, comme s'il s'agit de son premier rendez-vous avec une fille.

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SAMEDI

Jérémy se lève tôt, un peu fébrile. Déjà, il attend sa voisine et il se dit qu'il est bien con de ne pas lui avoir dit vers quelle heure passer pour éviter d'attendre toute la journée. Pour essayer de rattraper la mauvaise impression qu'il a pu laisser la veille, il occupe son temps en rangeant et en passant l'aspirateur. Alors que la fenêtre de la cuisine est ouverte pour aérer, il entend malgré lui la conversation des voisins :

- A quelle heure ton avion ?
- Vers 20h mais je vais devoir te laisser en milieu d'après-midi.

Jérémy se dit qu'elle ne passera sans doute pas avant cette heure-là. En fin de matinée, alors qu'il s'apprête à passer la serpillère dans la cuisine, il voit Angelica sortir sur la terrasse avec un grand chiffon et une bouteille de produit à vitre. Elle porte un tee-shirt blanc assez décolleté et commence à laver la grande baie vitrée.



Il n'en faut pas plus à Jérémy pour avoir une érection. Angelica lui tourne le dos, mais il trouve déjà très excitant de la voir bouger ainsi. Il remarque que son mari est dans le salon, de l'autre côté de la vitre, et qu'il est absorbé par la télévision, n'accordant même pas un regard à sa femme. Abaissant son caleçon pour se libérer, Jérémy lâche le manche de la serpillère au profit d'un autre manche.



Quand la jeune femme a terminé de laver ce côté-ci, elle se retourne vers chez Jérémy. Elle sourit en l'apercevant à la fenêtre de la cuisine. Même si elle ne peut pas voir ce qu'il est en train de faire, Jérémy est persuadé qu'elle le devine, d'autant que sa main continue à s'activer tandis qu'elle l'observe, car il découvre un aspect plus qu'intéressant de la tenue de sa voisine : en lavant les vitres, elle a éclaboussé généreusement son tee-shirt et celui-ci commence à devenir transparent laissant devine sa belle poitrine à travers le tissu.



Quand elle rentre pour faire le côté intérieur, Jérémy se dit que son mari va forcément réagir en voyant sa tenue : soit il l'engueule de s'être exhibée ainsi dehors, soit il lui saute dessus et il lui fait l'amour. Jérémy sait ce qu'il aurait fait... Là, le mari ne fait, ni l'un, ni l'autre, tant il est absorbé par l'émission sportive qu'il regarde. Angelica commence donc à nettoyer la face intérieure de la baie vitrée, offrant un spectacle bien sympathique à son voisin. Peu à peu le tee-shirt devient complètement transparent.



Jérémy hallucine : c'est comme s'il la voit nue ! Pourtant son mari est juste derrière elle et ne semble se rendre compte d'absolument rien. Régulièrement, elle s'interrompt dans sa tâche et reste immobile en regardant dans la direction de la fenêtre de la cuisine. Jérémy sent qu'il va bientôt jouir. Voyant qu'elle semble attendre, il décide de passer dans le salon et de se mettre derrière la porte vitrée pour qu'elle puisse le voir éjaculer. A peine est-il en position qu'il sent la sève monter. Lentement, le sperme s'écoule de son sexe et s'écrase en flaque au sol.



Angelica l'a vu. Elle sourit. Reprenant son souffle, Jérémy la voit s'éloigner de la baie vitrée. Le mari est toujours enfoncé dans son fauteuil à regarder la télévision.
Jérémy se rhabille et termine sa matinée en passant la serpillère sur le carrelage de la cuisine et du salon, gardant en tête cette magnifique exhibition qu'Angelica lui a offerte.

Peu après, en début d'après-midi, Jérémy jette de nouveau un œil par la fenêtre, à la recherche de sa voisine. La première chose qu'il voit, c'est son mari, toujours affalé dans le canapé. A voir sa position, et ses yeux fermés, on dirait qu'il fait la sieste. Au moment où Jérémy s'apprête à quitter son poste d'observation, il remarque du mouvement. Il constate alors qu'Angelica vient d'entrer dans son champ de vision, entièrement nue.



Comme elle reste bien en vue, se contentant d'adopter des positions lascives, il est évident que ce spectacle lui est destiné. Il contemple cette vision paradisiaque, et commence à faire glisser sa main jusqu'à son entrejambe, quand la sonnette de sa porte retentit. Il peste contre le visiteur intempestif, mais ne bouge pas pour autant. Avec un peu de chance, il ne s'agit de rien d'important, et on le laissera en paix... Peine perdue, les coups de sonnette se font de plus en plus insistants. Quittant sa fenêtre à regrets, Jérémy va ouvrir, bien décidé à remballer cet importun. Au moment où il ouvre, toute sa colère retombe.

- Hey ! comment ça va mon vieux ? lui demande le nouvel arrivant en se jetant à son cou.
- Dimitri ? mais qu'est-ce que tu fais là ?

Jamais il ne se serait attendu à recevoir la visite de son ancien camarade de fac avec lequel il avait fait les 400 coups.

- Ça me fait plaisir de te revoir, mon vieux ! insiste Dimitri.

La joie de le revoir retombe vite, en raison de deux éléments : premièrement, le souvenir d'Angelica se donnant en spectacle à la fenêtre lui revient en mémoire, et il en veut à son ami de lui faire manquer ça. Deuxièmement, il constate avec appréhension la présence de deux sacs de sport ainsi que d'une valise. Ce qui risque de vouloir signifier...

- J'étais de passage dans la région, et figure-toi que j'ai quelques pistes intéressantes pour le boulot ! Alors le temps de finaliser tout ça, je me demandais si tu ne pouvais pas m'héberger...

Si sa première réaction fut de vouloir le faire voir ailleurs, il se rappela que quand lui-même avait eu besoin d'aide et de soutien, Dimitri avait été le seul à répondre présent. Il ne pouvait décemment lui tourner le dos, malgré son énervement...

- Bien sûr, pas de problème, se force-t-il à répondre avec le sourire. Si tu me garantis que ça ne va pas durer très longtemps, j'ai bien peur que ça ne soit pas assez spacieux pour deux...
- Merci mon pote, je savais que je pouvais compter sur toi !

Et sans plus attendre, il pénètre chez Jérémy avec ses bagages, et pose tout dans le salon. C'est alors que Jérémy a une idée :

- Installe-toi dans ce fauteuil, moi je prends celui-là. Raconte-moi un peu ce qu'il t'est arrivé depuis le temps !

Pendant que Dimitri commence à passer en revue les moindres détails de son existence depuis leur séparation de la fac, Jérémy se concentre sur la contemplation de la fenêtre. Car le placement qu'il a proposé à son ami n'est pas anodin. Placé de la sorte, Dimitri tourne le dos à la maison de ses voisins, et ne peut voir Angelica. Au contraire, Jérémy lui fait face et peut sans problème se rincer l'œil.



Se rendant compte qu'il a du mal à se concentrer pour répondre normalement aux questions de Dimitri, Jérémy trouve la parade en enchainant les questions. Son ancien camarade étant assez bavard, cette technique lui laisse le loisir d'admirer la belle Angelica qui continue son exhibition derrière sa baie vitrée. Malgré ce stratagème, Dimitri commence à se poser des questions sur l'état de fatigue de Jérémy :
- Tu vas bien ? Tu sembles un peu ailleurs...
- Oh, je suis un peu crevé en ce moment. Rien de bien grave.
Dimitri se lève soudain pour se dégourdir un peu les jambes. Jérémy sent l'adrénaline monter car il pense que Dimitri s'est rendu compte qu'il passe son temps à regarder par la fenêtre. Angelica remarque la présence de l'intrus et cache sa nudité.



Heureusement, Dimitri n'a pas regardé par la fenêtre, se contentant de détailler le mobilier et la décoration intérieure de Jérémy. Après avoir fait un petit tour de pièce tout en continuant à évoquer d'anciens souvenirs de jeunesse, il finit par se rasseoir. Jérémy continue de guetter le retour d'Angelica, mais la présence de Dimitri l'a peut-être refroidie. Peu à peu, il parvient à s'investir un peu plus dans la conversation et à faire des réponses moins laconiques à son ancien camarade. Et puis Angelica réapparait, toujours nue. Mais cette fois-ci, elle est armée. Jérémy pense reconnaître le concombre acheté la veille.



Cette fois-ci, Jérémy perd complètement le fil de la conversation et il laisse Dimitri faire un long monologue en se contentant d'hocher la tête de temps en temps, sans jamais détacher son regard de la fenêtre. Angelica passe devant son mari et s'assoit sur le sol à côté du fauteuil où dort son mari. Elle pose le concombre par terre et se positionne à genoux, cuisses largement écartées en direction de la fenêtre où elle distingue Jérémy.



Si jusqu'à présent les exhibitions de sa voisine l'avaient bien émoustillé, Jérémy avait gardé le contrôle, aidé en cela par la présence de Dimitri. Mais quand il la voit commencer à insérer le concombre entre ses cuisses, il sent qu'une formidable érection est en train de monter. Il est obligé de se pencher en avant pour que, étant plié en deux, il ne révèle pas à son camarade la proéminence incontrôlable de son entrejambe. Chez les voisins, Angelica est en train de se masturber lentement avec le concombre.


Elle ne semble pas s'inquiété de la présence de son mari, assoupi juste à côté. Soudain, elle sursaute. Malgré le double vitrage, Jérémy entend les tintements aigus de la sonnerie d'un téléphone. Elle se lève précipitamment, abandonnant son concombre par terre, et s'enfuit de la pièce, jetant un dernier regard vers Jérémy avant de s'éclipser.



C'était moins une ! Le mari rouvre les yeux et se redresse. Il se lève. Il regarde le concombre au sol, se demandant sans doute comment un concombre a pu atterrir ici. Mais il ne s'y attarde pas plus, la sonnerie du téléphone le rappelant la raison de son réveil. Il traverse la pièce et décroche le combiné. Jérémy, un peu déçu que le spectacle s'achève ainsi, se dit que c'est sans doute finalement mieux pour éviter que Dimitri ne se rende compte de quelque chose de louche dans son comportement.
- Hé bien ! C'est vrai que t'as l'air bien claqué. Je t'ai connu plus loquace.
- J'ai eu une semaine très chargée et je crois que je manque un peu de sommeil.
- Bon, je vais te laisser une heure ou deux, j'ai un entretien et je vais en profiter au retour pour regarder dans les agences ce qu'il y a à louer dans le coin.
Alors qu'ils se lèvent, Jérémy entend le bruit du moteur de la voiture. Le mari vient donc de repartir. Son sang se met à bouillir. Il raccompagne Dimitri à la porte et, quand il ouvre celle-ci, il reste pantois : Angelica s'y tient debout, souriante, dans une minuscule petite robe grise.
- Bonjour. Je suis votre voisine d'à côté.



Dimitri reste béat et Jérémy est obligé de le bousculer pour qu'il ne reste pas figé sur place.
- Heu, j'ai un rendez-vous. Une visite. Enchanté.
L'encombrant ami s'en va, non sans se retourner plusieurs fois pour admirer la croupe d'Angelica moulée dans la petite robe. Jérémy trouve amusant qu'elle se soit présentée ainsi, comme s'ils ne s'étaient jamais vus. Dès que Dimitri a disparu, elle sourit à Jérémy :
- Tu t'y connais en plomberie ?
- Bof, pas vraiment...
- Ma douche est cassée... Je peux utiliser la tienne ?
Avant même qu'il ne lui réponde, elle se glisse devant lui et entre, se dirigeant vers la salle de bain. Jérémy n'en revient pas :
- Tu... Tu sais où est ma salle de bain ?
S'appuyant au lavabo, elle lui répond avec beaucoup de malice dans le regard :
- Oui, j'avais repéré quand je suis passée t'emprunter du beurre hier.



Jérémy prend alors conscience que la robe est particulièrement courte quand elle se cambre devant le lavabo. Elle le sort de son trouble :
- Tu aurais une serviette ?
Sans répondre, il en prend une sur une étagère derrière la porte et la lui tend. Quand elle se tourne pour récupérer la serviette, la petite robe semble s'être remontée sur sa taille et Jérémy croit voir sa moule juste sous le bord de la minirobe.



Considérant la salle de bain, Angelica demande :
- Tu n'as pas de douche ?
- Je me douche dans la baignoire. Il y a un rideau.
- Ah oui. Je déteste ces rideaux qui viennent se coller au dos pendant qu'on se lave. Mais une baignoire, c'est chouette aussi.
Alors qu'il s'apprête à la laisser, elle se retourne vers la baignoire. La petite robe, relevée sur les hanches laissent l'opportunité à Jérémy de bien voir la moule libre de toute culotte.



Jérémy est alors en arrêt et se croit obliger de dire :
- Je te laisse...
Alors qu'il s'apprête à refermer la porte, il jette un dernier coup d'œil et voit Angelica retirer sa robe. Jérémy ne peut se résoudre à fermer la porte. La laissant entrebâillée, il la voit commencer à faire couler l'eau avant de rentrer dans la baignoire. Penchée en avant, elle l'appelle :
- Je peux t'emprunter ton gel douche ?
Jérémy rouvre la porte et la voit lui sourire, comprenant qu'elle s'amuse avec lui.



- Heu, oui... Tu prends ce que tu veux parmi ce qu'il y a au pied de la baignoire.
- Merci, tu es chou.
Gêné de la voir, il retourne dans le couloir mais ne referme pas la porte complètement. Il reste à l'observer. Il voit aux regards qu'elle lui lance régulièrement qu'elle sait qu'il est présent et qu'il observe, même si elle ne se montre pas particulièrement pudique.



- Tu vis seul ?
La question le tire de sa contemplation. Il ne répond pas aussitôt. Angelica repose sa question :
- Tu as une copine ?
- Heu, non...
- Approche, je n'entends rien avec l'eau qui coule.
Jérémy rouvre la porte. Elle lui fait signe de s'approcher.



Une fois entré, il lui répond :
- Non, je n'ai pas de copine.
- Un mec canon comme toi ? C'est du gâchis !
Elle coupe l'eau et sort de la baignoire, se retrouvant presque contre lui. Elle pose une main impudique sur l'entrejambe proéminente de Jérémy :
- Personne pour s'occuper de toi... ça t'oblige à te débrouiller tout seul.



- Heu, je... oui... tu m'as vu, tu sais.
- Oui. Je t'ai vu te masturber. Et tu m'as vue aussi. Est-ce que ça t'a plu ?
- Beaucoup, oui !
Attrapant la serviette, elle commence à se sécher et lui demande :
- Tu voudrais te masturber, là ?



- J'avoue que tu me mets dans un drôle d'état.
- Alors, va m'attendre dans le salon le temps que j'enfile ma robe.
Son ton directif ne laisse place à aucune négociation. De toute façon, Jérémy ne souhaite vraiment pas négocier. Il se retire et va l'attendre dans le salon. Joueur, il se met nu, se disant que ça fera une belle surprise à sa voisine. Quand elle le rejoint, elle est effectivement ravie de le découvrir ainsi :
- Je vois que, comme moi, tu apprécies autant l'exhibitionnisme que le voyeurisme.



Regardant par la fenêtre, elle s'y dirige, nue :
- Par contre, je vais fermer le rideau...
- Ton mari n'est pas parti ?
- Si, il a été appelé pour une urgence au bureau, mais je ne sais pas quand il revient.
Elle tire le rideau.



Jérémy lui dit :
- Peut-être que ça l'exciterait de te voir t'exhiber...
- Malheureusement, depuis qu'on vit ensemble, je ne l'intéresse plus du tout et il préfère se taper ses secrétaires et ses stagiaires... Mais, dis-moi, je vois un sac là. Le gars que j'ai croisé tout à l'heure, il dort chez toi ?
- Oui. Un ancien copain qui est là temporairement. Il cherche un boulot et un appartement. J'espère qu'il trouvera vite...
- Il peut revenir, là ?



- Aucune idée... Mais ça reste possible...
- Dans ce cas, je remets ma robe, au cas où il déboulerait.
A regret, Jérémy voit Angelica enfiler sa robe. Cependant, sitôt fait, elle lui sourit :
- Ne t'inquiète pas. Je ne compte pas partir et j'ai bien envie qu'on s'amuse un peu.
Elle s'assoit et retrousse sa robe sur sa taille. Ecartant les cuisses, elle commence à se caresser la moule sans la moindre pudeur.



Elle regarde Jérémy et lui dit :
- Toi aussi.
Jérémy empoigne son sexe déjà parfaitement dressé et commence à se masturber. Puis, il s'interrompt et se lève :
- Attends, je crois que j'ai quelque chose pour toi...
Il file à la cuisine et revient en tenant une grosses carotte, longue et large, parfaitement lavée. Angelica sourit en saisissant la carotte. Se laissant aller en arrière sur le canapé, elle fait lentement pénétrer le légume dans sa fente.



Les yeux fermés, elle fait aller et venir la carotte dans sa moule trempée de mouille. Jérémy hallucine et s'astique le manche lentement. C'est bien ce qu'il fantasmait au sujet de ces carottes mais c'est tellement plus excitant de le voir en vrai. Angelica rouvre les yeux régulièrement, semblant uniquement intéressée par la masturbation de son voisin. Après quelques minutes, elle se tend et se met à jouir. Resserrant les cuisses sur la carotte, elle feule de plaisir et son corps vibre comme secoué par un petit séisme. Jérémy ne tient plus. Il éjacule, laissant son sperme s'échapper lentement et s'écouler sur ses doigts.



Angelica se relève et pose la carotte, luisante de cyprine, sur la table basse :
- Merci, c'était très chouette.
Jérémy reste sans voix, la main pleine de sperme toujours vissée à son érection. Il la regarde rajuster sa petite robe. Elle lui sourit :
- Je te laisse. Je rentre préparer à manger au cas où mon homme rentrerait.
Comme elle traverse le salon pour regagner l'entrée, Jérémy voit que, à chaque pas, sa minirobe remonte, millimètre par millimètre, commençant à révéler ses fesses. Elle se retourne et lui sourit :
- A plus tard ?



Jérémy reste ainsi sur le canapé, encore interloqué par le tour qu'a pris la situation. En l'espace de quelques jours à peine, lui et sa voisine ont atteint un degré d'intimité extrêmement excitant. Et ce n'est pas pour lui déplaire. Il finit par se relever pour se nettoyer, et se rhabille. Par réflexe, il jette un nouveau regard par la fenêtre, et constate qu'elle est déjà de retour chez elle. Elle se place de façon à ce qu'il voit tout, et retire sa robe.



Bien qu'il se soit déchargé, il recommence déjà à bander en voyant ses formes si parfaites. Il a de plus en plus envie de cette fille. Il la voit enfiler une nuisette, qui cache suffisamment son corps tout en restant assez suggestive. Cependant, maintenant qu'il l'a vue entièrement nue, il ne peut s'empêcher de trouver ce spectacle un peu fade, et en veut plus. Elle sort de son champ de vision, en direction de sa cuisine. Elle repasse de temps en temps par la fenêtre, pour s'assurer qu'il la mate bien.



C'est le cas, et chacune de ses apparitions le fait bander davantage. Cependant, il doit bien vite s'arrêter : les coups de sonnette frénétiques lui indiquent que Dimitri est de retour. Non sans un dernier regard vers la fenêtre et la croupe d'Angelica, il va lui ouvrir.

- Déjà de retour ? lui demande-t-il.
- Eh oui, finalement ce n'est pas ce que j'escomptais. Mais je ne désespère pas, j'ai déjà quelques rendez-vous pour demain dans mon agenda !
- Parfait... répond Jérémy, ne pouvant s'empêcher d'être déçu qu'il ne parte pas tout de suite.
- Ne t'inquiète pas, je ne compte pas squatter chez toi bien longtemps ! lui répond Dimitri avec une bourrade. Je ne voudrais pas être un obstacle entre toi et la bombe d'à côté...
Jérémy fait mine d'être surpris de cette remarque :
- Comment ça ?
- Allons, ne me raconte pas d'histoire ! Tu vas me faire croire qu'il n'y a rien entre cette nana et toi ? Moi, une voisine passe me voir dans cette tenue, mais je me la tape direct !
- Tu te fais des idées, elle avait simplement besoin d'un peu d'aide, et comme elle est nouvelle dans le quartier, elle est venue voir son voisin le plus proche...
- Dommage, bougonne Dimitri qui espérait sans doute avoir son lot de détails salaces.

Durant toute la discussion, Jérémy évite de regarder en direction de la fenêtre, malgré le manège d'Angelica qui fait pourtant beaucoup d'efforts pour attirer son attention.



Il ne tient pas à ce que son ami se rende compte de quoi que ce soit entre elle et lui.

La fin de l'après-midi se passe sans élément particulier, les deux amis en profitent pour échanger des souvenirs, entre quelques bières et parties de jeu vidéo. Même si Jérémy apprécie ces moments passés ensemble, Angelica ne cesse de lui trotter dans la tête. Le soir venu, ils s'installent dans le salon avec un carton à pizza pour tout repas. La lumière de la maison d'en face agit comme un aimant sur eux, car elle se détache de l'obscurité ambiante. Le bruit d'une voiture alerte Jérémy sur le retour du mari : effectivement, celui-ci passe dans son champ de vision peu de temps après. Il le voit enlacer sa femme et l'embrasser.



En y repensant, c'est la première fois qu'il voit cet homme se montrer aussi proche de sa jeune épouse. Cette arrivée n'a pas non plus échappé à Dimitri :

- Dis-donc, elle est mariée ta donzelle ! Tu m'avais caché ça !

Il ne répond pas, car il est trop absorbé par la scène qui suit. Il ne sait pas ce qu'ils se sont dit, mais les deux époux se sont lancés dans des caresses plus que suggestives. Les vêtements ne tardent pas à voler. Angelica, qui doit sûrement vouloir lui faire profiter du spectacle, vient se placer contre sa fenêtre, d'où il a une vue imprenable sur ses seins et sa chatte. Son mari vient la prendre par derrière, et elle pousse sans doute un puissant cri de jouissance, vu la tête qu'elle fait.



Jérémy sent que son érection commence à monter, quand Dimitri s'exclame :

- Putain, un porno en direct ! J'adore ! Excuse-moi, vieux, mais je vais me mettre à l'étage, histoire de me branler en paix.

Jérémy ne répond pas, tout concentré qu'il est sur la scène. Il sort sa queue bien gonflée, et commence à se masturber. Le mari vient d'allonger Angelica sur le canapé pour la prendre en missionnaire.



Sous cet angle, Jérémy voit alors le sexe de l'homme. Il est surpris de constater à quel point il est bien membré, même si cela le rassure de constater qu'il l'est moins que lui. D'un coup de reins vif, le mari engage son sexe dans la fente d'Angelica qui pousse un petit cri que même Jérémy peut entendre depuis chez lui. Le mari la ramone comme s'il n'avait pas baisé depuis plusieurs semaines, ne semblant pas se soucier du plaisir de sa femme.



Pour accentuer son plaisir, Angelica se caresse les seins comme une folle, et tourne de temps en temps la tête vers Jérémy, qui se branle à toute vitesse. Il est sur le point de jouir quand il voit le mari sortir sa queue. Jérémy a l'impression qu'il demande quelque chose à sa femme. Cette dernière se met alors à genoux et tire la langue, dans l'attente de la semence de son homme. Le sperme ne tarde pas à venir et vient s'écraser en de longs jets sur son visage et dans ses cheveux.



Il faut croire qu'il ne s'était pas vidé depuis longtemps, car il s'en écoule une sacrée quantité. Angelica se masturbe frénétiquement pendant qu'elle se fait recouvrir de foutre, et gémit comme une chienne. Jérémy jouit à son tour, son sperme vient s'écraser contre la fenêtre. Il s'imagine réserver le même traitement à sa voisine, et cela décuple son excitation. A peine a-t-il fini de jouir qu'il rebande déjà, car ce qu'il voit l'excite au plus haut point. Angelica se jette sur son mari, et attrape son chibre entre ses lèvres.



Elle le suce ainsi, sans même prendre le temps de nettoyer son visage. Pendant qu'elle le suce, elle fouille dans sa moule d'où la cyprine coule à flots. Quand il la voit s'écarter ainsi les lèvres, Jérémy s'imagine la fourrer. Il est même surpris de la voir enfoncer toute la queue de son mari dans sa bouche.



Elle fait une gorge profonde à son mari, pendant que Jérémy jouit de nouveau, regrettant qu'elle ne soit pas là pour assister au spectacle...
Quelques minutes plus tard, Jérémy a tiré les rideaux et a fait un peu de ménage. Dimitri redescend :
- Heu, excuse-moi... Tu aurais des essuie-tout, s'il te plaît ?
Jérémy prend dans la cuisine un rouleau qu'il lui tend sans faire de commentaire. Dimitri redescend à nouveau quelques minutes après :
- Incroyable ! C'est mieux que de se mater un porno ! Tu dois bien te rincer l'œil avec des voisins comme ça, non ?
- T'as du bol. C'est la première fois que je les vois faire ça.
Jérémy pense alors au couchage. La fenêtre de sa chambre ne donne pas sur la maison d'Angelica. Il devient soudain un hôte très prévenant pour son camarade :
- Ecoute, vu que c'est temporaire, je te laisse ma chambre et je vais dormir sur le canapé.
- Bah, non, c'est ta chambre quand même...
- T'inquiète. Tu seras mieux et ça ne me dérange pas.
- Ah ? Bon, merci alors.

Dès que Dimitri referme la porte de la chambre, Jérémy plonge le salon dans le noir et rouvre les rideaux. Le salon des voisins est toujours éclairé mais il ne semble y avoir personne. Durant la nuit, il se réveille, en sueur et en érection, à cause de rêves érotiques dont Angelica tient le rôle principal. Se levant pour boire, il tire un peu le rideau pour regarder. Il découvre alors, stupéfait que le mari est installé dans le salon et est en train de se masturber en regardant un film pornographique. Dégoûté, Jérémy rajuste le rideau et va se recoucher en ayant une pensée de compassion pour Angelica.

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DIMANCHE

Le matin, Jérémy est réveillé par la sonnette. Il est 9h. Enfilant rapidement un pantalon, il se dépêche d'aller dans l'entrée. A côté de la porte, il découvre un petit post-it signé de Dimitri indiquant qu'il est parti se promener en ville et rentrera vers midi. Jérémy ouvre la porte. Il est ravi de découvrir Angelica, vêtue d'une jolie petite robe rouge qui moule suffisamment sa poitrine pour que Jérémy sache qu'elle ne porte pas de soutien-gorge.



- Bonjour Jérémy.
- Bonjour Angelica! Entre.
- Heu, non. En fait, je venais te demander si tu savais s'il y a une supérette ouverte un dimanche matin dans le quartier... J'ai encore besoin de beurre...
- Je peux te dépanner.
- C'est gentil, mais il faut vraiment que j'en achète. Donc si tu peux m'indiquer une adresse...
- Il y en a bien une mais c'est un peu compliqué pour la trouver. Par contre, je peux t'y accompagner. A pied, il y en a pour moins d'un quart d'heure.
- Parfait.
Dès qu'ils ont quitté le quartier, Angelica met sa main dans celle de Jérémy. Celui-ci, surpris, tourne la tête vers elle :
- Ton mari... ?
- Là, il fait grâce matinée. Le dimanche il n'émerge en général que vers midi.



- Heu, mon interrogation à son sujet porte davantage sur tes sentiments pour lui puisque tu me donnes la main comme si nous étions en couple...
- Gérald est une brute. Pour lui, je suis juste bobonne qui lui fait sa lessive, ses repas et qui se soumet quand il a envie de baiser. Et je sais par ailleurs qu'il se tape très régulièrement d'autres filles à son travail. Il emmène même parfois sa secrétaire à la maison quand je pars quelques jours pour aller voir ma mère.
- C'est lui qui te demande de ne pas mettre de soutif ?
- Heu non, ça c'est moi... Il hurlerait s'il savait que je sors sans culotte.
Le sang de Jérémy se met à bouillir et il sent son sexe se tendre. Angelica rigole :
- Oups ! J'ai l'impression que tu es ému par cette info... Tu peux jeter un œil si tu veux.
Jérémy hésite, se demandant s'il a bien entendu.
Mais, voyant qu'elle semble attendre, il attrape le bas de la petite robe et remonte lentement pour découvrir l'entrejambe effectivement nue.



Jérémy, excité par cette découverte, hésite à lui caresser. Mais, en pleine rue, il se dit que cela ne se fait pas. Il rajuste la robe. Angelica semble déçue mais ne l'exprime pas :
- Bon, elle est loin ta supérette ?
- Heu, non. C'est juste là, à côté du salon de thé.

Après avoir acheté la plaquette de beurre, Angelica s'arrête en sortant du magasin et dit :
- Tu bandes ?
- Heu... bah oui...
- Mmmmm, j'aimerai bien voir ça mais je ne vais pas te demander de la sortir en pleine rue. Rien que d'imaginer, ça me fait mouiller...
Angelica s'assoit alors sur une chaise de la terrasse du salon de thé et écarte les cuisses :
- Regarde !
Stupéfait, Jérémy s'assoit à côté d'elle sans quitter sa fente humide des yeux. Comme impatiente, elle lui attrape le poignet et guide sa main entre ses cuisses :
- Ne sois pas timide.
Jérémy bande comme un taureau alors qu'il caresse la moule de sa voisine.



Bien qu'elle semble beaucoup apprécier cette caresse, Angelica se lève soudain :
- Ne tardons pas trop, sinon le beurre va fondre.
Jérémy se lève, les yeux écarquillés :
- Attends, tu...
- Quoi ?
C'est en le voyant attraper le bas de sa robe derrière qu'elle comprend que celle-ci est retroussée assez haut sur sa taille et qu'elle exhibe ses fesses nues.



Jérémy rajuste la robe et Angelica sourit :
- Merde, je ne m'étais pas rendue compte... Merci.
- Pas de quoi. C'est un spectacle que je me réserve...
- Si tu savais comme j'ai envie de voir ta queue. Dommage qu'il y ait ce gars chez toi.
- Dimitri ? Il est parti en balade et ne rentre qu'à midi !
- Rentrons vite alors !
Le chemin du retour est nettement plus court, tant le couple marche vite, stimulé par la perspective de ce qui va suivre. A peine sont-ils arrivés chez Jérémy, Angelica l'entraine dans sa chambre et l'allonge sur le lit. Jérémy se laisse faire et la laisse lui ouvrir son pantalon et baisser son caleçon pour extraire son érection :
- Ça y est, je l'ai !



Elle le masturbe lentement en lui souriant :
- J'aime bien te voir te masturber derrière ta fenêtre en me regardant, ça m'excite.
Jérémy se lève pour terminer de se déshabiller et, alors qu'il commence à soulever la robe de sa voisine, celle-ci, sans s'arrêter de le masturber, lui dit :
- Attends. Je veux juste te regarder te masturber encore...



Jérémy est un peu déçu car il espérait plus... Toutefois, l'idée n'est pas déplaisante, aussi laisse-t-il à nouveau la jeune fille l'allonger sur le lit :
- Et toi ? Tu vas te caresser aussi ?
- Mmmmm, c'est une idée. Mais je n'ai pas de carotte avec moi.
- J'en ai !
- Non, laisse. De toute façon, là je veux juste te regarder.
Jérémy se soumet. Le sexe tendu, il commence à se caresser les testicules.



Alors qu'il se masturbe, Angelica, les yeux rivés à son membre, lui demande :
- Tu nous as regardés hier soir ?
- Oui...
- Tu as aimé ?
- Oui. Dimitri aussi.
- Oh merde, je n'avais pas pensé à lui ! Il nous a vu ?
- Oui, il est allé se branler dans le bureau.
Angelica ne semble finalement pas si gênée que ça et cela excite Jérémy de voir à quel point elle est exhibitionniste. Il accélère la cadence de sa masturbation.



Après une longue minute de silence où Angelica reste en admiration du sexe palpitant de Jérémy, elle demande :
- Tu crois qu'il accepterait de faire comme toi ?
- Quoi ?
- De se masturber devant moi, comme tu le fais, ça m'excite.
- Heu, sans doute, oui.
- Et toi, tu accepterais qu'il le fasse ?
- Même si on était marié, je n'aurais pas de droit sur toi...
- Oui, mais ça t'exciterait ?
- Oui, surtout si moi aussi je le fais.
- Excellente idée. Tu lui demanderas ?
Jérémy ne voit pas comment formuler cette demande à son camarade mais l'idée qu'ils se masturbent tous les deux, face à Angelica, déclenche son éjaculation. Le sperme se met à sortir lentement, coulant le long de sa queue et sur ses doigts.



Alors qu'Angelica s'approche de Jérémy en se passant la langue sur les lèvres, ses yeux tombent sur le réveil posé sur la table de chevet. Elle se redresse vivement :
- Déjà onze heure et demi ! Désolé, Il faut que je rentre...
Sans que Jérémy ait le temps de réagir, sa voisine s'enfuit, l'abandonnant, telle Cendrillon. Jérémy, un peu déçu mais quand même satisfait de sa matinée, se lève pour prendre une douche. Repensant à cette visite, il bande à nouveau mais ne ressent pas le besoin d'éjaculer.



Quand il en sort de la salle de bain, Dimitri est dans le salon, souriant :
- Bonne nouvelle ! J'ai trouvé un appartement. J'aménage dès demain soir si tout va bien.
- Cool !
Jérémy n'arrête pas de penser à la proposition d'Angelica et ne sait pas comment aborder cela avec Dimitri. Celui-ci se rend compte que son camarade est préoccupé :
- Tout va bien, Jérémy ?
- Heu... Oui, pourquoi ?
- Je ne sais pas, tu as l'air bizarre. On se prend un apéro pour fêter ça ?
Aussitôt, Dimitri sort verres et bouteilles et rapidement les deux amis s'installent dans le petit jardin pour siroter au soleil. Jérémy ne peut s'empêcher de regarder régulièrement vers la baie-vitrée de sa voisine dans l'espoir de l'apercevoir. Ils en profitent pour manger dehors. A la fin du repas, Jérémy débarrasse et rentre ranger la cuisine tandis que Dimitri reste dans le jardin. Il sent son cœur s'emballer quand il entend la voix d'Angelica dans le jardin :
- Bonjour, tu es Dimitri, c'est ça ?



Jérémy regarde par la fenêtre de la cuisine et découvre sa voisine dans une petite robe grise très moulante. Il écoute l'échange :
- Oui. Jérémy est à l'intérieur.
- Il vous a parlé de mon projet ?
- Ah ? Heu non... ça me concerne ?
- Un peu oui. Je peux venir pour qu'on en parle ?
- Avec votre mari ?
- Mon mari est reparti au boulot.
- Un dimanche ?
- Oui, quand il n'est pas en mission, il est d'astreinte quasiment tout le temps. On ne se voit pas...
- Ah. Bah oui, venez. On va vous faire un café.
Le temps qu'elle fasse le tour, Dimitri rentre et rejoint Jérémy dans la cuisine :
- Je viens de voir ta voisine. Elle...
- Oui, j'ai entendu. Je ne savais pas comment te présenter le truc. Elle veut nous voir nous masturber tous les deux.
- Tu déconnes ?
Jérémy n'a pas le temps de répondre, la sonnette retentit. Dimitri, très excité, passe devant lui pour aller ouvrir :
- Entrez, entrez...
- Angelica, mais on peut peut-être se tutoyer, non ?



- Bien sûr !
Dimitri la suit jusque dans le salon où Jérémy les attend, très embarrassé :
- Bonjour Jérémy, tu vas bien ?
- Oui...
- Tu as eu le temps de parler à ton copain de ma demande ?
Dimitri, se frottant les mains, répond :
- Il vient de m'expliquer à l'instant. Moi je suis OK !
Jérémy ne s'attendait pas un tel enthousiasme de la part de son camarade. Il tente de temporiser :
- Je... tu veux un café, Angelica ?
- Merci, je crois qu'un petit verre de vin m'irait mieux. Si tu as un blanc au frais, ce sera parfait.



Quand Jérémy revient avec le verre de vin pour Angelica, il voit que Dimitri s'est mis torse nu :
- Qu'est-ce que tu fous ?
Angelica prend son verre et répond pour Dimitri :
- Il se met à l'aise et tu devrais en faire autant.
Pour donner le ton, la jeune fille s'installe dans le canapé en écartant les cuisses, révélant aux deux garçons qu'elle ne porte pas de culotte.



Voyant que les gars ne semblent pas trop savoir comment continuer, elle les met à l'aise :
- On peut peut-être terminer de se déshabiller mutuellement si vous voulez ?
Elle pose son verre et vient rejoindre les garçons sur le canapé d'en face. En s'asseyant entre eux, elle retrousse sa robe sur sa taille et lève les bras. Dimitri et Jérémy comprennent le message et relève la robe de la jolie voisine pour lui retirer. Mais une fois la poitrine dégagée, les deux garçons ne résistent pas et interrompent le déshabillage pour caresser les seins d'Angelica.



La jeune fille s'amuse de la même passion que ses deux partenaires partagent pour ses seins :
- Ah, je vois que vous avez le même centre d'intérêt.
Elle se lève alors et embrasse Jérémy.



Se redressant, elle leur dit :
- Dites-moi dès que vous serez en érection, qu'on puisse commencer.
Dimitri l'attire à lui et lui embrasse les mamelons.



Puis il lui dit :
- Moi, je bande depuis que je tu m'as abordé dans le jardin...
- Ok, voyons voir ça.
Angelica lui baisse son pantalon et lui dégage son érection. Il frémit quand elle commence à lui masser les testicules et ne résiste pas à lui caresser l'entrejambe.



Angelica s'écarte et se tourne vers Jérémy :
- Toi aussi, retire tout. On va pouvoir commencer.
Jérémy lui demande :
- Toi aussi, tu vas... ?
- Oui, je pense que ça vous stimuler et puis il n'y pas de raison que je n'en profite pas aussi.
Elle s'assoit et termine de retirer sa robe.



Jérémy se lève alors et va à la cuisine. Il revient en brandissant une banane :
- Avec ça, ça te dit ?
- Super !
Angelica attrape le fruit et, cuisses écartées, se l'enfonce dans la fente.



Le fruit devient rapidement luisant de mouille et Angelica commence à pousser de petits gémissements. Bien qu'il l'ait déjà vu à l'œuvre avec une carotte et un concombre, Jérémy n'en reste pas moins fasciné devant ce spectacle. Dimitri, découvrant pour la première fois cette utilisation d'une banane, est lui aussi abasourdi. Angelica est obligée de les rappeler à l'ordre pour qu'ils commencent à se masturber vraiment.



Le regard de la jeune femme alterne entre les deux garçons, chacun se masturbant différemment avec son propre rythme. Dimitri semble essayer de calquer son rythme à celui de la banane qu'elle se fourre entre les cuisses. Par jeu, Angelica s'amuse à accélérer, mais, surexcitée, elle sent soudain l'orgasme monter irrémédiablement. La banane fichée en elle, elle se met à jouir, fermant les yeux et laissant son corps profiter des secousses de plaisir qui le parcourt.



Les garçons, la voyant jouir, accélèrent eux aussi leur cadence. Angelica, reprenant ses esprits, les voit dans cette masturbation effrénée et préfère les calmer :
- Tout doux les gars. Prenez votre temps. Je ne pars pas tout de suite.
Elle retire la banane de sa moule trempée de mouille et écarte les cuisses :
- Imaginez que vous être entre mes cuisses à la place de la banane et que vous vouliez me faire jouir...



Dimitri se calme et demande :
- Moi je veux bien faire plus qu'imaginer... Ta moule me fait vraiment très envie !
- Dimitri, si tu veux, tu peux venir éjaculer dessus.
Sans attendre Dimitri se lève et vient se positionner entre les cuisses d'Angelica, le gland posé contre sa fente. La jeune fille lui sourit :
- Attention ! Pas de pénétration, hein !?



- Sûre ? Tu ne le regretterais pas !
- Contente-toi de ça.
Jérémy est un peu jaloux de cette proximité et se lève à son tour. Angelica lui dit :
- Approche. Toi, je veux voir ton éjaculation de près.
Jérémy se dit qu'elle va peut-être lui faire une fellation mais, au moment où il arrive et positionne son sexe près de visage de sa voisine, Dimitri commence à éjaculer, couvrant le sexe d'Angelica avec sa semence blanchâtre.



Angelica le regarde en souriant :
- Même si tu ne m'as pas pénétrée, c'est déjà pas mal, non ?
- Le pied ! Merci !
Jérémy qui se masturbe toujours devant le visage d'Angelica éructe soudain : il sent l'éjaculation imminente, sans qu'il puisse se retenir. Le sperme se met à jaillir, surprenant Angelica et lui éclaboussant le cou et le visage.



Quand Jérémy s'écarte, Angelica rouvre les yeux et se redresse :
- Eh bien ! Merci les gars, c'était impressionnant. Vous m'avez permis de réaliser un vieux fantasme. J'espère que ça vous a plu aussi.
Dimitri sourit et répond :
- Disons que ça aurait pu être encore plus sympa si tu étais venue accompagnée d'une copine.
Assise par terre, Angelica le regarde, du sperme dégoulinant de son visage :
- C'est peut-être envisageable...



- Vraiment ?
Angelica ne répond pas et se contente d'un sourire énigmatique. Elle attrape la serviette que lui tend Jérémy pour essuyer tout le sperme qu'elle a sur elle. Il lui demande :
- Tu veux prendre une douche ?
- Je te remercie. Je vais rentrer la prendre à la maison. Gérald n'est pas encore rentré.
Angelica remet sa robe et s'en va, laissant les deux garçons.

Après s'être douchés, Dimitri rassemble ses affaires en vue de son départ le lendemain et Jérémy se lance dans un ménage systématique de chaque pièce, comme il le fait chaque dimanche après-midi. Tous les deux ne s'attendaient pas à ce coup de sonnette en fin d'après-midi. Quand Jérémy ouvre la porte, il découvre avec plaisir qu'il s'agit d'Angelica. En apercevant une jolie brune derrière elle, il est surtout surpris de voir qu'elle est accompagnée. Angelica sourit en voyant que Dimitri vient les rejoindre :
- Salut les garçons, chante Angelica. Je vous présente mon amie Sylvie.
Jérémy laisse entrer les deux filles. Les deux garçons saluent la nouvelle venue, en échangeant un regard entendu, de toute évidence tous les deux s'accordant à trouver à leur goût la nouvelle venue dans sa minirobe jaune.


Ils ont des images salaces qui défilent en tête... Jérémy conduit ses invitées dans son salon. Commence alors une discussion tout ce qu'il y a de plus banal, excepté les diverses allusions sexuelles faites par Angelica, qui ne sont pas pour calmer les deux jeunes hommes.
- Sylvie est une collègue qui est devenue rapidement une amie et nous faisons souvent du shopping ensemble. C'est moi qui lui ai fait acheter cette petite robe. Sympa non ?
- Oui...
Jérémy se perd dans la contemplation du décolleté de Sylvie.



Il faut dire qu'elle est bandante: sourire aguicheur, yeux tellement clairs qu'ils en sont transparents, une peau qui semble si douce qu'il doit se contenir pour ne pas la toucher, une cascade de cheveux bruns, une poitrine opulente, et une robe très courte qui s'est quelque peu remontée lorsqu'elle s'est assise.
Il est presque certain qu'elle a surpris son regard explorateur, avec son sourire coquin... Il sent son érection durcir de plus en plus.
- Et Jérémy est donc mon voisin, explique Angelica.
- Vous vous connaissez depuis longtemps ? demande Sylvie
- Heu non... C'est assez récent, répond Jérémy.
Angelica sourit :
- Oui, à force de s'observer l'un l'autre par la fenêtre, ça a fini par une rencontre...
Dimitri rigole grassement, ce qui laisse aussitôt Sylvie imaginer qu'il s'agit d'un peu plus que du simple voyeurisme. Voyant que Sylvie s'apprête à interroger Dimitri pour avoir des détails, Jérémy prend les devants et en profite pour présenter son ami :
- Dimitri est un pote de la fac et il est de passage cette semaine.
- Je repars demain, précise l'intéressé. Jérémy et moi, on a fait pas mal de belle teufs ensemble.
Dimitri fait un clin d'œil à Jérémy. Sylvie s'intéresse alors à eux :
- Oh, vous avez peut-être couché avec la même fille ?



- Heu non, jamais...
- Ou alors vous avez couché ensemble ?
- Quoi ? Bien sûr que non ! se défend Dimitri.
Alors que Jérémy commence à débander, Angelica en profite pour évoquer un souvenir tendancieux :
- ... ça me fait penser à mes soirées étudiantes, on faisait des folies... Ça m'est déjà arrivé de coucher avec des copines à cette époque.
Jérémy a l'impression que Dimitri va éjaculer dans son caleçon.

- Pas moi, répond Sylvie. Je n'ai même jamais embrassé une fille, c'est dire!
- Quoi ? fais Angelica d'un air faussement choqué. Il faut remédier à cela!
Et sans attendre de réponse, elle s'approche de son amie sur le canapé, et approche ses lèvres des siennes.



Sylvie n'a aucune réaction, et se laisse faire, rendant même son baiser à son amie. Celui-ci devient vite très chaud, et Jérémy voit les langues s'agiter... Terriblement excité, il ne peut s'empêcher de porter la main à sa queue.



Les mains d'Angelica se sont faites baladeuses, elle a glissé une main entre les cuisses de Sylvie et remonte doucement sous la robe. Jeremy ne voit rien sous le tissu mais cela l'excite encore davantage d'imaginer... A côté de lui, Dimitri a déjà sorti son sexe et est en train de se masturber en profitant du spectacle. Puis, Sylvie semble tout à coup désinhibée. D'elle-même, elle fait glisser les bretelles de sa robe et dévoile sa superbe poitrine. Sans interrompre la magie du baiser, Angelica se redresse et remonte le bas de la robe pour dévoiler aux garçons qu'elle a glissé son majeur dans la fente de sa copine.



Jérémy hallucine. Il décide d'imiter son ami, et sort son sexe. Alors que Dimitri s'astique comme un dément, Jérémy prend son temps, et dévore les filles des yeux. Elles imitent les garçons et commencent à retirer leurs vêtements.



Très vite, plus personne dans la pièce ne porte de vêtement. Angelica n'arrête pas de regarder les garçons, comme si elle leur offrait ce spectacle. Sylvie semble plus intimidée et ose moins porter ses regards vers eux, même si elle ne s'empêcher de les regarder à la dérobé, fascinée par leurs masturbations.



Angelica s'est penchée sur le sexe de son amie, entièrement épilé, et commence à le lécher avec application. Jérémy est au comble de l'excitation. A tel point que, quand il perçoit la queue de Dimitri près de lui, il ne résiste pas à l'envie de tendre la main... Quand il effleure le tube de chair, il voit son ami se rétracter un instant, avant de se laisser faire, sans doute à son tour séduit par la tentation.



Jérémy enroule ses doigts autour de la bite qu'il constate plus courte mais plus large que la sienne. C'est la première fois qu'il touche un sexe autre que le sien, et cela l'excite. Il commence à branler Dimitri, sa propre érection renforcée en sentant le gland de son ami s'humidifier davantage de seconde en seconde. Il se redresse en voyant que Dimitri veut lui rendre la pareille, et le laisse lui saisir la bite.



Désormais, ils se branlent mutuellement en observant les filles entamer un magnifique soixante-neuf. Sylvie s'est installée sur Angelica et a le visage plongé entre ses cuisses. D'où ils sont, les garçons voient surtout la croupe de Sylvie et la langue d'Angelica qui va et vient dans sa fente dégoulinante.



Angelica redresse la tête et découvre avec plaisir ce que font les garçons. Elle leur jette un regard lubrique :
- Surtout n'allez pas au bout les gars, ce serait dommage de gâcher tout ce bon jus...
Les défiant du regard, elle donne un dernier coup de langue à la moule de Sylvie.



Les deux filles cessent alors de s'occuper entre elles et viennent chacune s'agenouiller devant un des garçons. Sylvie a choisi Jeremy, ce qui le console un peu de voir Angelica aller devant Dimitri... Aussitôt entre les cuisses de Dimitri, Angelica saisie son sexe raid et commence à le masturber :
- Je vois que tu es prêt...



Sylvie s'agenouille sur le canapé à côté de Jérémy et saisit son sexe à deux mains :
- Angelica m'a beaucoup parlé de toi... J'avais très envie d'essayer...
Ses mains sont extrêmement douces et ses mamelons tendus attirent les mains de Jérémy comme des aimants. Celui-ci espère qu'il ne va pas éjaculer trop tôt tant tout ceci l'excite !



Angelica se relève et s'adresse à Jérémy :
- On peut aller dans ta chambre ?
- Dans ma...
Jérémy se demande si elle lui propose d'aller tous les deux dans la chambre ou si c'est pour elle et Dimitri. Voyant son regard interrogatif, elle sourit et ajoute :
- Tous les quatre.



Aussitôt dans la chambre, Angelica s'installe sur le lit, cuisses grandes ouvertes et écartant de deux doigts les lèvres de sa moule. Jérémy la suit et hésite à aller la rejoindre. Sa voisine lui fait un sourire et lui dit gentiment :
- Je vais continuer avec Dimitri si ça ne te dérange pas... pour le moment.



Ces derniers mots laissent de l'espoir à Jérémy. Sa frustration disparait dès qu'il voit Sylvie qui prend la même position juste à côté de sa copine sur le lit :
- Viens, j'ai hâte d'essayer !



Dimitri qui entre en dernier dans la chambre vient aussitôt s'agenouiller entre les cuisses d'Angelica et guide son membre tendu dans la moule offerte. Jérémy reste quelques secondes à observer le visage de sa voisine, déformé par le plaisir. Il se dit qu'elle aurait sans doute préféré quelques préliminaires mais il comprend l'impatience de Dimitri devant cette splendide jeune femme.



Comme Sylvie se redresse et saisit son sexe pour le rappeler à l'ordre, Jérémy se rend compte à quel point il se comporte comme un rustre. Pour ne pas faire le lapin comme Dimitri, il ne se précipite pas et s'installe à quatre pattes entres les cuisses de la jeune femme pour lui faire un cunnilingus. Celle-ci le laisse faire, manifestement très heureuse de cette délicate attention.



Après quelques minutes, Sylvie rouvre les yeux et se redresse :
- C'est bon... Tu vas me faire jouir et tu vas finir par débander.
Mais quand Jérémy se redresse, exhibant fièrement son sexe tendu, elle constate qu'il n'a pas débandé du tout, au contraire. Lisant dans les yeux de la jeune femme le désir qu'elle voue à sa queue, il s'approche et guide son sexe dans la moule de Sylvie, alors qu'à côté Angelica ne retient pas ses gémissements de plaisir.



Ballottée par les assauts des garçons, les filles se regardent en gémissant :
- Ooooh merci Angelica ! Aaaaah super plan.
Angelica ne lui répond mais ses gémissements explicitent montre qu'elle partage le même sentiment.



Soudain, Angelica ferme les yeux et se redresse. Dimitri est au bord de l'éjaculation et, quand il sent les spasmes de l'orgasme de sa partenaire, il ne peut se retenir plus longtemps. S'immobilisant, il laisse son sperme jaillir dans le sexe d'Angelica qui a à peine conscience que Dimitri est en train de jouir en elle. Angelica partage son plaisir :
- Aaaaaaah, Sylvie ! Je jouiiiiis !



Sylvie ne tourne même pas la tête, elle-même est au bord de l'orgasme et les râles de plaisir de Dimitri lui indiquent qu'il est en train d'éjaculer. Elle aussi se met à jouir, plus discrètement qu'Angelica, mais tout aussi intensément semble-t-il à Jérémy. Angelica crie :
- Ooooh je viens ! Jérémy, viens avec moi !
Les saccades de l'orgasme de la jeune femme font perdre ses moyens à Jérémy. Il ne peut plus se retenir non plus et sent ses couilles se contracter. D'un geste vif, il sort son sexe et laisse son sperme jaillir sur le ventre de Sylvie qui, fascinée, regarde la semence chaude s'écraser sur son ventre.



Quand Jérémy reprend ses esprits, il constate que Dimitri s'est allongé par terre à côté du lit et semble exténué. Angelica est à côté et, à genoux sur le lit, elle le regarde avec tendresse :
- Tu penses être en mesure de me satisfaire moi aussi ?



Jérémy est surpris de cette proposition
- Quoi ? Mais tu viens de jouir, non ?
- Oui, mais j'en veux encore et je veux que ce soit toi. Tu t'en sens capable ?
Sans attendre sa réponse, Angelica tourne le dos à Jérémy et se met à quatre pattes, se cambrant pour tendre sa croupe vers lui.



Jérémy ne résiste pas. Son sexe qui semblait vouloir se mettre au repos reprend aussitôt du service. Il gonfle et se tend à nouveau, prêt à reprendre du service. Jérémy n'en revient pas. Il s'approche de la croupe offerte mais alors qu'il passe son pouce sur la moule humide pour en écarter les lèvres, du sperme de Dimitri commence à s'en écouler. Jérémy a un temps d'arrêt. Angelica tourne la tête et demande :
- Ton copain m'en a déjà mis pas mal... j'espère que ça ne te dégoûte pas !



Jérémy n'est pas très à l'aise avec ça mais il trouve finalement ça excitant. Après tout, il vient de masturber son copain de fac et l'aurait probablement laissé éjaculer sur ses doigts si Angelica n'était pas intervenue. Agrippant la jeune fille à la taille, il guide son sexe dans le fourreau abondamment lubrifié par la semence de Dimitri. Il la pénètre ainsi jusqu'à la garde, sans peine, faisant toucher ses couilles contre le clitoris d'Angelica.



A chaque fois qu'il entre et ressort, la queue de Jérémy est couverte du sperme de Dimitri et une partie, chassée, s'écoule de la fente de Angelica. Dimitri à côté du lit, observe la scène avec intérêt, reprenant même sa masturbation. Sylvie se lève alors et vient devant lui :
- Et, tu penses pouvoir remettre ça ?



Dimitri est surpris par la question mais la jeune fille qui se tient devant lui le fait quand même bien bander, sans compter son copain qui est en train de baiser la fille qu'il vient de remplir de sa semence. Pourtant, même si l'excitation et l'envie sont là, il ne se sent pas la force de satisfaire la jeune femme.
- Oh moi, c'est sûr que non... Tu ne tireras rien de plus, mes couilles sont vides.
- En es-tu vraiment certain ?
Sylvie s'assoit à côté de lui et s'empare de sa turgescence pour reprendre à son compte la masturbation.



Angelica est en train d'avoir un second orgasme et Jérémy sent qu'il ne va pas tenir. Il s'immobilise tandis que sa voisine subit les spasmes du plaisir. S'il n'avait pas osé éjaculer en Sylvie, il n'en est pas de même pour Angelica. Bien planté en elle, il se laisse aller et sent la sève monter à nouveau de ses couilles pour venir envahir le ventre de Sylvie, se mélangeant au sperme encore chaud de Dimitri.



C'est un grand concert de râles et de gémissements. La jouissance qu'ils partagent est sans doute la plus intense qu'ils aient eu ensemble. Le calme revient. On n'entend plus que le bruit de la masturbation régulière que prodigue Sylvie à Dimitri. Malgré ce qu'il a dit à Sylvie, celui-ci n'est pourtant plus très loin de jouir. Quand Jérémy ressort son sexe de la croupe d'Angelica, un flot de sperme s'échappe des lèvres béantes et vient former une flaque sur le drap du lit.



C'est l'image qui déclenche la seconde éjaculation de Dimitri. Quand Sylvie se rend compte qu'il va jouir, elle accélère la cadence de sa masturbation :
- J'ai gagné ! J'ai gagné ! chante-t-elle, victorieuse.



Jérémy sourit :
- Faut pas l'écouter. C'est qu'une grande gueule.
- Oui mais avec des couilles bien pleines ! rigole Angelica.
Sylvie tient toujours le sexe de Dimitri et regarde Jérémy :
- Tu veux le sucer ?



Jérémy rigole :
- Merci, je crois que j'ai déjà assez de son sperme sur ma propre queue...
- Ok, je m'occupe de lui, alors, dit Sylvie en se penchant sur la tige encore raide.
- De toute façon, c'est de ta faute... ajoute Dimitri en rigolant.
La jeune femme commence par lécher méticuleusement la hampe tendue.



Angelica attrape alors la queue de Jérémy qui commence quand même à débander :
- Viens un peu par là. Moi aussi je me sens responsable de ton hygiène.
Elle l'attire à lui pour le sucer doucement et effacer toute trace de sperme sur sa tige, probablement autant le sien que celui de Dimitri.



Angelica abandonne Jérémy et pousse un petit grognement :
- Sylvie... Merci ma belle...
Jérémy tourne la tête et découvre Sylvie agenouillée entre les cuisses d'Angelica à lui lécher la moule, aspirant le sperme qui s'en écoule lentement.



Angelica et Sylvie ne restent pas beaucoup plus longtemps :
- Il faut qu'on file se doucher à la maison et que je ramène Sylvie chez elle avant le retour de son mari... Merci les gars, c'était super.
Dimitri est un peu triste de se dire qu'il repart le lendemain. Jérémy lui, trouve qu'il a une chance énorme : jamais il n'aurait cru que son emploi de caissier puisse un jour lui ouvrir autant de belles opportunités.

- Cinq fruits et légumes par jour... dit pensivement Dimitri.
- Quoi ? demande Jérémy.
- Angelica, avec les carottes, les concombres et les bananes qu'elle s'enfile, ce n'est pas étonnant qu'elle tienne une telle forme...
- Moi ça va. Je me suis tapé l'abricot de Sylvie !
- Mec, rien que pour ma santé, je crois que je vais revenir te voir de temps en temps...